qui veut noyer son chien l`ACCUSE DE LA RAGE !

qui veut noyer son chien
l'ACCUSE DE LA RAGE !
Laurent a intégré l'entreprise en août.
Sociable père de famille, il s'est rapidement
lié avec ses collègues de formation et de son
équipe. Il est largement apprécié pour son
caractère enjoué et son dynamisme.
Depuis qu'il prend des appels, Laurent a eu 50
retours d'enquêtes, dont 47 vertes, 2 neutres
et 1 rouge. Il atteint 94% de satisfaction
client, et ceci dès le premier mois.
Laurent n'a reçu qu'une évaluation dans le
mois. Il n'a eu aucun entretien individuel. Il
n'a jamais été absent. Il arrive toujours en
avance. Il fait souvent des heures
additionnelles.
Laurent a appris vendredi dernier que
l'entreprise a mis �n à sa période
d'essai, dans un courrier daté du 16
septembre. Les collègues de son équipe
ont été surpris(es) et choqué(e)s de le
savoir licencié. Nombreuses et
nombreux sont celles et ceux qui en ont
parlé dans la journée.
Deux délégués du Personnel CGT sont allés
voir les opérations pour tenter de faire
revenir l'employeur sur sa décision. Il leur a
été répondu que ce choix était irrévocable.
Une information, que les opérations
refusent de fournir aux DP, aurait motivé
cette sanction.
Si Laurent avait commis des actes
susceptibles de mettre en danger le
site, pourquoi ne pas l'avoir relevé immédiatement de ses fonctions ?
Pourquoi ne lui avoir rien dit pendant
près de deux semaines ?
FAPT
jamais plus
isolé(e)s !
notre force,
c'est notre nombre
et notre UNITÉ !
Si les faits qui lui sont reprochés n'ont pas ce caractère de
gravité, pourquoi n'a-t-il pas béné�cié de coaching ?
La CGT dénonce une décision arbitraire et injuste.
Elle invite, une nouvelle fois, l'ensemble des collègues à être solidaires,
vigilant(e)s, attentifs et attentives les un(e)s aux autres.
La CGT demande une fois de plus à la direction que Laurent soit réintégré.
COMME UN AIR DE DÉJÀ VU...
Celles et ceux qui étaient présent(e)s dans l'entreprise se souviennent
du discours de la direction concernant Ivan. A l'époque aussi, la
direction prétendaient que les faits étaient graves, allant jusqu'à
répéter que les agissements relevaient du pénal. Puis, brutalement,
la direction a cessé de faire courrir ce type de bruits diffamants...
ISOLÉ(E)S, NOUS SOMMES DÉMUNI(E)S FACE À L'ARBITRAIRE.
NOTRE FORCE, C'EST NOTRE NOMBRE ET NOTRE SOLIDARITÉ !
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