Décembre - Secteur Pastoral de Palaiseau

Transcription

Décembre - Secteur Pastoral de Palaiseau
SOMMAIRE
Page 1
Edito,
Il est venu, il va venir.
Page 2
Page L.V.V..
Page 3
Rencontre avec le
Père P. Daveau
Pain bénit
Page 4
Pain bénit (suite)
Quelques nouvelles de
Marseille.
Page 5
Vivre et aimer
Page 6
Les journées d’amitié
Les Covenant players
Page 7
Notre premier pélerinage
Second cycle à Taizé
Page 8
S’informer sur l’Islam.
Nos joies nos peines.
Page 9
Prière
Coloriage.
Page 10
Calendrier.
Il est venu.
Il va venir.
« Encore un peu de temps.
Très peu de temps... » (Isaïe 29,17)
La parole transmise par le
prophète Isaïe est sans ambiguïté : le jour du Seigneur est proche. Il l’est
aussi pour nous, aujourd’hui, alors que, dans quelques jours, nous
entrerons dans la joie de Noël. Si le Sauveur est déjà venu, il va encore
venir, et sa venue, d’une certaine manière, est à la mesure de notre attente
et de notre espérance.
Le Sauveur est venu. La fête de Noël traduit la réalisation de la
promesse de Dieu. Elle dépasse l’attente d’Israël. Dieu se donne lui-même
en nous envoyant son Fils. Il entre dans l’histoire de son peuple. Il rejoint
la marche de l’humanité en lui donnant son véritable sens.
Le mystère de l’Incarnation nous conduit d’abord à la contemplation
d’un enfant qui nous est donné. Dès lors, comment ne pas voir en chaque
petit enfant, fragile et vulnérable, le visage du nouveau-né de Bethléem ?
Comment ne pas penser à ces petits jetés dans les guerres voulues par les
grands, à ces petits qui meurent de faim… et à ceux qui ne naîtront
jamais ?
Le Sauveur va venir. La rencontre avec le Christ n’est pas de l’ordre
du passé mais du présent et de l’avenir. Le Seigneur est toujours devant
nous, prêt à venir demeurer en nous, à condition de le vouloir. Cette
période de l’Avent qui s’achève, si nous en comprenons bien le sens, nous
rappelle que nos vies sont prises dans un mouvement d’attente permanente
du Sauveur.
Dans le prologue de son évangile, saint Jean nous révèle que
le Verbe « est venu chez les siens, et les siens ne l’ont pas
Paroisse Saint-Martin de Palaiseau :
reçu » (1,11). Aujourd’hui, sommes-nous en mesure d’accueillir le
5, impasse de la Terrasse
Sauveur pour le révéler à l’humanité qui est nôtre ? Sommes-nous
01.60.14.01.83
en mesure de manifester la Bonne Nouvelle à ce monde
01.69.31.27.85
contemporain qui semble être en proie à toutes sortes de
[email protected]
tourments ?
Paroisse Saint-Michel de Palaiseau :
Plus simplement, sommes-nous en mesure de fêter Noël
45, rue de l’Effort Mutuel
autrement, comme nous y invitent les représentants du conseil
01.60.14.11.44
d’Eglise Chrétienne en France, en faisant preuve de plus de
Paroisses de
lucidité, en manifestant plus d‘espérance et en œuvrant pour plus
Lozère-Villebon-Villejust :
de fraternité ?
5 rue Charles Péguy
Vous le voyez, le Sauveur doit encore venir et sa venue n’est
01 60 10 33 83
pas près d’être réalisée !
[email protected]
http://secteurpalaiseau.free.fr
Sainte fête de Noël à tous !
PAROISSES-INFOS - journal des paroisses de PALAISEAU - VILLEBON - VILLEJUST
Responsable : Père Juvénal RUTUMBU avec les équipes animatrices.
Père Pascal DAVEAU
Nous vous présentions dans les précédents numéros de Paroisses-Infos les équipes
animatrices de St-Martin puis de St-Michel, aujourd’hui c’est :
L’Équipe Animatrice de L.V.V.*
Daniel Doré
Catherine Yolle (Saint-Julien de Villejust)
Miche Durand
(Saints-Côme et Damien de Villebon)
François Danis
(Saint-Sébastien de Villebon)
Christian Bedel (Notre-Dame-de-la-Nativité de Lozère)
Laurent et Véronique Loth (Notre-Dame-de-la-nativité de Lozère)
*Lozère-Villebon-Villejust
Journée de rencontre paroissiale L.V.V.
dimanche 12 octobre
autour du château de Breteuil
Chaque année, après les vacances d’été, les quatre clochers de St-Julien (Villejust), Notre-Dame-de
la-Nativité (Lozère), St-Sébastien et St-Côme (Villebon) se réunissent pour une marche de partage, c’est
l’occasion de se retrouver ou de se découvrir.
Notre périple a débuté par la traversée du parc, nous avons pu admirer son aménagement
harmonieux et ses pièces d’eau.
Nous nous sommes retrouvés devant l’église de Choisel blottie dans le joli vallon du ru d’Ecosse.
Le curé de Chevreuse a mis à notre disposition l’église pour la célébration de l’eucharistie par le Père
Daniel Doré.
La cérémonie a débuté par un cantique de circonstance : «Seigneur nous arrivons des quatre coins
de l’horizon ».
Après la messe, le groupe composé d’une cinquantaine de participants avec de nombreux jeunes
enfants, a repris sa marche : visite du lavoir de Choisel, aperçu du château de la Madeleine, montée à
travers bois jusqu’au château de Méridon et retour à Breteuil par le pittoresque village de Herbouvillers.
C’est à regret que nous nous quittons après cette belle journée de partage et de convivialité. Le soleil était
non seulement dans le ciel mais aussi dans les cœurs.
Toutes les photos de cette journée (56) sont visibles sur le site : http://paroisseslvv.spaces.live.com/photos/
Les enfants marchent tout en jouant
A 13 h : repas partagé autour de l’Orangerie
du château
2
Après midi : à la grande joie des enfants
spectacle de cape et d’épée et visite.
Rencontre avec le Père Pascal DAVEAU
Dans ses numéros précédents, Paroisses Infos vous a présenté deux des
nouveaux prêtres qui auront en charge les paroisses Saint-Martin–
Saint-Michel et de LVV, les Pères Juvénal et Daniel. Aujourd’hui, nous
avons rencontré pour vous le Père Pascal Daveau.
Père Pascal, Mgr Dubost vous a nommé pour trois ans
dans le secteur de Palaiseau. Où étiez-vous affecté ces
dernières années ?
J’étais responsable du secteur de Savigny-Viry. C’est un
gros secteur de plus de 70 000 habitants, avec une grande
proportion de population immigrée, et qui englobe des
quartiers sensibles comme une partie de la Grande-Borne.
Autrement dit, c’est un secteur fort différent tant par le
nombre d’habitants que par sa composition sociologique
du secteur de Palaiseau, et tout particulièrement du soussecteur de Bièvres-Igny-Vauhallan (BIV), que le Père
Juvénal m’a demandé d’accompagner.
Etes-vous originaire du diocèse d’Evry ?
Non, je viens du diocèse de Versailles. J’ai passé toute ma
jeunesse à La Celle-Saint-Cloud, dans une famille
chrétienne, entouré de trois sœurs. J’ai effectué toute ma
scolarité à Versailles, à l’école Saint-Exupéry. J’ai ensuite
exercé une activité professionnelle dans le domaine des
assurances, une tradition familiale.
Votre vocation vous est-elle venue de cette expérience
professionnelle ?
Non, j’avais l’idée de devenir prêtre depuis ma petite
enfance, idée qui a été confortée par le témoignage de
l’aumônier de l’établissement. Il est assez fréquent
maintenant que l’on n’entre pas au séminaire directement
après le bac. Je suis donc rentré à Issy-les-Moulineaux,
pour un premier cycle de deux ans pour le compte du
diocèse de Versailles. En entrant en second cycle, j’ai opté
pour le diocèse de l’Essonne. Je passais mes week-ends
dans une paroisse d’Evry (c’était avant la cathédrale) ; on
m’y avait confié l’accueil, et après mon ordination
diaconale, j’ai célébré beaucoup de baptêmes et de
mariages.
En quelle année avez-vous été ordonné prêtre ?
Mon ordination a eu lieu à Longpont, en juin 1984. J’ai
passé 6 ans à Etampes, 6 dans le secteur de Montlhéry
(Longpont). J’ai ensuite été responsable du secteur de
Longjumeau pendant 4 ans, puis du secteur de Savigny–
Viry pendant 8 ans. Je pense qu’au travers de mes divers
ministères, j’ai appris à connaître la plupart des domaines
d’une vie paroissiale. J’ajouterais que j’ai toujours désiré
être prêtre en paroisse, à la base. J’en apprécie la variété,
donc la richesse. Et je me trouve très bien loin d’Evry !
Comment voyez-vous votre action dans le secteur ?
J’habite au presbytère de Bièvres, et je suis plus
particulièrement en charge des paroisses de BIV, mais
comme les Pères Juvénal et Daniel, je préside des
assemblées dominicales dans le reste du secteur, environ
une fois par mois. C’est une fréquence qui me semble
compatible avec la continuité que demande une
communauté paroissiale. J’accompagne donc l’équipe
animatrice de BIV, maintenant unifiée. Pour ces premiers
mois, j’ai besoin et envie de découvrir cette communauté
fort différente de celles que j’ai connues auparavant.
En équipe pastorale, nous nous sommes répartis les
différentes responsabilités. Dans le cadre de la réforme de
la catéchèse, je voudrais réunir les équipes de préparation
au baptême et les équipes de catéchistes, non pour tout
uniformiser, mais pour élaborer si possible un projet de
secteur. Cela devrait aussi permettre à chacun d’exprimer
ses difficultés et ses points forts, et ainsi d’aider les autres.
Je suis aussi aumônier des scouts et guides de France du
secteur, c’est-à-dire que j’accompagnerai les chefs et
répondrai à l’invitation de rencontre des jeunes sur le
terrain.
En dehors de vos activités pastorales, comment vous
détendez-vous ?
J’aime beaucoup lire, dans de nombreux domaines. Je
profite de la proximité de Versailles pour participer à sa
vie culturelle. Et je suis aussi un bon marcheur. Les
occasions ne manquent pas, car … j’ai un chien.
Propos recueillis par Bernard COUTIN
Le Pain Bénit
Du pain béni, cette
expression est courante, et parfois peu
flatteuse. C’est pain béni pour…, cela
signifie que le donateur involontaire a
bêtement offert sur un plateau à ses
adversaires des arguments qu’ils vont
utiliser facilement contre lui. En ce
moment dans les journaux sont
mentionnés quasiment tous les jours
de tels pains bénis. Oublions-les. Le
vrai Pain Bénit prend un t et il est
d’o rig ine re lig ieu se, surtou t
chrétienne.
Le pain est depuis très
longtemps en région européenne ou
méditerranéenne un aliment essentiel
et quasiment sacré. Toute une
s ymb o liq u e y e st a t ta c h é e .
3 des miracles du
L’Evangile décrit
Christ comme la multiplication des
pains, et lui-même est pain de vie, qui
s’offre pour notre salut et que nous
retrouvons dans l’Eucharistie.
Dans les premières églises chrétiennes
de l’Orient et de l’Occident, les fidèles
apportaient eux-mêmes les oblats, le
pain et le vin qui allaient devenir le
corps et le sang du Christ à la
Consécration pendant la messe. Les
fidèles étaient généreux (en ce temps
là ?) et le prêtre ne consacrait pas tout.
Les restes de pain non consacré,
appelés aussi eulogies, étaient bénis,
partagés et consommés par les
membres de la communauté en signe
d’amour fraternel et sanctifié, voire
apportés à des absents qui ainsi
participaient tout de même un peu aux
grâces dont ils étaient privés.
Cette pratique a été critiquée et par
moment interdite, sous les carolingiens
par exemple, car on craignait que des
fidèles ne fassent une confusion avec
le pain consacré - l’Eucharistie. Mais
elle est réapparue un peu partout. En
France les anciens se rappellent
qu’assez couramment on bénissait et
distribuait du Pain Bénit aux messes
du dimanche. Chaque famille de
quelque importance offrait le pain à
tour de rôle. Avant l’Epître le plus
souvent, deux enfants de chœur
apportaient à l’autel le pain – souvent
des couronnes – sur un brancard qui
servait aussi aux processions du 15
août. Un troisième portait un cierge
allumé. L’officiant récitait une prière
de bénédiction, aspergeait (un peu
seulement…) le pain d’eau bénite. Il
était distribué souvent assez vite, mais
il fallait le garder et ne le manger
qu’après la communion. Ou mieux, on
le distribuait à la sortie de la messe.
Les fidèles, qui jadis jeûnaient
rigoureusement avant la messe, étaient
heureux de reprendre des forces,
surtout que le boulanger s’attachait à
faire un pain brioché délicieux.
Le Pain Bénit a donné lieu dans toute
la chrétienté à de nombreuse variantes
et coutumes. Citons seulement celles
de Noël en Pologne. Juste avant le
repas de la Veillée de Noël, un petit
morceau de pain azyme est partagé
entre les convives. La coutume est de
souhaiter alors à tous les meilleurs
vœux pour l’année qui vient, en se
pardonnant mutuellement. C’est le
signe du lien très fort qui les unit et
l’émotion est intense. Le grand poète
Cyprian Norwid (émigré, mort à Paris)
l’a décrite ainsi :
Il y a, dans mon pays, la coutume que
la veille de Noël, quand la première
étoile se voit dans le ciel, les gens d‘un
même foyer partagent ensemble le
pain de la Bible en se transmettant par
ce pain les sentiments les plus subtils.
Le Pain Bénit est pour l’Eglise un
sacramental, une coutume pieuse qui a
la vertu de nous rapprocher de nos
frères et de Dieu – on disait jadis, de
nous faire obtenir le pardon de nos
fautes vénielles ou tout au moins de
nous y disposer. Et puis c’était
sympathique. Alors, si on
recommençait de temps en temps ?
Elisabeth Nienaltowska
et Jean-Noël Lhuillier
Quelques nouvelles de Marseille...
Aux lecteurs de « Paroisses-Infos » j’adresse mes salutations ensoleillées des rivages de la Méditerranée.
(Je vous rassure, il pleut aussi, et souvent quand il fait meilleur chez vous d’après les infos météos que je peux suivre… Et il peut faire très frais ici aussi, surtout quand le mistral s’y met.)
La paroisse St-Giniez m’a bien accueilli. Avec 2 autres prêtres, nous assurons une vie liturgique importante
(5 messes par WE, une et parfois deux messes de semaine). Par contre, peu d’enfants au catéchisme (mais il y en
a beaucoup qui vont dans les écoles privées) : 60 enfants pour 4 années. L’éveil à la foi n’attire pas beaucoup, malgré les belles propositions qui sont faites. L’aumônerie des collèges – lycées est excentrée sur une autre paroisse,
et assez autonome (locaux indépendants), donc pas de professions de foi ni de confirmations à ma paroisse. J’ai
toutefois de bons contacts avec des lycéens, puisque je suis aumônier du lycée ND de Sion.
La paroisse publie un journal mensuel qui me donne l’occasion d’écrire des éditos ou des articles de fond.
Cette année, on aborde souvent St Paul. Nous allons faire un grand pèlerinage paroissial (44 places) sur les pas de
St Paul en Turquie fin avril prochain. Les préparatifs nous feront travailler sur le Nouveau Testament, mais aussi
l’histoire de l’Eglise (Le ‘Credo’ a été écrit dans cette région avant le 4° siècle) et l’œcuménisme.
Les paroissiens sont d’une grande diversité de milieu social même si la dominante est assez aisée, et d’origines géographiques variées (30 % de « vrais » marseillais de longue date). Les mutations professionnelles font aussi qu’il y a pas mal de nouveaux arrivants et de départs chaque été. Je découvre aussi le milieu maritime (officiers
de la Marine Marchande ou de la « Royale »), et du grand commerce vers l’Afrique ou l’Asie.
La Communauté de l’Emmanuel locale est bien impliquée dans le diocèse (7 prêtres dans 3 secteurs paroissiaux), et on la retrouve souvent dans les domaines de l’animation liturgique, de la formation (couples et familles) et
de l’évangélisation. Il y a une certaine vie de secteur avec les paroisses voisines et les autres communautés locales : patronage, Eglise Maronite, Mission Espagnole, religieuses Clarisses, Hospitalières, etc. Les confrères sont
accueillants et prêts à une certaine entraide.
J’adresse déjà tous mes bons vœux de Noël à tous et à toutes, gardant encore bien profond dans mon cœur
tant de visages et de souvenirs de mes années à Palaiseau, et vous assure de ma prière au Seigneur pour que
l’Eglise en Essonne autant qu’à Marseille transmette toujours
4 autant la lumière de l’Evangile de Noël.
Père Jean-Christophe LEURENT
LA PASTORALE FAMILIALE
En 2009, un forum des mouvements de la Pastorale Familiale sera
organisé à Palaiseau. ‘’Paroisses Infos’’ donne la parole, à partir de ce numéro, à
ces mouvements, présents sur le secteur… aujourd’hui Vivre et Aimer…
Sur les conseils d'amis, nous sommes allés suivre une session de 48 heures, organisée
par le mouvement Mariage-Rencontre, aujourd'hui VIVRE et AIMER. Ce week-end a
réveillé notre amour et notre enthousiasme l'un pour l'autre. Avoir un regard positif sur
son conjoint, aborder ensemble les sujets de tension, s'écouter avec le cœur, choisir d'aimer, dans la
confiance... ; autant de thèmes et bien d'autres ont été abordés pendant ce week-end par les animateurs
suscitant réflexion et échange chez les couples participants.
30 ans après, notre vie est toujours "éclairée" par ce week-end. Même au milieu des difficultés, nous
savons que notre amour est bien vivant et qu'il est le plus fort. Jour après jour nous construisons notre route
ensemble…
Jeannine et Michel Descaves
Vivre et Aimer propose 2 types de week-ends à l’issue desquels différentes propositions de suivi
sont faites…
Le WE Vivre &Aimer
Pour qui ? pour les couples qui veulent donner un nouvel
élan à leur amour et le fortifier.
Pour quoi ? Pour se donner un temps privilégié d’échange
en couple, relire le chemin parcouru, découvrir une nouvelle façon de communiquer.
Comment ? Les témoignages de 3 couples (et un prêtre
quand c’est possible) basés sur les faits de vie concrets
alternent avec des temps de réflexion personnelle et
d’échange dans le couple, la personnalité et l’intimité
des couples sont respectées.
Les thèmes abordés : La connaissance de soi, de l’autre,
l’écoute et la confiance, la communication, la sexualité,
la réconciliation dans le couple, vivre notre sacrement
au quotidien, la place du couple dans la société et dans
l’Eglise
En pratique : Régulièrement des week-ends ont lieu à
Villebon-sur-Yvette (maison des Lazaristes), ils commencent le vendredi à 20 h et se terminent le dimanche
à 18 h. Participation pour frais d’hébergement et de
repas.
Ils l’ont vécu et témoignent : ‘’ On nous donne une clé,
on peut la prendre et la conserver avec précaution
comme un objet précieux ou alors on peut s’en servir
pour ouvrir des portes jusque là inconnues et continuer
à avancer...‘’
‘’les problèmes, les réalités de notre vie, tout cela n'a pas
changé, mais notre relation a été renouvelée, vivifiée,
comme si elle passait du noir et blanc, à la couleur…’’
‘’depuis ce week-end, malgré les aléas de la vie, nous sommes habités tout au fond de nous par la confiance et
l’espérance… nous y reconnaissons le signe de l’amour de
Dieu pour nous….. ‘’
Le WE Amour et Engagement :
Pour qui ? Pour les couples qui vont se marier (à la
mairie, à l’église) ou qui hésitent encore à s’engager,
qui veulent approfondir leur amour …
Pour quoi ? Pour se donner un temps privilégié d’échange en couple…, se poser les questions importantes pour l’avenir, réfléchir à la construction de leur
couple et les aider à s’engager dans une relation
adulte et responsable.
Comment ? Les témoignages de 2 couples basés sur
leur vie, faite d’exemples concrets alternent avec
des temps de réflexion personnelle, d’échange dans
le couple et de partage en petits groupes.
Les thèmes abordés : la connaissance de soi, la
confiance, la communication ouverte, l’écoute, la
sexualité, le pardon et la réconciliation, l’ouverture
aux autres… le mariage comme sacrement. Ils peuvent percevoir que leur amour est un signe visible
de l’Amour de Dieu pour les hommes. Les personnes
incroyantes sont invitées à prendre conscience que
leur amour est une force qui les fait vivre et grandir.
En pratique : Ces
week-ends sont
donnés
également à Villebonsur-Yvette
(maison des Lazaristes)
aux
mêmes horaires
que
pour
le
week-end
Vivre et Aimer.
Contacts et renseignements sur le secteur : 01 60 14 11 17
5
Association Vivre et Aimer : 03 83 70 81 42
Mail : [email protected]
Site : http://www.vivre-et-aimer.org
Un nouveau visage pour les journées d’amitié
Comme nous vous le laissions entendre dès le début de l’année, et compte tenu des personnes qui désiraient se retirer, les journées d’amitié devaient évoluer. Et c’est bien ce qui s’est passé. On peut le dire,
l’après-midi du samedi a été « révolutionnée » et beaucoup plus animée que par le passé, grâce à un spectacle présenté par les Covenant Players sur le thème du « Respect », et plus particulièrement destiné aux
jeunes, aux tout jeunes et à leurs parents. Gros succès tant par la participation interactive acteurs – spectateurs, que par le buffet qui a suivi, approvisionné entre autres par les membres de l’aumônerie. Ce sont ainsi 150 personnes qui se sont régalées tout en participant dans une bonne mesure au résultat financier de ces
journées. Il y a bien longtemps que cette demi-journée n’avait pas été aussi animée.
Le dimanche a été plus classique, avec le point fort du déjeuner : l’excellente paella (servie par les
scouts de France) appréciée par 150 personnes également dans une ambiance toujours aussi conviviale a
été suivie aussitôt par une série de sketches sur le thème du « Respect ».
Les divers stands (produits portugais, cartonnages, bar entre autres) ont permis d’obtenir un résultat
final de 4500€, un peu en retrait par rapport aux deux dernières années.
Que tous ceux qui ont participé à l’installation et à l’organisation de ces journées, parfois depuis des
mois et en toute discrétion soient ici vivement remerciés, et parmi eux permettons-nous de citer Isabelle,
Marie-Blanche, Odette, la nouvelle équipe du bric-à-brac, la famille Maes, qui nous prête en toute
confiance son véhicule pour les gros transports …(liste non exhaustive bien sûr) !
Raymond Le Texier et Bernard Coutin
Les covenant players
Sur 9 enfants, 5 étaient présents à la représentation :
Christophe, Damien, Gabrielle, Joanna et Paul. L’impression générale
est enthousiaste, seul un enfant est réservé. Par opposition à ses
camarades qui, au début, ne savent dire que : « C’était super ! », lui,
du coup, affirme : « C’était nul ! » Nous allons nous efforcer, donc, de
formuler les choses avec un peu plus de finesse.
« On se reconnaît » dans les situations imaginées, « C’est la
vie de tous les jours », voilà pour eux des éléments positifs. Mais
surtout, le côté interactif a séduit : « On ne s’ennuyait pas », disentils, sous-entendant que les mêmes pièces, jouées exclusivement par
des acteurs, les auraient probablement lassés. Ils se remémorent
avec plaisir certains gestes ou paroles, ceux qu’ils ont eus eux-mêmes quand « tous les hommes »,
puis « toutes les femmes » ont été appelés à se lever, ou ceux de leurs camarades sur la scène
(scandant « Hô-pital Ur-gence» par exemple). L’enfant critique a, lui, déploré que cette interactivité
impliquant naturellement des enfants qui ne savaient pas leur rôle, a enlevé du rythme aux saynètes
et doublé les répliques, dites par un acteur, puis par un enfant.
Enfin, le côté « leçon de morale » de chacune des pièces ne leur a pas échappé, mais a été en
général bien ressenti. Aucune pièce n’a été unanimement préférée ni moins aimée.
M.H. Larrouturou
"J'ai aimé lorsque la jeune fille - qui avait été attaquée - a crié "Au secours, j'ai mal Aie". Pour les
enveloppes surprises, j'ai tiré le numéro 100 et j'ai gagné un livre de "Blanche-Neige". J'étais très
contente. J'ai aussi pu serrer la main du prêtre. J'ai mangé trois délicieuses
clémentines." (Kalaivaani 9 ans et demi).
J'ai aimé les spectacles, les pizzas et les acteurs déguisés en koala. (Gaël Cubillé 9 ans)
J'ai beaucoup aimé la pièce avec Anna et la boîte à jeux. Surtout quand Anna a répondu qu'elle
avait encore envie de jouer avec, même si c'était défendu !!!
J'ai aussi aimé la pièce où Jade était attaquée par trois
voyous. Elle était ensuite emmenée par Samy à l'Hopital… Je
suis contente d'avoir gagné une poupée en porcelaine.
(Albane Baron 8 ans).
J'ai adoré les petites pièces de théâtre qui étaient très
amusantes et instructives. C'était la première fois que je
venais à cette fête. Ma maman et mon frère étaient très
contents. Mon frère Olivier est monté sur la scène. (Manon
Legou- 9 ans).²
6
Catéchuménat
Notre premier pèlerinage…
Ce sera Vézelay. Mais où
est-ce ? Qu’y fait-on ? Comment
cela se passe-t-il ? C’est vrai que
beaucoup de questions se posent.
Et puis d’abord, qu’est-ce qu’un
pèlerinage ? Pour y répondre, rien
de mieux que l’expérience. De
toutes manières, nous sommes
catéchumènes
ou
néophytes,
nous sommes là aussi pour
découvrir. Nous voilà donc une
quinzaine
de
personnes
au
départ, à St-Martin de Palaiseau.
Après une lecture et une prière,
nous recevons une ‘carte de
pèlerin’, à faire tamponner sur les
lieux que nous allons visiter. Et
voilà déjà des réponses à nos
questions : à la basilique de
Vézelay, on prie Marie-Madeleine,
la première à avoir vu Jésus
ressuscité. Et cette basilique se
trouve au Sud-Est de Paris, à
environ
150
kilomètres
de
Palaiseau, sur le chemin qui mène
à St-Jacques-de-Compostelle.
D’où la déduction : faire un
pèlerinage, c’est quitter le lieu où
l’on vit pour se rendre ailleurs,
sur un site de recueillement et de
prière.
Nous
quittons
donc
Palaiseau en direction de Vézelay.
A la différence de nos ancêtres,
nous utilisons la voiture, c’est
bien plus rapide. Mais nous
profitons quand même du voyage
pour discuter, réfléchir à ce
qu’est un pèlerinage.
Une autre réponse vient
pendant
ce
temps-là :
un
pèlerinage, c’est un temps de
réflexion, sur soi, sur la foi. C’est
un cheminement physique, mais
aussi et surtout un cheminement
de foi, dans son coeur.
Pour se mettre dans l’esprit
de cheminement physique, nous
faisons la dernière partie du
voyage à pied. Pour cela, nous
laissons les voitures à Asquins,
une ville en contrebas, plus
ancienne encore que Vézelay.
Nous y visitons l’église, qui est
tout en bois à l’intérieur. De très
belles fresques anciennes sont
conservées dans la sacristie. C’est
impressionnant de voir ces
peintures de près, sans vitre. Au
cours du pèlerinage, tout est
comme ça : sans vitre. On
rencontre des gens, simples,
vrais, et on réfléchit, on prie,
sans artifice, sans protection
aussi. On tombe les masques.
Bien que la basilique soit
sur les hauteurs, la marche n’est
pas
si
difficile,
et
c’est
allègrement que nous arrivons
sur le parvis. Après un repaspique-nique, nous visitons la
basilique. Dans cet édifice est
synthétisé tout le catéchisme que
nous connaissons, mais en relief.
Tout y est représentatif d’une
idée, d’un texte, que ce soient le
tympan, le nombre de colonnes
dans le chœur, les bas-reliefs sur
les piliers… La visite est faite par
l’un des frères qui vit à Vézelay,
de la confrérie des frères de
Jérusalem.
Avant
le
repas,
nous
assistons aux vêpres. C’est très
solennel, tout y est psalmodié.
On se sent un peu à l’écart, mais
cela n’empêche pas la prière.
Après le repas du soir, une veillée
nous aide à comparer les textes
de
la
Bible
avec
leur
représentation dans la basilique.
Finalement, c’est avec bonheur
que nous gagnons nos couchages,
bien
plus
chauds
que
la
température ambiante dehors et
dans la basilique.
Le lendemain, avant de
petit déjeuner, nous assistons
aux laudes. C’est assez inhabituel
pour nous, qui allons à la messe
vers 11 heures, mais cela resserre
les liens de notre groupe dans la
prière. Après le petit déjeuner,
nous
rencontrons
le
frère
Clément, qui nous explique la vie
dans le monastère de Vézelay.
Les
frères
de
Jérusalem
travaillent dans le monde civil le
matin, puis se consacrent au
monastère
l’après
midi.
Ils
s’occupent
des
visites,
de
l’administratif, tout en ayant de
nombreux temps de prière. Le
parcours
du
frère
Clément
provoque des questions diverses
et variées : sur l’amour de Dieu,
les relations que nous avons avec
Jésus, jusqu’où nous pourrions
aller avec lui… Et en même temps
des
interrogations
sur
la
combinaison de la passion pour
le football du frère Clément et de
sa vie monastique.
Finalement, après la messe
dominicale et le repas, nous
quittons Vézelay. La fatigue se
fait sentir, mais les discussions
redoublent dans les voitures,
signe que le pèlerinage a été
productif en réflexions.
Un grand merci aux
accompagnateurs, pour le temps
et l’énergie déployés pendant ce
week-end de prière et de vie en
communauté.
Anne-Sophie et Emmanuel
Durant les vacances de Toussaint, nous étions 13 jeunes du second cycle à partir
à Taizé pour partager pendant 3 jours la vie en communauté. Nous sommes arrivés sur
place bien fatigués après une marche de trois heures.
Le matin, nous avions la prière à 8 h, suivie du petit déjeuner. Ensuite, les jeunes
de 17 et 18 ans faisaient le ménage pendant que les 15/16 ans avaient une rencontre
avec Frère Maxime puis des carrefours.
A 12 h 20, la prière et juste après, le repas où on pouvait tous se réunir.
L'après-midi, nous étions libres jusqu'à 15h15. Les 15/16 ans rejoignaient ensuite Frère Maxime
tandis que les 17/18 ans partaient en carrefour.
A 17 h, goûter et juste après carrefour facultatif. Vers 19 h 30, souper puis prière et temps libre.
Nous avons fait plein de rencontres de gens de différents horizons. Nous avons pu beaucoup prier.
Merci aux animateurs (Alain-Marie, Camille, Yolaine) et à tous ceux qui ont permis ces quelques jours.
7
Ce fut une expérience fantastique !
Lucie
S’informer sur l’Islam…
Une invitation faite par le service des relations avec
l’Islam. Nous étions une petite dizaine à avoir répondu
à l’appel et nous ne l’avons pas regretté !
La responsable du service, Hélène Dixmier a su
répondre à notre attente..
Tout d’abord en nous donnant quelques points de
repères sur l’histoire et les fondements de l’Islam (le
Coran, les cinq piliers …) après que chaque participant
eût dit ce qu’il en connaissait.
En nous présentant ensuite le monde musulman
d’aujourd’hui :
- comme un monde éclaté, il y a des « islams » et
des « musulmans », il faut donc apprendre à connaître
à quel musulman nous avons affaire.
- comme un monde en crise, le modernisme pose
problème dans le pays d’émigration comme dans le
pays d’origine.
- comme un monde où Dieu est partout, inséparable
de la vie quotidienne, le politique est inséparable du
religieux.
En soulignant ensuite les points communs entre
chrétiens et musulmans :
Nous sommes les uns et les autres des croyants :
nous croyons en un Dieu créateur et miséricordieux.
Nous croyons à la conversion, au jugement dernier et à
la résurrection.
Puis en nous informant de ce qui se vit dans les
groupes de réflexion et d’échange « islamo-chrétien »,
on y veille à tenir compte de tout l’inconscient collectif
qui habite aussi bien les musulmans que les chrétiens.
On y applique aussi les règles nécessaires pour un vrai
dialogue : on ne compare pas, on ne juge pas ; on
écoute l’autre exprimer sa foi. On ne « débat » pas,
mais on se pose des questions, il ne faut pas avoir peur
de se dire. C’est ainsi que l’on apprend à connaître
TION
FORMA
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n
i
a
S
E
Anné
l’autre et par là, à le respecter.
En conclusion, nous avons été invités à écouter et à
respecter l’autre comme croyant, en évitant toute
certitude catégorique et dogmatique, mais en nous
laissant enrichir par ce qu’il dit sans avoir peur de dire
notre foi de chrétien.
Voilà une rencontre qui m’a incitée à regarder
autrement l’Islam et m’a donné envie d’aller plus loin…
sur un sujet, ô combien d’actualité !
Danielle Belin.
A lire, la déclaration finale conjointe du premier
séminaire catholico-musulman.
Rome le 6 novembre 2008. (zenit.org).
Service Diocésain
des Relations avec l'Islam
Vous propose une conférence à deux voix
Mgr DUBOST, évêque d'Evry-CorbeilEssonnes
M.Larbi KECHAT,recteur de la mosquée Adda'wa
Rencontre de l'autre croyant, chrétien ou musulman,
rencontre de Dieu
Dimanche 4 Janvier 2009 de 17 h à 19 h
Salle de Conférences (entrée Cathédrale d'Evry)
M.Larbi Kechat est recteur de la mosquée Adda'wa
(Porte de la Villette)
Sa vie spirituelle est intense. Il est fervent partisan du
dialogue, pensant que l'autre croyant est un reflet de
Dieu . Il combat farouchement l'ignorance et l'injustice.
Participation libre
Contact : 01 69 06 44 53 / 06 75 72 78 93
[email protected]
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Nos joies , nos peines, en
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Sainte passe de la T
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Baptêmes : Guillaume RAMETTE, Mathieu et Zoé
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NIVEAU, Chloé BOUCHET, Aubin DUDERMEL-LE BIHAN, Jade LARIOL, Randy RAVELOJAONA,
Thomas CORIDI, Julien MAAS
Mariages : James COLAS et Sandrine CORIDI
Décès : Germaine ROUGEOT, Claude JACQUIN,
Serge PECASTAINGS, René CHRISTMANN,
Roger LE BORGNE, Paulette BAZZICONI, Ilidio DA
SILVA SILVESTRE.
PRIERE pour la paix
S
eigneur, je te rends grâce d’être venu naître
Au cœur du monde pour donner un sens
À la longue marche de tes enfants :
A ta suite, nous sommes en route
pour construire la paix
Dans la vérité et la justice,
dans l’amour et la liberté.
Mgr Desmond Tutu
9
à colorier
Messes de Noël
Veillée de Noël, le mercredi 24 décembre
17 h
18 h 30
18 h 30
19 h 30
20 h 30
21 h 30
22 h
22 h 30
23 h
à Notre-Dame de Lozère
à la chapelle de l’école St-Nicolas d’Igny
à St-Michel du Pileu
à St-Julien de Villejust
à l’abbaye St-Louis du Temple à Limon
à St-Martin de Palaiseau
à St-Sébastien de Villebon
à St-Martin de Bièvres
à la Clarté-Dieu à Orsay
Jour de Noël, jeudi 25 décembre
9 h 45
10 h
10 h 30
10 h 30
11 h
à Sts-Côme et Damien de Villebon
à l’Abbaye de Limon - Vauhallan
à-Sts-Rigomer & Tenestine de Vauhallan
à St-Martin de Palaiseau
à la Clarté-Dieu à Orsay
DECEMBRE
Dimanche 14
Lundi 15
Mardi 16
Jeudi 18
18 h
20 h 30
20 h 30
10 h
20 h 30
Vendredi 19 20 h 30
Samedi 20 14 h 30
17 h
20 h 30
Lundi 29
20 h 30
JANVIER
Lundi 5
Mercredi 7
Jeudi 8
Accueil au centre pastoral Ste-Geneviève
Permanences du Père Juvénal RUTUMBU
le jeudi de 18 h à 19 h 30 et le samedi de 10 h à 12 h.
Secrétariat : du lundi au vendredi
de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 h à 16 h, fermé du jeudi 25
décembre au vendredi 2 janvier inclus
Accueil au presbytère de Lozère
Permanences du Père Daniel DORÉ
Vendredi de 17 h 30 à 19 h
POSSIBILITES DE CONFESSIONS
Jeudi 18 décembre de 16 h à 21 h Père Juvénal au centre pastoral
Vendredi 19 décembre 17 h 30 à 19 h Père Daniel Doré, presbytère de Lozère.
Samedi 20 décembre 9 h 30 à 11 h 30 Père Pascal Daveau à l’église de Bièvres.
Lundi 22 décembre 17 h à 18 h Père Pascal Daveau à l’église de Bièvres.
Partage et Prière à l’oratoire St-Joseph.
Prière de Taizé à N.D. de Lozère.
Préparation au mariage au centre pastoral Ste-Geneviève.
Célébration de Noël (avec étapes de baptême) de l’école Ste-Jeanne-d’Arc à St-Martin.
Soirée Espérance à N.D. de l’Assomption de Verrières le Buisson.
Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin au centre pastoral Ste-Geneviève.
Préparation au baptême (St-Martin), au centre pastoral Ste-Geneviève.
Concert de Noël à St-Martin (cf page 8).
Cabaret chantant à St-Sébastien de Villebon.
Prière de Taizé à N.D. de Lozère.
20 h 30
10 h
20 h 30
20 h 30
20 h 30
Samedi 10 14 h30
14 h 30
16 h
18 h 30
Dimanche 11 18 h
Mardi 13
9 h 30
Samedi 17 16 h 30
18 h 30
Dimanche 18 13 h
Lundi 19
20 h 30
Prière de Taizé à N.D. de Lozère.
Comité de rédaction de Paroisses-Infos.
Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin au centre pastoral,
Soirée Espérance à Saint-Martin.
Préparation au mariage au centre pastoral Ste-Geneviève.
Catéchèse pour la confirmation à St-Michel.
Préparation au baptême (St-Martin), au centre pastoral Ste-Geneviève.
Goûter des familles des baptisés de l’année (Lozère/Villebon/Villejust) à la salle paroissiale de Lozère.
Messe animée par l’aumônerie à St-Michel du Pileu.
Partage et Prière à l’oratoire St-Joseph suivi d’un dîner.
Réunion des équipes funérailles de secteur, salle St-Vincent, centre pastoral Ste Geneviève.
Eveil à la Foi au centre pastoral Ste Geneviève.
Messe des familles à N.D. de Lozère.
Repas paroissial partagé à la salle paroissiale de Lozère.
Prière de Taizé à N.D. de Lozère.
Vendredi 23 19 h
20 h 30
Samedi 24 18 h 30
Samedi 31 17 h
Réunion de l’équipe de préparation au baptême et formation du Père Guérin, centre pastoral
Préparation au mariage au centre10
pastoral Ste-Geneviève.
Messe des familles à St-Michel.
Assemblée Générale de la paroisse St-Michel suivie de la messe puis du repas paroissial.

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