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DOSSIER DE PRESSE
Du 07 au 22 février 2015 inclus
L’archéologie sous-marine vous révèle ses secrets
Ateliers, expositions, films
L’archéologie sous-marine est une discipline d’ordinaire peu présentée au grand
public. Elle apparaît aussi mystérieuse que les trésors qu’elle révèle.
Accompagné de deux partenaires scientifiques, l’ADRAMAR et le DRASSM,
Océanopolis accueille du 07 au 22 février des ateliers, des expositions ainsi que des films
autour de la thématique de l’archéologie sous-marine.
Tous les visiteurs, mais plus particulièrement les plus jeunes, seront invités à
participer à des ateliers de fouille, à observer des objets anciens issus de diverses épaves
ou encore à découvrir une exposition de planches du bédéiste Patrice Pellerin ainsi qu’une
projection de plusieurs épisodes du dessin-animé Tintin.
Les Partenaires
L’Association pour le Développement de la Recherche en Archéologie Maritime
(ADRAMAR) est une association créée en 1993 par des archéologues
scaphandriers, des universitaires et des bénévoles. L’association a pour mission
l’étude, la protection et la mise en valeur des sites archéologiques immergés :
elle dispose pour cela de moyens techniques et humains adaptés à une pluralité
de missions, qu’il s’agisse d’une prospection, de sondages, d’une fouille ou
d’opérations de valorisation.
Depuis sa création, l’association est maître d’œuvre de nombreuses fouilles archéologiques en
France et à l’étranger. Pour ses missions de médiation, l’association a reçu l’agrément Jeunesse
et Education Populaire du Ministère de la Jeunesse et des Sports et l’agrément Education
nationale de l’Académie de Rennes.
En savoir plus : www.adramar.fr
Le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sousmarines est un service à compétence nationale, délocalisé à Marseille,
relevant de la direction générale des patrimoines du ministère de la Culture et
de la Communication.
Il a pour vocation de gérer le patrimoine archéologique subaquatique et sousmarin et est compétent pour toutes les recherches archéologiques nécessitant
le recours à la plongée.
Ses missions sont l’expertise et l’inventaire des biens culturels maritimes, la gestion de
l’archéologie préventive dans le domaine public maritime, la protection, la recherche et l’étude, la
diffusion des connaissances (publications, expositions), la documentation (fonds photos en ligne
sur la base « Mémoire » du ministère de la Culture ; revues, ouvrages, documents…).
Son domaine d'intervention est particulièrement vaste puisqu'il longe plus de 10 000 km de côtes,
dont 5 533 pour la métropole. Il s'étend du rivage jusqu'à 24 milles marins, soit un peu plus de 44
km. L’extension de son champ de compétence à la zone économique exclusive l’amène à gérer
plus de 11 millions de km².
En savoir plus : www.culture.gouv.fr
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Pavillon événementiel
Pavillon événementiel ouvert tous les jours, du 7 au 22 février, de 11h30 à 12h30
et de 13h30 à 18h00.
Présence d’un archéologue de l’ADRAMAR aux horaires d’ouverture du pavillon
événementiel, durant toute la période.
Atelier ArchéoMer
avec l’ADRAMAR
Dates : du 7 au 22 février 2015 inclus
Horaires : 11h30 et 16h30
Durée : 45’
Pour les enfants de 8 à 12 ans
Réservation au pavillon événementiel
Cette animation de l’ADRAMAR, Association pour le
Développement de la Recherche en Archéologie Maritime,
propose une découverte de l’archéologie sous-marine et une
immersion dans l’univers de la guerre de course à travers le site
archéologique des épaves de la Natière. Après une présentation du
chantier de fouille sous-marin, les enfants s’initient au relevé
archéologique autour d’un carré de fouille reconstitué. Grâce à une
mallette pédagogique composée de fac-similés d’objets issus des
fouilles des épaves de la Natière, ils poursuivent l’enquête
archéologique afin de restituer la vie à bord des frégates corsaires du
XVIIIe siècle.
En savoir plus : www.adramar.fr
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Pavillon événementiel
Exposition « A l’abordage ! Les corsaires entre mythe et réalité »
avec l’ADRAMAR
Dates : du 7 au 22 février 2015 inclus
Horaires : 11h30-12h30 / 13h30-18h00
Cette exposition, proposée par l’ADRAMAR, propose un
regard croisé sur le mythe du corsaire à travers les yeux de
l’archéologue sous-marin et ceux du bédéiste Patrice
Pellerin, auteur de la série L’Epervier.
L’exposition « A l’abordage ! » a été créée dans le cadre des
rendez-vous « Bande dessinée et histoire » organisée par les
archives départementales d’Ille-et-Vilaine.
Basée sur les fouilles sous-marines des épaves corsaires de
La Natière (Saint-Malo), l’exposition permet une découverte
inédite de la guerre de course au XVIIIe siècle, entre fiction et
réalité.
16 panneaux
12 photos sur l’archéologie sous-marine
12 cadres de planches BD de P. Pellerin
1 DVD interactif
Exposition d’objets exceptionnels prêtés par le Musée d’Histoire de Saint-Malo.
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Pavillon événementiel
Exposition «L'INDIAN, les vestiges et l’histoire d'un naufrage oublié,
1817»
avec le DRASSM
Dates : du 7 au 22 février 2015 inclus
Horaires : 11h30-12h30 / 13h30-18h00
Le 10 décembre 1817, à 4 heures du matin, l’INDIAN, un trois-mâts anglais d'environ 500
tonneaux, ayant à son bord 193 personnes, est jeté par la tempête sur les écueils du littoral de
Kerlouan. Le navire est totalement brisé et broyé par la grosse houle et les déferlantes…
Au petit jour, les riverains découvrent l'ampleur du désastre. La plage de Carrec-Hir est couverte
de cadavres. Au fil des jours, 143 corps seront retrouvés (hommes, femmes enfants). Seuls
survivants de cette tragédie, deux cochons, arrivés à terre, par miracle, dans une des chaloupes
du navire. Des ballots de marchandises, des caisses d'uniformes, des pièces de gréement
jonchent l'estran.
C'est en 1992 qu'un plongeur de Kerlouan, Yves Loiselet déclare l'épave aux Affaires Maritimes. Il
fait état à l'époque d'un canon gravé 1804 et de boutons d'uniformes marqués : 1st HUSS
VENEZUELA. Les recherches en archives demeureront muettes jusqu'en 2008 quand Claude
Gestin s'intéresse de près au bouton d'uniforme et acquiert la conviction qu'il s'agit de l’INDIAN. En
2011-2012, René Ogor exhume des archives du Service Historique de la Marine, des journaux
anglais et des récits des acteurs contemporains de cette aventure embarqués sur les autres
navires, la certitude de l'identité de l'épave et le déroulement des circonstances qui ont mené
l’INDIAN et ses passagers à leurs pertes.
En juillet 2013, l'ANDRE-MALRAUX, bâtiment du DRASSM (Département des Recherches
Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines du Ministère de la Culture), est venu se
positionner sur zone pour, sous la direction d'Olivia Hulot, évaluer le potentiel archéologique du
site.
L’exposition « L'INDIAN : Les vestiges et l'histoire d'un naufrage oublié », pilotée par le DRASSM
et René Ogor, avec le concours de l'Association pour le développement de la recherche
archéologique (ADRAMAR) dresse un état de la recherche tant archivistique qu'archéologique,
concernant ce navire. Une sélection d'objets issus de l'épave révèle au visiteur des pans de la vie
à bord d'un navire militaire anglais en ce début du XIXe siècle.
Cette exposition est proposée par le DRASSM (Département
Archéologiques Subaquatiques et Sous-marines) de Marseille.
En savoir plus : www.culture.gouv.fr
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des
Recherches
Pavillon événementiel
« Mémoires englouties »
Exposition de photos sous-marines d’Alain Carnot
Dates : du 7 au 22 février 2015 inclus
Horaires : 11h30-12h30 / 13h30-18h00
Agent portuaire de profession et plongeur de passion depuis
1984, Alain Carnot débute la photographie sous-marine en
2006.
Il proposera au visiteur une exposition de ses photos sousmarines prises au travers de ses plongées sur les étraves du
« Drummond Castle », du « Peter Stiff » ou encore de « l’Ile
d’Ouessant ».
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Auditorium Marion Dufresne
Projection Documentaire
« Opération Lune, l’épave cachée du Roi Soleil »
Dates : du 7 au 22 février inclus
Horaire : 10h
Durée : 90’ - HD
(Réalisation : Pascal Guérin, Herlé Jouon / Origine : France / Grand Angle Productions, Arte
France)
Tout public
Modélisation 3D de la Lune
© Conception et Réalisation graphique : Olivier MICHON
© Grand Angle Productions
Synopsis
Le vaisseau de Louis XIV, la Lune, a fait naufrage devant Toulon en novembre 1664. Le navire
revenait d’une expédition sur les côtes barbaresques avec près d’un millier d’hommes à bord,
simples matelots ou nobles de très haute lignée. En un instant tout fut perdu, les hommes et leurs
biens, la cargaison et le navire. Sous la pression du Roi-Soleil et de son entourage qui entendaient
cacher la tragédie, la Lune fut rapidement oubliée. Découverte en 1993 par un sous-marin
d’Ifremer, son épave repose par 90 mètres de fond. Magnifiquement conservée, tel un Pompéi
sous-marin, elle fera l’objet à partir de 2012 d’une enquête archéologique exceptionnelle mariant
l’histoire et la robotique, le savoir des archéologues et la passion des abysses. Michel L’Hour, dont
la renommée dans le domaine de l’archéologie sous-marine n’est plus à faire, nous convie à une
plongée exceptionnelle. Dans un « format du réel » de 90 minutes, il descend dans les conditions
d’un direct sur l’épave de la Lune, vaisseau amiral de Louis XIV. Une épave qu’il considère comme
unique au monde.
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Auditorium Marion Dufresne
Projection Dessins animés
« Les Aventures de Tintin »
Dates : du 7 au 22 février inclus
Horaire : 14h30
Tout public
LE SECRET DE LA LICORNE
Production : ELLIPSANIME, FRANCE 3, M6, NELVANA - Réalisation : Stéphane Bernasconi
Les aventures de Tintin éditions Casterman - Auteurs : Hergé - Tintin @ and TM Hergé 1991
Partie 1 – Durée : 20 minutes
En se promenant au marché aux puces, Tintin découvre une maquette
de caravelle dénommée « La Licorne ». Il l’achète afin de l’offrir au
Capitaine Haddock. Celui-ci reconnaît en cette Licorne la réplique d’un
navire ayant appartenu à un de ses ancêtres, le chevalier de Hadoque.
Après de multiples péripéties, Tintin et Haddock découvrent qu’il existe
3 modèles réduits de « Licorne », chacun d’entre eux renfermant un
mystérieux parchemin. Ces 3 parchemins réunis permettraient à nos
amis de retrouver le trésor enfoui par le chevalier de Hadoque.
Partie 2 – Durée : 19 minutes
Tintin, Milou et Haddock tentent de réunir les 3 parchemins afin de
découvrir « le secret de la Licorne ». Mais, ils ne sont pas les seuls à
être sur la piste du trésor. Après de nombreux rebondissements, et
grâce à l’intervention des Dupondt, Tintin parviendra cependant à
déjouer les ruses des frères Loiseau désireux de s’emparer du trésor.
Les 3 parchemins ayant été réunis, ceux-ci révèlent à nos amis la
location du « Trésor de Rackham le Rouge ».
LE TRESOR DE RACKHAM LE ROUGE
Production : ELLIPSANIME, FRANCE 3, M6, NELVANA - Réalisation : Stéphane Bernasconi –
Les aventures de Tintin éditions Casterman - Auteurs : Hergé - Tintin @ and TM Hergé 1991
Durée : 21 minutes
Tintin, Haddock et les Dupondt s’embarquent munis des parchemins
laissés par l’illustre ancêtre du Capitaine, à la recherche du « Trésor de
Rackham Le Rouge ». L’aventure n’ira pas sans aléas ni surprises,
d’autant plus que le Professeur Tournesol a présenté à Tintin et au
Capitaine un nouvel appareil d’exploitation sous-marine.
© Ellipsanime Programme, Nelvana Ltd, France 3, M6/© Hergé, Moulinsart
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Informations pratiques
Les animations sont incluses dans le prix d’entrée et dans la limite des places disponibles.
Parcours pédagogique
Sur inscription au pavillon événementiel.
Tarifs
Adulte : 19,80 €
Etudiant : 16,30 €
Jeune (de 3 à 13 ans) : 12,80 €
Gratuit pour les moins de 3 ans
Famille nombreuse : 73 € au lieu de 78 € et 11,10 € par jeune supplémentaire.
Horaires
Océanopolis est ouvert tous les jours de 9 h 30 à 18 h (fermeture des caisses une heure avant la
fermeture du site), excepté le jeudi 25 décembre et le jeudi 1er janvier 2015.
CONTACT PRESSE
Danièle Quéméneur, Directrice Communication d’Océanopolis – Direction Délégué Mer
02 98 34 40 66 / [email protected]
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