Sommaire - Zhi Rou Jia
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Sommaire - Zhi Rou Jia
"Je ne suis que le lieu où se révèle celui qui m'habite…" Luis Ansa Sommaire 1. Quête de sens : Le Savoir, selon Luis Ansa… (pages 2 à 6) 2. Programme & infos du mois : Tout sur vos formations 2013-14 (p.7à 8), vos retraites & ateliers en Bourgogne (p.9à10), vos cours, stages & ateliers à Paris et en province,... (page 11) 3. Nouvelles du monde: «ex movere» ; solo chorégraphique à Brive, par & avec Marie Artaud, « L’écriture du monde » de Dominique Cartier, Éd. F. Bourrin & Tatami Confort ; plus de confort pour plus de pratique… (pages 12 à 13) Très cher(e)s ami(e)s de Zhi Rou Jia, Voici venir le mois de mars & son cortège de giboulées et d’éclaircies éclaboussées de lumière. C’est aussi la joie de savourer le retour progressif de la lumière & des premiers moments de douceur. Je profite de ce bel élan pour vous faire découvrir ou redécouvrir une magnifique conversation entre deux vieux amis. Il s’agit d’une part de Henri Gougaud, écrivain, poète, conteur & chanteur français/Occitan & d’autre part de Luis Ansa, peintre, conférencier & écrivain argentin de mère indienne. Très jeune celui-ci a été initié au chamanisme au Pérou, en Bolivie et au Mexique. Son initiation et ses aventures extraordinaires et truculentes sont relatés avec un immense talent d’abord dans «Les Sept plumes de l’aigle » écrit par Henri Gougaud & ensuite dans « Le secret de l’aigle » rédigé par Luis Ansa lui-même. Ce deuxième ouvrage se clôt sur une série de conversations entre les deux amis, sur des thèmes chers à Luis Ansa. Le premier entretien évoque le « Savoir » du point de vue de l’expérience de Luis Ansa. Ceux qui connaissent bien « l’École du développement de la douceur » retrouveront, j’imagine, un certain nombre de similitudes entre nos deux démarches… Henri Gougaud : Cher Luis, parlons du savoir. Luis Ansa : Dans ces conversations, Henri, vous allez m’amener à vous expliquer des choses que j’ai laissé longtemps travailler à l’intérieur de moi. Parce que le savoir est une chose, mais - à cause de mes origines et de mes mémoires – le savoir m’intéresse moins que le savoir-faire. Je crois que la compréhension est un état dans le vivant, et ce vivant ne peut être coagulé, stratifié ou cristallisé. Il est en permanente évolution. Je me méfie de la compréhension mentale des choses. Pour parler de la ligne de travail dont je viens, il faudrait réinventer presque tout le langage. Mon langage est inadéquat parce que je parle à la fois avec le langage rationnel et le langage du sentir. Le mental ne peut pas l’accepter. Pourquoi ? Parce que le sentir est une dilatation de l’organisme & le mental est la réduction de tout à des concepts. Ce sont deux modes tout à fait différents. H.G. : Cela étant posé, je crois qu’il faut partir de la base, comme vous le faites toujours, c’est-à-dire d’être utile aux gens. Il va s’agir pour vous de nous dire comment notre terre intime et avant même d’ailleurs que nous n’entreprenions de la cultiver, de nous aider à en faire état. L.A. : La chose essentielle qu’il me semble devoir éclaircir en premier lieu, c’est le principe à partir duquel se sont construits les êtres dès l’enfance. La plupart de ceux que j’ai rencontrés en occident manquent d’enracinement. Ils sont comme des bateaux ivres, secoués par les vagues de la vie, les chocs qu’ils subissent, les propos qu’ils écoutent… Dans la tradition amérindienne, la première chose que l’on apprend à l’enfant, c’est qu’il est un fils de la terre, qu’il doit respecter la Pacha Mama. Le premier centre de l’homme c’est la Terre sacrée. Non pas la Terre promise, la Terre sacrée, celle que l’on a sous les pieds. La terre est là, ce n’est pas une promesse, c’est une évidence ! H.G. : C’est à dire de la matière palpable. L.A. : De la matière palpable créée par le Créateur. Mais ne prenons pas le créateur pour un taré ! Aurait-il créé une matière dont Il serait absent ? Non, il est là, Lui ! Dans le mystère de la matière, dans les secrets organiques du corps. Mon corps est la maison de Dieu. La cause principale des problèmes psychiques et émotionnels de l’occidental réside selon moi dans le fait qu’il vit dans une négation presque totale de sa matérialité et donc du vivant de son propre corps. H.G. : Il faut donc apprendre à devenir l’ami de son corps… L.A. : L’ami, c’est cela. Pas le proxénète. H.G. : Écouter ses besoins, ses désirs… L.A. : Exactement, & non pas avec sa tête mais avec ses sens. H.G. : Il est symptomatique en effet que c’est par ce que l’église a appelé les « parties honteuses », c’est à dire le sexe que passe, la Création divine. L.A. : C’est ça ! Ce lieu extraordinaire de valorisation de la matière, ce centre de force créative que les Hindous appellent le deuxième chakra, a été complètement nié. Or il est capable de produire un autre être humain dans le mystère de l’incarnation. Un autre être humain qui n’est ni bancal, ni privé d’intelligence, de vision, de perception ou d’émotion. Un être humain complet avec des capacités colossales, avec des dons énormes et avec des captations de mémoires qui viennent d’ailleurs…Tout cela dans le centre de la matière, par la copulation, pas dans le centre de l’intelligence. Rûmi, ce grand maître soufi, a écrit : « dans une goutte de sperme, il y a l’univers ». Les corps, quand ils font l’amour, rendent grâce à la vie, ils l’exaltent. Mais l’église a fait du sexe un lieu de chute, de punition. Elle a culpabilisé cette chose si noble, si intime, qu’est le plaisir. Pourquoi le petit enfant cherche-t-il à se masturber ? Parce que c’est une mémoire qui lui revient : il provient d’un acte de plaisir. Et ça au lieu d’avoir été géré, a été puni par des menaces : tu vas devenir sourd, ton nez va pousser, tu vas devenir aveugle ! H.G. : Donc, une grande partie de notre incapacité, de nos tares finalement, de nos peurs, de nos angoisses aussi, vient de la répression, dès l’enfance, de la sexualité, du plaisir et de la sensualité. L.A. : De l’affirmation de la prédominance de l’intellect sur les sens. Alors que les cinq sens sont un moyen d’appréhension d’une réalité cachée, d’une mémoire cosmique, galactique, universelle. Un moyen d’approche du vivant. Manger sa nourriture, par exemple, non pas d’une façon mécanique, mais avec une reconnaissance du mystère du goût, des saveurs… Un jour, j’étais avec un indien au bord d’une rivière. Il mangeait un épi de maïs bouilli. Il m’en avait donné un, aussi. D’un coup, il s’est mis à rire la bouche pleine, je voyais sa bouche rempli de jus blanc & il m’a dit : « Tu sens le lait de la Mère ? » J’étais sidéré. Pour moi jusque-là, « la mère » c’était ma mère, et là soudain – ce n’était pas mental - mes cellules saisissaient qu’il parlait de la Mère Terre. Nous étions en train d’extraire de ce maïs le lait de la Mère Terre ! Une mère aux mamelles énormes ! « Goûte, goûte, le lait de la Mère ! me disait-il. Il est temps que tu saches qu’Il est partout, Lui ! ». Vous voyez Henri, c’est une alchimie qui se pratique à tout moment dans la vie ordinaire. Cet homme mangeait pour nourrir son corps, il mangeait pour le plaisir et, en même temps, il commémorait. H.G. : C’est-à-dire que l’occidental qui cherche Dieu se trompe de direction. Il ne faut pas le chercher au ciel, il faut le chercher sur la terre ! L.A. : Voilà ! Cet indien m’apprenait à accueillir l’autre côté… le lait de la mère ! Non pas manger en me disant « je suis en train d’extraire le lait du maïs » mais en mangeant, me placer dans l’état de captation amoureuse. L’amour, ce n’est pas un mot – « je t’aime, tu m’aimes »-, c’est une énergie qui vous donne la possibilité d’entrer en contact avec la magie, avec le mystère de la vie. Non pas pour le résoudre, mais pour le goûter. On ne peut pas résoudre le mystère, mais on peut le goûter, le sentir, on peut le toucher. Il permet tout cela, le mystère. Il permet la caresse. Comme un chat, il se laisse caresser le pelage. Le mystère adore être caressé. H.G. : Donc, vous diriez que nous occidentaux de cette fin du XXème siècle, sommes plutôt des infirmes ! L.A. : Infirmes ou handicapés. L’état dans lequel nous passons le plus clair de notre temps se situe à un niveau de vibration très bas que l’on appelle conscience ordinaire ou sommeil éveillé. Nos réactions partent d’un centre situé dans la partie émotive de notre personnalité. H.G. : L’ego ? L.A. : C’est ça ! La conscience ordinaire subit passivement les impacts extérieurs. Elle a d’abord été formée par les informations que nous transmettent les sens : le chaud, le froid, la distance, les proportions, les sonorités… Ensuite elle a été façonnée, dans sa partie émotionnelle, par des croyances, sous forme de préceptes, de dogmes, de promesses ou de menaces. Elle est soumise au mental inférieur, qui est un réducteur… Il est difficile à la conscience ordinaire de se détacher de cet état de dépendance. H.G. : Il arrive cependant que l’on ait des contacts avec un état de conscience « éveillé ». L.A. : Au-delà du mental, il y a ce que Hegel appelle le supra-mental & que les indiens nomment le Grand Esprit. Le Grand Esprit peut agir lorsque le mental est calmé. Le chaman est un allié du Grand esprit. Il est en état constant de relation amoureuse. Le chaman ne regarde pas un arbre en attendant que l’Esprit y descende. Il le regarde pour informer l’Esprit que c’est dans le bois qu’il va descendre. Ça se passe instantanément car son mental inférieur, qui sait que c’est du bois, il l’utilise comme un associé. Mais le Grand Esprit ne descend pas simplement parce que vous restez tranquille : « Eh, Jojo ! Descend ! » Il descend ou il ne descend pas, d’ailleurs ! Mais lorsqu’il descend… Est-ce le Grand Esprit qui descend dans la matière ou le Grand Esprit caché, tapi dans le mystère de la conscience humaine qui se révèle ? C’est là la grande joie ! H.G. : C’est le mystère de l’arbre aussi ! L.A. : Il y a une espèce d’explosion dans l’arbre. L’arbre sait qu’il est arbre, l’homme sait qu’il est homme. Il y a transparence. Il y a un seul et même instant. H.G. : Vous dites que le chaman utilise le mental inférieur comme un associé. Il ne s’agit donc pas de le mépriser. L.A. : Pas du tout. Le mental inférieur est un excellent ouvrier, un excellent outil pour explorer le monde. Il sélectionne, analyse, classe dans des listes, dans des formes. Pour pouvoir s’ordonner lui-même. Pour se véhiculer lui-même. Pour savoir par exemple que la rivière a des profondeurs différentes, qu’on ne peut pas marcher sous l’eau, que le corps est plus lourd que l’eau… Oui, pour tout cela le mental inférieur est parfait. Mais il faut admettre qu’il a des limites. Son lieu est le temporel. Il n’est pas dans l’éternel, dans l’infinitude. Il ne faut pas lui permettre de s’aventurer dans des lieux, où, si l’on veut, il perdrait pied et se noierait. Il ne peut pas pénétrer dans le domaine de la prémonition, de l’intuition pure, de la raison objective, de la captation. Pour cela, il manque d’éléments. Le mental inférieur, dans son impuissance à atteindre l’infinitude et la totalité, crée des ersatz. S’il accepte son impuissance, il tombe dans la foi sentimentale, il renonce à la pensée, il tente d’atteindre par l’émotion seule, un semblant de savoir. S’il refuse son impuissance, il nie tout. Il rejette cette globalité qu’il ne peut englober, comprendre, appréhender. Or, l’intemporel qui vit en nous voudrait parfois nous faire sentir que nous n’appartenons pas uniquement à la matière, au temporel. Il voudrait nous dire que nous venons d’ailleurs et que nous allons vers un autre ailleurs. H.G. : Cependant, dites-vous, lorsqu’il est à sa place, le mental inférieur est un très bon serviteur. L.A. : Exactement. S’il est livré à lui-même, il n’est qu’un serviteur qui se prend pour le maître. S’il est relié, s’il est au service du seigneur, il est noble. Il peut servir d’intermédiaire, de messager. Mais si l’on évoque le « serviteur de Dieu », qui parle de Dieu ? Ce ne peut être le mental inférieur, car je ne peux approcher de Dieu que par mon intuition sensitive qui constitue un des aspects du supramental. Si le mental inférieur est dans le croire, l’intuition sensitive elle, est dans le savoir. Attention, il ne s’agit en rien d’un savoir possessif, il s’agit d’un savoir ancré dans l’absolu. Le mental inférieur a besoin de preuves, l’intuition sensitive ne se soucie d’aucune justification ni d’aucun raisonnement. H.G. : Nous avons donc un mental à deux niveaux. Mais comment passer, si je puis dire, du mental inférieur au supra-mental ? L.A. : « Passer » est un terme impropre. Il faut une préparation. Si vous branchez un appareil de 110 volts sur du 220, il claque. Si vous nourrissez un bébé de six mois avec du steak haché mélangé avec de la moutarde, vous risquez de le tuer. Tout réveil prématuré, par la drogue par exemple, ou par des expériences chamaniques inopinées en pleine Amazonie, est extrêmement dangereux, parce que ceux qui s’y livrent, poussés par l’avidité, entrent en contact avec des choses qui sont d’une autre fréquence, très haute. Il faut procéder par une espèce de progression palliative. Il faut chauffer les câbles, renforcer les connexions. Sinon, c’est de la folie. Le mental inférieur ne peut pas passer de 110 à 220 volts sans transformateur. Or qu’est ce, en l’occurrence, que le transformateur ? C’est l’amour. L’amour peut ce que le mental inférieur ne peut pas. L’amour peut vous dilater jusqu’à vous mener à percevoir que vous êtes non seulement une personne, mais une personne à l’intérieur d’un lieu, et que ce lieu est encore vous-même. Je parle de l’amour pur, de l’amour fécondant. Le seul qui puisse donner naissance à cette nouvelle personne, en chacun de nous, qui sera capable d’entrer en contact avec le principe supérieur, l’absolu du supra-mental. H.G. : Les chamans enseignent cela ? L.A. : Ils l’enseignent de plusieurs façons, mais pas avec des mots… Un jour, sur le Titicaca, nous étions le Chura et moi, sur un petit radeau et je laissais aller ma main dans l’eau. Le Chura qui fumait une cigarette, me dit : « C’est dommage que tu ne puisses mettre que la main.» H.G. : Que voulait-il dire ? L.A. : Toujours la même chose : « C’est dommage que tu ne puisses pas te laisser aller comme tu laisses aller ta main.» Ma main, je la laissais flotter, je regardais ailleurs… Alors la main joue, parce qu’elle n’est plus sous votre contrôle, elle se laisse faire par l’eau. Mais dès que vous la regardez, le mental intervient et vous séparez la main de l’eau. H.G. : Le Chura vous disait aussi, « rentre dans la pierre », « rentre dans la nuit »… L.A. : Oui, pour les chamans, il s’agit toujours de pénétrer les choses. Au fond ce sont des taupes creusant des tunnels dans la matière. Ils creusent des tunnels afin d’habiter la matière. Ils vous mettent au boulot pour vous faire sortir du « penser » et rentrer dans le sentir. Le sentir est une dilatation de l’organisme et le mental est la réduction de tout à des concepts. Ce sont deux mondes tout à fait différents. Le mental ne peut pas décrire le goût d’un baiser, la chaleur d’une approche. Il ne peut pas les décrire de façon exhaustive. C’est dans le vécu des choses qu’il y a la vraie histoire du corps, et le corps est un immense radar des tons vibratoires dans lequel le ton vibratoire de la pensée occupe une certaine place, mais pas toute la place. H.G. : Vous distinguez je crois, trois sortes de pensée… L.A. : Oui, la pensée du monde ordinaire, mécanique, contient trois niveaux : la pensée comparative, la pensée cumulative et la pensée possessive. La créature qui vit sous leur emprise secrète des angoisses qui s’ankylosent jusqu’à former des kystes où s’enracinent le mal-être et la maladie. S’informer, apprendre, avoir des titres, des diplômes, être reconnu… Nous nous privons de la grâce pour avoir le mérite. Cessons de vouloir le mérite, cessons de résonner en termes de récompense et de châtiment. Plongeons dans la grâce. H.G. : La peur est un obstacle… L.A. : C’est d’eux-mêmes que les gens ont peur. Pourquoi ? Parce qu’ils ne se reconnaissent pas le droit d’exister. « Mon père m’a nié, ma mère m’a nié »… Ce sont des paramètres que l’on nourrit en soi au lieu de se dire : je ne suis plus un enfant, je suis un adulte, je vais assumer ma souveraineté propre et être libre de ce fléau que constitue le jugement des autres sur moi. Le premier travail de celui qui se dit sur le « chemin » est de vaincre sa peur. Peur de se libérer de ses opinions. Peur de changer le niveau où opère sa conscience et d’être privé de repères. Peur de perdre des droits qu’il pense avoir sur autrui, surtout dans la relation à l’être aimé. Peur enfin de perdre des prérogatives purement fantasmatiques, car elles n’existent qu’à l’ombre de cette sorte de réduit qu’il croit être le monde. Il faut savoir que nous pouvons, si nous le voulons, pénétrer dans un royaume magique à l’intérieur de nous-mêmes, animés par la force de l’amour qui nous aime. Et voici maintenant, privilégiés avec vous… nos rendez-vous Pour commencer, découvrez, Toutes les formations que vous pourrez venir suivre ou poursuivre avec nous saison 2013 – 2014, et notre calendrier des séminaires de chacune d’elles. durant la Vous pouvez télécharger la plaquette & les dossiers d’inscription à la page form ation de notre site : zhiroujia.com La FORMATION QI GONG – NEI GONG – Ar.Mo.Es : Elle s’adresse à des pratiquants ayant 2 ans d’entraînement régulier minimum ou à des enseignants désireux de donner un nouveau cadre à leur pratique. Quelles que soient vos motivations, enrichissem ent personnel ou perspectives professionnelles, vous trouverez dans ce premier cycle de formation tous les outils nécessaires à l’approfondissement de votre pratique. Prépare aux examens fédéraux. 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À Paris, au D ojo Tenchi ; 5 w eek-end (samedi – dimanche), les 28 & 29 septem bre 2013, les 23 & 24 novem bre, les 05 & 06 janvier 2014, les 29 & 30 m ars, les 03 & 04 m ai LA FORMATION TAIJI QUAN & NEIJIA QUAN (xingyi quan, bagua Zhang) Cette formation est destinée à ceux qui désirent approfondir et élargir leur étude du TAIJI QUAN et des NEIJIA QUAN (arts martiaux internes) afin d’embrasser leur corpus très riche et souvent méconnu. Au-delà des styles et des écoles, Zhi Rou Jia vous propose une ouverture vers ce qui fait l’essence de l’ensemble de ces arts martiaux internes, c’est-à-dire ce qui les rassemble dans un esprit naturel et spontané. Sém inaires à Paris, au Centre d’Arts Corporels Génération Tao, les 16-17 mars 2013, 15-16 juin 2013, au D om aine du Taillé (Ardèche) du 19 au 24 août 2013 En Bourgogne, près d’Auxerre… Le MASTER QI GONG – NEI GONG formation post-graduée en 2 ans : (2 è m e année, accessible seulement aux participants de la saison 2012-13.) 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Ateliers en Bourgogne, en février/mars Ateliers mensuels de TAIJI QUAN, Samedi 23mars 2013, À Bligny sur Ouche, Avec Jean-Michel Chomet, salle des sports de Bligny sur Ouche Ateliers de 3h00 de 14h à 17h sur le thème : « L’essence du Taiji Quan : au-delà des styles (Yang, Chen, Liuti, Wudang, …) ; une étude approfondie » Prochains ateliers le 13 avril, 25 mai, 22 juin 2013. Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 05 91 À Bligny sur Ouche, le vendredi 29 mars 2013 Avec Laurence Cortadellas, salle des sports de Bligny sur Ouche Ateliers mensuels (réservés aux femmes) de 2h30 de 19 h à 21h30 sur le thème « Prendre soin de soi au féminin » Prochain atelier, le 10 mai 2013. Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 28 71 À Bligny sur Ouche, le vendredi 22 février 2013 Avec Laurence Cortadellas, salle des sports de Bligny sur Ouche Ateliers mensuels de 2h30 de 19 h à 21h30 sur le thème « Régénération naturelle, conscience corporelle & Qi gong - Nei gong – Ar.Mo.Es. » Prochain atelier le 31 mai 2013. Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 28 71 Pour télécharger la plaquette générale ou les plaquettes spécifiques des cours, ateliers, retraites & stages, retournez sur le mail de présentation que vous avez reçu & cliquez directement sur les pages « ACCUEIL » ou « AGENDA ». Afin de préserver l'environnement, merci de n'imprimer ces documents qu'en cas de nécessité !... Stage à Paris, en mars Les 16 & 17 mars 2013 , avec Jean-Michel Chomet Séminaire pour tous : « Liuti Taiji Quan (2) – Le Taiji du Corps Fluide» Prochain séminaire de Nei Jia Quan à Paris : 15 &16 juin juin 2013 Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 05 91 Atelier à Paris en mars Le dimanche 24 mars 2013 avec Laurence Cortadellas, (9h00–12h00 & 13h00-16h00) Au centre Génération Tao, 144 bd de la Villette 75019, M°Jaurès ou Colonel Fabien Thèm e : Avec l’arrivée du printemps, voici venir le temps d’éveiller et d’étirer nos corps assoupis et engourdis par le froid hivernal. Dans cet atelier, nous allons partir à la découverte de notre corps d’un point de vue tendino-musculaires. Tout en douceur nous allons explorer, activer & défroisser…En suivant la courbe ascendante de l’énergie printanière, voici que nait la joie de sentir la vie vibrer pleinement & librement. L’atelier se développe dans la perspective d’une VISION : Ar.Mo.Es., l’Art du Mouvement Essentiel qui se base sur une recherche d'unification de l’esprit & du corps par le mouvement naturel, le lâcher respiratoire et la construction du corps d'intention. Prochain atelier : 12 m ai 2013 Thème : Rencontrer et honorer les qualités de la Terre… Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 28 71 Stage à Toulouse, en mars les 30 & 31 mars 2013 , avec Jean-Michel Chomet Séminaire pour tous : « Le Corps Fluide dans le style Yang » Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13 92 05 91 Pour télécharger la plaquette générale ou les plaquettes spécifiques des cours, ateliers, retraites & stages, retournez sur le mail de présentation que vous avez reçu & cliquez directement sur les pages « ACCUEIL » ou « AGENDA ». Afin de préserver l'environnement, merci de n'imprimer ces documents qu'en cas de nécessité !... Des nouvelles du monde… La Compagnie Youpla! est une compagnie de danse contemporaine créée par Marie Artaud en 1997. Elle vise à créer et promouvoir des spectacles vivants, et à sensibiliser à la danse contemporaine sur le terrain du jeune public. Depuis 2002 Youpla ! s’est associée à d'autres compagnies (La Thelmita, Gradisca, Zim Zam Zoum Cie, Cie Aparté) afin de créer des spectacles où se mêlent la danse contemporaine, le théâtre et la musique vivante. Ce travail se poursuit dans le domaine de la pédagogie avec les ateliers de pratique artistique à l'école, des stages de formation en direction des enseignants et des cours réguliers pour enfants et adultes. Ex-Movere est un solo chorégraphique construit autour du roman Vies potentielles* de Camille de Toledo. Les 9 et 10 mars New Danse Studio à Brive Quatre personnages, trois femmes et un homme, déplient la toile de leur solitude où se suspendent tels des miroirs oubliés, des fragments de leur vie. S’y reflètent leurs fêlures et leur folie dont l’étrange familiarité nous invite à nous retourner pour contempler l’espace de notre propre solitude, féconde et infinie. Chorégraphie et interprétation : Marie Artaud Regard chorégraphique : Muriel Corbel Voix off : Jean-Paul Daniel et Isabelle Machado Marie Artaud remercie l'auteur Camille de Toledo pour sa confiance et son soutien. Réservations auprès de l’association New Danse Studio : [email protected],www.newdansestudio.com, Tel 05 55 87 08 38 - 9 rue Lucien Rousset - 19100 Brive. Tarifs : 12 E adulte, 8 E moins de 25 ans (étudiant, chômeur) Solo chorégraphique de Marie Artaud La compagnie Youpla! est accueillie en résidence au New danse Studio. Elle est soutenue par la ville de Brive depuis 2009. ³DITIONS DU 3EUIL COLL ,A LIBRAIRIE DU 88)E SIÒCLE s #RÏATION GRAHPIQUE WWWSOPHIEHFR Sur scène, leurs histoires sont racontées. Les mots vibrent, résonnent et s’enroulent dans l’espace comme un corps se déroule dans la danse. Posé au sol, un tapis rectangulaire noir et blanc se fait page d’écriture de cette danse. Le texte et le mouvement se croisent, s’entrecroisent, et resserrent leurs fibres afin de se tisser l’un l’autre dans un même souffle. Tatami Confort partenaire de Zhi rou jia ; toute la gamme à prix d’ami(e)s … Découvrez tous les articles et packages ; écologiques, pratiques, confortables, naturels, esthétiques & de haute qualité. Idéal pour la m éditation, la relaxation, les m assages & m êm e en lit d’appoint. Sur le site vous pourrez également choisir vos accessoires, coussin classique, zen (zafu), pose visage ou jambes,… Si vous êtes ami de Zhi Rou Jia, contactez-nous pour avoir le code d’accès à la réduction de 10% directement sur le site de Tatami Confort. http://www.tatamiconfort.com Tatami confort Infoline +33(0)389 587 004 Pépinière de Muehlbach 22 route de Colmar 68750 BERGHEIM FRANCE LAURENCE