Sergent Garcia PR Francais
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Sergent Garcia PR Francais
Cumbancha Présente: UNA Y OTRA VEZ LE GRAND RETOUR DE SERGENT GARCIA La star du salsa-reggae revient avec un superbe album explorant de nouvelles directions et puisant son inspiration du côté de la bouillante scène colombienne. Sortie en L'Europe: 21 mars 2011 Sortie en États-Unis, Canada, Amérique latine: 17 mai 2011 www.cumbancha.com / www.sergentgarcia.com Press Kit: http://www.cumbancha.com/sergentgarcia/press Sergent Garcia, une des stars de la scène musicale européenne, s'apprête à sortir Una y Otra Vez, son premier album depuis cinq ans,. Un pionnier dans le métissage du rock et des musiques du monde, Sergent Garcia a été l’un des premiers à mélanger l’esprit punk aux musiques caribéennes, à la salsa et au reggae. Cette nouvelle aventure musicale s’en va cette fois-ci du côté de la Colombie pour plonger dans ce qui est à l’heure actuelle l'épicentre de la foisonnante création musicale sud-américaine. Prévu pour le 21 Mars, l’album Una y Otra Vez marque aussi le retour de Sergent Garcia à ses racines indépendantes avec un nouveau partenaire, le label Cumbancha. Avec la sortie de cinq albums très populaires sur le label Virgin entre 1997 et 2006, Sergent Garcia est rapidement devenu une star internationale créant par la même occasion un style qui lui est propre, le "salsamuffin" et jouant sur les scènes du monde entier. Il est aujourd’hui l’une des figures de proue du mouvement alternatif Latino. Quand il commence à se plonger dans ses racines latines avec Sergent Garcia, Bruno Garcia est loin d’être un inconnu. Il a été dans les années 80/90 l’une des stars de la scène punk rock alternative française avec le groupe Ludwig von 88. Parallèlement à cette période punk couronnée de succès, il fait partie de Bawawa Sound System dans lequel il apparait sous le nom de Sergent Garcia et ils travaillent avec différents groupes de la scène hip hop, afro, parisienne (Timide Et Sans Complexe, Bo Prophet etc...), puis ses pérégrinations musicales l’amèneront du côté de Cuba et des sonorités brûlantes de la musique latine. Le mélange des cultures n’a jamais été un mystère pour le chanteur. Né d'un père basque espagnol et d’une mère française avec des racines allant jusqu’en Algérie et en Côte d'Ivoire, Bruno a vécu les premières années de sa vie à Bilbao, en Espagne avant de s’installer avec sa famille à Paris quand il avait cinq ans. A cette époque, la célèbre série télévisée Zorro est suivie par tous les enfants. Son libidineux Sergent Garcia, l’ennemi juré de Zorro dans la série, est très populaire, si bien que le petit Bruno est rapidement rebaptisé de ce sobriquet dans la cour d’école. Plutôt que de se rebeller contre ses camarades, il commence se faire à l’idée de revêtir le nom du sympathique anti-héro. "Tout le monde veut être Zorro», explique Bruno, "et bien pas de problème, je serai Sergent Garcia. Je pense que c’est lui le véritable homme du peuple et non Zorro qui est, à y regarder de plus près, un propriétaire terrien, un aristocrate." C'est au cours d’une tournée de 2005 en Amérique du Sud que Bruno a la chance de découvrir la richesse de la scène musicale Colombienne. «La Colombie est un pays incroyable. Il y a des groupes excellents qui jouent sans arrêt, dans la rue, dans les bars, partout; Beaucoup de styles différents, beaucoup de gens qui jouent de la musique, qui font de l'art; ce voyage a été une vraie révélation», explique Bruno, «Et le peuple, la vibration de la population colombienne est formidable…" Durant son séjour dans le pays, Bruno travaille avec Richard Blair du groupe Sidestepper sur un EP de cinq titres intitulé “Cumbiamuffin”. Après cette expérience, il sait dès lors qu'il lui faut y revenir pour produire un album avec des rythmes et des musiciens locaux. Ainsi nait le projet Una y Otra Vez. L'album a été enregistré sur plusieurs périodes et à différents endroits. Bruno et Ivan Darroman Montoya, le percussionniste cubain de Sergent Garcia et co-producteur des albums du groupe depuis dix ans, ont tout d’abord commencé à élaborer les arrangements et les compositions à Valence, en Espagne. Ils sont ensuite partis pour Paris pour enregistrer les maquettes avec le reste du groupe. Destination finale: la Colombie où Bruno a réuni l’équipe des musiciens locaux rencontrés lors de ses précédents voyages; parmi eux Jacobo Velez, clarinettiste et leader du groupe La Eléctrica Mojarra; Erika Muñoz, l'une des chanteuses du groupe Sidestepper, les pionniers de l’electrotropical; des musiciens du groupe La-33, les étoiles montantes de la salsa colombienne; et Li Saumet, la chanteuse de Bomba Estéreo. « je voulais réunir pour ce disque tous ces musiciens qui sont la crème de la scène musicale Colombienne actuelle», note Bruno. La chanson-titre "Una y Otra Vez" est un hymne au courage et à la résistance. Trouver la lumière et la force de lutter contre l'oppression mentale et économique engendrée par la dureté de la vie, tel est le message de ce titre. «Et même si nous tombons mille et une fois », chante Sergent Garcia: «Nous renaitrons à chaque fois avec toujours plus de force et de courage." C'est un message qui puise sa force dans les expériences propres à Sergent Garcia durant ces années où il a dû lutter pour son indépendance artistique et pour retrouver son inspiration. Le titre "Yo Soy salsamuffin" (je suis salsamuffin), le premier single issue de l'album, accompagné par le chanteur espagnol de ragga-reggae Supa Bassie, pose les principes de la recette du métissage musical du Sergent: "Cumbia, ragga, dancehall et son / Un savoureux mélange de rythmes portés par cette chanson / Mexique, Colombie, Cuba, la Jamaïque, tous unis / Avec la Méditerranée faisant le lien / Uptown, Downtown, la fête a commencé / De Valence à Bogota en passant par Guantanamo / De Monterrey à Mexico City à travers les magnifiques paysages du Jalisco / De Santiago à La Havane en passant par Kingston…" Le clip de «Yo Soy salsamuffin" a d’ailleurs été tourné dans les rues de Bogota sur l’une de ces "chiva Rumbera", ces autobus colorés transformés en club salsa tonitruants qui sillonent la plupart des villes de Colombie. "Chacun Son Combat” accorde riffs de guitare électrique avec un groove aux accents boogaloo et une section de cuivres haute en couleur. Le titre est un peu l’histoire du musicien rebelle comme il le chante lui-même: «Aujourd'hui, c’est chacun son combat / chacun sa famille, chacun sa mafia / ma famille à moi c’est Paris, Kingston, Kinshasa / ma famille à moi c’est le sourire d'un petit frère d’où qu’il soit.". Sur la rythmique et les cuivres balkaniques de «Ojos Inocentes" (yeux innocents) Bruno chante, «Prêtemoi tes yeux innocents / Pour voir par-delà l'horizon / Là où l'homme est né libre, vit libre et n’a pas peur de la mort. " Comme il l'a prouvé maintes fois, le chanteur n'a jamais été du genre à laisser les difficultés prendre le pas sur son travail et sa vie. Sur "Mi Son Mi Friend" (ma musique, mon ami), il chante en duo avec Liliana Saumet la chanteuse du groupe Bomba Estereo la capacité de leur musique à faire tomber les barrières, servis par des rythmes électro-cumbia: "Mon reggae dancehall est une arme mortelle / Ma musique, mon ami, elle emporte tout sur son passage / Personne ne peut lui résister, elle n'a pas de rival / Cette musique tue l'ignorance / Tout ce que nous souhaitons c’est la sagesse de pouvoir nous développer / C'est pourquoi, mon ami, nous plantons ces graines / Danse, danse. Je vais t’en mettre plein les oreilles" "Vasito de Agua" (petit verre d'eau) poursuit ce voyage à travers le paysage musical colombien avec un virage vers la côte Pacifique du pays. Ici la polyrythmie traditionnelle des percussions afrocolombiennes se mêle à de l'accordéon et à la voix de Marlen Obregón, la chanteuse du groupe Mojarra Eléctrica, native de cette région. Des échos de gaita une flûte traditionnelle colombienne se font entendre dans la clarinette de Jacobo Velez, tandis que Bruno et Marlen chantent sur le thème du mysticisme et des prières inspirées par les cultures amérindiennes et afro-caribéennes. "El Baile del Diablo" (La Danse du Diable) est un titre sur lequel est invité Rocca du groupe de rap colombien Tres Coronas, très célèbre en Colombie. Le groove funky semblant s’échapper de Spanish Harlem dénonce les manigances et les mensonges des politiciens et des dirigeants du monde entier. Un style de commentaire social incisif et tranchant dont Sergent Garcia s’est fait le chantre. Il n’abandonne cependant pas ses racines reggae sur Una Y Otra Vez, et des morceaux tels que "Même Si" et «Brujeria» (sorcellerie) satisferont pleinement les amateurs du genre. Le chanteur prouve aussi sa maîtrise de la rumba afro-cubaine traditionnelle avec "En Mi Mochila" (“Dans ma besace”) en s'attaquant pour la première fois à un boléro romantique avec "Boléro Nuevo", sans pour autant s’y attarder, le titre se tranformant rapidement en un ska luxuriant. L'album comprend aussi un titre aux couleurs R&B, "To Mi To Mi" ainsi qu’un ska latino ludique, "Acho Bai Bai." Avec ce foisonnement de titres ensoleillés, Una y Otra Vez est à coup sûr l’un des albums les plus excitants de Sergent Garcia. Bruno Garcia est très enthousiaste à l’idée de présenter ce nouvel opus au public. «Le disque va bientôt sortir et j’ai hâte d’arriver au printemps pour commencer à le promouvoir», déclare Bruno, «Vous n’allez pas vous débarrasser de moi comme ça! Je vais continuer à prêcher mon message sur toute la planète". Il en est de même pour le groupe Sergent Garcia, avec lequel il part à nouveau en tournée à travers l'Europe et le monde, avec un point de départ le mercredi 23 mars, au Chorus des Hauts de Seine, pour ne pas arrêter ces 2 prochaines années. Ne manquez pas ce rendezvous!