Classe PC Dupuy de Lôme
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CPGE Dupuy de Lôme - PC 2012/2013 E. Ouvrard ⎧ ⎪ EC ∶ rCmin < r < ∞ → hyperbole ⎪ ⎪ ⎪ ⎪ Donc ⎨EB ∶ rBmin < r < rBmax → ellipse ⎪ ⎪ ⎪ te ⎪ ⎪ ⎩EA ∶ r = C → cercle Correction Concours blanc - CCP PC 2009 - I Problème i I.1 Voiles solaires I.2 Orbites héliocentriques _ _ r_ _ __ Ð → v = r :Ð u→r + rÐ u→ Ð → a = r :Ð u→r:Ð u→ + (r + r)Ð u→ + r2(−Ð u→) I.1.1 I.1.2 _ Ð → Le PFD donne − T I.1.4 C te ¿ Á r3 À M =Á Pour le cas général, on a m:r = − Ep = donc I.2.2 42 Ð→p t ± pour les part. I.2.3 GmmS + mr _ 2 , soit, comme L = mr 2 _ = r2 Ni = E:i = E: S:os F Ep′ GmmS r2 + L2 2mr2 Em = C te, 1 2 ´¹¹ ¹ ¹ ¸¹ ¹ ¹ ¹¶ Ep(r) = Em − m:r_ 2 ⩾0 → I.2.4 =− Ð→ F = F Ð eÐ theta = Ð → de cette composante → Ni = : → os:(1 − 3:sin2 ) = 0 os = 0, on choisit donc √ m = asin 1 2 2::S:os2 :sin ce qui permet de déterminer les extrema Or la composante est minimum pour Ep ⩽ Em S:os , ce qui permet d’en déduire E 2::S:os :Ð→n → : S:os (−2:p:os:Ð n) = p: dFtheta =0 d 1 m:r_ 2 + Ep(r) et, comme 2 2 Ð → Ð → → = −Ni Æ Ð p = F voile→partiules donc F = Ni :Æp Ð → ´¹¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¸ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¶ L’énergie potentielle effective est telle que Em = pour ce système conservatif 2 GmS (moment cinétique) : I.1.5 2 ⎧ ⎪du moment cinétique L Gmm → F = − 2 SÐ ur avec conservation ⎪⎨⎪ r ⎪ ⎩de l’énergie mécanique Em GmmS = m(r − r _ 2 ) r2 2 pour une orbite circulaire, r = C te et _ = C te = T I.1.3 I.2.1 Ici on veut la quantité de mouvement cédée par les particules à la voile, soit l’opposée de la variation de quantité de mouvement pour le système par→ → → → → ticule : Æ Ð p = −(Ð p→r − Ð p→i ) = −(p:sin:Ð u − p:os:Ð n ) − (p:sin:Ð u + p:os:Ð n) = Ð → Ð → Ð → Ð → :p:os: n Or dans la base cylindrique, n = oser + sine soit, dans cette base ⎧ ⎪ :p:os2 → ÆÐ p ⎪⎨⎪ ⎪ ⎩p:sin r Ð → Une voile solaire 1 = 35; 3 3 CPGE Dupuy de Lôme - PC 2012/2013 I.2.5 a= AN : I.3 F m = E. Ouvrard I.3.5 2::S:os :sin 2 On a par conséquen Temps de transit tT M ≡ 8 ans Problème ii Il s’agit en fait de l’énergie potentielle effective. Si on repère l’énergie mécanique correspondant à l’orbite circulaire sur l’ancienne courbe ( son minimum), on s’aperçoit que pour cette même valeur d’énergie, il existe deux valeurs rmin et rmax avec la nouvelle énergie potentielle effective. Mais ces valeurs étant très proches, l’orbite est très faiblement elliptique. r:dr = C ′:a:dt, ce qui donne par intégration : tT M = m: AN : √ 2 3:C :a ′ 3 3 2 (rM − rT2 ) Vibrations transverses I.3.1 I.3.2 I.3.3 Ð→ dM dt II.1 II.1.1 ÐÐ→ =Ð →(Rext ; O ) = r (t)Ð e→r ∧ (Fr Ð e→r + F Ð e→ ) = r(t):F Ð e→z ⎧ −GmS 2 ⎪ ⎪ ⎪ ⎪−r = r 2 Le PFD donne ⎨ F ⎪ ⎪ ⎪ r + r = ⎪ ⎩ m √ _ 2_ _ _ = GmS r3 II.1.2 soit Ð→ 2 I.3.4 Par conservation de l’énergie : ( tans ≡ = dh dx et Pour un élément Fy = ∣∣ F ∣∣ sin. Comme ∣∣ F ∣∣ = C te = T Ð → Ð → Fy = Fy (x + dx) − Fy (x) = dm 2h t2 h h 2h ) − ( ) ) = :dx 2 x (x+dx) x (x) t ´¹¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¸¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¹ ¶ 3 r_ = − : :_ 2r 2h :dx x2 2h 1 2h − =0 x2 2 t2 (r)/4r2 = C te. Or pour r = rT on a II.1.3 F 2(rT )os2 msinm = a ) = m (r=rT ) m: r2 F = a: T2 , soit m r 3 r2 a r_ = C:r 2 :a: T = C:rT2 : √ r ± r II.1.4 dh dx 2 T A et B, est donc dérivable et continue. La solution proposée doit vérifier −k2 h(x; t) − C′ = √ L’équation ci-dessus est vérifiée en tout point entre donc définie en tous ces points, On déduit donc de la conservation du flux que : h T x dx de la corde : T (( La composante orthoradiale du PFD donne alors la relation recherchée, avec C=√ GmS Ondes stationnaires le long d’une corde 2h 1 2h − = 0, soit x2 2 t2 1 (−!2 h(x; t)) = 0 2 ! = ±k: 2 dh dx2 est CPGE Dupuy de Lôme - PC 2012/2013 II.1.5 E. Ouvrard 0 0 h h(x; t) ) =( ) = K:osKL:os!t x L− x L− h h(2L − x; t) ( ) =( ) = −K:osKL:os!t + x L x L− 2h = −! 2 :sinKL:os!t t2 0; t) = h(2L; t) = 0 ∀t soit On exploite les conditions aux limites h( ⎧ ⎪ ⎪h( ⎨ ⎪ ⎪ ⎩h( 0; t) = sin = 0 2L; t) = sin(2kL + ) = II.2.3 0 On choisit = pour vérifier la première égalité. Cela entraine alors que sin( kL) = , soit 2 II.1.6 II.1.7 Voir cours kn = n 2L !n = n 2L fn = 1 2 On rappelle que ⟨os2 !t⟩ = . Alors < e(x; t) >= ! 2 2[2 Z 2 D’où la relation proposée, en utilisant le PFD de la question précédente. n 4L II.2.4 otan(KL) = otan(k1 L + mL) avec k1 = 2L m!2 otan(KL) = otan ( + mL) ≡ −mL = 2 2KT II.2.5 1 2 sin2 (kx) + 2 k2 Z 2 os2 (kx)] < e(x; t) >= II.2.6 II.2 ⎛ < etot >= ⎝ 2L Perturbation par une masse √ f1 !2 Z 2 4 T ⎞ Z 2 ⎠ 4 2 II.3 Z 2 =( 4L ) T II.3.1 −m! 2 Quartz Alors f1 = −f1 mS : 21L Pour un passe bande : q avec k1 = 2L donc 1 2L = k1 = 2f1 q d’ù la f = fQ0 = 2; 5 Hz Bande passante extrêmement faible au regard de la fréquence propre. Tous les modes n’ayant pas de noeuds en l’absence de masse en x = L seront perturbés, donc les modes n impairs. Les autres ne seront pas perturbés. On peut donc considérer qu’une variation de On en déduit f :q :q m >> 2 II.3.2 PFD pour la masse, projeté selon l’axe vertical m: donc f1 k1 k1 2KT Lk1 m!2 ! 2T Lk12 et k1 = donc f1 ≡ − m f1 2L relation proposée. II.2.1 II.2.2 f1 = K − k1 = m = f1 ≡ − La seule énergie associée à la vibration est mécanique. On exploite donc le résultat précédent II.1.8 ( 3 10 S Soit m >> : ng On peut donc estimer la sensibilité à posée. h h 2h = −T ( ) + T ( ) t2 x L− x L+ 3 −3 2f1 f1 >> f sera détectable. 0; 03 ng pour la surface de vibration pro-