Édition du 31 octobre 2014

N°7 - Vendredi 31 octobre 2014
François Ozon
transcende Romain Duris
Une nouvelle amie de François Ozon se balade
de festival en festival. Et elle a déjà été distinguée au festival de San Sebastián et de SaintPétersbourg. Il faut dire que le réalisateur a
trouvé chaussure à son pied avec Romain
Duris, en parfait héros transgenre. Ce dernier
film d’Ozon évoque l’imaginaire hitchcockien
et l’univers d’Almodóvar. Il propose une
approche de la sexualité et du deuil, plus complexe, plus engageante, plus mature. Avantpremière ce soir en présence de François Ozon
et Romain Duris.
a recours à une forme de stylisation extrême
(décors, costumes, filmage, musique) pour faire
émerger une vérité cachée sur ses personnages
et jouer sur la confusion du vrai et du faux. En
toile de fond, une référence évidente au cinéma
américain des années 40-50.
Une nouvelle amie est librement inspirée d’une
nouvelle de Ruth Rendell, The New Girlfriend,
une histoire de quinze pages dans l’esprit de la
série télé “Hitchcock présente”. Le sujet de
départ est résolument dramatique. À la suite du
Vendredi 31 octobre, à 21 h, Opéra Berlioz,
avant-première de Une nouvelle amie en présence de François Ozon et Romain Duris. Émission
en direct sur Radio Nova (cf. le point du jour).
Pour Halloween, venez passer une nuit en enfer ! Une saga de cinq films
du Cinéma Bis français, pour revivre les histoires fantastiques les plus
folles d’Eurociné et frissonner au rythme des séries Z.
Rendez-vous attendu de Cinemed, la soirée de l’horreur est cette année
placée sous le signe Eurociné. Le cinéma “cheap” et populaire est mis à
l’honneur cette nuit avec une sélection de cinq longs métrages, tous plus
fous les uns que les autres. Cinemed a sélectionné pour vous des
pépites issues de la société de production Eurociné. Et croyez-nous, elles
vont vous tenir éveillés !
Eurociné c’est l’aventure d’une famille de forains : les Lescœur. En 1937,
Marius, gérant d’un manège d’auto-tamponneuses découvre que le
■ Le Lac des morts-vivants
cinéma est une continuité à sa vie de saltimbanque. Il crée les Studios
Mobiles de France et participe à de nombreux tournages en louant des
décors de fête foraine pour les films. Après de successives collaborations
infructueuses avec des distributeurs français, il se tourne vers les coproductions espagnoles. En 1957, il fonde Eurociné. Cette association
donne naissance à des films qui restent dans la mémoire des cinéphiles
comme L’Horrible Docteur Orlof de Jess Franco. Puis avec le tournage de
deux Zorro et d’un western, la société lance une nouvelle mode : le
“western spaghetti”.
À la fin des années 1960, la société fait un détour vers le genre érotique,
sans succès. C’est alors que naît toute une série de coproductions officielles et officieuses, aux budgets microscopiques que l’on connaît bien.
Le fantastique devient le genre fétiche d’Eurociné. Certains films sont
tournés en trois jours, les décors recyclés dans plusieurs scènes et parfois même on n’hésite pas à utiliser des “stock shots”, scènes empruntées à d’autres films déjà tournés quand la scène à tourner est trop onéreuse. Dans Le Lac des morts-vivants, les caméras sont déréglées. Alors
pour compenser, on fait jouer les acteurs plus lentement !
Les films reprennent des recettes déjà éprouvées, mais des recettes qui
fonctionnent. Eurociné a fondé son succès sur la production de films avec
des réalisateurs vedettes et des acteurs fétiches. Au menu de cette nuit
cauchemardesque : des zombis nazis, des savants-fous, des agents
secrets et des amazones aux seins nus, des histoires de passions charnelles et de pièges machiavéliques. Embarquez pour un voyage dans un
univers fantastique déjanté avec L’Horrible Docteur Orlof, L’Homme à la
tête coupée, Deux mâles pour Alexa, Le Lac des morts-vivants et Lorna,
la lionne du désert, de 21 h jusqu’au petit matin. Tous les ingrédients des
bons nanars sont réunis pour vous accompagner cette nuit !
Vendredi 31 octobre, de 21 h à l’aube, Centre Rabelais, “Une nuit en enfer”.
Le jury de la Bourse d’aide a délibéré ! La bourse dotée par le
CNC et Éclair Group a été attribuée au projet Delphine D. de Lara
Fremder. La bourse de l’Organisation Internationale de la
Francophonie a été décernée au projet Mime de Kaouther Ben
Hania. Le projet Saudade de Antonio Méndez a reçu la bourse
de la Région Languedoc-Roussillon. L’Association Beaumarchais
offre une bourse allouée au projet Le Retour de Meyar Al-Roumi.
Enfin, deux résidences d’écriture ont été offertes. La résidence
d’écriture du Moulin d’Andé revient au projet Un jour, mon père
est mort de Tamara Erde. La deuxième, offerte par le
Mediterranean Film Institute d’Athènes, assortie d’une invitation
sur l’une des plates-formes de coproduction à Agora Industry
dans le cadre du Thessaloniki International Film Festival, a été
attribuée à Une famille heureuse de Nana Ekvtimishvili. ■
Lorie / Mike Tyson, même combat !
Dans le dernier film de Jean-Marc Minéo, on peut retrouver la
chanteuse qui fut un temps la préférée des adolescentes, Lorie,
aux côtés du boxeur Mike Tyson, mais aussi du comédien Smaïn.
Les Portes du soleil – Algérie pour toujours, réalisé par le
champion de kung-fu, Jean-Marc Minéo, réunit un casting
incroyable dans ce premier film d’action algérien. Le réalisateur est
présent aujourd’hui avec les comédiens Lorie Pester et Zakaria
Ramdane pour présenter son film sélectionné dans la catégorie
panorama longs métrages. À 14 h, salle Einstein. ■
Bienvenue au jury des courts métrages
Le Flash vous présente
aujourd’hui les jurés
réunis pour désigner le
meilleur court métrage
de la compétition. Le
jury est composé cette
année de : Samantha
Leroy, chargée de la
valorisation
des
collections films de la
Cinémathèque
française
; Salette
Ramalho, responsable
vente et promotion des
films à l’Agence du court
métrage portugais ;
Thanos Anastopoulos,
réalisateur et producteur
grec ; Hassan Legzouli,
réalisateur marocain ; et
Lorenzo Recio, réalisateur français. Le grand prix du court
métrage de l’Agglomération de Montpellier est doté de 4000 €.
Il reviendra au réalisateur du film lauréat. ■
■ Photo © E. Catarina.
Le meilleur du Cinéma Bis en une nuit
Le palmarès de la 24e Bourse d’aide
■ Photo © E. Catarina.
Le public brûle d’impatience de
découvrir le nouveau film du réalisateur prolifique, François Ozon, qui
signe avec Une nouvelle amie, son
film le plus almodovarien. Tout
comme Almodóvar au fil de ses
films. Après Les Amants criminels
(1999), Huit Femmes (2002), ou
bien encore Swimming Pool (2003),
le cinéaste continue d’explorer et
de confondre les genres cinématographiques. En grand cinéphile, il ne
cesse de citer ses maîtres dans ses
œuvres, à l’instar de Jean-Luc
Godard, François Truffaut, Alain
Resnais, Douglas Sirk, ou encore
■ Une nouvelle amie
Luchino Visconti. Dès son premier
long métrage, Sitcom (1998), Ozon
a toujours pris énormément de plaisir à décès de sa meilleure amie Laura (Isild Le
dépeindre les vies et les valeurs des bourgeois, Besco), Claire (Anaïs Demoustier) fait une proleurs passions transgressives, généralement fonde dépression, mais une découverte surprepour les critiquer ou du moins les remettre en nante au sujet du mari de son amie va lui redoncause, et on retrouve cette tendance dans son ner goût à la vie.
nouveau film. Ses scénarios s'attachent à rela- Ce film réunit pour la première fois François
ter le voyage intérieur de ses protagonistes. Une Ozon et le comédien Romain Duris. Pour ce perfois encore, avec son dernier film, François Ozon sonnage transgenre, le réalisateur a vu en
Romain Duris « une évidence », et vice versa.
« Romain s’est imposé, non pas parce qu’il était
“la plus belle femme”, mais parce qu’il émanait
de lui une grande joie à se travestir. Il y avait une
évidence, une incarnation, un plaisir fétichiste
d’enfiler les bas, les robes, sans ironie ou distance ». De son côté, l’acteur fétiche de Cédric
Klapish et de Tony Gatlif, ou bien encore du chef
d’œuvre de Jacques Audiard, De battre mon
cœur s’est arrêté, a tout de suite signé pour ce
rôle. Se glisser dans la peau d’une femme ne lui
faisait pas peur, bien au contraire,
il portait ce désir d’acteur en lui
depuis longtemps. De façon
presque troublante, il épouse
cette seconde peau à la perfection. Mais le travestissement n’est
pas le sujet du film. « Mon but était
vraiment de faire découvrir et partager les artifices féminins aux
hommes, les faire pénétrer dans
l’univers du travestissement en
douceur, avec tendresse et
humour », explique le réalisateur.
Très appréciée du jury du festival
de San Sebastián pour sa contribution à la libération et à la réaffirmation de l’identité de chacun,
Une nouvelle amie sort le
5 novembre. François Ozon
remet en question les présupposés et les rôles de la masculinité et de la féminité, en une phrase empruntée à Simone de
Beauvoir : « On ne naît pas femme, on le devient ».
le point
du jour
Duris et Ozon en live sur Nova
De 19 h 30 à 21 h, Radio Nova s’installe dans le hall du Corum
pour une émission en direct sur ses ondes nationales. Anna
Flori-Lamour, l’animatrice du magazine, sera accompagnée
d’Alain Masson, critique de cinéma, et des membres du jury du
Prix Nova. Elle recevra les deux stars du jour à l’occasion de la sortie
du film Une nouvelle amie : François Ozon et Romain Duris. ■
Les invités du jour
Du côté de la compétition longs métrages, Atlit est projeté à 16 h
en salle Pasteur avec la réalisatrice Shirel Amitay et la
productrice Sandrine Brauer. Puis, à 21 h, Bastardo est diffusé
en présence du réalisateur Najib Belkadhi et du producteur
Farès Ladjimi.
Côté panorama, rendez-vous en salle Einstein avec Hassan
Legzouli pour la projection de son film Le Veau d’or à 10 h. Puis
à 20 h, Karin Albou (réalisatrice et actrice) présente Ma plus
courte histoire d’amour en compagnie de Mazarine Pingeot
(actrice) et Patrick Mimoun (acteur).
Le programme 1 de la compétition courts métrages est rediffusé
en salle Pasteur à 18 h 15. Amitai Ashkenazi présente son film
Jusqu’à la fin du jour. Gregor Bozic est présent pour son film
Chaussures de trieste. Aïssa est projeté en présence du
réalisateur Clément Tréhin-Lalanne. Le réalisateur Aurélien
Vernhes-Lermusiaux est également présent pour Poisson. ■
La suite de Filmer en région
Au centre Rabelais aujourd’hui, retrouvez la section Filmer en
région. Avec à 16 h, le film UnderGronde de Francis Vadillo.
À 18 h, Dolça est projeté en présence de Laure BourdonZarader suivi de La Philo à bras-le-corps de Yohan Laffort. ■
L’Incomprise,
« un mélodrame punk »
■ L’Incomprise
L'Incomprise, dernier film d'Asia Argento,
c’est l’histoire d’Aria, 9 ans, interprétée par
l’épatante Giulia Salerno. Aria a un rêve : être
aimée de ses parents. Elle cumule les
bêtises pour attirer l'attention de ceux-ci et
de ses sœurs, baignée dans une lumière
orangée qui rappelle celle des polaroïds. La
réalisatrice filme une famille italienne
dysfonctionnelle mais attachante, à travers
les yeux d’une fillette. Les parents (Charlotte
Gainsbourg et Gabriel Garko) passent leur
temps à se disputer et se séparer, mais la
fraternité familiale crée un écrin d’optimisme
et une poésie quotidienne pour des gamines
forcées de grandir un peu trop vite. Quand sa
mère et son beau-père se séparent
brutalement, Aria est ballottée de l’un à
l’autre et se retrouve à errer dans la ville avec
son sac à dos et son chat noir.
« Qui dans son enfance n'a pas eu ce
sentiment d'être incompris aux yeux des
autres, à commencer par ses propres
parents ? », souligne Asia Argento. Aria,
c'est Asia, et en même temps ce n'est pas
elle. « Quand j'étais petite, j'ai essayé de tuer
l'enfant en moi parce que j'en avais honte »
explique-t-elle. Ce sujet fort et intime, il lui a
fallu presque dix ans pour le mettre en forme,
après son expérience douloureuse dans Le
Livre de Jérémie. Présenté en 2014 à Un
Certain Regard à Cannes, L’Incomprise est
une œuvre émouvante qui a réconciliée l'ex
actrice avec elle-même.
Loin d’être d’une tristesse insupportable,
Asia Argento réussit l’exploit de réaliser un
film particulièrement drôle en forçant le trait
de ses personnages à la limite de l’absurde.
En plus d’être drôle et touchant, le film est
d’une énergie folle. Libre et inventif, il est
surtout transcendé par sa jeune actrice
émouvante et juste.
Vendredi 31 octobre, à 18 h, Diagonal,
avant-première de L’Incomprise. ■
Réveillez l’ours qui est en vous
Cinemed vous invite à vivre un spectacle familial, animal et poétique. Grizzly est le sixième
film de Disneynature, un label Disney fondé en
2008. Qualifié par le Wall Street Journal du
« Spielberg des films animaliers », Alastair
Fothergill, accompagné de Keith Scholey (coréalisateur), nous offrent une aventure épique. Une
chose est sûre, il s’agit d’un nouveau chefd’œuvre du label après Félins et Chimpanzés.
Il a fallu de très longues journées de tournage
et des équipes techniques d’experts pour
approcher ces animaux majestueux que sont
les ours bruns. Au cœur d’un décor époustouflant, les réalisateurs ont choisi le face à face
avec ces animaux imposants et intimidants
afin de révéler leur vraie nature. Le réalisateur
Keith Scholey, habitué des films animaliers,
déclare : « L’ours brun est un animal puissant,
intelligent, doux et incroyablement social qui
occupe une place très particulière dans nos
cœurs, car nous avons tous eu un ours en
peluche lorsque nous étions enfants ».
Créé en 2008 par Jean-François Camilleri, Disneynature est le seul label cinématographique
lancé par The Walt Disney Studios depuis
60 ans. Il s’inscrit dans une lignée de films
documentaires soucieux de promouvoir la nature et l’environnement. Disneynature met cet
héritage entre les mains des meilleurs
cinéastes du genre. Grâce aux moyens techniques actuels, ils peuvent se rendre dans les
endroits les plus reculés de la planète pour
proposer des histoires comme seule la nature
sait en écrire, et sensibiliser le public à la
beauté et l’avenir de la planète. Avec
Grizzly, les réalisateurs partagent avec les
spectateurs une expérience hors du commun.
Grizzly invite le public à suivre pendant une
année la vie fascinante d’une famille d’ours
dans l’une des dernières contrées sauvages de
la planète : l’Alaska. Le film vous conduit dans
la première année de vie de Amber et Scout,
deux petits ours bruns qui, aux côtés de leur
mère Sky, vont apprendre à vivre et à survivre.
Car seuls un tiers des oursons atteignent l’âge
adulte. On les croît puissants, pourtant ils sont
en danger. On les pense redoutables, ils sont
en vérité attendrissants. Comment le grizzly
peut-il être, dans notre inconscient collectif, à
la fois un animal féroce et le symbole de la
peluche idéale pour tous les enfants du monde ?
Tourné dans le parc national et la réserve de
Katmai en Alaska, le film est une merveille
d’esthétisme. Entre montagnes, volcans, glaciers et littoral, les paysages sont grandioses,
mystiques. Mais Grizzly c’est aussi un condensé d’émotions entre peur, tendresse et
humour. C’est la force de ce film qui impressionne. Alastair Fothergill et Keith Scholey présentent un film puissant et tendre, un subtil
mélange de force et de douceur qui émerveillera petits et grands.
Vendredi 31 octobre, à 14 h, Opéra Berlioz,
Grizzly en avant-première.
■ Grizzly
Vendredi 31 octobre
berlioz
11 h 00
In grazia di Dio
d’Edoardo Winspeare
(Italie, 2014), 2 h 8 - VOSTF
14 h 00
Grizzly
d’Alastair Fothergill, Keith Scholey
(États-Unis, 2014), 1 h 18 - VF
16 h 00
Carmen
de Francesco Rosi
(France/Italie, 1983), 2 h 32 - VOFR
SOIRÉE DE CLÔTURE
19 h 00
Plácido
de Luis García Berlanga
(Espagne, 1961), 1 h 25 - VOSTF
21 h 00
Une nouvelle amie
de François Ozon
(France, 2014), 1 h 47 - VOFR
pasteur
LES
NOUVEAUX
SAUVAGES
de Damián Szifrón
IÈRE
EN AVANT-PREM
it par
Un film produ
var
Pedro Almodó
er
e - 20 h 30
Samedi 1 novembr oz
Corum - Opéra Berli
10 h 00
A Praga, la plaie
d’Hélène Robert, Jeremy Perrin
(France/Portugal, 2013), 1 h 12 - VOSTF
12 h 00
Marseille
de Belén Macías
(Espagne, 2014), 1 h 35 - VOSTF
14 h 00
Courts métrages Compétition n° 3
Collection d'arômes
de Igor Cobileanski
(Moldavie/Roumanie, 2013), 14 mn
VOSTF
Père
de Lotfi Achour
(Tunisie/France, 2014), 15 mn - VOSTF
La Visite
de Inbar Horesh
(Israël, 2014), 27 mn - VOSTF
Le Beau-frère
de Hassene Belaïd
(Algérie, 2014), 21 mn - VOSTF
Bikini
de Óscar Bernàcer
(Espagne, 2014), 17 mn - VOSTF
16 h 00
Atlit
de Shirel Amitay
(France, 2014), 1 h 31 - VOSTF
18 h 15
Courts métrages Compétition n° 1
Jusqu'à la fin du jour
de Amitai Ashkenazi
(Israël, 2014), 19 mn - VOSTF
Chaussures de Trieste
de Gregor Bozic
(Slovénie/Allemagne, 2014), 11 mn
VOSTA+VOSTF
Ça peut passer à travers le mur
de Radu Jude
(Roumanie, 2014), 17 mn - VOSTF
Aïssa
de Clément Tréhin-Lalanne
(France, 2014), 8 mn - VOFR
Poisson
de Aurélien Vernhes-Lermusiaux
(France, 2014), 26 mn - VOFR
Discipline
de Christophe M. Saber
(Égypte/Suisse, 2014), 11 mn - VOSTF
21 h 00
Bastardo
de Najib Belkadhi
(Tunisie, 2013), 1 h 46 - VOSTF
einstein
10 h 00
Le Veau d'or
de Hassan Legzouli
(Maroc/France, 2013), 1 h 27 - VOSTF
12 h 00
Vagues
d’Ahmed Nour
(Égypte/Maroc, 2013), 1 h 10 - VOSTF
14 h 00
Les Portes du Soleil
Algérie pour toujours
de Jean-Marc Minéo
(Algérie, 2014), 1 h 31 - VOSTF
16 h 00
Les Messagers
d’Hélène Crouzillat, Laetitia Tura
(France, 2014), 1 h 10 - VOSTF
18 h 00
52 étés
de Fábio Cunha
(Portugal, 2013), 57 mn - VOSTF
20 h 00
Ma plus courte histoire d'amour
de Karin Albou
(France, 2014), 1 h 20 - VOFR
22 h 00
Villa Touma
de Suha Arraf
(Palestine, 2014), 1 h 27 - VOSTA
rabelais
10 h 00
Toi, moi, les autres
d’Audrey Estrougo
(France, 2009), 1 h 25 - VOFR
12 h 00
Cinéma bidon
de Bahia Allouache
(Algérie, 2014), 1 h 40 - VOSTF
14 h 00
Une vie meilleure
de Cédric Kahn
(France, 2011), 1 h 50 - VOFR
16 h 00
Filmer en région Programme 4
UnderGronde
de Francis Vadillo
(France, 2014), 1 h 16 - VOFR
18 h 00
Filmer en région Programme 2
Dolça
de Laure Bourdon-Zarader
(France, 2014), 30 mn - VOSTF
La Philo à bras-le-corps
de Yohan Laffort
(France, 2014), 52 mn - VOFR
21 h 00
Une nuit en enfer - La saga Eurociné
Lorna, la lionne du désert
de Luigi Batzella
(Italie/France, 1979), 1 h 26 - VF
Le Lac des morts-vivants
de Jean Rollin
(France/Espagne, 1981), 1 h 30 - VF
L'Horrible Docteur Orlof
de Jess Franco
(Espagne/France, 1961), 1 h 35 - VF
L'Homme à la tête coupée
de Juan Fortuny
(Espagne/France, 1973), 1 h 27 - VF
Deux mâles pour Alexa
de Juan Logar
(Espagne/Italie/France, 1971),
1 h27 - VF
diagonal
18 h 00
L'Incomprise
d’Asia Argento
(Italie, 2014), 1 h 43 - VOSTF
VOFR = version originale en français; VF = version doublée en français; VOSTF = version originale sous-titrée français; VOSTA = version originale sous-titrée anglais (traduction simultanée);
VOSST = version originale sans sous-titres (traduction simultanée); VOSD = version originale sans dialogues
Flash Festival - Quotidien d’information édité par le Festival International du Cinéma Méditerranéen de Montpellier. Tél. 04 99 13 73 73 - Distribué exclusivement sur les lieux du festival.
Direction : Jean-François Bourgeot - Rédaction : Margot Valeur et Marie Savoldelli - Fabrication : Imprimerie du Midi, 34438 Saint-Jean-de-Védas cedex