Revue de Presse

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Revue de Presse
MSA Nord-Pas de Calais
Revue de Presse
JANVIER 2013
SOMMAIRE
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VIE MUTUALISTE
Distinction
« Gilberte Capuron distinguée »
L’Avenir de l’Artois, le 30 janvier 2013
« Gilberte Capuron, honorée par la profession »
Horizons Nord-Pas de Calais, le 1er février 2013
« Gilberte Capuron, chevalier du Mérite agricole »
Le Syndicat Agricole, le 1er février 2013
Mouvements
« Mme Lysiane Lenice succède à M.François Donnay à la direction générale de la
MSA Nord-Pas de Calais »
Horizons Nord-Pas de Calais, le 1er février 2013
ACTION SANITAIRE ET SOCIALE
Au tour des parents
« Consultation citoyenne « Au tour des parents »
Le Bimsa N°160 - janvier 2013
Signature Contrat enfance jeunesse
« Un nouveau Contrat enfance jeunesse signé avec la CAF, MSA et le Département »
La Voix du Nord – Cambrai, le 24 janvier 2013
Micro crèche
« Une micro crèche vient d’ouvrir à Aubers, la seule offre de ce type dans les Weppes »
La Voix du Nord, le 08 janvier 2013
PREVENTION SANTE
Y’a un os dans le chicon
« Une pièce pour désamorcer les difficultés»
Le Bimsa N°160 - janvier 2013
SANTE SECURITE AU TRAVAIL
Prévenir les accidents mortels
« Le drame d’une profession »
Le journal des Flandres, le 02 janvier 2013
VIE MUTUALISTE
Gilberte Capuron distinguée
Mercredi 30.01.2013
Gilberte Capuron a été nommée chevalier de
l'ordre du Mérite agricole.
Gilberte Capuron a reçu la médaille du mérite
agricole jeudi 24 janvier à la MSA d'Arras.
En 1976, elle s'est mariée avec Jean-Pierre, fils
d'agriculteur.
« C'est à ce moment que j'ai travaillé dans notre ferme de polyculture et d'élevage »,
note Gilberte Capuron. Avec son mari, ils ont créé une association d'éleveurs pour
innover la nourriture des bêtes aux lins. Au fil des années, la culture s'agrandit pour
passer en culture polyvalente de 90 hectares. Gilberte Capuron a su associer sa vie de
famille et le travail à la ferme avec ses responsabilités. « Le grand-père de mon mari
est à la base de la création des coopératives et des mutuelles », souligne Gilberte
Capuron. Elle est rentrée en 1989 au conseil d'administration de la MSA, déléguée
cantonale et aussi présidente du comité de protection sociale des non-salariés
agricoles.
Elle a été élue présidente de la MSA Nord - Pas-de-Calais en avril 2010. « Récemment,
Gilberte Capuron a participé avec succès à la fusion de la MSA Nord - Pas-de-Calais.
Son engagement est toujours aussi fort, notamment dans l'accompagnement des crises
agricoles », précise Marc Degardin, président de l'Amicale des membres de l'ordre
national du Mérite agricole. Pour son parcours d'exception dans le milieu agricole, sur
proposition de Bruno Lemaire et au nom du ministre de l'Agriculture, Marc Degardin a
nommé
chevalier
de
l'ordre
du
Mérite
agricole
Gilberte
Capuron.
VirginieAVERLAND
Le 1er février 2013
Le 1er Février 2013
Le 1er février 2013
ACTION SANITAIRE
ET SOCIALE
Janvier 2013
Le 24 janvier 2013
Un nouveau Contrat enfance jeunesse signé
avec la CAF, MSA et le Département
| COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU PAYS SOLESMOIS |
De nombreux partenaires sociaux et les représentants de la Communauté de
communes du Pays solesmois se sont réunis dernièrement au siège de la
structure intercommunale pour la signature d'un avenant au Contrat enfance
jeunesse.
Côté CCPS, figurait le président Michel Wallerand, entouré des vice-présidents
Georges Flamengt et Marc Carpentier ; côté partenaires sociaux, il y avait la présidente
de la CAF de Cambrai et vice-présidente de la CAF du Nord Anne Sophie Lécuyer, la
présidente de l'action sanitaire et sociale à la MSA Catherine Sauvage et le directeur de
la CAF Cambrai - Douai Jean-Pierre Foucaud.
Comme devait le rappeler le président Wallerand, « depuis que la CCPS a pris dans
ses compétences celles de l'enfance et de la jeunesse, en 2004, nous avons voulu que
ces actions soient soutenues par les organismes sociaux pour un partenariat de tous
les jours. Après la signature du Contrat enfance jeunesse pour la période 2011-2014,
qui permet des actions envers les enfants de 0 à 14 ans par l'intermédiaire des
structures multi-accueil, des Relais d'assistantes maternelles (RAM), des accueils de
loisirs..., nous franchissons aujourd'hui une étape supplémentaire avec cet avenant au
contrat qui officialisera aujourd'hui le LALP. » Rappelons que le LALP (Lieu d'accueil et
de loisirs de proximité) accueille les jeunes de 12 à 18 ans qui, avec l'accompagnement
de professionnels, mettent en oeuvre des projets et des loisirs éducatifs. Pour la CCPS,
le LALP sera placé sous la responsabilité de l'association REMOUS, les missions de
l'association entrant dans le champ des compétences pour l'ouverture de ce type de
structure.
La convention de ce jour visait donc à fixer les modalités pour la gestion de cette action.
« Offrir une qualité de vie hors pair, en allant vers toujours plus de solidarité, de bienêtre et d'intégration de tous à la vie de la Communauté, voilà ce qui anime les élus du
Pays solesmois », concluait le président Wallerand.
Anne-Sophie Lécuyer soulignait le long chemin parcouru depuis 2004 et se félicitait de
cette nouvelle étape franchie aujourd'hui avec la signature de cet avenant qui donne
naissance au 25e LALP du Cambrésis, accueillant 2 645 jeunes. « L'ouverture d'un
LALP en milieu rural est toujours une victoire pour des jeunes qui vivent éloignés des
grandes villes et qui se sentent souvent désoeuvrés, voire exclus. Aussi la CAF du Nord
n'a-t-elle pas hésité à engager ses moyens financiers et humains ». Des moyens
financiers qui se traduisent par un financement de 42 000 E pour le LALP, auxquels
s'ajoutent 11 600 E de fonds d'expérimentation et de prestation ALSH directement
versés à REMOUS.
Cette création du LALP va se traduire par une ouverture à tous les jeunes de la CCPS
concernés ; il est déjà prévu un ramassage dans les différentes communes. Autre point
crucial : le local. Actuellement, les jeunes Solesmois ont la possibilité d'être accueilli par
la structure REMOUS-jeunesse dans un local prêté par la municipalité, un local qui
semble cependant fort exigu. Les responsables sont donc à la recherche d'un lieu plus
adapté qui marquerait réellement la naissance de cette nouvelle structure. Affaire à
suivre. • J.-F. M. (CLP)
Le 08/01/2013
PREVENTION
SANTE
&
INGENIERIE
MEDICALE
Janvier 2013
SANTE SECURITE
AU TRAVAIL
Le drame d'une profession
Mercredi 02.01.2013
Denis Bollengier, vice-président de la FDSEA,
est conscient des difficultés.
Depuis l'accident, les agriculteurs tentent de
comprendre ce qui s'est passé. Ils savent que le
facteur risque fait partie de leur quotidien,
surtout avec les machines agricoles.
La tentation de récolter dans des conditions extrêmes, pour sauver ce qui est
possible, anime l'esprit d'un grand nombre d'exploitants agricoles. La situation
climatique exceptionnelle de cette fin d'année 2012 a provoqué des pertes de
récoltes. Sur le littoral, les estimations évoquent le chiffre de 2 500 hectares noyés
par les précipitations de cet automne. Logiquement, la campagne de pommes de
terre s'étale de la mi-septembre à la mi-octobre. En raison des circonstances,
certains exploitants tentent encore de sauver ce qui peut l'être... Récolter des
pommes de terre en décembre, c'est quasiment du jamais vu mais comment en
vouloir à ces agriculteurs qui voient des centaines de milliers d'euros tomber à l'eau.
« Nous avons l'amour de notre métier et de la terre, note Denis Bollengier, viceprésident de la FDSEA. C'est vrai que cela nous pousse parfois à prendre des
risques. » Le drame de Zegerscappel, loin d'être un cas isolé, secoue toute la
profession : « Nous sommes solidaires, ajoute-t-il. Mais nous n'agissons qu'avec
l'accord des gens. » En pareille circonstance, le monde rural se mobilise au cas par
cas. Selon les besoins. Tout cela se fait en concertation avec les familles. Il existe
également l'aide du groupement d'employeurs et du service de remplacement.
La Mutuelle sociale agricole (MSA) est également active. Elle peut
accompagner psychologiquement les personnes et évaluer avec elles leur
situation par l'intermédiaire d'une assistante sociale. Pour Patrick Decool, la
situation est complexe puisqu'il est à la fois salarié dans une entreprise et agriculteur.
Une situation de « double actif », spécifique aux petites exploitations agricoles qui ne
génèrent
pas
assez
de
revenus
pour
faire
vivre
une
famille.
Un tel drame relance aussi la question de la prévention. Ces dernières années, la
MSA investit beaucoup en ce sens. Mais, preuve est faite qu'il reste encore
beaucoup à faire.