Revue de presse Avril - Mai 2013

Transcription

Revue de presse Avril - Mai 2013
Revue de presse
Avril - Mai 2013
2 0 1 3
Index
Actualités .......................................................................................
Clients ...................................................................................................
Prospects ..........................................................................................
Produits ...............................................................................................
Dossiers spécial snacking ....................................
p.
p.
p.
p.
p.
3
10
26
36
41
Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
<
>
3
Revue de presse mai 2013
snacking.fr - 14 mai 2013
lechef.com - mai 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
2012, la restauration passe dans le rouge
Avec une croissance de 0,34% l’an dernier à 86,5 md€, la CAHD, comprenez consommation
alimentaire hors domicile, enregistre l’une des plus mauvaises performances depuis les années
2000, voire de son histoire, selon l’étude Restauration 2012 de Gira Conseil qui paraît aujourd’hui.
Car si l’on retranche logiquement la hausse mathématique de 1,5 point liée au passage de la TVA
de 5,5% à 7% début 2012, elle est clairement en négatif. C’est donc pire que lors de la crise de
2008 où elle affichait timidement + 0,76%. « La crise est profonde et touche tous les segments.
Les indépendants sont à la peine en perdant 1,87% de chiffre d’affaires et les défaillances
d’entreprises dans la restauration sont en progression de 8% l’an dernier. Les consommateurs arbitrent sur leurs dépenses et ont
réduit leurs sorties au restaurant surtout le soir», explique Bernard Boutboul, patron de Gira Conseil à France Snacking. Il ajoute
que si le phénomène est marqué en 2012, ça ne remet pas en cause la hausse durable et prégnante de la consommation hors
domicile simplement freinée par la crise.
D’ailleurs le nombre de repas a progressé de 1,31% à 9,6 mds l’an dernier comparé à 2011. La dépense moyenne en restauration
s’est établie à 9,01€, soit – 2,6% comparé à 2008. Conséquence : le ticket moyen a été tiré globalement vers le bas, notamment
par la prise de poids de la restauration rapide et des circuits alternatifs. Ceux-ci n’ont cessé de gagner des parts de marché ces
dernières années. Depuis 5 ans, c’est + 25% pour les circuits alternatifs (boulangers, distributeurs, pétroliers…) et + 12% pour la
restauration rapide (73 % des repas sont consommés dans des établissements “super économiques”à moins de 10€).
<
>
Cette contraction de la dépense moyenne des clients en RHD pose néanmoins de sérieuses questions de modèle économique de la
restaurateurs alors que la TVA et les charges n’ont cessé d’augmenter sur cette même période et que la fiscalité est encore appelée
à s’alourdir début 2014 avec le passage de la TVA dans la restauration à 10%.
Bernard Boutboul confirme également que la vente au comptoir à l’échelle des 5 segments de la consommation hors domicile
(restauration commerciale, collective, hôtelière, DA et circuits alternatifs) a pour la première fois dépassé la restauration avec
service à table à 52%, elle ne représente que 34% de la restauration commerciale (mais progresse de manière continue).
Quant au nombre d’établissements recensés (315 386 établissements, soit +0,78%) , après la forte hausse de créations d’entreprises
de CAHD de la fin des années 2000, il est en net ralentissement au regard de la reprise importante des défaillances d’entreprises.
Le SNRTC tire la sonnette d’alarme : la restauration commerciale va mal
Suite à une enquête réalisée par le Syndicat National de la Restauration Thématique et
Commerciale (SNRTC) auprès de ses entreprises adhérentes, la restauration commerciale semble
avoir du mal à sortir la tête de l’eau. Entre le 1er trimestre 2011 et celui de 2013, les entreprises
interrogées auraient sacrifié 9,21 % de leur portefeuille d’emplois, soit un total de 2 500 postes
à périmètre comparable. Parmi ces suppressions, ce sont majoritairement les employés qui ont
été touchés. De plus, les restaurateurs ont enregistré une perte nette du nombre d’heures de
travail réalisées. En l’espace de 2 ans, les salariés ont effectué 962 000 heures en moins, soit une
diminution de 10,28 % sur la période. En réalisant cette étude, l’objectif du SNRTC est de pointer
le doigt sur la fragilité des entreprises du secteur « Nos entreprises souffrent. Nous subissons la
crise de plein fouet. Pour la première fois, nous détruisons des emplois. Attention à ne pas nous affaiblir davantage… » indique
Michel Morin, Président du SNRTC. A la veille d’une nouvelle hausse de la TVA en janvier prochain, le Gouvernement doit prendre
conscience que, par temps de crise, la répercussion des taxes pourra difficilement se faire sur les prix. La seule marge de manœuvre
des restaurateurs? Se résigner à réduire leurs effectifs à moyen terme.
4
Revue de presse mai 2013
lesechos.fr - 29 mai 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
Personnes âgées : seules 39% peuvent payer elles-mêmes leur maison
de retraite
En France, seules 39% des personnes âgées pourraient
payer elles-mêmes leur maison de retraite, montre le
baromètre « les Français et le grand âge ». Parmi elles,
25% seraient obligées de vendre tout ou partie de leur
patrimoine pour y parvenir.
En 2011, 53% des familles se déclaraient capables de
s’acquitter du coût moyen mensuel de 2.200 euros pour
un hébergement en maison de retraite, deux ans plus tard,
<
elles ne sont plus que 47%. Or selon l’étude, en 2013 moins du tiers des Français (30 %) déclarent que la
perte d’autonomie touche un membre de leur entourage et, pour 19% d’entre eux, il s’agit d’un membre de
leur famille. Interrogés, au-delà du coût, sur les paramètres qui président au choix d’un établissement, les
sondés mettent en avant trois critères : le nombre de personnel, l’emplacement et les locaux eux-mêmes.
Une autre étude parue récemment montre qu’en France, si la qualité progresse dans les 10.400
établissements recensés, il en va de même pour les coûts : 40 euros par jour au minimum aujourd’hui contre
35 euros l’an dernier, la facture pouvant même monter jusqu’à 220 euros par jour. Autre enseignement:
les Français comptent sur les pouvoirs publics pour trouver un financement pérenne des dépenses liées à la
perte d’autonomie alors qu’on sait qu’à la fin de la décennie, les plus de 60 ans représenteront 26 % de la
population française, contre 22 % en 2010. Si un tiers des Français ne se prononcent pas (31%), 47% semblent
favorables à ce que la solidarité nationale finance la dépendance, via une augmentation des prélèvements
obligatoires (CSG) pour tout le monde (30% des citations) ou plus particulièrement pour les retraités (4%),
ou des impôts sur les successions pour tous quelle que soit la valeur du patrimoine (13%). Ils sont 22% à
plaider pour la souscription d’une assurance individuelle obligatoire pour les plus de 50 ans (comme en 2011)
mais dans les faits, seuls 14 % des 35-75 ans ont souscrit un contrat d’assurance dépendance spécifique. soit
1,5 million personnes.
>
Financer la dépendance par la solidarité nationale
Les Français sont aussi très majoritairement favorables (87%) à une intervention de l’Etat sur le « plafonnement
du prix des maisons de retraite». Si l’on en est pas encore là, il est vrai que malgré la rigueur la dépense
publique pour les maisons de retraite continue de progresser . En 2012, les crédits versés aux établissements
pour personnes âgées dépendantes ont augmenté de 5,2 %, à 8,7 milliards d’euros. Cette progression est
supérieure à celle de 2011 (+ 4,4 %) mais très inférieure à la hausse des années précédentes. Entre 2006 et
2010 en effet, le budget alloué aux maisons de retraite gonflait de près de 15 % par an en moyenne. Pour
ce qui concerne le financement public, la contribution de solidarité pour l’autonomie (CSA) de 0,3 % qui
s’applique sur la masse salariale du privé a rapporté 18,6 milliards d’euros depuis sa création en 2004, dont
2,39 milliards d’euros en 2012. Ils sont destinés à la prise en charge des personnes âgées et handicapées.
Depuis le 1 er avril, cette contribution a été étendue aux retraités imposables (ceux qui paient un taux de
CSG de 6,6 %) et le gouvernement envisage une extension de la CSA aux artisans et professions libérales.
5
Revue de presse mai 2013
cession-commerce.com - 15 avril 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
Février, léger mieux pour l’hôtellerie ?
<
>
Le marché hôtelier français a enregistré en février une hausse sensible de l’occupation, selon In Extenso
Deloitte. Localement,il apparaît contrasté avec des villes en progression et d’autres en recul.
Globalement, les performances de l’hôtellerie sont meilleures en février qu’elles ne l’étaient en janvier.
L’occupation progresse dans toutes les catégories à l’exception de l’hôtellerie super-économique, qui est
en recul de près de -1 %, indique la dernière étude d’In Extenso Deloitte sur “les performances hôtelières en
France”.
Si l’on observe un léger mieux, la situation ne pousse cependant pas à un optimisme effréné. Les prix moyens
sont tous en recul par rapport à février 2012. Cette baisse est limitée puisqu’elle reste inférieure à 2 % pour
toutes les catégories. Au final, la hausse de l’occupation tend à équilibrer la baisse du prix moyen. Deux
exceptions à cette tendance : l’hôtellerie de grand luxe, dont le chiffre d’affaires hébergement progresse de
2,3 % et l’hôtellerie super-économique dont le RevPar (revenu moyen par chambre disponible)) est en baisse
de 1,8 %.
Hétérogénéité des performances
L’étude d’In Extenso Deloitte souligne que le territoire national est beaucoup moins homogène que
d’ordinaire. On retrouve bien les tendances à la hausse de l’occupation parisienne et azuréenne mais avec un
bilan contrasté selon les agglomérations : des villes sont en progression et d’autres en recul. Ce contraste
repose essentiellement sur les aléas du calendrier scolaire. Celui-ci a favorisé la demande Affaires dans
certaines villes alors que d’autres se trouvaient pénalisés.
L’amplitude des évolutions est particulièrement forte en matière d’occupation. Ainsi pour l’hôtellerie milieu
de gamme, l’évolution de la fréquentation s’échelonne de -22 % à Cannes à +14 % à Nancy. Et ce phénomène
se retrouve dans toutes les catégories.
6
Revue de presse mai 2013
lhotellerie-restauration.fr - 30 mai 2013
bento.fr - mai 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
Vélizy 2 reçoit le 1er Food Trucks Festival
Du 3 au 20 juin, le centre commercial de Velizy 2 (Yvelines)
accueille le premier Food Trucks Festival.
Cette initiative s’inscrit dans le concept de la « Dining Experience »,
une volonté du groupe Unibail-Rodamco de proposer de nouvelles
expériences originales autour de la gastronomie. Chaque jour, les
visiteurs pourront découvrir des nouvelles tendances culinaires.
Les lundis : cuisine made in France (Max & Britany, La Cocotte
Cantine, Le Goody’s) ; les mardis : burger & bagel (Le Camion qui
fume, Bügelski) ; les mardis et jeudis (Mun Dim Sum) ; les mercredis : cuisine responsable (La caravane dorée,
Le Réfectoire, Mozza & Co) ; les jeudis : cuisine américaine et produits de saison (Cantine California, 2 filles
et un camion). Et s’ajoute tous les jours La Potatomobile de McCain. Pour faire vivre cette expérience au plus
grand nombre, cette tournée itinérante sera bientôt présente dans plusieurs autres centres du groupe.
<
>
Tendance Food & Art : vous la peignez, on vous la livre !
On connait tous la livraison de
pizza, mais » Paint Your Pizza »
-Peins ta pizza- pousse la promesse
plus loin… Au lieu de nous faire «
bêtement » choisir les ingrédients
dont nous allons agrémenter notre
pizza, le nouveau projet de l’artiste
suédois Jonas Lund fonctionne
exactement comme vous l’imaginez.
Les clients peignent une image de la
pizza qu’ils souhaiteraient recevoir
et la reçoivent ensuite en version
réelle, prête à déguster. Le projet
new yorkais « Paint Your Pizza » provient d’un autre projet de Lund, The Paintshop, une plateforme où les
internautes pouvaient créer de façon collaborative et vendre en suite leurs oeuvres à un prix déterminé par
un algorithme mathématique. Se concentrant désormais sur le toujours plus populaire univers culinaire,
Paint Your Pizza propose des modèles online sur lesquels les visiteurs peuvent imaginer la pizza de leurs rêves.
Le site présente ainsi des réalisations comme “Mona Pizza,” “Kitten Pizza” ou “Don Pepperoni.” Jonas Lund
a noué un partenariat avec la très fameuse « Original Ray’s Pizza », une référence locale, pour la production
des versions mangeables livrées chez les clients. Cette pizza très artistique et hautement personnalisée coûte
de $31 à $64. Si vous doutiez du statut très culturel de notre métier, vous voici rassurés !
7
Revue de presse mai 2013
snacking.fr - 29 mai 2013
snacking.fr - 24 avril 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
Le burger, nouvelle star de la restauration
Le burger poursuit son irrésistible ascension en restauration hors
domicile. A l’occasion d’une table-ronde organisée par le Leaders Club
le 28 mai dernier, Christine Tartanson, du cabinet d’étude NPD Group,
a en effet présenté les résultats d’une étude menée auprès du secteur
afin de connaître l’évolution des performances du fameux sandwich.
Et les résultats parlent d’eux-mêmes puisque le burger arrive en 3è
position des catégories de produits phares de la restauration en France
en 2012, derrière les sandwichs ou wraps et les desserts et glaces,
mais devant les salades ou soupes, les plats chauds, la viennoiserie
<
ou encore les pizzas et pastas. Même en restauration à table, où il se classe en 6è position, le burger a
connu une deuxième année consécutive de croissance à 2 chiffres, à +17% en 2012. « Les Français sont les
2è consommateurs en Europe avec 14 burgers avalés par an et par habitant avec une parfaite mixité entre
hommes et femmes », a ainsi précisé Christine Tartanson. Seuls les britanniques font mieux à 17 burgers par
an. Le produit est aussi particulièrement présent chez les jeunes adultes avec 52% des burgers consommés par
les 18-34 ans. « L’un des avantages du burger est d’être présent sur différents moments de consommation,
sur le créneau du déjeuner mais aussi du soir à l’image de la pizza » a également précisé la directrice du
département foodservice de NPD Group.
>
Subway, 7è des 40 majors de la restauration rapide
La chaîne de restauration rapide qui a ouvert près de 107 restaurants
en 2012 pour un volume d’affaires de 185M€ a gagné 3 places dans le
palmarès France Snacking des 40 majors de la restauration rapide en
France. Une 7e position qui, à cause d’un problème technique a disparu
du tableau publié dans le magazine n°43 qui vient de paraître et dont nous vous fournissons ci-joint la version
corrigée. La chaîne dirigée par Emmanuel Aublet a donc battu son record d’ouvertures après les 95 points de
vente déjà ouvert en 2011. La chaîne a donc fini 2012 avec 413 unités, la meilleure performance de l’histoire
de Subway en France. Avec un taux de notoriété globale de 87%, la chaîne a choisi de concentrer ses efforts
2013 sur la fidélisation de ses clients : 7 vagues média ponctueront l’année en soutien au. x opérations dans
les restaurants, la montée en puissance du programme Sup2sub à destination des étudiants majeurs, le
lifting du site web et le lancement de l’application Smartphone Subway France dédiée et le déploiement du
nouveau décor « METRO » lancé en test et validé par Fred DeLuca, le fondateur de Subway
8
Revue de presse mai 2013
le guide
du décideur
Actualités
Clients
snacking magazine (extrait) - avril 2013
enquête exclusive
la rapide
r
Coup de froid su
Prospects
LES 40 MAJORS DE
LA RESTAURATiOn RAPiDE
En FRAnCE En 2012 En M€
our la première fois de son histoire, la rapide
a été clouée au lit en 2012. Une douleur
d’autant plus foudroyante que la branche
avait été jusque là préservée des chutes de
tension de la restauration traditionnelle en
servant de bouée au secteur dans son ensemble notamment en 2011. Lors de la crise
de 2009 et la désaffection des restaurants,
elle échappait à la saignée et récupérait au
passage, une bonne partie des clients qui y
trouvaient une alternative économique aux
difficultés du moment. L’an dernier, l’effet
vase communicant n’a pas fonctionné ou du
moins pas dans les mêmes proportions. Si
la restauration avec service à table voyait sa
fréquentation fondre de 2,3 % (-36 millions
de visites) selon les données NPD Crest,
la restauration rapide perdait quant à elle
77 millions de visites (-1,8 %) avec des
incidences sur tous les segments exceptés
les coffee shops et les burgers qui ont un
peu mieux résisté.
<
Moins de plaisirs !
« La baisse touche surtout les familles et les
jeunes qui sont venus moins nombreux et se
sont serrés la ceinture », explique Christine
Tartanson, Directrice FoodService France
chez NPD Crest qui annonce pourtant une
légère progression de l’activité en volume.
Un chiffre à nuancer, tient à rappeler la
spécialiste des panels, eu égard à une
augmentation mécanique de la TVA passée
de 5,5 à 7 %. Parmi les raisons de ce ralentissement, elle cite une météo capricieuse,
un moral des ménages en berne mais aussi
le dynamisme d’autres acteurs entrés sur le
monde du snacking comme la restauration
collective. Par ailleurs, Christine Tartanson
pointe du doigt la contraction des dépenses
du déjeuner. La pause « encas » de l’aprèsmidi, comme les grignotages de la journée
se sont écroulés en perdant 6 points contre
+1 % en 2011. « Les petits plaisirs ont été
zappés, ce qui se ressent dans les taux de
prises des produits avec un retrait sur les
desserts et les boissons chaudes gourmandes ». Et ce n’est pas près de s’arranger.
Les Cahiers de la Consommation, coproduits
par le Crédoc et Pair Conseil pronostiquent
une consommation frugale pour les deux
années à venir avec un consommateur qui
opère des attitudes d’évitement de produits
* Qui suit 12 grandes chaînes.
{ suite page 86 }
84
GROUPES
Produits
CAHT
2012
CAHT
2011
Dossier spécial
Évolution
2011-12
EnSEiGnES
2012
Succursales
2011
Franchise*
TOTAL
1 McDonald’s France (1)
McDonald’s
4350
4200
3,57 %
307
1260
1228
2 Financière Quick SAS
Quick
801
761,2
5,23 %
79
300
379
378
3 Yum !
KFC France
420
385
9,09 %
76
70
146
135
4 Elior Concession
Philéas + franchises...
313,5
310,7
0,90 %
360
356
5 Groupe Holder
Paul, Saint-Preux, Roy
309
312
-0,96 %
150
350
340
6 Groupe Le Duff
La Brioche Dorée,
Le Fournil de Pierre
227,5
216,5
5,08 %
210
354
352
7 Subway
Subway
185
132,5
39,6 %
413
323
8 SSP
Bonne Journée, Ritazza Café,
Millie’s Cookies...
+ franchises
167,85
167,1
0,45 %
244
251
9 Domino’s Pizza
Domino’s Pizza
(1)
144
155
141
9,93 %
9
206
215
196
145,7
129,2
12,77 %
378
1
379
313
La Mie Câline
133
134
-0,75 %
22
176
198
198
12 Sushi Shop (France)
Sushi Shop
131
106
23,58 %
35
49
84
72
13 Autogrill
Foodissimo, Pains à la ligne...
+ franchises
121,5
117,7
3,23 %
189
200
14 Starbucks Coffee
France (e)
Starbucks Coffee
103
86,3
19,35 %
80
66
15 La Croissanterie SAS
La Croissanterie
80,1
74,2
7,95 %
103
95
198
166
16 Pains et Saveurs
Class’Croûte + Joosbayoo
64,86
62,31
4,09 %
4
114
118
113
17 Top Brands
Pizza Hut
64
62
3,23 %
18 neuhauser
Pomme de Pain
63,25
62,76
0,78 %
70
37
19 Socorest - FL Finance
La Boîte à Pizza
56,95
56,2
1,33 %
20 Eric Kayser
Boulangerie Eric Kayser,
Mi do ré
54
47
21 Speed Rabbit Groupe (e)
119 Speed Rabbit,
Pizza Mania (*)
52
22 Planet Sushi (e)
Planet Sushi (*)
23 France Restauration
Rapide
Pat’à’Pain
24 MDP Développement
Mezzo di Pasta
25 Groupe Casino
Cœur de Blé, SE (livraison)
26 Groupe Bertrand
10 Largardère Services
Relay/Relais H Café, Trib’s,
Hubiz, Chez Jean… Kayser
11 Le Mont Fournil
104
98
107
104
129
133
14,89 %
36
33
52
0%
161
161
49,2
49,2
0%
42
42
45,93
44,1
4,15 %
43
40
40,7
39,5
3,04 %
134
134
38,5
39,4
-2,28 %
120
120
Bert’s (*)
31
31,5
-1,59 %
42
42
27 Eat Sushi
Eat Sushi
30
25
20 %
38
35
28 Exki
Exki
30
24,24
23,76 %
8
12
20
16
29 Groupe illy Caffe
Espressamente
29,5
27
9,26 %
4
35
39
35
30 KAD Développement
Le Kiosque à pizzas
27,09
24
12,88 %
9
163
182
154
9
70
40
3
31 Frama Pizz
Pizza Sprint
26,5
23,7
11,81 %
79
70
32 Cojean
Cojean
26,18
22,71
15,28 %
22
20
33 Horeto (e)
Parcs d’expo, Dame Tartine,
Aux pains perdus (*)
25,2
25,5
-1,18 %
44
44
34 Agapes Express
O sushi, Sogood Café
25
23,5
6,38 %
51
49
35 Wagram Finances
51 Columbus (20 M€),
10 À la Carte (2M€)
22
19
15,79 %
61
44
36 Speed Burger Diffusion
Speed Burger
21,4
20,09
6,52 %
42
41
37 Poulaillon
Poulaillon
19,8
19
4,21 %
25
23
38 Francesca (e)
Francesca (*)
16,2
18
-10 %
63
70
39 Flam’s
66 Nooï, 8 Wazawok,
231 East (1)
13,5
13
3,85 %
75
83
40 Tutti Pizza
Tutti Pizza
12
10
20 %
53
48
3
5
39
48
>
Sources France Snacking/Entreprises
e : estimation France Snacking
* ou licence de marque, location gérance…
* La marque Elefanto a disparu du porfefeuille
(1)
Tableau modifié le 24 avril 2013 après parution avec l’ajout de Subway France à la 7e place
France Snacking { mars/avril n°23 }
9
Revue de presse mai 2013
lechef.com - mai 2013
neorestauration.com - 24 avril 2013
Actualités
Clients
Prospects
Produits
Dossier spécial
2 000 hôtels d’affaires pour le groupe Accor
Le groupe hôtelier français Accor vient de franchir le cap des 2 000
hôtels dans le monde. Dotés de salles de réunions et d’équipements
high-tech, ces établissements permettent d’accueillir les businessmen
les plus aguerris. Au total, ce sont plus de 10 400 espaces de travail
répartis dans 90 pays. Le Sofitel Al Khobar The Corniche à Abu Dhabi, le Pullman Dubai Deira City Centre, le
Pullman London St Pancras ainsi que le MGallery Carlton Lyon sont quelques-uns des derniers établissements
ayant rejoint le pôle affaires du groupe.
Fort de son expansion et de sa réussite sur ce segment, Accor ne compte pas s’arrêter là. 250 hôtels sont
prévus d’ici 2015, et c’est majoritairement dans les régions à forte croissance que la chaîne a prévu de
s’implanter (64 % en Asie-Pacifique, 11 % en Amérique du Sud et 6 % en Afrique et Moyen-Orient). Parmi les
projets en développement, on retrouvera entre autres, le Sofitel So Singapore et le Pullman Saigon Centre.
Le groupe possède désormais toutes les cartes en main pour s’imposer sur le segment des hôtels d’affaires.
N’en déplaise à ses concurrents !
<
>
Denis Hennequin sort du jeu
Fin de partie pour Denis Hennequin. Après deux ans passés à la tête d’Accor,
le dirigeant a été remercié mardi 23 avril par le conseil d’administration du
groupe. Un trio de transition a aussitôt été mis en place, composé de Philippe
Citerne, Sébastien Bazin, et Yann Caillière. Selon Accor : “La situation du
groupe a fait l’objet durant cette réunion d’un diagnostic partagé par tous les
administrateurs: la stratégie suivie est la bonne et restera inchangée. Mais
dans le contexte économique actuel, alors que le Groupe doit faire face à une
évolution rapide de son environnement compétitif, Accor a besoin pour renforcer
ses positions, d’accélérer le rythme de mise en oeuvre de cette stratégie. Dans
cette perspective, le Conseil d’administration a demandé que les énergies et les ressources soient en priorité
allouées à la transformation du modèle de Accor. Le Conseil a pris acte des réserves de Denis Hennequin
et a donc mis fin à son mandat à l’unanimité avec effet au 23 avril 2013”. Philippe Citerne, jusqu’alors
vice-Président, devient président non exécutif, Sébastien Bazin devenant vice-Président du conseil. Yann
Caillère, jusqu’alors directeur général délégué, devient directeur général. Denis Hennequin, ancien directeur
général de Mc Donald’s France, paye une stratégie jugée « trop douce » par de nombreux observateurs.
Denis Hennequin avait succédé à Gilles Pélisson à la tête du géant de l’hôtellerie.
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Revue de presse mai 2013
snacking.fr - 15 mai 2013
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Dossier spécial
Léon de Bruxelles crée Léon de B avec une réponse snacking
Le spécialiste et ambassadeur de la Moule-Frites et des produits de la mer en France a fini par répondre à sa façon aux sirènes
de la restauration rapide. Il ouvrira fin mai à Lyon, un premier établissement d’un nouveau genre baptisé Léon B. Le président du
directoire Michel Morin à la tête d’un groupe de 68 établissements pour un CA de 119 M€, explique à France Snacking pourquoi il
a décidé de s’intéresser aussi à ce secteur.
Comment va la chaîne et pourquoi la création de ce nouveau concept ?
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Léon de Bruxelles est un concept de restauration à thème avec service à table implanté surtout en périphérie et unique par
son positionnement et son offre : des moules fraîches et un large assortiment de produits de la mer. La chaîne qui compte
68 établissements a réalisé en 2012 un volume d’affaires sous enseigne de 119 M€ de chiffre d’affaires. Si l’année 2012 a été
particulièrement difficile dans un contexte de crise avec une activité qui a légèrement progressé de 0,7% compte tenu de nos
ouvertures mais qui est en retrait à périmètre constant de l’ordre de 3,5%, le premier trimestre n’est pas très réjouissant avec une
activité qui souffre dans un marché en recul global de 6,1%. Je l’intime conviction que le retour en centre-ville est incontournable
pour des marques comme la nôtre mais il doit se fonder sur un autre modèle et une offre différentiée autrement adaptée à l’urbain
pressé. D’où la création de Léon B., un concept de centre-ville, qui se veut plus moderne et orienté vers une clientèle plus jeune.
Un nom que nous avons voulu différent et identitaire pour éviter la confusion mais suffisamment proche de Léon de Bruxelles
pour reconnaître l’affiliation.
En quoi va-t-il se différencier ?
Léon B. ouvrira à l’angle des rues Tupin et Mercière dans le 1er arrondissement aux alentours du 26 mai. Cet établissement gardera
un cœur de restauration traditionnelle avec 140 places assises et un service à table avec une offre plus courte mais fortement
inspirée de celle de Léon de Bruxelles. Dans un décor vert, blanc et noir aux couleurs du crustacé, de grandes tables en bois
permettront de se restaurer en toute convivialité face une cuisine ouverte qui permettra de garder un œil sur la fabrication. Mais la
particularité de l’endroit, c’est son ouverture directe sur la rue et la mise en place d’une offre dédiée à la vente à emporter inspirée
par les baraques à frites du nord. Nous y proposerons d’ailleurs des frites fraîches servies en cornet avec 4 à 5 sauces associées mais
aussi une fricadelle et des Fish & Chips.
La restauration avec service à table est-elle appelée à évoluer ?
Léon de Bruxelles reste un modèle économique gagnant qui a toute sa légitimité en périphérie comme restaurant de destination
le midi, le soir et le week-end. En centre-ville, d’une part les consommateurs sont pressés et d’autre part un restaurant doit faire
du volume et du CA pour dégager une rentabilité. Et l’équation est de plus en plus serrée si l’on se limite au créneau 12-14h et
19h-23h. On doit pouvoir aller chercher de l’activité sur les autres plages horaires, ce qui est encore plus vrai lorsqu’on est situé
sur de forts flux de passage. D’où cette nouvelle piste de Léon B. qui rappelons-le est un test qui, en cas de succès peut faire naître
d’autres ambitions pour cette enseigne et pourquoi pas au sein des restaurants Léon de Bruxelles traditionnels. Pour cette unité
lyonnaise, nous misons sur un CA de 2 M€ sur notre métier traditionnel et environ 1500€ par jour, sur l’activité vente à emporterrestauration rapide.
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Revue de presse mai 2013
lechef.com - 23 avril 2013
snacking.fr - 24 avril 2013
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Dossier spécial
Bruegger’s Bagel, bientôt en France avec Le Duff
Au cours d’une conférence de presse sur sa stratégie de développement, le groupe
Le Duff a annoncé le lancement prochain de Bruegger’s Bagel & Coffee en France.
Rachetée par le groupe Le Duff en 2011, l’enseigne new yorkaise Bruegger’s Bagel
& Coffee ouvre son premier restaurant français en octobre prochain à Rennes. Un
second s’implantera un peu plus tard dans la capitale. Leader mondial sur le segment
du bagel, Bruegger’s compte actuellement plus de 300 « café bakery » aux EtatsUnis. Spécialiste du bagel et du sandwich, l’enseigne propose toute une sélection de recettes pour le petit déjeuner et le déjeuner.
En guise d’accompagnement, les convives ont aussi le choix entre des soupes, des salades ou encore des viennoiseries et des
pâtisseries préparées par la marque Bridor (groupe Le Duff). Avec une stratégie de positionnement plus élevée que sur son marché
d’origine, Bruegger’s Bagel France fait la promesse de nous faire goûter le « vrai bagel américain ». « Il est doté d’un pain bien
moelleux et garni d’une sauce bien spéciale. Ce qui est vraiment différent de l’offre actuellement développée en France. », déclare
Vincent Le Duff, responsable de l’implantation de l’enseigne en France. Bruegger’s Bagel comprendra aussi une offre de cafés
provenant de Timothy’s Coffee, une autre enseigne du groupe, qui souhaiterait prochainement s’exporter en Europe sous contrat
de franchise.
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Pour le groupe Le Duff, la France reste un marché stratégique : 38 % du chiffre d’affaires y est réalisé, contre 41 % aux Etats-Unis.
Cela s’explique notamment une forte volonté de continuer à investir en France. Le Duff compte consacrer 60 % du montant de
son plan d’investissement monde de 365 M€ – sur trois ans – en France. Une partie du montant sera notamment dédié à la refonte
des restaurants de l’enseigne Brioche Dorée vers une clientèle plus jeune et moderne.
Cette stratégie s’inscrit dans la volonté du président Louis Le Duff d’établir une croissance permanente et contrôlée. Comme il
aime lui-même le dire, « pour avoir un résultat équilibré, il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». Et ça marche
! Le groupe a connu en l’espace de huit ans une progression constante de 250 % et se retrouve aujourd’hui à la tête d’un empire
de 1,5 milliards d’euros, pour 17 500 collaborateurs et 1260 restaurants et boulangeries dans le monde. Pour Louis Le Duff,
l’alliance Etats-Unis France est une combinaison gagnante. Selon lui, « les Français apportent au produit tout leur savoir-faire
technologique, tandis que les Américains y transposent toutes leurs compétences en design et en architecture ».
Del Arte passe en mode express
La chaîne de restauration italienne du groupe Le Duff va expérimenter, à partir du
mois de juin, en partenariat avec Total, un nouveau format avec vente au comptoir
sur l’aire d’autoroute de Metz-Saint Privat sur l’A4. Un concept tout spécialement
imaginé pour ce site et pour Argedis, la filiale du pétrolier en charge de la gestion
des aires d’autoroute. Une première pour la marque qui comptait fin 2012, 124
restaurants traditionnels avec service à table pour un CA de 170 M€.
« Nous n’avons pas réalisé une simple déclinaison de del Arte qui est un concept fort et typé. Sans renier nos gênes, notre
démarche a plutôt consisté à partir d’une attente produits, services et process pour imaginer la réponse la mieux adaptée à une
clientèle pressée », explique Antoine Barreau, directeur général de la chaîne. Sur un espace type food-court, Del Arte partagera
l’espace en tandem avec une Brioche Dorée dans une salle de 160 places environ. Les pizzas en monoportion de 30 cm seront
commandées au comptoir, fabriquées face aux clients qui seront informés de la préparation de leurs plats grâce à des bippers.
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Revue de presse mai 2013
Lechef.com - 16 mai 2013
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Dossier spécial
Chez Clément fête ses 20 ans et lance une nouvelle carte estivale
Chez Clément a rangé ses habits d’hiver pour laisser la place
aux petites vestes de printemps : concombres et aubergines
remplacent betteraves et autres céleris. Dirk Vanlieshout,
chef des chefs de l’enseigne, a élaboré la nouvelle carte
aux saveurs estivales avec les chefs des 11 établissements
franciliens. Toujours axée terroir, cette dernière comprend,
entre autres, une assiette de légumes grillés et marinés, du fromage de chèvre frais marbré à la tapenade ou
encore une salade de fruits frais. Parmi les nouveautés se trouve aussi un panier champêtre à partager avec
un verre de rosé pour un apéritif provençal, ou à grignoter seul en plat principal pour une ambiance piquenique.
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« Bien que tous nos restaurants proposent la même carte, chaque chef apporte sa touche personnelle »,
précise Sylvain Parcineau, directeur de Chez Clément Porte Maillot, établissement historique et témoin.
Dans son restaurant, le chef Didier Gadeau s’est spécialisé dans la rôtisserie déclinée sous toutes ses formes,
du traditionnel poulet rôti au thym au trio de poissons, l’un des best-sellers. Après être passé dans de grandes
maisons comme l’Alcazar et le Prince de Galles, Didier Gadeau a rejoint Chez Clément en 2000 et dirige les
cuisines du restaurant de la Porte Maillot depuis plus de 2 ans. « Nous souhaitons proposer une cuisine
authentique, simple et vraie, à base de produits cultivés à moins de 200 km de la capitale », explique-t-il.
Pour accueillir une clientèle de proximité dans ses 11 restaurants, le groupe n’hésite pas à proposer, chaque
jour, des formules à l’ardoise selon les humeurs et les envies des chefs. « Nous devons faire savoir au client
qu’il y a un chef dans chacun de nos restaurants » explique Sylvain Parcineau. L’enseigne pourrait, à l’avenir,
mettre d’avantage ses chefs en avant, en les intégrant par exemple au sein de supports de communication.
Côté salle, le convive est toujours accueilli dans l’ambiance chaleureuse et conviviale propre au concept
traditionnel Chez Clément. Chaque salle du restaurant reconstitue une pièce d’une maison traditionnelle.
Au restaurant de la Porte Maillot, le client peut s’installer dans le salon, la salle manger, la cuisine, le cellier
ou encore le jardin d’hiver. Les tables d’hôtes en bois brut, décorées d’un panier de légumes de saison, sont
particulièrement prisées par les clients.
Fondé par les Frères Blanc en 1992, et racheté fin 2012 par le groupe SDW, Chez Clément fêtera cette année
son 20ème anniversaire. « Le concept n’a quasiment pas été modifié depuis son lancement », relève, non
sans fierté, Sylvain Parcineau.
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Revue de presse mai 2013
Lechef.com - 25 avril 2013
Lechef.com - 22 mai 2013
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Dossier spécial
La chaîne lyonnaise Ninkasi se développe en franchise
Le mois d’avril marque un tournant pour la chaîne de restaurant lyonnaise
Ninkasi. Le concept original « bières, burger, musique » souhaite accélérer
son développement en se déployant sous la forme de contrats de franchise.
Les premiers à avoir sauté le pas sont Olivier et Sandrine Milesi, les gérants du
restaurant Ninkasi Sans Souci (Lyon 8ème). Ils en sont désormais les propriétaires.
Les belles progressions de chiffre d’affaires qu’a enregistré leur restaurant sur
l’année 2012 (+ 5 %) les ont encouragés. Les résultats sont encore plus probants
ces six derniers mois avec une progression de +12 %. Avec une surface client de
90 places assises, le restaurant réalise en moyenne un CA annuel de 850 000 €.
Pour le fondateur et dirigeant de l’enseigne, Christophe Fargier, Ninkasi est le
fruit d’une grande aventure humaine qui doit sa réussite à la fidélité de chacun de
ses employés. Ninkasi espère que l’arrivée du contrat de franchise dans le groupe
poussera ses jeunes talents vers l’entrepreneuriat.
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Time Hotels cède 41 hôtels en France
La Financière Patrimoniale d’Investissement (LFPI) – société mère de Time Hotels
– met en vente 41 établissements sur les 58 qu’elle détient actuellement sur le
territoire français. Cette information a été confirmée à la suite du mandat de
cession confié à la banque immobilière BNP Paribas Real Estate, Après une levée
de fond de 112 millions d’euros réalisée fin 2009 (source : Les Echos), destinée à
poursuivre son expansion en France et en Allemagne, la société d’investissement
décide finalement de céder 10 de ses établissements parisiens Timhotel, ainsi que
31 autres situés en province, gérés par les groupes Louvre Hotels et Choice. Afin
d’attirer le plus grand nombre d’investisseurs possible et de céder son portefeuille rapidement, Timhotel n’a
pas souhaité donner l’obligation de conserver l’enseigne existante. Si ce cas de figure se produisait, l’enseigne
ne compterait plus qu’un tiers de son parc. Même si LFPI prévoit de renforcer son activité en Allemagne, le
risque qu’elle se retrouve en dessous du nombre de chambres permettant un retour sur investissement
profitable subsiste.
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Revue de presse mai 2013
neorestauration.com - 30mai 2013
lhotellerie-restauration.fr - 24 avril 2013
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Dossier spécial
Bons résultats pour le Groupe Casino Restauration
Les enseignes du Groupe Casino Restauration Cœur de Blé, la sandwicherie
revisitée, et Saveurs d’Evénements, le traiteur des professionnels présentent
des résultats dynamiques.
Historiquement engagé pour l’alimentation équilibrée à prix accessible,
Casino Restauration poursuit le développement de la marque Cœur de
Blé avec une génération de points de vente organisés autours de plusieurs espaces, pour une pause à chaque
moment de la journée.
Saveurs d’Evénements occupe une place significative sur le marché de l’événementiel. Créée en 2001, la
marque développe trois activités : la restauration événementielle en entreprises, l’événementiel sportif et
l’élaboration et la livraison de coffrets-repas.
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Yum! Brands fait état d’un recul du bénéfice de 8% sur le premier
trimestre 2013
Au premier trimestre, le groupe américain propriétaire de l’enseigne de
restauration rapide KFC a dégagé un bénéfice net de 337 millions de dollars,
soit 72 cents par action, contre 458 millions, soit 96 cents par action un an
auparavant. Soit un recul du bénéfice de 8% sur cette période. Hors éléments
exceptionnels, le BPA ressort à 70 cents par action, alors qu’il était attendu
à 72 cents. Le groupe a été pénalisé par la chute de 20% de ses ventes en
Chine, son premier marché, en raison des craintes liées au virus H7N9.
David C. Novak, président et chef de la direction, a déclaré: “ Le premier trimestre a été difficile pour Yum!
Brands, mais bien mieux que nous l’avions prévu. L’attention médiatique portée sur l’approvisionnement des
volailles en Chine a significativement impacté les ventes et les profits KFC. Nous allons cependant maintenir
le cap et développer au moins 700 nouvelles unités en Chine. Notre deuxième marque Taco Bell continue
d’offrir d’excellents résultats “
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Revue de presse mai 2013
Néo Restauration - avril 2013
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Revue de presse mai 2013
Néo Restauration - avril 2013
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Revue de presse mai 2013
Néo Restauration - avril 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Lechef.com - 2 mai 2013
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Dossier spécial
Les textures modifiées selon DomusVi aux Salons de la Santé et de
l’Autonomie
Du 28 au 30 mai se tiendront à Paris les Salons de la Santé et de
l’Autonomie, regroupant HopitalExpo, GerontExpo et HitParis.
L’occasion pour DomusVi de démontrer son savoir-faire en matière de
textures modifiées, à travers des démonstrations le 28 mai sur l’espace
Restauration du salon. Le groupe privé d’accueil et de services aux personnes âgées proposera en effet, par le
biais de la chef de cuisine à la Résidence Château Dranem de Ris-Orangis Nadège Lair et du chef de cuisine
à la Résidence Eleusis de Saint-Thibault-des-Vignes Sébastien Dessains, des assiettes dites « classiques » et
leurs déclinaisons en textures modifiées.
Cécile Botton-Gomez, cadre de santé chez DomusVi, participera quant à elle à la conférence « Adapter
l’alimentation à la personnes âgée : textures modifiées, régimes enrichis, manger sain, le temps du repas »
le mardi matin.
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« Les textures modifiées pallient la difficulté de mastication de certaines personnes âgées et permettent
de travailler sur les arômes et les couleurs des aliments. La présentation, tout aussi importante, développe
l’appétit et le plaisir de la table, essentiels à une bonne nutrition. Nous réalisons ce type de préparation pour
environ un résident sur trois » précise notamment Christian Florentz, Directeur Hôtellerie et Restauration
de DomusVi.
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Revue de presse mai 2013
Géroscopie - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Géroscopie - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Géroscopie - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - avril 2013
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Revue de presse mai 2013
lesechos.fr - 28 mai 2013
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Dossier spécial
Club Med : une OPA pour devenir mondial
Le groupe de loisirs veut accélérer son internationalisation pour
rééquilibrer le poids de la France. Le projet franco-chinois d’OPA amicale
AXA PE-Fosun lui donnerait un actionnariat stable et du temps.
2013 sera donc une année clef dans la riche et mouvementée histoire du Club Méditerranée. A soixante-trois ans, l’exploitant
du village de vacances, probablement la seule marque touristique vraiment internationale de par sa présence et son activité
commerciale en Europe, en Asie-Pacifique, en Amérique, est en effet à la veille d’une nouvelle ère avec l’officialisation hier du
projet d’OPA amicale de ses deux principaux actionnaires, la firme de capital-investissement AXA Private Equity (AXA PE) - 9,4 %
du capital et 8,4 % des droits de vote au 30 avril - et le conglomérat et partenaire chinois du Club Med, Fosun - 9,96 % du capital
et 17 % des droits de vote -, en association avec la direction et l’encadrement de l’entreprise.
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Cette opération, à l’étude depuis le début de l’année et présentée dimanche soir au conseil d’administration, doit se faire au prix
de 17 euros par action, soit une prime de 28,4 % par rapport au cours pondéré sur un mois (il est même globalement au-dessus
du cours sur les trois dernières années), et de 19,23 euros par obligation de type Océane émise par l’entreprise. De fait, le projet
d’offre a enflammé dès hier le marché Euronext Paris, l’action Club Med finissant la séance sur un gain de 22,38 %, à 16,95 euros,
5,44 % du capital ayant changé de main.
Au-delà du prix de l’action, qui valorise le Club Med à 556 millions d’euros (541 millions hors liquidation de stock-options), ce
projet d’OPA franco-chinoise repose surtout sur une répartition du capital équilibrée entre AXA PE et Fosun, avec pour conséquence
un actionnariat français majoritaire.
Sur la base de l’obtention d’au moins 50,1 % du capital, seuil minimal fixé pour sa réussite, les deux grands actionnaires auraient
chacun une part indirecte de 46 % - le montage prévoit la constitution d’une société holding réunissant l’actionnariat et un sousholding contrôlant le Club Méditerranée -, le management - environ 400 personnes au total - détenant le solde, soit une part
indirecte de 8 %. Il s’agit là d’un maximum, la participation de la direction et de l’encadrement se diluant selon le taux de réussite
de l’OPA. Dans l’hypothèse où le seuil fatidique de 95 % des droits de vote serait atteint, une offre publique de retrait pourrait
être lancée.
Changement de gouvernance
Mais, bien plus qu’un éventuel retrait de la Bourse, que le Club Méditerranée avait rejoint en 1966, le projet dévoilé hier vise
surtout, selon les protagonistes, a accélérer la mondialisation du groupe, alors que se confirme le bien-fondé de sa stratégie de
montée en gamme et d’internationalisation avec des résultats positifs dans un contexte de crise en Europe (lire-ci dessous).
« Nous avons besoin pendant quatre à cinq ans de nous affranchir des contraintes de court terme. C’est pour cela qu’il est
important pour le Club Med de s’appuyer sur un actionnariat stable et renforcé, et sur un management engagé », a expliqué hier
son PDG, Henri Giscard d’Estaing, à la barre du groupe depuis la fin 2002, après avoir évoqué « de nouvelles difficultés résultant
de la récession en Europe ». D’où la nécessité, pour « compenser », d’ « accélérer la conquête des nouvelles clientèles » des
économies émergentes : Chine, Russie, Brésil, Afrique du Sud…
Cela étant, cette phase d’internationalisation accélérée, qui s’accompagnera aussi d’un changement de gouvernance avec un retour
à la structure directoire-conseil de surveillance, correspond aussi à un cycle d’investissement d’au moins quatre ans - période avec
engagement de détention des titres Club Med - pour AXA PE comme pour Fosun. La porte de sortie est annoncée : une cotation
du Club Méditerranée à Paris et à Hong Kong ou Shanghai. On n’en est pas encore là. Dans l’immédiat, le conseil doit désigner un
comité ad hoc d’administrateurs indépendants et un expert indépendant qui devra attester de l’équité de l’offre. Le projet devra
par ailleurs être validé par l’AMF.
Christophe Palierse
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Revue de presse mai 2013
lhotellerie-restauration.fr - mai 2013
lhotellerie-restauration.fr - 30 mai 2013
XXX- 2- mai 2013
lhotellerie-restauration.fr
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Dossier spécial
Memphis Coffee ouvre deux restaurants dans le Nord-Pas- de -Calais
Memphis Coffee, chaîne de restauration basée sur le concept des
diners américains des années 50, vient d’ouvrir deux nouveaux
établissements dans le Nord-Pas-de-Calais à Lomme (59) et HéninBeaumont (62) dirigés par Gilles Creton. Ils sont ouverts en continu
de midi à 23 heures et disposent de 450m² pour celui de Lomme
contre 490m² pour celui d’Hénin-Beaumont. La chaîne compte donc
15 restaurants en France et prévoit d’en détenir une vingtaine en 2013.
Thaï in Box débarque en Martinique
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Inspiré de la cuisine de rue Thaïlandaise, Thaï in Box continue son
développement et traverse l’Atlantique. L’enseigne va ouvrir dans
quelques semaines son premier restaurant en Martinique en licence de
marque. Ce premier restaurant sera implanté dans la zone industrielle
de Gros la Jambette sur une surface de 60m2 et pourra accueillir
environ 50 places assises. Thaï in Box a également ouvert un deuxième
point de vente le 27 mai à Boulogne Billancourt. Ce qui porte le réseau
au nombre de huit ouvertures.
Tutti Pizza s’implante dans les Pays de la Loire
Saint-Macaire-en-Mauges (49) Tutti Pizza, enseigne de pizza du SudOuest, poursuit son expansion en ouvrant le 7 mai prochain son premier
point de vente dans les Pays de la Loire avec celui de Saint-Macaireen-Mauges (49). Cet établissement pilote sera testé pendant un an
avant de se développer par la suite en masterfranchise. Les pizzas sont
à commander à emporter tous les jours de 10 heures 30 à 13 heures 30
et de 17 heures 30 à 22 heures ou sur le site Internet de la chaîne www.
tutti-pizza.com. La chaîne titulaire de 53 points de vente, prévoit d’en
détenir 100 d’ici 2015.
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Revue de presse mai 2013
Le Parisien - 31 mai 2013
BRA Tendances - avril 2013
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Dossier spécial
Paris : Zahia ouvre une pâtisserie sexy et éphémère
Toute jeune créatrice de lingerie, Zahia Dehar, ancienne escort-girl
révélée après sa relation avec la star du ballon-rond Franck Ribéry,
mise sur l’originalité.
La jeune femme de seulement 21 ans ouvrira, du 1er juillet au
15 octobre prochains, une première boutique pour mettre en
avant sa ligne de sous-vêtements sexy et girly rapporte le site
Fashionmag.com. Et pas n’importe qu’elle boutique puisque ce lieu
abritera également toutes sortes de pâtisseries et gourmandises
spécialement conçues pour l’occasion.
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Dans un premier temps éphémère, cet espace ouvrira ses portes au numéro 10 de la rue Boissy d’Anglas (Paris 8e), dans
l’enceinte du concept-store L’Éclaireur. Pour cette première vitrine, Zahia a choisi un concept inédit, mêlant lingerie et
pâtisserie. Un clin d’oeil au thème «Gâteau-Bonbon» de sa collection couture Automne-Hiver 2013. Ce boudoir, salon
de thé et boutique de lingerie permettra aux femmes de déguster des gourmandises sucrées réalisées par un jeune
pâtissier tout en appréciant les pièces girly et sexy de la collection de Zahia Dehar. Les clientes pourront essayer les
modèles et se les offrir à l’issue d’une séance de shopping gourmande. Fermant ses portes le 15 octobre prochain, ce
pop-up store éphémère réinterprété par Zahia s’installera ensuite à New York et à Tokyo.
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Revue de presse mai 2013
franchise-magazine.com - 15 avril 2013
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Dossier spécial
Philippe Berton, Directeur du développement de JEFF DE BRUGES
«En dix ans, nous avons multiplié le chiffre d’affaires du réseau par quatre.»
Vous avez passé le cap des 400 boutiques en France ? Comment expliquez-vous cette réussite ? Et quelles perspectives de
développement estimez-vous avoir encore ?
C’est un peu par hasard que nous avons conjugué l’ouverture, en novembre dernier, de notre magasin phare situé sur les ChampsElysées avec notre 400ème implantation en France. Il se trouve que deux franchisés, qui devaient ouvrir à ce moment-là, ont dû
retarder leur ouverture en décembre.
Fin mars, nous avions 408 points de vente dans l’Hexagone. Au-delà nous entendons poursuivre notre développement.
Concrètement nous visons une trentaine d’ouvertures en 2013. Plus généralement nous avons identifié une centaine de sites
supplémentaires, en centre ville comme en centre commercial, qui ont le potentiel pour accueillir un point de vente Jeff de Bruges.
Mais je dis cela avec prudence car il est très difficile d’avoir des certitudes et de faire des prévisions dans le domaine alimentaire,
d’autant que sur notre marché, celui du chocolat, il y a en permanence de nouveaux intervenants : sur Franchise Expo Paris, qui
vient de se tenir, il y avait encore une douzaine de chocolatiers présents. C’est le signe que la niche du marché sur laquelle nous
intervenons ne se porte pas si mal. Cela s’explique essentiellement par le fait que le chocolat représente un achat plaisir à prix
abordable, quelque chose qu’on peut s’offrir même en période de difficultés économiques.
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Quels moyens vous êtes-vous donnés pour accompagner cette expansion ? Et quels problèmes avez-vous rencontré ?
Il y a 13 ans, lorsque je suis arrivé chez Jeff de Bruges, il y avait 150 points de vente, et personne n’imaginait qu’on en serait là
aujourd’hui. On misait alors sur un potentiel de 250 à 300 unités ! Alors je ne sais pas si l’enseigne a un secret. Ce qui est sûr,
c’est que nous nous sommes fixés une ligne de conduite dont nous ne dévions pas : dans une ville donnée, nous ouvrons toujours
sur le ou les meilleurs emplacements possibles. Mais cela ne signifie pas qu’il n’existe pas une part de risque que nos partenaires
doivent assumer. Ceci dit le marché est assez stable depuis des années, les consommateurs fidèles et nous avons acquis une bonne
notoriété.
Pour notre part nous privilégions le meilleur rapport qualité/prix et améliorons sans cesse les ingrédients de nos produits. Notre
positionnement, ce sont les chocolats belges ramenés au goût français. Cela fonctionne. Et nous sommes immédiatement identifiés
dès que nous arrivons dans une ville, par la clientèle bien sûr, mais aussi, en amont, par les bailleurs de centre commerciaux, les
responsables de ville, etc.
Bien sûr pour accompagner notre expansion, nous n’avons cessé de renforcer notre structure. Un nouveau siège social et
une plateforme logistique ont ainsi vu le jour à Ferrières-en-Brie (Seine-et-Marne) en 2010. En l’espace de 13 ans, le nombre
d’animateurs du réseau est passé de 4 à 9. Et nous avons donné aux franchisés les moyens de donner leur avis, en créant des
commissions supplémentaires sur des sujets spécifiques. Ce qui ne veut pas dire que tout le monde est toujours satisfait. D’autant
que plus nombreux sont ceux qui peuvent s’exprimer, plus on déplait à plus de monde. Mais cela fait partie de la vie d’un réseau
de franchise. Ceci dit notre dernière réunion nationale a réuni 790 personnes, avec un taux de présence de nos franchisés de plus
en plus élevé, ce qui est tout de même un indice de mobilisation et de satisfaction.
Où en êtes-vous dans votre développement à l’international ? Avez-vous des objectifs précis en ce domaine ?
Notre expansion à l’export (36 franchisés à l’étranger aujourd’hui) a été, avant tout, le fruit d’opportunités, avec des partenaires
étrangers qui nous ont contactés pour développer le concept chez eux. Il faut préciser aussi que le seul pays où nous interdisons
d’aller est la Belgique, où nous n’allons pas concurrencer notre actionnaire Neuhaus, qui y possède son propre réseau de boutiques.
En tout cas ce développement nous a permis d’acquérir une expérience variée dans ce domaine en nous confrontant à des situations
de marché différentes. Si nous prenons les deux pays avec lesquels nous avons commencé en 1996, nous avons aujourd’hui une
dizaine d’unités au Maroc, ce qui nous donne une bonne visibilité sur ce pays. Et nous nous sommes toujours présents en Espagne
avec six points de vente et un master-franchisé qui est le groupe Relay. En revanche nous avons quitté la Chine, la Russie et
l’Australie. Nous y étions sans doute allés trop tôt ou pas au bon moment. Nous sommes aujourd’hui beaucoup plus attentifs à
avoir une réflexion de fonds sur les projets à l’international.
La prochaine étape sera le Canada avec une première ouverture d’ici la fin de l’année au Québec. Nous nous y implantons en
direct. Philippe Jambon est attaché à ce pays, qu’il connait bien pour y avoir fait ses classes. Cela nous obligera à nous remettre
en question (réglementation particulière concernant les déclarations d’allergies, expédition une fois par semaine en avion, frais de
douane, etc.). Si l’expérience est couronnée de succès, ce sera évidemment une tête de pont pour un développement aux ÉtatsUnis
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Revue de presse mai 2013
snacking.fr - 15 mai 2013
neorestauration.com - 24 avril 2013
Actualités
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Prospects
Produits
Dossier spécial
Big Fernand va faire des petits à Paris et Lyon
Après s’être réapproprié le burger à la sauce frenchie et terroir au sein
de la première adresse parisienne rue du Faubourg Poissonnière, Big
Fernand, estampillé « L’Atelier du Burger » entame une nouvelle phase
de développement, en succursale comme en franchise. Pas moins de trois
ouvertures sont ainsi programmées pour le concept rafraichissant créé par
les trois acolytes au béret et à la chemise à carreaux, Alexandre Auriac, Steve
Burggraf et Guillaume Pagliano. Les adeptes pourront ainsi retrouver leurs
burgers au Saint-Nectaire ou à la Fourme d’Ambert au 32 rue Saint-Sauveur
dans le quartier Montorgueil début juillet puis à partir d’octobre du côté
de Neuilly/Seine. Si les créateurs privilégient un développement en propre
pour ces deux nouvelles unités, et plus largement pour le développement
sur Paris, ils sont également prêts pour mailler l’ensemble du territoire en
franchise avec l’ouverture d’un tout premier restaurant sous ce format, prévu
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également en octobre, du côté de Lyon au 32 rue Ferrandière. Afin de toucher une clientèle encore plus large, Big
Fernand a également mis en place autour de ses produits un service de traiteur, dédié notamment à l’événementiel
avec personnalisation possible, et auxquels les futurs franchisés pourront avoir accès s’ils en expriment le souhait.
SHCB affirme et affiche sa démarche de proximité
Par conviction, SHCB a toujours travaillé avec les producteurs et éleveurs locaux pour assurer une grande partie
de ses approvisionnements, en Rhône-Alpes, en Bourgogne et dans chacune des régions où SHCB s’implante.
Le groupe présidé par Maxime Bobbia donne encore une nouvelle dimension à cette stratégie de proximité
qui accompagne SHCB dans sa croissance sur de nouveaux territoires régionaux. Une démarche qui trouve
son aboutissement cette année, avec la nouvelle offre commerciale de l’entreprise centrée intégralement sur
les circuits courts, les approvisionnements décentralisés dans chaque région et département, et sur la culture
du restaurateur responsable : « l’identité de l’entreprise est mise en évidence par sa signature culinaire
intransigeante « J’aime ma restauration collective d’ici », explique Maxime Bobbia. Nous privilégions sans
concession le tissu local sur chacune de nos implantations, actuelles et futures, a? n de créer un maillage
géographique qui donnera de la ? flexibilité à nos partenaires pour développer les économies locales et ainsi
respecter les fondements de notre politique de développement ».
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - avril 2013
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Produits
Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - avril 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
lechef.com - avril 2013
lhotellerie-restauration.fr - 13 mai 2013
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Produits
Dossier spécial
Arts de la table : des sélections tendance par MR Net
Les arts de la table, essentiels pour combler les attentes esthétiques des convives
lors d’un repas, sont sélectionnés avec soin chez MR Net. Couverts Guy Degrenne,
Nappage Cogir, vaisselle Zénix de Arcoroc et autres accessoires à la fois pratiques
et de qualité sont en effet proposés par l’enseigne, qui souhaite satisfaire autant les
clients de collectivités que les restaurateurs indépendants. Avec pas moins de 4 000
références en stock et livrables sous 48h, un site Internet interactif (www.mrnet.
fr) dispensant des conseils ou annonçant les dernières nouveautés, ainsi qu’un
service dédié aux conseils/clientèle (sur le terrain, au téléphone et sur Internet)
des plus performants, MR Net est aujourd’hui le fournisseur incontournable en
matière d’arts de la table.
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Le Professional Kängabox d’HygiAlim, pour transporter étanche
HygiAlim lance le premier conteneur isotherme étanche, le Professional
Kängabox®. Le matériau employé est ultraléger (moins de 2 kg) et est
très résistant (polypropylène expansé). Il est déclinable en 10 couleurs,
donc facilement indentifiable. Le Professional Kängabox® est étanche
aux vapeurs, aux odeurs et aux liquides. Il est doté d’angles non saillants
qui évitent tout risque de blessure et de casse.
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Revue de presse mai 2013
lechef.com - 16 mai 2013
neorestauration.com - 4 avril 2013
neorestauration.com - 24 avril 2013
Actualités
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Prospects
Produits
Dossier spécial
Franc succès pour le R211 XL de Robot-Coupe !
Lancé sur le marché en janvier dernier, le R211 XL de Robot-Coupe a su se
rendre indispensable au sein des établissements de petite restauration et de
snacking. Spécialement conçu pour répondre aux besoins de ces restaurants,
le R211 XL permet de réaliser rapidement et très simplement des préparations
de type salades de fruits ou de légumes, pâtes à tartes, ou encore des
garnitures de sandwichs. Sa goulotte extra-large et ses 4 disques inox offrent
en effet la possibilité de couper jusqu’à 6 tomates en un rien de temps !
Son cutter polyvalent permet quant à lui de hacher des herbes, monter des
sauces, réaliser des mousses et des émiettés, ou même de ramollir du beurre.
Facile à nettoyer et à ranger, il représente un précieux atout dans une cuisine.
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Roller Grill présente le CT 3000
Le nouveau four convoyeur à tunnel CT 3000 de Roller grill permet de cuire
Panini et pizzas en 1 minutes et 30 secondes. Appareil incontournables dans
les structures de snacking, le CT 3000 autorise une cuisson instantanée, sans
préchauffage, avec réglage de la vitesse du tapis convoyeur et de la puissance
de chauffe.
Pas d’échec pour le mat chez Le Creuset
Authentique et raffinée, la nouvelle collection « mate à croquer » de Le
Creuset d’accordera parfaitement à toutes les tables. Ainsi, la fameuse
cocotte en fonte est désormais disponible dans les trois nouveaux coloris et
se parent même d’une couleur intérieure inédite, l’amande. Un ton plus clair
et encore plus chic !
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Revue de presse mai 2013
neorestauration.com - 17 mai 2013
neorestauration.com - 22 mai 2013
BRA Tendances - avril 2013
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Prospects
Produits
Dossier spécial
New Front Cooking, pour réinventer le
live cooking
Le New Front Cooking de Vauconsant est la réponse pour créer
une animation efficace. Cet équipement permet de créer des
recettes variées tout en supprimant l’attente aux points de
cuisson grâce à la zone de maintien en température. Il s’intègre
naturellement dans tous les types de décor et est entièrement
configurable.
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Matfer présente son coupe légumes
Grâce au multi-coupes Matfer, il est possible de découper en six
quartiers, huit quartiers rondelles, demi rondelles frites 8x8 et
frites 10x10 très facilement. Conçu sur une base commune sur
laquelle tous les outils sont interchangeables, le multi-coupes
peut être équipé en fonction des besoins de chacun.
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Revue de presse mai 2013
DH Magazine - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
DH Magazine - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
BRA Tendances - mai 2013
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - mai 2013
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Dossier spécial
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Revue de presse mai 2013
Neo restauration - mai 2013
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