NEW ZEALAND - Development Finance International
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Profil Nouvelle-Zélande NOUVELLE-ZÉLANDE 1) VOLUME DE L’AIDE 1.1. Performances actuelles/récentes en termes de volume APD nette (millions de USD) % du RNB 346 0,30 % Source : données préliminaires de 2008 du CAD de l’OCDE En 2002, l’APD néo-zélandaise était inférieure à sa moyenne pour 1995-1996 en valeur réelle (bien que sa part dans le RNB soit restée constante, à 0,22 %). Toutefois, entre 2002 et 2008, l’APD de la Nouvelle-Zélande a fortement augmenté à partir de 122 millions de USD (0,22 % du RNB), soit une augmentation de 184% en termes nominaux et une augmentation de 0,13% en pourcentage du RNB. 1.2. Volume prévu à l’avenir Lorsqu’il a annoncé le budget 2007/08, le Gouvernement néo-zélandais s’est engagé à augmenter son ratio APD/RNB jusqu’à 0,30 % pour 2007/08 et 2008/09, 0,32 % pour 2009/10 et 0,35 % pour 2010/11. Sur cette base, la Nouvelle-Zélande devrait apporter 415 millions de USD d’APD d’ici à 2010 (CAD 2009). Le CAD rapporte qu’aucune partie de l’APD néo-zélandaise n’a consisté en allégement de la dette en 2006 et 2007. 2) ORGANISMES / MÉCANISMES CLÉS 2.1 Structures et organismes bilatéraux Jusqu’en 2002, l’aide néo-zélandaise était gérée par une division intégrée au Ministère des affaires étrangères et du commerce (MAEC). Puis en 2002, suite à un examen par les pairs réalisé par le CAD, qui recommandait aux pouvoirs publics néo-zélandais d’établir un groupe central d’experts afin de gérer leur aide et de coordonner une approche axée sur les pays, l’Agence néo-zélandaise pour le développement international (NZAID en anglais) est née. Il s’agit d’un organisme semi-autonome rattaché au MAEC. En 2007/08, la NZAID gérait approximativement 92 % de l’APD néo-zélandaise, le reste des fonds passant par d’autres ministères (MAEC 2007). Depuis son établissement, la NZAID a mis au point un cadre d’orientation entièrement nouveau, élargi nettement ses capacités et attiré d’importants volumes d’aide auprès des pouvoirs publics, des ONG et du public. L’agence ayant également pour ambition et pour mandat de fonctionner en tant qu’agence de développement, et non seulement en tant qu’organisme d’aide, elle dialogue de plus en plus avec les pays partenaires sur les politiques, ainsi que sur la gestion des programmes (CAD 2005). 1 Profil Nouvelle-Zélande Le Directeur exécutif de la NZAID est nommé par le Secrétaire aux affaires étrangères et au commerce, à qui il rend compte, mais il est chargé de conseiller les ministres directement en matière de politique d’APD, ainsi que de recruter l’ensemble des autres membres de l’agence. 2.2 Politiques et législation clés Mandat du Cabinet de 2001 Lorsqu’il a accepté d’établir la NZAID en 2001, le Cabinet néo-zélandais a décidé d’adopter un mandat assorti des grandes orientations suivantes : • faire de l’élimination de la pauvreté l’objectif central de la NZAID, à intégrer dans un nouveau cadre d’orientation ; • intégrer les Objectifs pour le développement international (ODI) – qui sont depuis devenus les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) – dans le nouveau cadre d’orientation et dans les documents de stratégie régionale du Pacifique ; • revoir complètement le cadre d’orientation, de manière à ce qu’il soit stratégique, responsable et axé sur les meilleures pratiques internationales ; • axer les programmes bilatéraux sur l’analyse de la pauvreté au niveau des pays et sur les stratégies des programmes nationaux ; • maintenir la concentration sur le Pacifique ; • développer un cadre d’évaluation bilatéral permettant d’examiner pourquoi le programme était trop dispersé et d’adopter une approche stratégique du financement des apports bilatéraux ; • mettre au point une nouvelle stratégie d’éducation privilégiant davantage les besoins éducatifs élémentaires et les circonstances individuelles des pays ; • intégrer les considérations liées aux droits de l’homme, à l’égalité des sexes et à l’environnement ; • développer un cadre permettant de déterminer le niveau de contributions aux institutions régionales et multilatérales ; • établir des systèmes de suivi et d’évaluation, afin d’évaluer l’impact de l’APD néo-zélandaise. Déclaration de politique de la NZAID – « Towards a safe and just world free from poverty » (2002) La déclaration de politique fondatrice de la NZAID énonce officiellement les valeurs, les principes et les objectifs qui orientent les travaux, les principales fonctions, les canaux de financement ainsi que les principaux domaines de programmation de cette agence. Il s’agit essentiellement d’une déclaration officielle décrivant le mandat opérationnel établi par la décision du Cabinet de 2001 (MAEC 2002). Déclaration d’intention de la NZAID, 2007-10 Cette déclaration énonce essentiellement la stratégie à moyen terme de la NZAID pour la mise en œuvre de ses programmes de développement, dans l’esprit de la déclaration de politique. Elle aborde les réponses de l’agence à des questions telles que l’aide liée, l’harmonisation et l’alignement, son approche du dialogue politique et ses réponses à plusieurs autres considérations de politique d’aide (MAEC 2007). 2 Profil Nouvelle-Zélande 3) PAYS BÉNÉFICIAIRES ET CRITÈRES D’ALLOCATION 3.1. Pays bénéficiaires En moyenne, en 2005 et 2006, les 10 principaux pays bénéficiaires de l’APD néozélandaise ont perçu 34 % de l’APD totale de ce pays, soit 41 % de son APD bilatérale totale, comme l’illustre le tableau ci-dessous : Principaux pays bénéficiaires de l’APD néo-zélandaise: Pays Îles Salomon Niue Papouasie-NouvelleGuinée Tokelau Indonésie Afghanistan Vanuatu Samoa Tonga Îles Cook % de décaissements bruts dans l’APD totale 5,3 4,9 % de décaissements bruts dans l’APD bilatérale 6,5 6,1 Millions de USD 4,4 4,2 4,1 2,4 2,3 2,2 2,1 1,8 5,6 5,1 5,1 2,8 2,8 2,8 2,3 2,3 12 11 11 6 6 6 5 5 14 13 Source : CAD 2007 La NZAID possède des programmes bilatéraux centraux dans 12 pays du Pacifique, 6 pays d’Asie centrale et du Sud et 1 d’Afrique (Afrique du Sud), ainsi que des programmes régionaux relativement réduits (aucun n’étant supérieur à 5 millions de USD) en Afrique, en Asie et en Amérique latine, ce qui permet à l’APD néozélandaise d’atteindre un grand nombre de pays. L’examen par les pairs réalisé par le CAD en 2005, ainsi que des évaluations internes, ont conseillé à la NZAID de concentrer ses programmes bilatéraux à l’avenir, particulièrement en Asie, ainsi que d’axer ses efforts sur le Pacifique, du fait des liens étroits qui l’unissent avec cette région et lui confèrent plus d’impact. L’agence a donc choisi de concentrer ses futurs décaissements d’APD dans quatre pays (voir la section 3.2). Ventilation au sein des différents groupes de pays bénéficiaires (% de décaissements bruts dans l’APD totale) : Pays les moins développés Autres pays à faible revenu Autres pays d’Asie et d’Océanie Afrique subsaharienne Asie centrale et du Sud 35,0 % 39,9 % 70,3 % 12,4 % 11,4 % Source : données OCDE/CAD 2005-2006. Étant donné les étroits liens politiques, culturels et géographiques qui l’unissent avec le Pacifique, il n’est pas surprenant de constater que 70,3 % de l’APD bilatérale néozélandaise est destinée à cette région. Cette part élevée d’APD bilatérale est toutefois en baisse par rapport au niveau d’il y a dix ans (84,2 % en 1995-06). Cela s’explique 3 Profil Nouvelle-Zélande largement par le fait que l’Afrique subsaharienne et l’Asie centrale et du Sud ont vu leurs parts augmenter de 7,6 % à 12,4 % et de 4,5 % à 11,4 % respectivement sur la même période. Cette évolution semble due au fait que depuis l’établissement de la NZAID, le programme d’aide de la Nouvelle-Zélande s’est réorienté plus officiellement sur l’objectif de la réduction de la pauvreté (voir la section 2.2). 3.2. Critères d’allocation 3.2.1. Critères de présélection La Nouvelle-Zélande applique un cadre officiel bilatéral pour déterminer les pays susceptibles de recevoir l’aide de ses programmes. S’appuyant surtout sur les niveaux de pauvreté et les contraintes de développement, ce cadre examine également des questions comme l’étendue des relations existantes avec les pays (ce qui concerne particulièrement le Pacifique) et la cohérence avec les domaines d’expertise de la Nouvelle-Zélande (NZAID 2008). 3.2.2. Critères d’allocation La Nouvelle-Zélande a désigné 4 pays sur lesquels concentrer une hausse sensible de ses futurs décaissements d’APD – l’Indonésie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les Îles Salomon et Vanuatu – en raison de leurs hauts niveaux de pauvreté (http://www.nzaid.govt.nz/what-we-do/bilateral-aid.html). Dans les années à venir, la Nouvelle-Zélande devrait également accroître l’aide qu’elle concède à Niue (territoire auto-administré en association libre avec la Nouvelle-Zélande), à Tokelau (territoire indépendant de la Nouvelle-Zélande), ainsi qu’à un certain nombre d’autres pays. Les octrois de fonds de la Nouvelle-Zélande à ses pays partenaires dépendent largement des niveaux de pauvreté de ces derniers, tandis que la capacité des pays à absorber et à exploiter efficacement cette aide joue également un rôle important dans ces décisions. 4) POLITIQUES D’AIDE 4.1. Concessionnalité En 2006, l’APD néo-zélandaise consistait entièrement en dons. 4.2. Types d’aide Coopération technique indépendante (décaissements) Appui budgétaire général Projets et programmes sectoriels Activités liées à la dette Aide alimentaire pour le développement Autre aide sous forme de produit de base Situations d’urgence et de crise (décaissements) Millions de USD 49 % de décaissements bruts d’APD bilatérale 24,1 % 12 83,4 0 1 0 21 5,9 % 41,1 % 0% 0,5 % 0% 10,3 % Source : données OCDE/CAD 2006. N. B. : les différents types d’aide détaillés dans ce tableau proviennent de plusieurs sources de données du CAD de l'OCDE. À ce titre, la somme de la dernière colonne n’équivaut pas à 100 %. 4 Profil Nouvelle-Zélande Les 12 millions de USD d’appui budgétaire apporté par la Nouvelle-Zélande en 2006 ont été destinés à Niue et Tokelau, une modalité d’aide qui correspond aux engagements constitutionnels de la Nouvelle-Zélande envers ces territoires. La NZAID a toutefois entrepris un examen de l’environnement organisationnel, qui explorera, entre autres aspects, les réponses de la Nouvelle-Zélande aux nouveaux paradigmes sur l’efficacité de l’aide et au potentiel d’une plus vaste utilisation de l’appui budgétaire. Par le biais de ses programmes dans les secteurs éducatif et sanitaire de plusieurs pays partenaires (voir la section 5.5), la Nouvelle-Zélande a également fourni 13 millions de USD supplémentaires sous forme d’APD. Les financements via les programmes budgétaires et sectoriels totalisent ainsi 25 millions de USD environ, l’équivalent de plus de 12 % de son APD bilatérale, ratio que l’on peut comparer favorablement avec certains des donateurs les plus progressifs. La Nouvelle-Zélande concède presque un quart de son APD bilatérale sous forme de coopération technique, ce qui est comparable à la moyenne des donateurs du CAD. 4.3. Canaux d’assistance En 2006, la Nouvelle-Zélande a canalisé 27,1 % (soit 56 millions de USD) de son APD via les institutions multilatérales. De ce total, 23 millions de USD ont été ventilés via les organismes des Nations Unies, 8 millions de USD sous forme de contribution de l’IDA à la Banque mondiale et 6 millions de USD à travers la Banque asiatique de développement. Le recours grandissant de la NZAID aux approches sectorielles (dites « SWAPs »), ainsi que son appui budgétaire à Niue et Tokelau suggère que l’agence utilise de plus en plus les systèmes des pays, bien qu’aucune source n’ait évalué cette question en détail. 4.4. Secteurs et projets Secteur Infrastructures sociales et administratives Dont : Éducation Santé Population Eau et assainissement Pouvoirs publics et société civile Infrastructures économiques Dont : Transport et communication Énergie Production Dont : Agriculture Industries, mines, travaux publics Commerce et tourisme Activités multisectorielles % d’APD bilatérale (engagements) 45,1 % 20,5 % 5,5 % 3,3 % 1,4 % 12,8 % 4,8 % 2,8 % 0,7 % 5,9 % 3,0 % 0,8 % 2,1 % 3,7 % Source : données OCDE/CAD 2006. En 2006, la Nouvelle-Zélande a destiné 45,1 % de son APD bilatérale aux infrastructures sociales et administratives, une chute sensible par rapport à 2002, 5 Profil Nouvelle-Zélande lorsqu’elle destinait environ 60 % de l’APD à ces secteurs. En termes sectoriels, en 2006 le pays a fortement privilégié l’éducation (20,5 % de l’APD bilatérale), contre environ 44 % de l’APD en 2002 ; ainsi que les pouvoirs publics et la société civile (12,8 % de l’APD bilatérale), contre environ 5 % de l’APD au milieu des années 1990. La production et les infrastructures économiques sont manifestement des priorités beaucoup moins importantes pour les programmes d’aide néo-zélandais, ces secteurs ne recevant que 5,9 % et 4,8 % de l’APD en 2006. Le niveau d’APD destinée à ces secteurs représente toutefois une hausse par rapport à 2002, mais il reste plus ou moins équivalent à celui du milieu des années 1990. La Déclaration d’intention 2007-10 de la NZAID affirme que son aide visera principalement à renforcer la gouvernance ; à atteindre la croissance économique et à améliorer les moyens d’existence ; à améliorer l’éducation et la santé ; ainsi qu’à réduire la vulnérabilité. En outre, la NZAID affirme que sa stratégie pour l’Asie privilégiera le secteur des moyens d’existence ruraux (NZAID 2004). 4.5. Flexibilité Les procédures de décaissement de la Nouvelle-Zélande permettent aux pays de reconduire les fonds qu’ils n’ont pas dépensés une année (jusqu’à 20 % de leur allocation annuelle) au cours de l’année suivante. Inversement, elles permettent aux pays d’excéder leur plafond de dépenses (jusqu’à 10 % de l’allocation annuelle), les dépassements étant ensuite déduits de leur allocation l’année suivante. Les décaissements doivent toutefois s’égaliser sur une période triennale. 4.6. Prévisibilité Le budget néo-zélandais de coopération au développement est approuvé une fois par an, mais il s’appuie sur une enveloppe de financement triennale, comme prévu dans la « Déclaration d’intention » (DI), la DI en vigueur actuellement couvrant la période 2007-10. La plupart des programmes de coopération bilatérale de la Nouvelle-Zélande s’articulent autour de stratégies de pays quinquennales, qui englobent une enveloppe de financement triennale coïncidant avec son budget global de coopération au développement. Toutefois, la Nouvelle-Zélande a récemment souscrit des accords décennaux avec les Îles Cook (à partir de 2007) et avec la Papouasie-Nouvelle-Guinée (à partir de 2008), ce qui témoigne de sa volonté de souscrire des accords à plus long terme à l’avenir. 4.7. Conditionnalité La Nouvelle-Zélande n’impose aucune conditionnalité politique officielle à ses pays partenaires, bien que son recours accru aux approches sectorielles et à l’appui budgétaire en faveur de Niue et Tokelau ait augmenté sa participation au dialogue sur l’orientation. 4.8. Dialogue politique L’un des objectifs justifiant la création de la NZAID en 2002 était d’établir un organisme de développement qui puisse jouer un rôle plus actif dans le dialogue 6 Profil Nouvelle-Zélande politique sur le développement dans les pays, en sus et en complément de son rôle traditionnel de prestataire d’aide. En participant à l’établissement et à la mise en œuvre de « SWAPs » dans les secteurs éducatif et sanitaire d’un certain nombre de pays (voir la section 5.5) et en privilégiant la question de la gouvernance dans nombre de ses programmes nationaux du Pacifique, la NZAID s’est impliquée de plus en plus dans les questions d’orientation de la région. Toutefois, la NZAID ne prend actuellement part au dialogue politique officiel qu’à Niue et à Tokelau, où elle fournit un soutien budgétaire, qui devrait être régi et suivi dans les années à venir par des cadres de performances traditionnels. 5) PROCÉDURES D’AIDE 5.1 Conditions préalables L’aide bilatérale de la NZAID repose sur des stratégies de pays quinquennales (ou parfois décennales), qui sont convenues en partenariat avec les pays et qui s’inspirent autant que possible des stratégies de développement des pays partenaires. 5.2 Méthodes de décaissement Des informations sur les méthodes de décaissement néo-zélandaises sont en cours d’élaboration. 5.3 5.3 Procédures de décaissement Des informations sur les procédures de décaissement néo-zélandaises sont en cours d’élaboration. 5.4 Procédures de passation de marchés Les procédures de passation de marchés de la Nouvelle-Zélande stipulent qu’il n’est pas nécessaire de soumettre les contrats d’une valeur inférieure à 20 000 USD à appel d’offres ; que les contrats entre 20 000 USD et 100 000 USD exigent uniquement un appel d’offres fermé ; et que les contrats supérieurs à 100 000 USD exigent un appel d’offres ouvert ; tandis que les contrats de services de gestion exigent une procédure d’appel d’offres ouverte à étapes multiples. http://www.nzaid.govt.nz/contracts/contracting-guidelines.html. De plus amples informations sur les procédures de passation de marchés de la Nouvelle-Zélande sont en cours d’élaboration. 5.5 Coordination En tant que signataire de la Déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide, la NouvelleZélande s’est engagée à améliorer sa coordination avec les autres donateurs et à atteindre les objectifs de Paris qui la concernent. Actuellement, la NZAID possède un programme commun avec AusAID dans les Îles Cook (dont la direction a été confiée à la NZAID), une stratégie conjointe avec AusAID aux Îles Samoa, tandis qu’elle travaille également en vue d’un programme commun avec AusAID à Kiribati. 7 Profil Nouvelle-Zélande La NZAID a joué un rôle déterminant dans l’établissant d’approches sectorielles (« SWAPs »), afin de soutenir l’éducation dans les Îles Salomon, Samoa et Tonga ; elle soutient des SWAPs en éducation au Timor oriental et au Vietnam ; tandis qu’elle est en train d’établir des SWAPs en éducation dans les Îles Cook, à Vanuatu (phase avancée), ainsi qu’en Indonésie et en Papouasie-Nouvelle-Guinée (phase conceptuelle). La NZAID a également joué un rôle prédominant dans l’établissement d’une approche sectorielle dans le secteur sanitaire en Papouasie-Nouvelle-Guinée, tandis qu’elle est en train d’en établir une aux Samoa. En Asie, la NZAID coopère avec les autres donateurs de plusieurs manières, notamment en contribuant à un programme multidonateurs au Cambodge et en soutenant un éventail de programmes d’organismes des Nations Unies ailleurs. Principales sources (toutes les sources Internet ont été consultées en juin 2008) CAD (2005) « New Zealand – Development Assistance Committee Peer Review », Comité d’aide au développement de l’OCDE, consulté sur : http://www.oecd.org/dataoecd/37/8/34964327.pdf CAD (2007) « Development Cooperation report 2007 », Comité d’aide au développement de l’OCDE, consulté sur : http://titania.sourceoecd.org/vl=17101592/cl=12/nw=1/rpsv/dac/index.htm CAD (2008) « Press release: initial 2007 ODA figures », Comité d’aide au développement de l’OCDE, consulté sur : http://www.oecd.org/document/8/0,3343,en_2649_33721_40381960_1_1_1_1,00.htl MAEC (2007) « Ministry of Foreign Affairs and Trade – Statement of Intent 200710 » Cabinet néo-zélandais (2001), Examen de l’Aide publique au développement de la Nouvelle-Zélande, Procès-verbal de la décision (CAB Min (01) 28/8), Wellington. NZAID (2002), « NZAID Policy Statement – Towards a safe and just world free from poverty », Agence néo-zélandaise pour le développement international, 2002, consulté sur: http://www.nzaid.govt.nz/library/docs/nzaid-policy-statement.pdf NZAID (2004), « Asia Strategy », Agence néo-zélandaise pour le développement international, 2004, consulté sur : http://www.nzaid.govt.nz/library/docs/nzaid-asia-strategy.pdf NZAID (2008), « NZODA Bilateral Assessment Framework », NZAID 2008 8