Dubé_Simon

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Dubé_Simon
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L’art de la furtivité
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Splinter Cell (Série)
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Splinter Cell est un jeu d’infiltration à la troisième
personne, développé par Ubisoft. Comme le type le
dit, l’infiltration est de mise, car tu ne doit te faire
repérer sinon il y a des risques de la situation
deviennent incontrôlable et que tu es a recommencer a la dernière sauvegarde. J’aime bien ce jeu ainsi
que sa franchise, car depuis que j’ai environ 10 ans
que je joue aux jeux de la série. J’ai joué au premier
jeu intitulé Tom Clancy’s Splinter Cell sortie en 2002
sur Xbox premier du nom et depuis je suis fan de
l’histoire et des personnages (surtout Sam Fisher,
personnage principal). L'histoire se déroule en 2004.
Sam Fisher un ancien commando de marine de l'US
Navy SEALS devenu agent d'élite d'Echelon 3, une
unité secrète de la NSA (National Security Agency).
Hyper-entraîné dans l'art du déplacement furtif et
de l'infiltration. Son but premier est d'empêcher une
troisième guerre mondiale entre les États-Unis et la
Chine. Il devra opérer en Géorgie, en Chine et sur le
sol américain. L’histoire en tant que telle est ordinaire, mais par contre la façon dont elle nous est
racontée dans le jeu est bien expliquée et s’incruste
bien dans le gameplay. Une lacune du jeu serait que
l’intelligence artificielle pourrait être améliorée à
certain endroit (ennemie trop bête et trop prévisible), mais par contre pour un jeu de 2002 c’est très
acceptable. Le jeu beaucoup plus adapté au débutant, car il y a beaucoup de cutscene qui te montre
ou aller ou quoi faire comme un didacticiel.
En 2004, sort le deuxième opus intitulé Tom Clancy’s
Splinter Cell Pandora Tomorow. La mécanique de jeu
reste pareille, sauf quelques mouvements de base
qui change d’animation. Histoire : En 2006, les
États-Unis installent une base temporaire dans le
Timor Oriental pour entraîner le développement
d'une force de défense. En Asie du Sud-est, la
présence militaire américaine est vive et importante.
La haine anti-américaine se développe et le chef des
guérilleros, Suhadi Sadono, agissant avec le support
officieux de l'état-major corrompu de l'Indonésie. Les hommes de Sadono attaquent et
occupent l'ambassade américaine de Dili,
Timor Oriental, prenant en otage plusieurs
dizaines de militaires et de civils. Sam Fisher
doit défendre et assister l'armée américaine,
à la fois localement et à distance, jusqu'au
renversement du système de Sadono.
L’histoire de cet opus La lacune est
encore l’intelligence artificielle n’à que
très peu évoluée. Un peu moins fait
pour les débutants, car il y a moins
de cutscene comme le premier.
Un ans après, en 2005 nous vient en
force Tom Clancy’s Chaos Theory,
avec des graphismes plus réaliste et
un gameplay amélioré avec de
nouvelles attaques au corps à corps,
soit létale ou non-létale tout dépendant de la gâchette avec laquelle tu
appuie. Cette nouveauté amène une
nouvelle approche à la furtivité.
Maintenant il y a deux manière de
pouvoir tuer un PNJ (Personnage
Non-Jouable), lui tiré dessus avec une
arme ou s’approcher discrètement
derrière lui et le poignarder dans le dos. On peut
même le faire de face si la situation le permet.
L'action se passe en 2007. Le monde est au bord de
la guerre. Les chinois et les nord-coréens s'unissent
contre le Japon en formant un blocus maritime. Sam
Fisher doit d'abord secourir un informaticien de
renom, Bruce Morgenholt, enlevé au Pérou par des
séparatistes péruviens. Leur leader s'appelle Hugo
Lacerda. L'agent Sam Fisher doit retrouver Morgenholt pour récupérer les informations qu'il aurait pu
dévoiler à ces rebelles et éliminer ce Lacerda avant
qu'il ne soit trop tard... Mais ce n'est pas aussi
simple, et des évènements bien plus graves se
profilent. La Corée du Nord et la Chine organisent
des blocus contre les cargos et les navires civils
Japonais, en réponse à la création de l'Intelligence
Self Defence Forces (I-SDF) Japonaise. Les Américains, venant en aide à leurs alliés Japonais,
envoient leur destroyer le plus sophistiqué et le plus
performant au monde : l'USS Clarence E. Walsh,
conçu pour la guerre de l'information. Il y a aussi
une histoire Coop qui est en lien avec l’histoire solo.
On incarne deux Splinter Cell en formation, dont les
informations qu’il récupère sont utilisées
dans le solo. On voit plus le lien en
jouant au solo et ensuite le mode
Coop, car on ré-entant les même
dialogue à certain endroit clé.
L’intégration d’objectif secondaire
ayant un effet sur la note de fin de
mission et le score final. Le fait de tuer et
d’avoir des corps découvert descendent le
score, donc pour avoir un 100% à la fin des
missions, on doit seulement assommer les ennemies et cacher leurs corps. L’intelligence a été
grandement améliorée (ils sont beaucoup
moins
bête.
En 2008, Tom
Clancy’s Double
Agent sort en deux
version différente
(Anciennes consoles : Xbox, PS2, GC
et Wii. Nouvelles consoles : Xbox 360 et
PS3) mais en ayant semblablement la même
histoire avec quelques différence mineur. Le
jeu se déroule en 2008, après les précédents
opus de la série des Splinter Cell. Sam
Fisher est rappelé d'urgence par Echelon 3
pour une mission en Islande : une centrale
géothermique serait infiltrée par des terroristes et la
NSA a besoin de renseignements. Il a à peine le
temps de laisser un mail à sa fille Sarah pour lui
signaler qu'il s'en va. Arrivé en Islande, Sam doit
infiltrer la centrale, avec l'aide d'un coéquipier, un «
bleu » au tempérament fonceur. L'occasion pour lui
de le former avec cette « mission de routine ».
La mission terminée, Lambert lui apprend une
terrible nouvelle : sa fille est morte, visiblement
renversée par un chauffard. Ensuite, c'est la
descente aux enfers pour Sam, il n'est plus que
l'ombre de lui-même. Comme il n'avait plus rien à
perdre, Lambert lui confiera « la pire mission de sa
carrière » : il devra infiltrer une puissante organisa-
tion criminelle, connue sous le nom de JBA (John
Brown's Army). Sam effectua un braquage manqué
et assassina plusieurs civils après la mort de sa fille,
après quoi il fut incarcéré, dans le but d'entrer en
contact avec un des membres de l'organisation,
Jamie Washington, lui aussi emprisonné. Ensemble,
ils s'évadent pour rejoindre la JBA. Commence alors
une double vie pour Sam Fisher, tiraillé entre deux
organisations : la NSA d'un côté, la JBA de l'autre. La
mécanique est semblable au précédant sauf qu’au
lieu de perdre des pourcentages, on gagne ou on
perd de la confiance d’une des deux organisations.
En 2010 vient Tom Clancy’s Splinter Cell Conviction.
Sam Fisher est un ancien espion qui travaillait pour
une entité secrète de la NSA : Échelon 3. Après avoir
perdu sa fille, Sam infiltra une organisation terroriste
en tant qu'agent double. Cela se termina mal :
malgré la dissolution de l'organisation et l'élimination du chef par Sam, ce dernier fut traqué par le
gouvernement américain.
Depuis quelques années donc, Sam est un fugitif,
travaillant seul pour retrouver l'assassin de sa fille.
Cela le mène à la capitale du pays qui l'a abusé :
Washington, D.C. Son enquête personnelle lui fait
découvrir un complot qui menace les États-Unis.
Sam doit travailler avec d'anciens amis en qui il n'a
plus confiance pour sauver ce pays qui l'a exploité et
surtout, découvrir la vérité sur sa fille. Cet opus vient
changer la mécanique beaucoup plus axé sur
l’action et l’agressivité en oubliant le coté plus furtif
des ancien.
Moi en tant que fan de l’infiltration, j’ai été un peu
surpris par les nouvelles mécaniques de jeu, mais en
somme ça crée des scènes d’action plus intense et
vivant que dans les précédent opus. La pris en main
des déplacements prend un peu de temps a comprendre et a être a l’aise avec. Le seul point faible de
ce jeu est la durée, car en six heures ils est fini.
Je suis en attente du prochain dénommé Tom
Clancy’s Splinter Cell Blacklist.