dossier de presse - Association des Journalistes du Patrimoine
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dossier de presse Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.02 Exposition Rodin, le laboratoire de la création du 13 novembre 2014 au 27 septembre 2015 Musée Rodin Contact avec la presse Agence Observatoire [email protected] T. 01 43 54 87 71 Couverture Charles Bodmer (1854-1934), Tête de Saint Jean-Baptiste sur une sellette, vers 1887, épreuve gélato argentique, 16 x 11,6 cm, Ph. 2507, © musée Rodin Conception graphique Intégral Ruedi Baur Paris Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.03 p. 1— communiqué de presse p. 2— Éditorial p. 3— Parcours de l’exposition p. 11— glossaire p. 13— Autour de l’exposition p. 14— Liste des œuvres exposées p. 18— Visuels pour la presse p. 20 — LA LIBRAIRIEBOUTIQUE Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.1 Musée rodin paris Communiqué de presse RODIN, LE LABORATOIRE DE LA CRÉATION 2014 – 13 NOVEMBRE 2014 – 27 SEPTEMBRE 2015 L’exposition nous introduit dans le secret de l’atelier du sculpteur, véritable laboratoire de la création et creuset d’une Œuvre. Un ensemble unique de cent cinquante plâtres et terres cuites souvent inédits, est sorti des réserves à cette occasion. Il permet de suivre le parcours exceptionnel du sculpteur. Le visiteur plonge au cœur du processus de création, invité, par l’exercice de son regard, à percevoir les chemins, les hésitations, mais aussi les fulgurances de la pensée formelle de Rodin. Porte de l’Enfer, monuments aux Bourgeois de Calais ou à Victor Hugo, Balzac, Muse Whistler… Les œuvres les plus célèbres et les plus abouties émergent peu à peu de l’esprit et des mains de Rodin, aboutissements d’un travail prodigieux et de très nombreux travaux préparatoires : études et esquisses de terre malaxées vigoureusement, maquettes, épreuves de plâtre moulées en série, puis retravaillées jusqu’à obtenir la version finale… L’œuvre se construit sous nos yeux, les visages s’animent, les nus prennent position, avant d’être drapés, tandis que les abattis – ces membres séparés du corps (têtes, mains, bras, pied) – sont étudiés comme des morceaux de choix, des gestes isolés, avant d’être réintégrés à l’œuvre définitive. C’est une véritable profusion créatrice qui s’empare de l’artiste à chaque projet, une efflorescence de l’imaginaire qui explore, sonde, expérimente… Les séries constituées par les œuvres définitives, ainsi que par les études et les modèles préalables qui ont présidé à leur conception, seront complétés par des photographies prises dans les ateliers de Rodin, ou retouchées par lui pour affiner son idée, chercher un profil, élaborer ses compositions. C’est donc en quelque sorte le cheminement qui précède le « chef d’œuvre » qui sera donné à voir. Commissaire général Catherine Chevillot, directrice du musée Rodin Commissaires de l’exposition Hélène Marraud, chargée des sculptures Hélène Pinet, responsable de la recherche et des collections de photographies Charles Bodmer, Tête de St Jean-Baptiste sur une sellette, vers 1886 E. Druet, Rodin au milieu de ses plâtres, épreuve gélatino argentique E. Druet, Le Baiser, vers 1898, épreuve gélatino argentique Hors série avec les éditions Faton, 10 € Lecture théâtrale mercredi 3 décembre à 19 h Visite-conférence le dimanche à 15 h Visites en famille pendant les vacances de Noël Contact Presse Observatoire Sarah T. +33 (0)1 43 54 87 71 [email protected] Musée Rodin 79, rue de Varenne 75007 Paris T. +33 (0)1 44 18 61 10 M° Varenne Du mardi au dimanche de 10h à 17h45 Nocturne le mercredi Jusqu’à 20h45 Billetterie et programme www.musee-rodin.fr Édition du 21 octobre 2014 Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.2 ÉDITORIAL Laboratoire et création artistique : les deux termes peuvent paraître antinomiques, leur association insolite, voire grotesque. Il ne fait pas de doute que création et élaboration sont des réalités qui se chevauchent. Des « Beaux-Arts », la sculpture est certainement un domaine dans lequel l’élaboration non seulement déborde largement la phase de conception, mais entretient avec a production, le façonnage, la matérialité, des rapports moins simples qu’il n’y paraît. Chez Rodin, plus peut-être que chez tout autre artiste du xixe siècle, la réalisation ne suit pas la conception, les deux s’accompagnent et s’entrelacent, s’interpénètrent, dans une dialectique sans cesse renouvelée. Le laboratoire, ce « lieu où se prépare, s’élabore quelque chose », nous a paru le plus adéquat à rendre compte de ce que nous voulions ici montrer au visiteur : la maturation de l’œuvre ; en quelque sorte, le chef-d’œuvre avant le chef-d’œuvre. Le processus créatif de Rodin a été considéré sous de multiples angles de vue : techniques (moulage, marcottage…), inventions (assemblage, agrandissement…), postures (inachèvement, fragmentation). Toutes ces facettes sont réelles, passionnantes, novatrices. Mais ce qui en fait l’unité, la cohérence, est la démarche très particulière de l’expérimentation. Rodin n’est pas un artiste pour lequel la sculpture est cosa mentale, mais cosa materiale. L’atelier est pour le public l’objet de tous les fantasmes. Il est pour l’artiste tout à la fois le lieu des labeurs et des victoires, des errances et des achèvements. S’il ressemble parfois davantage, dans les représentations des peintres, à un salon mondain, l’atelier reste souvent, pour le sculpteur, un local froid, malsain, des linges humides recouvrant les terres en cours, taché des éclaboussures de terre ou de plâtre, poussiéreux des éclats de taille. Il est d’abord le lieu de recherche des masses et des formes, des compositions et des modelés. Dans ses méthodes même, l’artiste joue sans cesse sur la variation, la reprise et la permutation, qui prêtent aux formes une infinité de vies intermédiaires conservées dans le secret de l’atelier. Cette recherche a un médium privilégié : le plâtre. Longtemps décrié au xxe siècle, rejeté comme le matériau du moulage et donc de la reproduction, il est pourtant pour Rodin le matériau de la création et de l’invention. Il est même par-dessus tout le matériau de la plus grande liberté, par la facilité de sa mise en œuvre et les possibilités de reprise, de découpe, de réplique qu’il offre. Il est matière immaculée pour un art qui est avant tout celui de l’espace et de la lumière. Dans cette ambiance de réinvention permanente qu’il sait faire régner autour de lui, Rodin garde toujours à ces mutations formelles une profonde logique organique, qui renforce encore l’analogie entre sa propre image de patriarche-démiurge et celle des métamorphoses de l’univers mythologique. Sa pratique fondamentalement expérimentale, son regard perpétuellement à l’affût font surgir des transfigurations successives. Qu’il procède par changement subtil ou brutal, il cherche l’éclosion de la chrysalide à la lumière de l’inattendu. Catherine Chevillot Conservateur général du patrimoine Directrice du musée Rodin Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.3 parcours de l’exposition Pendant la rénovation de l’hôtel Biron, le musée Rodin présente les chefs-d’œuvre de sa collection sous l’angle inédit du travail d’atelier et du geste créateur. C’est dans les ateliers d’Auguste Rodin (1840-1917), où travaillent de nombreux d’assistants, mouleurs et modèles, que l’œuvre du sculpteur se construit et se déploie dans toute son ampleur. Pour restituer cette atmosphère de travail et d’expérimentation, l’exposition présente près de 140 œuvres, dont plus de cent plâtres, 1— Anonyme Ugolin en terre Entre 1880-1881 Ph. 293 2— Auguste Rodin Ugolin Plâtre S. 2391 3— Auguste Rodin Ugolin et ses enfants Bronze S. 1427 exceptionnellement sorties des réserves. Proches de la main de l’artiste, ces études, maquettes et œuvres en cours mettent en lumière le processus de création dans son intensité et sa diversité. De ce « laboratoire de la création » témoignent également les nombreuses photographies que Rodin fait réaliser dans l’atelier tout au long de sa carrière, d’abord pour illustrer les textes de journalistes et de critiques, puis en vue de reproduire et diffuser l’ensemble de son œuvre. Les photographes professionnels, comme Charles Bodmer, Freuler et Victor Pannelier, Jacques-Ernest Bulloz, et amateurs, comme Eugène Druet, se succèdent dans l’atelier, rendant compte chacun à leur manière de la sculpture de la Rodin et de son environnement. Rodin ouvre également les portes de son univers à des photographes de l’école pictorialiste, comme Edward Steichen, Stephen Haweis & Henry Coles, qui proposent alors une véritable interprétation de l’œuvre du sculpteur. Le parcours proposé retrace la carrière de Rodin, des débuts aux importantes commandes publiques : Porte de l’enfer (1880-1900), monuments dédiés aux Bourgeois de Calais (1889), à Victor Hugo (1889-1897, 1901), à Balzac (1898) ou au peintre Whistler (1916, inachevé). Les œuvres achevées en bronze et en marbre sont à découvrir dans le jardin du musée. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.4 1— Jeunesse et formation 1— Gaudenzio Marconi (1842-après 1885) Auguste Neyt, modèle de l’Age d’airain 1877 Ph. 270 « Être artisan avant d’être artiste » (Rodin) 2— Auguste Rodin L’Age d’airain 1877 Plâtre S. 165 de proches, Homme au nez cassé), dessine au Louvre Rodin entre à 14 ans à l’École impériale spéciale de Dessin et de Mathématiques et de, dit « Petite école », mais échoue au concours d’entrée à l’École des Beaux-Arts. Il réalise des travaux personnels (portraits et suit les cours de Barye. Il se forme dans des ateliers de sculpteurs, dont Carrier-Belleuse, spécialisé dans la production de sculpture décorative, qui le fait entrer à la manufacture de Sèvres. Rodin le suit plus tard à Bruxelles où il exécute des travaux de sculpture décorative monumentale publique (Bourse du commerce) et privée (Cariatides et Atlante du boulevard Anspach). Sa découverte des tombeaux de Michel-Ange, dans la sacristie San Lorenzo à Florence en 1876, marque définitivement son travail. L’Âge d’Airain (1877) en témoigne, malgré la polémique suscitée lors de sa présentation à Bruxelles et au Salon à Paris : l’accusation de moulage sur le modèle vivant, démentie plus tard, attire l’attention sur l’exceptionnelle qualité du modelé. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.5 2— La Porte de l’enfer, 1880-1900 1— Anonyme Maquette de la Porte de l’Enfer en plâtre Vers 1881 Ph. 284 2— Victor Pannelier (1840-après 1907) Le Penseur en terre, retouche à la mine de plomb Juillet 1882 Ph. 288 3— Charles Bodmer (1854-1934) Jeune mère à la grotte en plâtre Vers 1885 Ph. 8131 « La terrible Porte close » (Mauclair) Destinée à un musée des Arts décoratifs dont le projet sera abandonné, cette « porte décorative ornée de bas-reliefs représentant la Divine Comédie du Dante » est commandée à Rodin selon ces termes en 1880. Comme Ingres ou Delacroix, le sculpteur s’inspire de l’Enfer, la partie la plus sombre, mais aussi la plus expressive, de la trilogie de Dante (1307-1321). La structure générale de la Porte rappelle les portails romans et gothiques chers à Rodin. À l’origine, les vantaux sont compartimentés à la manière des modèles florentins de la Renaissance (baptistère de Ghiberti à Florence). Dès 1881-1883 les figures envahissent peu à peu l’espace, tels Ugolin ou les amants tragiques Paolo et Francesca (préfiguration du Baiser) emportés dans un tourbillon qui évoque les cercles de l’enfer. Au centre du tympan, le Penseur, alias Dante, le créateur ou le poète, médite sur la tragique destinée des damnés. Exposée une seule fois, en 1900, dans sa version « minimale » (sans les figures), le monument inabouti de la Porte est pour Rodin un répertoire de formes et l’œuvre d’une vie. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.6 3— Monument des Bourgeois de Calais, 1884-1889 1— Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête type C Vers 1885-1886 Plâtre S. 438 « Six hommes d’abnégation » (Mauclair) 2— Auguste Rodin Jean d’Aire, tête, état définitif 1887 Terre cuite S. 314 victorieux, au terme du siège de 1346-47 lors Ce n’est pas un héros magnifique que célèbre Rodin, mais le sacrifice collectif de six notables de Calais, partant remettre les clefs de la ville au roi d’Angleterre de la guerre de Cent ans. Ce monument est commandé à Rodin en 1884 par la ville de Calais qui souhaite ainsi réaffirmer l’identité de la ville, menacée par un rapprochement avec la commune voisine de Saint-Pierre. Rodin donne à chaque figure, étudiée nue avant d’être drapée de la tunique du condamné, un geste et un mouvement particuliers – du désespoir à l’abandon, de la confiance à la résignation – mais le sentiment dramatique est jugé excessif par le comité. Les têtes et les mains, dotées d’une grande puissance d’expression, sont étudiées à part, puis par la suite réutilisées, réduites ou agrandies. Le monument réalisé est installé en 1895 sur la place de l’hôtel de ville de Calais, sans toutefois respecter le souhait de Rodin qu’il soit présenté très haut – pour qu’il se détache sur le ciel – ou sur le sol, « à même les dalles de la place, comme un vivant chapelet de souffrance et de sacrifice » (Rodin). Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.7 4— Victor Hugo, 1889-1897 En 1883, Rodin réalise « à l’arraché » le portrait 1— Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Projet en plâtre pour le monument à Victor Hugo Ph. 1035 2— F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909 Ph. 1207 3— Auguste Rodin La Muse tragique 1890 Plâtre S. 1992 de Victor Hugo, qui refuse de poser mais lui ouvre les portes de sa maison. Il reproduit dans la terre les caractéristiques du visage du poète qu’il saisit au vol, de mémoire ou d’après de rapides croquis. De nombreuses répliques et réductions de ce buste apparaissent à la mort de l’homme de lettres en 1885, tandis qu’en 1889, l’État confie à Rodin la réalisation d’un monument commémoratif pour le Panthéon. Un premier projet représentant Victor Hugo assis sur les rochers de Guernesey lors de son exil, le bras tendu pour calmer les flots de la tempête et de l’histoire, et accompagné de sirènes et des muses inspiratrices – Muse tragique et Voix intérieure – ne répond pas aux critères de composition demandés. Une version en marbre est commandée pour les jardins du Palais royal, dont le socle imposant est fait d’énormes blocs. Une autre maquette est demandée au sculpteur pour le Panthéon, dans laquelle le poète est debout, de façon à s’accorder avec le Monument à Mirabeau par Injalbert, qui lui fait pendant. Rodin travaille jusqu’en 1897 à cette Apothéose de Victor Hugo qui restera sans suite. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.8 5— Balzac, 1891-1898 1— Auguste Rodin Balzac, étude définitive pour la tête, variante Vers 1897 Pâte à modeler S. 265 « La résultante de toute ma vie, le pivot même 3— Eugène Druet (1867–1916) Balzac dans l’atelier du Dépôt des marbres 1898 Ph. 2812 Honoré de Balzac (1799-1850). Enthousiaste, le 3— Eugène Druet (1867–1916) Rodin au milieu de ses œuvres dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1902 Ph. 203 de mon esthétique. » (Rodin) Sous l’impulsion de son nouveau président Emile Zola, la Société des gens de lettres confie à Rodin en 1891, l’exécution d’une statue du grand écrivain sculpteur veut évoquer la puissance de création de ce génie littéraire, et refuse de réaliser l’image conventionnelle d’un homme quelconque vêtu d’un habit d’époque, une plume à la main. Rodin se renseigne sur l’écrivain, lit ses œuvres, étudie ses portraits existants peints (Boulanger), sculptés (David d’Angers) et photographiques (comme le « portrait à la bretelle » de Bisson, reproduit par Nadar à l’intention de Rodin vers 1892). Un séjour en Touraine sur les traces de Balzac permet au sculpteur de saisir le type, « l’air de race » propre aux natifs de la région. Il fait également poser Estager, dit « le Conducteur de Tours », point de départ des études de tête pour Balzac. Parallèlement, les nus se succèdent dans l’atelier : nu au gros ventre, comme en gestation de l’œuvre immense, ou en athlète vigoureux. L’ample drapé de la fameuse robe de chambre de travail (inspirée de la robe de bure des chartreux) vient couvrir le corps en masquant tous les détails physiques au profit d’une forme simplifiée à l’extrême, au sommet de laquelle culmine une tête au regard visionnaire. La présentation de la statue au Salon de 1898 donne lieu à un scandale : l’œuvre est refusée par le commanditaire qui affirme avoir « le devoir et le regret de protester contre l’ébauche que M. Rodin expose au Salon et dans laquelle […] il se refuse à reconnaître la statue de Balzac ». Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.9 6— Monument à Whistler, 1905-après 1916 1— Auguste Rodin Monument à Whistler, 1905 Terre cuite S. 120 2— Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) La Muse Whistler dans l’atelier du Dépôt de marbres 1908 Ph. 2180 Une allégorie sensible et vivante Le monument au peintre James McNeill Whistler (1834-1903) est commandé à Rodin en 1905 par l’International Society of Sculptors, Painters and Gravers de Londres, dont Whistler fut l’un des fondateurs. Après l’échec du Balzac, le sculpteur choisit d’évacuer la question de la ressemblance dans les projets commémoratifs. Rodin réalise une grande figure féminine, une « Muse grimpant à la montagne de gloire », pour laquelle il fait poser une jeune peintre britannique, Gwendolen Mary John. Il produit d’après son modèle de nombreuses études de bras, de jambes et de têtes pour trouver l’inclinaison et l’expression qui conviennent. C’est une allégorie bien vivante, au dos « sublime, rembranesque » (selon le critique Vauxcelles), qu’il expose avec un succès pourtant mitigé au Salon de 1908. Après en avoir drapé les hanches à la manière de la Vénus de Milo, Rodin place au creux du genou replié un coffret de plâtre, moulage d’un petit autel funéraire de sa collection d’antiques. Cet objet rapporté et intégré à la composition permet à l’artiste d’évoquer la mémoire de l’artiste disparu sans en faire le portrait. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.10 7— Pierre de Wissant, nu monumental sans tête ni mains Réalisée en 1886, cette étude préparatoire pour Pierre de Wissant est exposée presque quinze ans plus tard, en 1900, à l’entrée du pavillon de l’Alma, lors de la grande rétrospective consacrée à Rodin. Cette étude y est présentée comme une œuvre à part entière, digne et fragmentaire, où l’absence de membres participe de l’esthétique de Rodin qui tend vers une forme concentrée, réduite à l’essentiel. Les photographies de l’œuvre, réalisées par Stephen Haweis et Henry Coles, sont volontairement inversées, prolongeant l’acte créateur du sculpteur en proposant une vision 3— Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Étude pour Pierre de Wissant 1903-1904 Ph. 1336 renouvelée et inédite de ce nu monumental. Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.11 glossaire Abattis Épreuve Plâtre Terme d’atelier employé par Rodin Chacun des exemplaires obtenus Longtemps considéré comme matériau pour désigner des morceaux de corps par tirage d’un moule. Le matériau de travail, les œuvres en plâtre (tête, main, bras, pied, jambe), de l’épreuve peut être coulé sont aujourd‘hui considérées comme modelés puis moulés et tirés en série, (plâtre, barbotine) ou pressé dans des œuvres à part entière, plus proches pour être ensuite utilisés dans des le moule (terre malléable). de la main de l’artiste. assemblages. Marbre Plâtre gomme-laqué Agent démoulant Une œuvre en marbre s’obtient par Plâtre enduit d’une résine appliquée Revêtement utilisé pour faciliter la technique de la taille qui, au moyen à la surface d’une épreuve en plâtre, la prise d’empreinte et le démoulage d’outils spécifiques (ciseau, gradine, le plus souvent pour servir d’agent d’une épreuve. pointes, etc), permet de dégrossir démoulant. Sa teinte peut aller de l’ocre le bloc, puis d’ébaucher et de faire rosé au brun, et garder un aspect émerger les formes en se basant sur brillant. Agrandissement Copie à plus grande échelle d’une œuvre sculptée, exécutée à l’aide d’un pantographe. Bronze Une sculpture en bronze s’obtient par le coulage du bronze en fusion dans un moule réfractaire à la forme de la sculpture. Couture Excédent de matière qui subsiste sous forme de lignes en relief sur la surface externe d’une épreuve. Les coutures correspondent aux interstices séparant les différentes pièces du moule et peuvent être supprimées après l’extraction de l’épreuve. Rodin pouvait les conserver comme des traces-témoins du processus de réalisation. Éditions des bronzes du musée Rodin Conformément à la Donation de Rodin à l’État français, le musée Rodin procède à des éditions originales de bronzes, limitée à 12 exemplaires par la réglementation une maquette, dite aussi modèle de mise aux points. le modèle puis reportés sur le matériau Toute œuvre façonnée en recourant à tailler. Ils délimitent les formes à la technique du modelage, d’une œuvre sculptée, dans le procédé qui consiste à travailler l’argile ou de la taille avec mise-aux-points. la cire en leur donnant une forme particulière. Assistant chargé de tailler un marbre, par un système de report de points, Epreuve utilisée comme modèle dans à partir du modèle qui lui a été confié le processus de la fonte. Le plus par le sculpteur. souvent, le modèle de fonderie est une épreuve en plâtre issue d’un moule, et préparée pour les opérations de moulage : découpe des parties Réduction Copie à plus petite échelle d’une œuvre sculptée. Exécutée au pantographe. les plus saillantes qui seront moulées Stuc à part, et application d’un agent Mélange à base de plâtre mêlé démoulant (gomme-laque le plus de ciment, de glycérine, de dextrine souvent). et de chanvre en polochon, utilisé Modèle de mise aux points Modèle sur lequel sont établis des points de repères (clous, mais pour exécuter des ornements d’architecture. Terre cuite aussi points, ronds ou croix estampée ou modelée tracés au crayon), qui seront ensuite Une terre cuite est une œuvre reportés sur le bloc à tailler. en argile qui a été cuite, et qui peut ces éditions doivent remplir trois Opération consistant à prendre conditions posées par la Cour une empreinte en plâtre sur l’œuvre de cassation : les épreuves en bronze en marbre. Cette empreinte doivent être coulées à partir d’un permet de réaliser un moule à partir modèle en plâtre ou en terre cuite duquel des épreuves en plâtre réalisé par Rodin personnellement ; peuvent être tirées. Par extension, leur tirage doit être limité ; elles ce terme désigne l’épreuve reproduisant doivent être strictement et en tous un marbre. agréées. Praticien Modèle de fonderie Moulage de marbre que Rodin avait personnellement Ensemble des points tracés sur Modelage en vigueur. Pour être originales, points identiques à celles Points de repères soit résulter d’un modelage effectué à la main ou à l’aide d’outils (modelage), soit avoir été pressée dans un moule (estampage). Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.12 Autour de l’exposition Exposition Présentation informations Le musée Rodin du 13 novembre 2014 aux enseignants pratiques remercie au 27 septembre 2015 mercredi 19 novembre de 15 h à 17 h 30 Musée Rodin 79 rue de Varenne Commissaires Réservé aux enseignants de l’exposition des académies de Paris, Commissaire général Créteil et Versailles Catherine Chevillot, Gratuit, sur inscription Horaires directrice du musée Rodin T. 01 44 18 61 24 ouvert de 10 h à 17 h 45, Commissaires Dossier documentaire fermé le lundi, Hélène Marraud, attachée en ligne nocturne le mercredi de conservation, chargée des sculptures du musée Rodin Hélène Pinet, responsable de la recherche et des collections de photographies du musée Rodin Visites en famille Billetterie et renseignements Attention chefs-d’œuvre www.musee-rodin.fr en chantier ! Sur réservation T. 01 44 18 61 24 Hors série Mercredi 3 décembre 2014 Toute la programmation sur en chantier, c’est suivre sa gestation, son devenir. Cette lecture présentera les textes créateur. en français et en anglais Avec les comédiens du xixe siècle sur le geste Charles Gonzalès et Jean-Claude Dreyfus Un conférencier présente Durée 1 h, tarif plein 10 €, l’exposition temporaire réduit 7 € (jeunes 18-25 ans) LES GROUPES du lundi au vendredi de 10 h à 16 h Jusqu’au 5 janvier 2015 AUDIOGUIDE VISITES POUR T. 01 44 18 61 24 Tarifs de l’exposition les plus marquants le dimanche à 15 h pour les groupes L’œuvre en chantier musee-rodin.fr VISITE-CONFÉRENCE Réservation à 19 h Accompagner l’œuvre programmation jusqu’à 20 h 45 à 15 h LECTURE THÉÂTRALE 10 € T. 01 44 18 61 10 23, 24, 30 et 31 décembre Édition avec les éditions Faton, 75007 Paris Réservation et achat de billets en ligne Publics scolaires, Des billets sont personnes handicapées mis en vente à la caisse et visiteurs du du musée en fonction champ social des places disponibles Sur réservation le jour de la représentation T. 01 44 18 61 24 à partir de 18 h 30 9 € tarif plein (collections permanentes, exposition temporaire et jardin) À partir du 6 janvier 2015 Fermeture de l’hôtel Biron pour travaux 7 € tarif plein (exposition temporaire et jardin) son partenaire Farrow & Ball pour la mise en couleur des espaces d’exposition Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.13 Liste des œuvres exposées 1— Jeunesse Sculptures Auguste Rodin L’âge d’airain, 1877 Plâtre, S. 165 Auguste Rodin Cariatide dite du boulevard Anspach Vers 1874 Stuc* peint Décor d’un immeuble situé Bd Anspach à Bruxelles, démonté en 1928. Don Blanche-Leysen, 1928, S. 5707 Auguste Rodin Atlante dit du boulevard Anspach Vers 1874 Stuc* peint Décor d’un immeuble situé Bd Anspach à Bruxelles, démonté en 1928. Don Blanche-Leysen, 1928, S. 5714 Auguste Rodin L’Homme au nez cassé 1864 Terre cuite estampée* avec coutures*, S. 1863 Auguste Rodin L’Homme au nez cassé 1864 Plâtre, modèle de fonderie* ancien, S. 1764 Auguste Rodin Madame Almire Huguet, épouse d’un sculpteur-décorateur ayant travaillé pour Rodin entre 1871 et 1878, 1874 Terre cuite Provient de la famille du modèle, préempté en vente publique, en 1995, S. 6671 Auguste Rodin Jeune fille aux écoutes 1875 Plâtre Moulage du marbre* du Musée de Grenoble, réalisé pour les collections du musée Rodin en 1927, S. 2491 Auguste Rodin Jeune Fille aux deux roses 1870-1880 Plâtre teinté, S. 101 Auguste Rodin Jeune femme souriante, buste Terre cuite, S. 213 Auguste Rodin L’Orpheline alsacienne Avant 1871 Plâtre, S. 821 Auguste Rodin Vase Delafosse orné d’un projet de décor, d’après une forme créée par Carrier-Belleuse pour la Manufacture de Sèvres 1882-1883 Porcelaine de Sèvres non émaillée, S. 6748 Ernest CarrierBelleuse et Auguste Rodin Piédestal aux titans Vers 1878 Faïence émaillée, Manufacture de Choisy-Le-Roi Achat galerie Fabius frères, 2004, S. 6739 Auguste Rodin Idylle d’Ixelles, dit aussi « Amour et enfant jouant » 1883-1884 Plâtre Epreuve réalisée en 1980, utilisée comme modèle par la fonderie de Coubertin lors de l’édition des bronzes*, entre 1980 et 1983, S. 2897 Auguste Rodin Enfants s’embrassant Vers 1886 Plâtre, modèle de fonderie*, réutilisé comme modèle de mise aux points* pour l’exécution d’un marbre, S. 2420 Auguste Rodin Jeune mère 1885 Plâtre, moulage de marbre* utilisé comme modèle de fonderie* (le bras droit de l’enfant et un morceau de la cuisse gauche de la femme sont des abattis*), S. 2482 Auguste Rodin Le Baiser Vers 1881-1882 Marbre commandé à Rodin par l’État en 1888 et livré en 1898 ; taillé en partie par le praticien* Turcan. Présenté dès 1901 au musée du Luxembourg (à Paris, musée dédié aux artistes vivants) ; déposé au musée Rodin en 1918, S. 1002 Photographies Gaudenzio Marconi (1842-après 1885) Age d’airain en plâtre 1877, Ph. 269 Gaudenzio Marconi (1842-après 1885) Auguste Neyt, modèle de l’âge d’airain 1877, Ph. 270 Charles Michelez (1817–1883) Saint Jean-Baptiste plâtre, Bellone et Homme au nez cassé Vers 1881, Ph. 5708 Charles Michelez (1817–1883) Saint Jean-Baptiste plâtre, Bellone et Homme au nez cassé Détouré à la gouache Vers 1881, Ph. 667 Eugène Druet (1867–1916) L’Homme au nez cassé en bronze Vers 1898, Ph.4472 Anonyme Buste de Carrier-Belleuse en terre Détouré à la gouache 1882, Ph.1390 Eugène Druet (1867–1916) Buste de Carrier-Belleuse en bronze Vers 1898, Ph. 2872 Anonyme Buste de Carrier-Belleuse en terre Mise aux carreaux au crayon graffite 1882, Ph. 656 Charles Bodmer (1854-1934) Jeune mère à la grotte en plâtre Vers 1885, Ph. 8131 Eugène Druet (1867 – 1916) Le Baiser en marbre dans l’atelier du Dépôt des marbres Vers 1898, Ph. 1347 2—Porte de l’enfer Sculptures Auguste Rodin Porte de l’enfer, pilastre droit, partie inférieure Vers 1885-1890 ? Plâtre, épreuve récente*, E. 79 Auguste Rodin Porte de l’enfer, pilastre gauche, partie inférieure Vers 1885-1890 ? Plâtre, épreuve récente*, E. 80 Auguste Rodin Porte de l’enfer, pilastre droit, partie supérieure Vers 1885-1890 ? Plâtre, épreuve récente*, E. 81 Auguste Rodin Porte de l’enfer, pilastre gauche, partie supérieure Vers 1885-1890 ? Plâtre, épreuve récente*, E. 82 Auguste Rodin Méditation de la Porte 1881-1882 Plâtre avec traces de couture*, S. 138 Auguste Rodin Adam 1880 Plâtre, S. 167 Auguste Rodin Tête de Saint Jean-Baptiste 1893 Bronze, fonte Alexis Rudier, avant 1926. S. 632 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, troisième maquette Vers 1881 Plâtre, S. 1189 Auguste Rodin Pleureuse, tête Avant 1885 Plâtre, S. 1639 Auguste Rodin Pleureuse, variante Vers 1885-1890 ? Plâtre, S. 1869 Auguste Rodin Pleureuse, variante Vers 1885-1890 ? Plâtre sur piédouche en onyx, S. 1876 Auguste Rodin Homme qui tombe 1882 Terre cuite, S. 1860 Auguste Rodin Ugolin Plâtre, S. 2391 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, relief (les Limbes ?) 1885-1890 ? Plâtre, S. 2695 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, relief (les Limbes ?) 1885-1890 ? Plâtre, S. 2696 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, relief (les Limbes ?) 1885-1890 ? Plâtre, S. 2697 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, relief (les Limbes ?) 1885-1890 ? Plâtre, S. 2698 Auguste Rodin Cariatide à la Pierre 1881 Plâtre, modèle de fonderie* ancien, réutilisé comme modèle de mise aux points*, S. 2856 Auguste Rodin Torse de l’Homme qui tombe, dit Torse Louis xiv Vers 1904 Plâtre, agrandissement*, S. 3440 Auguste Rodin Le Penseur sur élément de chapiteau 1881-1882 Plâtre Plâtre, modèle de fonderie*, réalisé probablement vers 1925, S. 3469 Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.14 Auguste Rodin La grande Ombre 1904 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, agrandissement* Le bras a été découpé pour les besoins de la fonte, et n’a pu être remis en place à cause de son poids, S. 3969 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, partie droite du tympan Vers 1887-1890 Plâtre, S. 5776 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, partie gauche du tympan Vers 1887-1890 Plâtre, S. 5777 Auguste Rodin Porte de l’Enfer, angle supérieur gauche : Génie ailé tombant Vers 1887-1890 Plâtre, S. 5789 Photographies Charles Bodmer (1854-1934) Ugolin et ses enfants Vers 1882, Ph. 2206 Charles Bodmer (1854-1934) Tête de Saint Jean-Baptiste en plâtre Vers 1887, Ph. 2507 Charles Bodmer (1854-1934) Pleureuse en plâtre Vers 1885, Ph. 5274 Eugène Druet (1867–1916) La Porte de l’Enfer dans le Pavillon de l’Alma Vers 1900, Ph. 396 Eugène Druet (1867–1916) Iris messagère des dieux devant la Porte de l’Enfer dans l’atelier du Dépôt des marbres, Ph. 2750 Eugène Druet (1867–1916) La Défense devant la Porte de l’Enfer dans l’atelier du Dépôt des marbres Vers 1898, Ph. 281 Eugène Druet (1867–1916) Ève devant la Porte de l’Enfer dans l’atelier du Dépôt des marbres Vers 1898, Ph. 1527 Anonyme Maquette de la Porte de l’Enfer en plâtre Vers 1881, Ph. 284 Eugène Druet (1867–1916) La Porte de l’Enfer Vers 1900, Ph. 285 Anonyme Le Penseur en terre sur l’armature en bois de la Porte de l’Enfer Vers 1881, Ph. 586 Victor Pannelier (1840-après 1907) Le Penseur en terre, retouche à la mine de plomb Juillet 1882, Ph. 288 Anonyme Ugolin en terre Entre 1880-1881, Ph. 293 Anonyme Je suis belle en plâtre Retouche à l’encre 1882, Ph. 296 3— Monument des Bourgeois de Calais Sculptures Auguste Rodin Pierre de Wissant, deuxième maquette Juillet 1885 Plâtre, S. 87 Auguste Rodin Andrieu d’Andres, deuxième maquette Juillet 1885 Plâtre, S. 88 Auguste Rodin Jean d’Aire, deuxième maquette Juillet 1885 Plâtre, S. 89 Auguste Rodin Eustache de Saint-Pierre, deuxième maquette Juillet 1885 Plâtre, S. 90 Auguste Rodin Jacques de Wissant, deuxième maquette Juillet 1885 Plâtre, S. 91 Auguste Rodin Jacques de Wissant, esquisse pour la tête de la deuxième maquette ? 1885 Terre cuite, S. 94 Auguste Rodin Jean d’Aire, tête colossale 1908-1909 Plâtre, agrandissement*, S. 2216 Auguste Rodin Jean de Fiennes, esquisse pour la tête Vers 1887 ? Terre cuite, retravaillée au plâtre, S. 195 Auguste Rodin Pierre de Wissant nu, esquisse 1885 Terre cuite, S. 200 Auguste Rodin Jean d’Aire, tête, état définitif 1887 Terre cuite, S. 314 Auguste Rodin Pierre et Jacques de Wissant, main droite Vers 1885-1886 Plâtre, S. 332 Auguste Rodin Pierre et Jacques de Wissant, main droite Vers 1885-1886 Plâtre, S. 337 Auguste Rodin Eustache de Saint-Pierre, main gauche, état définitif Vers 1886-1887 Plâtre, S. 338 Auguste Rodin Pierre et Jacques de Wissant, main droite Vers 1885-1886 Plâtre, S. 341 Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête, type B 1885 ou 1886 Plâtre gomme-laqué*, S. 351 Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête, réduction* Vers 1895-1899 Plâtre, S. 401 Auguste Rodin Assemblage de têtes et mains de la réduction des Bourgeois de Calais, surmonté d’une figure ailée Vers 1900 ? Plâtre, S. 403 Auguste Rodin Jean d’Aire, tête, moyen modèle Vers 1895 ? Terre cuite, S. 405 Auguste Rodin Pierre de Wissant, nu pour la deuxième maquette 1885 Plâtre, S. 410 Auguste Rodin Jean de Fiennes, personnage de la deuxième maquette 1885 Plâtre, S. 413 Auguste Rodin Jean de Fiennes, deuxième maquette 1885 Plâtre, S. 432 Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête type C Vers 1885-1886 Plâtre, S. 438 Auguste Rodin Pierre et Jacques de Wissant, main droite Vers 1885-1886 Terre cuite, S. 1360 Auguste Rodin Jean d’Aire, tête, état définitif 1887 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, avec traces de couture*, S. 1459 Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête type B 1885 ou 1886 Plâtre, modèle de fonderie*, S. 1489 Auguste Rodin Jean de Fiennes, tête Vers 1887 Plâtre, S. 1784 Auguste Rodin Pierre de Wissant, étude de nu sans bras ni tête Vers 1906 Plâtre, S. 1999 Auguste Rodin Jean d’Aire, réduction* 1895 Plâtre dédicacé A Guillemot (journaliste et critique d’art), S. 2124 Auguste Rodin Pierre et Jacques de Wissant, main droite Vers 1885-1886 Plâtre et clous, modèle de mise aux points* pour la Main sortant de la tombe, S. 3003 Auguste Rodin Eustache de Saint-Pierre, main droite Vers 1886 Terre cuite, S. 3004 Auguste Rodin La Main de Dieu (sans les personnages) Vers 1898 ? Plâtre avec points de repères* au crayon / n° du moule (615), S. 3084 Auguste Rodin Jean de Fiennes, tête, réduction* Vers 1895-1899 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 3312 Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête, réduction* Vers 1895-1899 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 3355 Auguste Rodin et Paul Jeanneney Jean d’Aire, buste vêtu 1904 Grès émaillé*, S. 3575 Auguste Rodin Jean de Fiennes, tête, réduction* Vers 1895-1899 Plâtre, S. 4274 Auguste Rodin Eustache de Saint-Pierre, tête, réduction* Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie* Vers 1902-1903, S. 4275 Auguste Rodin Pierre de Wissant, masque de profil Plâtre, S. 4491 Auguste Rodin Pierre de Wissant monumental, vêtu, dit parfois Le Passant ou Bourgeois s’offrant 1887 Plâtre, modèle de fonderie*, S. 5863 Photographies Jean Limet (1855–1941) Monument des Bourgeois de Calais dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Après 1902, Ph. 1203 Charles Bodmer (1854-1934) Pierre de Wissant nu en terre dans l’atelier Vers 1886, Ph. 2773 Charles Bodmer (1854-1934) Pierre de Wissant nu en terre dans l’atelier Vers 1886, Ph. 3295 Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.15 Victor Pannelier (1840-après 1907) Jean d’Aire en terre dans l’atelier Vers 1886, Ph. 324 Albert Rudomine (1892–1975) Deux études de main en plâtre Vers 1965, Ph. 2496 Auguste Rodin Victor Hugo, esquisse du buste héroïque Vers 1902 ? Terre cuite, S. 3999 Auguste Rodin La Muse tragique 1890 Plâtre, S. 1992 Albert Rudomine (1892–1975) Deux études de main en plâtre Vers 1965, Ph. 2495 Auguste Rodin Victor Hugo, buste héroïque 1902 Plâtre, S. 2487 Victor Pannelier (1840-après 1907) Eustache de Saint-Pierre dans l’atelier 1886, Ph. 3283 Auguste Rodin Victor Hugo, buste, réduction* 1885 ? Plâtre, S. 1521 Victor Pannelier (1840-après 1907) Eustache de Saint-Pierre en terre dans l’atelier Retouches à l’encre 1886, Ph. 317 Victor Pannelier (1840-après 1907) Andrieu d’Andres en terre dans l’atelier Retouches à l’encre 1886, Ph. 325 D. Freuler (actif dans les années 1880–1890) Main en plâtre suspendue à un support, Ph. 262 D. Freuler (actif dans les années 1880–1890) Main en plâtre suspendue à un support, Ph. 2167 4—Monument à Victor Hugo Sculptures Auguste Rodin Victor Hugo, buste, réduction ornée d’une lyre et d’une branche de laurier 1885 Bronze, fonte Pierre Bingen Legs Carl Dreyfus, 1952. Le bronze aurait été fondu pour Dreyfus père, en 1886, S. 497 Auguste Rodin Victor Hugo, bras gauche Vers 1893 Plâtre, S. 5166 Auguste Rodin Victor Hugo, étude de tête, réduction* Après 1893 ? Terre cuite, S. 3040 Auguste Rodin Victor Hugo, masque, grand modèle Vers 1896 Plâtre, S. 1899 Auguste Rodin Victor Hugo, buste, réduction* 1885 ? Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 2942 Auguste Rodin Victor Hugo, buste Vers 1897 ? Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 1812 Auguste Rodin Victor Hugo, assis, nu, étude pour le monument Vers 1893 Plâtre, S. 2486 Auguste Rodin La Méditation sans bras, dite Voix intérieure, petit modèle Vers 1894 Plâtre, S. 680 Auguste Rodin Victor Hugo, étude de tête Vers 1890 ? Plâtre, S. 2768 Auguste Rodin Victor Hugo, étude de tête Vers 1889-1890, reprise après 1893 ? Plâtre, S. 2726 Auguste Rodin Victor Hugo, étude de tête, réduction* Après 1893 ? Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 3309 Auguste Rodin Victor Hugo, étude de tête, réduction* Après 1893 ? Plâtre, S. 3915 Auguste Rodin Victor Hugo, oreille droite Vers 1896-1897 Plâtre, S. 4048 Photographies Dornac (Paul Cardon dit Pol Marsan, dit) (1858–1941) Rodin dans son atelier à côté du monument à Victor Hugo en plâtre traduit en marbre par un praticien Vers 1898, Ph. 179 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 1207 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 2231 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 1897 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 6882 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 1667 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 1898 F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909, Ph. 1114 Maison Ad. Braun & cie (créée en 1876, fermée en 1968) Monument à Victor Hugo en marbre dans les jardins du Palais-Royal 1909, Ph. 2681 Anonyme Buste de Victor Hugo en terre par Rodin, buste de Victor Hugo par David d’Angers en arrière plan Février-Mars 1883, Ph. 1922 Anonyme Buste de Victor Hugo en terre, Rodin en arrière-plan Février-Mars 1883, Ph. 353 Anonyme Buste de Victor Hugo en terre dans la véranda de la maison de Victor Hugo Février-Mars 1883, Ph. 352 Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Projet en plâtre pour le monument à Victor Hugo, Ph. 1035 Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Muse tragique dans le Pavillon de l’Alma à Meudon 1903-1904, Ph. 357 Jean Limet (18551941) Buste de Victor Hugo et Iris en plâtre dans le jardin de la Villa des Brillants à Meudon Vers 1906, Ph. 1306 5—Monument à Balzac Sculptures Auguste Rodin Balzac/Jean d’Aire, étude de nu B avec la tête de Jean d’Aire Vers 1894-1895 Terre cuite, S. 126 Auguste Rodin Balzac, avantdernière étude pour la tête Vers 1895-1896 Terre cuite, S. 128 Auguste Rodin Balzac en redingote, appuyé sur un support, d’après Dantan ? 1891 Terre cuite, S. 258 Auguste Rodin Balzac vêtu, esquisse Vers 1891 ? Terre cuite, S. 260 Auguste Rodin Balzac nu, étude ? Terre cuite, S. 261 Auguste Rodin Balzac en redingote, mains derrière le dos, d’après Gavarni ? 1891 Terre cuite, S. 262 Auguste Rodin Balzac, étude définitive pour la tête, variante Vers 1897 Pâte à modeler, S. 265 Auguste Rodin Balzac, masque dit du Conducteur de Tours 1891 Plâtre avec coutures*, S. 610 Auguste Rodin Balzac/Jean d’Aire, étude de nu B avec la tête de Jean d’Aire Vers 1894-1895 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 832 Auguste Rodin Balzac, étude de nu dite Etude A Vers 1894 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 844 Auguste Rodin Balzac, étude pour la tête avec la mèche retombant à droite Vers 1894 Plâtre, S. 1393 Auguste Rodin Balzac, étude pour la tête avec la mèche retombant à droite Vers 1894 Plâtre avec coutures*, S. 1579 Auguste Rodin Balzac, étude définitive pour la tête 1897 Plâtre, S. 1581 Auguste Rodin Balzac, tête au front dégagé et au menton fendu, dite tête H, variante Vers 1894 Terre cuite estampée*, S. 1644 Auguste Rodin Balzac, masque souriant 1891 Plâtre avec coutures*, S. 1649 Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.16 Auguste Rodin Balzac, masque souriant 1891 Plâtre avec coutures*, S. 1650 Auguste Rodin Balzac, tête au front dégagé et au menton fendu, dite tête H Vers 1894 Terre cuite, S. 1653 Auguste Rodin Balzac, masque souriant 1891 Plâtre avec coutures*, S. 1768 Auguste Rodin Balzac, étude pour la tête, d’après Roubaud ? Vers 1892 ? Terre cuite et plâtre, S. 1770 Auguste Rodin Balzac, tête monumentale 1898 Plâtre, S. 1771 Auguste Rodin Balzac, étude pour la tête, d’après Roubaud ? Vers 1891-1892 ? Terre cuite et plâtre S. 1788 Auguste Rodin Balzac, étude définitive pour la tête 1897 Plâtre, modèle pour l’agrandissement*, S. 1823 Auguste Rodin Balzac, masque souriant 1891 Plâtre gomme-laqué*, modèle de fonderie*, S. 1970 Auguste Rodin Balzac/Jean d’Aire, étude de nu B avec la tête de Jean d’Aire Vers 1894-1895 Plâtre avec coutures*, S. 2572 Auguste Rodin Balzac, étude finale 1897 Plâtre, S. 2847 Auguste Rodin Balzac, étude de nu au gros ventre Vers 1894 Plâtre fragmentaire, avec coutures*, S. 3505 Auguste Rodin Assemblage de deux études de nu B pour Balzac Après 1894-1895 Plâtre et plâtre gomme-laqué*, S. 3769 Auguste Rodin Homme vêtu : Balzac ou Bourgeois de Calais ? Vers 1895 ? Terre cuite, S. 6437 Photographies Eugène Druet (1867 1916) Monument à Balzac au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts 1898, Ph. 2901 Eugène Druet (1867–1916) Balzac, étude de nu à la Folie Payen Vers 1896 ?, Ph. 376 Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Balzac/Jean d’Aire, étude de nu 1903-1904, Ph. 1425 Anonyme Balzac, étude drapée avec un capuchon et un jabot de dentelle 1897, Ph. 2136 Eugène Druet (1867–1916) Balzac dans l’atelier du Dépôt des marbres 1898, Ph. 3136 Eugène Druet (1867–1916) Balzac dans l’atelier du Dépôt des marbres 1898, Ph. 2812 Edward Steichen (1879–1973) Balzac 1908, Ph. 223 Edward Steichen (1879–1973) Balzac, Towards the Light, Midnight 1908, Ph. 226 Albert Harlingue (1879-1964) Tête de Balzac Entre 1908 et 1912, Ph. 3165 Anonyme Trois études de têtes en terre pour Balzac Vers 1896-1897, Ph. 1213 Anonyme Balzac, masque dit du Conducteur de Tours Vers 1891 ? Retouches et annotations à l’encre, Ph. 1211 6— Monument à Whistler Sculptures Auguste Rodin Monument à Whistler 1905 Terre cuite, S. 120 Auguste Rodin Tête de Gwen John Vers 1905 ? Terre cuite estampée*, S. 209 Auguste Rodin Tête de Gwen John, avec base Après 1905 Plâtre avec coutures* S. 1909 Auguste Rodin Tête de Gwen John, avec base Après 1905 Plâtre taché, avec coutures* en parties effacées, S. 1910 Auguste Rodin Tête de Gwen John Vers 1905 ? Plâtre avec coutures*, S. 1911 Auguste Rodin Tête de Gwen John Vers 1906-1907 ? Plâtre avec coutures*, moulage de la partie supérieure du marbre, S. 462, S. 1912 Auguste Rodin Grande tête de Gwen John : tête de la muse Whistler 1906-1907 Plâtre, agrandissement*, S. 1914 Auguste Rodin Monument à Whistler, étude pour la muse nue, jambe gauche coupée 1905-1906 Plâtre, S. 2092 Auguste Rodin Monument à Whistler, esquisse 1905 Plâtre, et moule correspondant, dit épreuve d’identification*, S. 2589 Auguste Rodin Monument à Whistler, étude pour la muse nue 1905-1906 Plâtre gomme-laqué*, avec coutures*, modèle de fonderie*, S. 3530 Auguste Rodin Muse Whistler, jambe gauche 1906 ? Plâtre, S. 5263 Auguste Rodin Muse Whistler, coffret Plâtre, moulage* d’un petit autel antique, S. 6593 Auguste Rodin Muse Whistler, guirlande de lierre Provenant de la grande muse drapée Vers 1916 ? Plâtre et bois, S. 6655 Photographies Eugène Druet (1867–1916) Vue panoramique de l’atelier de la Villa des Brillants Vers 1900, Ph. 411 Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Vue d’ensemble de Pavillon de l’Alma à Meudon 1904-1905, Ph. 966 Eugène Druet (1867–1916) Rodin au milieu de ses œuvres dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1902, Ph. 203 Jean Limet (1855–1941) La Muse Whistler dans le Pavillon de l’Alma Vers 1907, Ph. 4902 Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) La Muse Whistler dans l’atelier du Dépôt de marbres 1908, Ph. 2180 Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) La Muse Whistler dans l’atelier du Dépôt de marbres 1908, Ph. 385 7—Pierre de Wissant sans tête ni mains Sculpture Auguste Rodin Pierre de Wissant, nu monumental sans tête ni mains 1886 Bronze, fonte Alexis Rudier RFR 18. Attribué aux Musées nationaux par le Service de la récupération artistique, 1949 ; affecté au musée Rodin, 1952. Photographies Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Étude pour Pierre de Wissant Vers 1903-1904, Ph. 3243 Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Etude pour Pierre de Wissant 1903-1904, Ph. 1336 Jean Limet (1855–1941) La Muse Whistler dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1907, Ph. 4905 Jean Limet (1855–1941) La Muse Whistler dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1907, Ph. 4904 Jean Limet (1855–1941) La Muse Whistler dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1907, Ph. 4903 Musée Rodin | Mapplethorpe Rodin | Dossier de presse | p.17 visuels disponibles pour la presse 1— Charles Bodmer (1854-1934) Tête de Saint Jean-Baptiste en plâtre Vers 1887 épreuve gélatino argentique H. 16,00 L. 11,60 cm Ph. 2507 2— Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Vue d’ensemble de Pavillon de l’Alma à Meudon 1904–1905 épreuve gélatino argentique H. 28,80 L. 38,90 cm Ph. 966 3— Gaudenzio Marconi (1842après 1885) Auguste Neyt, modèle de l’Âge d’airain 1877 épreuve sur papier albuminé H. 24,30 L. 14,80 cm Ph. 270 4— Auguste Rodin Âge d’airain, grand modèle 1877 Plâtre H. 183,00 L. 68,50 P. 61,00 cm S.165 5— Anonyme Ugolin en terre Entre 1880–1881 épreuve sur papier albuminé H. 23,80 L. 12,50 cm Ph. 293 6— Auguste Rodin Ugolin Plâtre H. 50,50 L. 23,50 P. 47,50 cm S. 2391 7— Auguste Rodin Ugolin et ses enfants Bronze H. 133,50 L. 140,00 P. 194,00 cm S. 1427 8— Anonyme Maquette de la Porte de l’Enfer en plâtre Vers 1881 épreuve sur papier salé H. 20,00L. 10,70 cm Ph. 284 Musée Rodin | Mapplethorpe Rodin | Dossier de presse | p.18 9— Victor Pannelier (1840- après 1907) Le Penseur en terre, retouche à la mine de plomb Juillet 1882 épreuve sur papier albuminé H. 24,20 L. 11,50 cm Ph. 288 10— Charles Bodmer (1854-1934) Jeune mère à la grotte en plâtre Vers 1885 négatif gélatino argentique sur verre H. 17,80 L. 12,80 cm Ph. 8131 11— Auguste Rodin La porte de l’Enfer Bronze H. 635,00 L. 400,00 P. 85,00 cm S.1304 12— Auguste Rodin Pierre de Wissant, tête type C Vers 1885-1886 Plâtre H. 48,30 L. 28,70 P. 28,00 cm S. 438 13— D. Freuler (actif dans les années 1880–1890) Main en plâtre suspendue à un support épreuve sur papier salé H. 11,50 L. 8,50 cm Ph. 2167 14— Auguste Rodin Pierre de Wissant, nu pour la deuxième maquette 1885 Plâtre H. 68,00 L. 37,50 P. 23,70 cm S. 410 15— Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) Projet en plâtre pour le monument à Victor Hugo épreuve gélatino argentique H. 37,50 L. 27,50 cm Ph. 1035 16— F. Bianchi (actif dans les années 1900) Essai d’installation du Monument à Victor Hugo dans les jardins du Palais-Royal Mars 1909 épreuve aristotype au collodion mat H. 17,70 L. 23,50 cm Ph. 1207 17— Auguste Rodin La Muse tragique 1890 Plâtre H. 31,90 L. 68,00 P. 37,70 cm S. 1992 Musée Rodin | Mapplethorpe Rodin | Dossier de presse | p.19 18— Auguste Rodin Balzac, étude définitive pour la tête, variante Vers 1897 Pâte à modeler H. 23,00 L. 13,20 P. 18,50 cm S. 265 23— Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Étude pour Pierre de Wissant 1903–1904 épreuve au charbon H. 22,20 L. 16,40 cm Ph. 1336 19— Eugène Druet (1867–1916) Balzac dans l’atelier du Dépôt des marbres 1898 Ph. 2812 24— Stephen Haweis (1878–1969) et Henry Coles (1875-?) Étude pour Pierre de Wissant Vers 1903–1904 épreuve au charbon H. 22,90 L. 16,90 cm Ph. 3243 20— Eugène Druet (1867–1916) Rodin au milieu de ses œuvres dans le Pavillon de l’Alma à Meudon Vers 1902 épreuve gélatino argentique H. 25,60 L. 25,20 cm Ph. 203 21— Auguste Rodin Monument à Whistler 1905 Terre cuite H. 32,00 L. 12,40 P. 18,60 cm S. 120 22— Jacques-Ernest Bulloz (1858–1942) La Muse Whistler dans l’atelier du Dépôt de marbres 1908 épreuve au charbon H. 35,90 L. 26,60 cm Ph. 2180 25— Auguste Rodin Pierre de Wissant, nu monumental sans tête ni mains 1886 Bronze, fonte Alexis Rudier H. 190,00 L. 110,00 P. 79,00 cm RFR 18, attribué aux Musées nationaux par le Service de la récupération artistique, 1949, affecté au musée Rodin, 1952 26— Charles Bodmer (1854-1934) Pierre de Wissant nu en terre dans l’atelier Vers 1886 épreuve gélatino argentique H. 25,00 L. 18,80 cm Ph. 2773 27— Eugène Druet (1867–1916) Le Baiser en marbre dans l’atelier du Dépôt des marbres Vers 1898 épreuve gélatino argentique H. 37,60 L. 25,30 cm Ph. 1347 Musée Rodin | Rodin, le laboratoire de la création | Dossier de presse | p.20 LA LIBRAIRIE-BOUTIQUE du musée rodin AUTOUR DE L’EXPOSITION rodin, le laboratoire de la création En vente à la boutique du musée Rodin et pour une sélection d’articles sur notre boutique en ligne boutique.musee-rodin.fr OUIKEN x musée Rodin À l’occasion de l’exposition Rodin, le laboratoire de la création, la boutique du musée propose une nouvelle ligne « Auguste Is Sculpture Since 1840 » en collaboration avec la marque Ouiken ; un pari créatif pour cette jeune entreprise qui conjugue tradition et humour. NOM DU PRODUIT Ouiken x musée Rodin PRIX DE VENTE de 3 à 43 € FICHE TECHNIQUE Types de produits : Sac, tablier pour enfant et adulte, mug de voyage, magnet… Matières : 100% coton pour le sac et les tabliers, porcelaine blanche pour le mug de voyage et métal pour le magnet HISTORIQUE Éditeur Ouiken x musée Rodin Début du partenariat 2014 NOTE Ouiken est une jeune entreprise basée à Madrid depuis 2011. Ils collaborent déjà avec Le Bon Marché, le Centre Pompidou et le Musée Guggenheim à Bilbao. La plupart de leurs produits est éditée en série limitée et numérotée.