New family tribune N°2
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New family tribune N°2
VERT* JAUNE* [flemaR]. adj. et n. (1888 de flemme). Fam. qui n’aime pas faire d’efforts, travailler (Petit Robert) maladie héréditaire très répandue dans le sud-ouest * : déjà autant d’énigmes à résoudre… Le gagnant du mois En fait, ce n’est pas tout-à-fait vrai, tout le monde n’est pas [flemaR] et certaines personnes ont activement participé à la deuxième édition de cette bioutifoule chose que vous lisez ! Citons (ou plutôt, ne la citons pas pour ne pas la gêner) madame Laffort mère qui dès réception du numéro 1 s’est jetée sur sa plume afin de féliciter le génial auteur (vous le connaissez ?) par les quelques lignes ci-dessus. Et comme d’habitude, madame L. de Bordeaux gagne un abonnement gratuit de 6 mois (un demi-numéro donc…). Nous vous rappelons que pour avoir la chance de participer au tirage au sort et de gagner ce fabuleux lot, il faut impérativement nous renvoyer vos bons de participation à l’adresse de l’«artisse» nommé en fin de numéro comme prochain réchejoie. («Comment-ça réchejoie ?», et tous de se précipiter sur les anciens numéros afin de vérifier que c’était un réchejou. Vous avez raison, et alors, maintenant c’est un réchejoie : joie de voir que le réchejou vous écris… Et d’ailleurs, dans le prochain numéro, se sera peut-être rechetrucmuche ou trucmuche tout court, pourquoi pas ; non mais !). Nous avons introduit une difficulté dans la lettre de madame L. (de Bordeaux, le saviez-vous ?) : la deuxième partie (celle qui se situe sur la droite, qui commence par je et se termine par Mammy, qui est plus grande que la première (celle qui se situe sur la gauche, qui commence par Salut, se termine par fournira et est moins grande que la seconde (celle qui se situe sur la droite … On vous a déjà fait le coup du mouvement perpétuel, non ? Dommage : il y avait un bon truc à jouer, vous voyez lequel. Mais si, celui à propos de la deuxième partie (celle qui se situe sur la droite, qui commence par je et se termine par Mammy, qui est plus grande que la première (celle qui se situe sur la gauche… Vous êtes bien sur qu’on vous a déjà fait le coup du mouvement perpétuel, sinon on vous parle de la deuxième partie (celle qui… Quand même, on rigole bien quand on parle du mouvement perpétuel ! On a dû être marqués dans notre enfance : à la maison il y avait de mignonnes assiettes à dessert avec des bêtises marquées sur chacune. Sur une il y avait une question : «Avec qui se marie un canard aveugle ?». C’est sur ces assiettes que nous apprîmes ce que voulais dire T.S.V.P. Et sur le dos était la réponse : «Avec une cane blanche». Sur une autre assiette était la question qui a bouleversé ma vie : «Voulez-vous connaître le secret du mouvement perpétuel ? T.S.V.P». Et au dos : «Voulez-vous vraiment connaître le secret du mouvement perpétuel ? T.S.V.P». A chacun ses madeleines… Bon, fermons les parenthèses. )))). La difficulté introduite dans la lettre de madame L. (de Caudéran (lès Bordeaux (voilà qu’on rouvre des parenthèses, c’est terrible ce manque de discipline !))), est une quasi-illisibilité ! A vos lunettes et autres loupes ou microscopes. L’équipe chargée de distribuer les gains vient de nous informer des personnes non éligibles (sans doute parcequ’elles n’ont jamais participé). Dans un souci d’honnêteté, nous citons ces personnes afin qu’elles puissent nous dire si l’ordinateur ne s’est pas trompé et le cas échéant, nous renvoyer leur(s) bulletin(s) de participation. Laffort RDN, Laffort JFF, Laffort CLM, Maurange, Biraben PM, Biraben AF, Biraben ELJ, Coninck, Dont, Eisenblaetter, Laffort PA, Laffort C, Thésard, Fourniol FM, Kæuffer HVCZ et tous les oubliés parce qu’on ne pense jamais à eux… A tous ces bons entendeurs, salut. Le tour d’horizon ✬❅▲ ❐❅▼❉▼▲ ❄❅ ✰❉❑ ◆❅❙ Vous avez tous remarqué qu’on profite de ces petites rubriques pour vous cultiver : dans le premier numéro vous pouviez faire du grec, dans celui-ci, vous pouvez faire du Monotype Sorts. Comme nous sommes bien persuadés que bien peu d’entre vous comprendra (les MonoSortiens vivent dans une île ignorée de tous, loin des vicissitudes de la civilisation et des mathématiques) nous traduisons : «Les petits de Piquey». Mais si Maurice, toi aussi… C’est façon de parler. Dédette et René. Piquey Connaissez-vous les indics ? Vous savez, ces personnes qui savent tout, à force de faire les bars tard les nuits et de traîner les mercredis de match de foot dans les stades. C’est bon, c’est vu ? Et bien voilà nous vous en présentons deux. Des indics de première. ‘m’étonnerait pas qu’il leur arrive des bricoles, le milieu sait toujours tout à un moment ou un autre. Méfiance… En plus, pas fous, ils déménagent sans arrêt ! Allez les trouver ! Mais vous lisez le bon canard, il vous met au courant de tous les scandales et en invente tout autant, et surtout il vous donne les bonnes adresses que ses limiers, lâchés depuis des mois, se sont efforcés de trouver pour vous. Alors voici : Résidence Aquitania ; 2, rue Marcelin Berthelot dans le 33200 Caudéran. Tel : 56-02-35.07. Dans un souci de sécurité (pour notre journal tout au moins), nous vous prions d’apprendre par cœur cette adresse, de déchirer la page et de Legillon. Waterzooie-ville l’avaler sec (vous avez bien un petit monstre ou deux qui traîne chez vous). Nos limiers nous ont en outre rapportés que la délation fait vivre : l’appartement est superbe, des terrasses tout autour (pour surveiller le soleil du matin au soir, des fois qu’il faudrait dénoncer l’astre et que ça rapporterait…), de superbes vues donc, grand calme et grands espaces. Ils organisent annuellement dans le salon les 24h automobiles de Bordeaux. Mais méfiance, monsieur et madame L. ont pris leurs quartiers d’été (ou à peu près) à Piquey. Alors pas d’efforts inutiles… La cave sera bientôt installée et remplie, et les grand-parents attendent de nombreuses visites… Lors du numéro 1, nous vous prévenions de la petite sauterie prévue pour leurs 60 ans de mariage, ça se prépare depuis (ça risque de pas être trop mal pour changer) et c’est pour le mois de janvier ! Joyeux anniversaire, nos vœux les plus sincères et te cé tes rats… Nous allons vous en raconter un bien bonne. Il était une fois, une Tante Paulette qui avait un Oncle Jacques de mari dont les 30 ans approchaient à petits pas. Subitement une envie de surprise lui vint à l’esprit : «et si j’invitais tous ses vieux amis, ne serait-ce pas une bonne idée ? Mais bien sur, hors de question qu’il se doute de quoique ce soit !». A peine l’idée avait-elle germée que déjà une lettre “type” était faite. Sur ce, chère Tante Paulette apporta à son petit mari un tas de lettres afin qu’il en prenne connaissance, et dans ce sournois petit tas se tenait quoi ? on vous le donne Emile, ladite lettre… Très maître de lui, Oncle Jacques ne laissa rien paraître. Toujours très maître de lui, mais encore plus curieux, le lendemain matin entre deux tartines, sans lever la tête et de façon tout-à-fait anodine, il lance à sa petite femme : «Comme ça on reçoit du monde ce week-end.»… Espérons qu’Oncle Jacques mettra cette dernière histoire dans le recueil d’histoires amusantes et vécues qu’il fait (et que sa grande sœur compte bien faire relier pour notre plus grand plaisir !). Les Marguerites s’apprêtent à reprendre la mer, et comptent bien traverser l’Atlantique en prenant le plus de temps possible. Vie à bord à vie à bord à vie… (connaissez-vous le secret…) Christophe est venu nous faire une petite visite à Paris, occasion de montrer en photo ses (et celles de Gala même que !) ravissantes filles (de vraies Suédoises ou de vraies Françaises selon que l’on est Français ou Suédois). Sur une photo, nous nous rendîmes compte quel formidable jeu c’est de se couvrir le visage et les cheveux de lentilles ! Vraiment très amusant si on en juge par la bouille hilare de Mathilde (un an depuis le 1er.février…). Thézard. Lussac-lèsvignes Que de naissances ! Et de six petits enfants ! Deux de plus que lors de la dernière parution ! Récapitulons un petit peu : Le 18 décembre (limite dans le N°1), naissait Sophie Poulain qui a des cheveux blonds vénitiens ; couleur héritée de son trisaïeul Henri Legillon. Juliet, la dernière fille de Jacques et Véronique (Poupouce quoi), contrairement à sa cousine puînée, est née (ne pas confondre avec : contrairement à sa cousine née, est puînée mais c’est carrément moins marrant que : contrairement à sa cousine aînée est née, mais ce n’est malheureusement pas le cas…) avec un teint auburn, souvenir de sa trisaïeule Marguerite Elby. Enfin, le 5 mai 1994 le monde s’ouvrait à Paul Poulain. Le petit garnement à donné quelques soucis à ses parents, mais tout le monde se porte très bien maintenant. Bernard et Dominique méfiez-vous : si à deux jours il vous embête, osez penser ce que ce sera à 15 ans ! Jacques et Véronique ayant essayé (avec succès) de nous soudoyer en recevant un rédacteur (Emmanuel, Bertrand étant retenu par une interview) chez eux, nous n’allons pas être trop langue de vipère en ce qui les concerne, idem pour Axel et Patricia qui étaient là aussi. Sachez pourtant qu’il y a beaucoup à dire, que nous avons d’ailleurs dit énÔrmément de mal de tous. Vous pouvez toujours avoir certaines informations mais ce sera cher… (RIB 50019771). Méat coule pas. Dans le dernier journal, on parlait de Lulu (vous savez bien, le terme générique voulant dire tout le monde), en fait c’est réservé, trade mark et copyright. ‘Lulu’ ©®™ voulant dire ‘Jacques’ ou ‘Pierre’ et ‘p'tit Lulu’ ©®™ se traduisant en ‘Baptiste’. Une petite idée de ce que vous achèteriez en nous soudoyant : Baptiste (petit Lulu ©®™ donc) s’amuse à embrasser les culottes des filles. A propos de ce garnement, une idée reçue (au moins par certains) à battre en brèche : non, ce n’est pas Pierre-la-terreur et Baptiste-l’-angelot. Pierre est bien le plus calme des deux, et de très loin. Coninck. Canon-lèsvignoci Ouane maure beurrsse daie ! Le 16 mars 1994 naquis Lætitia Dont (du ciel pour Colette qui réclamait à corps et à cris une petite-fille) avec des petits yeux à faire craquer tous les garçons de sa classe. Sur ses parents aussi d’ailleurs il y a plein de chose à dire. Allez pour vous montrer ma bonne foi, je vous lâche une info : le 30 juin, ils fêteront leurs dix ans de mariage ! Alexandre va encore avoir l’occasion de traiter son jeune papa de vieux schnock ! Chantal veille sur son frère (à la Nappa) qui pour un peu se serait fait enlever l’estomac : ça se passe comme ça là-bas, pour une péritonite on enlève tout ce qui a autour… Mais qu’on se rassure, l’estomac est toujours en place ! Aux dernières nouvelles François et Caroline se mariaient. A celles-ci, monsieur et madame de Coninck viennent de passer leur internat. Je dis leur car même si seule Caroline était devant sa feuille le D day (ou le p’tit Roger…) ce fut un dur et acharné travail d’équipe ! Ils sont maintenant en vacances ; vous voyez bien que ça n’arrive pas qu’aux autres ! Maurange. Caudéran Guadeloupe-Bassin-GuadeloupeBassin-Guadeloupe (connaissez-vous le secret du mouvement perpétuel ?). Parfois Bordeaux mais le moins souvent possible. Pascale, toujours étudiante, bosse ses examens afin de faire «comme maman» “Que veux-tu faire quand tu seras grande ?”. “Je veux faire comme ma maman.” Anne offre toujours ses services à Jean-François et Vincent qui a fini par terminer son service militaire aide Patrick à partir en Guadeloupe. Ça boom du côté des jumelles ; Julie est en passe de déloger Mary (finaliste à Roland-Garros). Elle commence sa longue route en gagnant ses matches 9/2 grâce à des coups fabuleux, des services «par le haut» et aux encouragements nourris de Charlotte qui, afin de se consacrer à la carrière de sa sœur, a temporairement arrêté la gymnastique. Laffort. Bordeaux Jean-François, toujours en vadrouille a laissé sous bonne garde Françoise : Marine se charge de veiller sur sa môman. Quant aux autres, ça se passe plutôt bien, jugez vous-même : Lucus se trouve en Angleterre où il fait semblant d’avoir un stage de fin d’année. Ce stage se termine le deuxième ou le troisième week-end de Juillet. Carole est partie se balader en Espagne pendant quinze jours ! Les examens se sont bien passés, seule une épreuve sur une bonne centaine est incertaine… Hennion, Elby, Campion,… Voici un cas typique de ce qui devrait se généraliser : tout un côté de la famille est perdu, ce ne sont pas des noms qui «sounds»… On peut alors préciser de quel côté il s’agit, ou encore mieux, donner un bout d’arbre généalogique. Ici il y aura un peu des deux. Elby : Paul est un cousin germain de Dédette Laffort, de Pierre Elby et de Jean Campion. Alfred Elby étant son papa, Marguerite, la maman de Dédette, Henri le père de Pierre et Gabrielle la mère de Jean.. Alfred s’est marié avec Tante Germaine, fille de Célestin Hennion. C’est même un petit peu plus compliqué pour la branche Campion dont duquel qu’il serait question de ont-dits au sujet de mariage cousins- cousins, mais pour ça, il faut payer un peu plus… Une généalogie envoyée par Luc Turner et commençant à Jean Campion vous attend un petit plus loin. La réunion ‘visite guidée de l’Opéra par Oncle Paul’ du 11 juin (1994 pour les paumés qui se le demanderaient) a été l’occasion de se revoir un peu tous et de … quêter des articles! Ça a fonctionné et c’est une des raisons de la taille de journal. Voici d’ailleurs, pour vous et en deuxième exclusivité, des nouvelles d’un illustre grand-père, arrière-grandpère, quadrisaïeule voire pentasaïeule, j’ai nommé (tambours, trompettes et silences religieux) : Célestin Hennion par un petit-fils. Le Monde (extrait du samedi 7 Mai 1994) CELESTIN HENNION (1862-1915) Mon Général Messieurs les Généraux Monsieur le Président Monsieur le Maire Mesdames, Messieurs Laissez-moi vous dire, tout d’abord, combien j’ai été honoré, touché, et, bien plus encore, ému lorsque Monsieur CHARLES FIERAIN, maire de GOMMEGNIES m’a demandé de faire un exposé sur l’œuvre de CELESTIN HENNION, mon grand-père, ici même dans son Gommegnies natal, devant vous, aréopage éminemment distingué. Je n’ai malheureusement pas connu mon grandpère. Mais je vis encore dans le souvenir du « sillon » qu’il a tracé, sillon d’intelligence dans le grand sens du terme, c’est-à-dire, sillon de bon sens, sillon d’esprit organisateur, sillon de clarté, de lucidité, sillon d’instinct… Après tant d’années écoulées, (prés de quatrevingts ans) CELESTIN HENNION habite toujours nos mémoires. Pourquoi ? Parce que l’œuvre policière qu’il a laissée demeure encore NOVATRICE, HUMANITAIRE. REFORMATRICE, CELESTIN HENNION naquit le 8 Septembre 1862 à CARNOY, hameau de GOMMEGNIES, et décéda à SAINTE-ADRESSE, prés Le Hâvre le 14 Mars 1915, à l’âge de cinquante-trois ans. Il aurait pu faire sien l’apophtegme de Nadia Boulanger « l’aventure merveilleuse d’être vivant », car CELESTIN HENNION, non seulement ne se contenta pas uniquement de « vivre » mais fit de chaque minute de cette « aventure » une construction intelligente et utile. La lumineuse phrase de Jean Mermoz: « Je me demande comment l’on peut vivre sans enthousiasme ni passion » eut pu être la sienne, car il eut la passion de “sa” police à laquelle il donna son enthousiasme inépuisable. Issu d’une famille modeste, son père GHISLAIN HENNION et sa mère née MARIE BASILAIRE, le mirent en pension, après quelques années passées à l’Ecole de Carnoy, école qui existe toujours dans la rue qui porte aujourd’hui son nom, au Collège de LE QUESNOY. Il n’aima pas, s’enfuit et regagna, à pied, “sa” maison. Sa mère, maîtresse femme, sans un mot de reproche, mais le coeur serré, ramena l’enfant au Collège. Le petit Célestin, futur Chef de la Police française, n’oublia jamais cette leçon. Il demeura dans ce collège de 1871 à 1879. 1880-1885 - Fit la Campagne de Tunisie comme engagé volontaire. Il avait dix-huit ans. 1886 Quitta l’armée. Devint secrétaire particulier du sous-préfet de Reims, Eugène Fosse. Très rapidement il fut attaché au Ministère de l’Intérieur et entra à la Sûreté Générale comme Inspecteur Spécial adjoint à la Police des Chemins de Fer. Il avait vingt-quatre ans. 1889-1892 - Fut nommé Commissaire de Police à VERDUN où il demeura deux ans. 1892 - Il réintégra la “Spéciale” à Paris-Ouest (Gare Montparnasse). Puis on lui confia le “Service Pari Mutuel” à la Direction de la Sûreté où, avec son esprit ordonné, pratique, il constata l’inefficacité de tous les Services : - manque de liaison de la Sûreté Générale avec les Commissariats municipaux. - Insuffisance de sa représentation en province. - Lourdeur de la machine administrative. - Non-qualification du personnel. - Impropriété des locaux extrêmement insalubres. - Manque de moyens à tous les niveaux. CELESTIN HENNION décida alors d’entreprendre une refonte totale de la Police. Ce qu’il prévoyait, c’était: diviser le travail — coordonner les efforts— procéder à une attribution plus rationnelle des responsabilités. Il organisa les services d’archives et de renseignements, réalisa l’unification des traitements, lutta contre l’arbitraire en instaurant le tableau d’avancement et le conseil de discipline fonda l’Amicale de Prévoyance des Cadres de la Police Nationale Cette réussite lui valut de succéder à LEPINE le 31Mars 1913 devenant le Préfet de Police de Paris. Il reçut aussitôt mission de réorganiser la Police Judiciaire de la Préfecture de Police sur le modèle des Brigades Mobiles de la Sûreté Générale, Brigades dont il sera parlé plus loin. Selon ses propres termes, CELESTIN HENNION voulait: UNE POLICE PREVENTIVE PLUS QUE REPRESSIVE, AU SERVICE DU PUBLIC. En Novembre 1914 il fut nommé COMMISSAIRE GENERAL DU GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE AUPRES DU GOUVERNEMENT BELGE REFUGIE A SAINTE-ADRESSE. La raison de cette nomination était dûe, en partie, à la “maladie qui ne pardonnait pas à l’époque” et qui eut raison de lui le 14 Mars 1915. Les funérailles Nationales eurent lieu à SainteAdresse le 16 Mars. CELESTIN HENNION avait précisé sa pensée dans des rapports officiels qui proposaient des solutions réfléchies. Ces rapports démontraient avec clarté la nécessité et l’urgence d’une complète réorganisation de la police face au développement de la criminalité… Le Président du Conseil de l’époque, qui devint par la suite Ministre de l’Intérieur, fut impressionné par les vues intelligentes, positives que contenaient ces rapports. Il convoqua CELESTIN HENNION en fit un de ses proches collaborateurs et, de surcroît, un ami. Cet homme qui comprit tout de suite la valeur de CELESTIN HENNION n’était autre que GEORGES CLEMENCEAU. LE 28 JANVIER 1907 CELESTIN HENNION FUT NOMME DIRECTEUR DE LA SURETE GENERALE (il avait 45 ans) poste qu’il occupa jusqu’en 1913. C’était là rompre avec toutes les traditions qui voulaient que ce poste soit toujours réservé à des Préfets. Permettez-moi de vous lire maintenant un texte de CELESTIN HENNION qui vous éclairera mieux que tout discours sur la pensée organisée et lucide du grand serviteur de l’Etat qu’il fut. : «La pratique de l’autorité est toujours une chose délicate: elle l’est plus encore dans un régime démocratique qui, par sa nature même, par les satisfactions qu’il accorde aux instincts de liberté si profonds chez l’homme, l’entraîne plus facilement hors des limites du respect nécessaire à la liberté d’autrui. La fonction de Police est presque tout entière dans la contrainte imposée à la liberté des uns au profit de la liberté des autres… On semble trouver naturel, alors qu'on exige un stage assez long de la plupart des employés de l'Etat, même quand leur emploi comporte plus de routine que d'initiative, de jeter d'emblée dans les fonctions de police qui touchent à tous les intérêts matériels et moraux du pays, des hommes jeunes dont le cerveau et la conscience n'ont été scrutés que par un examen puéril, permettant à peine de se rendre compte de leurs connaissances premières. Sans aucune direction effective, guidés par leur seule inspiration, ces nouveaux magistrats devront suffire à la lutte qu'ils engagent dés le jour de leur nomination, contre les mauvais instincts de l'humanité. ET CES HOMMES QUI DISPOSERONT SOUVENT DES INTERETS DE LA LIBERTE, DE L'HONNEUR DE LEURS CONCITOYENS QUI SONT APPELES A.LES CONSEILLER ET A LES PUNIR, DEVRONT TOUT PUISER DANS LEUR PROPRE FOND.C'EST POURQUOI L’INSTITUTION D’UNE ECOLE DE POLICE S’IMPOSE.» Cette Ecole de Police fut créée et inaugurée par lui-même, devenu Préfet de Police de Paris, le 25 MAI 1914. La promotion de 1964 porte le nom "CELESTIN HENNION". L'esprit novateur de CELESTIN HENNION lui fit inscrire dans le programme de "son" Ecole de Police l'apprentissage et l’utilisation du "cinématographe" invention toute récente qui devait transformer le monde. Ayant reçu de nombreuses plaintes de Parisiens sur le comportement des policiers à leur égard, CELESTIN HENNION avait tenu à "aller sur le terrain" expérimenter par des "visites-surprises" ainsi qu'il les appelait, l'attitude des Commissariats de la Capitale, choisis au hasard. Il se présentait donc en simple particulier. A l'époque la photographie du Directeur de la Sûreté Générale, puis celle du Préfet de Police, était peu diffusée dans les journaux. N'étant pas reconnu, il se faisait souvent rabrouer très vertement, ce qui le renforça dans son idée d’école de Police où l'on enseignerait aussi les "bonnes manières" ou, tout au moins, les manières de la plus élémentaire politesse. En outre, ayant à coeur la protection tous azimuts de ses Parisiens dans leur vie quotidienne, il établit l'usage obligatoire des "protége-pointes" dans les lieux publics pour les coiffures des dames. En effet, l'époque voulait que les femmes portassent des chapeaux "Grandes Eaux de Versailles" comme dit Colette, maintenus en place par de longues et périlleuses aiguilles aux blessures perfides. Un autre sujet, considérable, retint l'attention de CELESTIN HENNION : "En 1906, 6.5% seulement de la circulation parisienne était motorisée. Le nombre d'automobiles (4.077) avait doublé par rapport à l'année précédente. Le reste du trafic était composé de véhicules attelés, de tramways tirés par des chevaux ou à moteur, de bicyclettes. De 1891 à 1906 le nombre des véhicules s'était accru de 45%". CELESTIN HENNION s'inquiéta de l'anarchie qui régnait dans la circulation de ces véhicules, notamment place Saint-Augustin. En effet, cette vaste place aux multiples tentacules, était la proie d'embouteillages ("encombrements", comme on disait à l'époque) majeurs, annonciateurs de ceux que nous connaissons aujourd'hui. Il se rendit à Londres étudier la manière dont la circulation y était organisée, notamment à Piccadilly-Circus, et en revint avec la solution du sens giratoire qu'il appliqua place Saint-Augustin. Il prouvait là son bon sens: "Comment font les autres? …Allons voir …Adaptons". Ce fut aussi lui qui institua, dans les années 1897, le "stationnement axial" pour les "Fiacres automobiles" dans les artères les plus larges de la Capitale, libérant ainsi les bordures de trottoirs au stationnement des véhicules particuliers, ce qui est toujours d'actualité de nos jours. Blond, grand (1m82), d’aspect robuste, la physionomie ouverte, les yeux bleus, francs et doux, le front large, il était l'affabilité même, mais pouvait devenir autoritaire et enveloppant comme une flamme qui réchauffe ou consume. Excellent homme de famille, il envoya ses trois enfants dans des "Collèges" en Angleterre, car il avait anticipé la formidable explosion mondiale de la langue anglaise. Il leur fit aussi apprendre le piano. Homme de culture, il avait dans sa maison de Carnoy une importante bibliothèque d'oeuvres classiques et contemporaines: Barrés - Péguy Gabriel d'Annunzio parmi tant d'autres. Il aimait le théâtre. Un de ses meilleurs amis était le célèbre comédien de l'époque: Firmin Gémier, et il aida l'écrivain gommegnion RENE JOUGLET à débuter à Paris. Il connaissait Anatole France et sa légendaire égérie Madame de Caillavet au "salon" obligatoire, sans laquelle Anatole France, le "paresseux" comme il se décrivait lui-même, n’aurait jamais écrit. Il connaissait naturellement la comtesse de Noailles "l'éternelle mourante" au verbe insatiable, tyrannique et précieux. Elle disait des choses inattendues, telles que: «Admirez mon pétase » (vulgaire chapeau à larges bords) ou en encore « je suis accrochée à mon téléphone comme Roland à son olifant». Soucieux des deniers de l'Etat, sa voiture de fonction était uniquement réservée aux déplacements officiels. Ni son épouse, encore moins ses enfants, ne pouvaient l'utiliser pour des raisons personnelles. CELESTIN HENNION était un homme du Nord "sérieux, chaleureux, homme de devoir, de respect d'autrui et de soimême, mais aussi, comme tout homme du Nord, aimant rire, bien manger, vivre." Ce qu'il avait voulu, une POLICE PREVENTIVE PLUS QUE REPRESSIVE AU SERVICE DU PUBLIC réussit pleinement, au point que, lors des manifestations d'étudiants, ceux-ci scandaient leur marche au rythme de : "A CHIC HENNION…A CHIC HENNION…A CHIC…" Tous ces jeunes aimaient bien leur Préfet de Police, qui récoltait ainsi le bon grain semé par le Directeur de la Sûreté Générale qu’il avait été. Il nous faut aborder maintenant ce qui demeure l'œuvre probablement la plus importante mais certainement la plus spectaculaire de sa carrière : les Brigades Mobiles, plus connues sous le nom "Brigades du Tigre". De 1896 à 1907, des bandes de malfaiteurs parfaitement organisées opéraient dans toute la France, et principalement dans les départements du Nord, du Pas-de-Calais et de la Somme, suivant l'exemple du célèbre brigand MONEUSE qui "brûlait" les fermiers dans les années 1795 et qui perpétra un crime épouvantable à "La Houlette" petite maison située non loin de ROISIN, donc tout près d’ici. Parmi ces multiples bandes il faut citer les "chauffeurs de la Drôme" ainsi nommés parce qu'ils opéraient… dans la Drôme et brûlaient aussi les pieds de leurs victimes afin de leur arracher, sous la torture,1'endroit où leur argent était caché. Citons encore les "Bandits d'Abbeville" et la plus célèbre d'entre toutes: la "Bande à Pollet" dite aussi la "Bande des bandits d'Hazebrouck". Pollet, trente ans, chef incontesté de cent bandits, hommes et femmes, terrorisa les régions du Nord de 1901 à 1905. Les méfaits de la "Bande à Pollet" furent brusquement interrompus "non par l'organisation d’une forte police judiciaire, mais sur dénonciation d'un des bandits". C'est en étudiant les rapports concernant cette affaire que Célestin Hennion constata que : - les Maires qui avaient un rôle important, notamment dans les constatations ne savaient pas remplir ce rôle. - la police locale était mal recrutée, peu instruite. - les gendarmes savaient à peine écrire. - toutes les polices étaient sédentaires, ce que l’on peut appeler les "Brigades Sédentaires", parce que dépourvues de moyens de locomotion. Par contre les bandits n'hésitaient pas à prendre le train, à franchir les frontières, ce qui leur procurait l'impunité totale (la cohésion des polices départementales et étrangères était inexistante) ce qui fit GERMER DANS L'ESPRIT DE CELESTIN HENNION CE CONCEPT DE CE QUI DEVINT EN 1923 "L'INTERPOL", c'est à dire, d'abord la suppression des frontières administratives départementales, et, bien plus puissante encore, la suppression des frontières étrangères. Ces deux faits permettaient à la police française de poursuivre les criminels sur la totalité du territoire métropolitain ainsi que dans les pays étrangers. Il apparaissait donc urgent de créer une Police nouvelle, moderne, technique, assurant la liaison entre les Services, "SUSCEPTIBLES DE SE DEPLACER AUSSI RAPIDEMENT QUE LES MALFAITEURS, CAPABLE D'AVOIR A SA DISPOSITION DES FICHIERS A JOUR, DES ARCHIVES, UN SERVICE DACTYLOCOSPIQUE (procédé d'identification des personnes par les empreintes digitales) proche de l’anthropométrie d’Alphonse Bertollon, méthode qui consiste à identifier les criminels par la description du corps humain (mesures, photographies, empreintes digitales). Afin d'anéantir ces différentes bandes qui exerçaient leurs ravages principalement dans le Nord, CELESTIN HENINNION créa, logiquement, la première de ses "Brigades Mobiles" à LILLE et la confia au Commissaire JULES SEBILLE. Les locaux furent installés, non moins logiquement, puisque les bandits se déplaçaient beaucoup en train, dans la Gare de LILLE "ce qui facilitait le contrôle des inspecteurs allant et venant de nuit et de jour". Cette Brigade n'avait à sa disposition qu'une seule automobile, une torpédo, glaciale en hiver. Grande, l'Administration fournit des peaux de biques à ses fonctionnaires". "LE 30 DECEMBRE 1907, DOUZE BRIGADES MOBILES FURENT REPARTIES SUR L'ENSEMBLE DU TERRITOIRE METROPOLITAIN, AFIN DE SECONDER L'AUTORITE JUDICIAIRE DANS LA RECHERCHE ET LA REPRESSION DES CRIMES ET DELITS DE DROIT COMMUN." Le 31 Août 1911, les quinze Brigade Mobiles (elles étaient passées de douze à quinze) se partageant les départements, furent définitivement mises en place. Elles avaient à leur disposition dix-huit automobiles dont les toits comportaient un dispositif permettant de fixer les discrètes bicyclettes que les "mobilards" (enquêteurs) utilisaient de préférence aux automobiles qui, à l'époque, "ameutaient" les populations. EN CINQ ANS, LES QUINZE BRIGADES MOBILES, FORTES SEULEMENT DE CENT HOMMES PROCEDERENT A TROIS MILLE ARRESTATIONS. CLEMENCEAU qui suivait avec attention le travail de CELESTIN HENNION convoqua celuici, et, dans une entrevue privée, LUI OFFRIT LES POUVOIRS ET LE TITRE DE MINISTRE DE LA POLICE ce qui aurait fait de CELESTIN HENNION le maître absolu aux pouvoirs pratiquement illimités de la Police et de la Gendarmerie française. CELESTIN HENNION REFUSA se remémorant la dictature que FOUCHE avait exercée en tant que tel de 1795 à 1810 se mêlant" ainsi que le disait TALLEYRAND "de ce qui le regarde et ensuite de ce qui ne le regarde pas». CELESTIN HENNION savait que lui-même n'outrepasserait pas ces pouvoirs "vertigineux" dort il serait l'unique détenteur, sous le contrôle toutefois du Ministre de l'Intérieur. Il craignait que certains de ses successeurs ne fussent tentés de le faire. Il répondit à CLEMENCEAU : "LA FASCINATION DU POUVOIR EST GRISANTE, MAIS BIEN PLUS ENCORE EST CELLE "DES POUVOIRS' par conséquent extrêmement dangereuse. De par ses fonctions, CELESTIN HENNION fut amené à participer à différentes "Affaires" tant politiques (Général BOULANGER) qu’étonnantes (l'étonnantissime Affaire Humbert) ainsi qu'à l’Affaire DREYFUS dans laquelle, en tant que Commissaire Principal il ne joua que son rôle de policier. Le 2 Juin 1899 le journal "Le Petit Parisien" publia les propos de VIGUIE, Directeur de la Sûreté Générale, chargé de l’accueil d’ALFRED DREYFUS revenant de l’île du Diable pour la révision de son procès: "Nous sommes en France cinq personnes sachant où et quand arrivera DREYFUS. Nous avons promis le secret le plus absolu ; nous ne trahirons pas notre serment". CELESTIN HENNION était une de ces cinq personnes. "Rendez-vous avait été pris entre elles de se retrouver le 3O Juin (1899) à 7h. du matin à Quiberon avec un landau à deux chevaux, pour aller à Port Haliguen où devait débarquer le Capitaine DREYFUS que le croiseur "Sfax" était allé prendre à l’île du Diable, En raison, comme il a été dit plus haut, de l’ouverture du second procès de DREYFUS qui devait avoir lieu à Rennes à la mi-Juillet. "Le Président du Conseil WALDECK-ROUSSEAU tenait essentiellement à ce que l'arrivée à Rennes demeura secrète et surtout fut exempte de tout incident", car la presse du monde entier serait là. Le débarquement de DREYFUS à Port Haliguen à neuf heures précises du soir ne put avoir lieu, CAR LE PORT ETAIT A SEC"; celui qui avait réglé le débarquement avait oublié de s'enquérir de l'heure de la marée" ; ce qui ne fut pas mentionné, bien évidemment, dans les journaux. "On attribua au mauvais temps ce retard anormal. DREYFUS avait été transféré sur un navire de plus faible tonnage, le "Caudan". Après quatre heures d'attente dans la pluie et le vent, DREYFUS arriva dans un simple canot dans la nuit du 30 Juin au 1er Juillet 1899", le port ne pouvant accepter un plus important bâtiment". De Port Haliguen DREYFUS et ses gardiens gagnèrent Quiberon où attendait le train spécial qui devait les emmener à Rennes. Prévoyant une foule considérable comprenant, bien entendu les journalistes venus du monde entier, attendant devant la gare de Rennes, on arrêta le train à un passage à niveau situé à cinq kilomètres de Rennes. CELESTIN HENNION (Commissaire Principal) fit monter le capitaine DREYFUS (l'arrêt de révision du procès lui avait restitué son grade) dans le landau de M. DUREAULT, Préfet d’Ille-et-Vilaine. Lui-même prit place avec M. Viguié (Directeur de la Sûreté Générale) et M. Duréault dans le break militaire qu'aurait dû occuper DREYFUS. Des gendarmes à cheval escortaient ostensiblement ce break, affirmant la présence de DREYFUS dans le véhicule. La supercherie réussit pleinement. La voiture du Préfet dans laquelle se trouvait DREYFUS pénétra sans encombre dans la cour de la caserne choisie pour lui. La surprise fut grande et le désappointement parmi la foule et les journalistes lorsque le train entra en gare de Rennes… sans DREYFUS, et que le break qui aurait dû contenir DREYFUS s'immobilisa devant la gare… sans DREYFUS. Toutefois, aucun débordement de colère ne se produisit. Je ne voudrais abuser plus longtemps de votre mansuétude, mais, en conclusion de cette causerie, permettez-moi de retracer "L'œuvre" à laquelle CELESTIN HENNION voua son existence: Durant les six ans et deux mois qu'il passa à la tête de la Direction Générale, CELESTIN HENNION mit en marche: - Les Brigades Mobiles - Institua le contrôle général des recherches judiciaires, future Direction Centrale de la police judiciaire - Institua le contrôle général des services de police administrative, future direction centrale des Renseignements Généraux - Institua le fichier central et l'identité judiciaire - Institua le Service des Voyages Officiels chargé de la protection du Chef de l'Etat dans ses déplacements et de celle des personnalités étrangères en visite en France - Institua le Commissariat spécial de l'Elysée appelé à veiller en permanence sur la sécurité du Président de la République - Inspira la rédaction du décret du 26 février 1911, qui porta constitution du corps des contrôleurs Généraux, créés le 28 Décembre 1885, supprimé en 1907. - Réorganisa le service des Courses et des Jeux - Assimila des inspecteurs de police spéciale aux inspecteurs des Brigades Mobiles - Nomma un chef de service des Archives, chargé de centraliser et contrôler les renseignements fournis par ses différents collègues - Réalisa l'unification des traitements - Lutta contre l'arbitraire en instaurant le tableau d'avancement et le Conseil de Discipline - Fonda l’Amicale de Prévoyance de Cadres de la Police Nationale" En un an et demi à La préfecture de Police, CELESTIN HENNION accomplit l'œuvre suivante: "Le 1er Août, par décret, Hennion avait obtenu la transformation des Services de Sûreté en Direction de Police Judiciaire, au sein de laquelle il regroupa, à la manière des Brigades Mobiles, des spécialistes de recherche criminelle. La formation de ce corps libéra des tâches de police judiciaire les commissariats de quartier qui purent se consacrer exclusivement à des taches administratives dans l'intérêt du public. Ils furent toutefois tenus d'adresser à la nouvelle direction les renseignements qui leur parvenaient sur l'activité de la pègre. Puis, dans le même souci de spécialisation, Hennion créa la "Mondaine", brigade rattachée à la direction de la police judiciaire, chargée des affaires de moeurs, de la prostitution et du trafic des stupéfiants. Il mit également sur pied, à l'exemple de la Sûreté Générale , un service de police administrative compétent pour la réglementation du séjour des étrangers, la surveillance des courses et des jeux, et la recherche des informations politiques. Il institua enfin le contrôle général qui veilla an bon fonctionnement de l'ensemble". En huit ans (six ans et deux mois à la Direction de la Sûreté Générale plus un an et demi en tant que Préfet de Police, CELESTIN HENNION CREA DIX-NEUF SERVICES, fondant ainsi ce que l'on a appelé depuis la "Police Moderne": NOVATRICE RENOVATRICE HUMANITAIRE. Dans la séance du 2 Juin 1913 du Conseil Municipal de Paris, CELESTIN HENNION déclarait: "On vous a dit que j'étais un policier politique, nul fonctionnaire ne s'est, moins que moi, mêlé à la politique. La vérité c'est que je suis un homme épris d'harmonie et passionné de justice ; je crois que dans une société organisée, il ne saurait y avoir de bonheur individuel pas plus que de bonheur collectif, en dehors de ces deux termes (harmonie - justice), et c'est à leur réalisation que je mettrai toutes mes forces et aussi tout mon coeur". Ceci était un acte de vérité et une réponse directe à ceux qui le calomniaient bassement, et qui, tristement pour eux "ne respiraient pas à la même hauteur" que lui. Laissez-moi vous remercier au nom de la Famille de CELESTIN HENNION d'avoir bien voulu écouter avec tant de patience ce que j’avais à vous dire sur un homme dont l'œuvre habite toujours nos mémoires. Ses descendants ont le désir profond de faire donner son nom à une artère de Paris. Nous y travaillons avec détermination et opiniâtreté depuis plus de six ans, et nous DEVONS réussir. Encore merci Paul Elby-Hennion Gommegnies, le Samedi 7 Mai 1994 PARIS, VILLE OUVERTE "Le 2 Septembre 1914, LAURENT (le nouveau Préfet de Police qui remplaçait Célestin Hennion révoqué de la veille par ordre de Galliéni) avait accompagné Louis Malvy (Ministre de l'Intérieur) au train qui transportait à Bordeaux le Président de la République Raymond Poincaré et les membres du gouvernement de René Viviani. Dans la nuit qui enveloppait la Gare d'Orsay, Malvy, penché à la portière du wagon lui avait crié: "Je vous confie tous les pouvoirs". En fait, c'est Galliéni qui les détenait depuis le 26 Août (1914) en sa qualité de gouverneur militaire… Très intransigeant, le général n'acceptait aucune critique, ni aucune suggestion, et força même JOFFRE à approuver son plan de défense de la capitale. Aussi, quand CELESTIN HENNION, qui remplaçait Lépine à la Préfecture depuis le 29 Mars 1913, se permit de discuter ses ordres, il l'accusa de défaitisme et le fit révoquer le 1er Septembre 1914. Cette décision était non seulement injuste, mais insensée, car la Préfecture de Police se trouva subitement privée du seul haut fonctionnaire capable de la ranimer". Georges-André Euloge "Histoire de la Police des origines à 1940) Je tiens de ma Mère, fille de CELESTIN HENNION, que Galliéni, Gouverneur militaire de Paris (le Préfet de Police était par conséquent sous ses ordres) voulait réquisitionner la plus grande partie de la police parisienne afin de l'opposer, avec les troupes, aux Allemands, le cas échéant. CELESTIN HENNION fit remarquer à Galliéni, qu’avec sa police réduite considérablement, il lui serait presque impossible de maintenir l'ordre dans Paris en cas de désordres importants. Galliéni eut gain de cause, et CELESTIN HENNION fut remplacé à la Préfecture de Police par Emile Laurent, le 2 Septembre 1914. Descendance de Jean Campion … Jean Campion 19 Oct. 1902 15 Août 1972 Paula Respeliers 1er Mai 1911 3 Sept. 1986 Monique Campion 11 Juin 1933 Frédéric Turner 10 Fév. 55 Jean Turner Harry Turner 18 Août 1930 Claire Hudelaine 14 Août 53 Mariage 19 Avril 54 Divorce (Avr. 1964) Mariés le 16 Juin 1984 Guy Turner 11 Nov. 86 Excellent mois… Second mariage Jean Maissant 22 Fév.. 71 Divorce Sept 1990 S.D. Katalina Turner 25 Oct. 57 J-Michel Pédespan 30 Sept 57 Mariés le 25 Juin 88 Divorcés en Août 91 Luc Turner 25 Juillet 61 Anne-Laurence Gautier 11 Déc. 63 5 Mai 85 Léa Turner 27 Avril 88 Marie Pédespan 8 Jan 89 Jeanne Pédespan 25 Déc. 90 Bientôt Vivent dans le péché Alfred Campion 18 Mai 35 Christine Campion 11 Jan 60 Elsa Epron 24 Oct. 90 Elisabeth Souliac 8 Fév.. 39 Jean-Luc Epron 25 Nov. 58 Louis Epron 27 Jan 92 Vivent dans le péché Virginie Campion 13 Jan 61 Zoé Brueder 28 Déc. 86 Nicolas Brueder 25 Oct. 55 Mariés le 29 Sept. 84 Divorcés en Sept 87 Patrice de Turenne 5 Août 54 Garance de Turenne 16 Fév. 93 Mariés le 1er Oct. 94 Thierry (Chris) Campion 1er Sept 63 Ghislaine Dubos 10 Juin 59 Cléo Campion 17 Juin 89 Mariés le 3 Sept 92 Divorcés en Fév. 93 Vincent Campion 27 Oct. 65 Estelle Lenôtre 31 Juill. 65 José Campion 16 Mai 38 Maia Mc Carthy 28 Avril 70 Michael Mc Carthy 27 Avril 41 Morgane Mc Carthy 7 Nov. 74 Nicolas Mc Carthy 3 Nov. 77 Bientôt Et maintenant que nous nous connaissons (vous habitez chez vos parents?), des nouvelles : Claire et Frédéric Turner, restent fidèle à Herbeville puisqu’ils viennent d’emménager dans une maison neuve dans le bas du village, au pré de la Croix pour ceux qui se souviennent des chasses… Et donc une nouvelle adresse : Missieu et midam Turner La Croix 78580 Herbeville Il est question d’une pendaison de crémaillère familiale (pas plus de 1000 personnes) et dansante en Septembre s’ils ont survécu à l’été d’emménagement. Quelques naissances à venir. Alors que Anne-Laurence Gautier et Luc Turner auront le plaisir de vous annoncer la venue d’une fille au mois de juillet, Virginie Campion et Patrick de Turenne prévoient un compagnon de jeu pour le début du mois d’Août. Quant à Estelle Lenôtre et Vincent Campion, ils attendent un petit de voir comment tout ça se met en place pour se jeter à leur tour à l’eau en novembre. ✬❅▲ ❐❅▼❉▼▲ ❄❅ ✰❒ ➩❃ ❈❁❃ Point n’est besoin de traduire, n’est-ce pas… Et voilà, on va dépouiller ensemble, déshabiller tout les petits inhabitants (je me venge car, écrit, personne ne peut entendre le déplorable accent made in Périgueux) de la planète Biraben. Lorsque l'on étudie sa structure sociale on aperçoit tout en haut une espèce d'Ours plutôt bien léché, j'ai nommé Sir James également connu sous l'appellation Aïta ou sous le réducteur modeste de Père… de Coco chien et surtout célèbre pour son enseignement de mots d'alouettes basques… James Biraben Avant de disserter de futilités, je souhaite rappeler qu'il y a un an disparaissait Tita. Nous pensons toujours à toi, Tita et mesurons tout l'espace que tu occupais par les souvenirs que tu nous a laissés. Préchac se porte plutôt bien et prend sa parure d'été, prêt à affronter les hordes hurlantes des petits enfants toujours pas devenus grands encadrés par leurs terribles tantes qui déjà affûtent leurs armes afin de leur en faire bouffer : de l'herbe et des vertes et des pas mûres évidemment. Finalement, Mesdames Messieurs soucieux de votre embonpoint, vous devriez venir passer quelques jours en ces hostiles contrées, afin de perdre votre bedaine à charrier des pierres (activité ne connaissant pas de limite ni d'horaire, les surfaces de jeux étant ouvertes jour et nuit), à bâtir des mondes meilleurs, à vous rincer l'oeil dans la piscine et à jouer les Mary (Pierce évidemment, pas Poppins, Patates!) sur le pourtour moussu (et non pas cossu) du tennis (contrepèterie, si si). Une fois l'approche seigneuriale accomplie (et de fort belle manière, si si j'insiste beaucoup sur le caractère fabuleux, génial et terriblement gagouillesque de cette approche), on distingue un magma de petits (non maman, c'est pas pour toi que je dis ça) bonshommes à poil dur (tu vois que c'était pas pour toi, enfin j'espère) que nous allons maintenant étudier plus attentivement Famille Biche et Dominique Eux ils ont trouvé le truc pour pas partir l'été (c'est certainement pour économiser un peu d'argent) ou plutôt Madame Mère a trouvé le truc pour pas partir en bateau et nous, nous comprenons enfin pourquoi notre chère et tendre maman ne nous a pas envoyé à la DASS : vous ne voulez pas partir en bateau ? Mariez donc vos enfants !!! Recette éculée diraient certains, mais rendez-vous compte : ça marche. Evidemment ce sont les enfants qui trinquent. Mais non mes chères et adorables actuelle et future belles sœurs, c'est pas vous que vous êtes visées, c'est nous car on peut plus aller sur le bateau et se lever à 6 heures (marée oblige), regarder Le Capitaine dormir (sécurité oblige) sans pouvoir y arriver nous-mêmes (ronflements du susnommé dont je ne nommerai pas le nom pour ne pas le désobliger car un fils ne doit jamais se moquer de son père). Finies les vacances de rêve sur le yacht treize marins. Sinon Patrick et Alexa ont emménagé dans leur garçonnière bordelaise. Ils ont donné à cette occasion une grande méga-fête dont notre envoyée spéciale Sandra dont le nom professionnel est Gagouille et le nom intime (messieurs cette information de première main vient tout droit de mes archives personnelles enfermées dans mon coffre fort. Et c'est vrai en plus ! ) : Candy !!!) a dit le plus grand bien même s'il paraît que ça manquait de cousins. Dégonflés, flemmards ! Flemmards, vous avez dit flemmards? Vous êtes tombés sur la case flemmard ! Horreur, malheur, c'est la salsa du démon: Retour au titre de la page 1 et relisez le tout en levant la main droite ( pour les récidivistes la jambe droite et pour les multirécidivistes -Mais que fait Pasqua?- en fermant les 2 yeux. Pour les multi-multi récidivistes qui ne peuvent être que de pervers tricheurs, et bien rien di tout. Na ! Ca leur apprendra à jouer au plus fin avec le Dereche) Monsieur et Madame Laffort Junior (mais moins junior que le moins junior de tous les juniors ; mais junior quand même et tout de même, même si l'appellation junior est à prendre dans son sens élargi et à la mode des banlieues… vont donc bien et attendent avec impatience le mois d'Août car c'est leur anniversaire à tous les deux (Bordeaux 33.000 pour les cadeaux) et car ils vont en voyage de noces bis (on prend les mêmes et on recommence ailleurs) au Canada. Ca a le dollar des States, le continent des States ; mais on y parle français et il y fait plus sec, poil de mec ! Monsieur Laffort Emmanuel, encore célibataire à l'heure ou nous mettons sous presse aurait trouvé une charmante et belle damoiselle pour lui tenir compagnie le jour de son mariage le 9 Juillet. La gagnante (Mon Dieu, qu'a t-elle fait pour un gagner un si gros Loulou?…) se prénomme Caroline et est très gentille, même que c'est vrai et que quiconque verrait une corrélation entre cette affirmation et le fait que mon boss c'est son papa, et ben ça serait que des mauvaises langues, et je dis pas de quoi. Non mais des fois. Vous savez pas qu'on-za-juré de dire que de la vérité, rien que de la fraîche : belles mes salades, fraîches du jour… Alors les heureux vont donc se marier, poil de Ré quoique une raie eut été tout aussi bien appropriée… et vont avoir beaucoup de petits Nanard, euh pardon de petits Nanerres. Je vous le dis maintenant car le propre du journaliste n'est il pas de devancer l'information, de la Créer. Et Dieu créa l'information qui créa l'Homme. Boris Vian ne l'a pas trouvée celle-là, hein ! Bertrand et Catherine (moa, Croa, Walk, Walk…). Certainement le passage le plus palpitant de toute cette revue et passsssage que vous auriez aimé sans fin (et d'ailleurs peut être sans début aussi). Il y a moyen de s'en sortir par une pirouette infinie qui comblera tous, les plus fervents admirateurs et les plus sensés : ma vie est une longue boucle sans fin de travail et d'amour (P…., c'est vachement beau ça, arrangezvous pour que Catherine tombe sur ce passage). Non, nous rompîmes la monotonie de l'amour passion par un achat passion (et donc déraisonné vous dira Catherine) : nous avons acheté une Peugeot 106 (Catherine vous dirait ; mais non elle vous dira pas car c'est moi qui cause !) ; même que je signe aujourd'hui et que ce soir on va voir Orlando. Vous vous en foutez, vous avez bien raison, moi aussi je m'en foutrais carrément si un vulgarius anonymus quidamus m'informatus dei que sanctus esta sa vista. Carabosse Béline ou Marie-Céline ou Célinette ou sœurette Moa, Croa, Walk, Walk Dame Céline se prépare elle aussi à rentrer dans le clan des diplômés en discussions soporifiques : une profession de santé de plus dans la famille. Vous rendez pas compte: Papa toubib, Patrick toubib, Alexa pharmacienne, Caroline (en fait on peut dire Caco, c'est beaucoup plus court et l'être sus-appelé dresse tout de même l'oreille au sus-son et non pas au…ou, en tous cas point averties mes chastes oreilles ne furent ) toubib, Catherine Véto et Karabs Orthoptiste. Manquerait plus que Thibs rejoignît la troupe. Vous vous rendez compte de notre vie, à nous les parias vis à vis de ces envahisseurs Hyppocratiens, soumis à la rigueur de la bonne santé obligatoire ("Brosse toi les dents", "Va te laver ça fait 15 jours…"). Comment voulez vous avoir des arrêts maladie dans ces cas ? C'est la fin du système D, de la vie du Sud de la Loire (ne viendrais-je pas de lancer un vaste débat ? Répondez-moi sur le 3615 Toutouille : La vie vaut-elle mieux au Sud qu'au Nord de la Loire. Vous exprimerez le point de vue du célibataire, de l'homme marié et de l'habitant frontalier, après la signature de Maastricht, il s'entend.) Enfin, pour se résumer, la vie pourrait devenir un enfer médical et je comprends le déficit de la Sécu, avec tous ces médicaux et paramédicaux qui phagocytent notre portefeuille. Tiens d'ailleurs on a pas encore trouvé de remède contre ces virus… Thibault 1er, Ri des Francs… Rigolos Sir Thibault se porte bien. Nous avons passé l'épreuve de philosophie du baccalauréat avec un amusement certain au grand dam de Dame Mère qui trouvât le moment bien déplacé. Nous nous préparons avec impatience à la suite des festivités. C'est tellement comique de voir tous ces petits gars plancher avec ardeur, avec frénésie même. Vous verriez ça, Pouf Pouf Pouf. Je m'en pivot de Gauss l'esprit. Voici venu maintenant la famille Mickey et Capitaine de Corvette (D'ailleurs saviez vous que le premier rôle de notre Mickey Mousse fut celui de pilote de bateau, comme quoi, ensemble, ils sont comme des poissons dans l'eau…) Papa et maman vont bien et se préparent à devenir papy et mamie, pépé et mémé, grand-papa et grandmaman, aïtachi et amachi : les mots changent mais la réalité demeure : ils vont prendre un sacré coup de jeune avec l'arrivée d'un jeune espoir, le seul, pour l'instant de toute cette vaste tribu ; mais nous y reviendrons plus tard lors de notre passage sur la douce, belle et non moins charmante Carine. Vincent Kæuffer, Lieutenant de l’armée française vient de terminer on ne peut plus brillamment sa formation d'informaticien du génie (la seule section qui à le sens marketing ; comment l'armée a-t-elle pu bien faire pour la trouver ? J'attends toutes vos réponses impertinentes) : il a été déclaré 2ème génie (juste derrière Aladin, mais pas de beaucoup) et vient d'être nommé géniteur en chef à XXXXX (nom de code que je ne puis dévoiler, secret militaire oblige). Carine eut pu faire la Une, la Deux et la Der du journal : partie du peloton de queue, elle a remonté tout le monde et réussit un superbe final avec un superbe doublé. Elle a en effet trouvé l'homme de sa vie en la personne de François. Fils de militaire, gendre de militaire et beau frère de militaire, gageons que ce charmant jeune homme (et oui, il y en a qui sont sympathiques dans les bidasses en folie) aura de quoi discuter avec ses pairs, en espérant toutefois pour les susceptibilités individuelles et pour l'intérêt de la discussion qu'aucune règle de trois (Henry, Vincent et François) ne soit établie entre la pertinence des propos et le grade… Affaire plutôt bien engagée, mais rester vigilant sur le titre. A conserver. Les jeunes gens se marieront ce moisci, dans l'intimité de leur amour avant de le faire partager dans une super méga giga fête Préchacaise, le 20 août à l'occasion de leur entretien avec Dieu le bien nommé. Non contents de s’être trouvés, Carine et François ont décidé d'immortaliser leur Union (ce n'est pas un jeu de mots) par la venue d'un chérubin (Au fait, connaissez-vous la différence entre un ange, un séraphin et un chérubin ? J'attends également vos réponses. Le messie devrait être là pour sa fête, le 24 décembre. Enfin quelqu'un de ponctuel. Sébastien est nettement moins rigolo : il passe ses examens sans trépasser ni sourciller, seuls nos sourcils s'émeuvent de tant de décontraction et de si bons résultats. Un peu de génie dans un monde de brutes (Baba, t'as pas sans balles pour me remercier ?). Enfin, cet enfant à tout pour plaire, serait célibataire malgré son mètre 85, ses 75 kilos et ses 24 ans. Les filles, faites queuqchose ! Tata La Terreur et Fifou Ces deux là mijotent certainement something dans leur corner car ça fait au moins 2 jours que je n'ai pas eu de nouvelles d'eux. Sachez et lisez toutefois, pauvres lecteurs soumis à mes écrits, que Fifou à fait de la montagne en Suisse avec Bébaude, Nanerre (l'initiateur de cet heureux projet) et Quiquan (le co-ReDeChe) et que c'était vachement sympa. A propos, notre Loulou nous propose des tonnes de PVC en promotion, alors si vous avez un besoin urgent de PVC, téléphonez au 80-30-36-98. (Mentionnez que vous appelez de la part du journal, la charmante standardiste vous fera un petit prix). Quand elle ne répond pas aux annonces saugrenues de son neveu, tante M’Agnès s'occupe activement de son Itù, non pour une fois ce n'est pas une joke : Itù, ça existe vraiment, ça a 4 pattes, une queue et demie (de long, évidemment) et ça a une peur bleue des hommes (sa grand mère était la dernière épouse de barbe bleue, c'est pour ça). Roquet. Vous voyez le style ? Et bien c'est ça, mais en nettement plus sympathique : arrivez, et ITÙ FONCE JOYEUSEMENT sur vous ; vous vous apprêtez donc à rendre hommage à son chaleureux frétillement de queue. Queue Nenni : ITÙ REPART COUARDEMENT sous les basques de n'importe qui mais pas de vous. D'éminents vétérinaires furent consultés, surtout une (si vous avez un problème —plus facile que celui-ci— n'hésitez pas à appeler au 42-21-0052, Catherine vous le résoudra Finger in the Nose.), et les verdicts tombèrent mais ne se ressemblèrent point sauf sur un point : à la question, c'est grave Doct'r, la réponse fut: Oui, Yes, Ja, Si, Zen, Da… Bébaude- Aude - Audas Mioucas Chewingomas - Bebs - Bébé Aude Super Jenny - Et surtout Next Repreneur du journal va bien. Rendez vous compte : depuis septembre elle me voit tous les jours et passe plus de temps avec moi (et donc moi avec elle auront remarqué les brillants esprits qui peuplent cette famille.) qu'avec n'importe qui d'autre. Pour les incultes du culte de la Bébaude et du Bébert réunis, sachez qu'on travaille dans la même boîte, boîte qui est la même que celle de Jean, Jean étant le même que celui qui est le père de Caroline, Caroline étant la même que celle qui doit épouser Emmanuel, Emmanuel étant le même que celui qui est le fils de Dominique (Mamie, tu es remontée jusqu'où dans l'arbre généalogique?)… Aude va donc bien, toujours aussi fatiguée et exténuante d'NRJ pour les autres. Une chouette fille, celle là. Même si elle skie trop bien ; "Mais ceci est une autre histoire" (Kipling).(C'est la citation que j'ai mise à la fin de mon devoir de français au bac, j'avais promis à un copain que je le ferai. La fidélité ne paie pas: j'ai eu 7. Maman, et bien, elle était vachement pas contente, même qu'elle disait que c'était bien fait pour moi. Mais je le savais bien moi, que, au fond de son Moi intense, elle était quand même triste pour moi) Sandra est en excellente passe d'être licenciée, vous me direz que c'est pas la première mais ça fait quand même vachement plaisir par où ça passe. Elle n'aura même pas besoin d'aller voir un avocat : elle a eu de si farabolantes (qui comme chacun sait est une contraction de mirobolante et fabuleuse) notes à son écrit de licence de droit (vous respirez tous, hein, surtout toi Fifou!) que je lui ai conseillé de pas travailler l'écrit, que ça devrait passer sans (Tu respires plus Magnès?) William est également en passe de continuer à glander un an de plus à Grenoble. Le malheureux aurait été atteint d'une sorte de travail à temps partiel ce qui devrait nécessiter de nombreuses visites à Lyon, pour le suivi de son cas. Pensez tous fort à lui : je crois que quitter ses beuveries va beaucoup le miner. Les Biraben représentés par un homme parmi 5 filles et femmes (Où? Où c'est que c'est que ce harem?) Espèce très intéressante, les Biraben de souche néandertalienne, euh pardon, périgourdine sont remarquables par leur capacité à être de bons coups : Tout le monde connaît les hautes capacités des parents mais connaît-on celles des enfants: Emilie et Louise sont deux championnes hors pair dans leurs catégories. J'ai même personnellement assisté aux exploits de Louise venue pour l'occasion à Paris, afin qu'y soient dûment enregistrées ses performances tant celles-ci sont grandes. Avec leur bonté, leur charme et leur gentillesse, ces déesses des pistes d’escrime, des podiums gagnent toutes les compétitions auxquelles elles participent. Et moi, je regarde avec nostalgie ces nymphes remporter les compétitions auxquelles j'ai toujours rêvé. Enfin, elles tirent remarquablement et leurs assauts ont la fougue et la beauté du grand art de l'escrime. Quant à Juliette, c'est encore un peu tôt pour pouvoir affirmer que les gênes se sont révélés avec la même intensité. N'empêche que nous avons pu observer l'animal sous toutes ses facettes lors de sa venue à Paris pour le Week End avec sa tendre et douce sœurette. Le Juliette, animal de taille moyenne au poil dur et relativement court est, contre toute attente un omnivore aussi bien porté sur le poisson cru que sur la cuisine chinoise ou encore que sur les glaces Haagen Daazs. Tous nos nombreux tests le prouvent : Juliette baffre tout, absolument tout ; même de la Cire (chez Grévin), du fer (chez Gustave) et des salades (Chez Bébert)! Aurèle et Florence Bonnye & Clyde vont assurément très bien puisque je viens juste de ne pas recevoir une lettre dans laquelle ils ne me disent donc pas qu'ils ne vont pas bien. Leur Comté s'étend toujours de Bergerac à Bordeaux et l'annexion de Sarlat est en bonne voie. Florence tente également des escarmouches du côté du bassin d'Arcachon qui résiste bien un peu même si Florence a réussi à lui voler son principal trésor: son soleil. Il apparaîtrait que dans ses moments de stress, Maître Aurèle chercherait à quitter ses fonctions pour d'autres et rechercherait alors une place de …JOKER (Afin de ne vexer personne). En fait, le boulot recherché ne compte pas trop du moment que : - y’a des horaires si strictes qu'ils ont du mal à s'extérioriser en dehors de limites elles mêmes si strictes qu'elles ont du mal à s'extérioriser en dehors de limites… - y’a pas de patron pour jouer au patron et donc ordonner quoi que ce soit. - y'a d'ailleurs pas de boulot, ceci limitant naturellement la contrainte patron à peau de chagrin - y'a un peu d'argent à la clef (Faut bien vivre, Mes bonnes gens. C'est pas facile de devoir sortir tous les soirs sauf les soirs où l'on reçoit). Alors si vous avez dans vos cordes un tel boulot, vous faites suivre à la direction du journal qui transmettra (quoique si vous l'avez vraiment, je vous recontacte et on en reparle ensemble). Puisque l'on en est à parler boulot, sachez que si vous êtes demandeur, si vous avez un caractère pas possible (je ne peux pas en dire plus faute de ne pas en savoir plus), si vous êtes un connaisseur d'art avéré, si vous avez votre diplôme de flic prisör et Vor Allem si vous plaisez à Aurèle, vous avez une chance inouïe de pouvoir venir habiter à Bergerac ! Si, si vous ne rêvez pas : c'est Bergerac ellemême qui vous attend et son non moins Aurèle lui-même. Alors si tous les si sont ok, please call our free number 53-58-57-51, car Maître Aurèle est prêt à partager la galette mais également les horaires. A vous de voir ! Réunion de famille le Samedi 11 Juin 1994, à l'Opéra Garnier. Sachez brave gens qui loupâtes l'événement, que toute la fine fleur de la famille Elby-CampionTurner-Legillon-Laffort-Maurange-Hennion- (enfin, quoi, tout le monde sauf vous qui n'y étiez pas!) s'est réunie autour d'un bon beefsteack (pssst, c'est après ça) euh pardon autour d'un bon Paul (guide professionnel, conférencier professionnel et bavard professionnel), qui nous a mené dans les méandres de l’Opéra Garnier. En fait, l’Opéra, comme chacun des participants s’en rappellera tout le long de sa longue vie future (des questionnaires seront envoyés au hasard tous les 3-4 ans et gare aux mauvaises réponses ! Non mais ça sert à quoi que Tonton Paul y’ s’décarcasse ! Il a été édifié, fini, bouclé en 1860 —sous la férule de Charles Garnier (eh oui, vous comprenez « Opéra GARNIER » lequel a été choisi (le fayot) car il a dit que son opéra sans style était de style Napoléon III. Or qui c’est qui était chef à cette époque : Nap. Third). C’est tellement grand qu’on peut y mettre Notre Dame (pas de Lorette mais de Paris). Oui, celle de Victor Hugo avec ses 600 pages de descriptions ! Imaginez, le jour où on volera Notre Dame de Paris où les futés voleurs iront la cacher ! Entre autres caractéristiques, l’opéra accueillit le de son même nom (certains affirment qu’il y est encore). En tous cas, quand on y était sa loge était vide. Probablement en relâche. L’intérieur est si grandiose et moi si bête que je ne pourrai que dire des lieux communs et des imprécisions que feraient que Paul, et ben, y voudrait plus rien me dire. A propos de Paul, sachez que le père de Jean-Paul a remplacé les statuts de Carpeaux qui représentaient la danse. En fait, je dois avouer que Paul est si bel, mondain que je n’ai pu retenir toutes les explications qui étaient pourtant si précises, avec un subtil équilibre d’indications architecturales, d’anecdotes, de relations avec l’époque, les mœurs d’autrefois… J’ai même presque cru à un moment que c’était pas l’Opéra que nous faisait visiter Paul, mais l’Opéra qui nous permettait d’encore mieux connaître Paul et ses grandes qualités. Stop, j’arrête là, et si après ça Paul ne m’envoie pas de fleurs, je rends mon PC ! Et pour les habitués, une rubrique connue : Récréation Dieu est nul. Cette affirmation est assez grave et ne mérite pas que l’on attende la réponse. Or donc, voici la démonstration faite par Boris Vian, élève de l’école Centrale de Paris en son temps. (1) Dieu = Deux + i - x= 2 + i - x (2) Dieu + Dieu = ah ici première incertitude. (3) Dieu + Dieu = Dieux Dieux = 2 + i (3) bis (2+i-x) + (2+i-x) = 2 + i 4 + 2i - 2x - 2 - I = 0 2 + i - 2x = 0 (4) = Deux Dieux ? = 2(2 + i) On verra ça après. Peut-être que c’est le double de ce qu’on va trouver à gauche. x=1+i/2 (4) bis Dieu = 2 + i - 1 - i / 2 = 1 + i / 2 moi! i est-il la racine carrée de -1 comme en mathématiques ordinaires ? Si oui, (4) ter Dieu = 1 + (A) ou Dieu est un nombre complexe égal à l’unité augmenté de l’imaginaire −1 On pouvait s’en douter évidemment, mais pas Car si Dieu = 2 Dieux / 2 évidemment x = 1 Et Dieu = 1 + i (4) quater Oui ? C’est ça, par conséquent. Ou alors c’est le double de ça, soit 2 + −1 Mais voyons les chose de plus près, en profitant d’une curieuse propriété du nombre deux qui veut que dans certaines conditions deux et deux fassent quatre, Ce qui s’écrit 2+2=4 (ou 2 x 2 = 4, cas particulier où la petite croix n’est pas restée sur sa pointe.) (mais où ça ne change rien) Or Deux = Dieux - i Deux Deux = 4 peut s’écrire (Dieux - i)² = 4 (5) C’est-à-dire ou encore (Dieux)² -2Dieux i + i² = 4 (5) bis (Dieux)² -2 i Dieux + i² - 4 = 0 Polynôme du second degré en Dieux dont on peut déduire la valeur numérique de Dieu en fonction de i (6) Dieu = Provisoirement on peut supposer que Dieu = Dieu. (Bien qu’il y ait des volumes entiers à écrire sur ce signe égale qui comporte une part d’autonégation, puisqu’elle relie toujours deux membres, et que s’ils étaient vraiment égaux, on n’aurait pas besoin de le dire ; ça se verrait, ou plutôt ça ne se verrait pas car il n’y en aurait qu’un - de ce principe découle d’ailleurs une algèbre entièrement nouvelle, où ce signe est supprimée, et telle que lorsqu’on écrit 1, cela veut dite 1 = 1 ; nous la développerons un jour.) Bref, si Dieu = Dieu l’équation (4) bis = l’équation (6) (7) et il vient aussitôt (7) bis Elevons au carré les deux membres de cette égalité, ce qui ne saurait manquer de leur faire plaisir. (8) Ou en développant, en faisant tout passer dans le premier membre, en ordonnant par rapport à i et en éliminant un sacré 4 qui nous emmerde au dénominateur (non sans changer les signes) 7i² + 4i + 12 = 0 D’où Reportons sournoisement cette valeur de i dans la capitale équation (4) bis, il vient Evidemment, dans le cas où Dieux = 2(2 + i) (équation de droite du début), il faut recommencer le calcul. Mais la formule actuellement trouvée (10) présente un caractère de plausibilité suffisant pour que nous la conservions. Cependant ! Ce n’est pas tout ! Car, à supposer que la petite croix se tienne sur sa pointe, Deux + Deux = 4 (10) bis (Dieux - i) + (Dieux - i) = 4 (11) Donc Dieux -2i = 4 Dieux et Dieux, ça fait toujours Dieux !… Or Dieux = Deux + i = 2 + i 2 + i - 2i = 4 ou 2 - i - 4 = 0 ou i = -2 Et en reportant dans (4) bis Dieu = 1 - 1 = 0 Boris Vian Malheureusement, Boris n’a pas eu le temps d’appliquer la nouvelle algèbre (qui veut que le signe ‘=’ soit superflu). Mais rassurez-vous, nous l’avons fait pour lui (et donc pour vous). Il est remarquable de voir combien des algèbres différentes donnent des résultat différents… Jugez : Nous reprenons (sournoisement) la relation (1) de notre illustre aîné : Dieu = Deux + i - x = 2 + i - x Or 2 revient à écrire : 2 = 2 (2) i revient à écrire : i = i (3) et x, à écrire : x = x (4) Soit, en remplaçant dans la partie droite de la relation (1) : (5) Dieu = (2 = 2) + (i = i) - (x = x) Et si on y met un petit coup de Bool : (6) Dieu = Vrai + Vrai - Faux = -Faux Et comme chacun sait que tout ce qui n’est pas faux est vrai, nous obtenons : Dieu = Vrai en toute simplicité : Emmanuel Laffort Pour être sûr que vous avez bien tous compris (et bien tout lu, please pensez au mec qui a tout tapé…), deux erreurs (dans les équations de Boris) ont été intentionnellement mise par la rédaction. Elles sont fastoches… Une récré de Dominique Poulain, qui gagne aussi un abonnement de 6 mois : C’est une lettre envoyée par Georges Sand à Alfred de Musset : A Alfred de Musset Cher Ami, Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans calcul, et si vous préférez me voir aussi vous dévoiler sans nul artifice mon âme toute nue, daignez me faire une visite ; nous causerons en amis franchement, je vous prouverai que je suis la femme sincère capable de vous offrir l’affection la plus profonde et la plus étroite amitié, en un mot, la meilleure épouse que vous puissiez rêver. Puisque votre âme est libre, pensez que l’abandon où je vis est bien long et bien dur et souvent pénible ; aussi en y songeant j’ai le cœur gros, accourez donc vite et venez me le faire oublier. A l’amour je veux me soumettre. Votre affectueuse et amante Georges Sand Mais vous l’avez compris, ce texte n’est pas anodin… Essayez de ne pas lire les lignes impaires… Interdit au moins de 16 ans (pour être bien sûr que les moins de 16 ans ferons l’effort de lire une ligne sur deux, ça marche à tous les coups !). Une autre idée de Dominique : un trombinoscope. Alors envoyez vos photos. Plus elles sont moins ressemblantes, moins elles seront plus ignorées. Merci cousine (une des rares, des trop rares… presque la seule d’ailleurs…). …une rubrique moins connue mais attendue : Réponses En effet, votre sagacité a été mise à rude épreuve lors de la récré du N°1. Voici donc les réponses tant attendues… Que vous inspire 1 + 1 = 1 Alors-là, je dois dire que je suis très déçu. Seule une seule réponse ! Il fallait vous exciter comme des malades sur votre imagination. C’était fait pour vous permettre d’avoir une réaction ! Dois-en conclure que vous êtes encore plus décérébrés que je ne l’imaginais ? Glissons. Des réponses possibles : 1 verbe + 1 sujet = 1 phrase. 1 débile + 1 idée = 1 The New Family 1 famille de décérébrés + 1 question intelligente = 1 fois rien ! Compléter les suites La première est la suite des chiffres miroirs (0, 1, 2, 3…). La deuxième est plus difficile sauf si vous savez parler à haute voix : On commence avec “1” et on lit : il y a un “1”. Alors je mets 11. Puis je continue à lire : Il y a deux “1”. Alors je mets 21. Maintenant, il y a un “2” et un “1”, soit 1211; puis un “1”, un “2” et deux “1” : 111221 … Maintenant vous pouvez épater tous les copains super bétons en logique et qui s’échineront à trouver la solution pendant plusieurs jours (ce qui a été mon cas!). Enigmes de poids Première : faites trois tas de trois. Avec une pesée (sur deux tas) vous saurez quel est le tas pesant le plus lourd (si la pesée donne un équilibre, c’est le troisième tas). Prenez deux lingots dans le tas incriminé et réitérez le processus. Deuxième : il suffit de prendre 1 pièce dans le premier sac, 2 dans le deuxième… et 7 dans le septième. Ce qui fait 28 pièces au total (mais si, vous savez bien, la somme des 7 premiers termes d’une suite arithmétique de raison 1 et de premier terme 1…). On pèse en on obtient le poids. On doit trouver un poids compris entre 55,5 (2x28 - 1x0,5) et 52,5 (2x28 - 7x0,5) selon qu’il manque 1, 2… ou 7 pièces… Et on en déduit donc le sac-à-pièces (carrément pas pour les chiens celui-là !) de 1,5 g. Aider le gourou Soient X, Y et Z les apprentis. X va gagner car il tient ce raisonnement : « Je sais que Y et Z ont une boule noire (je les vois). Imaginons que j’ai une boule blanche. Alors je me mets à la place de Y et je me dis : « Si j’ai une boule blanche, alors puisque X a une boule blanche, Z doit immédiatement trouver qu’il a une boule noire. Donc je sais que je n’ai pas une boule blanche, donc je crie bien fort NOIRE. ». Or comme je vois bien que Y reste perplexe, je n’ai pas de boule blanche, donc elle est noire. Et je gagne. » On peut jouer avec beaucoup de personnages : il suffit de mettre monsieur T en amont qui se dit : « voyons-voir, si j’avais une boule blanche, X dirait que…» et on y arrive. Charade Mon temps le fait : PA, car t’en fait pas Le roc le fait : R car le Rockfeller Le diable le fait : S car Méphistophélès Le tout est PA R S (on attend Paris)… Au petit malin qui ferait remarquer qu’il manque un I il sera répondu que le confetti. … une carrément pas subodorée : Petites annonces (…apostoliques. Tiens, petite digression. Savez-vous que annonce est un mot qui a été inventé par le Vatican ? Un jour que le pape se promenait sur sa mule, elle se cassa une patte. Il ne seyait pas au pape de marcher. Or donc, pour ne pas messoir (le vocable, zavé vu sa…), le nonce qui se tenait à ses côtés, lui proposa de le porter. Ce qui fut fait. Arrivant dans un hameau, le mule-nonce, alla tout raconter au village afin qu’il pourvoie le pape en une digne (et moins fatigante) monture. Très vite, le terme mule-nonce était sur toutes les lèvres, puis anne-nonce qui est quand même plus facile à prononcer, et enfin annonce qui voulait dire tout-raconter-auvillage. Son sens a évolué pour le bien de tous (vu le peu de villages qui existent…) pour prendre celui que nous connaissons tous et qui veut dire Christine-a-des-choses-à-dire. Tout ceci est rigoureusement exact, bien sûr. Et fin de la digression.) Christine Campion-Epron a été très prolixe. A elle seule, elle remplit plus de la moitié de la rubrique. Nous souhaitons au journal beaucoup de petites Chrisitines (tu veux des cachous, dis ?…) Christine cherche désespérément un tracteur bleu pour Louis. C’est très dur d’en trouver un bleu. De plus, elle cherche un vinaigrier vide. Ca n’a rien à voir, mais sachez quand même que Jean-Luc et elle habitent tout près de la tombe de Bourvil, et de Pierre Bellemard. Non non, pas de fausse joie, Bourvil et Bellemard ne sont pas enterrés ensemble, et d’ailleurs Pierre n’est pas enterré du tout. Il habite juste tout près de chez eux. Christine cherche aussi un break diesel pour moins de 5000 FF et moins de 25000 kilomètres. S’il y en a un stock, je suis preneur d’une douzaine aussi… Ces charmants jeunes gens donnent (gratos) un couple de hamsters femelles. Pour ces deux adeptes de Lesbos, ils offrent même le port. Je dis adeptes de Lesbos car deux êtres enfermés dans une telle promiscuité pendant tant de temps sont forcés de… enfin, vous voyez quoi… de partager la même écuelle, la même eau, la même brosse-à-dents… Bref, si vous n’appelez-pas ça une vie de couple, je me demande ce qu’il vous faut ! Rappel : mon anniversaire est le 11 janvier et j’adore qu’on me le souhaite ! (Christine dixit, moi je n’aurai pas osé, ou alors j’aurai mis 19 novembre et non 11 janvier. En revanche, j’adore aussi qu’on me le souhaite, ça j’aurai pu le mettre…) Enfin, dernière christinerie : JeanLuc rentre trop tard, je cherche un autre mari ! Pour ceux que ça intéresse, écrire au journal sous référence ~1# »é{#@12 qui transmettra. D’aucuns s’étonneront de voir qu’en fait Christine occupe 100% de la rubrique. Mais je m’élève : et moi alors ! Et mes débilités ! Ca remplit, mine de rien (gisement épuisé, disent les gars du Nord). … et une conjoncturelle : A.N.P.E. Notre journal se devant d’être compétitif et en phase avec la société, nous avons décidé d’ouvrir cette rubrique. Je dis nous mais je devrais dire : allez, devinez, je sens que vous l’avez… : Christine, gagné ! Je recopie le texte qu’elle (c’est qui elle) nous a fait parvenir : A ce propos, une autre (petite) digression. Si d’aventure (je n’ose trop rêver) il vous prenait envie de participer de façon plus active au journal, ce serait Hyper, Super, Méga, Giga, Téra1 de l’envoyer sur une disquette fait sous traitement de texte (peu importe lequel, même sous Mac mais sur PC c’est Giga et sur Word, c’est Téra !). Sinon, tapez-le à la machine si le texte est long. Vincent Campion, “Le génial inventeur” a conçu une machine qui s’appelle DIAVOLO. C’est un système mécanique informatisé (robot) qui permet à une micro-caméra (16 mm de diamètre) de se déplacer. L’informatique permet de mémoriser les mouvements de la caméra. Utilisation ⇒ Film de maquette (la caméra se glisse dans les endroits les plus inaccessibles de la maquette et restitue la promenade d’un piéton. C’est L’outil idéal pour toute personne qui veut faire sa promenade depuis chez soi et sortir son chien sans descendre puis monter les escaliers (désolé Christine, je n’ai pas pu résister à falsifier ta phrase, je reprends). C’est L’outil idéal pour toute personne qui veut communiquer ou vendre un produit immobilier. Cible : promoteurs, constructeurs, collectivités locales, architectes, sociétés d’économie mixte, musées… ⇒ Effets spéciaux (car cette machine se nomme aussi Motion Control Video) pour les films de pub, de produit, habillage pour les télévisions… Cible : agence de pub, sociétés de production vidéo, réalisateurs, télévisions… Je cherche à faire connaître cette machine, aussi tous les contacts sont les bienvenus ! J’ai fait une bande de démonstration (on comprend mieux en la regardant) et me déplace pour présenter notre travail. On envoie aussi la cassette si la personne intéressée est en province. 1Faites-moi confiance, ça va sortir et ça veut dire mille fois mieux que giga, soit méga-méga. Donc téra-téra équivaut à méga-giga-giga, ou encore à méga-méga-méga-méga, c’est vous dire si tout ça c’est pas femto… Le mot de la fin Il appartient à Oncle Jacques (Legillon) et est nettement plus qu’un simple, mot. Je voudrais juste faire remarquer que dans le dictionnaire, après Porion il y a Pornographe et ceci est mon mot de la fin… La mine (Ici commence le récit2) Comme le diable sort de sa boîte, la cage semblant poussée par le souffle de la terre, surgit des profondeurs faisant sauter avec un bruit sec le capuchon qui obstrue le trou. Immobilisée un instant elle crache un flot d’hommes, leur lampe au chapeau encore allumée ; éclats blafards d’un aspect théâtral à la surface alors qu’au fond leur scintillement prend toute leur signification. L’homme, les ténèbres encore accrochées à sa veste rapiécée, descend les escaliers d’acier, les jambes ployées, les épaules voûtées. Jeune encore il est cependant la proie d’une immense fatigue infligée autant par son destin que par le travail au poste de nuit. Après un rapide passage à la lampisterie il décide de ne pas prendre sa douche à la fosse. Il rentrera plus tôt chez lui. Le charbon encore présent sur sa peau, collé par la sueur, aura plus de temps pour s’infiltrer en son être, approfondissant ces traces bleues qui déjà apparaissent. Il demandera à sa femme pendant qu’il archinera de lui faire chauffer l’eau réparatrice de ses blessures. Il descend lentement la rampe de terre qui le mène au-delà des grilles où commence la vie hors du système. Ce système fait de labeur mais aussi de strictes contraintes dues aux risques permanents du métier. Un regard rapide sur le chevalet, là-haut, qui se dresse vers le ciel. Les molettes tournent d’abord lentement pour atteindre très vite une giration folle donnant l’impression que leurs rayons s’entrechoquent et vont voler en éclats. Elles s’arrêtent de nouveau pour qu’une poignée d’hommes puisse surgir de la terre. Par habitude ses pas le conduisent à l’estaminet déjà ouvert pour accueillir ceux qui remontent et ceux qui vont descendre. - In n’y arait pont demande-t-il comme çà, machinalement, sachant que la réponse de ceux qui vont assurer la relève pour faire la coupe sera : - Ben si, si qu’on y arait. 2N.D.L.R. Il sait aussi que pour éclairer leurs prochaines heures d’obscurité, ils vont dire à la patronne : - Mettez un g’neff, chelle dame, cha donne du jour. Un petit verre vite trinqué, le bon courrache d’usage et le voilà parti vers son coron. En chemin il pense à son père qui, revenant de la fosse, avait souvent la silhouette du chameau, avec la bosse dans le dos que lui conférait la raccourche, ce morceau de bois de mine que l’on pouvait emporter lorsque la taille était bien étayée. Chameau il l’était, pour sûr, la vie l’ayant forcé à limiter ses appétits. Son père avait désiré le mettre en garde à sa naissance en le déclarant sous le nom de “Téradéruses”. - Vous ne pouvez pas l’appeler comme ça, c’est pas un prénom ! lui dit le préposé aux écritures. - Ben mettez Joseph ou batiste avant avait répondu l’malheureux, mais j’veux aussi “Téradéruses”. Des ruses i n’aura, cha ché sur, comme cha i s’ra prév’nu. Longeant le terril de la fosse, des souvenirs de jeunesse surgissent. A cette époque les terrils fumaient. Oh, pas comme des chaudrons, mais par petits points, ça et là, dégageant une odeur âcre qui marque pour la vie. Les lavoirs modernes, en remplaçant le triage manuel, ont si bien rempli leur fonction qu’ils ne rejettent plus que des querelles ces pierres de schiste ternes. Les monts du bas pays sont inertes, ils sont masses et non plus chaleur. Ils ne peuvent plus fumer. Il n’y a plus que le brouillard pour ouater l’atmosphère. C’est du hasard. Avant, les terrils fabriquaient de jolis cailloux rouges que l’on répartissait amoureusement dans les allées des corons et même dans les beaux jardins publics des villes. Ils venaient directement de la terre nourricière. Ils vivaient et laissaient vivre les herbes que certains appellent mauvaises. Ces plantes pouvaient croître en leur sein, alors que les rejets des crassiers chimiques ne donnent plus que le droit à la mort. Et puis, il revoit les trieuses. Jeunes et même très jeunes filles mêlées aux femmes averties, leurs cheveux enserrés dans un grand mouchoir bleu à pois blancs noué derrière la tête comme un chignon. Elles travaillent en équipe le long d’une glissière au fond mouvant sur lequel le charbon et les pierres passent comme un long ruisseau. Leurs mains happent les pierres mauvaises et les jettent dans une manette. Ce geste monotone engendre une abrutissante torpeur qui les fait déjà mûres, sinon vieilles, mais, à la pause les gamines retrouvent leurs rires frais d’enfants. C’est parmi des yeux largement soulignés de fusain qui ont cet éclat tellement étrange qu’il a découvert sa femme. Ils n’avaient pas fréquentés longtemps. Il était si jeune, sortant à peine de cette période où à la fosse on vous appelle Tiot. Té vos tiot. Ces mots prononcés par des gaillards rudes, tout d’une pièce, dénotent une affection quasi-maternelle ; cette corporation couvant ses petits pour les préparer avec douceur au métier dangereux qui sera le leur. Son sérieux d’adolescent lui avait enjoint de se marier vite. Sa femme, il la connaîtrait bien en vivant avec elle. Il savait qu’elle avait eu des amoureux. Ben quoi, elle était belle, gaie, bonne, c’était normal. A son mariage, on avait bien ri. Il y avait un accordéoneux et chacun y était de sa chanson ou de son histoire personnelle, celle qui colle à la peau, toujours la même, à tel point qu’elle devient une sorte d’exclusivité que l’on pousse à chaque occasion. - Batisse, vas-y de t’chanchon : l’habit d’min grand-père. - Zeph, t’n’histoire e d’cafougnette. Tous ces souvenirs le réchauffent tandis qu’il arrive à la maison. Il entre par la cuisine donnant sur le petit jardin où poussent les pommes de terre “chaudes” et “froides”, objets d’une certaine fierté. Machinalement, il attise le feu endormi par la nuit et place la bouilloire sur la platine. Il entre tout doucement dans leur chambre. Sa femme dans les bras d’un autre ouvre des yeux effarés. Anéanti, il va se laisser tomber sur une chaise, là, au bout de la table de cuisine, laissant ainsi aux autres le temps de s’habiller correctement. Des idées confuses lui passent dans la tête. Il essaye de comprendre. Bien sûr cette femme si généreuse n’a pas de défense, elle n’a pas trouvé les mots qu’il fallait pour résister !!! et puis, c’est peut-être sa nature qui veut cela ! Il se souvient encore, quand au bout de six mois de mariage, un enfant en parfaite constitution leur était né, il était allé trouver le médecin pour lui demander son avis sur la chose afin de répondre aux insinuations de camarades de travail. Alors, le praticien, avec bonhomie, lui avait dit : - Tu vois, pour le premier ça peut arriver, mais après ça ne t’arrivera plus. Rassuré, son affection était restée entière. Mais maintenant? Les voilà à trois. Il entend comme dans un rêve sa femme dire : « J’va faire du café ». On ne se parle pas. Chacun semble redouter la moindre parole. Aucune ne pourrait briser cette gêne immense installée dans la pièce. Le café pris “à l’chuchette”, c’est-à-dire filtrant lentement au travers du morceau de sucre serré entre les lèvres, contraint au silence et provoque un air absent, proche de l’hébétude. La tasse vidée, l’autre amorce sa retraite. - A c’t’heure j’min vas. - T’as raison parceque j’sens que l’colère a m’onte. - Faut pas - Te n’a de bonnes ti ; chest ti ou chest mi ? - La question elle est pas là. Et pi pour e’rassurer, j’vas t’promettre queque chose et cha j’t’el jure : si tu l’dis à personne, personne il saura. Dernière minute IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT ---------------------------------------------------------------------TIP… AFPDERECHEJECHOU : PROCHAIN RecheJoie : Aude Fourniol …CLAP ---------------------------------------------------------------------IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT Cette fois-ci, il y a tellement de choses à dire en dernière minute, que nous avons une rubrique consacrée… …tip…tap…taptap AFP150794BO : Laffort Pat. & Ale. : bébé de trois mois…tip…tip…tip …tap…top…top…tup AFP280794SO : Coninck Car. reçue à l’internat…taptip…tiptap …tup…tip…tip…tip AFP090794RE : Bauer Car. devient Mme Laffort Emm. …tip…tip…tiiip …tap…taptaptip…top AFP01-0694 : Eisenblaetter Pas. reçue à son concours…tap………tap …Ouin…Ouin…Ouin AFP150794 : Turner Ann. & Luc : Louise née 15 juil.…Ouin…Ouin …ReOuin…ReOuin AFP060894 : Turenne Vir. & Pat. : Gaspard né 6 aoû …ReOuinOuinOuin …Hip…Hip…Hip…Houra AFP..0694 : Laffort Cél. dans vie active…Houra…Houra…Hip …Id…Cé…Normal AFPBAC94 : Laffort Thi. a son Bac…C…la…Fa…1000 …Ah…La…La…La AFPAFRNOIRE : Fourniol San. à Ougadougou…La…Dis…Donc… IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT ---------------------------------------------------------------------TIP… AFPDERECHEJECHOU : PROCHAIN RecheJoie : Aude Fourniol …CLAP ---------------------------------------------------------------------IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT - IMPORTANT Coin des adresses Jimmy Biraben Bron par Préchac 33730 Villandraut 56-65-20-16 Dada et Jean Chavaroche 2 bis, rue de la Ceinture 78000 Versailles 1-39-50-98-05 Papa, Maman Laffort Karabs, Thibs 13, rue Michelet 24000 Périgueux 53-53-67-16 Henri et Dominique Kæuffer Vincent et Sébastien 5, rue de la Gaillarderie 78590 Noisy le roi. 1-30-56-72-82 Patrick et Marie Biraben Louise et Juliette 17, rue du Plantier 24000 Périgueux 53-08-32-80 Philippe et Agnès Fourniol 1, place Rude 21000 Dijon 80-30-36-98 Aurèle et Florence Biraben - 1, rue St michel 24100 Bergerac 53-57-22-28 - 5, place Gambetta. 33000 Bordeaux 56-81-98-13 René et Dédette Laffort Résidence Aquitania 2, rue Marcelin Berthelot 33000 Bordeaux. 56-02-35-07 Jacques et Paulette Legillon Marguerites 2230, rue d'Ypres 59118 Wambrechies. 20-78-82-66 Paul Elby 40, rue Saint Lambert 75015 Paris 1-42-50-51-98 Pierre et Hélène Elby 170, rue Basee 62600 Groffliers 21-09-03-08 Philippe et Nancy Elby Janne et frédéric 71, avenue du Coin du Bois 78120 Rambouillet 1-30-41-10-53 Axel et Patricia Dont Alexandre, Charles et Lætitia 6, rue d'Ecosse 75005 Paris 1-43-25-41-22 Claire et Frédéric Turner Jean, Guy et Léa Lacroix 78580 Herbeville 1-30-90-60-20 François et Caroline de Coninck 7, allées de Chartres 33000 Bordeaux Jean-Pierre et Maguy Thézard Château Lyon-Perruchon. 33570 Lussac Saint Emilion. 57-74-64-71 Jacques et Colette de Coninck Chantal et Louis Château Canon 33126 Saint Michel de Fronsac 57-24-90-09 Patrick et Jacqueline Maurange Julie (ma filleule) et Charlotte 76, rue Guynemer 33200 Bordeaux-Caudéran 56-02-78-18 Jean-François et Françoise Laffort Carole et Luc 26, rue Brun. 33000 Bordeaux 56-91-86-06 Christophe et Gala Legillon Raphaelle et Mathilde 48 A via Roma 20020 Arese Italia 39-293-58-30-04 Elisabeth Legillon 62, Avenue de Suffren 75015 Paris 1-45-66-75-21 Christine et Jean-Luc Epron (Campion) Louis et Elsa 3, place de la mairie 78124 Montainville 1-34-75-14-04 Jacques et Véronique Delarousse Pierre, Baptiste et Juliet 19, rue Ledru-Rollin. 78800 Houilles. 1-39-15-22-99 Bernard, et Dominique Poulain Charles, Sophie et Paul 42, rue des facteurs. 33270 La Teste 56-54-35-99 Maurice et Pascale Eisenblaetter Camille 10, domaine de l'île 67400 IllKirch-Graffenstaden 88-66-96-81 Anne Jourzac Résidence Claude Monet 109, bis avenue A. Briand 33700 Mérignac 56-98-95-71 Vincent Jourzac 24, rue Victor Hugo 33400 Talence 56-37-01-80 Aude Fourniol 4, Impasse Crozatier 75012 Paris 1-43-46-69-58 Sandra Fourniol, Michel Gusting Minitel 11 (déménagent) 31000 Toulouse William Fourinol Minitel 11 (déménagent) 38000 Grenoble Emilie Biraben Minitel 11 31000 Toulouse Patrick et Alexa Laffort 346, cours de la Somme 33000 Bordeaux 57-95-91-74 Emmanuel et Caroline Laffort 1, rue Bourdaloue. 75009 Paris 1-45-26-41-91 Bertrand et Catherine Laffort 23, rue de la Ferronnerie 75001 Paris 1-42-21-00-52 La rédaction vous prie de bien vouloir excuser les fautes (tant sur les adresses que sur les numéros de téléphone) qui auraient pu se glisser dans ce répertoire. Afin que nous puissions réparer au plus vite, informez-nous des erreurs que vous constatez, que nous rédigions un errata le plus promptement possible. 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