Claude-François est né dans une famille bretonne. Sa mère est

Claude-François Poullart des Places (1679-1709)
Un tricentenaire célébré à Paris et à Rennes
Claude-François Poullart des Places
naît à Rennes le 26 février 1679.
Il meurt à Paris le 2 octobre 1709.
Une jeunesse dorée
Rennes, rue Saint-Georges, où habitaient les Poullart
Claude-François est né dans une famille bretonne.
Sa mère est gouvernante des enfants du Comte de Marbœuf, président du Parlement de Bretagne.
Son père est originaire de la région de Paimpol.
Il est avocat au Parlement de Bretagne, juge-garde des monnaies
et fermier général de l’Abbaye Saint-Melaine. Il est également un très riche commerçant.
Il rêve d’une brillante carrière pour son fils qu’il souhaite voir intégrer la noblesse.
Parlement de Bretagne
Claude fait de brillantes études à Rennes, dans le Collège des jésuites (l’actuel lycée Émile-Zola).
Il y rencontre Louis-Marie Grignion de Montfort.
Ils garderont le contact après leurs études.
Rennes, rue Saint-Sauveur où les Poullart étaient voisins de Grignion de Montfort
qui habitait rue du Chapitre.
Rennes, Paroisse Saint-Germain.
Poullart des Places fut baptisé
dans une chapelle qui était située
sur cette Paroisse.
À l’intérieur de cette église,
une grande plaque commémore
l’ évènement.
Esprit brillant, orateur hors-pair, ses maîtres le sélectionnent pour la traditionnelle
soutenance du “Grand Acte” devant le « Tout-Rennes ». Ses qualités d’orateur sont relatées
dans Le Mercure Galant, journal de l’époque : il n’a que 17 ans !
Ses parents l’envoient étudier le droit à Nantes, pour le préparer à entrer
au Parlement de Bretagne. Ils le font aussi rencontrer
une demoiselle de compagnie de la Duchesse de Bourgogne, sœur de Louis xiv.
Mais il renonce à une carrière lucrative et au mariage.
Portrait de Poullart des Places dans sa jeunesse
Après une longue recherche, il évolue spirituellement et se sent appelé
à vouer sa vie à Dieu et aux pauvres,
particulièrement aux jeunes qui ne peuvent pas suivre
une formation sacerdotale de qualité, faute de moyens.
Un fondateur rennais à découvrir
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