Révélations chocs sur le soya et ses sous produits

Transcription

Révélations chocs sur le soya et ses sous produits
Révélations chocs sur le soya et ses sous produits
Les fabricants commerciaux s’y sont encore mis. Si une chose n’a pas son
créneau naturel dans le marché de l’alimentation, il faut lui en créer un! Peu
importe, semble-t-il, que le produit soit bon pour la santé, pourvu qu’il se vende
et que les gens soient convaincus d’en avoir besoin. On lui attribue des bienfaits
pour la santé, par rapport à d’autres produits. Si le goût n’est pas bon, le produit
est amélioré au moyen d’arômes artificiels, comme le glutamate de sodium.
Malheureusement pour la santé de bien des gens, cela a été le cas des produits
à base de soya. Ce qu’on a voulu présenter comme une alternative santé à la
viande et aux produits laitiers a, en fait, beaucoup plus d’aspects sinistres que de
qualités. Ses effets à long terme ne sont pas agréables.
Lisez bien ce qui suit.
Les produits à base de soya, à l’exception de ceux qui sont fermentés, tels le
tempeh, le miso et la sauge soya, n’étaient pas employés dans l’alimentation
avant leur commercialisation récente. En fait, il y a quelques siècles, le soya
n’était pas considéré comme comestible en Asie. Même aujourd’hui, (…) sauf en
période de famine, les asiatiques ne consomment de produits laitiers qu’en
petites quantités, sous forme de condiments, non pour remplacer des produits
animaux.- à une exception près : les moines chastes, qui vivent dans des
monastères ayant un mode de vie végétarien, trouvent les produits de soya
plutôt utiles, car ils diminuent la libido.
À l’origine, on n’utilisait les fèves de soya que dans la rotation des cultures pour
fixer l’azote du sol. Le soya ne servait pas à l’alimentation, en raison de son
contenu élevé en anti-nutriments. Ce n’est que par un long processus de
fermentation que les toxines de la fève de soya sont décomposées pour le
rendre digestible. Les produits du marché comme le tofu, le lait de soya, le lait
de soya maternisé, la crème glacée au soya, le fromage de soya et la
saucisse de soya n’ont pas subi de processus de fermentation.
Dans leur rapport au troisième Symposium international sur le soya, concernant
la loi américaine sur les aliments, les drogues et les cosmétiques, tenu en avril et
mai 2009, Sally Fallon et Mary Enig affirment ceci :
« Tous les additifs alimentaires qui n’étaient pas d’usage courant avant 1958, y
compris la caséine ou protéine du lait, doivent avoir le statut de GRI
(généralement reconnu inoffensif) … À ce jour, l’usage de la protéine de soya n’a
le code GRI que pour un usage industriel limité, en tant qu’agglomérant pour le
carton. Cependant, la campagne de relations publiques de l’industrie du soya a
été un immense succès, La concurrence – viande, lait, fromage, beurre et œufs
– a été dûment diabolisée par les agences gouvernementales appropriées. Le
soya sert de viande et de lait à une nouvelle génération de végétariens
politiquement corrects (…) Aux États-Unis, de dollars en 1980 à 300 millions en
1
2005. Le soya se retrouve maintenant dans la plupart des marques de pain
vendues au supermarché ».
Creusons un peu plus pour comprendre ce que sont certains de ces « antinutriments » et leurs effets sur notre corps.
Voici les grandes lignes des principaux sujets de préoccupation quant aux
produits à base de soya.
Les fèves de soya renferment :
•
•
•
•
•
•
•
De l’hémagglutinine, une substance qui favorise les caillots et fait
s’agglomérer les globules rouges.
Des goitrigènes, qui affaiblissent la fonction thyroïdienne.
Des taux élevés d’acide pythique, qui peuvent bloquer l’absorption de
minéraux essentiels dans les intestins et causer des problèmes de
croissance chez les enfants.
Des inhibiteurs de trypsine, qui interfèrent avec la digestion des
protéines pouvant causer des troubles pancréatiques.
Des taux élevés d’aluminium, lequel est toxique pour le système
nerveux et les reins.
Des phytoestrogènes, qui perturbent la fonction endocrinienne, ont le
potentiel de causer de l’infertilité et de favoriser le cancer du sein chez
les femmes adultes, et sont de forts agent antithyroïdiens.
De forts inhibiteurs d’enzymes, qui bloquent l’action d’autres enzymes
nécessaires à la digestion des protéines et peuvent entraîner des
troubles gastriques, réduire la digestion des protéines et provoquer des
déficiences chroniques d’assimilation des acides aminés.
De plus, les produits à base de soya :
•
•
•
•
Augmentent les besoins du corps en vitamines D et B12.
Contiennent des protéines dénaturées, formées durant le traitement à
haute température – l’isolat de protéine de soya et la protéine végétale
texturée.
Renferment du glutamate de sodium (glutamate mono sodique), une
puissante neurotoxine qui apparaît durant la transformation et qu’on
ajoute aux produits pour en améliorer la saveur.
Recèlent que des nitrines cancérigène formés durant la transformation.
Dans leur rapport sur le troisième symposium international sur le soya, Fallon et
Enig racontent une histoire intéressante pour expliquer comment les problèmes
concernant le soya sont arrivés à l’attention du public en 1991, à Whangarei, en
Nouvelle-Zélande.
2
Lorsque Richard et Valérie James, éleveurs d’oiseaux tropicaux, donnèrent à ces
derniers une nouvelle nourriture à base de protéine de soya, ils remarquèrent
que leurs oiseaux prenaient leurs couleurs après seulement quelques mois, au
lieu de 18 à 24 mois, comme c’est le cas normalement. Mais avec l’âge, ces
oiseaux développaient des problèmes comme une diminution de la fertilité, des
difformités chez la progéniture, et des décès prématurés, ce qui engendrait un
déclin régulier de leur nombre.
Des autopsies pratiquées sur les oiseaux morts révélèrent que les organes
digestifs des oiseaux étaient en train de se désintégrer. Par la suite, Mike
Fitzpatrick, le toxicologue embauché par les James, trouva des études remontant
aux années 1950 et qui révélaient que des troubles semblables, dont une
augmentation du cancer et de la leucémie infantile, étaient reliés à la
consommation de la protéine de soya. Ces études démontraient que la
génistéine du soya perturbe les fonctions endocriniennes chez les animaux.
L’analyse de la nourriture des oiseaux révéla des taux élevés de
phytoestrogènes, principalement de génistéine. Lorsqu’on cessa de leur fournir
cette alimentation à base de soya, les oiseaux revinrent graduellement à une
reproduction normale et à des comportements normaux. (…)
Tiré de l’extrait du livre : La Santé Consciente Guide complet de santé et de
guérison naturelle
Auteur: Ron Garner
Éditions Ariane
3