POL`n - 2006

POL'n - 2006
JANVIER – FEVRIER
Du 6 au 28 janvier
Exposition Marie-Roselyne COMPAGNON
VENTRE A TAIRE
Marie-Roselyne COMPAGNON, plasticienne diplomée des Beaux-Arts, met en scène une mémoire
intime sous forme de collage.
Du 7 au 11 février
Les contes de la richesse
Le paradoxe de l’Erika
Adaptée du rapport ministériel du philosophe Patrick Viveret, « Reconsidérer la richesse », « Le
paradoxe de l’Erika » est la première des trois créations de la Compagnie de la Tribouille qui
constitueront « Les contes de la richesse ». Trois personnages, ballottés par la vie qui suit son traintrain de catastrophes, éprouvent la mise en doute de leurs rapports aux autres, au monde, à la vie. Ils
découvrent rapidement que derrière les comptes, il y a les contes...
7, 8, 10 et 11 Février - 20h00 Spectacle suivi d’un moment de débat.
Tarif 7€ - 5€ (scolaires, étudiants, chômeurs, rmistes)
9 Février - 20h00 - Rencontre-débat :
Et si on inventait le Produit Intérieur Doux ? Enjeux et alternatives à la comptabilisation de la richesse.
Compagnie de la Tribouille Adaptation et mise en scène : Philippe Piau Interprétation : Solène
Gendre, Frédéric Riclet, Pierre Roba 5 rue de Gigant 44100 NANTES - 02 40 73 30 20 http://latribouille.free.fr
Du 15 février au 3 mars
Les petits métiers imaginaires disparus
Exposition de Patrick MARQUÉ
Patrick Marqué Peintre et illustrateur autodidacte, né en
1955. Deux expositions sur le thème des petits métiers
imaginaires disparus ( TNT à Nantes, et festival de la b.d.
À Perros-Guirec en 2000 ) Diverses affiches (Théâtre
d’Alice, 40 ans de la Maison Radieuse à Rezé ) et
illustrations (Tiefain’ fait du hardcore, en 2004) A commis,
il y a longtemps, une bande dessinée sur le diabète...
Exerce le métier réel et non disparu d’infirmier à Nantes.
L’EXPO
Cette exposition regroupe une centaine d’oeuvres
originales de PATRICK MARQUE : acryliques, aquarelles,
dessins, pastels... Ces oeuvres s’inscrivent dans un
parcours, à travers diverses installations souvent
interactives (espaces amenagés, création vidéo en temps
réel, atelier-boutique...) La majeure partie de cette
ballade est consacrée au thème des petits métiers
imaginaires disparus, un monde que l’artiste nourrit
depuis des années, et dont il pense qu’il arrive à maturité
aujourd’hui. . Les petits métiers imaginaires disparus
Il s’agit de métiers totalement rêvés, et du portrait de quelques personnages qui ne les ont jamais
exercés ! PATRICK MARQUE se donne comme objectif de leur donner chair, vie et émotions. Tous
ces personnages sont modelés dans la pâte humaine, en malaxant ce qu’elle a de plus superficiel et
de plus enfoui, de plus dérisoire et de plus poignant ; leur champ d’action est l’amour, l’amitié,
l’angoisse, le plaisir, le bonheur...
Comme la plupart des vocations, ces métiers sont nés d’un don parfois exceptionnel qui s’épanouit au
contact de l’autre.
Il est donc temps pour le public de venir faire la connaissance du semeur de petits bonheurs, du
tailleur d’ombres, du dépanneur des sens, ou du raccommodeur de coeurs déchirés...
Ces talents se sont surtout conjugués lors des années 20, et concentrés dans une petite bourgade
côtière qui portait le doux nom de La Joie.
Et au fil de la visite, des rencontres, au fur et à mesure que transparaît toute cette humanité, point
aussi une certaine nostalgie d’un monde perdu : comme si cet imaginaire mettait en relief « le vide
derrière les planches » dont parle Souchon et qui nous donne un sale vertige.
Les temps forts :
> jeudi 16 février (20h-22h) : Café Lecture (avec O’Librius) lecture des récits sur les P.M.I.D. >
vendredi 17 février à 19h : VERNISSAGE
+ impromptus théâtraux avec l’atelier théâtre de Doulon
>jeudi 2 mars (20h-22h) :
Impromptus théâtraux de Monsieur LOISEAU et ses petits métiers imaginaires (contes décalés)
MARS - AVRIL
Du 10 au 31 mars
Exposition Alexis BRANGER
Exposition proposée par la Ville de Nantes & POL’n :
Utilisant divers matériaux (bois de récupération, métaux, terre, toile de jute, drap, papier, peinture et
pastel), Alexis Branger compose des scènes étranges, burlesques et mystiques. Des hommes
inquiétants, des animaux féroces ou amicaux, des objets vénérés et des mots énigmatiques
s’entremêlent sur des couleurs tranchées. C’est un onirisme sauvage qui, inspiré par de nombreux
peuples et courants (antiquité, incas, M.A, art premier, art brut, litterature, BD...) nous fait osciller entre
familiarité et déroute.
VERNISSAGE : vendredi 10 mars à 18h Ouverture : du lundi au vendredi de 11h à 18h
Le 8 avril
Les impossibles
« être et ne pas être »
Improvisation libre à cinq voix : Laurence Luminet (danse), Christèle Marin (danse), Olivier Bartissol
(musique, violon-alto), Soizic Lebrat (musique, violoncelle), Sébastien Coste (musique, saxophone
soprano, baudruches)
Lorsqu’un phénomène possède plusieurs potentialités, il va en réaliser une de manière imprévisible.
C’est à partir de cette définition du hasard que les cinq personnages en quête de possible vont
s’engager dans la nécessité (ce qui ne peut pas « ne pas être »), accompagner la potentialité (ce qui
pourra « être »), fréquenter la contingence (ce qui a pu « ne pas être »), vivre l’impossibilité (ce qui ne
peut pas « être »). La réalisation d’une potentialité n’est écartée ni par l’esprit, ni par le corps : va-t-elle
pour autant exister ? Dans les possibles, l’impossible ?
Performance-spectacle à 20 h 30
Entrée 3 euros
Participation à l’atelier : 3 euros
Atelier + performance : 5 euros
Atelier d’improvisation libre musique-danse
Samedi 8 avril 2006 de 18 h à 20 h
Tout public.
Intervenants : Christèle Marin, Laurence Luminet, Soizic Lebrat,Olivier Bartissol
L’objectif de l’atelier est de travailler les objets sonores et dansés à partir des comportements
individuels et des stratégies collectives dans le jeu improvisé.
Du 17 au 29 avril
HIP OPSESSION
CHRONO GRAPHY (photo/graffiti)
Cette exposition attire des artistes d’horizons diverses
mais tous issus du graffiti (street art).
Chacun développe son propre style et cherchera à être
complémentaire sur le thème de l’expo.
Ils travailleront sur le thème de la photographie (dessous
de l’expo, polaroid, Graff en lien avec la photo ...).
Montrer l’œil de l’artiste, porter un autre regard sur le
graffiti : voilà ce que pourra découvrir le public durant cette
quinzaine.
Tous les jours de 14h à 20h - Entrée libre
PRINTEMPS
Du 3 mai au 23 juillet
LES ATELIERS DU 11
(Ateliers d’artistes)
POL’n est un lieu de ressources et de recherches qui expérimente la recherche des croisements des
disciplines et des métissages artistiques par la mutualisation des moyens, des compétences et des
expériences de ces membres. L’association a pour objet de mutualiser les compétences, de soutenir
et d’accompagner les artistes et les structures émergentes. Les réflexions autour des pratiques
culturelles, de l’accès à la culture pour tous les publics ou encore de la consommation culturelle sont
également au cœur des pratiques de POL’n à travers, notamment, des moyens alternatifs de
rencontre entre la création artistique et le public.
POL’n a mis à disposition 5 ateliers d’artistes, chacun parrainé par POL’n et la Direction Générale à la
Culture de Nantes, sur une durée de trois mois.
But des ateliers :
Chaque artiste transporte son atelier pour travailler dans un lieu commun, ouvert, afin d’échanger, de
s’ouvrir vers les autres artistes présents et vers le public. Des temps forts seront organisés tout au
long de ces trois mois, afin de mettre le travail des artistes en avant.
CALENDRIER
Ce calendrier peut évoluer par rapport aux temps forts que chaque artiste va mettre en place.
>MAI<
- 3 mai : arrivée et installation des premiers artistes
- 11 mai(21h) : Soirée d’inauguration des Ateliers
- 13 mai (14h-19h) : Ouverture des ateliers dans le cadre de la fête du Lait de Mai
TRIP’tik// 3 jeudis dédiés au croisement de la photo et du son
- 8 juin(21h) :TRIP’tik #1
2 UNIVERS, 2 PHOTOGRAPHES & 1 DJ
> Yann Faucher, Ludovic Failler & DJ Tosaka
- 15 juin(21h) : TRIP’tik#2
ENTRE ICI ET LA-BAS - La situation des roms aujourd’hui
> Denis Mareau & Carole Charpentier
- 22 juin(21h) : TRIP’tik#3
INSTALLATION PLASTIQUE ET SONORE EN EXTÉRIEUR
Hervé Marchand & Vincent Pouplard (pique-nique acceptés)
Artistes présents
Gwénaëlle MONTIGNE
Aurélie DEWITTE
Christophe STEEN
Julien BRETON
Ces ateliers sont ouverts au public du lundi au vendredi de 16h à 19h.
>> Soirée de lancement // jeudi 11 mai à 21h <<
Christophe STEEN
J’ai récemment réalisé une installation à partir d’une lanterne magique. A la place des habituelles
illustrations pour enfants, j’ai placé les symboles des trois religions monothéistes. Ceux-ci sont
également réalisés dans un style enfantin avec des couleurs vives. Il suffit de faire l’obscurité pour voir
projeter sur les murs, des croix chrétiennes multicolores, des étoiles judaïques aux couleurs de l’arcen-ciel ou des croissants islamiques décorés de petits cœurs rouges... Marcel Proust dans la
recherche, vantait déjà les qualités illusionnistes de la lanterne magique. Les effets hypnotiques de ce
procédé favoriseraient l’endormissement de l’enfant.
Les trois religions monothéistes, sont construites sur l’idée que le corps périssable n’est rien et que le
passage sur terre est une épreuve qu’il faut réussir pour accéder à la vie éternelle. Dans mon travail,
je m’intéresse aux inventeurs d’arrières mondes, ceux qui ont créé les notions « d’au-delà » de «
monde vrai » pour « déprécier le seul monde qu’il y ait » comme l’a dénoncé Nieztsche. Ainsi, que la
notion d’âme, d’esprit, pour mépriser le corps, pour le rendre malade. Au moment où Dieu revient en
force par les moyens les plus sournois, il me semble que ce soit un sujet essentiel. A partir de leur
aversion pour la matière et le réel, les religions du livre créent des château en Espagne. Elles
proclament l’amour, exaltent la vie mais sème la haine et la mort, écrasent les femmes, flattent les
puissants, prônent la résignation... Si dans mon travail, je tente de démystifier de manière ironique la
vision chrétienne du corps et de la sexualité, mes recherches ne concernent pas la seule religion
catholique. De plus, la critique de la religion comme aliénation peut s’étendre à toutes les «
abstractions », qui sont en réalité des constructions humaines : Divination du marché, de la
croissance, du monde libéral... Je m’intéresse d’autre part, à la domination invisible qu’exercent
encore les valeurs issues de la religion sur l’individu... à la ressemblance entre religions et « névrose
obsessionnelle », ressemblance qui avait frappé Freud comparant les rites religieux à des actes
obsédants.
Kristin LEROUX YONNET
« L’air, dès que point le jour, est rempli d’innombrables images auxquelles l’œil sert d’aimant. »
Léonard de Vinci
Je me suis réveillée un matin à 19 ans avec un besoin irrépressible de peindre ; Ce n’est que 3 ans
plus tard que j’ai réussi à canaliser cette énergie. Eprise d’un néant à qui je tends mon doigt, cet
invincible invisible, l’imaginaire, cet impossible tellement vrai est devenu une légèreté sous la face de
pesanteur d’une réalité. Un corps puise aux racines et cherche à s’envoler.
KLY Kristin Leroux Yonnet
POL’n offre un lien aux puits de lumière ; j’y vais pour créer dessins collages et peintures. Aussi, je
vous propose de venir me voir, j’aimerais dévoiler et faire votre portrait.
Julien BRETON
« Le savoir élève ceux qui ne possèdent rien » Khalil Gibran
De toutes les choses qui m’ont fait développer avec de plus en plus d’envie et de passion la
calligraphie latine, cette phrase est sans doute la plus importante. Plus qu’importante à mes yeux, elle
représente cette envie de partager des textes, des réflexions, des esthétiques face à une société qui
sombre dans le matérialisme et l’individualisme. Elle évoque pour moi cette envie d’aller à contre
courant d’un système qui nous pousse à aller plus vite, à être plus rentable dans un système
économique où l’humanité n’a plus sa place.
« Le vrai pouvoir est ininterrompu » Ali - Lunatic
illustre aussi cette réflexion. Le vrai pouvoir n’est pas dans la possession, la gloire ou la fortune, mais
dans la connaissance de soi.
Reprendre des phrases, des textes, leur donner une « âme esthétique », une dynamique, un sens, est
devenu depuis ces 4 ans en autodidacte une des choses les plus importantes à mes yeux. La
calligraphie m’a entraîné dans un univers où je me sens bien, capable de pallier à mon incapacité à
écrire moi-même. Inventer un alphabet arabisant et m’inspirer des techniques arabes et des
compositions de calligraphie chinoises sont aussi pour moi une façon de mêler les cultures qui me
sont proches. Recopier et diffuser des phrases tirése de textes de hip-hop qui sont souvent
subversives ou philosophique me permet aussi d’exprimer ce qui a forgé mon passé et détermine mon
avenir.
« J’ai vu le passé kidnapper l’avenir » Booba - Lunatic
Pol’n est l’occasion de résider dans un atelier à ciel ouvert sur le monde. De rencontrer des artistes et
collaborer avec eux. De rencontrer un public et leur expliquer ma démarche. J’aime créer dans ce lieu
qui vit, qui bouge, et en constante effervescence. Cela me permet d’essayer des formats plus grands,
de développer la gestuelle ou encore d’essayer d’autres supports.
« J’attends la fin de leur monde » Shurik’n et Akhenaton « Le silence est cri » Youkoff Mes prochaines
calligraphies
Manuella LAHAYE
Lahaye Manuella, vitrailliste
Résidence à Pol’n du 6 juin au 29 juin
Projet 1 - vitrail :
* intégration des figures du moyen-âge ( saints-vierges, peintes à la grisaille), dans un contexte
contemporain : confrontation de deux époques.
* Réalisation de 3 panneaux : dessin - coupe de verre - montage - soudure.
Projet 2 - vitrail :
* recherche vitrail - projection - télévision, en vue d’une exposition.
* Proposition d’une scénographie pour le groupe de musique Mansfield Tya.
Jusqu’au 29 juin.
SEPTEMBRE
Du 15 au 24 septembre
1er Festival DIAPORAMA
En complément de la Quinzaine Photographique Nantaise, l’association L’EV propose un programme
off sous le nom de DIAPORAMA. Ce festival, visant autant un public averti que des curieux de la
photographie, se déroulera à Nantes du samedi 16 au dimanche 24 septembre. L’accès à la grande
majorité du programme est gratuit.
Comme son nom l’indique le festival DIAPORAMA est construit autour de projections de diapositives.
Cette technique de présentation des photos permet de découvrir un grand nombre d’artistes et de
portfolios dans l’atmosphère particulière des lieux de projection. Le défilement des images sur grand
écran nous permet de plonger dans l’univers des photographes.
Le noir nécessaire aux projections réduit les distances entre le public et l’image. La photographie n’est
plus tributaire du lieu, elle investit l’espace et enveloppe le spectateur. Une exception sera faite à ce
mode d’exposition : la photographe japonaise Reiko Imoto installera ses photographies sous forme de
tirage papier à Pol’n. Cependant ses photos seront également visibles sous forme de projections et
accompagnées de musique lors de la soirée DIAPORAMA programmée au Lieu Unique.
Parallèlement aux projections de diapositives et à l’exposition de Reiko Imoto, le festival proposera
toute une série d’événements destinés à intéresser le public à l’approche artistique des photographes.
Au programme, il y aura : des ateliers, une résidence d’artiste, des projections de films et de
documentaires dédiés à la photographie, la réalisation et la présentation de jeux photographiques. Si
l’exposition de Reiko Imoto sera ouverte dès le samedi 16 septembre 2006 la plupart de ces
événements se dérouleront entre le jeudi 21 et le dimanche 24 septembre.
DIAPORAMA investit les lieux suivants : le Blockhaus DY10, POL’n, le LieuUnique et le
Cinématographe.
Du 22 au 24 septembre
Projections de diapositives en continu
Pol’n et au Blockhaus DY10 (5bis bd Léon Bureau).
Au centre du festival DIAPORAMA se trouve une sélection de travaux de photographes présentés de
façon originale : les images sont montrées sous forme de diapositives projetées sur grand écran. Les
photographes ainsi "exposés" viennent d’horizons géographiques divers. Ils présentent un large
champ de pratiques photographiques : photo-reportage, création, portrait, manipulation de l’image...
On pourra ainsi voir les photographies de : Reiko Imoto, David Trcka, Karolina Nemethova, Nathalie
Tirot, Maleon Ma, Sophie Thouvenin, Pascal Renoux, Jim Vecchi, Corinne Rohard, Bart Pogoda,
Jean-François Lefranc, France Dubois, Darren Holmes, Pascal Tarraire Denis Olivier et bien d’autres
encore.
Leur approche de la projection de diapositives est également très diversifiée. Pour certains d’entre eux
elle permet de montrer des images dans une atmosphère particulière, plus intime et propice à un
rapprochement entre le public et l’œuvre du photographe que celle des salles d’exposition et des
galeries. D’autres choisissent de faire de la diapositive comme une façon bien à part de
photographier. Parmi eux les adeptes du diaporama qui réalisent des projections sonorisées bâties
autour d’un thème, d’une idée, entre cinéma et photographie. Les anciens ateliers de couture Peignon
(Pol’n) et le Blockhaus sont des lieux propices à ce genre d’exposition : derrière un rideau, dans une
semi obscurité le spectateur est invité à s’installer confortablement pour découvrir les photographies. Il
est libre d’interrompre cette découverte et de revenir à tout moment, les photographies étant projetées
en continu aux heures d’ouverture du 22 au 24 septembre.
Entrée libre
"Je dis : photographie !" À Pol’n
Jeudi 21 sept.|21h30
A l’occasion des Jeudis de Pol’n, Ana Igluka déclamera ses poèmes :
des poèmes en prose, récités à la lumière des diapositives de Ludovic
Failler et Mateusz Targowski, membres de l’EV.
Du 28 septembre au 1er octobre
La mise à nu
NOCTURAMA se découvre à POL’n
Exposition n°2 du collectif NOCTURAMA Du 28 septembre au 1er
octobre //14h>20h
Le collectif Nocturama s’expose : Danzé, Rémi Rousseau, Christèle
Métayer + Dominique Robert (atelier Mets ta Robe), Jean Robert,
Christophe Bonneau, Gaetan Chevrier, Loic Glomaud, Patrick Legoux
et Antoine Trichereau.
Il s’agit ici d’habiter l’espace, le travestir, pour l’affirmer tour à tour
comme cinéma, chambre noire, œil du peintre, où la parole ne se sent
pas non plus proscrite.
Jeudi 28 septembre à 20h Vernissage de l’exposition “Mise à nu”+
court-métrage « Les perles de Bruxelles » (atelier Mets ta robe)
Samedi 30 septembre 20h Exposition nocturne
+ ciné concert (Emmapeel) sur le film « Docteur Jekyll & Mister Hyde
» (1931) + La fidèle idée dans le boudoir de 22h00 à 2h00
( Lectures - cinéma - musique autour de l’érotisme )
Au programme : mise en bouche et en corps de l’écriture de l’érotisme sous toutes ses formes
(poésie, romans, littérature argotique, théâtre...) ; musiques suggestives et chansons explicites ;
performance d’un acteur autour de la figure de Mike Jagger ; la peau comme support d’écriture ;
danses et étreintes ; sélection subjective de séquences cinématographiques (sous réserve) ; petite
forme marionnettique... En cours d’élaboration, cette soirée est susceptible de modifications.
OCTOBRE – NOVEMBRE
Du 8 au 14 octobre
Sésame, ouvre-nous !
++ Les 7 voyages d’O’Librius en Orient ++
O’Librius installe son café-lecture à POL’n et vous invite à venir vivre une semaine fabuleuse autour
des Contes des Milles et Une Nuits, en compagnie de nos amis du Café-Lecture de Sousse en
Tunisie.
>Tout le programme de la semaine www.o-librius.com
Du 1er au 24 novembre
Que Fer II ??
Ces photos sont des coups de cœur. Des clins d’œil du hasard, le plus souvent. Si tant est que le
hasard existe !
La rouille est une matière vivante, qui porte en elle les temps du temps. Passé, présent, futur...
Elle rappelle la dégradation, mais en réalité, elle se transforme, elle bouge. Mouvante. Et par la magie
de la lumière, émouvante...
Sortis de leurs contextes, ces bouts de lieux, d’espaces, nous permettent de partir pour un autre
voyage : celui de notre intérieur. Ils font appel à ce que nous avons de plus précieux : l’imagination.
Et de la laideur à la beauté, il n’y a qu’une intention. Qu’un regard !
Le choix du papier dessin pour supporter ces photos n’est pas anodin. Tramé, il met en valeur la
matière. Nu, il subit lui aussi les « outrages » du temps. Il va passer, bouger, comme nos vieilles
photos longtemps accrochées au mur, faisant tellement partie de nous qu’au bout d’années de
présence, elles rendent leurs couleurs à la lumière. Juste retour des choses !
ValK http://valkphotos.free.fr
Du 22 novembre au 10 décembre
Le collectif la glacière : "Encore des changements"
EN RÉSIDENCE À POL’n
Pour clôturer leur résidence de création à POL’n, Sarah Debove et Catherine Jourdan, présenteront
leur spectacle/percformance "Encore des changements" (munipulation d’objets), création faite à partir
de l’univers du poète Henri Michaux, en partenariat avec la compositrice Karine Dumont.