Sommaire - Zhi Rou Jia

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Sommaire - Zhi Rou Jia
"Je ne suis que le lieu où se révèle celui qui m'habite…" Luis Ansa
Sommaire
1. Quête de sens : Le Savoir, selon Luis Ansa… (pages 2 à 6)
2. Programme & infos du mois : Tout sur vos formations
2013-14 (p.7à 8), vos retraites & ateliers en Bourgogne
(p.9à10), vos cours, stages & ateliers à Paris et en
province,... (page 11)
3. Nouvelles du monde: «ex movere» ; solo chorégraphique
à Brive, par & avec Marie Artaud, « L’écriture du
monde » de Dominique Cartier, Éd. F. Bourrin & Tatami
Confort ; plus de confort pour plus de pratique… (pages
12 à 13)
Très cher(e)s ami(e)s de Zhi Rou Jia,
Voici venir le mois de mars & son cortège de giboulées et d’éclaircies
éclaboussées de lumière. C’est aussi la joie de savourer le retour progressif de la
lumière & des premiers moments de douceur.
Je profite de ce bel élan pour vous faire découvrir ou redécouvrir une
magnifique conversation entre deux vieux amis.
Il s’agit d’une part de Henri Gougaud, écrivain, poète, conteur & chanteur
français/Occitan & d’autre part de Luis Ansa, peintre, conférencier & écrivain
argentin de mère indienne.
Très jeune celui-ci a été initié au chamanisme au Pérou, en Bolivie et au
Mexique. Son initiation et ses aventures extraordinaires et truculentes sont
relatés avec un immense talent d’abord dans «Les Sept plumes de l’aigle » écrit
par Henri Gougaud & ensuite dans « Le secret de l’aigle » rédigé par Luis Ansa
lui-même.
Ce deuxième ouvrage se clôt sur une série de conversations entre les deux amis,
sur des thèmes chers à Luis Ansa.
Le premier entretien évoque le « Savoir » du point de vue de l’expérience de Luis
Ansa.
Ceux qui connaissent bien « l’École du développement de la douceur »
retrouveront, j’imagine, un certain nombre de similitudes entre nos deux
démarches…
Henri Gougaud : Cher Luis, parlons du savoir.
Luis Ansa : Dans ces conversations, Henri, vous allez m’amener à vous expliquer
des choses que j’ai laissé longtemps travailler à l’intérieur de moi. Parce que le
savoir est une chose, mais - à cause de mes origines et de mes mémoires – le
savoir m’intéresse moins que le savoir-faire. Je crois que la compréhension est
un état dans le vivant, et ce vivant ne peut être coagulé, stratifié ou cristallisé.
Il est en permanente évolution. Je me méfie de la compréhension mentale des
choses. Pour parler de la ligne de travail dont je viens, il faudrait réinventer
presque tout le langage. Mon langage est inadéquat parce que je parle à la fois
avec le langage rationnel et le langage du sentir. Le mental ne peut pas
l’accepter. Pourquoi ? Parce que le sentir est une dilatation de l’organisme & le
mental est la réduction de tout à des concepts. Ce sont deux modes tout à fait
différents.
H.G. : Cela étant posé, je crois qu’il faut partir de la base, comme vous le faites
toujours, c’est-à-dire d’être utile aux gens. Il va s’agir pour vous de nous dire
comment notre terre intime et avant même d’ailleurs que nous n’entreprenions
de la cultiver, de nous aider à en faire état.
L.A. : La chose essentielle qu’il me semble devoir éclaircir en premier lieu, c’est le
principe à partir duquel se sont construits les êtres dès l’enfance. La plupart de
ceux que j’ai rencontrés en occident manquent d’enracinement. Ils sont comme
des bateaux ivres, secoués par les vagues de la vie, les chocs qu’ils subissent, les
propos qu’ils écoutent… Dans la tradition amérindienne, la première chose que
l’on apprend à l’enfant, c’est qu’il est un fils de la terre, qu’il doit respecter la
Pacha Mama. Le premier centre de l’homme c’est la Terre sacrée. Non pas la
Terre promise, la Terre sacrée, celle que l’on a sous les pieds. La terre est là, ce
n’est pas une promesse, c’est une évidence !
H.G. : C’est à dire de la matière palpable.
L.A. : De la matière palpable créée par le Créateur. Mais ne prenons pas le
créateur pour un taré ! Aurait-il créé une matière dont Il serait absent ? Non,
il est là, Lui ! Dans le mystère de la matière, dans les secrets organiques du
corps. Mon corps est la maison de Dieu. La cause principale des problèmes
psychiques et émotionnels de l’occidental réside selon moi dans le fait qu’il vit
dans une négation presque totale de sa matérialité et donc du vivant de son
propre corps.
H.G. : Il faut donc apprendre à devenir l’ami de son corps…
L.A. : L’ami, c’est cela. Pas le proxénète.
H.G. : Écouter ses besoins, ses désirs…
L.A. : Exactement, & non pas avec sa tête mais avec ses sens.
H.G. : Il est symptomatique en effet que c’est par ce que l’église a appelé les «
parties honteuses », c’est à dire le sexe que passe, la Création divine.
L.A. : C’est ça ! Ce lieu extraordinaire de valorisation de la matière, ce centre
de force créative que les Hindous appellent le deuxième chakra, a été
complètement nié. Or il est capable de produire un autre être humain dans le
mystère de l’incarnation. Un autre être humain qui n’est ni bancal, ni privé
d’intelligence, de vision, de perception ou d’émotion. Un être humain complet
avec des capacités colossales, avec des dons énormes et avec des captations de
mémoires qui viennent d’ailleurs…Tout cela dans le centre de la matière, par
la copulation, pas dans le centre de l’intelligence.
Rûmi, ce grand maître soufi, a écrit : « dans une goutte de sperme, il y a
l’univers ». Les corps, quand ils font l’amour, rendent grâce à la vie, ils
l’exaltent. Mais l’église a fait du sexe un lieu de chute, de punition. Elle a
culpabilisé cette chose si noble, si intime, qu’est le plaisir. Pourquoi le petit
enfant cherche-t-il à se masturber ? Parce que c’est une mémoire qui lui
revient : il provient d’un acte de plaisir. Et ça au lieu d’avoir été géré, a été
puni par des menaces : tu vas devenir sourd, ton nez va pousser, tu vas devenir
aveugle !
H.G. : Donc, une grande partie de notre incapacité, de nos tares finalement, de
nos peurs, de nos angoisses aussi, vient de la répression, dès l’enfance, de la
sexualité, du plaisir et de la sensualité.
L.A. : De l’affirmation de la prédominance de l’intellect sur les sens. Alors que
les cinq sens sont un moyen d’appréhension d’une réalité cachée, d’une
mémoire cosmique, galactique, universelle. Un moyen d’approche du vivant.
Manger sa nourriture, par exemple, non pas d’une façon mécanique, mais avec
une reconnaissance du mystère du goût, des saveurs… Un jour, j’étais avec un
indien au bord d’une rivière. Il mangeait un épi de maïs bouilli. Il m’en avait
donné un, aussi. D’un coup, il s’est mis à rire la bouche pleine, je voyais sa
bouche rempli de jus blanc & il m’a dit : « Tu sens le lait de la Mère ? » J’étais
sidéré. Pour moi jusque-là, « la mère » c’était ma mère, et là soudain – ce
n’était pas mental - mes cellules saisissaient qu’il parlait de la Mère Terre. Nous
étions en train d’extraire de ce maïs le lait de la Mère Terre ! Une mère aux
mamelles énormes ! « Goûte, goûte, le lait de la Mère ! me disait-il. Il est temps
que tu saches qu’Il est partout, Lui ! ».
Vous voyez Henri, c’est une alchimie qui se pratique à tout moment dans la vie
ordinaire. Cet homme mangeait pour nourrir son corps, il mangeait pour le
plaisir et, en même temps, il commémorait.
H.G. : C’est-à-dire que l’occidental qui cherche Dieu se trompe de direction. Il
ne faut pas le chercher au ciel, il faut le chercher sur la terre !
L.A. : Voilà ! Cet indien m’apprenait à accueillir l’autre côté… le lait de la
mère ! Non pas manger en me disant « je suis en train d’extraire le lait du
maïs » mais en mangeant, me placer dans l’état de captation amoureuse.
L’amour, ce n’est pas un mot – « je t’aime, tu m’aimes »-, c’est une énergie qui
vous donne la possibilité d’entrer en contact avec la magie, avec le mystère de
la vie. Non pas pour le résoudre, mais pour le goûter. On ne peut pas résoudre le
mystère, mais on peut le goûter, le sentir, on peut le toucher. Il permet tout cela,
le mystère. Il permet la caresse. Comme un chat, il se laisse caresser le pelage. Le
mystère adore être caressé.
H.G. : Donc, vous diriez que nous occidentaux de cette fin du XXème siècle,
sommes plutôt des infirmes !
L.A. : Infirmes ou handicapés. L’état dans lequel nous passons le plus clair de
notre temps se situe à un niveau de vibration très bas que l’on appelle
conscience ordinaire ou sommeil éveillé. Nos réactions partent d’un centre
situé dans la partie émotive de notre personnalité.
H.G. : L’ego ?
L.A. : C’est ça ! La conscience ordinaire subit passivement les impacts extérieurs.
Elle a d’abord été formée par les informations que nous transmettent les sens :
le chaud, le froid, la distance, les proportions, les sonorités… Ensuite elle a été
façonnée, dans sa partie émotionnelle, par des croyances, sous forme de
préceptes, de dogmes, de promesses ou de menaces. Elle est soumise au mental
inférieur, qui est un réducteur… Il est difficile à la conscience ordinaire de se
détacher de cet état de dépendance.
H.G. : Il arrive cependant que l’on ait des contacts avec un état de conscience
« éveillé ».
L.A. : Au-delà du mental, il y a ce que Hegel appelle le supra-mental & que les
indiens nomment le Grand Esprit. Le Grand Esprit peut agir lorsque le mental
est calmé. Le chaman est un allié du Grand esprit. Il est en état constant de
relation amoureuse. Le chaman ne regarde pas un arbre en attendant que
l’Esprit y descende. Il le regarde pour informer l’Esprit que c’est dans le bois qu’il
va descendre. Ça se passe instantanément car son mental inférieur, qui sait
que c’est du bois, il l’utilise comme un associé. Mais le Grand Esprit ne descend
pas simplement parce que vous restez tranquille : « Eh, Jojo ! Descend ! » Il
descend ou il ne descend pas, d’ailleurs ! Mais lorsqu’il descend… Est-ce le
Grand Esprit qui descend dans la matière ou le Grand Esprit caché, tapi dans le
mystère de la conscience humaine qui se révèle ? C’est là la grande joie !
H.G. : C’est le mystère de l’arbre aussi !
L.A. : Il y a une espèce d’explosion dans l’arbre. L’arbre sait qu’il est arbre,
l’homme sait qu’il est homme. Il y a transparence. Il y a un seul et même
instant.
H.G. : Vous dites que le chaman utilise le mental inférieur comme un associé. Il
ne s’agit donc pas de le mépriser.
L.A. : Pas du tout. Le mental inférieur est un excellent ouvrier, un excellent
outil pour explorer le monde. Il sélectionne, analyse, classe dans des listes, dans
des formes. Pour pouvoir s’ordonner lui-même. Pour se véhiculer lui-même.
Pour savoir par exemple que la rivière a des profondeurs différentes, qu’on ne
peut pas marcher sous l’eau, que le corps est plus lourd que l’eau… Oui, pour
tout cela le mental inférieur est parfait. Mais il faut admettre qu’il a des
limites. Son lieu est le temporel. Il n’est pas dans l’éternel, dans l’infinitude. Il
ne faut pas lui permettre de s’aventurer dans des lieux, où, si l’on veut, il
perdrait pied et se noierait. Il ne peut pas pénétrer dans le domaine de la
prémonition, de l’intuition pure, de la raison objective, de la captation. Pour
cela, il manque d’éléments. Le mental inférieur, dans son impuissance à
atteindre l’infinitude et la totalité, crée des ersatz. S’il accepte son
impuissance, il tombe dans la foi sentimentale, il renonce à la pensée, il tente
d’atteindre par l’émotion seule, un semblant de savoir. S’il refuse son
impuissance, il nie tout. Il rejette cette globalité qu’il ne peut englober,
comprendre, appréhender. Or, l’intemporel qui vit en nous voudrait parfois
nous faire sentir que nous n’appartenons pas uniquement à la matière, au
temporel. Il voudrait nous dire que nous venons d’ailleurs et que nous allons
vers un autre ailleurs.
H.G. : Cependant, dites-vous, lorsqu’il est à sa place, le mental inférieur est un
très bon serviteur.
L.A. : Exactement. S’il est livré à lui-même, il n’est qu’un serviteur qui se prend
pour le maître. S’il est relié, s’il est au service du seigneur, il est noble. Il peut
servir d’intermédiaire, de messager. Mais si l’on évoque le « serviteur de Dieu »,
qui parle de Dieu ? Ce ne peut être le mental inférieur, car je ne peux approcher
de Dieu que par mon intuition sensitive qui constitue un des aspects du supramental. Si le mental inférieur est dans le croire, l’intuition sensitive elle, est
dans le savoir. Attention, il ne s’agit en rien d’un savoir possessif, il s’agit d’un
savoir ancré dans l’absolu. Le mental inférieur a besoin de preuves, l’intuition
sensitive ne se soucie d’aucune justification ni d’aucun raisonnement.
H.G. : Nous avons donc un mental à deux niveaux. Mais comment passer, si je
puis dire, du mental inférieur au supra-mental ?
L.A. : « Passer » est un terme impropre. Il faut une préparation. Si vous
branchez un appareil de 110 volts sur du 220, il claque. Si vous nourrissez un
bébé de six mois avec du steak haché mélangé avec de la moutarde, vous
risquez de le tuer. Tout réveil prématuré, par la drogue par exemple, ou par des
expériences chamaniques inopinées en pleine Amazonie, est extrêmement
dangereux, parce que ceux qui s’y livrent, poussés par l’avidité, entrent en
contact avec des choses qui sont d’une autre fréquence, très haute. Il faut
procéder par une espèce de progression palliative. Il faut chauffer les câbles,
renforcer les connexions. Sinon, c’est de la folie. Le mental inférieur ne peut pas
passer de 110 à 220 volts sans transformateur. Or qu’est ce, en l’occurrence, que
le transformateur ? C’est l’amour. L’amour peut ce que le mental inférieur ne
peut pas. L’amour peut vous dilater jusqu’à vous mener à percevoir que vous êtes
non seulement une personne, mais une personne à l’intérieur d’un lieu, et que
ce lieu est encore vous-même. Je parle de l’amour pur, de l’amour fécondant. Le
seul qui puisse donner naissance à cette nouvelle personne, en chacun de nous,
qui sera capable d’entrer en contact avec le principe supérieur, l’absolu du
supra-mental.
H.G. : Les chamans enseignent cela ?
L.A. : Ils l’enseignent de plusieurs façons, mais pas avec des mots… Un jour, sur
le Titicaca, nous étions le Chura et moi, sur un petit radeau et je laissais aller
ma main dans l’eau. Le Chura qui fumait une cigarette, me dit : « C’est
dommage que tu ne puisses mettre que la main.»
H.G. : Que voulait-il dire ?
L.A. : Toujours la même chose : « C’est dommage que tu ne puisses pas te laisser
aller comme tu laisses aller ta main.» Ma main, je la laissais flotter, je
regardais ailleurs… Alors la main joue, parce qu’elle n’est plus sous votre
contrôle, elle se laisse faire par l’eau. Mais dès que vous la regardez, le mental
intervient et vous séparez la main de l’eau.
H.G. : Le Chura vous disait aussi, « rentre dans la pierre », « rentre dans la
nuit »…
L.A. : Oui, pour les chamans, il s’agit toujours de pénétrer les choses. Au fond ce
sont des taupes creusant des tunnels dans la matière. Ils creusent des tunnels
afin d’habiter la matière. Ils vous mettent au boulot pour vous faire sortir du
« penser » et rentrer dans le sentir. Le sentir est une dilatation de l’organisme
et le mental est la réduction de tout à des concepts. Ce sont deux mondes tout à
fait différents. Le mental ne peut pas décrire le goût d’un baiser, la chaleur
d’une approche. Il ne peut pas les décrire de façon exhaustive. C’est dans le vécu
des choses qu’il y a la vraie histoire du corps, et le corps est un immense radar
des tons vibratoires dans lequel le ton vibratoire de la pensée occupe une
certaine place, mais pas toute la place.
H.G. : Vous distinguez je crois, trois sortes de pensée…
L.A. : Oui, la pensée du monde ordinaire, mécanique, contient trois niveaux :
la pensée comparative, la pensée cumulative et la pensée possessive. La créature
qui vit sous leur emprise secrète des angoisses qui s’ankylosent jusqu’à former
des kystes où s’enracinent le mal-être et la maladie. S’informer, apprendre,
avoir des titres, des diplômes, être reconnu… Nous nous privons de la grâce pour
avoir le mérite. Cessons de vouloir le mérite, cessons de résonner en termes de
récompense et de châtiment. Plongeons dans la grâce.
H.G. : La peur est un obstacle…
L.A. : C’est d’eux-mêmes que les gens ont peur. Pourquoi ? Parce qu’ils ne se
reconnaissent pas le droit d’exister. « Mon père m’a nié, ma mère m’a nié »… Ce
sont des paramètres que l’on nourrit en soi au lieu de se dire : je ne suis plus un
enfant, je suis un adulte, je vais assumer ma souveraineté propre et être libre de
ce fléau que constitue le jugement des autres sur moi. Le premier travail de
celui qui se dit sur le « chemin » est de vaincre sa peur. Peur de se libérer de ses
opinions. Peur de changer le niveau où opère sa conscience et d’être privé de
repères. Peur de perdre des droits qu’il pense avoir sur autrui, surtout dans la
relation à l’être aimé. Peur enfin de perdre des prérogatives purement
fantasmatiques, car elles n’existent qu’à l’ombre de cette sorte de réduit qu’il
croit être le monde.
Il faut savoir que nous pouvons, si nous le voulons, pénétrer dans un royaume
magique à l’intérieur de nous-mêmes, animés par la force de l’amour qui nous
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propose une ouverture vers ce qui fait l’essence de
l’ensemble de ces arts martiaux internes, c’est-à-dire
ce qui les rassemble dans un esprit naturel et
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2014-15…
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« PRENDRE SOIN DE SOI AU FÉMININ à Paris»
(Yang Sheng, Régénération Naturelle et Qi gong au féminin)
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Retraites d’été & Ateliers en Bourgogne
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Avec Laurence Cortadellas « Prendre soin de soi au
féminin »
5 jours de retraite entre femmes du 06 au 10 juillet 2013
Thème : Feu du Cœur/conscience, cycle lunaire & régénération naturelle,
Q i gong au fém inin
Mail : [email protected] tel : 03 80 84 29 43 mobile : 06 13 92 28 71
Avec Jean-Michel Chomet «Les Jardins d’Hermès »
5 jours de retraite pour s’initier à l’alchimie intérieure « Dao d’Orient et
d’Occident » 06 au 10 juillet 2013
Thème : D e la sensation à l’intuition
Mail : [email protected] tel: 03 80 84 29 43 mobile : 06 13 92 05 91
Pour télécharger la plaquette générale ou les plaquettes spécifiques des cours,
ateliers, retraites & stages, retournez sur le mail de présentation que vous
avez reçu & cliquez directement sur les pages « ACCUEIL » ou « AGENDA ».
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nécessité !...
Ateliers en Bourgogne, en février/mars
Ateliers mensuels de TAIJI QUAN,
Samedi 23mars 2013, À Bligny sur Ouche,
Avec Jean-Michel Chomet,
salle des sports de Bligny sur Ouche
Ateliers de 3h00 de 14h à 17h sur le thème :
« L’essence du Taiji Quan : au-delà des styles (Yang,
Chen, Liuti, Wudang, …) ; une étude approfondie »
Prochains ateliers le 13 avril, 25 mai, 22 juin 2013.
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
92 05 91
À Bligny sur Ouche, le vendredi 29 mars 2013
Avec Laurence Cortadellas, salle des sports de Bligny sur Ouche
Ateliers mensuels (réservés aux femmes) de 2h30 de 19 h à
21h30 sur le thème « Prendre soin de soi au féminin »
Prochain atelier, le 10 mai 2013.
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
92 28 71
À Bligny sur Ouche, le vendredi 22 février 2013
Avec Laurence Cortadellas, salle des sports de Bligny sur Ouche
Ateliers mensuels de 2h30 de 19 h à 21h30 sur le thème
« Régénération naturelle, conscience corporelle &
Qi gong - Nei gong – Ar.Mo.Es. »
Prochain atelier le 31 mai 2013.
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
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Stage à Paris, en mars
Les 16 & 17 mars 2013 , avec Jean-Michel Chomet
Séminaire pour tous : « Liuti Taiji Quan (2) – Le Taiji du Corps
Fluide»
Prochain séminaire de Nei Jia Quan à Paris : 15 &16 juin juin 2013
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
92 05 91
Atelier à Paris en mars
Le dimanche 24 mars 2013 avec Laurence Cortadellas,
(9h00–12h00 & 13h00-16h00)
Au centre Génération Tao, 144 bd de la Villette 75019, M°Jaurès ou
Colonel Fabien
Thèm e :
Avec l’arrivée du printemps, voici venir le temps d’éveiller et d’étirer nos corps assoupis
et engourdis par le froid hivernal. Dans cet atelier, nous allons partir à la découverte de notre
corps d’un point de vue tendino-musculaires. Tout en douceur nous allons explorer, activer &
défroisser…En suivant la courbe ascendante de l’énergie printanière, voici que nait la joie de sentir
la vie vibrer pleinement & librement. L’atelier se développe dans la perspective d’une VISION :
Ar.Mo.Es., l’Art du Mouvement Essentiel qui se base sur une recherche d'unification de l’esprit & du
corps par le mouvement naturel, le lâcher respiratoire et la construction du corps d'intention.
Prochain atelier : 12 m ai 2013 Thème : Rencontrer et honorer les qualités
de la Terre…
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
92 28 71
Stage à Toulouse, en mars
les 30 & 31 mars 2013 , avec Jean-Michel Chomet
Séminaire pour tous : « Le Corps Fluide dans le style Yang »
Contact : [email protected] fixe : 03 80 84 29 43 & Portable : 06 13
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Des nouvelles du monde…
La Compagnie Youpla! est une compagnie de danse contemporaine créée par Marie Artaud en 1997. Elle vise à
créer et promouvoir des spectacles vivants, et à sensibiliser à la danse contemporaine sur le terrain du jeune
public.
Depuis 2002 Youpla ! s’est associée à d'autres compagnies (La Thelmita, Gradisca, Zim Zam Zoum Cie, Cie
Aparté) afin de créer des spectacles où se mêlent la danse contemporaine, le théâtre et la musique vivante.
Ce travail se poursuit dans le domaine de la pédagogie avec les ateliers de pratique artistique à l'école, des stages
de formation en direction des enseignants et des cours réguliers pour enfants et adultes.
Ex-Movere est un solo chorégraphique construit
autour du roman Vies potentielles* de Camille de
Toledo.
Les 9 et 10 mars
New Danse Studio à Brive
Quatre personnages, trois femmes et un
homme, déplient la toile de leur solitude
où se suspendent tels des miroirs oubliés,
des fragments de leur vie. S’y reflètent leurs
fêlures et leur folie dont l’étrange familiarité
nous invite à nous retourner pour contempler
l’espace de notre propre solitude, féconde et
infinie.
Chorégraphie et interprétation : Marie Artaud
Regard chorégraphique : Muriel Corbel
Voix off : Jean-Paul Daniel et Isabelle Machado
Marie Artaud remercie l'auteur Camille de Toledo pour sa
confiance et son soutien.
Réservations auprès de l’association New Danse Studio :
[email protected],www.newdansestudio.com,
Tel 05 55 87 08 38 - 9 rue Lucien Rousset - 19100 Brive.
Tarifs : 12 E adulte, 8 E moins de 25 ans (étudiant, chômeur)
Solo chorégraphique
de Marie Artaud
La compagnie Youpla! est accueillie en résidence au
New danse Studio. Elle est soutenue par la ville de Brive
depuis 2009.
³DITIONS DU 3EUIL COLL ,A LIBRAIRIE DU 88)E SIÒCLE s #RÏATION GRAHPIQUE WWWSOPHIEHFR
Sur scène, leurs histoires sont racontées. Les
mots vibrent, résonnent et s’enroulent dans
l’espace comme un corps se déroule dans la
danse. Posé au sol, un tapis rectangulaire noir
et blanc se fait page d’écriture de cette danse.
Le texte et le mouvement se croisent, s’entrecroisent, et resserrent leurs fibres afin de se
tisser l’un l’autre dans un même souffle.
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Pépinière de Muehlbach
22 route de Colmar
68750 BERGHEIM
FRANCE
LAURENCE

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