EDI en Chine : Développer une stratégie gagnante pour l`intégration
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EDI en Chine : Développer une stratégie gagnante pour l`intégration
IBM Software EDI en Chine : Développer une stratégie gagnante pour l’intégration B2B 2 EDI en Chine : développer une stratégie gagnante pour l’intégration B2B Récapitulatif Pour leurs achats de produits en Chine, les entreprises multinationales sont confrontées à des contraintes de rentabilité tandis que leurs partenaires commerciaux chinois appliquent des coûts croissants liés à l’inefficacité des processus de leur chaîne logistique. Alors que le gouvernement chinois encourage l’amélioration de l’efficacité des chaînes logistiques pour assurer la compétitivité du pays, le moment est venu, pour les entreprises multinationales occidentales, de s’engager proactivement avec les fabricants chinois pour développer des stratégies et des solutions abordables et mutuellement bénéficiaires permettant de rationaliser les échanges B2B. Pour mener cette transformation, l’échange de données informatisé (EDI) est une technologie essentielle. Mieux connaître le marché B2B en Chine - véritable plaque tournante industrielle du monde Au cours des deux dernières décennies, le gouvernement chinois a fortement encouragé la mondialisation dans ses efforts pour faire de la Chine un leader du commerce mondial. Et cette stratégie a été couronnée de succès. Les réformes économiques et l’entrée de la Chine au sein de l’OMC (Organisation mondiale du commerce) ont contribué à son influence dans son rôle de plaque tournante industrielle et de pays leader en matière d’exportation. Au cours de cette période de croissance, les PME ont contribué à plus de la moitié du volume des exportations chinoises. Près de 96 % des 50 millions d’entreprises chinoises étaient en 2011 des PME, et ce nombre est appelé à progresser de 8 % par an.1 Cependant, malgré leur importance économique croissante, les PME chinoises n’ont pas, en général, massivement investi dans l’informatique, ce qui crée un décalage significatif en terme de technologie avec les entreprises occidentales. Les facteurs ayant contribué à cette situation sont les suivants : • • • L’adoption des applications ERP est fragmentée et lente, car disposant de budgets et d’effectifs limités, les PME utilisent généralement des modules adaptés à ce type d’utilisation, proposés par des fournisseurs locaux. La main-d’œuvre disponible en Chine dans le domaine technologique est souvent limitée, notamment concernant les activités opérationnelles, l’administration et l’intégration technologiques. La règlementation nationale freine la mise en œuvre de services B2B sur le web, du fait du statut de société semi-publique de certains prestataires de services B2B, dont le capital est contrôlé conjointement par le gouvernement chinois et par des acteurs du secteur privé. La restriction des échanges de données à l’intérieur de la Chine et vers l’étranger ajoute aux difficultés à assurer l’efficacité de la communication B2B. Considérés dans leur ensemble, ces facteurs expliquent pourquoi nombre d’entreprises chinoises sont nettement moins préparées à intégrer les transactions B2B et le commerce en ligne que leurs partenaires commerciaux mondiaux. Cependant, cette situation devrait évoluer, car des approches sophistiquées telles que l’échange de données informatisé commencent à s’intégrer en Chine dans les processus métier, permettant ainsi de résoudre l’inefficacité des processus manuels, fondés sur les documents papier. IBM Software Le développement du commerce en ligne en Chine dynamise les investissements informatiques Depuis 2008, le marché du commerce en ligne chinois a progressé en moyenne de 20 % par an. Ce sont les transactions entre entreprises et consommateurs (B2C) qui y ont le plus largement contribué, avec un chiffre d’affaires aujourd’hui multiplié par 10 par rapport à l’année 2008. Cette explosion des échanges B2C a permis au marché du commerce en ligne chinois de progresser sur plusieurs plans :2 • • • Un niveau d’adoption plus élevé : Les consommateurs chinois ont montré, par le passé, des réticences à utiliser le commerce en ligne, notamment du fait de l’impossibilité d’évaluer la qualité d’un produit avant de l’acheter, mais aussi des questions de service après-vente et de sécurité des paiements. Les efforts menés conjointement par les entreprises et le gouvernement ont permis de persuader nombre de consommateurs chinois de la commodité et de l’avantage du commerce en ligne en termes de prix. La demande B2B s’est développée : Sous l’effet de la dynamique du marché B2C, les échanges des PME chinoises avec les acheteurs B2B ont atteint un montant de 500 milliards de dollars en 2011, et le taux de croissance d’une année sur l’autre continue de progresser.3 La concurrence technologique : Conscientes du potentiel de compétitivité qu’offrait la technologie, la plupart des entreprises chinoises ont investi davantage dans les systèmes informatiques pour optimiser leurs processus et rationaliser leurs chaînes logistiques. 3 Évolution du contexte du marché B2B en Chine Le rôle de la Chine, principal exportateur vers les États-Unis et premier pays exportateur au monde, n’a cessé de se renforcer.4 Antérieurement à la crise financière mondiale 2008, les industriels chinois disposaient d’un tel carnet de commandes auprès des entreprises multinationales que ni les co-entreprises, ni les prestataires de services locaux ne voyaient d’urgence à se recentrer sur la gestion des chaînes logistiques et la mise en œuvre d’une véritable infrastructure B2B. À l’époque, ces entreprises s’appuyaient sur des processus manuels, stockaient intentionnellement des marchandises pour assurer des réserves, appliquaient des démarches logiques, mais empiriques, pour la planification de leurs ressources et perdaient beaucoup de temps à réagir aux écarts par rapport aux commandes initiales. Si les entreprises multinationales comprenaient parfaitement les avantages d’une chaîne logistique efficace, il leur était impossible de convaincre les industriels chinois de se consacrer à réformer les leurs. Ces problématiques ont contribué au coût élevé de la logistique auquel les entreprises chinoises ont à faire face aujourd’hui. Après 2008, des changements majeurs ont touché le marché chinois : • • • Les commandes à l’exportation passées par les entreprises multinationales ont significativement diminué du fait de la crise financière mondiale. La réglementation du travail a été renforcée, conduisant à une augmentation des coûts de fabrication. Le yuan, ou le renminbi, devise officielle de la République populaire de Chine, s’est apprécié vis-à-vis du dollar américain, contribuant ainsi davantage encore à l’augmentation des coûts de fabrication. 4 EDI en Chine : développer une stratégie gagnante pour l’intégration B2B D’où les actions mises en œuvre par de nombreuses multinationales : • • • • Poursuite des achats de produits auprès de différents fabricants, offrant à la fois une meilleure qualité et des prix plus bas. Rationalisation accrue de l’efficacité des chaînes logistiques pour réduire les coûts logistiques de réalisation des commandes. Transfert de certaines installations industrielles vers des zones géographiques moins coûteuses, au nord-ouest de la Chine, ou dans des pays comme le Cambodge et le Vietnam. Recentrage des ventes de produits sur le marché chinois plutôt que de se contenter d’exporter vers le marché occidental. Les fabricants chinois se voient contraints de diminuer les volumes exportés et de s’exposer à la concurrence d’autres pays émergents. Pour rester compétitives, les entreprises chinoises doivent maintenir des coûts de logistique faibles en assurant une meilleure visibilité de leurs chaînes logistiques et des prévisions en temps réel. Elles ont aujourd’hui la volonté de collaborer avec les multinationales pour répondre ou s’adapter à leurs demandes de stratégies de chaînes logistiques plus efficaces, en reconnaissant que leur transformation est indispensable pour gagner en compétitivité. Objectif n° 1 en Chine : la logistique de l’information La transformation des chaînes logistiques, notamment avec le pilotage des niveaux de stock par les consommations (Vendor Managed Inventory - VMI), le juste-à-temps (JAT) et les plans, prévisions et approvisionnements concertés (CPFR), impose la mise en œuvre d’un processus de traitement de l’information permettant de diffuser la bonne information, à la bonne personne ou au bon système, au bon moment. L’échange de données informatisé est une solution fondamentale pour améliorer l’efficacité du traitement de l’information, grâce à des fonctionnalités permettant de diffuser rapidement des informations vers les bonnes personnes ou les bons processus. La méthode permet ainsi de minimiser les problèmes de délais et d’erreurs sur les données, d’améliorer la visibilité de la chaîne logistique et de réduire les coûts grâce à des processus métier rationalisés et harmonisés. Le thème du traitement de l’information est si critique concernant la gestion de la chaîne logistique que le gouvernement chinois l’a intégré comme un axe stratégique dans son 12e plan quinquennal.5 Ces plans à cinq ans répertorient des initiatives sociales et économiques définies par le gouvernement chinois, jouant le rôle de repères à l’intention des grandes entreprises et institutions pour leur permettre de définir leurs stratégies et de structurer leurs objectifs. Les initiatives essentielles en matière de chaîne logistique et de gestion de l’information sont les suivantes : • • • Rationaliser les chaînes logistiques pour gagner en efficacité, avec le soutien des autorités publiques, notamment concernant les transactions B2B (entre professionnels), B2G (de professionnels à structures publiques), B2C (de professionnels à consommateurs), B2G2B (entre structures publiques et professionnels) et B2B2C (entre professionnels et consommateurs). Réduire le coût des échanges à l’importation et à l’exportation pour renforcer la compétitivité. Promouvoir le traitement de l’information pour la synchroniser avec la logistique physique. Le soutien officiel du gouvernement concernant la gestion des chaînes logistiques, au travers du 12e plan quinquennal, est de nature à faciliter l’engagement des partenaires commerciaux chinois pour assurer l’intégration des processus et les échanges B2B, base fondatrice des réformes relatives aux chaînes logistiques. IBM Software Approches éprouvées pour les échanges de donnés informatisées en Chine Si les entreprises chinoises revendiquent avoir mis en place des processus B2B et EDI depuis de nombreuses années, elles englobent dans les échanges de données informatisés toute information donnant lieu à un échange électronique. Ce qui concerne aussi bien les formulaires web, l’échange de données par télécopie, les courriers électroniques, les transferts de fichiers, les processus ERP ou encore les échanges de données entre applications au travers de systèmes (qui ne sont pas nécessairement similaires au format standard, notamment ASC X12 (Accredited Standards Committee X12) ou UN/EDIFACT (United Nations/Electronic Data Interchange for Administration, Commerce and Transport). Jusqu’ici, la mise en œuvre de processus B2B et EDI en Chine s’appuyait sur des flux unidirectionnels ou comportant un flux unique de documents commerciaux (par exemple, une commande entre un acheteur et des fabricants). Avec l’objectif prioritaire de rationaliser les chaînes logistiques et la demande d’améliorations facilement accessibles pour répondre aux besoins des multinationales, les fabricants et les distributeurs chinois sont davantage enclins à adopter des solutions B2B et EDI sophistiquées pour leurs processus de logistique de l’information (qui conditionnent la réforme des chaînes logistiques) et à les mettre en œuvre aussi bien pour le marché intérieur que mondial. Les trois facteurs essentiels pour réussir la mise en œuvre de processus B2B et EDI efficaces sont les suivants : 1. Mettre en place une solution B2B et EDI polyvalente –– Intègre les normes d’échange mondiales telles que ASC X12, UN/EDIFACT (electronic data interchange for administration, commerce & transport) et GS1 Extensible Markup Language (XML) –– Permet de répondre à des critères intérieurs, notamment en termes de règlementation officielle et de capacités linguistiques chinoises. –– Est facile d’accès et convivial. –– Apporte la flexibilité nécessaire pour l’intégration des meilleures pratiques d’entreprise. –– Permet l’intégration avec une solution B2B ou EDI existante. –– Permet de gérer différents canaux (par exemple, liaison directe EDI entre applications, entre un processus EDI et un télécopieur, courrier électronique, web), différents formats (par exemple, tableaux, fichiers PDF, formulaires web et courriers électroniques) et différents processus métier (par exemple, pilotage par les processus plutôt que par les documents, ce qui permet d’intégrer parfaitement le processus de chaîne logistique avec les flux de documents B2B). 5 2. Choisir un fournisseur offrant des solutions sophistiquées –– Connaissance approfondie du secteur d’activité et expérience du marché chinois. –– Connaissance des modalités de collaboration à la fois avec les entreprises multinationales et chinoises, pour faciliter la communication. –– Soutien du gouvernement chinois (fournisseur de solutions B2B ou EDI sous licence en Chine). –– Mise en œuvre complète et systématique, et capacités de suivi. –– Présence sur site avec la capacité d’assurer localement le support technique et la formation, dans la langue nationale et en tenant compte du contexte culturel. –– Possibilité d’ateliers de formation pour sensibiliser les fabricants chinois aux avantages des chaînes logistiques et des relations commerciales grâce à la mise en œuvre d’une logistique de l’information et à l’adoption de solutions B2B ou EDI. 3. Se recentrer sur la dynamique commerciale –– Les entreprises multinationales ont la responsabilité de mettre en place des ressources dédiées, de mettre en évidence les avantages pour l’entreprise dans le cycle de vente et de réalisation des commandes et d’évaluer les capacités et les avantages de leurs partenaires commerciaux. Pour résoudre efficacement les défis des échanges B2B en Chine et mettre en œuvre les fonctions standard nécessaires, il est possible d’opter pour un modèle de pôle d’activité hybride, organisé pour intégrer différents canaux, formats et degrés d’intégration selon les niveaux des partenaires concernés au sein de la communauté commerciale chinoise. Les entreprises multinationales servent de plateforme centrale pour définir le rôle des solutions B2B et EDI et les méthodes permettant d’évaluer et d’optimiser les systèmes et les mécanismes d’intégration avec les partenaires commerciaux chinois. Ces partenaires se répartissent en général selon trois niveaux - haut, moyen, basique - avec des critères spécifiques pour chacun d’eux. 6 EDI en Chine : développer une stratégie gagnante pour l’intégration B2B Critères relatifs aux partenaires commerciaux de haut niveau Ce niveau correspond, en général, aux 20 % des partenaires commerciaux d’une entreprise représentant 80 % du volume commercial total.6 Ces partenaires commerciaux incluent les filiales chinoises des entreprises multinationales, les fabricants ou les distributeurs organisés en co-entreprises ou d’autres fabricants ou distributeurs. L’entreprise servant de pôle d’activités peut assurer l’intégration entre applications (notamment l’intégration des ERP ou des systèmes de gestion des commandes) au travers de connexions IP directes (par exemple, EDI-INT [EDI-Internet Integration], AS2 [Applicability Statement 2] ou Secure FTP) ou d’un réseau à valeur ajoutée sécurisé. Le pôle d’activité doit également permettre l’intégration des prestataires logistiques, des fournisseurs d’entrepôts et des usines de production pour la logistique de l’information (gestion et réalisation des commandes). Critères relatifs aux partenaires commerciaux de niveau moyen Ce niveau correspond, en général, à un pourcentage de 60 % des partenaires commerciaux, pour un total représentant en général 19 % des transactions commerciales totales d’une entreprise.7 Ces partenaires englobent généralement les PME locales de fabrication ou de distribution. Les pôles d’activité pilotés par des entreprises multinationales peuvent proposer des systèmes EDI à ces partenaires en intégrant des formulaires web interactifs. Cette interactivité s’appuie sur une véritable collaboration fondée sur un ensemble complet de documents commerciaux, indispensables au fonctionnement du pôle d’activité et assortis d’alertes pour les partenaires. En outre, les partenaires commerciaux ont la capacité de gérer les flux de transactions commerciales et bénéficient d’une visibilité sur les processus essentiels de la chaîne logistique. Les formulaires web interactifs peuvent être mis à disposition sur site par le fournisseur de solutions, dans les locaux du pôle d’activité, ou par le biais d’un prestataire de services à valeur ajoutée en intégrant une solution SaaS (software-as-a-service) B2B. Critères relatifs aux partenaires commerciaux de niveau basique Le niveau basique correspond, en général, à un pourcentage de 20 % des partenaires commerciaux représentant 1 % des transactions commerciales totales d’une entreprise.8 Ces partenaires englobent généralement des PME ou des TPE de fabrication ou de distribution. Dans leur rôle de pôle d’activité, les entreprises multinationales apprécient d’intégrer des partenaires commerciaux de ce niveau dans leur stratégie B2B du fait du coût par document appliqué pour le traitement manuel des documents. Les échanges de données EDI vers télécopie, EDI vers fichiers PDF et EDI vers tableur constituent des solutions d’intégration pour ces partenaires commerciaux de taille modeste. Pourquoi choisir IBM pour mettre en œuvre des solutions EDI en Chine ? L’échange de données informatisé est un outil de plus en plus essentiel pour les entreprises opérant en Chine pour gagner en efficacité et améliorer les processus de collaboration, et ce, tout en contribuant aux exigences de conformité et de respect de la réglementation. Les solutions EDI proposées par IBM® aident les entreprises à relier et à construire de manière plus sécurisée des communautés de partenaires grâce aux offres éprouvées IBM Sterling B2B Cloud Services. Nos solutions de services à la demande et d’externalisation des prestations peuvent être mises en œuvre rapidement, avec des coûts de démarrage très faibles, et une évolutivité aisée pour répondre aux besoins croissants de l’entreprise. Pour répondre aux besoins des entreprises multinationales qui souhaitent établir des échanges avec des partenaires commerciaux chinois, IBM s’est associé avec IT Associates Corporation, filiale d’eCOM, prestataire de services de réseau fiable, implanté localement et agréé par le gouvernement chinois. Les entreprises multinationales qui souhaitent soutenir une initiative s’adressent à un fournisseur unique, IBM, et ses partenaires commerciaux chinois bénéficient des prestations d’eCOM, prestataire de services B2B le plus expérimenté en Chine aujourd’hui pour la mise en œuvre complète de ressources EDI, mais aussi l’intégration, la formation et le support technique des partenaires. IBM Software À propos d’eCOM Ce document n’aurait pas été réalisable sans la vision du marché chinois que possède eCOM. Fournisseur de référence de solutions et de services e-commerce B2B, eCOM propose les offres IBM Sterling B2B et les solutions de transfert de fichiers externalisées, auxquelles s’ajoutent les prestations de conseil en matière de chaînes logistiques et d’échanges de données informatisé, ainsi que les prestations de développement, de mise en œuvre, d’intégration de partenaires et de support technique client. Partenaire privilégié d’IBM et de Sterling Commerce depuis plus de 15 ans, eCOM est le seul revendeur de solutions IBM Sterling B2B Collaboration Network (également baptisées solutions SCN ou IBM Sterling VAN) pour la Chine, Hong Kong, Macao, l’Australie et les Philippines. Pour en savoir plus 7 Pour en savoir plus sur les solutions EDI et B2B destinées au marché chinois, contactez votre interlocuteur commercial IBM ou votre partenaire commercial IBM, ou visitez le site : ibm.com/software/commerce/b2b/b2b-integration/ cloud-services IBM France 17 Avenue de l’Europe 92275 Bois Colombes Cedex IBM, le logo IBM et ibm.com sont des marques d’International Business Machines Corp., déposées dans de nombreux pays du monde. Les autres noms de produits et de services peuvent être des marques d’IBM ou d’autres sociétés. Une liste actualisée des marques déposées IBM est accessible sur le web sous la mention « Copyright and trademark information » à l’adresse www.ibm.com/legal/copytrade.shtml Le présent document est proposé dans sa version actuelle à sa date initiale de publication et peut être modifié à tout moment par IBM. Toutes les offres ne sont pas disponibles dans tous les pays dans lesquels IBM opère. Les exemples de clients cités ne sont présentés qu’à des fins d’illustration. Les performances réelles peuvent varier selon les configurations et les conditions de fonctionnement spécifiques. Il appartient à l’utilisateur d’évaluer et de vérifier le fonctionnement d’autres produits ou programmes avec les produits et programmes d’IBM. LES INFORMATIONS CONTENUES DANS CE DOCUMENT SONT FOURNIES « EN L’ÉTAT », SANS AUCUNE GARANTIE EXPRESSE OU TACITE, NOTAMMENT SANS AUCUNE GARANTIE DE QUALITÉ MARCHANDE OU D’ADAPTATION À UN EMPLOI SPÉCIFIQUE, ET SANS AUCUNE GARANTIE OU CONDITION DE NON INFRACTION VIS-À-VIS DES LOIS. Les produits IBM bénéficient d’une garantie conforme aux conditions générales des contrats dans le cadre desquels ils sont mis à la disposition des clients. Il appartient au client de s’assurer du respect des lois et des réglementations qui lui sont applicables. IBM ne fournit aucun avis juridique et n’assure en aucun cas que ses produits ou ses services garantissent le respect par le client des lois et réglementations en vigueur. 1iResearch Consulting Group, « China SME B2B E-Commerce Sector Research: 2011-2012 », 26 avril 2012, www.iresearchchina.com/ reports/4138.html 2IBM, « IBM Market Insights: B2B online study and future outlook China », 9 novembre 2012. 3Ibid. 4U.S. Census Bureau, « 2012: U.S. trade in goods with China », septembre 2012, www.census.gov/foreign-trade/balance/c5700.html 5Gouvernement de la République populaire de Chine, « National economy and social development in the 12th five-year plan outline, chapters nine and 13 », 2011, www.gov.cn/2011lh/content_1825838_4.htm 6Basé sur des estimations eCOM. 7Ibid. 8Ibid. © Copyright IBM Corporation 2013 Veuillez recycler ZZW03194-FRFR-01