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DDB Travel & Tourism - RCS 401 941 547 Toulouse - Crédit photos : Oman - H&D Eriksen - Raffin - C. Migeon
Office de Tourisme du Sultanat d’Oman
90, rue de Courcelles - 75008 Paris
Tél. : 01 47 20 56 06 - Fax : 01 47 20 55 80
Véritable
trait d’union entre l’Inde et
l’Afrique, Oman réunit en un même lieu ce
que les voyageurs du monde entier viennent chercher
dans différentes destinations de la région. La variété et la beauté
de ses paysages allient montagnes escarpées, plages de sable doré, mer
idéale et désert propice à de multiples aventures. Le riche passé historique
du pays demeure partout inscrit dans la pierre et se nourrit de chapitres
­légendaires dont les héros ne sont autres que Job et la reine de Saba,
Sindbad le Marin ou Marco Polo. Leurs aventures se déploient sur fond
de caravanes et de cargaisons fabuleuses, car Oman, “le sultanat de la mer”,
a longtemps été une plaque tournante du commerce entre Orient et Occident.
D’où cette longue tradition d’ouverture et d’hospitalité qui conduit
aujourd’hui notre pays à accueillir les visiteurs avec bonheur. En
attendant de prendre le thé ensemble dans une palmeraie ou
dans... un fjord, laissez-vous guider entre
mers et déserts et découvrez le
Sultanat d’Oman.
Déserts mystérieux, mers de rêve, montagnes escarpées et vestiges
d’un riche passé rehaussé de légendes. Oman offre, en un lieu
unique, la quintessence de toute une région sur fond d’hospitalité
absolue. Une destination rare, à découvrir d’urgence...
Sultanat d’Oman
Pourquoi faire comme tout le monde ?
L’hospitalité est une valeur fondamentale
et le voyageur toujours considéré comme un hôte
Oman, terre d’encens bordant l’Océan Indien,
s’ouvre depuis quelques années au tourisme.
Situé à la pointe la plus orientale de la péninsule arabique,
le Sultanat d’Oman est une destination tout simplement unique. Par
l’extraordinaire diversité de ses paysages tout d’abord : mer, montagne et
désert s’y combinent magistralement. Par la richesse de son Histoire ensuite puisqu’Oman se trouve au carrefour des routes légendaires de la soie et de l’encens.
Par sa population enfin : les bédouins furent certes nomades, pasteurs ou agriculteurs,
mais également : pêcheurs, commerçants et navigateurs ! Ouverts donc par nature
au monde extérieur, les Omanais ont fait depuis longtemps le choix de la modernité. Ils gèrent cependant les retombées de la manne pétrolière avec une rare sagesse, préservant de manière unique le
fragile équilibre entre modernisme et tradition. Ainsi, le pays accueille les visiteurs dans la plus grande
authenticité et développe des infrastructures de qualité tout en préservant son environnement naturel
et architectural exceptionnel. Sur cette terre où le métissage des cultures s’exprime magnifiquement
dans le mariage des motifs indiens et africains portés par les femmes sur leurs vêtements, l’hospitalité est une valeur
fondamentale et le voyageur toujours considéré comme un hôte. Qu’on l’envisage avec les yeux, l’esprit ou le cœur, Oman est
clairement un endroit différent ; une destination aussi surprenante qu’attachante. A peine l’avion s’est-il posé sur le tarmac
de l’aéroport international de Seeb, à peine ses portes se sont-elles ouvertes, que le voyageur se retrouve enveloppé par
le souffle chaud du désert. Mais ici, en Oman, s’y mêlent toujours une petite brise descendue des montagnes, les senteurs
rafraîchissantes de la mer et comme un invisible poudroiement d’épices et d’encens... un subtil parfum de légende. C’est
Mascate, la plus petite capitale du monde, qui délivre au voyageur son message de bienvenue. Bâtie sur une plaine fertile
entourée de rochers escarpés, la ville-oasis offre, depuis la mer, un spectacle saisissant, avec ses murailles crénelées, la
silhouette bleue et or du palais du Sultan et les montagnes qui l’enserrent, tel un joyau dans son écrin. Ici, nul gratte-ciel
ostentatoire, aucune surenchère d’acier ou de béton, mais un paisible moutonnement de constructions basses et claires
respectant l’identité culturelle du lieu. Car c’est d’abord cela, Oman : un mariage heureux entre tradition et modernité, un
équilibre entre authenticité et ouverture qui, seul, permet au voyageur de se sentir chez lui tout en étant réellement ailleurs.
Raison pour laquelle, sans doute, la capitale d’Oman est souvent surnommée “Mascate la sage”...
Et c’est vrai que la ville, héritière d’une longue tradition d’accueil et d’échanges, a beaucoup à apprendre au voyageur.
Avant de s’élancer dans la véritable chasse aux trésors qu’est la découverte du pays, celui-ci pourra se familiariser avec
ses 5 000 ans d’Histoire dans les principaux musées de la capitale ; apprendre à détecter sur le fond d’une culture
typiquement bédouine, les influences successives : perses, portugaises, puis anglaises. Fort de cette précieuse entrée en
matière, le visiteur gagnera le port voisin de Muttrah. Son marché aux poissons, ses vieilles maisons indiennes, son souk
extraordinaire (le plus complet de la péninsule arabique) et le contact avec la population achèveront de le convaincre qu’il
a posé le pied sur une terre d’exception. Et dans le quartier animé du Ruwi où se concentrent restaurants, cinémas et bars
à chicha (pipes à eau), notre voyageur finira agréablement sa première soirée en terre omanaise en rêvant aux étonnantes
découvertes que lui réservent les jours à venir...
Dialoguer avec Mascate
80 % du
territoire omanais
est occupé par le désert.
Ou plutôt, devrait-on dire, par les déserts,
tant il en existe ici de formes différentes : sable, dunes
ou pierres, plaines, plateaux et montagnes, les déserts constituent la toile de
fond de l’aventure omanaise. A bord de votre 4x4, roulant vers les plages les plus sauvages,
les plus beaux villages de montagne ou quelque vieux fort oublié, vous ne vous lasserez pas de ces
paysages à la beauté minérale toujours changeante où, au détour d’un virage, surgit le miracle d’un wadi féerique
(vallée verdoyante). Cette explosion soudaine des verts et des bleus, cette fraîcheur qui vous saisit, donnant l’impression
d’arriver au paradis... Ou bien, c’est la silhouette mélancolique d’une antique tour de guet, le sourire d’un gamin poussant
devant lui son troupeau de chèvres. Mosaïque de paysages, impressions et émotions. Pures joies du voyageur. Bien sûr, il existe,
comme partout, des incontournables. “Il faut” se frotter aux dunes immenses du célèbre Wahiba. A Al Wasil et Al Mintirib, par
­exemple où vivent une poignée de marchands bédouins, derniers descendants d’une tradition millénaire. Y passer une nuit en bivouac
sous les étoiles est magique. Et permet d’admirer jusqu’au bout le show du soleil sur les dunes qu’il teinte de mille coloris différents
en fonction de son inclinaison. Un spectacle inoubliable. Et pour ceux qu’un peu de mouvement n’effraie pas, il faudra essayer le
“dune bashing”, sport national consistant à monter et dévaler les dunes en véhicule tout terrain. Davantage dans le sud encore,
se trouve le plus grand erg du monde, le Roub al-Khali, désert impénétrable et mal connu, seulement abordé sur ses marges
par quelques tribus omanaises. Et puis, qui dit désert dit oasis. Oman en est couvert. Elles sont agrémentées souvent de luxuriantes palmeraies. On peut y assister à des courses de chevaux (des purs sang arabes, forcément, vantés par Marco Polo
dès le 13e siècle) ou de dromadaires. Comme à Mudaïbi, près de Sour, où des jockeys en herbe d’une dizaine d’années
mènent leurs montures dopées au miel, beurre clarifié et lait de vache, à fond de train sur le camelodrome local.
Ces paysages à la beauté minérale toujours changeante
Tutoyer les déserts
Sur la piste des Bédouins
Etymologiquement, bédouins signifie : “habitants du désert”. Répartis en plusieurs
tribus, les bédouins d’Oman se trouvent en grande partie sédentarisés aujourd’hui. Ils
n’en restent pas moins très attachés à leurs coutumes et valeurs traditionnelles, au rang
desquelles l’hospitalité occupe la première place. On croise les bédouins des sables,
inséparables de leurs dromadaires et vivant encore pour certains, comme les Wahiba,
dans des huttes de branchages. Les Rawashid, artisans très doués, séjournant dans
les oasis, leur préfèrent de grandes tentes plus confortables. Les bédouins des montagnes
élèvent des moutons et cultivent les palmiers-dattiers, mais ils sont aussi experts
dans l’extraction de la résine de boswelia, qui sert de base à l’encens. Très attachés à
la tradition courtoise de la chevalerie arabe, ils ne sortent jamais sans leur khanjar, le
fameux poignard à lame recourbé, emblème du sultanat. Enfin, puisque nous sommes
à Oman où rien n’est tout à fait comme ailleurs, vous rencontrerez ici des bédouins
pêcheurs qui suivent, eux, le rythme de migration des poissons, récoltent huîtres
perlières et ormeaux et se consacrent à la récolte des dattes durant les mois d’été.
Le Sultanat de la Mer...
C’est ainsi qu’en raison de ses
1700 km de côtes, on surnomme souvent Oman. Mais on pourrait aussi bien dire : le
sultanat des mers, tant le grand bleu offre ici de
visages différents. Séjours balnéaires dans la plus pure tradition sur
les plages du nord de Mascate, entre Shinas et Barka où grands hôtels,
plages privées, pêche au gros et activités nautiques en tout genre attendent le
voyageur. A moins que l’on ne préfère les criques délicates de Bandar al Khayran. Les amoureux
de nature pourront camper sur les immenses plages sauvages de Seifa ou bivouaquer à Ras Al Jinz,
premier point de lever du soleil dans le Moyen-Orient, en attendant l’heure de la ponte des tortues de mer géantes.
Plus au sud encore, le spectacle des dunes du célèbre désert Wahiba se jetant dans la mer sera pour beaucoup une
révélation. D’autres préféreront les paysages rares de mangroves et lagunes aux eaux cristallines idéales pour le snorkeling de
Bandar Khayran, à 25 km de Mascate. Ou encore les longues plages de sable blanc de la région de Salalah, dans le Dhofar d’où l’on peut
s’embarquer pour l’exploration d’îlots absolument sauvages. Mais, pour l’immense majorité en tout cas, la rencontre avec l’Océan Indien culminera
à l’extrême nord du pays, au Musandam, enclave territoriale comprenant le célèbre détroit d’Ormuz ouverte aux visiteurs depuis quelques années seulement.
Là, les hautes montagnes plongent d’un coup dans la mer en formant des fjords somptueux recélant d’incroyables criques. L’un des fjords les plus spectaculaires est
celui de Khor al Sham que l’on remonte au départ de Khasab, mais il en existe des dizaines d’autres dont la découverte se double de celle des minuscules villages de
pêcheurs et de petites plages de sable aux eaux cristallines extrêmement poissonneuses. Un masque, un tuba et c’est un kaléidoscope de formes et couleurs
qui surgit soudain sous vos yeux éblouis. Car il est grand temps d’en parler : plonger dans les eaux d’Oman est un pur bonheur. Son récif corallien,
ses épaves et la richesse de sa faune sous-marine attirent de plus en plus de plongeurs avertis qui en ont fait leur spot préféré au MoyenOrient. Et pour ceux qui recherchent des rencontres sous-marines plus impressionnantes, les îles de Daymanyiat, au nord, que
fréquentent raies aigles ou mantas, platax et autres barracudas, sont un véritable paradis sous-marin. La meilleure
période pour plonger se situe, à Oman, avant et après l’été, en avril et octobre.
Longer les côtes escarpées en compagnie des dauphins et des cormorans
Une longue tradition maritime
Situé à la croisée des grandes routes maritimes, Oman fut durant plusieurs siècles,
une importante plaque tournante du commerce maritime entre l’Orient et l’Occident.
Les marchandises cheminaient alors sur des boutres de teck imputrescibles appelés
les dhows, dont les plus anciens exemplaires arboraient une tête de chameau en
figure de proue, prolongeant ainsi sur les eaux l’esprit de la caravane...
Ces fiers navires emportaient d’Oman encens, chevaux, cuivre, perles et dattes qui
rejoignaient dans la cale : pierres précieuses et épices des Indes, soieries, porcelaine
et laques de Chine, or et ivoires d’Afrique, armures, tissus et parfums du Golfe...
Quelles cargaisons ! De nos jours, les dhows sont toujours fabriqués dans le port de
Sour, une petite ville qui a conservé l’allure des anciennes cités omanaises.
Embrasser les mers
Sans
elle, la palette
des paysages d’Oman
serait incomplète et ses habitants orphelins d’une dimension symbolique
essentielle : la montagne. Or la montagne est intimement
présente dans l’histoire et la géographie du sultanat, offrant à ce pays,
l’un des plus chauds du globe, sa part de fraîcheur et des paysages d’une beauté
à couper le souffle. L’imposante chaîne des monts Hajar, véritable colonne vertébrale du
pays sépare en effet Oman en deux : à l’Est, la plaine côtière (appelée “ Batinah ”, textuellement :
le ventre), à l’Ouest : les hauts plateaux intérieurs. Au cœur du Djebel Akhdar “ montagne verte ”,
le Djebel Shams «montagne du soleil» culmine à 3010 mètres d’altitude. D’ici, on peut admirer le premier
point de lever du soleil du Moyen-Orient. La région est peuplée de bédouins tisserands qui fabriquent
les seuls manteaux du pays ! Découvrir Oman, c’est alors mettre le cap sur Nizwa, l’ancienne capitale du
pays qui rayonna tant, jadis, d’être située à la rencontre exacte des pistes caravanières du Nord et du Sud,
reliant l’Afrique à l’Asie. Et mettre le cap sur Nizwa, c’est traverser les authentiques villages d’altitude,
les cultures en terrasses de roses, d’arbres fruitiers et de vigne. C’est aussi croiser “ la route des oasis
de montagne ”, celle qui part de Bahla et délivre l’accès aux plus beaux wadi du pays, ces gorges verdoyantes qui s’offrent au voyageur comme une vision de matin du monde : roches rouges, bouquets
de palmes et d’oiseaux qui s’envolent, piscines naturelles d’émeraude idéales pour la baignade.
Wadi Tiwi, wadi Bani Khalid, wadi Ghul, wadi Abyadh, wadi Mistal... La liste en est longue...
Le clou du spectacle, le point d’orgue de cette scénographie naturelle, c’est bien sûr le
mariage de la mer et de la montagne au Musandam, là où le Jabal Hajar précipite ses
colossales avancées de pierre dans les eaux turquoises de l’Océan Indien.
Ces gorges verdoyantes qui s’offrent
au voyageur comme une vision de matin du monde
LES COMBINÉS :
UNE RICHE IDÉE.
Marier les charmes du
Sultanat d’Oman à ceux
d’une destination voisine
complémentaire peut aussi
être une riche idée.
En voici deux exemples :
Zanzibar
Peu de gens savent qu’Oman fut
le seul empire colonial du MoyenOrient, possédant des comptoirs en
divers points de la côte est-africaine
et notamment à Zanzibar.
Le Sultan Sayyid Saïd (1804-1856),
séduit par l’exubérance de l’île mythique, y installa même sa seconde
capitale et introduisit la culture
du clou de girofle, entraînant l’île
dans un essor économique sans
précédent. Portails monumentaux
et architectures de l’île mythique
­témoignent toujours de cette époque faste.
Dubaï
A 4 heures de route seulement de
Mascate, l’époustouflant “mirage”
de modernité de Dubaï défie le désert.
Une escapade idéale pour goûter
le contraste avec Oman, visiter le
souk de l’or, les incroyables galeries
marchandes et profiter de la vie
nocturne. Et ensuite, par exemple,
filer vers le détroit d’Ormuz et la
péninsule du Musandam, tout
proches.
Caresser les montagnes
S’abreuver des légendes
Selon la
légende, Sindbad
le Marin vécut à Sohar, au
dixième siècle, dans le nord omanais. Selon la
légende encore, les vestiges de Sumhuram, dans le sud du
pays, sont ce qui subsiste de la résidence portuaire de la reine de Saba.
Selon la légende toujours, les ruines de Shisr sont en réalité celles d’Ubar, la
fameuse cité perdue des Mille et une nuits, la porte de l’antique Atlantide !...
Peut-être que rien de tout ceci n’est exact, peut-être une partie seulement...
À Oman, depuis la nuit des temps, Histoire et légendes s’entremêlent étroitement.
Toujours est-il que les sites archéologiques de Sumhuram, Al Balid et Bat (3e millénaire avant JC) font
bel et bien partie du patrimoine mondial de l’Unesco, attestant la richesse du passé d’Oman. “Une
Histoire longue, complexe et passionnante” selon les spécialistes, qui fera le régal de tous les passionnés
de “vieilles pierres” et de culture... Pour aller à sa rencontre, pourquoi ne pas suivre, par exemple, la
“route des forts” qui serpente de Mascate à Nizwa en passant par Al-Roustaq. Une bonne vingtaine de
forts et châteaux forts du pays (sur plus de 500) méritent réellement la visite... Et le coup d’œil ! À Oman, les forts sont
souvent le prolongement de paysages naturels déchiquetés : de véritables nids d’aigle agrippés aux falaises, juchés sur des
contreforts escarpés ou couronnant une aiguille rocheuse dont ils ont adopté la couleur : d’ambre, d’ocre ou de sienne.
Mais on pourra préférer “la route de l’encens” qui traverse le pays de part en part depuis Salalah jusqu’au nord-ouest.
Salalah est la capitale du Dhofar, au sud du pays. On y découvre un Oman complètement différent, quasi tropical, que l’aile
bénéfique de la mousson frôle chaque année, couvrant les collines de verdure. C’est ici, dans les wadis alentour (comme
le wadi Dawkah) que pousse le boswellia, le fameux arbre à encens qui a fait la richesse d’Oman de l’Antiquité au Moyen-Age.
Sa résine est cultivée et exportée depuis 7000 ans ! La récolte s’effectue en mai et juin, mais le grand marché de l’encens
se tient plus tard, en septembre. C’est encore ici, à Salalah, qu’est préparé à partir d’essences rares le parfum Amouage,
fragrance la plus chère du monde, qui ne sort qu’habillée de son flacon de cristal. Un parfum de légendes... bien réel, pourtant !
Une vaste réserve naturelle
Est-ce parce que les hommes du désert savent combien chaque brin d’herbe, chaque vie,
aussi infime soit-elle, est précieuse qu’Oman préserve depuis si longtemps son environnement ?...
Qui sait ? La chasse, par exemple, est interdite dans le sultanat, devenu en soi une vaste
réserve naturelle où les oiseaux migrateurs prennent grand plaisir à se reposer et les ornithologues du monde entier à les observer.
Mais le voyageur pourra également approcher le seul troupeau d’oryx sauvages du monde et,
s’il a de la chance (car elle est nocturne), la très rare panthère d’Arabie... Mais également
nombre de faucons et de si beaux chevaux ! Ces trois dernières espèces sont les préférées
du bestiaire populaire omanais. Auxquels participent encore : loups, renards, lynx-caracal et
tortues de mer qui viennent chaque année par milliers pondre sur les plages de Ras el Jinz
entre septembre et novembre. Et puisqu’on parle calendrier, le show des baleines dans le
nord du pays a lieu en février et mars et celui des dauphins... toute l’année !
Choisir ses rêves
Oman ? C’est
le contraire du tourisme de masse. Si le pays
est ouvert à tous, il est d’abord ouvert
à chacun, à ses désirs propres et ses centres
d’intérêt. Désert ? Mer ? Montagne ? Culture ou
Histoire ? Chacun trouvera ici son bonheur dans des vacances
taillées sur mesure. Se reposant du golf à la plage ou bien explorant
les coins les plus sauvages à son rythme. En compagnie ou individuellement,
c’est non seulement possible, mais aussi facile. Comme de s’inscrire à un circuit
découverte en petit groupe ou de louer une voiture, d’y poser ses bagages et de partir à
l’aventure ! (il y a toujours ici un paysan pour vous remettre sur la voie). Le réseau routier du sultanat
est excellent. Néanmoins, comme les points d’intérêt peuvent être un wadi magique dissimulé au bout d’une
piste ou un groupe de flamands roses nichant près d’un marais salant, un 4x4 sera plus pratique. Le soir, pour vous
détendre, la plupart des hôtels vous offriront leur piscine. Mais si jamais l’envie vous prenait de dormir à la
belle étoile (et entre plages sauvages et coin de désert superbe, elle vous prendra souvent !) le
camping est autorisé, mieux : favorisé ! Il suffit de respecter l’environnement, comme le
font les gens ici. La sécurité est totale et l’hospitalité spontanée. Finalement l’infatigable géographe Ibn Battuta avait sans doute raison, Oman ressemble
un peu au mythique “jardin des délices”, au paradis... Et cela commence à se savoir : une cinquantaine de tour-opérateurs
propose aujourd’hui la destination, six compagnies
aériennes, dont Gulf Air y conduisent et
Oman Air assure les vols intérieurs.
Rien que du bonheur...
Oman ? C’est le contraire du tourisme de masse.
Tour-opérateurs proposant la destination :
Séjours et découverte : Asia, Beachcomber Tours, Directours, Jet Tours, Kuoni, Solea Vacances, STI Voyages, Voyageurs Associés...
Spécialistes :
Plongée : Blue Lagoon, Ultramarina, Nouvelles Frontières... • Pêche : Mémoire d’un fleuve
Aventure : Club Aventure, Déserts, Nomade Aventure, Svalbard Nature • Culturel : Clio, Ikhar, Explorator...
Sur mesure : Voyageurs dans le Monde Arabe, Sindbad Voyages... • Croisières : Costa Croisières, Compagnies des îles du Ponant...
Retrouvez tous les Tour-Opérateurs et leurs coordonnées sur le site Internet : www.omantourisme.com
Compagnies aériennes desservant le Sultanat d’Oman :
• Oman Air : 90, rue de Courcelles - 75008 Paris - Tél. : 01 47 64 21 50 - www.omanair.aero
• Gulf Air : 9, rue de Téhéran - 75008 Paris - Tél. : 01 49 52 41 41 - www.gulfair.fr
• Qatar Airways : 24/26 place de la Madeleine - 75008 Paris - Tél. : 01 58 22 20 00 - www.qatarairways.com
• Swiss International Airlines : Aéroport Charles de Gaulle - Terminal 2B - 995715 Roissy - Tél. : 0 820 04 05 06 - www.swiss.com
• Emirates Air Lines - 69 bvd Haussman - 75008 Paris - Tél. : 01 53 05 35 35 - www.emirates.com
Vols internes :
Oman Air : Aéroport International de Seeb Po Box 58 - Tél. : 00 968 24 519 953 - www.omanair.com
Un pays d’une rare beauté
où l’hospitalité s’inscrit au quotidien pour rendre
votre séjour encore plus agréable et féerique.
D u
luxueux
palace au décor
raf­­finé avec plage privée, à l’hôtel
plus modeste à l’atmosphère chaleureuse et
intime, le Sultanat d’Oman permet à chacun d’accéder au
rêve en tenant compte de ses envies. Palaces, hôtels 4*, hôtels 3*,
hôtels économiques ou camping... les possibilités d’hébergement offrent de
multiples alternatives qui permettent de découvrir ce pays enchanteur sous
toutes les facettes. Plutôt nomade ? Découvrez Oman en 4X4 et ses montagnes
de sable doré dans un cadre insolite comme le désert du Wahiba ou la réserve
des tortues de Ras al-Hadd. À moins que vous ne préfériez le confort feutré d’un
palace et le charme de ses chambres qui signent l’art de vivre et la tradition
d’excellence. Vous n’aurez que l’embarras du choix. De toutes façons, que
vous choisissiez le bord de l’Océan Indien ou l’intérieur du Pays, le Sultanat
d’Oman déploie ses paysages féeriques en alternant décors spectaculaires, plages de sable, wadis et îles paradisiaques.
Ce pays ouvert à tous, propose une infrastructure hôtelière variée pour préparer un voyage sur mesure.
Pensez à réserver le plus tôt possible, notamment pendant les périodes scolaires. La capacité d’accueil
étant en perpétuelle évolution, pour préparer votre séjour dans les meilleures conditions, il est conseillé
de consulter le site Internet de l’Office de Tourisme du Sultanat d’Oman à l’adresse suivante :
http://www.omantourisme.com
Pourquoi séjourner comme tout le monde ?
INFORMATIONS PRATIQUES
Oman, ce qu’il faut savoir
Superficie : 309 500 km2
Population : 2 300 000 habitants.
Régime : monarchie parlementaire.
Langue parlée : l’arabe. Anglais largement répandu.
Climat : méditerranéen chaud au nord et à l’est (très chaud en
été !), tropical avec queue de mousson de juin à septembre au
sud et à l’ouest.
Formalités : passeport valide six mois après la date d’entrée et
visa (délivrable à l’arrivée si on le souhaite pour les ressortissants
de l’Union Européenne). Prévoir un visa “à entrées multiples”
pour pouvoir se rendre au Musandam.
Monnaie : le Rial d’Oman vaut environ 2 Euros (valeur soumise
aux cours de la bourse). Banques, distributeurs et paiement par
carte sont répandus dans tout le pays.
Décalage horaire : + 3 h en hiver, + 2 en été.
Electricité : 220 v.
Shopping : dans les centres commerciaux et les souks (visiter
absolument les souks de Muttrah et Nizwa). Grande variété de
produits locaux : vêtements, bijoux, artisanat, tapis bédouins et
khanjars (poignards en argent et corne sculptée, à lame recourbée),
vannerie, dattes, huile, épices, encens. Et des parfums uniques
proposés dans des flacons luxueux (cristal, or et argent). Ne pas
manquer le souk de l’encens ni le marché aux armes, unique en
son genre à Salalah. Les souks, moins importants mais fréquentés
par les bédouins d’Al Wasil et Al Mintirib.
Sur place : des informations complémentaires sur les réceptifs
et les hôtels, sur notre site : www.omantourisme.com, et le site
officiel du Sultanat d’Oman : www.omantourism.gov.om
Gastronomie : cuisine locale à base de viandes et poissons
grillés, assez épicés et accompagnés de riz. En entrée : diverses
salades et mezzés d’inspiration libanaise. La spécialité locale,
rarement proposée, est le showa : agneau cuit au soleil dans
des feuilles de bananiers...
La plupart des restaurants de Mascate sont indiens.
Au dessert on vous proposera avec le café le fameux “halwa”,
une douceur typiquement omanaise. Le pays compte plus de
60 variétés de dattes et sa boisson traditionnelle est le thé que
vous serez régulièrement invités à partager (par trois fois, en
principe). Il est généralement aromatisé à la cardamome.
Indicatif téléphonique : indicatif pays : 00 968 + indicatif régional
(24 pour Mascate) + numéro du correspondant. Connexion internet
dans les grands hôtels et les cybercafés en ville.
Location de véhicule : la plupart des grands loueurs sont représentés à l’aéroport, à Mascate et à Salalah. Un 4x4 se révèle
indispensable pour l’exploration des wadis, des pistes et dunes
du désert.
Les guides sur Oman :
- “Le grand guide d’Oman et des Émirats” éditions Gallimard
- “Oman” Le Petit Futé
- “A la découverte du Sultanat d’Oman” d’Yvonne et Claude
Cossu
- “Guide d’Oman” de Jalel Bouagga (collection Picollec)
- “Arabian Peninsula” Lonely Planet (Edition Nov. 2004)
Ambassade et Consulat du Sultanat d’Oman
50, avenue d’Iéna, 75116 Paris
Tél. : 01 47 23 01 63 - Fax : 01 47 23 02 25

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