Volume 14, numéro 5 - Commission scolaire de la Capitale

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Volume 14, numéro 5 - Commission scolaire de la Capitale
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volume 14, numéro 5
25 avril 2012
50e anniversaire
de l’école Joseph-François-Perrault
Gala Forces AVENIR au secondaire 2012
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Félicitations à nos
trois finalistes!
Au programme Forces AVENIR au secondaire 2012, trois finalistes proviennent
de la commission scolaire. Il s’agit du projet
Change de chaise de l’école JosephFrançois-Perrault qui a été nommé lauréat
de la semaine dans la catégorie AVENIR
Projet engagé, de madame Julie Mathieu,
enseignante en musique à l’école Jean-deBrébeuf et de monsieur Martin Ouellet,
enseignant en sciences et technologies
et en physique à l’école secondaire Vanier,
tous deux lauréats de la semaine dans la
catégorie AVENIR Personnel engagé.
Monique Drolet, directrice, école Joseph-François-Perrault
Sous la présidence d’honneur de monsieur Robert Lepage, ancien élève de l’école Joseph-François-Perrault, avait lieu en
mars, de grandes retrouvailles organisées à l’occasion du cinquantième anniversaire de cette institution.
Il y a 50 ans, l’éducation était un domaine en constante évolution, elle exigeait l’adaptation à de nouvelles réalités et
l’école secondaire publique Joseph-François-Perrault était l’exemple concret de cette évolution du système scolaire
public. Plus de 25 000 élèves ont été formés dans cet établissement, dont plusieurs sont devenus des figures importantes
de la société québécoise.
Lors de son allocution, monsieur Lepage a souligné le fait que c’est sur la scène de l’école qu’il est monté sur les planches
pour la première fois, il y a de cela près de quarante ans. Comme il l’a lui-même fait remarquer, cet événement allait
changer le cours de sa vie, puisqu’il a donné le coup d’envoi à une carrière spectaculaire. Comme les 350 anciens élèves,
les membres du personnel et les dignitaires présents à la célébration, il a pu renouer avec d’anciens camarades et partager
de vieux souvenirs. ■
Votre engagement témoigne, une fois de
plus, de la générosité, de la passion et du
dynamisme qui animent les gens de la
Commission scolaire de la Capitale!
Photo : Annie T.-Roussel
Surveillez le dévoilement des lauréats régionaux au Gala reconnaissance qui aura lieu
le 2 juin au Centre des Congrès et d’exposition de Lévis!
M. Yvon Bussières, conseiller municipal, Mme Agnès Maltais, députée provinciale, M. Robert Lepage, président d’honneur, Mme Monique Drolet, directrice
de l’école, M. Pierre Lapointe, directeur général de la commission scolaire, Mme Annick Papillon, députée fédérale et M. Olivier Tremblay, commissaire à la
commission scolaire.
Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
Des créations qui rapportent
à Château-d’Eau
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Marie-Ève Genest, élève, école de Château-d’Eau
Les élèves de la classe de 5e année de madame Maude Laflamme de l’école de Château-d’Eau
ont vendu leurs créations de bijoux aux Galeries de la Capitale les 24 et 25 mars. Leur minientreprise, les Joyaux du Château, a permis de vendre pour plus de 3 250 $ de bijoux et accessoires.
Tous ces joyaux ont été fabriqués par les élèves dans le cadre de leur projet entrepreneurial.
Les élèves avaient un grand kiosque situé dans l’allée centrale des Galeries de la Capitale.
Ils ont ainsi pu contribuer au financement du terrain synthétique qui sera installé dès le mois
de mai dans la cour de l’école. Madame Maude est très fière de ses élèves, car ils ont travaillé
très fort pour ce projet exceptionnel. Madame Alexandra Guay, directrice de l’école, a été très
impressionnée par la qualité du travail des élèves, l’implication des membres du personnel
et des parents qui ont fait de cette activité un succès. Il faut mentionner que les Joyaux du
Château ont remporté le 1er prix dans la catégorie Primaire 3e cycle au Gala entreprendre de la
commission scolaire et se mérite une somme de 375 $.
De leur côté, les clients ont été étonnés de constater que des élèves de 5e année avaient fabriqué
des bijoux aussi magnifiques. Les enfants et les professeurs ont été félicités pour leur beau
travail. Il demeure encore possible de se procurer ces œuvres exclusives à l’école. ■
Les Olympiques de l’orthographe à l’école Marguerite-Bourgeoys
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Isabelle Desmeules, aide à la direction,
école Marguerite-Bourgeoys
Mesdames Mylène Desbiens et Lucie Duperré, enseignantes, ont orchestré la mise en place des Olympiques de l’orthographe à l’école. Tout au long
du mois de mars, les enseignants ont fait vivre une
multitude d’activités à leurs élèves afin qu’ils se préparent à l’épreuve finale. Ils leur ont entre autres
remis une liste de mots de vocabulaire à étudier pour
se préparer. Toutes les semaines, le professeur
Motourdi visitait les classes et proposait différents
défis afin que les élèves se familiarisent et appliquent
le code de correction de l’école et des stratégies de
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Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
Photo : Louise Leblanc
Pour une troisième année consécutive, l’école
Marguerite-Bourgeoys tenait ses Olympiques de
l’orthographe. Le 5 avril avait lieu la grande finale de
la dictée auprès de tous les élèves. Le personnel et
les élèves ont été honorés de la présence du maire
de Québec, monsieur Régis Labeaume, à qui on avait
confié l’animation et la lecture de la dictée finale
auprès des élèves de 4e, 5e et 6e année.
mémorisation du vocabulaire. Les gagnants de chacune des classes ont reçu un appareil-photo numérique : Aglaë Brown, William Chicoine-Perron, Kelly
Da Prato, Tommy Fortier, Éric-Alexandre Gingras Légaré,
Mélodie Goulet, Adam Jamal, David Jeannotte, Philémon
Beaudet-Mongrain, Laura Matte, Irène Ndikumana, Xuan
Huy Hoang Nguyen, Karen Jimena Ortiz, Seilamoney
Oum et Anthony Petit.
Cette activité est très appréciée et attendue par les
élèves. Les enseignants reconnaissent qu’elle permet
d’accroître la maîtrise du français écrit. ■
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CHRONIQUE
« Ma première journée au secondaire »
Dans le cheminement scolaire d’un élève, le passage du primaire au secondaire constitue une période de transition qui peut être source
de fébrilité et de stress. Pour apprivoiser cette étape majeure, nous vous offrons dans L’informateur, pour l’année scolaire 2011-2012,
le témoignage d’élèves de première secondaire qui ont vécu l’expérience en septembre.
Ma première journée au secondaire
Je vais vous parler de ma
Je m’appelle Mathieu et j’ai 13 ans.
première journée au secondaire.
nt de choses à dire… Ha!
Par où commencer? Il y a telleme me perdre dans l’école.
Je sais, j’avais terriblement peur de ps à mes cours, car j’avais
tem
Je croyais ne pas pouvoir arriver à
Je sais, c’est ridicule!
.
peur de ne pas trouver les locaux m’y habituer. Heureusement
Au bout d’une semaine, j’ai fini par ole pour m’aider.
l’éc
que j’avais des frères et sœurs à
e, j’étais très stressé
De plus, lors de ma première journé
que
parce que tout le monde me disait
s
mai
,
aire
ond
sec
le
e
c’était très difficil
de
r
peu
s
trè
ais
j’av
surtout, parce que
te
ne pas avoir beaucoup d’amis à cet te,
sui
la
par
,
que
école. Heureusement
sque
j’ai remarqué que je connaissais pre
tout le monde.
Mathieu Raymond
élève de
1 re
secondaire
Photo : Simon Clark
Ce que j’ai le plus aimé, lors de ma
première journée, était de revoir mes
amis du primaire et de rencontrer mes
nouveaux professeurs. Surtout, ne
vous en faites pas! Le secondaire
est très amusant et non pas très
« plate » et difficile comme
plusieurs le disent.
ÉCOLE JEAN-DE-BRÉBEUF
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CHRONIQUE
Une commission scolaire… à quoi ça sert?
DANS LE BUT DE DÉMYSTIFIER LE RÔLE ET LA FONCTION D’UNE COMMISSION SCOLAIRE ET
DE SES DIFFÉRENTES DIVISIONS ADMINISTRATIVES, VOUS POURREZ LES DÉCOUVRIR
À TRAVERS CETTE NOUVELLE CHRONIQUE.
Les Services de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes… à quoi ça sert?
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Carole Coulombe, conseillère en communication
Les Services de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes
(SFPEA) regroupent une équipe d’experts qui offre des services de soutien à
notre réseau constitué de sept centres de formation professionnelle et de trois
centres de formation générale des adultes. Notre but ultime étant d’apporter
une contribution significative au développement de services éducatifs de qualité visant la plus grande réussite de nos élèves jeunes et adultes. Pour ce
faire, nous offrons des services d’animation, de promotion, de coordination
de dossiers, de suivi et de services directs dans plusieurs sphères d’activité,
dont les suivantes :
Une équipe œuvre à la reconnaissance des acquis et des compétences acquises
(RAC) hors du système scolaire. Depuis 2009, 225 personnes ont ainsi obtenu
leur diplôme d’études professionnelles après avoir complété leur formation
manquante.
Des moyens sont mis en place pour maintenir à l’école les élèves à risque de
décrochage en leur offrant des parcours de formation mieux adaptés à leurs
besoins. Jusqu’à maintenant cette année, nous avons reçu 150 références :
50 % se sont inscrits en formation professionnelle ou à l’éducation des
adultes, 20 % ont été dirigés vers des organismes d’insertion socioprofessionnelle, 22 % ont été maintenus à l’école et 8 % ont choisi le marché du travail.
De plus, la mise en place d’un parcours de concomitance permet actuellement
à 27 élèves, également à risque de décrochage, de poursuivre leurs études
secondaires tout en apprenant un métier.
Considérant que l’école est un lieu privilégié pour rejoindre les jeunes immigrants et leurs parents, nous travaillons à instaurer une relation de confiance
entre la famille et la société d’accueil et ainsi les accompagner vers les services
appropriés selon leurs besoins spécifiques. Le projet développé par les SFPEA
a permis, depuis le début de l’année scolaire 2011-2012, à plus de 250 familles
nouvellement arrivées d’être soutenues dans leur démarche d’intégration
sociale, scolaire et économique.
La gestion, la production et l’élaboration des examens à des fins d’évaluation
des apprentissages des élèves des sept centres de formation professionnelle
relèvent des SFPEA. Au cours des cinq dernières années, plus de 1 200 épreuves
ont été produites.
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Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
Au cours de la dernière année, une vingtaine de projets de transfert d’expertise
vers les pays en développement, de stage de perfectionnement pour les élèves
et les enseignants, d’admission des élèves étrangers et d’accueil de délégations
étrangères ont été réalisés. L’accueil des élèves étrangers constitue un des
grands défis pour répondre aux besoins grandissants de main-d’œuvre qualifiée au Québec.
Le financement des centres de formation est tributaire du nombre d’élèves qui
les fréquentent. Nous devons nous assurer du respect des normes et procédures
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Le recrutement de toutes ces clientèles
n’est pas une mince tâche et les SFPEA
doivent constamment renouveler leurs approches dans la gestion des stratégies de
communication en formation professionnelle et en formation générale des adultes.
Enfin, les SFPEA sont responsables de
l’émission de près de 4 000 attestations de
formation par année et procèdent, 4 fois
par semaine, à la transmission des résultats
scolaires des élèves et des codes permanents des nouveaux élèves au MELS en
plus d’assurer le respect des règles à suivre
dans l’émission des relevés de notes et des
diplômes. ■
Concours littéraire J’imagine, j’écris, tu lis!
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émises par le ministère de l’Éducation, du
Loisir et du Sport pour obtenir le financement adéquat. L’an dernier, près de 14 000
élèves ont fréquenté nos établissements,
sans compter les 7 000 personnes qui ont
bénéficié des services de formation continue.
Carine Dubé, coordonnatrice du concours, Services éducatifs des jeunes
Pour une troisième année, nous aurons l’occasion d’honorer les
élèves qui se sont distingués dans le cadre du concours littéraire
J’imagine, j’écris, tu lis! Une soirée pimentée de l’univers narratif aura
lieu le 3 mai prochain à l’école secondaire La Camardière. Lors de cet
événement, nous dévoilerons les noms des gagnants de chacune des
catégories. De plus, nous soulignerons la créativité prolifique, les styles distincts
et les efforts soutenus de nos jeunes auteurs. Parmi les 2 500 élèves participants à la 3e édition,
une centaine d’entre eux sera en nomination. Au terme de ce concours, un élève de chacune des dix
catégories sera désigné gagnant. Une expérience unique pour valoriser la réussite de nos élèves en
compagnie de leurs parents et amis. ■
Des violons neufs pour les élèves du programme
de musique de l’école Les Prés-Verts
Nous remercions madame Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition
féminine et monsieur Patrick Huot, député de Vanier, pour leur contribution financière au programme de
musique de l’école Les Prés-Verts. Ce programme existe depuis l’année 2010-2011 et accueille cette année
35 élèves. Un montant de 3 500 $ a été remis à l’école pour faire l’acquisition d’une vingtaine de violons. ■
À SUIVRE
DANS LA PROCHAINE
PARUTION :
LES SERVICES
DES RESSOURCES
MATÉRIELLES...
À QUOI ÇA SERT?
Marusa Gauthier, Patrick Huot, Sonia Doucet, Claudie Pelletier, Lyne Pouliot et Anne Milot en compagnie d’élèves inscrits au programme de musique.
Le chant, une passion qui peut se développer à l’école
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Annie Lachance, directrice adjointe, école secondaire de Neufchâtel
Le slogan de l’école secondaire de Neufchâtel est « Une école pour la vie ». Récemment, cette phrase a pris tout son sens pour les élèves, les membres du personnel
de l’école et la communauté. Au début de mars, nous avons eu l’occasion d’accueillir la vague Star Académie, car la candidate Mélissa Bédard est une ancienne élève
de notre école. Mélissa a découvert sa passion pour le chant à l’intérieur de nos murs. Grâce au soutien des enseignants de musique madame Manon Bilodeau et
monsieur Stéphane Boulanger, notre star a eu la possibilité de s’épanouir à travers son art. Lors des visites de l’équipe de Star Académie et de Patrick Groulx à l’école,
ce sont environ 800 personnes qui se sont déplacées pour apporter support et encouragements à Mélissa. L’école secondaire de Neufchâtel remercie les élèves, les
membres du personnel et de la communauté qui se sont joints à nous! ■
Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
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Christian Camiré, animateur à la vie spirituelle
et à l’engagement communautaire,
école secondaire Roger-Comtois
Après un superbe voyage en 2010, un autre groupe
d’élèves de l’école secondaire Roger-Comtois s’est envolé
pour le Guatemala en mars dernier. Ce sont 42 jeunes
de la 3e à la 5e secondaire qui ont vécu une expérience
humaine inoubliable. Cette année, l’école a parrainé la
construction d’une tour d’eau dans une école. Le groupe
qui avait fait le précédent voyage avait vécu la dure réalité
des fréquentes pannes d’eau. Les réservoirs qui ont été
installés procureront de l’eau toute la journée pour étancher la soif et pour les services sanitaires.
L’Odyssée surf sur les ondes!
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Un nouveau
groupe d’élèves
au Guatemala
Doreen Perrault, animatrice à la vie
spirituelle, sociale et communautaire,
école secondaire l’Odyssée
Le 16 mars, l’école secondaire l’Odyssée a accueilli
de distingués invités à l’occasion de l’inauguration
officielle de sa nouvelle radio étudiante. Parmi
ceux-ci, le député de la Peltrie, monsieur Éric
Caire, une commissaire de la commission scolaire,
madame Line Godin, ainsi qu’une représentante
de la Caisse Desjardins du Piémont-Laurentien,
madame Danielle Châteauvert, nous ont fait
l’honneur de leur présence. La cérémonie était
dirigée par la présidente de notre Parlement étudiant, Christine Kayitesi, élève de 3e secondaire.
Nous avons profité de l’occasion pour féliciter
l’enseignant responsable du projet, monsieur
Louis Chabot, qui s’est investi corps et âme dans
ce projet de radio étudiante. Tous les élèves impliqués ont également été félicités et même plus,
ils ont été inspirés par le discours du député qui a
déjà été animateur de radio!
Finalement, ce fut l’occasion pour l’un de nos
commanditaires, la Caisse Desjardins du PiémontLaurentien, de nous remettre un chèque de
4 800 $ pour les projets à réaliser en 2012 :
L’Odyssée culinaire, le triathlon de l’Odyssée et
Studi-Odyssée. ■
Les élèves sont de retour avec une forte conscience de
l’importance de l’accès à l’eau potable. Des images d’un
magnifique pays et des souvenirs d’un peuple accueillant
et coloré, au sourire contagieux resteront gravés dans leur
mémoire. ■
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Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
Photos : Simon Clark
Une vingtaine de valises contenant des articles scolaires,
de sport, des vêtements, des brosses à dents et plus de
300 poupées tricotées par des artisanes de la HauteSaint-Charles, ont accompagné les jeunes tout au long
du périple. Les poupées ont été offertes par la classe de
madame Monique Boutet de l’école du Beau-Séjour à
Saint-Émile.
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1re école secondaire de la ville de Québec à participer à la compétition Robotique FIRST Québec
Des élèves de l’école Jean-de-Brébeuf
conçoivent un robot capable de jouer au basketball
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Carrefour jeunesse-emploi Capitale Nationale
La compétition de Robotique First Québec a eu lieu en
mars au stade Uniprix de Montréal. Une vingtaine
d’élèves de l’école Jean-de-Brébeuf ont représenté
dignement la première école secondaire de la ville de
Québec à participer à cette compétition regroupant près
de 5000 personnes provenant de 67 écoles.
Les compétitions de Robotique First Québec sont des
évènements tenus internationalement où des jeunes du
secondaire sont appelés à faire preuve d’ingéniosité pour
développer, en six semaines, un robot qui peut accomplir
certaines tâches liées à un sport robotisé, le basketball.
Cette compétition permet aux jeunes de développer
plusieurs habiletés sociales, individuelles et professionnelles, en plus de qualités entrepreneuriales. Sur place,
l’équipe de robotique Les Aquilons était encouragée par
la troupe de danse ainsi que par des élèves de l’école.
Tous les jeunes présents ont adoré leur participation à
cette compétition à l’ambiance survoltée. L’équipe a
bien réussi lors de la compétition en atteignant le quart
de finale.
Selon Eddy Jeffrey, un élève qui a participé à l’élaboration de la mécanique du robot : « C’est vraiment un
projet intéressant et stimulant. Ce fut une super belle
expérience. L’atmosphère dans les puits était vraiment
électrisante. Pour moi, le projet robotique m’a motivé à
demeurer sur les bancs d’école et m’a éclairé sur mon
cheminement de carrière ». Une autre participante au
projet, Camille Montfort, qui a oeuvré au sein du comité
promotion, mentionne que : « Faire le design du robot
était amusant et la conception 3D m’a permis de
découvrir certaines facettes du métier que je voudrais
faire plus tard. ■
Un mois de création et de partage artistique à Roger-Comtois!
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Michelle Lefebvre et Anik Sauvé, enseignante en arts plastiques,
école secondaire Roger-Comtois
Le 2 avril, l’école secondaire Roger-Comtois entrait avec dynamisme dans
le mois des arts plastiques au son d’une scie à chaîne! En effet, l’artiste
Marc Lepire a fait une impressionnante prestation en direct à l’agora de
l’école en sculptant un cygne aux ailes ouvertes. Ses habiletés artistiques
ont ébahi la foule. Cet évènement sons et lumières soulignait le lancement
du programme des activités artistiques concoctées par les enseignants
en arts plastiques. Pendant le mois d’avril, à l’heure du dîner, les élèves et
le personnel auront la chance de créer une œuvre, lors d’ateliers de body
painting, de peinture en direct, de peinture sur acétate et en aérosol. ■
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Le Sénat français à l’École de foresterie et de technologie du bois
de Duchesnay : défis et solutions de l’industrie forestière
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Marie-Claude de la Poterie, agente de développement en internationalisation de l’éducation, Services de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes
Le 22 mars, l’École de foresterie et de
technologie du bois de Duchesnay ouvrait ses portes à une délégation sénatoriale française venue au Québec dans le
cadre d’échanges sur la thématique de
l’industrie forestière. Composée de cinq
sénateurs avec, à la tête de ce Groupe
d’amitié interparlementaire FranceQuébec, son président et sénateur de
Haute-Savoie, monsieur Jean-Claude
Carle, la délégation a reçu un accueil
chaleureux de la part de la présidente de
la commission scolaire, madame Murielle
Gingras, du directeur de l’École de
foresterie, monsieur Luc Tremblay ainsi
que du député de Portneuf, monsieur
Michel Matte.
Le programme proposé aux sénateurs
visait à offrir un aperçu des défis et des
solutions de la crise forestière tels qu’inspirés de l’expertise québécoise, notamment en formation professionnelle. À la
suite de la visite des installations
comprenant l’unique scierie-école en
Amérique du Nord, plusieurs intervenants
ont pris la parole afin de mettre en
exergue ce qui constitue la valeur ajoutée
de la formation professionnelle québécoise : une approche par compétences
étroitement liée aux besoins de l’industrie,
M. Jean-François Humbert, M. André Gattolin, M. Jean-Marc Todeschini, M. Luc Tremblay, M. Jean-Claude Carle, M. Mario Welsh,
Mme Anne-Laure Saint-Dizier, Mme Murielle Gingras, M. Bernard Fournier et M. Jonathan Lamarche.
une compréhension des enjeux économiques de l’industrie forestière - notamment en regard des exportations - ainsi
qu’un service aux entreprises offrant des
cours sur mesure adaptés aux exigences
du secteur privé. Un bref aperçu des
projets de transfert d’expertise à l’inter-
national a précédé la présentation d’un
dossier prometteur : la formation d’élèves
étrangers. À cet effet, Jonathan Lamarche,
conseiller d’orientation, a souligné l’entente Québec-France qui permet aux
citoyens français de bénéficier d’une
exemption de frais de scolarité supplé-
mentaires. Avec plus de 75 ans d’expérience, l’École de foresterie et de technologie du bois de Duchesnay offre des
solutions nationales et internationales aux
défis de la formation professionnelle en
foresterie. ■
Visite à l’EMOICQ : le Châteauguay Valley Career Education
Center s’intéresse aux transferts d’expertise internationaux
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Marie-Claude de la Poterie, agente de développement en internationalisation de l’éducation, Services de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes
Après la lecture d’un article relatant le transfert d’expertise de l’EMOICQ en Uruguay, une délégation de la Commission scolaire New Frontiers est venue le 2 avril
sonder l’expertise internationale développée à la Commission scolaire de la Capitale.
Monsieur Denis Lemieux, directeur des Services de la formation professionnelle et de l’éducation des adultes, a abordé les thématiques de la mobilité étudiante
et enseignante, de la coopération et du développement international et de l’admission d’élèves étrangers, puis a présenté les projets internationaux réalisés.
Une visite du Centre Semple a permis aux délégués d’apprécier l’ampleur des installations nécessaires au programme de charpenterie-menuiserie. Occupés à maîtriser
les compétences du métier, les élèves ont démontré ce qui, à l’international, fait figure de modèle d’enseignement et motive nombre de transferts d’expertise. ■
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Capsules stratégiques
CAPSULE MAÎTRISONS LE FRANÇAIS
PROFESSEUR, ENSEIGNANT, INSTITUTEUR
Le mot PROFESSEUR, PROFESSEURE,
désignant la fonction, s’emploie au
secondaire, au collégial et à l’université. Cependant, seuls les professeurs
d’université peuvent porter le titre de
PROFESSEUR et, par conséquent, se
faire appeler PROFESSEUR UNTEL.
Le terme ENSEIGNANT est un générique. Toute personne qui enseigne
est un ENSEIGNANT, une ENSEIGNANTE.
Enfin, le mot INSTITUTEUR, INSTITUTRICE s’applique aux enseignants du
primaire et de la maternelle.
« Professeur, enseignant, instituteur »
dans Chouinard, Camil. 1500 pièges
du français écrit et parlé au Québec
et au Canada, 3e éd. rev. et augm.,
Québec, Les Éditions La Presse,
c2006, p. 265.
Gracieuseté des Éditions La Presse
CAPSULE SANTÉ GLOBALE
Le bonheur est dans le sport
Saviez-vous que lorsque nous pratiquons une activité physique d’endurance, comme la course à pied, la marche, la natation ou le vélo, notre corps sécrète des
endorphines qu’on appelle aussi « les hormones du bonheur »? Libérées par le cerveau pendant et après l’activité physique, ces hormones concourent à nous
donner un sentiment proche de l’euphorie. En se dispersant dans le système nerveux central, dans les tissus et le sang, elles agissent pour calmer la douleur et
accroître le bien-être. En outre, des recherches en cours tendent à démontrer que ces hormones permettraient :
•
•
•
•
d’améliorer l’efficacité du système immunitaire;
de réduire le stress;
de combattre la dépression;
de retarder le processus de vieillissement.
Autant d’avantages tangibles qui rehaussent la qualité de vie. Pourquoi nous en priver?
Source : Ssq.ca
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Capsules stratégiques
CAPSULE ÉCOLO, LE SAVIEZ-VOUS?
Simple, écologique et économique : l’herbicyclage
Herbicyclage, voilà un terme bien savant pour désigner une façon de faire qui est pourtant des plus faciles à mettre en pratique :
laisser le gazon coupé sur la pelouse lors de la tonte.
LAISSONS LA NATURE FAIRE SON TRAVAIL
Les résidus de tonte de gazon constituent un
excellent fertilisant naturel qui fournit pas moins
de 30 % des éléments minéraux nécessaires à la
pelouse. Composés à 80 % d’eau, ils étanchent
une bonne partie de la soif de la pelouse. Ils
fertilisent très efficacement cette dernière en la
maintenant en santé et en prévenant l’apparition
d’insectes, de mauvaises herbes et de maladies.
CONSEILS POUR UNE PELOUSE
ÉCOLOGIQUE
• Maintenez une hauteur de tonte de 7,5 à 8 cm.
La première et la dernière tonte font exception.
Elles doivent être effectuées à 5 cm.
• Évitez de surfertiliser la pelouse avec des
engrais chimiques. Préférez l’herbicyclage et
l’utilisation du compost ou des engrais naturels.
• Évaluez l’état de santé du sol. Au besoin, effec• Plus besoin de ramasser le gazon coupé, de l’ensacher et de le mettre à la rue.
• Moins d’heures consacrées à la fertilisation et
à l’arrosage de la pelouse.
• Plus besoin d’acheter des sacs pour y mettre le
gazon coupé en vue de sa collecte.
• Moins de dépenses liées à l’achat d’engrais ou
de compost.
• Moins de frais générés par le transport et
le compostage des résidus de gazon pour la
municipalité.
tuez une aération dans le cas d’un sol compacté
et ajoutez de la chaux dans le cas d’un sol trop
acide.
• Minimisez les arrosages, sauf pour les pelouses
qui ont été implantées dans la saison.
• Contrôlez l’envahissement des pissenlits en les
arrachant à la main ou en effectuant la tonte
avant que les fleurs ne se transforment en
graines.
• Optez pour des plantes couvre-sol, des matériaux inertes, etc., lorsque les conditions ne sont
pas propices à la culture de la pelouse.
Source : Herbicyclage,[En ligne], 2012. Ville de Québec, [http://www.ville.quebec.qc.ca/environnement/ matieres_residuelles/herbicyclage.aspx]
(Consultée le 3 avril 2012).
La prochaine date de tombée pour les textes de L’informateur est le 11 MAI 2012.
Commission scolaire de la Capitale
1900, rue Côté
Québec (Québec) G1N 3Y5
La forme masculine utilisée dans les textes désigne autant les femmes que les hommes. Les photographies d’élèves doivent être accompagnées des formulaires d’autorisation parentale
signés. Merci de rédiger des articles d’une longueur maximale de 200 mots, en indiquant l’auteur du texte. Faites parvenir le tout à [email protected].
Production : Secrétariat général | Coordination et rédaction des textes (sauf indication contraire) : Ephi Papakiritsis-L’Archer | Collaboration : Christine Spychala
Design graphique : ExtremeConcept.ca
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Le journal de la Commission scolaire de la Capitale
Dépôt légal • Bibliothèque et Archives Canada, 2012 • L’informateur peut être consulté sur le site Internet www.cscapitale.qc.ca
DES ÉCONOMIES DE TEMPS ET D’ARGENT

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