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Les Martine City Queen sont à la chanson-rock francophone
ce que l’obus est au pistolet à pétard, ils lui décollent les idées reçues.
Non, l’homme n’est pas une lavette bourrée de tranxene et de mauvaise bile,
l’homme est un être fantastique. Il leur faudra quelques chansons,
plusieurs clips pour vous détailler le pourquoi du parce que.
LE PARCOURS
Premier album “En public à Singapour” 1997
Découverte du Printemps de Bourges 1997
Deuxième album “Plastique rurale un peu forcée” 1998
Espoir Francofolies de la Rochelle 1999
Résidence soutenue par la DMDTS, le Ministère de la Culture au Centre Arc en Ciel de Liévin 2000
création du spectacle “Confondent cri et chant” mis en scène par Caroline Loeb
Résidence soutenue par le Thécif - Ile de France au Centre Culturel Germinal à Fosses 2002
Quelques 270 concerts (en France, en Allemagne, en Suisse, au Portugal et à New-York)
Sortie de l’Album “L’homme est un être fantastique”, dans les bacs à partir du 29 septembre 2004
LE DISQUE
Cet opus des MCQ est le fruit de différentes rencontres : à la composition Clélia Bressat, Denis Cassiau,
Christophe Dadi et Michel Taïeb, à l’écriture Jean-Michel Taliercio en duo avec Ligia Soares pour “Les souliers d’été”,
aux arrangements Michel Taïeb et les MCQ, à la réalisation sur trois titres Alain Cluzeau (Bénabar, Paris Combo) et
Eric Dufaure (Lio chante Prévert), aux manettes Laurent Jaïs et Bruno Fourrier.
Cette saison les sujets développés sont toujours aussi originaux : l’amour, la guerre et la balade en bateau.
Le clip de la chanson “Otototeyo” est la cerise sur la galette.
LA PRESSE
Les Martine City Queen insufflent une chaleur et une puissance
nouvelle à la chanson française.Entre noirceur et poésie avec une
bonne dose d’humour, les concerts de ce groupe sont gorgés de
mélodies accrocheuses. ZURBAN
Avec émotion et humour, les Martine City Queen, découverte du
Printemps de Bourges d’hier, chantent la chanson, la leur et la
classique en hommage. Libération
Une jolie synthèse de tout ce qui fait cette nouvelle vague française, entre chanson populaire et rock alternatif. Des propos ironiques ou politiques, des rythmes ludiques ou plus sombres, mais
toujours un sens évident de la mélodie. Télérama
A mi-chemin entre la gouaille révoltée et le rock endiablé, les
Martine City Queen appartiennent à la famille de la chanson
réaliste avec un soupçon de diablerie en plus. Provocateur, acide
et morbide, le quatuor, prix Espoir Francofolies 1999, peut
reprendre de grands classiques de Ferré ou des compositions de
son propre cru sur l’amour, le cul ou la politique. Aden
Les Martine City Queen rebelles (…) Morbides, provocants,
rarement tendres et toujours à s’écarteler, tels sont les quatres
lascars des MCQ – autant de mots qui agressent ou dérangent.
Le danseur-chanteur saute,gesticule et interpelle.Ses mimiques,
sa lassitude, son air de ne pas dire… et brusquement il se
réveille, se déchaîne et crache sa haine sur des airs d’accordéon
qui scient les ouïes. La voix du Nord
Les Martine City Queen démontrent que la gouaille néoréaliste et
poésie urbaine ne sont pas réservées aux groupes de la capitale qui ont
revitalisé les mini-orchestres de bar et l’accoustique qui déménage.
Entre chanson populaire et rock alternatif,l’accordéon électrise l’atmosphère,l’humour est aux premières loges.Les Martine City Queen
entretiennent une complicité particulière avec le public.Le Parisien
C’est la chanson qui coule dans les veines des “Martine City Queen”.
Celle qui nous séduit,nous surprend et nous fait tanguer.De rythmes
ludiques en mélodies plus sombres, leur palette musicale épouse les
différentes couleurs de la vie,apportant un souffle chaud et puissant
à la chanson française.Provocateurs et sensibles,ils possèdent le talent
irrésistible qui consiste à faire valser textes et idées poétiques.Le tout
agrémenté de mille trouvailles musicales ou scéniques, qui mettent
d’emblée le public dans l’atmosphère de ces textes pleins d’humour
soutenus par la voix arrachée à souhait du chanteur/auteur.A.A
LE SHOW
Sur scène des vidéos parsèment le spectacle, avec un spécialiste mondial du seau qui nous démontre comment faire
pour qu’un parfait simplet devienne fantastique.
Cette saison les musiques s’électrisent, exit le piano et la contrebasse, les quatre Martine chauffent Marcel.