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MORPHÉUS N° 34 Juillet / Août 2009 MORPHEUS LE JOURNAL QUI SORT DES SENTIERS BATTUS / Vous pouvez télécharger toutes nos publications sur : www.morpheus.fr D epuis une dizaine d’années, les menaces de pandémies, Sras, grippes H5N1 et H1N1, se répètent sans livrer tous leurs secrets tout en profitant aux laboratoires pharmaceutiques qui bénéficient de la confiance aveugle des autorités sanitaires internationales et nationales. Pourtant, la Cour des Comptes, comme le Sénat, reconnaissent que «la politique du médicament est inféodée aux lobbies pharmaceutiques», tandis que «la formation et l’information des médecins sont assurées essentiellement par ces mêmes laboratoires» (rapport de la Cour des comptes sur le budget de la sécurité sociale, septembre 2001). De plus, ces mêmes laboratoires «ne communiquent que 1 % de leurs données officielles à l’Agence de sécurité sanitaire des médicaments avant la commercialisation» (Pr le Duff, directeur du Crim). Pourtant, fin avril 2003, Santé Canada décidait déjà de ne plus fournir l’accès habituel au Ribavirin, l’antiviral commercialisé pour le traitement du SRAS par le laboratoire Roche et largement prescrit jusque-là. Un groupe de travail composé d’experts et de cliniciens du Canada et de représentants des CDC américains en était «arrivé à la conclusion qu’il n’y avait aucune preuve pour appuyer l’utilisation continue du Ribavirin en dehors des essais cliniques à ce stade-ci». (voir documents extraits du livre «La crise aviaire ou la culture du mensonge», aux éditions de Guibert, 2007). En janvier 2004, dans un contexte proche de la psychose entretenue par l’OMS et relayée par les médias, et suite à l’annonce faite par les laboratoires Roche à l’OMS, concernant son remède qui, à partir de son action sur le rat, «pouvait être efficace dans les premières phases de la grippe du poulet transmise à l’homme», les pays riches constituent à prix d’or des réserves de Tamiflu® pour traiter, selon les recommandations de l’OMS, au moins 25% de la population. Face au virus H5N1, le Tamiflu se révéle chez l’homme guère plus efficace qu’un placebo, mais avec de nombreuses résistances ainsi que des mutations inquiétantes au Japon (Voir brochure CRI-VIE en page 2). A peine l’hypothétique menace de pandémie H1N1 officiellement reconnue fin avril dernier, OMS et CDC nous annoncent 48 heures plus tard, que le Tamiflu est efficace contre le virus H1N1, alors qu’un autre H1N1 lui est majoritairement résistant, selon le Pr Sylvie Van der Werf, directrice d’une unité de recherches à l’Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord (Le Figaro, 4 juin 2009)… D’autre part, les campagnes de vaccination «préventives» contre le virus H5N1, instaurées dès 1997 en Chine puis, en 2005, en Chine, en Indonésie et au Vietnam, ont été un échec. Ces trois pays, ainsi que l’Egypte importatrice de poulets, notamment chinois, n’ont toujours pas maîtrisé la grippe aviaire H5N1, tant chez les volailles que chez l’homme (67 cas humains en Indonésie, 16 cas au Vietnam, 18 en Chine et 44 cas en Egypte depuis novembre 2006) (voir brochure CRI-VIE). Comment, dans ces conditions, tandis qu’ils sont particulièrement mutagènes, peut-on espérer maîtriser ces virus H5N1 et H1N1 par les antiviraux et la vaccination, qui peuvent, de surcroît, favoriser la sélection de germes plus virulents par le constant phénomène de commutation, et alors que la vaccination contre la grippe saisonnière n’a jamais apporté la preuve de son efficacité? (voir brochure CRI-VIE). De plus, la survenue de nouvelles menaces de pandémie ne peut être une surprise pour les professionnels de la santé publique. Les conditions d’élevage intensif constituent en effet «des réacteurs biologiques à microbes» (voir brochure CRI-VIE), raison pour laquelle l’American Public Health Association a juillet 2009 MORPHÉUS N°34 appelé à un moratoire sur les élevages industriels dès 2003. Le Guardian du 27 avril dernier, le Los Angeles Times du 28 avril et The Independant du 1er mai, n’ont d’ailleurs pas hésité à montrer du doigt les usines à virus de l’industrie agro-alimentaire, et notamment une méga-porcherie produisant près d’un million de porcs par an et appartenant à une multinationale américaine, le groupe Smithfield venu au Mexique pour fuir des problèmes judiciaires aux USA (22 000 poursuites) et s’établir «dans des endroits habités par une population fragile et facile à faire taire». Cette entreprise est située à 8 km de La Gloria, où le premier cas de grippe a été observé chez un enfant qui a contracté la maladie le 2 avril. Parmi les 2 243 habitants de La Gloria, 1 800 d’entre eux avaient présenté une affection respiratoire aiguë, trois enfants en étant décédés, alors que la moitié des habitants du village vit et travaille à Mexico durant la semaine. Une équipe d’experts de l’ONU, déléguée sur place début mai, devait tenter de déterminer le lien éventuel entre la nouvelle souche H1N1 et cet élevage de porcs... Déjà les seuls à tirer les bénéfices de la «spéculative» menace bioterroriste en 2001, ainsi que le signalait le Washington Post dans son édition du 5 décembre 2002, les fabricants de vaccins et les laboratoires Roche et GlaxoSmithKline seraient-ils les grands vainqueurs de «la» pandémie, inéluctable pour certains experts en vue, l’OMS et bien entendu les laboratoires ? Selon le Journal du Dimanche du 30 mai dernier, la France s’orienterait ainsi vers une campagne de vaccination contre la grippe A (H1N1) à l’automne, pour un coût total d’un milliard d’euros. Après avoir commandé 50 millions de doses à GlaxoSmithKline, la France devrait en commander 50 autres millions à Sanofi et Novartis ; ces trois labos ayant par ailleurs reçu des commandes des USA, de la Grande-Bretagne… Dans cette optique de massive double campagne de vaccination contre la grippe saisonnière et la grippe H1N1, recommandée pour tous par le Pr Sylvie Van der Werf (Le Figaro, 4 juin 2009) - et peut-être rendues obligatoires - , le citoyen a le droit de pouvoir apprécier le réel bénéfice/risque de tels vaccins, qui n’ont jamais fait la preuve de leur efficacité au niveau de la grippe saisonnière, alors que dans les menaces de pandémies, comme en 1976 aux USA, leur utilisation a dû être suspendue devant les centaines de décès et de paralysies provoqués (voir bro- SOMMAIRE Vaccination Systématique!?..........1 Edito : Remède Pire que le Mal.....2 Alerte de l’Association CRI-VIE......2 Rumeur de Moscou : Ivashov.........2 Demure : Demeuré?.........................2 Face au Terrorisme Vaccinal du N.O.M. Christian Cotten..................3 Bilderberg 2009................................4 Ecologie au Service du NOM.........5 L’OMS Censure L’Impact du chure CRI-VIE), tandis que par le constant phénomène de commutation, de telles vaccinations peuvent favoriser la sélection de virus plus virulents et agressifs. L’association Cri-vie, qui prône une recherche et une information transparentes en matière de santé, entend défendre les intérêts légitimes des citoyens. C’est pourquoi, après avoir reçu le résumé des caractéristiques du vaccin, nous ne manquerons pas de réaliser des expertises indépendantes - européenne et française - pour nous assurer de son absence de dangerosité et de sa totale sécurité. La directive européenne sur le droit à la consommation de juillet 1985 est on ne peut plus claire en la matière, en précisant qu’«un produit est défectueux, dès qu’il n’offre pas la sécurité à laquelle chacun peut légitimement s’attendre». Plutôt que de se focaliser sur les seuls vaccins et antiviraux dont l’efficacité, pour les uns et les autres, n’a encore jamais été démontrée -, il serait judicieux de faire appel à des méthodes d’approche et de traitement qui ont fait leurs preuves, tel l’hygiène de vie (qui ne se limite pas à l’indispensable lavage des mains), le chlorure de Magnésium, les huiles essentielles… sans oublier la confiance - reposant sur une information transparente - puisque la peur s’avère plus contagieuse que tous virus ou bactéries. Dr Marc VERCOUTERE Président de la CRI-VIE. CRI-VIE, 3 bis rue Henri Faisans 64000 PAU - tél : 05.47.41.50.22 mail : [email protected] Nucléaire..........................5 Obama Grand Illusionniste...........5 Anciens de la NSA, CIA, FAA, FBI Réfutent la Version Ofcielle du 11/09.....5 Sarkozy Hué au Gabon....................5 Révolution Surunitaire.......................6 L’Antigravité pour les Nuls..............7 Le Terrible Secret de Tim Geithner....8 Reproduction autorisée avec mention de la source MORPHÉUS N°34 Parution bimestrielle © 2004-2009 Téléchargez toutes nos publications sur : www.morpheus.fr VA C C I N AT I O N A LERTE L Services de Santé de la Banque DE L’ASSOCIATION CRI-VIE Mondiale en Folie ou Incompétents? ’Association CRI-VIE se constitue en Cellule Citoyenne de Veille Sanitaire. Son objet est de vous informer sur les risques pandémiques avérés ou fictifs mais également sur les risques et conséquences d’une vaccination systématique. Cette dernière, si elle est imposée en Occident, fera l’objet d’études concernant les phénomènes de commutation liés à l’usage de virus atténués dans les vaccins ainsi que les effets mutagènes des antiviraux type Tamiflu et autres. En clair, si une pandémie virulente surgit après une vaccination de masse contre la grippe bénigne H1N1, la relation de cause à effet sera établie et engagera ipso facto la responsabilité des politiques à l’origine de telles mesures sanitaires. Particuliers et associations pourront alors se porter partie civile dans des procès contre l’Etat voire contre des institutions comme l’OMS. Par ailleurs, CRI-VIE informe les citoyens sur les mesures sanitaires à prendre en cas de pandémie. De plus, il vous sera utile de connaître quelle attitude avoir et quelles dispositions prendre si les autorités vous imposent de signer un document pour refus de vaccination. Ce fichage en règle n’aura pas lieu si vous suivez les recommandations de CRI-VIE. En vertu du droit européen qui supplante même des lois d’exceptions du gouvernement français vous disposerez de solutions... Les informations de CRI-VIE passent quotidiennement sur Radio Morphéus que vous pouvez écouter sur internet à l’adresse : www.radio-morpheus.com. La radio permet une très Edito UN REMEDE PIRE QUE LE MAL! T MOND IALE rente fabricants de vaccins dont Novartis, Sano, Solvay, GSK se sont réunis à Genève sous l’égide de l’OMS. L’objectif afché est clair : produire 4,9 milliards de doses vaccinales contre le H1N1. De telles dispositions face à la grippe A ne se justient pas, dans la mesure où ce virus grippal n’est pas plus virulent qu’une grippe classique. La couverture médiatique de cette pandémie est afigeante, le passage au niveau d’alerte 4, 5 puis 6 est tout aussi ridicule. Alors s’agit-il seulement d’une affaire de restructuration du monopole mondial de la santé? S’agit-il de sauver nancièrement des groupes destinés à se partager le gâteau mondial de la Santé du Nouvel Ordre Mondial? Les milliers de milliards destinés à ces groupes pharmaceutiques sont ponctionnés sur le budget des états et les contribuables vont en être pour leur frais économiquement et peut-être aussi sanitairement. composition génétique afin de déterminer si l’origine est naturelle ou artificielle. 4°) Développement d’informations radiophoniques, médiatiques, communications, publications et autres pour informer nos concitoyens des résultats. grande réactivité pour mieux vous informer au jour le jour. Radio Morphéus en est à ses tous débuts mais elle est opérationnelle pour une information citoyenne d’urgence dans une telle situation. Nous y travaillons techniquement et consciencieusement. Parallèlement, CRI-VIE tiendra un cahier des charges rigoureux dans d’autres domaines. Quelques moyens financiers sont déjà parvenus à cette Cellule Citoyenne de Veille Sanitaire mais ils demeurent largement insuffisants pour les recherches sur les solutions vaccinales : 1°) Recherche de tout produit nanotechnologique ou cristaux informés qui ont pour «habitude» de se loger au niveau du cerveau. Cette analyse requière l’usage d’un microscope électronique par un physicien chevronné… 2°) Recherche de tout produit chimique, métallique, génétique, adjuvant type MF59 potentiellement dangereux pour le système immunitaire. 3°) Recherche sur les souches des nouveaux virus et leur Ad ju v a n t MF 5 9 e t Co mmu ta tio n Les nouveaux vaccins auront comme adjuvant du MF59, dont des études récentes révèlent qu’il provoque des maladies auto-immunes chez le rat (type sclérose en plaques, lupus, arthrite). Ce fait est d’autant plus grave que nous allons aussi être confrontés au phénomène de commutation du virus. La commutation désigne le passage du patrimoine génétique d’un virus mort ou atténué, à des cellules saines qui peuvent alors reproduire une forme virale mutante plus virulente et tueuse. Ce phénomène est reconnu par de plus en plus de médecins et chercheurs. Les antiviraux accentuent également les processus de commutation, accélérant la mutation des virus. En vaccinant et en utilisant par exemple du Tamiu, vous avez une formule explosive qui fait de votre corps un véritable incubateur. Le virus atténué du vaccin transmet son patrimoine génétique à des cellules saines. Cette commutation est favorisée par les antiviraux. Pire encore, l’adjuvant MF59 créant des déciences immunitaires, il amène le vac- juillet 2009 MORPHÉUS N°34 Il nous semble évident que nous ne pouvons avoir d’impact que si nous présentons des informations purement scientifiques. Le débat sur les vaccinations n’est en rien et n’a jamais été un simple débat d’opinion. C’est un problème scientifique qui requiert les données les plus objectives possibles. Aucune idéologie ne saurait être sous-tendue par cet épineux problème. Seules des données claires vérifiables et vérifiées feront pencher la balance vers une politique sanitaire digne de ce nom. Si vous souhaitez aider pour la mise en œuvre de cette Cellule Citoyenne de Veille Sanitaire, scientifiques, médecins, laborantins, simples citoyens, associations, entreprises, agents de la sûreté nationale ou membres de l’armée, vous êtes tous les bienvenus. La première brochure d’information citoyenne de CRI-VIE est présentée ci-dessus. C’est un document de 50 pages qui retrace l’historique de l’apparition des virus Sras, H5N1 et H1N1 ainsi que la gestion du traitement par antiviraux et vaccins. Elle relate également les dispositions à prendre en cas d’obligation vaccinale maquillée. P our le Dr Bernard Demure, directeur des services de santé de la Banque Mondiale, la course à l’arme vaccinale et la constitution de stocks d’antiviraux se justifient parce que «nous n’avons pas d’autre choix que d’être préparés», tout en reconnaissant que «la réelle difficulté tient à ce qu’on ne sait pas à quoi il s’agit de faire face […] la question clé est de modifier les comportements. Au-delà de ça, espérons que la chance sera de notre côté!» En clair, il faut se préparer sans savoir «à quoi il s’agit de faire face», en comptant sur la chance! C’est une politique de santé aveugle, qui semble ne pas faire cas de données scientifiques établies depuis des lustres, mais propose des stocks de médicaments tout simplement parce qu’ils existent. C’est inepte!!! Par ailleurs, lors de la précédente crise H5N1, David Stout, président des opérations pharmaceutiques du groupe GlaxoSmithKline, avait déclaré qu’il était «très inhabituel» qu’un gouvernement commande un produit qui n’a pas encore reçu les approbations sanitaires, comme c’est le cas pour ces vaccins… CRI-VIE brochure d’information sur le H1N1 (12,00€) Paiement à l’ordre de : CRI-VIE, 3 bis rue Henri Faisans - 64 000 PAU tél : 05.47.41.50.22 ciné à ne plus pouvoir lutter contre un virus mutant. Nous avons là, avec les directives de l’OMS, la mise en place de dispositions sanitaires qui, loin d’endiguer une pandémie, risquent au contraire, d’en provoquer une. Les remèdes employés sont si mutagènes et si déstabilisants pour le système immunitaire, qu’ils vont produire des souches virales mutantes non contrôlées et non contrôlables. Si ce programme est appliqué à la lettre attendez vous à des grippes B, C, D jusqu’à Z. Comme d’habitude, les autorités sanitaires justieront la vaccination systématique par les conséquences même de cette vaccination. Nous aurons alors, comme en 1918 lors de la grippe espagnole, une pandémie dont la source viendra des vaccinés même. Justier une politique sanitaire par les conséquences désastreuses de cette même politique est malheureusement courant. Mais tous les individus de cette planète ne sont pas obligés de marcher sur la tête, surtout quand l’enjeu est leur survie… Frédéric Morin 2 LA RUMEUR DE MOSCOU MOSCOU, 25 mai 2009 - RIA Novosti. L e virus de la grippe A/H1N1 a été créé de façon artificielle pour réduire la population de la Terre, estime Leonid Ivachov, ancien chef de la Direction de la coopération militaire internationale du ministère russe de la Défense et président de l’Académie des problèmes géopolitiques. «De mon point de vue, l’attention soutenue portée au problème nucléaire permet de détourner l’opinion publique des principales menaces que sont les épidémies», a déclaré lundi à RIA Novosti M.Ivachov. Selon lui, toutes les épidémies actuelles ont été créées dans des laboratoires. «Les médecins militaires détiennent la formule de la pneumonie atypique qui a donné naissance au virus. La grippe aviaire a également une origine artificielle», a noté l’expert. Commentaires : «L’expert ne nous parle cependant pas de Commutation, pourquoi??? Sources : http://fr.rian.ru/world/20090525/121733869.html www.morpheus.fr VA C C I N AT I O N MOND IALE F AIRE FACE AU TERRORISME VACCINAL DU N.O.M. S ans doute depuis la nuit des temps, sans doute dans toutes les tribus et cultures du monde, la médecine est une affaire de sorciers, magiciens, chamans, hommes-médecines : la fonction sacerdotale, représentée par l’archétype gaulois du druide de bande dessinée, donne tout autant prêtres, curés, imams, rabbins que magistrats en robes noires et médecins en robes blanches. Sans doute depuis la nuit des temps, magiciens, sorciers et herboristes - médecins et guérisseurs - ont aidé leurs frères humains à mieux vivre et mieux mourir. Dans le même temps, les mêmes - ou quelques-uns d’entre eux, «jouent aux cons». Autrement dit, de toute éternité, l’on trouve autant d’herboristes-guérisseurs que d’herboristes-empoisonneurs, par intention ou par erreur, mais trop souvent menteurs, voleurs et tueurs. Même si l’humain a su évoluer en matière de technologies de maîtrise de la nature, il n’est guère difficile de constater que l’humain n’a guère grandi en sagesse : dans nos sociétés modernes, les herboristes-empoisonneurs continuent leurs sinistres offices. Aujourd’hui, ils s’appellent laboratoires pharmaceutiques multinationaux et fabricants de vaccins ou de semences génétiquement modifiées. Si la taille et les moyens d’actions ont changé, les principes fondamentaux sont restés les mêmes : fantasme mégalomaniaque de toute puissance, sentiment de vérité, prétention démesurée à des pouvoirs magiques prétendus scientifiques. Nous avons au moins pour partie dans nos sociétés modernes retiré au sorcier ou curé de village le pouvoir magique de guérir mais nous l’avons donné en lieu et place aux représentants des religions prétendument rationnelles. Nombre de scientifiques dissidents ont démontré depuis longtemps que les systèmes scientifiques officiels fonctionnent en réalité comme des religions, sous leurs plus mauvais aspects : croyances limitantes et illusoires, dogmes rigidifiés et obsession du contrôle des corps, des sexes et des consciences, qui se traduisent notamment par la chasse aux chercheurs créatifs hors normes. Et les résultats commencent très sérieusement à devenir catastrophiques : les alchimistes noirs de la science, enfermés dans leurs systèmes de croyance et leur avidité financière, nous fabriquent depuis quelques décennies ce que je nommerai «l’enfer des molécules» : vaccins-poisons, OGM, pesticides et autres herbicides, sans parler des milliers de produits industriels, qui se retrouvent dans nos assiettes et nos égouts, nos champs et nos corps, entraînant des nouvelles générations d’enfants bien plus souvent et lourdement malades que celles de leurs parents et provoquant de façon de plus en plus évidente une défertilisation des mâles de l’espèce humaine. Un des premiers problèmes politiques de l’heure devient ainsi à mes yeux celui-ci : comment guérir la médecine et les médecins, comment soigner les chimistes fous, comment arrêter les délires paranoïaques de toute puissance des scientifiques sans éthique, qui n’hésitent plus désormais à utiliser les moyens les plus extrêmes pour continuer à faire tourner un système de santé qui est devenu un système de création de maladies et de mort? Les hôpitaux, dont nous sommes parfois si fiers, certes, savent faire de très beaux miracles, du côté, notamment, des chirurgies d’urgence ou de réparation vitale des accidents de la nature et ils savent ainsi sauver de nombreuses vies. Mais combien de malades et de morts liés aux maladies nosocomiales, aux croisements inattendus des effets secondaires de milliers de médicaments dont plus personne ne peut raisonnablement anticiper les croisements hasardeux et malsains ? Combien d’handicapés suite aux campagnes de vaccinations massives contre l’hépatite B, ces dernières décennies ? Combien de vieillards qui sombrent dans Alzheimer pour avoir trop consommé de mercure, de formol et d’aluminium dans des vaccins anti-grippaux parfaitement inutiles, sauf pour les éliminer des comptes sociaux ? «Si vous voulez tuer vos enfants et vieillards en surnombre, vaccinez-les!» Tel pourrait être le slogan des idéologues malthusiens obsédés de la réduction de la population de la planète terre. Avez-vous remarqué ce nom si subtil que porte l’un des derniers vaccins des magiciens noirs, censé protéger les femmes du cancer du col de l’utérus? Le Garde-Asile. Ce mot en dit bien long sur l’inconscient de quelques-uns. Vaccin que l’on injecte à force de mensonges et de manipulations aux jeunes adolescentes à partir de 12 ans. Plusieurs en meurent en 24 heures, aux États-Unis ou en Europe. Les promoteurs de ces vaccins savent bien qu’un certain pourcentage de morts ou d’handicapés est au rendez-vous, au nom du principe d’un rapport bénéfices-risques qui conduit à la certitude d’un certain nombre de morts face à une vague probabilité de quelques malades vingt ans plus tard. J’affirme très posément qu’un certain nombre de chimistes et de médecins de cette planète organisent en toute conscience et sans état d’âme la mort programmée de milliers de victimes des vaccins-poisons, OGM juillet 2009 MORPHÉUS N°34 et autres «molécules de l’enfer», qui nous sont imposés par le processus cyclique manipulatoire : création d’un faux problème peur - solution industrielle marchande. Et ce, sur la base du même raisonnement eugéniste qui a justifié idéologiquement les camps de la mort qui resteront la marque du XXème siècle : «éliminons les humains en surnombre en empoisonnant les plus faibles, ce sera toujours plus discret que les bombes ou les massacres à la machette et l’humanité la plus pure sera ainsi sauvée…». Qui accompagnait Petit Nicolas le 9 mars dernier à Mexico lors de son séjour officiel chez un des banquiers parrains de la mafia mexicaine ? Quelques dirigeants des laboratoires SanofiAventis-Pasteur, qui signaient ce même jour un contrat de 100 millions d’Euros pour la construction d’une usine de vaccins antigrippaux. Quelques jours avant la «découverte» d’un providentiel virus mexicano-porcin. Avant hier, la presse nous annonçait une campagne inégalée à ce jour de vaccination massive et obligatoire de toute la population occidentale pour l’automne prochain. Avec quoi les herboristes fous de Sanofi-Pasteur ont-ils drogué les cerveaux de leurs spécialistes en prospective pour qu’ils soient si forts : prévoir, avant même que l’on sache quoi que ce soit sur ce virus humano-porcino-aviaire, qu’il fallait construire dès maintenant l’usine de fabrication d’un vaccin qui n’est pas encore découvert pour une grippe - le rhume banal de nos hivers, désormais rebaptisé par Les Guignols de l’Info «la grippe Sanofi»portée par un virus que la planète entière ignore encore superbement, malgré les quelques chiffres alarmants mais sans aucun fondement sérieux délivrés par les discours officiels? 3 Ce que je trouve particulièrement réjouissant dans cette histoire-là est la vitesse à laquelle le mensonge est dévoilé, grâce aux scientifiques dissidents et à Internet : plus un seul citoyen qui fait aujourd’hui l’effort de s’informer lucidement ne peut croire ce que racontent les discours officiels de la santé et leurs fidèles serviteurs les «journalistes» : c’est tout de même une belle réussite de cette volonté farouche de se libérer du Nouvel Ordre Mondial qui anime tant d’humains désormais. de l’histoire de la pensée, mais nous y avons gagné les sciences laïques et leurs technologies profanes, qui nous ont offert tous ces prolongements de nos corps, pieds et mains, yeux et oreilles, cerveaux, sexes et langues… dont nous jouissons chaque jour. Force est donc de faire ce constat : le peuple des citoyens libres et souverains ne peut plus accorder confiance à ses élites, y compris et surtout peutêtre ses élites scientifiques : trop de mensonges, trop de violences, trop de poisons, trop de morts. Et la médecine est ainsi devenue masculine : militaire et chirurgicale, pour faire repartir à la guerre les corps meurtris, puis industrielle et enfin commerciale et financière. Certes, les médecines masculines sont indispensables dans les situations d’urgence. Mais ce sont les médecines féminines - dites médecines douces, naturelles, alternatives - qui, seules, savent prévenir et accompagner avec les indispensables énergies de l’amour et de la conscience vers la guérison. Il faudra bien un jour prochain réussir à réconcilier ces médecines féminines et les médecines masculines, si nous voulons échapper aux violences faites à nos corps par les folies collectives. La santé est d’abord un chemin intérieur et non pas un «miracle» que médecins et guérisseurs nous offriraient par leurs savoirs : mais rien ni personne ne peut ni ne doit nous obliger à accepter les atteintes à l’intégrité de nos corps que fabriquent nos industriels chimistes et autres, en empoisonnant air, terres et mers à coups de chimies folles ou d’ondes électromagnétiques qui tuent nos neurones. Il se pourrait que la sortie de cette rupture de confiance entre citoyens et élites scientifico-médicales soit à chercher du côté des femmes. Il fut une époque, en ces beaux pays d’Europe, lorsque les mâles barbares de l’Inquisition Catholique et Romaine brûlaient les femmes sur les places des villages les jours de fête du Saigneur (avec un «a») au motif de sorcellerie, où le champ de la santé était essentiellement le privilège des femmes, pour une raison fort simple : ce sont les femmes, jusqu’à révision de ce réel-là, qui portent les enfants, leur donnent naissance et veillent à leur santé tout au long de leur vie. C’était aux temps obscurs où le Scientifique n’était pas encore séparé du Mystique. Oh, certes, avec cette séparation-là nous avons perdu les beautés des philosophes scientifiques qui ont fait les grands noms Dans le champ de la santé, les femmes accoucheuses, faiseuses d’ange, sorcières-guérisseuses, prostituées sacrées… ont ainsi perdu leurs pouvoirs sur les corps des autres, au profit des mâles scientifiques, ingénieurs en chimie ou chirurgiens militaires. Christian Cotten Président de Politique de Vie extraits du discours du 1er juin 2009. intégralité du texte sur : www.politiquedevie.net www.morpheus.fr B ILD E R B E R G B ILDERBERG 2009 Gestion mondiale de la santé, la finance, traité de Lisbonne en force, destruction préméditée de l’économie... S elon le journaliste d’investigation, Jim Tucker, l’agenda Bilderberg 2009 a sélectionné comme priorités la création d’un ministère mondial de la santé, d’un ministère mondial de la finance, ainsi que de fomenter une dépression économique courte. Tucker a participé au débat sur Alex Jones Show, et a dit que l’ancien premier ministre suédois, un participant assidu des conférences de Bilderberg, Carl Bildt, a fait un discours prônant la transformation de l’OMS en ministère mondial de la santé, du FMI en ministère mondial des finances, tous deux sous les auspices de l’ONU. On peut noter que cela va dans le sens de la décision prise en début d’année au G20, sur le renforcement des pouvoirs du FMI et sur le tapage médiatique fait sur la «pandémie» de grippe porcine et la place dévolue à l’OMS sur le devant de la scène politique internationale dans cette histoire. Participe à cette campagne pour effrayer l’opinion publique mondiale, le co-fondateur de Google, Larry Page. Selon le quotidien britannique le Telegraph, il aurait dit, pour justifier la rétention des données personnelles plus de six mois (maximum autorisé par l’UE) : «Le fait d’avoir ces données personnelles a beaucoup de valeur. Moins on gardera de traces comme celles-là, plus on aura de chances de tous mourir». Selon lui, Google serait empêché de prévoir avec succès la propagation des maladies et d’épidémies comme la grippe porcine. Le PDG de Google, Eric Schmidt, a participé à la conférence du groupe Bilderberg en 2008. Récemment, il a déclaré : «historiquement, quand les marchés commencent à être réglementés, le niveau d’innovation ralentit dramatiquement». Déclaration en phase totale avec le programme mondialiste Bilderberg. De plus, restreindre les libertés individuelles par la collecte et l’utilisation des données personnelles sur le net, fait partie des actions soutenues par les Bilderberg afin d’asseoir leur hégémonie mondiale. Selon Tucker, ces choix constituent un pas de géant vers la création d’une gouvernance mondiale, planifiée par Bilderberg, mais retardée ces dix dernières années. Pour centraliser leurs pouvoirs, les Bilderberg, avec les médias à leur disposition, comptent mettre l’accent sur les problèmes créés par la menace de pandémie et la crise économique, comme moyens de justifier la centralisation des pouvoirs. Taxe carbone mondiale, Traité de Lisbonne ratifié Bildt, toujours selon Tucker, a animé une discussion sur le réchauffement climatique, avec en toile de fond la création d’une taxe sur les émissions mondiales de carbone, un point majeur sur l’agenda des Bilderberg. La taxe mondiale sera directement versée à l’ONU d’abord discrètement puis introduite graduellement, sous forme, par exemple, d’une taxe à la pompe. Ce serait à l’ancien candidat à la présidentielle américaine de 2004, et actuel sénateur US, John Kerry, que reviendrait la mission de pousser pour une législation type taxe carbone à l’échelle mondiale. Kerry ne figure pas sur la liste des participants à la conférence de cette année, mais on fait état d’une participation «clandestine». Le site Foreign Policy.com note que le «sénateur John Kerry (D-MA) qui est à la tête du Comité des Relations Etrangères du Sénat, voyage à l’étranger depuis vendredi». Kerry a participé au Forum Economique Mondial, de même qu’à une réunion préparatoire à Rome, sur des négociations sur le changement climatique, qui doivent avoir lieu en fin d’année à Copenhague, avec pour objectif de mettre en avant ce point de l’agenda Bilderberg qu’est la taxe carbone. Kerry a joué un rôle central dans la proposition faite à l’Administration Obama, d’une taxe sur toute émission de dioxyde de carbone par les êtres humains. Taxer les personnes pour respirer est un élément crucial de l’agenda des Bilderberg. Ainsi, le président du conseil d’administration de BP, Peter Sutherland, présent cette année à la conférence Bilderberg en Grèce, a déclaré vouloir exploiter la campagne de peur développée à propos du réchauffement climatique, pour augmenter les taxes et contrôler les modes de vie des Occidentaux. Traité de Lisbonne en force Concernant le Traité de Lisbonne, scellant l’instauration du diktat libéral mondialiste dans l’UE, et LES MEDIOCRES AUTOPHAGES L e 22 mai, la Pravda publia un article d’opinion de Hans Vogel intitulé : «Bilderberg, le meeting des médiocres». La question de la prétendue «excellence» de ce type de groupes est férocement remise en cause. Basés en fin de compte sur le pouvoir de l’argent et sur le pouvoir politique, ils sont globalement assimilés à une cohorte de médiocres s’auto-congratulant. Quel est le bilan de la «gouvernance» imposée dans le monde, comme en Europe et en France, par ces «élites» auto-proclamées dont des groupes tels que le Cercle de Bilderberg ou la Commission Trilatérale entendent être des bons représentants? Où est la réalité de l’excellence auto-proclamée de cette «politique unique»? juillet 2009 MORPHÉUS N°34 Mais de tels objectifs ont semé un vent de panique chez les mondialistes, qui craignent que la situation ne leur échappe et qu’ils perdent ainsi le contrôle du monde. Dans l’Agenda distribué avant la conférence auquel a eu accès Estulin, certains points y sont clairement détaillés. Ainsi, les investisseurs, animés d’une fausse euphorie de reprise de l’économie, sont poussés à réinvestir massivement dans le système, prélude à «de vastes pertes et de graves difficultés économiques dans les mois à venir», car les marchés actuellement à la hausse vont de nouveau plonger. Selon Estulin, les manoeuvres effectuées récemment, dit de «tests de stress des banques» ne sont qu’un «canular éhonté basé sur l’estimation irrationnelle que la situation économique ne peut être pire que ce qu’elle est déjà.» ce malgré le NON des peuples français, hollandais et irlandais, Tucker a dit que Bilderberg a l’intention d’envoyer des représentants en Irlande, pour parler aux dirigeants politiques afin de faire adopter le traité. On a pu déjà noter récemment dans les médias propagandistes, l’apparition de résultats de sondage donnant le Oui à 52% en Irlande, lors d’un prochain vote qui devrait avoir lieu d’ici la fin de l’année. Les Bilderberg ont également prévu une campagne de diabolisation contre des groupes anti-UE, tel le parti Libertas de Declan Ganley. Destruction de l’économie mondiale avec préméditation Tucker a confirmé l’information, d’abord révélée par Daniel Estulin, que les Bilderberg ont discuté pour décider s’il fallait faire plonger rapidement l’économie ou s’en tenir à une longue dépression agonisante. Selon lui, «Geithner et Carl Bildt ont préconisé une récession plus courte et non pas une récession de 10 ans... pour partie à cause du fait qu’une récession de 10 ans ferait Les groupes dits de réflexion des «élites», les «think tanks», les clubs de «décideurs»... ont proliféré dans l’après-guerre. Ils ont pris une importance croissante depuis les années 1970. Objectif affiché : aider à la «bonne gouvernance». En réalité, le débat citoyen a été systématiquement court-circuité au profit de ces cercles restreints, et la politique «grand public» est devenue une sinistre fiction. La «gestion» s’est progressivement éloignée de tout possible contrôle de la part des «petits citoyens». Trois décennies plus tard, le monde se trouve confronté à une crise économique et financière sans précédent. Hans Vogel constate que ces ardents défenseurs d’un prétendu «libéralisme» ne prêchent pas avec l’exemple. On a affaire pour l’essentiel, à des politi- du tort aux industriels du groupe Bilderberg, et bien qu’ils souhaitent avoir un ministère mondial de la main-d’oeuvre et des finances, ils veulent continuer à gagner de l’argent. Une récession aussi longue leur coûterait beaucoup d’argent, car personne n’achèterait leurs produits manufacturés... le penchant c’est de faire en sorte qu’elle soit courte». Les Bilderberg craignent de perdre le contrôle dans un monde plongé dans le chaos Selon Tucker, la réunion du groupe Bilderberg de cette année s’est déroulée dans une ambiance morose, car géopolitiquement, «les choses se présentent mal pour eux, les Américains répondent, les Européens répondent, mais leur programme reste bloqué». Selon le journaliste d’investigation, Daniel Estulin, dont les informations obtenues de l’intérieur de la conférence se sont toujours avérées exactes, les Bilderberg projettent de détruire l’économie mondiale et de réduire de 2/3 la population mondiale. ques, à des «gestionnaires», à des représentants de milieux financiers dont on ne peut qu’acter l’échec historique... En clair, à des représentants typés de la politique qui a conduit à la crise actuelle. Depuis les années 1980, les gouvernements de l’Europe occidentale ont systématiquement soutenu les délocalisations, y compris du travail intellectuel et dans les domaines de la recherche et de la technologie. De même, des services publics stratégiques comme l’éducation, la recherche et la santé ont été les cibles d’attaques d’une virulence croissante depuis la même période. Plus qu’à du «libéralisme», on a affaire à la mise en place d’un véritable pouvoir féodal des oligarchies financières et des coupoles «gestionnaires». 4 L’une des principales préoccupations des Bilderberg, c’est que la situation dégénère au point qu’ils finissent par perdre le contrôle de la planète. Selon Estulin, la crise économique pourrait devenir telle que sur une ou deux générations, on pourrait assister à une réduction drastique des populations, de 2/3 environ. Cela pourrait se faire par le biais de famines et pandémies à grande échelle, introduisant dans les calculs des élites des inconnues qui pourraient se montrer dévastatrices, tant pour le monde que pour ces élites qui pourraient être détruites. Estulin a dit que ce sujet à longuement été abordé cette année. Dans des documents du groupe Bilderberg datant de plusieurs années, on évoquait la «destruction de la demande». Une source au sein de la Banque Mondiale lui a expliqué la signification de cette expression. «On détruit la demande en détruisant l’économie mondiale intentionnellement». C’est ce que l’on constate actuellement. Estulin conclut qu’on est dans une phase de «destruction de l’économie mondiale avec préméditation». Synthèse de plusieurs articles sur Bilderberg 2009 parus sur : www.prisonplanet.com Mais la véritable richesse économique ne réside ni dans l’argent, ni dans les actions. Elle est fournie : d’une part, par la Nature, la terre, les matières premières... des biens dont les pays dits «riches» disposent de moins en moins sur leurs territoires ; de l’autre, par des fruits historiques de l’activité humaine que les milieux dominants des puissances occidentales se sont employés à transférer vers d’autres pays au cours des dernières décennies, à la recherche d’un maximum de profits : infrastructures et outils de travail, connaissances scientifiques et technologiques, recherche, savoir faire industriel et dans d’autres domaines... Aucune fuite en avant financière ne pourra changer ces données de base. Sources : Bilderberg Group orders destruction of US Dollar? (MINA, 21 mai). Bilderberg: the meeting of the mediocre minds (Pravda, 22 mai). www.morpheus.fr INTE R NATIONAL L’ÉCOLOGIE AU SERVICE DU N.O.M. E n pleine crise, comment financer le gouvernement mondial dans la joie? C’est simple, en créant une vague écologiste très orientée, qui va soutenir le vote de taxes vertes. Ceux qui voudront s’y opposer seront considérés comme des impies, des mécréants sans coeur pour les générations futures. Ces taxes vont donc avoir un vif succès et elles seront destinées au futur pouvoir central oligarchique de l’ONU. Les écologistes actuels ne s’intéressent en rien aux hautes technologies de production d’énergie. Au lieu de taxer pour financer une dictature, nous pourrions peut-être simplement arrêter de polluer en initiant une révolution technologique surunitaire? Mais non, l’écologie voulue et orientée par Al Gore et Rockefeller fut de maintenir les pollutions, afin d’instaurer des taxes vertes pour financer le Nouvel Ordre Mondial. Nous n’avions pas compris pourquoi Al Gore se lançait à travers le monde avec sa thèse bidon de réchauffement climatique, relayée par tous les médias. Il s’agissait simplement d’orienter l’opinion pour lui faire accepter des taxes versées directement à l’ONU. Comme quoi, voter vert avec la meilleure intention du monde, au final, pave l’enfer dictatorial naissant... Morphéus Depuis 50 ans, l’OMS censure toute étude sur l’impact de l’industrie nucléaire L ’assemblée générale annuelle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a été perturbée pour la troisième fois par des organisations demandant l’abrogation de l’Accord passé avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Le 28 mai 1959, il y a exactement 50 ans, un protocole d’accord OMS-AIEA avait été approuvé par l’Assemblée Générale. Il stipule que les deux orga- nisations doivent se concerter sur tous les sujets d’intérêt commun. Dans la pratique, il signifie que l’OMS ne peut pas publier d’études sur les maladies provoquées par les radiations, sans l’accord préalable de l’AIEA. Cet accord a été scrupuleusement respecté, y compris après l’accident de Chernobyl et les guerres du Kosovo et d’Irak. Il s’ensuit que l’OMS a censuré toutes les études sur les maladies liées à l’industrie nucléaire, civile ou militaire, depuis un demi-siècle et attribué faussement de nombreux problèmes de santé publique à des facteurs mineurs. L’OMS est appelée à devenir le Ministère Mondial de la Santé du Nouvel Ordre Mondial. Cela ne présage rien de bon... Réseau Voltaire NICOLAS SARKOZY HUÉ AU GABON A ccueilli par des injures et des huées à Libreville, Nicolas Sarkozy a décidé d’écourter son séjour au Gabon… Nicolas Sarkozy n’a plus l’habitude d’être hué depuis qu’il fréquente uniquement des lieux vidés méthodiquement des «vrais gens» et, en particulier, de ses opposants. Mais à Libreville, à l’occasion des obsèques d’Omar Bongo, le ménage n’a apparemment pas été fait de fond en comble. Alors que Jacques Chirac a été applaudi à son arrivée au palais présidentiel, son successeur a eu droit aux insultes et aux huées de la foule. L’AFP a trouvé un fin analyste en la personne de l’ambassadeur de France à Libreville, pour expliquer ce chaleureux accueil. Pour Jean-Didier Roisin, ça ne fait aucun doute, «ce n’est pas la personne du président qu’on huait (...) c’est l’image qu’on a donnée de ce pays (le Gabon), la nouvelle du décès annoncée de façon prématurée, cela a été très mal ressenti». Tout cela n’est sans doute pas faux. Mais ça n’a pas empêché notre président de le prendre très personnellement, lui. D’après Europe 1, le Ex membres de la NSA, CIA, FBI, FAA, des Frontières et de l’Armée, ils réfutent la Version Officielle du 11 Septembre 2001! 41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11 Septembre. Plus de 40 citoyens étatsuniens ayant travaillé pour différents services de Renseignement et du contre-terrorisme, ont sévèrement critiqué le compte-rendu officiel du 11 septembre 2001 ; la plupart d’entre eux demandent une nouvelle enquête. Il est scandaleux que la majorité des états-uniens [et des populations des pays de l’OTAN] soient maintenus dans l’ignorance totale de leurs déclarations publiques, conséquence immédiate du refus des organismes de la presse comme des médias de masse, de traiter cette question d’une extrême importance. La crédibilité de ces personnes et leur loyauté envers leur pays ne peuvent être mises en doute, ce que démontre les années de service passées à collecter et analyser l’information, à planifier, et à effectuer des opérations cruciales pour la sécurité nationale des États-Unis. Ces 41 personnes ont travaillé pour le Département d’État, l’Agence de la sécurité nationale (NSA), l’Agence centrale de Renseignement (CIA), le Bureau fédéral d’investigation (FBI), l’Administration Fédérale de l’Aviation (FAA), Le Bureau des douanes et de la protection des frontières, ainsi que pour diverses sections de l’armée des États-Unis. Ils sont présentés ci-dessous : - Terrell E. Arnold (ancien directeur adjoint du contre-terrorisme et de la planification d’urgence, département d’État) - Angelo Codevilla (ancien officier du service Étranger au département d’État, actuel vice-président du Conseil des pro- O BAMA L chef de l’Etat a décidé d’écourter son séjour et de ne pas assister au défilé militaire prévu après les obsèques… Les dirigeants gabonais ont pourtant tenté de rattraper le coup. 20minutes.fr nous apprend qu’après les huées de l’extérieur, à l’intérieur, des «invités plus disciplinés (…) ont applaudi Nicolas Sarkozy et son prédécesseur Jacques Chirac lorsqu’ils ont déposé, ensemble, une gerbe de fleurs devant le cercueil». Pas suffisant: au moins avec Omar, du petit peuple au plus haut dignitaire du régime, tout le monde était «discipliné»… Marianne juillet 2009 MORPHÉUS N°34 Source : Alan Miller, éditeur du site PatriotsQuestion911.com GRAND ILLUSIONNISTE ’homme a, pendant toute sa campagne promis et dit ce que le peuple voulait entendre. Mais élu, il est en train de revenir sur les promesses faites à l’opinion internationale. Ainsi, après s’être montré implacable sur les tribunaux d’exception instaurés par l’administration Bush à Guantanamo (territoire cubain illégalement occupé par les EtatsUnis) qu’il avait qualifié d’«échec monumental», le locataire de la Maison-Blanche a tout simplement décidé de conserver les commissions militaires, annulant de facto la fermeture des prisons de Guantanamo, et suscitant l’ire des organisations internationales. Il a également choisi de mettre son veto sur la publication de photos illustrant les actes de torture commis par la CIA, contredisant une nouvelle fois sa volonté, affirmée à maintes reprises, de faire la lumière sur les exactions commises sous le règne de Georges W. Bush. 5 fesseurs invités de l’’U.S. Army War College) - Edward Peck (ancien coordinateur adjoint des programmes secrets des services de renseignement, au Département d’État) - Lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski (témoin oculaire de l’attentat survenu au Pentagone et ancien membre du cabinet du directeur de la NSA) - Commandant John M. Newman (US Army (à la retraite) ; ancien assistant du directeur de la NSA) - Raymond McGovern (ancien responsable de la synthèse des renseignements nationaux) - William Christison (ancien directeur du Bureau des analyses régionales et politiques) - Melvin Goodman (ancien chef de division au Bureau des Affaires soviétiques) - Robert Baer (analyste Proche-Orient) - Robert David Steele (officier CIA et Marines) - David MacMichael (ancien officier supérieur d’évaluation avec responsabilité spéciale pour les Affaires de l’hémisphère occidental au Conseil national du renseignement) - Lynne Larkin (ancien officier des opérations de la CIA - Edward J. Costello, Jr (ancien agent spécial du FBI, attaché au contre-espionnage) - John M. Cole (ancien agent spécial du FBI, attaché au contre-espionnage) - Sibel D. Edmonds (ancienne spécialiste en traduction pour les opérations de contre-terrorisme et contre-espionnage du FBI) - Rosemary N. Dew (ancien superviseur des agents spéciaux, antiterrorisme et contre-espionnage au FBI) - Gilbert M. Graham (ancien agent spécial ayant travaillé pour le FBI dans la division du contre-espionnage du Bureau de Washington) - Behrooz Sarshar (spécialiste en traduction au FBI, effectuant les traductions du Farsi pour les opérations de contre-terrorisme et de contre-espionnage) - Jane A. Turner (agent spécial du FBI) - John B. Vincent (agent spécial du FBI) - Fred Whitehurst (agent spécial du FBI) - Coleen Rowley (agent spécial du FBI) - Robert G. Wright, Jr (agent spécial, Unité de lutte contre le terrorisme international) - Bogdan Dzakovic (expert de la lutte contre le terrorisme à la division sécurité) - Steve Elson (agent spécial, contre-terrorisme, renseignement et sécurité) - Lieutenant-colonel Brian F. Sullivan (agent spécial) - Mark Conrad (Sky Marshall) - Raymond A. Ciccolilli (Sky Marshall) - Général de division Albert Stubblebine (ancien chef du commandement des services de renseignement et de sécurité (INSCOM) de l’armée de terre) - Morton Goulder (ancien secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement) - Sénateur Mike Gravel - Wayne Madsen (ancien officier de renseignement de la Marine) - John Loftus (ancien officier de renseignement de l’armée de terre. Ancien procureur fédéral des États-Unis) - Lieutenant-colonel Anthony Shaffer, (ancien commandant du Renseignement humain au sein de l’armée de terre) - Capitaine Scott J. Phillpott (ancien commandant du programme d’exploitation des données visant à établir la structure globale d’al-Qaïda) - Commandant Scott Ritter (ancien officier de renseignement du corps des Marines et inspecteur en chef des armes pour la Commission spéciale des Nations-Unies en Irak) - Capitaine Eric H. May (ancien officier de renseignement de l’armée de terre) - Capitaine Gregory M. Zeigler (ancien officier de renseignement de l’armée de terre) - William G. Weaver (ancien officier de l’US Army Signals Intelligence) - Commandant Larry J. Tortorich (ancien commandant adjoint du programme des Missiles de croisière Tomahawk) - Theodore J. Pahle (ancien officier supérieur de renseignement auprès de l’Agence de renseignement militaire) En clair, Guantanamo ne sera pas fermé. Aucune nouvelle enquête sur le 11 septembre n’aura lieu, contrairement à ce qu’il laissait présager. Officiellement c’est de l’histoire ancienne et il faut tourner la page (sic!). Le départ des troupes US d’Irak, qui devait être pour bientôt d’après ses promesses, n’aura pas lieu. Certains officiels dans l’entourage d’Obama parlent de laisser les armées en Mésopotamie encore 10 ans. Le dégel des relations diplomatiques avec Cuba n’est que de la poudre aux yeux ; rien de tel n’existe dans les faits. Rappelons que Cuba a subi plus de 5 780 attentats terroristes US sur son sol, qui ont coûté la vie à 3 478 personnes depuis 1959. Concernant le problème des territoires palestiniens, il laisse toute latitude à Israël pour souffler le chaud, le froid ou le plomb durci. Enfin, pour l’Afghanistan, c’est une guerre juste selon ses propres termes (une guerre de l’opium sur le terrain). Quant à l’Iran, les infiltrés de la CIA font tout pour tenter de dresser les iraniens contre le pouvoir plébiscité pourtant dans les urnes. Mais quelle différence restet-il entre Obama et Bush? F.M. www.morpheus.fr OV E R U NITY SURUNITÉ : RÉVOLUTION INDUSTRIELLE EN MARCHE! C ésar Soos et Roberto Frascasi, deux ingénieurs brésiliens, ont conçu techniquement le moteur Keppe fondé sur les théories de Noberto Keppe, relatives à la Nouvelle Physique. Dans une vidéo diffusée sur le net, ils exposent la nature surunitaire de ce moteur qui capte l’énergie du milieu ambiant. Nous avions déjà expliqué dans des numéros précédents, qu’il existe deux types de technologie en matière de production d’énergie, les systèmes fermés et les systèmes ouverts. Nous nommons systèmes ouverts d’énergie, des technologies utilisant l’énergie du milieu, contrairement à un moteur à essence, «système fermé», isolé du milieu ambiant, qui doit être alimenté constamment pour fonctionner et dont le rendement sera systématiquement inférieur à 100% en vertu du second principe de la thermodynamique… Il n’y a évidemment, pour la Nouvelle Physique, pas de terminologie définie, pas de convention scientifique arrêtée pour l’évoquer. C’est souvent un obstacle dans l’esprit des physiciens classiques, qui y voient des fantaisies d’auteurs parlant d’énergie libre, d’énergie du vide, d’énergie tachyonique, de vide photonique, de syntonie protonique, de méta- physique inversée etc... Ce n’est cependant en rien une fantaisie. Il s’agit simplement de nommer un phénomène non expliqué en physique et sans convention terminologique occidentale. Consommation et rendement d’un ventilateur classique Il s’agit de mesurer la puissance mécanique du moteur et de la comparer avec la puissance électrique consommée. L’efficacité d’un moteur se mesure par la puissance mécanique produite, c’est à dire la puissance de sortie divisée par la puissance électrique consommée, ce qui nous donne son rendement en pourcentage. Pour tous les moteurs classiques, le rendement est toujours inférieur à 100% car la machine génère des pertes. Cette perte se traduit par la chaleur du moteur ; plus la machine chauffe, plus la perte d’énergie est forte et plus le rendement est faible. Un ventilateur classique qui ne produit en réalité que 5 watt de force mécanique, a besoin d’une puissance électrique de 60 watt. Son rendement sera obtenu en divisant 5 watt (force mécanique déployée) par 60 watt (sa consommation électrique) soit un rendement effectif de 8,3%. Avec ce type de moteur, c’est donc 91,7% d’énergie qui sont perdus dans ces processus de fonctionnement, une véritable gabegie. C’est d’autant plus un gâchis, sachant qu’entre le lieu de production et le lieu de consommation, le réseau électrique perd lui-même 90% de son énergie. Le bilan énergétique est dramatique. En clair, une centrale nucléaire doit produire 600 watt, pour que nous disposions chez nous d’une force mécanique de 5 watt. 595 watt sont perdus dans la nature. Cela représente 99,2% de perte d’énergie entre la centrale et notre ventilateur domestique : c’est surréaliste! Cependant, cela signifie que si nous avions l’intelligence d’optimiser tous nos systèmes électriques de production et de consommation, une ou deux grosses centrales électriques seraient amplement suffisantes en France. La volonté politique de maintenir les choses en l’état et de fabriquer de nouvelles centrales nucléaires est tout bonnement stupide. Remplir un peu plus le tonneau des Danaïdes est un signe de vide cérébral symptomatique... Rendement du moteur Keppe Les expériences et calculs de rendement du moteur Keppe, démontrent clairement qu’il peut produire plus de travail qu’il n’utilise d’énergie sur le réseau électrique. Tous les calculs sont sur une vidéo que nous laissons à votre disposition sur notre site internet www.morpheus.fr page News. En clair, pour obtenir une force mécanique de 5 watt, un moteur Keppe va tirer sur le réseau électrique de l’ordre de 4,5 watt. Son rendement est donc de l’ordre de 115% à comparer au rendement de 8,5% d’un ventilateur classique. La thèse du Docteur Keppe montre que les systèmes ouverts de production d’énergie, captent une énergie du milieu ambiant. Ils fournissent ainsi plus d’énergie qu’ils n’en consomment. Telle est la particularité de ces moteurs dits surunitaires. L’histoire se répète François Arogo, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences au 19ème siècle, grand physicien respecté par ailleurs, déclara : «Le plus lourd que l’air ne volera jamais, c’est contraire aux lois de la pesanteur.» Cette assertion fut vite battue en brèche par le principe de réalité même. En effet, l’inventeur Stringfellow, fit voler en 1845 un engin de 3,5 kilos doté d’un moteur. Pourtant, jusqu’au 20ème siècle, l’Académie s’en tint à la déclaration du Grand Maître et considéra les précurseurs de l’aviation comme des charlatans. Certains schémas mentaux scientifiques perdurent comme des dogmes religieux. Nous sommes aujourd’hui rigoureusement dans la même situation avec les unités de juillet 2009 MORPHÉUS N°34 6 production surunitaire. La bien pensance «dite scientifique» affirme que c’est impossible. Nous avons, de notre côté, rassemblé suffisamment de documentation, pour relever que le phénomène d’une production énergétique surunitaire avérée, remonte au milieu du 19ème siècle, avec les descriptions de la machine rhéostatique de Gaston Planté. Or, 150 ans plus tard, nous pourrions certainement dénombrer plusieurs milliers de technologies surunitaires physiques prises pour des lubies d’ingénieurs fous ou mises sous scellé par certains services de l’armée US et autres... Révolution industrielle des moteurs surunitaires Le Japon et la Chine sont sur le point de produire industriellement, à grande échelle, des unités surunitaires d’un rendement moyen de 330%. Cette véritable révolution industrielle est due au travail acharné de l’industriel Minato, qui a dans un premier temps construit 10 000 unités, puis dans un second temps a eu une commande de 140 000 climatiseurs, n’utilisant que quelques milli-watt sur électroaimants pour fonctionner (se référer à Morphéus n°7, article sur le générateur à énergie magnétocinétique). Des prototypes Minato capables de produire jusqu’à 200 chevaux, sont parfaitement opérationnels. Les premiers véhicules équipés de systèmes magnéto-cinétiques surunitaires, sont déjà une réalité au Japon. La moto Genesis et le Scooter Genesis, vont bientôt prendre le chemin d’une fabrication industrielle en série. Ces véhicules sont presque totalement autonomes et d’une très grande fiabilité. Techniquement, ils peuvent rouler sur un terrain plat, à un certain régime, éternellement, jusqu’à usure des éléments de la batterie. Sur des terrains accidentés, les batteries peuvent avoir besoin d’être rechargées au moins tous les 200 kilomètres. Les banques japonaises sont de la partie dans cette opération et la Chine à ouvert ses portes pour installer à Hong Kong, une usine de fabrication d’aimants destinés aux moteurs Minato. Les gouvernements japonais et chinois ont bien compris l’enjeu de cette révolution industrielle, contrairement à tous les gouvernements occidentaux. L’Occident peut prendre le train en marche aujourd’hui, il n’est pas trop tard. Il est assuré que si la politique énergétique stérile actuelle continue, d’ici une décennie l’Europe en sera encore à chercher du pétrole pour ses voitures, pendant que l’Asie disposera d’usines, de véhicules terrestres, marins et aériens, totalement autonomes énergétiquement. Frédéric Morin A BONNEZ-VOUS À MORPHÉUS En vous abonnant à MORPHÉUS, vous participerez à notre dé qui est de publier des opinions censurées, des réalités occultées, un décryptage éclairant sur les enjeux cruciaux des grandes manoeuvres liberticides de la mondialisation. q 6 numéros pour le prix de 22,00 EUR (France), Europe 27 EUR par mandat international, autres pays 30,00 EUR. q 12 numéros pour le prix de 44,00 EUR (France) IBAN : FR47 2004 1010 1248 7548 6G03 379 / BIC : PSSTFRPPSCE La Source Les anciens numéros sont dsponibles au prix de 4.00 EUR Nom : .............................................................................. Prénom : ......................................................................... Adresse : ......................................................................... C P, Ville et pays :........................................................... E-Mail :.............................................................................. Ci-joint, mon chèque de ............. à l’ordre de MORPHÉUS. Retournez ce bulletin à : MORPHÉUS Sarl, 57 rue du Maréchal Maunoury 78700 Conans Sainte Honorine, France Abonnement : 06.60.39.85.38 www.morpheus.fr A N T I G R AV I T E L ’ A N T I G R AV I TÉ P O U R LES NULS : TEC H N I QU E S E T D I F F E R E N TES APPROCHES D epuis la sortie du livre Présence, nous avons clairement identifié l’antigravité comme un jeu de pressions et contre-pressions, sur la couche relais, entre notre cosmos et notre anticosmos. C’est bien la cosmologie gémellaire qui nous donne la clef de cet épineux problème. Les travaux du physicien Jean-Pierre Petit sont incontournables en la matière, et nous offrent un cadre très cohérent pour cette approche. Nous avons contacté ce dernier pour avoir son avis et pour savoir comment modéliser mathématiquement ce modèle. Nous n’avons reçu aucune réponse à ce jour. Quoi qu’il en soit, notre porte reste ouverte à tout physicien ou mathématicien qui voudra aborder avec nous cette approche... Une fois le cadre théorique planté, il nous faut tenter de savoir par quelle technologie il nous est possible de modifier localement la couche relais et générer une contre pression gravitaire anticosmique. Nul besoin de cinq centrales nucléaires ; les choses sont beaucoup plus simples en réalité. Quand vous marchez, vous créez sans le savoir une légère modification de la couche relais. Si maintenant vous faites marcher un bataillon de soldats au pas cadencé, sur un pont, le jeu de contre pression va se faire ressentir, mettant à rude épreuve la structure même du pont. Ce phénomène étant connu, aucun bataillon dans le monde ne marche au pas sur un pont. Henry Bull Sans cadre théorique et par pure intuition, Henry Bull eut l’idée de tester un système mécanique qui s’avéra léviter verticalement. Son procédé n’est compréhensible que dans le cadre théorique présenté ici. La physique classique et mono-cosmique ne peut en effet rendre compte d’un tel phénomène. Elle a donc évacué ces expériences de 1935, les considérant comme des élucubrations d’individus ne connaissant rien aux sciences. Henry Bull a construit des cylindres mécaniques, qui envoient une masse de même poids vers le haut et vers le bas. La masse du haut est cependant projetée contre un ressort, alors que la masse du bas est projetée contre une surface plate. Or, un ressort transmet 3 fois mieux l’énergie qu’une surface plate, d’où l’impulsion inertielle verticale qui en résulte (voir schéma). Il s’agit de reproduire ici le pas cadencé sur un pont, en l’amplifiant et en l’orientant avec un système astucieux... Le Gyroscope C’est un appareil qui fournit une direction invariable de référence. Or, si cette direction est précisément contraire à la gravité terrestre, vous l’avez compris, on dispose d’un instrument utilisable pour la sustentation. Cette effet gravito-gyroscopique a été compris par de très nombreux chercheurs et a donné lieu au dépôt d’un assez grand nombre de brevets (CD ROM Morphéus 2008). Nous pouvons citer Otis Carr, Eric Laithwaite, Harold Aspden, Leonard Francis Holihan, David Raymond Morgan, Siritky Alain, Geoffrey Collin Russell, William Dawson, Delroy, etc... Otis Carr a cependant finalisé une technologie d’engin cosmique dès 1958, ce qui en fait un précurseur dans ce domaine, (voir en bas de page les schémas de son brevet). Eric Laithwaite ne présentera des travaux sur l’effet gyroscopique, à l’Institut Royal de Londres, qu’en 1974. Henry Wallace Faisant appel aux mêmes principes, Henry Wallace présenta des systèmes plus élaborés pour l’armée, durant la seconde guerre mondiale. Ses brevets n°US03626605, US03626606 et juillet 2009 MORPHÉUS N°34 US03823570, sont consultables sur notre CD ROM «Engins Cos- miques et Antigravité, Morphéus 2008». Vortex à vapeur de mercure Une opinion relevant plus de la psychologie que d’une approche scientifique, affirme que l’antigravité de Hanebau, ou engins du 3ème Reich, n’est que de la pure propagande nazie. L’étude de brevets et l’exposé ici présenté, semblent pourtant infirmer cette position. Pourquoi les allemands auraient-ils utilisé des vortex à vapeur de mercure confinés dans des champs électromagnétiques? Il est vraisemblable que les atomes de mercure, modulés par de puissants champs, se comportent alors comme des nanogyroscopes et impulsent une force inertielle comme tout gyroscope. Pour changer de direction, il suffit alors de modifier le vortex de mercure, afin d’orienter l’axe d’impulsion inertielle. Or, un Hanebau comporte bien trois puissants électro-aimants à sa base, pilotés par un système électromécanique complexe qui était nommé tachyonator. Si notre analyse est juste, nous sommes alors en face d’une technologie qui apparaît parfaitement cohérente. Si cette technologie relevait d’une propagande, nul doute que les plans et engins présentés auraient été fantaisistes et sans intérêts... Dans un prochain numéro, nous aborderons le modèle à différence de potentiel électrostatique de John Searl, petite prouesse de 1947. Egalement, il sera important d’aborder le brevet français de Marcel Pagès, déposé en 1960 au Ministère de l’Industrie. Frédéric Morin 7 www.morpheus.fr F OLIE F INANCIE R E LE TERRIBLE SECRET DE TIM GEITHNER Le système financier mondial en péril : quand la solution à la crise financière en devient la cause... L e secrétaire au Trésor des États-Unis, Tim Geithner, a révélé son plan tant attendu d’assainissement du système bancaire étatsunien, mais il a refusé de divulguer le «terrible secret» de la crise financière actuelle. En agissant de la sorte, il tente de sauver des banques étatsuniennes de facto en faillite, lesquelles menacent de faire tomber le système mondial dans une nouvelle phase encore plus dévastatrice de destruction de la richesse. Nous l’avons déjà mentionné, le plan Geithner, son soi-disant Programme d’investissement en partenariat publicprivé ou PPPIP, n’est pas dédié à restaurer un système de prêt salutaire, donnant du crédit aux entreprises et aux consommateurs. Il s’agit plutôt d’une autre manigance complexe, servant à verser davantage de centaines de milliards de dollars directement aux banques dominantes et aux firmes de Wall Street, responsables du présent bourbier dans les marchés mondiaux du crédit, sans toutefois leur demander de changer leur modèle opérationnel. Pourtant, on pourrait se dire que ce plan, en assainissant les banques, aidera tôt ou tard à surmonter le problème. Il ne le fera pas si l’administration Obama procède comme elle le fait en ce moment. En défendant son plan à la télévision étatsunienne récemment, M. Geithner - protégé de Henry Kissinger, autrefois PDG de la New York Federal Reserve Bank - faisait valoir que son intention «n’était pas de soutenir les banques faibles aux dépends des banques fortes». Toutefois, c’est précisément ce que fait le PPPIP : les banques faibles sont les cinq plus grandes banques du système. Le «terrible secret» que M. Geithner tente vigoureusement de cacher au public est très simple. À la source des actifs toxiques bouleversant le système financier mondial, il y a, au plus, peut-être cinq banques étatsuniennes. C’est cette réalité que M. Geithner tente désespérément de protéger. Contrairement aux crises bancaires précédentes, le problème ne consiste pas en des pertes sur prêt ordinaires. C’est plutôt une variété de dérivés financiers exotiques qui se trouvent au cœur du problème, plus spécifiquement les soi-disant swaps sur défaillance (Credit Default Swaps). En 2000, le secrétaire au Trésor de l’administration Clinton était un dénommé Larry Summers. M. Summers venait tout juste d’être promu N°1 de Goldman Sachs par son supérieur, le banquier de Wall Street Robert Rubin, lorsque ce dernier a quitté Washington pour occuper le poste de vice-président de Citigroup. Comme je le décris en détails dans mon nouveau livre à paraître cet été, «Power of Money: The Rise and Fall of the American Century», M. Summers a convaincu le président Clinton d’approuver plusieurs projets de loi républicains, ouvrant ainsi les vannes aux banques pour qu’elles abusent de leur pouvoir. Que les grandes banques de Wall Street aient dépensé quelque 5 milliards en lobbyisme pour ces changements, après 1998, a probablement eu un effet sur M. Clinton. lailler. Goldman Sachs, Citibank, JP Morgan Chase et Bank of America, des banques se croyant «trop importantes pour faire faillite». En effet, ces cinq institutions se croient maintenant si grandes, qu’elles peuvent dicter la politique du gouvernement fédéral. Certains ont appelé cette opération un coup d’État des banquiers. Elle n’a définitivement rien de salutaire. Le «terrible secret» M. Geithner ne souhaite pas que le public comprenne son petit secret : l’abrogation de la loi Glass-Steagall et l’adoption du CFMA en 2000, ont permis la création d’un petite poignée de banques, qui allaient pratiquement monopoliser des pans importants des activités hors bilan mondiales ou l’émission des dérivés hors bourse. Une loi importante abrogeait le Glass-Steagall Act de 1933, adopté durant la Grande Dépression, interdisant la fusion entre les banques commerciales, les compagnies d’assurances et les firmes de courtage telles que Merrill Lynch ou Goldman Sachs. Une autre loi, soutenue par le secrétaire au Trésor Larry Summers en 2000, était l’obscure, mais cruciale Commodity Futures Modernization Act (CFMA). Cette loi empêchait l’organisme gouvernemental de réglementation, la Commodity Futures Trading Corporation (CFTC) [Commission du commerce à terme des marchandises], de superviser le commerce des instruments financiers dérivés. La nouvelle loi CFMA stipulait que ce que l’on appelle communément les dérivés négociés hors bourse, comme les swaps sur défaillance, en cause dans le désastre des assurances de AIG (que Warren Buffett a déjà qualifiés d’armes de destruction financière massive), ne soient pas réglementés par le gouvernement. Selon le récent Rapport trimestriel sur le commerce bancaire et les produits dérivés du Federal Office of Comptroller of the Currency, cinq banques étatsuniennes possèdent actuellement 96 % des positions de dérivés de toutes les banques des États-Unis, en terme de valeurs symboliques, ainsi qu’un pourcentage ahurissant, soit 81 %, d’exposition au risque de crédit net total en cas de défaillance. Voilà le terrible secret que le secrétaire Geithner et Wall Street tentent désespérément de cacher, car il dirigerait l’attention des électeurs vers de vraies solutions. Le gouvernement fédéral dispose depuis longtemps de lois pour faire face aux banques insolvables. La Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) met la banque sous séquestre, et ses actifs et ses passifs sont triés par un audit indépendant. On évince les gestionnaires irresponsables, les actionnaires accusent des pertes et une fois épurée, la banque est finalement divisée en plus petites unités. Lorsqu’elle est assainie, on la vend au public. Le pouvoir des cinq méga banques de faire chanter le pays en entier serait alors moins grand. Ooohh. Ouais ? À l’époque où M. Summers s’affairait à ouvrir les vannes de l’abus financier pour les sociétés de Wall Street, son assistant n’était nul autre que Tim Geithner, l’homme aujourd’hui secrétaire du Trésor. À l’heure actuelle, l’ancien patron de M. Geithner, Larry Summers, est conseiller économique en chef du président Obama, puisqu’il est chef du Conseil économique de la MaisonBlanche. Mettre MM. Geithner et Summers en charge de réparer les dégâts financiers, équivaut à faire du renard le gardien du pou- juillet 2009 MORPHÉUS N°34 Ces cinq banques sont JP Morgan Chase, qui détient la première place avec une somme étourdissante de 88 billions de dollars en dérivés (66 billions d’euros!). Morgan Chase est suivie par Bank of America et Citibank, lesquelles possèdent respectivement 38 billions et 32 billions en dérivés. La quatrième place dans les sweepstakes des dérivés revient à Goldman Sachs, avec ses «maigres» 30 billions, somme qui baisse de façon draconienne à 5 billions de dollars en cinquième position, où se situe la banque fusionnée Wells FargoWachovia. Par ailleurs, au sixième rang, la britannique HSBC Bank USA détient 3,7 billions de ces actifs toxiques. Par la suite, l’exposition des banques des États-Unis à ces dérivés hors bilan non réglementés diminue dramatiquement. Afin d’en souligner l’ampleur, notons qu’un billion s’écrit 1 000 000 000 000. Continuer à investir d’énormes quantités d’argent des contribuables dans ces cinq banques, sans modifier leur système opérationnel, revient à traiter un alcoolique avec de l’alcool gratuit à volonté. Le sauvetage gouvernemental d’AIG, dépassant à ce jour les 180 milliards, a d’abord servi à payer ses swaps sur défaillance aux contreparties, les joueurs C’est ce que Wall Street et Tim Geithner cherchent frénétiquement à prévenir. Le problème est centralisé sur ces cinq grandes banques et le cancer financier doit être isolé et réfréné par une agence fédérale, afin que la victime, l’économie réelle, puisse fonctionner à nouveau sainement. Voilà ce qui doit être mis sous séquestre ou nationalisé. En retardant cela et en refusant de demander un contrôle gouvernemental des comptes, totalement indépendant, pour déterminer si ces cinq banques sont réellement solvables, le gouvernement Obama provoque des pertes pour les États-Unis et l’économie mondiale, lesquelles seront inévitablement exponentielles lorsque les pertes en dérivés exploseront. Il s’agit de Coordination Technique, Juridique et Rédactionnelle : Frédéric Morin (F. M.)[email protected] Comité éditorial : [email protected] J. Daudon, Ana De Figueiredo, Gérard Pécoul, Denis Roger Denocla, Docteur Marc Vercoutère, Michel Cottenceau, Philippe Douillet, Jean Poswick (photos) Dessinateurs : René Bickel [email protected] Anna sourispirit.blogspot.com Siège social : Morphéus Sarl, 57, av. du Maréchal Maunoury F-78700 Conans-Ste-Honorine Abonnements : MORPHEUS 57, av. du Maréchal Maunoury F-78700 Conans-Ste-Honorine [email protected] Site internet : http://www.morpheus.fr la détérioration pré-programmée de la récession, signifiant une augmentation des faillites d’entreprises, la multiplication des manquements des débiteurs hypothécaires et la montée en flèche du chômage. Cette situation devient hors de contrôle (d’un gouvernement responsable) parce qu’elle est permise par le secrétaire Geithner, Larry Summers et ultimement le président, qu’il ait ou non eu le temps de chercher à comprendre ce qui est en jeu. Une fois les cinq banques problématiques isolées par la FDIC et le Trésor, le gouvernement devrait légiférer afin d’abroger immédiatement la déréglementation bancaire de Larry Summers, comprenant la remise en application de la loi GlassSteagall et l’annulation du Commodity Futures Modernization Act de 2000, ayant permis l’actuel abus criminel des banques. L’on pourrait alors commencer à discuter de réformes financières sérieuses, en commençant par des mesures pour «fédéraliser» la Réserve fédérale et retirer le pouvoir monétaire des mains des banques privées, comme JP Morgan Chase, Citibank ou Goldman Sachs. Par William Engdahl Le 5 avril 2009 Mondialisation.ca Article original en anglais, Geithner’s ‘Dirty Little Secret’: The Entire Global Financial System is at Risk, When the Solution to the Financial Crisis becomes the Cause, publié le 30 mars 2009. Sources : artemisia-college.org europe-liberte.i-clic.net Tristan Ettedgui et F. Morin [email protected] PAO : Morpheus F.M. Imprimerie : Graphic Systems, 95300 Ennery Publication : N°ISSN : 1764-2205 N°SIREN : 451 997 100 Dépôt légal à parution Presse Libre exclue de la CPPAP Tous droits réservés sur le matériel photo qui n’aurait pas fait l’objet d’une convention antérieure à la parution en raison des difcultés d’identication liées au réseau internet ou autres sources. Prochaine parution Morphéus : septembre / octobre 2009 Reproduction autorisée, avec mention de la source et www.morpheus.fr © 2004-2009 Téléchargez toutes nos publications sur : www.morpheus.fr