Ä IY - Fondation Franz Weber
Transcription
Ä IY - Fondation Franz Weber
B 1820 A.Z. ” ‘* ‘ PV? |\ ’ |‘‘‘ | 3 |1,6, Mllnn ••»u;»6~¤« No 54 novcmbre / décembre 2000 5.- Fr. I “Ü \ " "|*” l* ' » ‘ HV ‘ CY ”|W\2\‘ „ " Ä d C * ‘| ‘ 4; ‘\ " ‘ ¤„ « ‘ ‘ " 02 · «„| W | „ NN I 3* |t¤ *‘ I! E lu "‘ „_ |~’ * »· 3% ‘ · |‘ *| ' ,. l' »· ‘|· E .ä ~· ·| 4* ß '” | |‘| · | W J? “ * «4 1 “ ” _ | _ |?” Y cdlce .„| uv ' J \_ „ |= ‘ „. . . ‘ Ni „ , ~ ~ 0| n ‘ °‘ ‘~ |‘ ä Hä F®lUl@¤‘ilTIÜ®lD1 Fm|mz YW@Yb>@1r· |·v~··|¤ä¤ ’ Ä |ia |„· ÄY Ä I · _' ·_I A' „„"wt ·; 00 ~— .,„ ;„, ~ „- 1 . « ,, |M “,_„L| V' H «\|· ” Ö' ‘ V im |H^ ‘ ‘ B4 ‘ 1 ; Im „ Ä |„\ · ÄAV äL— ^ „ -; 'Q ··· · ' ‘ E N" ' „| U J, } ·| « « «. ' N - N |H; « . { « *»w| . , - Y yet I Ri v~ · · ; |2 ‘ " ~ 2 ‘* · . ‘ ~ ‘| „r’ ~ | “ ux| \‘ V |X ß I * •‘ ’ °”“° „„‘ Wm ; h i “ ‘ ' Ü} ‘— ' 1 · „ |„ W Ä| V . m „ U }| EE F ‘ 1 _ · '. =*”“gg ‘ | M ‘ 'jr u· é:. ' _ M L Kl , ? ” lx,}| '— • I jl ,_ -I ‘ ‘ fg! |}&‘ _„_ ’ Ä ‘ y " we. ‘ 0 . ‘~ ‘ ‘ ,„ ' ‘_~‘ ~ Ä _• „ „ v „ K 00 « ·'-T”·|’° " „ ·' v ?‘ “· · l ~* · „ jl 'Ü |Mk 0 —| 0 ~" ”‘ 1; ‘ . _ _ ‘ . W? « ‘~| ‘ · W? ‘ l « · · " wm „ ‘ ~ ‘ Ä mj fh txé· ,_| "¢"“'^·; ‘ „ „ p:| *- _| „« · . . _ ‘r ‘ IL . . V ” · A |. ‘· ‘: „ .‘ ° ‘ · ’ ·· Ä? · ~ „ |»:| . ‘X .. _ ~;Q y' ‘ L www I; „ ~ 2 IOURNAL FRANZ WEBER N¤ 54 ect./nev./dee. 2000 I Chaquß theme que nous déVel0PP0¤S dans ¢€ un theme en soi, se réclame néanmoins de s’il est méme la source: notre aspiration a la justice, a la ré• • * • ' „ E concihation et a ’ *— · l la paix. ~» ” . Les vers célebres de Hermann Hesse: « Leben ist Einsamsein. Kein Mensch kennt den andern, jeder ist allein. — La vie n’est que solitude. Nul ne connait l’autre, chaque homme est seul», résonnent poétiquement justes, mais si nous observons la vie du point de vue scientitique et philosophique, chaque homme est étroitement lié ä son prochain et par la-méme ä toute créature vivante. Personne n’est seul. Et chaque individualité porte en elle les semences de l’univers tout N§ |i °, „ . - • —\ , ‘ de toute vie. Alors, solidaire de tou-V te vie, nous resusciterons vers une vie d’essence supérieure. Vers une Vl€ d’harmon1e, de jore et de palx. Une vie de laquelle aucun étre viVam n est eXlu‘ “ j J C’est ce que nous souhaitons ä nous et ä toutes les autres créatures, notamment aux animaux qui plus que jamais sont livrés ä la folie des hommes, ä l’explo1tat1on et ä la torture qui en ré- /} Un vceu pour l’avenir. Un vosu qui s’exaussera sans faute. C’est le vmu d’étemels Noöls en toute liesse, sultent. perpétuelle pour chacun. Pour chaque créature! entier. A Franz Weber Ce n’est pas lä un postulat philosophique seulement, il est aussi scientitique. Nous sommes partie intégrante de l’univers et l’univers est partie de nous-memes. Ce- Trafic hideux d’auimaux sauvages Année victorieuse pour la Fondation F ranzWeber ’ ‘ I · Dans ce num€rÜ nlms appamma a t0uS’ cl} toute Clans? lorsclqc mms La découverete la plus sensationnelle? attemdrons aux sources memes de la vie, a l energie La decouverte dont nous rendons compte dans les pages suivantes, dort etre comprise comme une mcitanon a la rénexion, peu impone qu’elle sei: déjä une réalite ou encore un espoir inassouvi. .C’est seeondai— « · , la Originelle de la gréatigm i ; E Eléphants et ammé suisse_tog0laise 3 9 14 18 Cham aux viswux mrgratwrs en Ardéche 19 Come de Franz weber 20 Médieamem Salutaire 22 Que Seveusmeue des phmtee? 25 Courrner des lecteurs 26 re pu1sque, de toutes faeons, n0tI‘e n0t10n_de temps est une illusion. Nous decouvrirens inéluctablement töt ou tard, avec l’aide ou non d’instruments sophistiqués ’ le Présent étemel et par conséquent ° ° les origines Parc cantonal du Jura: ä gauche: Chd du village de Fazao, Commzmdant Ems: Gnassingbé (,61; du prészdenn, Premier Aänzlstm Eugene Adoboli, Franz Weber; lvünisme du Tourisme, llänistre de I Envirormement, twis préjéts, et en dehors ä gauche, le secrétairie de la FFW Couvcrlure: De dmife er| r rt vestr • • le cerf 33 „ 39 2 · ‘ J N° 54 FRANZ WEBER oct./nov./dee. 2000 3 i l La plus extradordinaire ’ et la plus sensationnelle l des t€II'lpS modernes i sans cesse ma conscience. Sont-elles I'expression la V°'X 'V" d°¤_l’l lél/9 gans löndemaln eu le langage de La vision de Franz Weber 2 Dans le no 52 du Journal, Franz Weber ecrivait dans " Dans un futur pas trop Iointain, vienson editorial le temps dung Scuinue execte qu' ra et tilmera le passe iusqu a ses ongunes. Car llleuls : l chaque a°u°.n* Chäaquhe C aqua We a°qu'° chaque äyäjué " le sens de vos in- Le 5 octobre 2000, done quelques mois apres la parution de cet édito, Franz reeut d’un Iecteur de Lausanne, Paul Goumaz, des ecrits allant dans le méme sens, plus qui semblent prouver dans es “ : _, l' ' ‘ · · ~~ faits —. A ‘ I I qu éwälim a fe neEp%ut fm'} $1*-:äRsjgmegl J ul il |ii ‘ ui; · |l|l| ii |"' ‘ W “ ·“ lgeilparlél pfrqeé r eaqtu im Iäpggtug u ~t .„ .. „ la ‘*“ Seräitr _; ”" "’ demzizdestemps V W W] “ ' ‘ . . tribunal et sans jugement. Ce seraut le temps du pardon et de l'amnistie universelle · car nous 'o ns pasce q ue nous fain Votre Journal no 52 le " du Nazareen" paru aux Editions de la Baconnlere a Neuchätel, en tres du . w IR ~ J Ilvre Ce "Vlslon paru dans l’hebdomadaire milanais 1976. Ia l“ || a vous GDVOYGT les fI‘0lS derniers chapt- Re l dans plan le • m'incite", dlt le lecteur, „ ' l;é;nO?l'‘ll;?SE;?l2;6d§tn?>;1ärrgäpss • · editorial I _ c'est-a-dire sur ’ sclentlüque, sa vision. tt ’” älgläuggäsdeilägé _ - , i i dans tuiti°ns axlzgmé erm par 2;_' qui va Une décourverte " Ilvre et l'article Domenica ms „ del Corriere I,H€Ure d.Etre " re- .. an 1978 vom dans le Sms de VOS |ntumons Gt les dépaS_ par . „ sent CeUX_qU| etouffept la YéDas nouvelle la technique erre photographiées gräce nté par ggut du pQUVQ|r Qnt mtéret a ce que cette découverte reste cachée. Mais elle doit El Franz Weyer de eenelule (en $e_ee“SU"a“t donner du courage a ceux qui comme vous, lutquelque peu). Ce sont la des pensées qui traversent tent pour la vérité et Centre le ma|_ étoiles éteimes depuis des millénaines pourraiem ' cl · ·· Voici Particle paru ä Milan dans " Domenica del Corriere " par Vincenzo Maddaloni. A vous de jugerz y a un mois, une personne, dont je tairai le nom mais que l'on nommera seulement M. X, me dit que, le Pere Il Pellegr1no—Ernetti, de l’ordre des Bé- mais d’une tres haute précision, capable de capter et de reconstruire des methode expérimentée par les astronomes, parvient par un calcul sur les images, SOHS ¢t_éVénel’n€n¢S survenus ll Y a des eemames d ¤¤¤é¢s· reconstituer a années-lumieres, l’aspect d'une étoile, méme si elle est L'équipe en question travaille depuis des années et, recourant a la méme déja éteinte depuis des milliers d'années. Devant les résultats obtenus, on est rempli de stupeur on a pu nédictins, avait réussi a mettre au un groupe de douze phyun appareil tres compliqué, point, avec siciens, : · 4 IQURNAL FRANZ WEBER N¤ 54 oel./nev./dee. 2000 |v|s-| |{reg|e ·| r‘ . ET ~ .4 ‘ t ’‘‘‘ »~ ° i ‘·|«,... V ät . . ' ? i- i i i ‘ il ”- ‘€ ‘ L6 PG"? EVWGNI «Cette decouverte gs} fg plus sgnsgtionnelle des temps Pellegrino de dre des Bérzédiczins de ‘ ,«“· l|gi_j‘·¥¥== modernes/» !,_§,. ße lufäx ” ‘ i;|;1·äs'F‘ «~ l’· sl i;¤‘·<—«;.«..§ gw \% r 1 Ht .· , —· %i‘=»‘’.·|?‘if“*fi t |·<| ·*| «· — 1==: _. Z- wylix _, dans S0/1 bureau de V€l’llS€ Ü.? J- ·· . 9-* " gti · \‘l , ~ «- - 4. l_ ,^«;R'|e,_eh;r-RR|g;€j_.· Q ne me resqu’ä personnelleinterroger te plus ment le pere Pellegrino. Le Pere Pellogrino Ernetti, 47 ans, enseignant de pre-polyphonie, est une figure bien connue dans les domaines et de la me donner une réponse. Il "capter" des personnages historiques, une entiere tragédie ancienne écrite en l'an 169 av. J C. qui avait été drspersée par la suite. Et méme la vie entiere de Jésus ä été photographiée. La nouvelattemt les le est stupétiante car elle . 11- musique et de la science. Depuis de nombreuses années, par des conferen- mites de la vraisemblance. ces ’ des livres et des traités ’ il aftirme „ que tous [ es bruits et l es sons emis de- J . Les IITIHQGS S9 |'6COLIp6|’It an plus d„un point avec celle du Saint Suaim M. X. que vie du am nem me äflrgsiäpäm „ . ’ iz Je suis alle trouver le pere Pellegrino ' |,|_| |Ä| R We| ' ., dans son studio du Conservatoire de Sainte-Cécile, ä Rome. Nous avons parlé pendant plus de deux heures. Je lui ai dit ce que je savais de ses expérlences et des résultats obtenus, Il n'a rien nié; il a meme consenti, pour la premiere fois ä parler9 mais ä J ' M X qui .°’ , plique que, lu1auss1,ava1tete assailh par le meme doute mais qu. il avait pu constater par la suite que les deux images concordaient sur plus d’un dit l'‘i' ‘ . . . . , —‘·· . · - · · · en avait conclu qu'1l eta1t probable que, tant l’une que l’autre, pouvaient représenter le vrai visage du Christ, dont l'une de son vivant Il sur la croix et l'autre apres sa mort. Un nouveau doute me vint a l’esprit : si se ce que fait-il M. X. que dit est vrai, le ~ä équipe gardent le secret sur une decouverte si merveilleuse? Mais M. X n’est pas en mesure, lui non plus, de ' · i . |es interview: E ‘* , ljintuition ä Ia . R j I L J base da cette recherche, ygmgntg, au |V gtagla avant J_sQ_ _ 5 r éw comment Pere Ernetti et son · · condition de ne pas lui demandcr les nomS des physlcleux $$5 coll.abora•l teurs, et encore moins lendroit ou l a mstaué tout. 1.appamulage de ses ls comcnu dc notre ° - point. ' ,_ image est-elle de Jésus ? D'autre mc Eulsiäs cherches et ses découvertes. » du Samt-Suaire de Turin? Sans doute’ e aces végwsm part, si c'est la vraie, ressemble—t-elle ä celle meme din J Christ, Cette vraiment celle monde ä nos j-ours e notre memoire - pu1s^les orpgmes - semble tout ä fait abracadabrante et insensée, mais il ne désarme pas et me montre une photo qui represente le Christ sur la croix. Il ne me dit pas comment, et ni d'ou il la t1ent, mais m'aftirme qu'i1 s'agit lä d'une des nombreuses images “captées" de la · - - M;·| l· Le Sal"' S““"€ de Turm Question. - Professeur Pellegrino, avec les douze physiciens de votre équipe de chercheurs vous etes parvenus ä construire une machine de votre mventton et etes parvenus ä re- N¤ 54 ect./nevzdec. 2000 IQURNAL FRANZ WERER R constituer en laboratoire les voix ainGräsi que les evenements du passe. un sur ce ä vous, rien qu’cn pressant existant dans le monde en cette ma- bouton, les ancicns peuvcnt revenir parmi nous avec leurs paroles, leurs pensecs et leur image. C’est lä une decouverte scnsationnelle pour la science et, pour Vhumanité, une his- re toire extraordinaire. vous parvcnu ce Q1 Comment etes- resultat'? ‘ Réptmse. —Cequc ilousavaisreussi avec l'aide de la science et de la technique, les pythagoricicns en avaient déjä eu l'intuition, ainsi que les emules d'Aristote car, depuis le lointain lVe sieclc avant le Christ, ils avaient Compris quc par la desagrégation des Sons, on pouvait reconstituer des images mais, cn cc temps-lä, il lcur manquait les moycns techniques ; pour pouvoiry parvcnir. votre decouverte se rapporte-t-elle ä la desagrega,, tion des Sons - Question En quoi ' R Réponse. - L'histoirc dc notre decouverte remonte ä 1956. A cette ., cpoqucnlm J an commencc mes premieres etudes sur l'oscillation appli— quée ä la musiqua ycnscignc la pré_ polyphoniect,acet1tre,jesu1slmstmcteur de la Seulc ct unique Cham? . „ R . i , _,---,. au conscrvatoiBenedetto Marcello, de Venise. Par il pre-polyphonic l'etude faut cntendre de la musique d'avant l'an IOOO et en particulier Mic de l'époque qui vaR du tiere, i R F s, i i t |l“"’^'<*?¤·l"„„ il| wie Xlllc ¤¤ XWC avant J·'C· Jnsnninn t¢¥‘ · ;.,,~,~.:t;;$;.3r»,. ,„ |<° Xle S‘eele npres V9- Dans ee genre n <=t¤d¤S„_ nn Xe_ nn Pan de qm Se in ii lnnsnlne Jnnan an la Eeywsns uns ”§l;,»eil.°| e °“| in st des ‘ ‘ ··l“‘ ' · fi . commcfm ie? cmcnd aujourdthiu nom Pas encore ete inventees; mais il y a des signes R SCmblablcS· Commc «I·'uturo.vr‘ope» ä Poititws (I"rum*e) par immpk PLUX quo 1 On cmplulc Cu formees, en revanche, et restent etersténographie. La portee n'existe pas "' nelles et omni p resentes Elle rn fal't I'l n Ous fau tatt6 ndE l as nmßp ulséoä _ h. _ l_ crivcnt sur a sp erc astra e,R one rl pour rencontrer Res prere RRan est possible de les reconstituer en mieres notations tellcs qu on les ,, t_an t qu energie car e H es ne sont que „t d,h ui. connai aujour „ „ - ' ’ . _ 1 I . . . R R cela von Question.4 Ernetti, * Pere en cela qu'avez-vous fait de particulier ? i Répvnsé-- Vßi le privilege d'av0ir f0rlT1Ulél'idé¢,€¤ i C6 qui C0nG@rn€ l°él¤b0FHti0n, qui ss? basée Sur un principe de physique accepte par tout les savants, - q ~ selon lequel les ondes sonores et l _ i l ° une Vlsüöllss, se ne f01S é}UlS€s, du , Le Pavillion «Futuroscope». symbole d’un monde changeont pas detruisent mms sont trans- reste. . Question.- Ppuvez-vous nous donner _ un excmplc ‘ Réponse.-Prenons le eas du son: ehaque onde sonore est energie et produite par une source emettrice, quelle qu'elle soit. Cette onde sonore se divise en sons harmoniques ultrasons, hypersons, hyposons, etc elle n’est donc pas detruite, mais seulement assujettie aux memes conditions de désagregation de la matiere selon la theorie atomique. Comme cela est connu de nos jours, la matiere n’est pas seulement deconstruite jusqu'ä l'atome, mais jusqu'aux éléments les plus intimes. Gräce ä des : procedés particuliers elle peut etre reconstituée dans sa forme primitive: cela est possible parce qu'elle est energie. Bien entendu, pour ce faire faut disposer d'appareils approil priés mais cela est une autre ques; I · J . Snnnn°nenS· notes de musique, at ’ .' '\ temps des BanYl9‘ mens- des ASSYV'en$· des in i “ ll nous faut des appareus pour entendre * 5 tion. C’est bien plutöt le principe Savolr qu'au' qulil faut Considércrv n 6 No 54 ect./nov./dee. IOURNAL FRANZ WERER 2000 Réponse.- L' onde visuelle, cune energie ne se detruit mais se " puisque je transforme. L‘objection ne vois pas et n'entends pas, je n'y " est sans valeur. Les ulcrois pas trasons. par exemple, sont pour nous l'onde sonore, est energie chaque element matériel, est formée de lumiere et se dissout en lumiere. De cela on peut déduire et c'est scientifiquement confirme que l’é" " lumiere qui nergie est seulement forme les divers elements que nous appelons matiere. D'autre part, si la l inaudibles, car notre ouie est limitee nous entendons seulement ce qui pcrmis ä nos oreilles d’entendre. Mais nous savons aussi qu'il y a des animaux qui peuvent entendre au delä de notre audition, meme des ultrasons. Le fait que nous n’entendions pas, ne signifie pas que rien n'existe au—delä de nos pouvoirs limites mais qu'il est necessairc de disposer d'appareils specialisés pour prolonger et est lumiere est l’élément primordial qui forme toutes les autres énergies contenues dans la matiere, cela signique, puisque les autres énergies sont etemelles et peuvcnt étre reconstituees, il est d' autant plus possible de reconstituer l'onde visuelle qui est la plus importante de toutes les énergies. Donc quand nous lisons " le premier jour dans la Bible que Dieu crea la lumiere ", cela signifie qu'Il avait créé l'élement duquel, par la suite, Il tit surgir tous les autres elements. Le son, par exemple - et tie notre ouie etnotre vision. Voile pourquoi je tiens ä préciser que nos études n'ont rien ät voir avec la parapsychologie, ou la métapsychique, par lesquelles on tente d’expliquer et de legitimer les voix et apparitions de l’au—delä. Non, dans notre cas, il ne s'agit que d'une question strictement cela est reconnu par la science, - est genérateur de lumiere et peut se convertir en lumiere et vice-versa. Il s'ensuit que meme l'onde sonore ne se detruit pas parce qu'elle aussi, avec l'onde lumineuse, contribue ät la i°”“"?‘¥’“ "° ‘°“S.‘F’S *‘““?*S “g'°g*"S energetiques matertels qui, en raison scientitique, basée sur le principe ondes sonores sont de l'éner" gie et gräce ä cela, peuvcnt étre " captees et donc se reconstituer. que et, comme comme les Le S¤¤ peut Se tr¤¤S*¤rm¤r an lumiere de cela, peuvent étre captes Constimée Question.: Selon vous, pere Ernetti, " " recapter cet unique moyen pour les voix de l'espace base sur des lois de la physique, comment parvient-il ä restituer des images? J _ _ I du temps. En eltet, si dl 1 6 j ’ dividu et tous ses faits et gestes, en actes et en parolcs. Voilä pourquoi on se trouve aujourd'hui en mesure de revoir et reentendrc les plus grands personnages de Vhistoirc. . . . .„ Emcun Q“e$”0"‘,'. Peru . . J in app"? quelusqu. ‘°‘ Vous cn ‘ii°S.parV°n“ n rcconstrulm la pmnonulnuon cxactc de cmamcs langucs ,an°l€n“€S' Em' re autm V°uS avcz muss' 8 locahsnr trage' ci r°c°.mp0$€r,l? Thyqstesßunn de qu] avm cw rcprnscntc? a en ii Rome locnasuin Sc dcrgnl? gät %€;dä£lä°Rä"Erä§Ä aiq J2 Flamiiiio Ä le raiiis °Ä£„°iipsie; , R par Qumtus E nmuS* C H cßtcnntn d,an.S ' . . _ un latin diflicile ct complique. C etait une oeuvre revolutionnaire pour l’epoque, dépourvue du style de la poesie ICIIIS grande inllucnce sur l'un des penseurs les plus lmportants de notre époque, le psychologue Carl Jung, ct l'amena 8 s'in- nouon l'avenir peutétre lu c'est qu'il se trouve deja en § des images. L'on sait que chaque étre humain, des sa naissancc ct jusqu‘a sa mort, laisse derrierc un double sillon: l'un sonore l'autre visuel, une espece de carte d'identite differentc pour chaque personne. Et c'est gräce ä cette carte d'idcntité que l'on peut reconstituer la personnalité d’un in- pour laquelle elle avait été ecanee puis detmite. Jusqu'ä votre decouverte, il ne { 2 syntoni- Réponse.- Par l'emploi d'appareils t i la sation, particulierement des vois et classique, et ce fut lä peut-étre la raison 1 la d’antennes qui permettent Q““"”"·' CaPteS· mens cnnnncnt? lllllslul La dlvination remet cn cause et re- appropries. Notre équipeaété la premiere dans le monde, ä cn fabriquer. L'outillage est compose d'une serie germe dans quelque structure cohérente du temps. Albert Einstein (0 dmite), pere de la physique modcmc, aftlrma que le temps téresser au domalnc de la ‘” metaphyslque. 9 Einstein et lung sc rencontrerent ä Zurich, ä l'époque ou le grand physlcien I n'existait mcttait au point sa theorie de la relativi- Notre notion du temps est linéairc, un en ces tcrmes que lung parle du savant: ·Ie lui dois ma conceptlon de la relativlté du temps et de l’espacc, ct de pas dans Yabsolu; il varie selon les mouvcments d’un observateur donné. Ä te. en entraihant un autrc. Mais Einstein remit en question les cadres rlgldcs du passe, du present et du futur. En theorie, on peut en inverser l'ordre, le futur avant fait g A i j le présent, l " ·— ,,é_ lcur esscnce psychlquc.· Einstein a devolle Vexlstcnce théorlque d’un unlvers dans lequel la cause nc précédalt pas neccssairement rettet. Des annees plus tard. lung en tlra sa theorie de la syn- par exemple. j * _ C’est La theorie d'Elnstein n'cnvisagealt pas la possibillté de lirc l'avcnir, d'autant que cette évcntualité ne Vintéressait pas beaucoup. En revanche, elle excrca unc ' chronle, selon laquelle des colncldenccs _ signillcatives pouvaient survenir en dchors des lois E t- de cause et d'etf¢t. I l_ , _ , __ , , ,,. . .. . . ...- .. .. . .. . . ..L„.., ._- ...... . .. „.,.r...e Ü. N° 54 oct./nov./déc. 2000 FRANZ WEBER Question.- Est-ce a dire que votre équipe n’est pas encore süre de la validité des résultats 7 de cette tragédie que quelques laissaient a peine supposer la qui bribes beauté et la valeur de l'oeuvre. En la captant gräce a vos instruments, vous qu'elétes man pawenus a la voir telle Je époque. le avait été représentée a son restait I au °S V lu' °“S aväus J avec es persouuaäus P us flcqllouä captcr pamc que wparus dam (is epuis peu de temps et sur lesqucls il existe une vaste documentation historique comme par exemple le —Pape Réponse.- Ne me forcez pas a dévoiler des choses dont je ne dois pas parler pour le moment. Cette machine pourrait lire dans la pensée. l ‘ Pie XII, Benito Mussolini, etc Leurs images ont été comparées par la suite avec des tilms et des gravures de leur époque: les résultats sont , _ guesttorq.- ?M&lS quand pourrez-vous ugs Satisfaisanw ¤¤¤ par er Ré„„„„.- Eh bien des qm yauraune come-epreuve susceptible de conür- ··machi„„·· · - A"°Z_Vuus que 9u° Ch°$° I _ , n'avez-vous rien d‘autre a _ Répvnse-— Cette machine, mumwret-il, peut provoquer une tragédie umverselle Y Question.- Pourquoi ? _ RéP0”S¢·· Farce ¢ll}°¢uF S¤PPYlm¢ le llbellé de Pämlä Ö ¤¢ll0¤ ßf de P¢¤· S颷 En fall la P¢¤Sé¢ aussb qul est une émission d'énergie, done captable. L'on pourra, avec l'aide de cette ce que °“ “° F’°“S°·^°°‘” S°“° °“ ‘° “?‘S‘“ conséquendeux peut entrevoir que °“ ““ ma“?‘°I° °‘ “m“‘“S °“’ tre eux, ou la naissance d une nouvel1° ‘“°’“I °· P I “* él°Vé°· °°S· expénenees. Les Americans, de leur A coté, tentent de découvrir ce que wietmuvé. mus compaaurons pu nous lorsque ment rer les résultats de nos expériences avec celles des°Amérieains que nous pourrons donner ofticiellement la nouvelle de notre découverte. ,,,7 - Mm ua 1 ajouter ‘? Mer- _ ¤ la, . , pense que vous avez pu voir aussi les visages des spectateurs ainsi que le masquc des actcursi « jusque 7 ow _ _ pm W Le B餢¤¤¤¤¤ ¤=¤6·¤l= la uu Sufuufu de s¤¤sf¤¤¤<>¤» Puls TIF uu: _V¤¤¤dr¤ uussl le t°mPS °u J° P°u“u‘ parler Question.- D'aecord! Vous attendez la contre-preuve américaine mais, , Vincenzo Maddaloni Découverte sensationnelle I O • ou hab1le trompeue ? La réponse en incombe aux chercheurs l La revue " V I "L’Heure d’Etre qui a cessé de paraitre selon les indications de notre lecteur, était tellement süre de son affaire qu’elle fit suivre la traduction de l’article milanais d’un postscriptum plein d’éloges, louant la découverte du Pere Ernetti comme la plus " Cette décousensationelle des temps modernes le pasrecréer dit-elle, de possibilité, la donne verte que chaque par Vimprégnation images) et sé (sons et chaque évfneément a äissé dans Vespaäe humaé? " ricains u centre s atial e et a 1rme que es des ondes transmisesipar téléHouston avaient recu émission par les aéstronautes d’Apollo XVI et les avaient reconstitu es avec un appareil calculateur électronique d’une grande précision, appareil qui : _ m du peut étre considéré comme étant " que celui du Pere Emetti... l ne telle découverte pourrait provoquer, parce que le monde dont l’histoire et les agissements sont par la déforce des choses en grande partie basés sur la cataformation, la falsitication et le mensonge, une strophe mondiale ? L’humanité ne serait-elle pas capable de digérer pour son bien une telle découréverte, afin de trouver enfin sur le plan mondial la disait le comme d’autres termes , conciliation ? En " Franz Weber dans son éditorial: atteindre le Jour demier sans tribunal et sans jugement, ear nous ne " savions as ce ue nous faisions. Cette découverpeut-elle pas ante, si ellgest reliement prouvée, ne noncer le jour supréme du pardon et de l’amnistie universels ? meme principe qu’il en soit, notre contribution entend meltre eu défl nen seulement les selentlüques, mals eussl les phllesevhes et les théeleglens- Quoi é li >„ ? erm pnses sa les reeherches du Pere Emetti doivent le succes obtenu méme au sérieux et si elles out énoncé dans l’interview, la question s’impose d’emblée pourquoi la découverte d’Emetti a-t-elle l’étre ? été étouffée et pourquoi continue-t-elle de qu’uLes puissances craigneraient-elle réellement : Walter Fürsprech. IOURNAL W RA ‘ · ·‘ ‘ ^ M, · |¤ ‘ „ " ‘ , ‘ „~. ;_ _ ‘} ,„s:¤·#m ‘—*“. r, „ |»=„....„ |~""=.‘;$M6‘ 1;% _;—.„ „W *1,, , ww ··„ ¤„~*;=¤s·‘;“ ¤„~—~„-lm, M ;_‘ H: „ „...L _,«¢« · „ xa ‘ *‘ ·« ;„ ‘ ‘ „‘ ; ‘ ‘ ‘ |MW g§„=‘^«*~„.# wifmn ;¤·¤v„~"x_¤w::{“~~‘;:g„«;,|—m¤„«§¢ ‘~' JM E «]·W'W’“"~I V „ ‘ ‘ J " ‘ L'; VM 4 ‘ ANB? ~ ~ n~ · ·. „ ‘ |„: „~ „„ ~ „ ‘ J , ” j‘ Ä ‘ WK, ·. »« ’ . ~ ~· ,.«. ' »; ~; Y x— „ “ ~ „ ~; ~ ‘ V ' 'J W4 L L T .L „„ — ‘ p T ‘ ' ~ =‘ ‘, p · p ‘ „„_¤” ~ ‘ ‘ ‘ |—„‘*w·«„\‘»«,«\·i\5„— |wjßig vIIII |=|qpp_p |Z„ ‘ pp —_ _ 1_ ~ ~ _‘ ««‘ „^ p V ·_< |II„„ 2,, _— wgwwg W-; ‘¤ „;«« ‘„g,~?y*, ‘¤w«· _q·« ‘~— J""""„^"| ¢="~· VV |”|"|af' ;:„|‘}|„ - „ |:w‘ ,„„ ‘ « W- ·„«„ YW ' |=·I·I · · v — ~‘«i-'| w ·· · L6, » n, ^‘ ‘ » )_ ‘ ‘ H J ‘· |Jg|i mz| „ • . · · ,._ ‘ |· 1 ’ "",· ‘ * „«| -f¤ ‘ ·;$$„,» |‘ _-_?,}* A A . —#'¢‘ ß ,„···"*‘ ww 1 «— sv „ . ‘M=| w „&„« ~„‘|L’:!i'_ <.| wi; . _ ’; ‘ „· I«I~ 1, _f· ‘| ‘ ~ ‘;¥“¤'ä.„ ' _ ‘ ¤ . ‘. 4 V; ·. E| N.; „ x __ ·~ L nw ;“‘ » | ¢·' 1 |„§«·.iv» « ‘ · | „_~«| :{°* |I ;~ . „‘;;;·ß| „ *Ö· ,|'| ‘ V ‘_ _. .., « ‘ ·" „ " ~¢ „ |. ¤‘ ~ |‘g,l' . „~»~*| |ür ‘="‘ „ L:·| }¥· y . , « 'Jw.}g· ,1 Ü;| „ ‘·~·=III‘ “ „ ‘ ·z‘| ¤·‘¥‘«¢~~ ·>· ' V „ ,‘ ·‘ · ‘ @1 · ‘ « „_ ·‘ , '~" „‘ · ‘ ~ ‘ ‘ „ „ ,‘ „.I ‘< „ „ " e ,·, .«_ n- · w, ‘ |"" “ ‘ *?| ‘» ’ |"“ ·‘ · “ |Vga- ‘ ‘ ‘ |„.| |J« „“,„Z;III‘ ’ ¤MQ“’ *1 „ p ‘>F~ ««^¢W\¢&„;'j— ;,A¥*"|‘ä.; ° ‘ ‘‘‘‘ :€”V‘*’ A V » ‘ #^ QM _4 ·· ‘;:„ ‘ , |;„>’éM„w:»~«‘wG.‘~,"Ey„_#'=!3,§‘—'~Y9‘iMl*1-;.«v¤wL;.—x„;Ä,_,__,;;„ '· ‘ p q, |‘ ‘ ' N " , ·¢ r ' |U ‘ ußr-ng" |‘”|F§§‘,+„„Ä= an ;„ -;• « M , «.|»_ Müe ‘ ‘ , ‘·”· ·” Ex |V-, } |„„~ e· _ F '= nm |v" · ~. . ;,„, „'| · ‘* „;•y}‘ ·^.„wh|_| v_%_ ·~ ‘ ‘~ .— E 4 ¤I„«*{" |— |*·)_,__ wg E „ ¤- WT "c" · gg| >,>•-,y - f' ‘ ‘ W|a} . y ;„,:\_ ‘* — IIII wr ävwf|y| » Wi} ‘ ‘€“ •·’,‘ N|?] er ‘p ‘ 2, w 4 „ . A pp ng| [1;%;| » p ‘ ~ 5 Ä Ä; < ;,,. p „ ‘ , Y1?| W Y „Y$„*=¢„| ·:;| * ~ “ « : Q‘§‘L,A V {“^$"‘*·£&°r§é„,i/"‘IIII ¤,| ‘ M _·— |* gg j"" ‘_ Ä: Ä ‘ j |7- ”’ N ·+' |° „ „ »· ws| |» *‘ p ' ‘ . .„ l„ w*‘J‘“. ' “¢‘ SW- € „„,| 1,* ‘ « ‘ III‘ ‘. ***.1 ‘ *‘| "W'¥‘s· -„ »~| wr .. ;— ,1 v ~ MLIIIII «, I „ V |}|_.¢ßg„·¤§ ‘« " ‘ 1 . |P: 9; _„ „ * „;;|„e«4 6 ",;« v Z- ‘ „ ‘ |". · „ p „ |„„ |»| |W · · · .' „| „«.. ,| w- 5, .— · ‘ ‘“ ' Q: ¤ ,. " , ‘ " , Q‘ „" w ‘ |, ‘ „|‘|II1 » ‘ V ~ »_ V "* ~ «- ‘ · jr 7%*** |q|v , ~· «, V " |2; _‘‘| .·—ag:~·;_‘|” ‘ „„ * v hf V N « ‘ Ö „ ' 1 ’ |;;v‘ V ’· ·~ „« ' „ J '~ v ‘ — ” ~ ‘ ‘ Y,| ' ‘“ ij . _ Ä |w Ä; „£ V|i J; " „~,Ü'|1·«¤!‘; -. ·* I. ·— · V _ pi}, "| fü aw ~‘·*,. W ‘ ‘~ · ··| -,7¢'=‘ ‘ , é' wh ¤¤*w· — ‘ „ M; '¤ ¤~$..·+<‘P |‘ |.| ~ ,‘ .|‘ " ‘ „, -| M r- ‘ ‘ ‘ M „ ‘ » ”“··-*~—¤ — MS W,| j „ ‘ |«.|WÄé\‘ww-’· . , ‘ · „ 3, ~m;‘:x H ‘ JA |„*,”|.V«·~·;,‘ |W|rül |·\.=ä]‘— ‘.« ' .„ ylgax «*j!j1R,V7(§§,;}§*¤%f{_ m~.··‘J° Ti? ‘ .» |\;|;M|"¥| |{·|..\„;; „-°” " , ‘ ‘·_ |öä „;‘««_| · *· _ |vw ‘ r ~ 1* 2.| ‘ ~ ‘ ~ |·,|\ · 3x « ’ .. ~ 9 N¤ 54 ocr./nov./dee. 2000 IQURNAL FRANZ WEBER Plus rentable que d armes ’ le trafic O O commerce barbare le O O COII1p2lgI11€! (l€S «I10\1V€3l1X» EIIIIIIIHIIX (16 Par Alika Lindbergh "Nouveaux Le terme NAC celComme tant de modes calamiteuses, reste, Etats- animaux de compagnie (terme, au le-ci nous vient a nouveau des océan enva- tout a fait impropre), recouvre un Unis: voici que le phénomene NAC dangraves et de qui signifie de détresse animale, natugers — danger pour les équilibres animales rels, danger pour les espéces pour livrées au pillage, enfin: danger l’homme. Inutile de dire que ce marché I'app0l'tB gI'0S ä SBS pl"Om0t€ul'S: pres de 10 milliards de dollars par anl atteignant surtout les jeusinnes, lesquels, dans leur désir de se tougulariser, obéissent en fait, comme " ". (Rien jours, aux diktats dans le vent n’étant plus conformiste, plus commun, qu’un anti-C0l1fOfmisme partagé servilehit I’Europe, ment par tous.) pour certains, rien de "nouveau": les cochons nains ont toujours vécu au contact de l'homme dans les pays asiatiques, et, chez nous, le furet a été domestiqué et dressé pour la chasse depuis des siecles. Pour d‘autres, le concept d'animal de compagnie est absurde, puisque HOUS TIC saurions im ¤¤C¤¤ Cas étF¢ POUY ¢¤X lm ¢OmPßgnon ils n'ont pas de plaisir ä nous fféqußmßf, 6L ¢¤ fall de ¤OmP3- n'0nt, g¤0¤, i ils HOUS S¢W¢m ¢SS¢¤Ü¢l· la nature but recherche inautriguer, attirer l'attention. Hélas! singud'une jourd'hui, cette recherche laflté si possible €ffI’3y2ll1t€ 3 pris de c‘était d‘ailleurs le Autrcfbig, les amatcurs de rcptilcs Qu autres bétes réputées terrifiantes, fai- telles comme „. — La plupart des de comprendre vraiment et de faire le bonheur du plus affec— V ' ä cer- i de nos maladies (nos rhumes et nos grippes par exemple taines ‘ , _ A r tueux des chiens, et les voila qui prétendent développer une relation privilégiée avec un guépard, un ‘ crocodile... ou l une mygale de germes divers contre lesquels ils ont développé des défenses, ils peuvcnt nous les transmettre (hépatite B, Salmonelles etc. .) Or, pour eux, comme pour nous, toute zoonose (maladie transmiétse d'une espéce a l'autre) peut · Rien qu'en France, pays ou · R- 2 ° g i re particulierement redoutable. Vis ä vis du grand public, ‘ * La prison ä , ~ vie pour la „ ‘ ° Q ! „ · . anthropocentrique, l'argument d'une menace pour la santé hu- !... les qu'elle cependant des aprés milliers d'années de cohabitation étroite, ne sont pas capables · · criminelles gens, ont un röle vital a assumer) maisaleur climatetatoutce qui composait leur régime alimen- i prolifération massacres et les Pauvres bétes E ” ils _ sauvage — engendre, ne suffisaient pas! . ; sintuent les anthropoides et les défense ges) ils n'ont aucune contre elles. En retour, porteurs la vie si la folie pollutions _ bétes arrachées a leur vie sauvage sont exotiques, donc enlevées non seulement 21 lcur milieu naturel (ou, comme toute espece, taire particulier. Sensibles proportions qu'elle est devenue humaine, E : un tléau de plus pour d'origi- · La plupart, hélas! de ces pauvres R seurs des maudits (encore plus rares) ‘? gaiem partie d'une minorité des la plupart gens comme des "dingues" vaguement inquiétants. Hormis pour quelques rares zoologistes en herbe, ou défen- : kmemäépatcrla gal¢Yi¢··· ( est bien bléme est plus vaste, et d'ordre éthique l‘homde quel droit, une fois encore, me fait-il lc malheur des animaux et de : I naux considérés par entendu l’argument le contre la mode des efficace plus NAC... mais, a nos yeux, le vrai pro- maine Ces nouveaux animaux de compagnie i mére et 1 'enfam l'on se targue d‘aimer les animaux parce qu'il y a en France plus de chiens et chats que partout ailleurs (mais aussi plus d'abandons!) les chiffres officiels sont effarants — or, ils ne tiennent pas 10 FRANZ WEBER NU 54 oct./nov./oec. 2000 q”i““ ( en passant par ( tous les perroquets et perru- q_Y(¤(· ( · d,l~*‘” RR ( ” ,,+4*| ~ ,.,,, _ l‘“ ~ R| R fi R, , ‘,,,.,,,,,_„.. M, 0i- ’ A| 4 |( R ,| Les ches. · Q} _ er FQ E seaux ou les poissons qui ne sont pas assez sont colorés dans les officines atmteints ( ( i l*°(.|lgl‘“^i*‘*| ,· Y lui, ,-| ( ” "‘ ‘ ‘ t |( '7j2§_Ül“‘:i‘ R ” au i de péril l¢¤f _ _ Qu'on en juge un ara de Lear, : le les plus Les anlmaux ¤¤i¤¤t pour nos névroses. bl€¤-étfß, Bt ä PJTIS, lOUl(ß()UI' — donc, T°“* °§? b?“ dés qu ll S a' leur q -( sont les plus recherchées plus lucratives. Vic- de dam | Äl les qu'une centaine au Brésil), acquis a un pauvre braconnier local pour a peine quelques bols de haricots rapporte, entre 300'000 et 500'000 FF... Quel malfrat, bien de notre époque, résisterait a de tels bénéfices , R que et dérogations sont difficiles a obtenir, ce sont les especes les plus menacées qui asia- tiques au grand „”"g‘¥,__ Convention de Washington rare des perroquets ces R % mar- des chands ·· R pas domestiqué au sens propre est bei et bien prélevé dans la nature. des animaux importés Comme 80 sont théoriquement protégés par la n’est ll'€H (il reste __g les Terrarlop lies: ‘ l (R _ _ „ git d'ag·ggn1;_ Pninrotion d6·l.1lerr.mopln/n·, |”- __, . Qs °°mm°r°°' tw liniquv pour Ivnr „onrir»n R7; la, Ill«llllll‘ll«lIl(l‘,Äifdllllllß RR r¤préS¢¤}5·=, nomles pmmS· l' _• Y‘°“t mut dc Smm aprés ls H {ii LA E, _: de dm' i' avant “ R|Q Li jl gu?. g |R $6 det armes CS ul pOlll“ · ment: compte des de toutes quotas sont forcément trafics illégaux sortes dont les invérifiables. Outre les 8,4 millions de chats et les 7,9 millions de chiens, il y aurait en France au moins 23 millions de p0iS— . . . . , sons exotiques, 5,8 m1ll1ons d oiseaux (dont beaucoup appartiennent a des espéces protégées) 4 millions de rongeurs, 1 million de reptiles, 1 million de lagomorphes, plus de lO'000 cochons nains, plus de l0'000 mygales et ° Scorpions, etc... Mais qu'eux, faut-il le dire ? il On n'y a pas trouve de tout sur les marchés d'esclaves aux animaux, légaux ou frauduleux}; rous— settes, chiens de prairie, lievres*‘de Pa- opossums, maras, genettes, chiens viverins, fennecs, singes de toutes espéces (y compris les plus menacées) lamas, kangourous, sangliers, gerbilles, loups, pumas, guépards, et méme lions! On peut tout acheter, ouvertement ou sous le manteau serpents constricteurs ou venimeux, lézards, . . iguanes, crocodiles, toxtues, gre- de poissons et d'oiseaux — des colibris aux autruches, nouilles, une intinité clé : . . . . . ‘ i togonie, mouffettes, hérissons africains, écureuils volants, suricates, la majeure du phénomene NAC a trés eu de frais la vente des animaux ra Riiorte des fortunes. Eux, bien sür,py perdent leur liberté et leur vie au bout d’un silencieux martyr — mais on marché d'affaires du estime le chiffre dont ils sont victimes a 35 milliards de franes francais (soit pres de 9 milliards ’de francs suisses) dont une dizaine de milliards provient de tratics illégaux. Les animaleries se défcndent, en agitant l‘argument démagogique des empt‘0plois, et prétendent que ce qu'ilS posent provient d'élevages. Certes, au regard de la CITES, convention sur le commerce international des espéces R en danger er de ses fonctionnaires — pragmatiques — mais au coeur sec pas l'essentiel. On préléve ne c'est la dans la nature ? alors, tout est pour le mieux! Tant pis pour les souflrances des esclaves a poils, a écailles ou a plumes. Apres tout, comme au temps de la traite des noirs, ils peuvent (n'estce-pas?) trouver un bon maitre !... Mais tout cela repose sur une mfecte tartuferie, car il n'yapas d'élevages de roussettes, de maras, de suricates, de hérissons africains, de mouffettes etc... Tout - ou presque tout- ce qui - _ Mais l('Illl‘(“l/ «lI7lIll«lll\(l,Öl(‘l“ «lgt', - donc qui pousse nos contemporains a préférer garder un cobm chez aux (cgbra qui R'a qu'est-ce envie de vivre sous leurs yeux) ä un bravetoutou qui ne demande qu'äleur don- ner un c0eur"gros comme ca"? Une chose est süre : qu'il s'agisse de cu- riosité, d'esthétisme, d'exhibitionnisme, de dressage, de fascination, de matema- animaux — ce bonheur de lammgl·q‘7u amour prctendu pour les ncst Jamals (le est mch€rFhc' La plupm des Pmpmtalct mms de lim gäguiläéu Comment ml, uql uisse cn étré · uncihauge— souns autmmcm PEur · · ou un cameleon ‘? Outre Pintérét financier de ceux qui en vivent si grassement, les raisons de ce nouvel engouement made in U.S.A. en fait, révélatrices avant tout du mal—étre fondamental de nos sociétés actucllcs Gt de la méconnaissance gransont, dissante des humains d'aujourd'hui pour ce qu'est un lien d'amour avec autrui. Au bout de la tendance, ne l'oublions pas, il y a ces gadgets made in Japan ; Tamagotchi, des substituts d'animaux, dont on s'amuse a s'occuper un peu, qu'on "aime" et qu'on débranche en appuyant sur un bouton. Est-ce vraiment avec des leurres mécaniques que nous espérons apprendre l'Aä nos enfants ? les MOUR Des lendemaln d ° grand ° s° utu d ° Un animal artiücial, bic,] Eür, cela nc poge pas de vrais pmbiémcs }·AR,o, commarcialisé par Sony R·ESt qulune 1 E sr an oer./nov./nee. 2000 11 I()[]RNA[, FRANZ WEEER ne nous engage a rien, meme pas a prendre conscienee un jour d'une verite essentielle la mort d’un etrelcher, L'Ai'bo casse, on le jette et alors que la disparition on loublie du chat de la maison laisserait un vide douloureux. Or nos societes de mauviettes ne vculcnt pas se faire bobo au Inutile d'insister sur le fait illusion qui — ce qui equivaut au refus cceur transport, Parmi NAC d'ai- : aussi vieillard qu'il faut soigner, enfantqu'il faut nourrir, ou conjoint dont ‘? La lamentable ecole du Tamagotchinous prepare des lendemains de bien grande solitude! . 0 L'iguane occuperait, semble-t-il, le troisieme rang des animaux de compagnie aux U.S.A., bien qäe cet animal puisse atteindre lm 80 e long et de- mallalon compare, ca de santé fragile en Captivité terrarium avec double aération, au moins un recoin chaud a 35°, ehauiliage au sol pour la nuit afin que la température ambiante nc descendc pas en des- il R Z est sous de 25°, éclairage diffusant également des U.V.B. nécessaires a sa calcification osseuse, taux d‘igronomé. tl-le dc 0 rnqlnsl d’un pas tant, mais voila: au contraire brave épagneul, l'iguane, comme tous les reptiles, semble impassible s'il souffre, s'il : s'il a est mal- des besoins, heureux, il ne gemit ni ne hurle. Voila qui est commode ! ll Les prelevements dans la nature ne genent pas les amateurs de ces tresors vivants bien au contraire la recherche des beaux objets s'aceompagnc gene- le mobiles d'acquisition d’un : d'eles plus courants, le besoin ralement d'une attirance irresistible c'est pour ce qui est rare, et cher d'amateurs categorie cette done dans lc (— pauvre python interpose... trouvent leurs plus "pigeons". Penscz donc precieux posseder chez soi un perroquet, non seulement d’un bleu superbc, mais Das anlmaux Objet wart dontil ne reste que lt)0 cxemplaires au monde, quelle jouissance pour un col- que les traliquants : lectionneur Le mobile esthetiquc semble plus sympathique, plus "distingue" mais il implique un egoisme tout aussi revoltant, une indifference et une ignorance crasse de la sensibilite commune a tous les animaux. Utilises comme obJets décoratifs, comme faire-valoir, on oublie que l’animal n’est pas une chose, cette chose fut-elle admiree comme un objet d'art. L'aquarium — tableau anime est sans doute ce qui sc fait de plus hypocrite dans le domaine — et aussi de plus fréquent. Mais il en est de des cages, dorées, ou l Le plus agacant est sans doute que ces admirateurs des beautes de la nature (qu'ils enferment chez cux pour leur plaisir egocentrique) sont eonvaincus ct consternes, d‘aimer les animaux, quand leur perruche depressive s‘arrache les plumes de desespoir, lorsque leur singe se mange la queue, lorsque leur ocelot~degrifl“e, edente, et emaseule comme le fut celui de Salvador — contact humain avec d'alopécie, lorsque leurs magnifiques reptiles font la greDali fuit tout terreur, ou souffre est si faeile d‘i- gnorer ce qu'un tel animal fesseut Plus vivant qu'un Aibo, cela bouge juste assez, cela se manipule, mais a pan cela on peut croire qu'il n‘épr0uve l aucune emotion. On le repose dans sa prison de verre ou il reste le plus souvent immobile (en attendant la fin... mais on n’est pas tenu d'y penser l) cs .gm“ mmuscules, ou ou sont enfermes, loin du ciel |A des arbres, des oiseaux colores. Dans des chambres ou des appartements, des peet • El DE UNSECTE 0 M *+‘lii¢.R *» _ _ - camivores . l ou , _„.’ *‘ issus ‘ ‘ l , ( ’ · t , iA ·:¤R·=l~ car, un ’” 2 .*/*0 ( , ( · 4 me- me sur le balcon : ces précieux objets pourraient si ¤l epü genette, se progouttieres ni ‘ ( un chat margay, un serval, une les RR' _( ' ocelot, mener dans _ VlSllt°'Ul' QUE ··" pour toujours... laisser qu exposant P.1mclp.al¤0n cn tant Gil [illli enfermes bien entendu, on ne peut , R R · R „> aussi clcvagcs que suspects demeu— snobs, y rent m'( i . , 600 l$ 000 VlSll€¤VS ällélldllß fl · des chats", qu'ils soient enlevés a la nature __, _ R ‘ comme "libres ANGERS (B l ( res • ( aut- tits félins et , Un chat ou un ehren n'en demanderait l les “°“* pour des malheureux rm marchand, et chez niémei lnstallatlon cgütauses mande le Ennul model et désespolr plus frequent chez les jeunes, ainsi que le desir d'effrayer, tout en plastronnant ("tu as peur de mon serpent, et moi, le surhomme, je le manipu-par le l") Et les voila devenu Rambo nous donne, nous n'en voulons que les avantages et refusons d'en assumer les inevitables contrarietes. Apprendre a aimer, pourtant, c'est trouver du plaisir a dispcnser a l'autre bien étre et bonheur. Tant que le souci d‘autrui sera une corvée, comment pourrions nous aimer quiconque depend de nous chat, iguane... mais faudrait partager les deboires chez pater le bourgeois est sans doute plaisirs qu'il il vol d'une abeille!... meu- proprietaire. mencr, le proteger, le soigner lorsqu'il et est malade, etrc a son ecoute moins encore le pleurer (car ca fait mall!) Tout lien affectif ayant ses devoirs et ses eontraintcs au revers des 1 respirerun pcu d'air frais ou a suivre le comptent par rentl en captivite se milliers — lors de la capture, pendant le mer. On ne veut plus se soucier de ce qu'on pretend aimer, le nourrir, le pro- l les iguanes qui ment assurees, cherchant a facilement s'enfuir en les in- stallations citees plus haut etant rare- : r que R. l ·R V „ V _ E ( 12 r~1¤ ve de 54 oel./nov./dee. IOURNAL FRANZ WEBER 2000 la faim. .etc. . .etc. .. . Cependant, cela ne leur fait pas prendre conscience que "quelque chose clochell — la plupart du temps, ils "essayent" une autre especc, decorative — et tout aussi . N °tle falle va ml. I Les animaux pourraient dire "Mon Dieu! protégcz moi de mes amis hu_ mains — mes ennemis naturels, je m'en charge !" et il est vrai que les animaux, qui sont bleu plus sagos que nous, ont dccouvert cette vente depulsl longtemps. Clest Salls ddute poufquol le réflexe de tout animal sauvage est d'abord de nous fuir: il sait que de tous les dan- llhemme est le pire, et que l'enl‘er pays de Ses l>¤¤¤¢S ¤¤t@¤t¤¤¤S d ¢- gers, sst _ _ D'ammal—out¤l (chevaux lle traut, chiens do Cllasso ou de galdar all¢s·Iloll¢l‘ alX, boas délallsollläl de losälllo de nos Vao os, ooo ons et Polllals, de vlctlmos saolllléos a nos ioux cruols (tauwaux. clueos ooqs ou Polssolls de combat) de nlalénol dol_la· l)OI°8lZOlI'€S OU de pHl'LlI°C VCSlll'l'l€Ilt3lI°C, Cllalsioll oommo Vlan o devenu falrcyvaloln un slgnc de rpconnalssaoqe qo°ll soll on PanVlo Plll·b}lll, llno alalj gnoo goanlo on nn Pllnlo, ll nolls soll a alellnnol oo llllo nous annonons aus un amslc, au que es ort, p us étrange, ou p us llalllmal est Z Z autres... Et l'animal — le pauvre, l'inno- cent animal, le paie dlun isolemeut terri- R bla- Que mus ees pmpiietaiyes (yaniniaux insolites, regardent, caressent, ou mani- pulent leurs fascinants captifs, er appel- pour cguX-ci’ lgnt cela est la lliggug meme un animal en captivité : ti- Alors, si elle brise le cceur de quelques enfants senslbles, er coüte la vie aux eellllllls ll esl Vlell: Llll gens sonllns mol lllll slest jamais animaux, la prarique de l'animal-jeuer continue pour la tranquillité des parents, etdans llindififérence lenenale Tout comme les chiäls ct chats qulon abandonnc Sans Scmpules dés quqls d€_ viennenr eneombrams, res NAC qui quelquefois sont iachés ··en douce" dans la nature nvieres, étangs, égouts et bosquets accueillent alors des hötes qui n'ont aucun moyen d'y survivre, y meurent de toutes sortes de mise; Ou res (faim, froid, sécheresse, etc...) eauseni a aiors... (oune d‘innocents promeneurs et les soucis lleflroi qu'ils pgmpigrs, dévguég gt mais payfbig dépassés pat- dc reis problemes) ils menenr en danger la qulilg dgymgnt aux faune locale, comme ces piranhas jetés dans une nvrere, ou ces tortues de Floride, plus agressives que nos cistudes, et qui les font dlspamltrct Oui’ je lg Eais panni eeux qui adoptent des animaux insolites, il y a des gens de cmur, de vrais amis des bétes, des lloslalglqllos d°lln¢ llalllla de Plus eo plus abssnto de nos vies urbalnes, chez GUX Lil'} lIl&Vl"€ et Paladlslallllol ou al, llloa olllpa —j°¢Il ai ment, cmyeZ_ Jollots V Vants l L'animal-jouet est une des faeettes les [us epdinaires de la nagédie des NAC, {Bes parents irregpqnsablcs, qui hégitent a efiii; a leur enfant un einen qui iinpiiquerait achat de viande régulier, promenade et véténnaire — et des problemes a llheure des vacances — lui offre une tortue ou un poisson rouge pensant que cela demande moins dlattention. Les be- _ moi-mémp fall Palllo aVanl dlalfoll Plls oonsolsnoo qu'1l vaut bien mreux "tieher la pa1x" bien qu'on leur vouloir tant fait leur malheur de et le not- les erapauds, les serpents, les chouettes, ollallVo·sollVls oll los Le grand zoologiste Bemard Heuvelmans a coumme de ditjc quscn matiél-E de rapports avec autrui (singe, cheval, indien d'Amazonie ou. .. extra-terrestre éventuel) la morale ne devrait pas étre de lui faire ce que nous souhaitons qllloll nous llasso, lnals dc llll lallo oo süuhaite quloll llll fasssHélas l cela exige qu'on le regarde et qu'on l'écoute en éthologue, ou, tout qlllll homme ol lo lals los eellalll llelllble de ns les alnls Pas Polos Cllllls sonlellloßelnls (' nolls» nolls ll en avons pas pelll ') mals palee elllllls sont Polsoolllos — toutrp lp fall Qlllls sont attachapts ll Ce genredd'a;iis deslaninéaux lnlesépas lle es cg cljs äml in amPf a“‘*F“l° al bl? als Rel" *9t°l’°» °"l.‘ S ä$’“llll’lle'ä,ll llsslllel l·;sll?lle· Pal lll eslce l"elslle·. ll C l"°‘ .°ll clll (luc ellls Elégisgiliggfhlgglgséäiliilltäiälgläigäl . . Slllll blllll , . . , mlellx la Flll ll? Vlvslll cl msg? {°“l§f"l‘{“ des l°‘s ·mm¢m<>¤al<=S °lll a lsbn flllll bocal Flll llells ma clllsllle Blcllsulev Je los VOlS_ blcn plus garcmcnt " llll;?ls• quelle Que C alliol'? Vel °“" ° cs saV°“ Vlvanls °l l ms · |_a compassion dans _ |a nature _ _ dans la Vle des lrbres rleirclutbien sur pas la qjomSites ssion ce ur qui soigne un cor eau qui débaxrasse un, hérisson des blesse, Cytls ll°ll'llllelVellllell Pmslles lllll ls ment- de coeur — ce ‘-llll_ selpelll llbllllllelllle all ll? ällerlllxäl c lmäsponsoblo olnololn cllll lle peut Slll’P°’le’,l“ dellesse äepcc? lllllllllll ll qllellllle qu ll appalellcnng El, qllol qll on ccsl eXlS,e la S ll lllllllle= decouvre dans mal • ° leellellle lln bols de Bolllo‘ CCS que (lll ll“ ° le lll‘lllll°l· ¢ll¢ st les elllologllos comportement am- I °ll° älsslllas ls lilople de lllolllme mals um Ol ulllvcrsc l°' Done, C§llX qul adoptent une eliouette a llalle brlsee, aux ordures ou un lézard exotrque jcté des gens respectables artic e n est pas la pour les dell?ll¢¢l_¢ quldll no S'y trompe pas — ils nlont nen a voir. avec des acheteurs — et cet i·e_ simplement, en a assimiler certains révoltée de les voir llllmallls et allllnallx aux ammaux que l'in- calomnies et maudits par l'homme sous des pretextes imbéciles, je me suis attachée toute ma vie a les défendre. .l'aime ; découvrent töt ou tard, lorsqu'ils doivent inévitablement se séparer de leur Substitut dlcnfant dans im océan dg descspon-- de Et (yaun-E .. Ni phumain ni ymjma] nc gen fgmgttgntjamais Vrai- MAL, animaux au enfance par la petite : . Les gelle de Gaul- exlslelll se cötoient dans la fascination et la _ tcndrcssc récipmquc° yen comais pm - justice qui consiste HC monde! Lalssez les an palx vraiment bleu régime de Sa marChall— dlse, Ses maladies, Ses besoins en eau OU all séCl”l¢l€ss€„ all _<§haud, @0 llold, all UVB elo· ·· Qllo llll lnlpollo l? On ne ga· gne pas son omelette doree sans casser des llelllesl dlallleufs, le . . lndignee des dans la dg [guy - Voire i'nit to honcléollllgs pmpriétaiäs de singes le • ‘ qui n’est pas donné a tout Velldeul, qul dlt HllmPOI°l€ QUOI, et qul, sumvem <=<=¤v¢l¢_ leur aequéreur,-et le cadet des soucis du Fellselgllé Sur le malheureuse chez eux. . soins elementaires de cesjouets vivants sont bien entendus lettre morte pour llobiets ° isont I iilévaäls all os onlan s llabonllnoblo tqnlent l, e mode des de| e jour NAC nr ou aura eté combattus lälelloaoonlsllß llllefdlte, lls el tmp dclllellil de lle slelllelllelbcllle äelolll ellllllallll omes llllles l Y en a len melllle dc ‘lolllellrs· lllll esse; dllllsdee l onl esolll e n°lls· A. L. 13 No 54 oet.1nov.1dee. 2000 IOURNAL FRANZ WEBER • gran; Cwclicr äonclatton la grillc O O Cll llllß Pl”OlZCllOll Gllllltdlß €'l]:lCClCQ Notre travall est au service de "Testament: Par la présente, je a la legue la somme de Fr Fondation Franz Weber, 1820 , 4 l _ "~* Ia colloellvlté lf| r_ 7| R . Peel "Ü l monde animal, la Fondation Franz Weber devra la . "' ll glalldes Owvles en avelll de ( Montreux" ltr . Pollvoll polllelllvle Ses nature et du __M_‘·R| R lelllellls falle appel äla se“el°‘ l ~ —· R du srté ( public. ,|•‘;ll_ |El snlwonllonnee nl Pol lleeono‘ mle lll Pal les p°ll"e,lls Plll’lles= läigällelalägl älglliigiäläeäé l tacnes des seuls dons, done- r ' ' i Ls _P¤lds _ü¤an¢l¢F que, la Fon' | - perlen ne s allegelel l _ lletlellllell peS· elell all eellllllllel ll s e° V ll ie ·l ' 7_ l l ll R "ll ll”(l( ° 'l ‘ ' Y ’ - -' "" Testament ' ‘ ' · ·•· · ··· · I · | - _ — _ — — — I I l I Exollélallon flsoalo volonté_ est de venir Sietlvotre alde aux anlmaux meme drspositions testamentaires, a la Fondation Franz Weber. Cette 1 . La Fdlldallon [Franz Wülfel, an sa qualite d’1nst1tut1on l evutilrté pubhque, est exonerée llllmpöls (lml’°lS sul lcs SIOHS, SUY les dOl”lS, llTlpOtS dlI°€CtS C8.I‘1tOHaUX et lOCaUX). Les l g 7 l l l Sggslgägiägääln M Omreux„ Fmné Webär somme de Fr’ la ’ p€ut Pour que votre volonté soit respectée, quelques regles formelles sont a observer: l. Le testament manuscrit doit étre rédigé entierement de la · · propre main du légataire, sans oublier le lieu, la date et la 18-6117-3 (bulletins de versement roses) signature. CCP 29774 Un tel testament doit contenir la (bulletins de versement bleus) : äaniéägäcrqääit lgccligäldälälég mon décés la Somm de , F —- ,, ‘(L° t°ll t t. d sfgaäfs cll ama éjil ill)' Les nombreux amis des animaux seront heureux de savoir qu’un legs ä la Fondation est ellellllll _ CH‘l820 CCP main: " Rßllsßlgllemelltsä FONDATION FRANZ WEBER ollllellx la d,lmp0ts’ n’est pas Soumis Sur les Successions souvent tres élevés. nombrablcs animauX• ses. M ä lllll signifier la Aobserver l rédlgé leur testament peuvcnt, sans nécessairement changer - llljgaä dons versés ä la _Fo¤d¤tlq¤ Pollvent etre déduits des rmpöts dans la plupart des cantons suis- pour vos dons: l ääni. Les personnes ayant déjä Complement a mon testament au-dela de votre v1e, nous vous ir 3. celui-ci, rajouter I älanläägäggenquie Slle lggggläl l’envibissentle monde animal, rgiqngment et la nature ' . l l ' i ' • d ·1 ' gn favgur tions legs· etc. R E R Afin d’éviter la disparition fortuite du testament apres le deil est mcommandé de le r€_ meine ä um pcrsomlc de confiance qui le gardera précicuscmeml 2. sa le testament est redtgé chez le notaire, celui-ci peut étre charge d'inclure dans ce testament la Fondation Franz Weber °°‘““‘° bé“ éf mention: FONDAHON FRANZ WEBER Case postale CH - 1820 Montreux Q2] 964 42 84 964 37 37 964 24 Z4 FAX 021 964 S7 36 E-mail [email protected] "[‘é|_; 1 ‘ 14 FRANZ WEBER N° 54 oct./nov./déc. 2000 UHB Ellllléß ViCtO1‘i€l1S€ pour la Fondation Franz Weber et Helvetia Nostra " " Les animaux ne sont pas des choses ! Imt1at1ve déposée avec pres de dlX mo1s d’avauce Soutenus dans tous les cantons par d'innom- ä Ia Chancellerie fédérale. Sous I'évidente brables bénévoles - peut-étre étiez-vous du pression de leur initiative et celle des vétérinombre -, Ia Fondation Franz Weber et Helve- naires aux connotations similaires, le Conseil tia Nostra ont pu recueillir en six mois seule- des Etats reconnait aujourd'hui aux animaux ment et sans effort particulier, les signatures le statut d'étres vivants dans le droit suisse. Si nécessaires ä l'aboutissement de leur initiati· les prochains débats au Conseil National ve fédérale ,,Les animaux ne sont pas des conduisent au méme résultat, alors I'une des choses", ce qui leur a permis de déposer cel- revendications essentielles de I’initiative sera le-ci avec dix mois d'avance sur le calendrier déjä satisfaitel '* ·¥ Y ’“ A' ······ |ef es 4 INI! •· ti §L--···v t lr I Ü Ü M tg | ß |. ' E ,21 s ic ‘%’? V Y- s.···· Ä Premiére victoire de I ’équqoe de Franz Weber: dépot des signatures ä Berne 79 ¤ (¤¤¤V¢¤¤) Les animaux sont des l) Art- Le National devra revoir sa copie! étres vivants dont la dignité, les perceptions et la sensibilité ä la douleur doivent étre pri· ses en considération par l'étre humain. Plus de l26'000 citoyennes et citoyens suisses ont spontanément signé l'initiative. Les signatures émancnt de tous les 26 cantons et demi-cantons. ll0'533 parmi elles ont été déclarées officiellement valables par les dif- 2) Le temps tres court de la récolte et la facilité avec laquelle nwnmssavs ms signée par les Suissesses et Suisses de tous äges, démontre clairement combien le N„ss„„s1 s été s cöté de la pnsquss le 13 décembre Bw? A L“ccmc avcc c506· lArg°v‘c avcc 5 2?8» Ns=¤<=h¤¢<·=*¤v5=¤446*» B¤*¤·Camv¤$¤¢av<·=¤430$»Bak- V¤¤<= Mc 4 139,, St- Gall Mc 403L *<= T@¤S¤¤ MC Th“'g°Y‘° avcc 2 342# Fnbmfrg avcc 2313* les Sclcmc avcc 1 895- Schafhcusc Gnscns avcc 2 avec 1'234 sxgnatures etc. 3'l „88· la "La Constitution fédérale du 18 tée comme suit: avril 1999 est complé- Le législateur fédéral déünit les droits particuliers qui reviesmem aux animaux et institue des défenseurs adequats chargés de les représentcr." férentes communes. La part du lion revient au canton de Zurich avcc 23,151 Signaturcc Suivcm les camcns de Mc, ‘5'74§» G@¤¢V== _¤v¤<= Ywd =w<·=<> 1602% 8 820¤ = 1999 I ms ss désassss antédiluvienne de sssnssssssss s vouloir traiter les animaux juridiquement comme des choses. Il sera bien forcé maintenant de revoir sa copm FONDATION FRANZ WEBER HELVETIA NOSTRA « NO 54 ect./nov./dee. 2000 IOURNAL FRANZ WEBER 15 Abolir le scandale des trans orts d’ animaux de Comblés et encouragés par de tels succes, la Fondation Franz Weber se consacrera et morale- maintenant avec plus de fbrces encore ä la détresse des animaux destinés ät l'abattoir. la comme le aussi, des lecteurs du Ia plupart Joumal Franz Weber, comme FFW la ressent, el- insupportable l’avancée com- diüicile et pénible dans ce terrible ne peut pas se bat. Aussi, sa politique miter ä li- information et prise de la seule conscience, aussi nécessaires soient-elles. Cat hivcl- gncore, |a Fondation yattaquc- ' technologiquement ment évoluée. Ces nouvelles méthodes pourraient faire table rase du scandale, de Tout p société boucherig probleme sur un plan tout ät fait nouveau, Des solutions pragmatiqucs existent. Des personnes aux idées nouvelles, conscientcs de leurs responsabilités, ont élaboré et développé de nouvelles ra ä ce et installations, dignes d'une méthodes souffrance et de l'horreur. Que ces dé- couvertes et connaissances n'aient pas réussi ä percer jusqu'ä ce jour ne doit pas nous étonnerl La mafia européenne de la viande arrive toujours encore a neutrali— ser toute volonté de financement visant a la réduction de la détresse animale. Pour la sécurité de ses gains monstrueux, l’industrie de la viande continue allegrement ¢l aV¢C $“¢¢éS» ä VéP8¤dV§ lm dlmäl 8é* néml de d餤¤r¤s¤m¤¤¤ 9lVll· Un pmiet novateul. " Courage civil ", disais Franz Weber il y a quelques années lorsque le prix alle- mand pour tut la protection décemé, fidele ia " Courage de la nature lui civil signilie étre sa voix intérieure a voix haute et avec ses actes ". Justement, dans ce sens et dans cet esprit, la Fondation Franz Weber veut étre une lois de plus un pionnier. Contre tout obstacle et contre toute resis- tance, et avec le soutien linancier de ses membres, elle entend réaliser coüte que coüte son projet. ne divulgue pas encore les détails de ce projet novateur, c'est pour éviter qu'on puisse- le nelutralisen a son tour ’ avant qu’1l soit lance. Mais des quel heure de son lancement sera venue, elle le lancera. Ce sera le eas encore cet hiver. Si elle La Fondation Franz Weber proteste a Bruxelles Apres la révélation de TF l au Téléjournal de 20 heures du I6 novembre 2000 des horreurs perpétrées sur les marchés ä bestiaux et dans les abattoirs cumpécns, Franz Wßbüls Plésldßm de la_ FON DA‘ TION FRANZ WEBER, Présldcm de la CÜUR INTERNATIONALE DE JUSTP CE DES DRÜITS DE UANIMAL er Sc' , Cfétalfß géüélal UNITED de ANIMAL NATIONS Com' conlulfi la mission cumpecnnc de |Iiccr Sur le chanfps des commandos Spcclaux aptcs ä empecher dorenavent de telles horreurs, ._ ” , _ _ _ M°”‘v'€“" le P"cs'dc”t de le C°mm_'Ss“?"’ Mesdames et Messteurs les Commtssatres Des dizaines de millions de téléspectateurs eunopéens ont été pm/ondément choqués, consternés et révoltés hier soit; jeudi I6 novembre, ä la vue des scenes insoutenables_/ilmées sous couvert dans des marchés a bestiaux belges et dwusées par TF I dans le télejournal de 20 heures. Ces images dont la cruauté, voire la bestialité dépassent toute imagination, illustrent, apprenait-on, Ia réalité quotidienne d 'innombrables marchés, transports de bé- tail et abattoirs de I 'Union Européenne. De telsfaits, lorsqu 'ils deviennentpublics,font apparaitre dans toute son ampleur la_faiIIi— te d 'un systeme qui déShumanise nos relations avec le monde vivant et detruit la pdvsan- mmc européenne. En votre qualité d 'instance responsable vous ne pourrez continuer d ’ignorer cette réalité, comme vous ne pourrez ignorer le cri de révolte de l 'opinionpubliqueface ä ces nouvelles révélations sur l 'industrie de Ia viande en Europe. ll n ’est pas concevable que votre Com- , „____,, Montreux, I 7 novembne 2000 _ mission puisse renier Vimpérieuse nécessité de mettre une_/in immédiate a ces horreurs et ·· ä ces crimes dont les #2ts se répercutent irrémédiablementsur la santé morale et physiii| Y E fi |q que des consommateurs et mettent en danger l’e.xistence méme du marché de Ia viande. Notre Fondation, ainsi que La Cour Internationale de Justice des Droits de l'Animal, organe de I 'UA.N —· UnitedAnimalNations avec ses 5 millions d ’adhérents Üondées en 1979 par le soussigné), vous demandent au nom des citoyens et consommateurs européens Vinstauration immédiate de commandos de surveillance sur tous les marchés ä bestiaux, dans I ,,_‘_ les trarisports de bétail et dans les abattoirs européens et de punir avec la plus extréme sé- de brusquerie commise envers des animaux de boucherie. Une telle operation coütera infiniment moins ä la collectivité que Veßondrement total du marché de la viande an Europe. vérité tout exces ‘ {_ " v - „ · . ü "fj‘ g| ‘ =| l · "| ° . Sans commentaireFranz I ”‘ ·· Dans l ’espoir de votre intervention rapide et eßicace dans cette qßaine qui bouleverse et . - .· I — Ms * |é 7 déshonore I ‘Europe, nous vous prions de croire, Monsieur Ie Président de Ia Commission, Mesdames et Messieurs les Commissaines, ä l'assurance de notre haute considération. FONDA TION FRANZ WEBER Weber; président |0URNAL ‘O O Franz Wnsin O Triomphe de l miuative populaire fédérale n PBS d hydl'8Vi0IIS S\ll° les IHCS SIIISSBS vv • t l Quant a d'hydravions sur les Iacs suisses", déposée en 1996 par Ia Fondation Franz Weber et Helvetia Nostra, c est avec une grande satisfaction que ceux-ci ont pu Ia retirer en octobre 2000, puisque dans ses directives sur le transport aérien civil, le C onseil fédéral s est entierement rangé de leur cöté en interdisant en Suisse tout nouveau hydroaéroport en dehors de celui déjä existant ä Lachen sur le lac de Zurich. Une victoire presque incroyable, voire sensationnelle, que les deux organisations ont pu remporter tout particulierement grace au soutien moral et financier constant de leurs adhérents, et de laquelle chaque citoyen avisé doit se réjouir. Car elle a pour conséquence de préserver en Suisse les Iacs et cours d'eau et leurs rivages encore sauvages, de bruits supplémentaires et de la pollution qu'aurait pro· · . voqués I I’initiative ,,Pas la réallsation jgts des innombrables pro- I'hydraviati°n_ —s j ;_ V ii <. JM · |’ l |g i . Hill I, '¥ «. s,A_,,_*p_t_V,,_ V .V { |V,§Il“fVl„1"l in |'Ä‘};_|i.,T‘ I ·‘1 ':itl,*.’ l ., W ‘« li', j_ · =; rb _ itäilgli „ |#***1 ‘ ,,~‘Ö lt ’ ’ „¤„ wi t t I, ‘ :i·~*I t V. .« I ]‘ ,l;t\I Ä t.t V ·”° I ~‘ · . , I · ,; Ii Ii •_ Nt? lügt? |{ ,q _, gl A*i_;_f;_ I—< ki ·1*‘tg{ I fV _ ;_ V «,f;gl{ vi t t V “Q·;’.„,‘ 5.<_l»j‘;;,m,;',{V“.pL_¥ fl \ t , IpT°" tßßg L ., in V, _‘« _ . ‘ ' ’ ‘ ‘ I V i „Q;,, „ „ TÄÄÜ ,, " I, V ti'' ,: Ö · .· -i— . _ ri; V " -— , V ik V ‘ gi VV i I I I_Q, il "' |“I Echassler rare sur son nid dans les roseaux Victoire avant la bataille Ä Franzweber peut retirer I’initiative populalre "Pas d'hyd1·avlons sur les Iacs suisses" Aujourd'hui le Conseil fédéral a décidé de suivra la proposition de Moritz Leuenberger, Chefde l'Oflice fédéral de l'aviation civile, de ne pas autoriser aucun autre hydroaérodrome en sus de celui déjä existant ä Lachen. Dans le projet du plan sectoriel de l'inüaslructure aéronautique (PSIA) auquel le Conseil fédéral a donné aujourd'hui force de loi, Moritz Leuenberger releve: "Aucun autre hydroaérodromc ne doit étrc autorisé en sus de celui déjä existant ä Lachen (SZ)" et donne pour explicationz "Le seul hydroaérodrom existant, depuis des décennies, est situé sur le lac de Zi.u·ich äjLachen (SZ), a proximité de Paérodrome de Wangen-Lachen. Seul trois hydravions sont immatriculés en Suisse, ä l'heure actuelle. Dans le contexte de l'examen de Pinitiative populaire fédérale "Pas d'hydravi0ns sur les Iacs suisses", le Conseil fédée ral décrete avec le PSIA qu'aucun autre hydroaérodrome ne doit plus étre autorisé outre celui de Lachen.'° p l'aval du PSIA par le Conseil fédéral, le but de I’initiative de Franz Weber "Pas d'hydravions sur les Iacs suisses" qui aboutit en octobre 1996 avec 124'600 signatures (dont l08'060 valables), est pleincment atteint. Cc n’est pas le petit acqua- Apres , port de Lachen avec ses rares mouvernents de vol qui avait provoqué la levée de boucliers de 1'organisation Helvetia Nostra I i de Franz Weber, mais des projets qui poussercnt comme des champignons sur de nombreux lacs suisses: lac Létnan,1ac de Constance, lac de Neuchätel, lac de Thoune etc. l ’ V, Comme suite logiquc du décret réjouissant du Conseil fédéral, le comité d'initiativc, sous la présidcncc de Franz Weber, a ' I décidé aujourd'hui de retircr purement et simplement I’initiative populaire "Pas d'hydravions sur les Iacs suisses". "La joumée du 18 octobre 2000,"IsouIlgno le comité, "sara marquee d'une plans blanche dans les annaI•s du ConselL fédéral, célébrant sa politique ä longue vue." i Montreux, le 18 octobre 2000 HELVETIA NOSTRA IOURNAL FRANZ WEBER 17 No 54 Oct./nov./dee. 2000 ° Pour l aprotectton I (IBS BIIBVEIUX S3llV3gBS HllSt1‘3llBI1S V i Les non-initiés connaissent encore mal Ia grande richesse en animaux et en beautés naturelles de la partie ouest du Franz Weber Territory, celle située de l’autre cöté du Stuart Highway. On découvre Iä les féérlques "Mango Springs ", une région qui porte ä bon droit ce joli nom. Les Mango Springs sont traversés par le Copperfield Creek, un cours d’eau idyllique qui charrie de l’eau toute au long de l'année. La, dans les temps an" un settleciens, existait ment " (petite colonie) com- me en , témoignent aujourd’restes des encore hui antiques de dalles de pierre et de ciment et une plantation d’énormes manguiers. De Mango Springs, on atteint '*.L|”" aisément, en 45 minutes a dos de cheval, baobab ainsl que fameux mine de le Ia |tgp |j |°|°_s,$ " " cuivre et la cité engloutie a peine éloignés de 3 km de Mango Springs. Afin de protéger mieux encore les che- .] __,| Ä| |Z-, ~· AV . _ .5*% ’ ' V _ lg| I · — V,w—· ' ' L/V _ V —~ I ‘ vaux sauvages et les animaux autochtones de cette région occidentale, nous y érigeons actuellement un camp de base avec de grands paddocks. II s’agit, dans cette partie de notre re- · ,,,s-...ss,s„.,;r- V e, _ g V Z ; s-, ‘ ’ „· I —. ·‘ — · ·.|V}"f I |. fuge particuliérement assiégee par des chasseurs et des viandards, d’affirmer notre présence permanente et d’empécher ainsi ces malfai- . \l·{,— |—.,'_,„ .„II pw _ ;_„ 2,; tl|! |@2*,. L; V ‘* V| ’ teurs de commettre leur entreprise périodique de bra- |P-«·«·-l•*,;a/· connage. M«„g„spn„g.s · ,V ,__V. j I - I Togo: Offenstve générale O COIIIIB IBS b1‘HCOI1I11B1°S Ir A ° ' Fazao-Ma|fakaS- $8, Ä. — 2 I ‘_ la Franz VV°b°' °m' ploie . IBS IM| Ql’8|‘lClS ~ I. °° 7* . V moyens pour com- . battre les braconniers. Ainsi a-t_-elle fait ’ I „ , |:„, I ·. ,; ä"-fig -,| V_ _ _ ' sillonnera le parc dans toute ° ” te? »I I V son étendue pour t' I g i traquerles bracon· , . " , V · „ . ’ l _ ‘ jour, le _V ’ gé un pllote qui, das maintenant et plusieurs fois par qui seront, maniére, elle compte éradiquer totale- ment dans Pacqtéisutior; d'un avion ger e silencieux et enga- nien-5 cas échéant, immédiatement slgnalés par radio aux 60 gardgs au ggrvigg de la FFW. De cette · ·I __ , ,;L;;t,§fgi;':.'T¥,Q·„:VfÜÖ"| le braconnage parc printemps d'ici le convaincue de le prochain. Pour atteindre cet objectif, la Fondation doit pouvoir compter également sur Ia collaboration active et population locale. la 18 NI> 54 2000 IOURNAL FRANZ WEBER C’est pourquoi elle a fait rénover et a rouvert le 1er novembre, le merveilleux Hötel Fazao situe en pleme jungle et qui, par SBS l'BtOmb€BS BC0l'lOmlqU¢-BS, assure notamment a la grande commu- nauté villageoise de Fazao des ressources considerables. UVnVpas decistf dans la protection des elephants l’€l1dU pOSSlbl€ QTGCG 8 Ia QBFIBTOSIIG des amis de Ia Fondation. RBOI1VB1°tlll?B dB l’h0^ tBI P2lI'C FEIZEIO ’ • • • / • • SOUS l B SlgIlB B EHIIUB SlllSSB—[0gOI HISB |ii" ' i I _VII V i V FF? I I I Ä, I ' ‘ I * \ '·— |nIII| li I ‘ I |» "‘I"" I , ,,' i ä ’| i I ., ii;r;„| . . |I' I · . I ,·| _ v II —··· ‘*‘ ", am * vl I I.;‘ . 1 |I|I I ‘‘“'IIII W|ü 11 ~ i —&« ' V ° I ll 1 I .· Tout Fazao prit part a la réouverture de l’hötel Parc ' 1- H Fazao , " i li' |- *| i IP;. , ° I ·I . ih Lk| fj — { „ ~ . __ ‘V‘ t VV |II f,,;;. V ..4 \ '“ i Ii· V ' · .| |«|—,|„.... ·|V| . - ·‘· ii ‘ I' I”* I I · |I lr i '* ,„| _ Sous le signe de l 'amitié suisse-togolaise: Franz Weber avec le Consul suisse ri Lomé, Daniel Gross, son épouse. A droite: le Premier Ministre Eugene Kof/i Adoboli i et E W avec Ie Ministre du Tourisme IOURNAL FRANZ WEBER NO 54 oei./nev./dee. 2000 19 Défi 2lUX CIIHSSBLIIS (IBS OISBHUX I‘Ilig1‘HtBll1°S L’engagement de Fondation Franz Weber contre le ITIBSSHCTB des oiseaux mlgl'3tBU|'S en Europe Ia conduit dans le Sud de Ia France _ suite aux multiplas appels au seccurs la dasseciauens de protection de Ia Chaque année en février et mars, assasslns des oiseaux migrateurs se regroupent en masse sur ce col qui rolle les villages l Attlser Yindignation en Ce _ Europe oompro mwntenant Pour rlul_ Fouuorlorb olosr de dé¤l_@¤<;l¤<·=r la par moulos uno Vaguo ulmulgllauorl llou Soulomorll ou Europe mal? é8alo‘ mom dans tous los PaY$ arrloams rou' chés Par los massaoros ulolsooux ml‘ — Sololl le Vloux Prmolpo gFöl¢lll”S_ mille rols éprouvé rluo Soul lloplmou Publlrluo mlso ou alcrlc ost ä méme de mettre un terme ä un tel scandale. C’est ainsi que la FFW lnvite, a ses flalss lesioumauxs los Srarlolls de l'€l‘ die 6l de réléVl$}orl de rous les PaYS concernés d'Afr1quc et d'Eur0pc au Col de l'Escrinet comme témoins oculaires. D’ores et déjä, les médias los I I . . . . Par centames de milliers, CBS IHHOCBHIS '“°$$°9°"s du °'°l ?°"l aballus Pal les Sal' ves des immondes et laches ti. V V I I V P r V I‘‘' I ·- I , ” I *V I V reurs embusqués - pour nulle autre raison que pour un plaisir de bas étage. Que de saison de chasse en saison de chasse, les migrateurs soient voués a une extinction progressive, leur est tout autant égal que le fait de détruire, dans un égoi'sme monstrueux, un hérllaee ¤m¤¤ri¤¤¤¤t ä t¤¤S les les Afrlcains. Européens et a tous Eurolleaumoisdemars africains qui n'ont jamais per a un _ nidifi- C3tlOfl BU|'OpéBl1S. nature. les de Privas et Aubenas. C’est lä que ces fanatiques de Ia chasse aux oiseaux guettent les essaims de migrateurs qui, épuises par le l¤¤e v¤v¤e¤ depuis I'Afrique, sont obligés de passer pour gagner leurs quartiers de le col pu pour les oiseaux migranos chers chanteurs des jardins et des campagnes, prétez-nous main forte, signaleZ—nous des maintenant votre participation eventuelle a une manifestation au mois de mars sur le Col de l’Escrinet Plus nous serons nombreux, mieux la cause des migrateurs sera servie. C’est pourquoi la manifdoit avoir une dimension vraiment européenne avec Iun puissant écho cn Afriquel partici— tre coeur bat événement, brülent d'impatience, brülent de pouvoir informer leur public d'une actualité imminente, importante pour leurs pays. Et le combat désespéré des associations locales contre la supériorité des forces du lobby des chasseurs, se trouvera ainsi magistralement soutenu et tel teurs, ! renforcé. Rendez-vous au col de |sEscI,In°t La Fondatjgn Franz Wgbgr compte sul- vous I La date exacte de manifestation ainsi | Dans ce combat, la que d'autre details seront communiqués en temps opportun. I le soutien actif de. I nos lecteurs est indispensable. Si vo- I • • I O I IllSCl°lptlOIl p1°0VlS0ll'B : : de participer ä la manifestation contre l’Escrinet Col au mois de mars 2001. au de J ’envisage I la chasse aux oiseaux migrateurs : I t i Nom et rénom l : I Adresse exacte: . : : : No de téléphone : : l i Je pourrais étre accompagné(e) de ....... Personnes. : : Date : Signature : : i ‘ : : Nous vous remercions de bien vouloir retoumer le plus rapidement possible ce FONDATION FRANZ WEBER, Case postale, CH—l820 Montreux 1 talon a : : .In--..--•--nu--¤-¤-¤¤-•-II-----------••¤¤-¤¤•--¤•--•--¤¤--¤¤¤•--l ZU N° 54 oct./nov./déc. 2000 FRANZ WEBER Conte de jeunesse de Franz Weber EQ dame aux Malgré son penchant naturel pour la réverie, Bérénice était une élevc gaie et dynamique ; son esprit brillant faisait la joie de ses maitres. Dotée, en plus de son intelligence, d’une élégante silhouette, d’un visage racé qu’une lourde chevelu— re brune accentuait, elle forcait Vadmiration de tous camarades comme professcurs. Elle n'y faisait guere attention profondémcnt généreusc, centrifuge, vanité ou tierté ne Veffleurait pas. Elle prétait ses cahiers, passait son temps le rédiger les compositions des autres et toujours, pour chacune, elle trouvait le mot qui allait droit au coeur. Toutes se flattaicnt d’étre son amie. Toutes la nommaient l’ange Bérénice. Sa gaité rayonnait, se communiquait aux autres. [ps I VVVVV V ,„VV V |5 I : I '"‘?~*‘*” : V I I. I|. Q| gi | l Ö„‘·„_“ " " | .V I -%I·I,„‘ el "ÄÄI=e |I _l I V_~·Il VTVV. I I V I V| I V. V |r|r Pourtant, cette gaité, sans s’assombrir pour autant, se voilait depuis pcu. Parfois meme le re- I l VI , tout particulier. V tg,. I la jeune tille fascinait par un éclat gard absent de l' I Il l jI·' |,|l ff V V IIl I Ilxqjil|'' V ll I 9 - Ou IVI etes-vous, Bercnice, vous d’hab1tude Sl brillante ? grondererent les professeurs; | Nr |V| I . . . ll I V,l VI . VV Il I |V. I, . . . |;’:V_, l ‘|l| Elle roug1t,cacha son mattentxon dansun sourxre W confus, et s’excusa. IV IlVI,.s I ll Z I I I IIII . . Envers ses camarades aussi, Béréniqeajjetait plus tout a fait la meme apres les cours, évitait leur compagnie. A peine la cloche sontitaiibelle la fin des études que, ramassant ses al°Fali‘osIcn tou- I · ll . ll l : A _ _ _ .V(,. te hate, elle quittait la classc la premiere,. On s ’ Ill I V ll| |tl ¤ II V,« Ö . V VV a- V| ' l VV V VVVY V I V ll lll .I V percut bientöt qu'elle se précipitait vers la forét |fl I voisine. I ll ~ ll . Ü 'iul °l l y Un jour, elle ne répondit pas a l’appel. Pendant la étang. - Bérénice I I’' I . ,I V V récréation, deux camarades,qui l’avaient vue le matin a 1’orée du bois, partirent ä sa recherche. Elle était assis dans une clairiere au bord d’un VI I · I VI |I· I ,· V, I il I l I ll r' l · ! V ll „ V i Elle ne répondit pas. Elles s’approcherent. Béré— l V. yeux fermés, le visage mouillé de larmes, nc bougea pas. Ses mains se crispaient dans nice, les I I ~ _V l’herbe. ll l lfl iulv Il” I ll *I...„. IIII IL l - V Qu’as-tu donc, Bérénice ? demanderent les deux amies. l .‘ I ll vll V ll N¤ 54 oeunowdee. 2000 21 IOURNAL FRANZ WEBER Bérénice trésaillit, se leva d’un bond et, d’un revers de main rapide, tenta Sans s’expliquer davantage, elle descendit rapidement du parvis et dispa— rut dans les brumes du jour levant. de sécher ses larmes. Que - Rien — t’arrive-til * ‘? elle ! nifesterait. De quelle ferveur elle par ce jour d’aut0mne exceptionnellement doux. Bérénice se sent presque heureuse, et le creur battant, s’aventure une fois de plus dans le l’air En toute häte, les jeunes tilles l’entrainerent vers l’école. Avant d’y pénétrer, Bérénice leur demanda 2 Le chemin Le bois. On ne Ne dites rien a personne. comprendrait pas. - feuilles rousses. de danse de change de ton. Les premieombres du soir avancent. Béréni- La forét res ce s’en émeut. Et subiterment, les mains tendues, elle supplie : tapissé est soleil -Reine du ciel,nem’abandonnez pas! Ce cri Avant que nous promettions, disnous ce qui t’a fait plerurer. - Madone. légereté court dans Une immense Vraiment! sans parler, et combien de de fois, depuis lors, abandonnée, Bérénice la guettait a Véglise coyant qu’elle s’y ma- avait imploré Veffigie de la X I communiqué avec avait me — des roseaux un hommassif et terrible, bran- fait lever hirsute, dissant une grosse branche. ll court le long de la rive vers Bérénice. Tout °‘ - ‘ -Je vous A le dirai plus tard. *71 de ce jour, ä l’émoi de tous, Bérénice devint taciturne. Un professeur voulut en avoir partir le cceur net | _ - Dis-moi ce qui lui t’attriste détache d’elle comme la feuille morte d’un arbre. Elle lance sur ' " ;gi—«;§*’J' _f„·~—·§>·;„., ‘ son regard clair. Dans le visage poilu de l"homme que le désir défigure, éclate de la stupeur et de la crainte. Il recule, Ä · lui „ '” ·^'·2? ;;f’„ ,,4T" |e i |«~|»» : d’abord, la peur la paralyse, mais quand le satyre l’aborde, la peur se Ä ,”"| ‘? ifa; §,, f rl| 1 _ ‘ f;Q··‘<„.,‘ *¤l’*'eJM', · Ij*gfg„,|_ jjjlärf J „rL~·*,·5 » .: q gi “ - Je ne pourrai vous le dire, J »!"£< “Q·„,-V| s’éleve. Bési elle s’épas sait ne rénice ou en cöté au a dessus, leve qui dit elle, une voix |JN|LA,|;”|Ü|"l&@* Monsieur. |»«| Ä| 7 j;]„|„|#g¢ |‘ Souffres-tu d’un amour malheumux Une voix tendre ·—‘;?*•„ ·;g,m’ _„ ··i Elle essaya de sourire, mais sa tristesse demeura. - recule encore, puis il détale et disparait dans les sous-bois, demanda-t-il. J ‘ "‘“*"“ g'; «*·|s-·iiwf — “ __‘*“~ : " ,: ’“ |9|%;* J .„| , °’ ‘$:'€_‘ ·· ”|>’i* .„’ J Q., _ gg Elle pälit. · - Ne cours pas apres le bonTu ne le trouveras pas ailleurs qu’en toi! - heur. ‘¢?*&s ·. i Bérénice tombe Devant Ma pauvre enfant Ne désespére pas cela donc ilyatant de gareons méritants et qui seraient tier de ton - ' V- I ! “ WQ _,__, gb „ A _~„ ‘\f Bérénice ose la question - " Quand elle se rendit compte N ”·df'_'“"·‘ .” · il ’ dll _ U U \ Q son . amour. " rien, somme de l’Immaculée, amour, de tout amour. ‘ · ·*sig„,;« a genoux. émerge du la - , * elle : _·~2 ' -Quiétes-vous? sens exact de ces paroles, elle regarda l°l‘l0I'IlmC droit dans les yeux Gt SC- Et la dame de répgndre ; coua énergiquement la téte. - Je ne suis pas amoureuse comme vous le croyez. L’amour ne se rencontre pas dans le coeur des garcons Je suis l’Etemel Féminin ! · - ! matin, au sortir de la premiere messe, elle déconcerta une de ses Un compagnes: - Les églises son; vidis, ' t ES? aso Äuidditbelle. ieu itu e e §o‘£rl$>;nd’épargnants qui pla: cent des prieres dans la banque du ciel. Des prieres qui attristent Dieu. feuille en feuille, glisse sur des buissons, allume la clairiére et embrase l’étang. Bérénice est süre qu’elle viendra, que la dame au lys, la lointaine, tendre et radieuse, ne la délaissera pas plus longtemps, elle, l’%Tlm&Cälé;, née du rien, qui se cris— u' u sourir ta isait ’a or en beauté. Tan? ou elle lui était miere fois ici ci; fotis Bérénice ferme les yeux, foudroyée de bonheur. Quand elle les rouvre, le crépuscule efface lentement l’individualité des arbres et imprime sur l’étang le silence de ses notes foncées. A cöté de Bérénice toujours ä genoux, une biche broute des feuilles d’or. depuä apparue pour la predevant l’étang, elle Franz Weber 22 r~1¤ 54 ect./ncv,/dee. 2000 IQURNAL FRANZ WEBER Bienfaisante mélatonine Par le Dr. Heinz Karrer " Pour que la jeunesse et la population active puissent profiter le plus longtemps et le plus généreusement possible de I’expérience, de la pondération et de Ia sagesse des moins jeunes et des ainés, ainsi que de leur spiritualité et de leur érudition souvent spectaculaire, une bonne santé en äge avancé est importanLes antioxydants (réducteurs de radicaux libres), ACES (vitamines A et D carotine, C, E et le sélénium) sont un instrument que je considere comme rinportant mars encore trop ignore. ux Etats—Un1s,1ls sont connus depuis longtemps (Roche mene campagne publicitaire pour les vitamines en tant que reductrrcest de radicaux libres) et sont en vente libre, sans ordonnance, dees leutes es gmmles surfeees a des reselumelli pepulelres e lllle de pm Cemplemenis allmentmes ’l“ melet°' llme aelssl ble“= natulelle av Corps hu' mam etsems eüets seeondalles te ", affirme, le Dr Heinz Karrer, 79, neurochirurgien, diplömé ä Zurich en 1946, en Caroline du Nord en 1954 et en Californie en 1961. Dans l’article publié ici, résume ce qui lui apparait de plus important médicalement parIant dans I’intéret d’une vie qui se veut exempte des atteintes de I’äge. il Papeete (Tahiti), j’étais en quéte de vitamine E, le pharmacien du lieu me coniia qu’il donnait des ACES ä son pere vieillissant. Il savait pertinem- ment que seule d-fonne du pha-Tocopherol est active dans ganrsme. Mars do oo soi la la l or- le phormooioo oo Savoit ricnt avis ootto hormorro rovét uno importance décisive. Aussi est-elle utilisée de multiples manieres aux Etats-Unis. En Suisse, elle est interdite. Galileo Galilei vous salue bien ! Ce qu’on ne veut pas comprendre, on Depuis des décennies déjä, Linus Pauling, biochimiste et deux fois prix Nobel, recommandait la vitamine C en Prophylaxe du cavser s*» alle li Vllamllle Les m‘l‘e“" me‘l‘°a“" es cueillirent cette suggestion avec réticence, écartant avec condescendance La preuve la plus directe de l’importance de la mélatonine réside en ceci les theses que ml E deRaul1ng,attr1bueesal 111- competence d un n0n—medecm. l’interdit. éteéägegglää: . , . . . sujet est de vlcme ee' tualite, bien qu’il soit encore et tou- jours ignoré en Suisse. Uorganisme vieillissant a besoin de ces substances en abondance atin de neutraliser les radicaux libres prédateurs de la cellule. Une petite entreprise chimique, jeune pousse pas encore cotée en bourse, s’est fixé comme objectif de mettre sur le marché des antioxydants encore plus efticaces et dont elle attend beaucoup de succes thérapeu— tiques en cas d’Alzheimer, de Parkinson et d’autres maladies de dégénérescence. Mais jusque lä, on devrait pour le moins reconnaitre ces agents et y F¢¢¤¤PlF PfßphylémiquementLes comiaissances en cette matiere vont en s’élargissant. Récemment alors qu’a . . element depuls la nalssance de la Vle et que ceee m°lé°“le. e suweeu .e“ cours des ages. Elle dort donc etre indispensable ä chaque etre vivant. Que l’épiphyse de l’homme déverse nuitamment de la mélatonine dans le sang, davantage au cours de la jeunesse avec un maximum lors de la puberté et de moins en moins avec les années qui passent, on ne le sait que depuis qu’on est capable de mesurer tinement les composants du sang, c’est— ä-dire depuis peu. C’est pourquoi on considérait jusque la l’épiphyse comme un reliquat négligeable de l’évolution biologique. Moi-meme En attendant, prenons de Il Ia mélatonlnel n’est guere possible d’entrer dans Les travaux sur le theme sont innombrables (une bonne synthese en a été réalisé par Russel J . Reiter et Jo Robinson Melatonin, Bantam les details. : Pour tcette substance (N-acetyl-5-methoxrtryptamine) se presente sous la . Auleerd l““ ce Z . Indts ensabla , ,„,‘§,„, Em, ,„,,,„, Co ou„on ne camprend I’interdit ot non Soulo_ orogoostro por roorographro Véorohyso so rororo o»uoo importaooo oardroolo oour lo gooro humour lo Books, 1996). ll est révélateur qu’il existe meme une revue " Joumal of Pi" neal Research meme formcehlmiquc dem les dlliele on Los tomos ont ohougé moot mélatonino _ uu problomo _, A mon l’axe principal (Pineal shift) était en relation avec une tumeur symétrique. j’appris en neurochirurgie que l’importance de Vépiphyse (calcitiée avec l’äge) s’exprimait par le fait que sous rayons X par son déplacement par rapport ä brievement mm im mot sur les effets sur la lcngévrté Tout d»obord Htauoo Walter Piorooou ot sos oouoborotours Vobsowoot sur dos Souris puis, iodéooooommoot do lui, Ookruo Boodohoo Sur dos rats Qui oo souhaiterait vivre plus longtemps et sans maladies dues ä Vägel Les études clmrques, srgnrtiantes statrstiquement restent ä faire. Il s’ag1td’un travarl dif- enorme, ä peine réalisable. ticile, En aeellllalle llells les Vells Pas le temps d ames qm ll dela mélat¤m¤<= er Qes ACES; Sl le els les résultats ll 8* atlell‘lVe· Prellells alllanl elle ll e’fPel’l‘ lllelllatlells Persellllelles Selll lelmlS» lls Vepresellterem une etllde sl8llll3ea‘ tlVe (les Poselll ll _ _ lnnemelebles eemleles S lm' e“X‘memes)· , Mals _ est llldlspellseble que la melaeellllle et les ACES, solem en ll Ve“te_ llbre er bell merehe en Sulsse eusslj Eseee (rep demaeder dans le PeYs e_ la Pemte melldlale de la Pllalmaeeullque 7 HK IOURNAL Fruuz Wiausit °wei¤**‘1 ve „„tll.IL.l t„!I](.„l]I. J lll tt « fü A ’ ‘ - wr U J . Y W Mcllldü Ü · . . Wltllélvl. . aw ‘ J' J >;’ tdi L ‘ · little i 23 rw 54 ccr.zn¤v.x¤ee 2000 \ hl t füllk/Lfl dt ~• ,é · Seite „ • · ‘ „.tl·~¥ _ ,r; ä jrltßrtt • . ‘( lI]Ol.lblldl]l€S Fazao clll€I](l V()ll‘C VlSll€ p(]llT ÖGB Vcl(„dÜC€S au royaume des éléphants, des buflles, des singes et des antilopes Y I Lllotel PdI°(„ r - ( I . . er i l |— J| Re ri , . l” JEH J ·. 1 tt |ra " · ° ' jigl rm Tv - .• . t t l » " J hat two e . -¤§- — . —r" e es ”‘”" " - I El ' · L , \är Q‘ ;——·- _ l‘ |*|‘ t, _, ' Ü, V ·-• J, _ l r ä,, f‘“Tl°l"|*l‘*Ü’s ~ | ·‘| .•· „ ~ W! es .~ ·iil · .. _ J .. · ’ J l ~ ‘— Ü · Ä °‘ ·••» „ l|l |er V — . . ' I " J ‘· . J Üb, -‘,t“·'·‘° t— t|il ‘”|t J „ PJ| |I _“ in| i I P * |‘| .| — »| „ wi .r A pztrtir du ler novomhre 2000, unc ’JJ équipe artticalo, tJl1ul0i¤retts<= so röjouirzr do vous uccucillir cl vous gäler comme seuls les Togolais savent le faire. WW) · M"' I Amt; 3 t t il i' .. Jr ” * · ,|_| ~| |., '““*‘ ,_„ · Et I ‘,f‘ t _g ,~ J Parc Fazao, rési— dence de réve situé en pein coeur de la lorét 25 vierge togolaisc arrangés bungztlows dzrnsle style africam autour d’un magnifique ¤ l.’l·lÖtel JV J l| li um t .. J _t' *,12 l t I „ : _t — tt ‘= _— tt l„ ’ jardin. (irnntlc piscine, terrasses et tonnelles t__·_’T· „ J;«„„Jaj}IÖ·{j4rJ.° [ ·‘ J‘ ’ ,· Q ·‘ J * .4* _ -, ·‘·v«=° _— ., gj _; ..¤ ,, v '¢«• ii? · E- - ~ s _I ,,”’**?ä$~ tt, _ de , tt _ J _ E it ' er _ bar ct restau- Vambizmce „ . '( rant · =· qt fleuries, H inti” ' s , - · _ ·•¤«*’7l""’~ §{,‘“"£.°Z"?°t,ħZtÄ'$l L g , martgucs ct papayes sont d’une saveur incomparable. GIIHIIUS, u·rg,,*" ‘ t ‘ gt \ ; t Ä'° ~ { u f, tl F''''''‘”'''‘”°”'--””__-”—-__'T • lx t _ t {I ‘ , Vacances au Parc de Fazao-Malfacassa g Priere de retoumer ce talon ä: I t Fondation Franz Weber - Case postale - CH - i 1820 Montreux E E I I I : I I J ’aimerais visiter le parc de Fazao-Malfacassa et je vous prie de m’adresser, sans engagement de ma part, la documentation correspondante. { I I Nom et prénom:E E E No postal, localité:E L.........-...--------------——-----------------.-...................................................J 24 N° 54 oct./nov./déc. 2000 FRANZ WEBER Protégeons Savez-vous que notre patrimoine naturel Des limaces dans les jardins que dans 80% de oouX_ot ouotro tonncs de Sooros de lycopodcs (oiod de loup) Soot utilisécs _ ‘ _ - t · Les causes des extinctions de plantes Surtout les activités humaines. ; Nous sommes directement responsables de la disparition d'une espece végétale par · demiere m leläslme 0 0lu.°n Emu 00 1000 milliers que um @S¢·l ¤mO¤il€- 6 l~l1’sS nous les ramassons chaque jour et chaque Scmaine. Les causes en sont Zsufäaiää tmponer de chine, trinde et de Russie pour obtenir ces quatre tomies. Et il ne s'agit lä que des chifires pour _la_seule gllemagner gut pubge des taustiques. Cs ¤’<=St plus par di· Par eenta'llles· mals b·len Par ¤¤¤ésS- · · la · yoremeer ees rrels et Perrleul lrls» Zelrles· ru ' 0 gualrll , t · o- Jar sim Huge? $.0*00000 de Evcovsje _ rtousdconrtatons urre énom1:: piroliféraion es rmaces e escar 0 s ans nos g enreulemsnts de 000 precreux auxrlraires qui nous préservent du de se corner nes uns an autres . dans leur emballagee Quand on connait la _ t Depuis plus dune dizames dannees, ~ _ Savez-vous que chaque année dispa0**0000* "0“ 0000 000000 00*0 de 000 especes de plantes et tleurs sauvages et que 60000 Plsllres 0* lle“rs» selr l ser 4 sont menacées de disparition et auront disparu ä tout jamais de la surface de la terre d'ici l'an 2020, si rien n’est fait et 0'0000"0 0000 00 00*000 - lll servatifs chaque année et Un appel du Conservatoire botanique de Wallonie seule Allemagne la consomme plus de 180 millions de pre- l - le : olimat piuvtcux et _ _ ‘ la _ dlslääerlen des Prfdsrerlfs nswrels G3- äädgesdinälslsgnärsgä esoäonrtgtltgs, · · · · par destrglcfren dg leurs habitatsr {10;;.0* re 000000 ‘00* CV0. 00000000 00 00* touristique, urbanisation, agrrculture rn- motocross, came„ , dépots de dechets, asse— dustrrelle, rallyes et res, autoroutes, .d hcmcnt d h S’ räcäsängs dcgläici E t’ 0 g mmm 00mem_ Cet exemple de ramassage ä grande échcllc dans la nature dune aspéca végétate au bénéüce dom pays richc qui t’ lachete ä des pays plus pauvres, met en lumrere un sujet qui nous conceme tous le pillage des especes végétales par le commerce intemational des Le commerce international des plantes médlcinalas - - - Plerlres merllelrleles- mement Pour les mmasser tombée de la nuit, ou le matin Sous los ooooooux ooriS_ la . nous faut désormais gerer avec prueeuee rlerre Parrlmelrle eerurel Peur rle pas compromettre les ressources de de00000 000 o.000I 00t00 oo000d00t 000000 · · . de nombreuses socrétés - -_ mée cmales ¤¤¤¤¤¤SS¤¤t ¤¤ <=¤s¤¤¤m¤¤t phénoménal dans los ooyS oooidootoux Etrange paradoxe, cette recherche de produits naturelä les consornmaeurs provoque espat;ux commerciaux · romng°* 0 t I ct comme les grosses limaces font d'énormes dégäts aux légumes. surto t, s débarrasser, rror: lo og $20:; Vrrgdtilgs toxi uos Ma petites . . 0 y 0 0 ot 0l . sources alrmentarres, hortrcoles, forestieres et médicinales. tem . . ne' N’oublions pas que c'est des plantes que l'onapu retirer tamment 00 teäsubstartcos acgiveälrqui ont polqnärd; a nquer e rc u en s po soigner contre les maladies, vorlä pour- Vous oouvoz aussi cntourcr vos plantes ct légumcs d•uoo ooodo de sablc ou de Sciurc de bois ou ohorooo de bois. m quoi taines especes. et la disparition de milliers d'especes. · ume l ‘ chimrques, car vous aurez bien sür tué ves iamaees· man ceires-ct vent a rem des cueillettes dans les milieux naturels, mettant en danger la survie de ceret . Leur couleur peut vaner entre le noir, le Les » . l°0 0100000 ä . Il - mslllerlr : ' Utilrsées par Le est I rl est urgent d arréter la destruction R · · Le Conservateur 0 Clinton lmpliqué dans * campagne anti-suisse BIII _ la Sous doute o»oSt_ü pas oéoossairo do rappeler ä nos lecteurs les circonstan— ces, humrlrantes pour la Suisse, de la en déherence déclenCongres Juif mondial crise des fonds - chée par le · - presrdé par lAmér1cam Bronfrnan. V Crise qui s etart dénouée parl , accord _ _ _ des banques suisses impliquées everser 2,1 milliards de francs suisses en faveur des victimes juives du nazisme. Or, il est éditiant de savoir que , toute cette campagne s est orchestrée avec la bénédiction du gouvemement américain, Bill Clinton en téte. Le président, en effet, avait bénéticré d?un appui financier important dans sa demiere campagne électorale (un uitllioréde cäotlarstlde léhomrng au cours d’un banquet ä New York, qu’elle ava1t_joué les intermédiaires entre le President et Bronfrnan. Déclaration dont elle donnait confirrnadans une interview; récente ä la 000100 001000 000000 0* räesteääsi ÄJFSI; Vit appamitm Sur ic dcvam de la Scéne le sou0- 000rétarre d , Etat au com. . · · . . · „ · 0résrdoot luumomo le ‘ L’imp1ication de Bill Clinton, mentionnée par un professeur en relations rntemationales, Angelo Codevilla, est contirmée par la préface du premter rapport Eistenstat et par Hrllary Clinton elle-meme qui n’a pas caché, _ _ Quood dtautros Pays d,Europo opt été egelemeut uup[ lqué0 daus 1e euere ds f dé hé 1 · s empressa de retirer son appui ä une oomooooo qui mettait oo oouso oor_ tours de sos omés ourooéorrs l»AHo_ mogoo ootommoot ot dos ßays de l•ESt_ Uoo fois dc plus, le oourooo oo · s exerce que sur Ies petits. .. _ · · R.. d 'O. J l IOURNAL Fm ° S 8vOIIS-110118 VIEIIIIIBHI CB qll CS t UHC p 1 311t 6.2 ' par Léon A. Dutilleux, président du Conservatoire botanique de Wallonie Nos sciences naturelles, dominées par le monde animal, méconnaissent les tspecrticités du monde végétal. La majorité de nos contemporarns s'1ntéresse spontanérnent aux animaux. Cette meme majorité, en revanche, méconnatt génératement les plantes, les méprrse, ou simplement les oublie. Parce qu'elles ne bougent pas et ne font pas de bruit, beaucoup ne les Qgngidéygnt pas Qgmmg dgs étrgs Vivants. Les racines psychologiques de cette dissymétriejdans notre perccp- apparait que lestplantes, loin d'étre Il inférieures aux animaux comme on le croit souvent, les, dépassent dans bon nombre de domaines de la biologie. _ _ Sl flss etles llllmsllls se s¢¤l¢¤l Pll{s coooegoés Pal les ¤lll· slls lellr Plflelllöllellllüll Pllls lrlßllelllillr maux, splmlallémelll elll sllx Plalll¢s» ¢°¢sl l'¢t“f¢t ¢l°llll ZO0¢¢¤ll’lSm¢ Gu d'un 3I'ltl”lI°O}')0C€lltI°lSi'l"l€.- Dans CC lls, Polls sommes sllllés dOITl8l- Pal Cs lllll ¤0llS Par ailleurs, ceux qui admirent les plantes trouveront dans la comparaison évoquée ci-dessus des raisons supplémentaires de se féliciter de leur présence, de leur proximité, de leur intimité. Quel meilleur antidote aux trépidantes contraintes de notre vie urbaine que le spectacle d'un beau jardinlll I tion des .;é?£““" Nslls J· sem ds partlallté ‘ ßtl Ü__| messer, de les l~lrlll' lle ser comme véhicules de course, GOITIme matériel experimental pour la médecine ou comme compagnon dans um Vic grisätm les R. I: .,. __: fi;. Q ‘ ‘_ °* ;i.„:· |wm .,_;„„_—;;;gr;,;.. ”'“’”l ””°°”‘""" .Y inscng Qi ·i ...I.. "°‘;„t Face ä une momm cn quoi los ““‘m““" et 00 . . Pl““l°s ‘l‘rr0'°“l ‘l°S usgang? rggjgrtgggjäjjggjiilongrllii de SCS relations ä rg; Read;) ra iriussancc ct de t.om_ b E eéésc» de ra Structure ct du S b. t g>1g;};;¤gjrmj¤;;j;;;f·;gg;ggnadol; de n te t rm t W . l,ap_ généziqge gt ge 1,évorumm’ dg léßslgle st de 1'éee1°t;;>p¤a¤¤¤ d¢ . ‘ · ’ „;‘1£Y“"*“"‘“»I‘““‘ sl0ä' •:‘ 6:£i,'l«„‘Ä„“K„°•‘§“ "«?“"s?.” r’··: partialrté, qui souvent ltmusticc Pidéc Sompose conünc ä drum compafaison am tcmemit Ob_ "'*2; "Ü'“““ _. ressemble, mais regtons vglgmtigyg indilférents a ce qui ne nous rcnyoie pas notre image. Il y a la un méoamsmo du- dennneenon qui preeenre mreembie blement des avantages adaptatifg, treue humain, remarquablemout équipé pour percevoir le mouvement, en um pour. etre son talentpoupla chasse ou la guor. re, mars ce mécanisme didennneation présente aussi un risque évidenr, oetui d'évo1uer en nombrilisme. . . · comme mobiles et trop méprisés, a qui nous devons notre existence? ‘ . . l¢S oonsidérer „_„u_W 1 jcctivcmcm de _“ r . . \*° de des cas particuliers d'importance mineure dans une biologie focalisée sur l'animal et l'homme, ne faut-il pas recentrer les sciences de la vie sur ces etres énigmatiques, silencieux, im- — ; .J Pas vivreräoos les “e‘·ls· Pllllöl Qll¢ _.,_;°jl}°_ S Ej [Sql} Yo admrrer, de les collectronner, de les ttlmer, de les élever pour la bouche- avant de lls Pollllllllls plantes, alors qu'elles n'ont pas be- |r· t Diverses sonttles roisons Sur lesquel· les se tfonde l'mtéret que les animaux uous msprrent; qu'il s'_agisse de les mconsclcm col- ' „ 1 Etrange _ HOUS Condutsent de facon drrecte aux notre deux regnes, méritent d‘etre analysées, les attraits que peuvcnt exercer sur nous les animaux et les plantes étant de natures différentes. mé.mc’ cllcs . . L es p anteS.°m aussi ce Je réve d'une botanique qui saurait se détermmer de faeon autonome, selon •~ ses propres regles, cessant d etre A la . traine derrierc la physiologie animale ou humame, prenant en compte ration de notre environnement; elle pourrait retrouver sa place au centre des sciences de la vie. Dans notre monde de frio„ de frime, de pub, de bruit, de pollution, et de brutalité, quel meilleur témoignage que celui des plantes· belles· utiles· discretes· et autonomes, srlencieuses et d'une totale non-violence . lntlmlté bénéflque ‘ . la plante elle-meme, comme une forme de vie originale comme im models en matiere d'aut0nomie et de restau- . 0 La biologie a Quelques groupes particuliers d'étres' invivants, champignons, coraux ou sectes sociaux9 viennent enrichir la comparaison. tout ä gagner e se débarrasser der telles erreurs de perspectrves qui, de toute faeon, n'ont pas leur place dans la science. · L_ A_ D_ 26 NO 54 oer./nov./dee. 2000 IOURNAL FRANZ WEBER Zee Lg yégng de Zeetewza am! Za Franz Weber a quelque chose d’u- la lgidguy nique. " Comment le qualifier Quand quelque par: dans lg mande la beauté meurt, quelque chose mgurt gn nous er lg monde gntigr tique, don-quichottesque - ynpauwi; cela ä la fois. "_ rangeant, ment rafraichissant, '? Dé- politiqe- incorrect, courageux, prophéil est tout ßmaße lons, surtout déchirés comme ces jeunes, ca me dégoüte, tous disent, c’est plus pratique, plus chaud. Conneries, dans le temps on avait les bas ou collants chauds et bottcs, c’est tres bien, dc toute facon tous vos ar- ‘ ticles sont bien. Franz Weber Prémonitions Apres lecture de l’article de Mme. Alika Lindbergh dans le Joumal Franz Weber No 53 qui traite du regne de la laideur, je sous enthousiasmée de voir qu’il y a des etres humains aussi clair~ voyants et sinceres dans leur propreté morale. Tout ce que Mme. Lindbergh a écrit est tellementjuste que seuls les dégénérés irrécupérables pourront se vexer. J ’aimerais ajouter quelque chose ä ces images territiantes auxquelles nous devons faire face au propre comme au fi- guré, c’est le sentiment prémonitoire qui souvent conduit ä la réalité future. Aussi ces grotesques et indigestes figu- de jeu video présagent-elles l’étre humain en devenir Sous l’i¤flueHG¢ des rines suggestions répétées pourrissarrt le psy- chisme, Vingurgitation nous sommes les d’0GM cobayes et les dont mani- pulations génétiques que nos apprentis sorciers ne pourront plus contröler. Je li- % sais ce matin dans la presse que 80 des enfants prématurés sans tares physiques mouraient apres quelques mois. Les autres atteints dans les éléments neuromoteurs ne vivaient pas beaucoup plus longtemps et c’était la galere pour l’entourage. Bien sür, ces doctes médecins vont chercher les causes, mais ne vont-ils pas édulcorer leurs résultats ou tout simplement les falsifier ? Sauronsnous jamais les véritables causes de ce commencement de vengeance divine ? Vive la race humaine future. Tout le monde il sera beau dans ses difformités. Si je vous écris aujourd’hui, c’est pour vous féliciter de l’article d’Alika Lindbergh " Le regne de la laideur " paru dans votre numéro 53. Comme le releve tres justement l’auteur, la laideur physique — visuelle — ä laquelle nous sommes exposés s’accompagne malheureusement souvent d’une laideur morale. Le pire est que beaucoup de gens ne se rendent meme plus compte de cette forme de pollution dont ils sont ä la fois les victimes et les acteurs. Dans ce sens, votre analyse - aussi pessimiste soitelle — mériterait d’avoir un large écho dans une société oü il est devenu de bon ton de célébrer la laideur, La laideur, tant physique que morale, me fait penser aux métastases d’un cancer rongeant les étres humains dans ce qu’ils ont de plus noble leur dignité. Bien entendu, cette assertion n’a rien ä voir avec les disgräces dont peut étre affligée telle ou telle personne. : Autre chose qui me met cn rognc, je dois garder un petit chicn de temps en temps chez moi, d’une copine malade, je marche beaucoup avec, quand je dois prendre le bus il faut payer comme pour une personne, sauf sur les genoux, j’ai dit au contröleur, ces bonnes femmes avec un sac Migros posent leurs cornets sur 2 sieges, gratis. Gamins de 5 a 6 ans assis gratis, parfois moi qui ai passé 60 ans je dois laisser ma place pour une personne plus ägée, et les poucettes qui emploient la place de 10 petits chiens, gratis, c’est des bébés, d’accord, mais si le chien pose patte a terre pour sortir le contröleur me dit de payer, vous trouvez ca normal, en plus les jeunes mettent les pieds sur 4 sieges, parfois, c’est tout sale, on ne peut plus s’asseoir apres, c’est révoltant, je n’ai pas été élevée comme ea, étant Valaisanne, je re- mercie comme on doit respecter les personnes. Merci encore ‘d’avoir abordé ce sujet qui touche ä l’essence méme de ce qu’on appelle la civilisation, d’oü la question de savoir quel héritage culturel nous entendons laisser ä nos descendants. Le fait que nous nous posions ensemble cette- question m’autorise a vous appeler chers amis Tout ca pour vous dire, que je ne m’étonne pas que tout va mal dans le monde. On ne respecte plus la nature, on a des poubelles sur les trottoirs, non ils mettent a cöté, le chien qui fait des besoins je les ramasse, et toutes ces catastrophes en ce mo- en vous adressant mes salutations les ment, c’est l’homme qui provoque meilleures. tout ca. Georges-André Cuendet, 1223 Cologny Dégvülahl Merci de m’avoir lue, excusez-moi l’écriture et les fautes, tout ca m’a énervée. Toutes mes salutations ä tous et bon courage pour tout le travail que vous faites. J ’ai Many Meissner; 1200 Geneve Victimes et acteurs beaucoup aimé votre article sur les gens qui suivent une mode tres moche, vos photos montrent bien Quand je vois des pantalons, je leur dis au " travail Messieurs l ",elles rigolent, elles savent que je déteste les pantatout ce gächis. Monique Théraz, 1201 Geneve MisäI’index femmes en Parmi les nombreuses publications auxquelles je suis abonné, le Journal un grand bravo ä Mme. Alika Lindbergh pour son texte sur " J’adresse IOURNAL Fmz Warm r~1¤ " regne de la laideur (Ö combien j’aurais voulu écrire ces lignes) Tout est juste, bien observé, plein de comparaisons appropriées, rien est exagéré. Ce texte magnitique esta diffuser partout, principalement dans les écoles. Peut—on encore trouver suffisamment de personnes sensibles, sinceres et motivées pour le propager, le soutenir. 7 En tant que professeur d’arrS Vl$nelS« J’a‘ en l’¤¤d¤¤¤, en l996» dß Parlerfle la m°d°¤ du ben er dv manYa‘S Sent; Pendant nes eenrs de deSS‘n~ de erlnquer certalnes ann' res st eenrants ectuels et la tenne Vesnmenrarre de beaucoup trep d,e' le ! leVeS aux Semenea lacejs detaenea ene“r‘rre(e)S eempensees en awf Je nla a men r°nr_m‘S ä I lnfiex er_Ser‘ rnenne Par “n_ drreetenr d erannSSe‘ menr Seeendalre hlen eennn de M· Franz Weber;. N Oulalllons pas la dé- magogw CH hypomsm . Opposéa la.p‘”°V°°al‘°“.°ta“’$ facllb tés ,d° Hstlqucs cncrcbc I Tcfi “ lmporte quol Ft dal tres a°t“°l* helas ‘ encore que la pollution dont parle Mme. Lindpar n’est pas seulement visuelle bergh J ’ajouterais la laideur mais elle est aussi auditive. Je fulmine contre les programmes musicaux de presque toutes les radios francophones, la facon vulgaire de parler, soi-disant "branchée", de certain(e)s présentateurs(trices), interlocuteurs· j (trices) et de b€al1COUp de jeunes. Aveg le meme espoir et la méme vo1 le droit, je crois, de protester en voyant les collections depuis un certain temps Je n’entends que des criPendant longtemps, tiques partout j’étais fiere d’appartenir au milieu de la couture, maintenant trop souvent j’ai honte et j’en suis malheureuse. ! ! que vous préconisez en page je me joins a votre démarche. lonté mais quel amour du métier on avait Nous avions tous beaucoup de respect pour le travail fait par toute la maison, ainsi par exemcrétaires, 1 ! ple la lere presentation avant la presse, nous la faisions avec tout son panache uniquement pour les ouvrieres dans les salons de la maison. La rédactricc d·,_m trés grand maga_ zine de mode m’a dit" nous sommes On continue a se sewir allegrement de certains grands noms de couturiers, mais que fait—on de leur maison ? S’ils voyaientcela Leur réputation était le résultat pendant des années d’un goüt tres sür de l’élégance, du raffinement, du beau, de la qualité, d’un travail exécuté avec rigueur tous les jours. ll yavait un profond respect et de la femme et de la cliente. ! allés trop loin dans le n’importe quoi, nous ne savons plus comment revenir en arriere ". En discutant avec les directrices de salons Haute- couture, toutes m’ont dit ne plus rien comprendre non plus et surtout que des clientes se plaignent. C’est grave puisque ce sont elles qui font vivre toutes ces maisons., et l’on se la- mante que la Haute-couture ne marche plus aussi bien qu,aVant g il y a si peu de belles souvent le travail des " " "créateurs et des mannequins " est a hurler. Tout le monde critique tout bas, mais personne n’ose le dire tout haut. Quelques courageuses journalistes commencent a critiquer avec humour, notre société est-elle en décadence?Tellementde gens perdentils le sens du discernement ? Est-ce la nouvelle mode de vouloir choquer, d’avoir mauvais goüt ‘? Huit fois sur dix maintenant dans les défilés ce sont des cocottes, est-ce parce que les joumaux sont envahis de petites 2, créations, annonces érotiques ‘? Il est vrai aussi que lorqu’on n’a pas de talent, on peut au moins faire des horreurs pour faire parler de soi ,quand—möme. Mara alers rlne Von n eseare Pas de nena f¤¤r¢ Prendre des Vesares Penr a¤S1¤¤7¤·=r¤¤S,t9¤t1¢ rnende n est Pas rnabeene au Pernr de eenrendre Han' re'e°“n‘re er Carneval- R_ 27 Maintenant . . , Tant d’année au service de la Hautecouture aupres de tous les plus grands couturiers de Paris, me donne 54 oc:./mv./dee. 2000 Raymond 1009 Fully Une U En que plus, les directrices se plaignent les mannequins ne savent plus des caprices, malgré travailler et font des salaires tres élevés qui quelquefois, et c’est un comble, ont mis certaines bonnes petites maisons en difüculté. Je trouve que ces jeunes femmes ont des silhouettes avachies, huit fois sur dix elles ne sont pas distinguées, elles ne marchent pas, elles se secouent, raides, figées en cognant sur leurs talons les pieds en dedans, l’air mauvais, on dirait des hussards. Les mannequins garcons, on dirait des sauvages hirsutes descendus tout droit de leur caverne. Mémc cn déülés, la plupart du temps mannequins n’ont pas de bas et faits, alors que les fabricants font un choix merveilleux de collants et de bas. Pourquoi les créateurs suppriment-ils les chapeaux ? Modiste est un treslbeau métier, cetles les ongles pas I spécialiste des reportages des te profession faisait vivre tellement l ; „ le sommes QH, fs trop Iom dam , " ””l’°'°” qum J „ 1 . i Je ne peux vous dire combien j’étais contente de lire l’article de Mme. Alika Lindbergh dans le Joumal No 53. Depuis 10 ans, je fais tout ce que je peux pour changer les choses dans mon cours. Les jeunes me suivent, mais les grands coupables sont entre autre certains créateurs dans certai- ncs grandes maisons de la Hautecouture. 1 déülés télévisés, lors d’un déjeuner me contlait ne plus rien comprendre au systeme, désormais ce sont les mannequins qui commandent, on leur demande de sourire entre autre... on ne peut pas 1’obtenir. Maintenant le son rajoute des applaudissements, auparavant la presse le ler jour et les jours suivants avec les clientes applaudissaient chaque passage et la collection durait 2 heures, tous les jours. Chaque mannequin passait 15 ä 17 modeles, on obéissait et pourtant on était payées comme des se- de- gens naient le ; et si les collections bon exemple, les don- femmes dans la rue seraient tentées d’acheter en s’apercevant combien c’est confortable et élégant de porter des chapeaux. On ne forme plus le goüt des gens, il suffit de voir dans la rue comme c’est triste et souvent affligeant, c’est un manque de respect de soi et des autres, un manque d’égards. Je crains pour les années a venir, que nous n’allions vers un socié" té de traine-savates ", et vous verrez qu’il y aura encore des énergu- 28 w 54 oct./nov,/déc, 2000 IOURNAL FRANZ WRRRR menes pour nous dire que c’est bien, puisque c’est la mode Genevieve de Marcy, présidente de la Federation suisse des Mannequins, Photomodeles, Ecoles et Agences, 1006 Lausanne Un baume sur le coeur H.lglles es t d e Vells e l edel d dvell Quelle dells Velle Jede llel Ne 53 l elllele d Allldl l“md' L, b. .e Jef I. d e ses Qdelle. eedleellee el quelle Yelel pres de elllddellte ans dlleie lels edorl de lll lleellllel e ne Plus Voll la leldedr dans ledllel‘ le se complait une large majorite de neire soelere· mals sans Y ParVenlr· eelgll'. eeldellte. ‘ l lr en alllele dlleslldll est bévme slllle edelle lln llellell du Xve sleele e dll= js la slllle de l°l°l‘n· dlle La Beanie est la splendellr du Vrel „ Ce llll J’entrevois l’avenir avec inquié- te. tude. Sommes-nous devenus ches meme l trop lä— pour defendre notre pa- nous niveler, nous affaiblir et imbeciliser, par le dictat du " nous politi- quement correct ". Et malheureusement le succes de cette strategie ne se fait pas attendre. Nous tombons de plus en plus bas. Toutes les impertinences, toutes les grossieretés sont permises, les pires vices sont glori— lies, l’escroquerie devient verite, tout sentiment de pudeur ou de piété a disparu. Le résultat est effrayant : Lächete, paresse, irresponsabilite, chaos. Voulez-vous m’envoyer encore trois exemplaires du numéro 53 s’il vous plait. Courage et encore courage ! _· que les soulis eonllnnenl endlsenl Andrée Bickel, 4052 Basel (94 ans) qlle ,l%le“ est lleell el ll alme la Beanie Je Vous serais obllge de blen Veljllell lransnlenre el Volle e°l' · m°“ sdmlranen P°“r la de SCS fOI°l’I]Ul3rlOl’lS. UH allteur iranien contemporain a ecrit que lab°r“rr‘°e _]USt€SSC la pOlll,ltlOI] (l€ li€l'lVll°OH1”l€H]€I]t est manifestation materielle de la pollution, bien ¤1iieYieufe„ des ämes Qui sdni a son origrne (seyyld Hussein Nasr, saure erreur dans sen Man and la °° Nature — The Sprrrirual Crisis eiiil/io- dern Man ll)- Je Vous adresse mes Vreux de Suecés dans Ves eiirorrs» di· gl'iCS des plus l'I3UtS et VOUS d’agreer mes salutations tres priel Pertinent Subiugée par laivstesse du <=<>¤t¢¤¤ des articles de vetre deirnier jQURNAL’ vous iiyqbiigeiiez cu vguiant bien nri’en faire parvenir quelques exemplaiyes supplémentaires ii mc plairait de les distribuer parmi mes amis et connaissances, qui approuveront comme moi la pertinence des propos y énoncés. Et, qui plus est, j’espere de la sorte pouvoir recruter quelques nouveaux adeptes... R. Sandoz, 1815 Clarens distrnguées. _ _]gcm-C[gudg Pgfjfpjgrrgl AIllm8llX 1277 Borex Pour rien au monde M Weber vos éditos sont de Du- canmbalzsme a phlsme I enthropomor- vérita- bles prieres' Et quelle admirable per. severanee dans le_Srand eonlbalflnr est le vetre L’¤mel<= _d’^i¤k¤ bersn °s"mP°nanl‘ss"ne,l La ‘l?°la‘ nlre de. la la‘€le“’ el de a"a°l“ss°‘ l mällt v Je la Vls tous les Joulis et dus(lu a nres Prdpres enfants nur ne s na' lnlleralent d unle raeon elegante Pour nen au m°“‘l° LM- · Komnen Becirovic, Paris _ ~ paran que des areneologues ont en‘ fin trouve dans les environs du Colorado des restes humains cuits, grillés ii etmangésparleurswnséneresdeeci gräse ä quelques protéines de myglobine pI'0pI°CS ä l,étI°€ humain retrouvées dans les cendres ainsi que dans quelques échantillons de peau. Ceci prouvc que ¤<>S arwetres ¤e faisaient pas la difference entre manger des Viandes animales du humaines- Pollutzon morale _ _ niesr Pas eronnanr que eerrains Vi' visecteurs pas meilleurs que les bou— ll _ Merci pour _ le dermer numéro du Journal. L’article d’Alika Lindbergh est exactement ce que je pense de- pUlS lOHgt€mpS. Chaque mot est _lUS' chers dans l’immense chaine alimentaire qui ne respectent ni la qualité ni la qllalltlté d,ab3ttag€S, soient si I°é' demande pressante de changer le statut de l’animal qui n’est pas une chose. Pour ces gens- ‘? Depuis des années, des puissances obscures sont a l’a:uvre pour trie calcitrants a cette la, l’horreur la plus véritable serait de devoir demander pardon de leurs crimes aux animaux qu’ils ont occis par millions. Leur grande peur, c’est qu’un jour, vu les changements, transformations et adaptations du regne animal et vegetal aul cours des siecles, ils ne doivent un jour entendre les bétes martyrisés crier leur douleur et supplier leurs bourreaux. Ces pourvoyeurs de bifstecks et ces savants nobelisés résisteraient-ils aux paroles pires que le silence ac- tuel ? Les Indiens bouddhistes croient a la réincarnation dans le corps d’un animal et ils sont tres gentils et dévoués a leurs vaches par exemple. Et si ces vaches et cochons dans nos abattoirs qui se voient éviscérés dans des douleurs atroces parce qu’ils sont mal assommés étaient les bouchers et vivisecteurs réincarnes dans ces victimes (Eil pour ceil, dent pour denn. *2 io Sa -1) Mary Meissner; Genéve Agir sans attendre Horritiée par la description que vous donnez dans votre Joumal No 53 du transport et de la mise a mort des animaux de boucherie sous la rubrique " Un regard dans i’inn()i·nn·iab]e " ’ je me permets de vous demandcr s’il n’y aurait pas un moyen plus rapide et plus sür de faire cesser ces horreus, car ceci est si intolérable qu’on ne peut attcudic que [es gens ciuuiee?} iwi mamére de Se noumr ct qu lle soient im assez grand nombre pour mfluencer les choses. pal beaucoup d·admi,au„„ pour V0ue travail de sauvegards de toutes sortes, Monsieur Weber, et contiance en vos posgibilités Lie ne suis qu’une reuaitée de 73 aus qui ne supporte tout simplement pas ia sguffranee ipnagée a des innocents (ssamsux, ssNe pcusebvqus pas qu· ii est urgent de trouver autre chose, soit par voix juridique, soit par des moyens de persuasion sur place, et qu·au uqm du droit des animaux, ii soit etabli des iqis u-és Sévéics et trés Surveiliées quapt ä leur application, au niveau intei·nati0nai_ Je suis préte fants etc_)_ IOURNAL FRANZ WEBER a vous aider bénévolement si je puis vous étre utile. NO 54 oct./nov./déc. 2000 alin que cette situation change. Tou— tes bonnes idées sont les bienvenues. Lg mygtéyg de 29 la vie Ch er M onsieur Weber _ En Ariane Sy1ejmani—Pvmm¤z, Ciré neusseux 11, 1203 Geneve es érant voir la realisation d’une iuuo efficace et aussi prompte que possible dans C6 dÜlil1alnÜ et l’arret des sourfranees dlllsllgéee eu; eme A mazomc · äibnliisiieeriedl/lebieeleness lniieiilleixresnsgi - · - n in (Chutc danse ic temps), paru dans l’édition alleman- l l , A Propos de i liarriele ll Menaee sur de du JFW ne 5e' Vous evez laleed " ggmalonie d’Alika Lindbergh (No lutations älelslc I Dumont, 1066 Epalinges Lisezre l Pour une SPA ““ G’“""“‘C“”“'i¢“ _ JG _ chats aux Grandes Canaries qui liniesent empoisonnés par la police, car en trop grand nombre, sauvages et stérilisés. Un grand nombre sont malades, il faudrait les endormir dignement et non les laisser mourir dans un coin sans soins appropries. non Dans iwrs devant mus la réponse ä la questien du POURQUQI et l’emp<>r— la paisible rozorrdo brésinouuo vida, qui compte 24'000 tétes de bovins Sur ses hectares l, des ohorohours uméraouaus, brésnieps et fiapouis étudient depuis 199], pimpdot des déiiiohomoms Qt bpüjis de ia foyer trcpieaie iéuiisés d grande eehelie peur Pélevage du bétuii [js out pn ehiffrer la fuito de caybene dans putmosphéio (sous ferme de massive au mement du ) chement, elle continue aussi durant les cinq années suivantes, pour atteindre la valeur totale de 6 a 12 kg de carbone/m2. Ensuite, le flux s'inverse, mais la fixation de carbone sur les trente années suivantes ne dépas— se pas 0,4 kg/m2. MacDo a-t-il inclus ce cout environnemental dans le prix de ses hamburgers? j l l 1 l i 1 1 l Lors de mes vacances, j’ai rencontré un monsieur qui avec le soutien du vétérinaire local essaie de sensibiliser les touristes aiin de leur faire adopter des animaux pour les ramener dans leur pays d’origine. J ’ai pris le nom de ce monsieur, il m’a dit qu’ils auraient besoin de fonds. Depuis 17 ans que je vais la-bas, je nourris les chats pendant mes vacances et rien n’a change. Aidez-nous Voici le poeme de euse, infailliblement dévoreucey propulseur dans lequel nous sommes tombes et qui repousse tou- se, Nova S€nSlblllSé€ par le sort des SLllS t[°éS mone Lompacl des défrlchgmmls Franz Weber dontparle Léon Dutilleux, B — Genappe HVGC ill], COmm€ ll le mystére de la vie et le mystere du mal, irrémédiablement. De votre " quete Wer trug d1e.Schuld (Aqui la faute) ? ", je déduis que vous non plus n’imputez pas forcémenet la faute aux humains. Car comment le Dieu parfait pouvait-il engendrer t€ p€I'l's €CtlOl'l le llt l”lé3.IlI‘l'lOll’lS. le °° Srend ausm-. ~-das Peehi und quält Von Jahrzu Stund lien renre eenirne une eonsolanon de SaV0ir Que Veus aus' slrrluipoursuulezVotre enernin avee asj Surance er dans la olarre» eres lnalgre °° · tour un chercheur- K. Labhardt, Hamburg K Labhardt et que nous avions publié dans le no 53 de l’édition allemande l galt 1 . 'ßl; . , ’i‘ ju _i -/irs ‘ . . .· in die Seit Wir lebten alle ausserhalb der Zeit Leben frei von Schuld und Leid. Wir lebten glücklich und geborgen. ES gab nicht gestern, gab nicht n»i0i•gen_ Wer trug die Schuld, was war der Grund ? ein Die Zeit hat fortgetragen das Geheimnis, das pocht und quält von Jahr zu Stund und HHS gßfarlgßllllält in dunklem Gleichnis. Das Leben war ein freudig Rufen nach Frieden und Glückseligkeit. Es kannte keine hasserfüllten Stufen, In unsrer Seele aber mahnt und wiegt, das Lied vom femen Glück, das wir verloren, auf dass die Seele endlich siegt war Liebe nur und Ewigkeit. und uns das Paradies wird neugeboren. So stands geschrieben, gross und klar in veilchenblauer Schrift in jedem Leben, Unser Sehnen, unser Streben muss und wird Erfüllung finden, war Goldgesetz, war Lebensbuch, war das Gesetz der Freude und Erfüllung eben. weil das Gesetz nur vom Gesetz kann leben und unsre Seelen sich ans Buch des Lebens binden. E ll 1 , “ {srl _, log;} l . el. ‘°' ' Und dennoch fielen wir den i „ So wird das Leben ausserhalb der Zeit neugeboren frei von Schuld und Leid. hinunter in die tiefe Kluft der Zeit, Wir werden wieder glücklich leben und geborgen, wo alles Glück und alle Seligkeit verblassen,. Es wird kein gestern geben und kein morgen. Sturz so weit, von Glück und Ewigkeit verlassen, Franz Weber |30 IOURNAL Fuuwz Wuman 20110 11 1 |1 Ä .. ,;1 _. j H2 · ·1 AUStfühC, voyage Ch \1€Z 211 AUCUH fültCS 1111 z l‘I\&I\ 1 .1 W 1"W • W' ” C&S„ 1 . 1 ·i ii V 1·1 . 1 ·. ‘. -1, ’· AC ~ 1 W EBER F RANZ ii ii| ll |W T ERRITORY| ·· ·· | l l. ' ., ld __ ‘e ··» ti |11 ju 11 1 o. W W def 1 1 '% ,,.„ 1 1 VN :},*4. J lull l , 1 1 , xtä ,_ _ l so 1 l 1 |”’ magic du Franz Webers Bonrook Resort ct oubliez Eixtrez dans la ui du monde. |lleßisig •r 11 1 pi ·-" le reste so in 1 1 1 Highway ä Pine Creek. Quittez le Stuart .1 * -. °e WW ‘ |1| 11*’ rr| · .. s; 1 1| ‘>1 |1 1 1 1 W I Ä, ·« 1 vllwlh 1 1 W · |115; i 1 11 ia; —· s 11111l |il| 1. 1 1 · 1 1 |·. »s:*i'll'~ " 1r We W W 1i i · · I „, . . an in ,’ I1 1 1 ‘ hf 1 ~, , . „ W WW ' 1 W, ,, l 1 |il „ seel e e W l' ' 1 l i 1 1 t1 1 _, =1 11 ° ‘ ‘W|ll1i|Ä .|1| 1 1, 1 GA-1 im . L —" 1¢· x 1.1 als |111111.tt·i 1 111·111—»1111 1*11.| les II\€!'V2ill€S ct florc. ·11| .1 .. s 1 du &VCC SOA €XtI‘&Ot‘diI\&l1‘2 füllßß vous laisseront un souvcnir inoubliablc. buSl\ t\0t‘d-&tlStl‘i\ll€i\S Ses couchers de soleil 11.. 1| 111111 . 1 .111 w| 1 1 1 1 11 1 |in 11 ll| 1 1 -1 1· 1 l1 1 1 11 1 1 .·1 -. Ü 11: 1111.111 1 1 1 .1» lille '1 1 1 W W 1 1 1. 1 1 11"“ |Üt11’ 1.. 11 1 1. 1 11 .1 1.11111| | 111.1.1.11.·11 |;1 W 1 1 Q. 1| 1} 1 li 1 1*1 1 äy| nlllllli11 1 11~11 11 1W 11 1 11.1 11|1 1 111. 1.111| lt “ · J? 2 W 1 W «1‘1111 ~.11 WW 1·11 .W W W ‘111’“ l|lidlli1 111 1 11 .111|11| 1 ‘1= 1 1111 ; .. |Yi| |1—11|W" WWWlW 1 .. 1 .1 |11 |1.1111| 1 1 11 ‘ 1Ä '11 1 1 1| 1| 1 1 |1|‘‘1. 11·~.1 1 |.= 1 11 11W| 1 1 ZF |ll|l.11*1111 1~111 1 rl 1· 11*11.1:| |-1..1. .1 1 1 YW . Ä|gfrä|j| |:„ ,l·l ,· nr;] tv « · ,;=„ _ tf| · ”"‘ t tw r __ ny , .| · ·_ ;_ „ , , ., tw n; 111 , ’* , , · „„ n |‘¥7|T&*‘j~ " M! G*^‘*Z"¤ c A Je |(W |W| ,, |V « & ” ~= ’| ii |‘ ° 1 ” l:’4·’· 1 . M ‘ |—· , ‘ ,,, Vu. „_ ” *« W [_ ij '~l ‘ ‘}" ‘ · ^x lmw?‘ * |tt F ‘| ” ’ “ , ¤ i * « „ t I|t ··•§,· ‘ W,| . n in ’l” ’ r|;| |, rt ;; w^·~·«¤W‘·*t*»’ ' ANWW „ km n .1l ·1 I|‘|” M ^; er , ’?l, tu ·‘ t an , |.{‘·m•„,,,W N ‘ . „ ”| er _„| j| ‘ ~M„, ‘ L, ·—««„,, ,s N" ,| 1111| r __nn|n · , kllvy I| ‘* ;„_._—Nn| In M — ,· ' vw W «,- an _7n_¢’k_. ,,_ _ n' ,= _ n _ g~ t _ Y, · “ , , _‘ •"~¤=’ —, , 111’ · „ ,| t|y nn ·' 1‘Y| e |tf| · At···· ut ’‘ ‘„. in " l ’ W ‘ |~^| _, ° “ , , , , _, . g W, Y·i¢'“""“i»“§' 4„" s 1, I , I n "i, a ,-Y nw |i' I r ogs _ Evadez-vous , Ä dos de cheval dans l’1mmens1te de la rése1·v¢;·a:;—2;»g I'2I\C0i\tl"€ des tl*'0\1 €&\1X S&\1V& CS d&t\S lßllf l'0 Äüflf la l ll F —» 1 ” — I » · ’| l A - MW,| 3 ,.,4 r. r • • t , ‘ ‘ t , G ,- n ‘|:‘,7¥k A I ~» - . ,· -•-•-•« " I _, Ä · I. , ,;“ . - — ‘ Y , ät aw ei ,., 7 E _ 1 ” f Ä ,* F ‘ F l Ä ‘ " V » L ‘ X - ‘ •: , F" { ) NQ " — ~ • ', |n|i| . _ " ¤ _' Ü ;_ *„,J ‘ ‘ » .r ,.4 V fsk}:. · ”‘ ·‘ tt 1,1., -e. r |.„ „ ——·* ‘ ‘I Bexcellente cuisine et _ le V ‘ l' ' ~r,~««_' , „, d — g ‘__‘· _, U, „ ~ W I I t _ n n ,*" 6; n n service tres personallisé vous ‘ " n, "‘ nw ,, V. ·,~,p‘,~ , „,·=^~a;| „ ‘| N ny| "“‘&"”'° »~··· ~ „· „;..r„ r «_ , , · "¥"L"| tc: ‘ f M. . [_ ·~ “ „»m‘_ ‘ '7„• · , _ ”‘ , ’ ” t· , ‘ _ |J |l|lvi|m|n|an|g| ‘* A ‘.‘ Ü? ii "16.‘L‘-!° r ~ . In t„» *1 _ r ‘ _\,_ I . T_;:~“~• wine lm, · |, , 7Mt,-N„m _ " , ·v „;,;·;,t;;;v„1‘*<g; ‘ Ew|‘;täqiCM«;,'·9n,—:‘j " ‘ *„· {_ _ dnliéyr „J_ lp, --·'t·‘;; Ä ‘_,‘ r ‘ t I ‘ ‘ ii _ , *_.. ~ ~ ,V . · ij · ‘ •· Z , ‘ · ·'Ü°,‘ · ZÜ . I · · «| , ,¤„ , r. t · , : ,‘\qI' V, " lk _^ 4 | r|r , fn •‘i" I '¢Ä?"‘° , ‘ ' I _ ,, ”-| "Q• !l„Ü,°i"‘ ‘ ‘ „ ‘·‘; - ’ ( T 1 „· ‘* io| ·: _ ' e . . · — „,,¤ , ?— ,. =~ . Visite au paradis des Priere de retoumer ce talon ac Fondatnon Franz Weber — Case postale - CH - 182Q Montreux J ’aimerais visiter le Franz Weber Territory et je vous prie de m’adresscr, sans ma part, la documentation correspondante. Nom et |rénom: E E engagement de g E } , persecutcs : I Votre séjour est uno contribution au maintien de ce refuge unique des onovaux sauvages australicns I chevaux / www.fwb-res0rt.com I Adresse exacte: } I No |ostal| localité: I -_--Q--I---_°--°°°°_-°°°°”°°°°”°°°°°"„"Ü""ITT,äT'°''''T>"""'Ü""'°°"""| I 32 N¤ 54 oe:./nov./dee. IQURNAL FRANZ WEBER 2000 • I Ce que d1t « Charlie Hebdo» O ä PYOPOS d H1'Chlt€Ctll1°€ IIl0d€1‘Il€ , " Le monde de demaln sera un mon" de de villes l le répéte assez O,. , ,,„ guement humains qui y dorment et y copu- monde ,| . ge espacp cxclliswcmcm non urbamslet tant to oré que comme suppo n — cessaire a la culture des céréales et rouillent sans s’en faire, accomplis’ · , ”" ""i‘:; L . , § _ .. ’ E; _ I -1 plutot cette rh| T|i| E T ‘ nous les voyons croitre au- i getgo? ville unique et tentaculaire dont les actuel— les métropoles ne seront que des mé- Danic de Paris cn mos uléc d,Omar t·’ de K„„„,ii„ st Sous ie 60ngen nople, ils croient voir des gens vivant leur petite vie de gens dans leur chére vieille ville. Ils ne voient pas les cubes monstrueux tout autour, les cubes monstrueux exactement semblablesaceux de chez eux, les cubes ät i. .. ou Slgne révélataur , " M pm villes, ‘ v ,, ; _ v reste des petits lapins. Samenün lcur Vmi destin «| ‘ e tastases, gyjjioudrgyés ;*“*b;“*g);j¤r¤SS¢% n ees es ers on ui . e; l de golf et lieu ludique voue au noble Sim de la chasse Ces , In mterstitiel • s'il Boulogne, ont l'air d'attendre le bombarde— ment. Leur vocation, c'est Beyrouth, les décidé une fois pour toutes que les étres va- I :j ·7-· _¢;‘-“ ..„·§;·jggg•l‘l| _; ;,, :I5§'}j·};g ": |·|i ; ‘ |°l"{;'lj}llll;| 5; ( __ ° "( tin"|; Ü Ä „.„ .,. „. Ii E 3 t ” “ ' interchangeables qui sont la vraie ont toutes, partout, la méme gueule: j __ la vraie vie. Ce qu'ils voient, ce ville, des prismes bien lisses de béton, ou _' fw “ ” " ' °”' qu'ils sont venus de si loin pour débien de verre et de métal. Elles dresNew York S'”g“p°m' T°k'°’ R'°‘7 couvrir, c'est tout bidon, c'est de la sent vers le ciel des hérissement verticales d'eux. d'autour fonregardent ne sous lent globe comme la couronne de la ville lls pas vertigineuses qui se haussent du col en une cent au travail téte baissée, en reviennent de mariée, préservée, époussetée, maquillée, compétition effrénée pour étre le plus haut, "bon vieux temps" a vomir, pute rapace meme, indifférents au décor, pressés de renle plus gros, le plus insolent. tour de nous, jour apres jour. Elles .' , „.,, , L ll| .i , | | i. ° ‘ °'’'“‘l _ . . trer se . Un umvars mhumam deme, C’est lui faire beaucoup d'hormeur_ rien contre le modemisme, pour autant que ce mot signifie quelque chose d'autre que la servile soumission ä la mode du jour. C’est le _ _ coucher ou de s’en ouffrer dans des vendeuse de souvenirs imbéciles et de Pellicules de rechange pour leurs Nikon. lieux ou l'on s'amuse, et stfrtout attendent le On donne ä cela le nom dhrchiteeture moNous n’avons _, l mot "architecture" bénl de la fuite V6I‘S la ils ouvriront enfin seulement Lä les yeux, se gaveront l'äme de chants d'oi— seaux et de corsages folkloriques. La ville Week-end, l'instant Cc. dévglopqcmfqntlcxubérantgu ou CS du Won E pmlcttc verdure. est subie, la ville est grise travailleur entre im 68 mutcs deux week-ends, im SP; la ville cmm Sur F? .ä°n€m°S· mam‘miS· änestrcs cn un gmm Fmeät Sans ccsse comme l'äme du . tolmsmc äs cnscljt épV un S aläuu äutelmlätlr “'¢“S*¢P“· ägäträlgfäg älägägäsciägsgäu? L’exaItatl0n du néani de profit maximal pour ceux qui les concoiceux qui les construisent et pour vitent autour de tous les rapaces qui ceux·la, nous n’en dotälns pas. Qu'ils répondent ä des conceptions esthétiques ou, tout simplement, au souci d'assurer le plaisir de vivre, de iravailler, d'al1er et venir dans un environnement oü l'on se sente Les margoulins manipulateurs et leurs valets ont réussi a présenter cette absence de recherche comme le summum de la recherche. Le néant exalté en aboutissement supréme de l’art. La "ligne pure" ... L'"élan" ...La touche de luxe étant apportée par le placage d'une pellicule de marbre sommairement collée, ca tiendra bien le temps que le dernier appartement soit vendu, voilä pour l'esthétique! On nous impose cela, on nous persuade que gratte-ciel saufde l'architecture. Qu'ils répondentades impératifs dits "économiques", c'est-ä-dire vent, pour c'estce que nous aimons, ce que nous vonlons. Qui done peut aimer cet univers mineinhumain? Ces angles ral, écrasant, glacial, durs s'entrechoquant, ces surfaces intermi— nables, grises, nues, d'ou est soigneusement banni tout saillant, tout rentrant, tout relief? Cette exaltation de la géométrie élémentaire, ce décor pour vieux films de robots? La Vine Naxiste Pms C’est tres simple: ces villes ne sont pas faites pour etre vues. Ceux qui décident om car ce gigamisme qui se veut ä Pimage des de Manhattan n’est pas seulement sinistre, agressii méchant, sa sale gueule ne cache pas son idigence. Tout cela est d'autant plus cafardeux que ca fait pauvre, désespérément pauvre, surtout apres que quelques hivers ont passé dessus. Ce n’est pas fait pour durer, qu'allez-vous croire? Tout comme n’importe quel objet fabnqué, le bätiment a une vie éphémére, strictement calculée des la conception par les techniciens de la chose. C’est pourquoi les grands ensembles sous la lune, du clapier de Sarcelles ä la "résidence" princiere du bois de saient jadis et qui hélas hélas ne se feront unammc · timing P ui ' pn gf °°I;11m%$a* imlour C 1 Flop FL da rcxlcn S amSt°S‘ us C tc P „' pu‘S* On H a er' . F1 ° uxa · pas “°us P°Y°' uns Wala archltactum ? N'eSt-cc pas pqigmm? Quand furgnt éti- gécs ces merveilleg, }·aI-man, le manguvrg, l'aitiste étaient sans doute moins rémunérés ‘l‘¥° d° “°Sl°“’S· ‘°S °h“‘g°S S€’°i“l°S “°°"l’?‘ agent pas (ah* CCS °harg°S,S°‘i‘al°S· qu?} ah' b‘·l· ccms °°‘°i°S· mals le nqunm ‘l “°“ f°“a‘t_P?s nc °S m¤t餤¤><» °t·,m°‘}‘° Sl lc P°“VP“” du d°Sp°t° °“ du Ylgrge €éta‘t abS°l“» la SC äénémki étalt qu °H° Comptc Fcnu de la nc. est ““l°“’d°l‘“‘ eugms piussancc. ffmilldablc des mé‘;°' _ äqucs quäägguldäm eu moms dc dcux ui? onjws °S “ gms murci nc . mus payer ° um gane Wale am ltccwm? Em-ag; dg «c;„„11, Hgbdg;;, 31 ocmbr¢2000 IOURNAL Ftuuz Wmini| Parc cantonal au pied du Iura vaudois Rares sont ceux qui ont eu Ia chance d’apercevolr en Ilberté et dans son milieu naturel le Iégendaire roi des foréts: le cerf. La plupart d’entre nous ne l’ont rencontré que dans des Iivres ou des films, ou prlsonnler apathique et sans éclat, dans un parc anlmaller ou dans des élevages industrlels. II n’y a plus de place pour ce prince de Ia faune européenne dans nos campagnes morcelées, urbanlsées et surcultlvées l l’homme On le trouve, heureusement, encore dans les forets du Jura, notamment au pied du Jura vaudois, ou Franz Weber mene le combat pour Ia création du altérées par l premier Parc cantonal suisse. Mais Ia aussi il est devenu rare. On peut vraiment parler de mlracle que ce splendlde animal fasse encore partie de notre patrimoine naturel l En conférant a Ia réglon du Jura vaudois le statut de Parc cantonal, on lui assurera Ia survle. Plus de place dans les forets Le brame du cerf par Henri-Paul Deshusses Octobre, premiére qulnzalne Ce Tous les chanteurs ailés sont partis via la plaine et pour le sud. „ ‘4 matin, les clairieres luisent les taillis, un peu de neige Ce matin, le pic noir criait sa so- “ comme des mares glacées; dans ¤· ro di, J sa dentelle sur les sapinettes et les hautes herbes; comme Si, SUI' ~, . croassements au-dessus des fu- — r moyenne montagne, des pincées d'écume de mer étaient venues s’y déposer. Une fialeheur seche régnera toute la joumée la taies tacitumes; cette nuit, le hi- bou moyen—duc s’est mis a boubouler, tandis que les grands cerfs mäles — dans un climat —l \¤ ~ _ n sur ce temple de paix, seulement , l' de loin en loin, par un zéphyr poussé d'0n ne sait traversé, petit d'amere rigueur- ont déserté les hauts pour rejoindre des cantonnements de femelles. Dans la pénombre des fourrés, ils sui- . , nf trop ou. Ji ; puis crépuscule est desccndu earesser doucement la le nn l - —f;*£ " Mais aujourdihui, ces linux conscp vent encore un vague épeI‘OI1 de l'éré, Juste avant le proche retour au ventre bmmeux sur la courbure du temps égreneur de ;°‘?“°· l°S ‘ lt °h°°S "‘€’l°“‘§„ ‘l°S oisnclaquent; les vieux dixqäuähclcäcm ä S assurer _ , E l'horizon. Q ät! ‘ Sous Vassaut des tempétcs; dans ces grands heufts Oü Semble crépiter tout l'univers, tan- que meurt vent leur piste comme des fantomes. Bientot, sur les pentes l”°°h"S· ““ tumultc $a“Va8° re' J pour montagne qui, bientöt, gémira dis dans les sapins; vers miun couple de grands corbeaux s'interpellait en äpres litude “ frise y ‘~ 1 eg H A E. ni ZA}| ““° ,_ ‘ Y '“ l8UtI'C, Ä |{Q ' -°$¢·*—~?* · tr: vr| |vqewe n Qat ‘jÄty’g~,,„,—¢ q|v t ‘- ;j,*·;<;;_ Ham di l"‘d"°’Sa“°· tem ‘-l“° le Plus f“‘bl° “° Prcndm Pas °P‘ P°‘”‘““ém°“t le large- „’ ‘ _a' a qm °mb’°°h°'“ 3 CI1f0I‘lCCI°? SOII allqu}, dewller ee masseere dans le i „ n I. SalS°nS"' •Ä;‘i>'~T'l; —,T'·1.yn_| ‘—-— T| ,nnn,„ Toutes les tleurs, capiteuses, pcihws ou délicatcs, ont diSparu_ ‘* .5 1eei„1esfer6s.· le cerf Entin, le "maitre de place" s'est deelgne et le, Premier brame plein a roule au-dessus des 34 N° 54 2000 oct./nov./déc. FRANZ WEBER taillis, avant que Non, décidément, cet "étranger" est un adulte bien déterminé. Pour l'instant il cherche les pistes des biches en cassant du bois dans les fourrés. de hauts mugissements — ne déferlent dans la montagne. Le raire a commencé en une sorte de murmure bref et profond, souterrain. "Eueueueu" .. — mi-taureau, mi-lion yeux s'exorbitant de plus en Cinquieme round... leurs Une une poussée, un fracas de un cri, un coup sourd et le maitre du harem est [Ombé Sur [gg ggn()uX_ [jim;-us a fait un bond de cöté cn EESayam dg plgnggr dans le Hang du grand cgyf les tgnjblgg dagueg dg Ses EE- lmmObllC HU mlll€U de la Cl3lI°lÖI°€, le "maltre de place" attend, bien droit, ses voix du monarque la grands bois dressés vers le ciel noir. Ca y est! L'intrus atrouvé la voie royale car un raire de triomphe retentit soudain; il déchiquette tm petit sapin et brame a nouveau. Les biches au long cou se tien- enflée jusqu'ä atteindre la pleine puissance d'un orgue d'enfer et dont la s’est demiere note appuyée est nettement menacante. "Aouououououhl Cela veut que l'approche d'un rival, d'un "pécherche encore son bonheur a gauche a droite, vient d’arracher le seigneur du harem a la nonchalance d'une dire souveraineté paisible et jusque-la in- L'ancien, qui s’est relevé, a tremblé un instant. C’est fini, il est battu. Le grand cerfa perdu de sa raideur, tan- Quand une biche était préte, il la humait puis la léchait longuement — du dos jusqu'au cou — puis la couvrait. Ensuite, il allait boire a grands traits au torrent pour apaiser sa "fievre" et s'endormait entre deux jouissances. Il ne mangeait rien, le rut trompant sa faim. Juste une touffe d'herbe par-ci - un champignon la Le vainqueur, oublieux, s’est vite toumé vers la harde des biches, d'un a fait cercle autour d'elles, puis a bramé sa multiple pnse de postrot allegre montera a la limite des arbres, peau pendante sur sa charpente noueuse, épuisé mais sexuellement calmé. il Durant ces vingtjeurs de "déll¤es"„ eurs perdu quelque trente kiles- Une fois, vingt fois, ils se d'une fantastique traction. sont libérés ll _ Au nom de la vie qui nait, de la vie qui passe- Le "roi" vient de marquer un peu le pas, Comme bien monde paré tous les coups en qu'il ait sant rapidement face. Les Des apprentis si faciles aécarterl fai- Extmit du deux lutteurs hw «L immée muvagen Libmirie dg se sont mis alors a haleter fortement, ”" ‘ vieillesse. entremélés. Pas ¢ll°°re aPPl°lS il m°' duler les huit tons de la gamme amou— reuse; qui, maladroitement, entourent la qlll ll Pllt et le cöte lourdement, la Dans deux semaines, comme ses fréres, _ eux-memes a dévalé en ont craqué. Leurs membres nerveux arc-boutés dans la terre molle, les combattants, apres s'étre poussés a droite et a gauche avec une vitesse folle, ont cherche a se repper dans use ronde meumiere. En un vrai eaneusel, ils ent toumé l'un auteur de l'autre, tous bois en bas ¤¤ 'U¤l<>¤><" qui Veel S'emP¤teP ä See leur de le hatde en Pl‘{}’°§l“al}t le {el ¤<>¤r<>n¤e- Et le dflllphlll {le llell dllll de Ceä J°““°S harde, peureux et mécontents. il comme on descend la pente de session a la face de la montagne. anne brouillés avec seul, sur le découvert et les bois se sont rencontrés avec une telle violence qu'ils pétuation de l'espece! _ Alors ti jailli Mais des femelles, toujours, encore, en veux-tu, en voila et vive la per- Seulemerm dis qu'un profond mugissement est sorde sa gorge. C’est l'incitation au combat! En contrebas, un autre cri a exprimé toute sa rage, dans un bruit de branches frappées et brisées. Alors, comme un boulet de canon, le cerf étranger a par-la. entier. Manquél Un réve. .. „ melles dOui]]c;·S_ nent étroitement serrées les unes contre les autres, sans plus bouger. Une tension formidable étreint l'orée de la forét, comme avant un orage. lerin" qui contestée. flexion, bois, . Cinq nuits apres, plus. George er " l| \ { ' - Geneve Cie, SA, * ‘ l . — „ R e\_' lt —, File M n · ,... L ° J , i.._ er i . tl - ., , G- . tf n 4 l " ‘ · I ‘ ‘ l I ° Ä. e, ea · , · :.:*0 |A __| V| Aprés vingtjours de déIices... x an ·p~«$· ··¢, i ‘ ,,_,| l·_— .>·." nun V- Ä IOURNAL FRANZ WEBER N¤ 54 eet./nev./dee. 2000 35 C8 qllß VOUS devez SHVOi1‘ sur la Fondation Franz Weber (FFW) - FFW concoit et réalise elle-meme _et jusque dans _les_moindres details toutes ses La gnes imprimes mformatifs et publicitaires - ce qui et tous ses lui minimum. permet de redulre ses frais campaau strict La FFW possede son propre systeme informatique et ses propres bases de données. Elle äeelle-meme son fiehler d°adresses et imprime elle—meme_ ses bulletms de versements blus (By Elle évite ainsi le concours onereux d’entreprises specialisées, Son ficher d’adresse est protege a cent pourcent. La FFW ne vend m ne loue ses adresses 51 des tiers. - re I )\. — Le public est régulierement tenu au_ courant des activités et de l’évolution des de la par e Joumal Franz Weber qui public egalement chaque annees les comptes et protets es ilans de la Fondation. FFW _ La F FW'est une fondation humanitaire dans les se_ns des articles 80-89 du Code Civil Suisse. Sa comptabilite est revisee par des organes de controle mdependants. - Le but statuaire de la FFW est la protection, de la nature et de la faune dans le monde entier. Parvos dons, vous soutenez les deux grandes reserves naturelles de la FFW_en Australie et en Afriquc et ses nombreuses campagnes en cours en Europe et notamment en Suisse. - S Ollt€ll€Z letrv°ldlF El 31 E 8 OHdt' 31011 FI°2ll1Z (Fondation Franz Weber, case postale, 1815 Montreux Je Dans I Ü CC qllü iI'()l|V€Z llllllü erl u’iI nc |)1I1'l et francais prénom: Adresse: Nm. et l Ü 20.~ pour moi personnellement Nom ailleu rs I) U"} ll Vi ‘ g allemand Fr. _ CI VOUS HC B1'. 021/964 37 37, Fax 021/964 57 36) commande un abonnement au JOURNAL FRANZ WEBER ä ( |()URl\l/\l. FR/\l\lZWl·IBl·Zl{ V()lIS liI‘CZ - Tel. Wbl E ieeeute; Ü comme cadcau pour i·ir·tissi· ‘ ‘ ‘ ‘ (dans ce cas, veuillez remplir les deux cases d'adresse s.v.p.) que 4 xl un! I Nom etprénom: Adresse: NPL et localité: 4 |)()lI lwudm nsnu Incnß I Je désire devenir membre donateur de I' plus). sciilciiiciit tin Dans ce prix, le la Fondation Franz Weber et verse FS 40.— (ou Joumal Franz Weber est compris. Veuillez mlenvoyer votre bulle- de versement. Talon ä retoumer az JOURNAL FRANZ WEBER, abonnements, case postale, 1820 Montreux ‘ ‘ .l- _ II E E, 36 IOURNAL FRANZ WEBER ~¤ 54 set./nov./dee. 2000 |l * :' ·¤ |die |‘,Ä„g' l' i E- 6 R « ;= , r ,Ü , In j. „— , { , ~_ ‘ na 0 Q | ”\ „Vv-·· „.»· ’·*¢„° ‘ •|,„g• · .• V |' ' ' :·, ” • Q · •¤· ,, 30 9 , |,_ W, gn. 9 · |4., g I Qi,. l n J de „* 6*:} -“’ · nos-1“‘·:€·‘ ‘ *"’ r|eg! •• °, · Ni| tl l li • |‘ _.,·,)4t*, ivlikt 4 fl r Q 4, O| _ ls- ‘ M| ‘ (UI UL In ‘ i ,~ „· A., ~—| ,,,,· ’ · f_’ - ·| E Ey . et ;,;t·.„«.| / ,_ .4 äeil — gi LI Y,|} em; 1"” |—~ _|? _? NNQIAV :3}: ,?~‘i_"; . t ” „,” t ’ "jq, , "·‘ aß| » « ~ lg LES CAMPAGNES ·'~ - en „,, „ ,t gréfs 0* ‘ ·‘·•• |·' 'ilßg/V | 'T D; E- Q, ‘| ” _‘ „' · :?‘| ,| fc| wer ~ V nv .·( q . U ( _ , ~· „•··—~* ·. * nh „—. LEV _ : , l , 3 ‘ ’-··'l · x··s« _,,~h| ··°“ • ,— -·«, r .· (is, . in t ¤. ,,~ .,, fb S? · « — _ . ‘ ‘> · -. an ___· ..’· Ä? wie 2: . r" ~ F| l|d| ”&‘V «*?‘ |·= ==>. „ . . «| ··+<...¢: .| | .. •, - gn; , gs, «:··, (| · _! L , ·· · _ |· "| ,-»·.» •|l Y |» __~- ·· *1*5*, G, q___V ’ ~*' ·— .g.__ _ | ,~ •• » <» {, ..,. l gdß n «.,_ . l { ß rt| n „- 4 - ‘·| · „ ,.-._, L - , Y ‘ ‘~ , , ' e- l · T-E ,. ¢ — • e ,;„t[&Ü . V' _‘ ‘ _ *” @—·- | Jr · i ' __"‘ Fl I ··z ' |s~’ , A ~« ß " ll ‘ ‘ · ,_ |ta, . r| de cette edition limitée et promenez-vous toute une année: Ü gg nr!. I 1” ,« le Ä: COITIITIZIIÖCZ VOtI'C 6X€I‘l’1pl3lI'C · M. ,| uns de nos magmfiques oiseaux d’Europe, V';.| 4/, __ , n Afin de découvrir, saison par saison, quelqueslu lr · le calen- N drier de 1’an 2001 vous surprendra par sa l’ innocence par beauté, sa finesse et ‘”" qui en émane. *| . tw l . ‘,Concu et pemt par Judith Weber, ., . ‘—T - 5* nge'; Ip. ‘· _ _ l :· · , j _j ‘ . , ß , t ·~· W ‘ »"y "7·l ·—*'| Evi I} ‘ · AN 2001 I. · tx, E ··‘ DE E| J cyf- fa Fa , le ‘· if} we ~¤_a„ LE cA1.mm1u1zR E I _' ·: ue? . • i '_ ‘ éesy . ~•’ - fd ;@— fe V " •¢ . “' ,¢“'9—¢tl- · ,.,•, ~ ¤· ,.. , s. , . AV l ‘~ ' . ·‘| "'·| · ° »‘ ‘ 4: tm M i li . ~' ,I ‘ I Q ‘· Ü- — J |”= ' ‘ |Xi-B F . , — ‘ ' ~ o. · *|‘ früh, 4-** ‘ H, ‘ ‘ ;.'Y__ ‘}‘ > I, (rpfi ‘ "l”=‘?"~«ll’<‘=<l| i ‘*?Üi” .| | _ „_ Q W| F Ä: et, ß ’ ’ |l| ir “’ r s ., :IOIIOIIIOOIOOOOIIllOIOIIOIllIIOOIIOOQIIOOIOOOUOIICIOIIUIO-IOOIIIOUOIIOOOIIIIIOIIIIICIIIIIIIOOUIIIIOOOIOOIIIOIIIOOIIIll!IIIIICOQOOOOUOIIIII: Je commande ...... exemp1aire(s) it 40.-Sfr. (port et emballige inclus) é O I ‘ Nom et prénom é [ E 4+ ä I Adresse exacte ä _ 2 . 2 E Code postale, lieu "" _ ‘ “—""’°— 2 S S § • Priere de renvoyer ce talon ä : Fondation Franz Weber - Case Postale - CH- 1920 Montreux i I 5000IOOIOOCUOOIOIOOIIIOOIIIIIIllOlOCIOCIOIIOOCCIOOIOIIOOIOOIOIIIIOOOIOOIIOlIOIIOOIOOOOIIOIOICllIlIIOIOC!IllllIOCOlOIOOOIOIOIIOIIIIIOIIIOIOE ll IOURNAL FRANZ Protection des chutes de Giessb ach par Lar municipalité de Brrenz poursuit gatment son peu glorieux plan de nuisance contre les chutes de Giess- bach. Le 12_octobre 2000, la Commune de Brienz déposait officielle— ment sa demande dans larprocedure d attribution de la concression d ut1l1— sation des eaux du Giessbach pour les Forces motrices Giessbach. Dans oérorrléoaroolo Fondation Grow bach au peuple suisse, Helvetia Nostra, la SA ou Parkhotel Grossbach or M- Fritz Kreis, oiroorour do Vhorol Grossbooh or oitoyoo oo lo commune, forsoroor opposirrorr o oorro demande. los . Me Rudolf Schaller, avocat oü les eaux sont constitutives du pay- ä expiration il y a deux ans avait été attribuée en 1948 dans le seul but dlassurer la réouverture de l’hötel Gressbach. Par la suite, l’usine électrique fut détachée de l’hötel Giess- bach: Elle devmt ainsi des Forces motrices mstallées au mauvais en- sage de maniere prépondérante. Et l’article 22 de la Lol fédérale sur l’ex— ploitation des forces motrices prescrit " que les beautés de la nature doivent etre préservées et que lä oü Vintérét général l’emporte elles soient mainte- droit. nues dans leurintégrité" ° . . . , Quatorze cascades Par decision du Conseil d Etat du gämon dc Berne du. 19 déeembre 502 les chutes de Cnessbach furent mventaire cantonal en mscrite ä de reserve naturelle Nopl 100 céualite associée ä l inter- , L "contro toute atteint na ure es eaux . Dans Vinventaire fédéral des paysages et monuments naturels d’imp0rtence nationale, Giessbagh (Objct No cou emen la n atum déjä, Franz Woher. oo so quel·rté de présldent de Le 18 Septcmbtc 1998 ~ , - · la.Fonqationr Giessbaclri au peuple änäsqbaneait tat ernois, 1 rappe au Conseil rautrsaisir occa- r . . uneexpert1seexhaust1ve,aétudié les chutes·de Oiessbach pour leur qualites paysagiste. Cela vaut la peine de eiter quelques passages de cette des- äliqtiéin errplicitp Rotoor ä . entreprise bernois Srigmaplan, dans _ 1511) est cité en tant q ue " chutes de Giessbach " cription. „ célebres · , r' L r . . er SW"; everleläen {neuere destrucrures es mim E veg€tatw”’ de rehef de sensatzon er d'exp1O'‘t"”0”· Surgl d’une gorge profonde, il dégringole en qnatorze chutes entrecoupées de U article 33 de la Lot fédérale sur la protection des eaux dispose qu’aucune prise d’eau ne peut intervenir la · petites cascades, de bussins et de passages apaisés jusque dans le Zac ärelncgäirqsepodlpr trézxrplirrgtilonttgäuä du tout afin de rendre a la nature le Giessbach en tant que torrent dans sa ee Y Ä de 1; plénitude". / ÜIII l ~ i ‘ J condui-Liiöllk Le prélevement constant de masses d’eau pour l’usine électrique sait en période de chaleurs en un ta- r lr ,r__ t J °i|” A l ·| r i L ”“l rissement presque total des Chlltes et, par conséquent, une atteinte ä la beauté et su pouvoir attiaetirde ruetel Giessbach en matiere d’excur- Jl ‘ JJ . ” „ ' l ,, l|l J |lr! 4 li? , |1- ll L| li| . ‘|4| ~ ° l ¢*" ~ ·• Ä i| ·· U , tigieux non seulement de Suisse mais ‘* ~ ' _ r:Qr_rr.,. r i , o J‘ Le droit domlnant 5 de Brienz ait 1’impudence de déposer une demande de concession témoigne d’un mépris regrettable ä l’égard de l’état de droit. Car rares sont les beautés de la la Municipalité Gi€SSb0Ch.‘ in ew| |M *| i fi |” I i ‘j LG centrale de ·” ‘ ‘ \ J jÄ — · nature qui soient aussi bien protégées par les droits cantonal et fédéral Giessbach. La conccssion Vcnuc ‘ ··‘ ’ ’ °· ” . - sion, atteinte aussi ä l’un des sites naturels protégés parmi les plus pres- Que · l . _ _ r 1,018 ül1[lqllÜé.l 38 FRANZ WEBER Ne 54 oct./nov./dee. 2000 ° I I ._ L | . . g ·} " t 1 |· - J I , ‘ ‘ J J- ,· , J, • ·t| ‘ · ,· rpJI| JT I r ^ JJ · J· J , ‘ ' _ df "I _ A| J rr/I r ~ ».,_ I ‘ II J J , —‘ J J' 4 I J 1/ J ¤. _ {gn,| · V ‘ · Jl , l., „ , J , _JJ J _r ’, rr Jil w ln| J“ | . t„·| |“ . ~„ J "'e J .,| ro U , |J° In t r- „‘ J J ¢’ *a·, · ~ ~ . I I J , J , J f er . Jr In · i J rl g i J IÜI f J . tl| Uno importarn · __,,,·st E ,rn.JJ JJ. ~ rt rr J, · K |’; J . • rr _ ~·| ’ rw ' · · Sigmaplan J J _ JJ - - ,| „ nel, la smgularite J |„ "I‘^C" ..·| J .•, .> l• , ‘ , .L"liJ ~ « $"J IJ , J “‘ ‘ J J do - - J . *J Chores des r „ CIIÜSSIIIICII RIII QIII . , ’ roororo oxooPrron_ , _r le ca- g nait aussi J J., . « I souli- - — WJ Ü‘ J ~ |J |J „J~• ·· ;J ‘ J Jr . .. vl J- .i ‘ lg 4*»J - t , ' - - . ·v• J l . « rv r J l. . . , . ounurono «. „ , QUG J r 4. Jaaa r|r . h-ISt0|'Iql.I6 ~J · J , ‘ jr ;Ir' Ill J , rn „, „J ,4* I| Ap- la region. kobweg, un chemin historique de l’?‘SS“g" et de l’ elerinag e traverse en diagonale le torrent, au-dessus du Grandhötel. De surcroit, le complexe hötelier, par ses aménagements intérieurs et exterieur, est d e I om 1, un 9 exemples ddone installades drormors “ ton OIG i“cm t ¥pIqLIe IIII,€.po ue. ,q De tels Grandhotels furent eriges en nombre lors de 1 epanouissement du tourisme dans la deuxieme partie du .. 19e sieclc (Belle Epoque) et cela dans des paysages plems de charmes, a cent lieues de villag es co aussi bion I I dans . · |§'J*‘ J II; , partient aussi a cette smgularite la valeur historique et culturelle: le Ja- · . rr Q , comme umqucs . - » · . r-|¤‘·‘-;g|,r_j·l,, s’1m osent allier successifs, elles 2| |J Jr°J In J austeres des fjords norles diques. Certes les chutes de Giess. bach ne sont pas les seules dans Ia region. Cependant avec Ses 'quatorze JJ w JJ TJ| |.' lÄ|‘| · , évoque lac ‘ • traits forte humrdrré de la frarcheur J -JI _1· Giessbach au-dcssus du De meme de men/. - faut la replacer dans son cadre, le de Brienz. Cette region avec ses pents de montagnes abruptes couverts de denses foréts et les chutes de , „ , J , ularite. lac bien accousrrqueo men! qu 0pt1que— , ( r 7* *·J ~«— . gerd $*5 J r r . sm uel de re situer cette ll . Jl’t tt Ep fr/rerrm . . , A J J J „ JJ J r ‘ ~ tance historique et cu1turelle.: mm · J . . J EI en am 0m‘äi(m so ume nom so view mm/rehier le mom de [gay L6 Giessbach parle aux Sem aussi de . ,, , 5 · |Ä l JJlr te I I g' ‘ I.€xC€pII9" bruzts a' avzons de [ace mmrarre la . a son im p or- et se réferait . perceptibles. ’ A J II .;. J ment . _ , , " *‘ ·‘ . , |J IJ ,·J de Suisse aisé- sont . -r IJ l’eau ‘ Ä · |J ' sont parmi les 15 les plus marquan- J’ "‘· . R. S. d’Europe et parmi les 5 les plus romarquablos I tes Tuyaux désuets er disgracieux de Brienz. De nombreux bancs de rochers modelentle reliefetoblige les flots a un parcours en etages. En relation avec les saisons et du claimat, . ~ ‘ rr E W E - • „ JI |. J. |' i · ·J J tw| ·i· J • y ,.| ' „ R JJ .· _ I · JJ nf ,,| r J lt-| j rr E __| 4 Q,| L I FE •~ { r, J tr r UJJ II r _.r rr J J lrqil |J |7| I I J · , _,| I I II" Jr.| rn., _, J J rr JI Q . rr J J r J fJ “ ltr {ll JJ| ‘- . J J‘ Ä r nn,,,_·;rE-ro; |.|J , J ,· r|.|,|,r|l—t , =“| · J JI M, R ,7* ,->,,.|‘:nli¤,Jl*·J|J w ,.. JJ Jau an rr I I J r ‘ I qu’il s’agit.la d’un _ r I . wtrrg J |V_ r |J ‘J resse. L’eau torrentueuse en elle-méme, les embmns, la vaporisation et les sombres replats des rochers endiamantés renforcent l’impresseon E r Jr '· " été et pendant des périodes de séche- ‘ I r T; I ¤j_ rr '· I I V J- _; J„/ |J|J . écumant au printemps et apres une averse ou clair et glissant l’affieI‘e- rr IF., " J J J ___r_ r or le torrent est tres different: blanc VJ , , » WV| .. r ‘ r J-_ ;v · imposant torrent. .,| _, _ r “ „p¤•,u,, •, _’ ner; ‘ J Sur des paliers intermédiaires se sont creusés de vastes marmites et des élargissements. Lä se rassemblent de gros blocs et des pierres de formes tres variées ainsi que des troncs d’arbres entrainés par le courant. Lä le courant se ramifie provoquant dans cet espace réduit des courants contraires et de rapidites antagonis« s • „ tr ‘ . _ _ |ll ,« Q _ I r I J - _.JJ . I M ·“ Ö - _ J ,_ I I I _ , J' r J .I I r, I, r r r if; ”_ ' I ‘I JJ| TI _ — „„, Ä , \| lr J s . }*"*| ·; IJ tes-, _J’* Qt ,r IJ I J ·.,; IV I ‘,III | ‘ I , . I r Y ‘ Les jeux des ombres et des lumieres, 1 z le degre eleve du vrombissement naturel, dll souffle et des Culbl.lt€S de ~ _ I I°JJ J |:1* «—«¤ I r I r rr _ .. r —_“'_r‘I J , • , . ,,_« _ _ II I I J |JJ A, JV ’I IIIL J| · r;II‘“"J* _, J · · ‘ ~ J · l Tuyauxäciel ouvert: doublemem vulnérables lors des 8randes temPétes d’aujourd'hui i Vl IOURNAL FRANZ WEBER N¤ 54 oe:./nov./dee. 2000 39 I Grandhotel G16 ssbach PROGRAMME DE SAISON 200 1 0 0 ZE , {Ü Ä} SV EVBNEMENTS CULINAIRES ET BALS ,,LE DIMANCHE CULTUREI.“ l Samedi, 28 avril, 18.30h Bal des actionnaires Fr. 99.-- par personne, tenue de soirée 13 mai, 16.30h Vladimir Tchinovsky (de l’école Yehudi Menuhin) et Tobias Schabenberger, concert pour violon et piano Dimanche, 13 mai, ll.00h - l5.00h Brunch de printemps avec I’ensemble ,,La Danza" Magnitique buffet brunch a Fr. 65.-- par personne (coupe de bienvenue et boissons chaudes incluses) Classique et Romantique en 27 mai, l7.00h 3. T _ _ Samedn 19 m*“»_l8•30h | le mas blanc V°fl°“V‘Va" Apéritif, musique, chansons d’opérettes viennoises, divertissements et buffet de gala PM P°VS°““°· tenue de Solréc Samedi• 2l juillet, ,,Féte 18.30h . _ I , 8 juiuet |I café, 6 45h Sl C es C - une vue infonventionelle sur mumquc cspagno C , |Jdgäliitöggfgvlgtch et Son ensemble Cosaque chants d’églises et chansons folkloriques Samedi, 15 septembre, 18.30h Bal d’automne ,,Le mystere du manteau vert" Une soirée avec Sherlock Holmes Ä l* 5 aoüt, l6•45h __ _ _ Kammerensemble Ars Amata Zurich, quintet de cordes dc gala V Samedi, 20 octobre, 18.30h „Bal des années fblleS“ Apéritii musique, spectacle, grand buffet de gala " " Fr, 190.-- par personne, tenue de soirée folle l 1 pl 2 septem bre, 17. 00h Ensemble Miroirs Berlin, quartet de piano Membres de l’Orchestre Philharmonique de Berlin ll M ig 16 septembre, 16.30 Rencontre avec des femmes d’eau un projet musicale et littéraire V Diners de gala romantiques Table d’höte au‘Salon vert Jeudi, 12 juillet, 16 aoüt et 20 septembre A Diner de gala aux chandelles dans le- Salon Davinet 120-- par tenue de soirée l 1 Ens§n?blejClamo ‘ A . _ Ä; beaucoup de amour et musique Brunch d’été avec I’ensemble ,,La Danza" Magnitique buffet brunch a Fr. 65.-- par personne (coupe de bienvenue et boissons chaudes incluses) Il 16.45h ,,Café froid?“, curiosité avec V Apéritif, musique, divertissemcnt ct buffet Fr. 150.-- par personne, tenue de soirée • le., junllet, , Dimanchc, 19 mot, lllooh _ 15.00h l • } „ 2a;d.té;,é2iS°‘r°° Jmles lB°?d' ··GQÄ‘m“%°’&. p ri 1 , anse, spec ac e e magm ique u et d,été Fr. 195.-- par personne Tenuc dc soirée — ,,Dress to impress!“ , Juni l7.00h 10 juin, 16.30h pour les trois sens", Orchestre de Spiez _ FV- l60-·· „ ' Ich hab,manch Lied geschrieben... Musique et poésie, E. Regenass-Nussbaumer, P. Ragaz, Ch. Rüegg l _ Bal °°LOVS€l¤€ Duo Claude Starck, violoncelle et Urs König, piano ii Q V 30 septembre, 14.30h H Théätrc de marionngttgg „[)aS Zanberbnclw un conte de et avec E. Egu und P. zundei i i ii Qi ll Pour tous les événements, nous vous recommandons de réserver le plus rapidement possible pour de ping amples information sur nos l l mcms culmmms it concert S 7 octobre 20_30h Sqiréc Jazé ßophisticatcd Lady,. ‘ B"g" E“‘“°’°' V°°‘*‘l“” ‘“‘d"‘°“‘*‘ & Bam sais, événe- adresse}- l L’ Gr¤¤dh¤¢¢l G*¢¤¤b¤¢h· 3855 B¤¤¤z Fax 033/952.25.30 „ ll „ ~ il grandhote}/giessbach_ch .1;; vi lxv TTV l ENSEMBLE LUDUS Bern ä nouveau chez nous Dimanche: 17 juin, 12 aoüt et 23 septembre l6.00h Concert de l’ascensi0n, jeudi, 24 mai, 2l.l5h avec Barbara Tanner, piano et S1em Huysmann, violoncelle . . al. lv Fr. l'l45.--, CD de Fr. E Q J.; „ Cours de pelnture avec Madame Vera Krebs, Bem, Dimanche, I6 ä dimanche, 22 septembre 2001 abä' ij · ll *, Tél. 033/952.25.25 - ~ l'025.-— par pers., DP inclus 7 |I()URNAL FRANZ Waisen t' Grandhotel Giessbach Q (tl); également pour la qualité et la diversité de ses événements culturels. Notre hötel aimerait vous les faire connaitre mieux encore. Ainsi, chaque dimanche de concert, nous vous proposons nos magnifiques chambres ä des prix absolument uniques est célebre Chambres <<nostalgique>> et <<romantique>>„ p 1 double Sfr. 150.- Simple Sfr. Chambres 90.- <<bellevue>> et suites double Sfr. 210.- Buffet petit-déjeuner, service, taxes et TVA inclus II1fOI°1T1&ÜO1”1S et 1°€1’1S€lgI'1€II1€I'1tSI Grandhötel Giessbach, 3855 Brienz Tél. 063/962.26.26 - Fax 033/962.26.30 E—mail: grandhotel/giessbach.ch, website: vvvvw.giessbach.ch