Un gardien des droits fondamentaux
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Un gardien des droits fondamentaux
74 WIRTSCHAFT & FINANZEN Talking Business – heute mit Laurent Vanderweyen Der 42-jährige Belgier ist CEO bei Alter Domus Luxemburg. Verpassen Sie heute nicht die neue Ausgabe von Talking Business. Die Redaktion des englischsprachigen wort.lu porträtiert regelmäßig leitende Geschäftsleute Luxemburgs und unterhält sich mit ihnen über Beruf und Karriere. Die Interviewpartner sprechen ganz freimütig und bieten auch einen einmaligen Einblick in das Leben der Führungskräfte. Diesmal stand Laurent Vanderweyen den Kollegen Rede und Antwort. Der 42-jährige Belgier ist Chief Executive Officer (CEO) bei Alter Domus, einem führenden Anbieter für die Verwaltung von Private Equity und Real Estate Fonds sowie Corporate Services. Gleich nach seinem Studium kam Laurent Vanderweyen vor zwanzig Jahren ins Großherzogtum und begann seine Laufbahn bei der BIL. In Talking Business spricht er über seinen Berufsweg und die wichtigsten Eigenschaften eines erfolgreichen Geschäftsmanns. Er gibt den Lesern seine Einschätzung der wirtschaftlichen Lage und sagt, was er an Luxemburg mag und was nicht. Wie es auf seinem Schreibtisch aussieht, wie er sich entspannt und welchen Klingelton er auf dem Handy verwendet – das erfahren Sie außerdem bei Talking Business. Das Interview EU bringt Autostreit mit Russland vor WTO Moskau erhebt „Recycling-Abgaben“ auf Importe VON JAN DIRK HERBERMANN (GENF) Im milliardenschweren Autostreit mit Russland macht die EU Ernst: Am Montag kündigte EU-Handelskommissar Karel de Gucht an, dass Brüssel erstmals ein Verfahren gegen Moskau vor der Welthandelsorganisation (WTO) in Genf beantragt habe. „Die Europäische Kommission hat fast ein Jahr lang auf jedem diplomatischen Kanal vergeblich versucht, mit unseren russischen Partnern eine Lösung für die Angelegenheit zu finden“, hielt de Gucht fest. Westliche Diplomaten hegen schon lange Zweifel an Moskaus Bereitschaft, sich den WTORegeln zu beugen. Der Konflikt dreht sich um Sondergebühren für das spätere „Recycling“ von Fahrzeugen. Russland erhebt die Steuer laut de Gucht auf alle aus der Europäischen Union eingeführten Autos, Lastkraftwagen und Busse. Russland kassiere hingegen keine Recycling-Gebühr bei Fahrzeugen aus heimischer Produktion. De Gucht betonte, dass die Abgaben das WTO-Reglement verletzten. Sie behinderten „in ernster Weise den Handel in einem Schlüsselsektor der europäischen Wirtschaft“. Europäische Hersteller wie Mercedes-Benz, BMW und Volks- wagen exportierten 2012 Fahrzeuge im Wert von rund zehn Milliarden Euro nach Russland. Der russische Fiskus kassiert laut einer EU-Mitteilung 1,3 Milliarden US-Dollar jährlich durch die gestaffelte Recyclinggebühr: Bis zu 2 700 Euro für neue Autos und bis zu 17 200 Euro für mehr als drei Jahre alte Autos. Auf bestimmte LKWs für den Bergbau würden Gebühren von fast 150 000 Euro fällig, kritisierte Brüssel. 60 Tage, um den Streit beizulegen Nach WTO-Reglement verbleiben Russen und Europäern nun 60 Tage, um den Streit bilateral beizulegen. Falls die Parteien das nicht schaffen, will die EU einen WTOProzess gegen Moskau anstrengen. Das WTO-Handelsgericht könnte die EU ermächtigen, die Russen mit Wirtschaftssanktionen zu bestrafen. In Brüssel erregen die RecyclingGebühren auch deshalb Unmut, weil die Russen die Abgaben demonstrativ am 1. September 2012 einführten – wenige Tage nach ihrer Aufnahme in die Welthandelsorganisation. Die EU wollen gemeinsam mit den USA und Japan in den nächsten Tagen in WTO-Sitzungen ihre Sorge über Russland Luft machen. DZ BANK Perpetual Funding Issuer (Jersey) Limited EUR 45.000.000,– variabel verzinsliche Kernkapital-Wertpapiere mit unendlicher Laufzeit und beschränktem Rückgriff WKN A0G LDZ / ISIN DE000A0GLDZ3 Gemäß den Emissionsbedingungen geben wir bekannt, dass der Zinssatz für die Zeit vom 9. Juli 2013 bis 9. Oktober 2013 ausschließlich (92 Tage) auf 1,317 % p.a. festgesetzt wurde. Auf eine Note im Nominalbetrag von EUR 1.000,– werden EUR 3,37 Zinsen gezahlt. Die Zinsen werden am 9. Oktober 2013 fällig. Im Juli 2013 Deutsche Bank Aktiengesellschaft Luxemburger Wort Mittwoch, den 10. Juli 2013 La CNPD veille au respect de la confidentialité et de la sécurité dans le WIRTSCHAFT & FINANZEN 75 Luxemburger Wort Mittwoch, den 10. Juli 2013 traitement des données à caractère personnel Un gardien des droits fondamentaux Des règles à respecter pour les entreprises qui délocalisent ou sous- traitent en dehors de l'Union européenne L'accroissement des délocalisations d'entreprises et de la sous-traitance de prestations à l'étranger mais aussi les nouvelles habitudes en matière de communication et de stockage de données à distance (le «cloud computing») complexifient le respect des règles de confidentialité et de sécurité dans le traitement des données à caractère personnel. Au Luxembourg, la CNPD * est le gardien du respect, notamment par les entreprises, de ces droits fondamentaux ayant trait à la vie privée. La problématique du traitement des données à caractère personnel est réglée dans l'Union européenne par une directive de 1995 transposéeen 2002 par le Luxembourg. Le respect des normes en matière de sécurité et de confidentialité y est donc garanti, ce qui n'est pas le cas lorsque qu'une entreprise envisage le transfert de données en dehors de l'Union européenne. «Le problème du transfert des données n'est certes pas nouveau mais le phénomène de délocalisation des entreprises s'est accentué» rendant plus délicate encore la problématique traitement de ces données, relève Alexandre Fiévée, «counsel» chez Elvinger, Hoss & Prussen. D'autant, insiste-t-il, que «le niveau de protection n'est pas toujours adéquat en dehors de l'UE», notamment dans des pays comme le Maroc et l'Inde qui, justement, sont des terres d'accueil pour les entreprises délocalisant ou sous-traitant différents services telles l'informatique (outsourcing IT) ou encore la gestion des ressources humaines (Business Process Outsourcing). Et lorsqu'une entreprise se retrouve dans ce cas de figure, elle a, en vertu de la loi de 2002, l'obligation d'obtenir de la CNPD une autorisation préalable (il existe cependant des dérogations) en vue du transfert envisagé de données. En 2012, la CNPD a ainsi traité 48 demandes de ce type, détaille Alexandre Fiévée, un chiffre qui «est constant par rapport à l'année der- Le «cloud computing» n'offre pas toutes les garanties de confidentialité dans le traitement nière, mais bien plus important qu’il y a dix ans». En effet, poursuit le «counsel», selon la CNPD, «le développement des échanges commerciaux et la mondialisation ont entraîné (…) un accroissement spectaculaire des transferts de données à caractère personnel dans le cadre de projets de centralisation et d’outsourcing de la gestion du personnel, de la clientèle ou des fournisseurs, ainsi que lorsqu'elles externalisent leurs activités informatiques». Alexandre Fiévée relève du rapport d’activité de la CNPD qu'«en 2012, la majorité des demandes émanaient d'entreprises du secteur financier et que les principaux pays de destination (des données, ndlr) étaient le plus souvent les Etats-Unis et l'Inde». L'intervention de la CNPD garantit donc aux salariés de ces entreprises mais aussi aux clients et aux fournisseurs notamment la confidentialité dans le traitement des données les concernant. Actuellement, les instances européennes travaillent sur une proposition de règlement qui remplacera la directive sur le sujet, de manière notamment à répondre au développement mondial d'acteurs comme Facebook ou Google, friands de collectes de données personnelles. Sans attendre ce nouveau ce nouveau cadre européen en devenir, la CNPD entend renforcer son action afin de restaurer «la confiance des citoyens et consommateurs dans l'attitude des acteurs qui recueillent et utilisent des renseignements les concernant». La CNPD affiche ainsi une volonté très forte de «stimuler la des données. (PHOTO: SHUTTERSTOCK) culture de la protection des données au Luxembourg et le respect des droits des personnes concernées», analyse Alexandre Fiévée. Lourdes amendes Ainsi, plusieurs moyens seront mis en œuvre au cours des années à venir, dont le renforcement des investigations et des contrôles sur place. De quoi inciter les entreprises à ne pas négliger la problématique du traitement des données, tout contrevenant s'exposant, selon le projet de la nouvelle directive, au paiement d'amendes allant jusqu'à un million d'euros ou deux pour cent du chiffre d'affaires annuel de l'entreprise visée. Les instances européennes espèrent également imposer dans la directive l'obligation de désigner «un chargé de protection des données au sein de chaque entité d'une certaine taille ou en fonction de la nature particulière des données traitées… étant précisé qu'en application de la loi luxembourgeoise, ce chargé de protection (dont la désignation est actuellement facultative au Grand-Duché, ndlr) peut être un expert-comptable, un réviseur mais aussi un avocat», souligne Alexandre Fiévée. Enfin, il convient de se pencher sur le cas particulier du «cloud computing» ou le fait pour une entreprise de ne plus stocker ses données dans un ordinateur local mais bien dans la nébuleuse informatique. «La plupart des contrats de cloud sont des contrats d'adhésion difficilement négociables», remarque le «counsel» d'Elvinger, Hoss & Prusen, tout en sachant que «les prestations sont peu transparentes» et qu'il est parfois difficile de savoir où sont au final localisés les serveurs et/ou prestataires. La CNPD, au sein du G29 réunissant les autorités nationales des pays européens, recommande de «faire une analyse des risques avant d'adopter un service de cloud computing et de s'assurer que la sécurité, la transparence et la légalité des traitements sont garanties», selon son rapport annuel. Autrement dit, l'instance insiste vivement pour que les entreprises luxembourgeoises sélectionnent un fournisseur leur garantissant le respect des règles euro(LB) péennes. * La Commission nationale pour la protection des données (CNPD), autorité indépendante fonctionnant sous statut d'établissement public instaurée en 2002, est chargée «de veiller à l'application des dispositions légales qui protègent les libertés et droits fondamentaux des personnes physiques, notamment de leur vie privée, à l'égard du traitement des données à caractère personnel», selon son rapport annuel. A ce titre, elle lance des investigations suite à des plaintes ou de sa propre initiative. La CNPD cherche également à apporter des réponses appropriées au développement des nouvelles technologies connectées et le recours fréquent à la biométrie, la géolocalisation, au traçage ou au profilage. Comptes bancaires à l'étranger: les Fran çais partent de l'Hexagone? 108.833 contribuables français détiennent un PAR THÉO RECOULES (PARIS) L’information était attendue car beaucoup considéraient qu’elle serait un révélateur économique important de la stratégie gouvernementale française mise en place depuis le 6 mai 2012. Publiant son rapport d’activité annuel la semaine dernière, la Direction générale des finances publiques (DGFiP) a révélé le nombre de contribuables français ayant déclaré qu’ils détenaient un compte bancaire à l’étranger et la surprise a été de taille: en hausse de 37 %, les concernés, qui étaient 79.680 en 2011, ont franchi largement le 31 décembre 2012 la barre des 100.000 (précisément 108.833). A titre d’exemple, entre 2010 et 2011, la progression n'avait été que de 5 %. «Cette information peut être analysée de deux manières», explique Jérôme Cahuzac (PHOTO: AFP) un économiste d’une grande institution qui souhaite garder l’anonymat: «pour certains, c’est l’illustration que le matraquage fiscal prôné par la majorité fait fuir les personnes aisées, ce qui a forcément un impact sur le patrimoine français in fine. Pour d’autres, on est face au résultat du travail mené par Jérôme Cahuzac puis Bernard Cazeneuve au minis- tère du Budget dans la traque à l’évasion fiscale: les Français préfèrent se déclarer plutôt que d’être pourchassés». Effectivement, à Bercy, on ne cache pas sa satisfaction: «Tous ces nouveaux déclarants ne sont pas des fraudeurs, mais plutôt des ,fraudeurs repentis‘», ironise un conseiller ministériel. Le directeur de la DGFiP, Bruno Bézard, abonde: «ces gens se sont peut être mis à lire les journaux», faisant référence à l’important traitement médiatique de la question ces derniers mois. Le rapport donne une autre raison, plus punitive: «l'année 2012 a été marquée sur le plan pénal par un renforcement des sanctions encourues en cas de fraude fiscale. Le montant maximum des amendes applicables est désormais compris entre 500.000 euros et 1 million d'euros, notamment en cas de détention de compte à l'étranger comptes bancaires non déclarés à l'étranger». Neuf milliards d'euros issus de contrôles fiscaux Autre modification apportée cette année et non des moindres, la taxation des fonds non déclarés est alignée sur celle des donations (60 %) et les sanctions ont été alourdies pour les fraudeurs (amende de 5 % du solde créditeur au delà de 50.000 euros): autant de mesures qui ont conduit les personnes en situation illégale à vouloir se régulariser. La DGFiP poursuit en développant les raisons: la France a utilisé les 35 conventions d'échange de renseignements administratifs passées avec des États étrangers afin de traquer les fraudeurs. «En 2012, l'utilisation de ces nouveaux accords s'est traduite par l'envoi de 777 demandes de renseignements contre 300 en 2011», apprend-on. Enfin, l’administration précise que grâce à 1,5 million de contrôles fiscaux, plus de 18 milliards d'euros de droits et de pénalités ont été récupérés par l'Etat français en 2012: «la DGFiP a par ailleurs encaissé neuf milliards d'euros issus de contrôles fiscaux de l'année et des années antérieures et de la relance des déclarations de succession et d'impôt de solidarité sur la fortune», peut-on lire. «Pour mener à bien une politique, il y a deux stratégies», explique le conseiller ministériel. «L’incitation: c’est le choix réalisé lors du quinquennat précédent, pour un effet de l’ordre du milliard d’euros. La menace qui est notre choix: soit vous êtes désavoué par les autres et votre menace est caduque, soit l’effet est décuplé», jubile-t-il. Luxemburger Fondstochter der Bayrischen Landesbank verkauft BayernInvest nutzt Gunst der Stunde BayernInvest Luxembourg verwaltete Volumen von einer Milliarde Euro Luxemburg. Die in München ansässige Kapitalanlagegesellschaft BayernInvest hat die BayernInvest Luxembourg übernommen. Die BayernInvest Luxembourg war eine 100-Prozent-Tochter der ins Straucheln geratenen BayernLB und wurde nun von ihrer deutschen Schwester übernommen. Die BayernLB, einst mit Steuermilliarden gerettet, muss sich auf Geheiß der EU-Kommission deutlich verkleinern und bis 2019 fünf Milliarden Euro Staatshilfe an Bayern zurückzahlen. „Mit der Integration der bisherigen Schwestergesellschaft fungiert die BayernInvest nun als grenzüberschreitendes Kompetenzzentrum für Asset Management im Konzern der BayernLB“, so Reinhard Moll, Sprecher der BayernInvest-Geschäftsführung. Die BayernInvest soll Dachfondsmanagern, Vermögensverwaltern und institutionellen Investoren innovative und spezialisierte Fondslösungen anbieten, die vom liberalen Rechtsrahmen am Standort Luxemburg profitieren. Auch Produkte für erfahrene Privatanleger Auch wolle man spezialisierte Publikumsfonds erfahrenen Privatanlergern anbieten, so Oliver Schlick, Chief Investment Officer der BayernInvest. Als Beispiel hierfür nannte Schlick den erst kürzlich von der BayernInvest Luxembourg Die BayernLB, einst mit Steuermilliarden gerettet, muss sich auf Geheiß der EU-Kommission deutlich verkleinern. (FOTO: AFP) aufgelegten Fonds für deutsche Mittelstandsanleihen, der mittlerweile bereits ein Volumen von 8,4 Millionen Euro aufweist. Die BayernInvest Luxembourg hat zuletzt ein Volumen von einer Milliarde Euro verwaltet. Ihr Kerngeschäft ist der Investmentfondsservice sowohl für gruppeneigene Fonds als auch für konzernfremde Fondsinitiatoren (White Labeling). Im Rahmen der Integration wird die Geschäftsleitung der BayernInvest um Guy Schmit erweitert. Der 56-Jährige ist Sprecher der Geschäftsführung der BayernInvest Luxembourg. Diese Funktion wird Schmit auch künftig ausüben. In den neuen Zuständigkeitsbereich von Schmit fällt die Gesamtsteuerung von Marketing und Vertrieb. Im Zuge des Zusammenwachsens der beiden Gesellschaften wurden zudem Katja Lammert und Jörg Schwanitz in die Geschäftsleitung der BayernInvest Luxembourg berufen. Katja Lammert bleibt Generalbevollmächtigte der BayernInvest München. (aa) Anwälte der Landsbanki-Opfer zufrieden Ministerin bestätigt Fortschritte bei Ermittlungen gegen isländische Banken Luxemburg. Die Rechtsanwälte der Landsbanki-Opfer haben die jüngsten Aussagen der luxemburgischen Justizministerin Octavie Modert mit Genugtuung zur Kenntnis genommen. Das teilten Mes Benjamin Bodig und Bernard Maingain in einem 24-seitigen Kommunikee mit. Der große Umfang der Mitteilung erklärt sich dadurch, dass die Juristen eine Studie des Universitätsprofessors Eric Briys beifügten, in der erläutert wird, wie Kunden offenbar mit Equity Release Plans (ERP) umworben wurden und am Ende um ihre Immobilie sowie um ihre Geldanlagen fürchten mussten. Justizministerin Octavie Modert Die Anwälte Bodig und Maingain zeigen sich zufrieden. (FOTO: GÉRARD KARAS) (CSV) hatte Ende Juni auf die parlamentarische Anfrage des CSV-Abgeordneten Serge Wilmes geantwortet und u.a. erklärt, dass luxemburgische Behörden mit zwei Ermittlungsverfahren gegen isländische Banken befasst seien und es in einem der beiden Fälle mit großen Schritten vorangehe. Was die Strafuntersuchung gegen die Verantwortlichen der isländischen Landsbanki angehe, hieß es in der Replik, dass zwei Rechtshilfeersuchen aus Island bearbeitet würden. Eine weitere Anfrage der Finanzermittler des Pôle Financier de Paris sei bereits beantwortet worden. (aa) Employeurs passionnés Vous êtes à la recherche de collaborateurs motivés pour renforcer vos équipes ? Consultez chaque samedi notre annonce en page 2 du cahier Jobsearch dans le Luxemburger Wort, qui présente une série de profils de personnes directement disponibles ou connectez-vous sur notre site jobs.wort.lu. Une action du avec