Visualiser - Les Éleveurs de volailles du Québec

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Visualiser - Les Éleveurs de volailles du Québec
Mars 2012 | Vol. 23, No 2
Provoqué
Convention poulet |
la Régie rend sa décision
La Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec a statué le 7 février dernier sur le contenu de
la Convention de mise en marché du poulet. La nouvelle sentence arbitrale tenant lieu de Convention de mise
en marché du poulet corrige certaines lacunes qui ont été identifiées au fil du temps et apporte d’importantes
améliorations pour les éleveurs par rapport à la convention de 2004, notamment :
Réunions
d’information |
2, 4 et 5 avril
2012
•le paiement des meurtrissures et contusions;
•une réduction importante des frais de gestion de la convention pour les ÉVQ;
•l’augmentation des volumes disponibles aux éleveurs pour la mise en marché à la ferme;
•une amélioration de la couverture du bon de garantie, dorénavant basé sur les ententes
plutôt que sur un historique d’achat;
•une hausse de 0,5 % du poids brut payé à l’éleveur par tranche de 200 km de la ferme à l’usine
pour couvrir les pertes de poids.
Les éleveurs de poulet et de dindon sont
invités à participer à l’une des trois réunions
d’information qui auront lieu aux dates et
lieux suivants :
La Convention intègre aussi de nouveaux éléments qui mettent en place des conditions générales d’approvisionnement
des abattoirs qui permettront d’accélérer la croissance de la production dans les prochaines années et de maintenir
et renforcer la position concurrentielle de l’industrie du Québec par rapport aux autres provinces et aux produits
importés. La Convention contient, entre autres, un protocole d’entente avec les éleveurs et les abattoirs de l’Ontario
qui accorde un volume supplémentaire de 700 000 kg par période aux abattoirs du Québec. La Convention exige
par ailleurs que les acheteurs abattent, au Québec, un minimum de 90 % des poulets qu’ils achètent avec leur
VAG, dont au moins 75 % dans leurs propres installations. De plus, la Convention accorde une protection au VAG
des plus petits abattoirs, en plus de leur accorder une croissance prioritaire.
4 avril : Club de golf Montcalm,
Saint-Liguori
Mécanique
La nouvelle Convention maintient l’actuel système de volumes d’approvisionnement garantis (VAG) aux acheteurs
et intègre un protocole d’entente permettant à un abattoir du Québec ou de l’Ontario de signer son VAG
indépendamment avec des éleveurs du Québec ou de l’Ontario. Parallèlement, les éleveurs conservent toujours
leur droit de signer avec l’acheteur de leur choix peu importe la province de celui-ci. Dans une première phase,
l’éleveur signe des ententes d’approvisionnement avec les acheteurs de sa province et signe par la suite, le cas
échéant, la balance de son contingent avec des abattoirs d’une autre province.
Pour faciliter l’opération de ce nouveau calendrier, les ÉVQ publieront 22 semaines avant le début de la période
un pourcentage d’utilisation préliminaire qui établira le contingent approximatif de l’éleveur. Les ententes
d’approvisionnement seront signées sur cette base et ajustées automatiquement par les ÉVQ, à la hausse ou
à la baisse, lorsque le pourcentage réel d’utilisation des quotas sera déterminé, ce qui se fait habituellement
environ 14 semaines avant le début d’une période.
Transition
La nouvelle Convention prendra effet à la période A-113, débutant le 9 septembre 2012. Le calendrier 2012
des périodes A-113 et suivantes sera mis à jour et envoyé à tous les éleveurs en avril. La période A-112 sera donc
la dernière période de l’actuelle convention. Comme les périodes de signature des ententes (au Québec et hors Québec)
sont différentes dans les deux conventions et comme le calendrier des différentes activités (dépôt des locations de
quota et de poulaillers, dépôt des ententes d’approvisionnement, etc.) d’une période n’est pas le même, la transition
entre les périodes A-112 et A-113 nécessitera plus d’attention de la part de tous les intervenants. En attendant
la publication du calendrier 2012 révisé, vous trouverez ci-dessous l’ordre et l’échéance des principales activités
affectant les éleveurs pour les périodes A-112 et A-113 :
suite à la page 10
2 avril : Hôtel des Seigneurs,
Saint-Hyacinthe
5 avril : Centre des congrès et d’expositions, Lévis
Durant ces réunions d’information à caractère
technique, les éleveurs recevront des
explications sur les modalités entourant
la mise en place des enchères dans le poulet
et le dindon, la déclaration assermentée,
la nouvelle Convention de mise en marché
du poulet et les modifications réglementaires.
Les éleveurs recevront au cours des prochaines
semaines tous les détails entourant ces
réunions d’information.
Nous vous attendons en grand nombre !
Mot du président | Jean-Paul Bouchard
« L’innovation relève
des individus et
de leur vision et
non d’un système.
La gestion de l’offre,
soit dit en passant,
répond aux besoins
des consommateurs
mais aussi des
transformateurs
et des éleveurs,
sans aucune aide
de l’État. »
Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir
Le Conseil des chaînes de restaurants du Québec (CCRQ) dit vouloir s’approvisionner de produits adaptés à ses besoins
à prix raisonnable. Cette doléance fait partie des interventions faites par le CCRQ aux audiences de la Commission
de l’agriculture, des pêcheries, de l’énergie et des ressources naturelles (CAPERN). Le CCRQ affirme que les politiques
gouvernementales actuelles pour le poulet et le lait font augmenter les prix, limitent l’innovation et créent
une concurrence déloyale parmi les acheteurs.
L’histoire démontre plutôt le contraire. On n’a qu’à penser au succès des restaurants de type rôtisserie au Québec
ou à la croissance accélérée de la consommation de poulet depuis 40 ans, ce qui en fait la viande la plus
consommée au Canada. Tout cela supporté par la gestion de l’offre.
L’innovation est au cœur du développement à long terme de la filière avicole québécoise. Ainsi, le Conseil pour
le développement de l’agriculture du Québec (CDAQ) finance présentement à concurrence de 308 000 $ un projet
de recherche pour la production à grande échelle de poulets élevés sans antibiotiques. Ce projet a été mis sur pied
par les Éleveurs de volailles du Québec en collaboration avec la filière avicole québécoise et la Faculté de médecine
vétérinaire de l’Université de Montréal. Une première au Canada. Sans la gestion de l’offre, il est probable que
la filière n’aurait pu trouver motif et intérêt à travailler ensemble et en totale synergie sur un projet aussi complexe.
L’innovation découle d’une stratégie d’affaires axée sur le développement. L’innovation relève des individus et de
leur vision et non d’un système. La gestion de l’offre, soit dit en passant, répond aux besoins des consommateurs
mais aussi des transformateurs et des éleveurs, sans aucune aide de l’État.
Le CCRQ souhaite-t-il s’approvisionner de poulet produit ailleurs ? Financement Agricole Canada, par la voix de
monsieur Jean-Philippe Gervais, économiste principal, a affirmé dans le cadre d’une éventuelle participation du
Canada aux pourparlers concernant un nouveau groupe de libre-échange pour la zone Asie-Pacifique (TPP) qu’« en
moyenne, notre marché agricole est le plus ouvert dans le monde ». À ce titre, le Canada est déjà parmi les pays
industrialisés un des principaux importateurs de poulet, avec une population d’à peine 35 millions d’habitants,
et ce, malgré la gestion de l’offre.
Le prix du panier de produits alimentaires a fortement augmenté en 2011 pour de multiples raisons économiques
dont la forte hausse du prix du maïs au niveau mondial. Les produits de boulangerie, les légumes, les fruits, le bœuf,
le porc, le café, le sucre ont tous connu des hausses de prix récemment. Quel système le Conseil des chaînes de
restaurants du Québec va-t-il donc blâmer pour ces hausses ?
Provoqué
Jean-Paul Bouchard, président
Revue publiée par Les Éleveurs de volailles du Québec
555, boul. Roland-Therrien, bureau 250
Longueuil, Québec J4H 4G1
Téléphone : 450 679-0530 Télécopieur : 450 679-5375
Courrier électronique [email protected]
Site internet www.volaillesduquebec.qc.ca
Responsables Christian Dauth, Marylène Jutras
Design graphique McKay+Couture
Impression Imprimerie Sisca International inc.
Dépôt Légal Bibliothèque nationale du Québec, 1991
ISSN 1183-7500
Dans la présente publication, le générique masculin est employé
sans discrimination et uniquement dans le but d’alléger le texte.
Provoqué
Mars 2012
Sommaire | mars 2012
| Actualité.01 Convention poulet ­| Mot du président.02 Pire aveugle que celui qui ne veut pas voir |
Contingentement.03 Moratoire | Poulet.04 Utilisation des antimicrobiens | Provoqué économique.05 à .08 |
ÉQCMA.09 Faits saillants | Dindon.10 Entente de l’Est | Marketing.11 Le Dindon du Québec | Babillard.12
| 02
Contingentement |
Moratoire A-110 et A-111 | Demandes
d’extension refusées
La Régie a rejeté le 7 février dernier les demandes de l’Association des abattoirs avicoles du Québec inc.
de prononcer le moratoire demandé pour les périodes A-110 et A-111. Elle a également rejeté les demandes
des Éleveurs de volailles du Québec d’approuver les modifications demandées à l’article 58.6 du Règlement sur
la production et la mise en marché du Québec.
Dindon | Demande de transferts
de quota
Année 2012-2013 - 29 avril 2012 au 27 avril 2013
Périodes D-65, E-41, F-41 et Z-26
En vertu de l’article 18 du Règlement sur la production et la mise en marché du dindon, la date limite de dépôt
des documents aux Éleveurs de volailles du Québec est le 29 mars 2012.
Ces dates limites ne touchent que les transferts de quota de dindon entre les membres de la famille immédiate.
Rappelons que depuis le 10 février 2010, les transferts de quota de dindon sont suspendus, à l’exception de ceux
effectués entre les membres de la famille immédiate.
Dindon | Location de poulailler
Croissance
différentielle |
Poursuite
des discussions
Les 7 et 8 février dernier, le conseil
d’administration des ÉVQ et celui des Chicken
Farmers of Ontario (CFO) se sont rencontrés
pour discuter de plusieurs dossiers chauds
dont la croissance différentielle.
Les ÉVQ ont réaffirmé leur appui à l’idée que
certaines provinces pourraient bénéficier d’une
allocation dont la croissance serait plus forte
que celle des autres, à la condition qu’elle ne
soit pas basée sur un critère de population
provinciale, car ce critère ne tient pas compte
de la réalité des marchés.
Les ÉVQ se sont aussi montrés en faveur d’une
proposition du comité exécutif des PPC en 2011,
qui tenait compte de l’évolution historique des
parts provinciales. Bien que la proposition ait
été rejetée par les membres des PPC en novembre
dernier, nous continuons de penser qu’elle
représente une base valable de discussion.
De leur côté, les CFO ont entrepris un exercice
de planification stratégique qui prévoit en 2012
un travail sur la croissance différentielle. Au cours
des prochains mois, les CFO consulteront les
autres offices provinciaux dont le Québec afin
de présenter une proposition aux PPC qui devrait,
selon eux, être dans le meilleur intérêt de
l’industrie canadienne.
Date limite pour la signature des formulaires
Parallèlement, les Alberta Chicken Producers
ont déposé pour la période A-111 une demande
de circonstances exceptionnelles en vue
d’augmenter leur allocation de 10 Mkg au cours
des années 2012 à 2018 (environ 35 périodes
d’allocation). Ce volume serait retiré de la
croissance canadienne et attribué à l’Alberta
qui obtiendrait ainsi une croissance de 2 %
plus élevée que l’ensemble des autres provinces.
Cette augmentation de la part de marché de
l’Alberta aurait inévitablement un impact sur
la part de marché des autres provinces dont
le Québec.
Période A-112 - 6 avril 2012
Les PPC évalueront en mars prochain la demande
de l’Alberta et statueront sur cette demande.
Période A-113 - 6 avril 2012 *
Les ÉVQ sont convaincus que l’ensemble des
provinces canadiennes doivent demeurer unies
et solidaires pour trouver une issue raisonnable
à l’enjeu de la croissance différentielle.
Ils travailleront sans relâche avec les autres
provinces et les PPC afin d’élaborer une
proposition qui soit avantageuse pour tous.
En vertu de l’article 69 du même Règlement, les baux de location de poulailler doivent être déposés
au plus tard 30 jours avant la prise d’effet du bail.
Poulet | Demande de transferts
de quota
Ces dates limites ne touchent que les transferts de quota de poulet entre les membres de la famille immédiate.
Rappelons que depuis le 19 janvier 2010, les transferts de quota de poulet sont suspendus, à l’exception de ceux
effectués entre les membres de la famille immédiate.
* La date limite pour le dépôt des demandes de transferts de quota correspondait jusqu’à la période A-112
à - 14 semaines du début de la période. À compter de la période A-113, la date limite pour le dépôt
des demandes de transferts de quota sera modifiée à - 22 semaines du début de la période, soit le 6 avril 2012 pour la période A-113.
03 | Provoqué Mars 2012
Ontario |
Sécurité
des travailleurs
sur les fermes
Nos collègues de l’industrie avicole de
l’Ontario 1 sont venus donner une session
de formation sur les exigences auxquelles
devront se conformer les éleveurs de poulet
ontariens, les transporteurs et les attrapeurs
qui travaillent sur les fermes ontariennes.
À la suite des accidents de travail sur des
fermes ontariennes, l’industrie ontarienne,
en collaboration avec le ministère du Travail
de l’Ontario, a élaboré des lignes directrices
que vous trouverez dans le document intitulé
Broiler Chicken Industry Safe Work Practices
qui traite de la sécurité des travailleurs dans
l’industrie du poulet de l’Ontario.
Audits, certification et pénalité |
Rappel de dates importantes pour
les éleveurs de dindon
Nous vous rappelons que les audits annuels du PSAF (Programme de salubrité des aliments à la ferme) et du PST
(Programme de soin des troupeaux) débuteront à partir du 30 avril 2012, ce qui correspond au début de la période
du calendrier dindon. La première année d’audits annuels aura donc lieu du 30 avril 2012 au 26 avril 2013, selon
votre date anniversaire d’audit initial ou de certification.
La date limite de certification est le 1er décembre 2013. Après cette date, les fermes non certifiées verront
leur quota détenu pénalisé de 5 % par année (période). La pénalité est cumulative, c’est-à-dire qu’elle est de 5 %
la 1re année, de 10 % la 2e année, de 15 % la 3e, etc. Dans les cas où elles s’appliqueraient, les premières pénalités
prendront ainsi effet à compter de la période de production 2014-2015.
Poulet | Étude sur l’utilisation
des antimicrobiens au Canada
À partir de la période A-112 (15 juillet 2012),
les transporteurs et les attrapeurs du Québec
qui se rendent sur des fermes ontariennes
devront répondre aux mêmes exigences que
les transporteurs et les attrapeurs de l’Ontario.
La filière avicole canadienne 1, en collaboration avec la Faculté de médecine vétérinaire, a élaboré une étude sous forme
de sondage sur l’utilisation des antimicrobiens dans l’industrie du poulet. Cette étude s’inscrit dans la démarche de
la filière avicole à élaborer des recommandations sur l’utilisation responsable des antimicrobiens afin de maintenir
l’efficacité des options de traitement en médecine humaine et vétérinaire.
Deux options pour les
remorques des transporteurs
L’objectif de cette étude est d’avoir un portrait des antimicrobiens utilisés dans l’industrie, les raisons et les décisions
qui touchent leur utilisation, de même que de donner une idée des connaissances des éleveurs et des intervenants sur
l’antibiorésistance et le recours responsable aux antimicrobiens. Les résultats de cette étude serviront de guide pour
l’élaboration d’une stratégie sur une utilisation responsable des antimicrobiens dans l’industrie canadienne du poulet.
Afin de prévenir les chutes du toit des remorques
(> 10 pieds), celles-ci devront être équipées soit
d’un système d’ancrage mobile soit d’une remorque
au toit solide qui se soulève. Le système d’ancrage
mobile permet aux travailleurs de s’attacher
à la remorque à l’aide d’un harnais de sécurité
et de marcher sur toute la longueur du toit de
la remorque.
Dans les prochaines semaines, une trentaine d’éleveurs de poulet du Québec seront contactés par les ÉVQ afin de
recueillir des informations sur l’utilisation des antimicrobiens à la ferme. Un échantillon d’intervenants travaillant chez
les couvoiriers et les meuniers ainsi que des vétérinaires aviaires seront également contactés pour compléter cette étude.
Toutes les informations recueillies demeureront confidentielles et seront présentées sous forme de données regroupées.
Si vous êtes contactés, nous vous invitons à participer à cette étude afin de contribuer à cette démarche proactive de
l’industrie qui vise à diminuer le phénomène de l’antibiorésistance.
La remorque au toit solide qui se soulève permet
à l’employé de travailler à partir du sol avec
un éclairage adéquat. Bien que ce système
au toit solide soit plus coûteux, il comporte de
nombreux avantages qui contribuent au bienêtre des travailleurs et des poulets : ceux-ci
sont davantage à l’abri de la pluie et du soleil
et les travailleurs n’ont plus à porter de harnais
de sécurité.
Pour obtenir plus de renseignements sur ce sondage, veuillez communiquer avec Mme Nathalie Robin, agr. aux ÉVQ
au 450 679-0540 poste 8597 ou par courriel à l’adresse [email protected].
1 Les Producteurs de poulet du Canada (PPC), Les Producteurs d’œufs d’incubation du Canada (POIC), la Fédération canadienne des couvoirs (FCC),
le Conseil canadien des transformateurs d’œufs et de volailles (CCTOV) et l’Association de nutrition animale du Canada (ANAC).
Code de pratiques |
Mise à jour en cours
Sécurité lors de l’attrapage
et du chargement
Le Code de pratiques recommandées pour le soin et la manipulation des animaux de ferme est le document canadien
qui résume les lignes directrices sur le soin et la manipulation des poulets, des dindons et des reproducteurs du couvoir
à l’abattage. L’application de ce code est volontaire au Canada. Toutefois, ces lignes directrices sur les bonnes
pratiques d’élevage sont reconnues par les cours de justice canadiennes s’il y avait négligence. Les exigences
des Programmes de soins aux animaux / troupeaux (PSA et PST) des ÉVQ sont basées sur ce Code de pratiques.
Depuis le 1er janvier 2011, les éleveurs de
l’Ontario doivent avoir des plateformes
extérieures munies de rampes latérales aux
portes de chargement du 2e étage de leurs
poulaillers. Il est aussi possible de travailler
avec un système portatif, c’est-à-dire que si
le chargement se fait avec trois portes ouvertes
en même temps, il doit y avoir trois plateformes
portatives munies de rampes sur le site.
Les plateformes ne sont pas acceptées pour
les portes de chargement du 3e étage.
Le Code de pratiques est en cours de révision. Parmi les sujets prioritaires chez le poulet et le dindon, une revue
de littérature sur la densité d’élevage et une sur la qualité de l’air font actuellement l’objet d’une mise à jour par
le comité de révision scientifique du Code. Nos demandes aux Producteurs de poulet du Canada (PPC) seront étudiées
par ce comité : réviser à la hausse la recommandation actuelle du 31 kg/m2 et ajouter une catégorie pour la densité
maximale des « gros coqs » qui serait supérieure à 38 kg/m2. Vers la fin de l’année, ce comité déposera un rapport
au comité de développement du Code, formé de représentants de l’industrie dont les ÉVQ, les PPC et les ÉDC
(Éleveurs de dindon du Canada), qui élaborera une ébauche du nouveau Code. Nous pourrons, une fois de plus,
faire nos commentaires et suggestions. Par la suite, le comité de développement du Code fera une mise à jour du
Code qui sera basée sur les résultats de la science et sur les considérations pratiques de l’élevage de la volaille.
suite à la page 10
Nous vous rappelons que les exigences sur la densité d’élevage du poulet sont fortement recommandées (FR)
jusqu’en décembre 2013, ce qui veut dire qu’une ferme peut être certifiée PSA même si elle n’applique pas
les exigences liées à la densité d’élevage (chapitre 3 du manuel PSA). Nous vous informerons des développements
à venir dans ce dossier d’actualité.
1 Les Chicken Farmers of Ontario, l’Association of Ontario
Chicken Processors, l’Ontario Hatcheries Association, l’Ontario
Independent Poultry Processors, le Poultry Service Association
et le Workplace Safety & Prevention Services.
Provoqué
Mars 2012
| 04
Service des affaires économiques et des programmes
Mars 2012 | Vol. 23, No 2
Provoqué
économique
Performance domestique de la production | Québec
Sommaire
du marché
(Poids éviscéré)
Période
Allocation
Production
Du 2 janvier au 26 février 2011
Du 27 février au 23 avril 2011
Du 24 avril au 18 juin 2011
Du 19 juin au 13 août 2011
Du 14 août au 8 octobre 2011
Du 9 octobre au 3 décembre 2011
Du 4 décembre 2011 au 28 janvier 2012
A-102
A-103
A-104
A-105
A-106
A-107
A-108
40 655 060
40 677 902
42 359 514
41 460 394
39 714 972
38 538 763
40 689 229
40 964 919
42 555 407
41 072 367
39 832 620
38 938 865
34 169
287 017
195 894
-388 027
117 648
400 101
100,1 %
100,7 %
100,5 %
99,1 %
100,3 %
101,0 %
A-102 à A-108
243 406 605
244 053 407
646 802
100,3 %
Du 2 janvier 2011 au 28 janvier 2012
Différence Performance
La performance domestique réalisée par le Québec de A-102 à A-107 a atteint 100,3 %.
Les inventaires canadiens de poulet au 1er janvier
2012 s’établissaient à 31,8 Mkg, en baisse de 8 %
par rapport au 1er janvier 2012. La production
de poulet aux États-Unis a présenté une croissance
de 0,9 % en 2011 comparativement à 2010.
Évolution de l’offre de poulets au Canada
Les inventaires canadiens de dindon au 1er janvier
2012 étaient évalués à 10,2 Mkg, en baisse
de 15 % par rapport à l’an dernier à la même date.
La production de dindon aux États-Unis a affiché
une hausse de 2,7 % en 2011 par rapport à 2010.
Le prix de gros du poulet aux États-Unis a présenté
une baisse de 5 % en 2011 comparativement à
2010, en dollars US. Quant au prix de gros du
dindon, celui-ci a affiché une hausse de 13 % en
2011 par rapport à 2010, toujours en dollars US.
Mois
Stocks
d'ouv.
Janv-10
Fév-10
Mars-10
Avr-10
Mai-10
Juin-10
Juil-10
Août-10
Sept-10
Oct-10
Nov-10
Déc-10
Total
37,33
35,59
35,48
35,51
34,81
33,13
33,43
33,81
33,37
32,63
34,74
33,85
Production
Importation
Expor- Stocks Consom.
tation de ferm.
86,99 11,48 11,21
77,77 10,20 12,43
85,77 14,23 14,31
86,08 11,22 11,51
88,27 12,39
9,76
86,62 15,09 11,37
88,53 11,89
9,22
86,56 13,10 12,13
83,29 17,47 12,53
87,18 14,47 13,74
85,38 14,77 12,98
79,22 15,69 11,83
1021,66 162,01 143,02
35,59
35,48
35,51
34,81
33,13
33,43
33,81
33,37
32,63
34,74
33,85
34,69
89,00
75,64
85,66
86,49
92,58
90,06
90,80
87,98
88,98
85,78
88,06
82,24
1043,28
Mois
Stocks
d'ouv.
Janv-11
Fév-11
Mars-11
Avr-11
Mai-11
Juin-11
Juil-11
Août-11
Sept-11
Oct-11
Nov-11
Déc-11
Total
34,69
34,07
35,63
38,25
39,85
38,67
39,99
38,62
37,05
35,44
31,80
31,39
Production
(en millions de kg)
Importation
Expor- Stocks Consom.
tation de ferm.
87,95 14,49 12,04
78,47 13,53 10,40
88,93 17,06 10,88
85,04 12,23 10,42
90,38 12,17 10,70
87,89 16,67 12,20
88,72 13,95 11,30
87,73 13,23 10,99
81,75 15,45 14,92
85,84 11,95 10,72
81,74 11,92
8,71
78,31 15,30 10,30
1022,75 167,94 133,57
34,07
35,63
38,25
39,85
38,67
39,99
38,62
37,05
35,44
31,80
31,39
31,82
91,02
80,03
92,50
85,25
93,03
91,05
92,74
91,53
83,90
90,71
85,36
82,87
1060,00
Sources : Les données production et exportations (É.-U.) : PPC. Les données sur les stocks, importations et exportations : AAC.
Au Québec, le prix du maïs s’est établi à 278 $/tonne
en janvier, soit 18 $/tonne de plus qu’en décembre,
alors que le prix du tourteau de soya augmentait
de 13 $ la tonne pour s’arrêter à 362 $/tonne.
La production canadienne a totalisé 1 023 Mkg en 2011, ce qui correspond à une hausse de 0,1 % sur la production réalisée
en 2010. Les importations totales ont affiché une hausse de 3,7 % alors que les exportations diminuaient de 6,6 %,
toujours par rapport à 2010. La consommation domestique a ainsi présenté une croissance de 1,6 % alors qu’elle est
passée de1 043,3 Mkg en 2010 à 1 060,0 Mkg en 2011.
Toutefois, selon nos calculs ajustés (excluant l’import pour réexport), la consommation a présenté une hausse de 0,9 %
en 2011 par rapport à 2010.
Performance globale
Québec, Ontario et Canada
104
102
100
98
Québec : La performance globale (mesurée sur l’allocation totale)
obtenue de A-102 à A-107 a atteint 100,2 %.
Ontario : La performance globale obtenue de A-102 à A-107
a atteint 100,6 %.
Canada : La performance globale de l’ensemble des provinces
obtenue de A-102 à A-107 a atteint 100,3 %.
96
A-102
A-103
A-104
A-105
A-106
A-107
A-108
Québec (domestique)
Ontario (globale)
05 | Provoqué économique Mars 2012
Québec (globale)
Canada (globale)
Indices des prix
118
114
En décembre 2011, l’indice des prix de gros du poulet a été de 103,0, soit en légère baisse de 0,1 % par rapport à
novembre 2011 et en hausse de 0,5 % par rapport à décembre 2010. De son côté, l’indice des prix de gros du
dindon s’est établi à 115,1 en décembre 2011, en baisse de 1,7 % par rapport à novembre 2011, mais en hausse
de 7,1 % comparativement à décembre 2010. L’indice des prix de gros de l’ensemble des viandes a, quant à lui,
baissé de 0,1 % en décembre comparativement à novembre, pour s’établir à 108,6. Par rapport à décembre 2010
cependant, l’indice a progressé de 2,8 %. Source : Statistique Canada, Indice des prix des produits industriels.
145
Dindon
110
Viande,
poisson et lait
106
102
Poulet
98
94
90
déc 08
Indice des prix de détail
140
130
125
Boeuf
120
115
Porc
110
105
déc 08
déc 09
déc10
déc 09
déc 10
déc 11
En ce qui concerne les prix de détail, l’indice des prix à la consommation du poulet a présenté une légère
hausse de 0,4 % en décembre 2011 comparativement à novembre 2011. L’indice s’est donc établi à 140,3
en décembre 2011, en hausse de 2,6 % par rapport à décembre 2010. Le prix du porc a, pour sa part, présenté
une baisse de 1,4 % comparativement à novembre 2011 pour s’établir à 114,5. Cela représente toutefois une
hausse de plus de 5,6 % par rapport à décembre 2010. De son côté, le prix de détail de la viande de bœuf a
atteint 130,4 en décembre 2011, une augmentation de 1,6 % par rapport à novembre 2011 et une hausse
de 8,1 % comparativement à décembre 2010.
Poulet
135
100
Indice des prix de gros
déc 11
Source : Statistique Canada, Indice des prix à la consommation.
Inventaires de
poulet
Par catégorie
1er janvier (millions de kg)
QUÉBEC Au Québec, les inventaires totaux de
poulet étaient de 10,2 Mkg au 1er janvier 2012,
soit 2 % de plus qu’au 1er janvier 2011. Une hausse
a été constatée dans toutes les catégories, sauf dans
le Poulet de moins de 2 kg. Les inventaires québécois
au 1er janvier 2012 représentaient 32,2 % des
inventaires canadiens.
ONTARIO Les inventaires de poulet étaient de
13,2 Mkg en Ontario au 1er janvier 2012, en baisse
de 9,8 % par rapport à l’an dernier. Les inventaires
ont baissé dans les Morceaux et le Poulet de moins
de 2 kg alors qu’ils ont augmenté dans les autres
catégories. Au 1er janvier 2012, les inventaires
de l’Ontario représentaient 41,5 % de l’ensemble
des inventaires canadiens.
CANADA
2012 étaient évalués à 31,8 Mkg. Cela représente
une baisse de 8,2 % sur leur niveau de l’an dernier
à la même date. Une baisse a été constatée dans
les catégories Poulet de 2 kg et plus, Morceaux
et Surtransformé alors que le Poulet de moins
de 2 kg et le Divers ont affiché une hausse.
À 25,7 Mkg au 1er janvier 2012, les inventaires
domestiques canadiens (excluant les cuisses et
le divers) étaient en dessous de la fourchette cible
des Producteurs de poulet du Canada (PPC) pour
cette date.
Québec
Poulet
<2 kg
>=2 kg
Morceaux
Surtrans.
Divers
2011
2012
0,16
0,04
4,61
4,31
0,92
0,13
0,08
4,73
4,33
0,98
Total
10,04
10,24
Ontario
2011
2012
-18 %
76 %
3%
0%
7%
0,04
0,02
5,16
9,15
0,28
0,03
0,29
3,03
9,25
0,60
1,99 %
14,64
13,20
Canada
2011
2012
-31 %
1776 %
-41 %
1%
116 %
0,44
0,85
15,33
15,97
2,11
0,65
0,47
12,50
15,68
2,54
47 %
-44 %
-18 %
-2 %
21 %
-9,83 %
34,69
31,84
-8,21 %
Source : Agriculture et Agroalimentaire Canada
44
42
2011
40
millions de kg
Les inventaires canadiens au 1er janvier
38
36
07-11
34
32
2012
30
28
janv
fév
mars
avr
mai
juin
juil
août
sept
oct
nov
déc
07-11
34,83
34,06
35,21
36,72
37,29
35,63
36,22
35,26
34,97
34,35
34,94
34,79
2011
34,69
33,59
35,63
38,26
39,86
38,67
39,97
38,69
37,16
35,45
32,43
31,39
2012
31,84
Provoqué
économique
Provoqué économique Mars 2012
| 06
Valeur du Real en $CDN
Valeur de l’euro en $CDN
Valeur du $ US en $CDN
1,8
Taux de change
1,6
En $CDN
1,4
1,2
1,0
0,8
0,6
0,4
0,2
0,0
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011 12
Le dollar canadien s’est apprécié en janvier comparativement au dollar américain. Entre décembre et janvier 2011, le dollar canadien a gagné 1 % de sa valeur,
s’établissant ainsi à 0,99 $US. La devise canadienne s’est cependant dépréciée de 1,9 % depuis janvier 2010, alors qu’elle valait 1,01 $US. Le dollar américain valait donc
1,01 $CDN en janvier. Le dollar canadien s’est apprécié de 3,1 % par rapport à l’euro en janvier comparativement à décembre. Le dollar canadien valait donc 0,77 euro en
janvier 2011. Par rapport au real brésilien, la devise canadienne s’est dépréciée de 1,9 %, toujours entre décembre et janvier, pour s’arrêter à 1,76 real. Le dollar canadien
s’est ainsi apprécié de 4,4 % par rapport au real depuis janvier 2010. Comme l’indique le graphique, toujours en janvier 2011, le real valait 0,57 $CDN et l’euro, 1,31 $CDN.
Source : Banque du Canada
Inventaires de
dindon
Par catégorie
1er janvier (millions de kg)
QUÉBEC Au 1er janvier 2012, les inventaires
de dindon au Québec étaient évalués à 2,8 Mkg,
ce qui est 20,6 % moins élevé que ceux
du 1er janvier 2011. Une baisse marquée a été
enregistrée dans les catégories Dindon de plus
de 9 kg, Dindon de moins de 5 kg et Autres.
Une hausse a cependant été constatée dans le
Dindon entre 5 et 9 kg et Divers. Les inventaires
québécois au 1er janvier 2012 représentaient
27 % des inventaires canadiens.
Québec
Dindon
<5 kg
5 à 9 kg
>9 kg
Autres
Divers
2011
2012
0,57
0,61
0,97
1,12
0,21
0,34
1,18
0,35
0,64
0,24
Total
3,47
2,76
Ontario
Canada
2011
2012
2011
-39,5 %
93,1 %
-63,5 %
-43,0 %
17,8 %
0,98
0,71
0,42
2,85
0,16
0,61
0,90
0,34
1,93
0,21
-37,8 %
27,3 %
-20,5 %
-32,1 %
36,9 %
2012
1,76
1,88
1,89
5,70
0,74
1,35
3,37
1,12
3,56
0,74
-22,9 %
79,3 %
-40,6 %
-37,5 %
0,1 %
-20,6 %
5,12
3,99
-21,9 % 11,96
10,15
-15,2 %
Source : Agriculture et Agroalimentaire Canada
CANADA Au 1er janvier 2012, les inventaires
canadiens de dindon étaient évalués à 10,2 Mkg,
soit en baisse de 15 % par rapport à l’an dernier
à la même date. Une baisse est survenue dans
les catégories Dindon de plus de 9 kg, Dindon de
moins de 5 kg et Autres. Les inventaires de Dindon
de moins de 5 kg et de Divers ont pour leur part
affiché une hausse. Les inventaires au 1er janvier
2012 étaient 6 Mkg en dessous de la moyenne des
cinq dernières années à la même date.
45
40
07-11
35
millions de kg
ONTARIO Les inventaires de dindon étaient
évalués à 4 Mkg en Ontario au 1er janvier 2012,
ce qui représente une baisse de 22 % par rapport
au 1er janvier 2011. Les inventaires ont également
diminué dans les catégories Dindon de plus
de 9 kg, Dindon de moins de 5 kg et Autres alors
qu’ils ont augmenté dans les catégories Dindon
entre 5 et 9 kg et Divers. Au 1er janvier 2012,
les inventaires de l’Ontario représentaient 39 %
de l’ensemble des inventaires canadiens.
30
2011
25
20
15
10
5
2010
janv
fév
mars
avr
mai
juin
juil
août
sept
oct
nov
déc
07-11
16,14
19,16
21,01
20,66
23,46
27,39
32,57
37,04
41,05
34,55
34,18
28,93
2011
11,96
15,27
17,80
18,92
18,42
24,20
30,24
34,17
36,14
27,44
27,15
22,91
2012
10,15
07 | Provoqué économique Mars 2012
Aperçu du marché des viandes
Aperçu
du marché
des grains
Prix de vente du maïs dans les centres régionaux du Québec ($/tonne)
360
340
320
10-11
300
Le prix du maïs dans les centres régionaux a
280
présenté une hausse de 18 $ en janvier par
260
rapport à décembre pour s’établir à 278 $/tonne.
Le prix du maïs était de 255 $/tonne en janvier
240
l’année précédente. Le prix de janvier cette
220
année était donc en hausse de 9 % par rapport
200
à janvier 2011. Comparativement au prix moyen
des cinq dernières années à la même date, le prix
180
du maïs en janvier a été 63 $/tonne plus élevé,
160
ce qui correspond à un écart de 29 %. Quant
oct
au prix du tourteau de soya, celui-ci s’est établi
à 362 $/tonne en janvier comparativement
06-11
188 $
à 349 $/tonne en décembre et à 449 $/tonne
10-11
225 $
en janvier 2011. Par rapport à la moyenne des
cinq dernières années de 394 $/tonne en janvier, 11-12 298 $
le prix affichait une hausse de 8 %.
Source : FPCCQ
Le USDA a publié en février une mise à jour
de ses prévisions d’offre et demande de grains
aux États-Unis. Dans cette mise à jour,
très peu de changements ont été apportés.
En ce qui concerne le maïs, le USDA a relevé
sa prévision d’exportation, ce qui a affecté
sa prévision d’inventaires de fin de campagne
2011-2012. La prévision d’inventaires est
donc passée de 846 millions de boisseaux
à 801 millions de boisseaux, ce qui correspond
à un ratio stocks/utilisation de 6,3 % comparativement à un ratio de 8,6 % en 2010-2011 et
de 13,1 % en 2009-2010. Du côté du soya,
le USDA a maintenu exactement les mêmes
prévisions d’offre et demande qu’en janvier.
Les stocks de fin de campagne 2011-2012
représenteraient 9,1 % de l’utilisation
comparativement à 6,5 % en 2010-2011 et
à 4,5 % en 2009-2010. Le USDA a maintenu
ses prévisions de prix moyens inchangées
tant pour le maïs que pour le soya, tout en
resserrant quelque peu sa fourchette de
prévisions dans chacun des cas.
11-12
06-11
nov
déc
janv
fév
mars
avr
mai
juin
juil
août
sept
192 $
200 $
215 $
220 $
213 $
220 $
224 $
234 $
219 $
219 $
226 $
220 $
230 $
255 $
267 $
271 $
299 $
302 $
319 $
302 $
329 $
326 $
284 $
260 $
278 $
mai
juin
juil
août
sept
Prix du tourteau de soya à Montréal ($/tonne)
520
480
440
10-11
400
360
320
280
06-11
11-12
oct
nov
déc
janv
fév
mars
avr
06-11
358 $
368 $
383 $
394 $
395 $
394 $
378 $
383 $
412 $
417 $
412 $
415 $
10-11
408 $
419 $
433 $
449 $
431 $
406 $
402 $
401 $
417 $
422 $
418 $
422 $
409 $
375 $
349 $
362 $
11-12
Source : FPCCQ
Provoqué
économique
Provoqué économique Mars 2012
| 08
Ordre national du mérite agricole |
Date limite d’inscription : 1er mai
Les éleveurs de volailles des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches sont invités à participer
au 123e concours de l’Ordre national du mérite agricole. La période d’inscription prend fin le 1er mai 2012.
Pour vous inscrire, communiquez avec votre direction régionale ou avec l’un des centres régionaux du MAPAQ.
Durant l’été, une équipe de juges nommés par le MAPAQ se présentera sur les lieux mêmes des entreprises agricoles
participantes afin d’évaluer divers aspects dont la gestion de l’entreprise, l’application de bonnes pratiques
agroenvironnementales et l’engagement des agriculteurs dans leur communauté. Le concours représente aussi
une occasion pour les candidats de soumettre leur travail à une équipe d’experts afin d’en tirer un portrait clair.
Les noms des lauréats régionaux et nationaux seront dévoilés lors du gala régional qui se tiendra au Centre
des congrès de Lévis le 20 septembre prochain. Les lauréats nationaux seront décorés lors d’une cérémonie
qui se déroulera dans la salle du Conseil législatif de l’hôtel du Parlement à Québec.
Pour tout renseignement sur le concours, visitez le site : www.mapaq.gouv.qc.ca/onma.
Source: MAPAQ
ÉQCMA | Faits saillants de l’AGA
L’équipe québécoise de contrôle des maladies avicoles a tenu sa 4e assemblée
générale annuelle le 9 février dernier à Drummondville.
Au cours de l’année 2011, la biosécurité a occupé une place importante dans
les travaux de l’ÉQCMA. La dernière année aura permis l’élargissement de son
mandat pour intervenir dans les éclosions de deux maladies infectieuses à incidence
économique : la laryngotrachéite infectieuse (LTI) et la mycoplasmose à Mycoplasma gallisepticum (MG).
Aussi, des formations concernant les conducteurs de véhicules de service et les assistants aux producteurs
ont été complétées en 2011.
Entrepris en 2009, l’ÉQCMA a poursuivi ses échanges avec l’industrie avicole de l’Ontario sur les mesures d’urgence
et ses initiatives en biosécurité et en santé avicole. Les représentants du FBCC (Feather Board Command Center),
l’ÉQCMA, les ÉVQ et la FPOCQ ont convenu de travailler ensemble au cours de la prochaine année à un processus
d’échange d’information lors de cas de maladies à déclaration obligatoire, de LTI ou de MG afin de minimiser
la possibilité de transmettre ces maladies d’une province à l’autre et mieux collaborer dans les activités de
contrôle de toute éclosion d’une de ces maladies.
Pour l’année 2012, l’ÉQCMA a prévu des formations pour familiariser les producteurs et les autres intervenants
du secteur avicole avec les mesures de biosécurité à mettre en application en tout temps et en situation de crise sanitaire.
L’ÉQCMA prévoit également le développement et la mise en ligne d’un site Internet comme outil de communication
et de formation en biosécurité pour la filière avicole québécoise, la création d’un outil de géopositionnement
des fermes et du matériel éducatif pour les éleveurs de basse-cour. De la formation pour les équipes d’attrapeurs
d’oiseaux fera aussi partie du plan global de formation en biosécurité.
Comité exécutif de l’ÉQCMA 2012-2013
Le comité exécutif 2012-2013 est composé des personnes suivantes :
•Président : M. Paulin Bouchard, président de la Fédération des producteurs d’œufs de consommation du Québec;
•1er vice-président : M. Yvan Lacroix, président-directeur général de l’Association québécoise des industries
de nutrition animale et céréalière;
•2e vice-président : M. Yvan Brodeur, président par intérim de l’Association des abattoirs avicoles du Québec.
Recherche |
Maladies
infectieuses
aviaires
Lors de la réunion du conseil d’administration
des ÉVQ du 20 décembre dernier, le Dr JeanPierre Vaillancourt et la Dre Josée Harel ont fait
une présentation sur le centre de recherche en
infectiologie porcine (CRIP).
Le CRIP a été fondé le 1er avril 2006 et regroupe
35 chercheurs (22 membres réguliers et 13 membres
associés) provenant de sept universités, de trois
institutions gouvernementales et de trois
institutions privées.
La mission du CRIP est de contribuer activement
à la lutte contre les maladies infectieuses
porcines par une approche multidisciplinaire
qui intègre un fait de constatation récente,
que les infections rencontrées sur le terrain
sont de plus en plus souvent de nature mixte,
impliquant les interactions conjointes,
simultanées ou consécutives, de divers
pathogènes.
Les deux spécialistes ont expliqué les programmes
scientifiques de recherches, les retombées,
les tests diagnostiques effectués et les résultats.
Le CRIP est en expansion et a une expertise
internationale reconnue en infectiologie
comparée. Il désire élargir sa mission à
un 2e secteur de production animale : avicole.
Plusieurs chercheurs du CRIP mènent déjà des
projets en santé avicole. Les projets en cours
sont Vaccin contre Salmonella chez le poulet et
Vaccin contre Colibacilloses aviaires. Ces projets
sont menés en collaboration avec la Chaire de
recherche en salubrité des viandes, la Chaire
de recherche avicole, la Chaire de recherche
et d’excellence du Canada, le Service de
diagnostic et Prevtec microbia inc.
De l’avis des spécialistes, le CRIP pourrait
développer des projets à risque, organiser
des conférences ou tables rondes entre
les chercheurs et les intervenants du secteur,
créer de nouveaux outils diagnostiques,
des nouveaux vaccins, des protocoles en
biosécurité, fournir une expertise en santé
animale et promouvoir l’importance de
la santé animale en santé publique.
09 | Provoqué Mars 2012
suite de la page 1
Convention poulet | la Régie rend sa décision
Activités d’une période
Dates limites des activités
Pour la période A-112
Délais
Date
Dépôt des locations et des ententes pour le commerce avec les abattoirs hors Québec
-17 sem.
16 mars 2012
Dépôt des locations et des ententes pour les producteurs < 200 m2
-17 sem.
16 mars 2012
Émission du % d’utilisation et envoi du guide préliminaire
+ ou - 14 sem. 23 mars 2012
Dépôt des demandes de transfert de quota
-14 sem.
6 avril 2012
Émission d’un % d’utilisation préliminaire et envoi d’un guide préliminaire
Dépôt des locations et des ententes domestique et d’expansion 3 sem. après % 13 avril 2012
avec les acheteurs du Québec
2
Dépôt des demandes des producteurs-acheteurs > 200 m Dépôt des locations (définitives) de quotas et de poulaillers, demandes d’exemption
à l’article 5 et demandes des producteurs < 200 m2
Dépôt des ententes domestiques (incluant approvisionnements exceptionnels) et d’expansion conclues avec les acheteurs du Québec
Émission du % d’utilisation
ÉVQ calculent le C.I. réel de chaque producteur et ajustent automatiquement chacune de ses ententes
d’approvisionnement (sauf approv. except), et traitent les ententes pour approbation.
Envoi du guide de production domestique et d’expansion
-2 sem.
29 juin 2012
Dépôt des ententes pour le commerce avec les abattoirs hors Québec
Envoi d’un guide corrigé domestique et expansion si différent du guide de production
suite de la page 4
Ontario |
Sécurité
des travailleurs
sur les fermes
C’est plutôt un trou muni de rampes de sécurité
dans le plancher entre le 2e et le 3e étage et
les poulets sont chargés par les portes de
chargement du 2e étage. Le travailleur qui
reçoit les poulets au 2e étage est debout sur
un échafaud antidérapant (approuvé par
les Normes CSA Canadian Standards Association)
qui est fourni par l’éleveur. Un échafaud fourni
par les attrapeurs est aussi requis pour
le chargement des poulets au niveau du sol
pour ne pas que les travailleurs montent
sur des cageots.
Les représentants de l’industrie avicole
du Québec dont les associations d’abattoirs,
les transporteurs, les attrapeurs et les ÉVQ ont
apprécié la qualité des informations présentées
par nos collègues ontariens. Le document de
référence intitulé Broiler Chicken Industry Safe
Work Practices est disponible sur le site Internet
des Chicken Farmers of Ontario à l’adresse
www.ontariochicken.ca. Sur ce site, cliquez
sur Farmer Resources en bas à gauche de
l’écran et vous pouvez alors télécharger
ce document. Les entreprises qui se rendent
en Ontario pour l’attrapage et le transport des
poulets ont ainsi les outils pour se conformer
aux exigences ontariennes.
Pour la période A-113
Délais
Date
-22 sem.
-22 sem.
6 avril 2012
6 avril 2012
-20 sem.
-17 sem.
20 avril 2012
11 mai 2012
-17 sem.
11 mai 2012
+ ou - 14 sem.
-13 sem.
1 juin 2012
8 juin 2012
-13 sem.
-11 sem.
-2 sem.
8 juin 2012
22 juin 2012
24 août 2012
Entente de l’Est | Une nouvelle
entente régionale dans le dindon
La politique d’allocation des Éleveurs de dindon du Canada permet aux provinces de demander des volumes
additionnels par l’entremise des allocations de surtransformation supplémentaire. Ces volumes sont demandés
par les abattoirs et sont traités au niveau régional, soit l’est et l’ouest du Canada.
Une entente entre les provinces de la région de l’Est (Ontario, Québec, Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse)
s’est conclue le 27 janvier dernier sur la répartition des allocations de surtransformation supplémentaire.
Voici les principaux éléments de l’entente.
• Toute augmentation de l’allocation de dindon pour surtransformation de la région de l’Est est distribuée
aux provinces de la façon suivante :
- la province qui fait une demande supplémentaire pour du produit de surtransformation reçoit 75 %
de cette demande alors que le 25 % restant est attribué à l’autre province;
- une portion est prévue pour le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse.
• Cette formule sera utilisée jusqu’à des demandes totales de 5 Mkg dans la région de l’Est. La répartition au-delà
du 5 Mkg se fera comme suit :
- la province qui demande le produit additionnel reçoit 60 % et l’autre province reçoit 40 %;
- une portion est prévue pour le Nouveau-Brunswick et la Nouvelle-Écosse.
• La région de l’Est convient de se rencontrer et de discuter de la présente entente une fois le maximum régional
de 5 Mkg atteint.
• La présente entente prend effet à la période réglementaire 2012-2013.
La conclusion d’une entente de l’Est constitue la première étape en ce qui concerne les demandes des ÉVQ dans le dossier
de la politique d’allocation des Éleveurs de dindon du Canada. Cette entente permettra vraisemblablement aux éleveurs
de dindon du Québec de maintenir et peut-être même d’accroître leur part de marché dans la région de l’Est.
Outil | Connaissez-vous
SAgE pesticides ?
Vous êtes éleveurs de poulet ou de dindon et vous êtes producteurs de grandes cultures ? Si oui, vous serez heureux
d’apprendre qu’un outil d’information sur les risques pour la santé et l’environnement ainsi que sur les usages
agricoles pour une gestion rationnelle et sécuritaire des pesticides au Québec est maintenant disponible.
Simple et gratuit, SAgE pesticides est une base de données complète où sont répertoriés les traitements
phytosanitaires pour une culture donnée.
Cette base de données permet aux producteurs et conseillers agricoles de faire un choix éclairé parmi les produits
de protection des cultures homologués et ce, grâce à une meilleure connaissance :
•de leur toxicité potentielle pour la santé;
•de leurs effets potentiels sur les organismes non ciblés et l’environnement;
•de leur mode d’action, et de leur compatibilité avec les programmes de lutte intégrée.
Provoqué
Mars 2012
| 10
suite à la page 12
Le poulet, toujours
aussi populaire
Alors que les consommateurs ont tendance à déclarer manger autant
sinon plus de poulet maintenant que l’an dernier, une proportion
importante des consommateurs déclare consommer moins de bœuf
aujourd’hui que l’an dernier. Tel est le constat de Léger Marketing
à la suite d’une étude menée en 2011 auprès de 2 500 Canadiens.
Par ailleurs, la fréquence mensuelle de consommation du poulet
est de 8,9 occasions alors qu’elle n’est que de 6,6 pour le bœuf,
de 4,3 pour le porc et de 4,1 pour le poisson.
Source: Léger Marketing 2011
Marketing | Le Dindon du Québec
fier commanditaire...
Salon Je t’aime en chocolat
Quelque 12 000 visiteurs ont pu déguster des bouchées de dindon au kiosque
de Barry Callebault dans le cadre du salon Je t’aime en chocolat qui se tenait
au Marché Bonsecours les 11 et 12 février dernier.
La Maison du Père de Montréal
Le dindon commanditait un souper-bénéfice organisé par la Maison du Père le 22 février dernier. Environ 350
convives ont participé à cet événement organisé par l’Association du Jeune Barreau de Montréal.
La Nuit blanche à l’Espace La Fontaine : une nouvelle expérience !
Le dindon a été la vedette d’un BBQ offert aux festivaliers le 25 février dernier dans le cadre de la Nuit blanche
au festival Montréal en lumière.
Snowboard Jamboree 2012
Le dindon était offert dans l’aire des partenaires au centre-ville de Québec ainsi que dans l’aire VIP de la station
de ski Stoneham lors du Snowboard Jamboree et de la Coupe du Monde de Snowboard 2012 qui se tenait
du 20 au 26 février.
Gala Révélation Affaires 2012
Le dindon sera aussi offert au souper du Gala Révélation Affaires 2012, de la Chambre de commerce
Les Maskoutains en mars.
Un poids plume champion
des mangeurs d’ailes de poulet
Un Japonais a remporté la 20e édition du Wing Bowl en ingurgitant pas moins de 337 ailes de poulet en une demiheure. Devant un public de plus de 17 000 personnes, Takeru Kobayashi, 57 kg, a dominé 26 participants plus
corpulents.
Il a notamment devancé le quintuple champion de l’épreuve Bill Simmons, 150 kg et surnommé « El Wingador »
(« chicken wings » étant le terme anglais pour les ailes de poulet) et a aisément battu le record de 255 unités
du triple tenant du titre, Jonathan Squibb, dit « Super Squibb ».
Source: lexpress.fr
Faire l’épicerie
en attendant
le métro
La filiale de la sud-coréenne Samsung et
de la britannique Tesco, Home Plus, a ouvert
un supermarché virtuel dans le métro de Séoul.
Des affiches lumineuses sont installées sur
les quais de métro et simulent les rayons
de supermarchés (comptoir des viandes,
produits laitiers, section des biscuits, etc.).
Les produits sont identifiés par un code-barre
adapté aux téléphones intelligents.
La personne remplit son panier virtuel en
scannant les codes des produits désirés.
Aussitôt la commande lancée, les produits
sont livrés à domicile le jour même selon
les envies et les disponibilités de chacun.
Un concept semblable pourrait-il voir le jour
dans le métro de Montréal ? Peut-être, mais
probablement pas à court terme. Pourquoi ?
En Corée, 94 % de la population possède un
téléphone cellulaire contre 78 % au Canada.
Le commerce en ligne y est aussi nettement
plus développé. 70 % des consommateurs
coréens achètent en ligne contre 39 % ici.
Finalement, le temps manque aux Coréens
qui passent 60 heures en moyenne au travail
par semaine contre seulement 41 heures au
Canada.
Source: Le Journal de Montréal, septembre 2011
11 | Provoqué Mars 2012
Babillard |
suite de la page 10
Provoqué | Recevez-le par courriel !
Outil |
Connaissez-vous
SAgE pesticides ?
Soyez parmi les premiers informés en recevant votre Provoqué par courriel et non plus
par la poste.
Posez ainsi un geste écologique qui aidera les Éleveurs de volailles du Québec à réduire
la quantité de papier nécessaire à l’impression du Provoqué.
Pour recevoir le Provoqué par courriel, veuillez adresser votre demande en prenant soin de
fournir : nom, nom de votre entreprise, numéro de quota (s’il y a lieu) et adresse courriel à :
D’un simple clic, SAgE pesticides rend
accessible dans un seul site l’information
sur les caractéristiques toxicologiques,
écotoxicologiques et sur le devenir des
pesticides dans l’environnement, et ce,
en lien avec les usages homologués.
Mme Marylène Jutras, agente de communication
Tél. : 450 679-0540, poste 8245
Courriel : [email protected]
Cet outil d’information est une réalisation
des partenaires suivants :
•Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation
et des Pêcheries du Québec (MAPAQ);
•Ministère du Développement Durable,
de l’Environnement et des Parcs (MDDEP);
Agenda | mars 2012
•Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).
MARS 2012
Le Centre de référence en agriculture et
agroalimentaire du Québec (CRAAQ) a collaboré
à la réalisation de cet outil en assurant
le développement informatique et
la conception web.
Pour faire des choix éclairés en matière
de pesticides, rendez-vous au
www.sagepesticides.qc.ca.
Précision |
Ferme
Aux Saveurs
des Monts
L’article publié dans le Provoqué de décembre
2011- janvier 2012 sur la Ferme Aux Saveurs
des Monts aurait dû mentionner que cette
ferme est la propriété conjointe de messieurs
Sylvain Bertrand et Paul Déziel. Contrairement
au texte de l’article, cette ferme n’est pas
familiale.
1
Coop Fédérée – Assemblée générale annuelle, Québec
2
Assemblée régionale des Éleveurs de volailles du Centre-du-Québec
Éleveurs de dindon de l’Ontario – Rencontre annuelle, Kitchener
5
Éleveurs de poulet de l’Ontario – Assemblée générale annuelle, Mississauga
6
ÉVQ – Comité des approvisionnements exceptionnels A-112, Saint-Hyacinthe
ÉVQ – Comité des approvisionnements et négociation des prix du poulet A-112, Saint-Hyacinthe
PPC –Comité exécutif, Ottawa
7
Assemblée régionale des Éleveurs de volailles de la Montérégie-Est
8
ÉVQ – Comité des éleveurs de dindon
8-9
Éleveurs de poulet de Colombie-Britannique – Assemblée générale annuelle, Abbotsford
12
Rencontre Québec-Ontario, A-112 (vidéoconférence)
13
Assemblée régionale du Syndicat des éleveurs de volailles Outaouais-Laurentides
14
Assemblée régionale du Syndicat des éleveurs de volailles de Lanaudière
PPC – Présentation des besoins A-112
15
Assemblée régionale des Éleveurs de volailles de la Mauricie
ÉVQ – Comité aviseur CRAAQ, Québec
Éleveurs de poulet de Saskatchewan - Assemblée générale annuelle
16
Assemblée régionale des Éleveurs de volailles de la région de Québec
19
ÉVQ – Comité de vérification, Longueuil
20-22
PPC- ÉDC – Réunion annuelle, Ottawa
20
ÉDC – Comité exécutif, Ottawa
21
PPC – Conseil d’administration et allocation A-112, Ottawa
23
Assemblée régionale des Éleveurs de volailles de l’Estrie
26-27
UPA – Conseil général
28
ÉVQ – Conseil d’administration
Coalition souveraineté alimentaire – Assemblée générale annuelle
PP40916058
Veuillez noter que l’agenda peut être sujet à changements.
Convention de la Poste-publications no 40916058
Retourner toute correspondance
ne pouvant être livrée au Canada au
Service du marketing et des communications
Les Éleveurs de volailles du Québec
555, boul. Roland-Therrien, bureau 250
Longueuil, Québec J4H 4G1
Courriel: [email protected]
Provoqué
Mars 2012
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