Coupure de presse modele.pub - Ministère de l`Energie et des Mines

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Coupure de presse modele.pub - Ministère de l`Energie et des Mines
DÉPARTEMENT DE L'ENERGIE ET DES MINES Division de la Communica on ‐ Vendredi 19 septembre 2014
SOMMAIRE 
Projet énergé que : Les Japonais en tête des bailleurs de fonds de la centrale
thermique de Safi.

Electricité : Conven on de coopéra on entre l’ONEE et la SNE du Tchad.

Une centrale thermique à Safi pour couvrir 25% de la demande na onale
d’électricité.

Forum « Elec Expo » : Du 15 au 18 octobre 2014 à Casablanca.

Produc on électrique : 23 MMDH pour la sta on de Safi.

Le soleil fait fes val : 1ère édi on du 17 au 19 octobre à Ouarzazate.

Produc on d’électricité : Méga‐projet d’inves ssement à Safi.

Imacid récompense son écosystème industriel.

Projet de la centrale thermique de Safi : Signature des documents de contrats
d’inves ssement pour 2.6 milliards de dollars US.

Projet de la centrale thermique de Safi. Signature de contrats d’inves ssement d’un
montant de 2.6 milliards de dollars US.

Centrale thermique de Safi : La centrale qui coûte 2.6 milliards de dollars US.

Conven on de coopéra on générale entre l’ONEE et la SNE du Tchad.

L’ONEE mise sur la transparence.
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Le spinosaurus : Le jurassic park marocain.
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Le résultat net de Managem plonge de 29%.
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OCP : La hausse des exporta ons n’a pas pu limiter la chute des cours.
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La SMI dégage un bénéfice en repli de 33% à fin juin.
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Managem : Des résultats impactés par des facteurs exogènes.

Groupe OCP : 3 milliards de bénéfices au premier semestre.
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Environnement/Exploita on des carrières : Mieux vaut tard que jamais.
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Managem : résultats du groupe au 30 juin 2014.

Le montage financier de la centrale thermique de Safi finalisé.
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Coopéra on énergé que : L’ONEE s’allie à la SNE du Tchad.
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Parc éolien Foum El Oued de Nareva : Un modèle d’inves ssement réussi en zone
aride.
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Résultats semestriels du groupe OCP : Moins de bénéfices et encore plus de ventes
d’engrais.
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Morocco Solar : Fes val dédié au Soleil.
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OCP : résultats semestriels en léger recul.
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Managem : La baisse des cours impacte les résultats.

Le pipeline OCP opéra onnel.

ALD Automo ve décroche le marché ONEE.

Libéralisa on du secteur de l’électricité : McKinsey‐Wafa Trust sélec onné pour
conseiller l’ONE (Office Na onal de l’Electricité).
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Phosphates : il n’y a pas de crise.
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Vivo Energy Maroc : en acteur engagé.
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Exporta ons marocaine des phosphates : 25.06 milliards de dirhams à fin août.
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Conseil d’administra on de Managem : CA consolidé à 1889 MDH au 1er semestre.

Environnement / Eviter une catastrophe écologique à Taourirt : Une priorité.
‫ التوقيع على ع ق ود اس ت ث م ار ال م ح ط ة‬.‫ اعمارة ھذا المشروع أكبر استثمار أجنبي من نوعه بالمغرب‬
.‫ مليار درھم‬23 ‫الحرارية آلسفي ب‬

.‫توقيع أول مذكرة تفاھم في مجال البيئة بين المغرب وتركيا‬

‫‪‬‬
‫‪‬رئيس الحكومة يترأس بالرباط مراسيم التوقيع على ع ق ود االس ت ث م ار ال م ت ع ل ق ة ب م ش روع ال م ح ط ة‬
‫الحرارية آلسفي‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬بيئة‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬النفايات الصلبة والطبية تسبب أمراضا وتشوھات‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬خبراء يدعون لمواجھة التلوث البيئي بالحد من النمو االقتصادي‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬أكبر محطة حرارية بآسفي بقيمة ‪ 23‬مليار درھم‪.‬‬
‫األخبـار‬
‫‪‬‬
‫‪‬شرفات أفيالل‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬الشرطة البيئية تفتح تحقيقا حول نفايات صلبة بالقرب من اإلقامة الملكية بالمضيق‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬إنتاج الطاقة الكھربائية يرتفع بأزيد من ‪ 4‬في المائة إلى غاية يوليوز الماضي‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬زاكورة ‪ :‬بسبب محدودية الموارد المائية وتراجع التساقطات ال م ط ري ة‪ ،‬أف ي الل ت ق ت رح ح ل وال ل ن درة‬
‫المياه‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬مجمع الفوسفاط يساھم في إحداث ‪ 150‬مقاولة في ظرف سنتين‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬التوقيع على عقود االستثمار الخاصة بمشروع المحطة الحرارية آلسفي‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬كارثة بيئية تھدد شاطئ القنيطرة بسبب قنوات مشروع سكني‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬سافييك المغربية تحصل على ‪ 2.6‬مليار دوالر لبناء محطة كھربائية تعمل بالفحم‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪ 2.6‬مليار دوالر إلنجاز المحطة الحرارية آلسفي‪.‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬اإلعالن بالرباط عن تنظيم جائزة اإلمارات للطاقة بمنطقة "مينا" خالل اكتوبر ‪.2015‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬ارتفاع إنتاج الطاقة الكھربائية بنسبة ‪ 4.8‬في المائة حتى متم يوليوز ‪.2014‬‬
‫‪‬‬
‫‪‬إطالق مشروع محطة حرارية بآسفي بكلفة ‪ 2.6‬مليار دوالر‪.‬‬
Info NET alyaoum24.com ‫البيجيدي يطالب الحكومة بضبط استھالك المؤسسات العموم ي ة ل ل م اء‬
.‫والكھرباء‬

.2015 ‫الحكومة تستعد إللغاء دعم الغازوال في القانون المالي لسنة‬

www.hespress.com
usinenouvelle.com 
GDF‐Suez et ses partenaires lancent le projet de
méga‐centrale à charbon de Safi au Maroc.
lefigaro.fr 
Gaz de schiste : une pollu on iden fiée.
lemag.ma 
Climat : il faut "changer de cap" pour maîtriser le
réchauffement de la planète.
enerzine.com

Des chercheurs développent la première pile nucléaire à
base d’eau.
Eco‐Marché
‫‪Info NET ‬‬
‫‪www.alyaoum24.com ‬‬
‫البيجيدي يطالب الحكومة بضبط استھالك المؤسسات العمومية للماء والكھرباء‪.‬‬
‫بعد الدعوات المتكررة التي وجھتھا الحكومة للمواطنين لترشيد استھالك الماء والطاقة الكھربائية في م ن ازل ھ م‪،‬‬
‫وجه فريق العدالة والتنمية في مجلس النواب سؤاال كتابيا إلى جميع القطاعات ال ح ك وم ي ة يس ت ف س ر ع ن م دى‬
‫التزام الحكومة نفسھا بھذا اإلجراء‪.‬‬
‫السؤال الذي حمل توقيع النائب حسن الحارس‪ ،‬استفسر مكونات الحكومة عن سي اس ت ھ ا ف ي ت رش ي د اس ت ع م ال‬
‫الكھرباء والماء باإلدارات والمؤسسات العمومية والمرافق التابعة لھا‪ ،‬موضحا أن بعض ھذه المراف ق “ت ع رف‬
‫استعماال مفرطا للمكيفات وكما يتم ترك المصابيح مضيئة ل ف ت رات ط وي ل ة ب دون ال ح اج ة إل ي ھ ا‪ ،‬إل ى ج ان ب‬
‫االستعمال المفرط للماء”‪.‬‬
‫إلى ذلك‪ ،‬أبرز فريق البيجيدي في مراسلته أن الخصاص الكبير الذي يعاني منه المغرب في الطاقة والماء‪ ،‬وم ا‬
‫ينتج عنه من ارتفاع التكلفة الطاقية وكذا النذرة المتزايدة في الماء‪ ”،‬ال يواجه بسياس ة ت رش ي دي ة ف ي اس ت ع م ال‬
‫ھاتين المادتين الحيويتين‪ ،‬خاصة في المرافق العمومية‪ ”.‬مع اإلشارة إلى أن العديد من المناطق المغربية تعرف‬
‫خصاصا كبيرا في الماء أعلنت على إثره مناطق منكوبة‪.‬‬
‫‪www.hespress.com ‬‬
‫الحكومة تستعد إللغاء دعم الغازوال في القانون المالي لسنة ‪ .2015‬‬
‫أخبار اليوم المغربية ـ الحكومة تستعد إللغاء دعم الغازوال في القانون ال م ال ي لس ن ة ‪ ..2015‬مص ادر كش ف ت‬
‫للجريدة أن توجھات الحكومة‪ ،‬التي تمت مناقشتھا بخلوة إفران‪ ،‬نھاية األسبوع‪ ،‬ھ ي أن ه "ف ي ح ال ة اس ت م رار‬
‫أسعار المحروقات في االنخفاض فإن الحكومة ستلغي الدعم كليا عن الغازوال بدءا من يناير ‪."2015‬‬
‫‪www.usinenouvelle.com ‬‬
‫‪GDF‐Suez et ses partenaires lancent le projet de méga‐centrale à charbon de Safi ‬‬
‫‪au Maroc. ‬‬
‫‪A côté de la centrale à charbon de Safi, le groupe de Gérard Mestrallet a déjà lourdement‬‬
‫‪inves dans l'éolien au Maroc en JV avec Nareva. Le consor um cons tué de GDF Suez, du‬‬
‫‐‪marocain Nareva et du japonais Mitsui vient de boucler le financement de la future cen‬‬
‫‪trale à charbon supercri que de Safi au sud de Casablanca. Un projet à 2,3 milliards de‬‬
‫‪dollars pour 1 386 mw de capacité réalisé par Daewoo.‬‬
‫‪C’est par . Le consor um industriel Safiec comprenant GDF Suez a bouclé le financement‬‬
‫‪du méga central à charbon de Safi au sud de Casablanca. Ce projet, en gesta on depuis‬‬
‫‐‪près de dix ans, consiste en la construc on de deux tranches de 693 MW selon la techno‬‬
‫‪logie ultra supercri que, dite charbon propre. Ce financement assuré, le projet va donc‬‬
‫‪pouvoir être lancé, selon un communiqué de GDF Suez du 18 septembre.‬‬
Outre GDF Suez pour 35%, le consor um Safiec (Safi Energy Compagny) est détenu à 35%
également par le marocain Nareva (filiale de SNI, holding de la famille royale) et le japo‐
nais Mitsui & Co pour 30%. Safiec avait été retenu pour ce projet en 2010 à l’issue d’un
processus d’appel d’offres interna onal de l’Office na onal marocain de l’électricité et de
l’eau potable (ONEE).
Le consor um assurera l’exploita on et la maintenance de la centrale une fois celle‐ci
construite. L’électricité produite sera vendue à l’ONEE pendant 30 ans dans le cadre d’un
contrat d’achat et de fourniture d’électricité signé en 2013, selon le régime IPP.
La centrale devrait entrer en fonc on en 2018 et assurera plus d’un cinquième de la de‐
mande du Maroc. Elle consommera plus de 3 millions de tonnes de charbon par an et des
associa ons écologistes locales se sont inquiétées ces derniers mois de son impact sur
l'environnement.
L’équipemen er sud‐coréen Daewoo Engineering & Construc on Co se chargera de la
construc on dans le cadre d’un contrat EPC. "Le contrat de construc on […] d’un montant
de 1,8 milliard de dollars a été signé le 9 août 2013 entre ce constructeur et la société SA‐
FIEC", rappelle le communiqué de GDF‐Suez. Le chan er doit employer 3 200 personnes.
La centrale en phase d’exploita on comptera 400 salariés.
LE JAPON FINANCE Les représentants des par es prenantes et des banques ont signé le programme de finan‐
cement le 17 septembre à Rabat en présence du chef du Gouvernement Abdelilah Benki‐
rane, de membres du gouvernement et des ambassadeurs de France du Japon et de Corée
du Sud.
Le pool financier est cons tué d’un groupement de banques marocaines et interna o‐
nales. JBIC, la banque japonaise pour la coopéra on Interna onale, la Banque Islamique
de développement (BAD) ainsi que les banques commerciales marocaines (A jariwafa
bank et Banque centrale populaire) sont les principaux bailleurs de fonds, selon le com‐
muniqué de GDF‐Suez.
Impact économique local Maroc, le sujet de la retombée pour les entreprises na onales des grands contrats est un
sujet brulant. Et GDF‐Suez veut prendre les devants. Dans son communiqué le groupe in‐
dique que dès la construc on et durant son exploita on, la centrale "contribuera forte‐
ment à la dynamique de développement économique et social du Royaume, et par culiè‐
rement celle de la région de Safi et ce, notamment en terme de créa on d’emplois et de
recours aux presta ons des PME‐PMI locales".
Selon le groupe français, le projet perme ra "la valorisa on des infrastructures por‐
tuaires, ferroviaires et électriques existantes ou en cours de réalisa on, dont le nouveau
port de Safi devant abriter le quai charbonnier qui alimentera la centrale en charbon". Les
travaux du port avaient été lancés par le roi du Maroc en avril 2013.
JBIC financera le projet à hauteur de 900 millions de dollars alors que les banques interna‐
onales soutenues par le Japon contribueront pour 485 millions de dollars. La Banque
islamique pour le développement (69 millions de dollars), des banques interna onales
(100 millions de dollars) et d’autres inves sseurs (535 millions de dollars) viendront com‐
pléter les 500 millions de dollars apportés par les banques marocaines.
La construc on de la centrale de Safi vise à suivre la hausse de la demande électrique du
Maroc qui est de 4 à 6 % par an pour une capacité actuellement installée de l'ordre de 7
GW. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un plan de "renforcement de la capacité 2013‐2018
d’une puissance globale de l’ordre de 5 240 MW avec un inves ssement es mé à 94 mil‐
liards de dirhams [9 milliards d’euros NDLR]." a indiqué Abdelkader Amara, ministre de
l’énergie lors de la signature de l’accord de financement.
GDF SUEZ DEJA PRESENT AU MAROC L’accroissement de capacité passe par 2 406 MW à base de charbon, 1 720 MW de puis‐
sance éolienne, 500 MW en énergie solaire, 520 MW en énergie hydroélectrique et 90
MW à base de fioul, selon le ministre.
A côté de ce projet de Safi, JLEC une autre centrale à charbon située à Jorf Lasfar et appar‐
ent au groupe émira Taqa, a vu, en début d'année, l'ouverture de deux nouvelles
tranches totalisant 700 MW, un chan er réalisé par Daewoo.
Quand à GDF Suez, il est au Maroc en terrain connu. Le groupe dirigé par Gérard Mestral‐
let a déjà construit avec son partenaire dans Safi, Nareva Holding, le parc éolien de Tarfaya
dans le sud du royaume (301 MW), le plus grand d'Afrique, qui doit entrer en fonc onne‐
ment à pleine capacité d’ici à la fin de l’année. GDF‐Suez est aussi l'un des cinq candidats à
l'appel d'offre éolien de 850 MW que vient de confirmer l'Office de l'électricité et où il
affronte notamment Edf... et Nareva.
www.lefigaro.fr
Gaz de schiste : une pollu on iden fiée.
La qualité des forages et non la fractura on serait responsable de la pollu on des nappes
d'eau. Finalement, l'exploita on du gaz de schiste, accusée de tous les maux pour ses con‐
séquences sur l'environnement et les nappes d'eau potable, situées à moins de 500
mètres de profondeur, pourrait être moins cri quée.
La fractura on hydraulique et les forages horizontaux ne seraient pas responsables de la
pollu on des nappes phréa ques, proches des zones de récupéra on du gaz de schiste,
selon une étude publiée le 15 septembre dans Pnas, la revue de l'Académie des sciences
des États‐Unis. La principale cause de diffusion des hydrocarbures, qui empoisonnent
l'eau potable, serait à trouver dans la qualité du ciment et l'uniformité du revêtement des
puits de produc on, par lesquels s'échappe le gaz vers la surface.
«C'est une rela ve bonne nouvelle car cela veut dire que la plupart des problèmes que
nous avons iden fiés peuvent être poten ellement résolus par de futures améliora ons
de l'intégrité des puits », assure Thomas Darrah, principal auteur de ce e recherche.
Ce dernier, professeur assistant en sciences de la terre à l'université de l'Ohio, avec des
collègues des universités américaines de Duke, Stanford, Dartmouth et Rochester ont me‐
suré jusqu'en novembre dernier 133 échan llons d'eau dans des nappes aquifères, préle‐
vés dans deux zones d'extrac on de gaz de schiste, au Texas (champs de Barne ) et entre
la Pennsylvanie et le nord‐ouest de l'État de New York (Marcellus).
Les scien fiques ont mesuré dans les échan llons d'eau, les concentra ons de gaz rares
(comme l'hélium, le néon, l'argon, etc.) qui servent de traceurs pour déterminer l'origine
de la pollu on
L'originalité de ce travail ent dans la méthode employée pour déterminer l'origine de la
pollu on: une migra on à travers la roche des hydrocarbures (méthane, éthane...) ou une
pollu on liée aux ac vités humaines. Les scien fiques ont mesuré dans les échan llons
d'eau, les concentra ons de gaz rares (comme l'hélium, le néon, l'argon, etc.) qui servent
de traceurs pour déterminer l'origine de la pollu on.
Car ces gaz sont inertes d'un point de vue chimique et biologique: ils ne réagissent pas
lors de leur migra on en même temps que les hydrocarbures et ne sont pas digérés par
des bactéries. En connaissant la concentra on de gaz rares dans la croûte terrestre, l'hy‐
drosphère (les eaux proches de la surface) et l'atmosphère, il est alors possible de déter‐
miner l'origine de la pollu on dans les nappes aquifères.
Ainsi, sur les 8 pollu ons mesurées dans les deux champs américains, 7 sont liées à l'inté‐
grité des puits et le hui ème à une faille dans un puits provoquée par une erreur de fo‐
rage. «Déterminer le mécanisme de contamina on va donc améliorer la sûreté et les con‐
di ons économiques de produc on du gaz de schiste», espèrent les auteurs de l'étude.
Surtout, la méthode peut être reproduite à un coût assez faible pour «diminuer les pro‐
blèmes de contamina on de l'eau potable et les inquiétudes soulevées par le public à pro‐
pos de l'extrac on du gaz de schiste ».
Outre les États‐Unis, où ce e ressource représente déjà plus d'un ers de sa produc on
de gaz, l'Argen ne, la Chine, l'Écosse, l'Irlande et la Pologne me ent l'accent sur ce e pro‐
duc on. Prudents, les chercheurs souhaitent que de futurs travaux déterminent si de
grands volumes d'eau et de hautes pressions nécessaires pour la fractura on hydraulique
et les forages horizontaux influencent l'intégrité des puits.
www.lemag.ma Climat : il faut "changer de cap" pour maîtriser le réchauffement de la planète. New York ‐ L'envoyée spéciale des Na ons unies sur le changement clima que Mary Ro‐
binson a appelé mercredi à "changer de cap" pour maîtriser le réchauffement de la pla‐
nète, à quelques jours de la tenue du sommet sur le climat au siège des Na ons unies à
New York.
Plus de 120 chefs d'Etat et de gouvernement sont a endus pour ce e réunion censée
donner un nouvel élan aux négocia ons clima ques, en prévision d'une grande confé‐
rence mondiale l'an prochain à Paris. "Il faut changer de cap, prendre des décisions qui
nous ramènent vers un monde plus sûr, où la hausse de température ne dépasse pas 2 de‐
grés Celsius. Or nous n'allons pas dans ce e direc on", a déclaré Mme Robinson, citée par
l'AFP.
L'objec f des négocia ons est de s'entendre sur les moyens de limiter à deux degrés Cel‐
sius le réchauffement de la planète par rapport à l'ère pré‐industrielle. Or selon les scien ‐
fiques, si les émissions de gaz à effet de serre se main ennent au niveau actuel, la planète
devrait gagner quatre à cinq degrés à la fin du siècle. "Il s'agira du plus grand rassemble‐
ment de chefs d'Etat jamais organisé sur le problème du climat, à un moment où le
monde a pris conscience qu'il faut agir d'urgence", souligne‐t‐elle.
L'ancienne présidente irlandaise a été nommée en juillet par le secrétaire général de
l'ONU Ban Ki‐moon pour préparer le sommet, considéré comme une étape essen elle
pour éviter de répéter à Paris l'échec de la conférence de Copenhague de 2009. Le som‐
met aura lieu à la veille de la session plénière annuelle de l'Assemblée générale de l'ONU,
où les dirigeants mondiaux passeront en revue les crises du moment.
Mme Robinson "espère que le sommet clima que suscitera un grand élan et quelques
surprises et donnera le sen ment que nous pouvons surmonter ce problème majeur".
"C'est le problème le plus urgent pour la planète, le plus important". Bien que le sommet
ne fasse pas par e formellement du cycle de négocia ons clima ques, Ban Ki‐moon a de‐
mandé aux chefs d'Etat et de gouvernement présents de dévoiler leurs plans d'ac on et
de prendre des engagements afin de faciliter un accord à Paris en décembre 2015.
Selon Mary Robinson, la réunion va déboucher sur des ini a ves concrètes, dont une dé‐
clara on sur la tarifica on du carbone et des partenariats dans des secteurs comme l'agri‐
culture, les obliga ons vertes ou la forêt. "Il y aura une déclara on sur le carbone à la‐
quelle se rallieront un grand nombre d'Etats et d'entreprises importantes", a‐t‐elle indi‐
qué.
Ce e déclara on ne fixera pas un tarif unique mais aidera à faire adme re l'idée qu'il faut
faire payer les émissions de dioxyde de carbone (CO2). Mme Robinson par cipera aussi
dimanche à New York à une grande Marche pour le climat où les organisateurs a endent
150.000 personnes.
www.enerzine.com Des chercheurs développent la première pile nucléaire à base d’eau. On le constate tous les jours, les piles ou ba eries qui alimentent nos lampes de poche,
téléphones portables en passant par la voiture jouent un rôle crucial dans notre vie; Des
scien fiques et entreprises technologiques cherchent constamment des procédés pour
améliorer leur efficacité et leur durée de vie.
Pour la première fois en u lisant une solu on à base d'eau, des chercheurs de l'Université
du Missouri ont créé une ba erie nucléaire (cf. défini on bêtavoltaïque) ‐ durable et plus
efficace ‐ qui pourrait être u lisée pour de nombreuses applica ons comme une source
d'énergie fiable dans les automobiles, ainsi que dans les applica ons complexes telles que
le vol spa al.
"Le bêtavoltaïque, une technologie de ba erie qui génère de l'énergie grâce aux rayonne‐
ments, a été étudié comme une source d'énergie depuis les années 1950", a déclaré Jae
W. Kwon, professeur agrégé de génie électrique et informa que et de l'ingénierie nu‐
cléaire dans la faculté de l'Université du Missouri.
"Les technologies nucléaires contrôlés ne sont pas dangereux en soi. Il existe déjà de nom‐
breuses applica ons commerciales u lisant des technologies nucléaires dans nos vies,
comme les détecteurs d'incendie dans les chambres ou les enseignes de sor e d'urgence
dans les bâ ments".
Dans notre cas, la ba erie u lise un isotope radioac f, le stron um‐90, qui s mule l'éner‐
gie électrochimique dans une solu on à base d'eau. Une électrode de dioxyde de tane
nanostructuré (un élément des filtres solaires et bloqueurs d'UV) avec un revêtement de
pla ne permet de recueillir et de conver r efficacement l'énergie en électrons.
"L'eau agit comme un tampon et la surface de plasmons créée dans le disposi f s'est avé‐
rée être très u le pour en augmenter l'efficacité", a déclaré Jae W. Kwon. "La solu on io‐
nique ne se solidifie pas facilement à des températures très basses et pourrait s'appliquer
dans divers domaines, notamment les ba eries de voiture et, si elle est encapsulée cor‐
rectement, dans un engin spa al".
Défini on (Wiki) : Un générateur bêtavoltaïque est un générateur électrique qui Ɵre son énergie d'une émission radioacƟve de parƟcules ß-, c'est-à-dire des électrons. Un isotope radioacƟf de l'hydrogène, le triƟum, est une des sources principalement étudiée. Contrairement à la plupart
des sources nucléaires, qui uƟlisent une réacƟon nucléaire pour générer l'énergie qui sera
transformée en électricité (thermoélectrique et ionique), les bêtavoltaïques reposent sur
un processus de transformaƟon non-thermique.
Eco‐Marché
Energie – Mines
OPEC
95.19 $/baril
▼
(-0.01)
Brent (IPE)
97.70 $/baril
▼
(-1.30)
Gaz naturel
3.91 $/MBTU
▼
(-2.63)
PETROLE
GAZ
(Sources : http://www.oil-price.net / http://www.opec.org)
Métaux
Cuivre
6 918.00 $/T
▼
(-0,57 )
Plomb
Zinc
2 246.50$/T
▼
(-0.38)
OR
Argent
1845.20 Cts/
Once
▼
(-1.13)
Aluminium
Nickel
17 875.00 $/T
▼
(-0.22)
Etain
2077.00 $/T
▼
(-0.67)
1223.50
$/Once
▼
(-1.09)
1949.50 $/T
▼
(-0,84 )
21 200.00 $/T
▲
(+0,71 )
(Source : http://bourse.lesechos.fr/matieres_premieres.phtml)
Taux de Change Contre Dirham
Cours achat
1 EURO
1 DOLLAR U.S.A
1 LIVRE STERLING
Cours vente
11.0620
▼
(-0.002)
11.1290
▼
(-0.002)
8.5856
▲
(+0.005)
8.6371
▲
(+0.005)
14.0630
▲
(+0.008)
14.1480
▲
(+0.008)
(Source : http://www.bkam.ma)