Ne votez plus pour ce conseiller d`Etat sans pitié!
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Ne votez plus pour ce conseiller d`Etat sans pitié!
AN06-2, ocobre 2006 ACUSA -News Association Contre les Usines d’Animaux Canton de Fribourg: Ne votez plus pour ce conseiller d’Etat sans pitié! «Ses vaches crev Des années durant, un agriculteur fribourgeois a négligé gravement son bétail. Malgré une condamnation, cette situation perdurait. C., responsable suprême en la matière, a laissé faire ce récidiviste accroc à l’alcool étant contre une interdiction de détenir des animaux. Ainsi, l’interdiction préconisée par l’Office vétérinaire cantonale avait été balayée. C. avait pitié du coupable mais pas des animaux affamés et assoiffés, logés sur leur fumier. Cette absence de compassion envers des êtres sensibles sans défense est inacceptable lorsqu’on remplit une fonction gouvernementale. Ne votez plus pour lui! L’agriculteur C. de Châtel-St-Denis est un récidiviste bien connu de la protection des animaux. Cet été, la police a dû intervenir en urgence afin d’abreuver et nourrir ses vaches. Il faisait 34 degrés ce jour-là! La population est indignée de voir ces maltraitances à répétition mais craint l’agriculteur, jugé violent. Pendant son internement dans une clinique psychiatrique, son bétail avait été vendu d’office. Avec l’argent de la vente, il s’est racheté du bétail et tout a continué comme avant. impuissant devant C., son supérieur et paysan luimême avant de devenir conseiller d’Etat. Celuici s’oppose une fois de plus à une décision qui interdirait à C. de détenir du bétail. Sur les pages suivantes, des exemples mettent en évidence le mépris de la loi. Et la situation ne changera pas aussi longtemps qu’un conseiller d’Etat, dédaignant les animaux, sera en charge d’appliquer cette loi. Ne votez plus pour ce conseiller d’Etat sans pitié! Occasionnellement, il oubliait de traire ses vaches ou de libérer les tétines des machines à traire. Pour faire avancer ses vaches plus vite, il les poussait de son véhicule. Des témoins ont vu des jarrets blessés. Des bénévoles prêts à aider C. et surtout ses animaux ont été vite découragés par le caractère irascible et agressif du bourreau d’animaux. Cette situation dure depuis des années, malgré une condamnation a la prison avec sursis. C. menace maintenant de se suicider si on lui enlève son bétail. Le vétérinaire cantonal du canton de Fribourg dit avec justesse que «les animaux ne doivent pas devenir des boucs émissaires pour pallier les problèmes humains». Mais il semble 2 aient de soif!» T ous les êtres sur cette terre ont une sensibilité comme nous. Tous les êtres recherchent le bien-être comme nous. Tous les êtres aiment, souffrent et meurent comme nous. Dieu les a créés et leur a attribué la même valeur que celle qu’Il nous a offerte – ce sont donc nos frères. François d’Assise (1182-1226) Peinture de Rudolf Koller: à l’abreuvoir 3 Les por cs sont des animaux intelligents et sensibles Le por c domestiqué a gar dé intact le compor tement pr opr e à son espèce, tout comme le sanglier de Er win Kessler, président d’ACUS Les porcs sont des animaux intelligents et curieux, similaires aux chiens. Les porcelets aiment jouer et explorer spontanément leur environnement si celuici s’y prête. Le jeu est une expression de bien-être. On n’observe cependant plus ce comportement dans l’environnement concentrationnaire, carcérale et monotone qu’on leur inflige. Les porcelets aiment galoper comme des petits fous. Ils adorent sautiller, courir en zigzag ou en décrivant des cercles. Se chamailler est un de leurs jeux préférés. Ces amusements se déroulent en groupe, les animaux ne s’éloignent pas trop de leur mère. Le lien étroit entre jeu et exploration explique qu’une simple botte de paille devient une aubaine pour eux. Même les animaux plus âgés sont stimulés, font des sauts de joie, secouent et mordillent la paille, en font un tas qu’ils dispersent ensuite. Les truies et les verrats trottent et galopent ensemble à travers pré, s’amusent à arracher des mottes d’herbe avec les racines. Ils aiment jouer avec des petits objets et les prennent dans leur gueule. devient inquiète. Elle perd l’appétit et cherche à s’isoler dans un endroit qui lui semble idéal pour faire son nid, qu’elle gardera impeccablement propre. Les truies qui vivent dans un enclos naturel cherchent instinctivement un endroit à l’abri du vent, soit près de la forêt ou dans un creux. J’ai ainsi vu une truie dans une fabrique d’animaux, juste avant la mise bas, faire des gestes de creuser un nid sur le sol en béton. Elle creuse le nid avec son groin, dépose la terre à la surface tout autour et va chercher à 50 mètres à la ronde des matériaux pour le rembourrer, tels que herbe sèche, feuillage, brins de bois, fougères. La truie, tête levée, transporte et dépose tout ce qu’elle trouve près du nid. Petit à petit, elle en tapisse la paroi avec soin et tourne autour de son ouvrage pour repousser de ses pattes avant ce qui ne serait pas bien arrangé. Une fois le creux matelassé, elle y ajoute des matériaux plus doux. Les porcs domestiqués ont gardé intact le même comportement que les sangliers si l’environnement s’y prête. Le fait d’être né dans une fabrique d’animaux ne modifie en rien cet instinct. Trois à quatre jours avant la mise bas, la truie 4 Dans les fabriques de porcs, on supprime brutalement tout ce qui fait partie des besoins de ces animaux. Les porcheries à label sont un peu meilleures mais la possibilité de creuser des trous n’existe pas non plus ici. Etre privés de tout ce qui correspond à leurs besoins signifie souffrance et stress tout au long de leur vie. Comme les chiens, les porcs sont des animaux exigeants. Raison pour laquelle on ne devrait pas les manger et en conséquence, ils ne devraient pas être exploités comme animaux de rente. - 5 Conséquences désastreuses dues à l’ fribourgeois C. en Des fabriques d’anim res, comme dans des sur la protection des Quelques exemples, choisis au hasard, dém vigueur. Ce type de détention est monnaie attitude du conseiller d’Etat charge de la protection des animaux: aux concentrationnaipays où aucune loi animaux n’existe. montrant la non-application de nos lois en courante dans le canton de Fribourg. Vuisternens devant Romont, en direction de La Magne Vuisternens devant Romont (en direction de La Magne) 8 Vuisternens devant Romont Comme dans des pays sans loi sur la protection des animaux Sâles en Gruyère Comme dans des pays sans loi sur la protection des animaux. 10 Sâles en Gruyère En toute franchise comme dans des pays sans protection d’animaux. Sâles en Gruyère Comme dans des pays sans loi sur la protection des animaux. 15 Sâles en Gruyère C., conseiller d’Etat, à la direction des institutions, de l’agriculture et des forêts. Cet homme est responsable que la détention des animaux est comme dans des pays sans loi sur la protection des animaux. Ne votez plus pour lui! Donnez plutôt une chance aux animaux sans défense. 16 déchet Mangez végétarien - pour votre santé et par respect des animaux! Manger plus de légumes réduit le risque de cancer du côlon et du pancréas. Michèle Hunziker ne mange pas de viande Migros ment Dans notre dernière édition, des photos accablantes montrent que depuis 15 ans, les mêmes situations déplorables règnent dans les élevages de poules. L’état misérable du plumage est de surcroît considéré comme normal par la Migros. Dans une réponse envoyée à des lecteurs, la Migros prétend que ces photos sont anciennes et qu’entre-temps, les conditions de détention ont été améliorées partout. En même temps Migros admet les faits critiqués par ACUS et les justifie avec des mensonges: « L’âge est souvent la raison d’un vilain plumage, mais aussi l’arrachement réciproque des plumes.» Cet argumentation est mensongère car les poules en question, dans un état déplorable, sont des animaux jeunes, d’une année environ, dont la durée de vie devrait normalement être de 10 ans. Mais les poules des fabriques d’animaux sont «éliminées» à l’âge de quinze mois c’est à dire avant la première mue simplement parce que pendant cette période elles ne pondent pas. D’autre part, l’arrachement des plu- 19 Cette constatation résulte d’une recherche de l’Université de Californie. Manger des légumes cinq fois par jour abaisse de 50% le risque de cancer par rapport à une consommation de deux portions de légumes par jour .Source: Saldo no 15/ 2005 Migros veut faire croire que ces poules maltraitées et malades sont en parfaite santé! mes admis par Migros est un comportement maladif qu’on trouve fréquemment dans ces détentions contraires aux besoins des animaux. Lettre ouverte à C. Concerne les vaches "crevant de soif " de l’agriculteur C. Monsieur C.. Mon mari et moi-même ne sommes nullement surpris devant cette maltraitance évidente et répétitive qui n'est de loin pas un cas unique. Ayant vécu dans les verts pâturages gruyèriens, nous avons été les témoins directs de plusieurs cas de maltraitance chez des éleveurs. Si vous voulez donner une chance à tout agriculteur incapable de gérer son exploitation, il faudra vous recycler, devenir "diseur de bonne aventure" et distribuer des chances à la volée! En effet, un certain syndic reconnaissait que dans le canton de Fribourg, il existe de très nombreux "cas sociaux" (comme dans d'autres cantons probablement.) Vous devez vous souvenir qu'en réponse à mes lettres concernant un maquignon fribourgeois, cas social, vous m'écriviez, le 26 juin 1997: «... mais comme dans tous les domaines, il n'est pas toujours possible d'éviter certains dérapages. Il ne s'agit donc pas de tomber dans l'extrême et de savoir garder certaines proportions, cela d'autant plus que les cas de maltraitance sont, la plupart du temps, liés à des problèmes d'un autre ordre qui méritent aussi considération.« Nous connaissions cet "autre ordre" aussi bien, si pas mieux, que vous. Pendant deux ans, nous avons aidé ce "cas social" à mieux gérer la détention de ses multiples chiens, vaches, chèvres, porcs, veaux, cheval, poney, tous entassés pêlemêle dans une "arche de Noé" sordide, isolée, tous dans un état lamentable, tous réduits à la misère extrême! Nous l'avons assisté concrètement, financièrement, alors qu'il vivait dans une roulotte et attendait, les yeux bleus embués lui aussi, que nous le sortions de l'impasse. Ce que nous avons fait à plusieurs reprises. Désespérant! Il était et est toujours incorrigible, irrécupérable. Le vase a débordé, les autorités en place ne réagissant pas à nos plaintes et las de nous battre, nous nous sommes adressés à Monsieur Schwaller, conseiller national. Nous avions appris entre-temps que cet individu avait été jugé déjà à plusieurs reprises et condamné à .... une nouvelle chance! Retirer ses bêtes à cet homme, c'eût été la fin de tout pour lui. Il est toujours bien en vie, ragaillardi plus que jamais, et ses animaux souffrent toujours autant dans le silence. tiers leur avenir sans C. Ignoreriez-vous que les menaces de suicide dans la bouche des "cas sociaux" paranoïaques (souvent rusés) sont monnaie courante? Alors Monsieur C., si vous souhaitez donner une nouvelle chance à un récidiviste, vio-lent de surcroît et atteint dans sa santé mentale, faites comme nous avons fait, c'est-à-dire jouez les assistants sociaux. Vous comprendrez très vite que la chance et le salut pour cet homme ne sont pas dans les prés ni dans les écuries. A moins de conti-nuer à faire payer très cher les animaux et les contribuables qui réclament avec raison des produits alimentaires provenant d’une agriculture digne de ce nom! M. F. Loup, vétérinaire cantonal, dit avec justesse que les animaux ne doivent pas pallier les problèmes humains, et j'ajouterai: en subissant les pires négligences, voire maltraitances. En outre, les animaux ne sont pas classés parmi les psycholeptiques que je sache. Ne soyez pas spéciste, celui qui pense son espèce comme un "au-dessus du lot" et ne permet pas l'empathie envers les animaux en souffrance. Un spécisme au nom duquel les pires sévices ont été et sont encore infligés aux animaux. Conclusion: il y a du pain - paysan - sur la planche au département de l'Agriculture et dans les structures sociales. Irène Noël Quant à C. il n'imagine pas l'avenir sans ses vaches alors que ses vaches imagineraient volon- 20 Est-ce-que de telle comparaison des fabriques d’animaux avec des camps de concentration est une discrimination raciale? Non, a jugé le procureur de Winterthour Antisémitisme par un juif fameux? Une plainte déposée demande la confiscation des livres de l’écrivain juif, Isaac Bashevis Singer, prix Nobel de littérature. Les livres de Singer disponibles dans toutes les librairies, contiennent des déclarations «antisémites» identiques à celles qui ont valu la confiscation de la dèrnière édition du journal ACUSA-News (image à droite) sur ordre du juge d’instruction de Genève, Léonardo Malfanti: "C’était une douce matinée d’été quelque part où on abattait de la volaille; c’est partout Treblinka!" (Chapitre 4, chiffre 5, édition dtv, page 98) "Hermann passait la veille et le jour du Yom Kippour chez Mascha. Schifrah Puah avait acheté deux poules de sacrifice, une pour elle et une pour Mascha; pour Hermann elle avait prévu un coq mais il le lui avait interdit. Depuis un certain temps déjà il songeait à devenir végétarien. Il ne perdait aucune occasion pour répéter que ce que les êtres humains infligent aux animaux est la même chose que ce que les nazis font subir aux Juifs." (Chapitre 5, chiffre 4,édition dtv page 126). Et Martin Niemöller, ex-détenu des camps nazis: "Je me rappelle d’avoir vu et visité pour la première fois une telle fabrique en Russie en 1967 et que ma première réaction fut: ce que ces animaux endurent est encore pire que notre souffrance dans les camps, durant des années." Theodor W. Adorno, philosophe et sociologue juif, qui émigra en Angleterre mais revint en Allemagne en 1949: "Auschwitz c’est aussi les abattoirs où on prétend que ce ne sont que des animaux!" Une fois de plus on peut voir comment la loi (muselière) d’antiracisme est utilisée à des fins politiques. Lettres de lecteurs: U n camp concentrationnaire de vies destinées à une solution finale! Cela n'a rien d'irrespectueux à l'égard du peuple juif. Il s'agit d'une analogie établie par 21 l'imagination entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différentes. Personne n'est le maître exclusif des mots! Ne dit-on pas "ce chien est traité comme un esclave" et "les esclaves étaient traités comme des chiens? Irrespectueux par rapport à la traite négrière? E.Kessler a été condamné parce que l'égorgement sans étourdissement préalable représente pour lui (et pour la majorité des Suisses comme pour le monde civilisé en général) un procédé barbare. En effet, ni le Talmud ni le Coran ou la Sunnah de Mahomet ne contiennent de règles prescrivant l'abattage sans étourdissement, au contraire, ces sources recommandent de réduire la souffrance des animaux autant que faire se peut. I. A vant tout, je me présente brièvement: j'ai 21 ans et je suis étudiant en biologie à la faculté de sciences de Neuchâtel. Je pense qu'une assocation comme la votre est plus que nécessaire (mais malheureusement pas suffisante), c'est la raison pour laquelle j'aimerais devenir membre. A part cela, depuis quelques temps, j'aimerais faire de la politique car il me semble que certains politiciens cherchent à affaiblir les moyens de protection des animaux. J’'ai vu que l'ACUSA était accusée d'antisémitisme; c'est n'importe quoi, la comparaison entre usines d'animaux et camps de concentration va clairement contre les génocides, animaux ou humains! Il faut vraiment d'une part être de mauvaise foi pour y voir une comparaison entre sémite et animal, d'autre part être stupide et anthropocentriste pour voir une insulte dans cette comparaison. KJ P lainte CICAD: Deux livres récemment parus soutiennent la position d'ACUSA - écrits par des Juifs et développant l'intense rela-tion entre les camps de concentration nazis et le traitement des "animaux de rente": - Elisabeth de Fontenay: Le silence des bêtes (Fayard). Histoire de la condition animale dans la philosophie, voir le dernier chapitre: L'abattoir ou la communauté de destin - chapitre ou l'auteur démontre que tous les écrivains juifs rescapés des camps ont établi la reconnaissance de la sensibilité animale après avoir ressenti de l'intérieur leur souffrance. - Charles Patterson: Eternal Treblinka - Our Treatment of Animals and the Holocaust. New York: Lantern, 2002 (Foreward par Lucy Rosen Kaplan, Esq.). Patterson is the author of Anti-Semitism: The Road to the Holocaust and Beyond. Nous sommes certains que les personnalités juives en question vous soutiendraient ardemment! G et C Deux lettres de lecteurs référante à unarticle dans Le Temps: L a Cicad a déposé une plainte contre Erwin Kessler, président d‘Acusa. A I‘origine de cette démarche on trouve un égocentrisme accentué au point de confondre le respect envers les animaux avec l'antisémitisme et d‘empècher toutes considérations raisonnables: Des rnembres de la Cicad se sentent vexés parce que Kessler a comparé les conditions de détention "concentrationnaire" des poules avec celles des victimes du régime nazi, etc. Pourtant les critiques de Kessler sont dirigées exlusivement et clairement contre les gens qui, personellernent ou en communauté, commettent, exigent, tolèrent ou favorisent des barbaries, indépendamment de leur race, religion, couleur politique ou aspect physique - jamais contre les victimes. Kessler, hélas, n'exagère guère. Il sait de quoi il parle, contrairement à ses opposants et à quelques juges prévenus incompréhensiblement. Jean-Rodolphe Spahr, Zurich P our les animaux c’est tous les jours Treblinka! C’est Isaac Basheva Singer, juif polonais, prix Nobel de littérature et protecteur des animaux qui a dit cela. La CICAD devrait le traiter d’antisémite posthume! En lisant cet article je me rends compte que je dois être antisémite et d’extrême droite d’après l’amalgame du journaliste et que je ne le savais pas! Quelques millions d’amis des animaux en Suisse doivent être dans mon cas. Par contre je cherche en vain un mot de compassion de la part du journaliste pour les animaux, leur détention misérable, leur transport déplorable, leur mise à mort «inhumaine» tout cela pour obtenir la mal-bouffe tant critiquée par les mêmes médias. Acusa désigne seulement ceux qui font mal leur travail et informe les consommateurs. N’est-ce pas aussi un service rendu à tous les éleveurs et agriculteurs qui font un travail professionnel et qui respectent leurs animaux? Quand Erwin Kessler dit «fabrique d’animaux» les journalistes s’endorment, quand il dit camp de concentration des animaux là alors on aiguise les couteaux pour son «abattage rituel sans étourdissement». Au-delà des mots la souffrance reste la même pour les animaux et pour conclure je vous propose une devinette. Qui a dit : le jour viendra où tuer un animal sera un crime au même titre que de tuer un être humain? Ce n’était que Léonard de Vinci, probablement anti-sémite et d’extrême droite pour vous mais un génie pour le reste du monde. GMB F elcitations! et courage! BRAVO ACUSA ma mère m'a montré votre depliant et je suis sidére par ce qui se passe en suisse et ailleurs. tout ce que je souhaite est que ces monstres pourris par la RENTABILITé et le FRIC soit torturés de la même manière: les gaveurs gavés, les depeceurs depecés, la mafia démafiasée. la peine de mort pour tous ces monstres d’humains! thierry U ne fois de plus je viens de lire votre revue et une fois de plus je suis révolté! Membre SPA depuis plus de 40 ans, travaillant dans différents refuges, je suis confronté quotidiennement à la misère animale motivée par le profit (et uniquement par le profit!). Nos autorités hypocrites ne font rien pour améliorer la situation. Sans moyens, nous devons nous battre au quotidien pour sauver des animaux de l'enfer où on les fait vivre au nom du fric. Je n'abandonnerai jamais ce combat... tout comme vous, je suppose! Avec tout mon respect et mes meilleures salutations. Francis S ur ma boite à lettre il y a un autocollant «pas de publicité» et souvent cela m’irrite lorsque un courier non adressé pourtant aujourd’hui en trouvant votre magazine ACUSA-News je voudrais vous féliciter pour votre action ainsi que pour les articles présentes. Puisse votre magazine réveiller les plus de personnes possibles. Marie Sch. J e suis extrêmement choqué des articles et photos montrant des états de faits qui semblent être légion en Suisse. G Carrard 22 Lapins Les lapins sont des animaux qui ont un besoin inné de bouger et de creuser. Ils ne sont pas nés pour être emprisonnés dans des clapiers. Exemple d’une détention de lapins conforme à leurs besoins. Cas de détention dans des clapiers cruels dans le canton de Fribourg. Il vaut mieux s’abstenir de faire des élevages que de faire du bricolage inacceptable. Arsène Zosso, Chandossel, 1583 Villarepos, tel 026 675 16 75 Jean-Louis Collaud, retraité Ciba Geigy, rte de Domdidier, 1566 St.Aubin, tél 026 677 16 63 23 Maison de Monsieur Zosso Aloïs et ses lapins Lettre ouverte à Alois Corminboeuf, La Route, 1484 Aumont, Tel 026 665 12 82 Sur le site ACUSA, j’ai lu un article et vu des photos concernant la détention inacceptable et honteuse de lapins vous appartenant. Ils vivent leur vie dans des clapiers exigus dans lesquels ils peuvent à peine se mouvoir. Ce qui vous intéresse de toute évidence c’est de les voir grossir à vue d’oeil et de les vendre au plus vite pour voir votre porte-monnaie lui aussi grossir à vue d’oil! Vous élevez des lapins depuis 62 ans? C’est lamentable de constater que vous n’avez pas davantage évolué dans votre tête que les clapiers n’ont évolué dans leurs dimensions et dont vous êtes responsable. Avez-vous déjà entendu parler de la loi sur la protection animale? Vous vous targuez d’être un spécialiste en cuniculiculture, de bien connaître les races, les mères, les petits! C’est attendrissant dans votre bouche, ce Willy Barras, au village, 1475 Forel l’est moins dans les clapier. Allez Monsieur Aloïs Corminboeuf, faites un effort et avant d’exécuter l’un après l’autre ces animaux innocents, donnez-leur au moins un cadre de vie correct. Avec quelques planches, du treillis, des clous et un peu de savoir-faire, on peut construire un parc où le renard ne pénétrera pas. Le renard le plus dan-gereux pour ces lapins, c’est plutôt vous en ce moment! Irène Noël Impressum ACUSA-News ISSN 1424-4438 Editrice: Association Contre les Usines d’Animaux ACUSA www.acusa.ch Abonnement ACUSA-News Fr 30.Membre ACUSA (incl ACUSA-News): Fr 100.Cotisations: C.C.P. 60-497467-5 Rédacteur en chef: Dr Erwin Kessler Nous ne voulons pas vous mettre dans l'embarras, Monsieur Barras, mais nous tenons à vous donner un conseil: vous trouverez sur le site www.vgt.ch/doc/kaninchen/index.htm une magnifique docu-mentation concernant la détention correcte de lapins. Inspirez-vous-en et recyclez-vous! Et peut-être découvrirons-nous un jour sur l'Internet la photo d'un éleveur en marche sur le chemin de la civilisation, intelligent, respectueux de ses animaux qu'il détient de façon exemplaire. Un éleveur qu'on appellerait " le bon Willy de Forel ". Pierre Perret chantait "ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux", moi je vous chante "ouvrez ouvrez le clapier aux lapins"! En tant qu'organisation d'utilité publique, ACUSA est exempt d'impôts, ce qui veut dire que votre don peut être déduit de vos impôts en joignant simplement le récépissé de votre paiement à votre déclaration d'impôt. Une confirmation par le VgT n'est pas nécessaire et pas réalisable car le VgT n'entretient intentionnellement pas de secrétariat administratif coûteux comme beaucoup d'autres associations. Le VgT essaie au contraire d'utiliser les dons intégralement pour sa vraie raison d'être: la protection des animaux. C'est un point qui nous différencie d'autres sociétés et nous comptons sur votre compréhension. N'oubliez pas non plus dans votre testament les animaux sans défense et leurs souffrances. 24