Socks N°118 - Gai-Eros
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Socks N°118 - Gai-Eros
Tom Daley amoureux Une vie de chaussette La guerre des crampons N° 118 Automne 2014 1 SOCKS Revue de presse Sommaire REVUE DE PRESSE > Footballeur dépouillé > Ronaldinho finit en chaussettes > Port de chaussettes prohibé au Pakistan > Que sont les Pumps ? > Le porno qui n’enlève pas ses chaussettes > Rugby : joueurs aux chaussettes arc-en-ciel > Justin Bieber : exigences de star > “Cock in a sock” pages 2 à 4 CHAUSSETTES DE STARS Tom Daley et Dustin : l’amour au grand jour pages 5 et 6 DANS LA PEAU DE... Une journée mouvementée de la vie d’une chaussette pages 7 et 8 NOUVELLES > Une radio plus intrusive que prévu > Mon pote et ses chaussettes > Lundi soir pisseux et juteux pages 9 à 15 CINEMA “Rubber” : mauvais raccord page 10 MODE La guerre des crampons page 16 TEMOIGNAGES > Laisse pas traîner tes cho7, c’est pas perdu pour tout le monde > Situations gênantes en chaussettes page 17 CHOUCHOU Christophe Lemaitre : toujours en pointe ! page 18 LITTERATURE > Chaussettes sur le sable > Au vestiaire page 19 Footballeur dépouillé Dans une vidéo postée sur le Net, aussi étonnant que cela puisse paraître, on y voit un petit groupe de supporters du club serbe du Partizan Belgrade se ruer sur un joueur de leur équipe fétiche pour le dépouiller de ses vêtements ! Les supporters fétichistes sont repartis qui avec le maillot, le short ou les chaussettes. Mais aucun n’a eu l’indécence de s’emparer du slip... L’honneur est sauf ! Et au final, le footballeur a même eu droit à un gros câlin ! Belle récompense, non ? (www.acausedesgarcons.com) Ronaldinho finit Pakistan : port en chaussettes de chaussettes prohibé Scène insolite au coup de sifflet final de la demie entre le Raja Casablanca et l'Atlético Mineiro au Mondial des clubs. Plusieurs joueurs et membres du staff du Raja se sont précipités vers Ronaldinho pour lui soutirer des affaires ou ne serait-ce qu'une poignée de mains. Tout sourire malgré l'élimination de son équipe (3-1), le Brésilien, buteur lors de cette rencontre, s'est prêté à ce petit jeu de bon cœur. Il a tout de même finit en chaussettes, des adversaires récupérant ses chaussures en souvenir. (madeinmotorsport.com) Ne plus porter de chaussettes pour rétablir le fonctionnement électrique d'un pays ? Aussi étrange que cela puisse paraître, c'est ce qui est en train de se passer au Pakistan. En effet, à cause de gros problèmes d’énergie, le gouvernement a décidé de couper l'air conditionné dans tous les bureaux du pays. Les poussant ensuite à interdire le port de chaussettes au bureau afin d'éviter tous les désagréments odorants. « Le code vestimentaire inclut une chemise blanche ou claire (manches longues ou milongues) avec des pantalons clairs ou le shalwar kameez avec un gilet et des mocassins (sans lacets) ou des sandales (des chaussures avec (Suite page 3) 2 SOCKS (Suite de la page 2) des sangles) sans chaussettes. Tous les fonctionnaires ont eu sept jours pour se préparer et ont ordre de respecter le code vestimentaire », a indiqué un communiqué du gouvernement. « Il n’y aura plus d’utilisation publique de diffuseurs d’air conditionné jusqu’à ce que nous connaissions une amélioration substantielle de la situation d’énergie dans le pays », détaille le communiqué. Pakistan Today explique que ces problèmes d’énergie entraînent des coupures d’électricité quotidiennes, certaines durant même entre 16 et 22 heures. Alors arrêter de porter des chaussettes n'est finalement peutêtre qu'un petit prix à payer ? Rugby : Les joueurs aux chaussettes arc-en-ciel (www.grazia.fr) Les “Berlin Bruisers” (les malabars de Berlin) constituent la première équipe gay de rugby de la capitale allemande. Normal pour ses joueurs de porter des chaussettes aux couleurs de l’arc-en-ciel. (Têtu) Que sont les Pumps ? Avant d’être un célèbre modèle de baskets popularisé par Reebok au début des années 1990, les pumps sont ces escarpins vernis à semelle fine et empeigne basse, surmontés d’un ruban. On les a souvent vus aux pieds d’Oscar Wilde, de Gary Grant ou encore de Frank Sinatra. Ces escarpins se portent souvent avec des mi-bas. (GQ) Au feu les pompiers : Le porno gay qui n'enlève pas ses chaussettes Certes c'est un film qui n'a pas la vocation et l'utilité d'un film 3 hollywoodien, certes c'est un film qui vise essentiellement un public masculin touché par des clichés forts en termes d'excitation, certes le budget était probablement limité. Mais non, il n'y a aucune excuse pour n'avoir eu que trois phrases (toutes prononcées par le seul bonhomme qui s'est fait sodomiser dans le film), pour le manque total de continuité entre les scènes, pour le désintérêt et l'ennui visibles de tous les acteurs, pour le manque d'un minimum de sensualité et d'érotisme (par exemple enlever ses chaussettes quand on se fait sucer) et surtout pour l'incapacité de tous les acteurs à savoir rouler un patin correct ! Reste-il quelques points positifs ? Au moins, les acteurs n'étaient pas imberbes et certaines prises de vue cinématographiques étaient assez surprenantes - l'effet "vue du dessous" est toujours inattendu ! (lexpress.fr) Justin Bieber : Exigences de star Certaines stars qui, en plus d’une liste de desiderata longue comme le bras, ont des exigences qui tiennent plus du gros caprice d’enfant gâté que du simple souhait. Le site TMZ s’est procuré la « wish list » (la liste de souhaits) que Justin Bieber fait parvenir avant toute séance photos. Elle vaut son pesant de chamallows. Tout d’abord, le chanteur canadien exige des assiettes de charcuteries et de crudités, une boîte de barres de céréales à la pomme, un plateau de sandwich au beurre de cacahuètes, un autre au fromage, deux paquets de bonbons Haribo au Coca et un paquet de bonbons de la marque Swedish Fish. Le tout évidemment accompagné de couverts propres, de sel, de poivre, de moutarde, de mayonnaise et de ketchup. Histoire de digérer ce menu pas vraiment super light, Justin exige des litres de tisane à la camomille et de thé vert. Le jeune chanteur demande également à ce que soit mis à sa disposition un dressing comprenant des chaussettes, des teeshirts et des débardeurs, le tout en blanc immaculé. Pour le cas où il lui prendrait de faire un strip-tease sur scène, il vaut mieux que ses chaussettes soient impeccables (photo ci-dessous). SOCKS “Cock in a sock” Mais avec quelles chaussettes ? Depuis quelques temps, les hommes semblent prendre un malin plaisir à enfiler leur chaussette en guise de cache-sexe sur Instagram. Mais aussi amusante et plaisante soit cette démarche, elle en dit long sur le choix parfois hasardeux des chaussettes de ces messieurs. La campagne “Cock in a sock” (soit “une bite dans une chaussette”), est une initiative qui fait fureur outre-Manche pour sensibiliser et aider à financer la recherche contre le cancer des testicules. Avec, vous l’aurez compris, comme points-clés un monsieur, dévêtu de préférence, un pénis… et une chaussette. Cellelà même qui ne devrait pas être aussi choisie à la légère que ça. Règle n°1 : Optez pour des chaussettes de bonne qualité. “Oui, mais ce ne sont que des chaussettes” ? Celles à bon marché seront très probablement en matière synthétique, empêchant la peau de respirer et d’évacuer la transpiration, et c’est bien dommage, quand on sait que les pieds d’un homme produisent en moyenne 30 cl de sueur par jour. A choisir en coton de manière générale, ou en laine pour les jours les plus froids, avec une dose minime de synthétique (notamment du lycra) pour garantir l’élasticité de vos chaussettes. Tant pour glisser vos “Cocks in a sock” que pour vos chevilles. Règle n°2 : Un peu de fantaisie dans vos chaussettes Le pied, tout simplement, et sans faire de (trop) mauvais jeu de mot. Les couleurs, motifs et imprimés sont les bienvenus, tant qu’ils sont adaptés à la situation et/ou pleinement assumés par leur porteur. Les chaussettes à message humoristique seront quant à elles prohibées, tout simplement : qui a bien envie de rire en voyant ces appendices ? Règle n°3 : Règle simple comme bonjour, et pourtant bien trop souvent oubliée, les chaussettes trouées, tachées et détendues se rangent dans un seul et unique endroit : votre poubelle. Arrêtez donc d’y glisser vos pieds, ou tout autre chose. Quelques chaussettes pour démarrer du bon pied : Falke pour sa légendaire rigueur allemande, les couleurs en plus ; Happy Socks, les chaussettes suédoises ultra-colorées qui se sont faites photographier par David LaChapelle ; Archiduchesse, les chaussettes 100% Made in France dans toutes les couleurs possibles et imaginables. Chris Sengthong (tetu.yagg.com) 4 SOCKS Tom Daley et Dustin L’amour au grand jour Deux jeunes gens bien dans leur peau et dans leurs fringues. En amoureux jusque dans leur tenue : teeshirt, short, skets et socquettes. Ne sont-ils pas mignons ? 5 SOCKS Depuis l’émouvante sortie du placard du plongeur britannique Tom Daley, beaucoup de médias l’ont associé au scénariste Dustin Lance Black. Différentes photos, parfois postées par Tom lui-même, confirment plus qu’une complicité (voir page précédente). Et le soir de Noël 2013, les deux amis publiaient sur Instagram ou Twitter une photo de leurs pieds parés de belles chaussettes arc-enciel… allusion plus qu’évidente ! Outre les chaussettes, Tom a reçu un tablier grand chic Gay Icon dont le paquet était orné d’un joli ruban Rainbow. 6 SOCKS DANS LA PEAU D’UNE... chaussette IT INÉD Une journée mouvementée de la vie d’une chaussette Le destin peut être est implacable aux pieds d’un garçon peu regardant quant au sort de ses chaussettes. J e suis une paire de chaussettes de tennis comme beaucoup d’autres. Pas de logos, pas de coton sélectionné mais du fil bas de gamme qui ne me rend pas particulièrement sexy. Je sais par exemple que les gays embourgeoisés ne me porteront jamais. Seules deux bandes, rouge et bleu, habillent le haut de ma tige. J’ai été fabriquée en ExtrêmeOrient. Des jeunes gens m’ont mises en pack et expédiées aux quatre coins du monde. Je me retrouve sur les étals des supermarchés parmi des lots vendus au moindre coût, généralement en tête de gondole pour bien signifier que ma place n’est pas d’être en compagnie des chaussettes de marque. Je me retrouve en produit d’appel pour petit budget… Je me sens dévalorisée dès le départ. C’est peu dire par rapport à ce qui m’attend et à mon espérance de vie… Mon maître (si je puis appeler ainsi celui qui a prévu de me mettre à ses pieds) s’appelle Guillaume. Il travaille dans le bâtiment. Rien à dire, c’est un beau gosse et je suis plutôt fière de me retrouver à vêtir 7 ses pieds. Quand il m’a enfilé ce matin-là, il était à cours de chaussettes. Il m’avait acheté en sachant pertinemment que j’allais servir sans tarder. Il n’était pas du genre à stocker des chaussettes au fond d’un tiroir. Je n’étais pas du genre à servir à l’occasion d’événements particuliers comme une rencontre avec son élu(e) de cœur face à qui il devrait se présenter avec des chaussettes impeccablement nettes. Non, j’étais destinée à un usage domestique. Donc, il est rentré de son jogging après m’avoir bien imprégnée de l’odeur de ses baskets. Il est en retard, il ne prend pas de douche et me voilà privée de la lumière du jour au fond de ses Caterpillar de chantier pas très nettes : c’est humide, un peu boueux. Toute la journée, je suis soumise à la transpiration de mon maître. La chaleur qu’il fait à l’extérieur transforme l’intérieur de la chaussure en fournaise. J’absorbe comme je peux la sueur qui s’évapore de ses pieds. C’est moite, c’est chaud. Au contact de mes fibres, ça se transforme en un cloaque putride. J’infecte l’intérieur de la chaussure. Je sais que mon maître va m’en vouloir de dégager autant de mauvaises odeurs. La blancheur de mes fibres a viré depuis longtemps. Je sens bien sourdre la crasse qui me défigurera à jamais. Malgré le nombre de lavages, je resterai d’un gris sale. Une fois déchaussé, mon maître foule sans complexe le carrelage (Suite page 8) SOCKS (Suite de la page 7) souillé d’un vestiaire ou de toilettes douteuses. Aujourd’hui, Guillaume s’est enfermé dans une cabine et entreprend de se masturber en pensant au beau brun entrevu sur le chantier. Des éclaboussures de sperme viennent s’écraser sur le sol. Volontairement ou non, Guillaume vient de poser son pied dans sa semence. J’écrase et mon coton s’imbibe de cette crème grasse… Je sécherai tant bien que mal au fond de sa Cat’ déjà recouverte d’une pellicule de crasse… Puis mon maître enfile des baskets dont la semelle intérieure ressemble à une mosaïque de tâches délavées et va se dépenser dans une salle de remise en forme. Il transpire tant qu’il peut, je me noircie à vue d’œil… et de nez. A son retour chez lui, je pensais que Guillaume me laverait mais il se désintéresse de mon cas et me jette répulsivement dans un placard à chaussures déjà fortement parfumé d’odeurs de transpiration. D ans mon état critique et pitoyable, je vais rester plusieurs semaines au fond du placard, à servir de serpillière aux semelles de ses chaussures. Jusqu’au jour où Guillaume décide de faire le tri et m’y découvre plus lamentables que jamais. Je suis cartonnée par la sueur et la boue sèche. Puisque je fus portée neuve, il me reste des traces de douceur dans ma saleté. Mais Guillaume n’est pas du genre à se formaliser pour une paire de chaussettes de moindre intérêt. Il me saisit du bout des doigts et me plaque au fond d’une poubelle sans l’ombre d’un remord. Je sens bien que je vais finir étouffée sous un tas de détritus en tout genre. Mais ce jour-là, encore bien visible au-dessus de la poubelle, j’attire l’attention d’un fétichiste… Après avoir porté un regard discret aux alentours, il me met en boule au fond d’une de ses poches. Je pensais avoir droit à un lavage… Que nenni ! Il m’enfile tel quel à ses pieds déjà puants. Peu à peu, sa sueur humidifie le coton, réveillant mes anciennes odeurs cartonnées. Je me sentais humiliée une deuxième fois. Au bout de trois jours de ce traitement, épouvantable à sentir, il me met sous le nez d’un mec trop mignon. Je suis humée en profondeur, parcourue par une langue gourmande et salivante. Quand il m’arrache des pieds de mon maître, je suis une chiffe molle. Rien ne me sera épargnée ; voilà que le jeune mec répand des giclées abondantes de semence sur moi. Mon maître accepte de me céder à son amant en vue d’autres profonds sniffages. Je vais donc encore servir de réceptacle à des masturbations quotidiennes. J usqu’au jour où, raidie par la sueur et le sperme froids, je termine au fond d’un sac poubelle au milieu de déchets alimentaires. Je sais alors que ma dernière heure est arrivée. Plus aucun espoir de sauvetage en vue ! L’incinérateur aura raison de ma misérable existence de chaussette… P.P. 8 SOCKS Nouvelles Une radio plus intrusive que prévue Nu, en chaussettes, dans un cabinet de radiologie, un patient va attirer l’oeil d’un actif fétichsite.... J 'ai quelques soucis de santé mais rien de bien méchant. Le médecin me prescrit une échographie testiculaire. Je prends donc rendez-vous dans un cabinet de radiologie où je vais d'habitude. Le jour J, la secrétaire me fait patienter un moment en salle d'attente. On m'appelle... ça y est, le moment de leur montrer mon engin est arrivé. L'assistante me demande de retirer tous mes vêtements dans la cabine sauf les cho7. Hé hé, si tu savais comme je kiffe être à poil en cho7. Là, j'ai fait soft, j'ai mis des Lacoste de deux jours seulement. Je me rends ensuite dans la salle où doit se passer l'échographie et j'attends un peu à poil comme un débile. Souvent dans les cabinets de radiologie plusieurs cabines donnent sur la salle où se font les examens. Et là je remarque qu'il y a un mec dans une des cabines, la porte est 9 entrouverte (comme souvent là-bas, les portes ferment mal). Putain, sacré mec, pile mon genre. Brun, petite barbe de trois jours, lui est torse nu. Je remarque que le mec me matte. Normal, j'ai un beau morceau de 19/4 entre les jambes et bien poilu. Je fais un sourire au mec et prend ma teub en main pour lui montrer comment elle tient bien dans ma main. Et là le mec sort sa bite, super poilue avec un bon gros gland rouge. Le salaud, il veut que j'ai la gaule ou quoi, il sourit fier de l'effet qu'il me produit. Je me reconcentre et passe mon échographie. La porte aura été refermée par l'assistante. Je sors et retourne m'installer en salle d'attente pour patienter le temps que les résultats soient imprimés. Le mec me rejoint dans la salle d'attente au bout de cinq minutes. Nous sommes deux. Nos regards se croisent et il me sourit, je lui rends son sourire. Il joue ensuite sur son portable, j'ai l'impression qu'il commence à avoir la gaule. Putain ! Il est sans-gêne ce mec mais il me fait kiffer. A un moment, il est appelé au bureau et il pose son portable bien en évidence sur une chaise. Je matte discretos l'écran et je vois qu'il est connecté sur le site « maqueue » à matter des bites. Je me décide de changer de place pour être plus près de son téléphone. Je lui choppe et le mets sur ma page « maqueue ». Mon profil est clairement décrit, kiffeur de cho7, skets, exhib, etc et des photos de moi très hot. J'espère que le mec comprendra et me contactera. Il revient s'asseoir et il reprend son téléphone. Il me sourit et me fait un clin d'oeil, il a compris. Il écrit sur son portable. Je sors le mien. Bingo, j'ai un mail qui dis : « Hey mec, t'as une bonne bite, j'ai pas pu m'empêcher de la mater avant. Ça (Suite page 10) SOCKS Cinéma (Suite de la page 9) te dis un plan ? Je suis actif bonne teub, endurant. Open ». Je lui réponds ouais carrément ! Je lui donne rendez-vous en sortant du laboratoire. Je lui donne un endroit, lui donne la marque et modèle de ma caisse, qu'il me rejoigne. Je quitte le labo avec mes clichés et vais vers un bois discret. Quinze minutes plus tard mon bogoss apparaît. Là, je lui baisse direct le pantalon et lui suce sa bonne bite, un bon morceau de 21/5. Je kiffe les gros calibres. Il me retourne ensuite et me bouffe le cul. Après dix minutes il me demande : « Je peux t'enculer mec, ton cul me fait envie ? ». « Bien sûr, que je lui réponds, j'attends que ça ». Je retire donc mon tee-shirt, mon pantalon, mon boxer et veux retirer mes cho7 mais il m'arrête et me dit : « Non, laisse- les, j'ai bien kiffé te voir en cho7 au labo ». Hummm, le cochon. Il point ensuite son gland à l'entrée de ma chatte et pousse à fond pour me la rentrer d'un coup. Je crie de douleur mais il me fout la main sur la bouche. Au bout de deux minutes la douleur laisse place au plaisir. Il sait se servir de sa bite ce mec, il alterne entre coups violents et doux. Il m'embrasse dans le cou en même temps. Au bout de 15 minutes de ce traitement il me demande s'il peut se vider dans ma bouche. « Bien sûr, et j'avale mec ! » Je me fous donc à genoux pour lui sucer sa bite avant de prendre tout son jus en bouche, un bon jus épais et salé. Il me crache sur le visage après avoir juté. Puis il me dit qu'il a kiffé me prendre comme une chienne. Je le remercie et lui dit que j'ai un mec et qu'on est kiffeur de skets et cho7. Il m'explique que c'est la première fois qu'il a bandé sur un mec en cho7 mais qu'il est prêt à tenter un plan avec nous deux. Nous avons échangé nos numéros et nous nous sommes quittés après une dernière pelle. Mauvais raccord Les mauvais raccords portent souvent sur des détails insignifiants. Dans « Rubber », le film comico-gore de Quentin Dupieux (2010), qui raconte la virée d’un pneu tueur et télépathe, le spectateur lambda n’y verra que du feu. Seul le fétichiste, toujours à l’affût de chaussettes qui se voient, aura remarqué l’erreur technique. L’ado, fils du gérant de motel où le pneu vient « d’exploser » une nouvelle victime, veut prévenir son père, plutôt mal embouché. Voulant se débarrasser de son fils, le père l’envoie chercher une pizza. Le garçon s’en va à bicyclette, des chaussettes blanches bien visibles couvrant ses mollets. Mais au retour, le garçon ne porte plus que des socquettes, dépassant à peine de ses chaussures. P.P Pub cho7lacoste67 10 SOCKS Mon pote et ses chaussettes Un lycéen est fasciné par les skets et les chaussettes de son pote. Ce dernier saura en profiter à son avantage... D epuis mon adolescence, je fantasme sur les mecs et sur leurs chaussettes. J'aime surtout les chaussettes blanches. Quand j'étais au collège ou au lycée, j'adorais les cours de sport et surtout le vestiaire. Je voyais tous les mecs en caleçon Dim moulant et chaussettes et je matais discrètement. Parfois ça sentait la sueur et j'adorais cette odeur de mâle ! J'ai dû plusieurs fois cacher mon érection débutante. J'avais mes préférés dans la classe et parmi eux mon meilleur pote, Mathieu, un beau brun sportif. On 11 se voyait souvent en dehors des cours et on passait de bons moments en jouant au foot quand il faisait beau et à la console quand il pleuvait. Comme la plupart des ados ! Un jour, au cours d'une partie de volley, je me blesse un peu et je rentre avant les autres au vestiaire. J'ai un peu mal au poignet à cause de ma chute mais je suis content d'être seul, entouré de toutes ces paires de chaussures. J'en profite pour sentir les baskets des mecs que je préfère et qui ne jouent pas au volley avec les mêmes pompes ! Mathieu change toujours de chaussures et de chaussettes pour le sport. Je garde ses baskets en dernier et après avoir senti trois paires de baskets (deux Air Max et une Converse) je me colle ses chaussettes sur le nez et je me remplis les poumons. J'en fais autant avec ses baskets... Quel bonheur ! Je repose le tout à sa place et j'entends : — Touche pas à mes pompes. Je relève la tête et vois mon pote qui rentre à son tour suivi des autres élèves. Je lui réponds : — Euh... désolé. Je voulais voir à quoi elles ressemblent, j'allais pas te les voler ! Et je lui souris. — Je déconne, je sais que tu préfères mes chaussettes ! dit-il en riant. — Pourquoi tu dis ça ? J'avais peur qu'il m'ait vu sentir ses pompes et ses chaussettes. — Comme ça, pour rien, laisse tomber... Et il me fait un clin d'oeil. Je préfère ne pas continuer à en discuter, le vestiaire est rempli d'autres mecs et je suis mal à l'aise car je ne sais pas si mon pote m'a surpris ou s’il a juste dit ça au hasard. En sortant de cours, Mathieu me propose de passer chez lui pour faire une partie de console. C'est pratique de jouer chez lui, il vit avec son père depuis le divorce de ses parents et son père travaille (Suite page 12) SOCKS (Suite de la page 11) souvent tard. On fait le chemin ensemble et il me propose un défi : — Celui qui perd le match doit subir un gage et il doit accepter sans connaître le gage avant le début du match. — Ça marche. Je commence à chercher une idée pour ma victoire ! En espérant perdre et rêvant que Mathieu me propose un gage cochon ou excitant. — Moi j'ai trouvé, j'espère que je vais te battre, ça va être marrant. O n arrive chez lui et on monte dans sa chambre pour jouer. J'adore aller dans sa chambre, on se retrouve tous les deux en chaussettes sur le lit en train de jouer. Le match commence et après une partie où je fais semblant de lutter, je perds. Mon pote saute de joie et me dit : — J'AI GAGNÉ ! TU DOIS M'OBÉIR ! — Obéir ? Tu te prends pour mon maître ? T'es SM ? J'espère qu'en glissant cette blague, il va avoir une idée coquine. — Je t'avais dit que j'avais déjà trouvé mon idée et mon gage est que tu dois m'obéir pendant toute la soirée et tu vas commencer par me masser... — Te masser ? Je suis pas kiné et puis ça te fait pas bizarre de te faire masser par un mec ? — Tu as perdu, tu dois respecter le pari ! Commence par me masser les épaules. Je commence donc à le masser et après quelques minutes, il me demande de lui masser les cuisses. Je lui propose d'enlever son jean et de mettre un short pour être plus à l'aise. — Pas besoin de short, tu m'as déjà vu en caleçon ! — Oui, encore tout à l'heure en sport avec ton Dim blanc ! — Putain ! Tu te souviens encore de la couleur de mon caleçon ? Tu me mates en fait, petit salaud. T'es content de me caresser ? Et il enlève son jean et s'allonge sur le lit. Je commence à le masser et j'essaye de ne pas paraître trop excité par la situation et de ne pas trop regarder la bosse de son Dim. — C'est toi qui as voulu que je te masse ! — Tu n'as pas répondu à la question ! Tu aimes me caresser ? Je ne réponds pas et je rougis sûrement un peu. À ce moment-là, il se retourne et il m'ordonne de me mettre en allongé en bas du lit sur le sol. Je m'exécute et à ma grande surprise, il me colle ses pieds sur le visage et me dit : — Je t'ai vu tout à l'heure dans le vestiaire avec mes pompes, tu avais l'air bizarre, comme excité quand je suis rentré ! Alors vas-y, profite et lèche mes chaussettes. J'essaie de nier mais il me colle ses orteils dans la bouche et je commence à bander et mon sexe est comprimé dans mon jean. — Tu aimes ça, hein ? On dirait que ça te plaît, dit-il en passant son autre pied sur mon entrejambe. Je continue à sentir ses pieds et à les lécher, lui s'est mis debout et je vois que son caleçon est tendu et il sort un sexe énorme, au moins 18 cm et très large et surmonté d'une belle touffe brune de poils légèrement frisés. Il commence à se branler et me demande : — Tu veux autre chose que mes pieds dans ta bouche ? Tu veux toucher ma queue ? Je me relève et je me trouve assis devant son sexe dressé et je profite de ce doux parfum. Je commence par le caresser autour de son sexe, de ses couilles puis je fais glisser mes mains le long de ce superbe engin qui prend la largeur de toute ma main adolescente. — Elle est belle, hein ? Mets-toi aussi à poil. Je me mets nu et je montre mon sexe de 15 cm, plus fin que le sien. Je me sens un peu ridicule car Mathieu est très fier d'être mieux équipé que moi et il dit : — Je suis un monstre à côté de toi. Vas-y, continue à jouer avec, tu verras ce que ça fait de toucher une grosse bite ! — Et je peux y goûter aussi ? C'est alors qu'il m'a saisi la tête et m'a collé la bouche sur sa bite. — Vas-y, suce et fais ça bien sinon je serai pas calmé et je devrai te demander de recommencer ! Je me mets à le sucer et j'y mets tout mon coeur. Je me régale et lui aussi semble apprécier puisqu'il râle de plaisir ! Après quelques minutes, je commence à être très habile et j'enfourne une bonne partie de son sexe et Mathieu me baise la bouche en me donnant des coups de bassin. Je le sens excité, de plus en plus excité. — Je vais venir, j'ai envie de juter dans ta bouche... Je ne réponds pas et continue à le sucer avec encore plus de rythme et je sens Mathieu se contracter et plier légèrement ses jambes. En même temps, je reçois une décharge énorme de sperme dans ma gorge, je garde le reste dans ma bouche et j'avale ce succulent sperme pour la première fois. Quel goût unique ! Je nettoie encore un peu sa bite avec ma langue pour ne pas perdre une goutte. Il reste allongé un instant sur le lit puis se relève et part prendre une douche. Boy62lens (GE) 12 SOCKS Lundi soir pisseux et juteux ! Deux mecs se rencontrent dans un bar lors d’une morne soirée. Au final, odeurs de pieds et de pisse vont se mélanger... C 'était un lundi soir comme les autres. Rien de très excitant à faire dans cette petite ville où j'habite. Direction le seul bar sympa et un peu branché du coin, où les jeunes de tous horizons ont l'habitude de se retrouver pour boire un verre et rencontrer des potes. C'est un bar style lounge peu éclairé avec beaucoup de fauteuils, banquettes et tables basses. Bref, ambiance feutrée et tamisée. Arrivée vers 22h30, et pas grand monde que je connais. Le tour pour saluer mes connaissances est vite fait. Je m'installe au comptoir et commande mon Gin Tonic comme d'habitude. A l'autre bout du comptoir, un mec d'environ 20 ans seul devant son Whisky Coca installé sur son tabouret. Il a l'air fatigué, ou c'est pas son premier verre ! Il porte un jean genre 501 craqué aux genoux, un tee-shirt blanc, une casquette Nike et des TN bien pourraves (comme je les aime !!!) Je ne fais pas trop attention à lui et j'engage la conversation avec le barman (que je connais et qui est gay aussi) sur des banalités comme le temps et le peu de monde présent ce soir-là. Après un court moment, le mec du bout du bar se lève. En le voyant passer devant moi, je constate que son jean est aussi troué derrière, sous les fesses de chaque côté, et qu'il le porte « façon sagger » avec un sous-vêtement Dim. Là, de suite, il captive un peu plus mon attention ! Avec sa casquette, l'obscurité du bar et la distance, je n'avais pas bien vu son visage. Il a l'air pas mal ! Regard noir, cheveux bruns très courts et barbe de trois jours. Il part en direction des chiottes... Je demande à mon pote barman : « Tu le connais ce mec ? » - Non, jamais vu. Il va être bourré d'ici peu parce que c'est le 4ème sky qu'il s'envoie. - Il a l'air pas mal… - Ouais, si on aime le look lascar ! Bin moi, il me plaît bien ce lascar ! J’attends de voir le mec ressortir des WC pour l'observer d'un peu plus près. Le mec ressort des chiottes et je m'aperçois qu'il n'a pas refermé sa braguette et que le bas de son jean est mouillé en bas de la jambe droite. J'ai très envie d'y mettre le nez pour sniffer si c'est bien de la pisse ! Il retourne s'installer sur son tabouret, les jambes écartées, et comme il est tourné vers moi, je vois une tache blanche derrière sa braguette ouverte. Il porte un Dim blanc qu'il a sûrement tâché avec ses dernières gouttes ! Hummm, rien qu'à y penser, je me mets à bander légèrement ! Mine de rien, tout en continuant à parler avec le barman et un autre client qui est assis non loin de moi, je regarde très souvent le mec d'un regard furtif pour pas trop me faire repérer. J'ai pas dû être assez discret (Suite page 14) 13 SOCKS (Suite de la page 13) car je crois que le mec m'a capté. Au bout de 10 minutes, le mec se relève et reprend le chemin des chiottes. Direct, je lui emboîte le pas et le laisse entrer dans les chiottes avant de le suivre. Les WC de ce bar se résument à une cabine et deux urinoirs. Le mec va à l'un d'eux et commence à pisser. Je me mets à celui d'à côté et fais mine d'en faire autant. Bien sûr je regarde ce qu'il a dans les mains et je vois une queue bien large avec le gland totalement recouvert de son prépuce et qui pisse en éclaboussant tout ce qui est autour. Là, je vois que ça coule aussi sur le bas de son pantalon et sur ses TN. Je n'arrive pas à pisser car je me suis mis à bander grave ! J'ai très envie de lui lécher ses skets pourraves et le bas de son jean… Il a capté que je mate la sépi sur ses skets mais ne dit rien. Le mec « remballe » son matos sans même le secouer pour larguer les dernières gouttes. Ça ne me choque pas, j'en fais toujours autant, par principe, pour avoir de belles auréoles dans mon boxer. Il ressort et moi derrière lui sans même avoir pissé. Le mec reprend sa place, vide son verre d'un seul coup et le repose sur le comptoir. Je fais signe à mon pote barman de lui en remettre un sur mon compte. Devant son verre qui se remplit comme par miracle, le mec demande au barman ce que c'est. Un signe de tête lui fait comprendre que c'est de ma part. Le mec prend son verre et fait un « tchin » dans ma direction. Aussitôt, je me lève pour aller squatter un tabouret libre à côté du sien après avoir commandé un autre Gin Tonic pour pouvoir trinquer. - Merci pour le verre, me dit le mec. - Bin, de rien, je vois que t'es tout seul et t'as l'air de te faire chier. Je te connais pas, t'es du coin ? - Non, je suis de passage. Je suis tombé en panne de bagnole et j'ai un pote qui doit venir me dépanner, mais il ne sera pas là avant 1h du mat. De but en blanc, il me dit : - Tu s'rais pas un peu pédé, toi ? - Qu'est ce qui te fais dire ça ? - T'as pas arrêté de me mater, tu me suis aux chiottes et après tu me paie un verre… - Bah, ça veut rien dire, j'ai juste vu que t'étais seul et moi aussi je me fais chier ici, y a personne… alors… - Ouais, merci c'est sympa mais… t'es pédé ou pas ? - Oui, mais t'inquiète pas, j'vais pas te violer ! - Je m'inquiète pas, je me suis déjà fais branché par des mecs… et je sais me défendre ! J'ai un pote qui est pédé et qui adore me sniffer les cho7 quand on est au vestiaire après le foot. Tu ne me fais pas peur... Les quelques clients qui étaient dans le bar sont tous partis un à un et ça sent la fermeture vu qu'il ne reste plus que nous et qu'il est presque minuit. C'est l'heure où l'établissement ferme en semaine dans ce trou perdu de la France profonde. En effet, le barman commence à ranger un peu derrière le comptoir tout en nous regardant du coin de l'œil régulièrement. On vide nos verres, je paie, je salue le barman et on se retrouve sur le pas de la porte. - Tu connais pas un autre bar ouvert en attendant mon pote qui doit venir me dépanner. Faut que j'attende encore au moins une heure. - Le lundi, à cette heure, c'est pas gagné. Peut-être « Chez JeanPierre » ! C'est un bar un peu pourri à trois rues d'ici, mais c'est pas sûr pour un jour de début de semaine. - On y va ? Tu viens avec moi ? - Bin ouais, si tu veux ! (tu penses !) Il n'y a personne dans les rues à cette heure tardive. En se dirigeant vers notre nouvelle destination, nous passons devant des chiottes publiques. Elles sont « à l'ancienne », loin des sanisettes modernes que l'on trouve dans les grandes villes. - Je dois encore pisser, me dit-il - Bin profites-en ! Je vais avec toi, je dois pisser aussi. Nous entrons. A l'intérieur, c'est très rudimentaire ! En entrant, l'odeur de pisse qui stagne là depuis longtemps est forte. Ça met tout de suite dans l'ambiance ! Un long urinoir collectif de 3 mètres et 2 cabines avec des cuvettes bien crades, sans abattants. Le mec se dirige vers l'urinoir géant et se met à pisser. Je me cale à côté de lui et tente d'en faire autant, mais ça ne vient pas ! Il (Suite page 15) 14 SOCKS pied qui semble attendre ma langue. Je suis immédiatement assailli par une odeur de ieps qui a bien vécu. C'en est trop ! - Vas-y, te gêne pas, lèche ma sépi sur mes TN. Et après tu lécheras aussi mes ieps. Ça me fait kiffer qu'un mec soit à genoux devant moi. (Suite de la page 14) voit bien que le seul intérêt que j'ai d'être là, c'est de le regarder pisser. Il ne se gêne pas de bien me montrer sa bite épaisse. - Fais gaffe, tu vas encore pisser sur tes pompes, lui dis-je. - Bin, tu les décrasseras, me répond t-il. J'ai bien vu que tu kiffais ma bite et mes skets ! - C'est vrai que je ne suis pas insensible à ta belle bite ! - Bin, vas-y, suce la, dit il en se retournant, la bite et les couilles à l'air, qui passent par la braguette ouverte de son jean. Direct je me mets à genoux devant lui et engouffre sa large bite. Aussitôt, je sens un liquide chaud envahir ma bouche. Il est en train de pousser pour évacuer les dernières gouttes. Moi, en bonne lope, j'avale ! Je commence à le sucer doucement. Il prend ma tête entre ses mains pour stimuler le va-etvient sur sa bite qui commence à gonfler et se raidir. Putain, c'est trop bon. Ce mec que je ne connaissais pas il y a une heure, et que je trouve « très à mon goût » me fait tourner la tête ! Brusquement il se retire et me fait signe de la tête en m'indiquant une cabine. Je ne dis rien, me relève, et lui emboîte le pas dans la cabine. Il s'appuie sur le mur et pose un pied sur la cuvette. Sa TN pourrave sur la cuvette pourrave me met direct en « mode bâtard » ! Je me remets à genoux et approche ma tête de son Je m'exécute sans me faire prier et je commence à lui lécher les skets très méticuleusement. Vu l'odeur et le goût, il doit souvent se pisser sur les panards ! Et c'est pour mon plus grand plaisir ! Il attrape sa queue qui s'est un peu ramollie et commence à se branler, laissant apparaître son gland luisant dans l'obscurité des chiottes. Après avoir bien décrassé sa sket, je décide d'entreprendre sa cho7. En lui enlevant sa sket, je découvre une cho7 Nike qui a dû être blanche ! Une puissante odeur m'envahit les narines. Je kiffe à mort. Il repose son pied sur la cuvette et je commence à lécher sa cho7 gorgée de son odeur de transpiration pédestre ! Je bande aussitôt. Il y a du taff pour ma langue ! Je desserre ma ceinture, dégrafe ma braguette qui n'a pas de mal à s'ouvrir vu la queue raide que j'ai entre les jambes, et commence à me branler. Lui, il est toujours en train de s'astiquer. Sa bite est redevenue droite et il a l'air de savourer le moment ! Au bout de deux minutes, je n'en peux plus et je gicle la sauce dans mon calbut. Cela ne m'empêche pas de me concentrer sur le taff offert à ma langue. Il m'attrape par les cheveux pour tirer ma tête vers sa bite. J'en profite au passage pour lui lécher les couilles. Il semble apprécier cette délicate attention de ma part. A peine sa queue en bouche, je sens le goût du pré-yop sur ma langue. Gluant et sucré, tout ce que j'aime. Je le suce bien, en gorge profonde. Sa bite épaisse m'oblige à ouvrir la bouche au maximum pour tout engouffrer. Son souffle devient plus rapide et est annonciateur d'un largage proche. Ça ne tarde pas à arriver. Il se retire de ma bouche et me lâche une bonne giclée de yop sur la face, puis une deuxième tout aussi intense. Je savoure le moment présent. Je rattrape sa queue avec la langue et l'engouffre à nouveau pour aspirer les dernières gouttes de sperme qui en sortent. Il pousse un râle sourd de satisfaction. Je garde sa bite en bouche et continue de le sucer en sentant qu'elle se ramollit en moi. Il m'attrape à nouveau la tête pour la maintenir contre son bas-ventre. Je sens ses couilles charnues sur mon menton. - Bouge pas, je vais te finir salope ! Je vais rincer ta gueule de pute avec ma sépi … La phrase juste achevée, il commence à se vider la vessie dans ma bouche. Un jet puissant qui va droit au fond de ma gorge. J'ai du mal à tout avaler et en ouvrant un peu la bouche, le liquide chaud et jaune coule le long de mon menton, de ma gorge et finit par m'inonder la chemise et le jean. Il sort sa bite de ma bouche pour m'asperger la gueule pleine de son foutre. En un rien de temps, je suis trempé ! Il rentre sa queue et ses couilles dans son Dim blanc mais bien auréolé. Referme sa braguette, remet sa TN sur sa chaussette qui a pataugé au milieu d'une inondation de pisse. Il sort de la cabine, et j'entends la porte des chiottes qui claque. Je suis là, trempé de pisse et de jus, à genoux avec le jean ouvert, seul dans les chiottes publiques à 1 heure du mat … Je n'ai plus jamais croisé ce mec dont je ne connais même pas le prénom. Depuis ce jour, je vais régulièrement boire un verre le lundi soir au bar… On ne sait jamais… Il me reste encore son autre pied à découvrir !!! sketsboykiffeur 15 SOCKS Mode La guerre des crampons Design délirant, couleurs flashy, les crampons sont devenus un accessoire de mode essentiel pour les footballeurs et un enjeu commercial énorme pour les marques. Le footballeur ivoirien Yaya Touré et le français Antoine Griezmann ont adapté les crampons bicolores de Puma. C ouleurs fluo, imprimés, modèles sur mesure, les chaussures de foot sont de plus en plus visibles, éclipsant parfois, sur le terrain, le reste de la tenue. Deux raisons majeures à cela. Si le joueur est sous contrat avec Nike, mais sa sélection engagée avec Adidas, alors Nike va essayer de faire oublier au téléspectateur le reste de l'uniforme en attirant l'attention sur les crampons. Par ailleurs, hormis les tatouages et les coiffures abracadabrantes, les chaussures restent le seul territoire d'expression personnelle pour qui veut se démarquer. David Beckham, Cristiano Ronaldo et les autres athlètes ouvertement soucieux de leur apparence sont des cadeaux du ciel pour les marques, puisqu'ils diffusent auprès des enfants et des footballeurs du dimanche l'idée qu'être bon c'est bien, être beau c’est mieux. Pour la Coupe du monde 2014, Puma s’est fait remarquer avec des crampons bicolores : chaussure gauche bleue, chaussure droite rose. Et des devantures de boutiques peintes à l'identique. On ne voit qu'elles dans la rue et on ne verra qu'eux sur la pelouse... Adidas vient aussi de lancer sa Samba Primeknit, première paire de crampons en textile tricoté. Et Nike a présenté en grande pompe à Barcelone sa Magista. Car, depuis vingt ans, alors que les crampons Adidas ont toujours l'air de crampons, Nike cherche à faire passer les siens pour des sneakers à la mode. Pour preuve, ses nouvelles Magista, au design proche de celui de ses FlyKnit, ses baskets tricotées qui font un tabac dans le monde entier. (Source : M le magazine du Monde) 16 témoignages SOCKS Situations gênantes en chaussettes Laisse pas traîner tes cho7, c’est pas perdu pour tout le monde Que c’est agréable de voir et tentant de piquer ce genre d'article quand tu le vois traîner là sur le trottoir, tomber ou lâcher volontairement de la panière de linge sale au moment d’être lavé et que toi tu passes derrière pour le ramasser rapidement et le glisser furtivement sous ton blouson en ayant bien fait attention de ne pas avoir été vu en train de le faire car sinon ta réputation de dépravé peut être revue à la hausse. Il m’est arrivé qu’en étant invité je pique une paire de cho7 ou un slip sale dans la panière à linge sale de mes potes. Pas évident de les dissimuler à moins de t’isoler dans leur salle de bain pour te dessaper et renfiler le slip que tu veux posséder en preuve d’amour de ce copain que tu sais que tu ne reverras plus car il sera bientôt marié ou sur le point de déménager dans une autre ville, ou d’enfiler sous tes cho7 ses cho7 pour avoir ses odeurs de pieds le plus longtemps possible en guise de trophée de chasse. J’ai, au fil du temps, réussi à collectionner un bon paquet de cho7, slips, teeshirts de mes copains de pension ou de boulot quand on se retrouvait chez eux. Là, je piquais frénétiquement en pensant à ce que j’allais en faire : me branler, les mettre autour de ma bite ou à mon pied ou à mon pif pour les sniffer ! (cho7crade.centerblog.net) 17 Les hommes et les chaussettes, c’est un monde à part. Dans le street unstyle c’est le classique des classiques du mauvais goût et du ridicule, le classique qui ouvre la porte à toute une variété de situations gênantes. Il y a les chaussettes blanches, déjà. Il y a le célibataire bien sapé qui arrive dans une party sur moquette particulièrement décontracté. Tout le monde se déchausse et lui, il hésite au départ et puis il se trouve obligé à suivre l’exemple et finit par exhiber malgré son élégance, une grimace de douleur et de gêne sur le visage, le gros orteil sortant impertinemment d’une chaussette trouée. (Ce dernier restera à jamais gravé dans ma mémoire comme un des épisodes les plus tristes et les plus poignants de l’immense solitude de l’homme). Et puis, il y a les hommes qui ne se séparent jamais de leurs chaussettes. J’étais au parc, par un jour de grand soleil. Il fait beau, il fait chaud et des jeunes hommes à côté de moi se sont confortablement allongés sur la pelouse. Ils gardent avec jalousie et une pointe d’orgueil même leurs sales chaussettes bien usées quasi trouées, ainsi étalées au monde. Le pire reste naturellement la chaussette gardée dans l’intimité mais là c’est vraiment trop, je n’ose pas m’y aventurer. (www.gradivasoup.net) SOCKS Chouchou Christophe Lemaitre Toujours en pointe ! Zut alors ! Mon chouchou Christophe Lemaitre a raté la médaille d’or du 100 m aux Championnats d’Europe d’athlétisme de Zurich parce qu’il portait des chaussettes ! Au musée Asics, à Kobé : “J’ai pu voir que l’une de mes pointes est en vitrine avec ma photo et le résumé de ma carrière.” C’est en tout cas la théorie avancée par le magazine GQ quand il écrivait au moment des JO de 2012 : « On imagine que pour le sprinter français, c’est une question de confort, de sensation de course et plus simplement d’habitude. N’empêche. Pourquoi courir avec des chaussettes quand la quasi-totalité de ses adversaires le fait pieds nus ? » T’inquiète Christophe, les chaussettes font ton style et t’as raison de rester comme t’es ! “Après plus d’un mois de pause, je rechausse les pointes.” Avec des chaussettes, bien sûr ! 18 SOCKS Littérature « Octave avait vingt ans », par Gaspard Koenig (Grasset) Octave, Elise et l’autre ou l’histoire de trois jeunes gens aux amours complexes. « Standard », par Nina Bouraoui (Flammarion) Modeste employé, Bruno est un homme sans qualités, replié sur lui-même, avec la peur de l’autre planant au dessus de sa tête. Mais un jour, en vue d’impressionner une amie d’enfance qu’il doit retrouver, il décide de se mettre au sport… 19 Chaussettes sur le sable Délestée de son haut et de ses chaussures, qu’elle avait lancées au loin en arrivant dans la crique, Elise semblait hésiter. Il lui fallait retirer son pantalon et ses chaussettes avec dextérité, en évitant les contorsions malhabiles qui galvaudent les plus belles couches. (…) Elise n’hésita pas très longtemps. Elle déboutonna son pantalon de toile souple et le laissa glisser lentement, jusqu’aux chevilles. Sans décoller son talon du sol, elle saisit discrètement, avec le pouce de l’un de ses pieds, la jambe opposée du pantalon. Elle prit soin d’accrocher également la chaussette avec son orteil, puis leva la jambe et, pour masquer ce mouvement, se tourna légèrement de côté. (…) Elle réitéra son geste avec l’autre pied, sur l’autre jambe du pantalon, et l’autre chaussette. (…) Il y avait trois jeunes gens, une fille et deux garçons, allongés devant les falaises des Vaches Noires, sur la Côte fleurie, près du Grand Hôtel de Cabourg. Sur la mer, au niveau des premières vagues, flottaient un soutiengorge, un chemisier et une paire de chaussettes. (…) A la gauche de la fille était allongé un jeune homme qui lui tenait la main. Son dos reposait sur le sable. Il était nu des épaules au bas des cuisses, jusqu’où il avait baissé son pantalon noir. Le tissu formait des plis épais et désordonnés, davantage marqués au niveau des genoux, puis redevenait plus lisse en descendant vers les pieds. Les chaussettes, noires également, étaient parsemées de motifs jaunes représentant des jeux de ballon. Ses doigts de pied pointaient vers le ciel, et sur le pouce gauche apparaissait l’un des ballons. (…) La mer vient d’atteindre, à travers sa chaussette, le talon de l’un des deux hommes, et toute sa jambe frissonne. Au vestiaire La petite salle se trouvait au fond d’une impasse, ne payant pas de mine, ce qui plaisait à Bruno : ici, il ne doit y avoir que des boudins, je ne ferai pas tache au moins, avait-il pensé en franchissant la porte du Gym and you. (…) La fille lui avait tendu un cadenas et une serviette-éponge jaune, lui indiquant le vestiaire et lui souhaitant un bon entraînement, mot que Bruno Kerjen n’avait pas entendu depuis longtemps lui qui n’avait plus fait de sport depuis l’armée. Le vestiaire était petit mais propre, un banc séparait les deux rangées de casiers, vides pour la plupart. Il était seul, entendait au loin des voix d’hommes, des coups dans un sac aussi, de la boxe, avait-il pensé. Il se déshabillait vite de peur d’être vu à moitié nu. Il avait acheté chez Décathlon un bas de jogging bleu marine, ressorti ses vieilles Nike Air, il ne manquait ni de tee-shirt, ni de chaussettes blanches et molletonnées, achetées elles aussi par paquets de dix et parfois de vingt pendant les promotions de janvier ou de juin. SOCKS Pub 20