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Prom. Nr. 3144 Influence du type d'amortisseur des machines synchrones sur leur coefficient d'amortissement et leurs réactances transitoires et subtransitoires Thèse présentée à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich pour l'obtention du grade de Docteur es Sciences Techniques Par Moutawé Achab ing. dipl. de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich citoyen de la République Arabe Unie (Syrie) Prof. A. Dutoit Rapporteur: Corapporteur: Prof. Ed. Gerecke Juris-Verlag rp6i Zurich Leer - Vide - Empty "L'homme n'est de la Il ne nature; qu'un un roseau pensant. faut pas que l'univers entier s'arme Une vapeur, pour l'écraser. suffit pour le tuer: ce qu'il meurt, qui et le une goutte d'eau, Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait noble que sur plus faible roseau, le mais c'est encore plus tue, parce qu'il sait l'avantage que l'univers lui; l'univers n'en sait rien. " Pascal a Leer - Vide - Empty Cette étude de l'Ecole gratitude à recherche été entreprise à l'institut de Construction des Machines a Polytechnique Fédérale de Zurich. Monsieur le Professeur A. Du scientifique, qui m'a pour mener à bien A. Du toit pour cette occasion toit, qui m'a initié dans soutenu par ses conseils et électriques ma profonde le domaine de la précieuses directives travail. Je remercie très sincèrement Monsieur le Professeur ce son J'exprime à aide et sa patience. Je tiens aussi à remercier Monsieur le Professeur E.Gerecke voulu accepter d'être du jury, ses critiques et ses remarques me qui a bien sont d'un intérêt précieux. Je remercie un la également le conseil de l'Ecole Polytechnique, qui important crédit pour entreprendre la partie expérimentale de générosité A mes ce a pu m'accorder travail, grâce à de la Maison Brown Boveri à Baden. collègues toire, j'exprime mes les assistants au susdit Institut et au personnel de sincères remercfments pour leur précieux son concours. Labora¬ Leer - Vide - Empty 7 - - Avant-propo L'enroulement amortisseur pose problème très suivant les conditions que doit synchrones, permanent, oscillatoire, capacitif que. De toute manière, l'emploi pour but principal d'augmenter à l'égard du rôle de réglage un ou s remplir inductif, délicat dans les machines cet amortisseur soit ou en cas en de court-circuit régime dissymétri¬ d'enroulement amortisseur dans les alternateurs a leur stabilité de fonctionnement et d'améliorer leur ces machines dans les réseaux à interconnexions multi¬ ples. On s'est appliqué dans le présent travail à étudier théoriquement de certains types de barres d'amortisseurs et suivant que trapézoïdale, circulaire et de mettre maximum perméance perméance rectangulaire, à chercher les conditions d'amortissement évidence la corrélation existant entre leurs coefficients de et les réactances subtransitoires et transitoires de la machine. Il était généralement difficile réactances ces ou en la barres ont la forme ces en de déterminer à l'avance et fonction des dimensions de la machine et de sans essai préalable, ses constantes une partie de physi¬ ques. Sur la suggestion de Monsieur le Professeur A. Dutoit vail a été dirigée dans ce sens. On peut trouver ici des formules exactes, pour calculer les dites réactances. Cependant, est de déterminer par le calcul et ance à sans recours ce tra¬ assez difficulté subsiste qui graphique, la permé¬ de l'enroulement d'excitation. Les machines larité dont circuit on a synchrones présentent cherché en cas de court-circuit limiter les effets nocifs. En a effet, au sont dûs à la maximum teur qui composante inverse résulte, engendrées par ces vient illusoire lors des oscillations qui lui ce une particu¬ s'agit trouvent engen¬ pôles et qui alors pour rendre courants et le couple retarda¬ de les concentrer dans des amortisseurs résistants. L'utilité d'un enroulement amortisseur résistant être faible à se dans les têtes de de la réaction d'induit. Il les pertes par effet Joule en machine, surtout brusque moment du court- polyphasé dissymétrique, des courants de fréquence double drés dans les parties mobiles de la moment. Pour concilier alternateurs de deux amortisseurs, mais une méthode une simples, succèdent, ces pendant puisque deux contraires, un sa court-circuit, de¬ résistance devait on a équipé l'un à forte résistance l'autre à faible certains résistance, à grande réactance. L'effet de métriques, freinage du premier, s'exerce surtout le second intervient peu oscillations succédant au en raison court-circuit, de sa lors des court-circuits dissy¬ grande constante de temps. Les sont amorties cette fois par l'amorhsseur peu - résistant, comme on pourra le constater tion du moment de la machine durant le 8 - plus loin dans le chapitre concernant la varia¬ régime oscillatoire. CHAPITRE PREMIER Perméance I. Pour traiter le problème, entre elles et sont par aux d'une encoche suppose que les on conséquent, lignes magnétiques sont parallèles champ magnétique, perpendiculaires le comme rectangulaire parois de l'encoche considérée. Cela implique que perméabilité magnétique la du fer est infinie. Les rant, grandeurs H, champ magnétique, sont champ électrique, E supposées fonctions sinusoïdales du temps. Le et i densité de champ électrique cou¬ et la den¬ sité de courant i ont la cirection de l'axe de l'encoche. On considère l'élément de surface hachuré étudiée dans Loi une rotE = - d'Ampère. la définition du rotH rotationnel, •rotH calcule i en des courants sera = H(y)bn-H(y+dy)(bn+dy) il il -2p- (1) dt on (2) i peut écrire, figure (1): 0H.ds bdy~° /H.ds' répartition on -• = lim, = a o * Théorème Or, et section donnée de l'encoche. de l'induction. D'après d'épaisseur dy cela veut dire que la fonction de la seule coordonnée y, = - * _ b-dy 3- (b.H)dy =T.b o V Bb étant la b n largeur de l'encoche, est constant et par conséquent f--!-f dy La relation vectorielle rotE a pour composantes 2- - 3y les axes proj. sur ox proj. sur proj. sur oz 3E x 9z 3E z oy 3x SE x —' 3x sur 3z 3E 3y 0. Il reste: (3) bn 3E 9E = "dy de coordonnées: 10 - Les deux dernières composantes sont - identiquement nulles car plan xoy. La première composante est différente de zéro et perpendiculaire au plan xoy), il dE D'après la loi d'Ohm z - 'y dH = dy" reste ^OdT . = ^ rotE est comme E parallèle = E = au 0 (E 0 et l'on peut écrire: ,A\ „ ^o" (4) on a: =1 E ar¬ rêtant la conductibilité La relation (4) s'écrit: dE di = dy" La dérivée de du conducteur. spécifique l'équation (3) T^y" dH = PodT • = ,, „ \ (4a) ^o8 donne: d2H b di dy2 bn dy _ ~ .. ... ] *°r b bn Posant: ~2 <x Ou: /3 +jwu 3- = oc b — . (l+j)\/^-Unr^ = (i+j)/5 = étant la partie réelle de o<: -"||-¥- Pore" * L'équation différentielle champ magnétique devient: du 4-S + o(2H = (5) 0 dy2 Elle a pour solution générale: (6) L iwu0 On détermine les constantes a et b par les conditions aux que H. En effet: pour y = 0, H = 0 l'équation (6) devient: limites du champ magnéti¬ 11 - o D'où: a = - ii±ilA(a.D) = b 'ta D'après In le J *1t AmnAnn fknnMnmA théorème I d'Ampère U *-ll H. dl Ioff — pour y = h, H = " n -^— et l'équation (6) on a: . = I , devient: "n [e-/Jh(l+j) e+/ih(l+j)l <2a bn(Ui)-fl Irff = . . L 2.ÎLOU- J' 2.jcop0 Ce qui donne pour les constantes a et b: * W^Po a_b. ' 2.sh[(l+j)/Jh] y3(l+j)bn D'après l'équation (3), on a: bn . 1 Dérivant 1 'équation (6) = -"b~ a/32(l+j)2 dy j~ro a par sa a: + e-/3yd An2 b = on [e+/5y(M) J^Ho D'où: remplaçant dy par rapport ià y, dH En dH " ^.i^_.ch[/,y(1+j)] b cju0 valeur, on a: "Ï^Ho^eff ch/3y(l+j) /3bn(l+j) sh#h(l+j) Pour calculer le module de i, il suffit de multiplier i par °bUent: i.i* = i 2 =1 2 eff r2"2Fo ch2/îy+cos20y 2b2/l2 ch2/3h n' Prenant la racine carrée des deux membres de - en b -i ch20y + V ch2/3h - - son conjugué, cos2/3h l'équation précédente, cos2/3y cos2/3h on 12 - II. Calcul des - pertes En désignant par R^la résistance du conducteur ce dissipée en une D'autre part cette puissance est égale à = alternatif, la puissan¬ on obtient: eff l'intégrale P = bl / o suivante: .2 1T dy longueur axiale de l'encoche considérée. Remplaçant i par sa valeur dans P R courant I2„R~ h = au seconde dans l'encoche est: P 1 l'encoche dans I = 2 eff étant la résistance du conducteur l'intégrale et effectuant 1J3 sh2/3h JTb ch2/3h au courant Ro + - sin2/Jh cos2/}h continu, = fbh Fig. 1 g = E = b = bn h = = champ magnétique champ électrique largeur du conducteur largeur de l'encoche hauteur de l'encoche on a: l'intégration, 13 - Formant ensuite le rapport Ro S = Ko JL=: Ro =t 2? ÏT (11), . (2| )2 (2j 4Ï 4 8J = ^— 1 l Pour - 1, 2 + = 1 + Il est courant de chercher pour laquelle R„ ^5=:= 0 = dh (2j)10 , , " ' 8 -L - 0,0034.| 0,089.? quelle 8 + 1+ on 0,89«4h4 hcntique=i-(3'745)1/4 Et: ^ R0 (11) neuf, a = 4 valeur de h le dR rapport pose -jt-~= 0 et —— "o on cherche est extremum. ensuite la va¬ est maximum. D*°û; La relation — io: 4 FU,par rapport à h, leur critique de h pour allant de zéro à + on a: , dérive 9 45.45 Ro on )6 * J. 0,0889.$ — Pour cela i cos2| (2Ï) V , + + 45 = - 6*. 2: 1+ sin2 on a: on a: ' , (3h, = (11) (2 S)5 5'.~ + + ch2j série le rapport en £ sh2 D 5=- Développant posant £ et —— - - 0,356<x4h4 | 3 été voir représentée graphiquement figure 2, courbe 1. en fonction des valeurs de £ 14 - l'encoche de Perméance III. Pour calculer le coefficient de - perméance, considérée il est nécessaire de connaître le -* ^ champ H régnant dans l'encoche. De l'équation (4), du courant i par rapport a en fonction de la dérivée «ouor> Pour calculer la valeur absolue du sh/3y(l+j) 1 di ' conjuguée, tire H y. 1 on on I«ff* \ = ^Y champ H, ' sh/}h(i+j) il suffit de multiplier H par sa valeur obtient: H 2 1 2 Ipff = 611 ch2/3y . —5 ch2/ih b2 On sait que le coefficient de - - cos2/3y cos2/3h perméance est donné par l'intégrale suivante: } H2 ° Après intégration, on trouve: 1 sh2/3 2/îb Sachant que dans le le coefficient de eff cas perméance h - sin2£ h ch2^h - cos2/îh où le conducteur est parcouru par est \ = -rr-— , on un courant continu, forme le rapport: n 3 , — *0 La courbe = sh2| - sin2ï (12) — 21 ch2S 2, figure 2, représente - cos2^ la variation du rapport appelé généralement la hauteur virtuelle de l'encoche. (12) en fonction de |, - Fig. 2 A~ 15 Encoche - rectangulaire = coefficient de perméance au courant alternatif a = coefficient de perméance au courant continu i = hauteur virtuelle de l'encoche 16 - - CHAPITRE H Impédance d'une encoche trapézoïdale Cas I. On où l'encoche est emploie, pour traiter Soit sur la figure 3, parcourue problème, ce un courant un système continu de coordonnées (1234) d'épaisseur dr, élément d'encoche un par polaires. de surface frontale df: La loi de Maxwell permet d'écrire: ^H.ds rotH = _ lim df i est la densité de courant, considérée dans ce paragraphe constante comme sur toute la section de l'encoche. L'intégration long du le (1234), figure contour 4 donne en remarquent que df = rd<x. dr. rotH = Rh L (H Où: + dr)(rdoc+dr.d«)-H.rd«l + - . J 3r b(r) Avec: — ^dr)(b+dr. dot) - Hb = = T rda. dr i.bdr 3r = rda et — = d<x 3r On a l'équation différentielle: 3r b JL+ ^S Où: courant l'équation i. Comme il l'équation (13)bis différentielle s'agit de courant par rapport à 4 drz = + r qui lie le champ magnétique à la densité de continu, la dérivée du deuxiememembre de est nulle. i---4=° r (13bis) i dr r Telle est ' 3r dr rz Par dérivation de cette équation on obtient: <") 17 - La solution générale de cette équation est: H A et A.R = + (15) ~ B, étant deux constantes arbitraires à déterminer par les conditions Le des - champ H est défini pour toutes les valeurs de r, coordonnées, où il de la solution est infini. intègre On donc depuis sauf auf point r.. à r aux = 0, origine rn, domaine d'existence (15). Conditions aux limites: o H., 1. Pour r = Tq, on 2. r = r.., on a Pour est la valeur du On champ remplace H1 par H a, = 0, d'où d'après au sa B -ArQ = la loi de l'induction: (15), = I „ r,. on 2 eff = r = obtient: T Hi b.H. supérieur de l'encoche où bord valeur dans — . r0 . Ari-A-i7 D'où les constantes A et B: A-^L..^ On B , remplace dans (15), les = ^ I constantes A et B par leurs valeurs; on a: "-^""^ La perméance de l'encoche est donnée par *.--£I „ eff En remarquent que \ b - = — et l'intégrale: /V.df r, posant K 1 1 rl = —-—, bi<ri-ro> .4 = P f°KV+^-2r2)^.rdr rl r l limites. l'intégrale devient: - 18 - Fig. 3 Encoche (1234) = trapézoïdale élément d'encoche d'épaisseur dr d = hauteur de l'encoche b = petite base b = grande base r = rayon polaire Fig. 4 Encoche trapézoïdale 1234 = élément de surface frontale élément de surface df, axiale H*^UJr/ £ H = champ magnétique E = champ électrique 19 - Soit P = et -r—, d'après 3, la figure - on a: 0 /3h h '0 En remplaçant ces * 1-/3 relations par leurs valeurs dans h/3u »~ En fi" b^i-PHi-p2) par A .4 . de \», on a: 1 (17) 0,75 log T fi et par y(/3) la quantité: 1 -log(l//J) -0,75 + (l-/3)(l-/î2) l'équation perméance, r/32 = 0 \-fil le coefficient de 3/3 y(/3) - 1 + = désignant 1 4 l-/}2 D'où: (18) V5^> On encoche a vu précédemment (page 14) que rectangulaire, l'on déduit méance d'une encoche 3bi alors de était le coefficient de puisque l'encoche s'élargit en supérieur, direction de sa perméance d'une l'égalité (18), que le coefficient de per¬ trapézoïdale, est inférieur à de mime hauteur et de même bord La fonction —— ce celui d'une encoche qui rectangulaire est d'ailleurs évident à profondeur. y(/3) Tableau I y(/J) 0 0,1 y(/3) 0,6 0,972 0,531 0,7 0,099 0,2 0,732 0,8 0,992 0,3 0,841 0,9 0,998 0,4 0,906 1,0 1,000 0,5 0,947 Pour la courbe représentative de la fonction y(y8), voir figure 5. priori, 20 0 Fig. 5 0,1 0,2 0,4 03 3/3 Cas où = r* r (l-/3)(l-/32) l'encoche On avait dans le est paragraphe 2 L 4 = en comme courant i n'est c'était le cas pour fonction de la coordonnée polaire £l_ 1 /3 par un trouvé J courant alternatif l'équation différentielle: ! dr r Maintenant, la densité de X log—-0,75 chapitre, «* + = b i_/32 ce f3 10 trapézoïdale par rapport â^ -ô parcourue I de 09 l + — « d'encoche 0,8 0,7 Variation de l'inductivité d'une encoche y(/3) II. 0,6 0,5 un plus uniformément répartie dans la section courant continu. On supposera qu'elle varie r. Les grandeurs, densité de courant i, champ magnétique H, et champ électrique 21 - E, sont considérées fonctions sinusoïdales du temps. comme Soit df. l'élément de surface pris longueur axiale 1 égale à Il est évident, direction de i, la section d'encoche (E la loi d'Ohm d'après d'épaisseur dr et de de Pencoche. = — ), que le champ électrique E a la c.à. d. l'axe de l'encoche. Appliquant la loi d'Ohm /E.ds » rntF sur longueur axiale la - l'élément de surface df, figure 4 sur r- i dr. 1 -1 3r a: aE rir> . L 1 -i ~v ^(V Tlr\ 1 - on -âr dr.l La loi de Maxwell donne: rotE -u = = — -jeu h D'où: 1 - Dérivant l'équation (13)bis, 3i • wQH par rapport 3^ 1 3H 3r3t r 3t au 32i 3r2 3E on a: 32H + de . 3H ^— -. <* |<x| =]f\i cjf du second ordre =-p0^jr est la valeur absolue de , L'équation & une — , Dar _— 1<îurs —Jurs donne: = qu'il faut essayer de résoudre. On pose: Y-T-yjv^F =1R • Ie*1 ex. différentielle devient: »r* C'est <* . H at _. r°* 3r r 3 9r et ît Equation différentielle (13)bis+ 3t H°3r.3t La substitution dans l'éauation (13)bis 3r2 on a: _ at Dérivant l'équation (19) par rapport à r, 1 temps, 3i _ T (19) u . = — équation + 1. 2L r de Kelvin i = + ^. = 0 (20) 3r qui admet AJoCf^ |«| r) comme + solution BK0(Çi |«|r) générale: (21) 22 - J et N o o - étant les fonctions de Bessel et de Neumann d'ordre zéro, A et B sont deux constantes arbitraires à déterminer. 1. Impédance par unité de longueur du conducteur trapézoidal Soit R„ et X, respectivement la résistance et la réactance par unité de longueur du conducteur. Impédance du conducteur: Z On sait qu'entre R_ = „ E = „ Or: Z = . 1 = eff eff R_+ jujL = champ électrique tension efficace et U jX + — r=r. j- . existe la relation suivante: i r=r. ^L J_.IeI1 (22) = *eff !eff T La loi de l'induction donne: ^H-ds D'où la valeur du champ au b.H = r 1 bord = — r=r1 l'équation (19) • bx 1 = limites r=r. , r"1'1 En remplaçant H _ par sa plus la substitution de I „ eff 3i 3r on a: J°)V* valeur dans '.n De I — iwu0r aux ,, eff donne: H Pour la condition I supérieur de l'encoche: H D'autre part, = r=r* ,, par 1-3r-lr=r1 l'égalité précédente, on obtient: A-(-) sa valeur dans l'équation (22) donne la valeur de 23 - l'impédance du conducteur pour - r=r, : )<*>Vr (23) 3i -ir l'impédance Z, Pour déterminer par rapport â r, (21)Y"j 1*1 au par r, x point r il suffit donc de calculer i ainsi que simplifier l'écriture, et l'on a pour r=r«, ^ [—] En tenant Pour r... = Y-J|<x| ri MoW = = (21)bis -AW^.J^Xj) -BWlY^.N^Xj) = _ = -Nl Jo = , couplées au (21)bis+ "Jl On détermine la constante A par la condition aux c.à.d. au bord inférieur de l'encoche où il conducteur. Donc H = n'y a limites, qui est H pas de lignes o Où: 0 on a = -A\<xl'fi.J1(x0) - BWÇï.K^xJ pour la constante A: -B. Nl<*o> Jl<xo> La dérivée de i au point r=r, est: (&)„,-«"F-tw-j^-"^»] Pour la densité de courant au point r N,(x) 1 Jl(xo^ = r,, on a: = 0 pour magnétiques 0, entraîne: L3rJr=r Alors, dérivée xi* BIW + sa remplace dans l'égali:é compte des relations de récurrence: No r=r on 24 - rapelle la signification de x, On x = x0 Xj Y-?, Icxl x , et - x... r =lcXlfT.r0 l«l iR.i^ = up lotlY-î h 2 R0 l'équation (23), dans Remplaçant i r=rl et/-^i-) \ par leurs ^r/r=r1 valeurs, on a: (24) .N^x^.J^x^ -J^x^.N^x^ h/3 R ro r(b1+bo) La formule d'employer l<xl (24) s'adapte pas au calcul numérique, on 1-/3 est pour cela obligé qui suit: r o L'équation (24) Rr ne la notation = devient (1-/82) Ti après cette tranformation: •yqlFÏKi'Mp-^) L J^p-fjJ.N^qfj) 2/3 N0(q^j). J^p-fj) - - (25) N^p-FjJ.J^qfj) Désignant par: Vl V1 L'équation (25) = p-fj. [^(qlRi.N^pl/q) -N0(q^j).JlPfj)] = J^p-fji.N^qlFj) - N^p^.J^q-fj) devient: ' Ro R0 On multiplie prend les conjugués ensuite par j, Ro = ^f \ 2/} / des deux membres de Vx l'équation précédente on a: JL U Ro + j.R_ Ro p(l-/32) 20 V m V [Jo*NlPVÏ> N^qYJj.J^pYJ)] - et on les - V ployer les tables J1(ql|ï).N1(p-fi') - - N^ql/I). Jx(p ) les fonctions de Neumann par celles de remplace On = 25 Hankel, pour pouvoir em¬ de Emde et de Janhke. numériques Relation de transformation Neumann-Hankel: Hj'= Jx(z) HjJ= Alors Jx(z) jN^z) jNjtz) - on a: X . ^U^ R. Ro R0 La + j 2/3 (26) C.h{ (q^J). - constante C peut être calculée à part: " Jj(pf) h} (pYï) Cas du cuivre 1 Car pour f = sans ° 1 - /î ' - j3 /3.h' .->( !=- hUu ur = 1 grandeur ' li - 10 q h': CH^q-yj)" - = -! ° 1-/3 dimension, s'appelle hauteur virtuelle de l'encoche. 50 Hz et L = 1T IïTl 1/ÏÔ \50.50 50m/nmm , h = h la hauteur virtuelle est pratiquement égale à la hauteur effective de l'encoche. Calcul numérique On teur R et —— Ro le deuxième membre de l'équation (26), numérateur et 1,on pose: Jo1^ Hj(qVÏ) = = HT.J^qUT) = X -=— Ro multiplie par^Ti C de a+jb Uo+jVo h0+jkQ = "i+ivj , l[J-HJ(p"lfj) = h1+jkx et dénomina¬ 26 - La substitution de ces valeurs dans l'équation (26), donne: p(l-/î2) -ah +bk +j(v ^-o p(l-/32) x (u1-ah1+bk1)z o ) (27) on a: et (u1-ah1+bk1)z R —— Rn R domaine où Le , ont été calculées teur virtuelle de commence rapport -=? est o à en fonction de p et q, 1 est Ro résistance étant effet 4irl0 sur la un de c.à.d. en fonction de la hau- paramètre qui varie de A = 4 5 i fonction de h* sur la figure 6, où l'on peut voir figure 7. la définition > 7 coefficient de 9 VS perméance L = inductance de l'encoche = hauteur de l'encoche Acm au courant continu 0,1 à peau. en perméance. Fig. 6 = ' représenté 3 uo R l'encoche, apparaître du coefficient de Lu>=Acojio: (v1-bh1-ak1)': + représenté graphiquement x Tandis que le rapport mathématique (v1-bh1-ak1)'i + (vo-bh0-ako)(u1-ah1+bk1)-(uo-ah0+bk0)(v1-bh1-ak1) 2(3 R. -ak o (uo-ah0+bk0)(u1-ah1+bk1)-(vo-bho-ako)(v1-bh1-ak1) p(l-/3^) R^ 1, -bh 00 = 2/3 X O u1-ah1+bk1+j(v1-bh1-ak1) 2/} "o O séparant la partie réelle et la partie imaginaire, En _ u ' ' **» R, Rn - h' 27 0 0,5 1 1.5 2 Fig.7 - 28 - CHAPITRE in Inductance et I. où Cas le perméance d'une encoche ronde conducteur par Soit en un tangentielle Pour résoudre 1. un courant ce champ magnétique problême, on émet perméabilité magnétique <<p<2ir- = 3. est constant dans l'entrefer. 0, pour tp.. H <p< au H^, et H~ les point considéré. suivante: et 9 circulaire angle d'ouverture rayon polaire composante tangentielle du champ magnétique composante radiale du champ magnétique AB une parcouru continu l'hypothèse Fig. 8 Encoche !<Pl est du fer est infinie. 2. Hu, Hy l'encoche dans point de la section d'encoche, figure 8, et radiale du La logé isthme avec ligne du champ magnétique composantes 29 - - Théorème d'Ampère ^Hyds I = = H^..2(f.a , -<f* < q><<p-, et ç> = a D'où la valeur du champ dans l'entrefer: H Développant énoncée plus haut en I <pl I courant dans l'encoche. = 2cpj^a série de Fourier la composante H<o conformément à (voir figure 9), on l'hypothèse a: co H,p Comme la fonction que les termes en bQ+2[bmcos(m(p) = est paire, il H,p ne + cmsin(m<p)] reste dans le développement de Fourier cosinus. Hv = bQ+2 (bmcosmcp) (28) Les coefficients de Fourier sont donnés par les 1 +cPl dcp intégrales: I 2ira Vt sinmfpj -<PX I Fig.9 Configuration H (p 2y. de la composante tangentielle H du champ dans l'isthme de l'encoche = valeur de la composante = ouverture d'isthme tangentielle du champ dans l'isthme 30 - et b par leurs valeurs I I H Si i v 2Ta œ 2 ia +— +— ia = 2 ^ 1 a: m aussi: on a I sinm<fsinm<f« °2 on (29) cosm<p 1 TTÇj-a désigne la densité de courant, H sinm<p. oo S + = respectives dans l'équation (28), cosir.Tcosmtp avec i . , b remplaçant , En - = - (29) —— 1Ta^ mcp. bis Loi de Maxwell: =T rot H div~H En doordonnées 0 = polaires + peut écrire: 3H 3H H —^- -^—-— -£-+—9-^-+—?- ^ +—?+ 9(p a . i = , pour le rotationnel de H (30) , divergence de H (31) 3H 3Ha H„ Dérivant on 0 = — 9^<P l'équation (30) respectivement 2H SH„ 2 + 2H — (30) 1 Dérivant l'équation (31) + <SH H -£- + ?2 De _^_=0 (30)bis, on obtient: = on , a: (31) 0 3<p2 32H 32H £ + a?2 1 3H ? -?— = bis (31)bis+ 0 p^Stp 3<p3p.p P2 1 1 H,„+ * î- 3<P 3H„ + 3<P2 32H,„ £-+—£+ —• ç 32H 3H ( = ?*?*<? ç2 £ et (30)bis+ p3q>3p 3<p tirant z— + + ?-+ 32H ,i 32H £- cap l'équation (31)bis, p'5 rapport à 3p3(p p9<p - par 32H 3Hp -£- Sp'' pdp bis l\ 3H„ •P+_^5+-L^Ï-+_L.J^-- p* a: on o = 32H,_ 3H H» 2. p3<p2 3p3<p p3<p par rapport à «p et p, 3p 3p2 —) 2 — p2 et remplaçant 3Hn P+ 9<p 1 dans 32Hm $=0 — p2 l'équation 3<p (32) 31 - De l'équation (30), 32H Telle est en un + p2 l'équation + remplace dans l'équation (32). on 3 ;X 3f2 . — et — %\ 1 * 3p2 tire on - 3H _ 1 • (33) =o p2 3p p 21 H -X. + p différentielle qui permet de déterminer la composante H point quelconque de la section d'encoche. Une solution finie point p au ip H<P En = £ En effet, . m équation différentielle est: de cette co " ~2~ comparant la solution (34) constante 0 = f £mm? • cos(m<p) l'équation (29)bis, avec (34) on détermine ainsi la obtientt: on iasin(m<p.) Em D'où la valeur du champ H i<p Y m^a^-l : + l- 2 iaf • i Reste à déterminer la L m<p1 D'où: dV = 1 3V Ho 3? et les 1 3V 1 uo 3«p ? = Ayant déterminé culer la écrit la relation on a: Po?2i sinmyi 2 -jm .cosmcp -__-Hoa1|_^-^_J m V on composantes du champ magnétique. intégration et par Pour cela Hv. ? -Hcpp dp (35) J composante radiale qui existe entre la fonction potentielle V V f"p"Jm-l -H -a«(m<p) sin(m<p .) œ ip = " r le potentiel V dans la section composante radiale 3V ' = ? cal¬ 1^ "p" °2 ^7 D'où: H peut à présent 1 °2 H<P on H0: 1 = d'encoche, ia 2 1 sinmcp, sinmcp. - m<p1 |"rt îm-1 lm_1 [p M- L a J • sin(mcp) (36) 32 - Coefficient de perméance K Le coefficient de - de l'encoche perméance l'intégrale: est donné par W5 dT I* dT étant l'élément de volume dT dçdcpç = pour une épaisseur égale à l'unité de sec¬ tion d'encoche. On sait d'autre part que: H2 H de 0 â 2ir pour cp, Intégrant et H ont, 2 sont on et de 0 à orthogonales, c.à. d. * H2 pour ç>, a que tous les et les fonctions remarquant que produits en cosinus et sinus H^ disparaîtr¬ a: 2tTa Vo/(H? *p 2tr Vdpdfp 00 a 2 Or: 2 4 I 1/8 +1/2 . -1 /sinmip-' m(Pl ?ir?w2 J JH. H f .2 4 TT H i = pdpd© a -5- 1 2 — /sinmtPl\ 2 I D'où le coefficient de perméance: 00 *P 1/8 _ lim TT + 2 sin 1 ïCpi) = „ m<p1 X , „ on peut démontrer que: m3<p^ 3/2 cas où l'encoche est fermée. 91=0 Le calcul de figure 10 en £ (<pi), a été effectué par un développement en série, la courbe donne l'allure. Plusieurs auteurs ont calculé \ dans l'hypothèse où les lignes magnétiques du champ sont parallèles entre elles et perpendiculaires à l'axe vertical de l'encoche, ce qui donne pour X l'encoche. = 0,55, une valeur constante indépendante de l'ouverture de 33 - $(<Pl> 30 Fig. 10 II. Cas où le est énoncée dans le i, m3. 1 (cas paragraphe sont des fonctions sinusoïdales du cp| 180 150 du courant parcouru sidère de plus que les champs électriques, rant ^ 120 Encoche circulaire conducteur L'hypothèse 90 60 = I de par ce un <$>' continu) courant alternatif chapitre reste valable. On con¬ ainsi que la densité de cou¬ magnétiques, temps. La densité de courant i n'est plus ici constante dans toute la section mais elle est variable en fonction des coordonnées polaires p et <p d'encoche, . Loi de Maxwell: rotH rotE 3- et p sont respectivement =7= (38) E Ta = ^° M la conductibilité électrique du conducteur et le coefficient de perméabilité absolue dans l'air. Dérivant par rapport au temps l'équation (38) JL^-r^-rot at at 3t on obtient: (39) 34 - D'autre part - on a: -1- roFE 3H - R ât ro équation: Prenant ensuite le rotationnel de cette J-rotroŒ - rot-M = Ou encore en remplaçant E = r " = 3t M0 par — , ~r . H0 -^ = 3t valeur: sa 7î Âî — 2e. J« v = D'où: Âî Posant a = -jwu0j- ou , développement de 32i <x2T + cette = (40) 0 on a: • (40)bis 0 équation différentielle tilti-A- 3p2 Telle est = =V-T-Ku0wr « Âl Le ju>u0 74 - P 92 ç23<p2 *P l'équation différentielle dont +«2i la solution coordonnées en = polaires donne: (41) 0 générale fournit l'image de la distribution du courant dans la section d'encoche. Pour résoudre l'équation (41), il faut d'abord la séparer en deux autres équations différentielles de la manière suivante: R(p) Soit les deux fonctions et de <p seulement, puis on et = 1 K étant un d2R 77 dp2 nombre entier _,_ + 1 dE T^r" "d£" PR positif, on (42) R(p).+(«p) deux dérivations et substitution dans "r m dépendant respectivement de ç seulement pose: i(9,<p) Après ij>(<]p) aP x + l'équation (41), 1 ~~7 dH 9 on 2 + a = obtient: n ° p2 -^df2 sépare cette équation en deux autres: .... <43> 35 - d2R +4_çjR+cx2 1 dp2 R m2-4> + d<p2 changement de variable <*!* C'est être finie point 9 0, = d'ordre l'équation (43)bis La solution de m. (44) 0 = Sa solution générale devant Jm(p) = s'appelle fonction de Bessel rr m l'équation (43)bis s'écrit: , est: R(p) J «p = de Bessel d'ordre l'équation canonique au (43)bis+ dR+R(1.mi) I (43)b.s p2 0 = z jnf = dp Rp 2 -d-^- Par le - m. est: co 4» En A sinm<p l'équation (42), dans remplaçant 2 = + B cosmcp on a: 00 i'(p Avant de ,<p) Z RAmsinm«p = + à déterminer les constantes A„ et commencer -Jm(z)J Bmcosm«p) B„, m' m de rappeler les formules du rotationnel (46) rot (47) rot (48) rot V (H) = (H) = Z — H z = 3H —— peut écrire a (E) rot<p(E) , proj. du rot. suivant la direction <p 1 rot. — , sur P »«P proj. les directions des relations analogues 3E 1 3E„ 9 z = 9 3f 9z 3E 3E* 3.Z ÏÇ> z = sur le rayon vecteur p »H — du rot. la direction axiale de l'encoche. H . rot + 3P jections du champ magnétique On proj. du — 3p il est nécessaire polaires. , ° P La coordonnée coordonnées — 3z — (H) en (45) (z, <p pour le , sur , H l'axe des , H z. sont les pro¬ p). champ électrique. En effet: 36 - z Dans le Comme H rot 11 lî *_ H rot = 0 = 0_ = d'Ohm, la loi + = 1 — const., -=r- 0, = équations alors les 3H *- = i z 3cp p aïf 3~E _ z = — - , p u = ro ^«f -ju>u r° at H„ P on a: ai J^or-Hç = D'où: j H On avait étaitnulle valeur finie alternatif. p z - 3p 1 = P T9 = H est fonction seulement de p et de cp. champ section _ —- _ H 3<p 3H p rot- E de même d'après le une H z Et p deviennent: rot a - car étudie le courant dans on (46), (47), (48) On + 3p 0 = 3E„ P . V -5 p présent cas = ^ 3E„ E,„ — (E) rot - * supposé sur H^ On avait de On Cette . page donc: a l'encoche, hypothèse même, par (égalité (29)bis, a chapitre IH, paragraphe I, que au toute la périphérie de égale à (49) «2 j_dp un la composante du champ sauf dans l'entrefer où elle reste valable dans le développement de cas a une où le courant est Fourier, calculé H pour 29). T 'eff = , léU = 2lTa Tel est le développement cela pour p a et ip, < Dç l'équation (49) H- une fonction . ——— t - pour 2acp! 91 H^ = -Si2acp: H en TTcf-a co ^ 21 sinmf 1 m (50) cosmcp série de Fourier de la composante f^Pi on *eff + <p1<(p<2ir-<p1 tangentielle H et • voit que la dérivée de i par rapport à ç doit être, comme paire, cela amènerait à supprimer de l'équation (45) le terme en sinus. Alors on a: œ i(p,cp) =^ Bmcosmcp .Jm(z) (51) 37 - i(p <p) On dérive par rapport à , _3i_ 3ç _ ex et p 2 - remplace dans l'équation (49) on 2. B on a: cosmep J' (z).cx . m oo Ou: — et cela pour p -cp.<£cp<9. a, = de la composante .J'(cxa) - c.à. d. Hffi Bm Bo en comme et B BQ il suffit de comparer , l'égalité l'égalité (50). avec On obtient: Alors ainsi calculé n'est autre que la valeur tangentielle du champ dans l'entrefer. Pour déterminer donc les constantes précédente cosmep.J'(«a) B — remplaçant ^eff 1 sinmtp. = ira<p. Jm(«a) m 1 wIeff = B et B par leurs valeurs dans l'équation (51), on a finalement expression de la densité de courant: cxl i(p,tf>) l eff ira J0(p«) S \_* J'(cxp) sinm^j 1 lcPl C'est la valeur de la densité de courant coordonnées p et (p. Ainsi i(p,cp) Dsmcp en un s'exprime Jm(o'P) (52) Jm<<*P> point quelconque de la section, de par des fonctions de Bessel d'ordre zéro et d'ordre m, ainsi que par leurs dérivées respectives. Dans les différentes transformations des formules ultérieures et celles calculées, on a employé Jm<z> Pour m = 1, déjà la relation de récurrence suivante: = on a: JJ(2i) -f Jm<z>+Jm-1^ J^z) Jo(z) + 00 Il faut maintenant montrer que la somme elle est de même forme que l'intégrale 5 de sinmep. — 1(Pl est convergente, en effet Dirichlet. P. G. oo f 1 qui est elle-même convergente, sin(nt)dt nt ainsi la somme mentionnée ci-dessus l'est aussi. 38 - précédemment posé: On avait -iRViû^F « |«| "Wu cjjr = est la valeur absolue de la On pose dorénavant Impédance - Nj3/2 °ù«= . quantité imaginaire ex . =|cx|a. x Z du conducteur par unité de longueur U 'eff R„+ ju>L I Or: Jeff respectivement la résistance du conducteur par unité de Pour p = a et 9 Désignant par R ) au et a = <p =0 courant alternatif et l'inductivité la résistance au œ sinm91 Jm(xj + J J^(xj3/2) On calcule le rapport: Ro / J0(xj 1 eff R 1 =0 longueur. Ta p=a 9=0 et 9 a 0, l'équation (52) s'écrit: = «I i(p,9) ç pour t- R„ et L sont = eff i(P,<p) U ç pour = 1 ) Jm(xj3/2)_ m(pi courant / continu, (53) on a: Tira2 0 —- Jo^3/2) ? J^xjS/^ 1 m<pi J^(xj3/2)_3727 1:. J?ïsJ^Il^cocJ^e estjermée^ç.. r_P_ On fait le calcul pour En = 1. remarquant que pour 9, .3/2 ^ En m = J x 2 = 0 ^1 = , ?! 1 , J0(xj3/2) J^xj372)' _Jx(xj3/2) J}(xj3/2)_ on a: employant les relations de récurrence page 37, (54) on a finalement: 39 - -5*0 = En j3/2.x J„w3/a> x -(-j) 2J1(xj3/2) - 2T .3/2* , ) J1(xj xj^.j^S/^.jS/aj^S^) désignant respectivement par M et N le premier et le deuxième deuxième membre de la formule (55): Soit M* la ^3/2> jx M 2 quantité conjuguée M* -fTj^xj3/2) M, de on Jo(x^ ix 2 J£ = a: 2 s = + VJJi(xVJ) jr On pose de même: J„ u„ = o o Jx Uj = x = + jVj J o VfVi voVuoul — uf 2 De même N* étant la N* jv et J-, par leur valeur dans M* donne: La substitution de J s + v2 + u2 quantité conjuguée de N, = u = jx xj3/2jo(xj3/2).j3/2Ji(xj3/2) 1 0 Où: on a: J^xj3/2) 2 . u+jv -x 1 O O 5 5 (xvo+u1)2+(xvQ-v1)2 y _x2 ("iv0-v1u0)x = (xv^Uj)2 En séparant la partie réelle Z _ Ro D'où: TU et la . u2 + v2 (xuQ-v1)2 partie imaginaire: Lcj = Ro + + s + u + Ro j(r + Lu R„ -= + s + u , r + v v) vf 40 - 10 R~ La R.' ". - R- 9 / / Lu 8 7 6 5 4 // '1 il 3 // '1 II M 2 F // 1 1 / ./' / / / fr^v / / / / // • 0 Fig. 11 Les valeurs de ne en mée question dans 1 en ce et —— égale o travail), o sur (cette la =°w , ouverture d'isthme 40 sont données à 40 et . 6789» circulaire, I CJ R -^o 5. en fonction de x = sur 2<f1 la figure 11, encoche est celle de la machine figure 12 pour une pour synchro¬ encoche circulaire fer¬ quelconque. Le calcul op. Encoche ouverture d'isthme une . ... 234 t = 10 , 15° multipliant commode de se males exactes. a et la été fait pour les ouvertures d'isthme suivantes: 20° et cela en partant de la formule relative à l'encoche fermée, sinçi partie réelle et la partie imaginaire de N* par servir pour cela des tables spéciales donnant sin<pl —- »1 -jg . Il est 1 avec 3 déci¬ - JR~ 41 - içss. « Fig. 12 Les calculs Encoche fermée circulaire résistance au courant alternatif = résistance au courant continu = inductance de l'encoche = al<x| R,w = R L x numériques décimales exactes. x 23456789» 1 = a"yu0u>jr' ont été fait à l'aide d'une machine â calculer donnant 4 42 - - Encoche fermée 91 Tableau X 1 Vo uo 0, 9844 -0, 2496 ul Vl 0,0624 0,4974 0 II S V u 0,2304 = 0,932 1,0208 s r 0,0125 + u 1,2512 r + 0, 9445 v 2 0,7517 -0,9723 0,04931 0,9170 1,6904 2,0336 1,0781 0,4805 2,7685 2, 5241 3 -0,2214 -1,9376 1,570 0,8805 2,7197 +2,3401 1,3180 0,6186 4,0377 2,9587 4 -2,563 -2,2927 3,135 -0,491 3,3573 2,8809 1,6775 1,379 5,0348 4, 5 -6,230 -0,1160 3,845 -4,354 4,022 3,573 2,0488 1,7374 6,0648 5,3104 6 -8,858 7,335 0,293 -10,846 4,7306 4,2757 2,3985 2,0935 7,1241 6,3692 7 -3,633 21,239 -12,765 -16,0415 5,422 4,9754 2,7430 2,4511 8,125 7,4265 8 20, 35,02 -38,31 -7,660 6,146 5,678 3,0948 2,8087 9,2408 8,4867 9 73,94 24,71 -65,60 36,30 6,850 6,384 3,4464 3,1650 10,2964 974 Encoche circulaire <p* Tableau X 1 9844 -0, vl 0,0624 0,4974 0,2257 9,549 20 III V u ul 2496 vo uo 0, = 2599 0, s r 9130 1,0208 0,0125 s + u r + v 1,2465 0, 9255 2,4728 2 0,7517 -0,9723 0,0493 0,9170 1,6560 1,9923 1,0781 0,4805 2,7341 3 -0,2214 -1, 9376 1,576 0,8805 2,6644 2,2925 1,318 0,6186 3,9824 2,9111 4 -2,563 -2,2927 3,135 3,2891 2,8224 1,6775 1,379 4, 9666 4,2014 -0,491 5 -6,230 -0,1160 3,845 -4,354 5004 2,0428 1,7374 3,9831 5,2378 6 -8,858 7,335 0,293 -10,846 4,6345 4,1889 2,3935 2,0935 7,0280 6,2816 7 -3,633 21,239 -12,715 -16,041 5,3119 4,8743 2,7430 2,4511 8,0549 7,3254 8 20, 974 35,02 -38,31 -7,660 6,0212 5,5627 3,0948 2, 8087 9,1160 8,3714 9 73,94 24,71 -65,60 36,30 6,7109 6,1956 3,4464 3,1650 10,1573 9,3616 3, 9403 3, 43 - Encoche ronde - avec Tableau 9i III. par Vl V 15° = V u 1 0,2299 0,9272 0,2278 0,9215 2 1,6822 2,0238 1,6714 2,0108 3 2,7066 2,3288 2,6892 2,3138 4 3,3411 2,8670 3,3196 2,8486 5 4,0020 3,5550 3,9769 3,5329 6 4,7078 4,2551 4,6776 4, 7 5,3959 4,9515 5,3612 4,9196 8 6,1164 5,6507 6,0771 5,6144 9 6,8171 6,2936 6,7732 6,2531 Inductance un IV 10° == u X isthme courant d'une rectilignes ronde, encoche alternatif, les avec du lignes perpendiculaires et à 2278 isthme, l'axe parcourue sont magnétique champ de l'encoche Loi de Maxwell: rotH = rôtÊ Si avoir on projette l'équation (57) remarqué que seule la on écrira = sur (56) -u les composante 3E Dorénavant T -^2- axes E de (57) coordonnées, on obtient après est différente de zéro: 9H E, H et i sans indice. Le champ H est seulement fonction de y. On a donc en tenant compte de la loi d'Ohm: ~ "T" = " Jwl>oH (58) 44 - - y b, D E \ / / \ X / \ / \G A/^///x?y///////, WM, V//////Ar / 1 \ \ V «y) /.-'' V h ^-' c y/ * F O Fig. 13 (les lignes magnétiques On pose de comme Encoche circulaire du champ sont parallèles à l'axe des x) ABGH = élément de surface de l'encoche b(y) = largeur précédemment de l'élément de surface <x = -jcour , et «. En /3 w partie réelle intégrant suivant l'élément de surface AB, d'épaisseur dy, figure 13, ^.H dy La substitution de H par + ^b(v) -ib(y) = dy sa valeur tirée de on a: l'équation (58), donne l'équation différentielle: d2i -K ^ + dy2 D'après la figure 13, 1_ —7-: b(y) db(y) r^ dy 2. di -— + « 1 (59) 0 dy on a: «y)= 2^ya-y2', -£$L b(y) =-JOL 2ya-y2 45 - On remplace dans l'équation différentielle qui devient: .A + dy2 équation Cette - intégration, on _icy_ iL 2ay-y2 dy différentielle présente la fransforme en «2i + une = (60) o singularité au point y = 0, pour faciliter son polaire. En effet: y Conditions aux Pour y = Pour y = = a(sincp + l) limites: 0, on a H = 0, cela donne sincp a(cos<p,+l), yi= -1, = ou cp = -tt/2 on a: *eff „ •bl L'équation différentielle devient: 2 JLL _tg<p dcp2 Pour intégrer cette ^L dcp a2oc2cos2cp.i + équation, di on effectue le = (61) 0 changement de variable suivant: _di_ Az_ dz dcp _ dcp d i d i dzv di d d<P dz dcp2 / z _ dz2 dcp2 l'équation différentielle (61), La substitution dans de et l'annulation du coefficient donne: dz d2i 1. —2 dz . = tgcP XT dcp dcp"2 d2i 2. Après intégration de z —— 2 + (1), 2. ex i = n 0 on a: =J. Jtgcpdcp e Donc la variable intermédiaire qui L'intégration a dz2 de (2) donne .dcp a = J e log(coscp)^ BV<-uaT'dcp = permis l'intégration est comme solution générale: sincp z = sincp. 46 - i A.cos(cxaz) = + AgSinfcxaz) AjCos(«asin<p) = _J_ Ji_ K2 dy il 0r: A,, D'autre part D'où: H l = que pour H D'où: = TT/2- «ft, H Après avoir = = = sa valeur, = tg(«a)cos(o<acos<f>i) tg(cxa)cos(<xacos <p,) constantes dans (l-j)/3 multipliant par sin(c*acos<p^) l'équation sa valeur, + sin(cxacos<p.,) de i donne ^eff cos(<xy) b^ cosftxyj) on a: cos(l-j)/3y I bx , + tg(«a) Dl (l-j)/3 A]Sin(a<xcos<pj) eff «Ieff ces - on a: sinfcyatl+cosqjj)] « z z cos[oca(l+sin<p)] ., bj remplace -1 bj S «I = A2cos(aotcos<pj) — remplacé An par La substitution de A„acxcos(acxsin<p) + Aj tg(a<x) - <xl En Haoc2 = -^bl = A, On ac0S(l> AgCosfatxsinç) -A<sin(a<xsin«p) 0, sin<p = H D'où: — = A2 Et pour <p 1 di o<2 dcP sin(a<xsin<p) -A.aoc. = dz a vu sert de la relation suivante: on a: — On 1 se on _ _!Ë_ coscpdcp = dz AgSinCocasinip) + Pour déterminer les constantes A« et _ - eff i par chx sin(l-j)j3yi sa = conjuguée, cosjx , on a en remarquent que: sinjx = j.shx après transformation: - 21^ 2 prenant - cos[(l-j)/3y].cos[(l+j)/3y] bj ou en 47 sin [(l-j)j3yj].sin [(l+j)j3 yj la racine carrée des deux membres: in = fiiï Ieff -\\ bj U ch2/3y ch2/3 y1 cos2/5y + - cos2/J yx On voit que la densité de courant i est donnée par la même formule que pour l'encoche au rectangulaire qui a pour hauteur et pour entrefer, respectivement égales diamètre et à l'entrefer de l'encoche ronde. Cela n'est vrai que dans où les lignes du champ magnétique culaires à l'axe de l'encoche. sont considérées comme rectilignes l'hypothèse et perpendi¬ 48 - - CHAPITRE IV Réactances d'une machine synchrone à pôles saillants I. Pour Réactances simplifier le rotor est transitoires le calcul bipolaire. On est on en considère, et une subtransitoires machine synchrone triphasée dont présence de quatre circuits électriques, figure 14. 1. L'enroulement du stator 2. L'enroulement d'excitation 3. L'enroulement amortisseur 4. Un entroulement fictif représenté Foucault créés dans les On tient pas ne compte de Quand la machine possède court-circuit On brusque, de la machine dans le calculé pour des cas = "^b = ^c ou qu'elle est en état de engendrés dans l'entroulement amortisseur. ces courants, brusque, de court-circuit ainsi que les réactances tandis que l'amortisseur sera charges asymétriques de la machine. LaA + Lab*a + Lcaia = présent calcul. charge asymétrique, une des courants sont On écrira tout d'abord les *a courants dans le ces propose par la suite de calculer se par les circuits des courants de épanouissements polaires. Labib hWb + ^b équations des flux des phases a, b, c, figure 14. + ^c + Laeie + ^aDdhd (62) + Wc + Ve + WDd (63) + ^A + Lceie + ^cDdbd (64) henéDd <65> Flux d'excitation ^e Leaia = + Lebib + ^c + Leeie + Flux de l'amortisseur direct ** Dd L„„ = LaDdV , L Lnr. hjDdhï + LcDd1c ^e + ^Dd^d = inductance propre de la phase = inductance mutuelle des phases = inductance propre de l'enroulement d'excitation aa L + , = a a et b inductance directe de l'amortisseur direct (66) - L,-. De En propre, 49 - inductande mutuelle entre enroulement d'excitation et amortisseur direct. = général la désignation par deux indices et par deux indices différents Soit -$ l'angle que fait l'axe de la identiques indique une inductance inductance mutuelle. une polaire (rotor) roue avec l'axe de la phase a par exemple: Laa L = - Lff + Lmcosm inductance de fuite entre deux Pour obtenir L,, -& = 120°, il suffit de (67) ^>^m , phases. remplacer dans l'équation précédente $ par on a: Hb Lc(, = = La + Lmcos2( 120°> (68) L^ + Lmcos(2-& -120°) (69) * - Dd I 1 Lr*reci E Fig. 14 (abc) Dd.Dq E ^ = = phases du stator enroulement d'amortisseur direct et transverse = enroulement d'excitation = angle entre la phase a et l'axe direct 50 - - Pour les inductances mutuelles entre deux Lab Se Lca = = = Pour la démonstration de Machines) phases "M* + Lmcos(2 * "M<x + Lmcos2-> "Mo- + Lmcos(215 ces on a: 12°0) " (70) (71) 12°0) + (72) égalités, consulter l'ouvrage (Synchronous de Charles Concordia. Inductance mutuelle entre l'entroulement d'excitation et les Lae Lbe Lce = = a, b, c Maecos(^ <73> MbecosU -120°) (74) 120°) (75) Mcecos(^ = phases + De même pour l'amortisseur LaD LbD LcD Equation de = ib = ic d = et deux = On dans les va = = - - - cos(i> - - sin(* i (79) + 120°) (80) 120°) (81) suivant l'axe direct et transverse, + 120°) + iccos(^ + 120°)] (82) icsin(3 + 120°)] (83) pour les flux: + •>)/ -2/3 [^asin(* ) + ^bsin(^ et 120°) - i - 120°) 120°) Oacos(^) équations (84) sin(£ 120°) + 2/3 calculer ->(/, et i - ' + équations identiques y + instantanés, + = ) id(cos(* [iacos(d ) ibcos( * -2/3[iasin($ ) ibsin(^ 2/3 = ^d (78> idcos(* étant des courants fictifs q D'autre part: i (77) 12°0) idcos(* et i id MbDcos(,> -12°0) McDcos(,> = <76> Park ia ij MaDC0S(*> = en <\ji (85) cos(-> - 120°) 120°) fonction de les flux ^ équations (62), (63), (64) après - avoir , id ^, + vV(,cos(-} + 120°)] (84) + i|/ csin(4 + 120°)] (85) et i et -vl , pour cela il faut remplacer par leurs valeurs tirées des remplacé les courants i , i, et i par leurs 51 - équations (79), (80) valeurs tirées des Après tout calcul % H-e = <L<r = 3/2 -*Dd M— est . 3/2 + Maeid LJ id ^e + + (86) MaDdiDd + (87> «Wd* ^Dd^d + Maeie + ^We + (88) égale à l'inductance mutuelle constante une M„ "^aDd'd = (81). et obtient: on + - entre l'enroulement d'excitation et l'amortisseur direct. Comme L. L_ = d M_ + 3/2 + G o L inductance synchrone directe, = J m Alors: *a hJs = d De même: L_ L = 4 <* M„i + d d M_ + L = q i q q 3/2 - CT o M + M + ae e (89) .]„ aDd Dd . „ L. on a: m' i_. aDq Dq (90) v ' „ Flux de l'amortisseur transversal ^Dq et i„ in 3/2 = a été transversal, qui régit introduite, conformément dont les partagé dont chacun est considéré axes coincident avec les en des deux deux enroulements bobine comme une axes principe au axes direct synchrone à pôles saillants et qui la théorie de la machine consiste à concevoir l'amortisseur pendants, <91> Woq + sont les courants instantanés dans l'amortisseur direct et transversal. Hypothèse qui et MaDqiq en bobines, indé¬ ou soi, court-circuitée, direct et transverse comme le montre la et figure 14. Etablissant maintenant supposant qu'à un court-circuit brusque aux moment l'enroulement d'excitation est ce bornes de la machine ouvert, ce en qui permet d'écrire: -ve = o S/D , = 0 Où: 3/2 3/2 De ces deux Mi. ae d + ^Wd équations 3/2 on L i ee + e + MDri-ij, eDd hWdD + . = 0 Dd ^We = ° tire: 'aDdmeDd ' mae"dDD - LDDdLee " MeDd ^ (92) 52 - iDd On MaDdLee -3/2 = LDDdLee remplace dans l'équation (89) I Td - MaeMeDd - par leurs , 2M,n DDd ae 3/2 ' T T on a: t^+M2 eDd aDd L ee 'd ,,2 " LDDdLee valeurs, M ,Mo aDd (g3) ^ MeDd et i« ae /r, „ T =\lad " i m|*L T . ** ' - MeDd D'où la réactance subtransitoire: X2 x" x X^n - 2Xori .X aDd "Y "Y DDd On voit d'après l'expression précédente de subtransitoire, figurant dans X . DDd ae 3/2 - " ae "à, . + M^L aDd ee ,g.> ~\C eDd ee x _. eDd que pour calculer la réactance il suffit de calculer les différentes réactances propres et mutuelles son second membre. Réactance subtransitoire transverse On a: \ \\ = *Dq = 3/2 + MaDqiq M D'où: inn D<* Remplaçant dans = - <95> MaDqiDq ^DDqbq + = <96> ° „ 3/2 -S^i i LDDq l'équation (95) * i„ par sa valeur, on a: D'où la réactance subtransitoire transverse: X2 x" q = x - q 3/2 _§2a_ XDDq (97) 53 - II. 1. Amortisseur direct. Soit l'amortisseur de Calcul - l'angle <p formé par les barres n-n, en degrés électriques, figure 15. <p. est l'angle en entre les barres 1-1 degrés électriques Courant dan» les barres 1-1 Il més Par s'agit ici, un du courant instantané L seulement développement ampère-tours . et de sa valeur maximum ID , qui sont expri¬ fonction de <p,. en en Fourier, l'amplitude de l'onde fondamentale des série de dans les barres 1-1 et pour pôle est: 'l hd Sin{-T> 4 Almax un = T D'où l'amplitude fondamentale des ampère-tours de toutes les paires de barres par pôle: ^Dd 4 = Remplaçant 4 At, = Dd ["_ — T sin D'où: ADd Soit n. tI^j Dd 1 2 *2 . ¥ ^d81" + T" • • • r=- sin ^1 2 - . + \_ sin ^2 2 + —— 2 valeurs, .2 ... *NDd^ hmdsm T— sm + on a: *NDd — cos =^ l^l-costpj + l-coscp2 + ... + l-cos<pNDdJ le nombre de barres d'amortisseur par nb est N„ i l'angle . T + 2 1. Soit + les courants instantanés par leurs 2 Or: ?1 T . sin Y lIid pair, , ou nfa = pôle. Deux <Pi =£. <P2 = consécutives, H» 2 cas sont à distinguer: 2NDd est le numéro d'ordre de la barre entre deux barres Dd ••• <Pn on a: = (2n_1)^ n par exemple. 54 - - Fig. 15 1,1 , 2, 2 T1 T 2. est n. ?! En remplaçant les relation suivante valable pour ^d On = pas d'encoche n, <P2 , I °d (1 ou 2ND- = <Pn ••• = + 1 M obtient pour les on ampère-tours la impair: sin(nb i " ) -) Vin£ sin = D'où l'induction correspondant 6k c constante , ' k c des l A_ , ^(l-k)^k. T étant le facteur de d'équivalence sin ampère-tours aux ^d = (%l) — % 1 4& = n désigne par k le rapport: k 61 n, valeurs, nb pair T 1,1 pas d'encoche par leurs <p numérotation des encoches = = impair, alors H = n n, ... , 1 ai Carter, à est l'entrefer de la machine, ampère-tours. 2. Amortisseur transversal. Les ampère-tours transversaux par donnés par la relation suivante: V ir I, Iq cos fi — 2 k. est la 1 + I« 2(l cos ^2 2 + + r NDq costal 2 J pôle, sont 55 - - Ou: ADq i I 2 = k JDq ^^^^ + [V + C0S(P2+ ^ 3. Inductance mutuelle entre Amplitude fondamentale = ' 1. JÏ ir 2 I p = nombre de paires de = nombre de spires par = être impair. phase du stator et l'amortisseur direct w de la phase ' p vTp pôles phase du stator sinM)cos(-£^) TP décomposée deux en A(x) = i jsinM ~^) - L l sinM + P amplitudes, = Ax(x) + l'une directe, . et B, sont les inductions B^x) q^ et <p2 sont les flux d<p. 1 longueur En A^x) = = correspondantes, -£°- , B2(x) correspondant à B. B.df = B..1 dx , = d(p2 on a: A2(x) et = B, de -T /2 à T /2, figure 16, on |5- on a: B,l axiale du stator. intégrant + £*) P A2(x) Avec: Si a: i- sin(wt)cos(^£) On pose: Si B, COsNDq> facteur d'enroulement du stator A l'aide de: A(x) peut ou ampères-tours ,,wk eff pair n. une des w k + nb sin| Cette formule est valable pour A(x) •" obtient: dx J l'amplitude l'autre inverse. 56 - - iVlj eff Vo^w Klmax 1T Flux total: Tmax P = 2p, nombre Comme il de T + lmax (T 41/2 _ 2max eff TT s'agit de machines l'axe u 1 )wk ir^p synchrones à pôles saillants, le circuit magnétique axes transversal et compte des constantes d'équivalence directe Lorsque ou <P. pOles. n'est pas le même suivant les deux faut tenir •P2, _ T^P polaire coincide avec l'axe de la longitudinal, et et pour cela il transverse, phase a, soit <p et k k. , . le flus direct longitudinal: »ad Où: 4V2 wkwXkl1a T eff T (98) p 2HoD 6iP D Ho = diamètre d'alésage 4irio -9 Vs Acm Fig. 16 Courbe représentative de l'induction B dans l'entrefer en fonction de l'abscisse périphérique x 57 - Le flux cp couplé est . PNn. avec - barres d'amortisseur sur l'axe direct, d'où le flux utile: "+ ^- = r^ k~. Dd ky, Nn .k-,Ak,l wk ir 'aDd la DcTDd w = facteur d'enroulement de l'amortisseur direct = facteur d'enroulement de l'amortisseur transverse Dq k_ sin2(ND -|.) = l pour , Dd pair NDdsin(^/2) sin(ND,3/2). sin(NDd+ 1)3/2 kn , kn uq pour = Dd Si4} NDd sin(n ?/2) 2nb 3/2 | pair pour = sin ou l impair impair L'inductance mutuelle est: MaDd ^—[p- ^'WdA AV " (99) - eff D'après l'équation (98) B-.i«.l ad i[ on peut écrire: ^^. etf (100) 4, p Au moment où l'axe de l'amortisseur direct coincidait de la phase a, le D'après courant le principe de la conservation de du stator et de l'amortisseur duction dans l'entrefer, qui donne comme rapport magnétique ... si l'onde fondamentale = ' 4wk on *- = !ad principe, ^d de transformation des courants: -M le même ou, l'axe ="V2 I contribuent à donner la même intensité d'in¬ équivalent, It-.j D'après l'énergie, . on a: Bad ce avec qui circulait dans cette phase était I Pn peut {10i) (1-k) trouver le rapport de transformation des tensions: 58 - E - wk . -Si 2L_ = Rapport de transformation d'une impédance Soit en effet: impédances respectivement au stator .-, EDd „ _ Zad"Iad les d'une réactance par rapport ou „ Ead „ (102) ^Dd^d EDd de la _ ZDd"lDd ' phase a et de l'amortisseur direct et cela au moment où leurs axes coïncident. On forme le rapport: 5>d_ Z Dorénavant, multiplier port pour transformer on (103) ^DcftîdV1^ une rapportée réactance Tandis que pour transformer la multiplie par le Ainsi la réactance seur (103). 2 _ *ad EDd par le rapport stator, au 4(wkw} ^ad _ au stator, une il suffit de la réactance par rap¬ rapport (102). mutuelle, rapportée au stator, entre la phase a et l'amortis¬ direct est: = aDd —fi" MaDd 108 aDd — ^T 8fla a pNDdkDd monophasé, tandis ces = • Toutes les réactances Remarque: )2 (wk wk 2ttf XaDd P désignées par 108 (104) Xkl l la lettre X sont relatives que les réactances désignées par x, au champ sont des réactan¬ triphasées. 4. Réactance de fuite de l'amortisseur direct. Le flux utile total de cet amortisseur est: ^Dd ^^bdVhd = A... est la unité de + W •• + W PNDdkDd2XbdIDd1a perméance en Henry/cm équivalente directe d'une barre d'amortisseur par longueur y compris le segment d'anneau correspondant. D'où la réactance de fuite rapportée au stator: 59 - 4(wk Y fDd 2trf T)do- w *D d<r P2NDdkDdnb(l-k) 108 'Dd 8f(wk - ) 2ltX, w' ,1 bd a (105) Ohms 108P 1^(1 -k) 5. Réactance propre de l'amortisseur direct. Par un raisonnement BDd 4 = analogue couplé avec +DDd = on part de l'induction B^. . T1 == on a: , ^(l-k)Aklla BDdQ <PDDd Ce flux est Q précédent, T^ Wb^ La section d'entrefer étant: au PNn ,kn , barres d'amortisseur par pôle: T(1-k)IDdPNDdkDdXkl1a L'inductance propre de l'amortisseur est: LDDd = T(1-k)PNDdkDdXkl1a La réactance totale de l'amortisseur = DDd *DDd 6. W 8fla(wk/ P 10a + 2ltX direct, y compris la réactance de fuite: 4 Dd bd ) + Jlk (106) Ohms nb(l-k) Pertes dans l'amortisseur. La perte totale dans l'amortisseur est engendrée par des courants actifs qui existent d'après ce calcul suivant l'axe direct. les de l'amortisseur doivent être conformément à la théorie des deux Soit Pn . la puissance en On peut donc dire que les pertes tota¬ pratiquement cherchées dans l'amortisseur direct axes direct et transverse. watt de l'amortisseur: 2 2 fl 2 ^2 PDd^bdïd*81" -r+8ln "T + + sin2 ¥- NDd) 60 - r, équivalente résistance = , - compris le segment d'anneau directe d'une barre y cor¬ respondant. Pod^bd1^1-1^ Or d'après l'égalité (101), " Dd ad dans Remplaçant PDd p2n2(1.k)2 l'expression 1 2 de P„ , 2 ; Ipd Par un R_ rbd r. y , et P analogue, stator: nb(l-k) obtient la résistance transverse on -— b1 Pnb(Uk) sont les résistances r, au (wkw)2 8r, = D1 on a: (*y2 _8r calcul valeur, sa p2n2(^.k)2 (1_k)nbP D'où la résistance de l'amortisseur rapportée 111,(1 par (4wkw)2 2 Wad = on a: <4wkw)2 _T2 T2 Watt équivalentes directe et transverse d'une barre unique compris le segment d'anneau correspondant. 7. Réactance mutuelle entre l'enroulement d'excitation et Soit I coincide induit le courant d'excitation avec l'axe de la statorique <Pi est moment ou l'axe de la phase phase du stator. a par exemple polaire. A cet instant l'amplitude fondamentale du flux est: = rl B< roue au une — ir B.l T p 1 a de l'induction. On connaît la relation de l'amplitude fondamentale suivante: dépendance D 1 Bi=T B. = induction dans l'entrefer: *1= N IVl^a étant le nombre de spires par tours d'excitation sont: A= NI G 6 G , pOle de l'enroulement d'excitation, les ampèreset comme B, 1 = A -,— G q-| , on a: 61 - 2u cp I N = Tl D/31 — ee â= - n I e t,, e li\ 1 a Pôl Le flux est cp. couplé Au moment où l'axe polaire, on Bl spires avec w magnétique de la de la phase phase a a: coïncide avec celui de la roue a: = Bad et > Donc: Bl COmme I = 1 (107) _w_L T *ad = wkk, . _?_ Ae\" N^e"^- = PNe/3 C'est le rapport de transformation des courants. D'autre part on a pour le rapport de transformation des tensions: E wk , -&- = —S— Ee PN k e k e est le facteur d'enroulement nes (108) e équivalent de l'excitation. de l'enroulement d'excitation concentré D'où le rapport de transformation des I E JL_ _5iL (wk . = au on a stator la valeur: en remplaçant I est la tension aux au bor¬ stator: . w_L 1 (109) * pour la réactance mutuelle entre la phase a et l'excitation, rapportée „,, X Ou impédances )2k, ^keJB Xad Ee Alors sur E l'axe direct. . = par sa 21tf """ aed I „.10« ad valeur contenue dans 8fl (wk Xaed = •>!>.. et tirée du rapport (109): )2 -^T- Xkl (U0) 62 - - 8. Réactance propre de l'enroulement d'excitation. Le flux ampère-tours correspondant à NI »e « = V¥a « • = par pôle est: \ u Or B. = N I 1 e -j°- e61 Donc: u <p Ye Ce flux est couplé avec i> Te La réactance propre pn2i ^«i e e rapportée 2 j 1Q8 8fl Xeed e 2 A a \ a <wkw)2kl - eed e stator est: au ^e X* 6j a spires de l'enroulement d'excitation: PN = ï«l -^=NI =NI«Tl e e p p2N2k g (wk )2 kl* = « eea i pl()8 4 ir „ "2— d") 2/3k 9. Réactance de fuite de l'excitation. X.„, = edo* PN2A 2irfl e a e A„ est la perméance de l'excitation par pôle et par unité de longueur. La réactance totale est donc: X . = X+ Xeed un raisonnement + X ._ edcr 8fla(wkw)2 = eea Par . eed eed P108« analogue ki /ik au + --^-(f 2 précédent, V e on déduit le flux de duit par l'enroulement d'excitation avec l'amortisseur direct. ^Ded = «VWWe^1 a <112> couplage pro¬ 63 - 10. Réactance mutuelle rapportée au - stator entre l'enroulement d'excitation et l'amortisseur direct. 8fl a TDed 11. P. = Irn e = ) w' (113) kj* 10 8 Pertes dans l'enroulement d'excitation. PQ r %2 (wk résistance 4 kl wkw TT lh pN T2 = e e ad e de l'excitation. équivalente Soit: 4 1 w P t PN la résistance de l'enroulement d'excitation rapportée au stator. On forme le rapport: n2 4kt wkw R„ ir/JPN La comparaison de v ce = e rapport e avec le rapport (109) donne: JE2_ 4kj On obtient facilement par un raisonnement analogue au précédent les grandeurs suivantes: 12. Réactance de fuite transverse de l'amortisseur. 8fl a *Dqo- (wk ) P. 2irA w 10° coefficient de perméance d'une barre 13. Réactance mutuelle entre la phase 8fl (wk AaDq a pl08 a et l'amortisseur transverse. )2 w = (114) unique d'amortisseur par unité de bq longueur. X bq. nb(l+k) lk Akq (115) 64 - - 14. Réactance propre de l'amortisseur transverse. XDDq " XDqo- XaDq + 8fla(wkw) DDq 2irx. Ak. pl08 ^ + (116) nb(l+k) 15. Réactances transitoires. Les formules se déjà connues pour les réactances transitoires directe et transver¬ sont calculées à l'aide des résultats précédents et cela en fonction des dimensions de la machine. xd = xd " *aed 3/2 (117) *-eed "aDq 3/2- (118) ^Dq Remplaçant dans les équations (94), (117), (118), toutes les réactances par leurs valeurs et posant: 8fl a (wk P. 10 2irX XS = xd_3/2cXki w )2 8 bd Xkjn^l-k) + [/3 Xkj . (2<x\ + -| Xe) kl i* L ^ On pose: J T 21CA. K e kf\\a-k) bd = n^l-kJXkj 2 JS-««x+4\> xd _ xd"xad 'k^2 kjX <2ocX +i Xe fi - 1 (119) (ZocX + i^-l 65 - x' x = q - fc 2 q - Ak q 21tAbg 1 i | kq\ nb(l+k) On pose: 2lrX K* = n. b Maintenant, on ^3_ (1+k) Ak q remplace dans les expressions des réactances subtransitoires les constantes et K* par leurs K, R, c, Sachant que la réactance de réaction d'induit est = x„„ = 3/2. aq c. A. transitoires et obtient: égale à: k q K :'d xad Xd = V + Xd = xff + Xq = x" q = f(K ,R) + KR + R - R - xad d - R + - 1 = K.R "°" 1 + R - 1 x. ad [l-f(K.R)] (120) *> W1- xcr 1 b -f(K,R)] xad K avec: on 3/2.c.A.k1 xad ir" Xd valeurs, (121) 1 1 + K* ) (122) - 66 - CHAPITRE V Calcul de la variation du On suppose ici équivalent, autre précédemment, comme couple que l'amortisseur est symbolisé par un l'amortisseur direct et transverse. Soit: R_ , R~ = résistance de l'amortisseur direct. = résistance de l'amortisseur transverse. = inductance de fuite de l'amortisseur direct. = inductance de fuite de l'amortisseur transverse, Dq L , L. crq 6 Si est l'angle de charge, S <50 = on a: A6 + On considère que la variation de de vitesse l'angle ô obéit à -^ (A 6) sin(nt) ; (A<S) = est le flux résultant des courants des courants de l'amortisseur, on S>d iDd et ij-j loi sinusoidale du temps A A ù& Si une angulaire d'oscillation il. = = maximum de statoriques, (A6 ) du courant d'excitation et peut écrire: trcoseS étant respectivement les courants induits dans l'amortisseur direct et transverse, les équations différentielles des tensions induites dans l'amortisseur sont: ^d'Dd + L<Td dlDd . d*d n + dt dt diD<L+lîr RDqiDq+L^-Ti+-^= Ou en remplaçant a)i «Ddbd . et + a|> Lcd par leurs diDd -7T dt ° dt dt valeurs, on a: dé = ^r siné — dt <123) 67 - ^qbq H + H L<rq^2a - ^- y r cosé = dt (124) dt A Comme S i = Aé + et Aé = (Aé ) sin(fl.t), 4-(Aé) =^-=Xl.(A6) dt dt Dans le cas sine = cos<5 = sin(60 + cosé - des petites oscillations Aé ) cos(At) sini = sine on a: cosé + sin(A6 ) sin(Aé) on a: sin(Aé ) cos(AA ) Aé = 1 = Alors: A sin é = sin A + cosé .(Aé ) sin(flt) sine .(Aé ) sin(ilt) A cos En remplaçant sine é = cosé - et cosé par leurs valeurs dans les di a RDdiDd+L<rd-^-= ^r.Ii.(Aé)siné0cos(^.t) di Rn in UqUq et de + L CT-q + tAA-)- il ne s'agit = cos(-flt) o -iADginé 2 ° sin(2JClt) oscillations, il au terme négligeable ( Aô ) Ces ^q^3" VA-{A%é équations et de self-induction = ne (125) fréquence (126) f = 5^ ^~ 21T que de petites est permis de négliger les ter¬ > cos(At)cos60 sont autres que celles d'un circuit L, fermé sur une au premier et, . «DdW^dlJr- =tr-a.(A4)co8(At)Bin40 V'Dq* on a: . concernant le courant de fréquence double, qui est très inférieur d'ailleurs proportionnel (124), cos(é0)sin(2At) On voit que dans les amortisseurs sont induits des courants de 211 comme mes Tr fréquence double 2f et ^ A -J>±=-y .ja.(Aé)cosô dt équations (123) ^ tension alternative électrique égale à: (127) (128) de résistance R 68 - - Emax= %^6Q.Sl.(^) On résout les équations différentielles (127) et (128), pour le régime permanent. Les courants dans les amortisseurs direct et transverse sont: R iDd= i>T.Sl.(M).sinéo nh Dd cos(ilt) Vd = i^L -'V-n-(AÔ)-cos,io cos(Ht) + —£-£ Avec: + sin(iit) O-q ffq R2 sin(fl. t) Vd R ^Dq crd + il2L2 Donc les courants effectifs suivant l'axe direct et transverse sont respectivement: /s -fl..(Aé ).siné *Dd = r Ddeff Z_ T2 ' ,. .U 2-^1 (129) w °a-d- A SI.(Ai ^q, eff Avec: Tr il ).coséQ.Ur Z .cj O-q u> ^ Pour calculer on courants, il ces est nécessaire de connaître écrit l'équation oscillatoire de la machine et on (Aé ), pour cela la résout par la méthode des ima¬ ginaires. Equation du mouvement oscillatoire forcé 2 i l_(Aé) + D. dt' |-(A6) + dt <r.(A«5) 9 = moment d'inertie de la machine D = coefficient d'amortissement = coefficient de C M. sin(.£lt Sur la rapport à + cp) figure 17, son axe = on M.sin(Xlt = + (130) cp) synchronisation couple d'entraînement voit que & est la position initiale de la à vide. On suppose d'autre part que: il: ^ P et f = -^21T roue polaire par 69 - - Fig. 17 tension de phase de la U = 6 = angle = maximum de = tension de A6 U charge de roue polaire de la machine l'angle de charge phase statonque On pose: (Ai ) M. J signifie Avec - sin(Ilt+(p) dans ce ces Jm(A<S)* = = J , (M*) , (Aé)* où: ou , M* = (Aé)e i-ftt M.e^"at <<^ + = chapitre partie imaginaire. notations, l'équation (130) s'écrit: | Sl2.Jm(A6 )* + jDAJm(Aà )* D'où la solution: + <r.Jm(A4 )* = Jm(M*) M.e^t <P> + A (Ai)* = a s—nr - | • tf + (131) jilD 70 - - Posant: A le dénominateur de l'égalité (131) A XI2 <r-|. = jB + D'où: M< _ A y , eJ(XU (A4 )* ( A6 ) Comme est la = VA = - + B2 i» ) P partie imaginaire de ( Ai )*, (Aô) M <p + D.Xl. = jB, où: devient A+ ce''* = B , ^L = on a: sin(At+ <p --»t>) couple nominal de la machine. On peut calculer ( A<S ) fonction de la constante d'inertie en H, du coefficient d'amortissement D et du coefficient de synchronisation C. En effet: GD2( H n 1000000 )2 = 2,74 sec SMVA GD2 = m2t n min S = la puissance apparente D'autre part on méga-volt-ampères. 6 H sait: en co = M H.M..a2 Alors: AA = „ O - oj. B = p XI.D D'où: M A6 = - (ff.HJVLXl2)2 + sinfXlt -t- <p - tJ) ) A2-D2 co.p Où: M A (Aà) (132) = (j.H.M.Xl2)2+il2D2 co.p 71 - - A Le calcul de ( Ai ) est nécessaire pour la détermination des courants dans l'amortisseur. Couple monophasé d'une Soit m la variation de tour de sa déjà machine %\ = ce couple, pour = <S variation une +do Aiq + Ai de l'angle de charge Or: = Vd Mo " *\ " <133> V Aid et transverse sont donnés par les formules comme 6 6 = + = -ib = , ^Ve MaDdiDd + •vj) cosé i|>, A6 + Vq+MaDqiDq = Tb sini Tr - Tq on prend le cosinus et le sinus des deux remplaçant: 1>d % 1>rcos40- trsin<S0.A6 = = N>rsin6o - '*rcos<So-A,S " On pose: U N»do = Vos*o = TJ COSéo U_ è = - Tqo i|>, au¬ : part, les flux suivant l'axe direct ^d en - écrites à la page % et radians dans le présent calcul. en V<j = V A^d est synchrone m position d'équilibre 6 m D'autre d'angle A4 La variation Remarque: et i|> Q ib sin<S„ Tr o = - —- sin<4 oj o sont les flux dans la marche normale de la machine. Variation des flux durant l'oscillation (^6 = = 6 (*V4=6 o -trsin6o-Aé =-Vosio-Ai membres, on a, 72 - Les formules de Ld Aid Lq Aiq Durant la + + i|> Mae Aie + de la page 43 deviennent: * et . MaDd AiDd MaDq AiDq période - = " = " VinV Aé (134) V0S VA6 (135) oscillatoire de la machine AiDd *Dd = AiDq ' on a: *Dq = Pendant la marche normale de la machine c.à. d. il n'existe pas de courants dans l'amortisseur. pendant l'état stationnaire, Mais durant la période d'oscillation on a: *d 'q = = 4>q L'indice zéro Des dans se rapporte équations (134) l'équation (133), iD déjà au et **> + Aid V + Aiq W = AiDq + bqo ' = ° travail normal de la machine. (135), on tire ainsi que pour i, et i * \)i,, , , * on les et remplace par leurs valeurs \p. et les courants L,. et calculés à la page 68. On remarque que: Urcos6Q ld°= - U x xd Ursin6o . ^° = " " x q U et U , tension du réseau et tension de la Pour la variation du moment A m = " V Vin V*6 " on roue polaire, sont monophasées effectives. a: "^ Vos60- A6 + M^Ai^) q + _J£( +rsin60.A6 Ld + Mae Ai, + M^ AiDd) + 73 - D'autre part on a: Aé (Ai ).sin(Xlt) = Après remplacement Am « Ai.-JL --JLJ£Bta« xd 2 2 Ur--°- cj2 x \ . l'excitation, apparaît du grâce à la 6 cos + ° XaDdL<rd second membre de au qu'il s'agit d'une machine , 6 J WAxs ).(A6 cos26o(A6) ) - - ffd sin26 A(A6) ) ° (136) dt l'équation (136) provient la deuxième est le moment de fait 2 „. sui x.z4_. XaD,dRpd *dZid + d q d -i t , U2(J- --L) + xd Xq-z2a-q première quantité La de L WPq cos2<5 ( -2 XX.(A6 )cos.flLt 9 °- crq q ,2 cos<5„ -LJ» 2. a î Z2^ —( ^ = dt |"UU XaDqL(Tq , ^(A6) , on a: UJ^ = - synchronisation, de la variation la troisième synchrone à pôles saillants, et la quantité quatrième présence d'amortisseur. Le coefficient de — dt important résultat de D = i. "2 peut être considéré ment direct et D q (A6 ), qu'on appelle coefficient d'amortissement est le plus calcul de la variation du couple. En effet: ce W°q cos26n ( XaPdRDd sm26 Vad + Vaq comme la somme des deux coefficients D . } (137) coefficient d'amortisse¬ coefficient d'amortissement transverse. Ur XaDd**Dd n D , = d - . sin 2, o vid 2 D = 1 Comme la machine est tion (137) etxo„ aq Alors = par 3/2 on a: 3/2 X . aq -^ 5£feLCos26 o2 Z2 x q ° Otj triphasée, il faut multiplier pour obtenir le couple triphasé. les deux membres de On sait de plus que x . = l'équa¬ 3/2 X , 74 - (couple triphasé): Coefficient d'amortissement Ur_ fad^Ddsin26 d ,,2 U2 q 72 x, R_ x =_L D - „ -SSL _^3_Cos26 x ? „o q u>2 (138) o (139) o Z^q Conditions d'amortissement maximum Il est clair que le coefficient D est maximum -^•L^j = Ces conditions étant Dd les remplies, IDd u il. L, et IL.. g a = quand: = „ R^ Dq va. équations (129) deviennent: JI.VJA6) sin<S r2. eff w. (140a) 2R_, Dd /\ il.U (Û6 haD*eff Il est connaissant â. d. ) cos6„ " (140b) " «.2.^ possible maintenant de calculer les courants effectifs dans l'amortisseur Rj.,, R_ exemple numérique c. = , ( A6) et 6 . On montrera dans que l'amortisseur transverse un chapitre spécial, par l'emporte sur que le coefficient d'amortissement transverse est sensiblement coefficient d'amortissement direct ce qui conduit à négliger ce un l'amortisseur direct dernier. supérieur au 75 - - CHAPITRE VI Réactances et constantes de temps des machines synchrones MESURES synchrone triphasée, montage étoile: Machine 35 KVA Puissance Tension aux 500 V bornes T/min 34,5 Ampères 750 Vitesse Courant nominal cos «f 0, 8 = 96 Nombre total d'encoches Nombre d'encoches par et par phase Nombre de pôle q=4 2p pôles = 8 Diamètre d'alésage D = 466 mm Longueur axiale 1 = 160 mm I(A) U(V) 100 w> 90 F 80 400 70 60 300 50 I3 8 200 40 30 20 D0 to A 0 1 2 3 4 . . . 5 Fig. 18 OF = caractéristique â vide OE = droite d'entrefer OB = droite de court-circuit triphasé 76 - I. - synchrone directe A. Réactance La machine est dotée d'un amortisseur Cette réactance s'obtient à partir de la de court-circuit triphasé, en prenant de court-circuit permanent pour un le en barres de cuivre caractéristique quotient V5.45 6,4 La réactance directe et transverse s'obtiennent exemple La machine une donné, figure 18. synchrone entraînée vitesse très voisine du par une synchronisme. ohms également L'enroulement d'excitation étant est on nulle, valeurs, la première la deuxième I en Pour un quand correspond par glissement de 5 aux bornes de l'excitation contre à une tension maxima de l'excitation, 113 il 6,4 ohms 10,5 113 = V3 i il. 17 3,84 ohms Tension statorique Courant statorique Fig. 19 Essai de glissement on courant du stator oscille la tension a: il %, (figure 19). court-circuit, le Ij obtenue par l'essai dit de machine à courant continu par relève à l'oscillographe la tension et le courant I du stator entre deux de la droite 500 U à cylindriques. vide, et de la tension étoilée par le courant courant d'excitation 'il glissement. à 77 - Réactance de réaction d'induit directe B. xad = 50 Hz 16 w = 240 spires par k = 0,42 Xa w Vs -- 2pà.k TP b. = 18,3 = 11,95 On trouve pour c cm cm x , la valeur Quant à la réactance de fuite tier, on trouve 53,9 A-cm 0,86 = i l pôle et par phase = kl k 108.2p cm 8HD.10"1 A a 2 = (wkw)2 «A, t: = f - x = 0, 74 ohms 5, 66 x , ohms. elle a été déterminée par la méthode de Po¬ (figure 20). 012345678910 11 Fig. 20 A = caractéristique à B = caractéristique, charge inductive vide U = tension i„ = courant d'excitation e statorique en ampères c 78 - - C. Réactance de réaction d'induit transverse On a: x 0,86 k. 1 . ad _ _ x 0 k aq 44 ">" *q D'où: x = 2, ' aq Or: Xq = On compare la valeur de On lit suivantes sur en xd = le diagramme x V 9 ohms + 0,74 Xaq + 2,9 obtenue par la méthode de = 3,64 glissement. synchrone (figure 21), de la machine les constantes (per unit): 0,765, x =0,44, Fig. 21 de aq Diagramme: phase entre tension = angle = angle de charge réactance de fuite de la machine = réactance de réaction d'induit = réactance synchrone Mach. et courant = ad 0,347, xad = synchrone statorique 0, 6775 - 79 - D. Réactance inverse Elle 1. sera x„ déterminée: Par la droite d'entrefer, triphasé et les droites de court-circuit et diphasé (figure 22): i, x„ "2 = - x, Yâ - i- "d 0,7 ohms U 2. A l'aide de l'essai de court-circuit diphasé: 46,5 U 2 = - — fi 0, 95 ohms Va I„ .28,2 U I E// soo /A 100 \ D 90 80 400 70 300 h SyZ // 60 50 I, 200 S S\ B 30 20 K» » i A . 012345678910 Fig. 22 Machine avec amortisseur (barre cuivre OE = droite d'entrefer OD = droite de court-circuit OC = droite de court-circuit diphasé OB = droite de court-circuit triphasé cylindrique) monophasé - 80 - E. Réactance homopolaire Elle est déterminée: 1. A l'aide de la droite d'entrefer et des deux droites de court-circuit monophasé et diphasé (figure 23): xo 2. = (xd+x2> I,V3 -^ -I Par l'essai à rotor calé et l'enroulement la machine avec une tension i = 1, 41 ohms Ii statorique donnée, l'excitation étant en en triangle ouvert. court-circuit, (figure 23): Xo = = 3Ï 1,4f 1,396> 1,4°8 (II) [^3 Fig. 23 Mesure de x U. sincp 0 31 (abc) = phases du e = enroulement d'excitation court-circuité staor on On alimente obtient: 81 - - Tableau V Valeurs mesurées Type Valeurs calculées xo(n) sans amortisseur 1,68 0,7 1,55 0,85 amort. complet barre cuivre ronde 0,96 0,7 0,74 0,705 1,03 1,075 1,06 1,08 1,051 1,065 1,4 1,21 amort. complet barre laiton ronde complet barre trapézoïdale amort. en laiton F. Réactances subtransitoires et transitoires Elles sont déterminées: 1. Par l'essai où la machine est phases qu'à ce en série, repos et au la 3ème restant libre (figure 24). que le courant d'excitation atteint mentation et le courant statorique, alimentée, sa en = 0, minima, 55 ohms © ^ Fig. 24 monophasé, deux On tourne lentement le rotor jus¬ valeur on a: 21 courant Mesure de x' d et x" a abc = phases e = enroulement d'excitation du stator on lit la tension d'ali¬ 82 - jusqu'à On continue à tourner le rotor - ce que le courant de court-circuit de l'excitation soit minimum: U .... et x" sont Ces valeurs de Xj 21 Par l'essai de court-circuit Cet essai travail et cela a a 60% 80% ont été relevés pour en question dans ce un amortisseur 40% chaque type d'amortisseur L'oscillogramme (figure 25) représente brusque statorique pour du courant chaque type d'amortisseur tensions: oscillogrammes tes tensions. brusque été effectué pour aux 100% Des saturées, q d 2. non 0,45 _ q en et aux différen¬ le courant de court-circuit barres de cuivre trapézoïdales. L'enveloppe été dessinée. HIllilllAWAfifâfAf, N§§PIWi!â!ÂIâ Fig. 25 Courant statorique au court-circuit brusque 83 - Evaluation de Sur la x*., x'\ figure 26 les constantes de connu. Ik - et des constantes de temps on peut lire les courants I' temps T' et T'\. Le procédé I", + I' et I" séparément, de la détermination de ces ainsi que courants est étant le courant de court-circuit maximum, I' le courant transitoire, et U la tension statorique avant la mise en court-circuit, on a: U xà Y2(i' Va + ik)Y? V2(ik + r +1") I" est le courant subtransitoire. A WX1 son un 300 \ I*1' \ 0,3 6 8 i"- 200 l'^\\ = 6tf» &S061' 5 U 3 2 sec 100 .- -è-Jd—- So ^ \_ 20 10 210 3 Fig. 26 = I" = T"l 9 Essai de court-circuit I' T\ 8 = = 10 sec brusque courant de court-circuit transitoire courant de court-circuit subtransitoire constante de temps constante de temps subtransitoire transitoire 84 - Dans le tableau VI on trouve, - suivant le type d'amortisseur, les valeurs réactances transitoires et subtransitoires ainsi que les constantes de temps des corres¬ pondantes. Tableau machine amortisseur amort. valeurs mesurées valeurs mesurées Type sans VI mach. repos au x»(.a) xJJ (II) 3,97 1,77 2,35 0,49 0,525 1,29 court-circuit xJj(IL) xJJ Td(sec) TJJ(sec) 1,61 0,136 0,006 1,62 0,822 0,12 0,0058 1,315 2,18 0, 0,102 0,0057 0,448 0,55 1,83 0,818 0,12 0,0058 1,6 1,56 1, 0, 0,12 0,0031 0,108 0,0047 complet barre cuivre cylindrique amort. complet barre laiton 95 cylindrique amort. barre complet en cuivre trapézoïdale amort. barre complet en laiton 74 985 trapézoïdale amort. barre incomplet en 1,62 cuivre 0,616 cylindrique On a calculé, subtransitoires court-circuit chaque type d'amortisseur, les réactances transitoires et pour fonction de la tension en tivement à l'amortisseur driques, en bornes de la aux machine, brusque de la machine. Les figures 27, 28 et 29, en barres de laiton barres de cuivre II. Calcul de x'\ à K xd 21TA K " bd cylindriques, cylindriques (l'amortisseur xd " xad l'aide + KR + R - la 1 21T.1,23 0,0358 4,576.53,9.0,86 barres de cuivre étant R = n^l-kJA^ de en avant la mise en sont relatives respec¬ incomplet). formule: cylin¬ 85 - R "l = - 4X, (2oiA + -) = 1T k = 0,428 a = 0,653 = 0, 96 fi Le coefficient de ment égal perméance à celui d'une encoche deux pôles consécutifs. Dans le On trouve de barres en comme valeur de l'enroulement d'excitation est approximative¬ A ayant la même forme géométrique cas non présent, c'est une encoche que 0,9 ohms. Vd<"> 3 . U x', x, a 20 Fig. 27 l'espace entre rectangulaire. saturée da la réactance subtransitoire dans le trapézoïdales: cuivre 1,231 statorique = tension = réactance transitoire = réactance subtransitoire 40 60 80 Amortisseur (barre laiton 100 cylindrique) cas 86 a a U = tension x. = réactance transitoire xj = réactance subtransitoire statorique 40 20 80 100 80 X» Fig. 28 "dV"' tension statorique réactance transitoire réactance subtransitoire 20 40 Fig. 29 *„•/. U 87 - III. Coefficient de perméance - chaque type de de barre d'amor¬ tisseur 1. Coefficient de perméance de l'encoche cylindrique (barre Soit l'encoche considérée (figure 30), Sur la courbe (figure 11), = 5,18.10~6 ohms/cm on a: Lto UJ.U o , Abd* ~Z Ko 0,35Ro D'où: bd Ka bdtot. Fig. 0 30 = 2cp.= 4tt.cj.10-9 = °»62 + cuivre). la résistance par unité de barre de cuivre est: RQ en -=- 2,5 0,62 =1,42 Encoche circulaire d'amortisseur diamètre de l'encoche ouverture d'isthme de l'encoche longueur de la 88 - - 2. Coefficient de perméance de l'encoche trapézoïdale (barre Résistance par unité de fi = On trouve 0, 3 et h' Abd = h = 7, = cuivre, figure 31) longueur: R Pour en 4, = 5 mm, lit on 87.10~6 sur ohms/cm la courbe (figure 6): 1,23. Lcj = Ro Fig. 31 3. Coefficient de perméance de l'encoche cylindrique (barre On en laiton) a: a.l Tfïô II 50.50 a 1150.12,1 TV _ ifïÔ U Résistance par unité de = bdtot fl ^ = 0,3 et h' = 0, 8 + y RQ On trouve pour A,, = 2,4 = 1,62. 2,5 hl/^-^1 Résistance par unité de = ohms/cm 2,08.10 4. Coefficient de l'encoche trapézoïdale Pour p longueur: = . avec , 7' 5 50.50 R On trouve pour A. T2 50.50 (barre = en 3,75 longueur: = 2.10"5 1,52. ohms/cm laiton) mm 12,5 ohm. mm 1. - 89 Le calcul de la réactance subtransitoire et cela pour tous les types d'amortisseurs en - a été fait à l'aide de la formule question dans ce travail (voir (120) tableau vn). 1. Sans amortisseur 2. Amortisseur (barre complet en cuivre cylindrique) Amortisseur (barre en cylindrique) complet laiton - 90 - 4. Amortisseur (barre complet en cuivre trapézoidale) 5. Amortisseur incomplet (barre en cuivre cylindrique) Fig. 32 Oscillations propres Tableau Valeurs Amortisseur laiton 0, cylindrique 964 tfl) barre en cuivre cylindrique 0,928 (XI) non VII saturées de barre x'j en cuivre trapézoïdale 0,92 (-D.) barre en laiton trapézoïdale 0,94 (£1) 91 - IV. Mesure du d'oscillations nombre d'amorti 1. Sur l'oscillogramme pézoïdales, on tous les autres sistance au voit que - (fig. 32.4), types d'amortisseurs. Ce fait courant alternatif de Sur le tableau Vin, minute relatif à l'amortisseur barres fournissent ces par ces suivant le type sseur en explicable est barres de cuivre tra¬ nombre moindre d'oscillations que un en raison de la faible ré¬ barres. trouve le nombre d'oscillations par minute relatif à cha¬ on que type d'amortisseur. Tableau VIII Oscillations/minute 1. Amortisseur incomplet barre en cylindrique cuivre 252 (fig. 32.5) 2. Amortisseur barre en complet trapézoïdale 174 cuivre (fig. 32.4) 3. Amortisseur complet barre en cuivre cylindrique 192 (fig. 32.2) 4. Amortisseur complet barre laiton cylindrique 252 (fig. 32.3) 5. Machine sans 270 amortisseur (fig. 32.1) 2. Nombre d'oscillations par minute relatif â l'amortisseur cylindriques, p = = 16, 6 Ik mU ,1. cos k ph On trouve TQ = 0,302 = sec, 51 ce a mpères cuivre 4 o s'agissait chrone étant soudain dans ce , Uph = 288,5 V qui correspond à 195 oscillations par minute, valeurs très proche de celle donnée par ne en kgm2 4, Il barres GD2 T-"f] GD2 avec calculé à l'aide de la formule: l'expérience. (Voir tableau VHI.) qui précède que d'oscillations propres, la machine syn¬ séparée du réseau et y est immédiatement après rétablie. Pen- - continu, amis entraînée jusqu'au synchronisme V. électriquement par d'amortissement Facteur tj = 0,118 barre r\ = 0,0838 sans TJ tj r\ 0,13 =0,105 en de cas en laiton = 1 -i- synchrone cour t-cir cuit brusque ^ h h -i-JL - log T *2 I "k - trapézoïdale amortisseur amortisseur complet, barre en laiton amortisseur complet, barre en cuivre = 0,12 amortisseur incomplet, = 0,096 amortisseur complet, VI. autre machine (figure 25): ij - une et ensuite reliée au réseau. Facteur d'amortissement r\ - essai, la machine synchrone était séparée mécaniquement de la machine à dant cet courant 92 barre barre cylindrique cuivre ronde en cuivre d'amortissement Coefficient en cylindrique trapézoïdale (période oscillatoire) Calcul du rapport du coefficient d'amortissement transverse au coefficient d'amortissement direct. Avant de faire et transverse R„ , ce calcul, et R„ I>q Dd R il est nécessaire de déterminer les résistances directe : Dd = N(_k II.) ± + *s 3qr Js 2To N = nombre total de barres d'amortisseur 1 = longueur d'une barre (en q = section d'anneau = résistivité du cuivre = 202 ^r p lg mm , Le calcul N = 64 cuivre , numérique donne: T r cylindrique) = 182 mm , qr = 187 mm2 93 - RDd 7.15-10"3 = On peut déduire donc que RDd - RD ohms, RDq. = = 7, 55.10-3 suppose de on ohms plus que: A-L«rDd=-fl-LaDq=-Û-N-Lo- barre XI Avec: = *£ = MI NL_ a vu (page 70), que pour trDd un sec 34.10"4 8, = "barre On 157 = 4 P amortissement maximum: II. L et Dd = R-, r, Dq orDq de telle sorte que: ^«Dq Zcrq= et comme R^ = RDq , Z^q a: on Zcrd ' = ^RDd Z^ = On forme le rapport: D _A = Dd XX,.-, A cot26 _ïa Xq Xad = 2dl. lia-. 0,86 On voit de ce cinq fois supérieur 3,68 5,01 = 4,46 qui précède que l'amortissement à celui sur l'axe direct. Ce qui sur l'axe transverse, conduit à négliger est environ le coefficient d'amortissement direct: U D = x Dans tout calcul relatif une grande erreur, négliger dente montre, qu'il faut l'amortisseur et cela l'amortisseur, s'il on , -M _J_ _L w2 Xq q au ° 2RDd coefficient d'amortissement, on peut, sans commettre le coefficient d'amortissement direct. La formule diminuer R_ jusqu'à veut 0 cos26n un une , précé¬ c.à. d. augmenter la section de cuivre de certaine limite imposée par l'échauffement de coefficient d'amortissement optimum. 94 - 1. Mesure de GD ère que coscp = 2 1, La machine . on mesure de la machine de 10 mesure le gente au On GD de Mesure VII. % à et en les marche en fonction du donne la valeur du a: GD2 dans pertes Puis . la machine et l'excitation synchrone, pertes à vide P et l'on nombre de tours point N, des % 20 - on fait réglée de mani¬ augmenter la vitesse sépare celle-ci immédiatement du réseau. On la courbe de la temps, figure 33 et sa tan¬ temps de ralentissement linéarisé. 365000. P„.ab o „„ sec 16 kg. = m nominale 2. Pertes-cuivre. La machine synchrone se comportant exactement pour la comme o mesure de GD , seulement les bornes du stator que la machine ait été du temps, on séparée du réseau. On obtient la courbe de la P + P eu Pertes frottement. en nominale p 1,1 frottement KW C'est le même essai que pour la détermination de GD l'enroulement d'excitation reste ouvert. La figure «0 33 Essai pour la 2 , mais 35 permet l'obtention du temps de ralentissement linéarisé. Fig. fonction 2 ' 365000.ab = 3. le nombre de tours _ supl. après trouvent court-circuitées figure 34. GD2 On a: se mesure mesure 50 sec. de GD 95 - On a: - ab frott. ^Pfer+PfrotJ 640. ab ÎO-3. 3-2iA sec sec = Fig. 34 2 3 5 6 Essai pour la 20 Fig. 35 4 40 ab = (sans excitation) 0,2865 KW ' 86 t (avec excitation) 9 7 mesure 60 10 11 12 13 sec des pertes-cuivre 80 t, temps de ralentissement linéarisé wo sec. 96 - - Ré sumé Le but de cette thèse est le type d'amortisseur une contribution à l'étude des amortisseurs rectangulaires, ou régime oscillatoire (faible résistance) un un moyen de choisir le suivant que les barres d'amortisseur sont plus adéquat c.à. d. cylindriques, trapézoïdales pour d'apporter synchrone à pôles saillants et de rechercher d'une machine de dimensionner cet soit pour la marche soit amortisseur, asynchrone ou en brusque (grande résistance). court-circuit l'objet des chapitres I, H, III Cela fait et IV, où les résistances au courant con¬ tinu et alternatif des trois types d'amortisseur mentionnés plus haut, ainsi que leurs furent calculées perméances, (140a) Les formules l'amortisseur en l'amortisseur ces la précision nécessaire. L'évaluation en (140b), et page 70, permettent régime oscillatoire tandis de calculer permettent avec dues aux courants de Faucault est dès lors supplémentaires l'augmentation court-circuit en Td et , Au x, page et transitoires x'L outre de calculer les constantes de TV, 44, x", x*,, de l'amortisseur temps Tï.. ainsi que les constantes transitoires et subtran¬ chapitre on trouve le calcul de la réactance de réaction d'induit connaissant la réactance de qui permet, synchrone (93), Td. Dans ce même x et phase du stator, de l'enroulement d'excitation et de et de l'enroulement d'excitation sitoires (92) Au chapitre IV ont été calculées les inductan¬ l'amortisseur, ainsi que les réactances subtransitoires x', qui permettent de calculer le courant dans que les formules des courants dans le circuit d'exciation et dans brusque. propres et mutuelles d'une des pertes possible. x. = + x dispersion sont calculés la variation du chapitre V, x de calculer la réactance , . couple de la machine en régime oscillatoire et les coefficients d'amortissement direct et transverse. Au 1. chapitre VI, sont exposés les résultats des qui consistent: essais à calculer les valeurs saturées des réactances et des constantes de temps x,, TV et mes TJ,, à l'aide de l'essai de court-circuit des courants brusque en statoriques à des tensions égales à 40 x", prenant les oscillogram, 60 , et 100 80 de la tension nominale de la machine. 2. à déterminer les valeurs tée 3. en monophasé à Calculer les réactances glissement, non saturées des réactances x', et x'\, la machine alimen¬ est à l'arrêt. synchrones directe et transverse ainsi que la réactance de dispersion x x, et x par l'essai de (la machine ayant une charge inductive). 4. à étudier le comportement de la machine réenclenchement question dans ce sur le réseau, travail, au moment de et à déterminer pour la machine son quel synchronise plus déclenchement et type d'amortisseur efficacement. son en 97 - - Conclusion La théorie de l'effet de peau Nombre d'auteurs déjà on traité le rectangulaires, trapézoïdales thèse et développée au effet pelliculaire, problème est de connue des conducteurs cylindriques. Cette théorie logés a été reprise dans cette dans une encoche cylindrique isthme et parcouru par le cas un courant alternatif est entièrement nouveau et est résolu dans toute pour la première fois dans le présent nouveau a R et K* page 58 et 59 K, cision, ainsi que les constantes de D'après rable quant la transitoires, de déterminer qui permet généralité une formule de ces réactances avec con¬ pré¬ temps d'une machine synchrone. la théorie et l'essai effectué travail, l'on peut sa été calculée dans cette thèse surtout par l'introduction des stantes ce avec travail. Pour le calcul des réactances subtransitoires et caractère longue date. dans des encoches mathématiques plus directes. Néanmoins, moyen de méthodes logé du conducteur et ou sur la machine conclure que l'amortisseur à barres synchrone en trapézoïdales question dans est plus favo¬ pertes supplémentaires et quant à la stabilité de la machine pendant aux période oscillatoire. L'application de ces sance réactances des formules a (120), (121) été entreprise et (122), personellement de la Maison Brown Boveri à Baden page sur 59, concernant le calcul des machines de Les résultats obtenus étaient très satisfaisants et conformes à les essais effectués grande puis¬ (Suisse). ceux donnés par machines pour la détermination des réactances transi¬ sur ces toires et subtransitoires. Il est nécessaire de souligner que ces formules sus-mentionnées sont des valeurs valeurs il faut saturées, Jusqu'à présent les mathématique, qu'on la sur Cependant il est de progrès machine) et de varier de les multiplier par le coefficient 0,66 à 0, équations des flux et des tensions devenant 93. non l'analyse linéaires, sitôt partie curviligne de la caractéristique à vide de la machine synchrone. possible de le déterminer par des méthodes principalement température. avec les essais, la détermination du coefficient de l'instant d'enclenchement du court-circuit sa graphiques appropriées. des calculs et la bonne concordance observée restent ouverts concernant saturation, saturées et que pour obtenier leurs le coefficient de saturation n'a pu être calculé par Malgré la précision des non première approximation qui, selon l'expérience, peut de saturation est en valeurs des réactances données par les (c. à. d. de l'état de la Liste des Les indices d et q symboles employées dans cette étude rapportent respectivement à l'axe direct et transverse de se la machine. Les indices L'indice e Dd, Dq se se Les indices doubles et et transverse. permutés affectant les inductances et les réactances dé¬ successivement des inductances propres et mutuelles. signent Toutes les fuite rapportent à l'amortisseur direct rapporte à l'enroulement d'excitation. grandeurs physiques affectées de l'indice o* sont relatives au flux de de dispersion. ou Réactances Les réactances X sont désignées par sont = réactance x". = réactance transitoire = réactance subtransitoire réactance de = réactance de réaction d'induit x = réactance x2 = réactance inverse x , ad XD Xin , , XDDd X , X . X . Xeed XDed désignées homopolaire réactance de fuite de l'amortisseur = réactance propre de l'amortisseur = réactance totale de l'amortisseur = réactance mutuelle entre la = réactance propre de l'enroulement d'excitation = réactance de fuite de l'enroulement d'excitation = = Xaed + Xedc = phase a et l'enroulement d'excitation réactance totale de l'enroulement d'excitation réactance mutuelle entre l'amortisseur et l'enroulement d'excitation physiques U = tension de phase statorique U = tension de phase de la i = densité de courant = courant efficace H = champ magnétique E = champ électrique ,, ceux dispersion = Grandeurs I que synchrone = x triphasées, tandis monophasées. x, xji x _^eff roue polaire par - 99 9 ^ = I~ = courant dans l'amortisseur direct = induction dans l'entrefer , flux - magnétiques Dd B, Inductances et résistances Z = impédance M = inductance mutuelle L = self-inductance R = résistance r., = résistance équivalente d'une barre d'amortisseur Couple couple d'entrainement M = maximum du m = couple monophasé 2 = moment de H = constante d'inertie S = puissance apparente GD F onction giration (page 65) s = fonction de Hankel d'ordre m = fonction de Bessel d'ordre m R = R(p), V = fonction N = fonction de Neumann H_ m J_ m fonction de p potentielle Constantes K = constante (page 59) K* = constante (page 59) R = constante (page 58) J = partie imaginaire = numéro d'ordre de la barre = facteur d'enroulement du stator = facteur d'enroulement de l'amortisseur k = facteur d'enroulement de l'excitation k = facteur d'enroulement Np , k kp, , n sin(nb£ = ) - 100 - 8fywk/_ = P.108 k.. = constante d'équivalence directe k = constante d'équivalence transverse k = facteur de Carter w = nombre de spires par n. = nombre de barres d'amortisseur par N = nombre total de barres de l'amortisseur P = nombre total des = nombre de paires de D = diamètre 1 = longueur géométrique de la machine = petite base et grande base de l'encoche trapézoïdale = nombre de p b-. ,b N Lettres = oc =0,66 A.. stator pOle pôles d'alésage pOles en cm spires par pôle de l'enroulement d'excitation grecques Bl /3 A phase du B, — amplitutde fondamentale = constante du = coefficient de = coefficient de de l'induction champ magnétique perméance de l'excitation par perméance d'une barre pôle unique d'amortisseur par unité de longueur é = XI = fréquence d'oscillation 6 = moment d'inertie de la machine r = conductibilité ï = fih angle de charge il V spécifique b' "P0r " 2 b bl bo S ^i =èy(/î) = perméabilité magnétique dans le vide = 4TT10 -9 Vs Acm coefficient de perméance en général - £ = T l (<p1) <* <p. < •$ «pn £ * constante pas polaire = une fonction de cp ^ =iRil>vV = angle =1 = = = en degrés U>V 2 angle entre la phase a et l'axe direct (2n-l)£ angle entre deux barres consécutives de l'amortisseur 2H°D = =- p = coordonnée = résistivité du cuivre o- = coefficient de £ = entrefer n = a p - d'intégration = P61 <Pn 101 polaire synchronisation facteur d'amortissement 102 - Table des - matières 9 CHAPITRE PREMIER Perméance d'une encoche Calcul des 9 rectangulaire 12 pertes dans l'encoche 14 Perméance de l'encoche considérée 16 Impédance d'une encoche trapézo'idale CHAPITRE II Cas où l'encoche est parcourue par un courant continu 16 Cas où l'encoche est parcourue par un courant alternatif 20 CHAPITRE m Inductance d'une encoche ronde Cas où le conducteur logé avec 28 isthme dans l'encoche est parcouru par un 28 courant continu Cas où le conducteur est parcouru par un courant alternatif Cas où le conducteur est parcouru par un courant lignes magnétiques sont perpendiculaires CHAPITRE IV alternatif, 33 les â l'axe de l'encoche Réactances d'une machine synchrone â pôles 43 saillants 48 Réactances transitoires et subtransitoires 48 Calcul de l'amortisseur 53 1. Amortisseur direct 53 2. Amortisseur transversal 54 CHAPITRE V CHAPITRE VI Calcul de la variation du c"ouple Réactances et constantes de machines A. Réactance synchrone synchrones. 66 temps des Mesures directe 75 76 B. Réactance de réaction d'induit 77 C. Réactance de réaction d'induit transversale 78 D. Réactance inverse 79 - 103 - 80 homopolaire E. Rêactance F. Réactances transitoires et subtransitoires x" 81 84 II. Calcul de III. Coefficient de IV. Mesure du nombre d'oscillations 91 V. Facteur d'amortissement 92 VI. Coefficient d'amortissement 92 VII. d Mesure de GD pertnéance 2 et des de chaque type d'amortisseur pertes dans la machine 8"? 94 104 - - LITTERATURE Valir on, Théorie des Fonctions. L 1 G L 2 A. L 3 A. Somme rf L 4 C.Concordia, Synchronous L 5 F L 6 G.Goudet, L 7 R.Richter, Elektrische L 8 E.Kimbark, L 9 R . . . Angot, Complément Mathématiques. eld, Vorlesungen Ollendorff Briider de , iiber theoretische Machines (Theory Physik, Performance). and Berechnung magnetischer Felder. Les fonctions de Bessel. Power link, Die Maschinen. Volume III. System Stability, Stromverteilung in den Dâmpferstâben 10 J.Walbeck, Stabstrome im Dampferkafig von von Jg. (1936), maschinen. Siemens-Z. 16. L Band VI. Synchron¬ S. 133. Synchronmaschinen... Diss. Aachen 1942. LU O . E . Pollot, Die Stromverteilung mit Dampferkafig im Einzelpolen (1942), S. bei von Synchronmaschinen asynchronem Anlauf. AfE.Bd. 36 652. (1932). L 12 Electrical Engineering, Bd. 51 L 13 D.Harms, Ueber die Verteilung der Strëme in der Dampferwicklung von Turbogeneratoren mit Massivlâufern. ETZ. 73. Jg. (1952), L 14 E.Jasse, Théorie des S. 173. Dâmpferkafigs (1948), S. 233. von Einzelpolmaschinen. AfE. Bd. 39 - 105 CURRICULUM Nom et Prénom - VITAE Moutawé ACHAB Lieu et Date de le 14 juillet, Naissance El Nationalité République Arabe Unie (Syrie) Adresse actuelle Rieterstrasse Krayé, Syrie, 1924 Zurich 2 91, FORMATION Baccalauréat, 1945 1945 - 1947 - 1949 de Classes de Mathématiques Spéciales Sailly, 1949 - 1952 Licence es 1952 - 1953 Professeur à 1953 1957 1958 - 1957 (fin) - 1961 Primaire l'Enseignement Kanawat) Janson de 1953 Mathématiques (Damas) Instituteur à (ville 1947 série en au Syrie Lycée Paris Sciences, Faculté des Sciences de Paris l'Enseignement Secondaire (ville de Stage de six mois à MICAFIL S.A. en Syrie Soueida) Zurich Ecole Polytechnique Fédérale, Zurich, Section IIIB, Electrotechnique Diplôme d'ingénieur électricien Assistant et élève de doctorat chez Monsieur le Professeur A. Dutoit (Institut de Construction de Machines électriques) Ecole Polytechnique Fédérale, Zurich 1961 (16 Janvier) Zurich, Ingénieur chez Brown, (Bureau d'Etudes) Boveri & Cie. S.A., Baden le 16 Janvier 1961 M. Achab