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Site Internet : http://stemediaform.free.fr Pour vous aider à poursuivre votre formation, nous avons collecté sur le web et dans d'autres documentations, des informations concernant le matériel et la maintenance informatique. Ces informations sont organisées en thèmes. Cliquez sur le lien hypertexte pour y accéder. Le matériel informatique La carte mère Le Cdrom La souris Les bus Les lecteurs ZIP Photo numérique La carte son Les mémoires mortes Les supports de p Le moniteur L'imprimante Les hauts parleurs Les modems Les différentes mémoires La carte réseau Le routeur Le processeur La disquette Le scanner Le micro La table digitale Le joystick Les onduleurs Le disque dur La Webcam Le Hub Le clavier Le chipset La carte SCSI Le wifi Les Boxes La carte graphique Le boîtier Disque dur Externe Les montages Changement des barrettes de mémoires Montage d'une carte AGP Montage d'une carte mère Montage du lecteur de disquette Montage d'un périphérique IDE Montage d'un CDROM Flasher le bios Les messages d'erreurs Carte réseau (en construction) ? Ajouter une prise eSATA Changement du ventilateur Montage d'une carte PCI Montage du disque dur Montage du micro processeur Overclocking Montage d'un DVD Les branchements Le BIOS Vérifier vos ports USB La partie logicielle Le formatage bas niveau La défragmentation Paramétrage d'une liveCam Les processus Le formatage haut niveau Le nettoyage Configuration du clavier Créer des partitions Le scanDisk Configuration de la souris Liste des mots de passe Lire vos textes (non testé) Détection Bluetooth Gérer les mots de Passe UTILITAIRES STOP - PC Loupe (non testé) Gestion du clic droit Affectation des touches F1 à F11 Panneau de config en mieux AVERTISSEMENTS Ne démontez jamais votre machine allumée tant que vous ne la connaissez pas par cœur ! En effet le capot est peut-être relié à l'interrupteur du micro et vous courrez soit à un "pétage de plomb" soit à une électrocution si vous faites un faux contact ! D'autre part vous risquez aussi de déplacer un composant, un câble ou une carte suivant la manière dont vous vous y prenez et dont est fait le boîtier. Et si le courant passe à ce moment là : imaginez les dégâts ! Attention aux décharges électrostatiques ! Si vous avez de la moquette, que vous portez un pull en laine, que c'est l’hiver, que chaque fois que vous touchez un mur, une porte, une autre personne vous "prenez le jus" : ALARME ALARME ALARME ! Il va falloir vous décharger de toute cette électricité néfaste sinon vous risquez bien de perdre tout ou partie du micro. Si vous êtes comme moi et que vous n'avez pas l'envie de vous "trimballer" avec un bracelet antistatique touchez donc un radiateur... Une autre solution : si le micro est encore relié au secteur touchez une partie métallique du boîtier car celui-ci est relié à la terre. Les parties internes de certains boîtiers peuvent êtres coupantes, méfiez vous. Dégagement de responsabilité !! Attention : Les manipulations présentées ici demandent souvent d'ouvrir votre ordinateur et de travailler dedans ! Prenez un maximum de précautions car en cas d'incident cela pourrait vous amener, au pire, à détruire votre machine, des bâtiments, ou à mettre votre vie en danger !) L'auteur ne pourrait, en aucun cas, être tenu pour responsable de toute forme d'incident, sur des machines, bâtiments, matériels, logiciels, données et toutes formes de vie, qui pourrait survenir suite à la consultation de ce site.) La carte mère / Retour au menu Le choix de la carte mère conditionne le fonctionnement de tout votre ordinateur. En effet, la carte mère est la carte électronique principale puisqu'elle est au cœur de votre machine : c'est donc un composant primordial. Les généralités sur les cartes mères : La carte mère vous permet d'interconnecter tous les autres composants de votre ordinateur : Le processeur - La mémoire - Le disque dur - La carte graphique - Les périphériques d’entrées / sorties Elle conditionne aussi de ce fait les possibilités d'évolutions de votre machine : changement de processeur pour évoluer vers un modèle plus rapide, ajout de mémoire (y a-t-il des emplacements libres) et bien d’autres choses encore. Le cœur de la carte mère est un composant dénommé "chipset" : le type de chipset va déterminer si votre carte mère accepte les différents processeurs, les nouveaux formats de mémoire ainsi que les dernières innovations technologiques. Globalement chaque nouvelle génération de chipset amène son lot d'améliorations technologiques et de petites performances en plus. Les critères de choix des cartes mères : La qualité de la fabrication de la carte mère est un critère essentiel afin que votre machine soit fiable et qu’elle fonctionne correctement : d’où la nécessité de bien choisir la marque. Publication des taux de pannes des cartes mères enregistrés chez un gros ecommerçant français. Ces statistiques concernant les cartes mères vendues d’avril à septembre 2007, soit 6 mois à 1 an de fonctionnement. Les statistiques par marque se basent sur un échantillon minimal de 500 ventes. - MSI 3.6% - ABIT : 3.0% - ASRock : 3.3% : 4.1% - ASUS : 4.3% - Gigabyte : Pour un même chipset donné, les performances, quant à elles, varient vraiment très peu (environ 3%) les performances pures d'une carte mère ne sont donc *pas* un critère de choix. Le prix, toujours pour un même type de carte mère ayant le même chipset, peut varier lui jusqu'à 30% (par exemple de 117.80 à 154.04 Euros pour la carte P5Q PRO .) Site : http://www.prixdunet.com/composants-informatique/carte-mere/asus-p5q-pro.htm#f De plus les modèles de type premier prix manquent généralement de connecteurs d'extension et de communication. Dans les critères de choix il y a aussi le nombre de connecteurs de chaque type. Voici une image commentée de la carte mère pour mieux les situer et mieux se les représenter. Schémas d'une carte mère Facteur d'encombrement d'une carte mère On désigne généralement par le terme « facteur d'encombrement » (ou facteur de forme, en anglais form factor), la géométrie, les dimensions, l'agencement et les caractéristiques électriques de la carte mère. Afin de fournir des cartes mères pouvant s'adapter dans différents boîtiers de marques différentes, des standards ont été mis au point : AT baby / AT full format est un format utilisé sur les premiers ordinateurs PC du type 386 ou 486. Ce format a été remplacé par le format ATX possédant une forme plus propice à la circulation de l'air et rendant l'accès aux composants plus pratique ; ATX : Le format ATX est une évolution du format Baby-AT. Il s'agit d'un format étudié pour améliorer l'ergonomie. Ainsi la disposition des connecteurs sur une carte mère ATX est prévue de manière à optimiser le branchement des périphériques (les connecteurs IDE sont par exemple situés du côté des disques). D'autre part, les composants de la carte mère sont orientés parallèlement, de manière à permettre une meilleure évacuation de la chaleur ; o ATX standard : Le format ATX standard présente des dimensions classiques de 305x244 mm. Il propose un connecteur AGP et 6 connecteurs PCI. o micro-ATX : Le format microATX est une évolution du format ATX, permettant d'en garder les principaux avantages tout en proposant un format de plus petite dimension (244x244 mm), avec un coût réduit. Le format micro-ATX propose un connecteur AGP et 3 connecteurs PCI. Flex-ATX : Le format FlexATX est une extension du format microATX afin d'offrir une certaine flexibilité aux constructeurs pour le design de leurs ordinateurs. Il propose un connecteur AGP et 2 connecteurs PCI. o mini-ATX : Le format miniATX est un format compact alternatif au format microATX (284x208 mm), proposant un connecteur AGP et 4 connecteurs PCI au lieu des 3 du format microATX. Il est principalement destiné aux ordinateurs de type mini-PC (barebone). BTX : Le format BTX (Balanced Technology eXtended), porté par la société Intel, est un format prévu pour apporter quelques améliorations de l'agencement des composants afin d'optimiser la circulation de l'air et de permettre une optimisation acoustique et thermique. Les différents connecteurs (connecteurs de mémoire, connecteurs d'extension) sont ainsi alignés parallèlement, dans le sens de circulation de l'air. Par ailleurs le microprocesseur est situé à l'avant du boîtier au niveau des entrées d'aération, où l'air est le plus frais. Le connecteur d'alimentation BTX est le même que celui des alimentations ATX. Le standard BTX définit trois formats : o BTX standard, présentant des dimensions standard de 325x267 mm ; o micro-BTX, de dimensions réduites (264x267 mm) ; o pico-BTX, de dimensions extrêmement réduites (203x267 mm). ITX : Le format ITX (Information Technology eXtended), porté par la société Via, est un format extrêmement compact prévu pour des configurations exigûes telles que les mini-PC. Il existe deux principaux formats ITX : o mini-ITX, avec des dimensions minuscules (170x170 mm) est un emplacement PCI ; o nano-ITX, avec des dimensions extrêmement minuscules (120x120 mm) et un emplacement miniPCI. o Ainsi, du choix d'une carte mère (et de son facteur de forme) dépend le choix du boîtier. Le tableau ci-dessous récapitule les caractéristiques des différents facteurs de forme : Facteur de forme Dimensions Emplacements ATX 305 mm x 244 mm AGP / 6 PCI microATX 244 mm x 244 mm AGP / 3 PCI FlexATX 229 mm x 191 mm AGP / 2 PCI Mini ATX 284 mm x 208 mm AGP / 4 PCI Mini ITX 170 mm x 170 mm 1 PCI Nano ITX 120 mm x 120 mm 1 MiniPCI BTX 325 mm x 267 mm 7 microBTX 264 mm x 267 mm 4 picoBTX 203 mm x 267 mm 1 Composants intégrés 1-) Les connecteurs mémoires : Chacun de ces connecteurs, dénommé Slot mémoire DIMM, permet de monter une barrette mémoire. En général les cartes mères actuelles proposent entre 2 et 4 connecteurs mémoires DIMM ce qui est tout à fait suffisant pour un usage courant. Si au départ votre machine a une barrette mémoire de 2 Go vous pourrez par la suite ajouter une seconde barrette de ce type (pour atteindre un total de 4 Go). 2-) Les connecteurs de cartes d’extension ou de périphériques : De type PCI : Ces connecteurs d’extension vous permettent de monter des cartes comme les cartes sons, les cartes réseau, les cartes d’acquisition vidéo et tout un tas d’autres. Ils sont donc très importants et vous veillerez à en avoir 5 sur votre carte mère (certaines cartes mères en proposent même 6.) De type ISA : Ce type de connecteur est en voie de disparition, comme toutes les cartes d’extension que l’on peut y monter. Il correspond à une technologie dépassée et les cartes d’extension sont désormais disponibles au format PCI. Il n’est donc pas primordial d’avoir des connecteurs de type ISA sur sa carte mère, sauf si vous souhaitez pouvoir utiliser d’anciennes cartes d’extension, donc notamment dans le cadre d'une évolution de votre machine. De type AGP : Ce connecteur est dédié à la carte graphique. Il est toujours présent et avec les mêmes caractéristiques pour les modèles de cartes mères actuelles que je vous conseille. Ce n’est donc pas un critère de choix. De type SCSI : Les cartes mères qui incluent un contrôleur de ce type sont rares et nettement plus coûteuses. L'avantage à avoir un contrôleur SCSI intégré plutôt qu'une carte SCSI PCI existe surtout pour les machines serveurs. Sauf éventuellement dans ce cas particulier, ne vous souciez donc pas de ce connecteur. 3-) Les connecteurs de ports de communications : Ces ports sont destinés à permettre à votre machine de dialoguer avec des périphériques externes (clavier, souris, imprimantes…) Les ports de type série, parallèle et PS2 : Ils sont toujours au même nombre et au rendez-vous donc ils n’entrent pas dans les critères de choix. Les ports de type USB : Les cartes mères ordinaires n'incluent parfois que 2 connecteurs de ce type or cette norme de connexion devient de plus en plus utilisée et tend à remplacer avantageusement (notamment parce qu'elle est plus rapide) les ports parallèles et série (pour les imprimantes, les claviers, les souris, les systèmes de sauvegarde externe, les appareils photo numériques... etc. De plus en plus de cartes mères récentes proposent néanmoins 4 à 5 connecteurs USB. Ce critère de choix n’est pas à négliger bien qu’il soit possible de rajouter des ports USB à un ordinateur ultérieurement (en utilisant des cartes d'extension PCI ou un hub USB.) A noter aussi : les modèles récents de cartes mères incluent de plus en plus souvent des ports USB2 : Cette norme est compatible avec la norme USB classique tout en étant nettement plus rapide elle est donc appropriée pour connecter des périphériques externes rapides (disques durs, graveurs, etc. Enfin, il faut savoir que depuis début 2002, le nombre de périphériques disponibles à cette norme explose littéralement et que donc si vous envisagez l'acquisition ou avez un périphérique à la norme USB2 ce critère de choix devient important. 4-) Les connecteurs IDE : Ils servent à brancher les disques durs, lecteurs et graveurs de CDROM / DVDROM, systèmes de sauvegardes internes et autres périphériques à cette norme. Ils sont soit au nombre de 2, soit au nombre de 4 sur la carte mère. Chaque connecteur IDE permet d’accueillir 2 périphériques à la norme IDE sur la même nappe. Il en résulte qu’avec 2 connecteurs IDE vous pouvez brancher 4 périphériques à cette norme ce qui est suffisant dans la plupart des cas. En ce qui concerne leur vitesse maximale de fonctionnement elle est de 66 ou 100 Mhz actuellement : on parle respectivement d’UDMA/66 et d’UDMA/100. Etant donné que même les plus rapides des disques durs sont loin d’arriver à utiliser pleinement la vitesse de 66 Mhz, elle est suffisante et celle de 100 Mhz ne présente pas d’intérêt majeur. Certains connecteurs IDE très particuliers permettent de faire fonctionner 2 disques durs en parallèle. On parle alors de montage RAID. Le gain de performance n'est vraiment appréciable que dans le cas particulier de l'acquisition vidéo par exemple. Asus P5Q PRO EPU-6 Engine Depuis quelques temps, les économies d'énergies sont au centre de nombreuses préoccupations. L'EPU est un système permettant une réduction de la consommation de l'unité centrale, en controlant fréquences et tensions. Tout comme l'Express Gate, la technologie EPU a subi une amélioration avec la sortie de ce chipset P45. Dénommé EPU-6 Engine, ce système gère le CPU, mais aussi 5 cinq autres composants de l'ordinateur (sous réserve de compatibilité), dont voici la liste: CPU Carte Graphique (compatibilité réservée pour le moment aux Asus, mais en phase d'extension) Mémoires Chipset Disques durs Ventilateurs LES CDR – CDRW / Retour au menu Né en 1982 de la collaboration des firmes Sony et Phillips, le CD sous la forme de CD-Audio et de CD-ROM font partie intégrante de notre quotidien. Leur principe de fonctionnement reste dans ses grandes lignes assez simple à appréhender. Constitution d'un CD Les CD se présentent sous la forme d'un disque de 12 cm et de 1,2 mm d'épaisseur percé d'un trou de 15 mm de diamètre. Le disque est réalisé dans une matière plastique transparente (bien qu'il fût à un moment envisagé de les réaliser en verre) recouverte d'un vernis protecteur. Les informations sont stockées sous la forme de pits (cuvettes ou dépressions) et de lands (plats) à la surface du disque. Les pits sont simplement des zones plus profondes (de 0,11 micromètres.) Les pits et les lands sont ordonnés le long de la seule et unique spirale constituant la piste du CD. Cette spirale qui commence au bord intérieur du CD et finit au bord extérieur a plus de 6 km de longueur. Les pits et les lands forment donc près de 2000 pistes distantes de 1,6 micromètre (millième de millimètre.) Chacune des pistes est trente fois plus fine que l'un de nos cheveux ! L'originalité du CD est d'utiliser un système à vitesse linéaire constante, la vitesse de défilement du disque est donc constante et égale à 1,2 mètres par seconde. La vitesse angulaire de rotation du disque doit donc être adaptée à la position de la tête de lecture sur le disque. Cette vitesse varie de 200 tours par minute (à l'extérieur du disque) à 500 tours par minute (près du centre du disque). C'est une des raisons pour lesquelles on note un délai lors du passage d'une chanson à une autre lors de la lecture d'un CD-Audio, ce délai est nécessaire à l'adaptation de la vitesse de rotation. La succession de pits et de lands permet de définir le message à coder. Le code utilisé est relativement complexe et ne sera pas détaillé ici. Le décodage est réalisé par un système de lecture optique utilisant un faisceau laser très fin et une photodiode. Principe de la lecture La tête de lecture est composée d'une diode Laser émettant un faisceau Laser très fin de couleur rouge (longueur d'onde égale à 780 nanomètres) et d'une photodiode ces composants sont associés à un dispositif optique destiné à atteindre la précision suffisante à la lecture (le point d'impact du laser ne doit pas excéder 1 micromètre). Ce schéma simpliste ne respecte ni la disposition réelle de la diode laser et de la photodiode ni l'échelle Détection d'un land La lumière émise par le laser est réfléchie en totalité et captée par la photodiode. Celle-ci détecte l'information lumineuse et transmet un signal électrique au dispositif de décodage. Détection d'un pit On note que le rayon laser est réfléchi en partie par la surface du disque et en partie par le fond du pit. En fait, la moitié de l'énergie lumineuse est réfléchie par la surface du disque. La lumière réfléchie par le fond du pit parcourt une distance supérieure à la distance parcourue par la lumière réfléchie par la surface. L'écart entre les deux trajets correspond exactement à la moitié de la longueur d'onde du rayon Laser. Dans ces conditions, un phénomène physique appelé interférence destructive se produit. Les deux rayons lumineux s'annulent (se "détruisent») l'un l'autre. Aucune lumière n'est réfléchie, la photodiode ne capte pas d'information lumineuse, aucun signal électrique n'est transmis au dispositif de décodage. Décodage Les signaux issus de la lecture des pits et des lands sont traduits en données numériques. Ces données numériques correspondent à un signal sonore qui peut alors être restitué. L'ensemble des opérations de décodage, de restitution du son et de réglage de la vitesse de rotation du moteur sont gérées par un microprocesseur simplifié. Ces opérations sont effectuées à un rythme élevé puisqu'un lecteur de CD-Audio lit 88200 nombres de 16 bits en une seconde. Les CD-WORM (ou CD-R WORM = Write only Read Many) L'année 1995 aura été marquée par la rapide acceptation du CD-WORM ou CD-R comme support de stockage et de diffusion de l'information. Ce support est désormais présent dans de nombreux contextes pour sauvegarder de manière définitive des fichiers ou des données, soit pour l'archivage proprement dit, soit pour en assurer une diffusion par copies multiples ou par consultation via un serveur. En 1996, les offreurs d'enregistreurs et de solutions à base de CD-WORM seront pléthore avec l'arrivée sur ce créneau de producteurs comme Mitsumi, Panasonic, Sanyo, Teac, etc. Mais il est vrai que tous prévoient une forte accélération de la demande qui devrait donner naissance à un parc de 12 millions d'appareils en 1999 au niveau mondial. Existe en version : 700 – 0,530 € (pièce – 2008) – 70 minutes – 48 ou 52 X 800 – 0,31 € (pièce – 2008) – 80 minutes – 40 X 900 – 0,89 € (pièce – 2008) - 90 minutes) – 40 X LightScribe est une technologie de sérigraphie par laser qui permet de graver une étiquette directement sur vos disques et de leur donner facilement un aspect professionnel : gravez le disque, retournez-le puis gravez l’étiquette sur le disque. Le même lecteur grave vos données, et grave également vos étiquettes Un lecteur DVD compatible LightScribe utilise un laser pour graver une image sur la surface du disque LightScribe côté étiquette. Le système d’étiquetage LightScribe ne macule pas le disque d’encre, ne recourbe pas l’étiquette et ne pose pas de problème avec la partie adhésive. Voir démo de LightScribe : http://www.lightscribe.com/gslanding/fr/index.aspx?id=635# Le CDR de 8 cm • Marque : MediaRange • Type : Mini CD-R vierge 8cm, Surface Blanche Imprimable Jet d'encre • Capacité : 200 Mo • Conditionnement : Spindle de 10 DVD • Emballage : Spindle • Temps en minute : 25 min • Vitesse max de gravure : 24x Emballage : Spindle CDR imprimable Verbatim propose également ces supports avec une surface imprimable. Là où les couleurs pouvaient apparaître comme aléatoires, ternes et bien loin des couleurs d'origine, avec la surface de disque imprimable Verbatim, elles sont désormais aussi riches et profondes que les originales. Comme pour l'impression de vos photos, vous pouvez dorénavant opter pour une finition brillante ou mate pour un rendu hors du commun ! CDR pré imprimé Type d'impression quadri proposé : - Sérigraphie offset - Impression numérique laser sur étiquette collée - Impression numérique sur la surface du média avec dépôt d'une couche de vernis. CDR sous différentes formes Le CDRW Un disque compact réinscriptible (ou CD-RW, pour l'anglais Compact Disc ReWritable) est un disque compact, sur lequel on peut écrire et réécrire jusqu'à 1 000 fois des données informatiques ou audio, cependant les fabricants garantissent souvent entre 1 000 et 2 000 écritures. La technologie Le précédé d’inscription n’est donc plus " photographique ", comme sur le CD-R mais " thermique ": c’est un Laser de grande puissance qui en modifiant l'état du métal se charge de l’inscription des données. Ces cuvettes et ces bosses sur le métal ont pour conséquence de produire une présence ou une absence de réflexion lors qu’elles sont balayées par un de puissance normale. C’est donc un rayon de faible intensité qui lit la piste du disque, et le résultat de la réflexion est capté par une diode photo, qui, comme sur un lecteur de CD-ROM, traduit des suites de présences et absences de bosses (les 0 et les 1.) Data Transfer Speeds Transfer Speed KiB/s Mb/s 150 1.2288 1x 300 2.4576 2x 600 4.9152 4x 1200 9.8304 8x 1500 12.2880 10x 1800 14.7456 12x 3000 24.5760 20x 4800 39.3216 32x 5400 44.2368 36x 6000 49.1520 40x 7200 58.9824 48x 7500 61.4400 50x 7800 63.8976 52x Et pour effacer ? Nous avons vu que le procédé d’inscription est thermique : on chauffe, et le métal amorphe devient cristallin. Et comme tout métal, il suffit de chauffer avec une autre température pour que l’état cristallin redevienne amorphe ! C’est aussi simple que cela : une température pour graver, une pour effacer, en changeant à chaque fois l’état du métal. C’est exactement le principe de fonctionnement d’un disque dur, mais avec une autre technologie : alors que la tête de lecture et écriture du disque dur change les propriétés d’un support magnétique, le Laser du CD-E modifie les propriétés d’un support métallique ! Vitesse de transfer La souris / Retour au menu • La souris sert au déplacement du pointeur sur l'écran • Le pointeur change de forme selon l'activité et le contexte Voici les formes les plus usuelles: Sélection normale Occupé (il faut alors patienter...) Travaillant en arrière-plan Aide à la sélection Sélection de texte Indisponible (le logiciel ne permet pas l'opération) Redimensionnement vertical Redimensionnement horizontal Redimensionnement diagonal (de gauche à droite) Redimensionnement diagonal (de droite à gauche) Déplacer Ces changements de formes s’obtiennent en modifiant les paramètres du panneau de configuration Démarrer / Panneau de configuration / Souris • Opérations avec la souris 1• Cliquer (une fois) • Sélectionne l'objet cliqué, lequel se contraste • Active les icônes des barres outils (Toolbar) et des menus • En appuyant sur la touche Ctrl et en cliquant de façon simultanée, on sélectionne plus d'un objet à la fois 2• Double-cliquer • Consiste en deux pressions successives sur le bouton gauche • Ouvre les icônes du bureau (Desktop), c'est-à-dire exécute les programmes qui leur correspondent ou affiche le contenu des ressources, documents, dossiers ou disques. 3• Cliquer-pause-cliquer • Permet de renommer le fichier • Il faut cliquer sur le texte, faire une pause et cliquer à nouveau. Le texte pourra alors être modifié. 4• Glisser • On sélectionne du tex en cliquant au début du texte à être sélectionné, en maintenant le bouton enfoncé et en le relâchant à la fin du texte à être sélectionné 5• Glisser-déplacer (Click and drag) • Pour déplacer ou copier un objet, il suffit de le faire glisser à sa destination • Si l'objet est glissé à l'intérieur d'un même disque, Windows interprètera l'opération comme un déplacement • Si l'objet est glissé d'un disque à l'autre, Windows interprètera l'opération comme une copie • Cliquez un objet et maintenez le bouton enfoncé, déplacez l'objet cliqué, puis relâchez là où vous voulez le déplacer • Avec le bouton gauche: • Déplace l'objet (ex.: du bureau (Desktop) à la fenêtre de la corbeille) • Avec le bouton droit • Après avoir relâché, un menu contextuel apparaît: • Déplacer: déplace l'objet (identique à l'opération avec le bouton de gauche) • Copier: reproduit l'objet sélectionné ailleurs, tout en le maintenant en son endroit originel • Créer un raccourci: le fichier n'est pas reproduit; le raccourci n'est qu'un moyen d'accès au fichier • Annuler: si vous changez d'avis 6• Cliquer avec le bouton droit • Affiche les menus contextuels liés à la nature de ce qui a été cliqué. Ainsi, seules les opérations que l'objet cliqué admet apparaissent dans le menu contextuel. La technique Constitution d'une souris La souris comporte une bille sur laquelle tournent deux rouleaux. Ces rouleaux comportent chacun un disque cranté qui tourne entre une photodiode et une LED (Diode électroluminescente) laissant passer la lumière par séquence. Lorsque la lumière passe, la photodiode renvoie un "1", lorsqu'elle rencontre un obstacle, la photodiode renvoie un "0". A l'aide de ces informations, le PC peut connaître la position de votre curseur (voire la vitesse...!!). Astuce: A force de l'utiliser, votre souris récolte de la poussière qui vient se déposer sur les rouleaux, ainsi la souris peut avoir des réactions curieuses. Il suffit d'ouvrir la cage contenant la bille et de nettoyer les rouleaux (avec une brosse à dents par exemple). Conseils d'utilisation Les utilisateurs de souris ressentent souvent des douleurs aux doigts, aux poignets, aux bras et aux épaules. Même s'il n'existe pas beaucoup d'études sur l'utilisation des souris, les ergonomes affirment que la conception de la souris, l'endroit où elle est placée sur le bureau et la façon de s'en servir peuvent contribuer à prévenir l'inconfort et la fatigue. Voici quelques caractéristiques importantes de la souris : Taille La souris doit bien s'ajuster à la main, et les doigts doivent l'entourer confortablement. Forme Trouvez une souris qui ne vous oblige pas à placer le talon de la main sur le bureau. Certaines souris sont plus grosses, plus particulièrement du côté opposé aux boutons, et supportent la main. Boutons L'emplacement des boutons est important. Ceux-ci ne doivent pas être trop près ou trop éloignés l'un de l'autre. La pression nécessaire pour cliquer sur les boutons ne doit pas fatiguer les doigts. Il faut éviter également les boutons trop sensibles. Où doit-on placer la souris? La souris est habituellement utilisée en combinaison avec le clavier. En général, les utilisateurs placent la souris devant leur clavier et à côté de celui-ci. Cela les oblige donc à étirer le bras et l'épaule, ce qui crée un certain inconfort et une sensation de fatigue. Une des façons de réduire cet inconfort et les blessures potentielles consiste à placer la souris au niveau du clavier et le plus près possible de ce dernier. La souris et le clavier doivent être sur la même surface de travail. Vous devez avoir suffisamment d'espace pour pouvoir varier la position de votre bras. Assurez--vous que le fil de la souris ne gêne pas vos mouvements. Il faut toujours employer un tapis conçu pour la souris et s'assurer qu'il est propre. La surface de travail doit être également confortable pour les gauchers. Position du tapis de souris Ne serrez pas la souris. Tenez la souris en relaxant la main. Une prise trop serrée ne vous aidera pas à positionner le pointeur plus efficacement ou plus rapidement. Tenez votre poignet droit. Votre avant-bras, votre poignet et vos doigts doivent être en ligne droite. Exercez-vous. Essayez de faire des cercles avec la souris en relaxant l'épaule ainsi que votre prise sur la souris. Faites un mouvement circulaire de plus en plus souple jusqu'à ce que vous soyez à l'aise. Ensuite, essayez de faire des 8! Ajustez les paramètres de la souris. La souris est plus difficile à utiliser si la vitesse de déplacement est rapide. Certains utilisateurs se délient les doigts en utilisant des raccourcis clavier pour accéder plus rapidement à certaines fonctions. Souris sans fil souris infrarouges (en anglais «IR» pour «infrared»): ces souris sont utilisées en visà-vis avec un récepteur infrarouge connecté à l'ordinateur. La portée de ce type de dispositif est de quelques mètres au plus, en vision directe, au même titre que la télécommande d'un téléviseur. souris hertzienne : ces souris sont utilisées avec un récepteur hertzien, généralement propriétaire au constructeur. La portée de ce type de dispositif est d'une dizaine de mètres au plus,, sans nécessairement avoir une ligne visuelle avec l'ordinateur. Ce type de dispositif peut notamment être pratique pour les personnes connectant leur ordinateur à leur téléviseur, situé dans une autre pièce. souris bluetooth : ces souris sont utilisées avec un récepteur bluetooth connecté à l'ordinateur. La portée de ce type de dispositif est équivalente aux technologies hertziennes propriétaires. Les souris classiques De plus en plus de souris sont équipées d'une molette. La molette, généralement situé entre le bouton gauche et le bouton droit permet de faire défiler des pages tout en permettant à l'utilisateur de déplacer le curseur sur l'écran. Le trackball camera La partie mécanique est désormais remplacée par une technologie de repérage optique (caméra) plus précise et plus fiable. Design novateur et forme ergonomique vous satisferont grâce à ses 5 boutons et sa large boule qui se loge facilement sous votre index ou votre majeur. Grâce à son design innovant et à sa technologie optique vous travaillez plus rapidement et plus efficacement La technologie de repérage Microsoft IntelliEye donne une précision et un contrôle inégalés en toute circonstance grâce à une caméra optique (sensor) et un processeur de signal digital (DSP). Cette technologie qui a fait le succès des souris Optiques Microsoft est enfin disponible version Trackball. 5 boutons personnalisables dont 2 nouveaux. Ces 2 nouveaux boutons rendent l'utilisation d'Internet sans effort avec les fonctions par défaut "page suivante" et "page précédente". Ces boutons, situés sous le pouce, peuvent aussi servir pour exécuter des raccourcis de commandes, comme l'impression ou le copier/coller… La molette de défilement et de zoom facilite le défilement des pages directement de la souris, sans utiliser les traditionnels ascenseurs. On peut aussi zoomer facilement dans les documents sans utiliser la barre de tâche ni les menus. Design ergonomique qui permet l'accessibilité de sa boule de large diamètre à votre index ou à votre majeur. L'hygiénique Une souris, ça devient vite un réservoir à bactéries. Pas de souci avec ce modèle Belkin qui résiste aux éclaboussures et peut être nettoyé sous le robinet. En guise de molette, une barre tactile permet de faire défiler verticalement les pages. On perd néanmoins la possibilité d'effectuer un clic de molette. Une période d'adaptation est nécessaire pour apprécier pleinement cette souris avec ses boutons gauche La joueuse Elle s'ouvre comme un coquillage et se transforme en manette de jeu. L'idée d'un deux-en-un facile à emporter est séduisante, la réalisation moins convaincante. La souris est un modèle à quatre boutons avec molette qui affiche une résolution élevée de 1 600 points par pouce. Elle pâtit de sa forme très plate, inconfortable à la longue. La manette, quant à elle, ne se déploie pas à 180°, ce qui ne facilite pas sa prise en main. Elle offre un pavé directionnel et huit boutons, dont deux sur la tranche. On la réservera à un usage occasionnel La svelte Avec 1,3 cm d'épaisseur et un poids de 44 g, cette petite souris sans fil aura toujours une place dans une sacoche. Une fente sur la tranche accueille son récepteur compact. Reste à s'habituer à son maniement. En guise de boutons, une large molette circulaire et un bouton central unique qui correspond au bouton de clic gauche. Pour le bouton droit, il faut presser à droite sur la molette. Une pression à gauche équivaut à Alt+Tab. Elle a aussi un pointeur laser utile pour les présentations L'escamoteuse Surtout ne pas perdre le récepteur d'une souris sans fil. Sans lui, elle devient inutilisable. Pour prévenir l'angoisse de ne plus mettre la main dessus au moment opportun, ce modèle Cherry a trouvé la parade : un capot à l'arrière de son dos qui cache une fente dans laquelle on peut glisser le récepteur. La souris en ellemême offre le minimum : deux boutons et une molette. Lourde, imposante, elle convient plutôt aux grosses mains. Ultime atout, son prix modéré La bavarde Pour les adeptes de la téléphonie sur Internet, cette souris fait office de combiné téléphonique et fonctionne avec le logiciel Skype. Pas de clapet à ouvrir, contrairement à d'autres modèles similaires. Le microphone se situe au bas du dos de la souris, les deux haut-parleurs sur chaque flanc. A l'usage, rien à redire : on entend et on est entendu correctement. Une prise casque à l'arrière autorise, si nécessaire, un peu plus de discrétion. La notice indique qu'elle fonctionne seulement avec Windows XP, mais nous l'avons testée sans problème avec Vista AUTRES SOURIS Apple Mighty Mouse Connectland X7 Meilleur prix 28.80 € Prix conseillé 55,00 € Meilleur prix 29.90 € Prix conseillé 30,00 € Creative Labs Fatal1ty 1010 Mouse Genius Traveler 355 Chercher le meilleur prix Meilleur prix 22.90 € Prix conseillé 39,00 € Prix conseillé 50,00 € LES BUS / Retour au menu Le processeur communique avec le reste de la carte mère à travers des bus : Bus système Bus reliant le processeur au reste de la carte mère On parle de FSB (fréquence bus système) Il peut être doublé (Athlon) ou même quadruplé (P4) BUS ISA Apparu avec le premier PC d'IBM en 1981, le bus Isa (Industry standard architecture) équipe encore la majorité des micros compatibles. Il échange les données sur 16 bits (2 octets) à une vitesse de 8 MHz. Ce qui était suffisant pour les PC de l'époque représente un véritable goulet d'étranglement pour les processeurs 32 bits (386 et 486) qui doivent communiquer avec des périphériques de plus en plus rapides, comme les cartes graphiques accélérées ou les contrôleurs de disques POINTS FORTS Standard Economique POINTS FAIBLES Lent Inadapté aux nouvelles générations de PC. BUS EISA Pour remédier à la lenteur du bus Isa, quelques constructeurs (dont Compaq) proposent, en 1988, le bus Eisa (Extended industry standard architecture.) Celui-ci fonctionne sur 32 bits et à 8 MHz pour rester compatible avec la norme Isa. Il apporte des améliorations, comme la configuration des cartes par logiciel ou la gestion des conflits. Mais les PC qui en bénéficient sont onéreux et les périphériques adaptés peu courants. Il est donc principalement implanté sur les serveurs de réseau. POINTS FORTS Performances élevées. • Compatible Isa POINTS FAIBLES Coût élevé Compatibilité imparfaite entre constructeurs Bus VLB Pour pallier également la lenteur du bus Isa, certains fabricants ont l'idée de relier directement les périphériques d'extension au bus du processeur (bus mémoire) par une véritable autoroute de données : le bus local. Ce dernier fonctionnant sur 32 bits à la vitesse du processeur (sans toutefois pouvoir dépasser les 33MHz), les échanges s'effectuent à vitesse maximale. Face aux incompatibilités entre matériels, l'association Vesa (Vidéo electronics standard association) propose, en 1992, une norme définissant le bus local : Vesa local bus (VLB). Toute carte conforme à ce standard fonctionne dans n'importe quel PC à bus VLB. Cependant, il n'est pas possible de faire cohabiter plus de trois cartes dans la même machine. Ce n'est pas un inconvénient majeur, dans la mesure où ce sont essentiellement les cartes graphiques, suivies par les contrôleurs de disques et les cartes réseau, qui profitent le plus d'un bus local. POINTS FORTS • Performances élevées • Nombreuses cartes d'extension • Prix abordable. POINTS FAIBLES • Dépendant de la vitesse du processeur. • Pas de gestion des conflits entre cartes. BUS PCI Pour répliquer au bus local de Vesa, Intel, principal fabricant de processeurs pour PC, commercialise, en 1993, son propre dispositif : PCI (Peripheral comportent interconnect.) Ce n'est plus tout à fait un bus local, puisque les cartes d'extension ne sont pas reliées directement au bus mémoire mais sont contrôlées par un circuit spécifique (contrôleur de bus), lui-même rattaché au processeur. Le bus PCI offre des performances équivalentes, voire supérieures, à un bus VLB : il fonctionne sur 32 bits et à la vitesse constante de 33 MHz, indépendamment de la vitesse du processeur. Autre atout du bus d'Intel, les périphériques PCI se configurent automatiquement au démarrage du PC, sans l'aide de commutateur (switch) ou de logiciel, et sont capables de communiquer entre eux pour gérer d'éventuels conflits. Plus onéreux aujourd'hui que les VLB. POINTS FORTS • Performances élevées. • Indépendant de la vitesse du processeur. • Gestion des conflits entre cartes. POINTS FAIBLES • Encore peu répandu. • Coût élevé. Bus PCI Express Le bus PCI Express se décline en plusieurs versions, 1X, 2X, 4X, 8X, 12X, 16X et 32X, permettant d'obtenir des débits compris entre 250 Mo/s et 8 Go/s, soit près de 4 fois le débit maximal des ports AGP 8X. Ainsi, avec un coût de fabrication similaire à celui du port AGP, le bus PCI Express est amené à le remplacer progressivement. Les connecteurs PCI Express sont incompatibles avec les anciens connecteurs PCI et possèdent des tailles variables et une plus faible consommation électrique. Une des caractéristiques intéressantes du bus PCI Express est la possibilité de brancher ou débrancher des composants à chaud, c'est-à-dire sans éteindre ou redémarrer la machine. Les connecteurs PCI Express sont reconnaissables grâce à leur petite taille et leur couleur anthracite : Le connecteur PCI Express 1X possède 36 connecteurs et est destiné à un usage d'entréessorties à haut débit : Le connecteur PCI Express 4X possède 64 connecteurs et est destiné à un usage sur serveurs : Le connecteur PCI Express 8X possède 98 connecteurs et est destiné à un usage sur serveurs : Le connecteur PCI Express 16X possède 164 connecteurs, et mesure 89 mm de long et a vocation à servir de port graphique : Le standard PCI Express a également vocation à supplanter la technologie PC Card sous la forme de connecteurs « PCI Express Mini Card ». De plus, contrairement aux connecteurs PCI dont l'usage était limité à la connectique interne, le standard PCI Express permet de connecter des périphériques externes à l'aide de câbles. Pour autant il ne se positionne pas en concurrence des ports USB ou FireWire. BUS AGP Intel a présenté en juillet 1996 les spécifications de l'Accelerated Graphic Port (AGP). A cette époque, la demande en graphisme 3D dépassait souvent les capacités des machines standard. L'architecture PCI (32 bits et 33MHz) avait atteint ses limites au niveau du débit autorisé pour les cartes graphiques. Intel a donc proposé un nouveau bus dédié à de telles cartes. Le bus AGP utilise un connecteur similaire au bus PCI, avec des transferts de données et d'adresses séquencés sur 32 bits. Alors que le bus PCI, cadencé à 33 MHz, a un taux de transfert maximum théorique (en pic) de 132 Mb/s (16,5 Mo/s), le bus AGP peut atteindre 528 Mb/s (66 Mo/s) Le bus principal ou bus système situé de l'autre côté du "chipset" et reliant le contrôleur mémoire et la mémoire système est un bus 64 bits. Il est généralement cadencé à 66 MHz pour a une bande passante de 528 Mb/s mais aujourd'hui le standard est à 100 MHz pour une bande passante de 800 Mb/s. BUS USB Les ports USB (Universal Serial Bus, ports séries universels) sont, comme leur nom l'indique, basés sur une architecture de type série. Il s'agit toutefois d'une interface entrée-sortie beaucoup plus rapide que les ports série standards. L'architecture qui a été retenue pour ce type de port est en série pour deux raisons principales: L'architecture série permet d'utiliser une cadence d'horloge beaucoup plus élevée qu'une interface parallèle, car celle-ci ne supporte pas des fréquences trop élevées (dans une architecture à haut débit, les bits circulant sur chaque fil arrivent avec des décalages, provocant des erreurs) Les câbles séries coûtent beaucoup moins chers que des câbles parallèles. Fonctionnement Ainsi, dès 1995, le standard USB a été élaboré. Il propose deux modes de communication (12 Mbps en mode haute vitesse et 1.5 Mbps à basse vitesse) pour la connexion d’une grande variété de périphériques. L’architecture USB a pour caractéristique de fournir l’alimentation électrique aux périphériques qu’elle relie. Elle utilise pour cela un câble composé de quatre fils (la masse GND, l’alimentation VBUS et deux fils de données appelés D- et D+). La norme USB permet le chaînage des périphériques, en utilisant une topologie en bus ou en étoile. Les périphériques peuvent alors être soit connectés les uns à la suite des autres, soit ramifiés. La ramification se fait à l’aide de boîtiers appelés hubs (ou concentrateurs), comportant une seule entrée et plusieurs sorties. Certains sont actifs (fournissant de l’énergie électrique), d’autres passifs. La communication entre l’hôte (l’ordinateur) et les périphériques se fait selon un protocole (langage de communication) basé sur le principe de l’anneau à jeton (token ring). Cela signifie que la bande passante est partagée temporellement entre tous les périphériques connectés. L’hôte émet un signal de début de séquence chaque milliseconde (ms), intervalle de temps pendant lequel il va donner simultanément la « parole » à chacun d’entre eux. Lorsque l’hôte désire communiquer avec un périphérique, il émet un jeton (un paquet de données, contenant l’adresse du périphérique, codé sur 7 bits) désignant un périphérique. Si ce dernier reconnaît son adresse dans le jeton, il envoie un paquet de données en réponse. Sinon, il fait suivre le paquet aux autres périphériques connectés à lui. Puisque l’adresse est codée sur 7 bits, 128 périphériques (2^7) peuvent être connectés simultanément à un port de ce type. Il convient en réalité de ramener ce chiffre à 127 car l’adresse 0 est une adresse réservée. (cf plus loin). A raison de 5 m de câble maximum entre deux périphériques, il est possible de créer une chaîne longue de 636 m ! Les ports USB supportent le Hot plug and play. Ainsi, il est possible de brancher les périphériques sans éteindre l’ordinateur (branchement à chaud). Lors de la connexion du périphérique à l’hôte, ce dernier détecte l’ajout du nouvel élément grâce au changement de la tension entre les fils D+ et D-. A ce moment, l’ordinateur envoie un signal d’initialisation au périphérique pendant 10 ms, puis lui fournit du courant grâce aux fils GND et VBUS (jusqu’à 100mA.) Le périphérique est alors alimenté en courant électrique et récupère temporairement l’adresse par défaut (l’adresse 0). L’étape suivante consiste à lui fournir son adresse définitive (c’est la procédure d’énumération). Pour cela, l’ordinateur interroge les périphériques déjà branchés pour connaître la leur et en attribue une au nouveau, qui en retour s’identifie. L’hôte, disposant de toutes les caractéristiques nécessaires est alors en mesure de charger le pilote approprié... BUS Firewire ou IEEE 1394-1995 Partie intégrante de la norme SCSI-3, le FireWire se détache des autres normes SCSI par l´utilisation d´un bus série, facilitant ainsi le raccordement de périphériques externes. Sa définition prévoit les avantages suivants : Interface numérique : pas de conversion analogique/numérique dégradante pour les données. Taille réduite : câble fin et peu coûteux. Utilisation très facile, Hot Plug and Play. Taux de transfert importants, bus supportant des périphériques mixtes ayant une vitesse de transmission de 100, 200 ou 400 Mbits/s. Topologie flexible : support du Daisy Chainning. Garantie de bande passante pour tous les périphériques raccordés. Grâce à ses performances, l´IEEE-1394 est destinée particulièrement à relier : Les ordinateurs. Les produits manipulant de l´audio, des images et de la vidéo. Les imprimantes et les scanners. Les disques durs. Les caméscopes. D´une topologie très proche de celle du l´USB, le FireWire se démarque par sa bande passante bien supérieure. Il ne nécessite pas de HUBs FireWire. Les cartes FireWire pour micro-ordinateurs possèdent également des ports pour une utilisation interne. Par beaucoup de caractéristiques, le FireWire ressemble à l´USB. L´IEEE 1394-1995 permet de relier numériquement jusqu´à 63 périphériques (127 dans le cas de l´USB) entre-eux, ne nécessitant pas de matériel supplémentaire. En plus de l´utilisation d´une transmission isochrone, tout comme l´USB également, le FireWire supporte le transport de deux flux vidéo temps réel avec une qualité broadcast en simultanée. Aux chapitres des ressemblances, les câbles et connecteurs USB et FireWire présentent la même qualité et présente d´étranges ressemblances avec les câbles utilisés pour relier plusieurs Gameboy de Nintendo !! A noter également, le contrôleur FireWire peut délivrer un courant de 1.5 Ampères pour alimenter les périphériques. Les protocoles L´IEEE 1394 utilise une technologie de transmission de donnée par paquets qui est organisée comme un espace mémoire interconnecté entre plusieurs appareils. La structure d´un réseau 1394 est constitué de deux couches : une couche physique et une couche de lien. Il y a également deux couches logicielles : une couche de transaction et une couche de gestion du bus série. Ces couches logiciel peuvent être directement intégrées en "hard". La couche PHY doit gérer le signal de mise sous tension à distance, la reconnaissance du signal de sélection de l´appareil, le signal d´initialisation du bus et la réception/émission des données. La couche de lien formate les données en paquets pour la transmission via le câble 1394 et supporte les modes de communication asynchrone et isochrone. La couche physique supporte les différentes vitesses de transmission suivant le matériel la composant. La couche de lien définit deux modes de communication : asynchrone et isochrone. Le mode de transmission asynchrone garanti la bonne réception des données par accusé de réception. Ce temps de latence ne peut pas être quantifié car il dépend de taux d´utilisation du bus 1394 par d´autres transmissions pour d´autres appareils communicants entre eux. Ce paquet de données peut être envoyé à une adresse d´un appareil connecté au réseau ou à toutes les adresses. Le mode de transmission isochrone est différent. Il réserve, pour la transmission, un espace-temps de dimension particulière et cyclique, toutes les 125µs. Depuis un appareil, un espace-temps isochrone est garanti. Les communications isochrones sont prioritaires aux asynchrones de sorte que la bande passante pour les communications isochrones est assurée. Ainsi, la communication isochrone entre deux appareils ou plus est assimilable à un canal. Une fois qu´un canal a été établit, l´appareil demandeur est garanti d´avoir espace-temps demandé à chaque cycle. C´est ce mode de transmission que l´on choisit pour le transport de données vidéo ou toutes autres données qui ont besoin d´avoir une transmission garantie en "temps réel".Bus mémoire Bus entre le chipset et la mémoire. En général le même que le bus système Annexe TYPE DE SLOT DESCRIPTION Peu de contacts. Bandes de contacts épaisses. ISA - noir Contacts nombreux, bandes fines. Détrompeur. PCI - blanc Contacts nombreux, bandes fines. Détrompeur. AGP - marron Voici un tableau récapitulant les caractéristiques des principaux bus : Norme ISA 8-bit ISA 16-bit EISA VLB PCI 32-bit PCI 64-bit 2.1 AGP AGP(x2 Mode) AGP(x4 Mode) AGP(x8 Mode) ATA33 ATA100 ATA133 Serial ATA (S-ATA) Serial ATA II (S-ATA2) USB USB 2.0 Firewire Firewire 2 SCSI-1 SCSI-2 - Fast SCSI-2 - Wide SCSI-2 - Fast Wide 32 bits SCSI-3 - Ultra SCSI-3 - Ultra Wide SCSI-3 - Ultra 2 SCSI-3 - Ultra 2 Wide SCSI-3 - Ultra 160 (Ultra 3) SCSI-3 - Ultra 320 (Ultra 4) SCSI-3 - Ultra 640 (Ultra 5) Largeur du bus (bits) 8 16 32 32 32 64 32 32 32 32 16 16 16 1 2 1 1 1 1 8 8 16 32 8 16 8 16 16 16 16 Vitesse du bus (MHz) 8.3 8.3 8.3 33 33 66 66 66x2 66x4 66x8 33 50 66 4.77 10 10 10 20 20 40 40 80 80 DDR 80 QDR Bande passante (Mo/sec) 7.9 15.9 31.8 127.2 127.2 508.6 254.3 528 1056 2112 33 100 133 180 380 1.5 60 100 200 5 10 20 40 20 40 40 80 160 320 640 Lecteur ZIP / Retour au menu Introduction : En 1995, une compagnie alors peu connue en France, lançait discrètement une nouvelle solution de stockage externe permettant d'enregistrer plus de 100Mo sur une seule disquette. Ce produit, révolutionnaire pour l'époque, était conçu et fabriqué par l'américain Iomega et se dénommait ZIP 100. Alors que notre bonne vieille disquette plafonnait à 1.44Mo depuis des lustres, les 100Mo offerts par le ZIP constituaient une véritable aubaine et offraient un espace suffisamment confortable, pour procéder à des sauvegardes régulières de son système Lecteur Iomega REV Backup Starter Kit Le lecteur Iomega REV 35 Go/90 Go est un système révolutionnaire de disque dur amovible, plus efficace et fiable que les systèmes sur bandes traditionnels et fournissant une solution portable de stockage de fichiers à hautes performances. Les disques Iomega REV vous permettent de sauvegarder et de restaurer vos données jusqu'à huit fois plus vite qu'un système sur bande (comparé au DDS4), de déplacer et de copier vos fichiers en quelques secondes par simple glisser - déplacer et de sécuriser vos données avec une protection par mot de passe. Le logiciel de sauvegarde de niveau professionnel inclus offre une sauvegarde automatique des fichiers et une image de sauvegarde système complète. Prix : 429 € (2008) Lecteur de disque REV (35 Go) interne 3.5", interface SATA Unité de disque Interne : Y Vitesse de rotation de disque dur : 4200 RPM Capacité disque dur : 35/90 GB Temps de recherche (écriture) : 13 ms Temps de recherche (lecture) : 12 ms Temps de latence moyen : 7.1 ms Disque dur, nombre de têtes de lecture : 2 Interface de disque dur : Serial ATA II Bytes par secteur : 2048 Connectivité External SATA : Y Système d'exploitation supportés : Poids: 424 g Temps moyen de bon fonctionnement : 400000 h Température de fonctionnement : 0 - 60 °C Conditions d'alimentation : 5V Consommation électrique : 4.6 W Prix 292.45 € TTC (2008) DVD-RAM Le DVD-RAM est un disque réinscriptible, il peut supporter jusqu’à 100.000 cycles d’écriture / réécriture. A titre d’informations et de comparaisons sachez que les DVD-RW et DVD+RW supportent eux 1.000 cycles d’écriture / réécriture. Le DVD-RAM se destine donc avant tout non seulement aux personnes ayant régulièrement besoin de stocker des informations sur DVD, mais également besoin de mettre à jour régulièrement lesdites informations (sauvegarde, archivage, etc..). Et justement, le format DVD-RAM se prête avantageusement à ce type d’utilisation. Avec un DVD-RAM, aucun logiciel de gravure n’est obligatoire : les systèmes d’exploitations récents gèrent de façon native ce support réinscriptible. Le DVD-RAM se comporte d’ailleurs plus comme une (très grosse) disquette que comme un DVD±RW : l’espace de stockage est par exemple automatique libéré lors de la suppression d’ou ou plusieurs fichiers. Les "USB drive" Les "USB drive" sont de tous petits objets (environ 85x30x15 mm et 20 grammes) autonomes qui se branchent directement sur le port USB du PC et sont reconnus automatiquement (pas de driver) sous les systèmes d'exploitations récents : une lettre de lecteur est immédiatement ajoutée dans l'explorateur de fichiers. Ils sont compatible MAC comme PC et permettent de transférer des fichiers très simplement d'un monde à l'autre. L'interface USB leur autorise un débit maximal de 1 Mo/s en pratique et les temps d'accès sont excellents puisque les données sont stockées dans des mémoires flash (EEPROM). Leur usage est réservé aux plus fortunés pour le moment dans la mesure ou un modèle 64 Mo coûte encore plus de 100 Euros mais la venue prochaine de modèles 1 Go devrait faire rapidement baisser les prix. A noter aussi : ces USBdrive peuvent servir de disque de boot, si la carte mère est assez récente et accepte de booter à partir d'un port USB Observations Avant de vous laisser choisir une solution adaptée à vos besoins et à votre budget (et peut-être fonction du matériel de vos ami(e)s), je tiens à vous faire remarquer que le disque dur peut-être considéré comme une unité de stockage/sauvegarde, et que c'est non seulement la plus performante des solutions mais aussi la moins chère. Son seul inconvénient est d'être moins facilement "extensible" (vous ne pouvez pas racheter de disquettes). Le problème du nombre de périphériques maximum en IDE est un faux problème car on peut trouver des cartes contrôleurs PCI UDMA à 40 Euros : on peut alors brancher au total 8 périphériques. Pour déplacer cette unité avec facilité, vous pouvez utiliser le système des "racks" (disque dur extractible) ou encore en acquérir un modèle externe qui soit à l'interface USB2 ou IEEE1394 (Firewire). Le rack peut s'acheter à part et ne coûte que 20 Euros même en version ventilé (pour éviter que le disque dur ne chauffe) Comparaison entre plusieurs medias 1°) Un disque dur UDMA/100 de 40 Go coûte 120 Euros. Pour avoir la même capacité sous la forme de disquettes ZIP, avec un lecteur 250 Mo en USB, il vous en coûtera : 235 Euros pour le lecteur + env. 2400 Euros pour les 160 disquettes 250 Mo. Donc au total plus de 2600 Euros au lieu de 120 Euros, ceci pour un lecteur bien moins performant ! En fait rien que le lecteur ZIP USB coûte le prix de deux disques durs 40 Go ! 2°) Un disque dur UDMA/100 de 40 Go coûte 120 Euros. Pour avoir la même capacité sous la forme de disquettes ORB (avec le JAZ se serait bien plus cher), avec un lecteur IDE interne, il vous en coûtera : 200 Euros pour le lecteur + 720 Euros pour les 18 disquettes de 2.2 Go. Donc au total 920 Euros au lieu de 120 Euros (pour un lecteur de performances moins bonnes.) 3°) Même le DVD-RAM a du mal à supporter la comparaison avec les disques durs de 40 Go à 120 Euros. Pour avoir 40 Go avec des cartouches et un lecteur/graveur de DVDRAM il faut compter 1000 Euros et, une fois encore, le disque dur est bien plus performant ! 4°) Les graveurs de CDRW eux aussi ne peuvent tenir la comparaison ! En effet, le moindre graveur coûte 100 Euros et les CDRW de qualité supportant la vitesse de 10X sont à 4 Euros pièce. Il en faut environ 65 pour disposer du même espace de stockage que celui de notre disque dur de 40 Go à 120 Euros, ce qui porte le coût total à plus de 350 Euros... 5°) Le cas particulier des sauvegardes à bande : même si elles sont aussi plus coûteuse au Go que les solutions à base de disque dur, elles sont certainement les plus sures mais aussi les plus lentes (à la sauvegarde comme à la relecture) et assez chères à l'achat. A réserver à l'archivage de très gros volumes, sans être pressé, fréquemment et à faible coût. Si vous souhaitez sauvegarder l'intégralité de votre disque dur (données et applications), ceci afin de pouvoir le restaurer ensuite en cas de problème grave (virus, panne matérielle, etc..), Vous devez utiliser un logiciel spécifique comme Ghost de Norton ou Drive image de Power Quest. La sauvegarde est alors réalisée sous la forme d'un seul et énorme fichier (compressé avec environ un rapport de 50% par rapport au volume initial) qu'il faudra ensuite pouvoir stocker ! Les appareils photos numériques / Retour au menu Les techniques informatiques permettent de transformer une image en une série de points, les pixels, dont les caractéristiques sont exprimées par des nombres, ce qui permet de la reconstruire sur un périphérique informatique. La résolution des capteurs et le nombre de pixels d'une image que sont capables d'analyser ses appareils de photos numériques, évolue très rapidement. Sur les appareils commercialisés, ils atteignent en 2008 jusqu’à quinze millions de pixels pour les appareils au capteur APS (Capteur CMOS SAMSUNG) et cinquante millions de pixels pour les moyens. La photographie numérique présente l'avantage d'offrir des possibilités infinies de retraitement et de retouche des images avec un ordinateur et un logiciel de traitement d'image (Photoshop – GIMP). De la simple correction de lumière, de contraste, de couleur, à la retouche et la composition d'image, ces logiciels permettent une grande liberté de création. 1 - La catégorie de loin la plus vendue est celle des compacts, appareils grand public par excellence. 2 - Autre type dérivé de la photographie traditionnelle, le reflex. Fondamentalement c'est un boîtier sur lequel on peut fixer un large éventail d'objectifs couvrant les besoins (et aussi les budgets) les plus variés. 3 - Troisième type d'appareil, les bridges, nommés ainsi parce qu'ils font le pont entre les compacts et les reflex. C'est une catégorie intermédiaire sur le plan de la qualité de l'optique, de la résolution et des possibilités de réglages. Leur boîtier est plus encombrant que celui des compacts et leur taille se rapproche de celle des reflex. Les capteurs Actuellement la plupart des compacts ont un capteur de 1/2,5'' (1/2,5 pouce) soit une diagonale réelle de 1 cm approximativement. Le rapport largeur/hauteur étant 4/3 comme pour la plupart des écrans d'ordinateur. Le nombre de pixels Ce nombre va avoir un impact direct sur la résolution de l'image, c'est-à-dire sur les plus fins détails observables, donc sur la taille maximum des agrandissements qu'il sera possible de faire. La carte sons / Retour au menu Comme son nom l'indique, cette carte a pour fonction de permettre au PC de fournir un son nettement plus harmonieux que les "beep" émits au démarrage de l’ordinateur. La gamme des cartes sons ont été longtemps dominées par les Sound Blaster de Créative Labs. Ce sont toujours d'excellentes cartes son sans compter que ce constructeur, du fait de la concurrence, a fortement baissé ses prix. Il se trouve qu'avec l'avènement de Windows et du Plug and Play, vous n'êtes plus obligés de passer par ce constructeur et par la "norme" dite "Compatible SB" comme à l'époque des jeux sous DOS : les nouvelles cartes sons compatibles marchent fort bien sous Windows 9x. Cependant il reste intéressant de prendre une carte Sound Blaster même en entrée de gamme car il semble que souvent la bande passante (gamme de fréquences) soit plus réduite sur les cartes compatibles et que, souvent aussi, le bruit de fond dû à l'alimentation soit plus important (appelé "souffle" vulgairement.) Il faut savoir qu'il y a peu d'écarts aujourd'hui entre les différentes cartes sons à même prix et que la qualité sonore sera conditionnée avant tout par certains composants (les convertisseurs Analogiques / Numériques et leurs réciproques) qui détermineront le rapport signal sur bruit et la bande passante. Le format Midi est un protocole de dialogue qui permet de jouer des sons un peu comme un synthétiseur en utilisant notamment des tables d'échantillonnage : la plupart des cartes sons modernes le supportent. Le format de la carte : ISA ou PCI. Les cartes ISA ont aujourd'hui pour ainsi dire disparues du marché au profit des cartes PCI puisque le standard ISA a pour ainsi dire disparu de nos machines (et des cartes mères des machines). L'avantage des PCI sur les ISA est moindre, si ce n'est une moins grande charge processeur. Par contre la pérennité sera bien meilleure puisque le PCI devrait durer encore un bon moment. Top des ventes : Cartes son 2008 Creative Sound Blaster X-Fi Titanium Fatal1ty Pro entre 100 et 130 € HT Auzentech Prelude X-Fi 7.1 entre 54 et 179 € HT Asus Xonar HDAV1.3 entre 245 et 285 € HT Creative Sound Blaster X-Fi Xtreme Audio - PCI-E entre 40 et 57 € HT Creative Sound Blaster X-Fi XtremeGamer Fatal1ty Pro entre 92 et 106 € HT La carte son de mon ordinateur ne fonctionne plus ... Votre problème se situe au niveau du volume sonore ... 1ère étape Pour vérifier si votre problème se situe au niveau du volume sonore, cliquez sur l'icône haut-parleur qui se trouve dans la Barre des tâches (en bas à droite de votre écran). Si par hasard, l'icône du haut-parleur ne se trouve pas dans la Barre des tâches, vous pouvez le faire apparaître en allant dans Poste de travail/Panneau de configuration, puis en cliquant sur l'icône Sons et multimedia. Dans la fenêtre qui s'ouvre, cliquez sur l'onglet Sons et cochez la case Afficher le contrôle du volume sur la Barre des tâches qui se trouve dans la zone nommée Volume sonore (voir photo 1). Photo 1 2ème étape Une fois que vous avez cliqué sur l'icône haut-parleur, vérifiez dans la fenêtre qui s'ouvre, les niveaux des contrôleurs sonores. Vérifiez également, si les cases nommées Muet sont décochées (voir photo 2). Photo 2 La carte son est en conflit avec une autre carte ... 1ère étape Tout d'abord, allez dans Poste de travail/Panneau de configuration, puis cliquez sur l'icône Système. Dans la fenêtre qui s'ouvre, sélectionnez l'onglet Gestionnaire de périphériques. Maintenant, cliquez sur le signe + qui se trouve devant la ligne nommée Contrôleur son, vidéo et jeu, puis double-cliquez sur le nom de votre carte audio (par exemple, Creative Labs Sound Blaster PCI64). 2ème étape Dans la nouvelle fenêtre qui apparaît à l'écran, cliquez sur l'onglet Ressources et vérifiez ce qui est inscrit sous la ligne qui se nomme Liste des périphériques en conflit : . Si vous avez écrit Pas de conflit., fermez cette fenêtre (voir photo 1). Dans ce cas, votre problème ne provient pas d'un conflit, il faudra donc rechercher ailleurs la raison de cette panne ... Photo 1 3ème étape Si vous avez quelque chose d'écrit dans cette liste, vérifiez s'il s'agit d'un conflit de Requête d'interruption (IRQ), de Plage d'entrée/sortie ou encore d'Accès direct à la mémoire (DMA). Décochez alors, la case nommée Utiliser les paramètres automatiques (voir photo 2). Après cela, cliquez sur la liste déroulante qui se trouve en face de la ligne qui se nomme Paramètres basés sur: et sélectionnez une autre configuration de base (par exemple : Configuration de base 0001). Essayez ces configurations une à une et faites un test avec ... Photo 2 Photo 3 Si après cela, votre problème est encore présent, surlignez dans l'encadré nommé Type de ressource, la ressource qui vous pose problème (par exemple : si votre conflit est un conflit de Plage d'entrée/sortie, surlignez la ligne Plage d'entreé/sortie ...). Puis, sélectionnez à nouveau une configuration de base. Pour cela, cliquez sur le bouton Modifier les paramètres. S'il est impossible de modifier ce paramètre, une petite boîte de dialogue apparaîtra à l'écran. Cependant, s'il est possible de modifier ces paramètres, dans la fenêtre qui s'affichera, utilisez les petites flèches qui se trouvent à droite de la ligne nommée Valeur pour faire défiler les différents choix (voir photo 3). Faites ceci jusqu'à ce que l'encadré nommé Informations sur les conflits indique Pas de périphérique en conflit. Lorsque cela est fait, appuyez sur le bouton OK pour prendre en compte les réglages que vous venez d'effectuer, puis redémarrez votre ordinateur ... Les mémoires mortes / Retour au menu Introduction Il existe un type de mémoire permettant de stocker des données en l'absence de courant électrique, il s'agit de la ROM (Read Only Memory, dont la traduction est mémoire en lecture seule) appelée parfois mémoire non volatile, car elle ne s'efface pas lors de la mise hors tension du système. Ce type de mémoire permet notamment de conserver les données nécessaires au démarrage de l'ordinateur En effet, ces informations ne peuvent être stockées sur le disque dur étant donné que les paramètres du disque (essentiels à son initialisation) font partie de ces données vitales à l'amorçage. Différentes mémoires de type ROM contiennent des données essentielles au démarrage, c'està-dire: Le BIOS est un programme permettant de piloter les interfaces d'entrée-sortie principales du système, d'où le nom de BIOS ROM donné parfois à la puce de mémoire morte de la cartemère qui l'héberge. Le chargeur d'amorce C'est un programme permettant de charger le système d'exploitation en mémoire (vive) et de le lancer. Celui-ci cherche généralement le système d'exploitation sur le lecteur de disquette, puis sur le disque dur, ce qui permet de pouvoir lancer le système d'exploitation à partir d'une disquette système en cas de dysfonctionnement du système installé sur le disque dur. Le Setup CMOS C'est l'écran disponible à l'allumage de l'ordinateur permettant de modifier les paramètres du système (souvent appelé BIOS à tort...) Le Power-On Self Test (POST), programme exécuté automatiquement à l'amorçage du système permettant de faire un test du système (c'est pour cela par exemple que vous voyez le système "compter" la RAM au démarrage) Etant donné que les ROM sont beaucoup plus lentes que les mémoires de types RAM (une ROM a un temps d'accès de l'ordre de 150 ns tandis qu'une mémoire de type SDRAM a un temps d'accès d'environ 10 ns), les instructions contenues dans la ROM sont parfois copiées en RAM au démarrage, on parle alors de shadowing (en français cela pourrait se traduire par ombrage, mais on parle généralement de mémoire fantôme). Les types de ROM Les ROM ont petit à petit évoluées de mémoires mortes figées à des mémoires programmables, puis reprogrammables. ROM Les premières ROM étaient fabriquées à l'aide d'un procédé inscrivant directement les données binaires dans une plaque de silicium grâce à un masque. Ce procédé est maintenant obsolète. PROM Les PROM (Programmable Read Only Memory) ont été mises au point à la fin des années 70 par la firme Texas Instruments. Ces mémoires sont des puces constituées de milliers de fusibles pouvant être "grillés" grâce à un appareil appelé programmateur de ROM, envoyant un fort courant (12V) dans certains fusibles. Ainsi, les fusibles grillés correspondent à des 0, les autres à des 1. EPROM Les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) sont des PROM pouvant être effacées. Ces puces possèdent une vitre permettant de laisser passer des rayons ultraviolets. Lorsque la puce est en présence de rayons ultra-violets d'une certaine longueur d'onde, les fusibles sont reconstitués, c'est-àdire que tous les bits de la mémoire sont à nouveau à 1. C'est pour cette raison que l'on qualifie ce type de PROM d'effaçable. EEPROM Les EEPROM (Electrically Erasable read Only Memory) sont aussi des PROM effaçables, mais contrairement aux EPROM, celles-ci peuvent être effacées par un simple courant électrique, c'est-à-dire qu'elles peuvent être effacées même lorsqu'elles sont en position dans l'ordinateur. Ces mémoires sont aussi appelées mémoires flash (ou ROM flash), et l'on qualifie de flashage l'action consistant à reprogrammer une EEPROM. Les supports de processeurs / Retour au menu C’est l’élément soudé sur la carte mère sur lequel s’enfiche le processeur. Ainsi, il est possible de modifier aisément une machine en remplaçant son processeur par un autre plus puissant, à la condition sine qua non qu’ils utilisent le même type de connecteur ! FCPGA Le processeur (carré) est directement placé sur un support sur la carte mère. Utilisé par le PIII coppermine. Ce système est compatible ascendant avec les socket 370 dont il dérive, on peut donc également y placer des celerons SOCKET 370 Le celeron est placé directement sur un support carré comportant 370 points. (Support en voie d'abandon remplacé par le FCPGA SLOT 1 Connecteur sur lequel on enfiche une carte fille sur laquelle sont soudés le processeur (PIII/Celeron) et le cache (PIII ancien modèle) Si on trouve toujours des PIII nouveaux modèles à ce format, la mort du slot 1 est annoncée au profit du FCPGA SLOT A Connecteur mécaniquement identique au SLOT 1 mais électriquement incompatible il ne peut recevoir que l'ATHLON ancienne formule; En voie d'abandon au profit du socket A SOCKET A L'ATHLON Thunderbird et le DURON s'enfichent dessus ce support carré SOCKET 7 Ancien système d'en fichage des PENTIUM 1, encore utilisé par le K6 processeurs SOCKET 423 Pour P4 ancienne génération SOCKET 478 Pour P4 nouvelle génération Le mpga 478 plus connu sous le nom de socket 478, est le deuxième socket de la famille du pentium 4 Le socket 775 (Aussi appelé socket LGA775 ou socket T) est un socket destiné aux processeurs Intel. Le socket 775 est de type LGA : il n'est plus constitué de trous destinés à accueillir les pins du processeur, les processeurs pour socket 775 comportent de petits ressorts venant toucher des pins situés sur le socket. Le socket 775 est destiné aux processeurs Pentium 4, Pentium D, Core 2 Duo, Core 2 Quad et Core 2 Extreme. La matrice de pastilles (en anglais Land Grid Array ou LGA) est un type de boîtier de circuit intégré, destiné à être monté sur un connecteur. Ce boîtier est notamment utilisé sur certains processeurs de PC. Liste de sockets et slots Sockets AMD Socket 7 - AMD K6 Super Socket 7 - Faster Bus Speed - AMD K6-2, K6-III, Rise mP6 Socket 462 (aussi connu sous Socket A) - Derniers Athlon, Duron et Athlon XP, Sempron et Athlon mobiles Socket 563 - Mobile Athlon XP Socket S1 - Sempron Mobile et Turion 64 X2 Socket 754 - AMD Athlon 64 et Turion 64 Socket 939 - AMD Athlon 64, Athlon 64 X2 (dual core) Socket 940 - AMD Athlon 64, Opteron Socket AM2 - AMD Athlon 64, Athlon 64 X2 et Sempron Socket F - Opteron) Socket AM2+ Socket AM3 Sockets Intel Socket 1 – 486 Socket 2 – 486 Socket 3 – 486 Socket 486 - 486 Socket 4 - Premiers Pentiums (60-66) Socket 5 - Pentium, IDT Winchip C6, Winchip 2 Socket 463 - (aussi connu sous Socket NexGen) - NexGen Nx586 Socket 6 - Intel 80486 Socket 7 – Pentium Socket 8 - Pentium Pro Socket 370 - Celeron, Pentium III, Cyrix III Socket 423 - Pentium 4 Socket 478 - Intel Celeron, Pentium 4 Socket 479 - Mobile Pentium Socket 479m - (aussi connu sous Socket M) Mobile Pentium Socket 603 – Xeon Socket 604 – Xeon Socket 771 - Xeon LGA LGA771 - Core 2 Duo (Nom de code Woodcrest et Clovertown) LGA775 - (aussi connu sous LGA 775 ou Socket T) - Intel Pentium 4, Pentium D, Celeron D, Pentium Extreme Edition, Core 2 Duo, Core 2 Extreme, Celeron LGA715 - (aussi connu sous LGA 715 ou Socket H) - Nehalem LGA1366 - (aussi connu sous LGA 1366 ou Socket B) - Nehalem avec controleur mémoire intégré PAC PAC418 – Itanium PAC611 - Itanium 2 Slots Slot 1 : Celeron, Pentium II, Pentium III Slot 2 : Pentium II Xeon, Pentium III Xeon Slot A : l'Athlon de première génération Slot B : DEC Alpha[réf. nécessaire] Le Moniteur / Retour au menu Le moniteur (l'écran d'ordinateur) est un périphérique de sortie qui vous permet de visualiser votre travail sur l'ordinateur (par exemple: un document sous Word, un tableau sous Excel, le graphisme ou des jeux.) Votre confort visuel est à la clé de votre choix. Le moniteur doit afficher correctement le résultat. Un écran est composé de points lumineux appelés Pixels (Contraction de PIcture ELement). Plus l'écran possède de Pixels, plus la résolution de votre écran ne sera élevée. Les boutons de réglages : de plus en plus, les écrans ont un bouton pour faire apparaître un menu de réglage à l'écran. Deux autres boutons (+/-) nous permettent d'augmenter ou de diminuer les variables telles que : brillance, contraste, luminosité, position verticale et horizontale, rotation, démagnétiser, langue, coussin, taille... Le type de technologie Le tube cathodique Le tube cathodique qui a un peu la forme d'une ampoule électrique usuelle, génère à sa base des faisceaux d'électrons qui viennent frapper successivement toute sa face interne qui est recouverte de phosphore. Or l'impact (on parle de point) d'un électron provoque un éclair qui s'éteint pratiquement aussitôt, et suivant que les impacts arrivent plus ou moins vite vous aurez une visualisation plus ou moins nette. Le principe du tube cathodique est identique à celui des TV. L'écran renferme un canon à électron qui produit un faisceau d'électrons (1) projetés sur la dalle, la partie affichée de l'image) à travers un mécanisme de électromagnétique de positionnement (pour allumer un point à la fois, déflecteurs haute tension verticaux et horizontaux: 2 et 3). Une grille percée de trous (technologie Shadow Mask) ou de fils tendus (technologie Trinitron) (4) placée entre les 2 assure la conversion du signal. L'intérieur de la dalle du tube cathodique est tapissé de luminophores de 3 couleurs: rouge, vert et bleu. Lorsqu'un électron frappe un luminophore, ce dernier est excité et produit une lumière. Le luminophore doit être excité au moins toutes les 13.33 ms pour une fréquence de 75 hz (75 fois par seconde) pour conserver l'affichage. Les écrans plats TFT Les écrans plats TFT utilisés pour certains écrans à cristaux liquides dit "à matrice active" dont les portables. Leur affichage est nettement supérieur en qualité à celui des écrans habituels, et un 15" offre une surface égale à celle d'un 17" traditionnel. La taille Le premier critère est la taille de l'écran. La taille intervient grandement dans le confort d'utilisation. À chaque taille d'écran correspond une résolution seuil qui correspond à une lisibilité optimale. Il ne faut pas confondre la définition de l'écran et la taille de l'écran. En effet un écran d'une taille donnée peut afficher différentes définitions, cependant, généralement, un écran de grande taille (celle-ci se calcule en mesurant la diagonale de l'écran et est exprimée en pouces.) La résolution La résolution est le degré de netteté d'une image affichée. Elle est exprimée en pixels par pouce carré (en anglais DPI: Dots Per Inch). Pour une utilisation efficace sous Windows, un écran d'au moins 15 pouces s'impose de manière à pouvoir afficher correctement la résolution 800 x 600. Avec un écran de 17 pouces vous pouvez travailler en 1024 x 768 assez confortablement. Norme écran Norme écran VGA SVGA XVGA SXGA HDTV HDTV plus QXGA Les écrans plats Résolution horizontale * résolution verticale 640 * 480 800 * 600 1024* 768 1280* 1024 1920 * 1080 1920 * 1200 2048 * 1536 La fréquence de balayage C'est le nombre d'images qui sont affichées par seconde, on l'appelle aussi la fréquence de rafraîchissement, elle est exprimée en Hertz. Plus cette valeur est élevée meilleur est le confort visuel (on ne voit pas l'image scintiller), il faut donc qu'elle soit supérieure à 67 Hz (limite inférieure à partir de laquelle l'œil remarque véritablement l'image "clignoter".) C'est mieux d'acheter un écran qui offre une fréquence de rafraîchissement d'au moins 75Hz. La définition C'est le nombre de points qu'il peut afficher, ce nombre de points est actuellement compris entre 640x480 (640 points en longueur, 480 points en largeur) et 1600x1200. Le pas de masque C'est la distance qui sépare deux points, plus celle-ci est petite plus l'image est précise. Le moniteur VGA contre le moniteur SVGA Un moniteur VGA peut afficher 640 pixels de large par 480 pixels de haut (640X480.) Le moniteur SVGA a une résolution 800x600. Utilisation en bureautique Pour une utilisation efficace sous un environnement graphique comme Windows, un écran d'au moins 15 pouces (un pouce mesure 2.54 cm) s'impose de manière à pouvoir afficher correctement la résolution 800x600. Avec un écran de 17 pouces vous pourrez travailler en 1024x768 assez confortablement. Ne vous laissez surtout pas abuser par les vendeurs informatiques ou par la publicité des constructeurs : travailler en 800x600 sur un écran de 14 pouces ou en 1024x768 sur un écran de 15 pouces n'a *jamais* été confortable et ne le sera *jamais*. Voici un tableau qui récapitule les résolutions maximales utilisables assez confortablement pendant une longue durée sur un écran en fonction de la taille de ce dernier (valeurs communément admises par les utilisateurs, ceci surtout pour travailler sur du texte) : Taille d'écran (diagonale) Résolution confortable 15" 800x600 17" 1024x768 19" 1152x864 21" 1280x960 22" 1680x1050 NB : si vous ne trouvez pas de relation de proportionnalité entre ces résolutions et les tailles d'écran, n'oubliez pas que la taille d'un écran est donnée pour sa diagonale (et la diagonale du tube, pas celle d'affichage.) Statistique sur les tailles écran (2007) Rang Taille 2007 2006 2005 1 1024 x 768 55,34 % 56,15 % 57,38 % 2 1280 x 1024 17,23 % 15,79 % 14,18 % 3 800 x 600 8,18 12,04 % 18,23 % 4 1280 x 800 8,23 % 4,09 % 1,56 % 5 1152 x 864 3,67 % 3,90 % 4,95 % Conseils sur le choix d'un moniteur - Il est à la norme Energie Star (norme d'économie d'énergie.) - Il est MPRII (basse radiation.) - Il offre une fréquence de rafraîchissement possible (nombre de fois que l'image est actualisée par secondes) d'au minimum 75 Hz, non entrelacé, ceci à la résolution optimale d'utilisation (pas la résolution maximale annoncée par le constructeur, mais la résolution que VOUS allez utiliser.) Ainsi l'image à votre écran sera un minimum stable et vous n'aurez pas d'effet de scintillement, à condition d'avoir choisi une carte graphique correcte qui puisse générer cette fréquence à cette résolution. Il est à noter que pour mieux faire une fréquence de 85 Hz en lieu et place de cette fréquence de 75 Hz est préférable : Au-delà de 85 Hz et d'après mon expérience, il n'y a pas de différence perceptible même après une journée de travail face à l'écran. Drivers ECRAN Les drivers pour votre écran existent et sont fournis avec l'écran ou sont disponibles sur le site du constructeur de l'écran. Ce sont des fichiers à l'extension ".inf" qui permettent à Windows de connaître quelles sont les fréquences de rafraîchissement de votre écran dans les différentes résolutions. Pour les installer allez dans "Démarrer - Paramètres - Panneau de Configuration - Affichage - Onglet paramètres, propriétés avancées - Onglet Moniteur - Modifier" et là il vous demandera de lui spécifier le répertoire où trouver le fichier .inf de votre écran. Utilisation du téléviseur Utiliser sa télévision comme écran d'ordinateur est une chose techniquement possible à condition d'avoir une carte vidéo avec sortie TV. Cependant, précisions de suite que même si votre écran de télévision est généralement nettement plus grand qu'un écran d'ordinateur, la taille élémentaire du pixel est plus grande que celle d'un écran d'ordinateur donc la précision des images sera moindre, tout particulièrement dans les résolutions élevées. De plus une télévision n'est pas conçue, contrairement à un écran d'ordinateur, pour être regardé de très près. Reste que cette option est utile pour ceux qui veulent afficher des films DVD sur leur télévision par exemple. Les imprimantes / Retour au menu Le choix d'une imprimante est aujourd'hui plus complexe qu'on imagine. Il y a trois types d'imprimantes: les imprimantes matricielles, les imprimantes à jet d'encre et les imprimantes lasers. Les imprimantes matricielles: Les plus anciennes et les moins chères à l'achat. Ce type d'imprimante a des aiguilles (9 ou 24 aiguilles) qui frappent le papier à travers un ruban d'encre. L'impression est de qualité meilleure avec plus d'aiguilles. La technologie de l'imprimante matricielle est la plus économique parce que c'est la plus vieille. Il existe des imprimantes matricielles en couleurs et en plus on peut imprimer sur du format A3. Ce type d'imprimante n'est cependant pas le meilleur choix à cause de se manque de qualité et de sa vitesse. Les imprimantes à jet d'encre: La technologie des imprimantes à jet d'encre (Bubble jet printers) a été originalement inventée par Canon, elle repose sur le principe qu'un fluide chauffé produit des bulles. Le chercheur qui a découvert ce principe avait mis accidentellement en contact une seringue remplie d'encre et un fer à souder, cela créa une bulle dans la seringue qui fit jaillir de l'encre de la seringue. Les têtes des imprimantes actuelles sont composées de nombreuses buses (jusqu'à 256), équivalentes à plusieurs seringues, chauffées entre 300 et 400°C plusieurs fois par seconde. Chaque buse produit une bulle minuscule qui fait s'éjecter une gouttelette extrêmement fine. Le vide engendré par la baisse de pression aspire une nouvelle goutte. Le coût de cette imprimante est plus élevé que les imprimantes matricielles mais plus bas que les imprimantes lasers. Dans ce type de technologie la tête d'impression envoie sur le papier des petites gouttelettes d'encre. C'est important à considérer avec cette imprimante le nombre de têtes d'impression. Il existe trois types à considérer: La Trichromie Ici on a trois couleurs primaires: rouge, bleu et jaune. Pour obtenir le noir les trois couleurs se mélangent ensemble, ce qui donne une mauvaise qualité de le noire et utilise trop d'encre. La quadrichromie Ici on a les trois couleurs primaires et une tête d'impression noire aussi. Il y a aussi la possibilité d'avoir les quatre têtes séparées. Cette option permet de remplacer seulement la cartouche usagée et par conséquent, c'est beaucoup plus économique. La polychromie Ici il y a cinq ou six têtes de couleurs et une tête noire. Si c'est la reproduction des photos qui vous intéresse vous devez avoir les imprimantes polyvalentes ou les modèles photos. Les imprimantes Lasers Avec la baisse des prix des imprimantes lasers, ces imprimantes sont de plus en plus utiliser de nos jours. Les imprimantes lasers sont beaucoup plus rapides que les autres imprimantes et la qualité d'impression est très élevée. Le fonctionnement des imprimantes est un peu complexe. L'imprimante doit contrôler le laser, le mouvement du papier et puis fusionner l'image sur le papier. Le choix d'imprimante est fondé premièrement sur vos besoins mais on doit aussi penser au prix et a la qualité des consommables. La résolution Le nombre de points par pouce:ppp (en anglais, dpi:dots per inch) en horizontal et en vertical qu'elle peut reproduire sur une feuille. La moyenne est environ 600*600ppp. La vitesse La sortie des pages par minute:ppm. Pour les imprimantes à jet d'encre c'est la vitesse avec laquelle les têtes se déplacent et la vitesse pour l'encre d'être éjecté- la moyenne est environ 4ppm. Pour les lasers en base de gamme le moyen est environ 8ppm. Les consommables Les consommables (le papier et les cartouches) sont très importants dans le coût d'impression. Pour une bonne qualité c'est recommandé d'utiliser le papier et l'encre du constructeur de l'imprimante. Ceci dit, on doit simplement comparer les prix et la qualité d'impression pour obtenir le résultat le plus satisfaisant pour vos besoins et vos finances. Les imprimantes photo 10 x 15 Ces imprimantes photo autonomes s'adressent aux utilisateurs qui souhaitent imprimer chez eux, vite et simplement, sans s'embarrasser avec les traditionnelles questions de l'impression - quelle résolution ? Quelle taille de papier ? Quels réglages ?, etc. Elles n'impriment que sur du papier photo 10 x 15 cm (à quelques exceptions près dans la mesure où aujourd'hui certaines s'ouvrent aux formats 10 x 30 ou 10 x 18). Simples et concentrées sur une tâche précise, elles ont aussi comme particularité d'être relativement compactes ce qui permet de les emmener en déplacement ou sur des événements, à plus forte raison les modèles dotés d'une poignée et ceux qui peuvent être alimentés au moyen d'une batterie. Les imprimantes A4 Les imprimantes ont depuis longtemps fait leurs preuves en permettant aux particuliers d'imprimer depuis leur domicile. Même si elles ont subi de plein fouet la concurrence des multifonctions, plus polyvalentes qu'elles, les A4 restent intéressantes pour ceux qui ont déjà un scanner (ou n'en ont pas l'utilité) et cherchent un modèle plus clairement orienté bureautique ou photo. Lexmark Z1420 Epson Stylus D120 Canon iP3500 à partir de 62,90 € à partir de 63,15 € à partir de 54,89 € Les enceintes (haut parleur) / Retour au menu Ne négligez pas les enceintes, surtout si vous avez acheté une bonne carte son : ce serait du gâchis car suivant leur qualité, le rendu sonore n'a rien à voir. Cependant, à moins de vouloir assommer votre voisin, je ne vois pas à quoi cela sert d'avoir des enceintes surpuissantes. Les différentes normes rendent parfois délicat l'interprétation des données du constructeur : intéressez-vous à la puissance en watts "RMS" si vous voulez avoir une idée de la puissance des enceintes selon la manière habituelle de la mesurer et ignorez les fameux watts "PMPO" qui sont une méthode pour évaluer leur puissance qui n'a de puissance que le nom. Toutes ces enceintes incluent l'amplificateur et se branchent sur le secteur. Enfin, ne faîtes pas l'erreur de prendre des enceintes de tout premier prix : ce n'est pas un problème de puissance mais de qualité de l'amplification, de distorsion et de rendu général. Si vous voulez avoir un son avec plus de profondeur il est très conseillé de prendre un jeu d'enceintes accompagnées d'un caisson de basse : celui-ci, spécialisé dans le rendu des sons graves, donnera une toute autre dimension aux effets sonores sur votre machine. Si vous jouez à des jeux d'action 3D et que vous souhaitez avoir un son approprié (3D), vous opterez pour un kit avec 4 enceintes plus un caisson de basse afin de profiter pleinement de l'action (attention alors à avoir la carte son appropriée). Mais voici en détails les différents formats sonores disponibles et les normes associées : 1- ) La stéréo Même si c'est un standard tout à fait basique, il convient tout à fait pour reproduire de la musique, ceci à un prix très abordable. Le principe est simple, disposer les enceintes de part et d'autre de la personne qui écoute : le son en stéréo permet de restituer une dimension au son et autorise la reproduction de certains effets. Utilisé pour écouter de la musique ou pour certains jeux un système stéréo fera l'affaire. Cependant, dans un certain nombre de jeux, dont les jeux d'action 3D notamment, l'immersion du joueur sera meilleure avec un système comportant plus d'enceintes. 2- ) Le système 2.1 Il s'agit en fait d'un système stéréo accompagné d'un caisson de basse. Le champ d'application est le même qu'un système stéréo avec l'avantage non négligeable que les sons ont nettement plus de profondeur grâce au caisson de basse. Les différents systèmes de type "surround" : de nombreuses compagnies ont développées chacune la ou leurs méthodes pour créer un son en 3 dimensions. Il est à noter qu'un son de type "surround" ne peut être produit qu'à partir d'un signal encodé qui le contient : même sans décodeur, la partie stéréo d'un signal encodé de ce type pourra en général être restituée. 3-) L'EAX de Creative Labs L'EAX qui signifie Environmental Audio Extensions, est basé sur des algorithmes et des processeurs sonores développés par Creative Labs. Le son EAX est particulièrement adapté aux jeux 3D pour lequel il a été créé : il est restitué par des systèmes dits 4.1 et constitués de 4 enceintes (2 stéréos avant et 2 stéréos arrière) et d'un caisson de basse. Il s'agit du standard de loin le plus utilisé pour bien restituer des sons en 3D sur les PC, notamment car il implique très peu de calculs pour le processeur central du PC, ces calculs étant effectués par le processeur de la carte son. 4-) L'A3D de Aureal Dans sa norme 2.0, l'A3D restitue un son en 3D réelle à l'aide de 4 enceintes. Cependant, Aureal recommande plus l'usage d'un bon casque pour mieux profiter de la "spatialisation" du son. Dans la norme 2.0 de nombreux effets sont pris en compte dont la réflexion du son et donc le son est même calculé en fonction de la forme et du type de l'environnement (dans une pièce, suivant sa forme et sa taille, le son varie). Le son restitué est d'une grande qualité et adapté lui aussi à un usage ludique sur nos PC. Si l'A3D est aujourd'hui bien moins répandu que l'EAX, malgré une qualité légèrement supérieure, c'est certainement car les jeux le mettent moins en oeuvre du fait qu'il représente une bien plus forte charge pour le processeur : de 20 à 25% de charge CPU contrairement à l'EAX qui se situe à 5%. 5-) Le Dolby Surround Il s'agit de la première technologie de type surround qui fut disponible. Elle consiste en 3 canaux : stéréo gauche et droite ainsi qu'un canal mono pour les enceintes derrière la personne. Ceci autorise donc l'accès à 3 des 4 canaux encodés dans le signal stéréo et ne reproduit pas le canal central utilisé pour la reproduction de la voix et localisé à la source. 6-) Le Dolby Surround Prologic Par rapport au Dolby surround il permet juste d'accéder au canal central en plus. Ce dernier canal est repéré puis extrait par le système Prologic à partir de la gamme de fréquence de la voix. La voix est donc localisée à la source c'est à dire au niveau de l'image par une enceinte supplémentaire : ce type de système n'a guère d'intérêt sur un ordinateur car l'utilisateur est généralement trop près de l'image pour bien en bénéficier, sauf éventuellement dans le cadre de la lecture de films DVD. 7-) Le Dolby Digital Cette technologie est basée sur le standard surround 5.1 et consiste en six sources sonores différentes. On trouve le canal stéréo gauche et droite avant, stéréo gauche et droite surround, le canal du centre pour la voix et le canal pour les basses fréquences qui lui est très spécialisé et ne reproduit qu'un dixième de la gamme de fréquence des autres. Le Dolby Digital est utilisée dans les films DVD pour la restitution du son. Il faut là bien distinguer : D’une part les kits d'enceintes composés simplement des 6 enceintes comme le DT2200 de Créative Labs et qui nécessitent une carte son capables de décoder le signal à ce format sonore (comme une carte son de la gamme des Creative Sound Blaster Live 5.1) d'autre part les kits d'enceintes composés d'un jeu de 6 enceintes et d'un décodeur dolby digital externe : l'usage d'une carte sonore supportant le décodage du signal au format 5.1 n'est alors donc plus nécessaire puisque ce décodage est réalisé par l'ampli externe. 8-) Le Dolby Virtual Surround ou encore Dolby Multimedia Surround Cette technique consiste à créer un son vraiment 3D juste à partir d'une paire d'enceintes qui soient capables d'envoyer des sons dans différentes directions. L'idée de base est que puisqu'un individu peut localiser dans l'espace un son avec ses deux oreilles alors il doit exister un algorithme qui permet de créer un son en 3 dimensions à partir de 2 enceintes. La méthode manque souvent d'efficacité en pratique, notamment parce que le point d'écoute idéal est très précis. Les MODEMS / Retour au menu Histoire rapide du modem Le morse a été le premier codage a permettre une communication longue distance. C'est Samuel F.B.Morse qui l'a mis au point en 1844. Ce code est composé de points et de tirets (un langage binaire en quelque sorte...). Il permis d'effectuer des communications beaucoup plus rapides que le Pony Express. L'interpréteur était l'homme à l'époque, il fallait donc une bonne connaissance du code... De nombreux codes furent inventés dont le code d'émile Baudot (portant d'ailleurs le nom de code Baudot, les anglais l'appelaient Murray Code). Le 10 mars 1876, le Dr Graham Bell met au point le téléphone, une invention révolutionnaire qui permet de faire circuler de l'information vocale dans des lignes métalliques. Ces lignes permirent l'essor des télescripteurs, des machines permettant de coder et décoder des caractères grâce au code Baudot (Les caractères étaient alors codés sur 5 bits, il y avait donc 32 caractères uniquement...). Dans les années 60, le code ASCII (American Standard Code for Information Interchange) est adopté comme standard. Il permet le codage de caractères sur 8 bits, soit 256 caractères possibles. Grâce aux techniques de digitalisation et de modulation aux alentours de 1962, ainsi que l'essor des ordinateurs et des communications le transfert de données via modem vit le jour... Principe du modem Le modem est le périphérique utilisé pour transférer des informations entre plusieurs ordinateurs (2 à la base) via les lignes téléphoniques. Les ordinateurs fonctionnent de façon digitale, ils utilisent le langage binaire (une série de zéros et de uns), mais les modems sont analogiques. Les signaux digitaux passent d'une valeur à une autre, il n'y a pas de milieu, de moitié, c'est du Tout Ou Rien (un ou zéro). L'analogique par contre n'évolue pas "par pas", il couvre toutes les valeurs. ainsi vous pouvez avoir 0, 0.1, 0.2, 0.3 ...1.0 et toutes les valeurs intermédiaires. Un piano par exemple marche plus ou moins de façon analogue car il n'y a pas "de pas" entre les notes. Un violon par contre peut moduler ses notes pour passer par toutes les fréquences possibles. Un ordinateur marche comme un piano, un modem comme un violon. Le modem convertit en analogique l'information binaire provenant de l'ordinateur. Il envoie ensuite ce nouveau code dans la ligne téléphonique. On peut entendre des bruits bizarre si l'on monte le son provenant du modem. Ainsi, le modem module les informations numériques en ondes analogiques; en sens inverse il démodule les données numérique. C'est pourquoi modem est l'acronyme de MOdulateur/DEModulateur. La connexion par la ligne téléphonique Une ligne téléphonique est conçue pour fonctionner avec un téléphone, c'est pour cela qu'un modem a besoin d'établir une communication avec un ordinateur distant grâce à un numéro de téléphone avant de pouvoir échanger des informations. On appelle protocole le langage utilisé par les ordinateurs pour communiquer entre eux. Les deux protocoles les plus utilisés sont: le protocole PPP le protocole SLIP Les modems à 56 Kbit/s La compagnie Rockwell a présenté une nouvelle norme: la norme K56flex. Cette norme se pose comme alternative à la technologie X2 d'US ROBOTICS. Elle permet d'obtenir des débits de l'ordre de 56Kb/s sur une liaison asynchrone. Elle se différencie par l'encodage et le serveur. Le débit moyen est de 50 Kbps mais la société compte bien arriver à des taux de l'ordre de 110 puis 230 Kbps pour les données offrant un fort taux de compression. Au départ les deux normes étaient sensées pouvoir évoluer. Depuis 1998 les normes ont été fixées. Ainsi, les modems offrent pour la plupart un bios "flashable" (c'est-à-dire un modem que l'on peut faire évoluer). Grâce à la norme V90, les modems à 56 Kbps devraient maintenant être compatibles entre eux. Présentation du RNIS Le Numéris est le réseau téléphonique de France Télécom basé sur la technologie RNIS ("Réseau Numérique à Intégration de Services", en anglais ISDN). Ce réseau est conçu pour transporter la voix, des données (un avantage entreautres est de pouvoir connaître le numéro de l'appelant, des images, des fax ... D'autre part, la fiabilité et le confort sont incomparable au réseau téléphonique Depuis Novembre 1995, France Télécom a aligné la tarification Numéris sur celles des communications normales. Cependant seules les entreprises semblent avoir accès à cette tarification. Fonctionnement du RNIS Il faut avoir un adaptateur pour se connecter sur le réseau Numéris. Le débit est de 64 Kbps (128 en utilisant deux canaux) au lieu de 56 Kbps avec les modems les plus rapides. Les lignes spécialisées Ce sont des lignes louées qui permettent la transmission de données à moyens et hauts débits (2,4 Kbps à 140 Mbps) en liaison point à point ou multipoints (service Transfix). Les 3 lignes les plus répandues sont les T1 (1.5Mbps), les T2 (6 Mbps), et les T3 (45Mbps). Il existe aussi des lignes nettement plus rapides: ce sont les E1 (2Mbps), E2 (8Mbps), E3 (34Mbps), et E4 (140Mbps) qui sont inaccessibles pour les particuliers. Quel est le besoin d'une ligne spécialisée? Pour obtenir une connexion à Internet, il faut, en règle générale,payer un abonnement auprès d'un prestataire Internet ou un service en ligne.Le prix de cette connexion dépend de la vitesse de transfert des données. Il faut choisir celle-ci en fonction du volume de fréquentation du site Web. La liaison Internet par câble Les liaisons Internet par câble vous permettent de rester connecté à Internet de façon permanente. Il n'y a plus besoin d'attendre que la connexion s'établisse avec le prestataire, car la connexion avec ce dernier est directe. Il est déjà dans de nombreuses villes en France (Paris, Nice, Le Mans,Annecy, Strasbourg ...). Les avantages : On ne paye pas la connexion à la minute mais au mois, d'oû un coût réduit La vitesse est largement supèrieure à celle d'un modem ... Le matériel nécessaire à une liaison par câble Pour accéder à cette technologie il est nécessaire d'avoir: Le câble Un fournisseur d'accès par ce câble Un modem-câble Un modem-câble est un appareil qui permet d'accéder à Internet via le réseau de câblodistribution. Il possède deux types de connexions: une connexion de type coaxial (vers le câble), une connexion de type ethernet RJ45 (vers la carte réseau de l'ordinateur). Des vitesses de 10Mbps peuvent être théoriquement atteinte, cependant cette bande passante est partagée suivant l'arborescence qui vous relie à l'opérateur, ainsi il se peut que vous partagiez (et c'est probablement le cas) votre bande-passante avec toutes les personnes de votre immeuble, c'est-à-dire que si tous vos voisins téléchargent des vidéos, les performances ne seront pas au rendez-vous ... Que signifient xDSL et ADSL ? Le terme DSL ou xDSL signifie Digital Subscriber Line (Ligne numérique d’abonné) et regroupe l’ensemble des technologies mises en place pour un transport numérique de l’information sur une simple ligne de raccordement téléphonique. Les technologies xDSL sont divisées en deux grandes familles, celle utilisant une transmission symétrique et celle utilisant une transmission asymétrique. Ces deux familles seront décrites plus loin dans ce support. Le terme ADSL signifie Asymmetric Digital Subscriber Line (dans les pays francophones ce terme est parfois remplacé par LNPA qui signifie Ligne Numérique à Paire Asymétrique. Ce système permet de faire coexister sur une même ligne un canal descendant (downstream) de haut débit, un canal montant (upstream) moyen débit ainsi qu’un canal de téléphonie (appelé POTS en télécommunication qui signifie : Plain Old Telephone Service). L’utilité des technologies xDSL et ADSL Le rapide développement des technologies de l’information ont fait apparaître de nouveaux services gourmands en capacité de transmission. L’accès rapide à Internet, la visioconférence, l’interconnexion des réseaux, le télétravail, la distribution de programmes TV, etc font parties de ces nouveaux services multimédia que l’usager désire obtenir à domicile ou au bureau. Jusqu’à présent les services à hauts débits existant (câble coaxial, fibre optique) n’étaient pas bien adapté aux besoins réels (trop chers à remplacer des fibres optiques ou connexion pas très stable en câble coaxial). L’idée d'utiliser la paire torsadée semble la mieux adaptée puisque dans le monde plus de 800 millions de connexions de ce type sont déjà en place et qu’il suffit d’ajouter un équipement au central téléphonique ainsi qu’une petite installation chez l’utilisateur (voir chapitre 4) pour pouvoir accéder à l’ADSL. Caractéristiques des technologies ADSL Le terme DSL ou xDSL peut se décliner en plusieurs groupes : HDSL, SDSL, ADSL, RADSL, VDSL. A chacun de ces groupes correspond une utilisation et des caractéristiques particulières. Le différences entre ces technologies sont à différencier par : La vitesse de transmission La distance maximale de transmission La variation de débit entre le flux montant et le flux descendant Le caractère symétrique ou non de la liaison La connexion point à point est effectuée via une ligne téléphonique entre deux équipements, d’une part le NT (Network Termination) installé chez l’utilisateur et d’autre part le LT (Line Termination) installé dans le centre de raccordement. ADSL ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) au même titre que l’HDSL existe depuis une dizaine d’années et a tout d’abord été développé pour recevoir la télévision par le réseau téléphonique classique. Mais le développement d’Internet a trouvé une autre fonction à cette technologie, celle de pouvoir surfer rapidement sur le net et sans occuper une ligne téléphonique. ADSL est aussi actuellement une des seule technologie disponible sur le marché qui offre le transport de la TV/vidéo sous forme numérique (MPEG1 ou MPEG 2) en utilisant un raccordement téléphonique. L’ADSL permet notamment le transport de données TCP/IP, ATM et X.25. Le standard ADSL a été finalisé en 1995 et prévoit : Un canal téléphonique avec raccordement analogique ou RNIS Un canal montant avec une capacité maximale de 800 kbits/s Un canal descendant avec un débit maximal de 8192 kbits/s Comment faire cohabiter un réseau analogique et ADSL sur une même ligne Description d’un câble cuivre La paire torsadée est constituée de deux conducteurs de cuivre d’un diamètre compris entre 0.4mm et 0.8mm (rarement 1mm). Les conducteurs sont isolés et torsadés afin de diminuer la diaphonie. La plupart du temps, les paires torsadées sont regroupées en quatres dans un câble protégé par un manteau de plastique. Les câbles utilisés sur le réseau télphonique comprennent de 2 à 2'400 paires et ne sont pas blindés. Les services téléphoniques traditionnels nécessitent un largeur de bande de 3,1 kHz (la bande passante comprise entre 3oo Hz et 3400 Hz), or les câbles reliant les centraux téléphoniques aux utilisateurs possèdent tous une bande passante supérieure, de l’ordre de plusieurs centaines de kHz. C’est sur ce réseau d’accès câblé que ce sont développées les techniques xDSL. En hautes fréquences les problèmes liés à la distance sont les plus contraignants (affaiblissement, diaphonie, distortion de phase). Aux basses fréquences, ce sont les difficultés liées aux bruits impulsionnels qui dominent sans trop de difficulté jusqu’à 1 Mhz. Au-delà, leur utilisation devient délicate et elle nécessite des systèmes de transmission très performants. Les limitations du réseau analogique Le débit maximum possible sur le réseau analogique est de 33'600 bit/s en upstream et 56'000 (théorique) en downstream. On comprend l’utilité d’une technologie allant au-delà de la bande passante de 3,1 kHz. L’utilisation d’un raccordement ISDN fait en fait déjà appel à la technologie xDSL puisque celui-ci couvre un spectre de fréquence jusqu’à 80 kHz. Comme expliqué au chapitre 2.3.1, la technique de modulation CAP a été délaissée pour la technique DMT qui fut retenue pour le standard ANSI T1.413-1995. DMT (Discrete Multi Tone) est une forme de modulation multiporteuse. Pour son application à l’ADSL, le spectre de fréquence compris entre 0 Hz et 1,104 MHz est divisé en 256 souscanaux distincts espacés de 4,3125 kHz. Les sous-canaux inférieurs sont généralement réservés au POTS, ainsi les sous-canaux 1 à 6 (jusqu’à 25,875 kHz) sont en principe inutilisés et laissés pour la téléphonie analogique. Selon T1.413, seuls les sous-canaux 1 à 31 peuvent être utilisés pour le débit upstream. Les différents types de mémoire / Retour au menu Les ordinateurs ont besoin pour fonctionner d'espace de stockage temporaire. Les informations passent forcément a un moment donné par les mémoires. C'est donc un organe important dans la configuration d'un PC. La mémoire est beaucoup plus rapide que le disque dur. Le problème c'est que lorsque la mémoire est pleine, l'ordinateur utilise le disque dur pour stocker temporairement ses données. De plus en plus d'applications (photos, vidéos notamment) ou jeux (comme les jeux d'action 3D) tireront parti de plus de mémoire (jusqu'à 4 Go très couramment) Le critère pour savoir si votre machine est "accélérable" en rajoutant de la mémoire étant d'écouter le disque dur : si celui-ci fonctionne trop souvent, ce qui est obligatoirement le cas si vous n'avez que peu de mémoire, ceci signifie que Windows 9x utilise le disque dur pour faire de la mémoire virtuelle (on dit qu'il "swappe"). Ceci ralentit très considérablement votre machine pour une économie plutôt plutôt faible et risque de rendre votre machine instable voir même de provoquer à terme une usure prématurée du disque dur. Voici un tableau récapitulatif de ce que l'on peut trouver sur le marché en ce moment : PC100 (100 MHz) PC133 (133 MHz) PC2100 (266 MHz) PC2700 (333 MHz) PC3200 (400 MHz) PC2-4200 (533 MHz) PC2-5300 (667 MHz) PC2-6400 (800 MHz) PC2-8500 (1066 MHz) PC2-9200 (1150 MHz) PC2-9600 (1200 MHz) PC3-8500 (1066 MHz) PC3-10666 (1333 MHz) PC3-11000 (1375 MHz) PC3-12800 (1600MHz) PC3-13000 (1625 MHz) PC3-14400 (1800Mhz) PC3-15000 (1866 MHz) PC3-16000 (2000 MHz) PC3-17000 (2133 MHz) SDRAM 128 SDRAM 128 DDR1 DDR1 DDR1 DDR1 DDR2 DDR2 DDR2 DDR2 DDR2 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 DDR3 256 256 512 512 512 512 512 512 512 1 Go 1 Go 1 Go 1 Go 1 Go 1 Go 1 Go 2*1 Go 2 Go 2*1 Go 2*1 Go 2*1 Go 2*1 Go 2*1 Go 2 Go 2 Go 2*2 Go 2*2 Go 2*512 2*2 Go 3*1 Go 3*2 Go 2*1 Go 2*1 Go (104 €) 2*1Go (140 €) 2*1 Go (134 €) 2*1 Go (230 €) 2*1 Go (340 €) 2*1 Go (400€) 2*2 Go 2*2 Go Site et programme permettant de tester sa mémoire : http://www.memtest86.org/ I) La SDRAM : Les mémoires "PC-100" De manière à pouvoir utiliser la mémoire sur les cartes mères BX, TX Socket super 7 (ou ultérieures) à bus 100MHz, ces mémoires doivent être compatibles avec le bus 100MHz, ce qui est théoriquement le cas si on en croit l'appellation "10ns" des mémoires SDRAM classiques... mais ce qui ne marche pas toujours dans la pratique... La solution consiste en des barrettes de mémoire répondant au standard "PC 100" qui sont compatibles avec le bus 100MHz (et même avec le bus 112 MHz). On considère souvent que la de la mémoire PC-100 est de la "vraie" PC-100 si elle peut fonctionner à 100 Mhz avec un temps de latence à 2 (CAS à 2 dans le BIOS). Les mémoires "PC-133" De manière à pouvoir être utilisées sur les cartes mères à chipset BX, Apollo Pro 133, ou i815 avec le bus 133MHz, ces mémoires sont compatibles avec cette fréquence. Il est à noter qu'un des avantages des cartes mères à base de chipset Apollo pro 133A ou i815 est de permettre l'usage des mémoires PC100 avec des bus à 133 Mhz grâce au chipset : idéal pour faire un upgrade de sa machine. De même on considère souvent que la mémoire PC-133 est de la "vraie" PC-133 si elle peut fonctionner à 133 Mhz avec un temps de latence à 2 (CAS à 2 dans le BIOS) : essayez d'obtenir plutôt ce type de mémoire en insistant bien auprès de votre vendeur. Méfiance à l'arnaque... Si vous tenez absolument à avoir de la mémoire de ce type la solution consiste aussi à acheter de la mémoire de grandes marques comme de la Muskin, de la Kingmax ou de la Cube Memory. Mais il n'est pas sur que le jeu en vaille la chandelle au vu du surcoût car la différence de performances n'est en moyenne que de 3% environ entre de la mémoire CAS2 et de la mémoire CAS3. La DDR existe dans de multiples formats : La PC1600 Qui fonctionne à 100Mhz comme la PC100 mais se révèle capable de traiter deux fois plus d'information à cette vitesse que la PC100 classique ! La PC2100 Qui fonctionne à 133Mhz comme la PC133 mais se révèle capable de traiter deux fois plus d'information à cette vitesse que la mémoire DIMM SDRAM PC133 classique ? La PC2400 (Peu courante) qui fonctionne à 150Mhz comme la PC150 mais se révèle capable de traiter deux fois plus d'information à cette vitesse que la mémoire DIMM SDRAM PC150 classique. La PC2700 Qui fonctionne à 166Mhz mais se révèle capable de traiter deux fois plus d'information à cette vitesse qu'une imaginaire mémoire DIMM SDRAM PC166 mais ne présente que peu d'intérêt tant que des cartes mères et processeurs l'exploitant correctement ne seront pas disponibles (et ce n'est pas encore le cas.) UN PEU D'HISTOIRE Pour mieux comprendre l'évolution de la mémoire vive jusqu'à la Rambus et à la DDR, une remontée dans le temps s'impose. Au début des années 90, nos vieux PC 386 et 486 étaient équipés de mémoire SIMM (Single In-Line Memory Module) 8 bits. La quantité de mémoire oscillait entre 2 et 8 Mo, soit une vitesse de 100 nanosecondes (ns), et suffisait à faire tourner MS-DOS (versions 5 et 6.2). Vers 1995, l'arrivée massive des Pentium 90 et des 100 MHz força la marche et requit des barrettes de 32 bits (moins de 50 à 70ns). Il fallait, en effet, entre 8 et 16 Mo pourWindows 3.1. Ces modules de mémoire DRAM (Dynamic Random Access Memory) et EDO (Extented Data Out) fonctionnaient nécessairement par paire. Depuis 1998 et jusqu'à aujourd'hui, la marche continue. L'ARRIVE DE LA SDRAM Avec Windows 98 (64 Mo) et Windows Millennium (128 Mo), les besoins sont croissants. L'augmentation de la fréquence des processeurs, la technologie AGP 2x et 4x, ou encore l'Ultra DMA 33, 66 et 100 ont nécessité, une fois de plus, une mémoire spécifique. Il s'agit de la DIMM (Dual In-Line Memory Module) 64 bits, la mémoire vive actuellement la plus utilisée. Couramment appelée SDRAM (Synchronous Dynamic Random Access), elle a la particularité de fonctionner aussi rapidement que le bus système pour obtenir le maximum de rendement. Les premiers modules étaient cadencés en 66 MHz (Celeron, K6, Pentium Il), puis à 100 et 133 MHz (Pentium III et Athlon). On peut également trouver des modules de 150 MHz (plus rares), bien utiles pour l'overclocking des processeurs. Un des avantages de la SDRAM, c'est qu'on peut l'employer indifféremment par unité ou par paire. Les temps d'accès varient entre 10 et 6 ns, voire moins. La vulgarisation de la SDRAM, son coût économique et ses performances honorables ont étendu son utilisation sur beaucoup de cartes graphiques. Voici une photo d'un module de SDRAM: DU COTE DE LA RAMBUS En 2000, la société américaine Rambus introduit, avec le soutien d'Intel, un nouveau type de mémoire : la Rambus, également appelée Rambus Dynamic Ram et, moins communément, Direct-RDRAM. Le support RIMM de cette mémoire est (était ?) censé remplacer à terme la SDRAM. La Rambus a été conçue pour les derniers Pentium III, et surtout pour les Pentium 4 qui ne fonctionnent, eux, qu'avec ce type de module (en attendant les chipsets I845 d'Intel et VIA P4X266 capables de prendre en charge la DDR comme la Sdram). Voici une photo d'un module deRAMBUS: La Rambus autorise un débit en pic théorique de 1 600 Mo par seconde et on arrive ainsi à atteindre les 1 400 Mo par seconde. Contrairement à la SDRAM, on ne doit absolument pas utiliser une barrette de Rambus seule. La Rambus a une particularité: elle doit toujours être employée par paire (deux modules de 64 Mo par exemple.) L'autre alternative consiste à faire appel à un C-RIMM. C'est un module qui sert à terminer le canal mémoire et qui prend place dans le second slot RIMM libre. En fait, c'est une sorte de bouchon, une terminaison (comme le scsi). L'autre caractéristique de la Rambus, c'est que les modules fonctionnent sur un bus 16 ou 18 bits. Cela peut prêter à sourire, mais on aurait tort. En effet, car en contrepartie, elle est cadencée à une fréquence comprise entre 300 et 400 MHz. Pour mémoire, la SDRAM fonctionne sur des bus de 100 et 133 MHz seulement. Quatre types de barrettes RDRAM sont aujourd'hui disponibles, mais difficiles à trouver: les 64, 128, 256 et 512 Mo. Les fréquences atteintes sont différentes: il y a la PC600, la PC700 et la PC800 pour des bus de 300,350 et 400 M Hz maximum. L'appellation PC800 est trompeuse. En réalité, la Rambus fonctionne sur deux fronts, le front montant et le front descendant du cycle d'horloge. Sa fréquence est donc théoriquement doublée. Le temps d'accès est compris entre 55 et 40 ns. Afin d'éviter des dysfonctionnements, il ne faut pas se tromper de barrette mémoire. Il est donc impératif de prendre en compte les paramètres de fréquence bus et les temps d'accès précités. Pour tirer parti de la mémoire Rambus, Intel a conçu trois puces qui équipent les cartes mères correspondantes: les chipsets i820 (jusqu'à 512 Mo), les i840 et i850 (de 128 Mo à 2 Go de RDRAM PC800 ou PC600). Principe de gestion de la mémoire RAMBUS: On constate très bien la gestion des modules en série avec son bouchon qui fait penser à un chaînage SCSI. LA DDR Avant de commencer voici un petit schéma ainsi qu'une photo d'un module mémoire DDR , qui vous aideront à différencier les modules de DDR et les modules de SDRAM qui se ressemblent beaucoup. Tandis qu'Intel essaye encore d'imposer la Rambus, l'offensive s'est formée. En effet, cette année, c'est au tour d'AMD et de constructeurs comme Micron, Samsung, VIA ou Infenion de préconiser un remplaçant pour la SDRAM. La mémoire DDR (Double Data Rate) ou DDRAM véhicule, à l'instar de la Rambus, deux fois plus de données que la SDRAM. Dans un module DDRAM, le bus utilisé demeure, comme pour la SDRAM, un bus 64 bits. Cela correspond à une bande passante théorique de 1 600 Mo par seconde pour les bus à 100 MHz et de 2 100 Mo par seconde pour les bus à 133 MHz. Comme sa concurrente, la Rambus, la DDR double la bande passante en employant à la fois les fronts montant et descendant du signal pour le transfert de données. Elle utilise, comme la SDRAM, un connecteur DIMM. Mais il s'agit, cette fois-ci, d'un connecteur 184 broches, contre 168 auparavant. On ne peut en aucun cas la " panacher " avec de la SDRAM. Étant donné la vitesse élevée de la DDR, on la retrouve aussi dans des cartes graphiques haut de gamme. À l'origine, la mémoire DDR a été développée pour accompagner les processeurs Athlon dotés d'un bus système de 266 MHz. Il s'agit, en fait, des processeurs aux fréquences de 1 à 1,4 GHz. Voici un petit schéma illustrant la gestion de la DDR qui très différente de celle de la rambus. QUI SUCCEDERA A LA SDRAM ? Actuellement, le parc est majoritairement constitué de SDRAM PC100 et PC133. Le prix économique et les performances y sont pour beaucoup. La Rambus comme la DDR ont des performances certes élevées, mais leur prix est relativement dissuasif. Les modules de Rambus ont toujours été trop chers, c'est la cause principale de leur échec. Leur faible disponibilité sur le marché ainsi que l'obligation d'acheter une carte mère dotée de slots non compatibles avec la SDRAM n'ont guère incité les utilisateurs à la consommation. À titre d'exemple, une barrette Rambus PC800 de 128 Mo RIMM vaut entre 800 et 1 700 francs, et une barrette de 256 Mo environ 2 300 francs. Un module DIMM DDR 2100 de 128 Mo avoisine les 700 francs . Le calcul est rapide: la Rambus est encore chère malgré son âge avancé. C'est pourquoi elle est plutôt réservée, actuellement, aux stations de travail haut de gamme Pentium 4. Mais on la retrouve aussi dans des produits grand public comme la PlayStation 2 (32 Mo). Après un an d'existence, ce n'est un secret pour personne : la Rambus est un demi-échec. C'est pour cela qu'lntel envisage (un peu tardivement), le lancement du chipset i845B, qui prendra en compte la DDR. Ainsi, le Pentium 4, qui commence à prendre des parts de marché, devrait fonctionner avec de la DDR et voir du même coup ses ventes progresser. Pour le moment, et puisqu'il vaut mieux prévenir que guérir, des cartes mères pour Pentium III qui supportent à la fois la mémoire DDR et la SDRAM existe déjà et il en est de même pour l'AMD Athlon.Le choix semble donc évident, il faut s'orienter vers la DDR. Cet article a en grande partie été repris du très bon magazine PC FUN de juillet 2001. RECAPITULATIF La mémoire cache ? La mémoire cache a pour fonction d´accélérer les communications entre un microprocesseur (Pentium, Athlon, ...) et un composant servant à stocker les données (RAM, disque dur). Attention, la mémoire cache n´accélère pas la vitesse de la RAM ou du disque dur, c´est plus subtil et l´article va vous éclaircir tout ça. Pourquoi a-t-on besoin de mémoire cache? Un microprocesseur a besoin d´informations pour exécuter ses instructions. Celles-ci sont situées dans une unité de stockage. Or les microprocesseurs sont devenus si performants qu´aucune unité de stockage n´est capable de fournir autant d´informations que le microprocesseur peut en traiter. La mémoire cache permet en partie de palier à cette insuffisance. Comment ça marche? Lorsque le microprocesseur a besoin d´une donnée, il regarde si elle est disponible dans la mémoire cache, si ce n´est pas le cas, il va la chercher dans l´unité de stockage et en même temps la dépose dans la mémoire cache. Ainsi la prochaine fois qu´il aura besoin de cette information, il y accédera directement par la mémoire cache et donc plus rapidement. Quel composant se sert de mémoire cache? Toute unité de stockage peut servir de mémoire cache. Il suffit juste qu´elle soit plus rapide que l´unité de stockage principale. Voici trois exemples : 1 - Microprocesseur -> mémoire cache -> RAM 2 - Microprocesseur -> mémoire cache -> Disque dur 3 - Microprocesseur -> mémoire cache -> Internet Dans le premier exemple, la mémoire cache sera une mémoire RAM ultra rapide (intégrée au microprocesseur ou mémoire SRAM par exemple), dans le second exemple, de la mémoire RAM traditionnelle fera très bien l´affaire, dans le troisième cas, c´est votre disque dur qui fera office de mémoire cache. Pourquoi ça marche? Les capacités de stockage de la mémoire cache peuvent être 100 fois (ou plus) plus petites que celles de l´unité de stockage principal. On ne peut donc pas tout mettre en mémoire cache. La carte réseau / Retour au menu Avec la baisse de coût et l'arrivée des jeux et autres applications en réseau, l'achat d'une carte réseau devient de plus en plus fréquent. Elles permettent aux PC de dialoguer entre eux de manière vraiment très efficace et ainsi d'échanger et de partager des données ainsi que des ressources matérielles (comme les imprimantes, les modems.) Le format de la Carte Les cartes réseaux sont au format PCI ou ISA. Dans la mesure du possible, si vous avez un SLOT PCI de libre, prenez une carte dans ce format, ceci pour plus de pérennité. En effet, le format ISA a pour ainsi dire disparu (y compris des cartes mères) et les cartes PCI présentent l'avantage de nécessiter moins de ressources systèmes. Les cartes réseaux sont au format NE2000 qui est le standard. La vitesse : Les cartes réseaux existent en version 10 Mbits/s et en version 10/100 MBits/s. La vitesse de 10 Mbits/s correspond à une capacité de transmission de 10 Millions de bits/s. Il faut 8 bits pour faire un octet et dans le protocole de transfert il y a des bits supplémentaires à chaque octet pour "sécuriser" la transmission. Au final, 10 Mbits/s correspondent environ à 1 Mo/s et 100 Mbits/s à 10 Mo/s : 1 Mo/s est déjà pas mal du tout et est tout à fait suffisant pour toutes les applications courantes. Cependant vu le faible surcoût des cartes 100 Mbits et leur généralisation, vous pouvez vouloir en prendre une directement à 100 Mbits. De plus les cartes 100 Mbits sont compatibles à la vitesse de 10 Mbits : vous pouvez faire dialoguer une carte 100 Mbits et une 10 Mbits (à la vitesse de 10 Mbits bien sur.) La connectivite Les cartes ont des sorties pour connecteurs BNC et éventuellement RJ45 (parfois aussi seulement RJ45 : vérifiez bien avant d'acheter, ceci en fonction de vos besoins.) Le connecteur BNC Le connecteur BNC est un connecteur cylindrique blindé noir. Il va vous permettre de brancher des machines directement sans nécessiter de HUB. Chaque machine est connectée grâce à une pièce dénommée "T" afin de pouvoir simultanément recevoir les informations et les transmettre à la machine suivante. A l'extrémité du réseau ainsi constitué chaque machine (chacune des 2 machines s'il n'y en a que 2) va devoir porter une pièce spéciale dénommée "bouchon réseau" afin de fermer le réseau ainsi constitué. Les avantages de ce type de connexion sont le plus faible coût car il n'y a pas de besoin de HUB et éventuellement la distance de connexion par câble BNC qui est supérieure à celle du RJ45. Cependant, les inconvénients sont que toute modification du réseau en arrête le fonctionnement : lorsqu'une machine est éteinte/allumée, se déconnecte ou se connecte physiquement au réseau, celui-ci devient inutilisable durant la manipulation et si des applications utilisaient le réseau, elles "planteront". De plus ce type de connexion est "limité" à une vitesse de 10MBits/s. La connexion par ce type de réseau est donc assez appropriée pour un usage personnel avec 2 ou 3 machines maximums. Dès que l'on a plus de 2 à 3 machines à connecter, il se révèle souvent bien plus pratique d'utiliser un HUB et les câbles RJ45 associés. Notez qu'avec 2 machines seulement, la solution vraiment la plus simple et la plus efficace est d'utiliser un cable RJ45 de type croisé qui se branche directement dans chacune des cartes réseaux : cette solution n'est possible que pour 2 machines et en RJ45 uniquement ! Le connecteur et le câble RJ45 Le connecteur et le câble RJ45 ressemblent à un connecteur et à un câble de prise téléphonique (RJ11) en plus gros, avec un système similaire de prise. La connexion par câble RJ45 s'utilise le plus souvent pour brancher plus de 2 machines du fait du surcoût du HUB. Dans le cas de l'usage d'un HUB, toutes les machines connectées sont branchées sur ce HUB au lieu d'être branchées directement les unes aux autres. Les avantages de ce type de connexion sont que, contrairement à la connexion grâce au câble BNC, elle permet un usage plus souple : les machines se connectent et se déconnectent "en temps réel" sans interrompre les sessions réseaux en cours car elles sont toutes connectées au HUB au lieu d'être connectées les unes aux autres. Ce type de connecteur permet aussi de se connecter à 100Mbits, à condition d'avoir le câble et/ou le HUB approprié. Comme déjà évoqué plus haut, la connexion par câble RJ45 est aussi possible (y compris à 100 Mbits) pour brancher directement 2 machines grâce à un câble RJ45 dit "croisé". Il n'est alors pas possible de brancher une troisième machine. Les cartes qui supportent le 100 Mbits sont souvent en 10/100 : les 10Mbits sont accessibles sur les sorties BNC et RJ45, alors que les 100Mbits sont uniquement accessibles sur la sortie RJ45. La plupart des cartes 10 Mbits ont les 2 types de connecteurs : BNC et RJ45. Vous vérifierez cependant si c'est bien le cas suivant le connecteur que vous souhaitez utiliser. Le micro processeur Les processeurs INTEL 85 Le Xeon 85 Les Pentium 4 85 Les Celeron 86 Les Pentium III 86 Les processeurs AMD 87 AMD - K6-2 (K6 3D MMX) AMD K6-2+ = K6-III - 128ko ? AMD - K6-III 87 AMD - K6-III + 88 AMD - Athlon (Professionnel K7 / Athlon) 88 AMD - Athlon Select - DURON 89 AMD - Athlon - Thunderbird 90 AMD - Palomino et Morgan - 90 News Athlon XP : 91 Liste des processeurs et leur socket 91 Les marques de micro processeurs 92 Les processeurs INTEL Le Xeon Intel propose deux gammes de processeurs Xeon dans son catalogue : les Pentium III Xeon et les Xeon. Ces modèles sont exclusivement réservés aux serveurs multiprocesseurs (de stockage, de cache, d'Internet, d'impression, etc.). Le fondeur de Santa Clara domine ce marché puisqu'il est le seul à proposer une gamme de processeurs 32 bits sur ce créneau. Les Pentium III Xeon sont cadencés à 700 et 900 MHz et sont dotés de 1 ou 2 Mo de mémoire cache. Ils fonctionnent en multiprocessing (deux, quatre voire seize processeurs ou plus). Intel a également décliné une version Xeon de son Pentium4. Cette dernière est pour le moment disponible uniquement en configuration biprocesseur. À l'instar des Pentium III Xeon, le Xeon est quant à lui prévu (dans un avenir proche) pour fonctionner avec plus de quatre processeurs. Le Xeon existe aujourd'hui en trois versions : 1 400, 1 500 et 1 700 MHz. Il reprend globalement l'architecture interne du Pentium4 pour ordinateur de bureau, dont il se distingue par son nouveau connecteur Socket 603. Étant en situation de monopole sur ce créneau, Intel pratique des prix à sa convenance pour les Pentium III Xeon et Xeon. Ils sont donc élevés et varient entre 183 à 3 962 $. Les Pentium 4 Successeur du Pentium III, le Pentium4 est destiné aux micro-ordinateurs de milieu et de haut de gamme pour des applications bureautiques avancées (reconnaissance vocale, bases de données...). Il est également conçu pour l'imagerie numérique, la 3D, le multimédia et les environnements multitâches. Hormis son architecture X86 (commune à toutes les puces), tout est nouveau pour ce processeur. Tout d'abord, il est doté de 144 instructions SSE2, qui s'ajoutent à celles déjà présentes dans le Pentium III (SSE). Ensuite, son bus externe passe à 400 MHz (contre 133 MHz pour le Pentium III et 200 MHz pour l'Athlon). Quant à sa fréquence maximale, elle atteint aujourd'hui les 2 000 MHz. Des tests ont été effectués à 3,5 GHz lors de l'Intel Developper Forum qui s'est tenu fin août dernier à Santa Clara. Le support du Pentium4 est également différent, il n'utilise pas le Socket 370 mais le Socket 423 (avant d'adopter bientôt le Socket 478). Toutefois, la migration d'un PC (équipé d'un Celeron ou d'un Pentium III) vers le Pentium4 implique des changements irréalisables. On ne peut, en effet, faire évoluer son ancienne machine car le Pentium4 nécessite un remplacement de carte mère, donc de boîtier et d'alimentation. Bref, c'est le PC qu'il faut changer. Côté tarif, les Pentium4 restent les processeurs pour desktops les plus chers du marché, avec des prix variant de 133 à 562 $. Les Celeron Concurrents directs des Duron d'AMD, les Celeron sont réservés aux PC multimédias d'entrée de gamme (pour Internet et la consultation de CD-ROM interactifs, par exemple) et aux stations bureautiques en entreprise (traitement de texte, tableur, etc.). Les processeurs Celeron fonctionnent à une fréquence allant de 500 à 1 200 MHz avec un FSB (Front Side Bus) de 66 ou 100 MHz. Ils sont gravés en 0,18 micron et passeront bientôt sur une technologie de 0,13 micron. Intel pourra ainsi les booster en fréquence et en mémoire cache (256 Ko pour le Celeron à 1 200 MHz contre 128 Ko pour les Celeron à 900) et diminuer d'autant leur consommation. Les Celeron se glissent dans un support appelé " le Socket 370 ". Ce type de support n'est pas universel chez Intel. Il est impossible, par exemple, de lui glisser un Pentium4 (AMD utilise, lui, un support universel : le Socket A). Pour finir, signalons que les Celeron offrent un bon rapport performances/prix. Quelle que soit la fréquence des processeurs Celeron, le prix reste le même, soit 64 $ (pour mille unités). Un tarif séduisant puisqu'ils coûtent moins chers que leurs concurrents, à fréquence égale, les AMD Duron. Les Pentium III Si les Celeron constituent l'entrée de gamme, les Pentium III visent, quant à eux, le milieu et le haut de gamme des PC. Ils sont capables d'exécuter la plupart des applications bureautiques actuelles, graphiques (essentiellement des programmes de retouche d'images) ainsi que les jeux. Leur fréquence varie de 450 à 1 200 MHz et leur bus externe fonctionne à 133 MHz. Comme les Celeron, les Pentium III s’insèrent dans un support de type Socket 370. Cela signifie que tous les possesseurs d'un micro-ordinateur doté d'un Celeron peuvent installer à sa place un Pentium III. La guerre tarifaire sur les processeurs n'a pas épargné les Pentium III. Au point que ces derniers sont devenus bon marché avec des prix allant de 163 à 268 $. Toutefois, la disparition du Pentium III pour les desktops est imminente (avant la fin de l'année), Intel ayant décidé de stopper leur fabrication. Le fondeur conserve néanmoins une version du Pentium III (nommée Pentium III-S) pour les serveurs d'entrée de gamme. Pour le reste, Intel mise surtout sur l'architecture du Pentium4, qui est appelé à remplacer le Pentium III. Les processeurs AMD AMD K6-2+ AMD est supposé sortir le K6-2+en juin 2000 ?. Il sera semblable aux K6-2 et K6-III, mais se caractérisera par 128K de cache L2 au niveau processeur, contre 256K pour le K6-III, et en technologie 0.18 micron. Les K6-2 et K6-III devraient continuer à être produit en petite quantité, mais la priorité sera donnée aux K6-2+. Cette puce est une stratégie intéressante d'Amd. AMD à ajouté quelques nouvelles instructions 3DNow! au K6 et convaincu les développeurs de Microsoft et des logiciels de jeux d'écrire spécifiquement pour lui. Actuellement, Microsoft supporte les instructions 3DNow! avec la version DirectX 6.0 et plus. Le K6-2 est également la première puce d'AMD conçue pour supporter le nouveau bus mémoire Super Socket 7 à 100MHz. AMD a renommé la puce du K6-3D en K6-2, peut-être pour qu'il soit comparé au Pentium II. Les 21 instructions d'AMD nommé 3DNow!, sont également employées par IDT/Centaur et Cyrix dans leurs nouvelles puces. Les puces à 400MHz et plus utilisent un noyau légèrement modifié appelé " CXT ". Elles ajoutent un niveau d'exécution au-dessus du processeur K6-2 standard, et augmente un peu les performances qu'offrirait un K6-2 400MHz sans "CXT". Le noyau de CXT ajoute un dispositif appelé "write combining". Intel a inclu le "write combining" sur tous sess processeurs de 6éme génération, en commençant par le Pentium pro. Le "write combining" combinne les multiples accès en mémoire en intégrant les plus petites demandes dans une plus grande demande de sorte que le "trafic" ne dépasse pas la capacité du bus mémoire. Chaque fois que le processeur dialogue avec le bus mémoire, le processeur perd quelques cycles, en réduisant ainsi le nombre de transfert. AMD - K6-III AMD - K6-III (K6-3 / K6+ 3D MMX). Les K6-III sont les mêmes que les K6-2 avec le CXT en plus, mais avec 256K de cache L2 intégré au processeur qui va à la même vitesse que celui-ci et pas à la vitesse du bus (66-100MHz). Cela accélère sensiblement les K6-III, car la vitesse du cache a toujours été la peste de l'architecture Socket 7. Maintenant les K6-III rivalisent en tête avec les processeurs Intel Pentium II. Pour le travail, le K6-III à 400 MHz bat un Pentium II à 450MHz, mais avec 2MB de cache L3 sur la carte mère. Le cache L2 fonctionne comme le cache L3 de la carte mère. Évidemment, 1MB ou 2MB de cache L3 c'est mieux que 512K. Beaucoup de cartes mères ne possèdent que 512K ou 1MB, peu supportent 2MB de cache [FIC VA-503+ (AT) ou FIC PA-2012 (ATX)]. Les jeux qui utilisent les directives "3DNow!" Permettent aux K6-III de battre le Pentium II à vitesses semblables par une petite marge. Cependant, les jeux qui ne supportent pas les directives 3DNow! Resteront en arrière, dû à l'unité de virgule flottante plus faible du K6. Cependant, le Pentium III d'Intel avec les DirectX 6.1 + les jeux écrits pour ces nouvelles directives) bat l'AMD K6-III. Les K6-III sont faits initialement en 0.25 micron, et pourraient éventuellement être fait en 0.18 micron dans les fréquences plus élevées (>500). Si vous projetez de passer votre système vers un K6-III, et que votre carte mère supporte les AMD K6-2 actuellement, vous n'aurez besoin que d'une mise à jour du BIOS pour utiliser un K6-III. Il faut féliciter AMD pour cela. Vérifiez avec votre fabricant de carte mère pour les détails. La version final du K6-III pourrait être la version à 500MHz.. Une Version à 475MHz a été annoncée, mais personne ne la vu réellement. Maintenant AMD veut se concentrer sur les K6-2+. Pour les versions à 400MHz et plus des K6-2 et K6-III, vous pouvez mettre le multiplicateur à 2X et la carte mère comprendra 6X avec la vitesse de bus à 66MHz, si vous n'avez pas de bus à 100MHz ou un coefficient multiplicateur limité à 3 ou 3,5. Mais les performances seront inférieures qu'avec un bus à 100MHz. AMD - K6-III + L'AMD K6-III + est semblable au K6-III P, le processeur pour portable, mais il est fabriqué en .18 micron et soutient PowerNow! D’AMD. Cela lui permet de réduire sa puissance quand il fonctionne sur la batterie. Il soutient également jusqu'à 1Mo de cache L3 sur la carte mère. Après des mois des rumeurs au sujet de l'existence de l'Amd K6-2+ et K6-III+, les puces ont été finalement dévoilées. Les deux puces seront des puces pour mobiles seulement (aucunes versions de bureau), et à 500MHz maximum. AMD - Athlon (Professionnel K7 / Athlon) AMD équipe les premiers PC à 1 gigahertz Compaq et Gateway seront les premiers constructeurs à sortir des PC équipés d'une puce tournant à 1 gigahertz, celle du fondeur AMD, l'Athlon. Le 6 mars, AMD a en effet pris de court, une nouvelle fois, son grand rival Intel en annonçant que l'Athlon 1 GHz était fin prêt pour être assemblé. Même si l'Athlon ne représente encore que 8 % du marché des processeurs, AMD marque des points sur un marché où l'image est tout, comme le démontrent les milliards investis par Intel dans sa campagne « Intel Inside ». Côté prix, l'Athlon 1 GHz reste un processeur cher (tarif affiché : 1 300 dollars l'unité par lot de 1 000), AMD n'ayant plus à casser ses prix pour rester compétitif face à Intel. Ce dernier, qui ne disposerait pour l'instant que de processeurs 1 GHz de présérie, n'a encore donné aucune réponse officielle. S'il ne revoit pas son calendrier, la sortie en vraie grandeur du Pentium III à 1 GHz pourrait attendre l'été. AMD Athlon utilise une architecture Slot A qui est physiquement identique avec le Slot 1 d'Intel mais incompatible avec celui-ci. Atlon est compatible avec le bus d'alpha de DEC's EV-6, au lieu de Architecture fermé du bus P6 d'Intel. Le bus EV-6 peut fonctionner jusqu'à 400MHz, mais "seulement" à 200MHz pour commencer. Les Athlons peuvent fonctionner sur des BUS à 133, à 200, à 266, et 333MHz. Ceci impose d'utiliser une nouvelle RAM (RDRAM et DDR-SDRAM) plus rapide, pour exploiter les vitesses maximums. L'Athlon comporte 19 nouvelles instructions 3D Now! Avec pipeline 128-bit, compatible avec les instructions 3DNow! Il est construit en technologie 0.25 microns et 0.18 microns pour les plus rapides, et est doté de 128 ko de cache de premier niveau L1 (64 ko pour les données, 64 ko pour les instructions) L'Athlon sera capable de la gérer jusqu'à 16MB de cache L2, il supporte en vitesse de cache 1/2 la vitesse de processeur. La vitesse du cache (la moitié de la vitesse du processeur) utilisée dans l'Athlon professionnel, sera la vitesse de cache maximum de l'Athlon ultra (Slot 2), dû à la chaleur importante dégagée par la vitesse du cache. AMD - Athlon Select - DURON L’AMD Duron utilise un Socket A (462 pin). Le Duron s'installe sur des cartes mères équipées du Chipset VIA Apollo KT133. Ils sont gravés en .18µ et fonctionnent avec un voltage de 1,5 Volts. Cette puce est équipée de 64 ko de mémoire cache L2 fonctionnant à la vitesse du processeur et 128 ko de cache L1 de premier niveau, soit 192 ko de mémoire cache contre 160 ko au celeron d'INTEL. A l'instar des nouveaux Pentium III, et comme pour le thunderbird, son cache de second niveau est amélioré car directement intégré à la puce et fonctionnant à la vitesse nominale de cette dernière. Le bus système du Duron tourne quant à lui à 200 MHz grâce à un procédé appelé EV6. Cette technologie permet de faire transiter deux informations sur un bus par cycle d'horloge malgré sa vitesse de 100 MHz, le bus du Duron peut être considéré comme fonctionnant à 200 MHz. Le Duron commence sa carrière en août 2000 de 600 à 700 MHz, et vendus de 690 à 1090 Francs. le Duron doit être l'équivalent du Celeron II d'Intel. En pratique, le Duron risque de faire beaucoup de mal à l'Athlon, il se révèlerait quasiment aussi performant que ce dernier, environ 5% moins rapide et 20 à 30% plus rapide que le Celeron d'Intel Aux dernières nouvelles, les Athlon et Duron sont bridés au niveau du multiplicateur. Pour les overclocker il ne restera donc que la bonne vieille méthode de l'augmentation du FSB déjà utilisée depuis longtemps sur les processeurs d'Intel. L'Asus A7V est une carte Socket A qui offre la possibilité de modifier le multiplicateur des Athlon Thunderbird (Socket A) et Duron AMD - Athlon - Thunderbird Le Thunderbird sera disponible en Slot A et Socket A avec un cache de niveau L1 de 128 ko et L2 de 256 ko. Le Thunderbird s'installe sur des cartes mères équipées du Chipset VIA Apollo KX133 ou AMD 750/751. Ils sont gravés en .18µ et fonctionnent avec un voltage de 1,7 Volts. A l'instar des nouveaux Pentium III, son cache de second niveau est amélioré car directement intégré à la puce et fonctionnant à la vitesse nominale de cette dernière. Autre nouveauté le métal employé sera désormais le cuivre, un métal qui selon le fondeur présente 10 à 15% de dissipation en moins que l'aluminium utilisé jusqu'alors par AMD. Le Thunderbird sera conçu pour fonctionner dans des configurations multiprocesseurs et aura la capacité d'utiliser un bus à 266MHz par opposition au bus à 200MHz standard de l'Athlon. Les chipsets Thunderbird initiaux sont supposés supporter 66MHz / 64-bit PCI slots, PC2100 DDR DRAM, et AGP 4X Pro. Le Thunderbird commence sa carrière à 650MHz jusqu'à 1GHz par pas de 50MHz, comme l'Athlon standard. Aux dernières nouvelles, les Athlon et Duron sont bridés au niveau du multiplicateur. Pour les overclocker il ne restera donc que la bonne vieille méthode de l'augmentation du FSB déjà utilisée depuis longtemps sur les processeurs d'Intel. L'Asus A7V est une carte Socket A qui offre la possibilité de modifier le multiplicateur des Athlon Thunderbird (Socket A) et Duron. AMD - Palomino et Morgan AMD devrait faire évoluer prochainement ses processeurs Athlon Thunderbird et Duron avec le lancement de deux nouvelles versions respectivement connues sous les noms de code "Palomino" et "Morgan". Ces deux nouvelles versions seront proposées pour les PC de bureaux et pour les ordinateurs portables. Malgré le fait que ces deux nouveaux processeurs soient toujours fabriqués en 0.18 micron, les processeurs Palomino et Morgan devraient dégager 20% de chaleur en moins que les processeurs AMD Athlon Thunderbird et AMD Duron actuellement proposés. Ainsi le Palomino cadencé à 1.33 GHz devrait dégager a peu près la température que le dernier né de la gamme Thunderbird, cadencé à 1.2 GHz. Le Palomino sera proposé pendant le deuxième trimestre 2001 à la fréquence de 1.5 GHz, une version cadencée à 1.7 GHz est également prévue pour fin 2001. Grâce à cette version optimisée du processeur Athlon AMD pourrait au moins atteindre la fréquence maximale de 2 GHz. Le processeur Morgan (successeur du Duron) sera lui proposé pendant le deuxième trimestre 2001 à une fréquence supérieure à 800 Mhz. News Athlon XP : Le site Officielle AMD sur les processeurs Athlon XP AMD Athlon XP ... verts ! : en plus des premiers Athlon XP marron, le site VR-Zone publie des photos d'Athlon XP verts que l'on trouve désormais au Japon. A priori, rien ne change en dehors de la couleur du plastique utilisé. Liste des processeurs et leur socket Marque Nom du processeur Fréquence INTEL Celeron A Socket 370 INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL INTEL AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD AMD IDT IDT IDT IDT IDT Celeron A Socket 370 Celeron A Socket 370 Celeron A Socket 370 Celeron A Socket 370 Pentium II Slot 1 Pentium II Slot 1 Pentium III Slot 1 Pentium III Slot 1 Pentium III Slot 1 Pentium III Slot 1 Pentium III E Socket 370 Pentium III E Socket 370 Pentium III E Slot 1 Pentium III E Slot 1 Pentium III E Slot 1 Pentium III B Slot 1 Pentium III B Slot 1 Pentium III EB Slot 1 Pentium III EB Slot 1 Pentium III EB Slot 1 Pentium III EB Slot 1 K6-2 / 3D Now ! K6-2 / 3D Now ! K6-2 CXT/ 3D Now ! K6-2 CXT / 3D Now ! K6-2 CXT / 3D Now ! K6-2 CXT / 3D Now ! K6-3 CXT / 3D Now ! K6-3 CXT / 3D Now ! K6-3 CXT / 3D Now ! K6-3 CXT / 3D Now ! K7 / 3D Now 2 ! Slot A K7 / 3D Now 2 ! K7 / 3D Now 2 ! K7 / 3D Now 2 ! K7 / 3D Now 2 ! C6 W2 /A : 3DNow ! C6 W2 /A : 3DNow ! C6 W2 /A : 3DNow ! C6 W2 /A : 3DNow ! PR266 C6 W2 /A : 3DNow ! PR300 Carte mére 366 MHz Socket 370 400 433 466 500 350 400 450 500 550 600 500 550 600 650 700 533 600 533 600 666 733 333 350 380 400 450 475 400 450 475 500 500 550 600 650 700 200 225 240 233 250 Socket 370 Socket 370 Socket 370 Socket 370 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Socket 370 Socket 370 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Slot 1 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Slot A Slot A Slot A Slot A Slot A Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 Socket 7 MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz MHz Les marques de micro processeurs Marque Intel AMD Cyrix IDT Rise Site http://www.intel.fr/francais/index.htm http://www.amd.com/france/index.html http://www.viatech.com/products/cyrindex.htm http://www.idt.com/products/idtx86/prodinfo.html http://www.rise.com/ Language Français Français Anglais Anglais Anglais DISQUETTES 3'1/2 - 1,44 Mo. / Retour au menu La disquette 3,5 pouces Le lecteur de disquette Mécanisme interne Pourquoi la capacité réelle de la disquette est de 1,38 Mo au lieu des 1,44 Mo attendus ? On parle de disquettes 1,44 Mo en raison du formatage de la disquette et non pas de la capacité potentielle de la disquette, beaucoup de disquettes 3' 1/2 du marché ont une capacité potentielle de 2 Mo mais elles sont désignées comme étant 1,44 Mo grâce à la formule suivante: 80 pistes * 18 secteurs/piste * 512 octets/secteur * 2 faces = 1 474 560 octets. 1 474 560 octets / 1024 octets = 1,440 Mo C’est cet usage qui engendre cette appellation. D’où provient donc cette différence: 1,44 Mo - 1,38 Mo = 0,06 Mo = 0,06 * 1024 = 61 440 octets. Cette différence représente l’occupation du secteur de boot, de la structure racine Note Contrairement à ce qui se passe avec un disque dur, lorsque les disquettes tournent, les têtes de lecture – écriture sont en contact direct avec la surface. Précautions d’emploi Les disquettes n’apprécient pas : Les liquides divers (nettoyer à l’eau pure, faire sécher, changer de pochette et récupérer les données.) La chaleur (soleil, radiateur, etc.) Le froid (la disquette devient rigide.) Les champs magnétiques (aimant, téléphone, téléviseur, désaimantation du tube cathodique, acuponcture magnétique.) Nettoyage des têtes Alors que le disque dur se trouve enfermé dans une enceinte close, hors d’atteinte des poussières, les têtes de lectures / écritures de l’unité de disquette travaillent dans l’ait ambiant. Elles ramassent la poussière qui finit par s’accumuler, provoquant des erreurs de lecture / écriture. On trouve dans le commerce des disquettes de nettoyage qui devraient être passées dans le lecteur tous les 6 mois. La disquette BOOT Une disquette de boot est une disquette qui permet de démarrer l'ordinateur lorsque le système d'exploitation ne répond plus, dans le cas d'un virus par exemple. Cette disquette contient effectivement des informations spéciales qui permettent d'amorcer le système sans faire appel au disque dur. Il n'existe pas un seul type de disquette de démarrage: à chaque système d'exploitation sa disquette de démarrage. Il est absolument nécessaire de posséder une disquette système, car c'est le seul moyen de pouvoir redémarrer l'ordinateur en cas de défectuosité du MBR! Comment créer sa disquette d'amorçage? Sous MS-DOS Insérer une disquette déprotégée vierge dans le lecteur a: Il suffit ensuite de taper la commande: format a: /s L'argument /s signifie "copier les fichiers système" Sous Windows 95/98 Insérer une disquette déprotégée vierge dans le lecteur a: Allez ensuite dans: Démarrer/Panneau de configuration/Ajout Suppression de programmes/Disquette de démarrage Puis cliquez créer une disquette de démarrage Il est essentiel de protéger la disquette boot en écriture Pour créer une disquette de démarrage, insérer une disquette dans le lecteur et cliquez sur bouton droit de la souris sur l'icône Disquette dans le Poste de travail. Dans le menu contextuel qui apparaît, cliquer sur Formater. Dans la boite de dialogue qui apparaît, valider l'option Copier les fichiers systèmes. Cliquez enfin sur Démarrer pour lancer la création de la disquette de démarrage. Cette disquette sert à démarrer proprement votre système notamment en cas d'infection par un virus de boot. Il est donc judicieux de la protéger en écriture en déplaçant le petit bout de plastique pour déboucher le trou. Que faire de sa disquette? La disquette BOOT ne vous servira qu'à pouvoir réamorcer votre ordinateur sous MS-DOS après un plantage. Pour qu'elle soit "valable" il faut: Que la disquette BOOT ne soit pas infectée par un virus Avoir un antivirus sur disquette (qui fonctionne sous DOS) Avoir protégé la disquette en écriture pour qu'aucun virus ne puisse y trouver refuge après que vous ayez passé l'antivirus Les disques d'installation de votre système d'exploitation (si c'est un CD-ROM il faudra veiller à ce que les drivers de votre CD-ROM soit chargés lorsque vous bootez sur la disquette!) Comment transférer les fichiers systèmes de la disquette vers le disque? Lorsque le système a été réamorcé à l'aide de la disquette de démarrage et que le ou les disques durs ont été soigneusement vérifiés à l'aide d'un antivirus, vous pouvez transférer les fichiers systèmes de la disquette boot vers le disque dur afin de rendre possible l'amorçage à partir de ce dernier. Pour cela, il suffit de taper la commande suivante: Sys a: c: Où a: et c: représentent respectivement les lettres associées à votre lecteur de disquette et au disque dur sur lequel le système s'amorce. Le système d'exploitation auquel correspond la disquette système (celui sous lequel elle a été créée) doit correspondre au système présent sur le disque dur... Le scanner / Retour au menu Les scanners à main Le DocuPen RC800 permet de scanner des documents contenant du texte et des images de 20,3 centimètres de diagonale, dans une résolution allant de 100 à 400 dpi, en noir et blanc ou en couleur. Scanner une page prend entre 4 et 8 secondes. Les images scannées seront ensuite stockées dans la mémoire interne de 8 Mo, mémoire qui pourra être étendue grâce à une carte mémoire de type MicroSD à insérer dans l'emplacement prévu à cet effet. Quant au port USB 2.0, il permet de transférer les images stockées et de recharger le scanner. Comptez 50 minutes pour une recharge complète. (330 € HT – 2008) Scanner de poche SCANNER A4 IRISCan EXECUTIVE 2. Le scanner nomade : très compact et super léger. Pour numériser vos photos et vos documents papier, afin de créer et convertir vos PDF en information éditable sous Word, Excel, Outlook, Logiciel Image. A4 USB Qualité d'image : 600 dpi couleur. 126 langues reconnues. Livré avec une très forte suite logiciel, un étui de voyage, un socle de bureau et câble USB 330g. Garantie 2 ans. (149 € HT – 2008) Ce type de scanner est petit et léger. Vous devez faire glisser ce scanner sur le document ou l’image à numériser. Le résultat n’est pas très précis et ce scanner n’est pas très utile pour les documents ou images plus larges que la tête du scanner. Les scanners à défilement Fonctionne sur le même principe q’une imprimante sauf qu’ici l’information est transmise à l’écran. C’est aussi précis et aussi rapide qu’un scanner à plat. Les scanners à plat Professionnel (676 € HT – 2008) Destiné aux applications professionnelles pour le traitement des films et des photos, le scanner Perfection V750 Pro est un outil de numérisation rapide et puissant, ses mérites lui permettant d'être élu "meilleur scanner 2006-2007" par l'EISA (European Imaging and Sound Association) ! Fort d'une résolution remarquable pouvant atteindre 6400 x 9600 dpi, le V750 pro bénéficie d'un système double lentille qui vous offre un niveau de performance inégalé sur un scanner à plat. De plus, son miroir haute réflexion combiné à des capteurs CCD sur lesquels a été appliqué un revêtement anti-reflet vous assurent une élimination des reflets superflus lors de la numérisation ainsi qu'une meilleure gestion de la lumière sur le capteur du scanner, le tout vous garantissant un résultat irréprochable. Le Perfection V750 Pro dispose également des technologies Digital ICE, mises au point pour retirer les poussières et les rayures des films et des photos papier. Pour une exploitation et des résultats encore plus poussés, le V750 Pro est fourni avec de nombreux logiciels, dont Adobe Photoshop Elements 3.0, SilverFast AI et ABBYY FineReader 6.0. Bénéficiant des dernières améliorations développées par Epson, le Perfection V750 Pro conviendra parfaitement aux professionnels de la photographie, désireux d'acquérir un scanner performant et efficace. Scanner grand public (46 € HT – 2008) Intégrant la technologie exclusive LIDE (LED Indirect Exposure), le scanner LIDE 25 dispose d'une résolution élevée de 1200 x 2400 ppp et permet une numérisation des documents ultra rapide. Parmi ses fonctionnalités, la création directe de fichiers PDF et la copie et l'envoi par e-mail grâce à 1 seule touche sont très utiles pour travailler avec une plus grande souplesse d'utilisation. Le scanner LIDE 25 est la solution idéale pour numériser des documents, retoucher photos et dessins. Scanner à chargeur de feuilles (368 € T – 2008) Les scanners a chargeur de feuilles automatique. Ils permettent de scanériser rapidement un grand nombre de documents. Le Scanner Scanjet 5590 à une numérisation rapide et un chargeur automatique recto-verso couleur. Avec sa résolution optique de 2400ppp et ses 48 bits, vous obtiendrez des images plus nettes aux couleurs riches. Logiciels inclus Logiciel photo et imagerie HP avec Créateur HP de disque de souvenirs et HP Instant ShareTM, logiciel de reconnaissance optique de caractères I.R.I.S. Readiris intégré, NewSoft Presto! PageManager 7, driver TWAIN HP Scanjet 5590 (Windows® uniquement) Enfin, les scanners dédiés aux diapositives ou aux radiographies. Ceux-ci ont des formats spécifiques et / ou des adaptateurs et sources de lumières supplémentaires. L'OpticFilm 7200 est un scanner performant qui vous permettra de numériser les négatifs et les diapositives de 35mm. Doté d'une excellente résolution optique de 7200 dpi (150 € HT – 2008) Les logiciels associés : c'est là que se situe souvent la plus grande part de la différence. En effet, par exemple, sur un scanner professionnel, on peut faire un zoom optique sur une zone : il y a une grosse différence de qualité par rapport à un zoom logiciel ! Pour adapter le scanner au Pc, on utilise un driver « Twain » spécifique au scanner du constructeur, c'est par lui que le scanner est piloté. La qualité de l'image scannée dépend en grande partie de la qualité de ce driver. De plus, suivant la qualité du logiciel d'OCR (Optical Character Recognition), le passage d'une image contenant du texte à un texte directement exploitable dans votre logiciel de courrier habituel sera plus ou moins efficace, rapide et fidèle. Le meilleur logiciel d'OCR qui existe est pour l’instant OmniPage Pro mais il est rarement inclus dans les packs logiciels des scanners et c'est plus souvent Easy Reader ou un équivalent qui est présent. Pour les logiciels de retouche d'image, cela revêt un peu moins d'importance (pour un usage courant du moins) car de forts bons logiciels, totalement gratuits (freeware), existent : parmi ceux-ci il faut citer Embellish, Irfanview et TheGimp. La sensibilité à la lumière et aux couleurs : il peut exister une différence du fait de la qualité des capteurs. Mais dans l'offre aux particuliers peu de différences existent, et il faut passer aux scanners professionnels (1500 Euros et +) pour voir une grosse différence. Le nombre de couleurs, mesuré en "bits", est une caractéristique aussi importante que la résolution. Plus le nombre est élevé, plus le nombre de couleurs que le scanner est capable de numériser sera important. Le nombre de couleurs des scanners actuels varie entre 24 bits (soit 16.7 millions de couleurs) et 42 bits. Cependant il existe actuellement deux technologies concurrentes de capteurs : les CCD (Charge Coupled Device) et les CIS (Contact Image Sensor). La technologie CCD est la plus ancienne et la plus coûteuse mais elle produit des résultats aux couleurs plus réalistes et les scanners adoptant ce type de technologie ont souvent une meilleure résolution optique. Les capteurs CIS permettent quant à eux de produire des scanners moins volumineux et à moindre coût. La qualité optique et mécanique des scanners provient d'une bonne maîtrise des composants le constituant (maîtrise des capteurs à pompe de charge LCD pour la partie optique et de l'asservissement de position pour la partie mécanique). Donc dans le domaine des caractéristiques mécaniques et optiques des scanners, ils se valent tous à très peu de chose près, en particulier les scanners que l'on appelle "grand public" entre 100 et 400 Euros. La résolution optique : c'est celle que peut atteindre le scanner directement, sans interpolation. L'interpolation est une méthode imparfaite du point de vue de la qualité, car mathématique, pour augmenter la résolution : vous vous baserez donc (notamment) sur la résolution optique pour choisir votre scanner. Cette résolution est mesurée en points par pouces (ppp). Prenons l'exemple d'un scanner ayant une résolution de : 600 X 1200 ppp (points par pouces) La première valeur indique que le scanner est capable de numériser avec une résolution de 600 ppp en longueur. La deuxième valeur indique que le scanner est capable de numériser avec une résolution de 1200 ppp en largeur. Vous l'aurez compris, plus la résolution du scanner est élevée, plus la qualité de la numérisation sera bonne. La résolution des scanners actuels varie entre 300 X 600 ppp et 600 X 2400 ppp. Enfin, pour un scanner à plat, vous allez avoir le choix entre un scanner qui se branche sur le port parallèle, un scanner qui se branche sur le port USB, un scanner qui fonctionne avec une petite carte propriétaire (SCSI) à installer dans la machine ou encore, pour les plus récents, un scanner à l'interface IEE1394 (Firewire) : Le scanner sur port parallèle sera sûrement moins cher : il conviendra pour un usage occasionnel car il est plus lent et vous risquez plus de problèmes de configuration avec votre imprimante. Le scanner avec carte interne SCSI sera sûrement plus cher mais il sera plus adapté à un usage intensif car il est plus rapide et vous ne risquez plus de problèmes de configuration avec votre imprimante. Le scanner en USB présente tous les avantages ou presque : il est assez rapide (moins que le SCSI mais plus que le port parallèle) grâce à l'interface USB. Il n'est pas plus cher qu'un scanner sur port parallèle et la différence de performances n'est pas toujours flagrante entre un modèle SCSI et son équivalent en USB, sauf pour les modèles très haut de gamme. L'interface Firewire est un excellent choix mais reste réservé pour le moment aux modèles haut de gamme et nécessitera une version récente de Windows pour fonctionner. La vitesse du scanner : elle varie bien entendu suivant les modèles et si vous devez utiliser le scanner souvent cela devient un critère essentiel bien évidemment. Si au contraire vous prévoyez un usage occasionnel du scanner, cela revêt une bien moindre importance. Cependant, toujours pour un usage d'appoint et pour les raisons citées plus haut, pour un prix du même ordre, il est désormais plus intéressant de faire l'acquisition d'un modèle USB : vous vérifierez que votre PC a une sortie USB et que vous êtes bien sous W98 (ou éventuellement) sous un W95 compatible USB. La table à digitaliser / Retour au menu Description Shémas de fonctionnement Le clavier ne constitue pas la seule manière d'entrer du texte. Une autre manière consiste à transmettre un texte écrit via une tablette ou un texte écrit ou dactylographié via un scanner. La reconnaissance de l'écriture manuelle n'est pas encore une technologie à toute épreuve, mais elle progresse rapidement. Les tablettes graphiques détectent un point soit par contact entre des feuilles superposées, soit en détectant un signal magnétique ou sonore émis par un crayon spécial. Elles sont intéressantes pour entrer des dessins à main levée, des signatures ou pour étudier l'écriture manuelle. Si ces technologies sont séduisantes et s'avèrent parfois pertinentes, il faut néanmoins savoir que la vitesse d'une bonne dactylo est environ deux fois supérieure à la vitesse moyenne d'écriture manuelle Ce n'est cependant pas le cas de tous les utilisateurs. De nos jours l'usage du clavier n'est plus l'apanage de ceux qui disposent de compétences dactylographiques. Slimline Design Tablet TB-5300 (29 € HT – 2008) Tablette graphique USB équipée de feuillet de traçage transparent - Zone active : 140 x 100 mm - 2000 lignes par pouces - Stylet ergonomique 3 boutons à 512 niveaux de pression - Compatible PC - Optimisé pour Windows Vista - Garantie 1 an. Wacom Intuos3 A6 Wide (188 € HT – 2008) Tablette graphique et stylet - 157,5 x 98,4 mm - Résolution : 5 080 lpp - Sensibilité de pression 1 024 niveaux - Boutons et touchpad - USB 1.1 - Compatible PC et Mac - 2 ans pièces et main d'œuvre. Le Joystick / Retour au menu Le Joystick, périphérique fétiche du joueur permet d'avoir une jouabilité accrue, il existe différentes catégories de joystick: le très classique paddle genre console de jeux, le joystick avec retour de force utile pour les jeux d'avion, les volants servant aux jeux de voiture (forcement...!) Le sytème de Microsoft Il s'agit du système employé sur le Sidewinder force feedback pro. L'ensemble de gestion est assuré par le joystick. Le positionnement profite d'un système optique digital ultra précis. Le flux d'informations est de 300 kilo bytes par seconde. Les 2 moteurs, qui assurent le rendu des effets et le recentrage, sont gérés par un microprocesseur 16 bits à 25 Mhz (soit 5 fois plus puissant qu'une Super Nintendo) inclus dans la base du joystick. Il agit sur un système de 6 engrenages qui amplifie l'effet jusqu'à 18 fois. La transmission se fait directement au manche via 4 tiges d'entraînement. Des frottements réduits au minimum, des produits lubrifiants et un manche léger permettent un transfert maxi de l'effort depuis les moteurs jusqu'à votre main. Le microprocesseur assume une prise en charge totale, libérant ainsi du précieux temps processeur sur votre machine. De même, la mémoire Rom et la mémoire Ram de 2 kilo bytes permettent de lire, de pré charger et de modifier les effets en direct. Contrairement à son concurrent, l'interface se fait via le seul connecteur Midi de votre carte son, ce qui assure un transfert de données de 31.250 bits/s contre 9.600 pour le port série. L'ensemble de ces fonctionnalités donne un retour de forces jusqu'à 6 fois plus rapide que pour son concurrent. Côté soft, la programmation passe par l'Api (Application programme Interface) direct input 5.0 force feedback. Cela limite son utilisation aux jeux Direct X 5.0, sous Dos ?? .Le logiciel de développement permet de se représenter les effets comme sous un éditeur de sons. On visualise donc facilement la forme, la sensation, la fréquence, la direction, etc. Il ne reste plus qu'à tester et affecter les profils ainsi édités. Ce mot anglais (qui vient de l'argot de l'aviation pour désigner le manche à balai) désigne en informatique une manette orientable, à plusieurs degrés de liberté, placée dans un support, et qui permet de déplacer un curseur sur un écran de visualisation Connexion du joystick : Le joystick se trouve relié à une prise appelée par certain « port de jeux », par d’autre « port joystick », etc. Avant, les anciennes cartes mères n’étaient pas en mesure de vous fournir ce genre de port, et il fallait vous équiper d’une carte spéciale capable d’assurer le pilotage du joystick, appelé « Game Control Adaptater » : les nouveaux joysticks, comparé à ceux utilisé par les PC/XT sont analogique, et donc la carte mère ne pouvait faire la conversion analogique numérique. De nos jours, nous n’avons plus besoin de nous procurer ce genre de carte, carte vous trouverez ce port sur la majorité des carte son (Ce qui est normal puisque la carte son n’est qu’un « gros » convertisseur Analogique numérique). La différence entre les joysticks actuels analogiques, et leurs précédents numériques réside dans le fait que l’analogique permet de donner plus de précision dans le mouvement du manche : il peut faire la différence entre des degrés d’intensité variés. Communication avec le joystick : On communique avec le port joystick par l’intermédiaire de ports allant de 200H 20FH. joystick sans fils (30 € HT – 2008) Gamepad sans fil P2900 WIRELESS Saitek® Référence fabricant : Art.No. PP19 . Gamepad PC doté de la technologie sans fil (Wireless) pour une totale liberté de jeu ! . 4 gâchettes rapides au-dessus des boutons d'action . Croix directionnelle à 8 voies . 6 boutons réactifs . 2 joysticks analogiques avec boutons intégrés . Bouton FPS Profitez des performances offertes par les jeux sur PC avec toute la simplicité des commandes d'une console ! Installation instantanée pour les jeux de tir en vue subjective (FPS) Les onduleurs / Retour au menu INTRODUCTION Le rôle premier d'un onduleur est de protéger votre ordinateur des variations et interruptions de tension. En effet, suivant votre lieu de résidence, les coupures (ou micro coupures) d'électricité, les baisses de tension ou les surtensions sont plus ou moins fréquentes. Ces défauts de tension entraînent l'arrêt ou le redémarrage soudain de votre machine et de ses périphériques. Ceci a pour conséquence de vous faire perdre les travaux en cours non sauvegardés et cela peut parfois à terme endommager votre matériel informatique : tout est une question de hasard et de malchance. La plupart des onduleurs actuels incluent des systèmes de protection contre la foudre et les surtensions liées : il faut savoir que même si ces systèmes ne sont pas totalement inefficaces, ils ne protègent pas rigoureusement et à 100% votre matériel de ce phénomène, comme l'appellation semble l'indiquer. En effet, la foudre reste un phénomène difficilement quantifiable et mal maîtrisé. D'autre part, n'oubliez pas que si vous êtes sur Internet, la foudre peut frapper les lignes téléphoniques et la surtension liée détruira au moins votre modem si pas en plus d'autres composants dans votre PC : tout ceci pour dire qu'autant éviter de se servir de son PC par temps très orageux, onduleur ou pas. Pour choisir son onduleur, il convient de comprendre les grandes lignes de son fonctionnement. Un onduleur est composé de trois grandes parties internes : - Un transformateur alternatif / continu suivi d'un chargeur de batterie qui permet de maintenir la charge d'un accumulateur. - La batterie (l'accumulateur) elle-même. - Un onduleur qui permet de transformer la tension continue issue de la batterie en tension alternative compatible avec votre ordinateur. La tension fournie à votre ordinateur et éventuellement à ses périphériques provient uniquement de la transformation de la tension continue (issue de la batterie) en tension alternative. En fonctionnement normal, la batterie est rechargée en permanence tout en étant sollicitée mais bien chargée elle est capable de fonctionner quelques temps seule et sans apport d'énergie : il s'agit là de la description du principe de fonctionnement d'un onduleur on-line. Un onduleur off-line a ceci de différent qu'afin d'économiser sur les coûts de fabrication, il délivre la tension secteur (filtrée tout de même) directement à l'ordinateur tant que cette tension est correcte en termes de niveau. Dès que la tension passe en dessous d'un certain seuil, l'onduleur va alors commuter sur la batterie interne. Du fait que l'onduleur off-line, au contraire de l'onduleur on-line, ne délivre pas une tension continuellement en provenance des batteries il peut se produire un problème au moment de la commutation d'une source d'énergie à une autre (passage du secteur à la batterie donc). Cependant, les alimentations des ordinateurs actuels sont de type à découpage et intègrent de gros condensateurs capables de faire face à de très brèves coupures (aussi appelées micro coupures) du secteur et ces systèmes peuvent donc dépendre d'onduleurs de type off-line car ils sont capables de compenser le bref temps de commutation (quelques millisecondes) entre la coupure secteur et le transfert à la batterie de l'onduleur. En cas de baisse de tension du secteur, de micro coupure ou de coupure un peu plus longue ou encore de surtension, vous savez donc maintenant pourquoi la tension fournie à votre ordinateur ne variera pas : l'énergie sera prise sur les réserves de la batterie. En fonction de la puissance totale consommée par les périphériques à brancher et de l'autonomie souhaitée en cas de coupure totale du secteur, vous devez donc choisir la puissance de votre onduleur. En fonction du type de besoin : ordinateur personnel ou serveur contenant des données extrêmement sensibles par exemple, vous savez aussi si vous devez opter ou pas pour un modèle respectivement off-line ou on-line. Au niveau des marques, parmi les plus connues citons APC, MGE (Merlin Gerin - UPS), Best Power et Liebert. para-sur tenseurs (parfois aussi appelés couramment parafoudres) : Ceux-ci, moins chers, protègeront votre matériel des surtensions comme l'indique leur nom mais ils ne feront pas office d'onduleur. De fait, en cas de coupure ou micro coupure, votre ordinateur redémarrera et les données en cours non sauvegardées seront perdues. Néanmoins, il présente l'avantage de permettre de protéger tout votre équipement (périphériques compris) du phénomène le plus dangereux pour leur durée de vie : les surtensions. Voici quelques modèles dont vous pouvez vérifier le prix et la disponibilité sur la page onduleur de mon partenaire LDLC : Marque, modèle et puissance : Prix (2002) Parasurtenseur (multiprise parafoudre et bruit électrique) APC 45 Euros Merlin Gerin Pulsar 300 (modèle 66170 Ellipse) (300 VA) (off line) 110 Euros Merlin Gerin Pulsar 500 (modèle 66178 Ellipse) (500 VA) (off line) 130 Euros APC Back ups pro 1400 (1400 VA) (off line) 520 Euros APC 1500Liebert GXT2U 1500 (1500 VA) (on line) 1500 Euros Que vous habitiez une région un peu reculée où la tension secteur fournie n'est pas toujours exempte de défaut et/ou que vous vouliez protéger votre matériel informatique ainsi que vos données c'est à dire être sur de ne pas être interrompu pendant votre travail, l'investissement reste plutôt raisonnable, même pour un particulier, surtout si on le relativise à l'achat d'un ordinateur complet. Notez aussi que bien évidemment l'usage d'un onduleur est très vivement recommandé (pour ne pas dire indispensable) pour tous les serveurs destinés à tourner en continu. Pour protéger et alimenter ainsi un ordinateur classique avec son écran (plutôt un 15" plutôt qu'un 17") mais *sans* ses autres périphériques, même le plus petit onduleur (300VA) pourra suffire : cependant l'autonomie sans le secteur sera alors réduite et d'environ 10 minutes. Même si ceci se révèlera généralement tout à fait suffisant pour sauvegarder vos travaux et éteindre votre ordinateur, vu la différence de prix très raisonnable, il me semble bien plus sage d'opter directement pour un modèle à 500VA qui vous donnera nettement plus d'autonomie pour un poste informatique et vous permettra de brancher un écran plus grand comme un 17", un 19" ou même un 21". Ainsi de manière plus précise, afin d'assurer une protection efficace en cas de coupure totale du secteur, il convient de dimensionner la puissance de l'onduleur en fonction de ce que vous souhaitez brancher sur ce dernier : si vous dépassez les valeurs pour lesquelles l'onduleur a été conçu, la protection en cas de coupure ne fonctionnera à priori pas correctement. Voici donc les puissances moyennes à prévoir pour un onduleur (en VA) afin de brancher différents périphériques : Elément Puissances approximatives à prévoir (pour un fonctionnement en autonomie) PC classique sans écran (UC) 150 VA Ecran 14 / 15 " 80 VA Ecran 17 " 180 VA Ecran 19 " 250 VA Ecran 21 " 300 VA Imprimante jet d'encre classique 80 VA Imprimante laser 1000 VA Serveur (de petit à gros et tout dépend aussi de l'autonomie souhaitée !) 300 à 700 VA voire bien plus ! Bien entendu, il convient de faire la somme des puissances (en VA) des périphériques que vous souhaitez brancher. Ainsi, vous pouvez constater qu'un PC classique accompagné de son écran 15" peuvent être effectivement branchés sur un onduleur de 300VA mais que ce même PC classique accompagné de son 17" risque de légèrement dépasser la limite des 300VA : Comme indiqué précédemment, vu la différence de prix, autant alors opter pour un onduleur de 500VA. Vous noterez aussi qu'il ne faut pas espérer faire marcher une imprimante laser sur un onduleur.) Il est un des éléments essentiels de "sauvegarde" existant pour vous protéger des risques majeurs encourus en informatique concernant la détérioration du matériel ou la perte de données. L’onduleur est un simple boîtier intercalé entre la prise électrique murale et l'ensemble de vos matériels. Il sert à prolonger un certain temps l'alimentation de vos matériels qui utilisent tous le courant alternatif, lors d'une coupure franche d'alimentation ou micro-coupure. Pour cela l'onduleur va automatiquement basculer sur la batterie de secours qui est son composant essentiel, et vous allez ainsi disposer de quelques minutes d'autonomie (de 5 à 15 suivant modèle) suffisantes pour sauvegarder vos données avant d'éteindre vos matériels. Cette batterie a une durée de vie d'environ quatre ans et peut être naturellement changée comme sur un véhicule. Il existe les batteries à plaques de plomb et électrolyte (idem que sur voitures) et des accus au cadmium-nickel. Les premières ne supportent pas d'être déchargées longtemps (2/3 heures) et les secondes par contre sont à surveiller chaque mois pour un entretien technique de décharge et recharge. La tension électrique du secteur (et donc le courant) est sujet à des surtensions, quelquefois brèves ou/et fortes, mais toujours préjudiciables à votre ordinateur qui a horreur des variations d'alimentation. On appelle ce phénomène des "pics de tension". A l'inverse il existe des "chûtes de tension", dues à la mise en route de moteurs, d'ascenseurs, de radiateurs électriques pendant les périodes froides... que vos matériels n'apprécient pas non plus. Enfin il existe des parasites que peuvent induire les tubes néons, certains moteurs ménagers sans oublier le rasoir électrique, ou tout simplement la ligne EDF qui est de mauvaise qualité. L'onduleur peut aussi protéger contre la foudre qui génère des pics de tension énormes, pouvant aller jusqu'à la destruction de matériels complets ou de composants. Sa puissance : Se détermine en fonction de votre configuration et se mesure en VA = voltampère. Les onduleurs suivant le modèle ont une puissance de protection comprise entre 300 et 780 VA et + si besoin. Pour commencer faites la liste des appareils à protéger (unité centrale, moniteur, imprimante, clavier, souris, modem, disque de sauvegarde externe, scanner, enceintes,.....) et notez la consommation de chacun d'eux. Vous trouvez ces valeurs soit au verso des appareils sur une plaquette, soit dans la notice d'utilisation, et ensuite : a)- vous additionnez ces valeurs en ampères, et multipliez le résultat par 230 c'est-à-dire la valeur de la tension du réseau actuel, ce qui vous donne des Volts Ampères. b)- vous pouvez aussi rencontrer des valeurs en watts, que vous multipliez par 1,4 ce qui vous donne encore des Volts Ampères = calcul approché. Vous devez toujours choisir un modèle d'onduleur dont la puissance de protection est plus élevée que celle dont vous avez besoin. Destinés en général à la protection de l'informatique professionnelle, les onduleurs tendent à se démocratiser, Merlin Gerin sort actuellement une nouvelle gamme d'onduleurs dont les prix varient en fonction du nombre d'options de sécurité proposées. Ellipse ASR 1000 USBS dont la gestion par le PC est assurée à la fois en USB Bus de connexion par câble de périphériques externes qui est aujourd’hui la norme la plus répandue. Proposé pour 184,95 €, il offre une puissance de 1000 VA/600 W, ce qui est un très bon rapport qualité / prix. D'autant plus que le matériel à protéger coute souvent bien plus cher. Cette version assure non seulement la continuité de fonctionnement des équipements en cas de coupure grâce à ses batteries Il leur assure également une protection efficace contre la casse lors de coups de foudre notamment. Elle intègre en effet un dispositif de protection contre les surtensions Pour couronner le tout, les différentes versions de l'Ellipse ASR disposent d'une protection ligne de données Téléphone, Internet ADSL L'intégration reste assez facile dans tous les environnements, y compris en entreprise grâce à son design extra plat, et il est possible de le poser dans différentes positions : * Position verticale (format classeur) sur ou sous le bureau * Position horizontale sous un écran * Ou en rack 19" (Kit 2U optionnel) La carte SCSI / Retour au menu Présentation du SCSI Schémas de fonctionnement Le terme SCSI signifie Small Computer System Interface. Il s'agit d'un standard de périphériques performants car : - Il ne sollicite que très peu le processeur (on dit qu'il a une faible charge processeur : ceci est du au fait qu'il y ait des "processeurs" spécialisés dans les périphériques SCSI. - Il offre une bonne bande passante, - Il permet à plusieurs périphériques de fonctionner en même temps : contrairement à l'IDE, le SCSI est multitâche. L'avantage de ce multitâche ne sera correctement exploitable que sous des systèmes d'exploitation qui le sont comme Windows NT, Windows 2000, Windows XP (W95, W98 et Windows Me ne sont pas multitâches.) - Il permet de brancher de nombreux périphériques (7 à 15 sur une seule carte contrôleur, mais on peut mettre plusieurs cartes dans une machine.) Ainsi on peut avoir un très grand nombre de disques durs sur une seule machine (couramment 60) ce qui est utile pour les serveurs et impossible à réaliser en IDE (il existe des contrôleurs ULTRA DMA en PCI mais ceux ci n'acceptent au maximum que 4 disques durs par contrôleur.) Enfin le SCSI est utilisé notamment par certains disques durs, lecteurs de CDROM, graveurs de CD-ROM, périphériques de stockage (comme les ZIP et JAZ) et Scanners. Voici un tableau résumant les caractéristiques du SCSI. Le terme Wide désigne un bus 16 bits donc 2 octets en parallèles sont transmis et il en résulte que le taux de transfert maximal en Mo/s est 2 fois plus grand pour une même fréquence de fonctionnement du bus : SCSI : Tableaux récapitulatif. Normes, taux de transferts maximums et largeurs de bus. Norme ou forme SCSI-1 Vitesse maximale Largeur du bus 5 Mo/s 8 bits Fast (SCSI-2) 10 Mo/s 8 bits Fast Wide (SCSI-2) 20 Mo/s 16 bits Ultra (SCSI-3) 20 Mo/s 8 bits Ultra Wide (SCSI-3) 40 Mo/s 16 bits Ultra-2 (SCSI-3) 40 Mo/s 8 bits Ultra-2 Wide (SCSI-3) 80 Mo/s 16 bits Ultra-3 (SCSI-3) 80 Mo/s 8 bits 160 Mo/s 16 bits Ultra-3 Wide (SCSI-3) NB : ces taux de transferts maximaux en Mo/s ne sont exploités pleinement qu'en chaînant un grand nombre de périphériques. La carte SCSI est considérée comme un périphérique. Quelles cartes SCSI ? La carte Raccordement au boîtier Suivant les périphériques et l'usage que l'on en fait le SCSI est plus ou moins intéressant. Parfois il peut se révéler indispensable dans certaines situations très particulières comme certains modes RAID. Il faut savoir que c'est le prix qui fait que le SCSI est réservé à un usage plus professionnel : si le SCSI n'était pas aussi cher nous serions certainement tous équipés dans cette norme. En effet, le surcoût existe dans les périphériques même mais aussi dans le fait qu'il faut acheter une carte contrôleur SCSI supplémentaire. Suivant l'usage que vous en ferez vous aurez donc besoin d'acquérir une carte SCSI plus ou moins performante et surtout dans une norme plus ou moins rapide (cf. le tableau ci-dessus) : pour bien faire il faut que la vitesse de votre carte soit au moins égale à celle de votre périphérique. Vous prendrez soin d'acquérir une carte permettant l'usage du bus large (Wide) si votre périphérique est à cette norme : ces cartes contrôleur SCSI de type Wide embarquent aussi alors un second connecteur permettant de brancher des périphériques Narrow (étroit). Il est à noter que des adaptateurs existent du bus large vers le bus étroit mais pas dans le sens inverse. En matière de cartes SCSI le leader incontesté est et reste ADAPTEC. En matière de seconde marque, à prix plus raisonnable, on trouve les cartes de marque TEKRAM qui sont bien elles aussi mais très peu utilisées par les professionnels. Quand utiliser le SCSI ? 1) Le cas du disque dur : comme nous l'avons dit plus haut, le SCSI offre plus de performances tout particulièrement sous des systèmes d'exploitation multitâches puisqu'il s'agit d'une interface consommant moins de ressources système (votre processeur peut alors faire autre chose). Cependant avec l'avènement du DMA (Direct Memory Acess) pour les disques durs EIDE, ceux-ci se sont rapprochés en termes de performances, sous windows 9x, des disques durs SCSI. Il est à noter que les derniers disques durs comme les Maxtor Diamond Max plus 40 Go ou les IBM DTLA qui sont en UDMA/100 ou UDMA/133 et à une vitesse de 7200 tr/min offrent globalement des performances similaires à certains très bons disques durs SCSI actuels qui sont eux en 10000 tr/min ceci en environnement multitâche ou pas. Ceci vient du fait que ces disques utilisent des plateaux avec de bien plus fortes densités d'informations (cela leur permet d'offrir de meilleurs performances en mode continu sur de gros fichiers) et disposent de "processeurs dédiés" embarqués sur le disque dur qui leurs permettent d'avoir eux aussi une très faible charge CPU comme leurs homologues SCSI. Conséquence : le fort surcoût d'un disque dur SCSI associé au coût d'une bonne carte contrôleur (Une coûteuse Adaptec, sans laquelle votre disque dur SCSI ne révélera pas toute sa puissance) ne peut se justifier que pour des usagers vraiment très exigeants et/ou fortunés. Reste l'usage très professionnel (qui sort du cadre de cette page) pour des serveurs par exemple dans des modes RAID non accessibles en UDMA/66, ceci avec des cartes SCSI RAID de marque Adaptec non présentées dans ce tableau. 2) Le cas du scanner : il peut se révéler utile d'utiliser un scanner à la norme SCSI si vous êtes un très gros utilisateur. Une carte contrôleur SCSI-2 voire SCSI-1 suffira alors pour brancher votre scanner et elle sera souvent fournie avec ce dernier. Dans le cas contraire la 2904CD d'ADAPTEC est un produit adapté. Cependant le SCSI perd là de son intérêt avec l'avènement de l'USB qui offre des performances similaires à moindre prix. 3) Le cas du couple lecteur + graveur : il est de moins en moins utile d'avoir une "chaîne SCSI" (Carte + graveur + lecteur SCSI) pour graver de manière fiable car les processeurs sont de plus en plus puissants et la gravure fiabilisée. Cependant, pour graver à très haute vitesse (en 12x et plus) tout en effectuant d'autres tâches cela peut se révéler intéressant. L'usage d'une carte comme l'ADAPTEC 2904CD ou la Tekram DC315U peut alors suffire, sauf si votre lecteur de CD / DVD SCSI se trouve être à l'interface Ultra (SCSI-3 : comme le lecteur Plextor 40X et certains graveurs comme le Yamaha 8/4/24) : vous prendrez alors plutôt la TEKRAM DC395U par exemple. 4) Le cas des périphériques externes de sauvegardes : pour tous ces périphériques comme les lecteurs ZIP SCSI externes ou autres JAZZ une carte ADAPTEC 2904CD ou Tekram DC315U est tout à fait adaptée. Le rôle du disque dur/ Retour au menu Le disque dur est l'organe du PC servant à conserver les données de manière permanente, contrairement à la RAM, qui s'efface à chaque redémarrage de l'ordinateur. Il a été inventé au début des années 50 par IBM. Le fonctionnement interne Un disque dur est constitué non pas d'un seul disque, mais de plusieurs disques rigides (en anglais hard disk signifie disque dur) en métal, en verre ou en céramiques empilés les uns sur les autres à une très faible distance les uns des autres. Ils tournent très rapidement autour d'un axe (à plusieurs milliers de tours par minute actuellement) dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Un ordinateur fonctionne de manière binaire, il faut donc stocker les données sous forme de 0 et de 1, c'est pourquoi les disques sont recouverts d'une très fine couche magnétique de quelques microns d'épaisseur, elle-même recouverte d'un film protecteur. La lecture et l'écriture se font grâce à des têtes (head) situées de part et d'autre de chacun des plateaux (un des disques composant le disque dur). Ces têtes sont des électroaimants, elles ne sont qu'à quelques microns de la surface, séparées par une couche d'air provoquée par la rotation des disques qui crée un vent d'environ 250km/h. De plus ces têtes peuvent balayer latéralement la surface du disque pour pouvoir accéder à toute la surface... Cependant, les têtes sont liées entre-elles et seulement une seule tête peut lire ou écrire à un moment donné. On parle donc de cylindre pour désigner l'ensemble des données stockées verticalement sur la totalité des disques. L'ensemble de cette mécanique de précision est contenu dans un boîtier totalement hermétique, car la moindre particule peut détériorer l'état de surface du disque. Vous pouvez donc voir sur un disque des opercules permettant l'étanchéité, et la mention "Warranty void if removed" qui signifie littéralement "la garantie expire si retiré" car seul les constructeurs de disques durs peuvent les ouvrir (dans des salles blanches: exemptes de particules). La lecture et l'écriture Les têtes en créant des champs positifs ou négatifs viennent modifier l’orientation des particules magnétiques du disque en une très petite zone, ce qui se traduira lors du passage en lecture par des changements de polarité induisant un courant dans la tête qui sera ensuite transformer par un convertisseur analogique numérique. Les têtes commencent à inscrire des données à la périphérie du disque (piste 0), puis avancent vers le centre. Les données sont organisées en cercles concentriques appelés "pistes", créées par le formatage de bas niveau. Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons) que l'on appelle secteurs, c'est la zone dans laquelle on peut stocker les données (512 octets en général). On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur une même pistes de plateaux différents (c'est-à-dire à la verticale les unes des autres) car cela forme dans l'espace un "cylindre" de données. On appelle cluster la zone minimale que peut occuper un fichier sur le disque. En effet le système d'exploitation exploite des blocs qui sont en fait plusieurs secteurs (entre 1 et 16 secteurs). Un fichier minuscule devra donc occuper plusieurs secteurs (un cluster). L’interface: pour relier le disque au PC Le disque dur lit et écrit des données sur ses plateaux, mais encore faut-il qu'un système lui permette de communiquer avec le reste de I'ordinateur pour recevoir et transférer les informations. C'est le rôle de I'interface. II en existe plusieurs types, et du choix de I'une ou I'autre dépendent les performances globales du disque... IDE (Integrated drive electronics) C'était I'interface de base des PC (Integra-ted Disk Embedded. en français, disque dur intégré et embarqué), c’est le nom d'une norme édictée en 1986 par le constructeur américain Compaq. Cette norme, aussi dénommée AT-Bus, définit le mode de dialogue entre un contrôleur de disque et un micro-ordinateur, elle laisse tout le travail au PC qui pour chaque donnée à lire ou à écrire, doit préciser la tête, la piste et le secteur du disque dur. On obtient ainsi de bonnes performances (en pointe. le débit atteint 16.7 Mo/s) mais avec des irrégularités de débit Ces dernières posent des problèmes lors d'applications multimédias par exemple. Aujourd'hui. Avec cette interface le PC ne peut pas gérer de disques de plus de 2.1 Go. Si votre disque offre une capacité supérieure, vous êtes obligé de le diviser en deux disques d'une taille inférieure ou égale à 2,1 Go. Ultra ATA Pour améliorer les performances de I'Enhanced-IDE (parfois aussi appelé Fast ATA). Les constructeurs se sont regroupés pour proposer I'Ultra ATA. Les principes demeurent les mêmes, mais le débit maximal double (on atteindra 33 Mo/s en pointe). Avantage : les disques Ultra ATA seront utilisables sur une prise IDE classique. SCSI (Small computer system interface) Destinée aux machines haut de gamme. I'interface SCSl les décharge d'une grande partie du travail. En fait. I'ordinateur précise simplement le disque et le numéro de secteur de la donnée à enregistrer ou à récupérer, et l'interface se charge du reste On obtient ainsi des débits plus réguliers. Mieux : I'interface est capable de faire fonctionner simultanément plusieurs disques (elle peut en gérer i jusqu'à sept). Tout cela se traduit par des performances plus élevées : de 5 Mo/s pour les anciens modèles à 20Mo/s et même 40 Mo/s pour les plus récents (Ultra Wide SCSI). Norme de Communication E-IDE Standard Ultra DMA 33 Ultra DMA 66 Ultra ATA100 Débit max 10 Mo/s 33 Mo/s 66 Mo/s 100 Mo/s Les caractéristiques du disque Capacité Max Largeur du bus Constaté 8.4 Go 16 bits 20 Go 16 bits 30 Go 16 bits 100 Go 16 bits La capacité d’un disque dur Dépend de la dimension des plateaux et de la densité d'informations acceptée. En microinformatique, il existe des disques de 5,25, 3,5, 2,5 et 1, X pouces de diamètre (un pouce valant 2,54 cm), mais deux tailles dominent actuellement : les 3,5 pouces dans les machines de bureau et les 2,5 pouces dans les portables. Les 1,8 pouces correspondent au format PCMCIA, soit un disque aux dimensions d'une carte de crédit, épaisse (tout de même) de 10 mm. Le taux de transfert C'est la quantité de données qui peuvent être lues ou écrites sur le disque en un temps donné. Il s'exprime aujourd'hui en Méga-Octets par seconde Le temps de latence Aussi appelé délai rotationnel représente le temps entre lequel le disque a trouvé la piste et où se trouvent les données recherchées. Le temps d'accès C'est le temps que mettent les têtes pour aller d'une piste à la piste suivante (il doit être le plus petit possible.) Le temps d'accès moyen C'est le temps que met le disque entre le moment où il a reçu l'ordre de fournir des données et le moment où il les fournit réellement. La densité radiale C'est le nombre de pistes par pouce (tpi: Track per Inch) La densité linéaire C'est le nombre de bits par pouce sur une piste donnée (bpi: Bit per Inch) La densité surfacique C'est le rapport de la densité linéaire sur la densité radiale (s'exprime en bit par pouces carré) Somme de contrôle (A lire) Effectivement, pendant le formatage des tests de contrôle (algorithme permettant de tester la validité des secteurs grâce à des sommes de contrôle) sont effectués et à chaque fois qu'un secteur est considéré comme défectueux, la somme de contrôle (invalide) est inscrite dans le préfixe, il ne pourra alors plus être utilisé par la suite, on dit qu'il est "marqué défectueux". Lorsque le disque lit des données, il envoie une valeur qui dépend du contenu du paquet envoyé, et qui est initialement stockée avec ceux-ci. Le système calcule cette valeur en fonction des données reçues, puis la compare avec celle qui était stockée avec les données. Si ces deux valeurs sont différentes, les données ne sont pas valides, il y a probablement un problème de surface du disque. Le contrôle de redondance cyclique (CRC: en anglais cyclic redundancy check), est basé sur le même principe pour contrôler l'intégrité d'un fichier. Le Master Boot Record Le secteur de démarrage (appelé Master Boot Record ou MBR en anglais) est le premier secteur d'un disque dur (cylindre 0, tête 0 et secteur 1), il contient la table de partition principale et le code qui, une fois chargé en mémoire, va permettre d'amorcer le système (booter). Ce programme, une fois en mémoire, va déterminer sur quelle partition le système va s'amorcer, et il va démarrer le programme (appelé bootstrap) qui va amorcer le système d'exploitation présent sur cette partition. D'autre part, c'est ce secteur du disque qui contient toutes les informations relatives au disque dur (fabricant, numéro de série, nombre d'octets par secteur, nombre de secteurs par cluster, nombre de secteurs,...). Ce secteur est donc le secteur le plus important du disque dur, il sert au setup du BIOS à reconnaître le disque dur. Ainsi, sans celui-ci votre disque dur est inutilisable, c'est donc une des cibles préférées des virus. Les systèmes de fichiers Dans toute cette section il s'agira de différencier le système de fichier FAT de la table d'allocation des fichiers (FAT en anglais). On appelle FAT le système de fichiers utilisés par les systèmes d'exploitation DOS (DOS et Windows 95 ainsi que Windows NT et OS/2 qui la supportent). Système d'exploitation DOS Windows 95 Windows NT OS/2 Linux Système de fichiers associé FAT16 FAT16 - FAT32 (pour la version OSR2) NTFS HPFS Linux Ext2 Le système de fichiers FAT est caractérisé par l'utilisation d'une table d'allocation de fichiers et de clusters (ou blocs). Les clusters sont les plus petites unités de stockage du système de fichier FAT. Un cluster représente en vérité un nombre fixé de secteurs du disque. La FAT (File Allocation Table: table d'allocation des fichiers) est le cœur du système de fichiers. Elle est localisée dans le secteur 2 du cylindre 0 à la tête 1 (Elle est dupliquée dans un autre secteur par des mesures de précautions en cas d'accident.) Dans cette table sont enregistrés les numéros des clusters utilisés, et où sont situés les fichiers dans les clusters. Le système de fichiers FAT supporte des disques ou des partitions d'une taille allant jusqu'à 2 GB, mais autorise au maximum 65525 clusters. Ainsi, quelle que soit la taille de la partition ou du disque, il doit y avoir suffisamment de secteurs par cluster pour que toute l'espace disque puisse être contenue dans ces 65525 clusters. Ainsi, plus la taille du disque (ou de la partition) est importante, plus le nombre de secteurs par cluster doit être important. Le système de fichier FAT utilise un répertoire racine (représenté sur les systèmes d'exploitations qui utilisent ce type de systèmes de fichiers par le signe C:\ ) , qui doit être situé à un endroit spécifique du disque dur. Ce répertoire racine stocke les informations sur les sous-répertoires et fichiers qu'il contient. Pour un fichier, il stockera donc: le nom de fichier la taille du fichier la date et l'heure de la dernière modification du fichier les attributs du fichier le numéro du cluster auquel le fichier commence Liens utiles Améliorer les performances de son disque dur http://herve-pc.cnrs-orleans.fr/Conseils/Win2k/Disk/HardDisk.htm#4 LES WEBCAM/ Retour au menu Introduction Qu'est ce qu'une "Webcam" ? C'est une caméra (soit une caméra vidéo standard, soit un module qui ne contient que le capteur CCD) qui est branchée sur un PC via une carte de saisie vidéo, le port parallèle ou le port USB. Ensuite le logiciel permet de saisir les images et de les envoyer sur le réseau des réseaux en LIVE (direct) principalement sous la forme de captures d'images rafraîchies à intervalles régulières ou en flux vidéo. La webcam permet aussi de faire de la vidéoconférence. Voici ci-dessous une introduction sur les principales utilisations de la Webcam: Pour envoyer une image plus ou moins "live" sur un site web (d'ou le nom "webcam", bien que maintenant le terme se soit généralisé). Le software capture des images de la webcam et les envoie sur le serveur Web ou en flux vidéo directement de la webcam (du PC où celle-ci est connectée) au visiteur final (le surfeur qui visite votre site.) voir le site La caméra peut même servir d'interface visuelle pour piloter un robot ou un petit train électrique à travers le Web. On peut aussi faire de la visioconférence (ou vidéoconférence.) La téléphonie avec l'image de l'interlocuteur en plus. On peut aussi envoyer une photo de soi, de son chien ou chat à condition de le faire a proximité du PC. Mieux encore on enverra un vidéo-clip c'est plus vivant qu'un simple texte mais c'est aussi plus lourd. SKYPE Applications Avant de choisir un soft il est nécessaire de savoir ce que l'on souhaite faire avec notre Webcam. Il existe plusieurs genres d'application mais nous parlerons ici des deux les plus répandues: La Live-Cam (image en temps plus ou moins réel sur une page web La visio-conférence (le téléphone avec l'image en plus) La Live Cam C'est filmer quelque chose, si possible 24 heures sur 24 en retransmettant les images dans une fenêtre de la page web avec un rafraîchissement de cette image (de préférence automatique) allant de 1 à 60 secondes environ. Cette Live-Cam filme en permanence une rue, une gare, une pièce, une société, un paysage. Certains sites permettent d'agir inter activement sur la caméra c'est à dire de pouvoir lui faire changer de direction. La caméra peut aussi servir d'œil pour piloter un robot ou pour voir évoluer un petit train électrique que l'on aurait activé depuis le web. La visioconférence Nos téléphones de demain en seront dotés en standard prochainement, nos téléphones et mobiles seront équipés d'un écran et d’une petite caméra qui nous permettront de parler et de voir nos correspondants. Pour l'instant il existe plusieurs moyens de faire de la visioconférence, certaines entreprises ont déjà des systèmes de visioconférence très poussés utilisant des protocoles adaptés, des connexions réseaux et des bandes passantes permettant des taux de transfert très élevé. Hardware Quelle Webcam choisir ? ... Il y'a quand même quelques paramètres important dont il faut tenir compte lors de l'acquisition d'une caméra. Voici les points les plus importants lors du choix de la Webcam: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. La qualité de l'image / définition du capteur CCD. La vitesse maximale de rafraîchissement des images. La correction automatique de la lumière et / ou des couleurs. Le choix des réglages. Le type de connexion (USB, parallèle, carte d'acquisition). La facilité d'installation (hardware et software.) La qualité des softwares. La stabilité de la caméra sur son socle La maniabilité de la caméra. Une caméra avec une carte d'acquisition a une qualité d'image supérieure à une webcam. La connexion au port parallèle est intéressante pour une personne ne disposant pas encore du port USB. Le port USB est la solution la plus simple La stabilité de la caméra est un critère de choix, les webcams non stables ont tendance à tomber fréquemment. Une webcam ne disposant pas de correction automatique de lumière obligera l'utilisateur à jongler avec l'éclairage de la pièce et la position de la webcam. Logitech QuickCam Communicate Deluxe Webcam avec capteur 1,3 Mpixels - Images : jusqu'à 5 Mpixels (interpolé) - Microphone intégré - USB - Compatible PC - Garantie 2 ans (40 € HT – 2008) Logitech Quickcam Vision Pro Webcam pour ordinateur Mac - Capteur de deux Megapixels - Microphone intégré - Couleur: noir et gris - Un câble USB de 1.8 m fournit - Garantie deux ans. (93 € HT – 2008) Hercules Webcam Classic silver Webcam pour ordinateur - Capteur Cmos VGA 800x600 interpolés - Résolution photo 1.3 Megapixels, résolution vidéo 800*600 jusqu'à 30 images par seconde.4 diodes d'éclairage Zoom numérique 3x et suivi automatique du visage. Webcam métal ultra-compacte microphone intégré - Support pour tous types d’écran - - Compatible Windows Vista 32 et 64 bits Connexion USB - Lentille de verre pour une très grande qualité d'image. Images nettes et lumineuses même dans la pénombre. Vidéos très fluide et nettes. Garantie 2 ans. (9,79€ HT – 2008) LE HUB/ Retour au menu Les cartes réseau / HUB Le produit intégré dispose de toutes les fonctionnalités que l'on trouve sur un hub et une carte réseau classique. La carte réseau s'insère dans un slot PCI et est conforme au standard 10 Base T. Elle dispose d'un chipset Realteck supportant le mode Full duplex. Elle est fournie avec des pilotes pour la plupart des OS réseau du marché (Windows 95 et 98, NT 4.0, Novell 4.1, etc...). Cette solution offre plusieurs avantages par rapport à une configuration sur la base d'un Hub équivalent mais de conception classique. - Le premier avantage indéniable est celui de l'alimentation. Plus la peine de rechercher la fameuse prise libre qui manque au moment de l'installation pour raccorder l'alimentation optionnelle d'un hub classique sous la forme d'un boîtier. - Le second avantage est que l'ensemble des câbles réseaux sont maintenus solidairement connectés à l'unité centrale. C'est mieux qu'un hub qui compte tenu de sa légereté se déplace à mesure que l'on lui raccorde des câbles. - Comme de toute façon il faudra utiliser un emplacement dans l'unité centrale pour la carte réseau, on réduit par conséquent l'encombrement au minimum. Installation Solution classique Solution carte Hub/Réseau BILAN 1 Hub 5 Cartes réseau 10 Base T 5 Cordons patch paires torsadées RJ45 1 Carte Hub/Réseau 4 Cartes réseau 10 Base T 4 Cordons patch paires torsadées RJ45 Le clavier/ Retour au menu Les différents type de clavier 1. Le clavier PC/XT C'est le premier clavier pour un pc qui a la particularité d'être dissocié de l'ordinateur par rapport aux autres claviers de l'époque (Atari, Amiga, Apple II, Commodore 64...). Il comportait 83 touches mais il était vivement critiqué sur la disposition des touches et de leur disproportion notamment les touches majuscules et entrée). La communication était à sens unique entre l'unité central et le clavier, ce qui signifiait qu'il ne pouvait pas avoir de LED. 2. Le clavier PC/AT Ce clavier est apparu en 1984 pour équiper les PC de type AT et comportait 84 touches. Il corrige les erreurs du clavier de type PC/XT en redimensionnant les touches majuscules et entrée notamment. Il est devenu bidirectionnel ce qui lui permet d'afficher des états avec l'aide de LED. Enfin, les cartes mères AT comportait un contrôleur qui permettait de paramétrer : La fréquence de répétition (nombre de caractères envoyé à la seconde lorsque la même touche est enfoncée). Le délai de répétition : le temps au bout duquel l'ordinateur considère que la touche est enfoncée afin de différencier une simple pression de touche, d'un enfoncement prolongé. 3. Le clavier étendu et le clavier compatible Windows Le clavier étendu et apparu en 1986, soit deux ans après le clavier PC/AT. La différence entre l'étendu et le PC/AT est le nombre de touches. Le clavier étendu s'est vu greffé des touches de contrôle de curseur représenté par des flèches et les touches de fonction ont été déplacées sur le bord du clavier. Avec l'apparition du système d'exploitation Microsoft Windows 95, Microsoft a défini 3 touches supplémentaires par rapport au clavier étendu. Ces touches sont : La touche Windows gauche La touche Windows droite la touche application Quelques raccourcis possibles avec la touche Windows : Win + E : Affiche l'explorateur Win + F : Rechercher un fichier Win + F1 : Afficher l'aide Win + M : Minimiser tout les fenêtres du bureau Win + Pause : Afficher les propriétés du système Win + Tab : Explorer la barre des tâches Win + R : Afficher la boîte "Exécuter" Les touches du clavier Contient des touches Alphanumériques, ainsi que la touche Entrée, qui sert le plus souvent à confirmer votre saisie. Les autres touches sont les touches ALT et CTRL, qui ne peuvent être utilisés qu’en même temps que d’autres touches du clavier. Tabulation permet au curseur de se déplacer de x en x caractères Retour en arrière sert à effacer le caractère précédent Shift ou Maj. à utiliser si vous souhaiter écrire votre texte en majuscule. La touche exemple Contrôle, toujours associée à une autre touche : + La touche ALT est toujours associée à une autre touche : Exemple : + La touche Echappement Cette touche est utilisée quand le système est bloquer ou que l’on souhaite avorter une commande ou sortir d’un processus Les touches de fonction Les fonctions des touches F1 à F12 différents selon les applications Ils sont programmés par le concepteur Exemple en Word : Aide Recherche et Remplacement Grammaire et Orthographe Les touches de commandes Permettent de modifier rapidement et facilement la position du curseur dans le texte. Permet de se mettre en insertion Sert à supprimer Permet d’atteindre le début d’une ligne Permet d’atteindre la fin d’une ligne Permet de passer à la page suivante Permet de passer à la page précédente La touche Impr écran/Syst Arrêt défilement Pause (Attn) Permet d’avoir une recopie de l’écran Arrêter le défilement Permet d’arrêter momentanément l’exécution d’un programme Les touches de Déplacements Permettent de déplacer le curseur. En haut, bas, à droite et à gauche. Les touches Numériques Contient l’ensemble des chiffres de 0 à 9.Afin de pouvoir saisir des chiffres, la touche VerrNum doit être activée Verr num / * + Verrouillage Numérique La touche Division La touche Multiplication La touche Soustraction La touche Addition Paramétrage du clavier Prendre le bouton démarrer, paramètres, panneau de configuration, clavier Délai avant répétition : Définit le délai qui doit s'écouler avant qu'un caractère ne se répète lorsque vous maintenez une touche enfoncée. Fréquence de répétition : Définit la vitesse à laquelle un caractère se répète lorsque vous maintenez une touche enfoncée. Fréquence de clignotement : Définit la vitesse de clignotement du curseur (ou du point d'insertion). Pour modifier la vitesse de clignotement du curseur, faites glisser le curseur. Dans Paramètres régionaux : On définit la langue par défaut On définit la touche qui permet de déverrouiller les majuscules On affiche l'indicateur des paramètres régionaux dans la barre des taches Dans l'onglet Matériel : On obtient les propriétés du clavier Le Chipset / Retour au menu Définition: C’est l’ensemble de puces électroniques dont le processeur a besoin pour communiquer et travailler avec les autres composants de la carte mère. A QUOI ÇA SERT? Si la carte mère est la pièce la plus volumineuse de votre PC, c'est parce qu'elle sert de support aux autres cartes comme la carte graphique, la carte son, le modem, etc... En plus de recevoir toutes ces cartes, elle assure les échanges d'informations entre les divers composants de la machine. La fonction principale d'une carte mère est donc d'interconnecter tous les composants et cartes qu'elle peut recevoir mais aussi d'assurer la bonne communication entre eux. Pour gérer ces échanges la carte mère dispose d'un jeu de composants que l'on appèle : chipset COMMENT ÇA MARCHE? Le chipset est généralement composé d'au moins deux puces distinctes: Le NorthBridge ( PONT NORD) et Le SouthBridge (PONT SUD). BREVE PRESENTATION Le Pond Nord (Northbridge) est la partie la plus proche du processeur donc celle qui fonctionne à la fréquence la plus élevée et qui contrôlera les éléments les plus rapides du PC. Ainsi il gère les échanges avec le mémoire, le bus AGP (pour les cartes graphiques) et le bus PCI pour toutes les autres cartes d'extension telles que carte son, modem, carte réseau, carte d'acquisition. Le pond sud est relié au processeur à travers le pont nord et gère les entées/sorties : Contrôleur IDE (pour les disques durs et CD-ROM), port USB, port Parallèle, port Série, port PS2 et port ISA pour les cartes mères qui en sont encore pourvues. C'est aussi lui qui détermine la fréquence du bus système ( fréquence d'échange de données entre le pont nord et le processeur ) sur laquelle le processeur va s'appuyer pour déterminer sa propre vitesse. Pour rappel la fréquence d'un processeur est déterminée de la façon suivante : Fréquence du bus système * coefficient multiplicateur = Fréquence du processeur. Exemple: pour un Intel Céléron 800 MHz : 100MHz * 8 = 800 MHz Pour mieux visualisé la conception et les interconnections du chipset: Voici le schéma détaillé du chipset I815 pour Pentium III et Céléron. LE PONT NORD (Northbridge) Echanges mémoire Le Pond Nord comme nous l'avons vu tout à l'heure assure les échanges avec la mémoire. Il supporte différents types de mémoire selon les chipsets et les processeurs. On trouve à l'heure actuelle de la sdram, de la DDR et de la RamBus. La fréquence de pilotage de la mémoire est en général synchrone et identique à celle du processeur. Exemple: Dans le cadre d'un Pentium III EB 933GHz dont la fréquence est obtenue par un bus système à 133 MHz (fréquence de pilotage) et un multiplicateur par 7 (7 * 133 = 933) la mémoire sera synchrone et sera donc cadencée, elle aussi, à 133 MHz. Echanges Graphique Les besoins importants en puissance graphique sont issus de la sophistication des jeux 3D. La puissance nécessaire à ce type d'affichage est telle, que les processeurs graphiques deviennent plus complexes que les processeurs principaux. Les débits d'informations vers la carte graphique ont rapidement saturé les possibilités du bus PCI. (Connecteur qui sur les machines plus anciennes que le Pentium II servait à connecter la carte graphique avec un débit limité à 33 MHz). Il a donc fallu rapprocher le graphisme du Pont Nord pour bénéficier d'un débit plus élevé (66MHz dans un premier temps avec l'AGP 1X), mais aussi de la mémoire centrale, car bien souvent les textures des jeux sont stockées dans cette mémoire qui est plus lente que celle embarquée sur la carte graphique. C'est donc le Pont Nord qui a été choisi pour prendre en charge les échanges graphiques. Ce fut l'origine de la création du bus AGP (Accelerated Graphic Port), qui est un système de liaison vers le graphisme avec des caractéristiques proches de celles de la gestion de la mémoire. Les recherches d'Intel sur les architectures plus avancées incorporant le processeur graphique dans le chipset n'étaient pas étrangères à ce modèle puisque dans ce cas, le pont Nord gère en proximité le graphisme et la mémoire partagée. Liaison avec le Pont Sud Le pont Sud, moins rapide, doit cependant dialoguer avec le pont Nord. Le bus système met en communication les deux ponts (Hub interface sur le schéma ci-dessus) à une vitesse de 66, 100 ou 133 Mhz. LE PONT SUD (Southbridge) Le pont Su joue apparemment un rôle subalterne. En fait, dans les architectures actuelles, il devient de plus en plus autonome en regroupant des fonctions complexes telles, que modem, son et bientôt réseau ou FireWire. Contrôleur IDE Introduit dès les premiers chipsets pilotant le Pentium, le contrôleur IDE (Integrated Drive Electronics) est devenu l'interface standard des disques durs de PC. Devenu entre temps EIDE (pour Enhanced IDE) il est présent dans tous les chipsets modernes avec des performances tout à fait respectables. Instituée en 1993 par Western Digital, la norme EIDE, devenue DMA puis Ultra DMA en se passant du concours du processeur pour piloter les échanges à grande vitesse, est universelle. Elle contrôle aussi bien des lecteurs de CD ROM que des DVD ou des disques durs rapides. Capable à l'origine de gérer des flux de données de 11 Mo/s, cette interface supporte jusqu'à 66 Mo/s en Ultra DMA 66 et 100 Mo/s en Ultra DMA 100. Ces performances associées à des disques toujours plus puissants et moins chers font que le respect maximal de la norme IDE, par la carte mère, est un critère impératif de choix de cette dernière. Certaine carte mère propose aujourd'hui un contrôleur Raid 0 embarqué Contrôleur E/S Standard : Tout chipset doit offrir des interfaces standard et notamment l'interface parallèle Centronics pour le pilotage des imprimantes avec le support des normes ECP et EPP. Le chipset permet aussi deux connexions série standard RS 232. Il y a quelques années, ces connecteurs étaient souvent mis à contribution (souris, modem, échanges divers), aujourd'hui ils sont souvent libres. N'oublions pas le connecteur souris de type PS2 et le contrôleur clavier dont une partie de la logique est confiée à un composant particulier, distinct du chipset. LES REGLAGES Pour s'assurer que le chipset fonctionne correctement il y plusieurs chose à faire qui passe par le réglage du bios et l'installation de drivers qu'il faudra configurer correctement... LE BIOS Placé sous la responsabilité de spécialistes du logiciel tels que Award, AMI ou Phoenix, le BIOS (Basic Input Output System), est un élément déterminant dans les performances de la machine. Il constitue le logiciel, embarqué (dans une puce mémoire de type EEPROM) qui va fixer les paramètres de fonctionnement des différents éléments de la carte mère dont le chipset : mode d'accès à la mémoire, type de disque dur, mode de fonctionnement des ports série et parallèle, Agp 2X ou 4X... Les fonctions du Bios dépendent évidemment des caractéristiques du chipset. Il en va donc de la responsabilité du fabricant de cartes mères de le choisir et de l'optimiser pour qu'il soit strictement adapté à celui-ci. Voici ce qu'un bios nous propose pour effectuer les réglages du chipset notamment pour la carte graphique et la mémoire... Attention, de mauvais réglages peuvent endommager la machine. LES DRIVERS Pour finir les drivers (ou pilotes) sont des logiciels essentiels pour le chipset car, une machine à sa première installation de Windows fonctionnera avec les pilotes génériques, fonctionnant à des vitesses minimums afin d'assurer la compatibilité avec toutes les cartes telles que la carte graphique qui peut ne pas supporter le mode AGP 2X OU 4X. Donc de façon à éviter tout problème, au démarrage, la carte graphique sera en AGP 1 , les disques durs ne fonctionneront pas en mode DMA etc. Les drivers du chipset , permettent de changer ses paramètres , et d'accélérer considérablement les différent éléments le la machine. Après leur installation, la carte graphique fonctionnera en AGP 4X, (AGP 4X = 4 X la vitesse d'origine du bus AGP qui est de 66 MHz soit : 4 x 66 = 264 MHz) , les disques durs fonctionneront en ULTRADMA 66 ou en ATA 100 selon les modèles etc. Ces pilotes , jouent donc un rôle essentiel sur le chipset et les différents organes qui sont liés à celui-ci . Ils sont régulièrement mis à jour par leurs constructeurs tels que VIA, ALI, INTEL, AMD, SIS afin d'améliorer le fonctionnement de la machine. Il faut donc penser à régulièrement faire ces mises à jour pour que le chef d'orchestre de votre PC qui a de plus en plus de musiciens à gérer ne soit pas trop perdu. Vous retrouverez ICI les différents liens des constructeurs de chipset Chipset AMD Informations sur les chipsets AMD AMD propose un ensemble de chipsets conçus pour libérer toute la puissance des processeurs Athlon™ et Duron™. Du simple ordinateur de bureau monoprocesseur aux serveurs et stations de travail multiprocesseurs, AMD propose des chipsets hautes performances pour les plates-formes les plus exigeantes. Chipset AMD-760™ MPX L'AMD-760™ MPX constitue le chipset bi-processeur le plus performant pour les processeurs de la classe AMD Athlon™ MP. Conçu pour les serveurs et les stations de travail, le chipset AMD-760 MPX offre des performances supérieures (d'où MPX, pour Multi Processor eXtended) à son prédécesseur AMD-760™ MP. Ce chipset hautes performances d'une grande richesse fonctionnelle se compose du contrôleur système AMD-762™ (Northbridge) et du contrôleur de bus AMD-768™ (Southbridge). Il offre les caractéristiques suivantes : Système bi-processeur symétrique pour processeurs AMD Athlon MP Bus système Athlon 266 MHz, offrant des débits de données allant jusqu'à 2,1 Go/s Contrôleur mémoire DDR (Double Data Rate) 266-MHz (PC2100) Interface AGP-4X Bus PCI primaire 66 MHz, 32 ou 64 bits Bus PCI secondaire 33 MHz, 32 bits Contrôleur audio AC'97 Contrôleur bus maître EIDE compatible ATA-33, ATA-66 et ATA-100 Chipset AMD-760™ MP Le chipset AMD-760™ MP est un chipset bi-processeur hautes performances destiné aux processeurs AMD Athlon™ MP pour serveurs et stations de travail. Ce chipset hautes performances d'une grande richesse fonctionnelle se compose du contrôleur système AMD762™ (Northbridge) et du contrôleur de bus AMD-766™ (Southbridge). Il offre les caractéristiques suivantes : Système bi-processeur symétrique pour processeurs AMD Athlon MP Bus système Athlon 266 MHz, offrant des débits de données allant jusqu'à 2,1 Go/s Contrôleur mémoire DDR (Double Data Rate) 266-MHz Interface AGP-4X Bus PCI 33 MHz, 32 ou 64 bits Contrôleur bus maître EIDE compatible ATA-33, ATA-66 et ATA-100 Chipset AMD-760™ L'AMD-760 est un chipset haute intégration qui confère des performances maximales aux processeurs AMD Athlon et Duron. Le chipset AMD-760 se compose du contrôleur système AMD-761™ (Northbridge) et du contrôleur de bus AMD-766 (Southbridge). Cette solution haute performance pour PC de bureau offre les caractéristiques suivantes : Système monoprocesseur pour processeurs AMD Athlon et AMD Duron Bus système Athlon 200/266 MHz offrant des débits de données allant jusqu'à 2,1 Go/s Contrôleur mémoire DDR (Double Data Rate) 200 MHz/266 MHz Interface AGP-4X Bus PCI 33-MHz, 32 bits Contrôleur bus maître EIDE compatible ATA-33, ATA-66 et ATA-100 Chipset AMD-750™ Le chipset AMD-750™, première génération de chipsets AMD, apporte des performances supérieures aux PC de bureau utilisant les modules processeurs AMD Athlon. Le chipset AMD-750 se compose du contrôleur système AMD-751™ (Northbridge) et du contrôleur de bus AMD-756™ (Southbridge). Cette solution haute performance pour PC de bureau offre les caractéristiques suivantes : Système monoprocesseur pour modules processeurs AMD Athlon (incompatible avec les versions PGA du processeur Athlon et les processeurs Duron.) Bus système Athlon 200 MHz, offrant des débits de données allant jusqu'à 1,6 Go/s Contrôleur mémoire PC100 Interface AGP-2X Bus PCI 33-MHz, 32 bits Sous-système de stockage EIDE compatible avec les modes ATA-33 et ATA-66 Tableau comparatif des chipsets d'INTEL 4.1 Introduction : Les premiers chipsets d'Intel pour les processeurs de type 486, étaient des 420 EX, 420 TX et 420 ZX, à l'époque on avait encore des bus VLB et de la mémoire 8 bits... En ce qui concerne les chipsets pour Pentium, ils gèrent tous le Fast IDE en mode PIO 4. Le mode PIO 4 permet d'obtenir un taux de transfert de 16,7 MB/s. Ces chipsets gèrent également tous le Plug and Play. Un contrôleur BMIDE ( Bus Master IDE ) signifie que l'on a un contrôleur qui gère le mode PIO 4. Ce contrôleur est de type PIIX, c'est à dire PCI I/O IDE Xcelerator, ce qui signifie que le contrôleur IDE est optimisé pour le bus PCI. Petite remarque, en ce qui concerne la mémoire cache, celle du Pentium Pro est sur le CPU et celle du Pentium II se trouve sur la cartouche SEC ( Single Edge Cardridge ). Donc pour ces familles de processeurs, la mémoire cache, dit de niveau L2, n'est plus gérée par le chipset, mais directement par le processeur. 4.2 Chipsets permettant de gérer des Pentium : Pentium 430 FX 430 MX 430 HX Nombre de CPU 1 1 2 430 VX 430 TX 1 1 Taille mémoire 128 Mo 128 Mo 512 Mo 128 Mo 256 Mo Mémoire cachable 64 Mo 64 Mo 64 Mo 64 Mo 64 Mo Mémoire cache 512 Ko 512 Ko 512 Ko 512 Ko 512 Ko FPM-EDO-BEDO-SDRAM-ECC o/o/-/-/- o/o/-/-/- o/o/-/-/- o/o/-/o/- o/o/-/o/- USB Non Non Oui Oui Oui IDE BMIDE BMIDE BMIDE BMIDE UDMA/33 Type PIIX MPIIX PIIX3 PIIX3 PIIX4 AGP Non Non Non Non Non 66 Mhz 66 Mhz Vitesse Bus Mémoire 66 Mhz 66 Mhz 66 Mhz Le 430 LX aussi appelé Mercury est le premier chipset pour Pentium 60 Mhz et 66 Mhz il est sortit en 1993. Il supporte le bus PCI et la mémoire FPM. Je n'ai pas réussi à trouver les tableaux de caractéristiques de ce composant sur le site d'Intel. Le 430 NX aussi appelé Neptune, a les mêmes caractéristiques que le 430 LX mais supporte les Pentium à 90 Mhz et 100 MHz. Là aussi, je n'ai pas réussi à trouver les tableaux de caractéristiques de ce composant sur le site d'Intel. Le 430 MX, il s'agit de la version 430 FX destiné au premier portable à base de Pentium. Son contrôleur de disque ne permettait pas de gérer la norme ATAPI donc les CD-ROM IDE. Le 430 FX aussi appelé Triton, fut le tout premier jeu de composants PCI d'Intel à se rapprocher des limites théoriques du bus PCI v2.0 à 133 Mo/s. Le 430 VX aussi appelé Triton III, offre la possibilité aux fabricants de cartes mères d'utiliser l'architecture SMBA (Shared Memory Buffer Architecture) similaire à UMA ( Unified Memory Architecture ). Elle permet de partager avec le contrôleur graphique une partie de la mémoire vive du PC. Elle est destinée à mettre au point des PC à faible coût, mais cette architecture a très vite été abandonnée. Le VX est le premier chipset de la série à supporter la mémoire vive SDRAM, légèrement plus rapide que l'EDO. Les 430 HX et VX ( Triton III ) apportent d'une part, le support du bus série USB ( Universal Serial Bus) et, d'autre part, la fonction Concurrent PCI. Il s'agit d'une spécificité de la nouvelle version du Bus PCI, la version 2.1. Le Concurrent PCI optimise les performances du système en permettant une activité simultanée sur les bus PCI et ISA. Le 430 HX aussi appelé Triton IV, supporte la présence d'un second processeur ainsi que la mémoire auto-corrective ECC. En outre, il autorise jusqu'à 512 Mo de mémoire vive, contre 128 Mo seulement pour le modèle VX. Petite remarque, le 430 HX peut cacher 512 Mo à condition d'ajouter un composant à la carte mère. Ce composant est appelé un Tag Ram. 4.3 Chipsets permettant de gérer des Pentium Pro : Pentium Pro 440 FX 450 KX 450 GX 2 2 4 1 Go 1 Go 4 Go Nombre de CPU Taille mémoire FPM-EDO-BEDO-SDRAM-ECC o/o/o/-/o o/o/-/o/o o/o/-/o/o USB Oui Non Non IDE BMIDE BMIDE BMIDE Type PIIX3 PB PB AGP Non Non Non 66 Mhz 66 Mhz 66 Mhz Vitesse Bus Mémoire Le 440 FX est très proche du 430 HX, il était principalement destiné aux serveurs, en apportant la gestion de la mémoire ECC, c'est à dire de la mémoire auto-corrective. Ce chipset à aussi été utilisé sur les premières cartes mères intégrant un Pentium II. Le 450 KX et le 450 GX ont eux, apportés une gestion particulière du bus PCI. Le 450 GX permet de gérer 2 bus PCI et 2 Bus mémoire, un pour chaque couple de processeur. De plus il offre la possibilité de gérer un bus EISA, principalement pour conserver une compatibilité avec les anciens serveurs. 4.4 Chipsets permettant de gérer des Pentium II : Pentium II Nombre de CPU Taille mémoire 440 FX 440 EX 440 LX 440 BX 2 1 2 2 1 Go 256 Mo 1 Go 1 Go o/o/-/o/o o/o/-/o/o Oui Oui FPM-EDO-BEDO-SDRAM-ECC o/o/o/-/o o/o/o/-/o USB Oui IDE BMIDE Oui UDMA33 UDMA33 UDMA33 Type PIIX3 PIIX4 PIIX4 PIIX4e AGP Non Oui Oui Oui 66 Mhz 66 Mhz 66 Mhz 100 Mhz Vitesse Bus Mémoire Le 440 LX est le premier chipset à gérer directement le lecteur LS-120 comme un lecteur de disquette bootable. Les autres chipsets le gèrent comme un disque dur IDE. 4.5 Chipsets permettant de gérer des Pentium II Xeon : Pentium II Xeon Nombre de CPU Taille mémoire 440 GX 450 NX 450 JX 2 4 - 2 Go 8 Go - o/o/-/o/o - Oui - FPM-EDO-BEDO-SDRAM-ECC o/o/-/o/o USB IDE Oui UDMA33 UDMA33 ATA66 Type PIIX4e PIIX4e - AGP Oui Non Oui IEEE 1394 Non Non Oui Vitesse Bus Mémoire 100 Mhz 100 Mhz 100 Mhz Description d'un Chipset de carte mère Le type de chipset utilisé par une carte mère influe considérablement sur les performances de cette carte. C'est lui qui limitera les caractéristiques de la carte tels que la taille et la rapidité de la mémoire cache, le type et la capacité de la mémoire principale, le type et le nombre de processeur supporté, les types de bus supportés, etc. Les chipsets évoluent continuellement et de nouveaux modèles apparaissent en permanence sur le marché. II existe aujourd'hui plusieurs types de chipsets pour cartes mères Pentium. Le plus performant, le 450NX gère jusqu'à 8Go de mémoire ECC, permet de gérer plusieurs bus PCI, 4 processeurs Pentium II Xeon à 100 mhz... Une famille de chipset contient généralement : Un contrôleur de bus local (AGP, PCI ...), Un contrôleur de mémoire cache, Un contrôleur de mémoire principale Un contrôleur pour la passerelle entre le bus PCI et le bus ISA Un contrôleur du bus USB, des ports IDE, ainsi que plusieurs autres circuits. 5.1 Exemple : Description du chipset 82430FX : La famille 82430FX est composé : d'une puce TSC (Triton System Controller) 82437FX, De deux puces TDP (Triton Data Path ) 82438FX . D'une puce PIIX (PCI ISA IDE Xcelerator) 82371 FB. La puce TSC intègre les fonctions de mémoire cache et de mémoire centrale ainsi que le bus PCI. Son contrôleur de mémoire cache L2 utilise de la mémoire cache de type write-back et accepte des tailles de 256 et 512 Ko ainsi qu’une configuration bas de gamme sans aucune mémoire cache. La mémoire cache peut être de type SRAM (Static RAM) standard, burst ou pipeline burst. Les puces TSC et TDP permettent de gérer jusqu'à 128 Mo de mémoire principale (RAM), EDO (Extended Data Out) ou standard FPM ( Fast Page Mode ). La puce PIIX fait office de pont PCI-ISA et intègre les contrôleurs de canaux DMA, les contrôleurs d’interruptions, l’horloge-compteur, la fonction de gestion de consommation d'énergie avancée et une interface IDE. comportant jusqu'à deux connecteurs IDE permettant de recevoir quatre périphériques IDE. Le chipset Triton original n’est malheureusement pas compatible avec la fonction de contrôle de parité de RAM, ce qui signifie que toute carte utilisant ce chipset est incapable de détecter les erreurs de parité susceptibles de survenir pendant le fonctionnement, même si elle est équipée de modules de mémoire SIMM à parité, elle n'utilisera pas cette parité. Or, nombre d'intégrateurs de systèmes ne peuvent utiliser de RAM sans parité pour des applications délicates telles que des serveurs. Intel a cédé aux pressions du marché demandant une carte mère intégrant cette fonction de parité et a lancé le chipset Triton II qui intègre cette fonction ainsi que celle de code de correction d’erreurs (ECC). 5.2 Exemple de famille de chipset : Modèle de chipset Contrôleur Système PCI ISA IDE Xcelerator Data Path 430 FX 430 VX 430 HX 430 TX TSC 82 437 FX TVX 82437 VX TXC 82 439 HX MTXC 82439 TX 82 371 FB 82 371 SB 82 371 SB 82 371 AB TDP 82 438 FX TDX 82 438 VX Les bases : la structure d’un chipset A la base, un chipset est constitué d’un Northbridge et d’un Southbridge. Mais certains chipsets SIS font exception à la règle, notamment les 735 et 645, tous les deux basés sur une seule puce. Le diagramme ci-dessus vous explique clairement comment fonctionne un chipset traditionnel. Les composants suivants sont connectés au Northbridge en une sorte de constellation : le processeur, l’interface graphique, la RAM, et le Southbridge. Le plus gros volume d’échange de données s’effectue entre le processeur et le Northbridge, dans notre exemple le volume maximum est de 4,2 Go par seconde. La RAM vient en second (ici, il s’agit d’une interface Rambus double-canal) avec 3,2 Go par seconde. Moins optimisé en termes de bande passante, le transfert des données vers l’interface graphique est, selon la norme AGP 2.0, un peu supérieur à 1 Go par seconde. Le Southbridge est la seconde puce du chipset. Il gère les communications avec les périphériques. Cela inclut les interfaces PCI, les contrôleurs IDE pour disques durs et DVD/CD-ROM, les contrôleurs USB, ainsi que le son et les interfaces LAN. Le Northbridge et le Southbridge sont reliés entre eux par un canal de données. Quelques exemples. Le chipset VIA KT133A utilise un mode de transfert PCI 33 qui atteint les 33 Mo/s. Avec le chipset VIA KT266, on utilise le V-link pour un débit de 266 Mo/s, ce qui est aussi le cas du chipset ATI IGP 320. A l’heure actuelle, le plus haut taux de transfert théorique est fourni par le chipset nForce avec l’HyperTransport qui s’élève à 800 Mo/s. Les chipsets d’Intel (845 et 850) avec le Hub Link V1.0 atteignent 266 Mo/s. Le constructeur taiwanais ALi s’accroche, quant à lui, au passé en continuant à travailler avec le protocole PCI 33 aujourd’hui complètement dépassé et que ses concurrents ont d’ailleurs abandonné depuis longtemps. La carte graphique / Retour au menu Introduction La carte graphique est un élément de plus en plus déterminant pour les applications graphiques, applications qui sont aujourd'hui de plus en plus gourmandes en puissance de calcul et d'affichage, tout particulièrement les logiciels ludiques faisant appel à des affichages en 3 dimensions. Il en résulte que, dans bien des cas, les processeurs actuels, si puissants soient-ils, ne peuvent pas gérer seuls tous ces calculs liés à l'affichage : de plus en plus de taches sont réalisées par les processeurs spécialisés (DSP) inclus sur les cartes graphiques (on parle aussi de GPU pour Graphic Processor Unit). Il est donc aujourd'hui indispensable de bien choisir sa carte graphique en fonction des applications que l'on souhaite pouvoir utiliser avec son ordinateur. Il est à noter que le réalisme global des logiciels faisant appel à des affichages en 3D est aussi lié à la puissance du processeur. Il faut utiliser une carte graphique de puissance adéquate avec le processeur afin d'obtenir de bons résultats : vous trouverez plus loin dans cette page un tableau récapitulant les cartes graphiques adaptées aux différents processeurs. De même un manque de mémoire vive limitera les performances : 128 Mo sont souvent aujourd'hui recommandés pour ce type d'application, voire 256 sous Windows 2000/XP. Les critères de choix des cartes: Tout d'abord il faut préciser que les fabricants de cartes 3D ne sont pas toujours les fabricants des processeurs 3D. Ainsi, si ATI et Matrox fabriquent actuellement leurs cartes en y mettant leurs propres puces graphiques, Nvidia, le leader actuel en matière de 3D, fournit ses puces graphiques à des constructeurs comme HerculesGuillemot, Creative, Asus, etc… Dans ce dernier cas les cartes ont toutes des performances très proches voire identiques lorsqu'elles utilisent la même puce graphique ainsi que le même type et la même quantité de mémoire. Pour utiliser votre ordinateur avec des applications mettant en œuvre des scènes 3D une bonne carte est un modèle qui vous permet d'exploiter ce type de logiciel : 1-) Avec un niveau de détail de l'affichage suffisant. 2-) Avec une fluidité de l'animation suffisante à la résolution souhaitée. 3-) Avec un nombre de couleurs affichées le plus élevé possible. 4-) Enfin, il faut aussi que cette carte soit la plus compatible possible avec les différents langages exploités : les API. 5-) Vous pouvez aussi souhaiter que cette carte supporte le FSAA. 6-) Vous pouvez vouloir disposer d'une sortie TV. 7-) Enfin vous pouvez vouloir disposer de la possibilité d'un double affichage avec le support de deux écrans ou d'un écran plus d'une télévision et/ou d'une sortie numérique DVI pour les écrans LCD. Le niveau de détails Il correspond au fait que dans bon nombres de logiciels ludiques certaines options peuvent être activées pour améliorer la qualité d'ensemble du rendu graphique : bien entendu ces options ralentissent le logiciel. Si votre machine est assez performante, ce ralentissement ne sera pas ou très peu perceptible donc ces options seront utilisables. La fluidité de l'animation à la résolution souhaitée Elle varie en fonction de multiples paramètres comme le logiciel, le type de logiciel, la résolution d'image et le nombre de couleurs de l'image. La résolution d'affichage correspond respectivement au nombre de points horizontaux et verticaux que l'écran affiche. Plus il y a de points plus l'image est de qualité. Une image avec beaucoup de points implique un écran très grand (au moins un 19'') mais aussi nettement plus de calculs : un affichage 3D en 1600x1200 points implique 4 fois plus de calculs qu'un affichage en 800x600 points. Les générations actuelles de cartes graphiques se révèlent couramment efficaces en 1024x768 points : c'est donc la résolution choisie dans le comparatif. De plus cette résolution de 1024x768 points est utilisable sur un écran de 17", écrans qui sont de plus en plus abordables. La notion de fluidité varie aussi en fonction du type de logiciels : la mesure se fait sur une moyenne de FPS (Images par secondes). Dans les logiciels d'action pure en 3D, il est nécessaire de nettement aller au-delà des 25 images / secondes théoriques qui correspondent à la rémanence rétinienne. En effet, les très brusques changements de plan et d'images (scènes d'explosions etc…) sont fréquents et des ralentissements sont alors perceptibles à certains moments car il s'agit d'une moyenne qui ne traduit pas ces effets. A compter de 60 images par secondes de moyenne ces ralentissements ont généralement totalement disparus laissant place à un déroulement parfaitement fluide de l'action : seule la nécessité d'avoir une action particulièrement fluide dans ce type de logiciels (afin de survivre à l'action !) justifie ces 60 images / secondes. Pour les autres types de logiciels, une moyenne d'une trentaine d'images / secondes est souvent déjà fort confortable. Le nombre de couleurs Le nombre de couleurs de l'image est soit codé sur 16 bits (il y a alors 2 puissance 16 c'est à dire 65536 couleurs différentes) ou sur 32 bits. Toutes les cartes graphiques récentes supportent le mode 32 bits efficacement. Le passage de 16 en 32 bits ne transfigure pas réellement la qualité graphique d'un logiciel mais vient néanmoins améliorer nettement les effets de dégradé et par exemple l'affichage d'un ciel ou d'un brouillard. Les cartes graphiques actuelles sont désormais assez performantes pour profiter du mode 32 bits. Les API (Pour Application Program Interface) sont les langages qui permettent de décrire à la carte graphique les images à afficher. A l'heure actuelle il en existe trois : 1) Direct3D de Microsoft : supportée par près de 100% des logiciels actuels cette API est intégrée à l'ensemble DirectX. Les dernières moutures de cette API sont de plus en plus performantes et complètes et approchent désormais la qualité d'Open GL. De plus Microsoft fournit les outils appropriés pour aider les développeurs de logiciels à utiliser cette API. 2) Open GL : initialement destiné au monde de la CAO professionnelle, ce langage peut être parfois plus performant que Direct3D, sur certaines cartes et dans certains logiciels. Son usage et son support dans les jeux reste bien moins fréquent que celui de Direct3D. 3) Glide : cette API lancée en 1995 par 3dfx en même temps que ses cartes d'accélération n'est presque plus supportée par les logiciels car il s'agit d'un langage propre à 3dfx. Un certain nombre d'anciens jeux (âgés de quelques années pour la plupart) ne supportent que ce langage mais ce n'est plus le cas des jeux récents. Point particulièrement important : la bonne reconnaissance de ces API dépend de la qualité des pilotes de ces cartes graphiques (c'est à dire l'élément logiciel permettant à Windows de les contrôler.) Aucune carte récente ne propose de pilote parfaitement au point. Tous les constructeurs les améliorent régulièrement : il faut donc régulièrement consulter les sites Internet des constructeurs pour télécharger les mises à jour de ces pilotes. C'est le prix à payer dans ce domaine pour bénéficier des dernières technologies. Le FSAA (Full Scene Anti Aliasing) est pour simplifier une technique de rendu qui consiste à calculer une image en haute résolution pour l'afficher ensuite en plus basse résolution, technique qui est supportée par les processeurs graphiques les plus récents (Nvidia GeForce 2 GTS, ATI Radeon, 3dfx Voodoo 5, Kyro2, etc...). L'avantage est par exemple d'obtenir presque la qualité d'une image composée de 1600x1200 points sur un écran qui ne peut en afficher que 800x600. Il s'agit d'une technique qui améliore donc la qualité d'image des jeux en supprimant les effets d’escalier ou "aliasing", mais qui fait fortement baisser les performances de la carte graphique. Ce système est plus utile pour les jeux ou le défilement des images est relativement lent comme par exemple les simulations de courses automobiles ou de vol. Dans les jeux d'action, où la vitesse est primordiale, le FSAA est moins intéressant car il s'avère peu visible et trop pénalisant. Son autre intérêt est d'être applicable dans tous les jeux actuels et passés avec les API Direct3D et OpenGL : la qualité visuelle des jeux anciens s'améliore alors considérablement. Le FSAA existe en mode 2X et en mode 4X, ce dernier mode présentant une meilleure qualité. La sortie TV Elle permet donc d'afficher les images en provenance de votre ordinateur sur votre téléviseur. Attention, même si votre écran de télévision est nettement plus grand que votre écran d'ordinateur, la taille élémentaire du pixel est plus grande que celle d'un écran d'ordinateur donc la précision des images sera moindre, tout particulièrement dans les résolutions élevées. De plus une télévision n'est pas conçue, contrairement à un écran d'ordinateur, pour être regardé de près. Reste que cette option est utile pour ceux qui veulent afficher des films DVD sur leur télévision par exemple. Cette option de sortie TV existe sur bon nombres de cartes actuelles ceci parfois de série (comme certaines cartes ATI), parfois moyennant un surcoût par rapport aux modèles qui en sont dépourvus. Toutes les sorties TV n'offrent pas la même qualité et signalons que celles des ATI sont parmi les meilleures il semble bien. Seules les GeForce3 équipées d'un chip de type CX25871 (Hercules et Leadtek notamment) sont encore meilleures au niveau de l'affichage sur un téléviseur. L'image restituée est de très bonne qualité et atteint de plus la résolution de 1024x768. Le double affichage Disponible depuis longtemps dans la gamme des cartes du constructeur Matrox, cette option apparaît sur certaines cartes avec un chip graphique Nvidia Geforce MX ou encore sur des cartes de marques ATI (Radeon VE). Ce type de double affichage vous permettra par exemple de travailler sur les deux écrans avec une résolution de 2048x768 au lieu de 1024x768 ou encore d'afficher d'autres applications ou fenêtres d'applications sur le second écran. Ce type d'option peut se révéler très utile pour augmenter la productivité dans bien des cas et sous bien des applications ! Evidemment il y a un surcoût, mais le plus important est certainement l'acquisition du second écran. La sortie DVI Les écrans LCD sont numériques et disposent en général d'une prise numérique DVI en sus de même classique prise d'écran analogique qui équipe les écrans à tubes cathodiques habituels. Sachant qu'une carte graphique travaille en interne en numérique, l'intérêt d'une prise DVI couplée à un écran LCD est donc de pouvoir transmettre les informations d'affichage directement en numérique. En effet, sans sortie DVI et avec un écran LCD, l'information numérique interne à la carte graphique est transformée en analogique, avant d'être de nouveau retransformée en numérique à la réception afin d'être exploitable par l'écran LCD. Cette double transformation (numérique --> analogique --> numérique) entraîne toujours, dans le meilleur cas, de légères pertes qu'il est donc ainsi possible d'éviter. Comparaison de quelques cartes graphiques du marché (2001) La comparaison correspond à un usage avec un affichage en 1024x768 (résolution qui est exploitable sur les écrans de taille 17'' qui tendent à se généraliser) et en 32 bits c'est à dire sans sacrifier la qualité visuelle. Graphe 1 : Indice de performances globales relatif (le plus grand score = le plus performant) en mode 32 bits et en résolution 1024x768 avec un processeur à 1000 Mhz et 128 Mo de mémoire Dans les jeux actuels, même parmi les plus exigeants, un score au-delà de 4000 représentera en général une excellente jouabilité et fluidité et correspondra souvent à un affichage d’environ 60 images / secondes en moyenne, bien que ceci soit aussi fonction des diverses options de qualité visuelle des logiciels (en mode 1024x768 et 32 bits). On peut donc voir que les cartes récentes répondent à ce critère exigeant, ceci en mode 32 bits et en résolution 1024x768. Passons maintenant au second graphe qui permet de visualiser le rapport qualité/prix de ces différentes cartes en donnant un indice basé sur le ratio des performances divisées par le prix : Spécifications 5 GPUs et 1 core intégré se partagent aujourd’hui l’entrée de gamme sur le PCI Express : les RV370, RV380 et RV410 chez ATI, les NV44 et NV43 chez Nvidia et les GMA 9x0 chez Intel. RV410 : Radeon X700 Milieu de gamme actuel du fabricant canadien, il supporte, comme les X800, les Shader 2.0b et intègre 6 pipelines de vertex shader et 8 pixel pipelines complètes (shader + ROP). Fabriqué en 110 nm il représente 120 millions de transistors sur une surface de 150 mm². RV380 : Radeon X600 Ancien milieu de gamme il s’agit simplement d’une version PCI Express du RV350/360 (Radeon 9600 Pro/XT) qui supporte donc les Shader 2.0 et intègre 2 pipelines de vertex shader et 4 pixels pipelines complètes. Il est fabriqué en 130 nm low-k et ses 75 millions de transistors occupent 98mm². RV370 : Radeon X300 Strictement identique au RV380 il fait appel à la gravure 110 nm ce qui le rend moins cher à produire puisqu’il n’occupe que 83mm². En contrepartie il monte moins facilement en fréquence. NV43 : GeForce 6600, 6200 Ce GPU est utilisé par Nvidia sur une large plage de produits, de l’entrée de gamme au milieu de gamme. Il supporte les Shader 3.0 et le HDR et intègre 3 pipelines de vertex shader, 8 pipelines de pixel shader et 4 ROPs. Le nombre de ROPs plus réduit n’est en général pas limitatif puisque en pratique la bande passante mémoire empêche tous les ROPs (qui pour rappel s’occupent principalement d’écrire les données en mémoire) de faire leur travail en même temps. Il est fabriqué en 110 nm et ses 146 millions de transistors occupent 160 mm². On notera que seuls les 6600 & 6600 GT disposent d’un NV43 « full options ». En effet, le 6600 LE n’est doté que de 4 pixels shader pipelines fonctionnels. Il en va de même sur le GeForce 6200, mais dans ce dernier cas la compression de données (Z et couleurs) ainsi que le HDR ne sont en sus pas supportés. NV44 : GeForce 6200 TurboCache Dernier GPU d’entrée de gamme de Nvidia, le NV44 supporte les Shader 3.0 mais pas le HDR. Il s’est également vu retirer les systèmes de compression de données (Z et couleur) qui améliorent sensiblement les performances des autres GPU une fois le FSAA activé. Il dispose de 3 pipelines de vertex shader, de 4 pipelines de pixel shader et de 2 ROPs. Notez que ses 4 pipelines de pixel shader ne forment pas un bloc de 4 mais 2 blocs de deux. Nvidia a donc la possibilité d’en désactiver 2 sur certains produits. Il occupe une surface de 105mm². GMA 900/950 : Intel i915G/i945G Ce core intégré d’Intel supporte DirectX9 et donc les Shader 2.0. Il intègre 4 pixels shader pipelines et 4 ROPs, mais pas de vertex shader pipeline. Autrement dit, tout ce qui est calcul géométrique (que ce soit T&L ou vertex shader) doit être traité par le CPU. Il ne supporte pas le FSAA. Difficile de savoir combien de transistors ce core requiert exactement, probablement une trentaine de millions. Notez pour le petit détail que le GMA 9x0 dispose de 2 unités MADs par pipeline… comme le G70 ou GeForce 7800. La comparaison s’arrête bien entendu là ! Les pipelines du GMA 9x0 sont relativement courts et ne permettent pas de directement masquer efficacement la latence de l’accès aux textures. Ces accès sont donc décalés pour masquer leur latence, ce qui est très efficace excepté lors d’accès complexes aux textures (qui deviennent de plus en plus courants) puisqu’à ce moment les performances s’effondrent. Le GMA 900, intégré dans l’i915G, est cadencé à 333 MHz, contre 400 MHz pour le GMA 950 de l’i945G. Les cores intégrés Intel ne disposent pas de bande passante mémoire locale et se partagent donc la totalité de la bande passante de la mémoire centrale avec le reste du système. MSI NX7900GS Zotac GeForce 9600 GT AMP! (512 Mo) PCI Express; Mémoire graphique: 512MB; Fréquence du processeur: 660MHz; Version DirectX: 9,0; Version Pixel Shader: 3,0 PCI Express; Mémoire graphique: 512MB; Fréquence du processeur: 725MHz; Version DirectX: 10; Version Pixel Shader: 4,1 50 € (2008) 140,93 € BFG Tech GeForce 7950 GT OC (256 Mo) PCI Express 138,90€ TTC MSI NX8800 GTS PCI Express; Mémoire graphique: 640MB; Version DirectX: 10; Version Pixel Shader: 4,0 239 € Nvidia GeForce 8800 Ultra PCI Express; Mémoire graphique: 768MB; Fréquence du processeur: 612MHz; Version DirectX: 10; Version Pixel Shader: 4,0 290 € AMD Radeon HD 3870 X2 PCI Express; Mémoire graphique: 1024MB; Fréquence du processeur: 825MHz; Version DirectX: 10,1; Version Pixel Shader: 4,2 PCI Express; Mémoire graphique: 320MB; Fréquence du processeur: 500MHz; Version DirectX: 10; Version Pixel Shader: 4,0 299 € PNY GeForce 8800 GTS 205,54 € Les disques durs externes / Retour au menu DaneElec So Smart 500Go www.dan e-elec.fr eSATA Une nouvelle génération de disques durs externes, plus rapides, devrait se démocratiser en 2007 : les périphériques de stockage utilisant l'interface "eSATA" (external Serial ATA). Comme son nom l'indique, l'eSATA est une déclinaison de l'interface Serial ATA, utilisée dans bon nombre de PC actuels pour relier les disques durs internes à la carte mère. L'eSATA a d'ailleurs l'avantage d'offrir des performances similaires pour un disque dur externe à celles obtenues avec un disque interne. A titre de comparaison, les disques durs utilisant l'interface USB 2.0, actuellement les plus répandus sur le marché, offrent un débit pratique d'environ 33 mégaoctets par seconde (Mo/s). La technologie FireWire, moins répandue, offre des performances de 36 à 80 Mo/s. Le boîtier / Retour au menu Bien choisir un boîtier. Le format AT : Apparu avec les premiers 286, le format AT est le premier format standardisé (au niveau des dimensions et connectiques) à avoir été adopté (avant le format AT, les constructeurs construisaient leurs boîtiers avec des formats propriétaires). Il a permis aux assembleurs de se développer étant donné la nouvelle standardisation des composants. La faible place disponible pour les composants internes a expliqué en partie son abandon. Le format ATX : Successeur du format AT, le format ATX (apparu en 1997) permet une meilleure ventilation des périphériques internes et apporte aussi un gain de place. C'est le standard actuel qui n'a pas beaucoup évolué durant toutes ses années d'existence, hormis le passage à l'ATX 2 qui a apporté de menues évolutions : Le format ATX 2.0 : Simple évolution au niveau de l'alimentation, le format ATX 2.0 ne se distingue de l'ATX que par une alimentation disposant d'une prise carrée délivrant du +12 Volts : Le format BTX : Inventé par Intel, le format BTX permet d'améliorer encore la circulation de l'air dans le boîtier. Il est aussi destiné à rendre les PC plus compacts car selon Intel, il serait possible de faire tenir deux boîtiers au format BTX dans l'espace occupé par un boîtier au format ATX. Ce format n'est pas destiné à remplacer l'ATX à court terme, car il n'est présent que sur certaines cartes-mères haut de gamme. Desktop ATX Actuellement La taille du boîtier conditionne le nombre d'emplacements pour les lecteurs en façade, ainsi que le nombre d'emplacements pour des disques durs en interne. On distingue généralement les catégories suivantes : Grand tour : il s'agit de boîtiers de grande taille (60 à 70 cm de hauteur), possédant 4 à 6 emplacements 5"1/4 et 2 ou 3 emplacements 3"1/2 en façade, ainsi que deux ou trois emplacements 3"1/2 en interne. Moyen tour : il s'agit de boîtiers de taille moyenne (40 à 50 cm de hauteur), possédant 3 à 4 emplacements 5"1/4 en façade et deux emplacements 3"1/2. Mini tour : il s'agit de boîtiers de petite dimension (35 à 40 cm de hauteur), possédant généralement 3 emplacements 5"1/4 et deux emplacements 3"1/2 en façade, ainsi que deux emplacements 3"1/2 en interne. Barebone (littéralement « os nu ») ou mini-PC : il s'agit du plus petit format de boîtier (10 à 20 cm de hauteur). La plupart du temps les barebone sont des ordinateurs pré assemblés embarquant une carte mère ayant un facteur de forme réduit (SFF, pour Small Form Factor). Ils possèdent généralement un ou deux emplacements 5"1/4 et un emplacement 3"1/2 en façade, ainsi qu'un emplacement 3"1/2 en interne. Le format Mini-ITX : Il s'agit de plateformes à faible consommation d'énergie, de faibles dimensions (17cm*17cm pour une carte-mère au format mini ITX). Ces plateformes peuvent être des mini PC ou encore des PC plats ne comportant pas de lecteur CD par exemple. Les emplacements (ou baies): Un boîtier possède plusieurs emplacements pour pouvoir y stocker les périphériques. Ce nombre varie en fonction de chaque boîtier. Les emplacements 3,5 pouces sont destinés aux disques durs et lecteurs de disquettes. Ceux-ci peuvent être internes ou externes. Quand ils sont internes, ils se trouvent à l'intérieur du boîtier et ne sont démontables qu'en ouvrant celuici. Les emplacements 5,25 pouces accueillent les graveurs de CD ou bien les lecteurs de CDROM, de DVD, etc. Ce sont eux qui, en général, déterminent les dimensions d'un boîtier. En effet, avec un emplacement 5,25 pouces, le boîtier est considéré comme Mini-Tour, avec 3 comme un Moyen-Tour, et avec 5 comme un Grand Tour. Il existe aujourd'hui les Mini-PC (aussi appelés Barebones) qui sont les plus petits boîtiers jamais conçus, ils disposent la plupart du temps de deux emplacements 5 pouces 1/4 et de deux emplacements 3 pouces 1/2 (l'un étant interne, l'autre externe). Le refroidissement : Aujourd'hui, un bon ventilateur sur son processeur ne suffit plus. Il faut évacuer la chaleur produite par le processeur et la carte graphique, de plus en plus puissants et devant dissiper de plus en plus de chaleur. Le ventilateur de l'alimentation ne suffit donc pas à faire circuler un courant d'air suffisamment frais pour assurer un fonctionnement optimal des composants du PC. De plus, si on dispose de 2 disques durs ou plus dans sa machine, il faut absolument penser à les ventiler. Un ventilateur est alors obligatoire si on ne veut pas tout simplement faire griller son processeur ou ses composants ! Sur quelques boîtiers, il existe même des ventilateurs qui se trouvent devant les disques durs, il n'y alors plus aucun risque de surchauffe concernant ceux-ci ! Une fois que l'air frais est entré par l'avant, il faut l'évacuer. Il est préférable de créer une dépression dans le boîtier, autrement dit, mettre un ventilateur de plus en extraction. Cependant, il ne faut pas ajouter trop de ventilateurs, le niveau sonore deviendrait alors trop envahissant pour être supportable. Il faut placer les ventilateurs de telle sorte que les ventilateurs situés en haut extraient l'air chaud du boîtier vers l'extérieur, tandis que les ventilateurs situés en bas alimentent le boîtier en air frais. Vous pourrez si vous souhaitez refroidir plus efficacement vos composants opter pour d'autres solutions de refroidissement, comme le Watercooling par exemple. Watercooling Le refroidissement à eau est une méthode de refroidissement pour ordinateur, qui à l'inverse du refroidissement à air préfère l'eau comme élément caloporteur, plus efficace que l'air. Le principe est simple et s'inspire de procédés déjà utilisés dans les mondes industriel et automobile. La chaleur produite par un élément (usuellement les processeurs) est transférée dans l'eau à travers un échangeur (waterblock). Le liquide sera ensuite lui-même refroidi dans un dissipateur transmettant la chaleur à l'air. Les utilisateurs du refroidissement à eau cherchent par un refroidissement plus efficace à pouvoir tirer le meilleur de leur matériel grâce au surcadençage (overclocking). Sans pour autant sacrifier le silence, le radiateur qu'intègre un refroidissement à eau est libéré des contraintes de montage que possède un ventirad. Le refroidissement à eau désigne l'ensemble du circuit fermé de refroidissement. On retrouve toujours une pompe, un dissipateur thermique, un ou des waterblocks, un réservoir ou air-trap, des tuyaux et des raccords Cryo-Z à base d'un compresseur OCZ présentait son système de refroidissement Cryo-Z à base d'un compresseur. Il s'agit d'un système similaire à ce que Asetek propose avec son Vapochill. Ici le système est entièrement externe et le dissipateur est compatible avec tous les sockets, AM2 compris. A l'avant, un écran LCD affiche diverses températures tandis qu'un système d'alarme éteignant le PC est prévu en cas de dysfonctionnement. OCZ n'a pas voulu nous dévoiler les détails techniques de ce système ni ses performances estimées mais nous a indiqué que la marque souhaite le rendre abordable à un maximum de personnes signifiant donc que le prix ne devrait pas être excessif. Cependant, ne vous attendez pas à un prix inférieur à 250-300 euros. Lors du test, le cooling utilisé a ainsi permis de dépasser les 3,5GHz avec un AMD X2 5000+ (2,8 GHZ) Attention Lors de l'achat de votre boîtier, renseignez-vous sur l'alimentation qu'il contient. Optez pour, au minimum, une alimentation de 250W, sinon vous risqueriez de ne pas voir démarrer votre PC (une alimentation trop faible ne peut fournir du courant à tous les composants, donc arrêt de la machine.) Choisissez également de préférence un boîtier qui puisse s'ouvrir facilement. C'est très important si vous voulez changer des composants (vous n'aurez plus à perdre les vis !). Tunning des boitiers PC Liste des principaux fournisseurs de boitier PC Boitiers A+ Boitiers Advance Boitiers Aerocool Boitiers Akasa Boitiers Antec Boitiers Apevia ex Aspire Boitiers Asus Boitiers Coolermaster Boitiers Boitiers Lian-Li Boitiers Sharkoon Boitiers Zalman NZXT Boitiers Sunbeam Boitiers Enermax Boitiers Raidmax Boitiers Thermaltake Changement des barrettes mémoires / Retour au menu Repérez le premier emplacement mémoire grâce aux indications inscrites sur la carte mère ou sur le manuel de la carte mère (généralement, il est nommé DIMM1). Ecartez les fixations pivotantes blanches, comme ci-dessous. Il y en a une de part et d'autre de l'emplacement mémoire de la carte mère. Enfichez la barrette de mémoire, sans trop forcer, en respectant les encoches pour ne pas l'inverser. Insérez-la, jusqu'à enclipsage des fixations blanches dans les encoches de la barrette mémoire. Utilisation du logiciel Sandra Montage d’une carte AGP / Retour au menu Retirez le cache métallique du boîtier face au connecteur AGP si besoin est, et insérez la carte dans le connecteur AGP (marron) en procédant comme ci-dessous. Pour installer une carte AGP, PCI Express ou PCI, il n'y a heureusement pas trente six sens différents. Le connecteur de la carte graphique va sur le port graphique de la carte mère dans un seul et unique sens ! Pas moyen de se tromper. Sur l'exemple ci-contre, remarquez sur la partie métallique à gauche le bord coudé, c'est là que nous allons fixer la carte graphique au boîtier. L'autre côté va se loger dans l'interstice entre la carte mère et la paroi arrière du boîtier. Appuyez fermement dessus sans forcer. Un petit "clac" devrait se faire entendre quand la carte est bien placée. Il s'agit du petit levier blanc du port AGP qui se ferme automatiquement dans la carte. Si vous sentez la moindre résistance, ne forcez pas, vous risqueriez d'endommager votre carte mère et votre carte graphique. Vissez pour maintenir la carte. Ne pas oublier de désactiver le chipset graphique de la carte mère si l’on rajoute une carte graphique Montage de la carte mère Présentation d'un boîtier:Afin de travailler dans de bonnes conditions de confort, il est conseillé de disposer le boîtier à plat sur votre plan de travail afin d'avoir un bon appui sur les différentes parties à assembler. Installez les supports de montage (entretoises) qui maintiendront la carte mère au boîtier. Ces derniers sont soit des clips en plastique soit des supports en métal fournis avec le boîtier. Insérez la carte mère dans le boîtier en prenant soin que les ports PCI/AGP, et les entrées/sorties de la carte mère soient bien alignés avec les trous à l'arrière du boîtier. Fixez (clips ou vis comme ci-dessous) la carte mère sur le support du boîtier. Branchez le connecteur ATX de l'alimentation électrique provenant du boîtier, sur la carte mère, en respectant le sens. Un dé trompeur vous indique le bon sens. Branchez les connecteurs du boîtier aux broches de la carte mère (reset, power, HP, HDD led, etc…).Pour cela, les indications nécessaires aux branchements sont présentes sur le manuel de la carte mère. Attention, il y a un sens pour brancher ces connecteurs !!! Généralement un connecteur pour LED est pourvu d'un fil blanc ou noir qui désigne le (-) et l'autre fil de couleur, le (+). Par exemple ici, le connecteur (+) de la diode et le fil vert. Les connecteurs sont quelquefois nombreux, mais leurs fonctions sont toujours indiquées aux extrémités. Les connecteurs se branchent tous côte à côte sur la carte mère. Montage d'un lecteur de disquette / Retour au menu Avant de commencer Eteignez le bloc d'alimentation électrique et enlevez le cordon pour plus de sécurité. Travailler sur une table de travail dégagée et propre. Munissez-vous de vis et d'un tournevis cruciforme. Etape 1 : Dégager le logement du lecteur de disquette Comme vous pouvez le remarquer sur la photographie ci-contre, il y a un emplacement de lecteur de disquette (avec le petit bouton bleu et l'ouverture pour faire passer une disquette 3½ pouces). Cependant, le lecteur n'est pas installé dans la machine. Nous allons partir du principe que nous allons l'installer non pas à cet emplacement, mais sur l'emplacement qui se trouve juste au-dessus. Pour installer un lecteur de disquette dans un emplacement spécifique, référez-vous à l'Etape 5 de ce présent tutoriel. A l'aide d'un crayon de papier ou d'un stylo en plastique (n'utilisez jamais un outil métallique), poussez de l'intérieur le cache de l'emplacement. Vous pouvez aussi utiliser vos doigts, s'ils sont suffisamment longs (et propres !!!) ! Dégagez le cache de l'emplacement, de manière à pouvoir faire passer le lecteur de disquette par la façade ! Etape 2 : Installation du lecteur de disquette Enfoncez doucement le lecteur, sans forcer. Ajustez bien le lecteur à ras de la façade pour que celui-ci ne soit pas trop enfoncé, ni ne ressort de la façade. Sinon! Etape 3 : Vissage Vissez le lecteur aux éléments prévus à cet effet de la tour. Vous pouvez mettre les 4 vis, ou une seule de chaque côté. C'est largement suffisant, car le lecteur ne tourne pas très rapidement et ne peut pas causer de problème de vibrations. Etape 4 : Connecter le lecteur à la carte mère La connexion d'un lecteur de disquette est légèrement différente des autres périphériques internes. Le câble est plus petit (et par conséquent plus facilement repérable ... surtout qu'en général, il n'y a qu'un seul câble de ce type sur un bloc d'alimentation électrique) et il se monte à l'envers ! En effet, même s'il est aussi composé de 4 fils, le fil jaune se place à l'intérieur du boîtier. Contrairement aux autres câbles électriques, il n'y a pas de coin biseauté. Mais des rails vous permettent d'ajuster au mieux de les placer à l'arrière du lecteur de disquette. Saisissez le connecteur de la nappe pour lecteur de disquette (34 broches) le plus éloigné des 2 autres et connectez la nappe sur la carte mère (comme cidessous). Pour le sens de connexion, un "1" inscrit sur la carte mère permet de repérer, où le fil rouge (ou strié) de la nappe doit être connecté. De plus un dé trompeur central permet d'éviter toute erreur. Insérez le connecteur de la nappe dans celui du lecteur de disquette. Un dé trompeur au centre du connecteur permet d'éviter toute erreur de branchement. Etape 5 : Installer le lecteur de disquette dans un logement prévu pour cela Pour cela, il vous faut entrer le lecteur de disquette par l'intérieur de la tour, ce qui nécessite un peu de doigté, surtout si vous avez déjà installé des cartes ou la carte mère. Débranchez tous les câbles qui pourraient gêner cette manipulation. Enfoncez doucement le lecteur jusqu'à ce que le lecteur touche le bouton d'extraction de la façade. Pour la suite, il vous suffit de vous référez aux étapes 2, 3 et 4. Installation / changement du lecteur de CD-ROM / Retour au menu L'installation ou le changement, d'un lecteur de CD-ROM est une opération très simple à faire. Toutefois je tenterai ici de traiter le sujet le plus exhaustivement possible. D'autre part sachez que pour un lecteur de DVD-ROM les manipulations sont les mêmes. Tout au plus devez vous installer un logiciel supplémentaire ou une carte dédiée dans la décompression MPEG si vous voulez aussi visualiser des films sur DVD (dans ce cas consultez la section "Installation d'un kit DVD-ROM"). Choix entre l'IDE et le SCSI. Sachez en premier qu'il existe quatre technologies de lecteurs de CD-ROM : par interface propriétaire (Créative / Panasonic / SONY / Mitsumi de première génération), sur port parallèle, en IDE ou en SCSI. Ici je ne parlerai ni des lecteurs sur interfaces propriétaires (elles sont anciennes et ne concernent que les lecteurs 1X ou 2X) ni des lecteurs sur port parallèle (ça concerne plutôt les portables, c'est très cher et les performances sont médiocres). Pour apprendre les avantages et inconvénients de l'IDE et du SCSI, je vous conseille de consulter, à la section changement de disque dur, le chapitre dédié à la comparaison IDE/SCSI. Plus particulièrement, il faut savoir que si vous voulez ajouter un lecteur SCSI à une machine utilisant un disque IDE le prix sera beaucoup plus élevé car vous serez obligé d'acquérir, en sus, un adaptateur SCSI et car les lecteurs SCSI sont souvent plus chers. Je ne conseille donc pas cette solution. L'installation d'un CD-ROM SCSI, plutôt qu'IDE, ne se justifie donc que dans de rares cas : Vous travaillez sur une machine totalement SCSI. Vous utilisez énormément le lecteur de CD-ROM et avez besoin, en même temps, d'un maximum de ressources du microprocesseur alors que l'IDE en consomme trop pour vous. Dans les autres cas je vous conseille d'acquérir plutôt un lecteur IDE qui coûte, la plupart du temps, moins cher. Cas du changement du lecteur de CD-ROM. Si vous changez de lecteur de CD-ROM pour un modèle plus performant, je vous conseille, pour des raisons de facilité d'installation, de rester avec la même technologie de votre ancien lecteur (IDE ou SCSI). Par contre si vous avez un très vieux lecteur qui utilise une technologie propriétaire Créative (Panasonic) / SONY / Mitsumi de première génération il vaut mieux acquérir un lecteur ATAPI (IDE). Faites attention car il est possible, si votre machine est trop ancienne, que votre contrôleur IDE ne gère pas les lecteurs ATAPI. Dans ce cas vous devrez acheter une carte contrôleur gérant l'ATAPI. Surtout achetez une carte avec deux contrôleurs EIDE intégrés ce qui vous permettra de supporter jusqu'à 3 disques durs en plus du lecteur. Toutefois sachez que vous ne pourrez utiliser l'ancien contrôleur IDE et le nouveau en même temps. Vous serez donc obligé de : Désactiver l'ancien contrôleur IDE grâce à un jumper (cavalier) sur la carte mère ou sur la carte adaptatrice multifonctions (qui se trouve en générale dans un connecteur de bus ISA ou VLB). Suivant votre cas, consultez les documentations de la machine, de la carte mère ou de la carte multifonctions. Transférer le câble IDE de l'ancien contrôleur sur le nouveau. Pensez à respecter le sens de branchement du câble en nappe sur le connecteur du contrôleur (le fils de couleur différente du câble coïncidant avec la broche 1 du connecteur). Installer le lecteur de CD-ROM sur le deuxième contrôleur. Si vous remplacez un lecteur IDE ou SCSI par un autre lecteur de même technologie, il vous suffira de reprendre les même réglages : Pour de l'IDE : même réglage MASTER ou SLAVE. Pour du SCSI : même ID, même réglage de terminateur, parité activé et taille des secteurs de 2048 octets. Pour plus de détails, voir les chapitres respectivement dédiés aux deux technologies de CD-ROM. Installation des lecteurs de CDROM IDE ou SCSI. Suivant la technologie de lecteur de CDROM que vous installez, choisissez un des liens suivants : lecteur IDE ou SCSI. Que faire si ça ne marche pas ? Si vous avez installé un adaptateur SCSI et un lecteur de CD-ROM SCSI, vérifiez si l'adaptateur SCSI est reconnu, vérifiez si les ID sont différents pour chaque périphérique SCSI (adaptateur compris) et que les terminateurs sont bien activés en bout de chaîne (si vous n'avez qu'un adaptateur et un lecteur SCSI, le terminateur doit être activé sur tous les deux). Enfin voyez la section réservée à l'adaptateur SCSI dans laquelle je donne plus de détails. Si vous avez un lecteur de CDROM-IDE vérifiez bien que celui-ci soit en SLAVE si vous avez un disque dur branché à la même nappe IDE (celui-ci devra être en MASTER), voyez ma section dédiée aux disques durs IDE pour plus de détails. Par contre si le lecteur est le seul branché à votre câble en nappe il doit être en MASTER. Enfin vérifiez que tous vos pilotes sont bien paramétrés et que votre système d'exploitation est paramétré pour le support de CD-ROM (DOS/Windows 3.1x/Linux/OS/2). Le périphérique IDE à monter peut être un lecteur de CD/DVD un graveur ou tout simplement un autre disque dur. Suivez les instructions figurant sur le périphérique (ou sur sa notice) pour le configurer en Master "MA" ou en Slave "SL" selon si vous souhaitez le connecter sur la même nappe (Slave) que le disque dur ou sur une nappe différente (Master). Dans notre exemple un graveur sera connecté sur une autre nappe IDE que celle du disque dur pour des raisons de performance. Il sera donc configuré en Master de part la position du cavalier à l'arrière du graveur.. Connectez le connecteur en bout de nappe (celui le plus éloigné des 2 autres) sur la carte mère. Veillez à faire correspondre le "1" de la carte mère avec le fil rouge de la nappe sur le connecteur secondaire "Secondary IDE" ou "IDE 2". Retirez l'un des caches 5 pouces 1/4 en plastique du boîtier et faîtes glisser le périphérique IDE jusqu'à faire correspondre les trous du châssis avec le périphérique. Fixez le périphérique IDE au châssis avec quatre vis. Connectez l'autre connecteur en bout de nappe sur le périphérique en prenant soin de positionner le fil extérieur rouge de la nappe du côté de l'alimentation du périphérique. Un détrompeur vous permettra de ne pas faire d'erreur. Enfichez le disque dur dans un emplacement 3.5" en prenant soin de faire correspondre les trous de visseries avec les trous du châssis du boîtier. Il est préférable de laisser un espace entre le disque et le lecteur de disquette pour faciliter la ventilation. Veillez aussi à faire pointer la face du disque comportant les inscriptions de configuration vers le haut comme sur les photos ci-dessous. Branchez le connecteur d'alimentation provenant de l'alimentation du boîtier sur le périphérique en vous fiant à la forme trapézoïdale du connecteur. N'oubliez pas de connecter le cordon audio du lecteur CD-ROM (graveur, lecteur DVD) sur la carte mère (comme ci-dessous) ou sur votre carte son... et de brancher l'autre extrémité à votre périphérique (à gauche de la nappe IDE). FLASHER LE BIOS / Retour au menu Introduction : Qu'est ce que le BIOS et pourquoi le mettre a jour ? Le BIOS est une puce qui est soudée sur la carte mère. C'est en fait la partie logicielle de la carte mère. Elle permet de gérer tous vos périphériques, la date, la vitesse du processeur, les échanges avec la RAM, les IRQ… Enfin bon nombre de choses très importantes qui permet à votre ordinateur de fonctionner correctement. D'où parfois les problèmes rencontrés lors du remplacement du processeur ou d'autres composants qui sont mal supportés par votre BIOS actuel. Chaque constructeur de carte mère met en ligne régulièrement des mises a jour de BIOS pour chacun de leur modèle. Quelle est la marque et le modèle de ma carte mère ? La manière la plus simple de connaître ceci est d'ouvrir votre manuel de votre carte mère ou de votre PC. Les marques les plus courantes sont Asus, Abit, MSI ou Epox. Si vous n'avez pas de manuel, vous pouvez télécharger ce petit programme qui, dans la majorité des cas trouvera la marque et le modèle de votre carte mère. Si vous n'avez toujours rien, une dernière solution s'impose : ouvrir le PC et chercher les inscriptions notées sur la carte mère elle-même. Voici un petit exemple : Ici on peut voir que le modèle de la carte mère est "MS-6340" et la marque "Micro-Star". Ou trouver mon nouveau BIOS ? Régulièrement SOS Ordi propose dans sa rubrique pilotes les mises à jour des BIOS des cartes mères les plus courantes. Si la votre n'est pas listée, il faudra la chercher sur le site du constructeur de la carte mère. Le BIOS est sous la forme d'un petit fichier BIN. Avant de commencer... Une mauvaise manipulation lors du flashage peut rendre votre PC inutilisable et parfois il n'y a plus moyen de "réparer" l'erreur. Donc flasher votre BIOS uniquement si vous en avez besoin. Si votre PC marche parfaitement, il est inutile de le mettre à jour. Enfin soyez sûr de la version de votre carte mère avant de vous lancer. Télécharger le programme de flashage et créer une disquette de démarrage "DOS" Il existe principalement 2 marques de BIOS. Les bios AWARD (les plus courants) et enfin les BIOS Ami. D'ou 2 programmes de flashage pour chaque marque de BIOS. Pour identifier la marque, il suffit d'observer au démarrage de l'ordinateur les indications comme le montre cette photo : On peut donc voir ici (tout en haut a droite) que c'est un BIOS "Award". Voici les programmes : - Pour un BIOS Award, téléchargez ce programme : ICI - Pour un BIOS Ami, téléchargez ce programme : ICI Enfin, il faudra flasher votre BIOS a partir d'une disquette de démarrage "DOS pure". Ceci est obligatoire. Pour créer une telle disquette, Insérez une disquette dans le lecteur et lancez sous une fenêtre DOS ceci : format a: /s Si vous possédez Windows XP, 2000 ou Me, vous ne pouvez pas créer la disquette avec cette méthode. Téléchargez ce fichier et exécutez le afin de créer une disquette démarrage. Ceci fait, il faudra placer sur cette disquette le programme EXE et le BIOS que vous avez téléchargé. Flashage du BIOS Une fois que vous avez tout et que vous êtes sur de vouloir flasher votre bios, redémarrez votre PC avec la disquette créée. Une fois la disquette lancée, il suffit de taper ceci : - Pour un BIOS Award : awfl789.exe Cet écran apparaît alors : Il suffit tout simplement de rentrer le nom du fichier BIOS qui se trouve sur la disquette. Dans notre exemple : w6340vmx.160 Un écran suivant vous demandera de sauvegarder votre BIOS actuel. Rentrez alors un nom de fichier. Pendant l'opération de flashage, ne touchez surtout a rien quoi qu'il arrive. Une fois l'ordinateur redémarré, vous pouvez régler votre BIOS à votre convenance en appuyant sur la touche "Suppr" ou "Del" au démarrage du PC.Pour un BIOS Ami : vous trouverez ICI la procédure complète. Récupération d'un bios mal "flashé" Si après un flashage, votre écran vous affiche pleins de points qui clignotent un peu partout, c'est que l'opération a échoué. Cela peut être du à un mauvais bios, ou à un flashage effectué de manière incorrecte. Tout n'est pas encore perdu. - La première consiste à trouver un ami compréhensif ayant une puce bios identique (ou globalement). Ensuite, il faut démarrer votre PC avec cette puce en prenant soin d'activer la fonction "shadow". Une fois sous dos, remettez la puce défectueuse et reflasher là. Cette méthode marche pratiquement dans tous les cas. Attention le fait d'enlever l'EEPROM est une opération très délicate. - La deuxième ne fonctionne que sur les bios award. Il faut remplacer votre carte graphique PCI par une carte ISA. Avec la disquette bootable de mise à jour, faites précédemment, vous devriez pouvoir reflasher le bios. - La troisième fonctionne sur les cartes INTEL pourvu d'un cavalier "flash recovery". PC hors tension, positionnez le cavalier en mode recovery. Remettez le PC sous tension en y insérant la disquette de mise à jour. Le bios possède un bloc de boot non effaçable qui vous permettra de démarrer la machine. Mais le nombre d'instructions du bloc étant très réduit, l'affichage ne fonctionne pas. Il faut alors suivre le bon déroulement des opérations via le haut-parleur système et la diode lumineuse du lecteur de disquettes. L'émission d'un bip par le PC et l'allumage de diode lumineuse indique que le système copie le bios. Dés que la diode lumineuse s'éteint, le processus est terminé. Vous pouvez alors remettre le PC hors tension, replacer le cavalier "recovery" dans sa position initiale et redémarrer.(Merci PC EXPERT) - La dernière solution consiste à trouver quelqu'un possédant un flasheur d'EEPROM. Là, il vous suffit de lui amener la puce du bios et un bios en état pour procéder au flashage. LES MESSAGES D’ERREURS / Retour au menu Les Bips d'ordinateurs Parfois il peut arriver qu'au démarrage de votre PC, celui-ci se mette à faire un, voir plusieurs bips ou alors que vous ayez un message assez sibyllin qui apparaisse. Que faire ? Quel est le problème ? Nous vous faisons dans cette rubrique un récapitulatif des erreurs et bips qui peuvent intervenir pour que tout soit clair. Les bips. Ils sont différents selon les types de BIOS. Pour voir lequel correspond à votre carte mère, regardez sur sa notice ou ouvrez votre boîtier et repérez le BIOS (un petit rectangle noir d'1cm sur 2 à peu près), c'est marqué dessus. Nombre de bips 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 Pour les AMI BIOS Que faire ? Vous avez un problème de rafraîchissement de la mémoire. Essayez de mettre des barrettes de mémoire plus rapides ou vérifiez votre carte mère. Erreur de parité sur les 64 premiers KO de mémoire. Vérifiez vos barrettes de mémoire, tentez avec d'autres ou changez-les. Autre possibilité, désactivez le contrôle de parité dans le BIOS si vos mémoires sont sans parité. Enfin vérifiez avec une autre carte mère. Erreur de mémoire dans les premiers 64 premiers KO. Tentez les solutions proposées pour 2 bips. Erreur de mémoire dans les premiers 64 premiers KO ou erreur de timer. Tentez les solutions proposées pour 2 bips. Erreur de microprocesseur. Regardez si votre processeur est bien installé. Essayez aussi avec un autre CPU. Erreur clavier ou gate A20. Vérifiez le bon branchement du clavier, n'appuyez pas sur une touche, tentez de le changer ou changez de carte mère. Erreur de microprocesseur. La même chose que pour 5 bips. Pas de contrôleur vidéo ou RAM défectueuse. Vérifiez si la carte vidéo est bien insérée sans son connecteur et sinon tentez avec une autre carte vidéo. Erreur de la ROM du BIOS. Changez de carte mère ou tentez de flasher le BIOS si c'est possible. Erreur de CMOS. Essayez de rentrer dans le paramétrage du BIOS, sauvez les paramètres puis redémarrez. Si ça continue tentez de changer la pile de la carte mère. Enfin, si ça ne marche toujours pas, changez de carte mère. Erreur de cache externe. Si le cache est sous forme de barrette changez le sinon changez la carte mère. Toutefois si vous avez changé des paramètres du BIOS vérifiez ceux concernant la vitesse de la RAM et du cache. Pour les BIOS Phoenix Séquence de bips (un peu comme avec du morse) Que faire ? 1-1-3 Erreur de CMOS. Essayez de rentrer dans le paramétrage du BIOS, sauvez les paramètres puis redémarrez. Si ça continue tentez de changer la pile de la carte mère. Si rien n'y fait, changez de carte mère. 1-1-4 Erreur de la ROM du BIOS. Changez de carte mère ou tentez de flasher le BIOS si c'est possible. 1-3-1 Problème de rafraîchissement de la mémoire. Essayez avec des barrettes de mémoire plus rapides ou vérifiez votre carte mère. 1-4-2 1-3-3 ou 1-3-4 3-2-4 3-1-1 ou 3-1-2 Erreur de parité sur les 64 premiers KO de mémoire. Vérifiez vos barrettes de mémoire, tentez avec d'autres ou faites vous les changer. Désactivez le contrôle de parité dans le BIOS si vos mémoires sont sans parité. Enfin vérifiez avec une autre carte mère. Erreur de mémoire dans les premiers 64 premiers KO ou erreur de timer. Tentez les solutions proposées pour la séquence 1-4-2 bips. Erreur sur le contrôleur de clavier. Vérifiez le bon branchement du clavier, n'appuyez pas sur une touche, tentez de le changer ou changez de carte mère. Erreur de DMA. Essayez avec une autre carte mère. Nb de bips 1 bip court 2 bips courts 1 bip long / 1 bip court 1 bip long / 2 bips courts 1 bip long / 3 bips courts 1 bip long / 9 bips courts 3 bips 4 bips 5 bips 6 bips 8 bips Bips longs incessants Bips courts incessants Signification des bips pour les BIOS Award récents Signification Résolution du problème Le PC démarre normalement Réinitialiser le CMOS en enlevant la pile du BIOS et Problème CMOS en la remettant ou en déplaçant le cavalier JP4 Problème de carte-mère Enficher correctement les modules de mémoire vive, ou de mémoire vive tester sa RAM ou les changer Problème lié à la carte Vérifier que la carte graphique est bien enfichée. graphique Eventuellement, tester avec une autre carte vidéo Vérifier que le clavier est bien enfiché et qu'aucune Problème lié au clavier touche n'est enfoncée. Eventuellement, tester avec un autre clavier Le BIOS est invalide, flasher le BIOS avec une Problème du BIOS version plus récente Problème dans les 64 La mémoire vive contient des erreurs. Essayer de la premiers Ko de la RAM réinsérer correctement ou en changer La mémoire vive n'est pas rafraîchie correctement. Problème de Remettre des valeurs de rafraiîchissement correctes rafraîchissement dans le BIOS ou faire un reset du BIOS. Vérifier que le processeur est correctement branché, Problème de processeur que son ventilateur fonctionne. Eventuellement, en changer. Vérifier que le clavier est bien enfiché et qu'aucune Problème lié au clavier touche n'est enfoncée. Eventuellement, tester avec un autre clavier Problème lié à la carte Vérifier que la carte graphique est bien enfichée. graphique Eventuellement, tester avec une autre carte vidéo Problème de mémoire Enficher correctement les modules de mémoire vive, vive tester sa RAM ou les changer Vérifier que tous les câbles d'alimentation sont bien Problème d'alimentation reliés à la carte mère, tester avec une autre alimentation ou bien en changer Les messages d'erreurs. Le message d'erreur Keyboard dock line failure Keyboard controller failure Keyboard stuck key failure Que se passe t’il ? Un câble ou un connecteur est peut-être desserré ou le clavier est peut-être défectueux. . Un câble ou un connecteur est peut-être desserré ou le clavier est peut-être défectueux. . Un câble ou un connecteur est peut-être desserré ou le clavier est peut-être défectueux. . Bad Command or file name La commande entrée n'existe pas ou n'a pas le nom d'accès que vous avez spécifié. Diskette read failure Un câble est peut-être desserré, ou la disquette est défectueuse. Data error L'unité de disquette ou de disque dur ne peut pas lire les données. Diskette drive 0 seek failure Diskette drive 1 seek failure Drive not ready Non system disk or disk error Général failure Hard-disk drive read failure Invalid configuration information, Please run Setup program Memory Allocation error Decreasing available memory Gâte A20 failure Memory address line failure at adress, read value expecting value Memory data line failure at ad-dress, read value expecting value Memory odd/even logic failure at address, read value expecting Memory parity failure at address, read value expecting value Sector not found Memory size in CMOS invalid Un câble est peut-être desserré, ou l'information de configuration du système ne correspond peut-être pas à la configuration de l'équipement. Un câble est peut-être desserré, ou l'information de configuration du système ne correspond peut-être pas à la configuration de l'équipement. Pas de disquette dans l'unité. L'utilisation nécessite une disquette dans l'unité pour pouvoir continuer. Que faire ? Vérifiez le branchement du clavier Vérifiez le branchement du clavier Vérifiez le branchement du clavier Vérifiez que vous ayez correctement épelé la commande, mis des espaces aux endroits convenables et utilisé le nom d'accès correct. Vérifiez la mise en place des cables (sens de connexion, enfichage... ). Essayez avec une autre disquette pour confirmer le diagnostic. Si vous utilisez MS-DOS, exécutez l'utilitaire SCANDISK pour examiner la structure des fichiers de l'unité de disquette ou du disque dur. Vérifiez la mise en place des cables ( sens de connexion, enfichage,,, ) Vérifiez la mise en place des cables ( sens de connexion, enfichage etc... ) Mettez une disquette dans l'unité ou fermez-le le loquet. Remplacez la disquette par une disquette La disquette insérée dans le lecteur n'est pas bootable, ou le système ou réinstallez votre système disque dur ne possède pas de système d'expolitation.. d'exploitation. Ce message est habituellement suivi d'une information spécifique telle que PRINTER Le système d'exploitation est incapable d'exécuter la OUT 0F PAPER (plus de papier dans commande l'imprimante ). Répondez par l'action appropriée. Sauvegardez ce que vous pouvez et changez Le disque du est défectueux le disque dur. :-(( Les informations de configuration du système système ne correspondent pas à la la configuration de l'équipement. Accédez au setup du système et corrigez les informations de configuration. Le logiciel que vous tentiez d'utiliser est en conflit avec le Eteignez l'ordinateur, attendez 30 secondes et système d'exploitation, un autre programme d'application ou rallumez-le. Essayez d'utiliser le programme un utilitaire. . de nouveau. Une ou plusieurs barrettes SIMM peuvent être défectueuses Vérifiez les branchements de votre RAM et si ou incorrectement mises en place. le problème persiste, changez la. Une ou plusieurs barrettes mémoire sont peut-être Vérifiez l'insertion des barrettes de mémoire desserrées. RAM. Une ou plusieurs barrettes SIMM sont peut-être défectueuses ou incorrectement enfichées. . Vérifiez l'insertion des barettes mémoire Une ou plusieurs barrettes SIMM sont peut-être défectueuses ou mal enfichées. . Vérifiez l'insertion des barettes mémoire Une ou plusieurs barrettes SIMM sont peut-être défectueuses ou mal enfichées. . Vérifiez l'insertion des barettes mémoire Une ou plusieurs barrettes SIMM sont peut-être défectueuses ou mal enfichées. . Vérifiez l'insertion des barettes mémoire Un des secteurs de la disquette ou dus disque dur est défectueux. La quantité de mémoire enregistrée dans les informations du Bios sont incorrectes. . Executer Scandisk Allez dans le Bios et vérifiez la mémoire installée Vérifiez que votre disque dur est bien déclaré L'ordinateur ne peut pas trouver l'unité de disquette ou de dans le Bios, si le message persiste, disque système. . réinstallez votre système d'exploitation. No boot sector on. hard- L'ordinateur ne peut pas trouver de système d'exploitation sur Même chose que pour "No boot device disk drive le disque dur. . available" AJOUT D’UNE PRISE ESATA / Retour au menu Rappel eSATA. External Serial Advanced Technology Attachment, version pour équipements externes de l'interface S-ATA. Le débit maximal théorique des périphériques externes (disques durs, lecteurs et graveurs optiques) branchés sur une prise eSATA est de 150 Mo/s, contre 60 Mo/s pour l'USB 2.0. S-ATA. Serial Advanced Technology Attachment, interface pour périphériques de stockage internes (disques durs, lecteurs optiques), qui a remplacé l'interface IDE. Le récent S-ATA II offre un débit maximal théorique de 300 Mo/s, contre 150 Mo/s pour le S-ATA, tout en restant compatible avec son prédécesseur. Vous venez d'investir dans un disque dur externe dernier cri. Côté connecteurs, il est équipé, en plus du classique port USB 2.0, d'un connecteur eSATA. C'est lui qui doit vous permettre d'atteindre les débits décoiffants annoncés sur l'emballage. Les tests effectués ont montré que les débits d'un même disque externe étaient plus que doublés, lorsqu'il était branché en eSATA plutôt qu'en USB 2. Malheureusement, pas de trace de prise adéquate sur votre PC. Pas de panique ! Il suffit d'installer une équerre eSATA. Ce dispositif malin et bon marché (on en trouve à partir de 5 euros !) est constitué d'une équerre métallique qui se fixe à l'arrière du PC. Il est pourvu d'une prise eSATA et prolongé par un câble qui se connecte à l'un des ports S-ATA de votre carte mère. Une simple « rallonge », en quelque sorte, qui donne accès depuis l'extérieur à un connecteur pour périphériques internes. Sachez qu'il existe désormais des lecteurs et des graveurs externes eSATA de DVD et de Blu-ray, et des équerres pourvues de deux connecteurs. Cette opération vous prendra une vingtaine de minutes. Munissez-vous d'un tournevis cruciforme, de ruban adhésif et d'une boîte pour les vis et autres petites pièces. Avant de vous lancer, assurez-vous que votre carte mère est bien équipée pour le S-ATA. Pour cela, cherchez dans sa documentation ou, à défaut, ouvrez l'unité centrale et aidez-vous de la photo de l'étape 4. Vérifiez aussi qu'à l'arrière de votre PC vous disposez d'un emplacement libre pour installer l'équerre, ou que vous pouvez en libérer un en retirant une carte d'extension. Attention, ouvrir l'unité centrale peut annuler la garantie ! Renseignez-vous auprès de votre revendeur avant toute manipulation. Sur certaines cartes mères il est nécessaire de respecter un ordre de branchement des connecteurs S-ATA, qui sont alors repérés par des couleurs distinctes : bleu foncé pour le disque dur principal, blanc pour le deuxième disque et ainsi de suite. Si vous vous trompez, votre disque n'apparaîtra pas dans le Poste de travail, ou un message au démarrage de Windows vous informera d'une erreur. Pour éviter ces désagréments, reportez-vous au manuel accompagnant votre carte mère. 1 - Commencez par éteindre votre ordinateur, débranchez la prise secteur ainsi que tous les câbles des périphériques : écran, souris, clavier, etc. En cas de doute, notez l'emplacement de chaque câble pour les rebrancher ensuite sur les bonnes prises. 2 - Couchez votre unité centrale sur le flanc sur une table ou un bureau. Retirez le panneau du boîtier qui donne accès à la carte mère (selon les cas, il peut s'agir du panneau gauche ou droit). Pour cela vous devrez dévisser une ou deux vis à l'arrière, ou simplement déclipper le panneau avant de le faire coulisser vers l'arrière. 3 - Au besoin, à l'aide de votre tournevis cruciforme, ôtez un cache métallique ou retirez une carte d'extension afin de libérer une ouverture sur la façade arrière pour accueillir l'équerre. 4 - Mettez soigneusement de côté la vis. Pour ne pas l'égarer, vous pouvez fixer le cache démonté sur le « plancher » de votre PC à l'aide du ruban adhésif. 5 - Positionnez l'équerre dans l'emplacement libre en prenant soin d'insérer correctement son extrémité plate dans l'encoche prévue à cet effet. 6 - Maintenez l'équerre en place à l'aide de votre index et fixez-la avec la vis retirée à l'étape 2. 7 - Identifiez les connecteurs S-ATA sur votre carte mère. Ils peuvent être au nombre de trois, quatre ou parfois même six. L'un d'entre eux est déjà occupé par le câble du disque dur principal de votre PC. 8 - Branchez la prise du câble S-ATA de l'équerre sur l'un des connecteurs libres de la carte mère. Ne forcez surtout pas : la prise est en forme de L renversé et un détrompeur empêche de l'insérer à l'envers. 9 - Refermez le boîtier de votre unité centrale en fixant le panneau latéral. 10 - Remettez votre boîtier à sa place et rebranchez les câbles des périphériques, puis le câble d'alimentation secteur. 11 - Après avoir branché l'alimentation électrique, raccordez le câble eSATA du disque dur externe à la prise nouvellement installée. 12 - Allumez le disque dur, puis votre PC. 23 - Ouvrez le Poste de travail de Windows. Votre disque dur doit y figurer sous la dénomination (D:) ou (E:), suivant le nombre total de disques installés. Changement du ventilateur / Retour au menu Disposez verticalement le ventilateur en prenant garde de faire coïncider le décrochage de la base du ventilateur avec la partie visible en plastique du socket. De plus, veillez bien à ne pas endommager ou arracher l'un des 4 coussinets du processeur car ils permettent le maintien du ventilateur. La partie centrale du processeur (en silicium) est très fragile et peut s'ébrécher lors d'un mauvais montage. Enclipsez les attaches, de part et d'autre du ventilateur, au socket de la carte mère. Connectez l'alimentation du ventilateur sur les broches de la carte mère pourvues à cet effet (nommé CPU fan et généralement de couleur blanche). Rangez les câbles afin que ces derniers ne gênent pas la rotation du ventilateur. Montage d’une carte PCI / Retour au menu Retirez le cache métallique du boîtier face au connecteur PCI si besoin est, puis présentez la carte au connecteur. Insérez la carte dans le connecteur en faisant correspondre l'équerre de la carte avec le châssis du boîtier, sans forcer jusqu'à ce que l'équerre de la carte épouse le châssis du boîtier. Vissez pour maintenir la carte. Montage du disque dur / Retour au menu Avant toute manipulation, suivez les instructions figurant sur le disque dur pour le configurer en Master. Généralement, les constructeurs de disque le configure ainsi par défaut. Pour de plus amples explications sur la configuration maître/esclave de vos périphériques, consultez aussi notre mode d'emploi détaillé Installer et configurer un disque dur. Les schémas de droite représentent les différents modes (Master, slave, ...) Par exemple ce disque dur est configuré en maître (Master). Munissez-vous de la nappe IDE 80 broches. Les couleurs de nappes peuvent différer selon votre carte mère. Connectez le connecteur en bout de nappe sur la carte mère (celui le plus éloigné des 2 autres - le bleu sur la photo du dessus -) en faisant correspondre le fil rouge de la nappe avec le "1" figurant à côté du connecteur "primary IDE" de la carte mère. Connectez l'autre connecteur en bout de nappe sur le disque en prenant soin de positionner le fil extérieur rouge de la nappe du côté de l'alimentation du disque dur (toujours le fil rouge sur le "1"). Un détrompeur vous permet d'éviter toute erreur de sens. Branchez le connecteur d'alimentation provenant de l'alimentation du boîtier sur le disque dur en vous fiant à la forme trapézoïdale du connecteur. Enfichez le disque dur dans un emplacement 3.5" en prenant soin de faire correspondre les trous de visseries avec les trous du châssis du boîtier. Il est préférable de laisser un espace entre le disque et le lecteur de disquette pour faciliter la ventilation. Veillez aussi à faire pointer la face du disque comportant les inscriptions de configuration vers le haut comme sur les photos ci-dessous. Vissez les quatre vis du disque sur le châssis. Remarque : Vous pouvez pour des raisons pratiques (boîtier étriqué) procéder tout d'abord par la fixation du disque dur sur le boîtier puis raccorder les différents connecteurs. COMMENT BRANCHER OU AJOUTER UN DISQUE DUR IDE L'ajout ou le remplacement d'un disque dur IDE n'est pas très compliqué. Il suffit de disposer d'un disque dur et d'une nappe de connexion IDE. Attention il existe deux modèles de nappe IDE: Les nappes composées de 40 fils pour les disques durs en UltraDMA 33 ou mois rapide et les nappes composées de 80 fils pour les disques durs dont la vitesse est supérieure à l'Ultradma 33. (UltraDMA66 et ATA 100). Les nappes à 80 fils ont en fait 40 fils pour les infos et aussi 40 fils de masses intercalées entre chaque autre fil. Cela permet d'amoindrir les parasites générés par les hauts débits de l'Ultra dma 66 ou supérieur qui rendraient quasi-impossible les transferts de données sur une nappe standard. Tout d'abord, il faut ouvrir le PC. Pour cela première règle, débrancher l'alimentation. Ensuite, il faut repairer les connecteurs IDE sur la carte mère. Pour cela il suffit de regarder où est brancher le CD-rom ou le premier disque dur qui eux aussi sont brancher sur un connecteur IDE. Pour mieux les identifier voir figure ci-dessous: Il faut ensuite mettre le disque dur dans son emplacement dans le boîtier tour de l'ordinateur. En général c'est a coté du lecteur de disquette. Attention, il est fortement déconseillé de mettre deux disques durs l'un contre l'autre, car le dégagement de chaleur qu'il génère ne serait alors plus correctement évacué et cela peut à terme, détruire les 2 disques. Si ce cas se présente par manque de place, il est mieux de placer le lecteur de disquettes qui ne chauffe pas entre les deux disques. Une fois le disque dur en place, il faut brancher l'alimentation. Voir figure ci dessous.. Maintenant que le disque dur est branché, il faut raccorder la nappe IDE. Pour cela deux solutions: Soit on utilise une nappe déjà présente sur la machine qui aurait un connecteur de libre ( Il ne faut pas oublier que l'on peut très bien raccorder deux disques durs ou bien un lecteur de cd et un disque dur sur la même nappe.) Pour le branchement de la nappe voir schéma ci dessous Soit on ajoute une deuxième nappe sur le deuxième connecteur IDE ( Qui elle aussi saura gérer deux périphériques au maximum. Dans ce cas il ne faut pas oublier, pour savoir quel côté de la nappe se branche sur la carte mère que les deux connecteurs pouvant recevoir disque dur et cd sont très proche l'un d l'autre. C'est donc l'autre bout, qui se connectera à la carte mère. Pour le branchement de la nappe voir schéma ci dessous COMMENT BRANCHER OU AJOUTER UN DISQUE DUR IDE SUITE Il ne reste plus qu’a configurer le disque dur en maître (master) ou en esclave (slave). C'est cela qui permet à l'ordinateur de gérer deux disques sur le même connecteur. Voir les cavaliers figure cidessous. En effet le disque maître va imposer sont rythme au disque dur esclave. Cela permet de synchroniser un disque en fonction de l'autre. Cette opération se fait avec les petits cavaliers qui sont juste à côté du connecteur IDE sur le disque dur. Comme nous avons vu qu'il est possible de brancher le disque dur seul sur la nappe, il faut savoir que dans ce cas il faut généralement laisser les cavaliers sur le disque tel qu'ils sont à la sortie d'usine (Single) ou bien les enlever. La figure ci-dessous illustre très bien la configuration des cavaliers : En haut le cas du disque seul et en bas le cas deux disques durs. La nappe est correctement branchée, les cavaliers correctement réglés. Vous pouvez refermer le PC et le rebrancher. Il ne reste plus qu'à mettre une disquette de démarrage dans le pc, et le démarrer. A la fin du chargement lancer FDSIK. Ce logiciel permet de réaliser les partitions. Les partitions pour rappel permettent de décomposer un disque dur en deux pour par exemple séparé Windows et ses programmes du reste de son travail. - Dans FDISK répondre oui à : activer la prise en charge de disque de grande capacité - Choisir avec la dernière option du menu de FDISK le disque que l'on a mis en service (s’il y en a déjà un, ce serait dommage d'effacer le contenu) - puis choisir l'option n°1 : Création d'une partition dos principale. Définir sa taille. Si la taille de cette partition ne correspond pas à la totalité de la capacité du disque dur il faudra choisir en suite l'option 2 (création d'une partition étendue) pour utiliser la capacité maximum de notre disque dur. Une fois l'opération terminée il ne reste plus qu'à redémarrer le machine et effectuer le formatage de notre nouveau disque dur sous Windows pour le rendre utilisable. (Pour retourner sous Windows : ne pas oublier de retirer la disquette de démarrage... LES DISQUES DURS ET INTERFACES SCSI Le Scsi (Smal Computer System Interface) signifie système d'interface pour petits ordinateurs. Ce concept d'accès parallèle est devenu un standard ANSI en 1986. Il permet de connecter en chaîne jusqu'à 7 périphériques par connecteur (il y en a toujours 2) Soit un total de 14 sans le micro. Voir figure ci dessous. Dans l'ordinateur, une carte d'interface gère les sorties SCSI à l'aide de son microprocesseur. Elle peut d'ailleurs desservir aussi bien des périphériques internes qu'externes. LE SCSI (SUITE) Maintenant le SCSI a bien évolué est offre des débits très élevés... Le tableau récapitulatif ci-dessous représente bien les différentes vitesses de communication ainsi que l'évolution des connectiques SCSI. Norme Ultra-SCSI Ultra Wide SCSI Ultra-2 SCSI Ultra-2 Wide Ultra-3 SCSI Ultra-3 Wide (ultra 160) Ultra-4 Wide (Ultra 320) Connectique 50 brochs asymétrique ou différentielle (LVD OU HVD) 68 broches, asymétrique ou différentielle 50 broches différentielles (LVD) 68 broches différentielles (LVD) 50 broches différentielles (LVD) 68 broches différentielles (LVD) 68 broches différentielles (LVD) Fréquence Largeur du bus Débit Max 20 Mhz 8 bits 20 Mo/s 20 Mhz 16 bits 40 Mo/s 40 Mhz 8 bits 40 Mo/s 40 Mhz 16 bits 80 Mo/s 80 Mhz 8 bits 80 Mo/s 80 Mhz 16 bits 160 Mo/s 160 Mhz 16 bits 320 Mo/s Attention, les débits sont obtenus en rafale, pas en mode continu et seulement si les périphériques connectés les permettent. Un 30 Mo/s est déjà un très bon résultat . BRANCHER ET CONFIGURER UN DISQUE DUR SCSI Pour brancher un disque dur SCSI l'opération est la même que pour l'IDE (voir ce paragraphe). Enfin presque puisque la nappe va bien se raccorder sur le disque dur. Mais à l'autre bout, la nappe ne va pas se brancher sur la carte mère mais sur une carte additionnelle qui va gérer les différents périphériques SCSI. Cette carte est dotée d'un BIOS à configurer et de 2 connecteurs pouvant recevoir 7 périphériques SCSI chacun + le bouchon en fin de ligne. Il est impératif quel que soit le nombre de périphérique branché de mettre un bouchon en bout de chaîne. Reste aussi le choix du câble. Comme nous avons vu dans le tableau juste au-dessus, il existe une multitude de câbles. Voici des liens pour vous aider dans cette recherche. Trouver le bon câble : Cliquez ici Configurer le bios de la carte SCSI : Cliquez ici Les liens justes au-dessus vous donnent accès à un site en français entièrement dédié au SCSI. N'hésité pas à le consulter car il est très complet. COMMENT CHOISIR ENTRE SCSI ET IDE Voici un tableau comparatif qui permettra de bien voir la différence entre le Scsi et l'IDE TYPE Vitesse de rotation max Débit Max Théorique Nombre de Périphériques Max SCSI 10000 Trs/Mn 7200 Trs/Mn 320 Mo/s * 100 Mo/s 7 2 IDE * Les disques que l'on trouve à l'heure actuelle ont un débit max de 160 Mo/s. Les 320 Mo/s sont seulement annoncés par les constructeurs mais ne sont pas dispo. La comparaison est vite faite. le SCSI permet de brancher plus de périphériques sur un même câble et il est plus rapide mais son coût est plus important. Il faut compter à capacité égale environ 1200 frs pour un disque dur IDE contre 3500 à 4000 frs pour un bon disque dur SCSI et sa carte contrôleur. C'est donc les SCSI qui sort vainqueur mais c'est votre porte monnaie qui fera la décision finale. LE RAID Les disques branchés en RAID (Redundant Array of Inexpensive Disks) sont une technologie faisant appel à plusieurs disques durs empilés fonctionnant simultanément pour distribuer, dupliquer et sécuriser les informations. Il existe 6 types de RAID différent, du RAID 0 au RAID 5) avec des variantes mélangeant les genres: Voici les plus courants: - RAID 0 : Il demande un minimum de deux disques. Les informations à enregistrer sont distribuées sur les disques disponibles (une partie sur l'un et une partie sur l'autre), ce qui accroît la vitesse de lecture et écriture. En effet les deux disques ayant chacun un débit maximum qui leur est propre, le fait de lire un fichier sur deux disques en même temps va quasi doubler le débit. Par contre, ceci n'apporte aucune sécurité supplémentaire. - RAID 1 : Il écrit les données en double sur chaque disque. Si un disque est défaillant, l'autre peut prendre la relève. Ceci très intéressant sur les serveurs qui ne doivent jamais être arrêté. Ceci assure une grande sécurité mais n'apporte pas de vitesse de lecture supplémentaire. - RAID 0+1 : Il combine le mode RAID 0 + RAID 1 . Il apporte donc sécurité et vitesse. - RAID 3 : Enregistre les données sur plusieurs disques et la parité sur un seul d'entre eux. - RAID 5 : Distribue les informations et la parité sur au moins trois disques. Le tout doit être piloté par un logiciel de gestion approprié et commandé par une carte d'interface spécifique qui parfois est intégrée à la carte mère. Cette solution peut être mise en pratique pour l'IDE comme pour le SCSI. Les configurations possibles sont les suivantes: IDE1 IDE1 disque en maître disque en maître disque en esclave IDE2 IDE2 disque disque disque disque disque disque disque disque en en en en en en en en maître disque en maître disque en maître CD-ROM maître CD-ROM maître CD-ROM maître disque en maître disque en maître disque en esclave disque en maître esclave disque en maître disque en esclave disque en maître disque en maître disque en esclave esclave CD-ROM esclave disque en maître CD-ROM esclave CD-ROM en maître CD-ROM en esclave Lors du branchement des périphériques, il s'agit de vérifier que la bande rouge sur la nappe est bien du côté de la broche n°1 : au niveau de la cart-mère... ...ainsi qu'au niveau du (des) disque(s)-dur(s) (généralement du côté de l'alimentation). Exercices : Mettre un deuxième disque dur IDE en esclave Méthodologie : Avant d’effectuer la moindre opération, il faut avoir la documentation complète concernant le disque dur déjà installé La carte électronique fixée sur le disque dur comporte de petits cavaliers et des connecteurs. Un disque dur IDE possède sa propre intelligence et le contrôleur n’est en fait qu’un simple dispositif d’interface de transfert de donnée, limité à une passerelle entre la carte électronique du disque dur et le bus de donnée de l’ordinateur. Si un premier disque dur est branché sur le connecteur extrême du câble issu du contrôleur, il est baptisé le maître et l'autre doit se faire reconnaître comme esclave. Il est donc important que la documentation du second disque dur placé sur le deuxième connecteur du câble en provenance du contrôleur, explique comment faire passer le disque dur en mode esclave. Le câble IDE issu du contrôleur possède deux connecteurs de branchement, il importe peu que le C et le D soient branchés sur l'un ou l'autre des connecteurs. S’il n’y a pas de dé trompeur placé sur un des côtés du connecteur, il faut se référer au côté du câble qui possède une marque et la placer devant les chiffres 1 ou 2 indiqués sur le circuit électronique du disque dur, et faire de même du côté contrôleur. La nappe d'un disque IDE comporte 40 fils conducteurs. La première broche des disques IDE est toujours placée à proximité du connecteur d'alimentation. Une fois l’installation terminée, certains ordinateurs reconnaissent automatiquement le nouveau disque dur, mais si ce n’est pas la cas, il faudra l’indiquer au setup, que ce nouveau disque dur devient D et en donner les paramètres (nombre de tête, de cylindres, etc.). Lorsqu’on achète un disque dur, il est généralement formaté à bas niveau. Si votre nouveau disque dur n'est pas reconnu, il faut le faire reconnaître comme un lecteur D par MsDos. Quelque soit la version du Dos, il faut utiliser la commande: Fdisk, pour créer une partition. Après avoir partitionné le disque dur, il faut formater la ou les partitions que vous avez créées par la commande: Format. ATTENTION: Ne pas formater votre premier disque dur qui se trouve en C. Montage du micro Processeur / Retour au menu Avant de vouloir vous lancer dans le montage du processeur, sortez la carte mère de son emballage en prenant bien soin de ne pas trop mettre les doigts sur des circuits imprimés. Disposez-la sur votre table avec si possible entre les deux un isolant quelconque (un film bulle fait parfaitement l'affaire), pourvu qu'il ne soit pas en laine. Soulevez le levier du socket ZIF. (Zero Insertion Force) Insérez le processeur (sans forcer) dans le socket en veillant à bien le positionner par rapport au détromper (en général un coin ou deux du processeur est dépourvu de broches et il(s) doit(vent) correspondre à celui ou ceux du socket, comme ci-dessous) Rabattez la barre du socket ZIF (veillez à ce que le processeur soit solidement enfiché) Enduisez la partie centrale et saillante du processeur d'une fine couche de pâte thermique (1 goutte suffit). Cette étape est facultative mais conseillée afin que le processeur soit correctement refroidi par le ventilateur. Appliquez une petite quantité de pâte thermique sur le centre du processeur qui sera en contact direct avec le dissipateur thermique. Si vous remplacez un dissipateur thermique par un autre, nettoyez préalablement la surface du processeur avec du dissolvant ... Utilisez le dissolvant à ongles de votre petite amie par exemple ! Très efficace et très bon marché ! Cependant, l'opération peut-être délicate et prenez toutes les précautions nécessaires pour éviter d'abîmer un composant. La plupart des dissipateurs thermiques sont déjà pourvus de pâte thermique (la zone grise sur la partie métallique du dissipateur thermique ci-contre). N'appliquez pas de pâte supplémentaire, cela ne servirait strictement à rien. Poser le dissipateur sur le processeur de manière à ce que les deux éléments soient bien en contact l'un de l'autre. Là aussi, il y a un sens à respecter : suivant le socket et les crochets qui vont permettre de fixer le dissipateur à celui-ci. Nous vous conseillons de faire des tests "à froid", c'est à dire sans pâte thermique avant de se lancer dans cette manipulation. Placer les accroches dans les crochets du socket d'un côté. Utilisez la pince pour effectuer cette opération. Il ne vous reste plus qu'à brancher le ventilateur sur la carte mère à l'emplacement prévu à cet effet (connecteur à trois broches en général, situé à proximité du socket). OVERCLOCKING / Retour au menu Un processeur est normalement prévu pour tourner à une fréquence donnée, c'est-à-dire celle à laquelle son fonctionnement est certifié. Il peut cependant être intéressant d'augmenter cette fréquence car c'est elle qui régit la vitesse du processeur. On peut ainsi gagner en puissance sans dépenser d'argent. D'autre part, il est aussi possible d'augmenter la fréquence des bus de la carte-mère, c'est-à-dire la vitesse de communication entre le processeur et les autres éléments. C'est ce processus d'augmentation de la fréquence du processeur que l'on nomme overclocking (mot anglais qui pourrait se traduire par "sur fréquençage"). Malgré tout, ce processus n'est pas sans danger pour votre ordinateur. En effet, une augmentation de fréquence s'accompagne tout d'abord de l'élévation de la température des éléments qui la subissent. Il faut ainsi veiller à ce que les éléments touchés par cette élévation de température soient convenablement ventilés (le processeur est bien évidemment un élément qui subira une grande élévation de température, mais les autres éléments la subiront aussi...). La première chose à faire est donc d'ajouter des radiateurs/ventilateurs supplémentaires pour évacuer le surplus de chaleur. D'autre part, les cartes additionnelles peuvent ne pas accepter une augmentation de fréquence trop importante (une carte PCI, par exemple, est initialement prévue pour tourner à 33 Mhz). Ainsi, dans le meilleur des cas votre système fonctionnera correctement. Il peut toutefois devenir instable ou se bloquer, auquel cas il suffit de revenir à la configuration précédente. Certains éléments pourraient même surchauffer et griller, auquel cas il faudrait les changer et le processus d'overclocking pourrait éventuellement revenir plus cher que de changer de processeur... Comprendre les notions de fréquence Pour comprendre l'overclocking, il faut effectivement connaître les notions de fréquence et les relations qui existent entre les fréquences de la carte-mère et du microprocesseur. Il faut tout d'abord savoir comment les constructeurs déterminent la fréquence à laquelle le processeur tourne: les processeurs fabriqués par un constructeur sont issus d'une même série de base. Cependant, à la fin de la production les processeurs subissent des tests de fréquence, c'est-à-dire que l'on soumet les processeurs à une fréquence donnée, puis on regarde si le processeur fonctionne de manière stable. Le processeur peut toutefois fonctionner à une fréquence plus élevée sans qu'on le sache, et c'est presque toujours le cas, car les fabricants pour assurer la qualité de leurs processeurs utilisent une grande marge de sécurité, et c'est sur celle-ci que l'on va empiéter lorsque l'on poussera le processeur dans ces derniers retranchements pour gagner des mégahertz, synonymes de puissance! Ainsi, un Pentium 150 aura vraisemblablement peu de différences avec un Pentium 166. Un processeur tourne à une vitesse plus élevée que la carte-mère, il existe donc ce que l'on appelle un coefficient multiplicateur (ou coefficient de multiplication) qui définit la vitesse relative du processeur par rapport à la carte-mère. Un coefficient de 2 signifiera donc: " le processeur tourne à une fréquence deux fois plus élevée que la carte-mère". On peut donc effectuer un overclocking de deux façons: en modifiant le coefficient multiplicateur (la carte-mère ne subit aucun changement de fréquence, seul le processeur tourne à une vitesse plus élevée) en modifiant la fréquence de base, c'est-à-dire celle de la carte-mère (le processeur subit alors lui aussi une élévation de fréquence proportionnelle au coefficient multiplicateur). Les fréquences possibles de la carte-mère dépendent du type de carte-mère (une carte-mère récente pourra bien évidemment "passer" des fréquences plus élevées), elles peuvent se situer parmi les fréquences suivantes: 50Mhz 60Mhz 66Mhz 75Mhz 83Mhz 100Mhz et plus Possibilités d'overclocking Processeur de base Pentium 75 Pentium 90 Pentium 100 Pentium 120 Pentium 150 Pentium 166 Bus système Bus PCI Coeff. Multiplicateur Résultat (carte-mère) 60 Mhz 30 Mhz 1.5 Pentium 90 66 Mhz 33 Mhz 1.5 Pentium 100 60 Mhz 33 Mhz 1.5 Pentium 100 66 Mhz 33 Mhz 2 Pentium 133 66 Mhz 33 Mhz 2 Pentium 133 66 Mhz 33 Mhz 2 Pentium 133 66 Mhz 33 Mhz 2.5 Pentium 166 66 Mhz 33 Mhz 2.5 Pentium 166 66 Mhz 33 Mhz 3 Pentium 200 66 Mhz 33 Mhz 3 Pentium 200 Quel type d'overclocking choisir? Il y a donc deux façons principales d'overclocker son système: l'overclocking du processeur seulement l'overclocking de la carte-mère et de tous ses composants Quel type d'overclocking vaut-il donc mieux choisir? Un bus de type PCI a, par exemple, sa fréquence reliée à celle de la carte-mère par un coefficient de 0.5, c'est-à-dire qu'avec une carte-mère tournant à 66 Mhz le bus PCI aura une fréquence de 33Mhz. Ainsi, une augmentation de la fréquence de base de la carte-mère aura pour conséquence directe l'augmentation proportionnelle de la fréquence du bus PCI, c'est-à-dire de l'ensemble des composants qui y sont rattachés. Il vaut donc mieux augmenter la fréquence de la carte-mère que le coefficient multiplicateur. Voyons voir cela sur un exemple: un Pentium 166 dont la fréquence de base est 83Mhz et dont le coefficient multiplicateur est 2 (2x83=166) aura de meilleures performances qu'un Pentium 200 dont la fréquence de base est 66Mhz et dont le coefficient multiplicateur est 3 (3x66=200). En effet, certains organes jouent le rôle de frein, car le processeur "attend" en quelque sorte que ceux-ci aient effectué leurs opérations avant de continuer les siennes! Le refroidissement et l'aération Dès que l'on commence à pratiquer l'overclocking, la température des éléments qui sont soumis à l'overclocking ont des surchauffes importantes qui peuvent leur être néfastes. Un processeur est généralement testé pour résister à une température de l'ordre de 80°C, au-delà les dégâts peuvent être irréversibles. C'est pour cela que l'on ne parle jamais d'overclocking sans parler de refroidissement et d'aération. Le processeur se refroidit généralement bien grâce à un ventilateur adapté. Ce n'est toutefois pas le seul élément qui souffre de la surchauffe liée à l'overclocking: les chipsets, les barrettes de mémoire, ainsi que les régulateurs de tension doivent être refroidis. Quels sont les systèmes de refroidissement à utiliser? Le système le plus couramment utilisé est le ventilateur monté sur un radiateur (le radiateur est une plaque de métal comportant des ailettes qui permet d'améliorer les échanges de température entre le processeur sur lequel il est monté et l'air ambiant). Le ventilateur peut aussi être monté directement sur le processeur, mais le refroidissement sera moins bon; parfois une petite plaque de métal intercalée entre le ventilateur et le processeur aide à dissiper la chaleur du processeur. Le ventilateur doit être le plus volumineux possible (optez par exemple pour un ventilateur spécial Cyrix 6x86 M1, réputé pour chauffer énormément) pour permettre un brassage d'air important qui contribuera aussi à la ventilation du boîtier... Certains afficionados de l'overclocking utilisent une pâte conductrice (de chaleur, type silicone) entre le processeur et le ventilateur pour avoir le meilleur échange possible. Il existe aussi des ventilateurs dotés d'une alarme (reliée au haut-parleur de votre ordinateur) qui se déclenchera en cas d'avarie du ventilateur. En effet une panne de ventilateur peut directement causer la mort de votre processeur. C'est pourquoi ce type de ventilateur est conseillé lorsque vous overclockez votre processeur de façon sévère. Enfin, il existe des éléments destinés à assurer un excellent refroidissement: il s'agit des plaques à effet Peltier, qui agissent telle une pompe à chaleur, en abaissant fortement la température d'un côté (le côté du processeur), mais en chauffant l'autre, qui doit être refroidi par un ventilateur. Ce type de système est conseillé pour l'overclocking! L'aération est, elle aussi, très importante car c'est le brassage de l'air du boîtier qui va permettre d'évacuer la chaleur, que les éléments ont fourni à l'air, à l'extérieur. C'est pour cela qu'un boîtier "ordonné" permet de minimiser les obstacles à la ventilation. En effet les nappes des disques dur (notamment les nappes SCSI, qui sont très larges), si elles sont situées devant un élément qui chauffe (devant le processeur par exemple) vont nuire à la circulation d'air et risquent de provoquer une surchauffe (même pour des processeurs non-overclockés...). D'autre part, les disques sont eux aussi sensibles à une augmentation de chaleur trop importante, il faut donc veiller à ne pas les caser dans un endroit confiné mais de préférence dans une zone où ils peuvent bénéficier du ventilateur de l'alimentation générale par exemple. Montage d'un DVD / Retour au menu Dans cette section nous traiterons de l'installation d'un kit DVD-ROM complet. Présentation des différents types de kit. Un lecteur de DVD est une sorte de lecteur de CD-ROM évolué : pour certains un DVD est simplement un CD de capacité. En fait un lecteur de DVD est prévu pour plus que cela : la lecture de films vidéo DVD. Ces films sont codés sous un format MPEG, il faut donc pouvoir les décoder, matériellement ou logiciellement, d'ou certains kits prévus pour cela. Un kit DVD peut se présenter sous différentes formes : Un simple lecteur de DVD avec un pilote pour le DOS (parfois) et rien de plus. Dans ce cas l'installation est la même que pour un lecteur de CD-ROM. Toutefois si vous désirez visualiser des vidéos au format DVD il faudra installer un logiciel de décodage MPEG / une carte de décompression MPEG ou avoir une carte vidéo qui décompresse les fichiers MPEG. Un simple lecteur de DVD avec un logiciel de décompression MPEG. Dans ce cas, il suffit d’installer le logiciel livré. Un lecteur de DVD + une carte vidéo avec logiciel de décompression MPEG. Dans ce cas, il faut installer la carte video, le lecteur DVD et installer le logiciel livré.. Un lecteur de DVD + une carte de décompression MPEG. Dans ce cas , il faut installer la carte de décompression, le lecteur DVD. L'histoire des zones. Avant d'entrer dans l'installation proprement dite, nous allons en apprendre plus sur un problème lié au DVD qui n'est ni logiciel ni matériel. Le nombre de logiciels ou de jeux sur support DVD étant très réduit actuellement, je pense bien que vous voulez aussi utiliser votre lecteur de DVD pour visionner des films. Toutefois, pour que vous ne fassiez pas l'acquisition de films illisibles sur votre machine, il me faut vous entretenir des zones... Qu'est ce qu'une zone ? Concernant les DVD vidéo il faut savoir une chose : Les grands majors du cinéma ont décidé de découper le monde en différentes zones. Ce zonage consiste à coder les vidéos différemment d'une zone à l'autre : la première zone concerne les USA et le Canada, la seconde zone concerne une partie de l'Europe (France, Belgique, Luxembourg...) et il y a ainsi d'autres zones. Normalement un kit DVD prévu pour une zone ne pourra pas lire un film d'une autre zone (impossible de lire un film DVD zone 1 sur un lecteur de DVD zone 2). Pourquoi nous ont-ils fait un coup pareil ? En fait nos "majors" ont décidé d'agir ainsi pour préserver leurs énormes bénéfices liés au cinéma : en général lorsqu'un film sort en vidéo aux USA il n'est même pas sorti en salle en Europe. Vous imaginez bien qu'il peut se passer certains trafics surtout que, contrairement aux bandes vidéo, les DVD ne voient pas leur qualité s'altérer lors des recopies. Ce problème de zonage ne concerne pas les données informatiques ! Si vous achetez un logiciel ou un jeu sur DVD, dans un pays d'une autre zone que la votre, vous devriez pouvoir l'exécuter sur n'importe quel lecteur de DVD. Ainsi un logiciel acheté aux USA devrait fonctionner en France par exemple. Comment outrepasser les zones ? En France et, je pense, dans d'autres pays européens il n'est pas interdit par la loi de posséder des DVD d'une autre zone. Donc il n'y a pas de raison de se faire imposer les désirs de grosses sociétés si vous désirez acheter des DVD officiels (pas piratés) directement dans les pays où ils sont édités en premier. Or ça tombe bien car certains lecteurs ou kits sont dézonables : ils peuvent être patchés pour lire n'importe quelles zones. Ces patchs se trouvent dans tous (ou presque !) les sites qui traitent du DVD ou du "home cinéma", je vous conseille de vous tourner vers eux pour trouver le patch. Hélas certains kits ne sont pas dézonables : soit aucun patch n'a été créé soit le lecteur décode directement la vidéo et est limité à 5 changements de zone avant d'être fixé "définitivement" sur la dernière zone choisie. Qu'en conclure pour l'achat d'un kit ? Vous pouvez avoir deux attitudes : soit décider de prendre un kit compatible avec votre zone, car vous ne penser pas acheter de DVD à l'étranger, soit décider de prendre un kit dézonable. Pour la première attitude n'importe quel kit de grande marque distribué sur votre territoire national sera compatible avec votre zone. Pour la seconde vous devrez soit demander l'avis au vendeur de kits (tournez vous vers les petits assembleurs qui sont bien plus renseignés sur cela que les grandes chaînes de distribution) sur le dézonage, soit rechercher sur les sites consacrés au DVD quel kit est dézonable. Attention lors de l'achat de films en DVD ! Si votre kit n'est pas dézonable ou n'est pas dézoné, faites attention avant d'acheter ou, de louer des films en DVD : vous devez prendre la zone pour lequel est paramétré votre kit. En général les magasins vendant des DVD vidéo ont la bonne idée de séparer les rayons ou d'apposer des étiquettes sur chaque DVD. Toutefois en cas de doute regardez bien l'emballage du DVD pour ne pas vous tromper de zone. Enfin sachez que quelques titres sont sans zone : ils peuvent être lus par n'importe quel lecteur (en général il s'agit de films x... Eux n'hésitent pas à doper leur marché ! :-)) ). Toutefois faites bien attention : cela doit être explicitement inscrit sur l'emballage du DVD, dans le doute abstenez vous. Installation du lecteur de DVD. Comme je l'ai expliqué en début de section, l'installation d'un lecteur de DVD est identique à celle d'un lecteur de CD-ROM. La procédure est la même que vous ayez un lecteur IDE ou SCSI, Windows version 98 / NT (SP4), Linux le reconnaissent sans problème. Les Branchements / Retour au menu Cela peut paraître compliqué, mais il n'en est rien puisque chacun des branchements ne peut se brancher qu'à un seul endroit. D'autre part, les principaux constructeurs d'ordinateurs utilisent un code couleur pour éviter toute erreur. Maintenant que l'intérieur de votre PC est prêt, refermez le boîtier. Remarque : Les branchements de votre PC se font PC éteint, sinon vous risquez de provoquer un court circuit, inoffensif pour vous mais peut-être grave pour votre PC. Afin d'éviter tout risque, ne brancher le câble d'alimentation de votre unité centrale qu'en dernier.- Les périphériques que vous allez brancher vont multiplier les câbles connectés à votre PC. Dans un souci d'esthétisme et de sécurité, grouper les câbles grâce à plusieurs colliers de serrage identiques à ceux utilisés par les électriciens (Vendu en magasin de bricolage). Le port vidéo Connectez la prise VGA (D-sub15 ou DB15) de votre moniteur sur le port VGA de votre carte graphique en vous fiant à la forme trapézoïdale du connecteur. Puis serrez les molettes de chaque côté du connecteur. Comme son nom l'indique se branchement qui se trouve relié à votre carte graphique à l'intérieur de votre unité centrale n'a qu'un usage ; celui de connecter votre moniteur. Les ports PS2 Au nombre de deux, ils accueillent clavier et souris. Le clavier se met à droite, la souris à gauche. De plus en plus, les cartes mères adoptent un code couleur pour les différencier. Le port PS2 de la souris est vert tandis que celui du clavier est violet. Ces ports sont très fragiles, ne jamais forcer si vous constatez que votre clavier ou votre souris n'y rentrent pas du premier coup. Branchez le connecteur PS/2 de votre clavier sur le port "Keyboard" de la carte mère (généralement violet et toujours situé le plus à gauche en haut des connecteurs). Puis insérez le connecteur PS/2 de la souris dans le connecteur "Mouse" de la carte mère (généralement vert). Il se trouve à droite du connecteur du clavier. Le port MIDI Egalement appelé port jeu ou port joystick puisque c'est ici que vous devez brancher votre manette de jeu. Ce port sert aussi à y connecter un clavier musical. Les ports audio Généralement au nombre de trois ou quatre et placés à côté du port midi, ces branchements jack 3,5 servent à connecter Haut-parleurs (SPK), micro (MIC) et chaine hifi (Line IN/OUT). On trouve maintenant couramment sur le marché des cartes son équipées de deux sorties SPK (1 sortie pour deux haut-parleurs avant et une autre pour deux haut-parleurs arrières). Introduisez le jack 3,5 mm provenant de vos enceintes dans la sortie speaker mère (comme ci-dessous) ou de votre carte son. de votre carte Les ports série On y connecte encore quelques périphériques tels que modems, souris. Ce port est en voie de disparition au profit de l'USB plus rapide en terme de débit d'information. Les ports série sont généralement au nombre de 2. Ils sont différenciés par l'appellation COM1 et COM2 depuis votre système d'exploitation. Les ports série représentent les premières interfaces ayant permis aux ordinateurs d'échanger des informations avec le "monde extérieur". Le terme série désigne un envoi de données via un fil unique: les bits sont envoyés les uns à la suite des autres. A l'origine les ports série permettaient uniquement d'envoyer des données, mais pas d'en recevoir, c'est pourquoi des ports bidirectionnels ont été mis au point (ceux qui équipent les ordinateurs actuels le sont). Les ports séries bidirectionnels ont donc besoin de deux fils pour effectuer la communication. La communication série se fait de façon asynchrone, cela signifie qu'aucun signal de synchronisation (appelé horloge) n'est nécessaire: les données peuvent être envoyées à intervalle de temps arbitraire. En contrepartie, le périphérique doit être capable de distinguer les caractères (un caractère a une longueur de 8 bits) parmi la suite de bits qui lui est envoyée... C'est la raison pour laquelle dans ce type de transmission, chaque caractère est précédé d'un bit de début (appelé bit START) et d'un bit de fin (bit STOP.) Ces bits de contrôle, nécessaires pour une transmission série, gaspillent 20% de la bande passante (pour 8 bits envoyés, 2 servent à assurer la réception.) Les ports série sont généralement intégrés à la carte-mère, c'est pourquoi des connecteurs présents à l'arrière du boîtier, et reliés à la carte-mère par un nappe de fils, permettent de connecter un élément extérieur. Les connecteurs séries possèdent généralement 9 ou 25 broches et se présentent sous la forme suivante (respectivement connecteurs DB9 et DB25): Un ordinateur personnel possède généralement entre deux et quatre ports séries (certains de ces ports possèdent des connecteurs DB9, d'autres des connecteurs DB25.) Le port parallèle Autre fois également utilisé pour y connecter graveur, webcam, le port parallèle est maintenant utilisé pour y connecter une imprimante. L'utilisation de ce port est en voie de disparition au profit de l'USB, mais toutes les cartes mères en sont encore équipées. La transmission de données en parallèle consiste à envoyer des données simultanément sur plusieurs canaux (fils.) Les ports parallèles présents sur les ordinateurs personnels permettent d'envoyer simultanément 8 bits (un octet) par l'intermédiaire de 8 fils. Les premiers ports parallèles bidirectionnels permettaient d'atteindre des débits de l'ordre de 2.4Mb/s. Toutefois des ports parallèles améliorés ont été mis au point afin d'obtenir des débits plus élevés: Le port EPP (Enhanced Parralel Port, port parallèle amélioré) a permis d'atteindre des débits de l'ordre de 8 à 16 Mbps Le port ECP (Enhanced Capabilities Port, port à capacités améliorées), mis au point par Hewlett Packard et Microsoft. Il reprend les caractéristiques du port EPP en lui ajoutant un support Plug and Play, c'est-à-dire la possibilité pour l'ordinateur de reconnaître les périphériques branchés Les ports parallèles sont, comme les ports série, intégrés à la carte-mère. Les connecteurs DB25 permettent de connecter un élément extérieur (une imprimante par exemple.) Port téléphonie (RJ11) / réseaux (RJ45) Grâce à ce port, vous avez la possibilité de relier votre PC à un réseau téléphonique ou réseau d'entreprise. C'est ici que ce branche le modem. Les ports USB Ce sont des ports universels qui servent à brancher tous les périphériques USB. L'USB est destiné à remplacer les autres ports encore existants tels que le port PS2, le port série ou le port parallèle. Il sert beaucoup aujourd'hui pour brancher les appareils photo ou les scanners, mais déjà toutes les catégories de périphériques (clavier, souris...) possèdent au moins un modèle qui peut être brancher sur le port USB. Le port FireWire Partie intégrante de la norme SCSI-3, le FireWire se détache des autres normes SCSI par l´utilisation d´un bus série, facilitant ainsi le raccordement de périphériques externes (ses caractéristiques sont indiquées dans le tableau précédent). Le port SCSI Créée en 1986 à partir de l´interface SASI, le SCSI ou Small Computer System Interface se distingue des autres ports d´entrées/sorties externes, d´une part car il permet la connexion de périphériques internes, et d´autre part il nécessite un contrôleur externe beaucoup plus évolué, donc beaucoup plus cher, que les normes concurrentes. Aucun contrôleur de ce type n´a été intégré à un chipset, alors que toutes les autres normes se sont démocratisées grâce à ce moyen. Une carte additionnelle SCSI ISA ou PCI est donc nécessaire pour pouvoir connecter des périphériques de ce type, certains constructeurs proposant même des solutions avec un contrôleur SCSI intégré sur les cartes mères Le bios / Retour au menu Le BIOS (« Basic Input/Output System » traduisez « Système de gestion élémentaire des entrées/sorties ») est un composant essentiel de l'ordinateur, permettant le contrôle des éléments matériels. Il s'agit d'un petit logiciel dont une partie est dans une ROM (mémoire morte, c'est-à-dire une mémoire qui ne peut pas être modifiée), et une autre partie est dans un EEPROM (mémoire modifiable par impulsions électriques, d'où le terme flasher pour désigner l'action de modifier l'EEPROM). Le POST Lorsque le système est mis sous-tension ou réamorcé (Reset), le BIOS fait l'inventaire du matériel présent dans l'ordinateur et effectue un test (appelé POST, pour "Power-On Self Test") afin de vérifier son bon fonctionnement. Effectuer un test du processeur (CPU) Vérifier le BIOS Vérifier la configuration du CMOS Initialiser le timer (l'horloge interne) Initialiser le contrôleur DMA Vérifier la mémoire vive et la mémoire cache Installer toutes les fonctions du BIOS Vérifier toutes les configurations (clavier, disquettes, disques durs ...) Si jamais le POST rencontre une erreur, il va essayer de continuer le démarrage de l'ordinateur. Toutefois si l'erreur est grave, le BIOS va arrêter le système et : afficher un message à l'écran si possible (le matériel d'affichage n'étant pas forcément encore initialisée ou bien pouvant être défaillant) ; émettre un signal sonore, sous forme d'une séquence de bips (beeps en anglais) permettant de diagnostiquer l'origine de la panne ; envoyer un code (appelé code POST) sur le port série de l'ordinateur, pouvant être récupéré à l'aide d'un matériel spécifique de diagnostic. Si tout est correct, le BIOS émettra généralement un bip bref, signalant qu'il n'y a pas d'erreur. Les touches pour accéder au BIOS: P-BELL F1 ou F2 COMPAQ F9 ou F10 H-P F2 ou DEL IBM F1 CIBOX DEL UNIKA DEL DAEWOO DEL ou CTRL -ALT -TAB ELONEX DEL ou F1 Mot de passe" Si vous n'avez pas le mot de passe pour rentrer dans le bios, plusieurs solutions: Soit vous enlevez la pile et la remettez aussitôt. Cette solution marche dans 90 % des cas. Si vous n'avez pas accès à la pile de votre pc, faites ces quelques manipulations : Démarrer/programmes/commandes MS-dos ensuite la fenêtre devrait vous afficher: C:\WINDOWS> tapez ce qui est en rouge: C:\WINDOWS>cd c:..et appuyer sur la touche entrée, l'ordinateur affichera après cette commande : C:\ tapez: debug et appuyer sur la touche entrée, l'ordinateur affichera après cette commande : - tapez O 70 20 (le O est une lettre et non un chiffre) et appuyer sur la touche entrée - tapez O 71 66 et appuyer sur la touche entrée - tapez Q pour sortir, votre mot de passe est désactivé. Autres codes : Vous tapez le même programme que cité plus haut et mettre ces nouveaux codes à la place de : Bios Award et Ami Bios Phoenix O 70 20 O 71 66 O 70 2E O 71 FF O O 70 17 71 17 O O 70 FF 71 17 Date & Time Rien de bien extraordinaire, cette option permet tout simplement de modifier la date et l’heure du système. IDE (Primary, secondary) Master / Slave Cette rubrique permet de spécifier le mode de détection des disques durs et lecteurs raccordés aux ports IDE1 et IDE2. Par défaut laisser le mode en "Auto" afin que chacun des disques et lecteur soit reconnu de façon automatique. Drive A et Drive B On indique ici le type de lecteur(s) de disquettes intégré(s) à votre ordinateur. Généralement un seul lecteur (Drive A) est installé et il est de type 1,44M (correspond à la capacité des disquettes). Le lecteur B est en général absent d'où l'indication "None". Floppy 3 Mode Support Permet d'exploiter les claviers japonais. La valeur de ce paramètre est donc "Disabled" (Désactivé). Video Cette option permet de définir le type d’écran rattaché à votre système. Dans 99,9% des cas il s’agit d’un écran EGA/VGA puisque les écrans CGA ont disparu depuis les années 90. Halt On Permet de configurer les erreurs sur lesquelles s'arrêtera le boot (démarrage). En général, on applique "All, but Keyboard" (arrêt si le clavier est défectueux) ou "All Errors" (Arrêt dès q'une erreur est détectée). Boot Virus Detection (ou Virus Warning) A garder activé (enabled). Cette option permet de protéger le secteur de boot de votre disque dur contre toute agression de type virale. Cela ne vous empêche pas d'avoir sur votre PC un antivirus régulièrement mis à jour. CPU Level 1 Cache Cette option permet d’activer ou non la mémoire cache de premier niveau de votre processeur. Cette option doit être obligatoirement activée pour profiter au maximum des performances de votre processeur. CPU Level 1 Cache Cette option permet d’activer ou non la mémoire cache de second niveau de votre processeur. Cette option doit être obligatoirement activée pour profiter au maximum des performances de votre processeur. Toutefois dans le cadre d’un overclocking très poussé, cette option peut-être utile afin de savoir si oui ou non le cache L2 de son processeur est le facteur problématique qui limite un overclocking. CPU L2 Cache ECC Checking Ce paramètre permet d’activer la fonctionnalité ECC (détection et correction des erreurs) du cache L2. Il est fortement conseillé d’activer cette option puisqu’elle permet d’améliorer la stabilité du cache L2 dans le cadre d’un overclocking. La plupart des processeurs équipés d’un cache L2 dispose de la fonctionnalité ECC, seuls les premiers Pentium II n’en sont pas équipés. Processor number feature Cette option est disponible dans les Bios des cartes mères pour Pentium III. C'est celle-ci qui a fait scandale. En effet, elle permet de détecter le numéro d'identification de votre processeur. Réglée la plupart du temps sur enabled (activé), cette option est à désactiver (disabled). Quick Power On Self Test Cette option permet d’accélérer les tests matériels effectués au démarrage du PC. Si vous êtes certain que tous les composants de votre PC fonctionnent normalement : activez cette option elle vous fera gagner de précieuses secondes au démarrage. Dans le cas contraire et surtout si vous suspectez un problème de barrettes de mémoires désactivez cette option. Above 1 MB Memory Test, Memory Parity Check Error et Memory Test Tick Sound Si vous disposez de ces options, elles retardent considérablement le démarrage de votre ordinateur en effectuant toute une batterie de tests. A désactiver donc pour gagner du temps. En cas de problème matériel, il est en revanche utile de les activer pour détecter l'origine de la panne. First Boot Device, Second Boot Device et Third Boot Device ou Boot Sequence Réglages concernant le démarrage de votre PC. Ils vous permettent de régler l'ordre dans lequel le PC va chercher le système d'exploitation (votre Windows en général). En général, on utilise Floppy ou " A : " dans le première option. Ceci permet d'insérer une disquette de démarrage en cas de problème et provoque automatiquement sa détection. Mettre " C : " dans la deuxième option si votre système est sur le disque dur " C : ". Enfin, Cd-rom convient bien en troisième position. Attention : Si lors d'un démarrage, une disquette quelconque est insérée, l'ordinateur fera apparaître le message " Non System Disk ". Retirez là simplement et redémarrez. Swap Floppy Drive : Cette option permet d’inverser l’ordre de lecture sur les systèmes équipés de deux lecteurs de disquettes (exemple : le lecteur A : devient le lecteur B : avec cette option activée). Cette option est notamment utile pour booter sur le second lecteur de disquette d’un système puisque le bios n’est capable que de booter sur le lecteur de disquettes A. Boot Up Floppy Seek : Cette option est utilisée pour vérifier pendant la phase de boot que le système est bien équipé d’un lecteur de disquettes, pour cela le bios effectue un chargement au niveau du lecteur de disquette, si ce dernier est mal ou pas installé un message d’erreur s’affiche. Pour accélérer le démarrage de votre PC, et pour un démarrage plus silencieux (pas de chargement au niveau du lecteur de disquettes) il est conseillé de désactiver cette option. Boot Up Numlock Status Active ou désactive le pavé numérique dès le Boot. " ON " permet d'utiliser le pavé numérique, " OFF " permet d'utiliser le pavé comme curseur (les flèches). Par défaut sur ON. Typematic Rate Settings (ON/OFF), Typematic Rate, Typematic Delay Ces trois options permettent de régler la vitesse de répétition des touches sous Dos. Windows ne tient pas compte de cette option. A laisser en général en l'état, à savoir respectivement ON, 30 et 250. Security Option Permet de définir si un mot de passe est nécessaire à chaque démarrage (System) ou juste dans le Setup (Setup). Os Select For Ram Si vous utilisez Windows, choisissez Non-OS2. Si vous êtes sous OS2 (Le système d'exploitation d'IBM), ce qui est très rare voire inexistant, alors choisissez OS2. H.D.D Smart Capability Permet d'utiliser le système SMART dont tous les disques durs actuels sont équipés, pour détecter en avance les éventuels problèmes ou défaillances des disques durs. A activer (Enabled). Attention : Cette option peut entraîner des redémarrages aléatoires. Je vous conseille donc de tester cette option. En cas de problèmes, désactivez-la (Disabled). Report No FDD For Win 95 Si vous n'avez pas de lecteurs de disquette sur votre ordinateur, activez YES pour libérer une IRQ (une possibilité supplémentaire). IDE HDD Block Mode Cette option permet de choisir si votre disque dur envoie un seul secteur de données à la fois (Disabled) ou plusieurs (Enabled, transfert par " Blocs "). Bien qu'accélérant le transfert de données et si l'option est désactivée, je vous conseille fortement de la laisser en l'état (elle est source de nombreuses erreurs). Si elle est activée et que vous n'avez pas de problème de transfert de données, ne modifiez rien. Delay IDE Initial (Secs) Permet de laisser un délai en secondes à un périphérique IDE (Lecteurs de Cd-rom, Dvd-rom, graveurs) pour qu'il soit détecté lors du Boot. En effet, certains périphériques sont lents à démarrer et peuvent manquer la phase de détection. Si vous n'avez aucun problème de détection (tous vos lecteurs sont détectés), laissez sur 0. Dans le cas contraire, laissez un délai (quelques secondes). Enfin, si par défaut, l'option est réglée sur plus de 0, testez 0 et voyez si tout est détecté. Cela accélérera votre démarrage du nombre de secondes enlevées à ce paramètre. Video Bios Shadow Cette option permet de « copier » le bios de votre carte vidéo vers la mémoire de votre système (RAM) pour améliorer ses performances d’accès. Toutefois cette option ne permet de couvrir qu’un bios vidéo de 32 Ko, or la majorité des cartes vidéos possèdent aujourd’hui un bios plus « gros » que 32 Ko. Ainsi il est conseillé si vous activez cette option d’activer également le mode Shadow pour la plage d’adresse C800-CBFF (cf. ci-dessous). Shadowing Address Ranges (XXXX-XXXX) Cette option permet de placer les bios des cartes d’extensions stocker par des mémoires ROM dans la RAM du système pour améliorer leur temps d’accès. Pour ce faire vous devez impérativement connaître les plages d’adresses mémoires (sous la forme XXXX-XXXX) utilisées par vos cartes d’extensions. Si vous les ignorez il est inutile d’activer ces options qui pourraient créer des instabilités matérielles. Boot Virus Detection (ou Virus Warning) A garder activé (enabled). Cette option permet de protéger le secteur de boot de votre disque dur contre toute agression de type virale. Cela ne vous empêche pas d'avoir sur votre PC un antivirus régulièrement mis à jour. CPU Level 1 Cache Cette option permet d’activer ou non la mémoire cache de premier niveau de votre processeur. Cette option doit être obligatoirement activée pour profiter au maximum des performances de votre processeur. CPU Level 1 Cache Cette option permet d’activer ou non la mémoire cache de second niveau de votre processeur. Cette option doit être obligatoirement activée pour profiter au maximum des performances de votre processeur. Toutefois dans le cadre d’un overclocking très poussé, cette option peut-être utile afin de savoir si oui ou non le cache L2 de son processeur est le facteur problématique qui limite un overclocking. CPU L2 Cache ECC Checking Ce paramètre permet d’activer la fonctionnalité ECC (détection et correction des erreurs) du cache L2. Il est fortement conseillé d’activer cette option puisqu’elle permet d’améliorer la stabilité du cache L2 dans le cadre d’un overclocking. La plupart des processeurs équipés d’un cache L2 dispose de la fonctionnalité ECC, seuls les premiers Pentium II n’en sont pas équipés. Processor number feature Cette option est disponible dans les Bios des cartes mères pour Pentium III. C'est celle-ci qui a fait scandale. En effet, elle permet de détecter le numéro d'identification de votre processeur. Réglée la plupart du temps sur enabled (activé), cette option est à désactiver (disabled). Quick Power On Self Test Cette option permet d’accélérer les tests matériels effectués au démarrage du PC. Si vous êtes certain que tous les composants de votre PC fonctionnent normalement : activez cette option elle vous fera gagner de précieuses secondes au démarrage. Dans le cas contraire et surtout si vous suspectez un problème de barrettes de mémoires désactivez cette option. Above 1 MB Memory Test, Memory Parity Check Error et Memory Test Tick Sound Si vous disposez de ces options, elles retardent considérablement le démarrage de votre ordinateur en effectuant toute une batterie de tests. A désactiver donc pour gagner du temps. En cas de problème matériel, il est en revanche utile de les activer pour détecter l'origine de la panne. First Boot Device, Second Boot Device et Third Boot Device ou Boot Sequence Réglages concernant le démarrage de votre PC. Ils vous permettent de régler l'ordre dans lequel le PC va chercher le système d'exploitation (votre Windows en général). En général, on utilise Floppy ou " A : " dans le première option. Ceci permet d'insérer une disquette de démarrage en cas de problème et provoque automatiquement sa détection. Mettre " C : " dans la deuxième option si votre système est sur le disque dur " C : ". Enfin, Cd-rom convient bien en troisième position. Attention : Si lors d'un démarrage, une disquette quelconque est insérée, l'ordinateur fera apparaître le message " Non System Disk ". Retirez là simplement et redémarrez. Swap Floppy Drive : Cette option permet d’inverser l’ordre de lecture sur les systèmes équipés de deux lecteurs de disquettes (exemple : le lecteur A : devient le lecteur B : avec cette option activée). Cette option est notamment utile pour booter sur le second lecteur de disquette d’un système puisque le bios n’est capable que de booter sur le lecteur de disquettes A. Boot Up Floppy Seek : Cette option est utilisée pour vérifier pendant la phase de boot que le système est bien équipé d’un lecteur de disquettes, pour cela le bios effectue un chargement au niveau du lecteur de disquette, si ce dernier est mal ou pas installé un message d’erreur s’affiche. Pour accélérer le démarrage de votre PC, et pour un démarrage plus silencieux (pas de chargement au niveau du lecteur de disquettes) il est conseillé de désactiver cette option. Boot Up Numlock Status Active ou désactive le pavé numérique dès le Boot. " ON " permet d'utiliser le pavé numérique, " OFF " permet d'utiliser le pavé comme curseur (les flèches). Par défaut sur ON. Typematic Rate Settings (ON/OFF), Typematic Rate, Typematic Delay Ces trois options permettent de régler la vitesse de répétition des touches sous Dos. Windows ne tient pas compte de cette option. A laisser en général en l'état, à savoir respectivement ON, 30 et 250. Security Option Permet de définir si un mot de passe est nécessaire à chaque démarrage (System) ou juste dans le Setup (Setup). Os Select For Ram Si vous utilisez Windows, choisissez Non-OS2. Si vous êtes sous OS2 (Le système d'exploitation d'IBM), ce qui est très rare voire inexistant, alors choisissez OS2. H.D.D Smart Capability Permet d'utiliser le système SMART dont tous les disques durs actuels sont équipés, pour détecter en avance les éventuels problèmes ou défaillances des disques durs. A activer (Enabled). Attention : Cette option peut entraîner des redémarrages aléatoires. Je vous conseille donc de tester cette option. En cas de problèmes, désactivez-la (Disabled). Report No FDD For Win 95 Si vous n'avez pas de lecteurs de disquette sur votre ordinateur, activez YES pour libérer une IRQ (une possibilité supplémentaire). IDE HDD Block Mode Cette option permet de choisir si votre disque dur envoie un seul secteur de données à la fois (Disabled) ou plusieurs (Enabled, transfert par " Blocs "). Bien qu'accélérant le transfert de données et si l'option est désactivée, je vous conseille fortement de la laisser en l'état (elle est source de nombreuses erreurs). Si elle est activée et que vous n'avez pas de problème de transfert de données, ne modifiez rien. Delay IDE Initial (Secs) Permet de laisser un délai en secondes à un périphérique IDE (Lecteurs de Cd-rom, Dvd-rom, graveurs) pour qu'il soit détecté lors du Boot. En effet, certains périphériques sont lents à démarrer et peuvent manquer la phase de détection. Si vous n'avez aucun problème de détection (tous vos lecteurs sont détectés), laissez sur 0. Dans le cas contraire, laissez un délai (quelques secondes). Enfin, si par défaut, l'option est réglée sur plus de 0, testez 0 et voyez si tout est détecté. Cela accélérera votre démarrage du nombre de secondes enlevées à ce paramètre. Video Bios Shadow Cette option permet de « copier » le bios de votre carte vidéo vers la mémoire de votre système (RAM) pour améliorer ses performances d’accès. Toutefois cette option ne permet de couvrir qu’un bios vidéo de 32 Ko, or la majorité des cartes vidéos possèdent aujourd’hui un bios plus « gros » que 32 Ko. Ainsi il est conseillé si vous activez cette option d’activer également le mode Shadow pour la plage d’adresse C800-CBFF (cf. ci-dessous). Shadowing Address Ranges (XXXX-XXXX) Cette option permet de placer les bios des cartes d’extensions stocker par des mémoires ROM dans la RAM du système pour améliorer leur temps d’accès. Pour ce faire vous devez impérativement connaître les plages d’adresses mémoires (sous la forme XXXX-XXXX) utilisées par vos cartes d’extensions. Si vous les ignorez il est inutile d’activer ces options qui pourraient créer des instabilités matérielles. Attention : Cette partie est destinée aux utilisateurs plus expérimentés, maîtrisant déjà les concepts de base de l'architecture d'un PC (Ram, IRQ, etc…). De plus, toute modification est à tester. Evitez de changer trop de paramètres à la fois, mais procédez option par option, en re-bootant à chaque fois. De cette manière, si une option provoque des craches de votre système, il suffira de la remettre à l'état initial. N'hésitez pas à noter les modifications que vous faites, de manière à vous rappeler quel paramètre vous devez modifier pour revenir à l'état initial. SDRAM CAS Latency Time Ce paramètre permet de contrôler le délai (mesuré en cycles d’horloge) que met la mémoire SDRAM à lire les données une fois qu’elle les a reçu. Plus cette valeur est petite (minimum = 2) meilleures sont les performances, toutefois toutes les barrettes de mémoire ne fonctionnent pas avec un temps de latence de 2. Il est donc conseiller de faire plusieurs tests afin de trouver la valeur idéale. Gardez en tête également que le support d’un temps de latence court est conditionné par la fréquence du bus mémoire que vous utilisez. Ainsi il est possible que votre barrette fonctionne avec temps de latence de 2 avec une fréquence de bus de 100 Mhz mais avec une fréquence de bus de 133 Mhz vous serez peut-être obligés de passer le temps de latence à une valeur de 3. SDRAM RAS-to-CAS Delay Comme vous le savez peut-être les données stockées dans la RAM sont classées sous forme de tableaux composés de lignes et de colonnes. Cette option permet de réduire le délai qui sépare l’insertion d’une ligne et d’une colonne dans ces mêmes tableaux. Bien sur plus le délai est court, meilleures sont les performances mais cela peut provoquer des instabilités systèmes si votre mémoire ne supporte ces délais réduits. Il est donc conseillé de faire des tests afin de trouver la valeur optimale. SDRAM RAS Precharge Time Cette option permet d’indiquer le nombre de cycle d'horloge nécessaire pour accumuler des informations dans les colonnes des « tableaux mémoires » avant le rafraîchissement de la mémoire. Plus le nombre de cycle est faible meilleures sont les performances mais plus le risque d’instabilité système est grand si votre mémoire ne supporte ce nombre de cycle réduit. Il est donc conseillé de procéder à des tests de stabilité afin de trouver la valeur optimale. SDRAM Cycle Length Il s’agit d’une fonction équivalente à la fonction SDRAM CAS Latency Time (cf ci-dessus). SDRAM Leadoff Command Cette fonction permet de définir le temps de latence à appliquer à la mémoire SDRAM avant que les données stockées dans celle-ci soient accessibles. Plus le temps de latence est faible, meilleures sont les performances. Toutefois votre SDRAM ne supportera peut-être pas des temps d’accès trop courts et cela pourrait causer des instabilités systèmes. Il est donc conseillé de faire des tests de stabilité afin de trouver la valeur optimale. SDRAM Bank Interleave Cette fonction permet d’alterner le rafraîchissement et les cycles d’accès aux différents bancs de la mémoire SDRAM pour obtenir de meilleures performances (ex : un banc rafraîchi ses données, tandis que les données de l’autre banc sont consultées). En règle générale chaque barrette de mémoire SDRAM est composée de deux ou quatre bancs. Les barrettes de 32 Mo et moins sont en général composées de 2 bancs puisqu’elles utilisent des chips de 2 Mo. Tandis que les barrettes de mémoires de 64 Mo et plus sont des barrettes de type 4 bancs. Il est donc conseillé d’adapter ce paramètre (2 bank ou 4 bank) selon les propriétés de votre mémoire SDRAM. Un test de stabilité de quelques dizaines de minutes peut-être nécessaire après la modification de cette option. SDRAM Precharge Control Cette option permet de déterminer si la commande préchargement de la mémoire SDRAM doit s’effectuer en fonction des cycles d’horloges ou de façon indépendante (la mémoire SDRAM effectue elle même ces préchargements). Le fait de désactiver cette option permet d’améliorer la stabilité globale du système et du bus mémoire. Le fait d’activer cette option permet d’améliorer légèrement les performances de votre mémoire SDRAM. DRAM Data Integrity Mode Cette option permet d’indiquer à votre carte mère le type de mémoire que vous avez installé dans votre système. On distingue deux types de mémoire : la mémoire ECC qui est pourvue de « bits » de contrôle de l’intégralité des données. La mémoire ECC est bien plus chère que la mémoire traditionnelle et elle est généralement utilisée sur le machine de type « station de travail » ou « serveur » car elle permet d’améliorer la stabilité globale des systèmes au dépend d’une petite perte de performances. Les autres types de mémoires SDRAM que l’on trouve dans le commerce sont appelées mémoire NON-ECC car elles ne disposent pas de ces « bits » de contrôle. Read Around Write (Enabled/Disabled) Cette option est à activer dans tous les cas, si ce n'est déjà fait. Permet de lire directement des informations dans le cache (si elles y sont) avant de les écrire dans la Ram. Si le cas se présente, cela accélère le traitement de données. System BIOS Shadowing Ce paramètre permet, en cas d'activation (enabled), de recopier le code du Bios dans la mémoire vive. Plutôt à désactiver, au vu du risque de plantage et des performances moindres gagnées. De plus, une fois le système d'exploitation démarré, les appels au Bios sont rares. System BIOS Cacheable Ne peut être activé que si l'option ci-dessus l'est aussi. Utilise le cache de niveau 2 du processeur pour accélérer l'accès au Bios. Comme il n y a quasiment plus d'accès au Bios sur les systèmes d'exploitation actuels, il est plus utile de réserver cette mémoire cache aux données importantes. A désactiver si ce n'est déjà fait. Video Bios Shadowing La même option que System Bios shadowing, mais cette fois ci pour le Bios de votre carte graphique. Si vous êtes sous Windows 95, 98, NT ou 2000, votre système d'exploitation n'utilise plus ce Bios. A désactiver. Video Bios Cacheable Comme pour System Bios Cacheable, ce paramètre n'est activé que si l'option ci-dessus est activée. Là aussi, la mémoire cache de niveau 2 du processeur a d'autres tâches plus importantes à effectuer. A désactiver. Memory Hole At 15M-16M Cette option permet de réserver certaines adresses mémoires spécifiques pour des cartes d’extensions au format ISA et empêche le système d’accéder à la mémoire située au delà de 16 Mo. La très grande majorité des cartes ISA fonctionnent correctement sans avoir recours à cette fonction (heureusement !). Il est donc conseillé de désactiver cette fonction. 8-bit et 16 I/O Recovery Time Comme vous le savez certainement, le bus PCI est plus rapide que le bus ISA, ainsi pour que certaines cartes au format ISA fonctionnent correctement avec les systèmes dotés d’un bus PCI il est parfois nécessaire d’ajouter des temps de latence sur le bus ISA. Cette fonction permet donc de régler la valeur des temps de latence, plus ils sont courts (la valeur la plus faible étant N/A) meilleures sont les performances, bien sur si vous ne possédez pas de cartes au format ISA dans votre système cette option n’a aucune importance pour vous. Passive Release Cette option autorise le processeur à accéder au bus PCI en même temps qu’un accès au bus ISA. Pour améliorer les performances du système il est conseillé d’activer cette option. Cependant, en cas de problèmes avec des cartes d’extensions au format ISA il est conseillé de désactiver cette option. Delayed Transaction ou PCI 2.1 Compliance Cette option permet de synchroniser le bus PCI et le bus ISA, elle permet également d’autoriser l’utilisation du «Chipset Write Buffer » pendant les temps de transaction. Afin d’être conforme à la norme PCI 2.1 et pour améliorer les performances et la stabilité du système il est conseillé d’activer cette option. AGP Aperture Size (MB) Cette option permet de sélectionner la taille de l’Aperture Size dédiée à l’AGP. L’Aperture Size correspond à une partie des adresses mémoires PCI qui seront réservées à l’AGP pour y stocker les textures (AGP Texturing). Augmenter ou baisser cette valeur ne se traduit pas forcément par une augmentation des performances graphiques. La valeur AGP Aperture Size à appliquer à votre système est généralement calculée à partir de la mémoire système dont vous disposez, à l'aide de cette formule : taille mémoire totale du systeme * 2. Mais en règle générale on admet un valeur minimale de 64 Mo et une valeur maximale de 128 Mo. Des valeurs situées au dessus de 128 Mo ou en dessous 64 Mo peuvent provoquer des instabilités du système ou de légères pertes de performances. AGP Graphics Aperture Size Ce paramètre quantifie la quantité de mémoire vive disponible pour votre carte graphique. A régler sur la moitié de votre mémoire vive, sans dépasser 128 Mo. Pour les cas les plus fréquents, mettez 32 Mo si vous avez 64 Mo de Ram, ou 64 Mo si vous avez 128 Mo de Ram. AGP Data Transfert Rate (4X/2X) Configure la vitesse de votre Bus AGP. 2X en général, ce qui augmente la stabilité du système. Laissez sur 4X si c'est sélectionné, et que votre système est stable. AGP Master 1Ws Read (1) / AGP Master 1Ws Write (2) Ces deux paramètres augmentent les performances en étant activé. Ils accélèrent les délais avant des opérations de lecture (1) / d'écriture (2) en forçant l'ordinateur à n'attendre qu'un cycle d'horloge (1Ws) au lieu de 2 (2Ws). A désactiver en cas de problème graphique. Spread Spectrum Cette fonction permet de réduire les interférences électromagnétiques dégagées par votre carte mère. Cette option peut être utile si vous avez placé votre ordinateur près d’un autre appareil électronique susceptible d’être affecté par ces interférences (TV, enceintes non blindées…). Toutefois cette réduction des interférences se fait au détriment de la stabilité de votre système, il est donc déconseillé de l’activer ou alors il faudra restreindre sa valeur à 0.25%. Flash BIOS Protection Cette option permet d’interdire la mise à jour logicielle du bios (Flash du bios), une option particulièrement utile pour se protéger de certains virus qui peuvent aller jusqu'à corrompre les données comprises dans le bios et donc rendre votre carte mère inutilisable. DRAM Read Latch Delay Cette fonction permet d’ajouter un petit temps de latence avant que le système soit autorisé à lire les informations comprises dans la mémoire. Cet ajout d’un petit de latence permet parfois de stabilisé certaines barrettes de mémoires ayant des « timing » particuliers. Si vous n’avez pas de problème de stabilité avec votre mémoire il est conseillé de désactiver cette option. DRAM Interleave Time Lorsque l’option “SDRAM Bank Interleave” est activée, cette option permet de définir le temps de latence qui sera appliqué entre la lecture des données comprises dans chaque banc de mémoire. Bien sur plus ce temps de latence est court meilleures sont les performances et plus ce temps de latence est long meilleure est la stabilité du système. Il convient donc de faire quelques tests avant de fixer une valeur définitive pour votre système. Fast R-W Turn Around Cette option permet d’accélérer les lectures et les écritures du processeur dans la mémoire du système. Il est conseillé d’activer cette option pour profiter de meilleures performances, mais toutes les barrettes de mémoire ne supportent pas cette fonction il est donc conseillé de procéder à un test de stabilité avant de laisser cette option activée. CPU to PCI Write Buffer Cette option permet d’ajouter une mémoire tampon entre les transferts de données allant du processeur vers le bus PCI. Si cette option est désactivée les transferts du CPU vers le bus PCI seront directs, toutefois et comme vous le savez certainement, le processeur est bien plus rapide que le bus PCI pour transférer des données. Ainsi sans cette mémoire tampon le processeur passera donc la majorité de son temps à attendre que le bus PCI termine de traiter les informations que le processeur lui a envoyé. Pour de meilleures performances il est donc conseillé d’activer cette option. PCI Dynamic Bursting Cette option permet d’ajouter une mémoire tampon pour accélérer les transactions de données au niveau du bus PCI. Il est conseillé d’activer cette option pour obtenir de meilleures performances. PCI Master 0 WS Write Cette option permet de déterminer le nombre de cycle d’attente avant que les nouvelles écritures au niveau du bus PCI soient prises en compte, si cette option est activée il n’y aura aucun cycle d’attente, si par contre cette option est désactivée un cycle d’attente sera ajouté avant chaque écriture. Pour de meilleures performances au niveau du bus PCI il est conseillé d’activer cette option, si par contre vous rencontrez des problèmes avec vos cartes PCI, ou lors d’un overclocking de la fréquence de bus et du bus PCI il peut être utile de désactiver cette option. PCI Delay Transaction Il s’agit d’un équivalent de la fonction «Delay Transaction" qui permet de synchroniser le bus PCI et le bus ISA, elle permet également d’autoriser l’utilisation du «Chipset Write Buffer » pendant les temps de transaction. Afin d’être conforme à la norme PCI 2.1 et pour améliorer les performances et la stabilité du système il est conseillé d’activer cette option. PCI#2 Access #1 Retry Lors que l’option « CPU to PCI Write Buffer » (cf. ci-dessus) est activée toutes les données en destination du bus PCI sont inscrites dans la mémoire tampon du bus PCI afin d'éviter au maximum l'occupation du processeur, toutefois il se peut que ces écritures dans la mémoire tampon du bus PCI échouent. Si cette option est activée les informations seront directement inscrites dans le bus PCI dés que possible, au contraire si cette option est désactivée la mémoire tampon va vider son contenu et va signaler au CPU que la transaction a échoué, dans ce cas le CPU devra réinscrire correctement ces informations dans la mémoire tampon du bus PCI. Il est conseillé d’activer cette option si vous ne possédez pas de cartes PCI lentes, dans le cas contraire désactivez cette option. AGP Driving Control Cette option permet de choisir si l’intensité du signal du bus AGP doit être réglé manuellement ou automatiquement. Dans la plupart des cas on choisira la fonction automatique, mais si vous rencontrez des problèmes lors d’un overclocking via la fréquence de bus avec le port AGP vous pouvez choisir la fonction manuelle. AGP Driving Value Cette option permet de définir l’intensité du signal qui traverse le bus AGP dans le cas ou vous avez choisi la configuration manuelle pour l’option « AGP Driving Control ». La valeur par défaut est DA (218) mais avec certaine carte graphique de bonne qualité comme les cartes à base de GeForce2 il est possible d'augmenter cette valeur à 234 = (ce qui correspond à EA en hexadecimal) pour améliorer la stabilité du bus, c’est parfois utile lorsque vous overclockez votre système via la fréquence de bus. Toutefois gardez en tête que cette augmentation de l’intensité de ce signal peut endommager votre carte graphique, vous voilà prévenus ! K7 CLK_CTL Select (nouveaux BIOS) Cette option lorsqu’elle est activée, permet d’optimiser les fonctions de votre processeur AMD. Pour obtenir de meilleures performances il est conseillé de laisser cette fonction activée. Attention : cette partie présente sur quelques BIOS uniquement permet de modifier les performances générales du processeur. Il est fortement déconseillé de modifier les valeurs indiqués sans avoir d'objectif précis. CPU Operating Speed Cette option permet de définir la fréquence de fonctionnement qui sera appliquée à votre processeur. Cette option ne propose que des fréquences officielles. Multiplier Factor Cette option permet de modifier le coefficient multiplicateur du processeur. Aujourd'hui cette option est sans intérêt pour les processeurs Intel puisqu'on ne peut pas modifier leur coefficient multiplicateur pour les overclocker. Cette option n'a donc d'intérêt qu'avec les processeurs AMD (Duron et Thunderbird) dont on peut modifier le coefficient multiplicateur une fois leurs ponts L1 reliés (cf. dossier overclocking Duron) pour les overclocker à leur maximum. CPU FSB / CPUFSB Plus (Mhz) Cette option permet de modifier la fréquence de bus qui sera appliquée au processeur. Cette option est le seul moyen pour overclocker un processeur Intel. La fonction CPUFSB Plus permet d'augmenter la fréquence de bus par pas de 1 Mhz jusqu'a un maximum de +28 Mhz. Fast Commande Decode En mode Fast cette option permet d'accélerer le traitement des adresses en sortie par le processeur. Pour une stabilité accrue il est conseillé de laisser cette option en mode normal, pour améliorer les performances de votre système vous pouvez passer cette option en mode Fast. CPU Drive Strength Cette option permet de définir l'intensité du signal entre le northbridge (chipset) et le processeur. Pour les systèmes overclocker une intensité de 3 est conseillée pour améliorer la stabilité du système. Enhance Chip Performance Si cette option est activée les temps de latence entre le northbridge et le processeur seront réduits au minimum pour offrir de meilleures performances. Force 4-Way Interleave : Si vous activez cette option votre mémoire fonctionnera en mode 4 Way Interleave pour de meilleures performances. Toutefois toutes les mémoires ne supportent pas cette option. La fonction Interleave permet d’alterner le rafraîchissement et les cycles d’accès aux différents bancs de la mémoire SDRAM pour obtenir de meilleures performances (ex : un banc rafraîchi ses données, tandis que les données de l’autre banc sont consultées). En règle générale chaque barrette de mémoire SDRAM est composée de deux ou quatre bancs. Les barrettes de 32 Mo et moins sont en général composées de 2 bancs puisqu’elles utilisent des chips de 2 Mo. Tandis que les barrettes de mémoires de 64 Mo et plus sont des barrettes de type 4 bancs. Enable Dram 4K-Page Mode Cette option est destinée a améliorer les performances des barettes de mémoire composées de chip de 8 Mo et plus. DRAM Clock Cette option permet de définir la fréquence de fonctionnement de vos barettes de mémoire. Deux options sont possibles : Host-Clk = fréquence synchronisée sur celle de votre fréquence de bus, HostClk + PCI Clk = fréquence synchronisée sur votre fréquence de bus + celle de votre bus PCI (ex : fréquence de bus de 100 Mhz donc votre fréquence de bus PCI est de 1/3*100 = 33 Mhz, donc votre mémoire fonctionnera à la fréquence de 100 + 33 Mhz = 133 Mhz). Onboard IDE 1 / Onboard IDE 2 Cette option permet d'activer ou de désactiver les ports IDE non utilisés. Par exemple, si vous avez un ordinateur de plus d'un an et sans périphérique SCSI, avec juste un disque dur et un lecteur (Cd ou Dvd), il y a fort à parier que le canal IDE 2 est libre. Le paramètre Auto permet de laisser gérer cette configuration par l'ordinateur. Si vous ne maîtrisez pas les termes IDE, SCSI et IRQ, je vous conseille de laisser l'option Auto. IDE Prefetch Mode A activer (Enable) pour accélérer les accès aux disques durs. USB Controller A désactiver si vous n'avez pas de périphérique USB (Clavier, souris). Je vous conseille de laisser l'option par défaut (Enabled ou Disabled) si vous n'avez pas de problèmes. Ce paramètre n'accélère en aucun cas les performances, mais il permet de libérer éventuellement une IRQ. USB Keyboard Support (OS/BIOS) Ce paramètre permet de définir qui va gérer votre clavier (le système d'exploitation ou le Bios). Choisissez Bios si vous utilisez le Dos. Sinon, vous n'aurez pas de clavier sous Dos. Onboard FDD Controller Concerne le lecteur de disquette. Si vous n'avez pas de lecteur de disquette, désactivez ce paramètre. Dans les autres cas, laissez le activé (Enabled). Onboard Parallel Port Ne pas toucher si vous n'avez pas de problème de conflit matériel. Si votre ordinateur ne parvient pas à détecter un périphérique sur votre port parallèle (reportez vous à la documentation de votre ordinateur pour savoir où est le port parallèle), alors ce paramètre peut vous permettre de configurer vous-même les adresses d'entrée et de sortie et l'IRQ de votre port parallèle. Parallel Port Mode Là aussi, si vous n'avez pas de problème de port parallèle, laissez l'option choisie (SPP, ECP, EPP ou ECP-EPP). Normalement, un lecteur Zip devrait être ECP (le plus rapide), et une imprimante EPP (Enhanced Parallel Port). Vous trouverez ces spécifications sur la notice explicative de votre matériel concerné. PNP OS Installed Ce paramètre permet d'allouer la gestion des ressources au système d'exploitation (YES) ou au BIOS (NO). En général et par défaut sur NO, c'est donc le BIOS qui se charge de tout. CPU to PCI (Posting ou Write Buffer) (1), PCI Burst (ou Dynamic Bursting) (2) et PCI to CPU Posting (3). Pour améliorer les performances du bus PCI, activez (Enabled) les options qui permettent respectivement de créer un système de Buffer pour contenir les données envoyées par le processeur (CPU) vers le bus PCI (1), de transférer plus de données à la fois (2) et de gérer un buffer PCI vers le processeur (CPU) (3). A tester, comme toujours, et à n'utiliser que si vous souhaitez vraiment tirer profit au maximum des possibilités de votre PC. Force Update ESCD ou Reset Configuration Data Ce paramètre permet, en cas d'activation, de re-détecter les cartes Plug and Play. Se désactive d'ellemême après un reboot. A utiliser donc en case problème de détection des cartes. Resources Controlled By En cas de conflit matériel, ce paramètre permet de configurer manuellement vos différentes cartes en leur allouant les IRQ et DMA de votre choix (Réglé sur Manual). Si non, laissez l'option Auto activée (C'est le BIOS qui se charge de tout). Assign IRQ For VGA A activer ou à laisser activé. Assigne une IRQ (Interrupt Request Line) à votre carte graphique (qui en a besoin pour fonctionner). Assign PIRQ 0 (1,2, puis 3) Use Number Cette partie est consacrée aux attributions d'IRQ. L'option par défaut est Auto, ce qui laisse au BIOS le soin de configurer vos périphériques. A n'utiliser que si vous maîtrisez les IRQ et en cas de conflit matériel. Load Setup Defaults Ce menu permet de charger les paramètres par défaut de votre Bios. User Password (et Supervisor Password) Ce menu permet d'attribuer un mot de passe pour limiter l'accès à votre BIOS. Ne perdez pas ce mot de passe si vous en entrez un, il est quasiment irrécupérable (nécessite une intervention matérielle). Evaluez si ce mot de passe est vraiment nécessaire... Power Management Setup Ce menu concerne l'alimentation électrique de votre ordinateur. Les modifications n'améliorent pas les performances et sont donc à proscrire. Exit Saving Changes Quitte le BIOS en sauvegardant les modifications. Exit Without saving Quitte le BIOS sans sauvegarde des modifications. Vérifier les ports USB / Retour au menu Des clés USB qui ne semblent pas être reconnues? Une imprimante qui se montre récalcitrante? Un dysfonctionnement général des ports USB? Pour comprendre précisément ce qui se passe sur vos ports USB et ce que le système reconnaît ou ne reconnaît pas, il existe un outil gratuit très pratique: USBDeview... USBDeview est un petit utilitaire qui affiche la liste de tous les périphériques USB actuellement connectés ou qui ont déjà été connectés à votre PC. Pour chaque périphérique, le logiciel affiche des informations très utiles qui permettent de vérifier si le périphérique est bien reconnu, s'il est complètement reconnu et si ses pilotes sont bien installés. Les informations qu'il délivre permettent également de retrouver plus facilement sur Internet les pilotes correspondants. - Le programme ne nécessite aucune installation. Il s'exécute par un simple double-clique. Sous Vista, il est conseillé de lancer le logiciel en cliquant dessus du bouton droit et en choisissant "Exécuter en tant qu'administrateur". - Dès le lancement, le logiciel affiche une grille aux multiples colonnes. Chaque ligne de la grille correspond à un périphérique USB actuellement connecté ou ayant déjà été connecté au PC. - Le menu Options permet de spécifier si on veut afficher: * les périphériques déconnectés * les périphériques sans numéro de ports * les périphériques sans pilote (à priori, ces périphériques sont en erreur) * les concentrateurs USB Les colonnes donnent différentes informations utiles sur les périphériques USB de votre ordinateur. Vous devez particulièrement surveiller les colonnes suivantes : - Nom du périphérique indique essentiellement le port USB sur lequel le périphérique est connecté - Description est la colonne la plus utile. Elle indique le nom détaillé du périphérique et dans certains cas le fichier ".INF" ayant servi à sa reconnaissance. - Type de périphérique permet de vérifier le niveau de reconnaissance de la clé par le système. Une clé ou un lecteur externe doivent afficher "Stockage de masse". - Disabled vous indique si, pour Windows, ce périphérique est Actif ou Inactif. Un périphérique marqué comme "Disabled = Oui" peut être réactivé en cliquant dessus du bouton droit et en sélectionnant "Enable Selected Devices" - ID du fournisseur et ID du produit sont deux données essentielles pour retrouver les pilotes du périphérique à travers Internet via les moteurs de recherche. - Classe USB permet de vérifier à quelle classe le périphérique USB appartient et de contrôler ainsi qu'il a bien été reconnu 1=périphérique audio 2=modems 3= périphérique HID/souris/clavier 6=scanner ou appareil photo 7= imprimante 8=périphérique de stockage 9=hub). La valeur 0 indique que la classe doit être récupérée depuis le champ de description. En cas de soucis avec un des périphériques USB, qui par exemple s'affiche en erreur et ne réclame pas son pilote, essayez la manipulation suivante: - Sélectionnez le périphérique dans la liste - Cliquez dessus du bouton droit - Cliquez sur "Disable + Enable Selected Device" En cas de problèmes généralisés sur les branchements USB, si votre PC ne veut plus reconnaître aucun périphérique USB, essayez la manipulation suivante: - Déconnectez tous vos hubs USB et vos périphériques USB (sauf clavier/souris) - Dans Options, cochez toutes les options "Afficher..." - Sélectionnez ensuite tous les périphériques en appuyant sur la combinaison [Ctrl] + [A] - Allez dans le menu Fichier et faites "Désinstaller les périphériques sélectionnés" - Redémarrez le PC - Reconnectez les hubs puis reconnectez un à un chaque périphérique USB. Le formatage Bas niveau / Retour au menu Les disques durs ne sont pas parfaits à 100 % et il existe des défauts dans leur structure de stockage des informations. Certaines pistes sont, en effet, défectueuses. Le formatage bas niveau permet de les connaître et d’informer le système d’exploitation qui viendra exploiter le disque dur, de ne pas utiliser certains endroits pour y inscrire les précieuses données. Beaucoup de personne ne distinguent pas le formatage de bas niveau (appelé aussi formatage physique) et le formatage de haut niveau (appelé aussi formatage logique). Les disques durs, aussi petits soient-ils, contiennent des millions de caractères, il faut donc organiser les données afin de pouvoir localiser les informations, c'est le but du formatage. La surface de chaque cylindre, originalement uniforme est divisée lors du Tête bleu (écriture) Tête rouge (lecture) Flèches jaunes (particules désorganisées) Flèches rouges zone 1, 2, 4 correspondent à un 0 logique Flèches rouges zone 3 correspondent à un 1 logique Le but du formatage de bas niveau est de diviser la surface des disques en éléments basiques: pistes secteurs cylindres Le formatage physique consiste à ainsi organiser la surface de chaque plateau en entités appelées pistes et secteurs, en polarisant grâce aux têtes d'écriture des zones du disques. Les pistes sont numérotées en partant de 0, puis les têtes polarisent concentriquement la surface des plateaux. Lorsque l'on passe à la piste suivante, la tête laisse un "trou" (appelé gap en anglais) et ainsi de suite. Chaque piste est elle-même organisée en secteurs (numérotés en commençant à partir de 1) séparé entre eux par des gaps. Chacun de ces secteurs commence par une zone réservée aux informations du système appelée préfixe et se termine par une zone appelée suffixe Le formatage de bas niveau a donc pour but de préparer la surface du disque a accueillir des données (il ne dépend donc pas du système d'exploitation et permet grâce à des tests effectués par le constructeur de "marquer les secteurs défectueux. Lorsque vous achetez un disque dur, celui-ci a déjà subi un formatage de bas niveau, IL N'EST DONC PAS NECESSAIRE D'EFFECTUER UN FORMATAGE DE BAS NIVEAU! Sites de téléchargement de programme de formatage bas niveau : http://www.killdisk.com/downloadfree.htm Manipulations pour le formatage bas niveau Si vous n'êtes pas un familier des manipulations sous DOS, passez votre chemin, et demandez à un ami d'y procéder à votre place. MEDIAFORM ne pourra être tenu responsable des mauvaises manipulations et des problèmes pouvant résulter d'un formatage bas niveau. Prévoyez plusieurs heures de traitement (environ 1/4 d'heure par Giga-octet), même si vous n'avez pas à intervenir pendant l'opération. Vous aurez besoin d'une disquette de démarrage (disquette originale d'installation de Windows, ou disquette créée vous-même contenant les programmes FORMAT.COM et FDISK.EXE, et d'une disquette contenant le programme LOFORMAT.EXE. Sauvegardez les fichiers que vous voulez conserver. Redémarrez votre ordinateur, et ouvrez l'outil de configuration du bios (appuyez au démarrage sur la touche SUPPR ou DEL de votre clavier). Vous allez vous déplacer avec les flèches, et confirmer vos sélections avec la touche "Entrée"; pour quitter un menu, appuyez sur "Echap" ou "Esc". Allez dans le menu "Bios features" et mettez comme séquence de démarrage "A-C-SCSI" pour que votre disquette de démarrage soit lue au boot de votre PC. Allez dans le menu "HDD auto-détection". Le bios va chercher votre disque dur. Choisissez la valeur "NORMAL". Quittez l'outil de configuration du bios en sauvant votre nouvelle configuration: "Save & Exit Setup". Insérez votre disquette de démarrage et redémarrez votre ordinateur. Dans le menu qui vous est proposé, choisissez un démarrage sous DOS, avec ou sans prise en compte du lecteur de CD-Rom. Maintenant que vous êtes sous Dos, tapez "A:/Fdisk" + Entrée. Vous entrez dans FDISK.EXE. Activez la prise en charge des disques de grande capacité. Si vous avez plusieurs disques durs, vous allez devoir éventuellement modifier le lecteur de disque dur en cours (option 5). Puis choisissez l'option 3 pour supprimer les lecteurs logiques et partitions du disque dur. Supprimez d'abord les lecteurs logiques éventuels, la deuxième partition éventuelle, puis finissez par supprimer la partition DOS principale. Quittez FDISK.EXE. Revenu au prompt DOS, insérez la disquette sur laquelle vous avez copié LOFORMAT.EXE et tapez "A:/LOFORMAT". Vous entrez dans LOFORMAT. Comme dans l'outil de configuration du bios, vous allez vous déplacer avec les flèches et sélectionner avec le touche "Entrée"; sortez d'un sous-menu en appuyant sur "Echap" ou "Esc". Commencez par sélectionner le disque dur que vous voulez formater. Allez sur "Bad Track List" et choisissez "Auto Scan Bad Track". Cet utilitaire va détecter les parties abîmées de votre disque. Une fois le travail terminé, allez sur "Preformat". Choisissez "Start Format" et tapez "Y" (pour YES). Le formatage commence il faut compter 1/4 d'heure par Giga-octet Si votre disque dur semblait abîmé, n'hésitez pas à opérer ce formatage deux ou trois fois, afin de retrouver un DD bien réinitialisé. Pour un disque neuf, une fois suffit. Quittez LOFORMAT, insérez votre disquette de démarrage et redémarrez votre ordinateur. Ouvrez l'outil de configuration du bios, allez dans "HDD auto-detection" et sélectionnez cette fois la première option proposée (la plupart du temps, l'option LBA). Quittez l'outil en sauvant ("Save & Exit Setup") et redémarrez sur votre disquette. Au prompt Dos, répétez les étapes 8 et 9 pour ouvrir FDISK.EXE. Vous allez devoir créer une partition principale (option 1). Utilisez toute la place disponible, ou faites votre petite salade si vous désirez des partitions complémentaires ou des lecteurs logiques. Quittez FDISK et redémarrez votre ordinateur avec votre disquette de démarrage. Au prompt Dos, vous allez pouvoir enfin effectuer un formatage traditionnel. Tapez "A:/FORMAT C:". Le formatage commence, et celui-ci est assez rapide. Lorsque le programme vous demande un nom pour votre disque, tapez ce qui vous intéresse ou "C$g$" si vous désirez en accélérer l'accès par votre système. Si le disque dur que vous venez de formater est votre disque principal, il vous reste à installer votre système d'exploitation. Sinon, redémarrez votre ordinateur normalement Défragmenter un disque dur / Retour au menu Quand faut-il défragmenter un volume ? Comme les volumes peuvent se fragmenter fortement lorsque des utilisateurs suppriment un grand nombre de fichiers ou de dossiers, il est recommandé d'analyser les volumes après de telles suppressions. En règle générale, les volumes d'un serveur de fichiers très utilisés doivent être défragmentés plus souvent que ceux de la station de travail d'un utilisateur. Avant de décider s'il faut défragmenter un volume, vous pouvez commencer par l'analyser. À la fin de l'analyse, une boîte de dialogue vous indique le pourcentage de fichiers et de dossiers fragmentés dans le volume et propose des mesures. Analysez les volumes régulièrement et ne les défragmentez que lorsque le Défragmenteur de disque recommande de le faire. Pourquoi les volumes se fragmentent-ils ? Les volumes se fragmentent lorsque des utilisateurs créent et suppriment des fichiers et des dossiers, installent de nouveaux logiciels ou téléchargent des fichiers sur Internet. Les ordinateurs n'enregistrent pas obligatoirement l'intégralité d'un fichier ou d'un dossier au même endroit, mais utilisent le premier espace disponible dans un volume. Une fois qu'une grande partie d'un volume a été utilisée pour le stockage de fichiers et de dossiers, la plupart des nouveaux fichiers sont enregistrés en morceaux dispersés dans le volume. Si vous supprimez des fichiers ou des dossiers, les vides laissés par cette opération se remplissent de façon aléatoire à mesure que vous enregistrez de nouvelles informations. Plus un volume est fragmenté, plus les entrées/sorties de fichier de l'ordinateur sont lentes. Défragmenter sous Windows 2000 1. Double cliquez sur l'icône «Poste de travail» sur le bureau Cliquez sur « Propriétés » Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le disque que vous voulez défragmenter 2. Sélectionnez l'onglet «Outils» 3. La deuxième section de cette onglet s'intitule «Défragmentation» Cliquez sur «Défragmenter maintenant» La fenêtre «Défragmenteur de disque» s'ouvre 4. Windows 2000 vous propose tous les disques que vous pouvez défragmenter Sélectionnez le disque choisi, et cliquez sur «Défragmenter» 5. Il vous est aussi possible de cliquer sur «Analyser», cela vous permettra de suivre pas à pas l'état de défragmentation du disque 6. Vous pouvez enfin choisir « Afficher le rapport», aussi Windows 2000 vous fournira un compte-rendu détaillé de la défragmentation du disque choisi Paramétrage dune LiveCam / Retour au menu Nous ne traiterons ici seulement du fonctionnement d'une "Live Cam" car la vidéoconférence et le vidéo mail sont beaucoup plus simples à mettre en oeuvre. Pour installer votre propre Webcam il est nécessaire d'avoir quelques connaissances sur internet et sur le langage HTML. Si c'est le cas vous verrez que ce n'est pas si difficile d'installer une Webcam, les quelques lignes qui suivent devraient vous aider quelque peu. Comment ça marche Il y'a 2 méthodes principales: le système "FTP upload", c'est la plus répandue et il y'a le système "Streaming cam" c'est intéressant mais très gourmand en bande passante ! 1. "FTP upload Le schéma ci-dessous montre le système le plus utilisé, soit le système "FTP upload". 1. Votre caméra filme quelque chose. 2. Le software capture une image (au format JPG) toutes les x secondes (10, 30, etc.) et l'envoie, par FTP, sur le Web serveur (3) (normalement votre hébergeur). Ensuite cette image sera récupérée par votre page Web et rafraîchie toutes les x secondes Pour rafraîchir les images sur la page Web il existe 2 façons de faire: Le "Meta Refresh" C'est la méthode la plus simple à mettre en oeuvre, la commande se présente comme suit: <HTML> <HEAD> <META HTTP-EQUIV="REFRESH" CONTENT="360"> 360 étant le nombre de secondes. L'inconvénient de cette commande c'est que la page entière est rafraîchie ! Une autre solution (la meilleure) consiste à utiliser une Applet Java qui va va rafraîchir uniquement l'image Rafraîchissement de l'image par Applet JAVA Vous pouvez obtenir l'applet Java ici. L'applet JavaCam.class doit être dans le même répertoire que celui dans lequel vous envoyez l'image de la Webcam. Voici le code à intégrer dans le code source de votre page Webcam (webcam32.jpg correspond au nom de l'image, peut être changé sans autre) <APPLET code="JavaCam.class" width="320" height="240"> <PARAM name="url" value="http://www.yourhost.com/webcam32.jpg"> <PARAM name="interval" value="10"> </APPLET> Si vous ne voulez pas placer l'image et l'applet dans le répertoire racine alors précisez-le comme suit: <APPLET code="JavaCam.class" codebase="http://www.yourhost.com/nom du rép." width="384 height="288"> <PARAM name="url" value="http://www.yourhost.com/nom name="interval" value="5"> /APPLET> du rép./webcam32.jpg"> <PARAM La première ligne précise le nom de l'applet, son emplacement et la grandeur du cadre (de l'image de votre Webcam). La deuxième ligne donne l'emplacement de l'image. la troisième ligne donne l'intervalle de rafraîchissement de l'image. 2. Le système "streaming cam" Le schéma ci-dessous montre le système "streaming cam". Cette fois-ci lorsque quelqu'un charge votre page web, l'image va venir directement de votre PC (via l'adresse IP de celui-ci et un No. de port) car le software (tel que webcam32) peut aussi faire office de serveur vidéo pour cette application. Ce système demande beaucoup de bande passante puisqu il se veut être "live" c'est pourquoi les résultats ne sont pas nécessairement bon, une connection de 56K ne suffit pas vraiment, cela dépend encore de la connexion du client (votre visiteur) et de la grandeur de l'image. Le software Webcam32 permet d'utiliser cette méthode et Truetech Webcam utilise uniquement cette méthode. De quoi avez-vous besoin 1. Un hébergeur pour votre site internet. (certains soft de webcam proposent d'héberger votre Webcam page) 2. Une Webcam ou une carte / kit de capture vidéo (si vous possédez une caméra vidéo 3. Un soft pour faire fonctionner le tout. Voir page software. Installation d'une Webcam avec le software Webcam32 ver. 5.xx utilisant le "FTP UPLOAD" Nous vous proposons ci-dessous une installation de base avec un programme très répandu utilisant la méthode "FTP Upload". Pour connaître toutes les fonctionnalités de webcam32 vous pouvez vous référer à son manuel online. Premièrement vous devez être prêt avec les points suivants: 1. Vous avez une Webcam. 2. 2. Vous disposez d'une connection à internet (dial-up, cablemodem, LAN, etc...). 3. 3. Vous avez un endroit où héberger votre site internet. 4. Téléchargez la version d'essai de Webcam32 ici. Vous pourrez ensuite acheter le programme pour $25 seulement à l'adresse suivante: http://surveyorcorp.com ) Ensuite suivez, point par point, les étapes suivantes: Paramétrage de webcam32. Création de votre page Webcam. A. Paramétrage de Webcam32. 1. Installez votre Webcam sur votre PC. 2. installez le soft "webcam32". 3. Démarrez webcam32, la fenêtre suivante doit apparaître (et vous devez vous voir): 5. Maintenant nous allons configurer FTP pour envoyer vos captures d'images sur votre serveur Web. Cliquez sur le bouton FTP , la fenêtre suivante apparaît: Configuration de l'onglet "FTP basic": FTP server: Entrez le nom du serveur FTP que vous utilisez pour mettre à jour vos pages web. FTP Userid: votre nom d'utilisateur. FTP password: Votre mot de passe. Directory: Normalement c'est "public_html" mais souvent il ne faut rien mettre. (Ça peut éventuellement être autre chose, en cas de doute, demandez a votre hébergeur). Upload interval: C'est en secondes. (si vous entrez 10, la capture d'images sera envoyée toutes les 10 secondes). Save count: Cette option permet d'archiver les x dernières images. (Dans notre exemple x = 0 = pas d'archivage). Par exemple si vous mettez 6, au prochain "upload" l'image précédente va être renommée avec un numéro à la fin. Dans notre exemple l'image a le nom "webcam32.jpg" donc les images précédentes seront archivées avec les noms: webcam321.jpg, webcam322.jpg......... webcam326.jpg. (l'image la plus fraîchement envoyée aura toujours le nom tel que celui entré dans le champ "File name"). Ensuite cliquez sur l'onglet "FTP advanced", la fenêtre suivante apparaît: Vérifiez que la configuration corresponde à celle indiquée ci-dessus. Normalement cette configuration doit fonctionner mais si vous êtes derrière un "firewall" et/ou un proxy il vous faudra alors modifier les champs "Passive FTP" et "Proxy settings". Ensuite pressez OK. 5. Indiquez maintenant la taille de l'image que vous allez envoyer en cliquant sur "setting" puis "Format": Nous vous conseillons vivement le 320x240 qui est standard. 6. Vous ètes maintenant de retour sur la fenêtre principale et il est temps d'effectuer le premier test: Pressez une fois sur le bouton "FTP Now" ("FTP now" envoie une seule capture d'image, "FTP start" envoie une capture toutes les x secondes en fonction de votre configuration). 7. 8. Fermez Webcam32 et lancez votre programme FTP favoris (celui que vous utilisez pour mettre à jour vos pages web) et vérifiez que l'image à bel et bien été envoyée (vous devez trouver l'image "webcam32.jpg"). Si c'est le cas la configuration est OK, si non re-vérifiez votre configuration depuis le point 4. B. Création de votre page Webcam. Les points suivant consistent à afficher les images sur votre page web. Pour ce faire nous utiliserons 2 methodesà choix: le META REFRESH qui est simple mais qui rafraîchit TOUTE la page et le JAVA REFRESH plus compliqué mais qui ne rafraîchit que l'image. Le META REFRESH: le tableau ci-dessous vous générera automatiquement un code HTML complet utilisant le Meta refresh qui vous donnera une page Webcam simple que vous pourrez modifier ultérieurement. Comment faire: 1. Remplissez toutes les cases 1 à 6. 2. Cliquez sur "Créer mon code HTML". 3. Copiez le code ainsi géneré. 4. Collez- le dans une page vierge de votre éditeur web préferé (mode HTML). 5. Sauvegardez votre page sur votre serveur. 1. Le titre de ma webcam: 2. L'URL complet de l'image: (ex: http://monserveur/.../webcam32.jpg) 3. L' intervale de rafraîchissement de l'image en SECONDES: 4. Mes mots clés séparés d'un virgule: (ex: webcam,nom,prénom,pays) 5. 6. La Le commentaire description qui viendra de en dessous JAVA REFRESH (Rafraîchissement par Applet JAVA): mon de site: la Webcam: 1. Téléchargez l'applet ici. 2. Extractez le fichier et placez le fichier JavaCam.class dans le même répertoire que celui dans lequel vous envoyez l'image de la Webcam (webcam32.jpg). le tableau ci-dessous vous générera automatiquement un code HTML complet utilisant le Java refresh qui vous donnera une page Webcam simple que vous pourrez modifier ultérieurement. Comment faire: 1. Remplissez toutes les cases 1 à 7. 2. Cliquez sur "Créer mon code HTML". 3. Copiez le code ainsi géneré. 4. Collez- le dans une page vierge de votre éditeur web préferé (mode HTML). 5. Sauvegardez votre page sur votre serveur. 1. Le titre 2. L'URL du répertoire http://monserveur/...) SANS le nom de de l'applet du ma JAVA fichier webcam: (javacam.class): à la fin (ex: ! 3. L'URL complet de l'image: (ex: http://monserveur/.../webcam32.jpg) 4. L' intervale de rafraîchissement de l'image en SECONDES: 5. Mes mots clés séparés d'un virgule: (ex: webcam,nom,prénom,pays) 6. 7. La Le commentaire description qui viendra de en dessous mon de site: la Webcam: Vérification du fonctionnement: 1. Démarrez Webcam32 et cliquez sur le bouton "FTP Start": 2. Ouvrez votre navigateur, allez sur votre page webcam et vous devez vous voir (rafraîchit toutes les x secondes). Normallement cela doit fonctionner, si ce n'est pas le cas prenez le temps de tout re-vérifier et si ça ne marche vraiment pas vous pouvez alors me contacter :-) Les Processus / Retour au menu Présentation générale Comme la plupart des systèmes d’exploitation, Windows peut exécuter plusieurs programmes simultanément. Cependant, à moins que votre ordinateur ne dispose de plusieurs processeurs (bi-processeur ou cpu à double coeur), il peut seulement exécuter une seule tâche à la fois. Pour résoudre ce problème Windows commute (bascule) très rapidement entre tous les programmes en cours d’exécution, ce qui donne l'illusion que ces derniers tournent en parallèle. Si vous avez déjà rencontré un plantage du système, c’est probablement que la commutation s’arrête, entraînant l'arrêt de tous les programmes actifs. Cela survient quand un processus verrouille le processeur et ne le libère pas. Qu'est-ce qu'un processus ? Tandis que le mot "programme" se réfère au code exécutable (le fichier .exe, par exemple), un processus est un programme qui est exécuté. Quand vous lancez un programme sous Windows, l'exécutable est chargé en mémoire et Windows l'inscrit dans sa liste interne de processus et s'assure qu’il reçoit bien du temps processeur et de la mémoire, tout comme pour les autres applications. Un processus peut alors demander autant de ressources qu'il y en a de disponibles, Windows tenant en effet à jour en temps réel l’utilisation des différentes ressources. Aussitôt qu'un processus est terminé, toutes les ressources utilisées par ce processus sont libérées et sont alors redistribuées à d'autres qui les demandent. Pourquoi terminer un processus ? Chaque fois qu'un processus est terminé (supprimé) par l'utilisateur, toutes les ressources utilisées par ce dernier sont alors libérées et deviennent disponibles aux autres processus. L’utilisation des ressources est différente selon les processus, certains utilisent beaucoup plus de ressources que d'autres. Plus il y a de ressources disponibles, plus l’exécution de nouveaux processus est rapide. Cela nécessite donc de terminer (désactiver) certains processus gourmands en ressources ou tout simplement inutiles. Processus système Actmovie.exe Cidaemon.exe Csrss.exe DllHost.exe Explorer.exe IExplore.exe Ireike.exe Lights.exe Mad.exe Mnmsrvc.exe MsgSrv32.exe Mssearch.exe NtFrs.exe RnaApp.exe AgentSvr.exe CiSvc.exe Ctfmon.exe DmAdmin.exe GrpConv.exe Imapi.exe IsmServ.exe Locator.exe Mdm.exe Mprexe.exe MsiExec.exe MsTask.exe NtosKrnl.exe RpcSs.exe Alg.exe CliSvcl.exe DdHelp.exe Dns.exe HelpCtr.exe InetInfo.exe Kernel32.dll LogonUI.exe Mmc.exe MsConfig.exe MsHTA.exe Mtx.exe NtVdm.exe RunDll32.exe Autorun.exe Cmd.exe DfsSvc.exe DumpRep.exe HidServ.exe Internat.exe Launch32.exe Lsass.exe Mmtask.tsk Msdtc.exe Msoobe.exe NetDDE.exe Rapimgr.exe ScardSvr.exe Scm.exe Services.exe Spoolss.exe Spoolsv.exe SysTray.exe TapiSrv.exe TelnetSvr.exe ups.exe winmgmt.exe wins.exe wmiexe.exe wmiprvse.exe Processus inactif du système Smss.exe SrvAny.exe TaskMgr.exe wgatray.exe wisptis.exe wowexec.exe Spool32.exe SvcHost.exe TaskSwitch.exe winlogon.exe wmiadap.exe wuauclt.exe atiptaxx.exe cdantsvr.exe dslagent.exe jusched.exe msimn.exe nvsvc32.exe qttask.exe soffice.exe traymon.exe wcescomm.exe ypager.exe atiptaxx.exe Cidaemon.exe fast.exe lexbces.exe msnmsgr.exe osa.exe realplay.exe sstray.exe updreg.exe wcesmgr.exe zlclient.exe Processus applicatifs acrord32.exe ccapp.exe ccsetmgr.exe gsicon.exe lexpps.exe msmsgs.exe osa9.exe rthdcpl.exe studio.exe vsmon.exe winampa.exe anvshell.exe ccevtmgr.exe control.exe instmsiw.exe mm_tray.exe navapsvc.exe osd.exe slserv.exe taskbaricon.exe vsserv.exe wzqkpick.exe Autres processus ascv.exe CMEsys.exe isass.exe mssearchnet.exe svhost.exeWToolsS.exe avserve.exe crss.exe igfxtray.exe savenow.exe Woinstall.exe bpk.exe fvprotect.exe jdbgmgr.exe skynetave.exe WSup.exe backweb.exe GMT.exe msbb.exe syshost.exe WToolsA.exe Top des processus malveillants crss.exe wmplayer.exe alcxmntr.exe wmiprvse.exe launcher.exe bpk.exe isass.exe wordpad.exe igfxtray.exe Adware.Websearch Afficher le gestionnaire de tâche de Windows (CTRL – Alt – Del) Taskmgr.exe Le processus taskmgr.exe (taskmgr signifiant task Manager) est le gestionnaire des tâches de Windows lui-même. Il est donc systématiquement lancé à chaque fois que vous souhaitez voir les processus d'arrière-plan ! Le processus taskmgr n'est en aucun cas un Virus résident, un ver, un cheval de Troie, un spyware, ni un AdWare. Il s'agit d'un processus pouvant être arrêté. Fdm.exe C'est l'exécutable principal du logiciel 'Free Download Manager' de l'éditeur Freedownloadmanager.org. Il s'agit d'une application qui gère et accélère les téléchargements. realsched.exe C'est un processus qui appartient au logiciel RealPlayer et assure les mises à jour du logiciel. Ctfmon.exe Le processus ctfmon.exe (dont le nom complet de processus est Alternative User Input Services) est un processus générique de Windows NT/2000/XP servant à gérer les entrées de saisie texte alternatives telles que les logiciels de reconnaissance de la voix (Speech recognition), les logiciels de reconnaissance d'écriture, les claviers braille ou toute alternative au clavier. Le processus ctfmon n'est en aucun cas un Virus résident, un ver, un cheval de Troie, un spyware, ni un AdWare. Le processus ctfmon est un processus système pouvant être arrêté. Wscntfy.exe Installé depuis le Service Pack 2, ce processus est lié au centre de sécurité de Windows XP. Il affiche un message lorsqu’il considère que votre ordinateur a un problème de sécurité. Notamment il détecte quand les mises à jour automatique de Windows sont désactivés et quand votre anti-virus ou votre pare feu ne fonctionne pas correctement. Nous vous conseillons de conserver ce processus mais aussi de vérifier par vous-même que vos logiciels de sécurité sont bien en état de marche. Explorer.exe Le processus explorer.exe est un processus générique de Windows NT/2000/XP. Il s'agit du processus gérant l'interface utilisateur (shell) ainsi que l'interface graphique de Windows (le bureau). Le processus explorer n'est en aucun cas un Virus résident, un ver, un cheval de Troie, un spyware, ni un AdWare. Il s'agit d'un processus système pouvant être arrêté. Afin de relancer le processus Explorer.exe et pouvoir à nouveau utiliser l'interface graphique il suffit de lancer le gestionnaire de programmes (CTRL+ALT+SUPPR), puis de sélectionner ouvrir et de saisir explorer.exe. ARRET DU PC / Retour au menu Cette version ne fonctionne que sur Windows XP et qu'une configuration (pc) relativement puissante est nécessaire (à cause de l'interface) Ce programme est développé en VB.NET, il est donc IMPERATIF D'AVOIR INSTALLE LE FRAMEWORK 1.1 de Microsoft pour que le programme fonctionne ! Loupe / Retour au menu Il est parfois bien pratique de posséder une loupe qui permet de grossir les éléments difficiles à visualiser sur votre écran. Loupe permet de grossir une partie de l'écran avec un grossissement paramétrable. GESTION DU CLIC DROIT / Retour au menu Configurer et personnaliser votre menu Cliquez-droit sur votre bureau ou quelque part dans l'explorateur Windows (pas Internet Explorer). Vous devriez alors obtenir un menu similaire à la présente Ecran de UB, cliquez sur Back to Mmm Sur le côté gauche du menu du programme de configuration -vous voyez les options du dernier menu utilisé Faites glisser les articles de gauche que vous n'utilisez jamais vers Hiddens items Faites glisser les éléments que vous utilisez parfois ou rarement utilisé dans Rarely used Conserver uniquement les éléments que vous utilisez souvent à la racine-menu (gauche). Cliquez sur Appliquer lorsque vous avez terminé. Les modifications que vous venez de faire appliquer à tous les menus dans l'explorateur qui pourrait contenir les éléments que vous avez déplacé / enlevé. Arrêter Mmm devrait rétablir les menus de votre retour à la façon dont ils ont été. Start menu : Si cette option est sélectionnée, un sous-menu sera créé que si elle contiendrait plus d'un point. Laisser off offrira une plus grande cohérence de l'apparence - les éléments qui sont traînés à un sous-menu sera toujours déplacé vers le sous-menu, même si elle est le seul point là. Show info-boxes Affiche ou dés affiche le menu d’aide Show tooltips Affiche ou dés affiche les infos bulle Auto-Check for updates Si cette option est sélectionnée, MMM vérifiera une fois par jour s’il y a une nouvelle version Aucune information sur vous ou sur votre système n’est transmise au cours de ce contrôle. Sur le côté gauche vous voyez les éléments figurant dans le dernier menu que vous avez ouverts. Sur la droite, vous trouverez tous les sous-menus et tous les éléments connus à ce jour. Les bleus points (i) indiquent les articles qui ont été visibles dans le dernier menu ouvert. Les points gris (I) font référence aux menus non applicables dans le dernier menu ouvert. Les points verts sont marqués W joker articles. Et les articles verts marqués d'indiquer les articles I déplacé en raison d'une wildcard point. (Les caractères ne sont supportés que dans Mmm +) Vous pouvez créer vos propres sous-menus (MMM +) vous permettant de groupe des articles similaires dans le cadre du même menu. Il suffit de faire glisser et déposer des articles pour faire à votre modification. Cliquez sur Appliquer quand vous êtes satisfait. Si vous voulez arrêter complètement Mmm, cliquez avec le bouton droit ici et sélectionnez Arrêter dans le menu. Vous pouvez également mettre votre menu en cours de configuration par-droitecliquant n'importe où dans cette fenêtre et en sélectionnant cette option dans le menu. Notez que certaines applications utilisent parfois «la fumée et des miroirs» lors de la génération de leurs menus. Non-standard menus ne sont généralement pas reconnus par Mmm et ne peuvent donc pas être déplacé ou caché. Le formatage haut niveau (logique) Retour au menu Le formatage logique s'effectue après le formatage de bas niveau, il crée un système de fichiers sur le disque, qui va permettre à un système d'exploitation (DOS, Windows 95, Linux, OS/2, Windows NT, ...) d'utiliser l'espace disque pour stocker et utiliser des fichiers. Les systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers différents, ainsi le type de formatage logique dépend du système d'exploitation que vous installez. Ainsi, si vous formatez votre disque en un seul système de fichiers, cela limite naturellement le nombre et le type de système d’exploitation que vous installez (en effet vous ne pourrez installer que des systèmes d'exploitation utilisant le même système de fichiers. Heureusement, il y a une solution à ce problème qui consiste à, créer des partitions. Chacune des partitions peut effectivement avoir son propre système de fichiers, vous pouvez par conséquent installer des systèmes d'exploitation de natures diverses. Formatage Haut niveau sous Windows X Plusieurs méthodes : Dans le poste de travail, faire un clic droit sur l'icône de la disquette, et prendre formater. Une nouvelle boite de dialogue apparaît, vous demandant de préciser la capacité de formatage 720 KO ou 1 M 44 Choisir ensuite le type de formatage : FAT (file allocation table) est la solution idéale pour un ordinateur qui exécute également Windows 95 ou version ultérieure, Windows pour Workgroups, MS-DOS ou OS/2. Le système de fichiers FAT convient tout particulièrement aux volumes de faible capacité ; il devient inefficace sur des volumes de plus de 2 Go. NTFS fournit des fonctionnalités d'autorisation, de cryptage, de compression et de récupération. NTFS est la solution recommandée si aucun autre système d'exploitation n'est installé sur l'ordinateur. Si l'ordinateur exécute également Windows 95 ou version ultérieure, Windows pour Workgroups, MS-DOS ou OS/2, soyez prudent lorsque vous formatez des volumes avec NTFS car ces systèmes d'exploitation sont incapables d'accéder aux volumes NTFS et de démarrer à partir de tels volumes. FAT32 apporte des améliorations au système FAT, notamment la prise en charge de volumes pouvant atteindre 32 Go et une utilisation plus efficace de l'espace disque grâce à des clusters de plus petite taille. Windows 2000, Windows 98 et Windows 95 OEM Service Release 2 sont les seuls systèmes d'exploitation capables d'accéder à des volumes FAT32. MS-DOS, Windows 3.1 et versions antérieures, Windows pour Workgroups, la version d'origine de Windows 95 et Windows NT 4.0 et versions antérieures ne reconnaissent pas les volumes FAT32 et ne peuvent pas démarrer à partir d'un volume FAT32. Donner la taille d'unité d'allocation Spécifie la taille des unités d'allocation ou des clusters sur le disque. Tous les systèmes de fichiers utilisés par Windows 2000 organisent le disque dur en fonction d'une taille de cluster qui représente le plus petit espace disque qui peut être alloué à un fichier. Plus la taille des clusters est petite, plus le stockage est efficace. Si aucune taille de cluster n'est spécifiée lors du formatage, Windows 2000 choisit des options par défaut en fonction de la taille du volume. Ces options par défaut ont été définies en vue de réduire l'espace perdu et la fragmentation du volume. Il est fortement recommandé d'utiliser les paramètres par défaut pour une utilisation générale. Donner un nom à la disquette : Offre un espace vous permettant de taper le nom que vous souhaitez affecter au volume de façon à pouvoir l'identifier facilement par la suite. Le nom de volume est limité à 11 caractères pour les volumes FAT et FAT32 et à 32 caractères pour les volumes NTFS. Formatage rapide Spécifie si vous souhaitez effectuer un formatage rapide en supprimant les fichiers stockés sur le disque sans rechercher les secteurs défectueux. N'utilisez cette option que si le disque a été formaté précédemment et si vous êtes sûr qu'il n'est pas endommagé. Les commandes DOS de formatage La commande Format /? Donne toutes les options de cette commande format. Microsoft Windows 2000 [Version 5.00.2195] (C) Copyright 1985-1999 Microsoft Corp. C:\>format /? Nettoyage du disque dur / Retour au menu Lorsque vous naviguez sur Internet, des centaines de fichiers s'enregistrent sur votre disque dur. Idem lorsque vous travaillez avec Word par exemple qui enregistre régulièrement des copies de sauvegarde de votre travail. Mi-bout à bout, tous ces fichiers pèseront vite plusieurs centaines de mégas si vous ne faites pas régulièrement le ménage. Etape par étape, voici détaillées quelques opérations à renouveler régulièrement... Nettoyage automatique Cet utilitaire, apparu avec Windows 98 vous permettra de gagner de la place sur votre disque dur en supprimant une partie de ces fichiers inutiles. - Cliquez sur "Démarrer", Sélectionnez "Programmes", "Accessoires" puis " Outils systèmes", Cliquez sur l'icône "Nettoyage du disque", Sélectionnez le disque à nettoyer dans le menu de la boîte de dialogue, Cliquez sur "OK", Dans l'onglet "Nettoyage du disque", cochez toutes les cases et cliquez sur "OK", Attention : les fichiers programmes téléchargés sont des utilitaires qui peuvent être nécessaires pour la consultation de certains sites Internet. Si vous n'êtes pas sûr de vous, décochez cette case avant de cliquer sur OK. Répétez l'opération si vous possédez plusieurs disques durs ou si votre disque est partitionné. L'utilitaire Nettoyage de disque vous permet de gagner de l'espace sur votre disque dur en supprimant les fichiers qui peuvent être effacés sans aucun danger. Le Nettoyage de disque repère tous les fichiers temporaires, les fichiers du cache Internet ainsi que les fichiers programmes inutiles que vous pouvez supprimer en toute sécurité. Pour accéder à cet utilitaire, cliquez sur le Bouton Démarrer, ensuite sur Programmes, puis sur Accessoires, sélectionnez Outils systèmes et cliquez enfin sur Nettoyage de disque. Une fenêtre apparaît, sélectionnez le lecteur que vous souhaitez nettoyer. Une fois votre choix fait, confirmez par OK. Une fenêtre s'affiche alors, énumérant les fichiers que vous pouvez supprimer. Il ne vous reste plus qu'à confirmer votre choix en cliquant sur OK. Effacer les fichiers temporaires (étapes 1 à 4) Le nettoyage automatique est pratique mais incomplet. Il vous faudra donc finir le travail à la main : 1ère étape - Sur votre bureau, double cliquez sur l'icône "poste de travail", - Double cliquez sur l'icône "Disque local (C:)", - Ouvrez le dossier "Windows", puis le dossier "Temp", - Sélectionnez tous les fichiers encore présents (Ctrl+A) puis supprimez-les (Suppr ou del), - Confirmez la suppression en cliquant sur "Oui". 2ème étape - Fermez toutes les fenêtres et cliquez sur "Démarrer", - Sélectionnez "Panneau de configuration", - Double cliquez sur l'icône "Options Internet", - Dans l'onglet "Général", cliquez sur le bouton "Supprimer les fichiers" puis cliquez sur le bouton "OK". 3ème étape Toujours dans l'onglet "Général", cliquez sur le bouton "Effacer l'historique" et confirmez en cliquant sur "Oui. Attention, cette dernière opération efface la liste des sites que vous avez consultés. Ils ne seront plus présents dans votre historique. Si vous souhaitez les conserver, n'en tenez pas compte... 4ème étape Enfin, certains sites web enregistrent à votre insu des petits fichiers .txt sur votre disque dur aussi appelés cookies. Inoffensifs, ils peuvent être utiles en vous évitant de toujours ressaisir votre mot de passe lorsque vous consultez vos mails par exemple. Ils peuvent aussi se révéler indiscrets en les renseignant sur vos habitudes de consultation... Pour les supprimer, cliquez sur le bouton "Supprimer les cookies dans l'onglet "Général". 5ème étape - Fermez toutes les fenêtres et cliquez sur "Démarrer", - Cliquez sur "Rechercher", - Sélectionnez "Fichiers ou dossiers", - Dans le champ nommé, saisissez : "*.tmp;*.wbk;*.bak" (ces extensions correspondent à des fichiers temporaires de sauvegarde qui peuvent être supprimés), - Dans le menu déroulant, sélectionnez "Poste de travail ou le disque dur (C: par exemple), - Cliquez sur "Rechercher maintenant", - Lorsque Windows a terminé sa recherche, sélectionnez tous les fichiers trouvés (Ctrl+A) puis supprimez-les (Suppr ou del). 6ème étape Videz la corbeille. Pour cela, fermez toutes les fenêtres ouvertes ou cliquez sur l'icône de la corbeille avec le bouton droit de votre souris. Dans le menu contextuel, sélectionnez "Vider la corbeille. La chasse aux parasites ! S'ils sont quantité négligeable en termes de taille, les éléments indésirables (souvent issus d'Internet ou d'applications) qui viennent polluer votre ordinateur doivent être promptement éliminés. Ils peuvent entraver le bon fonctionnement du PC, le ralentir ou bien espionner vos faits et gestes. Un bon coup de balai s'impose. A noter que les PC sous Windows sont beaucoup plus vulnérables aux "agressions" dont nous allons parler. Les cookies Si vous ne savez pas encore ce qu'est un cookie, jetez-vous sur notre dossier consacré au sujet. Vous y apprendrez aussi comment vous en débarrasser, comment trier les bon cookies des mauvais cookies (non, non, on ne parle pas de cuisine) ou recourir à des logiciels spécialisés pour maîtriser ces mouchards potentiels. Les virus On ne peut que le rappeler. Si vous êtes connecté à Internet, installez impérativement un anti-virus sur votre machine. Pour en savoir plus, consultez notre dossier complet sur les virus et les anti-virus. Et plus d'excuse, après cela ! Une fois le logiciel installé, nous vous conseillons de le paramétrer pour scanner régulièrement votre système à la recherche "d'intrus" (une fois par semaine par exemple). De même que lorsque vous téléchargez un fichier depuis Internet, surtout un programme, veillez à le scanner avant de le lancer. Les mouchards Le Web regorge de petits logiciels gratuits (freewares) ou presque (sharewares). Toutefois, certains d'entre eux contiennent des mouchards ou espiogiciels ("spywares"). Un spyware est un programme qui, par Internet, peut recueillir et transmettre les données personnelles d'un internaute à une régie publicitaire, notamment sur ses intérêts, ses habitudes de téléchargement et de navigation. Tout cela dans un but exclusivement commercial. Ces petites applications ne sont pas détectables par l'utilisateur. Pour les repérer, nous vous conseillons de télécharger l'utilitaire gratuit Ad Aware de Lavasoft. Vous pouvez aussi les supprimer grâce à ce logiciel. Attention, le programme contenant le spyware devenant inutilisable, nous vous conseillons de le désinstaller... Et de trouver un autre logiciel aux fonctions similaires. En ce qui concerne les utilisateurs de Mac, il semblerait qu'ils soient relativement à l'abri de ce genre de désagrément... Nettoyer la base de registres Au cœur du système Windows des PC, la base de registres est une base de données qui stocke des informations sur l'ordinateur, les périphériques, les programmes installés et les préférences de l'utilisateur. Une sorte de "script" minutieux de tout ce qui se passe sur votre PC. A la désinstallation d'un logiciel, le système doit en théorie effacer toute trace de ce logiciel dans la base de registres. Souvent il reste encore des éléments. Ce ne peut qu'être salutaire pour le fonctionnement de votre machine que de nettoyer la base de registres de temps en temps, surtout si vous installez et désinstallez souvent des programmes. Pour cela, il existe un utilitaire gratuit et furieusement utile. RegCleaner permet en toute sécurité de supprimer toutes les entrées inutiles de votre base de registres et les résidus de fichiers alloués à des applications que vous avez désinstallées. Pour le télécharger et en savoir plus sur ce logiciel accessible à tous, même aux débutants, consultez sa fiche dans notre logithèque. Ces applications qui ralentissent le démarrage de Windows Certains logiciels que vous installez se lancent en toute impunité à chaque démarrage de Windows. Ceci ralentit considérablement le démarrage du système. RegCleaner permet aussi de visualiser la liste des programmes inscrits au démarrage de Windows et d'en éliminer certains de la liste. Configuration du clavier / Retour au menu Démarrer - Paramètres - Panneau de configuration - Clavier Poste de travail - Panneau de configuration - Clavier • Langue • Le clavier habituel en Amérique du Nord est le QWERTY (désignation qui correspond aux premières touches du clavier), par opposition au AZERTY en France. • L'on obtient alors la fenêtre qui suit: • Cliquez sur l'onglet "Paramètres régionaux d'entrée" • Vous pouvez alors choisir la langue de votre choix en cliquant sur "Ajouter" ("Add") Prendre le clavier français • Équivalents clavier • Plusieurs opérations avec la souris ont un équivalent clavier • Les articles de menus indiquent souvent l'équivalent clavier à leur côté Exemples: Copier (Copy) Couper (Cut) Coller (Paste) Annuler (Undo) Sélectionner tout (Select all) correspond à correspond à correspond à correspond à correspond à Crtl-C Crtl-X Crtl-V Crtl-Z Crtl-A • Les menus des fenêtres sont souvent accessibles par la touche Alt (de gauche) • Si la touche Alt est enfoncée une fois, le menu "Fichier" ("File") de la barre des menus est surligné. Il est alors possible de parcourir tous les menus ou les articles de menus par les flèches de navigation du clavier • Si la touche Alt est enfoncée en combinaison avec la lettre soulignée des intitulés de menus, on accède alors directement à ce menu Exemple: Alt-E ouvre le menu Édition (Edit), parce que le "E" d'"Édition" est souligné • Pour choisir un article de menu, il suffit alors d'entrer la lettre soulignée de l'article de menu désiré • Le tabulateur (Tab) permet de passer d'un champ à l'autre, en particulier d'une option à l'autre à l'intérieur d'une boîte de dialogue Exemple: Pour passer de "Oui" à "Non" lors de la confirmation de la suppression d'un fichier • Le pointillé dans le bouton indique qu'il est sélectionné. Il suffit alors d'appuyer sur "Enter". • La touche "Enter" correspond à "OK" Partitionner un Disque dur / Retour au menu Qu'est-ce qu'une partition? Le partitionnement d'un lecteur se fait après le formatage physique de ce lecteur. Il consiste à créer des zones sur le disque dont les données ne seront pas mélangées. Cela sert donc si l'on veut par exemple installer des systèmes d'exploitation différents n'utilisant pas le même système de fichiers. Il y aura donc au minimum autant de partitions que de systèmes d'exploitation utilisant des systèmes de fichiers différents. Dans le cas de l’utilisation d'un système d'exploitation unique, il n’y aura qu’une seule partition recouvrant tout le lecteur, sauf si l'utilisateur désire en créer plusieurs pour faire par exemple plusieurs lecteurs dont les données sont séparées. Il y a trois sortes de partitions: Les partitions principales. La partition étendue. Les lecteurs logiques. Un disque peut contenir jusqu'à quatre partitions principales (dont une seule peut être active) ou trois partitions principales et une partition étendue. Dans la partition étendue l'utilisateur peut créer des lecteurs logiques (c'est-à-dire faire en sorte que l'on ait l'impression qu'il y a plusieurs disques durs de taille moindre). Voyons voir un exemple, dans lequel le disque contient une partition principale et une partition étendue composée de trois lecteurs logiques (nous verrons par la suite les partitions principales multiples): Pour les systèmes DOS (DOS, Windows 9x), seulement la partition principale est bootable, c'est donc la seule sur laquelle on peut démarrer le système d'exploitation. On appelle partitionnement le processus qui consiste à écrire les secteurs qui constitueront la table de partition (qui contient les informations sur la partition: taille de celle-ci en terme de nombre de secteurs, position par rapport à la partition principale, types de partitions présentes, systèmes d'exploitation installés,...). Lorsque la partition est créée, on lui donne un nom de volume qui va permettre de l'identifier facilement. Le partitionnement du disque dur Lancez cet utilitaire à partir de Windows en cliquant sur démarrer/executer/fdisk, ou sous dos en tapant ´fdisk´ puis entrée. Si vous possédez une version relativement récente de Fdisk (permettant le FAT32), vous aurez un écran de ce type : Sélectionnez ´oui´ puis tapez entrée. Une fois n´est pas coutume, nous n´allons pas traiter le menu dans l´ordre : 4) Afficher les informations de partition : Vous pouvez trouver ici toutes les informations concernant votre disque dur : l´ensemble des partitions (numérotées, à gauche) du disque. Le ´A´ dans la colonne ´État´ indique la partition principale, celle sur laquelle bootera le disque par exemple si celui-ci est en master sur le 1er contrôleur IDE (ou si c´est le seul disque dur par exemple). La colonne ´type´ vous indique le type de partitions que vous possédez (ici primaire de type dos). Le nom de volume suit, puis la capacité de la partition en question (différente de la capacité réelle une fois la partition formatée !). La colonne système indique sous quel système de fichier a été crée la partition (Ici donc FAT32). Les partitions de types linux (EXT2) ne sont pas reconnues (elles sont indiquées comme étant des partitions non-dos) Enfin, la colonne intitulée "Utilisé" indique le pourcentage du disque dur utilisé pour la partition (ici, le disque dur compte une partition unique comptant l´ensemble du disque dur). 5) modifier le lecteur de disque dur en cours : Vous trouverez ici l´ensemble des disques présents sur la machine, avec les différents types de partitions qu´ils comptent. Ici, on remarque ainsi que 2 disques durs sont présents. Le premier compte une seule partition, le 2eme disque en comptant 3. 1) Créer une partition DOS principale 2) Activer une partition Vous pouvez ici sélectionner la partition qui sera bootable. Dans cette situation, le disque ne possède qu´une seule partition. S´il en possédait plusieurs, il suffirait d´indiquer le n° de la partition bootable : par défaut, le disque bootera alors sur celle ci (elle deviendra la partition C: si le disque dur est placé comme il se doit sur la nappe IDE). 3) Supprimer une partition ou un lecteur logique DOS Cette option vous permet de supprimer tout type de partition présente sur votre disque dur. Il suffit de savoir quel type de partition vous voulez supprimer exactement (allez voir les informations sur votre partitions auparavant). La procédure est strictement la même pour la suppression de n´importe quelle type de partition. Pour exemple, nous allons ici monter le cas d´une suppression de la partition DOS principale. Après avoir bien sélectionné la partition que vous voulez supprimer, le nom de volume vous est demandé (pour plus de sécurité). Enfin, Fdisk vous demande confirmation avant de supprimer la partition. Une fois la partition supprimée, tapez echap plusieurs fois afin de quitter Fdisk, rebooter la machine> les changements sont alors (et seulement a ce moment là) effectifs. Suivant l´utilisation de votre disque dur, une partition DOS principale est nécessaire ou non : si vous souhaitez utiliser votre DD pour démarrer dessus, une partition DOS principale est absolument nécessaire. De même, si vous souhaitez ne créer qu´une partition unique, il est conseillé de créer une partition principale de la globalité du disque dur. Si vous souhaitez en revanche créer plusieurs partitions, il faudra créer au moins une partition DOS étendue (vous très bien avoir également créé une partition DOS principale, dans la mesure où vous ne lui avez pas attribué la totalité de la capacité du disque dur). Vous pourrez attribuer, dans cette partition étendue, des lecteurs logiques : un seul si vous le désirez prenant la totalité de la partition étendue, ou plusieurs partitions logiques se partageant la partition si vous souhaitez faire plusieurs partition. Chacun de ces lecteurs logiques apparaîtra comme un lecteur indépendant sous windows. Par exemple, si votre disque dur contient une partition principale + 1 partition dos étendue contenant 2 lecteurs logiques, la lettre C sera attribué à la partition principale, D pour le premier lecteur logique et enfin E pour le dernier lecteur logique. F sera alors attribué à votre lecteur CD, par exemple. Nous allons mettre en application cet exemple. Nous allons donc commencer par créer une partition DOS principale, de 2Go, les 2Go restant (il s´agit dans notre exemple d´un disque de 4Go) étant consacré a la partition étendue. Créer une partition principale DOS Après avoir vérifié l´intégrité du disque dur, Fdisk vous pose cette question. Si vous ne souhaitez avoir qu´une partition, tapez ´O´ et confirmez par entrée. Dans le cas contraire, tapez ´N´ : Vous pouvez alors indiquer précisément la taille de vous voulez attribuer a votre partition. Ici, nous allons donc indiquer 2000 (pour 2Go). La partition est alors créée. Appuyez sur echap pour revenir au menu principal. Vous pouvez d´ors et déjà créer une partition étendue (créer une partition->créer une partition étendue). La procédure est exactement la même. Une fois cette partition crée, vous devrez appuyer sur ´echap´ pour valider l´opération. Fdisk vous emmènera alors automatiquement à la création du ou des lecteur(s) logique(s) : Vous pouvez alors sélectionner la taille du premier lecteur logique (vous pouvez très bien lui attribuer l´ensemble de l´espace disque disponible si vous le souhaiter). Pour créer des lecteurs supplémentaires, il suffira par la suite de sélectionner l´option ´créer un lecteur logique dans la partition étendue´ et d´indiquer sa taille Utiliser des partitions multiples Il y a, comme on l'a précédemment vu, trois sortes de partitions: les partitions principales, la partition étendue et les lecteurs logiques. Un disque peut contenir jusqu'à quatre partitions principales (dont une seule peut être active) ou trois partitions principales et une partition étendue. Dans la partition étendue l'utilisateur peut créer des lecteurs logiques (c'est-à-dire faire en sorte que l'on ait l'impression qu'il y a plusieurs disques durs de taille moindre). Partition principale Une partition principale doit être formatée logiquement, puis contenir un système de fichier correspondant au système d'exploitation installé sur celle-ci. Si jamais vous avez plusieurs partitions principales sur votre disque, une seule sera active et visible à la fois, cela dépendra du système d'exploitation sur lequel vous avez démarré l'ordinateur. En choisissant le système d'exploitation que vous lancez au démarrage, vous déterminez la partition qui sera visible. La partition active C’est la partition sur laquelle un des systèmes d'exploitation est démarré au lancement de l'ordinateur. Les partitions autres que celle sur laquelle vous démarrez seront alors cachées, ce qui empêchera d'accéder à leurs données. Ainsi, les données d'une partition principale ne sont accessibles qu'à partir du système d'exploitation installé sur cette partition. Partition étendue La partition étendue a été mise au point pour outrepasser la limite des quatre partitions principales, en ayant la possibilité de créer autant de lecteurs logiques que vous désirez dans celle-ci. Au moins un lecteur logique est nécessaire dans une partition étendue, car vous ne pouvez pas y stocker de données directement. Beaucoup de machines sont formatées en une grande partition utilisant l'intégralité de l'espace disponible du lecteur. Ce n'est pourtant pas la solution la plus avantageuse en termes de performances et de capacité. La solution est de créer plusieurs partitions, ce qui va vous permettre: d'installer plusieurs systèmes d'exploitation sur votre disque d'économiser de l'espace disque d'augmenter la sécurité de vos fichiers d'organiser vos données plus facilement Voyons voir à quoi pourrait ressembler un système comportant plusieurs systèmes d'exploitation: La commande FDISK /MBR / Retour au menu Il possède une option peu documentée, concrétisée par le commutateur "/MBR" passé en paramètre dans la ligne de commande : A :>FDISK /mbr Cette commande sert UNIQUEMENT à restaurer le programme situé dans le Master Boot Record du disque de démarrage (et lui seul, défini dans la configuration du BIOS). Ce programme de 442 octets, situé au début de ce secteur, avant la table de partition, sert à déterminer la partition active à partir de cette table et à charger le secteur de boot de cette partition. En particulier, FDISK /MBR ne RESTAURE PAS la table de partition ! (Comme une rumeur tenace, mais totalement non fondée, le laisse croire.) De même, FDISK /MBR ne peut pas supprimer le multiboot de NT. En effet, ce multiboot est géré par NTLDR, dans la partition de NT, et non pas au niveau du MBR. Pour le supprimer, il faut modifier le secteur de boot de la partition en question. Si elle est de type FAT, il suffit (à partir d'une disquette DOS bootable par exemple) de taper la commande : A :>sys C : Si la partition de NT est de type NTFS, il n'y a pas d'autre solution que de la supprimer puis reformater. On utilisera FDISK /MBR uniquement dans les cas suivants : Désinfection du MBR après une attaque virale. En effet, certains virus très dangereux se logent à la place de ce programme, si bien qu'ils peuvent prendre le contrôle de l'ordinateur avant même qu'un système d'exploitation ne soit lancé (et à fortiori qu'un anti-virus soit actif). Il ne faudra évidemment exécuter cette commande qu'à partir d'une disquette système DOS garantie saine. Suppression d'un outil de multiboot, tel que System Commander ou LILO, dont une partie s'installe dans le MBR, à la place du programme standard. A la différence de FDISK (sans paramètre) utilisé pour créer ou supprimer des partitions, la commande FDISK /MBR est totalement inoffensive (sauf si un outil de multiboot spécial a été installé au préalable). Les autres options non documentées de FDISK Paramètre /STATUS /MBR /PRI:<taille> <disque> /PRIO:<taille> <disque> /EXT:<taille> <disque> /LOG:<taille> <disque> /LOGO:<taille> <disque> /FPRMT /Q /X /ACTOK /CMBR <disque> Fonction Affichage de la liste des partitions Voir ci-dessus Création d'une partition primaire sur le disque n° <disque> et de taille <taille>. La partition créée sera déclarée active et sera en FAT16 si sa taille est <512 Mo, FAT32 dans le cas contraire. Identique à l'option /PRI, mais la partition sera toujours en FAT16 (taille limitée à 2 Go) Création d'une partition étendue sur le disque n° <disque> et de taille <taille>. Création dans la partition étendue d'une partition logique de taille <taille>. La partition créée sera en FAT16 si sa taille est <512 Mo, FAT32 dans le cas contraire. Cette option peut être combinée avec l'option /EXT : FDISK /EXT:<tailleE> <disque> /LOG:<tailleL> Identique à l'option /LOG, mais la partition sera toujours en FAT16 (taille limitée à 2 Go). Lancement de FDISK sans affichage de la question initiale de prise en charge des grands disques. Cette option permet de créer des partitions FAT32 de taille inférieure à 512 Mo.(par défaut, les partions FAT32 ne sont créées que pour des tailles > 512 Mo) Supprime le redémarrage forcé quand on quitte FDISK Désactive l'utilisation du mode LBA (extensions int13h), destiné aux disques de taille > 8Go. Cette option est à utiliser seulement si un message d'erreur d'accès disque ou de dépassement de pile est généré par FDISK. Désactive le contrôle d'intégrité du disque. Ne marche pas toujours! Identique à /MBR, mais en spécifiant un disque de n° <disque> Faire un Scandisk du disque dur Plusieurs types d'incidents peuvent survenir avec les fichiers et les disques durs. Leur cause la plus fréquente est la suivante : un incident, par exemple un blocage de l'ordinateur, vous obligeant à le réinitialiser; le système n'a pas eu la possibilité de mener à terme les opérations en cours et provoque des erreurs telles que la création de : 1. blocs perdus ou fichiers perdus 2. Sous répertoires invalides 3. Erreurs d'allocation 4. Blocs invalides Aussi faut-il à intervalles réguliers ou après un incident, faire le ménage et tout remettre en place. Pour cela, il faut lancer le programme SCANDISK. Remarque, si l'ordinateur n'est pas éteint par la procédure normale (Démarrer Arrêter), un scandisk est lancer automatiquement au prochain démarrage de l'ordinateur. Pour accéder à Scandisk, cliquez sur le Bouton Démarrer, ensuite sur Programmes, puis sur Accessoires. Sélectionnez Outils systèmes et cliquez enfin sur Scandisk. Une fenêtre apparaît alors (ci-dessous). Tout d'abord, vous devez spécifier le lecteur que vous souhaitez analyser. Ensuite, il vous est fortement conseillé de faire une analyse minutieuse et de corriger les erreurs automatiquement. Liste des mots de passe / Retour au menu Protected Storage PassView est en mesure de révéler les mots de passe enregistrés sur un ordinateur. Vous avez la possibilité de consulter les mots de passes stockés par Internet Explorer, Outlook Express et MSN Explorer. Par défaut Protected Storage PassView affiche tous les mots de passe dans les applications, mais il est possible de sélectionner un mot de passe spécifique afin de le masquer ou de l’afficher. Note : Il est nécessaire d’extraire cette archive dans le dossier d’installation de Protected Storage PassView afin de pouvoir sélectionner la langue française dans les options du logiciel. Lire vos textes / Retour au menu SpeakOut est un petit utilitaire qui lit vos textes via un synthétiseur vocal. Vous pouvez taper votre texte dans la fenêtre de l'application, ou bien ouvrir un document TXT (bloc-note). Le synthétiseur vocal n'a plus qu'à le lire. Attention seul l'anglais est reconnu par le synthétiseur. Affectation des touches F1 à F11 Retour au menu FKeys est une application très simple qui vous permet d'attribuer des tâches automatiques aux touches F1 à F12 de votre clavier. Vous pourrez lancer une application, ouvrir un fichier, ou toute autre commande.Note : les utilisateurs de Windows 2000 et XP ne peuvent utiliser la touche F12, déjà attribuée. Détection des connections Bluetooth Retour au menu BluetoothView permet de surveiller l'activité Bluetooth autour de votre ordinateur. A chaque détection d'un téléphone portable ou d'un autre appareil mobile disposant de la technologie Bluetooth à proximité, l'application vous alerte par une petite sonnerie ou une bulle à côté de votre barre de menu. Le logiciel vous indiquera le nom et l'adresse, le type de produit, le modèle, l'heure de la première détection, etc. Gérer les mots de passe / Retour au menu Ultra Passwords est destiné à vous permettre de stocker l'ensemble de vos mots de passe (mot de passe d'affiliation, d'adhérent forum, etc.) au sein d'une base de données cryptée elle-même protégée par mot de passe. De cette manière, vous serez en mesure de retrouver rapidement celui que vous cherchez, sans perdre une minute. Panneau de config VIP / Retour au menu Grâce à WinSecret Professional, vous pourrez rapidement accéder aux paramètres de configuration registre des différents éléments de votre système. Dans un premier temps, il vous suffit de choisir une catégorie : applications, Control Panel, Start Menu, Special Folders, Desktop, Windows Startup, etc. En fonction du menu sélectionné, l'application vous propose ensuite de déplacer des répertoires, de personnaliser certains programmes et le menu démarrer, de configurer l'affichage de dossiers, de sélectionner les logiciels à lancer automatiquement au démarrage de Windows, etc. Dans Application Gestion des restrictions 1 Gestion des restrictions 2 Un gestionnaire de favories Un gestionnaire de cookies Dans miscellaneous (divers) Dans special Folders Dans Control Panel (panneau de configuration) Dans Network & Interet Dans Start Menu Dans Windows Explorer Dans Bureau Dans OEM Info Dans User Accounts Dans Windows Startup