Revue de presse Mars 2016

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Date : 07/03/2016
Heure : 13:05:48
Journaliste : Pauline Bandelier
officieldelafranchise.fr
Pays : France
Dynamisme : 5
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Île-de-France : un paysage commercial en pleine mutation
Le revers de la forte attractivité internationale de l'Île-de-France, première région économique
française : les fonds de commerce les plus chers du pays. Autant dire qu'un modèle économique
adapté et une patience à toute épreuve sont des prérequis pour y réussir son implantation. Bonne
nouvelle cependant, l'arrivée du Grand Paris est aussi synonyme de grands changements et
d'opportunités à saisir.
Sur le papier, le potentiel est évident. Avec seulement 2 % de la superficie nationale, la région francilienne
accueille une population de 12 millions d'habitants, soit 18 % de celle de la France métropolitaine. Premier
bassin d'emploi européen, elle génère 30 % du PIB français et près de 4 % de celui de l'Union européenne.
Malgré ces atouts, elle reste une zone difficile à aborder souligne Jean-Luc Fumey du cabinet Avenir
Franchise. “Des modèles économiques qui marchent en province ne sont pas forcément adaptés en Île-deFrance où les coûts locatifs sont deux fois plus élevés”, ajoute-t-il. Avec un prix moyen de 242 000 euros au
premier semestre 2015 pour un fonds de commerce, contre 186 000 euros au niveau national, “il faut être
plus prudent qu'ailleurs”, confirme Charlotte Boisson, directrice du développement de Territoires et Marketing.
Le choix de l'emplacement,un aspect essentiel
“Dans certains endroits on paye très cher, sans forcément avoir le flux en face”, prévient-elle. Exemple :
le boulevard de Sébastopol à Paris, où un grand nombre de personnes passent mais peu s'arrêtent. De
même, plusieurs nouveaux centres qui se sont créés ces dernières années comme Beaugrenelle, So West
à Levallois-Perret ou même l'Aéroville de Roissy sont loin d'avoir fait leurs preuves : “Souvent très beaux,
ces lieux attirent du monde à leur ouverture mais la fréquentation a ensuite tendance à baisser. Les loyers
Tous droits réservés à l'éditeur
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étant très élevés, il est difficile de s'en sortir”, analyse Charlotte Boisson. Et même lorsqu'on a trouvé le bon
emplacement, la route est longue avant d'atteindre la pérennité. “3 à 4 ans sont nécessaires pour passer les
différentes étapes. Pour y arriver, il faut s'investir énormément en boutique”, témoigne Éric Millet, franchisé
Bureau Vallée à Courbevoie et Paris 14.
Les franchises qui marchent
Derrière la hausse de 2 % des commerces actifs entre 2002 et 2014, l'étude réalisée en mai 2015, par le Centre
Régional d'Observation du Commerce de l'Industrie et des Services (CROCIS) de la CCI Île-de-France sur
le paysage commercial du Grand Paris révèle un fort développement de certains secteurs, alors que d'autres
subissent une désaffection certaine. L'équipement de la maison et du jardin, le bricolage, l'automobile et la
culture comptent parmi ceux qui ont le plus souffert. À l'inverse, les supérettes alimentaires, les magasins bio,
les commerces liés au soin du corps et au service à la personne ont bénéficié d'une progression significative.
“La franchise de service à domicile O2 est le plus gros créateur d'emplois en France. Family sphère, Shiva
et les agences de soutien scolaire fonctionnent aussi très bien”, souligne Charlotte Boisson. L'avantage pour
ces enseignes qui attirent du trafic au travers de leur site Internet : plus besoin de payer un emplacement
onéreux sur une artère principale.
Plus jeune que la moyenne nationale, la population francilienne et particulièrement parisienne est aussi
ouverte à des propositions nouvelles et originales. “Le public parisien est habitué à avoir beaucoup de choix
et est donc assez élitiste. On peut tester des concepts qui sortent de nulle part davantage qu'en province”,
commente Charlotte Boisson. Et dans ce domaine les success stories existent : la franchise de burgers Big
Fernand, lancée à Paris, s'est depuis développée en province avec succès.
D'une manière générale, la restauration, notamment rapide et l'hôtellerie sont des secteurs porteurs dans
cette région qui accueille 60 millions de touristes chaque année. Les attentats du 13 novembre 2015 laissent
toutefois présager d'une baisse durable des réservations hôtelières.
Est parisien et Île-de-France : des territoires à conquérir
Paris, avec ses 2,2 millions d'habitants et ses 60 millions de touristes annuels, est la ville la mieux pourvue
en commerces actifs. Dotée de 62 100 magasins (soit 57,6 % du total), la Capitale se place loin devant les
Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne (entre 12 et 15 %). Autant dire que la concurrence
est rude. Valérie Gozlan, franchisée Solvimo sur Paris XIIe, est en compétition avec plus de 200 agences
immobilières sur son seul arrondissement. “En contrepartie, les transactions sont plus nombreuses, et les
commissions plus importantes qu'en province”, nuance-t-elle. Le secret pour durer selon la franchisée : avoir
de la trésorerie pour démarrer, s'armer de patience et créer un tissu relationnel, seul moyen de se différencier
dans cette ville anonyme.
Bonne nouvelle : si l'immobilier est globalement très cher en Île-de-France, plus on s'éloigne de Paris et plus le
prix des fonds de commerce baisse. Autre avantage concurrentiel : l'appareil commercial est souvent obsolète
en grande couronne alors que les classes moyennes sont de plus en plus nombreuses à s'y installer. “Il y a
des choses à faire, mais il ne faut pas hésiter à aller sur des lieux qui ont une mauvaise image et ne sont pas
identifiés a priori comme des investissements intéressants”, conseille Charlotte Boisson. Exemple : la ville de
Gagny dans le 93, où la population augmente, connaît un faible taux de chômage et compte de nombreux
CSP+. “Les supermarchés en périphérie perdent du flux et il existe une demande pour des enseignes de
proximité et de qualité qui n'est pas pourvue”, ajoute Charlotte Boisson.
“Avec le Grand Paris, un certain nombre de zones vont se désenclaver. Le dynamisme de la zone Val Europe
dans le 91 en est déjà un bel exemple”, confirme Jean-Luc Fumey du cabinet Avenir Franchise. Le Perreux et
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Bry-sur-Marne connaissent également une progression encourageante selon Charlotte Boisson et Monoprix
vient de s'installer à Joinville pour accompagner la rénovation du centre-ville. Autre raison de privilégier ces
territoires : certaines villes n'hésitent pas à être actives pour y faciliter l'installation, telle Choisy-le-Roi qui a
organisé en 2012 le salon Choisy ta franchise.
À l'intérieur de Paris même, la densité commerciale varie énormément d'un quartier à l'autre. Très élevée dans
les arrondissements centraux (160,7 pour 1 000 dans le Ier arrondissement, 96,6 dans le IIe arrondissement),
elle l'est nettement moins dans les arrondissements périphériques qui sont plus diffus (14,2 pour 1 000
dans le XIXe, 16,5 dans le XXe). Traditionnellement délaissés, ces quartiers populaires sont aussi en plein
renouvellement.
A contrario, la densité est assez importante dans les villes avec un grand nombre de salariés (Puteaux,
Levallois-Perret, Aubervilliers…) et sont proches de la capitale. Vincennes, Saint-Maur ou Le Raincy qui
comptent un nombre important d'habitants aux revenus élevés sont aussi davantage quadrillées. Et le prix
des fonds de commerces y avoisine ceux de Paris. “À Nogent-sur-Marne, il n'y a qu'une artère principale,
alors les locaux s'y vendent à prix d'or”, confirme Valérie Gozlan.
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Les centres d'affaires traditionnels doivent faire peau neuve (Xerfi)
© DR
D'après les estimations des experts de Xerfi, l'activité des centres d'affaires traditionnels n'a progressé que de
2,5% en valeur en 2015, « bien loin des 6,6 % de croissance dont pouvait se vanter le secteur il y a seulement
trois ans ». Jusque-là seuls à profiter d'un marché en pleine croissance, les acteurs traditionnels des centres
d'affaires doivent désormais faire face à l'arrivée massive de nouveaux entrants. « La montée en puissance
des espaces de coworking constitue en effet un défi majeur, d'après Xerfi. Sans oublier le développement
des plateformes de location de bureaux temporaires, qui, en mettant les professionnels en relation directe,
fait planer sur le secteur la menace de l'ubérisation ».
Et deux éléments viendront encore perturber l'activité des acteurs traditionnels, qui devrait progresser de
respectivement 3 % et 3,5 % en 2016 et 2017 selon l'étude : « D'abord, le contexte général déflationniste met
sous pression les prix des services aux entreprises. Ensuite, le marché de l'immobilier de bureaux restera
largement favorable aux preneurs de baux. Les réductions de loyer et autres prises en charge de travaux
favorisent en effet les arbitrages vers des bureaux permanents, au détriment des solutions immobilières
flexibles ».
Les entrepreneurs individuels et autres free-lances, de plus en plus nombreux, apprécient la flexibilité et
la convivialité offertes par ces espaces de travail 2.0. En témoigne la récente explosion de l'offre issue
d'opérateurs indépendants. Selon les estimations des experts de Xerfi, plus de 200 espaces étaient actifs
début 2016, lesquels ont à peine plus de deux ans d'existence pour la moitié d'entre eux.
Les start-up ne sont pas seules à s'engouffrer dans la brèche du coworking. C'est le cas de géants
de l'immobilier, comme Bouygues Immobilier avec Nextdoor ou Nexity avec Blue Office, mais aussi
d'opérateurs aux profils variés, parmi lesquels figurent les hôtels Mercure, le distributeur de fournitures Bureau
Vallée ou encore la Poste. « Aujourd'hui foisonnante, l'offre de coworking va donc se structurer ces prochaines
années autour de quelques segments : les enseignes des centres d'affaires, celles créées par les nouveaux
entrants et les espaces indépendants de quartier qui conserveront toujours une place à part », précise l'étude
de Xerfi.
Les acteurs traditionnels des centres d'affaires développent eux aussi leurs propres solutions de coworking
sous des enseignes distinctes. Cette stratégie a notamment été adoptée par Multiburo avec Le Spot ou
encore NCI avec Smart Work Center. « Libérés du carcan de leur image « corporate », les centres d'affaires
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peuvent alors miser sur des techniques de communication et de marketing innovantes et décalées. Au
final, ceux-ci cherchent à tirer parti de l'émergence d'une demande en coworking en la transformant en
opportunité ».
Les acteurs traditionnels cherchent également à se positionner sur le segment encore peu développé des
tiers lieux. Situés en périphérie, donc proches des zones résidentielles, ils proposent des espaces de travail
individuels ou partagés en captant les télétravailleurs qui ne souhaitent ou ne peuvent pas rester à leur
domicile. Les tiers lieux, aujourd'hui développés par Nexity (Blue Office) et Regus, Orange et La Caisse
des Dépôts (Stop & Work) répondent à des préoccupations actuelles : réduction des déplacements et de la
pollution, revitalisation des zones périphériques, autonomisation des salariés etc.
L'implantation dans les zones de transit comme les gares et les aéroports constitue également une opportunité
pour les acteurs traditionnels. Leader mondial du segment des centres d'affaires, Regus est en première
ligne pour les implantations en zones de transit, grâce à son partenariat avec Gares & Connexions, branche
d'aménagement des gares de la SNCF. Quant aux indépendants regroupés en réseaux, ils poursuivront leurs
initiatives pour imposer leur marque au niveau national. Le réseau Buro Club a ainsi recruté de nombreux
centres indépendants sous sa bannière ces derniers mois et misé sur de nouveaux partenariats pour étendre
sa présence sur tout le territoire.
20 mars 2016
21 mars 2016
21 mars 2016
21 mars 2016
22 mars 2016
22 mars 2016
22 mars 2016
22 mars 2016
22 mars 2016
23 mars 2016
Date : 16 MARS 16
Journaliste : François Perrigault
Périodicité : Quotidien
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[ITW] "Bouygues ou Nexity ne proposent pas un service révolutionnaire par rapport à
ce qu'offrent les centres d'affaires"
En direct du Mipim (Cannes) - Xerfi a dévoile il y a quèlques jours une étude sur les centres d'affaires et le coworking Principale conclusion de ce travail les
acteurs traditionnels doivent désormais faire face a l'arrivée massive de nouveaux entrants Vincent Desruelles directeur d'études chez Xerfi partage son analyse
avec nous
Business Immo
?
Pourquoi l'activité des centres d'affaires traditionnels n'a progressé que de 2,5 %en 2015
Vincent Desruelles: Nous observons un ralentissement de leur activite depuis 2013 Cest surtout lie au
ralentissement economique global qui limite, entre autres, les déplacements professionnels et les operations de
croissance des entreprises Par ailleurs le secteur des centres d affaires est arrive a un certain niveau de maturité
Preuve en est, les ouvertures sont devenues moins nombreuses
B I Le coworking et les plateformes de location de bureaux temporaires se développent. Les acteurs
traditionnels des centres d'affaires n'ont-ils pas loupe le virage '
V.D.• Je ne croîs pas Effectivement nous constatons le developpement d'une nouvelle concurrence Maîs celle-ci n est
pas frontale Elle ne s adresse pas aux mêmes acteurs et se positionnent sur des territoires différents Je pense que la
coexistence est possible De plus, ces nouvelles tendances offrent des opportunités aux acteurs traditionnels des
centres d'affaires Ces derniers en ont profite pour renouveler leur offre comme le montre le lancement des enseignes
Le Spot par Multiburo ou Smart Work Center par NCI
Des géants de l'immobilier comme Bouygues Immobilier avec Nextdoor ou Nexity avec Blue Office ont investi le
secteur du coworking. N'est-ce pas une menace a terme pour les acteurs traditionnels des centres d'affaires ?
V.D.: Une menace existe maîs l'offre de coworking, en pleine explosion est encore peu structurée Des opérateurs aux profils
varies lancent leurs concepts, comme les hôtels Mercure, le distributeur de fournitures Bureau Vallee ou encore la Poste Le milieu des centres d'affaires est
pour sa part beaucoup plus concentre, avec Regus en chef de file
De plus, les acteurs comme Bouygues ou Nexity ne proposent pas un service révolutionnaire par rapport a ce qu offrent les centres d affaires Certes, ils se
positionnent en périphérie et ciblent les télé-travailleurs Rien ne dit qu ils réussiront a attirer ces teletravailleurs dont l'attitude face aux nouvelles offres est
aujourd'hui encore peu connue
AUTEUR(S)
François Perrigault
Journaliste - Business Immo
article(s)
Contacter /auteur
Date : 16/03/2016
Heure : 16:50:39
Journaliste : François Perrigault
Pays : France
Dynamisme : 53
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[ITW] "Bouygues ou Nexity ne proposent pas un service
révolutionnaire par rapport à ce qu'offrent les centres d'affaires"
En direct du Mipim (Cannes) - Xerfi a dévoilé il y a quelques jours une étude sur les centres d'affaires et le
coworking. Principale conclusion de ce travail : les acteurs traditionnels doivent désormais faire face à l'arrivée
massive de nouveaux entrants. Vincent Desruelles, directeur d'études chez Xerfi, partage son analyse avec
nous.
Vincent Desruelles © Groupe Xerfi
Business Immo: Pourquoi l'activité des centres d'affaires traditionnels n'a progressé que de 2,5 % en 2015 ?
Vincent Desruelles: Nous observons un ralentissement de leur activité depuis 2013. C'est surtout lié au
ralentissement économique global qui limite, entre autres, les déplacements professionnels et les opérations
de croissance des entreprises. Par ailleurs, le secteur des centres d'affaires est arrivé à un certain niveau de
maturité. Preuve en est, les ouvertures sont devenues moins nombreuses.
B.I.: Le coworking et les plateformes de location de bureaux temporaires se développent. Les acteurs
traditionnels des centres d'affaires n'ont-ils pas loupé le virage ?
V.D.: Je ne crois pas. Effectivement, nous constatons le développement d'une nouvelle concurrence. Mais
celle-ci n'est pas frontale. Elle ne s'adresse pas aux mêmes acteurs et se positionnent sur des territoires
différents. Je pense que la coexistence est possible. De plus, ces nouvelles tendances offrent des opportunités
aux acteurs traditionnels des centres d'affaires. Ces derniers en ont profité pour renouveler leur offre, comme
le montre le lancement des enseignes Le Spot par Multiburo ou Smart Work Center par NCI.
B.I.: Des géants de l'immobilier comme Bouygues Immobilier avec Nextdoor ou Nexity avec Blue Office ont
investi le secteur du coworking. N'est-ce pas une menace à terme pour les acteurs traditionnels des centres
d'affaires ?
V.D.: Une menace existe mais l'offre de coworking, en pleine explosion, est encore peu structurée. Des
opérateurs aux profils variés lancent leurs concepts, comme les hôtels Mercure, le distributeur de fournitures
Bureau Vallée ou encore la Poste. Le milieu des centres d'affaires est pour sa part beaucoup plus concentré,
avec Regus en chef de file.
De plus, les acteurs comme Bouygues ou Nexity ne proposent pas un service révolutionnaire par rapport
à ce qu'offrent les centres d'affaires. Certes, ils se positionnent en périphérie et ciblent les télé-travailleurs.
Rien ne dit qu'ils réussiront à attirer ces télétravailleurs dont l'attitude face aux nouvelles offres est aujourd'hui
encore peu connue.
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Date : 21/03/2016
Heure : 22:56:32
Journaliste : J.M.
bfmbusiness.bfmtv.com
Pays : France
Dynamisme : 0
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Les espaces de coworking ont le vent en poupe
L’espace de coworking la Jonquière dans le 17e arrondissement de Paris - Becoworking
Plus de 200 espaces de coworking sont aujourd'hui actifs en France, selon les estimations du cabinet Xerfi.
L'essor de ce type de bureau est tel qu'il commence à faire de l'ombre aux centres d'affaires traditionnels
qui réagissent à leur tour.
"L'essor de l'économie numérique a fait voler en éclats la conception traditionnelle de la vie de bureau". Voilà
le constat dressé par le cabinet Xerfi dans une étude sur les centres d'affaires parue le 9 mars dernier. Les
nouveaux entrants sur le marché de l'emploi conçoivent en effet différemment leur lieu de travail.
"Travailleurs nomades et hyperconnectés, les salariés des générations Y et bientôt Z plébiscitent de nouvelles
solutions de travail, coworking en tête", affirme ainsi Xerfi. Cette dernière forme d'espace de travail a, en effet,
connu une importante croissance ces dernières années.
Un nouveau relais de croissance
Selon le cabinet d'études, 200 espaces de coworking étaient ainsi actifs en France début 2016. Or la moitié
d'entre eux n'existaient pas il y a encore deux ans. Ces espaces de travail 2.0 séduisent les entrepreneurs
individuels et les travailleurs indépendants qui "apprécient particulièrement la flexibilité et la convivialité
offerte", souligne le cabinet.
De grands noms commencent d'ailleurs à s'intéresser de près au sujet. La Poste, Bouygues, Nexity, les hôtels
Mercure ou encore Bureau Vallée sont autant de grands groupes à avoir lancé leurs propres structures de
coworking. Les acteurs traditionnels des centres d'affaires prennent eux aussi le pli. C'est le cas de Multiburo
qui a développé son espace Le Spot ou de MCI avec son Smart Work Center.
En surfant sur la vague du coworking, ces entreprises transforment ainsi une menace en une nouvelle
opportunité. Ce alors que la croissance du marché des centres d'affaires n'a été que de 2,5% l'an passé
contre 6,6% en 2012. "Au final, les espaces de coworking s'apparentent plus à un nouveau marché qu'à un
substitut", conclut ainsi Vincent Desruelles, l'auteur de l'étude, cité par les Échos.
Date : 22/03/2016
Heure : 12:51:31
Journaliste : Myriam Greuter
lentreprise.lexpress.fr
Pays : France
Dynamisme : 32
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Bureau Vallée croît pas à pas
Bruno Peyroles de Bureau Vallée souhaite intégrer les franchisés à la centrale d’achat.
SDP Bureau Vallée
L'enseigne de fournitures est gérée depuis un quart de siècle en "bon père de famille"... ce qui ne l'empêche
pas d'être innovante et performante. C'est le coup de coeur L'Express Franchise 2016 de la pérennité et de
la croissance maîtrisée.
"Lorsque mon père, Bruno Peyroles, a créé son premier magasin d'articles de bureau, il y a trente ans, il
n'a pas songé d'emblée à la franchise", confie Christel Jaffres, 36 ans, directrice générale de Bureau Vallée.
"C'est l'implantation en France d'Office dépôt, un concurrent sur notre clientèle de professionnels - notamment
des TPE -, qui nous a amenés à passer par la franchise, à partir de 1997, afin de nous développer plus vite.
Mais nous sommes allés lentement au début, au gré des rencontres avec les candidats et en nous laissant
le temps de rectifier d'éventuelles erreurs."
Aujourd'hui que le concept est rodé, la cadence est plus élevée, avec 20 à 25 magasins inaugurés chaque
année (pour un total de 270 points de vente, début 2016 - 250 en franchise et 20 succursales -, dont 25 à
l'étranger). Une expansion très sage : "Une enseigne qui ne se développe pas est une enseigne qui meurt,
juge la responsable.
Mais pas question de croître à tout prix ou d'en mettre plein la vue : nous voulons étendre intelligemment notre
réseau." Une illustration ? Au total, 45 % des ouvertures sont le fait de franchisés déjà en place. "Nous leur
laissons la priorité, et le droit de préempter la zone d'exclusivité proche de la leur. Car nous trouvons éthique
de ne pas leur imposer un voisin et concurrent."
Les valeurs de l'enseigne sont "familiales" : "Transparence, honnêteté, écologie priment dans nos critères de
recrutement, et nous refusons les franchisés investisseurs" rappelle Christel Jaffres. L'actionnariat l'est tout
autant. Il est resté très stable depuis trente ans : "Mon père a racheté les parts que possédaient une banque
et certains amis de la famille.
Date : 22/03/2016
Heure : 12:51:31
Journaliste : Myriam Greuter
lentreprise.lexpress.fr
Pays : France
Dynamisme : 32
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Il n'a pas envie d'être coté en Bourse. Il ne veut pas que le réseau perde son âme. À 60 ans, il réfléchit
à la transmission de l'entreprise et souhaite intégrer les franchisés à la centrale d'achat." Par ailleurs, si la
direction de l'enseigne est familiale le frère de Christel Jaffres est directeur pour la Belgique et responsable
du nouveau concept, Beev'up, des espaces de coworking et de services aux professionnels , beaucoup de
franchisés gèrent leur affaire en couple ou avec leurs enfants.
"Très peu de décisions sont prises de façon unilatérale", souligne la directrice générale d'un réseau très à
l'écoute du terrain : "Ce sont les franchisés qui nous ont, par exemple, suggéré de vendre des cartouches
d'encre génériques aujourd'hui notre premier chiffre d'affaires !" Des comités "chefs de file" thématiques
(mobilier, papeterie légère, etc.), regroupant deux à quatre franchisés, travaillent étroitement avec la centrale.
"Notre responsable financier et notre responsable international sont aussi des franchisés." Résultat : sans
tapage mais en planchant sans cesse sur de nouvelles idées de produits et de services, Bureau Vallée peut
se targuer d'une "croissance de 12 % par an". Alors que la concurrence stagne...
Coup de coeur de la pérennité et de la croissance maîtrisée
Récompense un franchiseur mature et pérenne (plus de dix ans d'existence) ayant bien géré l'expansion de
son réseau, avec un actionnariat stabilisé et une bonne gouvernance.
Age d'or Services; Bistrot du Boucher; Bureau Vallée, Columbus Café; Citron Vert; Del Arte; De Neuville; Feu
Vert; La Boucherie; La Croissanterie; Le jardin des fleurs; Meilleurtaux.com; Maison & Services; Orpi; Passion
beauté; Shiva; Solvimo; Speed Burger; Ucar.
Date : 22/03/2016
Heure : 23:06:14
www.flash-infos.com
Pays : France
Dynamisme : 38
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SERVICES : Bureau Vallée s’essaie au co-working
L’enseigne de distribution de fournitures de bureau et d’articles de papeterie BUREAU VALLEE / T :
01.30.07.55.56 (siège aux Clayes sous Bois, CA : 290 M€) annonce l’ouverture dans le courant du mois d’avril
2016 de Beev’Up, nouvel espace de coworking installé au sein de son siège social. Le dirigeant du groupe
ambitionne ensuite de décliner ce modèle dans ses 23 magasins et ses 250 points de vente franchisés.
www.bureau-vallee.fr
Date : 22/03/2016
Heure : 12:23:31
Journaliste : J.M.
www.msn.com
Pays : France
Dynamisme : 1572
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Les espaces de coworking ont le vent en poupe
© Fournis par BFMNews
Plus de 200 espaces de coworking sont aujourd'hui actifs en France, selon les estimations du cabinet
Xerfi. L'essor de ce type de bureau est tel qu'il commence à faire de l'ombre aux centres d'affaires
traditionnels qui réagissent à leur tour.
"L'essor de l'économie numérique a fait voler en éclats la conception traditionnelle de la vie de bureau". Voilà
le constat dressé par le cabinet Xerfi dans une étude sur les centres d'affaires parue le 9 mars dernier. Les
nouveaux entrants sur le marché de l'emploi conçoivent en effet différemment leur lieu de travail.
"Travailleurs nomades et hyperconnectés, les salariés des générations Y et bientôt Z plébiscitent de nouvelles
solutions de travail, coworking en tête", affirme ainsi Xerfi. Cette dernière forme d'espace de travail a, en effet,
connu une importante croissance ces dernières années.
Un nouveau relais de croissance
Selon le cabinet d'études, 200 espaces de coworking étaient ainsi actifs en France début 2016. Or la moitié
d'entre eux n'existaient pas il y a encore deux ans. Ces espaces de travail 2.0 séduisent les entrepreneurs
individuels et les travailleurs indépendants qui "apprécient particulièrement la flexibilité et la convivialité
offerte", souligne le cabinet.
De grands noms commencent d'ailleurs à s'intéresser de près au sujet. La Poste, Bouygues, Nexity, les hôtels
Mercure ou encore Bureau Vallée sont autant de grands groupes à avoir lancé leurs propres structures de
coworking. Les acteurs traditionnels des centres d'affaires prennent eux aussi le pli. C'est le cas de Multiburo
qui a développé son espace Le Spot ou de MCI avec son Smart Work Center.
En surfant sur la vague du coworking, ces entreprises transforment ainsi une menace en une nouvelle
opportunité. Ce alors que la croissance du marché des centres d'affaires n'a été que de 2,5% l'an passé
contre 6,6% en 2012. "Au final, les espaces de coworking s'apparentent plus à un nouveau marché qu'à un
substitut", conclut ainsi Vincent Desruelles, l'auteur de l'étude, cité par les Échos.
Date : 22/03/2016
Heure : 12:24:04
www.observatoiredelafranchise.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
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Réussir son entreprise en franchise : les Coups de coeur de la
franchise
Quand : Le 22 mars 2016 Horaire : De 17h00 à 17h45 Type : Conférences Lieu : Porte de Versailles Agenda :
Ajouter à Outlook
Présentation
Focus sur les réseaux lauréats des coups de coeur de la franchise 2016. Animée par Jacques Gautrand,
l'Express et Samuel Burner, l'Observatoire de la franchise, avec Florence Soubeyran (Banque Populaire) et
les représentants des 5 enseignes lauréates : Bureau Vallée, TErramie, Daniel Moquet Signe Vos Allées, Jeff
de Bruges et Burger King.
Cette conférence se déroulera à l'Ecole de la Franchise.
FLASH INFOS ECONOMIE EDITION
PARIS/CENTRE/ILE DE FRANCE
Date : 23 MARS 16
Pays : France
Périodicité : Quotidien
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78 / SERVICES : Bureau Vallée s'essaie au co-working
L'enseigne de distribution de fournitures de bureau et d'articles de papeterie BUREAU VALLEE / T :
01 30 07 55 56 (siege aux Clayes sous Bois, CA 290 M€) annonce l'ouverture dans le courant du
mois d'avril 2016 de Beev'Up, nouvel espace de coworkmg installe au sem de son siege social Le
dirigeant du groupe ambitionne ensuite de décliner ce modele dans ses 23 magasins et ses 250 points
de wsnte franchises www bureau-vallée fr
Date : 23/03/2016
Heure : 16:46:31
Pays : France
Dynamisme : 51
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270 - C'est le nombre de magasins que compte actuellement
l'enseigne française Bureau Vallée dans l'Hexagone et à l'étranger
Article avec accès abonnés: http://www.businessimmo.com/contents/68654/270-c-est-le-nombre-demagasins-que-compte-actuellement-l-enseigne-francaise-bureau-vallee-dans-l-hexagone-et-a-l-etranger
Date : MARS 16
Page de l'article : p.20
Journaliste : Innocentia Agbe
Pays : France
Périodicité : Mensuel
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actualités
communication
Innocent a AGEE
Patacrêpe ou encore La Compagnie du lit, récemment plusieurs enseignes de franchise ont participé à l'émission
Patron Incognito de Mo. Le but un des dirigeants, grimé sous une nouvelle identité, visite des points de vente pour vérifier
leurs bonnes pratiques sans pouvoir être reconnu Retour sur deux de ces participations Bureau Vallee et le Groupe Moving
TOUCHÉ, RECTIFIÉ
DU SPORT POUR TOUS!
Bureau Vallée:
la directrice générale
au front
Groupe Moving :
challenge pour
le nouveau PDG
Lemission concernant Bureau Vallée, enseigne spécialisée
dans la papeterie et les fournitures de bureau, a ete diffusée le
3 fevrier Cest Christel Jaffres, la directrice generale France, qui
s'est prêtée au jeu
Le 13 janvier, c'était au tour de Philippe Herbette,
alors récemment devenu president directeur general
du Groupe Moving, spécialise dans les salles de sport,
de se prêter au jeu
Christel Jaffres 36 ans est la fille de Bruno Peyroles le fondateur de
Philippe Herbette, 43 ans, s'est plonge en immersion au
Bureau Vallee Apres différents postes au sein de I enseigne, elle est
sem de son reseau en se mettant dans la peau de Jimmy
devenue directrice generale France en 2012 Cest son pere qui a
Delair, 38 ans, ancien vendeur de produits biologiques en
décide de l'envoyer en immersion incognito sur le terrain afin qu'elle
reconversion
aille vérifier la bonne application des fondamentaux
PLUSIEURS RENCONTRES
CHRISTEL EST DEVENUE ANAÏS
ll s'est notamment rendu a Metz pour y être forme au metier
Pour l'émission, elle est devenue Anais Cava lion, 28 ans ancienne
de commercial par Ornela 26 ans, qui occupait cette fonction
commerciale Les salaries pensaient qu'ils deva eni la former pour
depuis moins de deux ans ll est aussi aile a Besançon ou il s'est
peut être intégrer un des magasins de l'enseigne Dans un retour
plonge dans le metier de coach sportif auprès de Juan, 38 ans
diffuse par la marque, Christel Jaffres explique que 'lexperience a
ll a fini son immersion dans le Limousin avec Dominique, un
ete passionnante Humainement parlant; ai ete tres touchée par mes
technicien polyvalent de 48 ans qui s'occupe du menage, de
formateurs d'un jour tres impliques, soucieux de bien me former et
la reparation du materiel sport f ou encore de l'entretien des
partageant fes valeurs de / entreprise J'ai pu également me rendre
locaux
*
compte de certaines difficultés qu'ils peuvent rencontrer au quotidien
et grace a cette experience sur le terrain, je sais qu il y a certaines
choses a améliorer Bonne experience que je recommande sans
hésiter '
*»
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Pays : France
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Sommaire
actualités
16
En bref
Toutes ces petites infos qui agitent
le monde des reseaux a glaner pour
se mettre en appétit i
19
20
Tribune
FRANCHISE EXPO PARIS 2016, UN BON CRU !
Par Sylvie Gaudy, directrice de Division
chez Reed Expositions
Communication
- Bureau Vallee la directrice generale au front
Groupe Moving challenge pour le nouveau PDG
21
Avec plus de 100 enseignes de 25 nationalités
et plus de 2 000 visiteurs internationaux attendus
originaires de 90 pays Franchise Expo Paris est
le salon le plus international au monde
Evénements
- Monceau Fleurs dire 'je t'aime" avec un OR code
Rapid'Flore le double cadeau
Borea un gateau et une box
Babychou Services un cadeau pour les parents
22
Stratégie
- La Mini Boite a Pizza une enseigne pour
les plus petites villes
Point S City un nouveau concept urbain
24
Réseaux
Laforêt lancement d'une formation digitale pour les
franchises
- Era une convention a l'américaine
- Avis-Immobilier conferences et tables rondes
26
Institutionnel
LA FRANCHISE UN MODELE SOLIDE
QUI POURSUIT SA CROISSANCE
Par Chantal Zimmer, déléguée generale de la FFF
28
Conjoncture
Les chiffres qui font le commerce
30
L'interview du mois
Dominique BENOIT, directeur de la franchise
MONOPRIX
"Nousjouons avec notre clientele sur l'appropriation
de la marque"
32
30
La proximite est en
plein boom Les clients
citadins refusent de
perdre deux ou trois
heures pour se rendre
en périphérie Cela nous
avantage car nous avons
toujours ete en centre
mlle" Dominique
Benoit directeur de la
franchise du groupe
Monoprix
Juniors
- Toma Interim • un nouveau venu dans le travail temporaire
- Je vends votre auto com • avis aux passionnes i
34
Agenda
Des salons pour vous accompagner
36
Ils arrivent près de chez vous
Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas '
"i idée est de travailler sur un modele similaire a celui
du consulting souligne Michael Marrel co fondateur
de Toma Interim et son associée Virginie Terres
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Pays : France
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analyse
38
Enquête
LES ÉTAPES POUR CHOISIR SON ENSEIGNE
46
Un réseau à la Une
BOCONCEPT
Quid de la loi Doubin ?
54
Coup d'œil sur...
ORCHESTRA
59
Secteur
BOULANGERIES ET TERMINAUX DE CUISSON
Vers plus de qualite
66
Ouvrir en...
LORRAINE
Un territoire ouvert aux franchises
pour choisir son enseigne
choisir sa franchise
75
76
Se lancer avec
150 DOO à 200 DOO euros
Sur de nombreux points
I enseigne ne respecte pas
la loi Doubin ni certains des
principes fondamentaux de la
franchise En réponse a cette
remarque LarsHovang
le directeur du reseau
BoConcept, avance comme
principaux arguments la
reglementation danoise et
l'envergure internationale
de l'enseigne .
Une journée avec...
Youqhourta Bc'ghout franchise Royal Kids
SO
Une formation à la loupe
ESPACES ATYPIQUES
Un programme en six modules
84
10 étapes
Comment les rejoindre?
Bibovino
- Monceau Fleurs
86
L'interrogatoire
Quelle place pour le franchise auprès de la tête de réseau ?
88
Vos droits
AIDES À LA CRÉATION
Vous pouvez en profiter
premiers pas en franchise
93
De franchises à franchises
"Faire le choix de la raison en matière de rentabilité"
Carole Yver, franchisée Beauty Success
94
LarsHovang le directeur du reseau BoConcept pour le Bénélux le Sud Ouest de
I Europe la France I Espagne le Portugal I Italie et Malte
En pratique
Adapter son offre a la saison, un axe strategique
amorce par le franchiseur
100
Comment je gère?
Je m'installe dans une ville que je ne connais pas
- Il y a des travaux dans ma rue
106
BtoB
- Des projecteurs adaptes aux petits espaces
- Optimisez la productivite des magasins
- Des vitrines animées
108
En Off
Sur le Web, par e-mail ou par voie postale
traditionnelle, écrivez-nous !
111
Carnet d'adresses
56
Abonnez-vous !
Vous avez décide de vous installer dans un lieu inconnu car
il a du potentiel Maîs au moment de vous lancer
concrètement dans I ouverture, vous êtes pris de panique
Ne vous inquiétez pas, il y a des solutions !
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Date : MARS 16
Pays : France
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LES CHIFFRES
DU MOIS
O 53
C est le numero de David Bytheway depuis son transfert dans
son nouveau club de Wotfsburg (club professionnel de football
allemand) Sauf que David Bytheway est un champion britannique
de Fifa et qu'il rejoint I equipe d'e-sport du club
4- 2 milliards
Ce sont les recettes en dollars au box office mondial de Star Wars
- Le Reveil de la Force a mi-février Le film devrait atteindre 10 5
millions d'entrées en France
lr 3 milliards
Cela serait la somme en dollars dépensée dans les contenus en 2015
par Amazon selon le cabinet d'étude americain Wedbush
4* 300 millions
C est le nombre de clients que revendique Amazon a lin 2015 dans le
monde
•
80000
C'est le nombre de nV (en augmentation de 30 %) de la future edition
2016 de la Paris Games Week qui se tiendra du 27 au 31 octobre
•& 3,6 millions
C'est le nombre de 3DS vendues (pour 1,87 million de Wn U) dans le
monde au dernier trimestre 2015, selon Nintendo De son côté, Sony
a annonce avoir vendu 8,4 millions de PS4 sur la même période
^27%
Cela serait la proportion du chiffre d'affaires de la division
Game & Network Services de Sony tire du Playstation Network
+ 60 millions
C'est le nombre de GTA 5 vendus dans le monde au 31 décembre
2015, selon Take 2
•^ 48 millions
Cela serait le nombre d'utilisateurs du Xboxlive selon Microsoft,
soit une croissance de 30 % d une annee sur lautre
+ 51 milliards
Cela serait, selon l'analyste App Annie le chiffre d'affaires brut génère
dans le monde par le marché des apps mobiles (+ 24 %) dans les
apps stores Cela atteindrait 101 milliards de dollars en 2020
• 25 ans
Bureau Vallée fête ses 25 ans L'enseigne compte 260 magasins en
France et a letranger
• 75 millions
Cela serait le nombre d'utilisateurs de Netflix dans le monde début
2016 (selon Netflix)
Date : MARS 16
Pays : France
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CHRISTEL JAFFRES, PATRON INCOGNITO
Le mercredi 3 février sur M6, à 20 h 55, a été diffusée
la quatrième édition de l'émission de téléréalité
« Patron incognito ». Dans le rôle du dirigeant
anonyme, Christel Jaffres, directrice générale
de Bureau Vallée depuis 2012.
Elle s'est présentée chez différents franchises
sous le nom d'Anais Cavaillon, 28 ans, ancienne
commerciale, célibataire et sans enfant, pour
tenter de se faire embaucher. Christel Jaffres s'est
rendue chez le franchise de Besançon, puis chez
celui de Beynost, près de Lyon, pour terminer
au Bureau Vallée des Ulis en région parisienne.
« J'avoue avoir hésité avant d'accepter de réaliser
cette émission, confie-t-elle. Mais cette expérience
s'est révélée très enrichissante pour moi et pour
le groupe. J'ai rencontré des équipes tres motivées
par rapport à l'enseigne, mais aussi très attachées
aux questions liées au développement durable. »
A noter: les franchises connaissaient la véritable
identité d'Ana'is Cavaillon, seuls les salariés
ne la connaissaient pas. Une expérience originale.
A gauche Christel Jahei directrice générale de Bureau Vallee A droite Anais Cavaillon commerciale
Date : MARS 16
Pays : France
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SOMMAIRE
N° 388 MARS 2016
ACTUALITES
À LA UNE^ rileiv e/v de Canne Bcdcl
de Cartndge Vvorld « A/ooi r oui ont' ion*
de alus et plus i/e'i le norcf è B to B
REPORTAGE. Racine Rassoul,
franchise Cartndge world a P a t i ^ s, adapter
pourgagnei en Der ormdiice
ASSOCIATION Herve Pol cm pomme
pres dent d Eugropd
14
CONSOMMABLES. Armor reçoit le label
Relation": foiirnisseu s responsables
15
ENTREPRISES. Dro r du travail des
chan<;emenrs a I honzon
LES DOSSIERS PMP
RENTRÉE DES CLASSES. La Ccd p A b, in erroge
bll le- jratiquesde lApel
Sain Reou è Roy la solution passe
par a différencia ion
Exacompta de la couleur du classique
et du numerique
12
bcnture Un Bill persiste rt signe
24
Innovation Q jo Vadisct sor agenda nahi
25
Pentel enco è plus de couleurs
26
SALON. Papervvord 2016 aj endel vous des
nouveautés
3O
MOBILIER. Ld ie ici jt OT educati /è
de Stoelcase l-nn^e
33
NOUVEAUTES. La b"unque du trois
PRODUITS & MARQUES
34
STRATÉGIE. Interview de Jopl Montigut
dp HPV eli R jhbermaid France
37
FAÇONNÉS. C aiieto iia ne Rhodia
ct la liberté d'entreprendre
38
VAD. Pies ce 65 milliards d euros en 2015
39
IMPRIMANTES. Arr yee de a gamme Ecotank
J Ep^on
40
NOUVEAUTÉS. La bc u icue du mois
PROXIMITE
LIVRES. Le~ Français chois sser ou OLT
le papier
VIE DE LA PROFESSION
ON EN PARLE. S mo i Evans lauréat du prix
Carlson Chnsiel Jaf res ça ron mcogn to
Date : MARS 16
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C1 A regardé
rémission "Patron
Incognito", le 3 février
dernier, dans laquelle
Christel Jaffres,
DG France de Bureau
Vallée, a prêté mam
forte à ses équipes sous
une fausse identité afin
de mieux appréhender
la réalité du terrain.

Revue de presse Mars 2016

Transcription

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