Bio-bibliographie de Victor Hugo 1802-1825
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Bio-bibliographie de Victor Hugo 1802-1825
Bio-bibliographie de Victor Hugo de 1802 à 1825 / par l'Abbé Pierre Dubois Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Dubois, Pierre (18..-19.. ; abbé). Bio-bibliographie de Victor Hugo de 1802 à 1825 / par l'Abbé Pierre Dubois. 1913. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. 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BIO-BIBLIOGRAPHIE DE VICTOR HUGO e DE A 1802 1825 J PAU 1/ABBE PIERRE DUHOIS ) DOCTEUR ÈS-LETTitES PARIS )JBRA)tUE ANCtRNNE 5, HONORE 'QUA! MALAQUAIS, CHAMPION, EDtTEUR 5 0 1913 BtO-BtBLIOGRAPHIE DE VLCTOR HUGO M1802A i825 PRÉFACE œuvres de Victor de nombreux voiumes ont. Sur la jeunesse et les premières Hugo Tous ont des quahtés et aussi des défauts. été publics. du poète, témoin de sa vie (l), a y'acoM/e son existence La femme sa récepjusqu'à est évidemment, une apoiogie tion à f'Académie. Cet ouvrage qui ne satisfait pas notre ]a chose n est plus à prouver, avide de faits précis, de dates exactes. L auteur, époque à p)aisir avec les années et les mois et a propos des événements narre il jongle qu'H disent qu'il a voulu tromper. s'est souvent et d'aucuns Letecteur, qui ne se contrompé cherchera donc inutilement dans ce livre ce que réclame son tante pas d'.à peu près, indiscrète curiosité. a donne de Vtc/o?' 7/M<~o (2). 1) y a dans son M. Gustave Simon nous ~'2~/OKee d'assez extraits des poésies livre les titrer et parfois longs composées par Victor Hugo, à au dur métier de'la .dors sa s'exercer Les fervents de commençait, poésie. que plume a M. G. Simon un reproche, Victor celui de n'avoir Hugo adresseront peut-être pas dont il a établi le VoM~es ces bêtises ~'c/oy !'7!-ea;<e~~ ces œuvres publié catalogue yt<e en est. sa /!<ï~~<t/!ee. La mais la parfois pauvre, Hugo /a~a~aua~< poésie critique y « à gtaner et en tout cas étudierait sur le vif les trouverait, certainement les débuts » et suivrait, d'un puissant génie pas a pas ses progrès. plus lointains Il a toujours M. E. Biré a écrit plusieurs livres sur Victor d'admiHugo. protesté rer le poète, mais toujours il a proclamé son peu d'estime il a pour l'homme auquel des palinodies, une évolution et en relidesvoitefaces, complète en politique reproché le lieu de discuter les appréciations d'E. Biré sur Victor et Ce n'est Hugo gion. point sur l'homme. Les uns commères autres sont évidemment. les jugements qu'il a portés d'un point de vue partiun critique auteur apprécie toujours qu'il étudie subjectifs Il faut. culier et il n'est ne partage les idées de son voisin. pas point étonnant qu'it à E. Biré qu'il les faits et gestes de Victor et rendre cette justice Hugo n'ignorait.pas a souvent remis au point le récit du témoin de la vie dont les sa mémoire excellente en présence souvenirs moins sûrs avaient défaillances. Parfois d'événements quelques il a étéobiigéde faire des supqui ne concordaient point, qu'il avait peine à expliquer, il a pu s'égarer dans les champs de l'hypothèse. et alors Ses ouvrages, positions, connaître la vie de Victor sont excellents, erreurs, et, qui voudra malgré quelques avec fruit, contre le parti-pris pourvu qu'il se mette en garde qui Hugo, tes consultera entraîne E. Biré. parfois dans son livre sur la 7~'e/ace de C'?v~?!M~/(3), ne s'est pas contenté M. Souriau, il a voulu chercher les Influences SM~'es et la Préd'étudier cet ouvrage en iui-même, la f?'e/<xce. A cet effet, il a dû, après E. Biré, parcourir d'une pfumeattcn~<M'f~!OM Victor Hugo (2) GUSTAVEStMON. (3) in-12, MA)]n;CE 18U7. )'aeo/!<e A'M/aMee SOURIAU. témoin ~a~Mx La de jOre/'ac'e t~e<or de de sa Hugo, Me. Paris. 2 vol. <)! Hachette, Paris. Cromwell, -t- Société in-12, 1904. française d'nuprifnerie et. du librairie. PREFACE e tive le CoMse?'ua<eM~ oeuvres de Victor On ne ~<«e~<ï<~e et les premtères Hugo. il essaie de son devancier sans tomber dans un trouve pas chez lui le parti-pris plutôt, excès contraire, les variations de Victor' et les transformations d'expliquer Hugo que tard le a fait. subir aux aux articles de et de revues complus poète poésies, journaux dans sa posés jeunesse. A côté de ces ouvrages il en est d'autres d'une utilité sans avoir première, qui, toute leur importance, ne manquent de valeur. pas cependant M. tivante. E. Dupuya œuvre d'une lecture pub)!é~e!<~e.s'.9e capA)/H6~<tyMe~(i), M. Louis Betton et M. P. ont étudié les relations de Victor (2) (3) Dufay Hugo, avec son et de tettr.es homme, jeune père ontpubtié une quarantaine autographes que la inéde B!ois. M. Léon Séché (4), grâce à quetques documents possède bibtiothèque tout. autour de la ~/M.'?e /?'<M!pa<se. (lits, a brodé agréablement sur la jeunesse de Victor et s'ils sont Mais, dira-t-on, d'ouvrages s'itya tant Hugo, bien un nouveau. en C'est en tes étudiant, c'est faits, a quoi bon en écrire justement les feuilletant avons vu t'utiiitéet. même la nécessité de quotidiennement que nous celui que nous présentons au public. On ne trouve pas chez les et bibHographique biographique ce travail raisonné, approfondi, de ï~c/o~'y/M~o ~aco~e s était ne sait plus ia part de vérité et, Des admirateurs tobiographie. ont répété les affirmations ment, sont leurs contradicteurs,tentre » ma). auteurs dont nous venons de parler étude une véritable de Victor Tel ne fut point leur but et pourtant Hugo. documenté est nécessaire. M. Biré a prouvé que l'auteur a induire amusé souvent le lecteur en erreur; et Ion la part d'imagination contenues dans cette espèce d'ausur aucun docucrédutes, plutôt qui ne s'appuyaient de Victor et. bien mal venus Hugo ou de sa femme, autres d'où venait E. Biré, « ce pelé, ce galeux tout le dans/~«é/'o'<M~ee< M~ee&ies part Victor Hugo a rassembté Philosophie articles dans sa jeunesse. Mais i[ ne les a pas tous reproduits it en a qu'il a publiés admirablement ses opinions littéraires ou relinégligé qui renètent pourtant politiques, A propos des dates, i)' ne s'est pas gêné non p)us vieillir ou rajeunir gieuses. pour votontairement ses articles. En outre, il a changée transformé ce qu'il réimprimait, Ici seulement ou quelques mots sont là, au contraire, quelques lignes ajoutés quelques ou des noms sont ailleurs des sont attribuées a lignes propres supprimés pages entières un article vers 1820, bien qu'elles soient très probablement de 1834. MM. Biré et composé Souriau ont signalé tout cela, mais ils n'ont de point fait la bibliographie des ouvrages Victor Au hasard du travail ils ontnotéles sans Hugo. entrepris. changements opérés, les références exactes entre le Conservateur Z~e~M'e et A<«eratoujours indiquer <M~'e et /~<7oso/)~e mêlées. Ils n'ont ou n'ont à quel article pas trouvé, point cherché telle page de Z<!«e~~My'ee~ dans quel journal ou revue appartenait Philosophie mêlées, elle avait été pubiiée. D'autre il restait à faire, donc un travail travail de bio-bibliographie, œuvre Après eux, à chaque instant on est arrêté une hésitation, utile, il puisque par un doute, quand de fixer une date, de la vie de Victor surtout on est un événement s'agit Hugo, quand en présence d'affirmations contraires de même valeur. Il en va de même qui semblent si l'on veut connaître toutes les œuvres, articles de revue et odes, poésies diverses, de journaux, etc. )ettres, Des (1) E. bibliographies Dupuy. La (2) LOUISBELTON. et Lettres (3) de VeMMaMe Romantiques, Victor Hugo et ~ot?--e<-C/tft', P. DUFAY. des V. Hugo t. XVI, à vingt son père, 9-85 et pp. a!M. bien fournissent générâtes Paris. Paris. Société quelques et d'imprimerie de librairie, le. <;rs;tera/ Hugo, <<OM~eMO!re~ tirage à part, Mercure de (4) LÉONSÉCHÉ. Le CeMac~ de la Muse /?'anfa!M, in-8, France, 81 p. in-12, Blois, in-12, 1905. ~e la société des 5'ct'et:ee~ Migault, 1902. 1909. Paris, Mercure de France, Il comme renseignements, in-8, 1908. PRÉFACE Gustave celles d'Assetineau. Lanson, Paran, Derùme, Hugo Thieme, Laporte., Nauroy, et Vicaire fautives et a part les ouvrages (1), mais elles sont incomplètes par endroits, de Lanson, et de Vicaire, tous les autres semblent vraiment de Laporte, peu utiles de~ Victor pour l'étude Hugo. a donne, il y a quelques Un atkmand, M. Martin une ébauche Hartmann, années, d'une bio-bibliographie de Victor intéressante Hugo (2). C est son travail qui nous a l'idée et le plan du présent Nous ne voûtons suggéré ouvrage. pas dire que le nôtre avons de fournir à qui veut soit loin de là, mais nous étudier les parfait, essayé années de Victor de travail. premières Hugo un instrument trouvera dans la colonne de tous Le lecteur, les gauche de chaque page Victor Nous les faits événements qui, à notre avis, intéressaient Hugo. y avons placé certains de sa vie tout en notant au passage ce qui nous semblait douteux ou peu Dans cette colonne nous avons mis ta date de composition des œuvres, prouve. quand fait nous la connaissions, toutes les réimpressions )eur 'a tous subir, que Victor Hugo les articles tous les articles ou livres composés de journaux qui ie concernent. par ses et. ses amis intimes, frères tous les faits httéraires influence importants ayant quelque sur lui et ses amis, tout ce qui éclaire ses relations avec avec Neuft'Académie, Chateaubriand, château, Lamennais. Frayssinous, Cette colonne est donc un metange bio-bibtiographique. de droite est purement Nous mis la date La. colonne bibHographique. y avons de critique, lit date de ses lettres. la de ses odes, de ses articles Pour d'impression de la librairie ou /<oy~6~A<f de la /ee nous a servi de fixer, te Vo/a~ aussi avons-nous H fallait une méthode uniforme, guide. employer préféré agir ainsi, d un livre ou d'une la J9<t~a/~<e note t'apparition revue quoique <r/e la T~'a~ee notable. A l'occasion une avec un retard souvent quand nous possédions cependant, ou indiqué cette erreur. A chaque nous avons œuvre°de certaine, preuve corrigé Victor nous avons donné les notes bibliographiques le journa) ou ta Hugo, marquant et ses réimpressions successi'ves. Ces dernières~ le )ecteur revue qui 1 avait .éditée ne sera les retrouvera mais ce coup d œil d'ensemb!e lui ailleurs pas fait pour déplaire. Enfm que Victor en rex-de-cbaussée, nous avons étudié les transformations a son œuvre. en face d'une ode ou d'un Si nous sommes Hugo toutes tes variantes des premières S'il s'agit nous éditions. petit indiquons poème, d'une nous renvoyons a Z~~Y!<M/'e et /~<7o~o/~<e Mï~/ec.v quand littéraire, critique l'a reproduite. Au cas contraire, nous donnons de larges extraits Victor des Hugo le moins un résumé des idées principales. articles taissés dans t'oubti ou pour Au au bas de la page, a fait subir nous en donné les dates avons, quelques pages préliminaires, sur la famille de Victor sur son père, sa mère, sur les relations indispensables Hugo, le général et Marie-Joseph Trébuchet. entre Nous avons épistolaires Hugo, Sophie sur t'adbtescence de Victor car rien dans cette n'est glissé rapide'ment Hugo, période bien et nous en sommes venu vite aux œuvres. Là nous nous premières précis, sommes a ne rien laisser dans l'oubli. Nous avons continué notre travail appliqué (1) début, AssEUNEAu. Mélanges tirés ~'M/ie petite &!&o/Ae~Me romantique, 1872. in-S, Rouquutte. aM: des Causerie d'un Paris, Pincebourde, in-8, 1866. Bibliothèque ?'OMa/y«e, des ~ure~. livres. éditions /)e /<z connaissance Les des o~'<y!a~M 1886. in-8, Paris. romantiques, Rouveyrc. à 1906, ffuGO TmEME. CMM/e de la /«e/'a<Mt'e de ~~00 Paris. 1907. in-8, Weiter, &/6~'o.(/s/j/t/te /'y'a;t~/M la GUSTAVE L.AXSON. ~/a'tMe< de /</e/'<!<Mt'e 1500-190(), /'<'c!;<{;<!i.!e ;)!o:/e!te. ~/&oy'<)A:</Me t.~ iv. /!e'MO/Mvir. Victor 12t8-12;tt. in-8. 1912. <t0'i et /)/;c-/ieMC:eMe siècle Hachette. Pn.ns~ Chapitre pp. //Myo. LAPORTE. /~<o/?'e du x!X° siècle, t. VU, 1893. Littéraire in-8, Paris, ~/&~0f/t'a/)/t!e contemporaine. Ch. NAUKOY. B!6<!oy?'<:pA:'e des plaquettes Paris. 1882. in-16~ roMM</yMe. Charàvay, un bibiiophite 1880. PARRAN. Romantiques, éditions V/e/ot' Alais, cévénol, in-8, originales. //M~o~ par 1 VjCAtXE. ~aytMe/ de /'aMa<eM?'~M /H7-~ du xix' siècle, t. [V, in-8,Paris, 226-466. Rouquette, 1900,-pp. DEROME. (S) K. A. MAnT;N HAXTMANX, Zeiltafel ~M Victor /ytf</o' p m Ze&eM und tVeWceft. in-8~ 53 p., Oppeln, 1886. PRÉFACE i825. terme de cet ouvrage? Peut-être comme cette date comme jusqu'en Pourquoi et que nous ne d'autres pourrions-nous répondre, parce qu~ii nous a p!u de faire ainsi voulions un trop gros volume de bio-bibnographie sur Victor Mais pas apporter Hugo. là répondre? A mieux un but, aider est.-ce ceux 'qui étudient les dire, nous avions débuts de Victor dans ce fourré un peu épais, au milieu de ces Hugo à se retrouver articles de revue souvent inédits avec des changements ou reproduits importants, nettement à qui veut consulter Z~~e~/M~f e/ /~<7o.!0/)/~e ?M~/ce~ le journal, indiquer la revue où il pourra trouver le texte A l'époque des premières Victor odes, primitif. sa route et à chaque instant il corrige sous l'influence de la politique ou Hugo cherche Plus tard, il connaît la de la religion. ses idées sont plus assises, mieux vers 1825, de son art, il )c besoin de revoir aussi souvent ses œuvres. technique n'éprouve p)us la disparition de la ~fï/se de Soumet a l'Académie et. l'éleclion Après /'?'<M~a~e le chef véritable au Victor devient des romantiques'; H n'est française, Hugo plus il fera attendre deuxième ou troisième mais a ia première rang, quelque temps place, encore son manifeste, la P/'e/ace de 6'7'OM!!ue/, mais déjà ii se prépare à l'action. se des compagnons mais qui lui semblent ou sépare qui font porté en avant trop vieux il commence a s entourer de jeunes recrues futures, pas assez audacieux pour les luttes et. excite au combat. sa jeunesse il est un homme Son enfance, sont. finies, qu'il forme et une nouvelle de sa vie commence. période Tout ceci nous semble raisons suffisantes en 1825 ce travail pour que a nous ne renonçons continuer tard de la même manière si nous en avons le pas plus loisir. Le lecteur en parcourant notre tui-même des résultats de notre ouvrage jugera heureux de connaître ce que nous avons labeur, mais peut-être sera-t-i) par avance surcette trouvé dans notre de )a viedeVictorHugo. enquête bio-bibtiographique partie mis Nous n'avons au aucune de Victor jour poésie nouvelle Hugo (1). Cette de l'existence du poète a été très travaiHée et tout ce que l'on peut désirer c'est période mettre en évidence des variantes et par des rapprochements ou ignorées peu connues montrer la iente évoiution de ia pensée sous des influences variées. En 1819, Victor Hugo pubheZa 6'aMa~eKMe, Ze Te/ey~e, /ro/ew/)0/!<<? ont subi des transformations sans mais Les qui importance, ~<e?'~e~ de ~e?'</MM. /~es a diverses Z)e?'?Me~.9 Z~a~t/e~, Les Destins de la FeM</ge ont. été remaniés Vicreprises. tor Hugo, fidèle aux conseils de M. Pinaud de Toulouse, a combiné trois strophes pour n'en former dans Les F<er~ de Fe?'</M~. qu'une En i820, il imprime les traductions dans le 6o?Me?'MC[<eM?' jLt~e~v/e qu'il a faites sur les bancs du co)!ège ~c~e~e/M'</e. T/~l~e des C~c~o/)e.9, le ~'aeM~, Ce.9ay'9.te dans Vtc/o~ Le ~e<7/a~</</M G'a/e.se. On les a reproduites V~M~co~, j4 Lydie, depuis Pour j4cAe?He?M~e T/M~o ~'acoM~e sans grands changements. cependant trente-quatre dans un vers ont été très modifiés~ le 7~<~tCOMon a commis épigraphe pour Ce.<<M' passe contresens. Les vers A. Zyf/<e ne sont presque A leur progros plus reconnaissab)es° Z~/e~aM'e les donne sous la signature J. SA)K')'Epos signalons que le 6'o?M~a<eM~' n'a signalée encore et que Victor deux fois seuMAhtR, que personne Hugo a employée lement. a donné au Co?Me?'u<ï<<'M?' Z<«e/'C!M'e Dans cette même Victor de année, Hugo nombreuses odes politiques. L es Vous e< les yM, La M?o~~(~M duc de ~e?'~<, Le Génie, et ~M duc de ~o~efïM.K, La tS'a!M<-C/<0! M!M<Me/, La naissance Z<'jE'?:~ety?<e~e?!< j~foMe SM?* /e7\~7, Les Z.e./eMMe~MM:, d'autres, divers, inspirées par des sentiments Deux Ages, Ce gue j'aime. Les Vous et les Tu ont d'abord été reproduits dans Z/~<e)'a<M?'e et P~~oso~/tte mais soixante-douze et soixantevers ont été laissés de côté, douze ont été ajoutés mêlées, J. Notons (1). Sainte-Marie et cependant appartient l'Imitation à Victor <OteeH, Co<tM?'u. Litt., I, comme Hugo nous Je verrons -IV 10' livrais. tout à l'heure. p. 364, 4 vers. Elle est signée PRÉFACE ont été donnés deux seulement dans le CoyMe/'ua<e:< Litâpeuprestetsqu'ils.étaient Ils ont. été reproduits fois dans téraire. une seconde Victor édition ne ~M~o ?~eo~<e, on retrouve le texte primitif. u<ïr!'e<M~, et là, trois mots mis a part, La Naissance << duc de Bordeaux, Z,6: y/!0~ du duc de Z~'r<, La tS'~<C'~a?7e~, nous offrent des changements Ce que j'aime peu importants. mutuel amusante fois Z/.E'?Me<y~/Me?:< a. perdu une'note déjà plusieurs signalée n'a les œuvres de Victor qui jamais été imprimée dans Hugo. avec M. PInaud de Toulouse La correspondance nous permet de connaître des curieuses .~M?' /e~V<7. variantes pour~o~c d'abord dans le ~ecMe<7</e'eM.K/?o?'~M.T?, le Z,e./<'M~e/~ï?M imprime puis dans dans tes Odes et Poésies Conservateur ~c<o?' Z~/e~Mre, </<Me?'~M, enfin dans T~M~Q mériterait un texte définitif on en note tous les vers refaits. r<!f?o?!<e auquel ajouterait en du /~ec!<e!7 des Les Deux Jeux et du 6'OMMr~eM/' Lit~yes passant floraux dans Victor ~~co/t/e ont perdu cinq vers qu'il faudrait leur restituer. téraire Hugo nombre. sans CerAe6'e/Ke,dédiéa Chateaubriand, a subi des transformations taine strophe a été refaite au moins ou cinq fois. M. Bartbou, un quatre qui'possède manuscrit ode signalait récemment dans la Revue bleue (~ Dec. de cette 1911, des variantes inédites et l'on est porté a. croire Hugo en compopp. 708-709) que Victor de la rime que par" un souci sant cette ode fut plus guidé par le choix reHgieux. A partir il trouve facilement le de, 1821, vers, plus l'image, l'expression qui il n éprouve rendent sa pensée, de corriger.ses aussi les odes qu'il idées, pas le besoin moins de modifications. écrit à cette époque présentent Le Baptême ne donnent En t82l, ~M duc de ~o~t/eaM.'c, CM~s~o?! La fille d'Otaïti, intéressantes. pas lieu à des réflexions En ~822, Victor et Le 7)e~oMe~eM~ dans /a/)e.<<e, Hugo compose ~o~~a~/e puis dont deux strophes en 1828, les Louis or a part ~o~a/M! ont été retouchées XVII; il imprime son ont subi des corrections Cette même deux autres année, peu notables. recueil C~/e.s' et Poésies diverses. Les odes qui paraissent fois, pour la première premier un texte à peu près définitif mais les odes déjà publiées une douzaine, nous présentent subissent l'influence du moment. C est alors qu'elles une forme reçoivent qui ne variera accentuée. Le poète, royaliste et catholique plus et une teinte religieuse plus à la surde l'âme, donne une à des oeuvres neutres chrétienne face que dans l'intime empreinte Oh s'aperçoit des noms, des images se livre à l'épar des expressions, jusqu'alors. qu'il et de la Bible. tude de la religion la même Les années 1823 et 1824 nous laissent Victor donne Hugo impression. aux Tablettes et à la ~fM~e française A mon père et La Bande Jéhovah Romantiques une seconde édition de ses Odes puis ses Nouvelles Of/e.f. En 1828, Noire. Il publie il a revisé dans les Odes et ~'a/~</e~ les pièces de 1823 et de 1824, sur presque toutes Le Repas La Liberté, La G'~aMe~ere, mais ces retouches tout La Z~:</e./Vo!~e, libre, sur la Bible sont œuvres de poète et non de penseur. lise la fameuse, Qu'on strophe dans 6'ra'6~We?'e. La strophe de 1824 est lourde et embarrassée et légère gracieuse est-elle devenue Vie est celle de 1828. La pensée On peut en douter plus chrétienne? tor Hugo Bible un simple missel. appelle D'ardentes discussions se sont établies à propos des articles de critique donnés par Z.<«~'a~'e. Faut-il a notre tour prendre a la lutte Victor part Hugo au Co~e~uQ;<eM)' et nous demander raisons l'ont poussé a ne pas les reproduire tous dans Littéquelles t'a~Mre et Philosophie à les tronquer, à les amalgamer; à y ajouter, à suppri?~/ee~, mer des noms et à les remplacer par d'autres. Il a laissé de côté certains revues articles qui, en 1834, n'étaient plus d'actualité littéraires ou poétiques, articles sur les Beaux-Arts, compte-rencritiques dramatiques, de tombés dans dus livres l'oubli. des ouvrages A dix-huit avait ans, son ardeur par des juvénile signalé composés de leur talent amis à qui il était heureux de rendre service et il avait fait l'éloge ignoré. v PRÉFACE A trente aans l'ornière loin derrière lui ans, il ne. se souvenait, plus de ceux qui gisaient sa marche et triomphante. et n'avaient pu suivre rapide H avait certainement aussi oublié ces pièces de théâtre qu'il avait jadis applaudies, à son idéat actuel, Rien d'étonmais qui ne ressemblaient le drame guère romantique. nant à ce qu'il ait négligé tous ces articles un volume n'aurait sum. Et d'ailpas au sérieux il se posait en en 1834, ces articles où jeune homme leurs, prenait-il juge du théâtre. il fit un choix de pensées générâtes infaillible Alors habilement qui ne en effet à prouver que sur ce point pas trop avec ses idées du moment. II tenait juraient il n'avait pas trop varié (1). Au contraire, en 1834, il se faisait illusion suria ferveur de son royaHsme et de de 1820. 1J a voulu alors montrer évotué en politique et son christianisme qu'il avait il a accentué des en religion et. volontairement cette évolution par un choix judicieux morceaux des suppressions habi)ement faites. reproduits, additions, par de petites et M. Biré un peu Il a eu l'intention de tromper son lecteur, le fait n'est pas douteux durement s'est, donné le matin de rétabtir les textes et. les dates. Ce n'est plaisir pas chose facile.. toujours f/'MM ~'eM~e ~'f<co~e de 1819 avec le Co/Me/'M/eM?' ~«ele Journal Comparer ~fM~e nécessite en effet un labeur mai's offre d agréabtes véritable, jouissances. de teHe a présidé est se demande méthode façon composé qu'on quelle journal de )8i9 a <824, à ce travail. On dirait vo)ontiers a pris ses articles que Victor Hugo les a relus attentivement. Certains lui ont plu dans leur H tes a mis de entier, qu'il d'autres mais des phrases, des pages lui ont faiC côté tels quels, l'ont moins intéressé, et il les a encore conservées. Puis il s'est amusé à brasser tous ces papiers pJaisir, il a pris un article, dans le tas au hasard feuillets. puis quatre ou cinq puis un article des feuillets, il a disposé des dates, des sujets, -et encore le tout sans s'occuper ajoutant. çà et. là un titre, une date. Noire semble fantaisiste et bien hypothèse pourtant se vériner.– 'de onze souvent elle paraît Prenons i'artic)ej~M/Ot?'e qui se compose il appartient assez distincts. Re premier est du 5 février i820, paragraphes (pp. 43-46) à une critique de r/<o<~ede le 2e (pp. 47-49) doit être de 1834 le 3e ()'p. 50Velly; le 20 mai 1820 il fait partie d'un article sur Awto~c de'-W. le 4" Scott 51) parut est du i7juin à un compte-rendu de Z~a-OM~ 1820, it est emprunté (pp. 52-53) de Thomas les 5", 6e, 7~ (pp. S4-56) parurent le 20 janvier )82l dans un article Moore sur )W/<0!?'e le 8* A ?<M ~o~'eM 1820 de Dufau (pp. 57 59) nous ramené au 5 février et à !'7y<~0!'7'e de Dufau le 9e, ~'a?/?'6t<< f~M CoMy~e~ /~<ï~pa;y (p. 60) du 2 septembre i820 appartient aux Va~te~ et ~VoM~e//e~ Z<<«e?'at?'e~ le i0~, ~4/)?'e~ M7te /ec< fait partie ~< ~o/ït~eM?' d'une de t'ËM<M~'e'e/! -?7.94, critique dramatique (pp. 61-63) il est du 31 mars 1821. Le dernier nous reporte au 20 janvier 1821 et à (pp. 64-65) de Dufau. l'oxre n'est une affirmation en l'air Zt~eici. Le i" septembre 1833, (1) Ce point que nous apportons l'~t~'ope ra:t'e I. livrais. l'article 7'/t<'a<?'e et mêlées, 6', (t. 97-98) imprima (/«e's~t?'e 95-102). pp. /'A:7(MO/)At'e pp. le même L'ordre n'est mais les deux sont Cet article est emprunté au Contextes pas absolument identiques. M?'M<eMr Littéraire livrais.9'. t. II, 6'. février 1820, (t. I, livrais. 1820 pp. 227-228 pp. 350. 351, 3S2. 3S6. mars t. livrais. 12'. mai 1820, III, livrais. Le 29 mai Z~<e?'a:)'e 78 27', 1821. p. janvier pp. 276-277). 1833, l'~Mt'ope donné une de la Pre/aee de Littérature e< Philosophie avai.t (t. I, n" 29, pp. 157-159) déjà grande partie mêlées milieu de ta Z/a?'< est MH la L'art.icle du 1" sepà 6oK (du 13, p, point. jusqu'à fin). aM/OM~tM: était de la note suivante « la du entre tembre théâtre précédé longue Aujourd'hui que question s'agite M. Victor et le passé, voici des notes lira avec intérêt. Elles ont été écrites en 1819 par Hugo que le public M. Victor sur un de manuscrit du consentement de veut bien nous commui. l'auteur, Hugo espèce journal que la le M. Victor avait alors seize ans. On sera sans doute curieux de niquer personne qui possède. Hugo ses ses a II actuelles avec d'alors. L'illustre varié. le comparer opinions paragraphe opinions poète peu Excepté et le paragraphe IV qui encore évidemment sa pensée, nous n'expriment plus croyons qu'il signerait aujourd'hui ce qu'if écrivait en 1819. C'est un fragment de théorie très hardi et où l'on trouve pour l'époque déjà. cà. et là le germe de toute une révolution littéraire. sont le gland dont la préface de Cromwel est Ces notes » Cette note sa le chêne. certainement la de Victor elle est sortie de exprime pensée Hugo probablement d'en relever les inexactitudes. plume. Inut~e en les Feuillessans date ont paru aussi dans et Philos. mêlées, Signalons passant que (Litt. pp. 217-227) 19 sept, rêveur. VICTOR HuGo. sous le titre Pensées d'un 1833, l'Europe Littéraire (n°ll, pp. 237-239) · PRÉFACE n'ont, pas tous à ~histoire Victor articles, on le voit, rapport, Hugo s'en est et alors avec une habileté reconnaître il leur a donné ce qui leur aperçu qu'il faut Lisons Littérature et /~7<MO/?~!e mêlées et nous allons nous manquait. page à page en convaincre. A la page 43, il a ajouté à la 2e ligne le mot. /<<yM<M, aux lignes à la page 44, il a recommencé et a ta page 46, 6 et 9 le mot histoire, à la <" ligne, derniers alinéas les deux sont de 1834. Si le deuxième paragraphe (pp. 47-49) que nous n avons est de 1834, notre supposition en est confirmée. A la page pu retrouver bien dans ont subi une transformation, Victor 54, les premières lignes Hugo parlait mais dans le Conservateur Littéraire de Vottaire et de sa manière d écrire l'histoire, il a voulu Littérature et- /<MO/)~<e mêlées rendre la chose évidente aux yeux de Voltaire comme ~~<oy'<e/ A la page 55, il y a toute une tous et en 1834 il écrit entre l'historien et l'historien comparaison cosmopolite patriote que nous ne trouvons en 1834. A la page 56. elle a été composée Z.</<e~<?'e; pas dans le Co/Me?'ua<eM?' en dire autant d'une nous devons sur « l'historien qui ne trouverait phrase étranger « M. La même certaines l'homme du pays expressions remarque qui sentent jamais les deux de « Tout historien 65 la page s'tmpose pour premières lignes qui se laisse « faire par l'histoire et qui n'en domine est infailliblement submergé pas l'ensemble « so.usles ». Elles détails sont de 1834 et rappellent admirablement bien au lecteur lui parle de l'histoire. que l'auteur l'article Histoire mettent en /<ev/~ay?M<'yï<~6~ec/'t<!yMe(pp. 67-93) qui suivent défaut notre théorie. Victor les a placés en respectant les dates le premier est Hugo du 4 mars, du du 29 janvier, le deuxième le troisième du 1~ avril et le quatrième 15 avril 1820. Ils ont de plus une certaine étendue et sauf quelques phrases initiales le lecteur du sujet traité, ils n'ont en 1834. placées pour avertir pas été trop recomposés font Notons les deux premières de la page 93. Elles admirablement cependant lignes « Voici donc dans et sont un éloge enfin des bien l'article pour Lamartine parfait d'un poète, des poésies qui sont de la poésie ». C'est en vain qu'au 15 avril « poèmes 1820 le lecteur les chercherait dans le C'oyMe~'t~eM?' Littéraire. Elles n'ont point été à l'adresse de Lamartine, mais elles forment le commencement d'un article composées le 24 mars 1822 dans le journal l'Etoile à propos de Poèmes, Hugo imprima que Victor le Somnambule, la /e d'A. de Vigny. de Jephté, Héléna, etc., Les neuf paragraphes sur le Théâtre a des critiques dra'sont bien empruntés Victor de ses articles il a pris six coupures à propos matiques. Hugo a choisi quatre de la ~fa~'t'e Stuart de Lebrun une sur le C/ou:s de Lemercier (() (1" avril 1820), et une enfin sur Jean (/eZ~M~yo~?!e,parde Forment (12 février i820) (6 janvier 1821). au petit bonheur, il a mis une certaine variété. !1 va de LeIl ne les a pas disposées brun à Liadières, de Lebrun à Lemercier, de Lebrun à de Formont pour finir par Lebrun. Pour l'article il serait au lecteur toute !a fantaisie Fantaisie, trop long de montrer au choix et à la disposition des morceaux. Là vraiment notre amusante qui a présidé théorie aurait sa raison d'être. Les dates se mêlent; les années se croisent on va au compte-rendu à prod'une d'un volume, une préface d'éditeur critique dramatique de Voltaire sur un moraliste. Le Conservateur pos des Lettres précède un article le Réveil, l'~o~Ye mis à contribution. a été découpé en ont'été Un article Littéraire, Tant s'its se morceaux de droite'et de ngauche. mieux plusieurs que le poète a semé ce qui n'arrive suivent, pas toujours. L'étude de Victor Hugo qui nous,révèle toutes ces choses vraiment bibliographique à part les curieuses nous montre aussi de 1819, que le </0!<rMC[/ (/!<M~eM~e~aco~!<e retouches dont. nous en entier aux années indiquées par parlons, appartient presque a articles de ce Journal Victor It à deux ou trois Hugo. n'y proprement parler que Ces (1) Notons que Victor Hugo en a égaré un morceau tirés de la Muse française. § Vt) au milieu d'articles dans VI! /<<e~ au hasard (Litt. et Philos. mélées, p. 287. PRÉFACE nous n'avons trace et qui ont été composés, nous semble-il, en 1834, pu retrouver au commencement, un autre vers le milieu, le troisième termine le ./OMi'a/. Ces ont-elles été disposées avec intention? On peut, se le demander elles seraient pages alors ordonnées dans un ouvrage où l'ordre fait défaut. Le premier article de la Russie(Z<:«ey'a~'ee<7<~o/)A<eM!~ee~. est sur l'avenir Victor donne il pp. 47-49) (1). Au second (pp. H1-H2) Hugo pour date .Aur<7 1820: t.raite de l'année iittéraire 1820 (2). Victor se plaint de la pauvreté de la poésie Hugo « Force en cette année-là. force vaudevilles, de thévers, dit-il, point de poésie; point « Quand « àt.re », et il termine donc ce siècle aura-t-i) une H'.tératureau par ces mots « niveau de son mouvement des poètes aussi grands Estsocial, que les événements? bien en 1834 el. il se chargeait a la même ce en 1820 qu'il se pose cette question? Non,mais « I) y a déjà dans la nouvelle née avec ce siècle des co'mépoque d'y répondre. génération « mencements de grands Attendez années encore poètes. quelques ') (.7<e~<M?'cc<A<un peu enfantin de faire après coup des promêlées, losophie p. 130). C'est d'un orgueil On devine ainsi facilement l'avenir de qui est le passé et l'on peut sans crainte phéties. se tromper prédire sa propre gloire. il Dans le troisième article et 7~7o.90/~ï'p mêlées, (Z.!«e?'a<M~<; pp. 171-i'73), de même ses variations en politique. n'ont été écrites en Ces pages prédisait point décembre en 1834. M. Biré i'a prouvé surabondamment 1820, mais tout bonnement (3), n'a mais il a oubiié une preuve Victor entendre en 1820 son Hugo pu père proférer' la parole fameuse le <eyM/ est de /'o/j<M<o~ de sa Mï~'e, Laissons /a<e Z/eM/6:K< /oyM~c sera moment Je générât puisqu'àce séparé </e/'o/)MMOMf/e.~o?ï/)e~e, Hugo, de sa femme el. de ses enfants, on aucune relation avec eux. Dans n'avait, peut dire, un atavisme cherchait, une excuse a son évotution Victor inconscient, Hugo politique il et voulait en 1834 prouver dès 1820 les hommes 't les événements que savait juger et que déjà « l'expérience en lui l'impression faite par !e premier des modifiait aspect « choses à son entrée dans In vie H. 7S./9 est loin de renfermer tous les articles composés Z<c~OM?~!a/M~/<'<co&~eo~e vers 1820 puisque au moins n'ont par Victor Hugo quarante cinq pas été jugés dignes il est utile d'y revepar tui d'être reproduits. déjà dit un mot mais Nous en avons nir. a négHgé les Victor toutes /~euM~ Z!«e/e~ une 7~eHMe /)oeHugo (4), trois articles sur les Beaux-Arts <:yMe (5). (6), -onze (7). critiques dramatiques dont l'un une//t'<o:ef/e/a/<:M.< (1) En 1820 parut Journal des Débats iS. 10. 12 décembre mcme sans sait. sujet i'imprimer?0nne On (2) en!pruntés Le second (3) trouve tous (t. E. enchassés deux au livrais. iiï, BiRÉ. Victor de 1820). dont Karamsin, aurait-il ttugo Victor Z compose dedans deux morceaux l'un sur le ;)/o<t0~/er<' de Conservateur Littéraire. Le premier livrais. (t. H. ~4e. de novembre 1820, p. 142) est /~M</o avant 1830, pp. (Hon'man) a cette W. Scott 12'. p. rendit époque compte un article dans sur le le l'autre sur M. Decazes, est d'avril 1820. bien 54) et 188-193. 25 décembre t. 1. hvrais. Les trois nuits d'un Littéraire, 1819. (4) CoMM~);<!<eur 2', pp. 77-80. ~OM~eu.ï: avril t. Neufchateau et .'tM~M<oMK<!t?*e~f/e/?'?'<<OM. 15 livrais. 1820, L 10', pp. 393par Vieillard poème et ~e?'riut!apar de la comtesse de Salm t. II, livrais. 13'. pp. 115-11C, 396,jE'/):<?'e Saint-Prosper;3juinl820.t. Z~ Plaisirs de Clichy et Lithographie de ~M/. les de la Chambre morale ~)/e?n& des Députés et politique 10 juin t. L livrais, et Nos de 14', pp. 168-170, ~VM:~ ~?'a~aMes de d'EgviUy 1820. T~ey/'e~ par le Chevalier Port de Guy t. livrais. .;Ya;t~')'e<!M: Ma;:e~ du duc II. 16', 288. 1820, l~juittet p. /~Ot?:Ma~f~e<Ot)eM<?/e~f de Berry 9 décembre t. III, livrais. à Dieu de Port de Guy. 26*, pp. 242-243, 1820, ~'p:<)'e par le chevalier Carmen de Carr, sur A Berri -S'ao'Mm Dissertation la Ce.!M)'e. traduction la duchesse de Boulard, par par de Labaume. Bérenger de (5) Conservateur volumes de petits Gabrie),Aug.Richomrue. Conservateur (6) Littéraire, vers que lui 21 octobre 1820, avaient envoyés t. III, cinq )ivrais. auteurs 86-96. Victor pp. Hugo de Labouïsse, Reymond, 26'~ rendait Gasp. compte Descombes. de 5 août 4 novembre tivrais. littéraire, t. )!, tivrais. t. III, 1820. 18', 296-299 1820, pp. 9 décembre t. dans ces 24'. pp. 1820, III, livrais. On remarquera trois articles 145-147, 26', pp. 229-230. qu'il it est souvent du duc et de la duchesse de Berry. question Conservateur 11 décembre t. I, livrais. 15 Le Frondeur'de littéraire, 1819., l", pp. 30-35, Royou (7) t. livrais. Brifaut de I, 3', 109-114. de et janvier 1820, Dieulafoy, Sophie pp. Olympie, ZeMa~MMafe~'OMena; 29 janvier 1820. t. I, livrais. Les Comédiens, de Cas. 25 mars t. t. livrais. 4', pp. 150-158, 1820. Gay Delavigne Charles dé Navarre, de Brifaut 15 avril 6 mai 8', 1820,1.1, Hvrais. même 10', pp. 307-311, p. 382-392, sujet Vi)t- PRÉFACE r o dix-neuf articles de littéraire ou artistique,'métanges,'actuatités critique (1), de revue articles tout Ajoutons que quatorze genre, critique dramatique, poétilittéraire des ouvrages de ses meilleurs amis n'ont mérite ses que, critique yeux toute si même dans certains cas ne semble petite qu'une place, petite que personne s'en être aperçu ne pouvons ne pas parler en particulier d'un article de (2). Nous l'-E'/o<7e du 24 mars 1822 sur les Poèmes de Vigny dont Victor a extrait seuleHugo ment le début, dans son article sept lignes. Il a glissé les deux premières, oqui forment sur les J)~e</<<<!<!0?!& de Lamartine. des poé« Voici donc enfin des poèmes d'un poète, « sies de la poésie et Philos. les mêlées, qui sont » (Litt. p. 93). On retrouvera c'est-à-dire la conclusion au bas de la p. 1S9 de Z./</er~M?'e et Philocinq dernières~ Il les a jetées là, dans un coin, comme en passant. Elles n'ont, d'ailleurs. sb/)A«? mêlées. aucun avec les Poèmes de Vigny. Le cas est curieux. On dira bien que Victor rapport dans Z~e~a/M~e et Philosophie mêlées nommer des Hugo de parti pris n'a pas voulu auteurs vivants. suffisamment leur auteur, « le les Méditations Cependant désignent a-t-il accordé à Lamartine un éloge 1822 il poète paru en i820 qu'en puis pourquoi 0 t. H, livrais. Le f<a«eMr, de Gosse et l'Homme de Mervitte 10 juin 1820. t. Ivraisl. ti. H', pp. 31-37, poli, 10 t. livrais. ,0<tme 160-165, /)en:ë<rtMS, 1820, If, 14°, 16S-167, /,<: 14', Delrieu tt0/?'e pp. par pp. t"'juittet juin 1820. t. )!, livrais. le Folliculaire..de Delaville de Mirmontet 16°, pp. 223-231. I'~}W~<e ay?:&:<:eMa:.deThéauton;. 5 août t. II. livrais. et Périclès, Viennet. Une dans ~*art.! ou 18', 310-3)4, 1820, pp. ~4xp<M!'e par promenade Près 18 novembre 1820. t. livrais. De et de Loin 25'. Clovis. Viennet. Notons deux III, 20)-208. pp. que par sur les 6':c:eKKe.! de C. Delavigne IX de Ancelot articles et Louis t. I, )ivrais. 2 Litt., t~ëpre.! (Consert). 66-69 et livrais. et Më/ëM ont été 4', 133-145) pp. pp. négligés par Z:Më?Y;<M?'e 7~A!7oxopA:e reproduits depuis dans V:e/o?' 437-446. raconté, Hugo pp. 1820. 25 mars t. I, livrais. du Musée, littéraire, 1820, 8*. pp. 290-293, ~H7M~ ~a/0)to'e~S.<9. (!) Cc":M?'ca<eM;' 25 mars t. L'Ecole du Z,'a?'< du 1820, livrais. 8°. 298-307. Cavalier, Millet, Tour, par Lardon; pp. par par 25 mars sur l'assassinat du f~Me de Tezenas Libois 1820, t. livrais. 8*, pp. 307-311, ~e?'t' /)/</tyt'aM&e par de Montbrison~ Ode sur la mort du duc de Be?'7' des Charmettes, La /ranee aux MOKM par Lebrun royaliste duc 20 mai t. livrais. du de Berri, U. Institut 1820~ 12', 72-74, parSaint-Prosper; pp. séance publique 10 juin annuelle des 4 Académies avril 1820. t. Il, Hvrais. Lettres ef (24 14'. pp. 1ËS-145, ~/t'mo;t'e~, ~S~O~ Pièces touchant Vie et la ~)/0!'< du duc de 5 août la t. 11, livrais. Bfrrt, Chateaubriand 1820, M</te't<MM par de France. CM/Mfe du cours de de Tissot 19 août 321-325, /<z<t;te 1820. t. I!, 18' Collége royal poésie pp. )ivra)S. Z.e.! ~*MMMM de 2 1820. t. livrais. ./)/<MMe< 19'. H, 20°, pp. 394-395, pp. 351-358, ~OMAM~ue< septembre t. III. de 9 septembre 1820. livrais. 7/M<!<M< royal de France. Séance 21', pp. 31-37. ?'60'M<en!e/:< ~/<a)tyet'. annuelle ~e 7 octobre 1820, t. III, livrais. 22'. 50-64. d'accusation "co):<r~ le duc ~!M<-ZoMM pp. /'ro/e< sur le Comte 2t t.. livrais. 0&e?'ua<!on~ cet écrit octobre 1820. 111, 23', 119-120, /)eca~e.s', par d'Argout pp. la </e A'anfex 4 novembre t. III, Séance de Société 1820, livrais. 24'. 155-158, publique aca~et/<yMe pp. aux rédacteurs du CoK.serKO/eMr Littéraire une 17 février (c'est 1821, Correspondance critique littéraire) t. Il ~'Ot'e.Me 17 fevrierl821.t. livrais. livrais. 29'. 338-345, /)e~0)'<a~ore; t. III, 29', pp. pp. 345La Matinée du 29 de 31 mars 1821. t. III, livrais. 346, 30', Odes, septembre, poème 7'a~t!/ra<; pp. 385-388, Antoine ~/emo:t'e~ de la Société d'émulation de Cambrai, Chartes, 388-389, 389-392, par pp. pp. Co)'?-MpO!tdance aux rédacteurs du Conservateur Littéraire sur la biographie des Con<e~)o?'a:x. et des Arts, 9 juin t. ))!, Recueil ~t/t)t< de la Littérature livrais. 379-392. de /'j4ea</ëm!c 1821, 36'. pp. des Jeux Floraux. Choix M0!'a~ des Lettres Me Mme de 13 mars ~Vo<!ef ~K?' Mme de 1824. .9ec:tte. /ë/'aec. ~ëc~ttë, t 13 Boulland, B. F. mars n° 1313. xix-xxx, in-18, Paris. 1824. pp. 19 décembre t. f, livrais. Un moment Conservateur Littéraire, 1819. 2', pp. 70-76. cof<mp)'M~e;:ce, Wamard La et A. et Somnambule, vaudeville, Scribe Ca<~e<oK.s'M/ /'<'oFu)~ence, par par Delavigne, des et Carmouche Z.!«. et Philos. 12 féC!t/ ~:c~!e?ty:es, (cf. parodie t~ept'M par Dupin me/ee. p. 138) vrier t. Clovis, de Lemercier ~:«. et /ti<ns. 1820, tivrais. 6', 217-228, Mtë<ë< (cf. pp. Népomucène ;6 mai t. 2, livrais. 11°, pp. Œ'MU?'es de Delille /.i«.e< Philos. 13-20, fcf. mélées, 'p. 98) 1820, posthumes, 17 juin t. 2, livrais. Thomas Moore et 1820, Philos. M~1S', ~a~a-TtouA'/t, (cf. p. 119) pp. 180-187, par 22 t. fivrais. 1820, n. etc.. 17', !ëe.!pp. S2-53); juillet pp. 134-142.euMepoë<!<yMe.6~a&OM!s'e. C!'pe;?'e/, et Philos. 5 lignes, 4 novembre t. H), livrais. 24°. pp. ~)/<'mo/res. mêlées, 1820, 134-142. (cf. Z.!«. p. 157) pa)' le vicomte Donnadieu. le Comte de 6'HtH<M/a:t'e ~!«. et Philos. Me/ëex, (cf. Réponse, par quelques lignes à la p. 1)2~ 6 janvier t. livrais. 27', de Litt. et 1821, !!). 289-265..Z.'o&Sf'rM~M)'. pp. Saint-Prosper (cf. la 6 t. Philos. à )ivrais.27'. e~ GuillauMë/ëM. 1821,. III, 279-284, p. 153) janvier pp. Eugène quelques lignes me et Don articles et deux de Lefèvre H. et M. le début de l'article surdon CarCarlos, (il y a deux signatures los est dans Litt. et Philos. Më/eM. 139-140). pp. L'Etoile du 24 mars articte .r les Poèmes de et Philos. 93 et 159; on 1822, (cf. Litt. nië/ëe.s', Vigny pp. en trouve sept lignes. 1822 contient deux articles sur de Lamartine Le Réveil des 7 et 10 décembre les ~/<<<a</o<i.! et le 7*mpet Philos. ?7!C/ëM Le du 19 février 1823 un de ~<. Réveil contient article (cf. 153-156). piste pp. Vigny sur le PorriCM/e de Jules Lefèvre /«. et Philos. më~ëe. ~cf. pp. 157-)59). La Muse 15 mat! livrais. contient un article sur 1824. 11°, Eloa (t. H. française, pp. 275-286) de Vigny et Philos. mèlées, (cf. /«. pp.276-278). ;2) médie. –!X– PRÉFACE & décernait a de Vigny. raison accuse Victor d'avoir Biré aurait peut-être lorsqu'il Hugo eu honte de amitié a son cherAtfred. qu'il portajadis Enfin il est un point sur lequel il convient, en terminant cette préface. d'insister Victor des journaux le critiquaient, souvent Hugo s'est plaint assez qui l'attaquaient, » (1) Ses amis ou « n'honoraient son pauvre recueil. la pas d'un article répétaient même antienne. Dans les ~L~/M/e.9 de la ~<<<ï<M~e et des Arts avant (2), Saint-Va)ry la conduite i) se demandait si la supériorité lui avait critiqué des journaux quotidiens. les offusquait un sentiment bien bas les aurait, alors d'Hugo poussés. Qu'importait d'ailleurs à Victor ce un homme heureux l'édition silence ? C'était de ses Hugo puisque Odes était sans annonce. Les et amitié de Chateaubriand et. de Laépuisée éloges mennais étaient une compensation. se p)aignaitégatementdusi)encedes A. Trébuche! de Victor et du peu de cas qu'ils faire des ouvrages sembtaient journaux parisiens (3). Celui-ci et ses amis avaient-il raison de se plaindre si fort de la presse Je parisienne. ne le crois pas. D abord Victor devait une certaine reconnaissance aux journaux dont il Hugo avait utilisé les critiques tes siennes dans le Conservateur dramatiques pour écrire En comparant en effet certains de journaux et ceux que Victor Z<<7<e/'a~'e. articles Huà la même époque, on s aperçoit facilement d'une go composait, que sans les copier manière il leur empruntait des idées et des jugements. Le ./oM~a/</M Débats positive, du 29 janvier à propos des Comédiens de (1" janvier 1820) lui a servi pour sa critique Casimir Il tu aussi le numéro du 3 janvier et l'a utilisé du Delavigne. pour un article 4 mars sur les 7~'o/.s c~a?!~ de /'7/<<M/e de Bignan. Le 6 janvier 1821, il écrit sur la et 6'M<7/MM~ïeque)ques bien des ressemblances avec les pièce ~M~e~e pages qui offrent articles du 10 octobre. 21 octobre et 25 décembre 1820 du Journal des La Z)e~< du 4 mars 1820 tui sert pour étudier le 25 mars 1820 ~r/e.~e./Vauar~'e ~M0/«'e~?te de Hrifaut. La QMO<«/«;MMf du 5 juin et le /)/'H~eaM blanc du 8 juin 1820 lui fournissent des matériaux du l~jûiHet i820. Peut-être en examipour son article Spectacles nant de très près )eC's'uo!<eM~ Littéraire et les journaux de l'époquc pourrait-on rencontrer d autres concordances curieuses. Victor dû aussi de leur amabilité à son égard. remercier les journaux Hugo aurait Ils inséraient fait dimcuité volontiers ses œuvres et n'ont de recevoir sa copie. point Disons deux ou trois le semble-t-il, plus, on se l'arrachait, puisque parfois journaux même de ses odes. Les li, le Ré12, 13 et 14 décembre 1822, jour pubtiaientune veil. )a~Mo</(/t<'My:e, te~/o/n<fM?' les Annales de la Z<:«ey'a~M~e et des ~e~e/, inséraient. Louis le 23 septembre la Gazette le 7)/'a/~eaM ~7' XVII, blanc, 1824; </e 7~'a~ce et le -/û!<<a/ des Débats Les T''M~c?'a<7/e~ de Louis XVIII. imprimaient A peine a-t-it commencé à versifier (18 septembre que le Lycée /'ya'a<s 1819) La en 6'aMet~/<c?!c 1822 l'a~ac~ dédié aux (/e~ïo:'M//e.< La accepte que reproduira La C~M~e-6'o:M. /t//e<O~M7t trouve place dans 1821) insère Foudre (5 juillet ]'t/tO'y<acA des ~/M.'?e.s' (30 novembre dans i~4/??:a~ac~ des Dames 1822), ~21 septembre 1822), dans dans le Atoïse ~?<r le 6'0!y':e~e/'a~; !a~o/e(lojuin 1822), ~V'/ est imprifné dans la /~OM<e(25 dansf~ta~ac~ des Muses chrétienjuin 1822), nes et dans les ~<.s'e~ c~e~'c~?!~ Z,a M!or< du duc de ~erry est 1822). (30 novembre dans ~e~a de la Z<<</e/'a<M~e et des publiée (13 avril 1~20), puis dans les A?ï~a/e~ ~4/ et de (13 février (8 février 1823) et dans le Réveil 1823). La C'OM~o/M!e de cy~~es )a ~M~/re (5 juillet t'yM~Mac~~e~ Dames (t8 août 1821), (2) septembre ~o.~ 1822), les /</t~/<~ de la ~<«ë/*c!/M?'e et 6~/i~(l" février de réimpri1822), 1823) acceptent mer Le ~/)<~7Me du duc de Bordeaux, La Chauve Le LyJéhovah. .S'OM~M, Le Génie, (1) Correspondance 1815-1835, p. 29, Lettre )e 8 1822. Poésies diverses parues juin )2)~M/M.t.VIH.IivrMS.94'.pp.M-70,20jui))eti820. Trébuchet à son père, (3) Lettres d'Adolphe à J. de Rességuier 8 juin -x- et 14 juillet du 22 juillet 1822. 1822. cf. Appendice. Il s'agit des Odes et PRÉFACE cée armoricain insère la plupart des traductions des auteurs latins, 6'acK~, .4e~cmey:tJe, cottabore aux Annales Victor, ~M~'e~e~C~c/o~es, C~a~e/e7~«~«'OM. Hugo et /t< ~y?'e, Tt~oMe SM~- le Nil, (4 janvier 1823) et il leur donne La Harpe Romantiques La Pille Jéhovah. A vingt huit reprises au moins, dans l'espace de quatre ou e~O/a~ les revues, les périodiques, nous ne parlons ni du évidemment cinq ans, les journaux, Conservateur ni de laJ~M~e ont publié des vers de Victor Littéraire, française, Hugo. Les critiques furent-ettes que l'on fit de ses ouvrages inspirées par la malveillance. a eu certainement ou la jalousie une bonne de 1819 ? Non, car Victor Hugo presse 182S. Nous avons relevé environ cent mentions faites de lui dans les jourquarante de toute naux nous n'affirmons tout vu et tout lu car il a dû certainuance, pas avoir nement nous en échapper, or voici les constatations faites cent. vingt que nous avons nous entendons lui sont mentions, annonces, entrefilets, favorables, par là articles, à peine sont des attaques et à part. trois ou quatre de parti, vingt inspirées par l'esprit les autres* sont justinées. On avouera un débutant, la presse que pour un jeune poète, s'est montrée aimable. Victor fut toujours, a-t-on entendu dans l'art de la réclame il dit, très Hugo de bonne heure son apprentissage. I) n'eut nous l'avons vu, a commença pas de peine, ses vers, mais il a su varier les revues, les journaux, les recueils se faire placer pour d'un public plus étendu il ne quitte mais il va facileconnaître pas le camp royaliste à l'est ment de l'extrême i) se hasarde en province, et à l'ouest, il dro,ite à la gauche, ne dédaigne revues les petits almanachs. pas à côté des grandes 11 a le souci de sa gloire et de sa renommée. Il fonde avec Abel le Co/ua<eM~ n'a pas encore en fait une Littéraire mais celui-ci paru que le ./OM~M6f/ des Débats annonce aux (20 décembre) é)og!euse (8 novembre 1819) el, un mois après applaudit de Chateaubriand de la revue. Le Co~e/a<< succès (3 mars 1820) vient à anticipés la rescousse. Dansle Journal de TVe~e.~ (2 mai, 2 juin, 2 août, 20 août 1820) la plume de Trébuchet donne une aide fraternelle aieurs La Quotidienne (6 et 19 octoparents. à son tour son appui Httérateurs. Amicale et; spontanée bre 1820) apporte aux<jeunes cette.réclame est aussi accordée aimablement, a qui l'a demandée. parfois, il ne peut. composer Mais Victor fait plus une ode sans le crier a tous les Hugo La Vendée aussitôt le Z)y'c'~eaM~/<??!c, échos de la presse. parait la/~MC/<e<yM<<a<Me, le poète en la ()MO<M~eMMe t'annoncent. Le (7oM~y'te~ et la /<e~oMMMee s en moquent aussitôt de ces attaques ignorées. profite pour le dire bien haut et se faire un piédestal Aa ~o?-< o~Mduc de ~e~y, la Gazette de France, le 6'o?:~ei''M~e:< les Ze< H écrit leurs lecteurs. Pour ~~<6'e tres champenoises, le ~t/OM~eM?' ~7/<M~s'e/' (1) en avertissent sur le Nil, le ./OM?~a/ sa voix celle de Méty-Janin dans les de Paris, libéral, joint et à celle de Saint-Victor dans le Z)e/eH~eM~ du GéLettres L'apparition champenoises le ./OM?'Ma/</cs le Journal de Nantes, nie est satuée les blanc, Débats, par Ic/)ra'/)eaM Lettres Nous pourrions continuer et en dire autant de Quiberon, Le champenoises. du duc de /?oy~eaM.K,' Vision, Baptême Bonaparte. de se plaindre le 22 juillet 1822 à propos de son recueil d'Odes et Avait-il raison les journaux le 15 juin, la Gazette de France en fait l'anPoésies diverses. Ouvrons le 25 juin, c'est le tour du.7oM?'Ma/</e t'imite, Paris, nonce..le la Quotidienne 22 juin, Débats le 26 juin et le 10 juillet, l'Etoile suit leur exemple. Le yoM?'a/</e~ (14 et 16 les ~e<e~c/ta~)<OMe~(n'' de Juin-Juillet) d'éloprennent part au concert juittet), le 20 juillet, les Annales de la Lt~e~~M/'e e<</e~~?'<~ contiennent un long ges.'Enfin article de Saint-Valry dicté p:H't'amitié. ce moment nous n'avons un Jusqu'à pu trouver nous n'en trouverons les Odes et Poésies </<ue?'~e~. Tout au mot de btâme pas contre (i)Z.e J/o/M<eMr <7)tt'M)'M~ de'voir Viclor Hugo a l'honneur nomme six auteurs ayant publié des vers de ses vers reproduits. quelques-uns –M sur la Mort du duc de ~ery~ mais seul PRÉFACE la T~OM~'e (~30 juillet), le Réveil le <:ont.rai)'t' les louanges continuent dans (22 août.) et l'?o/les Lettres </oMr/M/</e t ~ot7e (1" septembre) Paris (27 août) cAa~/)e~oMe\' la a dû lire avec l'article de Mé!y-Janin /o/! (septembre). Victor Hugo plaisir dans rend sur la nouvelle éco)e. (~<</<e/~e (29 septembre) critiques qui, après quelques la Foudre du même a l'auteur à de hautes destinées. dans justice appelé O'Mahony lui aussi future du poète. Si Victor a attendu quelque prophétise iagtoire Hugo jour et les longs artic)es, il les voit se multiplier X., dans le ~<<eM?' (29 octobre), temps avec des ne lui ménagent dans les Débats éloges (17 novembre), pas leurs //o~Mïa~, réserves (1). justifiées La 2e édition dés Odes le même accueil Le Journal des Débats reçoit (2i nola 0MO~<ey~:e ie~eue!/(3l décembre), l'o<7e(30 décembre), vembre) (14 décembre), édition est la (~Mo~(/<e/e leurs lecteurs (1~ janvier 1823); préviennent que la première seconde se prépare ou bien déjà est en vente. épuisée, qu'une I) est vrai Han d'Islande a pourtant subi de violentes Mais, dira-t-on, attaques. et la .fa~ore 1823 sans valeur comme littéraire, (31 juillet journaux, quelques 22 mars et 30 avril 1824) hasardent des 11 mars le Co?-.M~e 1823, 1824), (14 août les à côté de fines moqueries. Victor Hugo p)aisanteries plus ou moins spirituelles citer que. trois ou a-t.-il ce n'est très certain. Mais on ne peut connues, pas guère le dominer. articles de journaux sérieux où le btàme se mêle à 1 é)oge jusqu'à quatre le VoM~/M/f/e le Me?'cMre <~M XIXe siècle (21 juin 1823) Citons (7 mars 1823), un jugement a ratifié. où Thiessé porte que l'avenir les annonces, tous les enirefilets si l'on met en regara de ces critiques, toutes on est étonné de voir avec quel zèle Victor Hugo et ses amis s'emptoyèrent éiogieux, du roman le ~e~et7 et le ~~otr, le 12 février, le en faveur nouveau. Le 4 février, le Réveil </OMr/«3;/ des Débats, !'Z~7o<7e, le Co?!<7M<<OMMe/ l'annoncèrent (18 février, la 0MO<eM?:e et 12 mars), le Journal de ~'ar:~ 25 février,'22 mars), (3 et (24 février en prociament le succès et ta va7 l'a~' la Foudre mars), (20 octobre) (19 avril), leur. Au total neuf journaux de toutes de tous partis, à plusieurs nuances, reprises, des louanges à l'adresse de ou par conviction par politesse, par amitié impriment Victor e~/a~e. Hugo et de //a~ Les Nouvelles Odes et leur P/'e/ace ont été elles aussi attaquées par la .PaM</ore 14 août, dont Victor 10 décembre (2 juillet, 1824) et même par l'Or~a/M~e (21 août) dans le ne devait à subir les coups. à deux reprises, Hoffman, Hugo pas s'attendre ce qu'il Jo~y~a~ des Débats et 31 juillet) s'est de dire à l'auteur (14 juin permis être la vérité. croyait Mais toutes ces critiques elles allaient évidemment aux ouvrages On peut expliquer la nouveauté. Leur dont elles notaient les défauts, aux opinions dont eties marquaient les amis de Victor dureté avait une excuse dans l'admiration outrée que professaient en 1824, se montrait Ch. Nodier dans la QuoHugo pour celui qui, déjà leur chef. avait eu « un <<eMMe /~a~ <s7a?!</e (12 mars 18~3) n'avait-i! que pas osé affirmer « débit, authentique » La vérité et légitime de 12.000 était tout autre, exemplaires. Ch. Nodier le savait mais l'ami intime de Victor et l'un des créateurs lui-même, Hugo du romantisme le succès d'un tenait évidemment à grossir outre mesure frénétique Hvre~où il pouvait reconnaître mises en pratique ses théories les plus chères. Deux le Réveil à son exemple inventé de avaient journaux, (22 mars) et l'~c~a~' (19 avril), à Vienne, fantaisies. le premier, TTa?: d'Islande traduit à Londres, joyeuses D'après à Ber)in, avait servi à créer trois mélodrames la Saint-Martin, l'Ambigu, pour la Porte un article assez dur de E. Héreau dans la Revue Encyclopédique (1) Il faut signaler cependant (juillet 1822. t. xv, pp. 16M-1T1). Victor Hugo, très mécontent de cet article, de la écrivit, le 16 août 1822. au Directeur du revue qui refusa d'insérer sa réponse. I! ne semble dans cette occasion le beau rôle fut côté de pas que Victor Hugo. La lettre de Victor Hugo et la réponse de Héreau sont inédites. Nous remercions M. Charavay connaissance. qui nous a permis d'en prendre XII PRÉFACE Gaieté. L'~c/aM' cette information sérieusement en, prétendant appuyait que la censùre avait interdit drames tires de ~a;?ï f/'7.9/6!?ï</e. Saint.-Vah'y,. plusieurs 1823, en juin écrit Thiessé un peu vive pour avait une lettre défendre Victor et..son roman. Hugo cela excitait Tout les esprits. Les éloges le parti-pris dans l'admiration outres, amènent nécessairement le biâme le parti-pris dans la critique. sévère, Les Nouvelles Odes avaient eu elles aussi des admirateurs A peine ontpassionnés. elles vu le jour que la Gazette de T~raMee les signale (7 mars <824). La /'aMf~orc, qui se moque des jeunes dévoués au culte de la contemplation trouve poètes cependant « le le moins obscur et sans contredit le des conque plus intelligible, plus distingué « gréganistes est M. Victor Tous ses citants dans les 7VoMue//e~ pleureurs Hugo. « Odes méritent d'être lus. » Le Drapeau ~c insère une annonce (12 mars) pui& huit colonnes consacre de rez de e!'aussée aux ~VMMue/ Odes « M. Victor (25 mai). ans le premier comme Soumet est le premier <( Hugo est à vingt-trois poète lyrique, « poète tragique. » Le 15 mars, Soumet écrit un long article de douze pages dans la chanter la gioire de son ami. Les mots ordinaires et pour Muse française vulgaires « ne lui suffisaient. Victor son cher et immorte) ami », ne s'inplus Tt'appeiait-ii pas de belle donné a l'ode 6'Mr la dignait-il pas de i'épithète par le ./OM?'?m/ des Débats J~o~ de Louis ~7/. H avait voué a Victor et il l'aurait adoration Hugo une pieuse Saint Victor si un Saint-Victor n'avait traduit'Anacréon et fait. te Vnya~e J?< appelé de Soumet Poète à Hugo du 1~ octobre (Lettre 1824). Comment Victor n'aurait-il dont les fumées Hugo pas été grisé par cet encens de tous côtés ? Aussi ses amis ne le louent ou ne J'enveloppaient quand pas assez, il s'en charge harcèle Hofl'man lui-même, dont ies critiques prennent pas sa défense, lui déplaisent. Il lui répond lettre aux /~e~f<~ (26 juiHet. f 824) par par une première une seconde lettre mais que Victor alors au /)rarefuse, que le journal Hugo ZD envoie blanc de ~'a~cc (13 août.) et à ia G'~e«e peau (12 août). la force de la presse, il ne néghge Victor connaît aucune occasion de faire Hugo de lui, de glisser son nom pour qu'il soit. a tous moments sous les yeux du iecparler teur. Au Co/er~a<eM?'Me~a<~e jl avait tous ses vers..mais nour le signé presque il avait reste dérobé sa personnalité sous le voile de l'anonymat. )e Co?!.<e~u<ïQuand /eM~' ~<«e~'<e se joint aux Annales de la /<~?'a<Mr6 et des ~4?' sur la couverture de cette dernière revue son nom se place avant celui de son frère, mais après celui de Malitourne Au numéro Victor (14 avril 182J). suivant(21avri)), gagnequeiques rangs, Nodier. Ancelot et Malitourne. Ce changement n'est point, un effet puisqu'il précède du hasard l'admiration de Victor ou bien une réclamation certail'ont pour le talent nement Mme Hugo meurt dans la Quotidienne et la Gazelte produit. quelques lignes de /aMee était la mère « des jeunes écrivains mon~r1821) -annonce (3 juillet qu'elle « chiques )) )) ou « des jeunes littérateurs de ce nom. Ahel remporle monarchiques un prix a Cambrai une pièce de vers intitulée La bataille de 7)e~<ïtM, Victor pour écrit, au ./OM~a/f/e.P(! commis aucune erreur, qui n'avait pour l'avertir qu'il s'agit d'Abel et non de Victor en 1823, sous le pseudonyme de MonAbel; célèbre, Hugo. l'anniversaire de Molière Les journaux à connaître cherchent faunières, (15 janvier). teur ou les auteurs de cet impromptu. Les uns l'attribuent à M. Victor d'autres Hugo. à M. Hugo, d'autres à M. A. Hugo. Victor ne proteste nullement en présence de l'erreur manifeste de certains Le contraste est piquant. journaux. En résumé, il ne nous semble raison de se plaindre de pas que Victor Hugo avait la presse, ni même de ses adversaires. N'est-ce pas l'un d entre eux qui le premier probahtement avait parlé dans Sublime. A la suite de Biré, nous h'.s journaux de l'Enfant avons inutilement cherché dans ia presse contre Mais, en ma! 1824, Tissot, royaliste. décoché plus d'une flèche, écrivait dans le ~/f~CM~e </M xix~ siècle qui Victor Hugo avait, «M. l'un M. Chateaubriand sa prédilection est, deséjèvcsde dit-on, Hugo qui dans ne l'appelait d'ailleurs se plaignait« paternelle jamais que l'M/aM<<S'M~me». Pourquoi o xm PRÉFACE il ? Ses amis La critique a montrer de la l'applaudisssaientavec commençait, transport. un préiude. C'était, celui des luttes c'était passion. prochaines, déjà de la gloire. Victor ses œuvres dans se sont'contentés d'étudier pour connaître Beaucoup, Hugo, des éditions récentes ou de l'écouter narrant sa vie, mais ses œuvres ont subi bien des il n'a pas tout dit et ses biographes le reste, il faut le non plus. Pour savoir changements, demander aux éditions aux revues, aux journaux, a ses contemporains primitives, qui nous montrent un autre côté de sa vie. Nous avons voulu dans cet essai bio bibnografaciliter ce travail fait d'heureuses Avons-nous pinque a qui voudrait l'entreprendre. notre gerbe le est-elle abondante en lourds Peut-être. trouvailles, Evidemment, épis. nous en avons laissé ils feront la joie des glalong du champ, échapper quelques-uns neurs mais nous ne les avons pas laissé tomber comme Booz qui nous suivront, exprès la Légende des siècles. dans Cette était préface composée c'est la Nationale l'Imprimerie a l'aimable de gràce obligeance bonnes feuilles de l'ouvrage, et pu nous en servir pour rectifier, cat!on. Nous tenons a exprimer sance. les Odes et Ballades, édition de quand parurent Mais seule raison l'a fait passer sous silence. qui nous M. Gustave de consulter les Simon, qui nous a permis de voir les manuscrits nous avons de plusieurs odes, de la publiaméliorer notre travail au cours corriger, à M. Gustave Simon notre reconnaisrespectueuse ici Voici quelques abréviations utiles au lecteur. B. F. = Bibliographie de la France ou Journal de la Librairie. Conserv. Lift. == Conservateur Littéraire. Lift. et Phiios. mêlées = Littérature et Philosophie mêlées. nous citons les œuvres de Victor Quand d'indication à l'édition ne ua/'te/M~ spéciale, nous sommes servi de l'édition in-12, publiée XIV Hugo, in 8. par nous Pour Hetzel. renvoyons les Lettres à moins toujours, à /a fiancée nous PRÉLÏMtNAtRES o 0 0 0 ~/9 ./MtM. 1772 Naissance de Sophie-Françoise baptême Haute Grande St-Laurent, Rue, paroisse et de Renée-Louise Lenormand. 3.~ 6'e/)<e~6?'e. fils 1773 15 1797 o TYo~e~e. ~VoueM~ née Trébuchet, fihede Jean-François Naissance à Nantes, St-Nicohs, paroisse et de Françoise David. de René Foucher Naissance à Nancy de Joseph-Léopotd-Sigisbert et de Jeanne-Marguerite Micbaud. Hugo an Vi). (13 brumaire et Sophie-Françoise Hugo Hugo, civil de Joseph-Lëopo)-.) Hugo Mariage a son grand-père, buchet cf. Lettre de Sophie i9 novembre 1797, voir à i j4/~pM(Ace. j!9 ~Vouey?:~?'c. de Sophie an VI). Lettre 29 brumaire Hugo, Nan! es: cf. /o,lS M" Lenormand-Dubuisson,a grand-père. 23 brumaire et Appendice. La date donnée par le /~<o, fautive. le, .A~M~'er. 15 2~ ./a~u<e/ ~e~'<e?'. et de Sophie-Françoise M" Lenormaud-Dubuisson, (Dimanche, 12 (Lundi, sa sœur pagné Marie-Joseph nivôse a Paris, Tre- Paris, a son Août 1888, an VI, est Trébuche)., qui a accomVI). Marie-Joseph cf. Lettre de Sigisbert Nantes Hugo part pour 15 février 1798,a )'A/~e?!~<ee. an Trébuchet, au 17 nivôse an VI). Lettre de Hugo, adjudant-major de Hgne, d'infanterie de la 20e demi-brigade capitaine rapau de ia 17~ division Paris, militaire, porteur près du conseil'de guerre Lenormand. chez le citoyen Trëbuchot juge, rue citoyen (Marie-Joseph) des Carmélites. Nantes. Lettre'inédite cf. )'eMf/<ee. (Samedi, 1~ bataiHon 27 pluviôse (Jeudi, inédite cf. l'e7!cel ~M~t7. I" an VI). Lettre de Hugo a Trebuchet. 1 floréal 2 prairia) an VI). (Lundi, a Marie-Joseph Trébuchet, Lettre <, de Hugo, datée Lettre an VÎ). maison de guerre, à Paris, commune, place Lenormand, civil, rueMaupertuis, juge au tribunal inédite cf. l'Appendice. (Vendredi, conseil citoyen Lettre ~a<. fils de Joseph de Josephdu contrat de mariage an Vi). Signature Trébuchet et de Sophie-Françoise M~Cabat, par devant Hugo des Sciences et de /f( 6'oc~/e a. Paris cf. RELTON, ~/eMïo<e&' ~902. t. XVJ, livrais. de Zo~' e/-C~e/ 1~, p. 19, 31 mars 7VoueM!e. 6 Foucher, brumaire ~5 a Nantes, Trebuchet du mariage <!e Joseph-Léop<dd-Sigisbert Affiches de Nantes. Trébuche). cf. registres du greffe –(25 Léopotd notaire Lettres e a de Pierre-François ~S~Voue~~re. o 1798 et 'Lettres Nantes. 'i du du greu'e au de Grève, no 19, Nantes. et. de de Sigisbert Hugo, Sophie inédites cf. t'A~e~'ce. Lettres Paris, 1798 2~ 12 15 ~0!<<. 6'e/~<ew~~e. Trebuchet, 1" (Mercredi, à Marie-Joseph l'eMe~cc. TVoueMï~e. an Vt). Nantes 9 fructidor (Dimanche, Marie-Joseph I'j4jE~eMf/ee. brumaire an VII) Lettre Nantes cf. Le Trébuchet, a Paris Naissance Lettre de Sigisbert Hugo, cf. 1~ Le /o, Août d'Abel Hugo cf. En. à et Paris, 1888, de Sigisbert Paris, Hugo. 8 Août et 1888, ~~a~-o, BiRÉ. V. T~M~o avant 183U, p. 43. 29 1799 3 /)<'cfM!~?'e. Feu/'<e?-. 'u 6 73 Fin 6 ./9 ~/a/ ~Va/ (/L~r/ ~/a<. j'I/(ï<. 25 -/t/~t. 12 ./M<K. 13 Juin. 9 nivôse an VII). Lettre de Sigisbert (Samedi, Hugo. Nantes. Lettre inédite cf. Trébuchet, Joseph l'Appendice. ./M!'M. 79 jM<7/e<. 6 ~OM/. .90 6'e~/CM~'e. Lettre de Sigisbert Hugo, cf. Le 8 août /~<~o, à et Paris, 1888, ventôse an VII). nommé à la 20~ demi-brigade, (16 Sigisbert Hugo, s'installe dans ses nouvelles fonctions à l'Ecole militaire cf. iettre de S. Hugo à M.-J. du 13 mars 1799. M. Dupuy Trebuchet, (Jeunesse des doit faire erreur en donnant la date du 29 avril 1799. ~o~!a?:<~Me~; p. 380) (Mercredi, au major Marie-Joseph I~~<</ïce. an VII). 23 ventôse Lettre de Sigisbert de la 20e demi-brigade, 3e bataillon Ecole Nantes cf. Le /~a~o, Trébuchet, Sigisbert, 6 mai, Sigisbert 17 (Lundi, Marie-Joseph )'.4~oeM<~ce. et Abel Hugo a Marie-Joseph Sophie Hugo f)oréa) an Trébuchet, partent pour Trébuchet. an VII). (6 prairia) lettre du 6 mai. 24 (Mercredi, cf. lettre Nancy (Jeudi, 25 prairia) Trebuchet, Sigisbert du 13 juin. Hugo Sigisbert. Hugo cf. DupuY~ yeMM~e Ils Hugo, militaire, 1~ août ont dû an prairial du 13 juin, tous les trois Abel Hugo Trébuchet. ont est pour nommé f/e~7?oM:aM~M~, aller adjoint à l'armée dû à Paris: arriver Vil). Sophie et.jAbe! Hugo S. Hugo, à M.-J. Trebuchet. Paris du Hugo, Nancy, 1~ août 1888, an VU). Lettre de Sigisbert Hugo, Nantes 1~ août 1888, cf. Le .Fty~o, quitte adjudantà Paris, et 1888, cf. lettre Nancy Lettre de VII). Sigisbert Nantes cf. Le /<yo.ro, an Vil). et (30 floréal Sigisbert, Sophie cf. lettre du 6 mai, S. Hugo à M.-J. Nancy Joseph 14 an VH). Nantes 15 ptuviôse Trebuchet, (Dimanche, Marie-Joseph ['~l/~e~ïcp. a Marie- Paris, du à i'adjudant-générat p. 381. à et quitter cf. même partent pour a MarieParis, et I')eM~ce. Rhin cf. iettre Muteté 19 thermidor an V!I). Lettre de Sigisbert armée du Rhin, Hugo, 4~ division miHtaire. à Marie-Joseph quartier généra), Trébuchet, Nancy, !ieutenant d une compagnie franche de la Loire-Inférieure, rue MauNantes cf. Ze7~a~o, l~aoû! 1888, et )'~Lo/6~'ee. pertuis, (Mardi, 8 vendémiaire an VIH). Lettre de Sigisbert Hugo, adjudantaux du 2e conmajor, adjoint adjudants-généraux, capitaine rapporteur sei) de guerre de la 4e division au greffe du 2** conmilitaire, permanent scii de.guerre de Nancy, rue Cai!ot, a Marie-Joseph lu2, Trébuchet, Nantes. Lettre inédite cf. ~t~eM~'ee. (Lundi, a 1799 1800 1800 9 Oc/o~'e.–(17 9 Avril. vendémiaire nistrateurs du n<" 64 et 191. an VHI). département, Lettre de Sigisbert de la Meurthe Charavay, an VIII). 19 germinai de Sigisbert Lettre Hugo, au greffe du de guerre, à Marie-Joseph chez le citoyen Trébuchet, Nancy, rue Le Nantes cf. Lenormand-Dubuisson, Maupertuis, Figaro, 8 août 1888, et l'Appendice. (20 germinal). de l'armée du 18 Avril. (28 germinal). Nancy Sigisbert Hugo quitte Moreau cf. lettre du 2 juin a )'e?ï(/<ee. 1800, 12 ~/f«. Sigisbert Rbin cf. est nommé adjoint a )'état-major général VeM~f~.s'e des ~OM<a7<<~Me~, 381. p. Hugo Dupuy, 22 uoréa) an VHÏ). (Lundi, quartier généra) deMemmingen)a cf. l'opMe~ee. VM~t. 19-20 admi- (Mercredi, 2'' conseil 70Aur<7. 2 aux Hugo, Nancy, cf. Ca~a/o~MCS pour se rendre près du Lettre de Sig~shert (armée Hugo Trébuchet.Lettre Ma! ie-Joseph de Rbin: inédite 13 prairial an VIII). Lettre de Sigisbert de (Lundi, Hugo (quartier générât en Souabe, armée du Rbin, en chef Moreau) a MarieMemmingen générât Trébuche), cf. Ze~a~o~ 8 août 1888, eti'A~e/M~'ce. Joseph .<:?!. 4 yM<7/e<- est nommé chef de. Sigisbert Hugo provisoirement Moreau. M. Dupuy des ~o/M~M~yMe~, général (JeM~e~e comme date le 20 juin. les ~fe~to~'M de Hugo, D'après la nomination aurait eu lieu le 30 prairial, c'est-à-dire le (Vendredi, généra) 15 de thermidor an Bombacb) à de Sigisbert Trébuchet VIH). Lettre Marie-Joseph par le p. 381) indique (t. I, p. 79-80) 19 juin. bataillon cf. Hugo Le (quartier /aro, 8aoûH888,ct.l'e~ee. 20 yM<7~. (1~ thermidor aua/ï<7S30,p.43. ~6 Septembre. V. 30 1801 (29 fructidor avant Hugo Baptême à Nancy d'Abe! ° an VHI). Naissance ~~0, p. 43. à Nancy Hugo cf. BmÉ, d'Eugène Hugo an vendémiaire la durée pour ~O~aM<!y!<f.S', p. 381. est nommé IX) Hugo adjudant des cf. Dupuy, négociations 8 Octobre. (16 ville est nommé commandant provisoire des /~oyy!aM<~Me~, p. 381. 25 an (4 germina) mand-Dubuisson, 6'e~e?M~e. ./)/<M' 6'0!?M date. 1802. an VIII). 26 /~ef~'e7' 5 ~/<!y' 1803 18 1804 7<S 6'<?/?/<e. /e~ey. (8 Lunéville vendémiaire) cf. Dupuy, Fragment Trébuchet, (7 ventôse Hugo ./e!<Me~e Lettre de IX). Nantes. Lettre d'une lettre rue Vandyck, an X).. Victor an X). Lettre (14 ventôse t. I, p. 21. raconté, Sigisbert inédite Lunéville, Hugo, cf. J'ce. P'. ~~yo cf. B[nÉ, de la place de VeM~e~e des de Luné- a M~ Lenor- a Marie-Joseph de Sigisbert LunéviHe, Hugo, maison cf. l'A~eM</<ce. CaH)é, 9, Nantes Hugo de nait a Besancon. Sigisbert 29 ptuviôse an XI). Lettre (Vendredi, datée de Bastia) Joseph Bonaparte (lettre n° 107, sept. 1887, pp. 13-14. Hugo à{Lahorie de Sigishert cf. Revue cf. V. Hugo au citoyen Hugo des ~4M<o~?'<~Aes, an XIII). Lettre de Sigisbert jour Hugo, complémentaire de bataillon du est chef Joseph Bonaparte. Sigisbert de d'infanterie. H exprime son regret de ne pas faire partie ~20~ régiment au couronnement de l'empereur: cf. Ca<a~Jadéputation qui se rend /o~!<cs 6%<M'<ïM«y, n" 179. (Premier à Plaisance, 3 ` 1805 -? -4o!< an 25 thermidor CMardi, C'«<(!/o~Me~C~a?'aua~,n<'2l8. 1805 27 ~lo!<<. an XIII). Lettre (9 fructidor n" 186, des ~M<o~?'a/)~M, 1809 .2~1~'< Lettre 15 août de 20 Lettre de Marie-Joseph ~4u/'<7. 3/CK. Deux Lettre de Marie-Joseph de Sigisbert Lettre une lettre de change 6 ./M<y<. j!M<7/ C<!<<o~MM 1810 a de datée Hugo, p. 9. Hugo. à Marie-Joseph Hugo a Berthier Hugo. cf. cf. ~euMe d'Ajaccio Trébuchet à Sophie a Sophie Hugo cf. Le Inédite Figaro, cf. L'.A/?- cf. L~~oe~~ce. Inédite Trébuchet. Disparues. Trébuchet à Sophie Inédite cf. L'Appendice. Hugo. a MM. Ternaux, I) envoie Avila, Hugo, banquiers. à Mme Hugo.: solder les avances faites cf. pour n° 3'78. C~<MY<t; Lettre j!9tS'p/j<eM<c. Sigisbert. Marie-Joseph Trébuchet de Sophie lettres de de Sigisbert avril 1895, /)e~</<ee. Lettre de Lenormand-Dubuisson 4 ~<. 20-21 Sophie Hugo 1888,ett'A~cy:f/<cf. Lettre XH)). Sophie à Marie-Joseph Hugo Trébuchet. Inédite cf. L'~l~cM</<ce. 22 Octobre. Estimation 5 TVo~e~e. 24 Vente Lettre 9 .a~. j!0 ~<?'s. 4 ~4ur/7. M' ~6 ~.0! 1814 1814 ~<. de Sopttie Inédite de Sophie Départ Hugo Hugo 23 2~ et 30 e;' .90 ~a!. illa'l*. 26 ~'M<M. Hugo pour de M" Lenormand-Dubuisson. M~ Lenormand-Dubuisson. Trébuchet à Sophie à Marie-Joseph Hugo cf. t'~t~eMC~ee. à Marie-Joseph Tréhuchet. de Sigisbert Hugo, n" 316. C~a~ay, de M' biens de Sophie Hugo.pour est à Bayonne cf. Lettre Départ des de Marie-Joseph pendice. Lettre 25 décembre. 2<~ ~cce~e. 1811 du Lettre ~Vo~cM~e. et partage mobilier de Hugo. Trébuchet Inédite Inédite qui cf. L'Apl'a reçue le cf.i'oeM~'ce. Madrid. G. SiMON, i'a~ce au duc Guadalaxara, de de Feltre //M~o, p. 50. cf. Ca<a!/o~MP~ Thionville. a sa mère t, mère: V, Hugo t92Lettre cf. V. J'llconté, ~acoM<e, 1.1, pp. d'Eugène Hugo llugo pp, 192de Victor à 193 et G. SiMUN, i'M/6!Mce La lettre ~e V. ~!<~o, pp. 92-94. sa mère doit être de la même (V. T/M~o rc!co?!<e, pp. 191-192) époque, la 2 dans la j~Sjfoaoût 1815, qu'on trouve date, matgré Co~e~<M:</c~ce 1835, p.165. Trébuchet la décoration du lys comme dans reçoit grenadier Marie-Joseph Il était alors la 2e compagnie et 2e cohorte de la garde urbaine. chef de bureau du secrétariat à la préfecture de Nantes. de la général (Papiers famille Liberge). 0 4 p CHAPITRE PREMIER 18~5- YM<M 1815 Après Sans cf. V. //M~o ?'~6'OM~ t. V. //M.(/o ?'M<;OK<< quelques )el8. ~a«'Woo 6'M?'~Va~o/e'OM, s~s' cités. La pièce a été composée, d'après 18 juin 1813. de Waterloo, date de mois. Lettre cf. lettre 1815 ~8~8 a 1818. p. 213 Au V. ~M~o ?'f«.'o't<e, t. t, pp. 210-21) de Joséphine Trébuchet de Mantes à ses cousins Hugo, avril 1820. d'Eugène Hugo à AdotpheTi'ébuchet, Couplet huit vers /ec<eM?': cf. c/<aM.~OM M boire cl'une cités. c'est un catembour p. 214: jours quatre lettre cf. dix après vers vers sont la bataille cités. restée //M;/o sans réponse: ?'acoH<e. t. i,~ më?'e cf. V. 7/M~o t. ). p. 214 trois vers sont cités. Peut-être ~'acoH~, de son de l'envoi partie opéra-comique (1"' janvier 1818). cf. V. 7/M~o racole, t. i, p. 218: douze vers sont cités. Ces vers sont Fer.s'~o<<</Me&: au de 1816 et soit dont G. StMON, n*~ IH, appartiennent Dialogue parie probablement n" 23, p. 107. ~za/o'/Mee, p. 106, soit à t'~ptyramMte Vers font-ils a sa /)eM;E vers traduits <4M.!OHC .S'U?'Z)!(/OH: cf. K. //M~O Une ~e~/«Y<<!OK de Ca/iH deux 6M?'/eA'</Me ~M ?/ac/e 212. .t. p. Sur un ?Mt;'<t~n< auteur MtJ(;/tM/t<: cf. ~'p!~?'amM!e. l'un des vers. Peut-être, est-ce notés quatre épigrammes n~ 14, 17et20, sans date de mois), 1816), p. 105; (1816, mois), p. 109. ?'<!CO~<< t. t, p. 212. vers cités dans //M~K F. 7/M~O ?'<!COM<< t.. ), p. 212: n° 9, (septembre G. StMuN: par n°41 sans date de (1817, p. 106; Sur MMe jolie le /ils était Madrigal. /'eM!me <<o;'yKc </e /'o"</ f/?'oï< dont <wy;t<; vers traduits du latin cf. t. 212. i, raconté, gauche //M<yo quatre p. .u?' le /Ko< .s'OM)'~ Charade deux vers cf. V. T/M~o ?'a(;OH<< t. ), p. 21,3. de f(e!< .7M~ 1816 Sans ?'M(;OK<p, date. Côtes p. 103, trouvera de 7~'oueKce, imitée des G'e'o?'yit</Mp.< cf. G. StMOK, Z'M/uncf poésie n" 1 et Les Odes et /~a~a~e~ édition de t'Imprimerie Natiouate, pp. le texte et la date Juin 1816. 0 ? </f F. 388-389. //Myo, On y ° t. t). p. 6. ./M<7/e< 10 V.Hugo 17 V.Hugo écrit: K Je veux commence être'Chateaubriand 7?'<H?KeHp: cf. 14 ou rien décembre 0 )) cf. 1816. )~. //M~o ?'a<;o?i~e, 1816 ,t~< Avant 28 !e 15. «~ /M~ 6'oM/</e/.s 6'/i«/<<t'~ </<< cf. G. S'MON, ~\Ë'n/'<Mce de F. //M~o. chanson dont P'. /~M~/o ''nco';<e(t. parle la France! août le ~5 «OK< 7~/6', à /'occ~.«o/ n° 2. Ces couplets p. 103. le refrain f, p. 214) et dont </<; /'(''<<' ~« sont probabtement est: Vive le tioi /loi: la Vive à /~ao«?'oy'aK .~M/' .s'oMe'<?'c au'4 sept. /~e')~~(' <ïM7~o/, le jour de la Saint-Louis, 25 «OM< ~/e cf. G. StMON, /«Mee de n" 3 cf. Ca<a~KM CAa//M</o, pp. 103-104, nos ~)3 et 330. de cette 4 p. in-fo)io, avec des remarques r«t'«7/, L'autographe /?f/)OK.s'< a été mis en vente d'Eugène Hugo, par les soins de M. Charavay. Vers la même les quelques notes de son journal a propos de époque. V. Hugo a dû écrire Baour-Lormian cf. t~. Hugo t. racole, u, p. 5. a composé lui aussi une réponse a M. Baour-Lormian. Ce dernier dans une Eugène Hugo de mauvais de jeux de mots, de ptaisanteries donné des pièce de vers pleine goût, avait conseils au Koi. La réponse de Victor est sur un ton sarcastique et satirique cf. G. Simon. /Hcc< F. //My«, pp.d03-d04. tS'e/)<e/e 30 Sans ~/f~/<aM, /<OM?' le /o!<?' F. //K;yo, p. 105, n" 13. daté. ~?'amMp, ~tc /<<, /</</Mt<)<.s', G. Simon cite ~4c~.«/cAe, f/e 1816 septembre 1816 septonbre .~a /<?<c, 30 1816 septembre cf. G. SiMON, Z,'A'n/a?ice cf. G. SiMON, Z,«/ancp 1816: cf. G. S'MON, /7t/'a?tce septembre a ce propos huit vers d'une adaptation 1816: cf. G. S)MON, ~?!<ïMce<~e septembre de de G. cf. F. ~M~o, F. //M</o, de de )'~4~ StMOK, ~'2?K/HMcp p. 105, n" 8. 105, n" 9. p. F. /~M~o, p. 105, d'Horace. /)oe<Me V. ~M<yo, p. 105, de n" 10. n° 12. Octobre 1<i Sans 16 octobre 1816 cf. G. S'Mf<N, Z/~M/aMce traduction, ~/e7<6e'e, 7'<<y/'e, 106. n" 22. Le texte se trouve dans les Odes el Ballades, édition de l'Imprimerie p. pp. 390-393. date. Les Originaux ou la ZaM/eme octobre 1816 cf. G. SiMON, ~n/a~tce chanson, Mia~Me, de V. ~M~o,p.105,n"7. .4 Abel ~M?' une ep!?t<e octobre 1816: cf. G. Simon, m'avait donnée, qu'il L'Enfance de V. ~M.~o, p. 105, n" 11. .E~o//Me F. y/M~o, Nationale, Imitation, octobre 1816 cf. G. SiMON, L'Enfance de V. Hugo, 106, n" 15. novembre 1816 p. Novembre Sa ns date. ?'?'a~MC<:on de l'épisode de V. /7Myo, p. Z.?t/aKee .Ë'M?'f</ce<VMM~. V. /~o, p. ~05, Episode no H. du 105, 7~'pM!'pr n" 5. imité livre des de Virgile, Géorgiques, novembre ~816: cf. G. StMON. cf. G. SiMON, ~'F?t/<ïMce~ Z)eceM!~e 4 14 V. Hugo commence la traduction de la 4e Eglogue de Virgile. Il la finit le (cf. 3 janvier 1817). V. Hugo termine 7?'<aM~Mp. tragédie, mille cinq cent huit vers cf. G. SIMON, V. /<~o. et V. Hugo t. i, pp. 2i5-2i6. G. Simon cite six raconté, pp. ~27 un vers (p. 1~7), dix vers (p. 118), six vers (p. 119), dix-huit vers (p. 120), douze vers vers 122, 123, quatre-vingt-six (pp. 124), quatre (p. ')25). 6 3 janvier 1817 de L'Enfance vers (p. H6). vers (p. 12~), 1816 /~ceM~'<? c 21 au 30 Fin Sans ~/M< le 1~janvier 1817: ~maMt~/<, cf. G. S)Mo~ /~MM<c/te, p/t~oya/K p. 107, et pp. 112, 113, 126, 127. Cette pièce contient soixante-six vers. G. Simon en cite huit (p. 112), deux (p. H3), quatre (p. 127). A ~/<M/~Me décembre. /.Meo«~. /~M?' le y. cf. G. Sn<o. /M,,<;<g?- ~6'~ 7 /M/a/<ce V. ~f«/o, n" 26. I! cite huit i08. 107-)08, vers, p. pp. date de mois. La Rose, cf. G. Smox, CoM/c fable ~aMtMe cf. G. Z)«!<o//Me; -S'M?' un mauvais cf. G. S'MON, jL'CH/aMce de V. /<~o, cf. G. SIMON, la tKo?'< de .son L'Enfance de StMON, L'Enfance libelliste p~'e StMON, SMr c~ F. //Kyo, p. 106, p. 106, n" 16. de ~M/aMee cf. G. fils V. //K~o, n°9. 105, //«.«,?. p. 106, ~'p~?'amMe T'o?tHpt;'c cf. G. SfMMf, /a?!c<; de V. T/M~o, de n° 4. p. )04, V. S'MON, o" 14. //M.</o, ~M/a/ice p. n° 106, de 17. F.WM'?o, n° 19. cf. G. SfMON, de T~n/aMcc 7/M~o, p. 106, n° 20. cf. G. S)MON, Z'M/aMce <<<; V. //M~o, p. 106, n" 21. cf. G. SiMON, A'F?<aH6'g </p F. //M~o, p. 107, <M/o~Me'e .&<aMMM ~4 Glycèî-e: Le //«</o, cf. G. S~MON, A'H/'a~c6</e ~/a~!«/ ~'M?t Plaintes p. 106, n<'18. cf. G. ~E'/e'e: </<? /aKc<; n" 24 deux p. 107, n" 23. u no 25. Le Déluge, de V. 77~0, en trois chants, trois cent soixante-quatre vers cf. G. SiMON, L'Enfance poème H cite soixante-quatorze vers aux pages pp. 128-139. 131, 132, 133, 134. ~M7' ?MOK 7)p7M.</e. A Abel cf. G. SmoN, L'enfance de V. T/M~, sont cités. p. 137. Six-vers V. Hugo a dû écrire en 1816 les quatre vers sur trouve dans l'Inquisition qu'on F.yo t. u, p. 5. raconté, 1817 3 V. Hugo termine la 7~ A. ~o/?t jE'~<o(/?<e(/e F~e: cf. G. S)MON, Z'Fn/'aKce de V. T/M~/o, p. 108, n° 27. traduit de A~irgite. La pièce contient Aristée, épisode G. SiMON, /i/'aHce de V. Hugo, p. 108, n" 28. 3-16 11 Sans · ./<~<;<f/' le 4 décembre (commencée des variantes et des corrections 1816) cf. ABEL HuGO: Trailé du ~/e7o~'CMte fn-8, ïmp. /M?' Gillé, Paris; Paris, Plancher. ~ce'</e. B. F. 11 n" 60. Les trois auteurs sont Armand Pélicier, Delaunay, janvier, Ader et A bel Malitourne, Jean-Joseph Hugo (cf. B)RÉ, V. //Myo at7<!M< ~50, p. 115). date. jL'aM~e des Cyc/e.s'ragment de l'Enéide: cf. G. SiMûN, L'Enfance de F. T/M'yo, p. 108, n" 29. /aM~'c des Cyc/o~p-s' a été imprimé dans le Co?t.s'erua<eM~ t. f, Hvrais. Z!'«e?'a:y'p, )x, 1~ avril dans F. t. 1820, dans le Lycée ~7'HMj, pp. 233-234, pp. 327-328, 7/M~o ?-Mcon~ t. livrais. r:c<ï!?t, n, et dans les Odes et Ballades, édition xn, pp. 429-430,dec.1823 de l'Imprimerie Nationale, 394-395 avec cette date 1817. pp. [Janvier] /~e~y'<e?' 22 février au 3 mars. traduit de Virgile cf. G. StMON, /&'K/aMce C~cMs, épisode de F. 7/M~o, p. 108, Cf. le t. livrais. n"30 V. Hugo Conservateur Littéraire, t, jv, pp. 1820. 121-123, janvier t. 235-238 et les Odes et 7~a//a</c.s'. édition de l'imprimerie raconté, f, pp. Nationale, pp. 396398 où CacM~ a été imprimé: ./ty<M'~ 3 Le siècle présent, 3 mars 1817 cf. G. StMON, /aM6'e~ -7- V. 7/M.o, p. 109, n" 36. 1817 7)/<s' 16 ?'?'a<<c<tOM p. 109, n" 32. 16 m.'ns <o?'ace, V. Hugo commence Le Ro?t/te~?'f/Me ~M?- «M athée cf. G. S'MON, ~n/a?tce 18 23 Sans f/'M?< épisode date. /)'oMCM< 18)7 f/e A'n/oce F. Hugo, cf. 7 avril 1817. ~?'ocM)'e /'jE'<M~e de V. /7:<.</o, p. 109, n° 34. cf. G. StMON, ~t/o~'ë Koc<!<~ie cf. G. S)Mox. de F. //M~o, p. 108, n" 31.. ~.M?'!7 2 Le p. 3 7 20-23 Sans ?'Me6fe./M~ï<e?'. 109, n" 37. traduit de Vi)gite,6'e'oy')yï</«p.< cf. l'Ode Le Temps et les Cités, terminée le 5. Voir Odes et Ballades, V. Hugo commence édition de l'imprimerie Nationale, p. 527. termine Le ~o?t/<eM?'~Me~~ocM?'e/K</eda?t~<oM<e.s' les .!t<M<ï</on~ de <a't?!'e: V.Hugo cf. BtRK, P'. /y!/</0 avant 161. /~30, p. 103 et G. S~MON, A'jE'7!H7tce~e 77M~O,p. Le de F. Vieillard </M Galèse, traduit livre iv: cf. G.S<MON, A'~7t/aMce épisode desGéorgiques, du C~c a été imprimé dans le C~H.!e~'u<~eM?' //M</o, p. 109, n° 39. Le Vieillard t. n, livrais. août dans la /?'a?tce t. ni, Z:'«e?vy<7'e, xfx, pp. 323-330. 1820, A/«e'?'a!'y'e, livrais. 1832 et dans F. T~/o t. et aupai, pp. yaeon~ 182-183, juillet pp. 229-231, ravant avant cf. /.e.s-0<tp<<a<<e. édition de 1830, ~M~o par E. B)HK, pp. 86-87; Nationale, l'Imprimerie pp. 411-412. ~Mr date. de la Pharsale de Lucain cf. G. StMON, ~'jE'?t/SHcp de /)~.<.fp le /~M&/coM, traduit no 40. C~'o' yw.s't' le /7~co?t a. été imprimé dans le CoK.s'ua/eM?' F. //Mf/o, p. 109. /,y</e'y'M<?~. t. avril 1820, t. i, pp. 239-241. livrais, x, pp. 362-363, dans F.«;/« meo/~f, dans le Lycée t. )v. livrais, les Odes et 1824 et dans xx!, pp. 262-263, ~?'Hto;ca:?f, sept. pdition de l'Imprimerie avec cette date [Avril] 1817. ~«f/p.s', Nationale, pp. 408-409 12 V. Hugo Un lundi, remet à l'Académie sa pièce: Le ERNEST Duruy, 7 et 8. yeM~e.s~c < ~oma/<<ï~Kes,pp. du 25 août 1816). jeudi (cf. séance 17î /.c~o6/e.traduitde)a8ssatiredeJuvéna):cf.G.S)5)ON,f<Mce<~ .n° 33. 29 Sans V. T/M~o, G. SiMOX,M/'anee</e 6'M?' la <?'~f/e'</<e de 6'e?'Mtf'?:M.s' F. //?<~o, p. 109, n° 35 (1). Ces vers date. Voir au 20 Mai 1820. ~4 Lydie. /~OH/«;K?' que ;)?'o(:M?'c /<M</e: Le concours fermait le 15 mai, I' le ~2 M:<!< ~7 jouée ont été composés en mars cf. G. SmnN, et non en mai. ffugo, ~tt/ce p. cf. un 109, de JM<~ 28 -B. PiCQUENAHo. Didot Paris, Imp. pOU)'M<ya')'</<7/. ~</o?!s' Maradnn, oM /e~o?: A'ë~7'p,anecdocte B. F. 28 juin, n° 2093. coloniale, Cette anecdote nouvelle édition. iQ-i8, a pu servir à V. Hugo .40M/ Le l'étude dans ~«H/tgM?' <yMe procMre toutes les s:<MM<o/!s de la vie mérite une mention M. Raynouard dans son a t'Académie. t'appoi'tcitedixvers(p.848). en cinq actes et en vers, ('!) ~e/'Mta~tCMA', tragédie ordinaires d!! Roi, le 22 mars les comédiens '1817, et n' '1304). Il l'aut lire 22 mars au lieu de 23 mai sur a cause des allusions qu'on y représentation politiques 8 est de A. V. Arnauit. Elle fut représentée, par chez Chaumerot 19 avril 18i7, imprimée (B. F. le cahier de V. Hugo. Cette n'eut pièce qu'une vit. 25 1817 1817 ~0!<< · F. //M~o ?v<coM<~ le morceau entier D'après a été publié en une plaquette ayant pour titre Essais po<<!yMe.< avec cette épigraphe ~E'~?'! .s'oM!H!'a et une /)e'c«ce à M. /). /<. (M. de la Rivière;. Cf. F. ~/</o )'aco?~< édit. Lacroix, ~863, cite vers de cette qui soixante-sept pièce E. BtHK, F.T/M~o ~t:a/<< 1830, cite qui quatreseize vers F. inédits, vingt pp. 102-104 //M~o ne la édit. cite ?'aco?t<e, UM?'«;<M)', qui pièce trois cent en entier, vers, t. n, trente-quatre corrections ont été faites pp. 17-30. Quelques n l'édition de ')8f')3. Le même texte se trouve les Odes et /a~e. dans édition de l'fmprimerie Nationale, pp. 399-407 (2). ~0 P'e/s' de V. /~M~o a 7''?'a)<(:o~ de A~Myc/c~M cf. t. n, pp'. ~0~M~o racoK~, CMe~<'< ~a//a~M, édition de l'Imprimerie H i\at,iona)e, p. 527. LettredeV.HugoaM.Raynouard.secrétaire de l'Académie accomfrançaise, perpétue) de trente-neuf cf. Co!'?'e.~onvers pagnée dance G. S~MON, 7. 1815-1835, pp. 3-5, de F. /~M~o, et Catalogues /f<Kce p. 168 n° 360. C'/t«?'aua?/, .S'e/~e/H~e 2 !~?'s de V. 7/Mjyo Ballades, A'eM/c/~<eaM a F. /yyo, 0</<s li-12; ?y<eoK<e', t. it, pp. édition de t'hnprimerieNationate, cf. <;< p.527. Avant le 14 Après le ~4 V. Hugo le f~ compose les *S'caM<?t<ïue~ tragédie vers. Scénario deux pages dire soixante dix-neuf lignes cent vers. vingt-six V. Trois de Hugo compose cent deux vers /yM'yo, p. ~40, acte d'~</te7ï'eou en 5 actes et en et demie, c'est-àl'~acte quatre le 2" acte d'A thélie, cf. G. S)MON. ~M/aMcs ~50. d48, la bibliographie de vers sur le même de quelques autres pièces sujet. <'e/M(<e ~aM.< toutes ~t<Ma<tOM< de <M vie, discours en vers, /,e&o?tAeMr les </Me/)/'ocMre mentionné sous le n" 36. a la séance de l'Académie le 2j août d8i7. française, publique n° donne la 5" place au et Hbr. in-8. Michaud, 2678). Raynouard hnpr. (B. F. HO août. n" 36. Août 30. LEBRUN et SAtN'nNE. BoMAeMt' que /CM/'e /'<;7M<<e ~a/M toutes les ~<<<(a<t~/M de la vie. )n-~ F. nos Didot. 30 août, 2676 et 2677). Impr. (B. 6. fi de <4cKdMHte L'Etude C. DELAVtGNE. AMA .S'e/)<eyK<'y'e /a?tpaMe .«< ce«e</KM<M~. Ë'/j~y-e le &oH/tfM)' da~.s' toutes les .<!<M6[</o/M de la vie. Everat )n-8, Paris, /Ytt<-e</e Impr. De!aunay.(ti.F.6septembre,n°<'772). ~.3. da?M<o;t<M<e.s'.s':<Ma<to<M de Septembre Char!esLoYsoN.~)e<?'Me?t(;e</efe7Mde~<y'<e&o?t/te<t/' la vie du prix de poésie, le 2S août <8'n, par Ch. Loyson, discours l'accessit qui a obtenu mnitre de conférences a l'école normale. tn-8. Doublet, Gui)!au'mc Paris, lrnpr. (B. F. ~s~~mbr~n°'~n~ 50. A. n'EGvn.LY. eu <w. A'My le 6o?tAeM/' que /j<'octt7'e <'e<Mde dftH~ toutes Dt~'eoMrs 6'e/)<eM:<e tn-8. [mpr. les .s't<Ma<:OHs de la vie, sujet Pou!et, proposé par l'Académie, par A. d'EgviHy. n" Mathiot. 20 Paris, (B. F. 2991). septembre, ~Vot~eMt&y'e 15. –SAfKT-A),B<N BEnviLLE. .t<Ma<tOM.s' ~e6oM/teM/Mepr~(;«?'e/'e7Mdedc[/M<OM<e6'~e6' A la de la vie discours en vers, mentionné sous le n" 42 séance de l'Académie, publique le 25 août i8i7. Par Saint-Albin avocat. In-8. Berviiie., Fain, Paris, Impr. Delaunay F. la 6e Cette obtint (~. <5novembre~n''3537). piëee place. (2~ Voici ~M(< 30. 9 31 1817 ..S'qo<e~'e 29 sa Maman le ~OM?' de pour cf. G.S)MON,t/aHce~e Sophie: 171. JI cite dix vers. p. En l'envoi septembre, réponse de V. Hugo du 31 ?'aeo?t<e,t.)),p.8. Ste /*6' V. Hugo, de M. Raynouard à cf. F. Hugo août En septembre un jeudi, probablement, lieu la visite de V. Hugo à M. Raynouard, de l'Institut cf. F. Hugo bibliothèque t. u, p. 8 et G. SiMON, ~t/'aMce co~<< F. Hugo, p.161. Septembre à Décembre. vers sont cités). Vers de Campenon adressés eut à la rade à V. Hugo cf. F. Hugo ?'cco?!/e', t. n, p. 9 (quatre Octobre 17 au 20 de V. /<yo, ~6'/<fM;e'c cf. G. StMON, ~H/'o'Mce fut lu au banquet p. 171. ~c~~MM!ï'</e du 5 juillet JI a été imprimé dans le CoM~e~'a~K~' 1818. Httér.nre, vi, Littéraire, t. i, livrais. février t. i, livrais. avril 1823, ~820, dans le Z.ycc'e~4?'M07'!c<MM, iv, pp. 258-261, pp. 2(H-204, dans t. t, pp. 223-228 et dans les OdesetBallades, édition de l'Imprimerie /7M</o raconte, Nationale, pp. 413-4m. TVoueMï~e 1 4 L'Avariceet l'Envie, conte. Vers de V. Hugo à B)ondei vers 171. tapage \~oirau2S décembre 1819. de cf. G. SfMON, j~Tt/a~ce F. Hugo, pp. 170-171 il cite six il en <oM?'yte'e dans La /?'ay:c<' au duc les po?'~ de France 6~7iyoM/6'we, grand-amiral, cf. G. StMON, jL'M/aKce de ?'<i!6'o?:<~ t. i, p. 215 où se trouvent 7/M~o, p. 171 et F. //M~o cités dix vers de cette ode sur la duchesse d'Angoulême. IN .1) abandonne p. 528. J sa tragédie d'Athélie cf. Odes et Ballades, édition de l'Imprimerie Nationale, ~)p6-e~~y'e 3 chose /<<a?'f/ est bon cf. G. S)MON, ~i/Mee de F. //M~o, 0~o'a-co/M«/Me. quelque « il fait un A la p. 153, neuf vers sont cités. Pour la date, on lit dans G. StMON pp. 150-153. le 3 décembre 1817 ». H est peu probable en un jour. opéra-comique que V. Hugo le composa II dut le commencer ou le finir le 3 décembre 1817. Peut-être le titre de cet opéra-comique est-il emprunté à )'/K<KK de Voltaire. En tous cas il a une certaine ressemblance avec la « Malheur » (VOLTAIIIE, Œ'Mt~'M devise de Gordon est bon à quelque chose édit. complètes, t. xx), p. 304). Garnier, /~oMt«7t.s', )'/K~<'nM, 16 ~'<<ïMce.<; ait .~oH!Mt~:7 cf. G. S<MON, Z'M/'M?tce de K les 0</e.! et 7~a</f~, édition de l'Imprimerie Nationale, Fin /~M~o. p. 171. pp. 419-420. Le texte se trouve dans de t'année. sur 7?'<aH:~Me cf. F. /~M~o raconté, t. Cette Appréciation p. 211, onze vers cités. dit F. ~M~/o raconté, date d'un an après 7~<aMte?<e. appréciation, « du Bonheur /)e'f/tcace l'étude » a D. L. R. (M. de la Rivière). Six vers que procure cf. BinK. K. Hugo avant t. n, p. 14, G. StMON, ~'jE'M/a?icc raconté, 1830, //M~o p. 103, de V. /yM<yo, p. 166. La réponse de ~7. de la Rivière, à ]a Dédicace de V. Hugo, se trouve dans G. SfMON, pp. 167-168. vers (Seize p. 167 et deux vers en note). Fc~ </e K /~K<yo à Biscarrat sont cités, p. 170. cf. G. S)MON, /<!?:ce )0 de F. Hugo, pp. 169-170. Trois vers 1817 Sans Z~eee/7!e date. Traduction <fMnp ode cf. G. SIMON, 7.a?!ce cf. G. StMON, ~'A~/aKce <orace de J!f<ï~:a~: jE'p~?'<ï7MMte imitée Ode cf. G. SiMON, Z.n/a?ice de F. Sur /t/. D. cf. G. SmoN, Z'n/'aytM e< Mt!'?'ac~p. Prodige ~M?' le succès de de la (les cinq derniers couplets) de Cr~o, mélodrame en 3 actes, de (1). cf. G. SfMON, ~n/aKce 7ne~ censure F. /7~o, p. 110, n" 44. des ~?'CH~eM?' manie 7~0M</e des n° 42. p. 109, Hugo, de P. T/M~o, p. 109, n" 38. de V. //Myo, p. 109, n" 41° cf. G. StMON, p. 110, de V. T~Myo, p. HO, cf. G. S)MON, /M/aKce au Panorama accepté Hugo, pp. 155-156. 1818 refusé dramatique, n° 44: n" 46. par la Janvier 1 .<OK ojoe?'a-coM!'<yMe à sa mère cf. F. Hugo FHHfx'par V. Hugo vers cités) etG. de ~.7/M'yo, SmoN, L'Enfance p: 172. t) dit que l'envoi et il cite un vers qui n'est pas dans V. //M~o ~'acoy~e. fi au 10 Ar< co/e~'e F. 25 du ou poète manie de la /)o/!<t</Me, satire cf. G. SIMON, ~'Ë'M/'o'?tee (cinq 1818 de ~M~o,p.173. Acte <s'oc/6!<o?t~oM?' Abel Hugo, Louis-Auguste de V. Hugo, Z'ance 29 Janvier la raconlé, p. 2)1 est du 1" janvier la ?'ë~<!c/zoMe/ la Marteau. Jean-Joseph 175-177. pp. des «Ze«?'M 6y'e<OH/tM~ entre /)M<ca<tOM et Victor cf. G. SrMcN, Ader, Eugène Hugo au 2 Février. La mort de Z~OM~ ~F/ ode, celle des Odes et Ballades cf. G. SIMON. /«K<e t. ), p. 214. On trouve de cette strophes quelques Nationale, l'Imprimerie pp. 421-425. a avec une épigraphe de Delille, antérieure de F. //M<yo. p. 173 et F. //M</o ?'aco7t/e, ode dans les (Mp~ édition de Ballades, 7''ew!e?' 2 au 3 Avant Sans Le </e'.w de le 15. Eugène du concours date.. la gloire, ode cf. G. son Hugo compose des Jeux floraux). Les Places, Odes et Ballades, chanson édition cf. G. Ode sur StMON, de l'Imprimerie de SfMON, Z'?</a?!C6 /M mort ~t/a/'ce Nationale, T~M'yo, p. e~M ~MC~Ky/en pp. K //M~o, 426-427. 173. (le 15 février p. 173. Pour est la limite le texte, voir ~f~7 8-10 Priape, Nationale, d'une traduction p. 528. On y donne satire d'Horace: la date. /?'«7.~<; et /~M//af/e.s', de l'Imprimerie cf. Odes édition fut lu au 4'~ banquet le 4 Octobre 1818. littéraire, Mo.< 3 Eugène Hugo obtient /~ecMe:/ de /tcH~e'Ht!'p 12 Sans 67<aH.~oK date. V. avant cf. Odes un souci réservé .s-K?' la ?Kor< pour son Ode des ~eM.ï; //oyaM.r, 1818, où elle est imprimée de l'Imprimerie Nationale. e<7~Q'/<</</e.s', édition Hugo travaiHe pour 1830, p. 109 et François )'~?'<e, ~M pp. pp. de Neufchâteau sur Lesage et Gil-Blas 1882, septembre p. 185 et suiv.. duc <)~/<!<'M cf. j-vj. 428-429. cf. BmÉ, V. //M;yo (1) En 1822, le vendredi 26 avril, aux Bonnes Lettres. « dans un discours plein de recherches sur la litté« rature dramatique M. Abel Hugo a, entre autres ouvrages, examiné la tragédie d'/HM de Castro. espagnole. Le « par ~/a.-EKM ~<'Zaee?'~a et )'a comparée celle de Lantothe. sujet de cette pièce étant tiré d'un épisode « de la Lusiade a fourni à M. Hugo t'occasion de parler avec quelque étendue du poème de )a ~,M.a</e. » et des Arts, t. vn. livrais..Lxxxn. cf. /tnHa<e.«/e la Littérature p. 136, 27 avril 1822. 1818 .Juin 1 de Eloge t. u, livrais. 8 Lettre de chainement 15 août 1888. Sans date. Conte raconté, Zes l'ode mort du duc cf. Ruche d'Eugène Hugo &M?'/a <tte?t: d'Aquitaine, 1818. Xt,ls''juiu de Neufchâteau à Alexandre Barbier. H Favertit V. Hugo ira proFrançois que le trouver des renseignements sur Gil cf. /.? Figaro, pour lui demander cf. Odes et t. i, pp. 217-218 Z)e?'/tïe.A' Bardes. édition de l'Imprimerie ~a~es, vers cités). (trente-six Voir au 5 juin 1819.. · Nationale, 430-434 pp. et V. Hugo o Juillet 5 V. Hugo et ~c/<e'/Ke'/it</e lit les Derniers ~ar~cs (au dîners Httéraires du restaurant rue de l'Ancienne Edon, de /'aMee Hugo, p. 178.. moins ce dernier) Comédie cf. (1) 7 de j\eufchâteau François auteur de Gil ~/as Lesage, avant 1830, pp. 107-109. de l'Académie en mai et juin dans une auquette séance V. Hugo extraordinaire a travaillé le 5 juillet aux G. SmuN, /?Hlit sa notice sur cf. Bum, F. //M~o ~4.0M< 2 13 177 29 Août. à MM (/eM'< fait //Hp?'oMt~«/. a transporter V. Hugo aide avant ~~0. pp. 124-125. A la distribution solennelle cf. BmÉ, V. //M~o physique V. //M~o raconté, t. t, p. 213. Voir 17 et 20 juin IV sur le Pont-Neuf la statue d'Henri cf.BinÉ, (2) cf. des <aH< du prix .30, concours général 77-78. pp. V. Hugo obtient 1820. Y. le 5~ accessit Hugo de M AI. OM?'?'y ou ~e/)~t.?c à /7'e ~M Roi de /V. 0<7?'?-y cf. K. 7/u~o t. ~/)~~ raconté, cf. G. S~MON, 7.'A'M/aHce de V. T/M~o, p. 173 il indique la date. p. 216, qui cite six vers « 7! dans les Odes et Ballades, de l'Imprimerie édition ÛM?'?'y est imprimée /f~'e avec cette date du 28 au 29 Août. Nationale, pp. 448-450, de AL Ourry est dans le ~/o?:!<eMr du 26 août, Universel L'épître p. 1015 et comprend deux cents vers. à /?K/aHce ~e.< ~~teMX cf. Odes 6< Ballades, édition de l'Imprimerie 447. Ces vers ont été publiés, en partie, dans V. Hugo raconté sous Ils ont été lus le 6 septembre littéraire. 1818, au 3e banquet pp. 257-260. Nationale, pp. le titre /~e~'e< 444t. t, du 17 au 20 octobre 1817. Les Derniers Bardes, (t) ~4c/te'/HeM!~e a été composé composés en l'été dans le Conservateur de 1818, ont été imprimés t. mai i820 et dans )~ livrais. V!)~ Littéraire, t. f, pp. 27 (-283. V. 7/M~o raconté, des pièces de vers inspirées de la statue (2) Voici une liste assez complète par le rétablissement d'Henri IV. .4uM< 8. C. L. MoLLEVAUT, La Restauration de la statue dans le ~OKtc~We/M't/K, Ode, imprimée <<'Mr Universel, le 15 août, p. 975 (cent quarante vers). ~Ott< VALANT, //eMrt/~7'<'yM!M.)'aM<a/f.['g'<OM'e. ~)oM< ~2. AMÉDHE DE TissoT, Ode Sur le 7'e<a~<M~gMMM< de la statue cf'~eM/'t /F. ~9. .4oMf F. J. DEpONTis, Ode -S*M/'le 7'ë<'a'&<e/MeM<~e la statue <f.~eM~t Ode Sur la –X., statue <<eKy't J. HRtssHT, ~a6'<a<Me<<eKrt/F, /K. l'Ombre ode. –X.; du grand //fM/ à S. ~7. Louis ~YF/ DE LANGEAC, La statue d'2/eK?'t /F, Ode. 5. DE COMTE CoETLOGOx, Ode ~<M' le /'e<a6/MMM:gK< de la statue Septembre e</K<M<7'e<.<'HeMrt/F\ de vers et du Comte de Coëttogon sont dans le ~/ont<eM/' ~Mt~ey'A'e<, 1" sep(les Langeac tembre~ p. ))J39~. DitAp-AHNAUD, Ait roi, le yoM;' de <M /~6A'<<ïMra<MM de la statue (<7/f?tr! rétablissement de la statue c<'FeM/'t I V, imprimée )~ Ode. VmAt., Ode ~M/' au ~/o/n<e;t?' d~ i040. Ode~M)' Siti- le î~établissemeîtt ?'ë<f<6HMemeM< de ~e la Universel, X., Ode septembre, p. 1040. .<ft/Me (<'y/CM/'t I V. UN BoRDELA)s, ~<a?f;e~ ~'xr le ?'e<a&<tMeMteM< de la statue <<eK~t .S'e/)<e/K&e ~9. LE ViEUX TitouBADOUH, Le rétablissement ~t'eeMt~re de la statue f/e/M't IV, poème. Notons le iO a Lamartine une Ode sur le Rétablissement de la statue août, qu'avant composé d'Henri tV. (c)'. ~mÉ, )' /~Mf/o avant 1830, pp. 126-128, et Corre~ooM~fMtce </eZaMtfM'<tMe, t. u, p. 213. 12 1818- Août Août. V. Hugo la pension et le collège, en quitte rue des Petits habiter avec sa mère, Augustins~ même n° 18. que temps son frère et Eugène, va Septembre Sans date. Composition Le /<HMteaM des Vierges de Ke?'</M/t de 6M!f 6c/t!'<, chanson ° cf. G. S'MON, /?t/'6[Mce cf. G. SfMON, ~t/a/<ce f/e de /7M~o, K. //«'/o, p. p. )73. )73. Octobre 0 3 30 GASpAUD DE PoNS, ode sur le Co?~?'~ la C'ana~6MMe y. Hugo compose Voir au t8 Septembre pp. 4S1-452. In-8, <4~<i!-C/ta~6//c. cf. 1819. Odes et Ballades, Bouchet, Paris, Impr. édition de f'tmprimerie Novembre 21 C. DELA'vfGNE. r?'oïs~/es~e'?MeH)! etc. In-8, Imp. -~3- Baudoin, Paris, Ladvocat. De)aunay. Nationale, 0 CHAPITRE II 1819 /~ef?'ï'er 1819 5 au 6 15 l'Ode .s'M?' le ?v7a6/s'.s'eV. Hugo compose /?<pM< de la .!<a<Me </e ~c~T'i! 7F cf. E. Dupur, La ./eKM~e des /?OM:a?~«yMps, p. d9. Avant le 15 février, V. Hugo a composé et aux floraux Z.e.! Dernier.s Jeux envoyé /« les de Bardes, 6'f<Mf«/!fH7t~, Vierges ~e?'f/M?t (sept. de la 1818), le /<a&<:t;e?neM< statue </e /yeM?'ï'/F (5 au 6 février 1819) cf. Co~'e.KefaMce 1815-1835, p. 354. Entre le Lettre de Soumet ~5 et avant //M~o le 3 mai G. StMON, ~H/<ï?<cc 28 à de de V. Hugo à Soumet, à propos des au conouvrages que lui et son frère envoient cours des Jeux floraux cf. Ca~<oyMg.! C/Mravay, no 188. Lettre V. cf. Emu, Hugo 129-130 et pp. V. Z~Myo, p. 193. Soumet est installé comme mainteneur des Jeux le dimanche 28 février i8i9: floraux, cf. LnoN SÉCHM, le C6'?tac/e de la Muse /?'a?tpat.«?, p. 10. ~< 20 20 29 Mars au 9 avril Lettre cf. Odes de M. Pinaud, et ~a//a~p. pp. 531-532 a V. Hugo Toulouse, édition de l'Imprimerie et 534-535. Nationale, Cn. NoDiEn, yAe'?'e~e l'auteur ~tM&e?'<, par de Jean ~60~?', in-12, Foin, Paris, imp. Ladvocat. B. F.: 20 mars no d044 1819, 2e édit., B. F. n° 1537. 24avri), V. Hugo fait des corrections à l'Ode ~M?' le r6'<a6/s'~6MeH< de la .!<a<Mc <~e~ë?~ /F et à )'0(/f les de Fcr</M?: cf. Co?'?'MF~~es po7!f<o!?ice~5~5-5, pp. 355-357. Lettre de V. Hugo, à M. Pinaud, Paris, secrétaire de l'Académie des Jeux perpétuel Toulouse cf. Co?'rM/JOM6fa~ce~5floraux, 1835, pp. 353-354. 29 de V. Hugo, Paris, ~o-?5, Correspondance, 9 ~lur</ Lettre ~a< :< V. comme extraorobtient, Jtugo prix un lis d'or dinaire, pour Ap/~a6/<eM:e~< f/c /M ~ya/Me </e //6M?'! et une amaranthe réservée pour TLe.s' F:e?'yc.s' </e Ferc~t~t. –14– à M. Pinaud pp. 354-357. cf. 1819 ~at Les pour mais -)2 ~5 ~S Derniers Bardes, le prix, sont imprimés La C<ïMa~:eKHe est concouraient qui avec ces deux odes, exclue. V. Hugo compose le Discours sur les Avande l'Enseignement Mutuel: cf. 0</e.s' tages et Ballades, édition de l'Imprimerie Nationate, p. 473. de M. Finaud, à V. Hugo Toulouse, du 16 juin de V. Hugo a M. Pinaud, ;/<S~5-jf~5, Correspondance p. 357 et Odes et j3a//<!j' de l'Imprimerie Nationale, édition pp. 356-357. //M<o!')-e</e Gil Blas de ~<a7tc, par 3 Paris, vol. in-8, Didot, Lesage, Lettre cf. lettre c du 1 er volume est un j6'j;a??të?t de la question de savoir si Lesage est /'<ïM<ef<r ou s'il l'a pris de /'jE'~<!</no/, de Gil Blas de Neufchâteau etc. (B. F. par M. François En tête 15maH8d9,n''i859). .< t'Mr Ode le ~e7a&/MseMCM< de 7ypM?'<W, qui a remporté d'or proposé par i'Académie; Marie Hugo: résidant (en note: le 25 mars (sic) i802 Besançon de /a ~~a~Mp le prix du lis par M. Victora Paris, né a (~). de /cadew?ede~ Jeux et. le Conservateur littéraire ont le même (1) Le ~ecM6:7 texte floraux des changements se trouvent nombreux dans les Of/e.s' et Ballades. Les Odes et Ballades ont fait disparaître la référence )iv. 2), pour (OEnéide, eml'épigraphe ZD à Virgile pruntée A la page 76, le vers 48 est transformé //eW<e du respect ses ue/'<Mô' remplace qui payait du respect /~ert<e eut ses vertus faite en le vers 20, on a qu'on pour (correction 1822). Après enlevé la note suivante La colonne s'élève oti /M)'g/t< le ~'acrM~ Trajane y.)/'<'6' de l'emplacement Tiberinum et la via ea/jr(ec?MM de la ville de /~o?Me). Les vers 2t et 23 ont subi, en 1822, (Antiq. une transformation me les rend durs. Voici les deux textes semble-t-il, qui, plus mais Souvent, Tel dans les horreurs des discordes civiles. sur les villes, Quand t'cM'roi planait Co)~e)'u. Z.:«. 77, Page aux feux voici du la soleil, correction rugissant faite d'un au air vers torsqu'en La terreur l'horreur des discordes sur ies villes, planait Odes civiles, et ~a//ad~. 18 Tel. sombre, CoKxet'u. « « « « « « « Souvent, troublant Litt. )e désert d'un Odes et ~s/<ade.! rugissement, (correction sombre, de J828). le vers note a disparu « Suivant M. le Monnier, 19, une longue le tigre des déserts de Après non content d'avoir dévoré ses victimes, sur l'ombre s'acharne de leurs M. Sahara, de squelettes. Borda sur le la « même de manière suivante amenés s'exprime, sujet, j'ai vu des tigres d'Afrique, à Damas, et enfermés dans l'immense arène dévorer avec la férocité deMagis-Patar, plus révoltante les bœufs et les hiènes leur donnait tout leur et, des qu'on satisfait, vivants, appétit passer journées entières à guetter l'ombre des carcasses décharnées de ces animaux. II est probable que le mouvement de l'ombre a ces une de vie dans ce n'avait présentait tigres apparence qui pas même une apparence » de corps. faite au vers 16 en 4822. Page 78, voici la correction 0 ma iyro, tais-toi reconnais ta faiblesse. 0 ma ivre, CoMM'f. Z.<. Page 79, iienri, nous )e vers te 4 a été devons transformé au denier en dans )a publique Odes ivresse <;<Ballades. 4822 de la veuve, Cott.s'f' tais-loi Nous /.< devons ta statue au denier de Odes I:i la veuve, cl Ballades 5 1819 ./M~ <;<f /4c«</e~«'e ~s'.A'M.r/J'oy'~M.T, i à cf. CoH~e~u. v ~!«.,t.n, 1819, p. iivrais. Le Rétablisxi, pp. 3-7, 6 mai d820: &cmc?~ de la statue de //e?:?' ode qui a en 1819, le lis d'or, extraorremporté, prix dinaire t'Académie des Jeux proposé par cf. Odes floraux, par M. Victor-Marie Hugo livre i, ode et Ballades. édition Me ua?'!e/M?', O~e.! et Ballades, édition de VI, pp. 75-80 Nationale, pp. 61-65. l'Imprimerie Recueil Les F«'?'< de ~e?'~M?t. 0~e</M! a obtenu une Victora??ta?'aM</<e y'e'.s'e?'upe /ja?' ~7. ~/a?'~ 7/M</o (1). Et les vierges de~vaOéed'O.ihra.mvinrenta.tnoi et elles médirent: chante nous, parce que nous étions innocentes et fidèles. Gud-Eli, poète persan. La dernière Jeunes Ptaisir. Henri. (p. 79) a été complètement strophe Dansez autour de cette enceinte leurs anime leurs chants. pas joie guide car la bonté son regard est peinte, dans Jouira touchants. decesjeux J'ai!ne mieux cet airain, où d'un roi qu'elle adore La France croit revoir encore Le port, le geste accoutume. ces vains monuments art pénible enfante, Que qu'un Dontla mais cimente grandeur surprend tyran qu'un sueurs d'un peuple voici 80, Page queiqnes Voici les deux textes: Jeunes Mêlez opprimé. CottMfC. des 1823. dansez autour de cette amis, enceinte vos mêlez vos heureux chants pas joyeux, car sa bonté dans ses traits est empreinte, Henri, Bénira vos transports touchants. Près des vains monuments des s'élèvent. que tyrans de longs siècles achèvent Qu'après d'un Les travaux peuple opprimé. est cet airain où d'un roi tutélaire Qu'il beau, La France aime a revoir le geste populaire Et le regard accoutumé amis Des changée M<. Odes et Ballades. changements Vers'). L'obscur néant son de Le grand néant de son cercueil Odes et Ballades (correction cercueil. COKM7'U. ~t«. de 1822). Yerst~. Un jour (mais tout écartons présage Conserv. Vers Un funeste) jour (mais /«. tout repoussons Odes et Ballades présage (correction funeste !) de 1828). 18. De cent rois cachant, les Cachant CoHMru. cent royales Odes et Ballades poussières, ~«. L'e'd:<tOM des OuES ET BALLADES de l'Imprimerie Nationale a corrigé, 1er le vers de la 6e 63 édition ne manuscrit, strophe, p. cart'e~Mr, p. 77). (cf. Assis près de la Seine, en mes douleurs amères. donne aussi une (p. 498), strophe 4e strophes du texte définitif. Le voici existe encor quand Néron et Tibère Trajan Ont vu leurs honneurs abattus. Henri! ta statue adorée j'ai vu tomber He)as une foule égarée Elle Aux de la V. Hugo l'a dédoub)ée (correction avec n faut raison, le lire pour former de 1822). le d'après ainsi les 3e et l'airain renverse Outrageait Et cependant des morts souillant le saint asile, mains demandaient Leurs sacri)eges à r<u'gi)c de ton front glacé. L'empreinte édition on trouvera des variantes du manuscrit. Quelques-unes On aussi frmt la lettre consuttera avec de M. Finaud 352) appartiennent primitive. (p. à~'édition mars a V. certaines corrections et V. du 9 avril 1819 de (20 Hugo ia réponse i819), qui propose Hugo La lettre de M. Finaud et éclaire celle de V. Hugo déjà publiée dans la Co/M(pp. 533-534). complète ~5-~&35 /M~<Mtce (pp. 354-357). pp. S09-511 inédite. poussières, même différence entre le texte du Recueil des YeM~ floraux du Co?Me/'c. Zt«. (i) H n'y aucune et celui Victor à la fin de la première note dans il raconte Hugo a fait une toute petite suppression laquelle l'histoire des Vierges de Verdun. Il n'indique les sources où il avait Voici ce puisé. plus qu'il y avait dans « Voy. les ~/eyKOM'M de ~ey'<, de ~/o~eut~e, le /~ecMet/ de JeM.'<: /~û)'aM;e l'histoire de la ~e't)o« <M~'OH~a?' L<:c?'e<e«e, les archives cht <t6MMa< fëuo~M<to?tK6[M'e, etc., etc. » -i6– 5 1819 ~M:/ï /<e'"ue!7<~?/tea~e'Mt«' 6<e.s'°./eM.T; floraux, ~9. chez M. J. ))attes, Toulouse, Imprimeur de l'Académie des Jeux floraux. B. pp. vj-xj. F. 5 juin n° 2~21.: cf. CoM.!e?'u<:<eM?' t8)9, t. i, Hvrais. /ï/<e'?'a!7'c. n, pp. 41-46, 25 Décf. Odes et Ba~cembre 1819, V.-M. Hugo édition Hp !?'<c<M?' livre /a<< t, ode in, octobre Odes et Ballades, 1818 pp. 53-59, édition de l'Imprimerie Nationate, pp. 46-50. Lps difTerences sont au contraire très grandes entre ~a«f«<e.<. Les corrections ou changements datent de 7'vers. ~strophe, ces Pourquoi verts 2*st)'ophe.'4°vers. sont ces Quels festons sur meurtriers tout ces chaînes de lambeaux? /~i'«. du Cot.e/'t?. de <822. sur Pourquoi pesantes, /«. CoK~eru. couverts le texte l'édition festons des ces et celui Odes chainesmsuttan tes, 9 ineurtriers Que!ssontces cou verts d'itnpursiambeaux ? 0~e.<e<~?a«Q~M. 6''vers. ;strophe, Dois-je les expier crimes de mes pères? 9 La 4' du strophe Lt«. Conserv. a été crimes tes de !nes La supprimée et Ballades. voici: a désavoue de leur le jour supplice de longs et de deuil. jours d'épouvanté Déchire-toi, voile des âges! France, avec )noi reviens à ce siècle d'orages. Gernirencorsur~eurcercuei. Elle Par A cause de la suppression de cette 4e strophe, aussi tes Odes et Ballades pour ne pas tromper les Odes et Ballades. d'après strophes il n'y a plus concordance le lecteur nous donnerons entre le Co/Me/'M. /.t«. désoi')nais le chiffre 1" vers. entourés murs de gardes Sous menaçantes, des'murs entourés de cohortes sang)antes, Cot:e)'tj.t«. 7" strophe. Verdun, pères? Odes à l'histoire serez mânes chers satisfaits, Je veux vos regrets consacrer si ce trépas Heureux vous comb)e de gloire qui N'était la honte des Français Mais non en a paru quand ma patrie complice. ces expier /<. Vous 4' strophe, donc Dois-je CoHMt'C. Odes et Ballades 5e vers. de boulevard seul la France Verdun. opprimée; CoM.<e?'u. vers 8'strophe, de preu)ierre!npart la France ~)«. opprimée~ Odes el Ballades 5 8. sauver la France. Ce n'est pas tout quand, pour affrontant la mort et Nos bannis, l'indigence, nos encor mal affermis, Combattaient tyrans si avez de nobles Vous misères plaint Co?Me?'c. 10* strophe. 3' vers. fit rouler dans Qui vos regards Ce n'est sans hélas, pas tout. nos bannis, Quand Combattaient, nos Vos nob)es cœurs chercher la vengeance )a. n~ortet. l'indigence, encor mat aH'ermis. tyrans ont plaint do si nobles misères bravant /«. e< Ballades Odes humides Dites.. fit. router qui dans vos humides regards Co)Me!'C.< Odes e< Ballades outrage~ Odes e< Ballades (i<vers. Quand le tache la dont oppresseur voix vous outrage Quand t'oppresseur qui vous Co7tserM.< 1)*'strophfi, C'en est l'avers. donc fait, sous la lugubre enceinte C'en est donc fait déjà sous la 6'0?:A'<'?'U.t<i'. 12' strophe, Charlotte Et et <MM~Na«<M~. CoHM;'t!.Z,:«. Sous ftes Cazotte vers au cœur Elisabeth, enviant. 6, 7, Odes enceinte et Ballades 10. d'airain, qui vous vengea de nos bords cet ange le lugubre prix de ses Charlotte, d'avance CMOtte efforts. Martyres, Co~Meru. /«. 17 autre Elisabeth, dont Judith, si l'encens qui vous malheureuse p)a!t au vengea en martyr Odes d'avance vain divin et Ba~a~e~. et des ./M<~ 1819 Les pour De~u'e~ le prix Debout t.2, 3. Ici par de nouveaux prodiges yeux épouvantes: Lesspectrescfn-ayaientmes sur Ils balançaient moi, parmi d'an'reuxprestiges Co;tM)-. Z.i«. 13'strophe, ta poème qui a concouru Victor-Marie Hugo (1). du nord .Sur les rochers en main, il sourit à la mor),. CH. j8a?' par li. harpe vers sombres des iueurs Ici devant mes veux erraient sens épouvantes Des visions troubiaientmes Lesspect.ressurmonirontba)ança.'entda.ns)esombres Odes et Ballades. à la fin des Odes et Ballades. )es notes dans JI y a aussi & signa)er de petits changements piacées /< dans le CoM~ru. étaient vierges <roM~MmM Page S37, note V Trois jeunes /t<~ « Ce brave .~MO~MMtt ~MM/'f/M~. On a ajouté les deux dernières phrases 538, note V)H Page » ~tOKMeMr français Me~'M<~a?KaMC<<'?KCM<t<~aK~~MC<:M~ /.<«. dans Je Co/Me/'u. On lisait note X Le commencement de la note a été transformé. Page 539, de ~oMO~?<t< eu ~~e bonheur « son père, Ca~-o«e ne ~M< psrt)e?t!7' à sauver </M'acAe<a on )isaitAerot~Me. &Ktw/t/ A la 3' ligne, à la place du mot sublime :~5-&M., (cf. Pinaud de Toulouse Co?-rM)MK~<ïMce, La correspondance de V. Hugo avec li. & on fit des corrections qu'à Toulouse nous prouve p. 356. LeLtre de V. Hugo du 9 Avril a M. Finaud) de celui-ci. l'ode de V. Hugo mais d'après les indications a subi une de ces corrections. La 7e strophe des Odes et Ballades p. ~6 (qui pour lui était la 8e) de Toulouse, et soit aux juges soit àV. de la strophe Les trois vers Hugo, premiers déplaisaient vers meiHeure l'une envoyés V. Hugo à ces derniers deux versions que les tros parut envoya car elle a pris place dans l'ode. d'abord, Voici la 2e version. Jetant sur Reculaient mutilées vos Quand pbatanges 1 ombre de leurs lauriers, nos accablés. vers cyprès Paris, ) par )e nombre floraux et le C~M~e~. des Jeux Litt., Dans les Odes et Ballades. le Recueil pas plus que dans celte strophe. nous ne possédons les trois vers primitifs qui commençaient est une combinaison de V. Hugo, )a 10e pour La 9e strophe (Odes et Ballades, p. 57), c'est-à-dire texte )e premier pas et que nous deux qm ne ptaisait strophes envoyées par V. Hugo pour remplacer ienorons. Voici ces deux strophes. Ce trait dernier Maisnon! suffit l'arbitre leur bonté leur les trahit leur belle âme. ce trait qui glorieux 1 Quoi mort.. de leur 2 Sera donc J'arrêt leur enflamme. non l'accusateur 3 Mais que aspect honteux Tressaille d'un 4 transport. n Il veut, au prix d'un a. n'reuxsacriHce, vierges, ravir au supplice. vous 6En taisant vos bienfaits la crainte abattus chastes cœurs 7 II croit vos par est l'arbitre. Tainville De vos jours a.ce seul titre d'un forfait le monstre Souillez-vous vos vertus. Vous absoudra de condamne. de sort, brù)ant d'un feu profane, aspect d'un honteux transport. sacrifice veut, vierges, au prix d'un affreux vos vous ravir au En taisant, bienfaits, supplice. H croit vos chastes cœurs la crainte abattus; par le le couvre Du <nép)'is acceptez partage ()ui Tainvi))e.!).ieur Tressaine 4 5 6 7 8 9 Souillez-vous d'un forfait )OVn)isnhsfH]ffra~]H fintarne aréopage vos vertus. les vers devant Les chiffres placés a été composée. ment cette strophe Dans )ai~ enfin. strophe 6'o?'/o</<; L'<'<tM~ elle 508); (p. versde)a7'!strophe: ait indiquent cfBMf ~'ai/WH était ceux qui ont été et conservés permettent de voir com- pri)uit)vementC/ta~o~eaM/'ro!:<a~'a:H. <~M ODES ET BA),).ADf;s f<e <M/Mey'<e dans le texte nous indique étaien!. quels ~Va<OM<ï~, aux envoyé nous donne Jeux Floraux, quelques les trois variantes premiers nos phalanges Quand Mgar~es des lauriers, moissonnant, dans leur erreur Jusque entourées. Reculaient vers Paris, d'ennemis On trouve (p. 534) les critiques « avec bonne grâce aux observations ;5-?5 (pp. 336-357). /joM<~M<e de M. faites Finaud et des autres » à Toulouse, comme Y. Hugo s'est soumis académiciens. dans la CoryMle prouve sa réponse subi des transformations ~a?-6<Mont profondes, (!) Les ~e/'Mtey.9 suivre le texte même de Victor raconté Nous allons //M~« ou transformés. supprimés )8 des en des suppressions. corrections, notant au passage les vers 5 1819 ./M<M ypM.t; /<o?'~M~, ~8~9, Toulouse, Dalles, xxxv-xtij, pp. 243 vers. n" 2d21: et'. 5 juin B.F., 1819, t. ), livrais. ~'0/t~~yu. Z!< voi, 25 mars ~820, Victor-Marie Pocme ossiapp. 28i-289. Hugo. 298 vers cf. )~tc~?' ?'aeo?:<e, Hugo nique, t. 27d-283. Les /)e7'M<e?' ), pp. ~n?'s', 228 vers. Recueil de /4caf/<Ht<e des in-8. it'Ht: Arrive, ).uc. détruis, ravage puisque tu as vaincu ceux ()U! avaient vaincu. (Romances espagnoles). Les Oa!c. et merie Nationale, texte du Co/o'f. 1818. /~<«f/e~ donnent, Z/<«-, édition de l'Imprile (pp. 435-443) avec cette date [Juin] Page2'U. 2° 4' 8* ~9' vers. vers. vers. vers. N'entends-je Les spectres i:72. t'age Co?<set'M. des /< (les anges, p. 281). tempêtes à vos Aoca~M Co«.!et't;7.!«. sombres'(vos /eMi7/af/M, dans la nuit decevante M:a/e et yott/ta<t<e, CotMfru. (la ~o/.t; pas plutôt sur vos fronts chevelus CoM~o'M. (des /<). s'appeler spectres égarés, Sont-ce les esprits Ou fidêles encore le Après 2~ dix vers, vers ont été supprimés. Non. icsBardes'n'ont pu descendre Dans ce fleuve des ans, roule l'avenir qui Si leur en deuil se tait avec leur cendre. cythare ces lieux. de leur souvenir. Interrogeons pleins Le pâtre, de leur gardien gtoire. Page273. 6'vers. 7* vers. 8' vers. 9'vers., iS'vers. /«.). De A leurs Les révères conservant aux rochers déserts: chants la mémoire, répète Et.i'echotointa.indesH~or~t.agnes dans ces campagnes. perdu !'ëtTanger. sort, et. leurs Redit )ëur concerts. Con.«;?'c.)/< 281-282. pp. m</a)MMMorven~<ee/e&)'e EtMorven,aMM!K<~e.!<eMe&?'M, ~t<e?:< des harpes /'M7:e&)'ey. la mort des héros. Annoncer Voix funestes du sort. Fait soudain. les vieux/'?'!mM. /)'0)M/o?t<<ta~e/Mt<eAt'e des héros. ~«?:onpa/<)a)uort /.OM funestes du sorL.. Vieux Recueil des /'t'!ma~. Coti.M!'M.«. 7eM.x p. xxxvij. /7ot'aK.'K. Cemotrimeavecc<MMa<s. 273. Page le Après 16~ six vers, vers ont été supprimés. Les héros ont saisi leur lance, ont volé vers cette armée immense vomit de ses flancs Que le sud ))s Sur Jeux ces six trois vers, Mais t'affreux torrent du ravage. Entraînant dans son cours et l'opprobre A passé sur leurs corps sanglants Co;M<;r)j. subi avaient une correction. Les tels les qu'on fit ~«.. le dans 283. p. Recueil des floraux: a vomi de ses nancs le Sud Que Mais le ?i0i?' torrent du ravage Entraînant dans son cours la mort 17- vers. tes Ecosse, 274. Page le Après si guerriers, ~8e vers, Les vers où .«., Mais La venons eu 19 l'un d'eux franchissant transposition d'indiquer. alternance. et 20 ont Deux ont vers rimes les masculines, l'esclavage, Ecosse hélas aux Foulant pieds libres Cherchaient, Et frémissaient Les transformés. sourcilleux secondé de Victor et Hugo concerts -d9 p. xxxvij. /'reM<~ tes eti/'H/t/x invincibles Cn/Me; Litt, supprimés. vers les plaines armes vaines, sommets Edouard dans été lointaines complètement été déjà corrigé d'Uthal des vers été avait invincibles longtemps sept les phalanges s'avançaient Cependant La terreur leurs devançait pas: Les peuples sans défense accouraient, brisant Et les vieux chefs, leurs pas voici l'esclavage. voici tels Rochers sourcilleux, lords intrépides ses raconté et est sourcilleux, produite se ces dards, trop pesants t'honneurd'un encor. au bruit des chaînes. Co~eru. /«., les qu'on Recueil par seraient la lisait des pour beau [bras. trépas. pp. 283-284. dans le yeM.'e suppression suivies et leurs Co?Meru. /7ot'<!M;c. il que n y nous aurait Juin 1819 3~ Généra) du Hugo.OM?'Ma< /t!&'<o?'<~ue blocus de fM et de yAtOMU!7/p, et 7)?'oe??KïcA:, ~M~/i; e~ .j!.5, 7'/t<o/tt~7/e, co/<<Mta?t< détails .!M7' le siège de quelques sur des rapports et mémoires Z.on~M??/. rédigé Af. A. An. A)m., ancien communiqués par officier au de d'état-major gouvernement Madrid. Blois. B. F., In-8, Verdier, imp. 3d juillet 1819, n''28H. 27a. Page d" 2' De Au vers. vers. le Après De 6e vers, Se vers ont été CoMMt'u. ~i«.. p. /a!</<o«e)' 284). CM loin ~es~'a/)eau.Eorguei))eux. Co;t.<e?-c.~«.,p.284. supprimés: ]) régne en espérance, Près des champs Sans au révei), songer l'essor, et son vengeurs le superbe encor camp siège d'Etfershe s'endort: faute nous involontaire suivant. d'orthographe du vers /)yo<OM~eK< la croirions à cause voulue plutôt n)é)ent à la voix des vents. Se mêlent au long ~'Mi' des vents. CoHMt'M. de la /«.. Debout. mo&broui)iar<ts, –Debout. <e7:ë&t'eM~;broui)!ards.<ecMe/~M./eM.'E//o?-aMN", vieillards. Paraissent de sombres vieiHards. Con~eru. Litt., Apparaissent de grands Tels sur les roches Tels sur ces roches ténébreuses. labuleuses On a vu s'élever dans les nuits nébuleuses On a vu s'élever dans les nuits fabuleuses Les tourbillons des Les <)'M<M des hivers, hivers, fils géants p. p. Xïïix. 2S5. 277. Page 6" vers. Et le Après les Les les 8" vers, Bardes vers quatre t'œi) prend pour Et fremissants guerriers ont été des guerriers qui les fils de Tremnor son /<e!!ë<e assez avenir. C'est un crime de plus vers. vers. et les guerriers Recueil /)f:/iMa; des Jeux floraux, p. xxïiï. supprimés frissonnent Et leurs ~hi;to~ce assez son avenir. le temps sait -C'est. punir. voix, s'unissant Pré)udent en Co;tM)'u. et le ciel aux accents harpes qui de mort. Z.«. sait punir. résonnent, CoM~t'c. Litt., p. 285. CoM.!6?'o. Litl., p. 286. 278. Page 14' vers. 1S° vers. 7'f)')'iY'/e Il /'<< et tel tomber qu'un Iafre< dieu maudit le qui (le sa voix formidable coupable, Laisse ~< le tomber chef, les tel qu'un Dieu cris de sa voix. Co/Meru. Con~t'c. Z<«. Z,!M. 279. Page 4' 18° pose (<.<o)/)<e, orgueilleux 376. Page 2° vers. 5' vers. 8' vers. 9* vers. 10' vers. H* vers. 16' six une rime d4' Lothyait domptant un pied Devant ses pas bientôt. Bientôt devant ses Con~eru. Z~(., pas. p. 284. Les obstacles des Des pics et sauvages. CotM~'c. /«. pics sauvages Menafa?i<~ )iri)ient sur ces sombres rochers -Vastes rochers. Co)t.<eru. Z!«. Les bataillons, des Jeux floraux on trouve s'allongent. Au Recueil s'alongent. Est-ce C'étaient courroux 275. vers. vers. vers. vers. 81620° en Clyde front du Mais dans son âme enorgueillie, ses hautains rien n'arrête projets )) rêve i'Ecosse avilie, Page 7' la vers. vers. 6'o.'t;o<M; L'arrêtée 280. Page Le Isr vers mais Dieu a subi votre qui deux Prince Monstre Monstre 280. le 7s crainte. te maudit. du mais votre crainte. Dieu. f.'OMMru. Co/Meru. Z!«. /«. transformations ris de nos misères, qui ris de nos misères, qui affamé de nos misères., vers, Apres vingt-quatre des sa source. torrent, qui. Regarde grossi su!' monts les Mugit orageux, Et vers l'heureux vatton menace sa course, qui Route en grondant ses flots fangeux. fracas Vain .ses eaux vagabondes S'ouvrent sur les glaciers mille chemins divers il disperse De rochers en rochers ses ondes, Et laisse sur leurs flancs les tributs des hivers. affaiblis Ses cent bras vers les plaines s'égarent Bientôt ce fier torrent, renversait les chênes qui il peine en passant de faibles Brise arbrisseaux, Et ses vagues amoncelées, Page .'tM<aM, L'arrêt vers V. /~M<y~ Co?Merc. Recueil ont ce été Dont raconté. /~«.. p. 287. des ~e!<-K floraux, supprimés )a fougue p. x)j. lointaine les vallées, effrayait trainent en faibles ruisseaux. S'y Mais sommet des monts sa fureur turbulente qu'au Ait miné d'un vieux roc la base chancelante Des neiges, des glaçons l'énorme amas, pressant Le rocher déraciné roule, Et dans sa vaste chute entraînant les frimas, Grossit le torrent s'écoule. quand Le mont dont )i descend s'ébrante et retentit, Massé immense! il bondit de montagne en montagne Et tombe enfin dans )a campagne Sur le torrent qu'il engloutit. Co/Me?' Litt., p. 287. -20- o 181~ · ./M<M ° Lettre de louse Paris, Hugo. cf. aM.Pinaud.Tou- 16 /5-o. Juin Coyre~ooH~a/!c<' 357-358. pp. ° V. a -/Mt7/C~ dO félicite Le ~'?'an~aM Lycée leurs succès aux de t. /'?-aK~a~, 8' !2* vers. vers. n" 1, Tu nous Et, si 28i. Page Jeux les frères cf. floraux 44, p. 10 le Se ~M!' ta nombreuse bras. Et, si trois vers, vers <i" vers. iO'vers. lavera. Va, ton Va, sang illais nos chants <a?/ta<x/?e~o~< <3"vers. Quoi le Après Nous, grands L'aigle des Vois braves Nos 18' 2h 17e aurions huit vers, dieux! flatté vers été /eM!' Non 1 les Les chantres 282. Les siècles des vers 3, 4, se siècles sa tyrannie, bravant 6 5, p. 288. /«.. Litl. nous Va, <o<tKOW .MMt-o«.<<)'i;' Co;tM)'u. [tMeMMt're. cour pu flatter CoHM~'u. Énsei,v. [/)M~a;tee. [puissa?ice. Jouissent de l'effroi de tes fiers bataillons: Nous allons les rejoindre, et ta rage a)armee Bientôt nous entendra sur ta coupable armée les tourbillons. Entre-choquer Cogère. Litt., pp. serons Les diront. héros, Co~Meru. e<<a ta Litt, Zt«. supprimés nous quand Lill, coups, Co/t.!eru. lavera. mémoire,– sang ta été Co)i6'e;'H. p. 288. supprimés <0)!!M!</MepMM~a?!<;e/VoM~<ïM;0)M~a;t.<<a ont Edouard, le [esclaves, dans les sitions monts viendra ramper ces nuages là. nos braves. nos chants ont brisé les entraves, dont vers. vers. Page nous ont ce <0t'rf<t<. c'est ta. Edouard, ton bras. Cott.s'o'H. /.t'M.. sort</M!<<a!< armée vont tes hordes dissipées ?9 à ses terribles du vengeur, les crois en vain échappées. Où armes Tu Aux Ze~ce'e 1819. juillet &r<!M~ comptant servait ton le sort Après Hugo trois remplacent diront. Co~Meru. chantres. ~!«. CoMMT'M. Zt«., Les vers du p. 289. sa tyrannie, fuyant 288-28M. CoH~'e. Litl. transforment qu'ils presque complètement 0 Ciel nous më)es à )'horreur de ta gioire Nous, la chiens lancés fureur des Non, dieux. jamais par Nos noms dans FéterneUe histoire implacables ton nom odieux Poursuivront V. //t/yo raconté. Venaient formaient dernière fois Les nos qui successivement V. floraux /!ecMft< supposés, puis Le au <<M~eM.x* dans des Jeux suivant les autres. fable « douteux. « Page les par « sur des pages note, 2e vers du ne [Edouard ozi /.<«.] et le la poésie, qui chef loin plus des terminent bardes et le chœur à la fin du des Lill. ils bardes « Pour chœur la » ont être /?oraM~ mots floraux Mais trois chant été et ligne se réunirent At«.] l'abîme Co<:M)'N. Les suiv. sur ceux sont elles-mêmes des rochers [au bataillons /bM<< des et ./eM;e duquel /~o~a«~ ~e/t/a/eM<, là ils dM j'ai des maudirent !') leur passage, des yeMA' /~(;Me;7 anglais. /,t«. Conserv. Recueil armée, changements a/o/ aïeul Tremnor, dans le ./PecMe<7~M./eM.ï;oy'aM.x] marchaient les <eM/' //to/'<, Recueil [a/M'eA' t'aM<eM/' (que suppose [que de Finga), </f. ~eM<~ et père bardes de pas et .fOH les Voici transformées. comme ajoutaient la peinture, ceci a le « Fait historique droit de Tous les suivant de s'emparer les tout uns, sujet » 274. Bardes le Après après le S~ leur ce vers, on mort, Lego jusqu'à qu'on La note 27S. Page qu'on était /~CMet< des Jeux /?oya!M; « tiam Wattace ou Wallau, « d'Edouard. Litt., fin du la etc. CoK~erc. Recueil « bas p. 271. CoM~eru. précipitèrent où ~/t/a;teM<, floraux; à six derniers [ces t'fM'/Mëe et le roi Tourbillons) solennellement se CoK~e/'M. refrain retentissent. harpes sont raconté, et //M<yo le un comme notes apportés Jeux dans ensuite ainsi désormais nous taire est notre Edouard, g)oire Nos chants mais nos noms dans l'histoire vont expirer, Poursuivront ton nom odienx. leur a la supprimé autrement eut trouve diuerent, seigneur payé au bas le note leur ce nom dernier de la suivante « restait sans tribut. » gloire, guerriers et leurs /«. le Co?Men;. page reproduit « Ces Carttane turent de grottes sortit délivrer l'Ecosse pour voici d'Etterstie. étaient chantés ombres erraient mais le l'asile de la du texte d'où Wit- tyrannie ? » Nous avons dit que le texte du Co«.s'e''u. Z.t«. contenait 2U8 vers et celui du Recueil des Jeux seulement. Le texte aux Jeux floraux devait 298 vers mais à. trois floraux 243 envoyé comprendre l'impression, des ont été faites l'auteur ou par l'Académie. Les vers ont été rémptacéspar par points coupures supprimés il la p. xtj' du Recueil. Les trois ont au du t) curieux de été faites chant chef des Bardes, est suppressions vers le Recueil t'a aussi dans noter des dans des été V. T~. ?'aco;t<< ./eu;c /7oy'6[t<;E qu'une supprimés partie f" vers Nous avons dit qu'a la p. 280 de l'. Il. vers raconté, suppression, quarante-trois vingt-quatre omis ces vers sont un à d'un torrent Il est avaient été vingt-quatre long développement propos probable N.-B. 21 1819 .7/e<</ fait paraître Chateaubriand dans le Co~~e?'article sur la Vendée u~<eMr son fameux qui toute la 448 livraison cf. Conservaremptit B. F. <eM?', t. iv, livrais. xnv, pp. 493-234. 7 Août 1819, n"2907. .S'e/j<e?M~'e Automne V. Hugo compose le Z)euoKCMeK< ce vers /~?'&<?.s'; comme l'indique « Vainement dans Cf. Revue 18 Paris La » me rappelle. 190p. 862. l'automne 15 février de Paris, /.M/)e.!<Ù!c/a ode par V.-M. ~pM</ec, f.'articie dédiée a M. de Chateaubriand. Hugo, de M. de Chateaubriand sur la Vendée paraît ode à un avoir cette inspiré jeune poète qui. si je ne me trompe, a déjà remporté aux Jeux le prix de )'é!égie. floraux de Toulouse Ce morceau de poésie est écritd'inspiration, néet si la versification en est quelquefois les idées en sont souvent pteines gligée, et d'enthousiasme. On voitque d'entraînement de son sujet et l'on peut en le poète est rempti le morceau suivant par juger qui est placé la bouche d'un vieux dans prêtre prophétides Vendéens. sant au milieu et décaisse. « Si, pauvre (On Ces ferment sommes CHH<M/<eHHe La 1825. C«/ta</<eKMe, janvier étegie M.VictO!'Hua,o. Note Cette jolie pièce que M. Victor Hugo a en )819 n'a point été j~gée composée rHgne par lui d'être insérée dans les éditions de tes poésies qui ont été publiées; nous np doutons pi) que le iectenr ne nous sache d'avoir été )noins gré sévère que le jeune poète. Cf. K. ?'aco?~e. t. 25)-253. pp. -S'<H6a< ~/r<<~o/07'o.a //My~ E!egie. L'Epigraphe été ajoutée. Deux au lieu » de « Car 48e » ta <nère avec » toi. vers » « An fond de ta couche odorante « Au de sa couche odorante. remplace Cf. et 0<<f.< merie ~8 septembre 18~9. du ./OM?'M«/ /t!~<oy'/</Me f/M Compte-rendu le 31 juillet) ou<</oc'<.s- de ?'A<o/tt'<7/e (paru du généra) ~/c?'CM?'e de France, Hugo. vrage Victor t. pp. 406-409. Verser. Nationa!e, Les ~e.«/KS fond édition ~a//«f/e.<, pp. 45t-452. </e la de i'tmpri- Ode. tmp. ~1 pages. ~e'c. Paris, in-8, Boucher, Dédicace a M. le Vicomte de n" 3361 (1). B. F. 25 sept., cher Hugo. briand » BouV.-M. mis de côte. Si à ces vers ont coi~sidéres comme un hors d'œuvre et par ce fait été vingt-quatre dix-neuf on auraies la fin de la page 280 et les deux de la p. 281, soit vers, quarante-trois premiers de ial" suppression. V. H. raconté huit S" suppression, vers elle les vers 12, 13, 14, 15, 16. 17 de la p. 281 de comprend « des huit dont nous avons la le vers 17 Nous dieux. les deux après grands premiers signalé suppression » dans les siUons." de la p. 281 et les deux 3' suppression, vers elle comprend les deux derniers vers premiers quatre la p. 282 de V. H. raconté. en date donnée le compte 18 Les changements Mto/'t~M/'t CaMor, Ave, les autres 1" on 2' vers septembre. entre les te doit deux :s~<M<a<t< MK ami. avancée être ne textes n est ni de sont dans Co;Me;'i;. pas la jours quelques nombreux. de plaquette la puisque L'Epigraphe ni dans 18)9, ami. f/Me/~ue Dans ces chants. /«. Co'iM)-K.M<. 8'vers:Dansces~oM/< 3° et 4' vers. strophe, Elle a dit: «/)a;t.!ces Mais eut la Vendée des 6'a~e~e ~'CMce de Odes et de Ballades le CoM~'ey~. /.?«. Voici la France temps ses martyrs. » eutses victimes Conseft!. ~:«. a Elle Mais « ~'t dit la Vendée Odes et Ballades. Odes et Ballades. des et victimes: ~<~e.<. et Ballades. ces temps la France eut » eut f~ Odes martyrs. a* vers. 12'strophe, .les 13'strophe. Loin F. et corrections strophe, 2' H. par triomphes 9'vers. de leurs champs du vice, <<e<rMi~ Odes CoM~e;'t.<«.tetrion<pheduvicn; Conserv. /«. Loin 22 de /eMr <eMp~e en deuil. Odes 25 Chateaucf. Con- qu'ils ajouta vers La a 18e vers. changements «TamèrecoM~etoi') cite ici les dix vers suivants~. vers sont d'autant renplus beaux qu'ils une allusion ace dontnous effrayante témoins et qu'ils sont le cri d'une (t) rend ~8 1* trop juste indignation. </c /?v<Mcp, Cf. Gazelle Septembre le .sM.s'~eM~nM< ait /)<ï/?ntpy /oMt6c<7M</e.<oHHOMMea«-H<?'. ). fascic. \'m, pp. 337-339, Zy6'ee/M/)(;<t. ~8 septembre t8t9 cf..4/t/iM~x V.-M. Hugo, n" t~ ~8~'i. B.F. /ta;t<Mg.s'. pp. )88-~90. c~p~a/c.s'- et ~n</n~e. 1819 Septembre 27 de l'Ode de V. Hugo. La VenCompte-rendu le journai dée, par )a Ruche d'Aquitaine, Gé. article Edmond signé (Edmond Géraud). « )) y a là tout a la fois poésie de pensée, de « sentiment et d'expression ». C'est la phrase citée par le CoM?'r:p?' du fr octobre. Ed. Géraud est heureux aussi de citer une phrase de le écrivain de i'éChateaubriand, premier « C'est la beauté du sentiment poque. qui fait « la beauté du style. il y a des délicatesses « et des mystères de )angage qui ne peuvent « être révélés au poète que de par la probité « son cœnr et que n'enseignent les prépoint « ceptes » de l'Etat. se?':?. /~< t. ), livrais. V.-M. v, pp. 161-164. cf. Odes c/ ~n~Hugo (cf. 5 février 1820) lades. La Vendée. ~4:'e C<'e?a?'. M«~'</M?'/ le salivrais. lutant, t, Oden, pp. 45-5~. Date 1819 Odes p< /«f/p.s', édition de l'imprimerie Namême texte tionale, pp. 41-45, que ['édition ne M«?'<c<;<7'. V. Hugo termine Le 7'<'7e'a~Ac cf. Odes et Ballades, édition de l'Imprimerie NatioH a commencé le 27 septembre nale, p. 479. cf. /6!'o~M!, p. 537. probablement 30 Octobre 1 Article <</<.s- de tobre 2 du la ~8~9, CoM?'?'!er Fcn</e'e: pp. 3-4. Les Des~r oc- du D?'a/)~«M Annonce blanc. Les /)e.s'/<M~' de la ode a M. le Vicomte de ChaVendée, teaubriand. Prix et 80 cent., 75 cent. franco de a chez Antoine Paris, Boucher, port, n° 34. rue des et Bons-Enfants, imprimeur, chez J. G. Dentu, 2 octobre Article de la /~e?!OMtMi<~<' sur cf. ta ~cno/Kwe'e, 3 octobre, · signé 0(1). Cette dernière rue imprimeur-libraire, n°S, et Palais-Royal, et 2ti6. Petits-Augustins, n°s 2()5 de bois, Le Drapeau blanc, 3 l'ode contre cf. le Courrier, correction est des gâteries i8i9. le même p. 439, de d822, sujet article les autres sont postérieures. notes sur la Vendée. quatre référence au lieude CHATEAumuAND~ Les Odes e< Ballades ont en ~)/~)e/t<<tce La ~e est exactement saut'ia les ~<r<yr. on reproduite lisait ~a~<y~, )iv. xx)v. La 2e et la 4e ont été ajoutées La 4e est curieuse et fait sourire. Elle suppose postérieurement. les allusions aux actes du ministère de 1819 auraient à V. Hugo elles que ennui, pu causer quelque « n'étaient le de On sait V. Fauteur M. peut-être que trop claires pour repos quelle importance, Hugo a attribuée ode. à son postérieurement La ;<e a subi une transformation « On f'enterra inutiie dans un pour le moins (M. de Lescure) coin de terre ignoré le soustraire aux de /'tMC~MMtH<t'oM )). V. avait écrit pour OM<r<!<ye.s' Hugo jadis « pour avec plus de raison le soustraire aM;e OM~'s~M et a <'ea;/<MM!a/<OH. » consacre une dizaine de lignes à M. Hugo, de Toulouse dont l'Ode (t) Le CotM'yter poète )auréat sur la guerre de Vendée a été inspirée la notice de Chateaubriand. Le plus beau titre des Venpar à. la reconnaissance déens dit le c'est d'avoir combattu et même vaincu des nationale, CoM/t'e~, H cite une phrase de M. Edmond dans la Ruche « il y a là tout à la Français. Géraud, <<)</M!<atKe fois poésie de sentiments, de pensées et d'expressions. l'on d'un des traits y remarque lyrisme » parfait. La /~eMOMtM!ee, après « M. Hugo, avoir cité l'article du CuM/'r/gr se lance à t'attaque. elle aussi « dit-elle. au risque de se faire huer, entonne la trompette en faveur des héros de )a Vendée. lyrique « Tant M. chantera sur ce ton. il ne fera la de la sienne. même que Hugo réputation personne, pas « La trompette de M. Hugo n'est Il endormir nous la croyons pas celle du jugement dernier, propre mais non pas à réveiller « les vivants les morts. Nous le ministre de l'intérieur de faire prions 23 ~819 Octobre :< Article de la 0;<o/ïf/<c?~<e (2 colonnes).sur la Vendée et le 7'e~t'ap/te de, V. Hugo. M. Hugo ne se laisse le dispas effrayer par crédit où est tombée la poésie. M entre dans la carrière en brave armé de toutes chevalier Il a recueilli à Toupièces. plusieurs palmes louse. Sa F~?:~e'e renferme de de beaux vers, nobles un vraiment mouvement pensées, Elle est dédiée à M. de Chateaubriand. lyrique. M. Hugo manie non moins habilement le fouet de la satire. Son Télégraphe, dans un cadre annonce de grandes et ingénieux, dispositions un véritable talent. Nous a pour['engageons suivre les bons vers et les nobles sentiments, MM. les libéraux, seront quoiqu'en pensent bien reçus en France. Le journal cite toujours ensuite seize vers du T'e/e~a~Ae. La Quotidienne, 30 octobre Le 12 p. [mp. satire, in-8, 7'p7e'a~Ap, Paris. Gillé, Paris. Dentu, Petit, Detaun.'y, 16 octobre 1820. (Signé V.-M. Hugo) (1). B. F. n" 3662. On le trouve à la table au mot Téléet non pas au nom V. Hugo. Le Télé~/?'a~~e avant le 3 octobre comme <~Y<~)/M fut imprimé de la ()MO~a!/eHne le prouve l'article cf. F. Hugo édition 1863. t. i, pp. 305?'acoH<e, 30(i (22 vers cf. V. Hugo racole, cités) édition t. i, pp. 287-295: cf. 6'a«?'<? )885. Jacobites de Victor-Marie Le T'e/e'~y'aHugo. du chez ies marchands p/ip. Bibliopolis, vieux neuf, 1819-1874, in-12(Poutet-Ma)assis) de Omprimerie cf.~c.?e< /~a</<ïf/e.s-, édition Nationate, pp. 474-479. t8d9. TVo~e/M~e 8 Article ./OMrna/</psZ)<*&H~ le annonçant « Les poètes CoH.s'f?'UM<gM?' /«e'a<?'c. vont a « la gloire comme ils peuvent. Les uns t'atta« quent ainsi dire de front; pleins d'une pour « ambitieuse confiance. ils inondent le Par« nasse du torrent irrésistibie de leurs 'vers. « Les « « « poésies du autres goutte dislillent a goutte pirations desrecuei)s pour ainsi dire leurs ils versent les insde leurs muses dans « « « périodiques blancs et jaunes verts, qui remles cabinets manière de lecture. Cette plissent de publier ses ouvrages offre plusieurs avand'abord on trouve ainsi le moyen de tages « faire connaître aux lecteurs une foule de « « « vers restés inconnus dans petits qui seraient le portefeuille: on ne perd pas un madriga) et les plus courts délassements deviennent « de la gtoire ensuite on accoutume le public « a. son on le harcète nom, par ses attaques « « « « au plus vite des patais dans construire et nous lui proposons tonte la Vendée de confier la direction n M. Hugo. de ce travail Nous ne doutons la du les toulousain ne reproduise pas que lyre poète miracles M. Ed. Géraud, de Bordeaux, admire M. Hugo~ poète d'Amphion. poète lacrymal beaucoup de Toulouse cela est dans l'ordre. M lyrique V. Hugo se sentit vivement htessé par ces deux articles il en parla dans sa satire le Télégraphe (' yacoK/ë~ t. Hugo (cf. p. 287). de F. //M</o T'Mco?t<e, 1863, cite vingt-deux vers. On lestrouve dans l'édition de 188N, ('1) L'édition a du vers ); vers 3e de la 290. Le seul a subi une trans289, p. partir jusqu'au p. premiervers En 18t9 et en 1885. V. Hugo t'écrit formation. ainsi Toi <eM< qui de Ko~yoMrA- peMa: fO!t/'oMr6' agissant. En 1863 il est devenu toi MM siècle C/ de sang. qui seul as ~JM~ dans On trouve dans t'édition de 1885 & l'édition de 1819. A la p. 29i, au quelques changements 4e vers </M'~ existe au 26e vers, mon remplace son (ce qui détruit ie sens). remplace ~M'!7 se trame; De plus six notes, dont l'une très longue, ont été négtigées. La première est une réponse aux articles du Courrier et de la contre OM<t;M~e la Renommée les Vendée )a 2<! et (1er octobre) (3 octobre) la 3e sont contre le baron Louis: la 4',contre un journal la 5e contre le ministère ;ia ministériel 6e contre un régicide de Versailles. N.-B. Notons en passant du Conservateur, t. vt, livrais. Lxxv. p. 46(!, que M. Agier, dans son articte 3 mars 1820, sur te Conserv. avait dit un mot du Télégraphe. /«., .24 16 '1819 A'o~eM!~<? un à la main, il ne peut se « gros poème épique ait commencé les hostilités «plaindre qu'on « sans le prévenir. Voici un nouveau recueil mais dans un but différent, « qui va paraître, « tes auteurs, leur gloire négligeant personn'ont en vue que l'intérêt de « nette, général «de la littérature. C'est une sainte alliance « formée cet par quelques jeunes gens contre novateur le Parnasse « esprit qui envahit pour « le bouleverser. Ce recueil aura pour titre le « C'o~.s-0'HM/eM?' ~!«e'r<7'e. Puisse-t-il comp« ter autant d'amis et. même d'end'abonnés, » f<nemisqu~teC'OK'e~ia<'<;M?'o~'<:</Me/H ./OMrHa/ des Débats. Rez de-chaussée 1819. R, 8 novembre ~/('7«M~('s signés et réitérées 8 on lorsqu'ensuite l'aborde nuverturedescoursa)'écotededroit:cf. .M?'?<H/ </e.s' Débats, 12 novembre i819. Décembre 4 G. DE PoNs. 4 chants suivis comte Gaspard Paris. B. F. ~OHx<aM< et Z)ï.s'e?'ë<e de poésies diverses, de Pons. In-18. Imp. Vve Renard Paris, 4 déc. 1819, n° 4162. et chez en poème le par Boucher, Boucher, Poésie. Z'nrd/eM?' ~'H<<?'e. Et la politique. lumière a lui dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont, pas comprise Zt'«e'?' (1). C~M.s'<<:< t. i. livrais. V.-M. cf. f, pp. 3-9 (Signé Jfugo) K. //M</n r~MM~ cf. 6'?-<s1.1, pp. ~97-:{04; de F!'c/or-<7'<? Z'6_a<M~/<e.s' //Mf/ /c«?'/)o/Mp. Bibtiopotis. chez les marchands de vieux-neuf in-12 1819-1874, (Poutet-Matassis), [d'après édition /a(/M, pp. 480-485. Œ'Mu?'e.< M. Vicaire] de complètes cf. 0<s- c< /~< Nationate, l'Imprimerie (/4Mf/r6'gC/te'M<e?'(2). on a reproduit entièrement )'.B'H?'(~eMy !) faut cependant (1) Dans V. //M<yo racoM<e Politique. un vers où se trouve une grosse faute Dans V. //M~o )'MCOM<e'p. 300, i2e vers, signaler d'impression. on lit « Ne crains les car la ~/tKe/'t)e. le CoM~eru. ~:«. disait brouillards, avec plus de pas toujours a Ne crains raison les &y'a?/<a)' la au A 22' vers. <?'auaMa; d'histoire 298~ pas (p. 6). p. rempfa.ee tableaux d'histoire. Est-ce une faute de copiste ou une correction voulue ? Dans ce dernier elle cas, n'est pas heureuse car les tableaux d'histoire vont bien avec les portraits trouve au vers suivant. qu'on Trois notes intéressantes ont été supprimées. Lafre irait Ide le vers de la page 29!) de après F. raconté. La voici « f'MtaMac/t des ~raMe6', une t'<;<0!'re de la C~OM'e <oM.s' les par ./OM/ et ce tas de recueils de sœurs des sont fête, connus «jours petits puinées MMA'-cM<o«!</e6', trop pour « les rappeler ici. La réputation des autres dont dans le courant de cette l'auteur, ouvrages parle « satire, est assez eMro/jce?MM se passer de notes. » pour qu'on puisse La 2e se p!acerait a la fin du 9e vers de la p. 300 de F. //ft</o /'aco/t<ë «Nous ne prétendons pas «'condamner mutuel. il Cette méthode être utile du ridicule a ta trouver l'enseignement peut a «' admirable Et le tn~)heurde ce qu'on vanLc Est. d'être ensuite ra.ba.issH. « Le temps et il jugera car c'est lui qui nous a fait connaitre l'excellence des écoles bien jugera, « chrétiennes » La 3" enfin explique le 20e vers, p. 301, de V. H. /'acoM<e « On a pu s'apercevoir que, depuis où cette satire a été faite, si les noms ont les choses sont restées les mêmes. « l'époque changé, la justice en faveur du Spectateur. La plupart de ses rédacteurs « Cependant exige une exception « étaient des hommes fort estimables, sitôt qu'ils se sont aperçus arrêtés, qui se sont qu'ils suivaient « la fausse route. M. Campenon, M. Laya, honoraient poète aimable, poète courageux, trop le MtKM« <e7'!a~M?Ke. » (2) Le commencement tout ~:c/e'e.s'~ c'est-à-dire de l'article du Conserv. 7.t«. n'a le premier a été § qui remplacé par un –25– pas été autre dans reproduit tout différent. Zt«. Voici et Philos. ce qu'il y /)eceM:~e 1819 livrais. i, 15-23, CoM~e?'u.Z~t.t, pp. E cf. Z<y<. et Philos. 7~6'/<'e~, t. signé pp. 121~30. N.-B. d'André de Chénier. OEuvres complètes lib. Baudoin, Pans.28aout.i8d9. )n-8, Imp. no 3068. -H 20 6'o'iA-eru. Va~'e' MOMM//M /t«<'?'a!?'e. L'une de ces va/.<«., t.), iivrais.i. pp. 38-3~. ~4 Vendre, 7''oK<s' de littéintitulée riétés !t en à V. Hugo. semble rature, appartenir t. m, livrais. ~<«., pariera plus tard (Conserv. xx), p. 22), avec trop d'à-propos pour ne pas sur un C'est une plaisanterie en être l'auteur. homme de lettres qui a une collection prétendu les parties de documents, sur toutes complète humaines. sur des des connaissances copiés de papier enfiiés dans des broches. carrés Le ./oM/'Ka< des Débats publie sous la signaun petit article ture K., au rez-de-chaussée, sur ie Co?!.s'e?'HM<eM?'<e'?'a<?'e. Spectacles. ~'o/K~eM?', Première dit ?'e/)?'e~pM/a~oK comédie en un acte et en vers de t. i, livrais.t, i, Co?~e?'H.Z<« deM.Royou.(i) pp. 30-35. (Signé H.) « Un jeune homme, dans le CoM~'e/ Litt. élevé au milieu du siècle des idées nouvelles, de avait sur la trace « ce siècle d'erreurs s'attache servilement des maitres. brillantes, remarquable par tant un tant un loin chercher « Egaré excès de modestie, comme d'autres excès de une par par d'orgueil, à « renommée il se livre des études les de amis lui solitaires prématurée, encouragements quelques « suffisent il traverse son siècle également inconnu à la gloire et a )a critique. Tout a coup il tombe fait la fait sa « avant le temps du moins a-t-il assez pour dit-ii pour je n'ai rien postérité, gloire, ce qu'il aurait faire. « en montrant pu il n'a manqué de Chénier, homme d'un véritable Tel fut André talent, auquel peut-être jeune « que des ennemis. » est reproduit dans Z/t«. et philos. MtMe'Mavec un certain nombre de changeLa suite de l'article ments Nous signalerons les principaux. qui ont leur importance. à la il faut remplacer 7.!«. et Philos. dernière mêlées, p. 121, </MOM. invective par f/M'OM ligne, méprise. « CAacMM de ces défauts on lit du poète est petit e'/re~e germe Page 122, 7e ligne et suivantes, « <<'«? /)e~/ec<!OMMeMeM< la » A la En tous cas, ces <<e'<:M<6' ne MM< point dangereux. poM/' poésie. dans le 6'OK~e?'c. Litt. <: CMCMMeconnaissance <<!<véritable M:eca?t?4'Me <<<; la poésie place on lisait » « française: ces défauts ~'o?:~ grands, mais ils ne sont point dangereux. si homme si Mt<e/'eMa/t<. cet homme de sympathie cet 12~, 5e ligne, Page digne remplace ont été ajoutées « 7~e?Kar~MO)t6' seulement d'Ovide 't24, la 16~ et la 17e lignes que /'MKf~e Page est ~azeMMe. celle ~M(<re de Chénier est cA7*e7teMMe. » la ont été négligées. V. Hugo s'excusait de ne citation, Page d27. Après longue cinq ou six lignes citer tous les morceaux Il se contentait de recommander les ne, 22~ et qui l'avaient pouvoir frappé, 39e élégies. meilleurs corrections de style dans le dernier Page 12'). i! y a plusieurs paragraphe remplace Avant ces mots: t;0!M <roMue)e~ dans ~yMO?t:?KM. D'ailleurs, NMpey':CM< f</Mtt)a<eM<~rempiace « Cela on a supprimé toute une phrase ne ~eM< point dire soit MM 6oK Chénier que voici ~M' ~M les le reste est auteur mais cela prouve MtOt?M qu'il avait tout ce qu'il idées, faut ~OMr <'e<re, » d'habitude. se termine « La poésie, ce n'est » Le par ces mots presque que sentiment. Page 130. L'article à C<MMe/'u. Litt. dit Voltaire. V. flugo avait-il, son affirmation, ajoutait: pour donner plus de force à Voltaire ce qui ne lui appartenait A-t-il voulu tard s'attribuer il lui-même une attribué plus pas? de Voltaire ? A-t-il craint de montrer l'affection On peut faire ces parole qu'il portait jadis à Voltaire? il mais est moins facile de donner une réponse. suppositions, n'a jamais été reproduit. V. Hugo essaie de rendre de la l''e représentation. (!) Cet article compte les uns, elle est une chute terminée en succès, selon d'autres elle est un succès commencé en D'après chute. On a murmuré dès la première scène et à la fin on a demandé le nom de l'auteur. Le parterre en partie était composé et en plus par les amis de l'auteur grande partie par les amis de l'adminisvoilà la raison de la chute et du succès. tration V. Hugo donne son opinion sur la pièce Notre est royaliste, et sera sévère; jugement Fauteur « nous vouions la pièce est maudonner des gages de notre Nous conviendrons que impartialité. 2R H 1819 /~ece?M~<; N.-U. Le /oM~eM?', par M. J.-C. Royou, comédie la fois sur le représentée première pour théâtre ordinaires du français ;)!u' les. comédiens le 18 novembre Roi, 1819. )n-8, )mp. libr. Le NorParis. H. )<\ 11 décembre; no 4250. mand, 24 25 Le Z)rappaM /Ma?tc annonce ies ~4?'c/<!uc.< </e la Z!</e/'H<Mre et des ~4y/6'. Hédacteurs Quatremère de Quincy, Raoul Vanderbourg, Ancelot. Rochette, de Feletz, Ch. O'Mahony. Nodier. ABEL Huo~. /«e'?-a<Mre y<'?'M.s'a/eyK (/e7!'H~'e traduite La /anp<.t;.s'e. par M. Baour- Lormian.C'OM~?'t?.«.,t.t,Hvrais.«,pp. et /'cHUte. T/Mt~ce Conte. Co/<.s'e/'< Zï«., 1.1,livrais, x,pp.46-47.SignëV.d'Auverney: )) y cf. F. //M~o t. t. pp. 261-2C2. ?'acoM/e, a trois petits au i2'= vers. <OMchangements .<aK~ ce~xg au 24~ vers, )'t< jours remptace au 37~ vers, MtM?'/MM?'a, remplace ~M~<tKf; M<M?'/MM?'n<7. Les Odes e< 7?M//<ï~es, remplace édition de t'tmprimerieNationate, pp. 4~7-418, du ont reproduit le texte CoMseru. ~ï«,, avec, en note, une variante des six premiers vers, d~r No-. et, a la fin, la date de la composition, vembrel8<7. 25 ït~/<ey'co«.Z'o/ytA:«e'eaH~/nt.'«\ La /t«KC6c C'<e?' de fortuite. </<' AaM~MC?'M007'. CoK.s'e?'t?.t«M't..t,)ivrais.n, (t) 25 « vaise. Cet aveu nous conte n l'auteur lui-même. ne coûterait nous peut-être plus qu'il Cependant « sommes convaincus déclaration ne lui nuira une haute idée que cette franche pas; elle doit donner « de son caractère, et ne peut diminuer la bonne l'on a de son talent. opinion que Personne niera fauteur n'ait et peut-être à eu une idée neuve en donnant pourtant que profonde « son /o?t<<eMr, l'ambition ce caractère, n'aurait été qu'une nuance secret, autrement, pour mobile « du ~/MaM</tyope. M. Royou n'a pas su tirer de la mine féconde avait découverte. ') parti qu'il V. Hugo résume ensuite la pièce. )) relève du plan « cette les inconséquences comédie est embrouittée sans être » rend justice au style, au dialogue conduit avec esprit, à la verve, intriguée. a ia facilité de certains )) cite des vers excellents et d'une passages. quelques qu'il juge fragments scène. « Certains vers. dit-il, ont fait murmurer M. les libéraux H termine une « dernière sur le style. Nous le répétons, le style de M. Hoyou par appréciation « est souvent celui de la vraie comédie. )i est malheureux ne suffise le pas. Voltaire, que style qui « savait comment on ne fait pas la.bonne a dit MKe ae<<o/t comédie, depuis /aM< longtemps qn'~ Pour achever cette œuvre du dcuton. de V. Hugo a été morcelé et Philos. en outre on l'a ptacé dans ~t'«. WfMëM; quand n'en a pas été reproduite. grande partie sur Leuwenhoêck, savante Hugo débutait (CoM.s'e/'M. Litt., pp. 47-48) par une page physioloanatomiste un il un mauvais malaise lisait livre. V. Hugo hollandais, qui éprouvait quand lui aussi ce malaise car « un n'est mauvais les sont des lieux éprouve peintures ouvrage que parce que « communs ce que nous avons lieux d'autres qui ne nous vu, et les personnages, rappellent point « communs, ne nous en rien ce que nous sommes. La médiocrité se croit trop grande qui rappellent « pour imiter: elle invente sans avoir observé. sans modèle; un bon ne travaittera peintre jamais « un mauvais De tous nos écrivains, le plus imitateur et peut-être peintre n'y regarde pas de si près. « aussi le plus original, c'est La Fontaine. Nous vivons dans un temps où l'ineptie pourtant présomp« tueuse et fait t'étourderie de avec cette on les prend candeur, l'ignorance pour l'originalité gémir « presses, spéculer les libraires et parler La foule l'homme de gout s'étonne le monde. en admire, « secret de i'énorme du bêtise siècle et l'ineptie est aveugle le talent se croit du talent. L'ineptie « observe voilà toute et, en vérité, la différence. » (CoHM/'u. Litt., p. 48). Charron disait: <<eMO<M et ?MOMM de donc: livres. oui, il suffit d'observer. /a/<M'/)hM Courage « Joignez a cela le génie, vous serez un grand vous écrivain, qui crée, l'imagination qui sait peindre « pourrez faire /M.~<M'<6'. » Courage. ~Com~et-M.Zt~ p. 49). V. Hugo terminait ce long début par le morceau a et Philos. été reproduit dans Lilt. qui mêlées, t48. p. (1) la plus V. giste et L'article –27– 1819 T~ce/y~'e Le 2< article est à la (A), fer article. 29 janvier i820. tv, pp. ~27-133, Les Vierges de Fcr~MM cf. par V. Hugo t. livrais. 4d-46. CoKAC?' Litt., n, pp. Voir au 5 juin d8~9. Signé V -M. Hugo. cf. Z, et Philos. -47-55, M.) (Signé t. i. pp. 137, 150. t43. 149, 138, 144, N.-B. t~a~cr Scott. de /br<MMc. Z'o~!C!e/' etc. 2 vol. in-12. Cosson, Puris; tmp. Paris, B. n< Nicolle. 3023. Walter Scott. F., 21 août, La ~'aMcee de Z.aMmerMtoo~ 3 vol. in-12. )mp. B. Cosson. Paris; Paris, Nicolle, F.,23 septembre, n' 3400. 55-64, livrais. 25 pp. Les .)/. C. tt « tous « « l'on « « gens « Vêpres 7)c/au/yy(c. Siciliennes, Louis <ra~)!<e IX, ~?' tragédie en venait à Watter « Celui-là ensuite Scott: a observé avant de peindre; cetui-tà fait dire à ceux qui l'ont lu J'en ferais autant Ce dernier notre est beaucoup dans un siècle ou bouche, étuge, qui parait peu de chose dans si bonne opinion de soi. a, en généra), Sir Waiter Scott n'était connu en France, il y a quelques de années, que d'un petit nombre il n'avait fait des instruits que poèmes. Sir Watter Scott partage dans un certain la célébrité des Paccard et des monde, aujourd'hui, il a fait des romans. Ducray-Duminil « Nous nous hâtons le tort que pourraient admirateurs d'ajouter, pour réparer lui faire de pareils « et de pareils collègues, n ont fait qu'accroître, les gens de goùt, sa réputation que ses romans parmi « qui est aujourd'hui de la gloire. Et en effet, les dix plus médiocres bon d'entre eux pages du moins « valent mieux bien de trois ans. Litt., que longs poèmes publiés depuis (Co~M/'u. pp. 49-50). Le paragraphe suivant a été reproduit, dans Litt. et PAtMM. c'est celui qui commêlées; p. 144, mence à la célébrité. Si «M sot parvient par ces mots Dans les deux lignes la l''s phrase « Watter Scott cache son nom sous le nom de qui précèdent, « Jedediah « H (W. Scott) Cleishbotham au Co~Me/'M. Z:< » appartient (p. 50). V. Hugo avait dit alors « a caché son nom célèbre « Je ne sous le nom obscur de Jedediah Cleishbotham. » La 2s phrase « vois pas pourquoi on l'en btame de » est 1834. V. Hugo continuait son article en racontant l'histoire des œuvres de Scott ~Co~'erc. Litt.. ne voulait les deux faisaient ie de sa imitant pp. 50-5)). pas analyser ouvrages qui sujet critique, le plan d'Alzire. it se contentait de t'apprécier: Voltaire, qui n'avait pu analyser « Watter doué d'une Scott, et beaucoup observé. Ses fictions vive, a beaucoup imagination appris <f sont toutes fondées sur des réalités. Il connaît les lieux décrit et les événements qu'il qui s'y sont « passés. Dans ses romans., tout ce qui n'est pas vrai est vraisemblable, et quand ce n'est plus t'his« toire des hommes vous c'est du humain. celle cœur Ses caractères sont bien lisez, que toujours « tracés et bien soutenus et si quetques-uns de ses personnages sont pris dans une nature un peu « bizarre, ils n'en sont pas moins dans la nature. La bohémienne Merritties et le /)e</<'A'MMH </M roi « (sorte de mendiants à la vieille reconnaissables leur robe EdieOchittree, privifégiés, bleue), E)speth « et t'~M/a;t< de la Nuit, offrent des exemples de ce nous Chacun Kanatd, avançons. frappants que « d'eux a de l'homme tout ce que ses mœurs lui permettent la peinture d'en avoir; et c'est vivante « de ces mœurs sur les romans de Sir W. Scott une teinte » qui répand singulière d'originalité. Zt'«., (Co;Meru. p. 51). V. Hugo montre bizarres un peu en dehors déjà ses sympathies pour les personnages qui sont du commun, en marge de la société. JI aurait été heureux de citer certaines son mais la chose est impossible habitude, pages suivant W. Scott il à être cité it Nous retroupour perdrait parce qu a pour qualité principale, l'originalité. vons ce morceau du Co?Me/'u. //t«. dans Littér. et Philos. 137-138. (p. 52), mêlées, pp. V. Hugo recommandait a son lecteur intéressantes tout en conticependant quelques pages plus nuant « W. Scott a un grand ses éloges il il excite le rire, émeut la pitié en même art; presque « temps; et la transition si le contraste est insensible. sûr et exercé, Son naturelle, parait que pinceau, « saisit toutes les nuances distinctives des objets semblables ou qui semblent tels a des yeux vul« gaires. Litt., (Co?Me~u. pp. 52-53). Nous retrouvons la suite de l'article Litt. dans ~t«. et Philos. (CoMô'e/'f. pp. 53-54) mêlées, Trois lignes seulement entre la p. 149 et la p. 150 ont été négligées. « Si la noble mopp. 149-150. « destie de Sir Watter Scott le rend bien supérieur, sous le rapport a Lady la mâle moral, Morgan, « vigueur de son lalent ne lui assure moins sur sous x A la le littéraire, elle. pas d'avantages rapport fin de la p. 150, deux lignes « Nous intéressantes ont été supprimées sommes persuadés que l'on dira un « Sterne et (V. Scott, comme on dit et CAa<MMjour déjà aujourd'hui: ~/OM~e~M!eM « 6/'M!Mf<. » Pourquoi a-t-on ce si de vérité le nom de Chateaubriand en supprimé jugement plein raison est probablement l'unique Le reste de l'article du CoH~'eru. une page environ /«. offre moins Litt., (C'OMM/'u. pp. 54-55), V. Hugo disait il d'intérêt. les deux romans dont étaient moins intéressants les ouque pariait que 28 25 jOcceM~e 1819 0 Ancelot. (Premier t. r, livrais. ~«., n, V. T/M~o raconté, t. a!tide)(~).C'oH.e?'t?. pp. 64-69(signëV.): pp. 437-443. cf. N.-B. Les en ~e~e.s' ~'tCt/ip/t/M.f, tragédie fi actes et, en vers. d ouverprécédée du discours ture du2" théâtre Delafrançais, par M. Casimir les du sur comédiens le par roi, vigne. représentée 2' théâtre le samedi 23 octobre 1819. français, Barba Paris. et Ladvocat. B. F., tn 8. fmp. Foin, n° 2" )) )t novembre décembre. 3838, 1819, édit., n'4291. en 5 actes, tragédie par M. Ancetot, ordinaires du roi représentée par les comédiens sur le 1" théâtre le vendredi 5 nofrançais, vembre 1819. tn-8, Mme Huet. Didot, Paris, Imp. B. F., 4 décembre, n° 4160. Louis 7. théâtre Second Spectacles. Mto~e?~ f/'it'M~gnce. actes et en p?'oxc par C~M trois e~ /M/- français. Co/He<<«? en /)/ H~o~Va?'~ gence. yAea<?'e uan6<ec!e du ~Mf<eu<7/e. en deux actes et ~~f..S'erre l'héâtre de Alexandre la /~oM~se/ Procida, des vers ~p?'ë~ et Ca~Mo~c/tp p<M La et ~'o?7t?!a?~6u/e, en /)?'o~'e par Delavigne. fo/e Cadet Saint-Martin, en MM acte et en parodie Du.S'!C!/<cKMex. /)a?' ~7~. (2). CoM~o' A!«., t. dont il ne veut le champ « Cet écrivain a dû nécessairement de W. Scott épuiser précédents vrages dans ses faces aussi va-t-il 11 a peint le caractère écossais sous toutes s'arrêter, « pas sortir. l'imposde de des défauts <'0/K:î'e/' /b/'<KMe.' pas de queiques-uns « sibilité d'aller plus loin. » indiquait a des autres. la assez des se détachant /t<Mce<'c~«MMK<MOoy pas de figures personnage principal, Scott a cessé d'être il « En somme, Sir Wafter admirables. charmants et des peintures fécond, détails » « n'a point cessé d'être original. mois plus tard. Cn une pensée quelques qu'i) a reproduite (~) V. Hugo a émis dans cette critique comme veut toujours la preau théâtre à ta page 67 du CoM~y' Z,t«. ailleurs, la trouve « L'amour, etdans Litt. t. livrais. d82u dans le CoM~rf. « mière ~On la retrouve )x, p. 35~,mars /«., place. a propos de cet Litt. et Philos. tout ce qu'il y a dans //M<ec~ e~ Philos. me/eM, p. 97, § tV. C'est article. )'artic!e sans trop de changements. t. i. pp. 437-443, on a reproduit Mais dans V. ~M~o raeoM<ë, « Dans Louis suivante: on a supprimé la phrase /A', elle est suscitée A la page 439, 18e ligne, par dans les Soudan saint Louis contre « Nouradin, en faveur de Almodan, d'Egypte: assyrien, prince on a l'indication la 20~ ligne, « V~prM elle est tramée 440, après supprimé Page depuis longtemps. » « haute et sévère du Ve ». 13'! ta Vte du IVe acte et la IVe des scènes conception ligne Page 44i, « il le traite » Page ce vers en et imposante. 441, au bas, après conception grande remplace son cri de « Enfin il est vainqueur et voilà « esclave » on a supprimé deux triomphe lignes » Nos tyrans ne sont plus et la Sicile est libre. « Procida /«. est suivantes lisait ainsi dans le Co?!.s'erM. les lignes Puis on a transformé qu'on il frappe il attache sans intéresser, il excite « trop farouche mériter i'étonnement., ('admiration pour le une « sans émouvoir. » A la page le premier annonçant phrase 443, après §, on a supprimé un prochain en appuyant dans « C'est cette assertion reste à examiner article, 2e article qui nous citations. » « toujours notre avis par de fréquentes dans Litt. et /tt<o.<. de V. Hugo a été reproduit me/e'M, de l'article p. 138, (2) Le commencement « On la snivante: A la 4e a ou on avec quelques phrase supprimé suppressions. ligne, changements une phrase encore forcées. » A la 8e ligne, on a supprimé « sent aisément les suites de ces alliances » A la 12e )igne, breton de Cow)ey. « Nous du propos un peu ne tirerons pas les conséquences »' cé)èbres. excellents « unité « uniformité » a )a 18e ligne, remptace » remplace des trois pièces est inédit. Tout le reste du compte-rendu i\)a Ire représentation d'<tM~M<'M<<Mtle ler<)écembre amrme-t-i~ 1819, assistait, V.Hugo 29 2H 25 1819 ~ece/y~'e livrais. f/t! n, pp. m~'M, N.-B. représentée 2e théâtre Foin, )mp. n. 4433. 70-76 (Signe H.): cf. /«. et p.~38. comédie. ~MOHteM<<MMp?'M~eHce. du Roi, sur le les comédiens par le t" décembre ')8d9. [n-8, français, 25 Barba. B. décembre, F-, Paris, ~o(,'?(<a. Cadet /~oM.e< parodie. représentée ~e édit.). le 23 novembre 48t9, 2' édit. (pas trouvé Harba. tn-8. F., 25 déParis, !mp. Hocquet, n* 4436. cembre, La 6'o?KMO?M&M/e, comédie vandeville. 1819. sentée. le 6 décembre )n-8, Imp. B. ')" Mme Paris, ))uet, F., mann, janvier n' 10. 28 V. assiste avec Adèle Foucher Hugo d'aM/g<. cf. Lettres représentation 28 décembre ~82i, /<0!?tc< p. li5. a la à la(1 -MP ~<«<7'N/?'e. ~oë?7:e en </«M«eMa;. cow/e ~'a7)po!.s' ~e'M/f /?'aMpa'(6. ~M.x ~<?' /~e.s' <?'0! trois chants </e 7YeM/c/«!/caM, MM/S' repréPorth)82t), f/'MM /)/. le p<!?' de /4c<?- de /rrc7:'y!'o?!, ~A'.s<o?tM<ï~'eA' Co?;f?-M. P. ~i. Fï'e!7/o'?'f/ (i). /~o~wc Lill., à celui des deux La pièce n'est mais elle serait meilleure si elle appartenait pas mauvaise /M<<e/tce. A. )'autre. auteurs de V. Hugo est en effet qu'un ouvrage composé qui est supérieur L'opinion par » « le mélange deux auteurs ne vaut rien de ia médiocrité et du talent déplait toujours. Puis il fait sa critique V. Hugo donne en quelques un résumé de la pièce. le ensuite, lignes, du genre, est plein d'esprit, le stylé, a.les qualités nécessaires les incorrections, sauf quelques dialogue sont brillantes fut mérité contesté. Dans couleurs et même le succès nouveiies, quoique légèrement de et le il a en effet défauts de vraisemblance et bienséance théâtraie le plan dialogue, y plusieurs le a lui-même que public signalés. « Ce joli vaudevi))e ressemble à ces V. Hugo est heureux de l'éclatant succès de /.a ~'OMMa?K<'M<e « (técorations fraîches et brillantes ie machiniste monte sur de vieux ou à ces ressorts, que plutôt « physionomies n'ont d'autres éléments de toutes les figures qui pourtant que ceux originales « humaines. a MM. Scribe et Alexandre n'aillent Que nos vaudevilistes par métier pas demander « Delavigne se le » leur secret ce secret )a ne peut c'est talent. communiquer, ne veut ce vaudeville. C'est un chef-d'œuvre où il y a bien quelques petit V. Hugo pas analyser invraisemblances et peut-être défauts ne faut pas enlever car incorrections, quelques légers qu'il « souvent, en on le déchire. » le tissu est délicat, voulant enlever une tache, quand )i fait ensuite un grand la tout montrant en littérature de en que ses connaissances é)oge pièce sont assez étendues. Peut-être même un peu de vanité. Le paragraphe est à citer dramatique y met-i) « il serait aussi en entier. Parmi la foule de scènes vives et animées cet ouvrage, difficile que présente « de trouver une situation froide est malaisé de trouver une idée dans la dramatique plupart qu'ii « des pièces la se succèdent sur nos théâtres. Le manière qui style rappelle quelquefois journellement « de Beaumarchais; du dialogue, les auteurs ne nous et pour la liaison des scènes et le naturel « semblent est constamment à Sedaine. ne ianguit et l'attention L'intérêt pas inférieurs jamais, « éveitiée, et le moment sans être fatiguée. Les plaintes de Cécile vous attendrissent, vous d'après )) « riez aux éclats des plaisanteries Voiià i'art tant vanté Boiieau. de Frédéric. par H adresse à une actrice fort aimable ensuite ses compliments aux acteurs et surtout dont le jeu H termine mots sur la Féerie est plein de gr~ce et de vérité. son article du Vaudeville par quelques des /< H croit 11 passe enfin au théâtre de la Porte Saint-Martin et a Cadet ~OM5M< P/'oe!</< que fes théâtres secondaires ne servent le et à avilir la littérature. t) parlera. pourtant qu'a corrompre goût /~OMMe/ Procida cette de Cadet que dans pièce il y a pour en extraire quelques jolis vers et montrer » V. Hugo cite de l'esprit « qualités ou elles se rencontrent. et de ia verve, que l'on doit priser partout il critique des jeux de mots et des ensuite une de vers spiritue)s et bien mais tournés, vingtaine triviales expressions qui sentent trop la farce. V. Hugo est évidemment d'une demie page (p. 76) qui fait suite à cet. article. !t y parle N.-B. l'auteur aux aux au non sans ma)ice de certaines ont ou vont t~at':<*<es, paraître ~'aM~OM, C~'</Me pièces qui paru 0~/Mp!<yMe. (1) signature L'article à la n'a pas été reproduit fin de l'article est dans 7,?«. à F, mais et Philos. la couverture 30 mais Mt~ëM, on trouve il doit être deV. Hugo. La E, une des initiales qu'il 25 1819 /)ccc/M~'e 1.1, livrais. est F., mais N.-B. A la p. 80 la signature n, pp. 77-80. à la couverture la signature estE. MMt<~<MM </OM«eMA', poème M. a à la médecin chants, Circnud, FranClayette (Saône-et-Loire) par M. le comte Paris. çois de Neufchateau. tn-8, tmp. Crapeiet, Lefèvre et 13. Paris, Delaunay. F., 25 septembre A la suite se trouve n° 3360. t849, une annonce des Poésies et des ~/eMto?'y'M~Mr diverses la vie. en Les trois dédié .*tKa; .M~MM/t«t/'e~ de /)'c7t~to/t, ~t. P. A. Vieillard, membre de la société !n-8, Ballard, thecnique (sic). !mp. Ponthieu B. Paris, F., 4 déc. (en vers). n~ 4210. par philoParis. 18~9, Ne lui appartenait-il de faire l'article consacré aux oeuvres de François de employait. pas d'ailleurs Il Neufchâteau. a prétendu fait un article sur les Fables de NeufchAteau Eo. B)HÉ, plus tard avoir (cf. '110 et comme l'affirme d'ailleurs M. n est V. T~M~o avant Cet Biré, 1830, article, pp. 112). pas dans le Conserv. mais V. Hugo ne voulait-il allusion au présent article dans lequel il parie Litt., pas faire des Fables de Neufchâteau. La Goutte Voici un résumé du petit article de V. ))ugo. Neufchâteau est très vient le occupé. Les trois nuits et la facilité distraire. d'un ont la gràce l'auteur des goutteux qui caractérisent Fables. V. Hugo cite quelques vers qu'il trouve d'autres sont pleins d'abandon et de poésie, fort jolis celui que Voltaire on y reconnait nomma son Aer!<!ey. )i compare Neufchâteau Ducis, a Benserade. Il termine des Poésies iittéraire attend diverses de Neufchâteau avec par l'annonce que le monde et des ~/eMtOtfM. de sa vie qui éveilleront la curiosité du monde impatience politique. à « L'auteur bien bien de Vieillard. ternes, V. Hugo'consacre quelques lignes vagues l'ouvrage « aux principes des doctrines fondées sur la raison destructifs des soi-disants et oppose philosophes « la vérité. La pureté des opinions et politiques de M. Vieillard nous aussi digne parait religieuses « d'éloges la décence et la modération avec il les est faiblement que lesquelles expose. » L'opuscule écrit. On n'y reconnait du poète mais les sentiments de l'homme de bien, jaloux de se pas la touche rendre utile. 31 III CHAPITRE 1820 1820 J~M~i~r 1 des Débats: V. Hugo lit le Journal 1" janvier des 1820 Journal Débats, livrais. tv. Conserv. t. t, Litt., p. 1820. 29 janvier 8 V. Hugo CoM<e<e?M 10 o cf. et le 148, assiste à la 2" représentation des de Cas. au 2~ théâtre Delavigne cf. CoK.s-cy'u. Z.:«., t. i, livrais. )v, français 157 et Journal des 1820. Débats, 8 janvier p. Entre le 1er et le clerc tonsuré, 10 le duc de janvier dont la santé avait Rohan, donné rentre au Sémiquetq''e inquiétude, H n'a reçu aucun ordre à naire St-Sulpice. Le 9 janvier il assistait au sacre du Noël. de Strasbourg: cf. de Croy, évêque prince lundi 10 janvier 1820. ,A)M?'na~ des Débats, N.-B. Le Drapeau blanc du 18 décembre avait )8i9 disait le duc de Rohan été que ordonné diacre le H décembre. à Adèle Foucher cf. Hugo à la fiancée, pp. 13-15. N.-B. Cette lettre n'est pas autrement datée. 4" est on il Le 1820 samedi mais est peu janvier V. récrivit ce elle est probable que Hugo jour-tà donc du 8, du 15, du 22 ou du 29. à Brutus. Poésie. Les ~OM.s' et ~'p~?'e les Tu. Lettre Lettres de V. 0M!et) /<a~a aplicaciones CoM su pan se lo coma 15 ~?'ay'< Con~?'H.Z.«.,t.i,)iv)'ais.m,pp.81-84 1820, B. F., n" 260. (signé Aristide). i5janvier cf. /.ï«. Philos. t. i. pp. 145-148 ?/ee.s-, soixante-deux vers exactement reproduisent le CoMxc?'~a<eM/ douze sont de 1834; soixante-douze ne sont cf. pas reproduits. V. 7/M~o raconté, t. i, pp. 304-310, trois mots seulement sont cf. Satires Jacochangés 6<~e. Les F~.set les Tu. Bibliopolis, chez les Marchands de Vieux-Neuf, in-12, 1819-1874. Littérature française. L'esprit Corneille le Comte François /)a?' e/<paM de l'Académie française, de Didot l'aîné l'Imprimerie (1). du Grand de 7VeM/e<c. De La page 119 (2e partie) et la page 120 (Litt. et Philos. la page 102 et (t) M~ëM~, reproduisent de la page 103 du CoK.!er<~eM7' une note de quatre avec deux quetques lignes (on a négligé lignes traduisant les vers latins du vers français deux commencement de la page 103). Les autres pages 92, 103 n'ont été 104, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 400, 101, (presque entière), pas reproduites. V. Hugo attaque les incorrectes de avides compilations quelques spécutateurs qui, il y a deux voulaient la morale et ne )) félicite Didot grâce ans, dépraver publique corrompirent que l'art (p. 92). à qui les chefs-d'œuvre de notre littérature sont devenus des chefs-d'œuvre de typographie félici« l'un tations aussi à M. le comte de Neufehtiteau de nos académiciens les plus distingués. Depuis « longtemps aux dissensions M. François de Neufchateau se étranger politiques qui nous tourmentent, « livre à d'estimables travaux son et ses infirmités ne lui faire abandonner. » que âge peuvent V. Hugo parle des récents de Neufchâteau ~M'at sur la langue et les écrits de ~Mca<. ouvrages a ./Vo<ce sur Ct< /}<<M (p. 93). Neufchâteau choisi en dehors des onze chefs-d'œuvre de Corneille des « comme morceaux excellents si le génie, dans ses écarts être monstrueux et qui ridicule, peut « pouvait l'or du être médiocre. » C'est tirer mais ce fumier là vaut mieux fumier, dira-t-on, jamais celui d'Ennius V. son affirmation, des vers de la que (p. 94). Hugo cite, pour prouver d'Andromède, la FeM~e. Il parle de la flexibilité du talent de Corneille l'idiôme de Marot et de qui perfectionnait .32 Un Samedi 15 ./<!M~<e~ 1820 Oon.<e7'u. (signé /.ï«. M.). P/o.f. 7~< B. F., N.-H. Le 2 octobre-)8)9. i5 EucÈNH Hu~.o. 6'<a?tces M. M.-E. Conserv. Hugo. IN janvier tH, pp. 84-85, à TT~/ta~/Me, t. t, Z.t«., 182U. t. ), livrais. ni, pp. 92-104 n° 260. cf. 15 janvier 1820, t. t, pp. H9-120. w~c.< livre de Neufchàteau F., n°342t. parut le par )ivrais. Conserv. J.-J.ADE!t.<e,parJ.J.Reda. t. ), livrais. ~ï«., Ht, p. 85. AhE). HuGO, ~'p!'y?'f<?MMtp, M. D. Mopar nicres. Co/t.s'o't). ~!< t. f, livrais, iif, p. 86. ABËL HUGO. Z,a fO!K/t!/pOf/tr!&a</C OM /e siècle. Comédie ~cc<<!c'/e ft/e?'H<.[< du XVIe M. de Lemercier, épique par Népomucène l'Académie Conserv. t. t, française. Litt., livrais. 1~ article. Le 2e article !n, pp. 86-92, est a la tivrais. -165-168. Les deux v, pp. articles sont signés (A). De <'e/o~Mf«ce et de ~o?t influence politique f/aM.s' les yoi«.'e?'?(6'/He?t<.</)o~M/at! et t'e~'eP. 6'. /.aM''eM«e, ?'e;<z<eM~ sp?t<a~s-p<ï?' l~artic!e ConM<'c'co/cjoo/y~<~«/;<c. (~. 15 Honsard et a su se rendre main'e de la langue a créée H cite comme /'<(~eAe/'te qu'i) (p. 95). preuve Il exprime son opinion (p. 96), ~'M;'e'Ma, /<t Toison << 0/ ~«t<N (p. 97). Tite et /~e?'eM<CM, /i/t<oM~<<e. sur les grands mots et les grands au « te théâtre gestes qui ne réussiront pas éterneHement goût, dit-i), tout » ce désavoue, Il donne réprouve quetanature quatre versdeThéophiiequii compareàquatrevers d'~lM<OMe~e H « ne résister au de citer des vers ou Corneille se montre, comme (p. 98). peut plaisir <f nous, attaché à cette n'est rien comme on puérilement sait, que légitimité qui plus aujourd'hui, « pour les têtes faibles a et dans ces vers il est facile de voir des aHusions à Louis xvm et a Les mêmes allusions se rencontrent dans des.vers de Lebrun Napoléon. d'Ulysse, repré(tragédie sentée en 1814) que V. Hugo est heureux de transcrire. Son approbation ne va pas sans une cependant « ses vers (a Lebrun) sont beaux ils sont emprunts d'un vernis de ce scepticisme critique, cependant « iaissé dans les jeunes têtes révolution toutes les croyances tant par une qui aébran)é politiques « que religieuses V. en Corneille i'homme H,iiil ose plus, il cite (p. 99). Hugo admire monarchique le poète religieux « Hien de plus magnifique de la traduction de /Mt<a<MH). et de plus (dix vers élevé que cette strophe » dit M. de Neufchateau. Il semble ne veut pas donner lui-même que V. Hugo il préfère son opinion, a mais il ne craint des es/jy!<A' 6'/)e(.'<'aM~ l'emprunter autrui, pas de se moquer hausser les 99 et H cite encore un tiré de )'W;MtOH qui pourraient épaules (pp. 100). portraitsatirique on trouverait aisément les originaux, vers d'une dont, dil-il, comt~Me e/e'f/te, puis quelques imprimée en 1664, car F. de Neut'chilteau « ce Httérateur aussi ce recueillir »,a a voulu distingué qu'il y a de plus dans les Poe.ftM diverses de Corneille remarquable (pp. )00 et '101). Dans /.t«. et Philos. mêlées la p. )02 et les premières de (pp. 119 et 120), nous retrouvons lignes la p. 103 du Co/txe/'N. ~eMte du Litt. ~e/e Co?Me/'M. /,t«., mais, p. '119, remplace En note de la page '103 du CoM.s'e/'M. At«. V. Hugoavaittraduit)esdeuxversiatins(p. 120)de/.î«. /'< Philos. « Nous traduirons a rendre mêlées. ainsi sans chercher les pompeuses de )'huexpressions K miuté du Grand Cornei!)e. li ne m'est pas donné, sur le double coteau, De suivre Chapelain, ou d'atteindre Godeau. V. Hugo termine son article en louant la clarté, les judicieuses les savantes l'ordre, recherches, le la des talent connu de Neufchâteau. Il annonce un nouvel de lui, critiques, Philosophie ouvrage avait et utile (cet n'a jamais vu le jour). Neufchateau /'oé<M, pensé, en ouvrage important ouvrage de notre V. Hugo un projet sur !793, a faire théâtre une école <f/tM~o?'y'e. n'ose discuter lequel « si ce Neufchâteau s'est trouvé d'accord avec l'auteur des Nous (Haynouard). ignorons ?'eyMp~?er.! « plan serait et si ce n'est que le mais nous pensons que du moins l'intention en est utile; praticable; « rêve d'un homme de talent, c'est aussi la chimère d'un homme de bien. (pp. 103-104). (1) V. Hugo n'a Au commencement pas reproduit de l'article la p. '104 et tes 3/4 de la p. dOS du CoMMru. il parle de son antipathie pour les auteurs Litt. latins et pour Cicéron 33 5 1820 ./f<e/serv. -L/«., t. B., 15 janvier t. i, pp. 106, 1819. i, livrais, m, pp. 104-109, signé cf. ~«. 1820. et /7o~. m~e' 108 avec la date 107. Février N.-B. Le volume avait en librairie en paru 1819: B. F., 30 octobre 1819. n" 378S. in-8, imp.fibr. Pillet en 1821 B. F.. 28 avril, nouvelle édition ou plutôt changement de frontispice. tmp. Paris. Périsse. Cellot, Paris, Mequignon,et Lyon, ~pc<ac/M.~ca</f'Mte~O!/a/e</pM<MA'<'y«f. en trois actes, tragédie /?/?'~Ke Olympie, de M~ ~aM< paroles ~/eM/a/by, de ballets de ~7. Gardel. sique 6'~o?:«7! 7'Ae~<?'e Me?ta7' /aH~a~ comédie en Le yK~M~ MK acte et en de Po- p7'o6'<;(l). H semble même se vieillir un peu car à l'entendre il y a longtemps en particulier. a fini ses qu'il aux ne fait mal. classes. Un peu de poudre pas yeux II se lance ensuite dans la politique. )t prend la définition de l'orateur Cicéron c'est d'après à la liste de bien habile dans l'art de parier. H l'applique des députés et il trouve t'homme peu il d'orateurs car ne nous dit pas le résultat de sa comparaison. Il se eux, s'il en trouve, parmi si Cicéron n'a pas pu transiger avec les principes, comme tant d'autres. En passant. demande ensuite )t remarque il attaque les députés du parti gauche les légers Basile, (p. 104). que Cicéron permet il un de à les grosses calomnies. en profite donner M. de Carrionmensonges, pour coup patte aux du milieu, faire des mauvais traducteur chevaliers allusions d'Horace, Msas, aux bats juste pour de aux du bord de t'eau Grenoble, (p. 10~). champêtres conspirations La fin de la p. 105, la p. 106, les 3/4 de la p. 107 sont dans Litt. et Philos. reproduits Me7e<<, et 108. avec additions variantes, pp. J06, 107, quelques petites suppressions. P. !06, 'l''e ligne. or voici P. 106, 8<! ligne. Fo!7c /JOM?' la <,wM~'aM/re~oM)' remplace ~Ke. et'e/tc'e </e <'o/'a<eM/' ~'e~oM Ctce'roM, M?' /M'o&iM </tcc/t<<t perdus, est ajouté. P. 106, '12e ligne. V. Hugo a ajouté une liaison ~VoM~' M'CK;o?M aMCMMe raison de croire les om/eMrs <!M<?'eque fissent P. Au lieu de Je w .s'MM/)<M CMer .s'M/' <~e't'c<?'e~a??!<ï?.< Me?t< que les ~Mery'te~ 107, 12e ligne. il <M que par des Ao?MMM pour Par les f<<ï?/:<'4'. KOM~ ~p ~'a/~wy avait respect pour /'ap/jor~e/ V. a Et terons la 17e un ici, ,')/fM6'/eM/ P. 107, après pas. ligne. Hugo négligé petit §: coMMe~e <6< <a/'(/ <:eM6' de wo/t père yt'M< Mt dire «Me chose ?MM~ ~awaM </M'/< trop trop /)OM?' que inspire notre cette chose peut ?tOM~' être «<t7e. conscience, ~o;</Me les pp. 108-109 ont été négligées. La fin de la p. )07du Co?Me/'u. Litt., Ces pages sont consacrées a M. Laurentie. V. Hugo latent de style, lui reconnaft véritable marche correction, feu, élégance, connait écrit pour écrire, un homme et nombreuse. C'est un écrivain Cicéron. périodique qui probe, animé de bonnes consacre ses veilles au bien a ta de la patrie instruit, intentions, commun, qui gloire un prochain article sur le même pas) il cite de Laurentie (p. 107). V. Hugo annonce sujet (il ne parut des traductions de Tacite meilleures que celle de M. Dureau-Detamatie (pp. 108-109). H. n'est mise qu'après Le ma/'<yM! ~e~'OMe?MM*ô' mais elle semble sur tout (1) La signature porter l'article des citations de Voltaire révèlent la Spectacles. Quelques phrases, quelques expressions, V. manière de Hugo. A propos il se plaint n'entende et ébloui car l'on est étourdi d'O~/Mt/JM que l'on pas les paroles et les décors. dit le critique, est un opéra tiré d'une assez mauestimable, par la musique O~ym~te de faite sur la fin de sa 11 des vaise tragédie vie. citations connait bien Voltaire, prouve par qu'il Voltaire. It bt.lme du ~/arfyMM d'avoir mis sur la scène l'auteur de /~o7He~a/ une anecdote qui si elle n'était voilée avec art aurait révolté la délicatesse du goût français et des mœurs On nationales. rira difficilement d'un homme avec la corde de son gibet; c'est un triste qui joue pour ainsi dire de dont il fait le comédie. Les en traits et personnage personnages, portrait rapide précis vigoureux, « on ne saurait sont peu intéressants. le dans ce le théâtre est t'écote des moeurs. répéter siècle, trop « Certaines scènes sont agréablement traits sont fins et naturels mais le sujet est écrites, quelques « défectueux et inconvenant. L'auteur a mieux nous ne le nommerons ce serait indiscrétion et fait, pas, « peut-être maladresse. » En passant V. Hugo a fait allusion au Ze'~a~M/'e de Regnard qui pour être un chef-d'œuvre aurait du ofîrirun but moral. est signée F., livrais. );[, pp. 115-120), La7~Me~t<<e~<M7'edul5janvie['(CoKA'e~.Zt<<t.i, mais semble V. s'il l'a faite en a la ne contribué. Nous résumons que pas entier, Hugo, y largement en appuyant sur ce qui nous parait la collaboration de V. Hugo. prouver 3-t k 15 .MM< 1820 6'on.s'gy<<«.,t. B. F., (signé H.) t.Hvt'ais.m, -) 5 janvier pp. 1820, d09-H4, n° 260. N.-B. comédie-vaudeviHe en trois 0/jy/M~tg, de )a actes, imitée Voltaire, représentée pour fois. sur iethéfU.re'te ('Académie prennëre royale M décembre 1819. )n-8j detnnsique.ie Imp. Didot: Mme Paris, Huet.B. F., 7 janvier 1820, n"9. 21 Le des Drapeau Archives blanc annonce de la Littérature Le marquis en un acte <<e /'oMeM~ comédie en prose Mme par Sophie Gay, représentée la fois à Paris les comédiens pour première par le samedi 18 dédu roi, sur tel'théâtre français, cembre 18)9. In-8. tmp. Ladvocat. Foin; Paris, le numéro et des ~t~ et )!.F.,l"janvierl820,n°9t. 29 assiste V. Ij,ugo Petites Z)a/!at</p.s': livrais, fv, p. 117. a la représentation cf. CoMA-e?' Z!'«., des t.. l, Poésie. inédite de Cacus (Extrait d'une traduction t'Enëide).MwprMKMM:.s'H.M.s'6'Ms/)CH.s'<ï)'M/ta'Mca</6'/)îce?'M~ew,etc.iivrev)u(t). Constant et Discrète, en 4 chants, ~Mt~t de Poésies le Comte de diverses, poème par Gaspard P~H.s'. (Constant et Discrète, no 4162, in-18. était B. F., 4 décembre, Boucher, paru en 1819 lmp. Vve Paris. Renard et Boucher). Le critique la gr~ce et l'aisance mais aussi la. négligence Paris, signa)e de l'auteur se un de'sa sa manière il est trop indulgent est trop qu'il garde peu facilité, inéga)ë, H faut se châtier sans pitié, il faut des sujets pour tui-même. plus piquants quoiqu'il y ait dans celuici de jolis défaits. Dans les Poésies il y a des passages d'une diverses écrits manière qui suivent, et t/O~e~'K/e quelquefois originale presque spiriluelle. 6'OM~7'é.s' d'Aix-la-Chapelle, sans toujours offrir l'entraînement et le désordre révèlent le a la sévérité du qui cependant style et poète lyrique, la beauté des sentiments la beauté des idées. qui engendre presque toujours Cet article, ne d'une une des raisons des relations certaine franchise fut peut-être qui manque pas entre G. de Pons et les Hugo. satire ~e<<e-MeM~f')'te Ed. Co'~të/'e. siècle, satire, (Le ~t~e-MeMCtéMte siècle, Par politique, Ed. Corbière de ex-officier de marine. Brest, Paris, chez Mtte Donnas, par tn-8, imp. Benaudière, et les libraires chez Plancher B. F.. 14 août 1849, n" 2926). ;\). Corbière est un é)ëve constitutionnels, du père Duchesne, de mérite, il est poète, un illustre il attaque tout le monde, d'abord prosateur pair MM. ia France a d'éminent. de Serre. tout ce que (Chateaubriand), Guizot, Villemain, puis Pasquier, Le critique s'amuse à prouver avec esprit'qu'il ne faut pas confondre l'auteur de cette satire avec ie du même nom. Peu tue a Paris, sa satire a dû être lue à Brest par les libéraux député philosophes viennent de donner tout récemment une si aux <<M scanbonne de <o<<a«<M/Ke qui leçon a/~<7'e.f M. Corbière ~f/~e est breton. Le Conserv. Litt. à. propos d'un une 2e fois M. Corbière )x. pp. 337-341) (t. ), livrais. attaquera les est L'articte poème, Philippiques /ywt~<MM. signé S. Le <<t2.?teMM!ë7Me siècle, à 11. le comte de f/'6[Mce; Genève. /e~?'a?t(/, Rosset, ~~re pair par M. Hosset, dit )e critique, est un honnête et dont nous homme dont nous les opinions partageons honorons le caractère, mais son style est faible cite et son ouvrage médiocre. On vers, quelques « contre nos jeunes radoteurs n'étaient hier des rhétoriciens et se donnent bien qui que aujourd'hui « de la peine des rhéteurs. » Cette si l'on songe à l'âge des rédacest curieuse pour paraitre phrase « La teurs du CoM.s'e;'c. Litt. Voici une autre où le de V. nous se révéler. phrase style itugo parait « satire du </M?-K<'M~ë?Ke à l'eau siècle est a encore a faire; M. Bosset est un satirique de rose <: M. Ed. Corbière n'a trempé ses pinceaux )e fouet sangtantde Gilbert? 9 Qui saisira que dans la boue « tt s'agit de tendre t'arc de Nemrod ou est t'athtëte ces vers ? Espérons quoique qu'il se présentera: « de M. Hosset ne soient que trop vrais Si parfois un jeune honunu, épris d'un beau deth'M Ose monter t'ëgase et manier ta. lyre D'un insolent ses vers, mépri-s on accueille » Et, ses nobles transports passent pour un travers. V. Hugo ne se plaignait-il les dans sa jeunesse d'être méconnu et de ne pas recevoir pas toujours son talent. éloges que méritait //<!&M.s' <<e6' ~o~ et Detaunay Satire Paris. Aimé André Paris, par (In-8, imp. Feugeuray, )!. F.. 18 septembre n° 3324). L'auteur son salut d'honneur à M. B. C. (Benjamin adresse 1819, « de le célèbre Cette satire aussi dénuée de poésie Constant) pourvue publiciste qu'abondamment « calomnies et d'injures est dirigée du caractère les contre les hommes a la noblesse qui joignent « distinctions » du talent. (1) /M/M< Voici vers les 18' changements apportés il prend saisit remplace F. vers 13e, raconté, Hugo p. 236, ce K0t/ vers 25e, le MOM' rempiace 35 laissant p. 237, remplace vers 24e, 29 1820 ./(!M<er t. i, livrais. ~«., <v, pp. 121-123, V. 29 janvier 1820 cf. Signé d'Auverney V. Hugo cf. ~yce'f t. 7'acoK/e, pp. 235-238 t. t. livrais. 106-108. ~4r~o?'!M<H. )!, pp. V. Hugo (B. F.. 1~ mars février 1823 Signé Le texte est celui du Conserv. 1823, n" 994) de t'imcf. Odes et Ballades, édition Z!«. Nationale, primerie pp. 396-398. C'o/:se?'o. Z!'«..t. ~'OM.7)M6'<'M«?.COH~e?'H. ),)ivrais. iv. pp. 123-126, 29 janvier 1820 E). (Signé cf. Lill. et Philos. M~/e'e.s-, t. <, pp. 160-i63. Aucun c'est le seul changement peut-être morceau ainsi reproduit. 29 AB). HuGû. La Jérusalem duite par M. Baour-Lormian Les Littérature ~e</7'MMpa<A'p. F<?/e.s' A). C. /teMMe. tragédie, par Deiavigne. M. 2e et Louis Ance~ot tragédie, par dernier article t. ), !ivrais. C'OH~'u.Zt~ (l): sans 133-145 iv, pp. signature (le !<article se trouve t. f, livrais, la n, pp. 64-H9, avec cf. V, 25 décembre T/M~o signature 1819); avec la date 1819. t. t. pp. 443-446, raconté, tra</e7<u?'<'e, Co?!6'e~'u. Z:«., t.i,tivrais.!v,pp.l27-')33,2'=articte(A). Ze«?'e.f .!M?' la nouvelle <?'a~MC/<o?< de la ye?'M~M/eM: délivrée, par M. Baour-Lormian. C&M?'U~0?M .S'M~' la ~'<Ï~MC<!OM en vers de la ye'?'?<a~Mt Con~e7<'u?'p'e, par M. G. G. .<<«.,t.t,iivrais.fv,p.'i33(A). et politiques morales sur les Réflexions de /K yH07ia)'c/<e. avantages par Mme C. de M. CoM~'u. t. <, /.<«., (1~ article) (2) vers ont été compiètement remaniés: on lisait dans Mtoy'Me~ remplace tristes p. 238, les trois derniers il contemple la forme. 7/ voit ses yeux le Conserv. ~!«. /)e ses membres hideux <aM~~M~, et lit ses feux ne redoute ses flancs noirs velus. expirants plus. qu'il le manuscrit, édition de l'imprimerie ont donné Les Odes et Ballades, Nationale, (p. 397), d'après au texte. une variante plus conforme du 2s article commence au milieu de la p. 443~. On a //M~o raconté). (t) La reproduction liaison deux aiiusion à un de sur les et les la entre les articles Sterne hottes chapitre jarrenégligé On a des et tières (pp. 133-134, Co?Me/ entre C. des Litt.). comparaisons Anceiot, négligé Delavigne il propos aux deux auteurs, des critiques des portraits, des caractères, du style citations empruntées vers d'Ancelot: V. Hugo lui reproche des phrases traînantes, des 135, 136, 437, gauches (pp. 134, Deux l'une de l'autre de Conserv. C. Litt.). citations, Ancelot, Litt., iongues Deiavigne (CoM.<e/'c. ia ont été laissées de côté. Les suivent citation r~coH~. quatre lignes qui (V. 7/K<yo pp. 438-139) les pp. HO, )41, 142. <43 et la moitié à la p. 443 du Co?MC/'u. Litt., résument de p. 445) empruntées « Anceiot: une il disait: la p. 444 du Co/t~'t?. Litt. citation Ces après V. Hugo y critiquait longue « vers ne présentent ni force, ni chaleur, même une ils sont harmonieux et ce pas coupe pittoresque, « n'est encore des vers durs a vers Dans selon nous qui préférons des faibles. ce morpas beaucoup, « ceau tout est vague et confus, on est obligé de le relire fois se faire une idée de la plusieurs pour » Il insistait sur la manière « scène ensuite ferme, vive et précise, les vers qu'il représente (p. 141). d'action et de mouvement, les scènes les images de grandeur animées, pleins pittoresques, admirables de C. Delavigne. de V. sur les et de vérité Cette les vers Hugo coupes appréciation pittoresques, a noter faibles et les vers durs est intéressante ainsi contre une qu'une attaque imprécation hyperà V. et usée employée en essayant de bolique propos d'Anceiotf'CoKse/Zt~ p. 143) Hugo continuait d'une accusation de plagiat. H n'a Louis /A' dans les laver Ancelot de écrivait-if, pu copier, /y~ /~Y</6HM les fers, en cinq actes de M. D. Noubel. M. D. in-8. (Louis Imprimerie tragédie Agen Ledoux et Teuré et aussi B. F., 5 septembre sans valeur, autrement Paris, Delaunay. 1818), tragédie la pièce de cuivre se serait d'or dans la poche du voleur, ce serait en pièce tout le contraire changée a-t-il du vieux conte arabe. Peut-étre du renégat ne trouve cependant pris le personnage qu'on pas V. dans les ~'MOtye~ du temps les affirmations d'Ancelot. en passant malgré Hugo rappelait l'épopée il en citait vers à propos des Vépres du Père Lemoyne, St .LoMM Siciliennes jLt«., quelques (Conserv La fin de 144-145 du CoKA'erM. se trouve 445-446 l'article, Litt., pp. pp. ( 7~~& pp. 143-144). avec quelques petits y'ac~M~e) changements. et Philos. on a seulement et la moitié Mte/f'M (pp. 67-70) les pp. 't45-146 reproduit (2) Dans Litt. de )a p. 147 du Conserv. Litt. avec quelques changements. Pour les pp. 67 et 68 de Litt. et Philos. il y a simplement deux corrections de style sans mêlées, 2e « CM <'oM et Philos. à ia suite de la on lisait encore Me<eM, p. 69, Litt. ligne, importance 36 29 ./a/t~<e/' 1820 145-150 B). Le 2~ article i\pp. (signe au t. j, livrais. )X, pp.341-350 (signe)!); et Mt/o.s'. (i7-70et Zt«. w<?/ pp. livrais. est cf. p.)05,<'?t</«.<;«;. i\H.– /fr'/j!cj;;0/<Mtt)/'a~.<e<</<«/M<A'M<' /e.rtt;<<<</('.s'</e/MMto/tM/'c/t«',)~)i'~))heC.~eM. in-8,h<iprin~et'iet)i~o~,P:)!'is,f*)!ex).teur.i'ue dn)\)on,nf[et<;)~x!.eNot'nim)t.U.)'20tn.n's no )?< )!)' !\)tjjeC.f)eM.qui,nonsditV.I!H~o.est.une M«/'a('Co/<f/'<<'<'<t..i. p.').4'))ct!)it.uneciEHeavtnt la devan). épousé pendant. religieuse. de i\ieoias CLarnbon inefJe)<é\'o!ution~ Montaux, 3 décembre de ein,niaire ParisapresPe).hion,du de t792 au 2 février ')7f)3. CesHui qui fut chargé a Louis XV) sa. comparution devant ]a signifier 2) était, maire de Convention.)) t'aris,ie janvier, de i~ouisXVf. Ces faits curieux de t'exécution jour d'être méritent, je crois, signalés. 7~'eMK~'e </<s' 6'/je<;<~c/e.<. ?'~)/'<s'e/t<a<to~ comédie en cinq actes et en vers de 6'o?/)e'e?).<, ce o?( <'OM/)tM<OK/te après ,/M~/Me .s'?M' les <ot~ »; p. Ci). d8e ligne, c<HMpM'e./tM</M<' sur les bancs, « saurais dire tous les M!aKHn!6' reue.< celle Je ne MKt<, que ~'a?' l'aits qui 7M'e'NOK~aM<e on lisait en être d'MM des PETtTHs assisté hier à la auoMD~NAfDES, pièce )'e't'jeM< qui rep/'MeM/a~to/t après Ponseca 49 et 20 Fonseca /«., (Conserv. p. 69, lignes remplace (1) /b?'< ?MMMi)a~' e.Ee/Hp<e M'' lisait rue 4. au lieu de /~Me ~<ërM, ?« ~0, on (?MtKca?~o~, p. 69, 28e ligne, p. 147) t! rassure Mme de V. n'a une courte de ce Voici maintenant pas réimprime analyse que Hugo son sexe: le droit d'écrire et il n'a voulu M. il ne veut pas lui interdire parler que pour)'honneurde du sait lire. de Voltaire, et l'on dirait notre on ne « On ne lisait plus que (Conserv. plus du temps ou moins nous ne nous ne sommes comme « Litt., savants, plus plus jadis p. 147), aujourd'hui le Caton t'Ancien Le professeur « sommes d'Utique, prend pour Calon que plus ou moins ignorants. » « bachelier Titus /,t«., p. )48). prend pour Néron. (CnM~e/'f. des auteurs l'érudition: elle ne cite a Mme de M. a de Il fait un petit reproche pas le nom qui « i1 donner sur iajoue d~un auteur, les idées. Cela expose le critique qui se dont elle met en œuvre » dit un souutet a Ilorace ou a Virgile, comme « présente comme Montaigne. ~Co/MM'u. inconnu, Litt., p. -)48). du journal ont refusé de se tons les critiques Ce piège tendu par Mme de M. a été vite reconnu toute ma vie dans m'a été adjugé a moi hère qui. ayant du )ivre et « l'ouvrage passé pauvre charger sorte devenu comme un livre ambulant. Litt., les livres, suis en quelque (Co?Meru. p. )48) cela veut moins on est galant; moins on est gâtant, « dire que je suis vieux; et. plus on est plus on est vieux, valait. la des vieillards de notre ma vieille mais s'il faut en croire <: sincère. voisine, temps politesse )) (CoH~u. « encore mieux /«, p. 449). des jeunes gens d'aujourd'hui. que la galanterie mais le lecteur voudrait des principes de Mme de M. dans un prochain V. Hugo parlera article, M. doit-on la de Mme de Dans quel parti savoir « puisque politiques ranger quelles sont les opinions » France. au de en « nous en sommes venus Litt., (CoM~ru. p. ~49). point n'avoir p)us que des partis a été dans/«.e<~At/o.f.Me<K'M, Lerestede)'artic)e(CoM6'erM. Litt., reproduit pp. )49-)SO), !c ligne (/.?'«. et P/t~ox. curieux sous le titre 2''aM<aMte avec me/e'e.s'), quelques changements p. 105, 3e et ce veut ~Me <<e ont lit dans )e CoM.ferM. Litt., au lieu de ce que je veux, ligne (/«. que le on lisait dans V. Hugo a supprimé une phrase. Philos. Après //f/.y'aM<te6' po<M' le peuple mêlées) e~ me~te « et rt ce/a~e ne vous aurais y'M/t dit si je ne vous f/y<M!aM Conserv. Litt. <eM~' </M6 M!~t.'<' encore de c'e4'<-<ï-<e elle le veut Mo/t ~eM<ewe/'< de bouche eMt<7'. ce que veut ~7M!e de yV., et Philos. au lieu de « et fM ee~s./e ~Mt~ f/y~'<Mt< 4e ligne (Litt. est ultra w~M), (p. -i49) qu'elle « A'< en c?/a ~He de est &?'eM c<t/ le CoM.s'erc. Lill. AoM?~e~ de certains 'yeMA' » il y avait dans AoMHfMM f/eH.s' rente (p. 150) <<e certains rew<ty'</Mf '/Ke /)0!<r la ~o.s'<<)'t<~ (je ne /aM cette du MMM <MO?t Co'Mert;. Aî«., ~e ligne (Litt. et Philos. ~/v<M(< OMC~* rcmp!ace /'e!t ~ë/'c M~ce.s'), /eM p. 130. 7~HaMe.< ou <yMu<re-C!~f/<-f/M:-?teM/' H<e<i//ie~. ))nit!ition bur]es<;o-tragi-corui-dicLbo)ico (1) Les petites sur le théâtre etc. M. ntûtee de danses, Gentil, des vaudevilles, de l'opéra Z)a;MK~ par rup!'MSe)]tëe H. 25 décembre F.. le ~4 décembre ~8~!). )n-8, Paris, Porte Saint-Ma.rt.in. )'a.ris; )n)p. Cussac, Fages, n'i847. R. 20 mai )820. 2' édit., imp. Nouzou, Paris. Fages, F., n" 4437 Paris iucric de la )8)! 29 1820 ./f<y<~<c/' M.Casimir f, Dektvigne(t):6'o/<.s~'t7.«.,t. iSO-~88 livrais. <v, pp. (signe Jf). N.-H. Les Co/MeWieM. en cin~ actes Comédie et. en vers, précédée d'un eu prose par prologue M. Casimir représentée par les coméDetavigne, diens ordinaires du roi.sur )e2c théâtre français. le jeudi. 6 janvier t820.In-8,)mprimerieFain, Paris. Barba et Ladvoeat: fre édit.. B. F.. Paris, 29 janvier, no 360; 2e édit.)!. P.. i9 février. no3(H:3eedit,B.F.,i3mai.))<i.t3. entre le ter et. le 2'' théâtre. Ce dernier travaille avec par une comparaison (1) V. Hugo commence Le 1< théâtre ti doit y avoir succès. ne fait rien. au moins un pouce de poussière sur les zèle, talent, manuscrits inhumés dans les vieux cartons Ce début amené très //<«., pauvres (CoH.K'u. p. 150). naturellement le sujet traité C. les ridicules des comédiens. par Delavigne, n'a l'attente des spectateurs « Une grande une idée essentiellement pas L'ouvrage rempli idée, « morale devait donner la vie à l'ouvrage de ce jeune l'insolente des comédiens homme ingratitude « envers les auteurs les font vivre est une monstruosité assez mériter tes honqui remarquable pour « neursdetascène. » H aurait fattu avec « l'ignorance la cela montrer des jurys comiques, « bassesse des intrigues de coulisses, des comédiens et la vanité des actrices t'égotsme voyageurs « ambulantes, le despotisme des sociétaires sur les pensionnaires, des acteurs envers les ta tyrannie « auteurs, la haute et même exercée sur les uns et sur les police par certains grands seigneurs « autres. En un mot il fallait nous montrer les rois de la scène absolument tels qu its sont dans leur « intérieur, domestica I) ne du de tever un coin il fallait déchirer ta toile rideau, /ae<a. s'agissait pas « et. c'est. ce que M. Delavigne n'a point fait, seu (<e&!<w, ~M</MM<M/ ))(CoK~e;'M. Zt«., p. 151). V. Hugo fait ensuite une analyse de la pièce (CoMM/'u. Nousretèverons rapide pp. 152-154). ~:«., V. Hugo a du écrire seulement avec a cause des allusions phrases quelques que plaisir qu'elles contenaient sur sa situation et ses de bonheur. présente espérances « Victor, de haute aime d'un rare talent et d'une jeune poète espérance, Lucite, actrice, jeune vertu rare encore plus De la beauté, vingt ans et pas (le cachemire (p. t5S). « On doit jouer une comédie de Victor sur le succès de laquelle est fondé tout son espoir « d'épouser Lucile dont il est aimé. a .La réussi et son bonheur est comblé (p. 152) pièce par son « mariage avec Lucile. (p. 154). le résumé de la pièce, V. Hugo ajoute « Ce plan bizarre autant et. embrouillé de Après exige « critiques le mérite Un animé et semé de traits heureux et de que style d'étoges. dialogue, piquant, « pensées épigrammatiques; un rote entier, de beaux vers (celui de Victor, rempti que David récite « avec chaleur mais une correction les Co~eune étégance soutenue, continuette, trop vite); placent « <eM.< au premier sous le du comédies les Deux les rang rapport style, parmi représentées depuis « Gendres » (CoK.s'eru. Dans les trois V. Hugo fait de nombreuses Zt«, p. 154). pages suivantes, citations « te style soigné, le dialogue naturel » et parfois un mérite d'observation pour prouver « rare surtout chez M. Delavigne. » Les appréciations de V. Hugo ne manquent de et il pas justesse » (CoHt'e/'o. avec raison des vers « jolis de fermeté et de chaleur. », d'autres Litt., signale « pleins pp. 156-137). La dernière citation de V. Hugo est une tirade fut très applaudie et qui, a la !<' représentation, « Qui sert bien son renferme le vers connu d'aïeux ». V. Hugo accorde pas besoin que pays n'a « ce vers et ceux qui précèdent « sont assez bien tournés » mais à son avis ils ne méritaient pas les « honneurs du bis qu'un de jeunes sots voûtait leur faire obtenir. Nous nous félicitons troupeau <f d'avoir il la vérité, à ce que l'auteur contribué avec une portion du parterre, bien faible continuât « son rôle. » (CoMM/'f. non pas à la Litt., p. 157). Nous apprenons par ce détait que V. Hugo assista 2': mais à la si nous en le récit fit le ./OM?'a< des te .8 janvier j" 1820, représentation, croyons que Débats des deux 1820) à moins premières représentations (cf. yoM)'M~< des /a~, 8 janvier que V. Hugo n'y ait point assisté du tout et qu'il ait tout emprunté aux Débats. V. Hugo profite de cet incident à C. Detavigne de supprimer le rôle de Utinvat. pour conseitter « Si ce personnage est destiné a représenter it ne saurait les royalistes être plus pitoyablement choisi « et la suppression d'un aussi triste rote ne sera pas une grande perte. » En terminant V. Hugo résume sa critique la versification est brillante avec quelques taches et nous vers de mauvais le plan est compliqué, l'action est nulle, « C Delavigne quelques goût, pro« mettait un tableau de caractères, il ne nous a offert il avait à nous de portraits; qu'une galerie « montrer les mœurs des comédiens, il ne nous a fait voir que qnetques-uns de leurs usages; il devait « dévoiler il n'a mis à découvert, » ~CoM.s'erf. teurs tracasseries. At«., intrigues, que leurs p. 158). Les dernières à « M. de l'article sont retenir Nous ne soit lignes craignons que Detavigne « dépourvu des deux qualités auteur il a du mouveles plus essentielles au théâtre. Comme tragique, « ment de comme auteur il a de et semble, et manque sensibilité; comique, l'esprit point de gaieté. -38- y~M<;«~' 1820 30 M. t'abbé commence ses conféFrayssinous cf. Le rences ordinaires à Saint-Su)pice 27 janet La ()Mo<ï~t<'KMc, Z)?'Q!~eû!< 6/aKC vier 1820. Z/.4Mt ?'e/OM (n" 573, un résumé de cette confédonne pp. 390-393), férence sur les ~e /t<M /)?'<MC~a/e.s' caM~e~ e?'?'cM?'.s'. /~e~e/' 5 a de la Les ~M<M< KeM</ë'e, Ode dédiée <on6'e~. M. le vicomte de Chateaubriand v. pp. 161-~64. t,. <. livrais. Litt., V.-M. Hugo 1819. cf. 25 septembre « ainsi ce joyeux que le disait «/ttt'n<e.))(Co?Meyt?.«.,p. N.-B. de chaussée critique, d'étrange et infortuné Wi'.s'/oo'e <<c /yY//<c< f/c'/x~M/ë par .\)M. Véet Dut'au,ornuc de plus décrois )y,Vinaret. cents gravures, de C~a~M 7~ (suite /Me et fin), t. xxx, Paris, Desroy,article (i): il semble Scarron, que cet AoM/He M M'at< Mt eM</w7/M 158). au rex Le 8 et le 13 janvier sous ta signature de C., a donné 1820, le ./OM/'Ma< <<e.s'Débats, deux articles sur les Co//tf(<ie/t.<. V. Hugo n'a pas du lire le second avant sa d'écrire au premier ou bien mais il a fait de nombreux C. et lui se sont rencontres emprunts manière. articles une allusion au /o/oy<(e la pièce de C. Delaqui précède identique tt a de ressemblance les deux idées et débuts comme pour A<«., p. 1S1). y beaucoup vigne (CûM.s'e''u. Les idées de ftc~e~tt, Ae'OA' et Ae/'OtKe. en (<M/ta<'t7/e'.<, e~ habits comme expressions. &MM'</eoM,' (Les les t/OMte~t'ea et)e coMt de ?';(<eaM de /«.. (6'o/Me/'u. /'a'M A~. Hugo p. 131~. La Z)e6a<.<) rappeftent ua/tt<e f/M <t(;<<ef~' a?M~M/aM<e6', .<a e/<ue~s' /e.s'~tt<<'M/ <aMMte~eA'~(;<eM7'.s' .tM<o~M<eMt.M<tles o.MfeMys (CoM~'eru. à, la co</Me«er!e de ces <M~e des <;o//te<<<e/tA' e/tuer~ Litt., p. 151), font pendant des est 6~a/<' et. </a?MeA' aM~; /<<'<e/t</OM&' CA'a~o'M.s' sujets (/)e'/<f<<~). Ae /~<a?t ~e?Ktf7'A' dit le CoM6'e; Zt/ Z'ae/M/t est e/K<<a~<'MM'e de détails OMeMA' et eMt~OMt~M, (p. 134). un t/<e.'e/~tCf<6~e <ftMe/</f/t<.< c'est affirment les Débats. tM~y'o~/to, surchargée ?'6'?MfMte~</M<s' certaines Dans les Débats, Fioridore V. Hugo a retourné les rendre phrases pour plus harmonieuses. V. un Il devient sous la de de était /)/?H?'e/' p)ume Hugo M/t ~'ett~c yMtM</MM</eMfw<' ,/eMMe /e//t?ey. des /~f7,<;< sont a propos f<M.s' (6'o/Me/'u. les citations de Litt., p. 15J). Toutes reproduites C!«</t<a/t<e La narration de Ftoridore, de Bernard~ etc. mais parfois elles sont allongées. des applauLuette, tibéraux à la 2e est faite dans les mêmes termes. V. dissements représentation presque Hugo la draun peu en se mettant lui-même en scène. Nous retrouvons les mêmes a propos de matise expressions « David a mis beaucoup mais a trop son débit dans l'acteur David. de chaleur, le rote de précipité « Victor les Débats. « Le rote de Victor David récite avec mais » affirment chaleur que trop vite », /-t«.. écrit V, Hugo. (Co/t.swf. p. 1S~). il a voulu V. Hugo ne s'est pas contenté de lire l'article des Débats, de lui taire des emprunts, y et littéraires dans une note a mise au bas de la faire des corrections historiques qu'il p. 154 du « On a observé, avait veut cette idée Co/t.s'erc. /,<«. dit-il, que M. Delavigne emprunté (V. Hugo cahier de papier blanc que Granvitte a Ftoridore et qui passe d'un remet parler pour être le manuscomédie à l'auteur de la ~t/tMee mais l'anecdote étant crit d'une nouvelle) <MM CoMedteM; a Grandvat « réettement arrivée non à Moté)~ M. Delavigne a pu ta mettre en ceuvre aussi bien (et « que qui que ce fut. » Les Débats dit en effet: « Ce trait naturel de mœurs est avaient comiques « emprunté mot a mot d'un acte il a environ trente-six sous le ans, at'Ambigu-comique, petit joué, y à Moté. « titre de la ~)/a<tMee f<M Co/Me<e/t. L'anecdote était vraie et l'on prétend était arrivée qu'ette « mais supposée ou réelle a l'auteur des 6'«/Ke't</eM. l'idée de la mettre en scène n'appartient point « H faut rendre à chacun ce qui lui appartient. » Nous venons nous aussi de rendre a d'essayer chacun ce qui lui appartient. et Philos. le tsr paragraphe de la p. 174 du Co/Me/'M. Me~jM, /«., reproduit (1) La p. 4:3 de Litt. A mot A avec quelques la 2s le est /tOMMHM. ligne, après <y/wtf/.f changements. /t:.s'<ort</MM ajouté la 5e et à la ti" ligne au lieu de « il /«M< l'histoire se laissât A't/'e des <e«;'M et f/e.< /)a/' f/«e » ~MOM' /'ecoM/s' ci ~M c'e~<-f(-</tre M <s' 6'au~A'. ~MMf//t~ il avait « /f<«M< </e/t.< (/c;M ~Mt. « </Mt. » » A ta 9e ligne, on a ajouté e'e.<<-M-~treM <itf<<ot7'e. « /Je la p. 44~ les deux ont été ajoutées et ne sont pas dans le CoH.s'e~'M. 7~< A premières lignes « là f/a/t. telle les /of<e/te.s' ~'o?t< e'<<e~ de petit et (<e /~( /'AM~f, que <yM<Me chose » a !t/e~<~e~< La p. 45 reproduit la p. 175 du CoMA'eru. /«. avec deux Litt. et Philos. petits changements. « ~'a/Mt ces OMM~'a~ /<f<t est. Co~e/'M. /,t«. /H<?<ëM~ 10'' figue 0/ /;M/M< CMoMt)/'«ye.s'< On trouve dans les deux :<!) 3 1820 r! /~f?'<e/' AbKLHuGo. .!M7' le <<fe't<M< /?/j~/7'?tM<e D. MoroÈttRs vers J/e?'CM?'e, signés quatre 6'o?t.s'e)'t?.«.,t.[,!ivrais.v,p.d65. Ce livre avec raison arborait les couleurs Du pourvoyeur des rives southres Ne guidait-il pas ses auteurs Où son patron guidait les ombres 9 N.-R. D. MoxtËRES est un pseudonyme qui f) (le A. Abel )e rappelle bourg appartient Hugo. ou son grand-përe 3/o/tMtereA' (Loire-Inférieure), Lenormand des biens. possédait EuGÈNK HuGO. Le 6<Ke/ dit ~~e'c~c (poésie 6'OM.wu.Z.<«..t.t. 5 février 4820 w~e'e.<, t. t, pp. livrais, (signé 43-45 v, pp. 174-181, cf. /.</<. et /o.<. E) et 87-59. N -B. L7t~'<OM'c ~t'MK'ya~~e tie du t. xxx. /M</Me ~e Charles A H. F., 4 septembre est inscrite 2'! par~'<7?:ce, et nn). 7A'(suite 4819, n° 5080. Erse):Con.s't).«..t.L!ivrais.v.pp.165dR7(E.). AnEL HUGO. Z.M paH/ty~OC/<)'<.S'!N<<P CM e du .~e~Me comésiècle, <t/'er/i«/ spectacle Lemercier. de die épique par M. Népomucène t'Académie et dernier article française,~ t. i, livrais. Conserv. v, pp. ') 68-~73 (A). Le article est à )a tivrais. ))t, pp. 86-92, « Ce/<e de Fe'/y, et /<06'. « sait UM /'o/t Me sait pas ~?t't< eM <<< Litt. Me~e.s', 21e et 22e ligne coK<<'MMM<eM~ dont notes A?«. :.celle de ~<ye< « (;OM<tMMePpar Villaret et ~7(r~/f/ Co?t.!er?;. » «aMoK~KOfMOCCM/H de la p. '176 du CoMM/'t;. le commencement A la p. 46, les neuf premières ligues reproduisent Le reste, c'est-à-dire de la lO~tigne an de stytesans avec deux petits /«. importance. changements litt. et, a été ajouté de l'article du Co/eru bas de la page, ne fait pas partie plus tard par V. Hugo. de 17:) ne se trouvent les pp. 177. 178 et les trois quarts t.a fin de la p. 176 du Co?Me~. /.t«., de M. Dufau. Pour V. Hugo y parle des faibles talents des devanciers At«. et Philos. M~H'M. pas dans sa narration est animée, ses concis, il a un style clair, ce dernier presque élégant; rapide, toujours sa critique et et de coloris, ses recherches de chaleur solides, judicieuse descriptions pleines impartiale. les faits, s'attardant le travail de ces devanciers, V. Hugo lui conseille de refaire puis il résume à ceux de Mézerai et du iX. Il compare le récit de M. Oufau un peu à la fuite de Charles (l'Anquetil, et V. Hugo en cite un long passage M. Dufau a tracé un véritable tableau de caractère père Daniel. (Conserv. Litt., p. 177). a laissé si vrai, si original V. Hugo parle du portrait A propos du prince de Condé, Mézerai, qu'en « il mots: était occasion de peindre ce dernier en quelques buveur, ce qui lui donne cynique. mais n'intéresse il n'a ni il est il son caractère dans toute son histoire. « conserve piquant, jamais il est toujours des événements: « chaleur, ni énergie; en dehors fêtes, quelque sujet qu'it traite, il rappelle ce vers de Segrais « guerres ou massacres, toujours Un vieux faune en riait dans sa gorge sauvage. le plus d'énergie, nous semble avoir développé « Mais le morceau où M. Dufau le plus de chaleur, de style, c'est dans la description de la Saint-Barthélemy. « en un mot le plus de talent (CoMMrM. de Dufau. de ce massacre citant des V. Hugo toute une page parle y.:«. pendant p. 178). passages à Dufau, à Mézerai. à d Aubigné. racontant des traits ou curieux (CoKA'eru. héroïques qu'il emprunte sur. « cette nuit une appréciation mais nulle Litt., part nous ne trouvons personnelle p. 179). en termes évitant ainsi cette nuit fatale. cette nuit terrible terrible. vagues, que V. HugoquaHfie sa pensée intime. de nous donner cause de son style qu'il a du ces deux ou trois V. Hugo n'a peut-être pages, point reproduit de jugement f aussi a cause de l'absence faibie et négligé, trouver personnel peut-être plus tard d'un événement aussi important que la Saint-Barthéteiny. propos de la p. 181 sont dans Zt~. la p. 180 et le commencement La fin de la p. 179 du Co/t.s'eru. ~î7< H faut signaler ce titre A M~ historien. et Philos. mêlées, quelques changements. pp. 57. 58, 5!'avec dans du on lisait en effet le la 1~ a A la p. 57(/,î«. et P/tt<<M. corps: Mt<Me~), phrase pris « Les C<HMeyf. /«. /)M/'SKMH<6!eK~M~e/eM7v.<aMA' ~MC?'~i'tO~~&a<<M~e(<eJ/. (p. 179): » La nouvelle rédaction en .')/<e/'at. ? et sans (;OM/eM/' </Me KOtM a laissés tableaux gagne co~M « Vos à certaines additions et au tour personnel et en vigueur que V. Hugo emploie: ampleur grâce et eoK/'<M, sans perspective, « ~Mcrtp<M?ts <<e bataille ~wt< <eH M(/)eyMMre.s' a'M.'e tableaux poudreux » « sans dessin et sans coM~eMr que ?tOM~ a <fttMe~ ~~e?Y<y. à III p. 5.S t.e tour se retrouve dans Litt. et /'A~o~. M:~<eM, à la p. 57 (7e ligne), personnel -40 ~et)?':o' 1820 Trois Messéniennes sur <es malheurs de la France, de deux ."M?' augmentées élégies la vie et la mort de Jeanne d'Arc, par M. Casimir Conserv. t. Litt., Delavigne livrais. 181-185 n'est v, pp. (S). Cet article est-il de Souillard pas de Soumet, peut-être (Saint-Valry). La famille A. J. C. par valeur «?< t. i, ~< i820, signé Z.t/<e?'sou.S'e~K~~<au!e, auteur de l'ObserSaint-Prosper, ~7~ t. Conserv. siècle, (1) livrais. v. pp. 5 février d85-t89, cf. Litt. et Philos. M. mêlées, 5 pp.m-dd8etp.i3G. N.-B. etc. est inscrite La famille Lillers, t. i, in-12, à B. F., )e-ler 1820, n°59: janvier Pichard. Everat, Paris; Imprimerie Paris, en 5 actes et en vers, .P/tocïOM, tragédie par J.-C. Royou, fois, représentée pour la première sur le théâtre les comédiens français, par d8i7 (2) ordinaires du Roi, le 16 juillet Con- aussi dans cette Le <ec'<eMy' s'arrête au ligne). Signalons p. 38 un petit changement (4e iigne): de l'esprit s'arrête. Le dernier de la p. 18) du Conserv. Zt«., a été omis mais en partie seulement. paragraphe V. Hugo encourageait M. Dufau et l'engageait à s'abandonner avec d'assurance à ses propres plus a conservée sentencieuse en la transformant. Nous la idées, puis il terminait par une phrase qu'il à la p. 164 de Litt. « retrouvons et Philos. ne doit mêlées L'homme de ~e'Kte ?'ecM~ey devant aucune « dt~*tCM«e, il fallait de petites armes aux hommes aux il leur athlètes, ordtMaM'e~ .~mMd~ « fallait les cestes d'~erc:t<e. » Le Co~ert). disait plus modestement: y! Litt., /)M/CM f< dM talent, « il ne doit donc reculer, » etc. (16e lieu et Philos. mêlées et ~/oy'a<M<e.s\, V. Hugo a (1) Dans ~t«. (pp. 117-118), sous le titre Satiriques de l'article du Conserv. /«. Un seul changement sans reproduit le commencement 185-186~. (pp. à est noter. Le mot lui est à la 2e de la, 117 de Litt. et Philos. nzêlées. importance ligne p. ajouté Le dernier alinéa de la p. 186 et la première de la p. 187 du CoM~'c. /~«. ont moitié été V. la trouve Famille Lillers à ~'O&A'erua~Mr <!M siècle est inférieure négligés. Hugo que pour la partie de l'observation. « devrait éviter de se nommer désormais le voilà sur de ne Saint-Prosper de modestie, en français, des professeurs « plus rencontrer que des ignorants pétris qui s'exprimeront de « des garçons bureau des banquiers aussi ennemis des richesses d'affabUité, pleins que Sénëque et « des jeunes filles qui parleront comme de vertu de petits ou comme l'Emilie son roman Sallustes, » (Conserv. a nouveau, dit V. Hugo, est « origina) Le de et Litt., pp. 186-')87). style Saint-Prosper, ses récits sont assaisonnés~ de rénexions amusantes et de digressions ~ti « piquants, spirituelles. faudrait ces l'auteur « le mérite d'une action vive et d'un intérêt soutenu alors », qu'à qualités ajoutât les souscripteurs se presseront en foule « croire au passant qu'il chez Everat et Pichard et feront « s'agit de relever une baraque démolie ou de soulager un pauvre millionnaire de deux cents frappé francs d'amende! » V. Hugo d'une ensuite à écrire manière correcte J'engage plus (CoH.s'erc. ZtM., 187). p. Le reste de la p. 187 du CoMser~. se retrouve dans AtM. et Philos Litt., w~e'M, p. 136, avec deux font les allusions 2e: d'ecrt~a!?~' changements qui disparaître personnelles. ~eaMeoM~) remplace Ligne de Pradt; 3e aussi éviter de. encore J/. Saintligne faut remplace jV(MMC~<M/o?M que assez de ressources en lui-même éviter de. ~o~/)er possède pour du Conserv. Les pp. 188-189 l'on a renferment un passage sans importance, /.t«., que négligées un peu recherché, sur les critiques « les lecteurs a faites de l'ouvrage de Saint-Prosper que V. Hugo « nous croiront sur ou ils ne nous croiront mais nous ne serons parole s'ils veulent pas pas du tout. « aussi indifférents sur la foi qu'ils M doivent à nos ajouter éfoges. V. Hugo termine une citation du du chap. vu du roman de Saint-Prosper. par longue Prologue et Philos. les pp. 165-168 avec des changements mêlées, (2) Dans Zt«. reproduisent, importants, sous le titre Plan de tragédie au les 189-194 du Conserv. 7.tM. fait pp. collège, La p. 165 offre seulement deux changements de style 13' ligne, au lieu de dans cette crise, où il s'agit de lui autant de lisait on dans le Conserv. Litt. c~M'e terrible. f~<a<, que )~a dernière est transformée. Le disait: « en peu de mots, toute l'action Co?Meyc. Litt. Voilà, ligne 41 S 1820 Z''eM?'tc/' ~e?'u. vrier Mt~M, N.-B. primé, merie « de Z-t«. ceMe tragédie, et, et Philos. mêlées comme « Voilà, livrais. Z:< t. i, -)820, signé 165-168 pp. H.; et de MoeMM H. F., i<:r janvier Lenormand ~'OK voit, elle est noble et simple. en peu de mots, toute l'action de la Paris, » Voici 5 fév, pp. 189-196, cf. /«. <'< ,P/i//<M. <36-d37. Royou'venait 1820. n" 92. Lenormand, d'être im- fn-8, Imprietc. Barba, la variante donnée par elle est .tMM~~e et petit tragédie » «~<reMo6<epOMr<aM<.M La p. 166 offre elle aussi quelques sans valeur. A la 5e ligne, au lieu de changements grande du peuple, d'M?t eûté, la haine on lisait dans ie Conserv. Litt. Z~'MK ro<e, la An!/<e dit MOM~t)o</o?M A la fin du 2e alinéa, on a interverti les propositions et on a fait une petite Le peuple. suppression. Co?!e?'u. Z.t«. disait: il et et en les moyens sont puissants et d'un noble développement, ajoutait cette des beautés. A la 25e le au M!OMMH< effet tragédie présente ligne <o~<yMg spectateur, remplace OM le ~ec<a<eM/ A ia p. 167, ligne 2e, au lieu de ia petite « ~/<!M le ;aM<< » y avait dans phrase /<o/HtMe/'e/M~e ie CoM.u. Litt. Mais à met dans la bouche (pp. 190-191) <e~raM~ AoM?Ke qui ~o~OM belles paroles de ~<!</t!'eM ~/o<e, OM~re~ OMvre~nu magistrat ne se cache jamais. dit-il, (/K OMt!?'e les portes et ici commence une des scènes les plus terribles au théâtre. que ?tOM~ ayons A )a 4e ligne, ces mots Phocion il dans n'est avait le CoMM/'M. Litt. ému, après y point (p. 191 ). de six vers; une citation à la 8e ligne, après ie mot tribunal. V. Hugo citait un vers de Royou; à la 16e ligne, les mots les At«. dans le Conserv. après pour sauver.V. Hugodisait (p. 191). Nous c!<M'OH~ ici les vers <<ey)/. Royou, Mt~~e Suivait de alors une citation de qui sont empreints la plus éloquence. dix lignes. A la p. 167, ligne 19e, on a négligé de reproduire ia phrase suivante le speetateur ~'M/~rc au lieu de <Hcer<th<~e il Litt.. la avait dans ie <erreMr rentre </MH.s' ligne 23e, renait, CoM.!p;'M. y /'aMe des 6'pM<a<eM7'.s'; de la phrase: II fait ce </M'()i<M/e n'aurait 27e, au lieu ligne point osé faire, il /<e de la chose juste coM<ye chose utile, il y avait, une citation de huit vers ~M~ay<! de Royou. A la p. 168, ligne 2e, après le mot ~epM~Me. une petite phrase a été négligée ./Vo!M le répetons, tous ces moyens cette ~OM</)<eMM de <yy'a?K/eM/' et de vérité ligne 3e, Ici ~'ac<M?t se presse remplace du CoM~'en~. /ct /'MC<MM redouble de vivacité et 15e et 16e, phrase ~t«., <tM<<< (p. 192) lignes ces mots boit le une citation de vers <sMe?Me?t< dix-neuf Litt. poison remplacent (Co?Merf. P. p.193). Le petit paragraphe les lignes de dix-sept à vingt a été complètement transformé. qui comprend On lisait dans le Conserv. Zt«. « Nous ie répétons, cette tragédie est belle. C'est, une des (p. 193) les mieux ordonnées au thé<)tre, et elle renferme un « pièces qui aient été présentées depuis longtemps nombre de vers bien faits elle n'a obtenu succès à d'estime. Cela tient ce « grand cependant qu'un est non d'action mais de verve. Il froide; « qu'elle pas parce qu'elle manque parce qu'elle manque « semble avoir dessiné un si beau plan, l'auteur n'a assez de forces pour l'exéqu'après plus trouvé « cuter. Une des scènes ne sont les intentions sont grande partie qu'ébauchées plutôt indiquées que « rendues: souvent les idées sont belles et les expressions Ilest malheureux M. impropres. que Royou « n'ait cette pièce lorsqu'il encore de toute la vigueur de la jeunesse cela est pas entrepris jouissait « malheureux vouions-nous ne doivent rien lui ôter à sa pour nous, dire, car, lui, nos regrets pour » « gloire. En comparant les deux textes on peut voir que les verbes au présent dans ie Conserv. qui étaient Zt«. se trouvent au conditionnel dans Lilt. et Philos. mêlées. à celà de nombreuses Ajoutez suppressions dont plus loin-nous chercherons la raison, enfin une addition faut noter ~tM théâtre MH qu'il conte t<'o'M!OM/' vaut MttCM~; que toute l'histoire. Les lignes sur Campistron font suite avec queiques changements vingt-et-un, vingt-deux, vingt-trois sans importance dans ie CoMM?*M. Zt«. à ia longue venons (p. 194), phrase supprimée que nous Mais ensuite V. Hugo a encore laissé de côté un jugement sur le style de M. Royou et sur d'indiquer. celui de Campistron « Son style est celui de M. (à Campistron) /j/!M~OM<eMM que Royou seulement, < après avoir lu M. AoyoM, il vous sera resté de beaux vers dans la mémoire et si vous ~Mer « Campistron, il ne vous en restera de ridicules. » que ~Me~MM-MM~ Si après cette phrase, nous cherchons, à la p. 168 de Litt. et PAt/o.s'. la suite de l'article mêlées, du' Co?MerM. Litt., c'est-à-dire la seconde de la p. 194, nous ne la trouvons Au lieu de la. partie pas. laisser à sa place naturelle où elle continuait V. Hugo l'a pour ainsi l'article commencé, logiquement dire découpée et sans en rien l'a on ne sait au bas de ia p. 136 et au changer transportée, pourquoi, commencement de ia p. 137 de Litt. et Philos. mêlées. Le morceau commence Ca~par ces mots comme etc. pM~OK, Za~aM~e-CAaKce/, Pour trouver le reste de l'article du Conserv. les pp. i9S et 196, retournons c'est-à-dire Litt., -42- /~M'er 1820 12 inéd'un& traduction ~e/te'Mte'M~/e (extrait oe?t<M& CMM dite de )'Enéide) //<<e?'eM fessos sole etc. cent-trente)'e/t</M!<, (tivr. m) t. i, livrais. vers (~) CoH~?'t?. 7.«., quatre V. d'Auverney cf. iv, pp. 201-204, signé V. ~M~o ?'Mcon<e, t. i. pp. 223-228 cf. Lycée J.-J. conte ~'j4?KOM?', ÂDEM, Le 6~e6'Mpo:?' Reda: Conserv. )ivrais. Litt., t. par J.-J. vr, pp. 204-207. HuGo. ABEL Littérature ~/e<eM~p~oes:'a!)' escogidas t. i, livrais. v(, pp. 207-213 e.<pMyno~e CoM~ep'u. ./Man ~«., (A.). et Philos. à ia p. 168 et aux même où tout à l'heure mêlées, pp. 169 et 170, a l'endroit V. Hugo a étions arrêtés. avoir enlevé ie morceau dont nous venons de parier, Après sans plus de façon les deux bouts en enlevant une toute rapproché petite liaison que dans sa première il avait cru utile. rédaction mais H n'a fait que deux changements, Au bas de la p. 168 nous lisons qui sont d'importance. de )~o~<tM'<* est MM bon style. du Co?Me/'t.\ Si l'on a<<Kt~ </<M le style Cette Litt. phrase est absente cas Corneille dire à ~M7'y~:ee: A ia fin de la p. 170 nous trouvons est sM&<MKe, il fait ~M pare~ mais V. faisait Ma<<a?/te. Dans le CoM.s'M. aussi ~!«., pas, je meurs. Hugo A~M, ~e ne pleure une situation à celle de Chysis, mais alors il ne remontait allusion semblable Corneille pas jusqu'à il se contentait de citer une pièce dont il avait rendu les et Eurydice, récemment compte, )~e/jrM de C. Delavigne livrais. /)<t ?)tOtM~, disait-ii i'~Mte'/te Siciliennes Litt., iv, pp. m3-145). alors, ~CoH~er~. de s'esquiver de a le bon esprit sans rien dire. /)e<at)t~Me on le voit, a subi des transformations est difficile de le Cet article, tellement importantes qu'il M. Ed. Biré a fait remarquer avant tout ce qu'il reconstituer. ~~30, (~. //M~o pp. 183-184) y a dans cette C'est V. a mis dans Z.!«. et d'extraordinaire volontairement métamorphose. que Hugo mêlées un titre bien fait pour le lecteur. s'il n'a sous les yeux le CoMSM't;. Philos. Ceiui-ci. tromper a l'a d'aiiieurs à croire ce plan de tragédie été fait par V. Hugo, 7.!<t., est porté que qui )ui-meme dans sa préface de 18M <p. 8). V. Hugo a commis là un plagiat, dit Ed. Biré (p. 184); annoncé pour avait nous dirions volontiers une et V. à cette nous, pourtant époque, dépassé la gaminerie Hugo, dans nous Z<t«. nous trentaine. au coUège avait-il 1817. et en avait-il Peut-être étudié cette le 16 juillet pièce, déjà représentée fMJt à ce moment un compte-rendu a reproduit tard dans le CoMM/'M. ~?«. Admettons qu'il plus en même cela: ce n'est de sa conduite 1834. pas une excuse dans son rôle d'auteur, V. Hugo dans la reproduction de son article toutes les Pour rester omet les citations, toutes les allusions il la pièce de Royou. a-t-il toutes Pourquoi épithètes louangeuses, fois un jugement sur le style de Voitaire? On l'ignore. A-t-il voulu prouver une de plus son ajouté affection C'était car les abondaient. inutile, ? pour Voltaire preuves déjà H a remplacé ie nom de C. Delavigne car partout nous Rien d'étonnant par celui de Corneille. cette manière H a fait à ses contemporains, disent les trouvons toute allusion d'agir. disparaitre toute allusion à ceux n'étaient ses disent les autres. Les deux sont uns, amis, qui plus opinions en tous cas le résultat est le même. plausibles: (1) Voici les changements raconté. ~HM</o Page que l'on a fait subir Vers .t/))'e.! /«. 7'reMM<M<.s' dans Des o&.<eM?'.< nous vers 224. vers'). Dans la sombre foret attendons nous l'aurore Vers 9. Des nous cachent tes étoiles, nuages épais Vers 10. se couvre de leurs )~t )a lune en fuyant voiles. Vers 15. Ses cheveux hérissés, son visage maigri, Vers 16. Nous montrent un mortel ses //taM.E ont que flétri. Vers 17. de ~o~c Son faible et couvert ~eMe corps d'épine. Vers 19. nos armes, nos soldats, f~ui-même il )'econK<M< Vers 21. -)/f/M bientôt tout en tarmes: jMMM'aKOM.!acourant Vers 22. « )'ar cet astre brillant témoin de tant d'alarmes, Vers 23. far dont tout subit ce ciel, la loi, par ces dieux Page à trente-quatre ConMt'u. nuages les nous /o?'e~ attendons cachent les etoi)es, Ht.)a)unepa<:<e«)'OM<<t)t<~oMs)eursvoites, Ses cheveux Tout Son un a<t)to;tM corps Lui-même son hérissés, faible mortel de <o:M il voit Bientôt, vers Par ces <M<?'e.< <')'t7/<t~~ Par les dieux, le rivage par ce le pa?' couvert est sombre front Kia/AeM'' de joncs nos jour qui nos tout de luit s'est en de carnage et. de S'enivre sang. 43 de carnage et regorge de netri. d'épine. soldats, tarmes mes alarmes, encor pour 22S. ?'epM maigri, <?'e~e.! armes, accourant témoins et 16. ~M':< )'aurore sang. moi, ~2 1820 ~2 F< etc. de Va(Me.< choisies, par le comte lori CoM~?. t. i, livrais. Litt., vi, pp. 2i32i7 (S.). Nous faisons ici la même observation vi du 5 février. qu'à la livrais. t. j, livrais. ~7'M:07't'ea!7i, tv, pp. 258-261, Avril V. Hugo 1823, signé reproduction exacte du C'o?tse?'u. cf. Odes et /~a/Zï'M. édition de lades, Nationale, l'Imprimerie 413-416. a Acbéménide été du pp. composé 17 au 20 octobre 1817. en cinq actes, de CLovis, tragédie précédée Co~:<~e'?'a<<c'~ historiques, par M. NupoMUCENE LEMEHCtËH. de l'Académie française (l): Vers 18. Ce Mon.e jusqu'aux Vers 24. Et sa faim, saisissant Page cieux lève sa tête leurs entrailles Ce <yeaM< jusqu'aux énorme, Et le tMon~n* mourantes, cieux lève &ro!/aH< leurs sa tête énorme. entrailles fumantes. 226. VersS. Le sort f/ë~yMe ceux qui vont punir ses crimes Vers 17. « Fuyez ces bords, fuyez trop !'m/)?'M<<e?i~ nochers. Vers 19. en des antres Tous, tels que Polyphème, sauvages Vers 20. ces rivages. /'a?'</Men< les noirs troupeaux qui paissent Vers 21. Phëb6 m'a vu trois fois en commençant son cours Vers 22. Traîner de bois en bois mes misérables jours; Vers 23. .e~<e)t<~a!~ des géants tonner la voix bruyante Vers 24. Je frissonnais au pas de leur ??!a~'e effrayante Vers 26. ~/e~ yeux, Même la nuit, /y:<e?')'oyM:e/i< les mers Le sort montrent déjà e< redoublant leurs ces bords, Fuyez tels que Tous, ceux fuyez, vont qui malheureux trop habitant Polyphème ses crimes punir nochers. ces rivages 7!en/e?'Me;:</eM?'~troupeaux~at:~<eMt'~<M<re~MMHaye. Phebë m'a Traîner vu trois dans et dans Voit mais un grand trembler La mer au loin Soudain sortent Mais ces enfants cimes Mais d'efforts. en vain, cri. vers lave des d'Etna, est là fuyons nos pâles la plage. matelots épouvantée, ébranlements les cyclopes portant les eaux. agitée de longs bois les mers son œi! sangbnt. sur sa rive bondit sur effrayante .s''<'7ëMn< sur les ondes. l'Italie à ce bruit bruyante marche eiteor sein encor les rocs de Scylla, La mort de leur leur jours la voix au ~Mp/)<M/i< et votent Et poursuit, !) élève tonner nous voyons et ses flancs S'ouvrent misérables et ma vue o'e il a parlé, Se courbe, Marche, mes au fracas fuit, A peine en /ÏK;.MaH< son cours des géants Là je tremble Le jour fois ces /'o?'e~ Là j'entends Page 227. Vers 3. A peine il a parlé, nous voyons sur la plage, Vers 10. et dans leur eau lave son oeil sanglant. Se courbe, Vers 12. et son buste entier <'e7eM sur les ondes. Marche, Vers 14. notre grec et volent sur les eaux. Reçoivent Vers 18. Et poursuit, mais en vain, les pâles matelots Vers 19. tt pousse un cri soudain l'Italie agitée Vers 20. Voit /?'!Mo~ttey'/oK</<em!M sa rive épouvantée, Vers 21. La mer est en fureur, de sourds ébranlemeuts Vers 23. Les cyclopes, au cri, sortent, !jre<~aM;E;'ae<Mes; Vers 25. Mais ces enfants d'Etna, ~oM</e/'?wi«OMc/teauxcieux, Page,228. Vers 5. Mais les rocs de Scylla Vers 7. La mort est là, fuyons tous MO~Me leurs montrent ou redoublant ,s saur;ages; frontsauxcieux, de loin leurs cimes d'enbrts. du Conserv. V. Hugo n'a reproduit dans Litt. et Philos. Litt., mêlées (d) Du long article qu'une n'a trait à la de Lemercier. Nous en loin. page qui point tragédie Népomucëne parlerons plus V. Hugo commence contre les comédiens ils ont refusé de la rue Richelieu de par une attaque Clovis et l'auteur a été de recourir à faire connaître.une faite jouer obligé l'impression pour tragédie ans. depuis vingt Litt., (Conserv. p. 217). La pièce dans les circonstances eut été, il est vrai, intempestive. Certains vers exprimant présentes « auraient une vérité locale être considérés comme des vérités absolues et comme tels pu applaudis 44. 1~ jFc~e?' 1820 CoH~'c. signé i2 ComM;'o?)6~?tee. du Conservateur ~a?tU!er./&20). (d): CoHX~'M. 237. /,t< les /<e'<~c<eM?'.sA. ~/3/. ~!«C!'t[!'?'e ~a~euaM.E, Publicola Petissot Signé: t. livrais. V). pp. 228- E. ~'«., cf. /«. t. j, et livrais. P/t//o~. v<. pp. w<?/ce.s\ 217-228, p. 98. N.-B. en cinq actes, précédée Clovis, tragédie de considérations historiques, par M. Népomncene Lemercier. Baudoin. )n-8, )mpri<nerie-)ibrairie Paris. B. F., M janvier n" ?9. <820, si mora) classe de chrétiens de nos jours. Est-it de présenter sans cesse les abus par une certaine à un peuple a n'y voir que. ont faits de la religion qui n'est déjà que trop disposé que les hommes « s'adresse à M. Lemercier Sa n'est des abus ? Cette ne pas pièce pas plus impie critique que bien » des pièces de Saint-Genest ne causaient le moindre scandale chez nos aïeux. qui pas mais « pour entreprendre un pareil sous BuonaM. Lemercier a voulu peindre un tyran, ouvrage un commun c'était vouloir la tête de Méduse en face. il fallait avoir peindre « parte, courage peu « M. Lemercier il nous a tracé un tableau hideux de bassesse et de vérité, Il lui a plu y est parvenu « de le nommer mais on pourra dire de lui ce qu'il avait dit, du Tibère de Chénier Clovis, toujours « il l'avait MM. » (Conserv. Litt., p. 218). V. Hugo a une toute contre le poète qui a mis une apostrophe à. la liberté dans la petite critique à l'occasion H résume ensuite la pièce, et iieiteMotière et ya?'<M~e bouche de Moïse. Litt., (Co/Me/'c. a fait Lemercier deux ou trois fois allusion p. 249), mais il ne faut pas oublier que Népomucène y dans la préface de son ouvrage. « l'action elle est grande et simple: ne ménage marche, dit-il, le style V.Hugo pas ses éloges: « prête davantage i) vers. » Il note à ia critique, en passant un morceau où cependant y a de beaux de Voltaire tt à )a Lemercier a voulu lutter avec le ~a/towef revient ~Co/Mert?. Litt., p. 220). page sur la même avec ~/aAoMe< dont Clovis Ici encore suivante comparaison reproduit (p. 221) t'intrigue, il est à remarquer Lemercier avait avoué les ressemblances de sa pièce avec que Népomucène ~a~oMe<. cite de nombreux de Clovis et t'un d'eux V. Hugo, suivant son habitude, passages (pp. 222-223) lui arrache cette phrase « Nous ne connaissons rien chez les anciens et les modernes qui soit supéla » A du rieur à ce morceau la et terrible 4e acte par grandeur majesté. propos (p. 224) il ne manque ia pièce de Lemercier avec ~/M/<OMM<. « Cet acte, il encore dit-il, est admirable pas de comparer « soutient la comparaison avec celui de Voltaire: s'il n'est bien et s'il est moins écrit, pas aussi « déchirant, dans il est aussi original d'ailleurs il a le mérite de laisser le spectateur une attente » « terrible, t'Orne et termine la pièce. tandis que le 4e acte de ~/aAo?He< épuise Le compte-rendu continue citations et. V. Hugo termine ses par de nombreuses (pp. 225-226) « à ne sentiront de vers » cette Malheur ceux par phrase qui point pareils éloges l'étude des dernières il affirme Au moment où V. Hugo va entreprendre scènes, que sa tache )t car il lui reste à faire autant de critiques faut touer cette devient qu'ii a donné d'étoges. pénible, au franchise de car Lemercier est académicien et commenNépomucëne qui ne'manque pas courage, voulu i'Académie. ii est vrai qu'après cette phrase cement de i820 V. Hugo n'aurait pas trop déplaire à huit ii V. Hugo sait se montrer habile succède une seule pages d'éioges générate, page de critique, sans appuyer il indtque sur un moyen heureux, passe rapidement mélodramatique peu que le reste meilleur. !) sait ainsi concilier son intérêt et les droits de ia vérité. de l'ouvrage ne parait guère il V. Hugo sort à ce moment de son sujet et nous donne un long paragraphe sur ie dénouement de J/a/iome< est comme celui de Clovis. Nous retrouvons ce dans j6t«.e< P/it<o.<. qui manqué passage Biré N~<ïH< 1830, nzêlées (p. 98). Nous ferons remarquer après Ed. ()~. //M~o p. ')79), que les cinq ont été ajoutées. n'a pas voulu les citer dernières Biré, par respect pour le lecteur, lignes (pp. 98-99), nous ne mieux faire de l'imiter. entièrement, pouvons que à et lui indique un moyen la péripétie V. Hugo termine un conseil Lemercier de rendre par digne de la tragédie. « « « « N.-B. ]) faut remarquer, à propos de cet article, a fourni lui-même il V. Hugo une que N. Lemercier, de ta rue les avec )e ~<!Ao??te/ de sa documentation les contre MM. Richelieu, attaques comparaisons partie à Tartufe dans et de Voltaire, les allusions se retrouvent les Con~e~'a/M! ~<M'a:re.! qui A~tf/Me~ la pièce encore a. attaquer a donné une précèdent Remarquons que V. Hugo pour s'autoriser Napoléon à la vérité. M. Lemercier sa pièce, il t'a.fnrme lui-même petite entorse composa ~Co?M~e!'a</o/M, p. xxxvij). sous le Consulat, en 1801, et alors son courage, si courage il y a eu, ne mérite pas, il semble, les éloges un V. Hugo, lorsqu il nous parle de la tête de Méduse. peu outrés que sur ce point lui prodigue de F. //M~o, p. 206) ne donne (L'Enfance (i) M. G. Simon à V. M. Souriau de signatures qu'il attribue Hugo. (La Préface ainsi' sont bien dans le genre sant que les deux lettres signées -45- Petissot pas Pubiicota C/'OMtM'<'«, p. 54)/tout V. Hugo, de d'esprit les onze parmi en reconnaisn'ose pas les lui 1820 12 /«' On annonce L'auteur Z.o?'</ /<M</<M?PH ou les de Jean ~6o~/M?'(Nodier) ~o'e.s'. a la composition dit-on, pas étranger, cf. Z)?'ape«K&/<!Mc, 12 février ouvrage 13 Assassinat 15 Dans 20 du due Fa?Mn'est de cet 1820. de Berry. les jours cette date, qui précèdent V. Hugo envoie à Toulouse .Vo~e sur le ~<, Le Jeune Banni, Les Deux Le VcM/te Ages. Banni et Les Deux ont donc été comAges le 15 février 1820. posés avant V. Hugo politiques et p. 91. Lettre ~MHa~M ~912, de à Adèle Foucher: cf. /!Me?Y<:?'e.<, 28 janvier 20 à St-Sulpice ~'MtOMSFrayssinous prêche <?'~<!o?t des !)~<e'.s' de la /b7!f/a~p?~a/e~ cf. yoMrM<ï/ des Débats, 2t février religion 1820. L'~Mt! de la Religion donne comme La Providence n" 579. sujet (26 février, p. 68). 25 25-26 d'Adèle Lettres ~4?tH<z/e~ politiques vier 1912, p. 92. Hugo 28 cf. jan- de Nodier au jO?'<)caM blanc reniant ta paternité de /.o~ lui 7~M</<!eeM. Ladvocat un contrat répond disant qu'il possède signé Nodier. Ce!ui-ci avoir seulement par prétend donné des conseils à l'auteur cf. /)r<ï~c«M blanc, 26 et 27 février. Lettres ISfév.an 15 mai V. ment )3fcv. au l~mars V. Hugo compose (~Mc de ~e?'?'7/. Elle du 4 mars. 37 à V. Foucher et littéraires, ` Hugo compose de ~f<ï~/t6y6e&. l'épilogue du Lettre de V. Hugo à Adèle Lettres à la ~a~cep, pp. 16-17. Foucher: cf. ~)~oMg- son Ode SM?' la mort <~M est dans )e Conserv. Z:'«. à St-Sulpice sur i'TmFrayssinous parle M<or<M/!<~ofe /'<!Mtc: cf. )'~Mtt de la 7'e~tOM, l~mars, n°580, pp. 87-88. Rez-de-chaussée de la Gazette de 7''t'«?<ce au sujet de l'Ode sur la mort du duc de Elle « Foule vers /~?'?'y. publie cinquante de beautés » dit-elle. remarquables février FévrierJ\)ars le 13, vers le 25 probablement, lettre Après à Hugo de Soumet cf. G. StMOK, Z'M/'a~ce de F. Hugo, pp. 195-197. Première visite de V. Hugo à Chateaubriand cf. V. //M.~ t. n, p. 100-102. raconté, ne permet de l'affirmer. M. E. Rire (V. //M~o avant attribuer, 1830, car rien, dit-il, p. 165), prétend a V. Nous n'osons en Evidemment sans conteste dire autant. appartient Hugo. que cette signature aux journaux aux faits politiques le certaines certaines allusions Hbéraux~ tournures, contemporains, a Virgile, les attaques contre de Pradt, Carrion de ton ironique et mordant, les citations empruntées etc. V. Hugo mais par ailleurs d'autres tournures de style, une connaissance très Nisas, rappellent de la des contre J.-J. ne nous semblent l'histoire de Révolution, Rousseau, attaques approfondie pas il à V. Mais la interne de ces lettres n'est faudrait des suffisante, pas appartenir Hugo. critique a V. ou en refuser la paternité preuves positives pour en accorder Hugo. de se et que Massevaux a t'époque. Rappelons seulement que Abel Hugo s'occupait, géographie du Ilaut-Rhin. Notons aussi blanc trouve que Le Drapeau (26 jum -t820) contient, porté sur la carte et Rrutus. entre Publicola sous la signature L, un dialogue -46- 28 7M<~ 1820 3 dans le CoM~e?'Ha<eMf sur Article de Agier H cite des vers le Conservateur Littéraire. et de l'Ode sur la de )'/?K~/eM?' /)o/ï<t</Me Mort du duc de Be?'?'y cf. CoK~e)'ua<eM?', t. v, livrais. Lxxv, pp. 465-470. (1) de Gazette Peu premières Arts et sur L'Ode la France de ./)/o~< en corrections éditions dans le des Réveil, parle ont Odes nous du duc et été et cite faites de Berry du on n'indiquerons avant la les 4 le CoMA'eru. Mo?'/ mars Litt. trouve les que sur ~) «c.~e /<oya/e f/KC </C~?'?'<, C/t«?'/M-A'<KaM~<~?'<0~; de Schiller. fils de France. Epigraphe Signé 6'n~7'H. t. f. livrais.' Lill., V.-M. Hugo(l). 241-246 à vn, pp. in-8, Paris, cf. Tirage part, Boucher, Petit, Pe)icier, Delaunay. prix 0,60. Au verso Extrait du Co~u. /~</< (4 mars B. 1820. Le tirage F., n"976, 18 mars )820). a part se trouve annoncé sur la couverture de la livrais. vn du CoM.s'c?'u. At«., prix 0,75. cf. Le Co/t.s'e~'ua/eM?' a cité la 6< et la 13e qui t. \'), livrais. Lxxv, strophe, note, p. 469, 3 mars 1820. Le Congru. daté du Zt«., 4 mars avait été publié avant le probablement 3 ou bien V. Hugo avait une épreuve envoyé avant au cf. BerryaMa CoKse?'u.'7<e!< tirage ou ?'ecMe!/ des <7'o< de 6oH<e de ~S'. ~4.7! de ~e~'?'?/, A. J. C. feu .4/y?' le duc par Lenormand Paris, et in-18, Saint-Prosper. Pichard. La première des poésies, pp. 191-197, est l'Ode de V. Hugo sur la mort du duc de 15 Avril n" 1341). La 1820, (B. F., Berry seule est On lit signature changée: //M~o vue de la livrais. du CoM~eru. jL!«.) (extrait cf. 2'* édit., avec l'Ode .s-«?' la MatM<ïMce <<M n" 3709, 2) octobre ~MC</c/f/MMa;(B.F., cf. ~M/M/e. de /H ~:«c'a<M~e et des 1820); t. x, livrais. Arts, 8 fénxxtu, pp. 161-1CC, vrier cf. Le Réveil, 13 février 1823 1823, sans épigraphe, même texte que les A ?tHa/e.< cf. Odes e< Ballades, livrais. t, ode vj), pp. 8188. Les deux notes du CoHM?'u. Zt«., pp. 244en appendice, 245, ont été renvoyées p. 541 parut vers. cinquante au texte Ballades Ode dans quelques-unes ~H/M/es de entre le son des puisque et les différences de CoM&'e/'N. le 27 tneme février datent /.?'«e/'M<M/'e /~t«. et ')a des et des l'édition varietur. l" 3* 9' 2' 7' 6' 8' 8' 9* 14' 15' t" vers strophe, ivresse imprudente vers sa main et pe~a?t<e froide vers :Ms< chez nous, 9' vers strophe, la voix mMrmMraM/e 5' vers strophe, )e 7noM~<t'e obscur vers de l'auguste victime autour 2vers strophe, la ~r;):ce.<e accourt vers /t~ee.e assist.ez-le, 7* vers: strophe, ~o;t c'CBMr/<< un noble abandon 14' vers strophe. tes maux cause au cœur que 8' vers strophe, des 7/!0!'<~cc<e&)'e.! /)ar qui, 160 strophe. S' vers te /Jfayo<t ainsi, quand Conserv. Litt. ivresse ConM?'c. /«. sa Co)Me)'N. ~i«. chez CotiM/'u. Zi«. la Co?Merc. /.t«. ic x&n'e Conserv. Z.:«. /'KMM!' Co?t~e)'u. Lit t. la Confère. Z!«. assist.ez-le, Co?Me!'u. Z.t«. /<jU?'oe<aM<e Co/Me''u. Zt«. les C(M.se'*H. /«. qui, Co?!~e!'u. Z:/<. ainsi -47. !;t.!e)Mee main lourde nous voix Odes et glacée /teM;'eK.E e/taxee/a~/e obscur maux .s'or<; quand Ballades. Odes et ~a~a~e. Odes e< B<a~e.t. Odes et Ballades. Odes e< Ba/<~f/< Odes et Ballades. accourt Odes et .;)/aMi<* Odes e~ Ballades. <MM el autour duchesse et de un la nob!c victime abandon cœur Odes Ballades. que laisse des <e)te&rex Odes e< Ballades. ~e;)e;t/ Odes et te au Ballades. el Ballades. Ballades. Me 4 1820 ~?A cf. Odes 4 et Ballades, édition Nationale, pp. 66-71. 7~'OM chants de <<s~e, suivis de quelques français, A. Bignan(~). /«., Con~t'u; cf. '25S-262, V. pp. signé eH32. mêlées, pp. ~30-131 A MM. les Rédacteurs du Correspondance. Conservateur 2e lettre, MasseZK<p'?'<ï!?'e, ~0 février Petissot vaux, 1820, par Publicola t. i, livrais. Co/:seru. Litt., vu, pp. 262-269. Voir au 12 février d820. de l'Imprimerie traduits en vers fragments, par t. tjivrais. vu. Litt. et Philos. de V. Hugo est loin d'avoir été reproduit entièrement dans Litt. et Philos. mêlées (1) Cet article V. Hugo a d'ailleurs la partie été complètement transformée que y a insérée par des additions postérieures. Voici le résumé de l'article du Conserv. Litt. n'a son ouvrage en un Bignan pas osé mettre double trouvera-t-ii des almanachs et des chanin-octavo, plus de lecteurs pour avoir pris le format derniers sont ils sonniers Ces sont obligés de reiever i'intérêt Le peu lus, par des phrases libérales. livre de AI. Bignan sera l'objet de i'indifîérence. mais fauteur a eu raison de )e publier son exemple devrait être suivi « par tous les littérateurs volumes en portefeuille et de grosses qui ont d'épais répu« tations en espérance, un extrait suffirait de !eurs œuvres inédites mettre le public a même pour « d'apprécier » (Conserv. leur talent. Zt'«.. p. 256). V. Hugo a donné tard à cette car c'est elle à. n'en ronflante, plus phrase une forme plus point douter nous (tans Litt. « )!y retrouvons et Philos. mêlées que (p. 130) a a déjà dans la nouvelle géné« ration née avec ce siècle des commencements de grands Attendez années encore. » poètes. quelques En tous cas nous retrouvons la suite de la page 256 du CoM~eru. à la p. 130 de ~!«. et Litt., « Philos. M!~ëeA' Les fils des dents du dragon, etc. » La p. 131 n'est que la continuation de la avec trois l' 430 une les a dit MM cc?' p. petits changements: ligne. suppression poètes, grands Mf<M e7o~MCM<; 4e ligne, une le fils a<'Me des ~<MM: 5e ligne, 7'eMom?Kf'e Homère, suppression: c<;7<< remplace Mais des le 1er :)!inéa de la p. 132, e/'oyer-MM!. ne t)OM~ Me~e~ pas à ces MatMA', nous ne retrouvons plus )e texte du CoM.s'e?' ~</<. Toute cette page, sauf les dernières l'article lignes qui terminent du Conserv. a été écrite en 4834. Litt., V. Hugo Dans le CoK~erc. Litt. fie l'interminable <)es commentateurs (p. 257), parlait légion il serait imitateurs et traducteurs d'Homère facile de rire a leurs et le p)us ridicule de ces dépens auteurs ne serait car il y avait des peines graves contre les plagiaires. pas parmi les anciens, M. Bignan n'est pas exempt de cette manie de s'enrichir des dépouiHes des devanciers. C'est un misérabfe défaut a Lamotte, de t'impuissance. M. Bignan a emprunté qui annonce presque toujours à Aignan des vers isoiés, des tournures de phrase, des hémistiches. )i n'a pas eu l'audace de dérober des passages il n'est de )'tnstit.ut. est un (font la moindre défaut entiers, pas Emprunter conséquence est le ridicule. V. Hugo reconnait. a M. Bignan une versification riche et bri))ante, une flexibilité de talent néces11 saire à un traducteur cite de extraits et met en note les vers (p. 258). (pp. 2S8-259) longs d'Aignan imités par Bignan. )! continue ses citations M. Bignan n'a ses critiques et ses éloges. (pp. 260-261), puis il résume « cette fait toute la d'Homère. Son a rarement cette coupas simplicité qui pompe majestueuse style « leur antique, ces coupes ces tournures variées et seules nous faciles, pittoresques, que peuvent « rendre, avec quelque les m&ies beautés du plus des langages humains et les fidélité, magnifique « sublimes du des La de M. est sans inspirations prince poètes. phrase poétique élégante Bignan ZD « précision » et vive sans rapidité. V. Hugo parle ensuite des vers rendus sonores de mots, de l'absence de par de vains cliquetis cette marche et nombreuse sans il n'est de véritable des traits d'an'éharmonie, large laquelle point terie ou de néologisme, A i'appui des bizarres alliances de mots, des phrases et à effet. emphatiques de ses critiques ii apporte des citations. ii est a remarquer il introduira dans ses que plus tard œuvres bien des vers dans )e genre de ceux qu'il condamne chez Bignan. )) termine enfin un dernier alinéa nous retrouvons dans /«. et Philos. mêlées par (p. i62) que à ia fin de la p. i32 « la simplicité etc.)). it a fait, en 1834, une addition d'Homère, après Larnottelloudard en .ec/te/'MM' nous'trouvons en Bitaubé. de Bitaubé traductions fadaise (les œuvres a etc. ')760 et 1786, n'ont France été en Cette d'Homère, Beriin; publiées publiées qu'en 1824). addition nous prouve que si, en 182u, V. Hugo il a su se tenir au courant même des Bitaubé, ignorait traductions d'Homère. N.-B. V. Hugo. dans cet article, vu, de tous les littérateurs volumes parle, nous t'avons qui ont d'épais en portefeuille et de grosses en Ils un devraient bien faire extrait de réputations espérances. paraître « Les fils des dents du dragon leurs œuvres inédites. Il ajoute n'avaient besoin d'être entièrement pas « sortis de la terre pour qu'on reconnût » (CoKM~'f. Litt., en eux des guerriers. 4 mars 1820. p. 256. /«. et Philos. mêlées. de mettre en parallèle une phrase du Journal des Débats p. 130). !t est permis (3 janvier 1820, ~<!t'/<;<<M. <OMyrM de Cat'/x&aa!). Nous avons vu à propos de la première des représentation Cot~e~iens de Cas. Delavigne 29 Z~< V. lisait attentivement (Co;tM?'p. janvier 1820), que ce journa). Hugo 48 4 1820 /s 4 de la dans la Quotidienne Compte-rendu de Navarre, de Brifaut, Charles tragédie du V. Hugo pour son article qui a dû inspirer Co?t.!p~L'. t. t, livrais. vin, pp. 307-311, Litt., 25 mars. N.-B. Trois par A. Bignan, Hubert. Paris; Paris, 1819, no 4292 (chants i, tx,X)X, de divers chants). chants in-18,imprimerieEgron, B. F., 11 décembre suivis de fragments de l'Iliade, national en ABEL Huco, Z'<3~ean!<~e,~o~Mte des Charchants, vingt-huit par M. Lebrun t. livrais. mettes CoM~erp. v)i. Litt., 1er article Le 2e article 247-255, pp. (A.). 15 Avril 1820. est à la livrais. x, pp. 365-374, Abel Hugo profite de cet :u'tic)e pour N.-B. de Soumet faire l'éloge qui « semble s'être réfugié des arts. » « dans de )a fondatrice le temple de Soumet dans ie C'est )a première mention est faite Abel CoH~eru. Litt., et elle par 4 Le cuH<?<e de V. oouve))e t. t, livrais. C'o~eru. /.<«., vu, pp. 270-274, est probable(J.), 4 mars 1820. Cette nouvelle La suite se trouve a la ment d'Abel Hugo. 15 Avril 1820. livrais. x, pp. 386-393, ABELHuGO. Charles 7i'cuKC /e'?'a!?'e, de Berri ou Sa Vie et sa ancien d'artillerie, o~c:pr de /?'«?!ce, ?nor/ -par aven cette duc 4 M. épi- graphe Les pieurs sur son cercueil tombent, connno la pluie mais t'espoir les essuie. La douleur tes repa.nd (Segrais) (1). t. i, Hvt-ais. vu, pp. 274-277, CoM.N.7~«. ?M~/e'<s',pp. 81-84. signé V. cf. Z.t«. et Philos. N.-B. C/ta'?' de T''rf<Mce, etc. par de Vigor-Rena~diëre, Paris; In-8, imprimerie B. F., no 687, 26 février )820. 7~. A~/?' /e duc de S. Oraison funèbre assassiné le 13 /< de Berri, fils de France, « Que de publicistes, disent les Débats, pulque de législateurs, que de tacticiens, que de financiers <t lutent semées sur cette terre labourée le soc de la révolution. Les dents du Thébain, par par dragon « Cadmus, n'ont pas produit » du moins les de soldats. Nous trouvons sinon les mêmes expressions plus on se les mêmes idées. Le rapprochement est peut-être mais il est fortuit, rappelle reproches piquant quand à Lamotte et à Aignan, adressés a empruntes par V. Hugo à Bignan pour )es vers qu'il pour ces plagiats dont la moindre est le ridicule, x conséquence et Philos. le début de l'article dans le Conserv. Litt. et dans Litt. (1) En comparant (p. 274) V. Hugo 0 Mte/ees (p. 81), on voit que malgré ia note mise au bas de la p. 81 de Zt<f. et Philos. w~e'M, a modifié sensiblement son article. Les quatre de Litt. et Philos. Mt~/e'M sont ajoupremières lignes V. de tées c'était carie sous les le titre nécessaire, lecteur, que Hugo plus yeux l'ouvrage n'ayant avait Mais le reste on avait besoin d'être éclairé une courte introduction. pour comprend critiqué, par on retrouve une moins les transformations; c'est à peine si dans )a p. 81 de 7~t«. et Philos. mêlées, et quelques mots épars du CoHMrn. Litt. phrase complète du COMMUN. Zt< dans/.t«. et Philos. Voici le début nous soulignons les mots que l'on retrouve Mt~/HM. « Cet exposé, du prince inexact et mal écrit de la vie et des derniers moments magnatronqué, « nime que nous pleurons, avec la n'a d'autre titre à l'indulgence des lecteurs laquelle précipitation que « il a dû être rédigé. ne poK/< y avait <~<MMles temples de /'aM<t~MtM, cer<a:HS vases sacrés qui tels tableaux e « ')<'<tCM< ~'e il est, parmi les grandes scènes de l'histoire, ~or<e'~ par des mains p/'o/aMM « qui ne doivent » être touchés par des pinceaux vulgaires. « Et en effet, nos chercher un sujet où les plus éloquentes iraient-elles et plus plus vaste plumes « fecond cette vie et etc. » que /)!6MM </Me7'?'ere Le reste de l'article a été reproduit on peut dire textuellement. Nous ne relevons que cinq variantes, remdont trois seulement l'attention Litt. et Philos. méritent M~/<;M, p. 83, ligne 20e, Mos forces ce recueil. La correction était nécessaire. 84, ligne 7c, ~7. ic p)acent/M<'orKMe<<e~eM'e~e Page <tuc de Berry remplace Mgr le duc de Berry; ligne 13", royal remplace auguste. -49– 7 1820 ~fa?'~ u?'/e?' ~<M'0, dédiée a!e'pa?'<CMipM~, par avec cette épigraphe Madame se meurt à 3/7)~. les </cjt)M/<?'s des un jeune ~'eHMMa?'M<e Madame est morte (1) Conse?' t. r, livrais. Litt., vu, pp. 277-278, 4 mars 1820. Signé M. N.-B. Oraison etc. ln-8, impri/MMé6re, merie Renaudière, B. F.. no 745, Paris, Plancher; 4 mars 1820. Le volume du jeune séminariste était nécessairement paru depuis quelques jours, sans quoi V. Hugo n'aurait pu en rendre compte. du ~Vo<p des Rédacteurs Co?!xe?'un<eM?' Conserv. Litt., vn, 1.1, livrais. Z<«c'?'a're(2) p. 5 Conférence de Frayssinous à St-Sulpice La base nécessaire de toute morale et de retigion, cf. tout gouvernement )'~M:t de la Religion, 11 mars, n° 583, pp. 132-134. <i Attaques FftMpù'e.s'de 6 mars 1820. Première de Lebrun. 7 contre Nodier: Lord cf. représentation _M</<M?eK Journal de de ~ar<c contre Marie ~Ma?'< et Attaques vation audacieuse des idées chez le théâtre, c'est-à-dire fréquentent Romantisme cf. /)?'«~eaM 7 blanc, 280. ou les Paris. Sluar't, la dépraceux qui contre le mars. Lettre 9 4 de Richelieu au comte a Pradel, de l'Ode de V. Hugo sur la Mto~ du propos duc de ~p?')'?/ cf. Nouvelle article Revue, de Gabriel 15 mars Vuuthier, 1909, p. 268. Lettre de Neufchâteau à V. Hugo, accomd'une lettre du duc de Richelieu pagnée de 500 francs annonçant gratification pour la ?Ko?'< du duc de Zfe?'?'?/ l'Ode sur cf. G. de F. ~M~o, pp. 220-221. SrnoN, ~t/'aKce Lettre Lettres Lettre Lettres de V. Hugo à a la fiancée, pp. Adè)e 18-19. Foucher cf. ~0 à Adèie Hugo à la fiancée, p. 19. Foucher cf. 21 de V. de V. Hugo n'a pas été reproduit dans ses œuvres. (1) Cet article H commençait citer ia en critiquer les fautes de brochure contre la par quelques lignes pour H ensuite des fautes contre le bon sens et la bonne foi. Pour )e grammaire. parlait jeune séminariste, Louis XV! est un roi philosophe, le crime du 13 février, un crime de Mo~e, commis par un /aHa<Me vices. L'auteur insistait sur les ?MO<t/~ ~e~oKKe/~ Louvel de tuer le duc V. de Berry, et qu'avait Hugo alors de s'écrier « Jusques à quand » contiriuera-t-on d'insùiter à la désolation Le publique ? jeune suivant V. Hugo, extérieurement son afliction un luxe de séminariste, témoignait par typographique de tonte et le « terminait ainsi Nous ne serons étonnés seule chose, points espèce, critique que d'une c'est qu'il ait dédié sa prétendue o?'a<MM /'MMë&re à .M/. /e.s' Dëy)M<e'6' des cfepar/eMeK~, et non.aux « e?<oyeM~ représentants dit peuple. » à cette note dont il est peut être auteur. Les Rédacteurs (2) V. Hugo a dû travailler l'unique tiennent à garder rester éviter non les menaces l'anonymat, pour rigoureusement impartiaux, pour mais les petitesses des auteurs. « De cette manière, sans abjurer leurs et personopinions politiques « nelles, ils espèrent se dégager dans des toute de influence plus aisément, l'appréciation ouvrages. « de parti et de toute » de coterie. Us n'ont voulu dans leur faire leur opinion pas Prospectus é)oge. « Ils aiment à croire écrivains l'auraient mais pour eux, ils auraient que d'autres pu faire sans danger, « trop craint d'être démentis » Ils se déclarent d'ailleurs tous des articles. par le public. responsables insérés dans le Conserv. à )a défense Litt. Voués de )a littérature, ils seront heureux de réussir et non moins heureux de voir leur tâche mieux remplie par d'autres. Cette note est curieuse on considère Victor et Abel composaient à eux d'eux toute la quand que rédaction et que Victor assumait à lui seul )a plus grosse part du travail. .50 Mars 1820 H de Genoude dans le Conservateur Article H en prosur les ~e~!<a<:o?M de Lamartine. fite pour dire un mot de l'Ode de V. Hugo sur la ?Kor< du duc de Berry cf. Conserv., t. v[, livrais. 1820. t.xxvi, p. 513, 9 mars 13 Première martine. édition Entrefilet de Lamartine très aimable sur les ~e<M<a<o?M dans le YoMt'Ma~e Paris. des ~fe'a~ïons de La- 14 aux frères Trébuchet d'Adolphe Cette lettre n'existe elle marque Hugo. plus le commencement des relations entre Adolphe Trébuchet et ses cousins. Son existence est révélée de V. Hugo à Adolphe du par la lettre 20 avril 1820 cf. Figaro, 12 mai 1886. 18H Les Lettres Champenoises (t. t, livrais. iv), ont un article de sur 149-150, pp. Mely-Janin et les Romantiques. I) se tient les Classiques dans un juste mitieu. Ode sur la mort C~M duc de Be?'?' In-8, 4 V.-M. cf. mars. Paris, Boucher, Hugo par Lettre 20 de Richelieu au comte Pradel avec du comte Pradel. Elle la réponse répète demande faite au commencement de Mars articte de Gabriel Vaucf. Nouvelle Revue, 13 mars 1909, p. 269. thier, 2< Article des 7~«n~ sur C/taM~eMoz~'c.! l'Ode de V. Hugo, la mort du duc de Berry t. i, n° 5, p. 192. cf. 7~«t'M Champenoises, de Marie-Joseph sur la Articles Trébuchet 7'oM?' 6<'<3M</OM cf. yoMrtKï/ de Nantes et de 22 mars et 9 avril. la /.o<7'e-7M/e'r!eMre, ~2 Lettre << ~/MM'e et de l'Ecole Annales wo~e?'Hp des BeaM.x-~4?'~ Salon de .9, par C. P. de S. A. R. Mgr le duc de Landon, peintre membre de la Légion etc. Berri, d'honneur, 1 vol. composé des six premières livraisons livrais. C'OK.s-M'H. Litt., t. vni, pp. 290(1) 293, signé M. N.-B. La vie livrais. des Annales du Musée dans )a vie livrais, du Conserv. Litt. est annoncée Elle parut le t9 février 1820. B. F., n° 576. n'a pas été reproduit. Il commence contre les doctrinaires et les (1) Cet article par des attaques libéraux. V. Hugo, nous dit-il lui-même, est distrait, il visite le salon, les événements quand par qui il n'a vu que sept ou se passent autour et auprès de lui. Aussi dans la visite qu'il fit au salon de 4819, il a oublié mais elle huit morceaux )e reste. Cette manière est vicieuse, d'observer, dit-il, supérieurs, est celle du peuple. H parle ensuite de quelques auteurs Z.e«)'e6' à David, au qui ont écrit sur Je saton par Kératry il se moque de Kératry est Il arrive à il le Courier libéral et doctrinaire. en Landon, parce qu'il félicite de n'être des nationaux Landon censure pas amateur appelés par les indépendants. peu, sujets à Il il aime à louer et n a pas traité assez rigoureusement l'auteur du ~/ar<y7'e (<'FMdore et encourager. si mal rendues. deux autres ont d'admirables scènes dans les mais les ont peintres qui puisé ~fa?'<yr~, V. Hugo montre l'utilité de l'ouvrage de M. Landon. Les hommes du monde y trouveront desjugements tout de des des faits, ce qui est toujours lettres, fins, agréab)e aperçus rapprochements lesgens de vers moet parfois même de bons avis. Landon se moque en effet de certaines ingénieux pièces dont le style la prétention et l'expression de nos annonce d'imiter le tour dernes, plus niais que naïf, vieux poètes. Les poètes et les romanciers feront bien d'écouter M. Landon. marotiques gaulois il a commencé, Landon était le peintre du V. Hugo termine, comme une note M. par politique. vient aux espérances de la nation, de cet illustre d'enlever prince, qu'une épouvantable catastrophe duc de Berri les arts comme comme Louis XIV. 1er, et les eut encouragés qui aimait François 5t 25 -/Ma~ S 1820 Avant le 23 Mars Lettre du comte Pradel à Richelieu. H a donné des ordres remette pour qu'on 500 francs à V. Hugo cf.VoMue~ Revue, article de Gabriel 15 mars Vauthier, 1909, p. 2t)9. 25 à V. Hugo l'annonce envoie de la gratification de 500 francs par une pièce de 1820: vers datée du 25 mars cf. CoH~ t. livrais, i5 avril Z.!«., x, pp. 363-864, i820 et E. BtuÉ, V. «faM< ~~30, //M~o pp. ~3-174. 23 Les derniers livrais. vm, pp. Neufchâteau ABEL poétique, des notes, CoM.s'prM. 298 (A.). HUGO. Bardes 281-289, La poème dédié Litt., Co?t.s'eru. t. Lill., Voir au 5 juin ~819. L'Ecole Massiliade ou la G'HM<<' en douze chants, avec épique au Roi, Marin par Scipion t. i, livrais. 294vm, pp. <~M CaH«/<p?', et poème didactique en trois militaire le chef d'escachants, par dron chevalier de St-Louis, officier de .Millet, 2* édition, icL Légion revue et cord'honneur; j~4 ?'< dit Tour, en quatre chants, rigée. poème orné (')) 307, de gravures, par Chartes Lill., t. livrais. CoMse?'u. V. signé Libois, vin, avocat, pp. 298- N.-B. L'Ecole du Cavalier. fn-18. imprimerie Dalibon. B. Paris; Paris, F., Bougeron, 11 mars d820, no 803. La ire édition, Paris, in-18, imprimeried'Haute) B. Laurent F., 3 septembre 1813, n°2440. beaupré~4r< </M Ï'M<7' In-8, Paris. Paris; Didot, Delatinay de la rue Barinerie. ca.illier, n" 3793. i8i9, Didot, imprimerie et Hamelin quinB. F., 30 octobre a voulu rendre de ces deux sans valeur mettre un peu de V.Hugo compte ouvrages pour dans le CoHM~t). Litt. bien sérieux aux jeunes auteurs gaieté juvénile qui devait paraître qui le comà et ceux des lecteurs avaient leur posaient qui pu percer incognito. Cet article, est une œuvre de fine satire, de raillerie malicieuse. V. Hugo mi-sérieux, mi-plaisant, un commence début où il a mis avec beaucoup d'érudition. par long beaucoup d'esprit dit nous avoir il a deux manières d'exciter le rire a force ou à force de Après qu'< y d'esprit bêtises », cai'MoHëre ses Swift ses bons Poinpar ses farces, mots. Pixérécourt'par mélodrames, par sinet ont réussi à nous faire rire, il parle des différentes sortes de poèmes didactiques. par ses niaiseries Les uns, ceux de Pope et de Virgile, sont intéressants et beaux, leurs auteurs avaient du parce que d'autres. ceux de Bernard et de Delille sont et leurs auteurs n'avaient génie, éiégants ennuyeux, de talent, tous les autres enfin font rire, soit de pitié, soit de plaisir. L'Art qu'une espèce Politique, la C<M<?'oMOKt!'e, i'/)/~ de cKHcr e?t ville et peut-être l'Ecole dit Ca~a/Mr font rire de plaisir. La C~oMf'<rte mise en rimes, ia CM</7*a/)/tte mise en vers, trésor de niaiseries et de platitudes, font rire de Mais dans cette collection des produits de l'ineptie )e premier à l'Art pitié. humaine, rang appartient </M ToKr, si cette ne lui est enlevée i'~?'< e<M7?e/eM7'. V. palme glorieuse pas par Hugo préfère ia gaieté naît du ridicule à celle naît de la qui qui plaisanterie. V. Hugo relève dans i'jFco~e 6<M Cau~~e~ de nombreuses en fait de rime et de gramnég!igences maire. L'auteur s'est laissé le vieux et le Richelet savant épouvanter par Vaugelas gothique écuYer il n'est pas dispensé de connaître Lhomond et Restaut. Mais il )e féiicite de quelques peintures vraies, où il y a de f'éiégance et de la précision i] en donne des preuves de citations. originales, par longues M. Mi))et doit être plus ou moins car V. Hugo parle de la naïveté de certaines N'a-t-il libéral, opinions. un écrire une invocation à V. lui pas osé appeler héros, Napoléon l'aigle impérial. Hugo rappelle que est l'assassin du duc d'Enghien, et lui Millet, un soldat de la France. Napoiéon )) écrase ensuite sous )e ridicule M. Libois, l'auteur de f'< c~M yoMy, qui, nous n'a pas dit-il, voulu écrire un poème V. à des citations habilement nous buriesque. faites, Hugo, grâce montre, par une fine et mordante tout le ridicule de cet ouvrage écrit « avec bonhomie et simplicité. » raillerie, V. Hugo termine en encourageant « La succession l'auteur & continuer. des productions littéraires <( de M. Libois, ces suivant s'ouvrirent dans les pourra rappeler concours, Addisson, qui, jadis petites « villes d'Ecosse, et où de bons YiHageois venaient tour à tour s'essayer sur les tréteaux à qui ferait la « plus laide grimace. » ()) r)2- 25 1820 J!/a~ Second ~/)ee<HC/e.s'. ~Ac~f de Navarre, M. Brifaut, par (l): livrais. voi, pp. 307-311, </te'<e tragédie C'o?t.u. signé /'raKpat.s'. en cinq actes, t. t, Lill., H. L'article est suivi d'une note sur ~arte petite de Lebrun Stuart vient d'obtenir un grand qui succès. An 2e théAtre, échec de la .NoM7'<yeotM ambitieuse et des Fausses Cette ~p/)0!re?tCM. note est sûrement de V. Xugo. N.-B. Charles de 7Y<t~ar/'e, en cinq tragédie actes par M. Brifaut, les coméreprésentée par diens du Roi sur le 2e théâtre )e merfrançais, credi d' mars 1820. )n-8, imprimerie Fain, Paris Ponthieu et 13. Barba, 18 mars Paris, F., 1820, n" 980 2'' édit. B. P., 3 juin 2039.. 1820, n" la nécessité sur de )a présence d'une femme (d) V. Hugo débute par un long préambule pour assurer le succès des tragédies du jour. Mais dans deux tragédies récentes les rôles des femmes n'ont des causeries des longueurs et des ennuis. de apporté que des scènes parasites, insigniliantes, L'épouse Clisson chez M Brifaut est tcfut aussi inutile. à céder Des considérations les auteurs A ia vanité, )Y )a coquetterie contraignent majeures des artistes du beau sexe. i) serait de cesser de pareilles temps compiaisaneesquiontpourhutde ou MMejeMHe-/)reM!<ere. les auteurs lèvent, satisfaire une amoureuse i'étendard de )a révofte: Que est devoir. <'MtSM?-7'ec<MM un V. Hugo, ce début, résume de la pièce et passe à ia critique ensuite après rapidement le sujet « Le style de M. Brifaut, de précision bien qu'i) manque de propriété, et de goût n'est dénué ni parfois « d'élégance., ni d'harmonie, ni même d'une certaine » H cite six ou vers dit-il, énergie, cinq qui, en tous doivent, surtout aux circonstances les bravos seraient temps quoiqu'ils applaudis que leur le public. prodigue Vous avez tout Sauvons la Laissons Deux vers expriment Certainement comme politiques détruit: liberté: ta les partis, avec mais mais qu'avez-vous gardons-nous ne voyons que fonde? ? du crime )a. France. de pompe et d'éclat une vérité beaucoup trop dans sa base profonde, trône a tremblé Lorsqu'un Il ébranle tous du monde. en tombant les trônes ces citations sont certains reproches méconnue, ajoute-t-il. choisies bien en évidence ses préférences par V. Hugo et mettent M. Brifautde un peu trop souvent ces mots marépéter qu'iifaita l'on ne savait et libéraux Si que Bonapartistes patrie, gloire. employaient des cris de rauiement, on se demanderait V. met tant d'arpourquoi Hugo France, honneur, giques ces mots Ma<</MM comme deur aies proscrire. aux yeux de V. Hugo, est un froid et emphatique déclamateur sans cesse « sa Clisson, rappelant « foi, son honneur, ses services. La vertu n'est déjà plus )a vertu, et le caractère d'un qui se vante « homme » tout ce qu'il montre en orgueil, H félicite M. Brifaut d'avoir choisi un perd en noblesse mais une fois à « la )e mieux choisir autre et )e mieux traiter. Dans national, sujet il l'engage tragédie, « où il n'y a pas de caractères il a sur la les de scène prononcés, n'y pas apparence danger, parce que « événements naissent des caractères. Où il n'y a pas de danger, il n'y a pas d'intérêt, //tMc <;M&t<a? « mortes. Nous n'ajouterons avec le 7~'Mc intestala nous M?tec<M4', parce pas satirique que espérons « que le talent de M. à la des encore meilleurs jeune Brifaut, lèguera postérité ouvrages que C/t<M'<M « de Navarre. » N.-B. On ne peut pas ne pas rapprocher de l'article de V. Hugo un article sans signature paru dans la pMo/~eMMe du 4 mars 1820. L'auteur de cet article et V. Hugo parlent il peu près dans les mêmes termes de t'épouse de Clisson, dont )e rôle est inutile, ils citent les mêmes vers. font les mêmes allusions aux tihéraux du xix' siècle qui. se voyant mis à découvert ont été mécontents et ont fait d hostdite par l'auteur, preuve et /~a<)'~ graves contre lui. f) est aussi question, dans la ()!o<!r/!e7:Me. des mots //o?uteMt' sur le poignard donné par Tetigny a Clisson, ». La ()MO<<e?t<te et que Y. Hugo appelle « mots porte un jugement magiques semblable a celui de V. Hugo sur le style « Le style de l'auteur n est pas toujours mais il a de irréprocbeLbte, '< ia force et de )'e)éva.tion on a remarqué de ont et vers cette tournure vive qui énergique qui les beaucoup « grave dans la mémoire, » avait-il lu l'article de la CMO/t~/e~ie? C'est assez probable, niais tout en y puisant, certaines V.Hugo il a su rester original et leur donner un tour personnel. idées, 3:'t 1820 ~/a?~ /)M;aM!6e le duc Mgr Montbrison, seille, etc. sur de S. A. R. ~'a.M<ïMt?:(!< M. Tézénas de j36?'?' par de Lyon, MarAcadémies de des ou Chant Ode funèbre S. A. R. /<7~' le </MC~e~e?'r:, Charmettes. sur 25 la Mt0)'< de des par Lebrun La France aux Mt<:?tM de ~r le royaliste ~Mc auteur ~cr?' par A. J. C. St-Prosper, de l'Observateur au xixe siècle (~) Con~e~'u. t. i, livrais. 25 mars Litt., VIII, ~820, pp. 317319. Signé U. N.-B. -Dithyrambe, par M. Téxénas de Montbrison. de Lanoé, Paris. In-8, imprimerie Paris, Audin B. F., Delaunay, Ponthieu, Beaucé, 11 mars 1820, n' 825. Ode, par Lebrun. à B. F. Rien La 7''raMce Abya<M<e, par St-Prosper, in-8, imn" 963; Le Normant. B. F., 18 mars, primerie 2~ édit., le même et Le Pichard Paris, jour, Normant. Lettre Lettres de à la Lettre de V. Hugo /«:Hcee, à Adèle pp. 20-2d. Foucher cf. 28 Avril Premiers jours Lettre d'Adèle Foucher ?ta!/e.o~'<:<yMMe</<<a!?'M, pp. 109 et à V. Hugo cf. An4 février 19~2, Victor Hugo à Adèle Foucher cf.Zc«?'cxs/<a7!c~,p.22. 110. à ces trois ouvrages. La pièce de Tézénas, « inspirée (')) V. Hugo n'a consacré que quelques lignes « par une douleur sentie et une trop clairvoyante renferme des passages écrits avec feu indignation, « et verve. de il Tézénas est réussit mieux dans les morceaux incorrecte, M L'énergie parfois qui demandent et douceur. grâce Lebrun des Charmettes doit se contenter de deux lignes disent qui ne nous point ce que V. Hugo « de lui. On dans du de M. Lebrun retrouve cet les des pense particulières ouvrage qualités style « Charmettes. » Est-ce un éloge, est-ce une critique 9? « est mieux Son opuscule, écrit avec une rapidité et d'oriSaint-Prosper partagé. pleine d'énergie « ginalité, fait d'une douleur et la dans l'âme du lecteur. Cette porte l'empreinte passer profonde « nouvelle de M. Saint-Prosper fait le plus grand honneur à ses sentiments comme production roya« liste et à son talent » comme écrivain. V. Hugo, a son lecteur les trois ouvrages, cite quelques vers de Tézénas pour permettre d'apprécier et de Lebrun des Charmettes et une page de la prose de Saint-Prosper. N.-B. Cet article est suivi de trois petites notes qui sont probablement de V. Hugo: en tous cas. il a sûrement collaboré à leur rédaction. « ie noble La première faite à Chateaubriand vicomte )) d'écrire la vie du duc de parle de l'invitation )!crri. La seconde de /caK'~o~de W. Scott. parle de l'apparition prochaine La troisième est une réponse à l'article dans le Co?Mf'ua<eM?' Les rédacteurs du (75' Livraison). d'Agier, Conserv. /«. le remercient de ses et de ses honorables MAI. publiquement éloges encouragements. Hugo, « Ils c'est-à-dire l'alné et le plus jeune, ne sont pas les seuls rédacteurs du ConMru. Z~<. ptusieurs comptent « collaborateurs dont les articles ne sont comme les leurs, qu'à. la censure du conseil de rédaction soumis, « composé la réunion de » de tous les rédacteurs. .54 Premiers jours Avril 1820 1 HUGO. La Mt0?'< du duc ~?!<!eM, des en 1818 par l'Académie Ode, couronnée Conserv. Jeux-Horaux, par M. Eugène Hugo 1~ avril t. livrais. Z, ix, pp. 321-327, 1820. L'Antre des C?/c/o;)c.! (Extrait duction inédite de l'Enéïde). Les. 7'/tï7!)t</Mes /7'<!KpaMes, poème par livrais. t. M. Ed. Corbière CoM~er< Lilt., observation Même tx, pp. 337-341 qu'à (S.). )à Hvrais. vtdu5 février (S.). pour la signature CoK~e?'u. Litt., 1.1, livrais. tx, pp. 327-328, 1er Avril 1820. Signé V. d'Auverney cf. /.?/ce'<? livrais. 1823. ~?'?no?'ca!K,t.i, xfi. Décembre n" 5889), (B. F., 27 décembre, pp. 429-430. V. Hugo; cf. V. TT~o t. ~'acoK/e, Signé cf. MMe< édition 232-234; de Ballades, pp. avec cette t'fmp.rimerieNationate, pp. 394-395, date [Janvier] 1817. EUGÈNE d'une Insu)a.S)CMnumjuxta)at.usAeo)iamque <uma.ntibus arduasaxis, ErigiturLiparen, tra- etc. (Lib.vni). N.-B. Dans le CoMMt't). /«., V. Hugo, aux vers quatorze, quinze et seize, avait personnifié ia Crète, )e Courroux~ la Flamme, l'Eclair, le Dans F. /~M~o ?'<!co/t<ë', on a mis Bruit, )a Peur. de petites initiales. C'est la seule différence entre les deux textes. et ~M~ o!M Chatelet, Vie privée de Voltaire MK séjour de six 7MO!X ? Cirey pendant par ~'aM~eM~ des Lettres ~M! de pe'rM!eMHes, tKM~M CM vers et e~ cinquante e'?'e.s' de Voltaire t. t, ~ro-s'e Litt., (i). Conserv. dans Litt. et Philos. de l'article du CoH~e/'c. Litt. ??K/eM, qu'une (i) V. Hugo n'a reproduit partie sur neuf ont été cinq pages puisque pages, négligées. V. Avant d'étudier dans un long de quatre avait, lui-même, l'ouvrage Hugo préambule pages, étudié Voltaire et fait son éloge: ceci a été laissé de côté. Ce préambule est pourtant intéressant car il nous fait connaitre idées V. avait de au Voltaire commencement de d820. quelles Hugo « Nous allons, disait V. Hugo, une tâche délicate et difficile. Nous oserons entreprendre parler a « sans passion d'un homme tantôt été décrié avec tantôt exa)té avec mauvaise qui aveuglement, foi à Voltaire, « nous allons rendre lui payer notre tribut et certes, il c'est-à-dire, d'admiration justice comme s'être à dire la vérité tout il nous faut avoir le de nous, « faut, résigné entière, l'équité courage les de cet illustre Les de ses « pour prendre place parmi partisans aujourd'hui génie. rangs apologistes « ont été souillés de crimes et d'ignominie, )a voix de ses défenseurs a été par tant d'hommes, chargés « si souvent en même à défendre les consacrée atrocités et les infamies d'une foule de temps monstres, « tout fiers de supposer Voltaire leur complice, l'on ne doit s'étonner de voir au monous hésiter que pas en « ment de.témoigner tout entière. A cette idée safaveur;carits'Mgitdefairechorusavec ta révolution « révoltante, et qui sufRrait seule pour nous faire reculer, se joint encore le regret de nous séparer un « moment de cette classe d'hommes de Voltaire honorables, qui ne se sont faits les antagonistes que tant motifs. de forfaits, d'anarchie et de longues il doit Certes, « par de respectables après calamités, « être permis d'être accusateur a été victime t'amertume est excusable dans la l'infortune, lorsqu'on « colère est un des droits du malheur et il y aurait mauvaise à condamner en ceux grâce qui voient « dans Voltaire auteur de notre abominable dans leurs l'unique révolution, quelque emportement et même erreur dans leurs récriminations. nous avons devers « reproches quelque que par Aujourd'hui, est « nous de si terribles Voltaire bien sévèrement: il ne fut et il semble expériences, jugé que léger, il ne fut qu'imprudent, et il parait Ce fut un grand malheur du « pervers coupable. pour cet homme, dans un temps « reste si noble et si généreux, de naitre les les et les plus corrompu objets plus sacrés les souverainetés et les cultes et les trônes étaient « augustes, politique religieuse, journellement dans les causeries des gens du monde et les écrits des hommes de lettres. On voûtait à toute « attaqués «force l'on s'amusait dans les salons de la bonne on se moqua s'amuser, de~tout; compagnie, et des prêtres, et bientôt « d'abord des nobles des rois et de Dieu. Pour comble de' mathèur, de d'étonnantes incrédulités semblaient la noblesse scandales, ces fatales railleries; « grands justifier « avait ses yjA~o~o~/tM, et le clergé ses M/)y~br<.s'. Au milieu de cette confusion Voltaire générale, à « ne sentit assez le se devait lui-même et de sa il crut pas respect qu'il l'importance propre opinion faire comme les autres au torrent se joignirent encore des impulsions « pouvoir qui l'entraînait par« ticutiëres dictés ses sarcasmes furent un de de révotte plutôt par esprit que par un esprit vengeance Toutefois le chantre de Henri « ou d irrétigion. tous ses ouvrages la vérité, sérieux, qui, dans respecta « ne se permit il sembla de mentir Wf<eMf<o f//ce?'e qu'en plaisantant; pour devise adopter /a~M7M, soutenu en tout son et se fiant sans « croyant peut-être qu'un paradoxe, badinant, perdait danger, 5G- ~u~<7 1820 iivrais. cf. Litt. -f'- Avril ix, pp. 328-337, (V.), et ~'At/ox. mêlées, pp. 85-89. 1820 ?nora~ et politiques -!M?' les T~e/tOH.sde la 7KOMa?'e~:e par ~Hie C. 6~' avantages ~V. Conserv. (deuxième article) (1) Zt«., « doute au vieux <M ris, donc tu MMMS. Les événements ont prouvé se trompait. syiiogisme qu'il « C'est ainsi qu'it a sa part dans les causes de nos désastres; il contribua, en riant. à la démoralisation « de son siècle et si sa gloire, ses immortets son et surtout ses belles ouvrages, prodigieux génie '< actions ne raci~etaient les erreurs de sa vie, il aurait devant la postérité, de ses plaisana répondre, « teries et même des une en ont été un téméraires, fatalité, catastrophes qui, par déplorable jusqu'à « certain les épouvantables » point conséquences. ce très curieux sur Voltaire, V. Hugo se lançait dans des questions moins élevées Après jugement Il et a ses yeux trouvait de faire de la Les cette collection plus pratiques. H~M-aM.E, moyen politique. de niais, de ont tort de le un leurs: des Voltaire était royademi-savants, d'ignorants, prendre pour La liste. de )a canaille, il a vanté l'aristocratie il démocratie, pour lui, c'est le gouvernement anglaise, détestait le régicide, il ne serait du crime isolé de Louvel. il n'aurait la loi pas partisan pas approuvé athée le poète qui méritait le nom de cagot lui donnait Diderot. Si Voltaire vivait de nos que jours, dit V. Hugo, il exécrerait les hommes et les doctrines de la révolution. 11 était essentiellement monarTous les philosophes, chique. qui ont vu les saturnales républicaines,tesontcondamnées après en avoir souffert André de Roucher et tant. d'autres immofés sur Kufhiëres, Chénier, J'échafaud, Raynal, Matesherbes. Marmontel, Laharpe, V. Hugo résume enfin en quelques son opinion sur Voltaire. « Nous conservons une haute lignes « admiration sa son vaste et nous accordons un facile à ses pour grande âme, pour pardon génie, « fautes que nous sommes loin de rendre solidaires des attentats de nos sophistes et des forfaits de « nos démagogues. M Nous retrouvons la suite de l'article dans At'M. et M?7<M.MM/f. avec quelques (pp. 83-89), petits changements. Les deux premières Au bas de la page 86 une dizaine lignes (p. 85) ont été ajoutées pour liaison. de lignes ont été supprimées et remplacées des etc. etc. « On trouve Les voici dans par l'apparte« ment de Voltaire M~e foule de choses cA~M et rec/te/'cAe'M, <MMe p?'op?'e<e à baiser le ~ar« ~Me~; etc. etc. Nous ie répétons, ces lettres n'avaient voir le jour. Que l'on pas été écrites pour « joigne à cela les déclamations tranchantes et les divagations libérâtes dont l'éditeur s'est cru obligé « d'enrichir )e texte dans ses notes presque on n'éprouvera certainement inutiles, toujours pas une « grande tentation d'ouvrir » ie livre. Dans )a page 87, il y a quelques mais il y a une changements de style sans grande importance, a noter. addition intéressante A la 13c ligne, il ~e~o~tMMHo V. Hugo, a fait en 1834, Voltaire, après une traduction n'avait en vain. dans le CoHsert). la Litt. qu'il pas osée en 1820. En effet, on cherche « Cela veut dire très dévot ou le très l'un et l'autre et à sûr ni l'un phrase: dévoué, peut-être coup « ni t'autre. » A )a page 88, au commencement « Le vieux du 1er alinéa, au lieu de ces mots suisse libre est bon « courtisan comme on voit, » on lisait « Cette lettre est du vieux suisse plus simplement digne « libre. » Enfin, a la page 89, signalons encore une transformation. la citation, V. Hugo disait Après dans ie Co?Me~'K. Litt. « Il est probable n'aurait (p. 336) que le malin pas été si chaud Geoffroy « partisan de M)ie Rancourt, » V. Hugo se met s'il avait connu cette pièce. en scène dans Litt. et « De jolis Philos. Mte/e'M vers sans doute. J'avoue de sympathie pourtant que j'ai peu pour cette « espèce de poésie. mieux Homère. » On ne sait ce que vient faire Homère en cette affaire. J'aime La fin de l'article du CoMMrK. Litt. n'a pas été reproduite Litt. V. Hugo (CoHM~. pp. 336-337). termine en souhaitant une 2e édition où l'éditeur des notes, )a collection des supprimera grossira inédites. H y a partout des fragments et ouvrages inédits de Vo)taire le gouvernement devrait pièces « certains manuscrits. H se trouverait certainement dans cette mu)titude des acquérir d'ouvragss pro« ductions ne dans faire un mat ce et de mais qui pourraient que grand temps d'impiété corruption « on se garderait des éditions l'on et se contenterait de ceux des écrits inédits du compactes publier « philosophe de Ferney servir les la intérêts de littérature sans blesser ceux de la qui pourraient « morale. » du CoM~c/ A/M. a été presque entièrement Voici les quelques (1) L'articte reproduit. changements ou suppressions noter. qu'on peut /«. et Philos. « Mme de M* se contente d'en chercher le principe. » 7/:<?<eM, p. 70, ligne d8 V. Hugo avait « écrit: Mme de M* « <'c~'t'M~<e <<<M philosophes d'en chercher se contente, anglais, « le principe. » on lit une phrase sur la théorie du climat de Montesquieu, de fausse 20-23, Page 72, lignes espèce nlef qui lui sert il crocheter les serrures de tous les problèmes de l'histoire. En 1820, V. Hugo devait -5C- ~4?~'<7 1820 t. 1" )X. 341-350 ), !ivrais. pp. avril cf. Z.!«.e<'P/<ï~. 1820; (signé B.), M~/ep.s', pp. 70-80. N.-B. Le 1er article était paru dans ie Co7M~ le 29 janvier Litt., 1820, t. ), livrais. [V, pp. 145150. 6'c/ac/M.?'/<~<?'e/')'aMfMî.7)7~?'e6'<MQ'?'<, ~'aye'c, par M. Lebrun (1). Co?~e?'M.Z!«., t. car il avait mis simplement « Peut-êLre théorie aussi cela de ce que provient-i) )e Nord, les hommes sont moins a se.laisser conduire. disposés (CoMM/'u. ~!«., p. 343).. au commencement de la tout un Mme de M* a Page 74, page, paragraphe, pour plein d'ëtoges Le voici « Au reste, été supprimé. tout ce chapitre de Mme de M* se fait lire avec beaucoup « d'intérêt, de faits, et c'est ta la meilleure manière de raisonner définir une parce qu'il est nourri c'est )a dit une vieille d'ailleurs il est écrit avec une impar« chose, montrer, chronique allemande < tiatité charme une et modération bien dans un si fertile en on y qui exemplaire allusions; sujet « reconnait du style de Mme de M* de la clarté, de la raison et souvent de l'esprit, déjà les qualités « surtout de cet esprit et i mettre de la grâce et de la qui n'appartient qu'aux femmes, qui consiste « tinesse dans les détails les plus usés. (CoMse/'u. Litt. jusque p. 344). du § tV, on a supprimé une liaison sans importance. Page 77, au.commencement au commencement du on lit ces deux faiseurs « Historiens 1 historiens Page 78, § V, lignes Mes amis, dans )e CoM~M. /~«. à. leur place on « d'emphase n'y croyez pas. » Elles ne sont point lit: «Je trouve encore un passage on Mme de M* cite avec cette conduite si souvent admiration « citée du Sénat romain )a bataille de Cannes. Il n'y a pas de philosophe extasié après qui ne se soit « sur cette conduite il a un fils de son ne bonne famille dans n'y pas magnanime; qui, jeune temps, « lui ait consacré si tes encore, quelques phrases d'amplification; moi-même, je t'admirerais peut-être « événements sont nos sous un peu dégoûté de cette passés qui se yeux depuis vingtZD ans, ne m'avaient de Bulletin. « grandeur » (Conserv, Litt., p. 348). les dernières de l'article ont été supprimées. Le Co~Merc. /~«. 70, Page lignes (p. 350) terminait « ne ainsi nous nous sommes de Mme de M"' de l'ouvrage Jusqu'ici occupés que des prolégomènes « nous examinerons les opinions de cette dame sur la monarchie, dans un article suivant qui ne se « fera pas attendre si dame ~h'</M't<M nous le permet. » Tous les critiques fait ont son lecteur V. Hugo se vieillissait remarquer que parfois pour dérouter à plaisir. II faut croire dame lui a. Arthritis ne d'écrire un article a propos des opique pas permis nions de Mme de M* sur la monarchie: en tous cas on le cherchera inutilement dansteCoKMre. /,?«. ignorer « dans cette lo Quelques de Sainte-Beuve dans ta 7!euMe des Z)eMa;OM<<es L. m, lignes (/~eM. des 2 ~7oM< (1) livrais. a propos de cet, article une question intéressante. Sainte-Beuve u;, pp. 230-231, 1831) soulèvent écrivit dans le Litt. de dans CoM~erp. nombreux articles de critique, prétend lesquels qu'Eugène Hugo il juge les ouvrages et les drames articles au de nouveaux, Sainte-Beuve, respirentune qui, jugement accusent conscience et un retour sur un souci comme effaré de l'avenir. tui-méme, profonde pénétrant Il lui attribue la sur il la .')/<M'e Stuart de Lebrun, et cite tout au long précisément critique présente les dernières du Conserv. celles nous trouvons au bas de ta 102 de Litt. et Litt., lignes que page Philos. mêlées « En général » une chose nous a frappés, etc. en avait sous les Il y a trouvé sous la signature Sainte-Beuve, écrivant, yeux le CoHA'er;,). 7,t«. dire deux .S'/ftMCM d ?7ta</o'?'</Me m, d'Eugène Hugo quelques poésies, ou pour mieux (t. ), livrais. sur la j)/o?'< ch< due ~B'M~/tteK, couronnée en 1818 aux Jeux floraux p. 84) et l'Ode (t. ), livrais. ix, tt avait lire récemment dans les t831. Paris, pp. 32't-326). pu j4?tKM<e.< /'OM:a;t<tgMM de [tn-)8, Imprim. Didot. Paris, L. Janet, B. F. 29 janvier « no avec cette note un frère de 388 C'était -)83i, (pp. 50-54) M. V. Hugo qui devait nous donner un poète de plus »], sous la signature de M. Eugène Hugo un morceau de prose, le Duel ch<f;c!/j:ce, E. (t. i, ~t«. avait jadis donné sous la signature que le CoKseru. livrais. Il a du croire les articles de cette initiale il. v, pp. 't65-'t68). que tous signés appartenaient Le Conserv. A!'«. contient articles de la même manière dans le Eugène. cinq autres quatre signés sur t'TH~Otre de FraHce de Vély 2<!vo)ume,sur .4KdrcC/MHter(t.t,tivrais. t, pp. 15-23), (t. l, livrais, sur Clovis de livrais. de Lemercier sur .yt/ayte Stuart v, pp. '174-181), (t. ), v), pp. 217-228), Lebrun un cinquième se trouve dans le 3" volume sur 7eaH de Bourix, pp. 350-362) (t. i, livrais. G janv. mais ces cinq articles ne sont xxvn, //o</He (t. m, tivrais. pp. 274-279, pas t'œuvre 1821), Celui-ci ne fut collaborateur ZtM. accidentel du Conserv. d'Eugène Hugo. qu'un « Deux La 8e livrais. l'affirme des MM. Hugo )'a!në et le plus 320, p. seulement, jeune, « comptent les rédacteurs. » V. Hugo a-t-il protesté dans l'intimité contre l'affirmation de Sainteparmi lieuve qui lui ravissait la paternité des articles Avait-it nous n'en savons rien. tu, que nous signalons, avant l'article de ce n'est car il aurait Sainte-Beuve, autrement, 1 impression, probable, corrigé guère 57- 8 1820 Avril i, livrais. ix, pp. 330-360, cf. Litt. et Philos. 1820; E.), ~r Avril t. ). pp. 95. H6, 97 (en 99, iOO, d02 (la partie seulement), cf. V. 7/Myo raconté, t. t, pp. 447fin), et 103 avec la date 1819. 458, (signé M:<'M, N.-B. –ay'teiS'<Mat'<, par M. Lebrun, tragédie en les comédiens actes, cinq représentée par ordinaires du roi sur le <er (.héatre français le lundi 6 mars d820. in-8~ Imprimerie Didot, Paris. Ladvocat et Barba. B. 1er avril Paris, F., 1820, ne 1096. 9 11 ses conférences à Frayssinous reprend Ce jour-là il parle sur la mort cf. St-Sulpice. 11 avril 1820. blanc, Z~'a/~paM à V. Hugo Lettre de M. Pinaud cf. Odes et édition de l'Imprimerie Ballades, Nationale, et 545. pp. 540-541 l'erreur de son ami. Quoiqu'il en soit, il a protesté à sa manière, il a inséré dans Litt. et Philos. mêlées des lambeaux des articles Sainte-Beuve attribuait à son frère Cette insertion que Eugène. tranche-t-elle définitivement la question et ces articles sont-ils bien de Victor ? Je le crois, car d'une la note du Conserv. Zt«. dont nous venons de parler et qui est catégorique, d'autre part nous avons Victor n'aurait osé ravir à son frère l'honneur d'avoir articles enfouis part pas composé quelques dans une revue assez oubliée à f'époque. Il a toujours dans sa une affection montré, correspondance, il a même sincère écrit ou fait écrire sur lui un article très élogieux dont nous parlerons pour Eugène, loin. plus 20 Dans Litt. e< Philos. V. Hugo n'a imprimé morceaux de son article du mêlées, que quelques Co?Meru. c'est-A-dire toutes les idées générâtes, les théories a propos de ~aWe Litt., qu'il avait émises mais il a tout ce a un direct avec ia a ~<Ma?'<; .on négligé qui rapport pièce. Puisque par ailleurs dans i article entier V. nous ici additions les dans imprimé 7/M~o 7'acoK<c, n'indiquerons que faites, et Philos. au texte Litt. M~c'e~, prinntif. Le § 1 de Litt. et Philos. mêlées dans le CoHM/'u. Litt. ]a 95-96) se trouve (pp. p. 350, mais à « dernière de de fixes est de 1834. ligne propos f'Affemagne pays penseurs profonds, attentifs, V. Hugo n'avait pas osé, en 1820, faire un tel éloge des Allemands. Le Il Litt. mais V. Hugo a intercalé, on (p. 96) est dans le CoKMr~. (p. 351), sans changement, ne sait trop pourquoi, ie un n'est de l'article sur jV(t?'!e mais après Il, § !H qui point ,S'<M<M'<, appartient au t. n, livrais. xu, mai 1820, p. 78). Le § fV (p. 97) se retrouve dans le Conserv. Litt. (p. 352). H n'est d'ailleurs que le développement 2e d'une idée déjà émise V. à ]a livrais. du CoK~er~. T~t~. « l'amour au théâtre, par Hugo (p. 67), « comme veut toujours ia première ». 11 faut ici encore comme intercalé le ailleurs, place signaler nous avons vu t. i. livrais. Litt., § V que (CoMserM. vi, février 1820, pp. 227-228). déjà Les § Vf et V)) (pp. 99-100) se retrouvent dans le Conserv. Litt. (p. 356). A )a page 100, il y a une « H n'y avait à conserver de ~/CM'e il fallait le refaire petite suppression Stuart, que trois scènes « reste et nous ne pensons M. Lebrun en eût été » Ce passage fut supprimé évidempas que incapable. mais contenant une ment, un parce que personnel, aussi, peut-être parce que critique peu dure, que V. Hugo en 1834 n'aurait voulu formuler de cette manière. pas Le § IX enfin (pp. 102-103) les dernières de l'article du Conserv. Litt. reproduit lignes (p. 362), mais que penser de la date qu'on trouve 27 avril 1819 ? Dans F. on a voulu mettre y ZfM~o?'aeoK<(; aussi une date, et a la fin de l'article 1819. (p. 458) nous trouvons Cette date dernière ne peut s'expliquer. ~/ayt'e Stuart fut jouée fe 6 mars 1820, elle fut imprimée fin mars, l'article de V. Hugo pris en son entier ne peut être de mars )a livraique 1820. puisque son 9e du Co/MM'c. Litt. en librairie le fer avril. A la rigueur au contraire il est possible d'exparut la date trouve dans Litt. et Philos. mêlées. Le morceau est un passepliquer qu'on qu'elle précède à l'on tel article ou à tel c'est une à V. partout autre, que joint impression suggérée Hugo par J/sr!'e ou par n'importe Peut-être a-t-il écrit cette note le 27 avril 1819, Stuart, quelle pièce qu'il a vu jouer. et l'a-t-il à son article de mars 1820. On me dira que c'est chercher a innocenter V. Hugo qui, ajoutée on fe sait assez, antidate ses écrits c'est vrai, mais une est ne quand explication plausible, pourquoi s'il est possible de le décharger un peu, pourquoi ne pas fe faire pas la donner; 3o Dans F. 7/M~yo 7'acoK<e', on s'attendrait à trouver en son entier et sans l'article changement sur J/a/e il n'en est Peu il rien. nombreuses est les ou les transforStuart, sont, vrai, suppressions mais nous n'en voyons la nécessité. mations, pas Les pages 447-448 sont une reproduction exacte. A la page 449, à la 10e ligne, on a ajouté ces 58 1820 12 A~7 Deuxième Lamartine 14 15 édition cf. des Méditations 12 avril. blanc, de Drapeau Entrefilet des Lettres le 7Vo?'/MMK</M sur Co~eru. Litt. « Le Mémoire de l'Académie « des !~?!oraM~ de poursuivre, continue sans « abonnés, et sous du chevalier de l'égide « Fonvielle, son sa secrétaire, ignorant et ignorée. Le Mercure <,<course ignorante suit le même Le Co/tseru. Royal exemple. « Lilt. » cf. Lettres ne le suit A'o~ pas. 1820. MtaM~e~, t.x, 272 J4avri) tettrevtf,p. Kpr. adressés le 25 Mt«rs ~~0, it M. VictorMarie M le comte de Hugo, par François Neufchâteau de l'Académie etc. française, ~o;t~-u. t. livrais. Zt< x, pp. 361-362. mots Cf'Mr yas~e Ja.u< gelidas c)irsu le /~M&!COM. CfBSar superaverat (Luca.in.ta~livrais. 15 Alpes, etc. ;)(<). c'e.!< la à la 26e ligne, on a remplacé le mot Aux co7Me'dte/)eM<-e<< ~r6t;tt<<;M/' par intérêt. notable. pages 430, 451, 452, aucun changement A la page 453, la fin du premier a été transformée on oublie le ~:)e?'~OHHa<ye ~jOMr paragraphe ?te plus ~'occMpey une expression et plus énergique on oublie que de /'ac<e!M' rempiace plus réaliste le /je;'MHM<t~e de ses /)OMMOM&. On a supprimé ensuite pour ne plus ~'occKpe?' que de la eapact~e du Co?Mer~. la une 355. est une très Cette Litt., presque page page page pourtant appréciation du genre et du genre curieuse des tragédies eta))emandes. classique romantique anglaises « On disait autour de nous au théâtre n'était mais du que cette tragédie pas du genre classique, « genre nous n'avons cette distinction. Les de et de romantique jamais compris pièces Shakespeare «Schilter ne diffèrent des pièces de Corneille et de Haciue ce qu'elles sont défectueuses. qu'en plus « C'est pour cela qu'on est obligé La tragédie d'y employer scénique. française plus de pompe méprise ces accessoires marche droit au et le hait les la tragédie cœur distractions parce qu'elle coeur, que les recherche, s'adresse souvent il l'esprit et plus souvent encore tous les .« allemande parce qu'elle un « sens. L'une l'autre un tableau Dans l'une, tout concourt attachant. présente spectacle singulier. « au même dans il d'ensemble. veulent l'intérêt se conLes Français but; l'autre, n'y a point que « centre sur quelques les Anglais la variété comme une personnages regardent qualité tragique. « Chez nous l'intérêt va toujours à son chez eux chaque scène en est réduite croissant; propre « intérêt et veut-on voir quelle différence il en résulte dans les effets ? Prenez le cinquième acte « d'une de nos tragédies et lisez-le souvent vous le trouverez faible et languissant; séparément; « lisez-le en le faisant de tous les autres, vous n'aurez rien remarqué, seulement vous aurez précéder « fondu en larmes. « Mais les Allemands se contentent de leurs cela prouve que les Allemands ont moins tragédies. « de goût que nous, c'est-à-dire narration raisonnent moins leurs sensations. Il suffit de la simple qu'ils « des faits les plus bizarres et les plus invraisemblables émouvoir les enfants, les pour parce que « enfants » n'ont la force de leurs vu enfants en lisant la Pucelle. idées des pas comparer pleurer j'ai La dernière un souvenir très probablement. vécu, souvenir phrase évidemment rappelle personnel Le paragraphe 1820 V. n'aimait la et ne se supprimé prouve qu'en allemande, Hugo guère tragédie audacieux car la plupart des suppressions tard, gênait pas pour le dire. Il a été moins plus portent sur En une a ce voici nouvelle à la on une erreur 454. point. 14e, justement preuve page ligne corrigé en la mais cela en auteurs même une d'impression supprimant phrase, supprime temps critique des V. Hugo avait allemands, écrit dans le CoHS~'t). Zt«. « lorsqu'ils ne pouvaient au ils parler cœur, « parlèrent aux yeux /teMre:M; ~'t/.s' acate?t< ~M M ;'<'M/erMer <<<Mt.! de yt<~<M &oy'HM. M Au lieu de faire disparaître les mots nous venons de mettre en il iatlait la que changer simplement italique, et écrire « ils parlèrent dans de justes aux yeux heureux s'ils avaient su se renfermer ponctuation « bornes. » A la ligne suivante dans on lit la plupart des pièces ft«e?MaH(<M. V. Hugo avait ajouté )C CoMSeyu. ou Litt., <!K~/(t!6'M. dans les pages Enfin de style qui ne changent en rien 455, 45ti, 457, 458, on a fait des corrections la physionomie de l'article, mais dont l'utilité ne nous parait pas évidente. sans importance. nous ne trouvons (1) Dans //M~o raconté, que quelques petits changements ~Mx un pas, dans le CoH~'eru. on lisait l'âge 239, au vers 12e, au lieu de ces mots c:<Ot/eMS. At«. yMS~M'tC!, C!<0!/e?M. Au C'est un ennemi seul.. on lisait C'est <o?t eM~e/Ht seul. Page 240. au vers '12s, au lieu de vers 26e, au lieu de Coule en de beaux il y avait dans le CoMM~. Roule en de. Litt. vallons. il au au sein. Guide au sein. Enfin au dernier vers, Page 24), vers 6e, au lieu de Suit y avait lieu de /MMt?MtMMt, il y avait /!MM!'KM?K. Mais l'épigraphe ou plutôt de la /ta/'M<e, a été mal traduit le 'le'' vers du morceau par V. Hugo, r.tj .4~7 1820 ~5 J.-J. CoM~u. AoEK, Litl., Elégie, par t. t, livrais. M. J.-J. x, p. 364. ABEL HUGO. /0?'/pa~/</e, national poème M. Lebrun des en !?!<tMt< chants, par L t, livrais. Charmettes CoH~t?. Litt., x, 2'! 365-374 article. Le ~r article est (A.), pp. du 4 mars -t820, livrais. vu, pp. 247-25S. ABKL HuGo. Le CïM:e~e de 7~ nouvelle et fin) Co~eru. t. i, livrais. Zi!«., x, (suite de cette pp. 386-393 (J). Le commencement nouvelle est du 4 mars, livrais. 270vu, pp. 274. j9e7'ryaMa, parSaint-Prosper V. sur la mort 6~ de Hugo Voir au 4 mars. t. i, livrais. x, pp. 362-363. Z. 13 avril 1820 cf. ~M~o (V. d'Auverney), t. cf. Odes e< Bal?-aco/i~ i, pp. 239-241 édition de lades, Nationale, l'Imprimerie date 1817 avec cette et pp. 408-409, [Avri!] notes et variantes tirées du maquelques nuscrit. Conserv. Reda contient l'Ode duc de ~e?'?'?/ /?M!<M<!OM <OM~: CoMSCrU. Z:'«., t, f, (1) livrais. vers Quatre x, p. 364, J. Sainte-Marie. avant Vous vous aimez tous, Paul, vous n'aimez que vous-même; Mais si vous n'aimez que vous, Il n'est que vous qui vous aime. .eaM<o?!~ graphe Ab avec cette /joe'</Me. Jove principium (Virg.), dans le CoMMr~. Litt. et encore mal dans V. FM~o plus reproduit 1er de la Pharsale « Jam chant Cœsar cursu gelidas superaverat « Jam cursu avait écrit: Csesar superaverat gelidas Alpes » et V. FM~/o « Jam gelidas cursu Csesar imperaverat sens » Alpes. raconté. Alpes. raconté épi(2). C'est le vers 183e du Or )e CoM~o'M. Litt. a fait un gros contre- J. SAtNTE-MARtE appartient évidemment à V. Hugo. Elle n'accompagne (-1) La signature morceaux de poésie, les quatre vers que nous venons de citer et une traduction d'Horace t. n., livrais. A Lydie. ont été reproduits dans Litt. Or ces vers xn, p. 43, 20 mai 1820) à comme V. Hugo. Z'/MM<a<MM (/'OM~eM est donc raconté (t. ), pp. 243-244) appartenant !'œuvre de V. Hugo. que deux (Conserv. t~. FM~o elle aussi de notables a son article du CoM~erp. Litt. (2) V. Hugo a fait subir changements Litt. et Philos. on a une note à )a 2a le mot « /tOMMM de ?/eM, p. ')0, Après supprimé ligne. « On n'a évidemment lettres son idée voulu désigner », V. Hugo avait expliqué par cette expression, « que les prétendus Ao~tMtM~e lettres du jour. Le lecteur fera aisément les exceptions que la justice « demande, et qu'il est inutile A ]a « les fureurs d'une faction remdernière d'indiquer. ligne « les fureurs d'un factieux ». placent V. Hugo a supprimé une attaque contre les poètes en Page 91, à la fin du premier paragraphe, contre les « dont le son c'est-dire libéraux semblables aux cordes de la lyre, varie quand le vogue, « temps ». H leur disait « vos vos ]à des nous font vos Sont-ce Que vers, chants, change hymnes « titres? N'osez-vous un encens comme elle ?. pas renié ie Dieu et brûlé aux pieds de l'idole impur « Je ne suis pas clair, mais vous devez m'en remercier, car vous devez )e sens m'entendre je le sais « de mes paroles n'est Daniel lui obscur vous. «aKhazar n'avait besoin pas pour pas que expliquât les « mots réprobateurs tracés la main la de de » sur muraille son par palais Baby!one. mystérieuse o Au bas de )a page 91. V. Hugo disait «J'ouvris dernièrement un livre etj'y lus les vers suivants. la ~eMNt'Me les plus reliet il citait Sainte en négligeant les strophes 4, 5. 6, 7, 8, c'est-à-dire disons )e mot, les seules vraiment Il ajoutait: vers m'étonnèrent Ces d'abord, gieuses, catholiques. « ils me charmèrent ensuite. Ils sont à la vérité, mondaine et de notre de notre dépouillés, élégance « grâce mais ils respirent une harmonie douce et grave; ils sont riches et cette étudiée, d'idées; « richesse-là n'est pas d'emprunt. Plus loin je vis, sous le titre d'/KMOca<!OM, les stances » qui suivent. V. « & et toute la pièce puis continuait ses éloges Il est difficile de rien voir de supérieur Hugo citait et cette charme de la Le véritable i'amour triste sérieux .<: amour, jolie pièce pour le pensée. y est « exprimé et expressive » V. Hugo avec une moHesse dont la suivante offre encore un modèle. vague faisait alors une longue citation de la pièce .S'OMMKtr (9 strophes sur 48). Nous ne trouvons et Philos. donc point les trois premières du w~/e'M). lignes § !H, p. 92 (Litt. Une partie de l'idée se retrouve dans ce que nous venons de donner, mais une partie seulement. A )a 40 ligne, V. Hugo a simpiitié « ses éloges. le trouvai dans ces vers quelque chose d'André de Chénier ne vaut pas évidemment « et si du CoHM/'u. Litt. Je trouvai dans ces vers si M:e7o</teM~c l'expression « ~OMcAaM~, quelque » A la 8s ligne, chose d'André de Chénier. le mot /<cAcM?' remplace le mot uar:'f.<e. n'ont jamais a l'article du Conserv. Litt. Elles sont Page 93, les deux premières lignes appartenu le commencement d'un article de V. Hugo sur A. de Vigny ~PoëM&s, //e7e'Ho, /f; .S'o~Mam~M~e, la fille de Yc/)A<c, etc.) et Philos. du 24 mars danslitt. 1822, et dont la fin se trouve qui parut dans l'Etoile au bas de la page 159. /H~/eM, Au lieu de ces deux lignes, V. Hugo disait « Dans un autre endroit du livre, je lus un dithyrambe « sur la Poésie de tout ce que renferme la Bible était terminé cette .sfwe'e, où ie tableau par strophe .60 15 1820 15 Aurt/ CnAZET </e .ËVo~e A:'6'<or/</Mc le ~Mc S. A. 7Ï. ~/y/' in-8, ~erry, grand Pillet. On le trouve à B.F., au 29 avril, Paris, n° 1529 cf. Z)?'a;)cf<M blanc, articles élogieux. 15 et 23 avril, l~et 8 mai. i. ALISSAN CoM.!e~.7~t. (V.), 15 avril pp. 90-93. DE 1820 i, livrais. cf. /.<«. 3T4-38<, M<?/e'M, x, pp. et Philos. Second </<e'd<?'e /'?'a/tpa!.s'. C~a?'Spectacles. en cinq actes, /Vaua~'c, tragédie par M. Brif:)ut(2~ et dernier artic!f)(l);CoMse?'< t. f, livrais. Litt., x, pp. 382-392 (signé H.). N.-B. Le 1er article était, paru )e 25 mars 1820, CfMMeru. At«., t. t. tivrais. vm. pp. 307-3H. Revue /«pr~ï?'e. ~/j!7?'e homme ?'eM< <~eueM!'?' qui Y~:e la /)?'ïMceMe C. de S. a un !<r!y«?t<, des ~'a/~ les ;)/M~ ?'eMtar</Ma6/c.s' c<e S. -4. li. duc de .Se~'ï, de la vie de précédé auteur ~a?' ~t. J. C. 6'a!H<o~per, xey'ua~eM~ au XIXe o?'?te siècle, .Mi<7<' et d'un portrait f/M~7'?!CC .Se?'?-<Mn<ï ou /~CMe:7 AoKM~e par de bonté le feu ~?' ce prince, de l'Obf/'Mn foc(2). il citait les dix derniers vers de Lamartine). « Ailleurs, la cause du déplorable (alors des athées était exposé en vers qu'il suffira de citer pour la beauté. » en faire ressortir « Enfin dans une épftre seize vers de ~tett). éclatante de poésie, adressée & Lord Byron. du morceau et V. Hugo terminait ses citations derniers qui suit par tes trente-quatre versdeZ.00MMKeaZ<M'<<J3yn)K. « A de pareils avec Laharpe ~Mte/K/e~-fOMS le e/<aM< du poète » vers, qui ne s'écrierait V. Hugo terminait enfin par le dernier de la page 93 (Z!«. et Philos. paragraphe M~/e'M). « majestueuse « aveuglement (V. Hugo citait « je fus frappé avec plaisir, sur cette du parterre il dit-il, (d) V. Hugo revient pièce qui n'a pas réussi auprès aura de succès des lecteurs maintenant est espère qu'elle plus auprès qu'elle imprimée. il ce « Nous allons sous du mettre les lecteur Après préambule, ajoute yeux quelques fragments « d'une scène de cette tragédie au hasard. » Il nous semble ta scène n'est que nous prenons que pas au hasard mais choisie A il dessein semble aussi V. son article a un prise que Hugo depuis premier dans son sur Charles de Navarre. la représentation, il avait cru cette peu évolué opinion Après libérale à la il iecture s'est aperçu scènes avaient une allure bien différente. pièce trop que certaines et pour hti-même il veut Pour son lecteur ses nouvelles idées et c'est de ce de vue qu'il point justifier choisir la scène se place transcrit. pour qu'il 11 s'agit d'une entrevue entre Clisson et le Dauphin. Clisson d'abord exhale librement le cri de sa et de son ressentiment. t) a vécu de sa haine douleur elle est son espoir, son bien, son avenir, il veut se venger, troubler Le lui en lui au nom du roi et en le noml'empire. Dauphin répond pardonnant mant La patrie a besoin du bras de Clisson, son pays et lui rende son roi. généra). qu'il affranchisse Clisson Les allusions à la Restauration sont très dans cette citation accepte. transparentes longue dont nous résumons les idées principales et c'est la raison i'a fait choisir V. qui par Hugo. « Ces vers sont loin de manquer Il ajoute: de ]'éc)at et de la noblesse Plusieurs d'entre tragiques. « eux sont d'une beauté et » et par les idées. .)e crois bien que ce sont remarquable par l'expression les idées, V. à dictent son car la scène a citée ne m'a pas l'auteur, que Hugo prête qui jugement, qu'il semblée très entraînante. H termine « Pour faire ainsi une part à la critique nous aurions dans désiré certains endroits « plus d'élégance En résumé, et de poésie. la pièce de M. Brifaut n'est à inférieure bien (les pas « pièces de nos jours. à nous, Elle nous a la Jeanne d'~h'c de semble, prônées quant préférable « M. d'Avrigny la conduite et le la Jeanne <4/'(; à mieux réussie. Combien par pour style. Cependant « faut-il de libéraux former un sot » pour public ? au premier des deux ouvrages Un mot de critique que quelques (2) V. Hugo n'a consacré lignes et un mot d'éloge avec deux ou trois citations. La galanterie de son mais l'empêche justifier opinion, Mme de S. a fait entrer dans son tableau des personnages s'étonne trouver, elle a tenu qu'on d'y dans l'ombre des caractères devoir se présenter à son esprit. Sa versification .est pure, qui semblaient facile son ne ni de chaleur ni harmonieuse, style manque d'énergie. V. Hugo est plus à l'aise pour louer le second ses éloges ne sont d'ailleurs remerouvrage qu'un 6) 15 Avril 1820 17 Co?iM?'u. d'Adèle Foucher à Hugo, cf. Lettre 4 fé.~nn<ï~ et /«~'a!?'ex, politiques I) y a dans les Annales, vrier 1912, p. 110. a la p. 110, deux fragments de la même lettre. (signé Zt«., t. ), livrais. x, pp. 393-396, U.). à un /<OHHg/e AoMMMc. par N-B. ~t<e Imla Princesse C. de S. (de Sa)m).in-8, Mme Arthus Bertrand. Paris: Paris, Cellot, primM'ie 13. F., 18 mars 1820, no 914. ~err!f<?ta. Paris, ris 25 avril 1820, In-48, imprimerie et Le Richard n° 1341. Lenormand, Normant. B. PaP., à E. Géraud. V. Hugo de V. Hugo du 21 mars E. Géraud de son article Il lui envoie 7)/o?'< du duc de ~?'?' l'Ode en question et le plusieurs opuscules, ~«. H voudrait un 1* vol. du Cott.N. avec la Ruche ils a!4~M!<H!'HC échange défendent la même cause cf. MAumcE ALBERT, sous et la C~t /<OMMte de lettres /npi!?'e Flam7!M<aM7v~!on,<<M:OM~G'e?'aMN!. In-12, Paris. /~<rof<MC/<OM, marion, pp.xvn-xvm. 16 de V. Hugo 1815-1835, ;jOM~?<ce 18 Lettre remercie sur l'Ode Lettre 20 Lettre de V. Hugo à Adèle Foucher Lettres à la ~a?<c~, pp. 23-25. Trébuchet Lettre de V. Hugo à Adolphe 12 mai 1886 et Corre~oM6f<!Kce Figaro, à Adolphe 7~rc&MC~e<. Hugo Le /yo!?'o, en donne 12 mai 1886, quelques le reste est inédit: cf. lignes, Appendice. jLe«?'e a!46e/ ~3 à St-Sulpice, de l'étaFrayssinous, parle blissement de la reHgion considéré chrétienne, comme de la divinité de la religion preuve 26 avril cf. l'Ami de la Religion, 1820, no 596, p. 342. avait dû donner Frayssinous cette conférence déjà l'année précédente. ;? Chateaubriand, Paris cf. Journal entre Rupture cher cf. ~c«?'M venant de de /)'!s, les familles à la Fiancée, arrive Berlin, 26 et 28 Avril. a M. Pinaud cf. pp. 358-361. ~~5, pp. N.-B.– renferme poM</aMce « Figaro » liarité. Co?'Mcf. cf. ~5- 6-7. toute la lettre et ne Le Figaro reproduit La Corresqu'une petite faute de lecture. a négligé deux longs passages. Dans le toute fami)iarité « la fami» remplace à et FouHugo pp. 28-29. a imprimé l'Ode de V. Hugo, sur La bien dû à Saint-Prosper dans son livre, ciement qui, justement V. des de mort du duc de Berri. Nous indiquerons appréciations Hugo. rapidement quelques-unes recuei) est écrit avec beauson utiie « La vie (du duc de Berri) dont M. Saint-Prosper fait précéder a/iKOMce liberté « coup de talent. 0?t y avec ~/aMt?' cette qui d'opinion ~t~epeH~aMce ye~M/'CMe » Nous avons souligné <: de l'esprit, il de réussir dans un était pareil sujet. et~ans laquelle impossible de V. Hugo. mots qui nous montrent quelques déjà les tendances « la gloire trop méconnue H cite~ensuite de longs passages de la vie du duc de Berri qui vengeront de l'ouvrage « elle ren« démette ». fi parle noble armée de Condé aussi de la partie anecdotique et d'intérêt. » elle est pleine d'agrément ferme un grand nombre de traits peu connus. la vive cunosité sans V. Hugo ajoute entin « Saint-Prosper, que son titre excitera pour satisfaire vers de différents auteurs sur la « doute en prose et eu a joint à son ouvrage un choix de morceaux sans doute. Nous « mort de Mgr )e duc de Berri. » V. Hugo ne nomme par modestie pas ces auteurs, dans )a 7e livrais, du CoMM/'u. à son silence. Le premier c'est son ode imprimée morceau, suppléerons VicTOH HuGO (pp.l!)l-t97). Elle est comme le dit une note de Saint-Prosper. Elle est signée: Litt., d'une ode de Charles de vers de suivie d'une ode de Lebrun des Charmettes, Uesaugicrs, d'Egvitiv, de voir son nom ces noms assez V. Ilugo n'était L'honneur précédant Loyson. pas mince, pour i!fustres.àeette époque. ti2 20 1820 A<<7 28 Enterrement 6/aKC, Drapeau de Volney à St-Suipice 28 Avril 1820. cf. maitre est nommé Hugo de Besançon V. Hugo avant floraux cf. ButH, ès-jeux et G. S)MON, T~K/M/tee de 1830, p. 130, le texte même F. ~K'/o, On y trouve p. t94. du diplôme. a Dernière conférence de Frayssinous la société ~a?'e<<y!OM,&a.~e~e St-Sulpice cf. La Quotidienne, 2 mai 1820. V. 30 Fin Lettre dite cf. d'Eugène Hugo ~4~)/)e?t<ce. a A. Trébuchet. Iné- ~a< 1 Mlle à Paris, arrivée Georges, depuis quelques vadébuterincessammentau2'!thëâtre, ~<«(~'a<M?'e /?'MMCM~'e. ~e./H~</Me.)<e(~):Co?).s-e~.7~/< jours Œ'Mt7?'&S' /)0.</tMMtfA' t.)t, tout cet article, sauf les dix dernières n'a pas été reproduit. (i) Presque lignes, Le début de font les sur les lecteurs. (pp. 13-14) parle l'impression que ouvrages posthumes avec ceux précédemment ces ouvrages ne croient a l'auCeux-ci, parus, qui comparent pas toujours « de ce qu'on leur présente, car le mérite de ces sortes de livres thenticité est toujours moins grand » V. « que la réputation des hommes on les attribue, continue auxquels Hugo par quelques lignes « de bon sens: Ce sont les essais ou les derniers travaux des écrivains pleines presque toujours premiers nous livre leur mort dans « fameux l'on celui des passions, le génie après qui précède que t'age dans où le cœur est se décolore: de ta, )'infériorité de ce «sommeitte; refroidi, l'imagination t'age et la aux l'adolescence vieillesse. C'est donc auteurs de se des éditions préserver <f que produisent de leur leur commande de l'intérêt détruire tout ce ne t'accroîtrait « posthumes; gloire qui il faut condamnent eux-mêmes a. mourir avec eux tout ce qui ne pourrait < pas qu'ils point i) < vivre après eux. Et ici nous parlons ne faut brû)er en un manuscrit sérieusement point pa.rade la copie dans sa poche. Lutti agit ainsi, < dont on conserve et Lulli passe pour avoir fait de méchante Gresset brùla de bonne foi le recueil de ses médisances et les épigrammes « musique. poétiques qu'il « a jetées au feu ont une réputation n'auraient s'il obtenues les eût livrées au qu'elles peut-être pas » « public. V. Hugo, de si bons conseils aux auteurs, ne les a point mis en pratique, il concar qui donnait servait alors ses œuvres de jeunesse, et plus tard il n'a rien brûlé de sa précieusement des. œuvres vieillesse. V. Hugo, ce début, étudie les œuvres de Delille. morceaux auraient après posthumes Quelques pu ne pas trouver dans ce mais dans de volume, on reconnait encore place beaucoup passages l'imagination du peintre des Jardins, l'âme du chantre de la Pitié. V. Hugo n'aime le de la Poésie pas père il lui l'auteur des vers si touchants de la Pitié sur les malheurs de la famille préfère ~esc?'tce, Delille sera sans doute le chef d'une mais cette école sera te talent écote royale. dangereuse s'y « égarera, et ta médiocrité trouvera un elle sera inutile: Delille y refuge déplus y dominera toujours « seul, et il n'y formera de disciple le maitre. Peut-être aussi faut-il être un qui puisse jamais égaler » « Homère faire des pour Virgiles (pp. 't4-1S). V. Hugo tient cependant à défendre la vie etles œuvres de Delille contre les Aristarques sévères fut « Personne ne niera, n'ait été dit-il, qui prétendent qu'il ne que versificateur par le talent. qu'il le caractère w. V. n'oublie de nous montrer en Delille le et de choisir « poète par pas Hugo royaliste, des citations lui de faire ses sentiments. Ainsi dans le discours inédit qui permettent paraitre propres de Delille sur t'.B'<<M(;a<!OH, il cite l'éloge du grand « semble Dauphin, éloge qui inspiré par les vertus « de notre duc de Berri et dicté par les circonstances » présentes (p. 't5). V. Hugo aborde ensuite le joli de Delille sur « Delille le d'Eden. a su se préserver poème /)epa?'< « de tout tuxe descriptif la tecture de son poème est attachante, et s'il présente dans certains endroits « de la prolixité, elle est presque toujours dans le style et rarement dans les idées. On y reconnaît « partout et l'harmonie de Delille (p. 16). » t'étégance V. Hugo cite après deux dans cela il signale un manque de simplicité, un longs passages lesquels de une recherche A tous ces de détail s'en diffusion, peu d'expressions antithétiques. reproches ajoute un autre Delille avait mis dans ta bouche de Michel ces deux vers. plus grave. l'archange vos crimes, pour expier Dieu se doit vos ma)heurs, il se doit des victimes. « t) nous semble, dit V. Hugo, inexorables ne sont ni au texte ni a conformes que ces paroles 63 6 ~820 ~a: dans C/<pMtMM~'e t~ mai 1820. 2 cf. C?Y<;jeaM blanc, Note de une colonne et demie sur le serv. Litt. non signée cf.oK~<n/~e./Va?:<e~ et de la /.où'e-/H/'e'?'ï'eM?'e, 2 mai. V. Hugo obtient d'or réservée, pour à Toulouse une Moïse SM?' le Con- amaranthe livrais, xt, pp. ~<os.M<?/e'p.H9. ~3-20, signé V. cf. N.-B. CE'wM de J<tc</MM Delille, les œuvres lume, contenant posthumes et en vers suivies d'une table générale tières. Paris. Everat, tn-8~!mp. Paris, H.F.,5fevrier-t820,n"435. Z/«. <~ -17' voen prose des maMichaud. Maître noraux ès-Jeux V. Hugo est proclamé cf. Lettre a V. Hugo, de M. Pinaud du 9 mai 1820 dans les Odes et Ballades, de édition Nationale, l'Imprimerie p. 544. ti Poésie. </c//eM?'t lis d'or, J'Ac:'démie Le ?'e<a~MemcK< de la s<a~Me en 1819 le 7P, Ode qui a remporté extraordinaire prix proposé par des Jeux floraux par M. V.-M. Co?t~?'u. t. n, livrais. jL~< Hugo X!, pp. K-7. Voir au 5 juin ~819. Prose. Le FcM<<eeK et /eFoyayeMr, dialodu bas-breton L. Th. P. pue imité Signé ~'oK.sprM. t. n, livrais. Z!'< Ce xt. pp. d2-i3. morceau est de L. Théodore Péticier. 8 Le 7)VoH:/cM7' Universel du 8 mai 1820, des vers à l'occasion de p. 6i4, parle publiés la mort du duc de Berry. H se borne à donner des noms d'auteurs Charles Lebrun Loyson, des le comte de Charmettes, d'Ecquevilly, V.-M. Tezenas de MontbriValory, Hugo, H cite un seul V. Hugo, à son, etc. auteur, il emprunte deux celles qui strophes, qui commencent les vers suivants par Kt toi, veuve Pourtant, 9 Lettre eptof'ee, ô frêle au milieu de l'orage appui de la tige royale, de M. Pinaud a V. Hugo édition de )'imprimerie Ballades, p. 544. cf. Odes el Nationaie, d'un inédit BM~-Ja7'~6!/ (Extrait ouvrage intitulé Les Contes sous la lente) CoMM?'!?. t. )t, livrais. sans signaLitt., xi, pp. 23-31, t. i, pp. 367-377. ture cf. P; /~Myo raconté, H n'y a que trois petites corrections de style sans importance et inutiles. comme un maitre des livres saints. Le Dieu miséricordieux est ici représenté l'esprit impitoyable. Nous pensons que le discours de l'archange aurait été plus en harmonie avec )e ton général du poème au et des traditions avoir en de l'irrévocable sacrées, annoncé, mots, si, après peu couple pécheur, du Très-Haut, il leur eût présenté s'étendant volonté consolations en sur les félicités de quelques l'autre eu rappelant les promesses de l'Eternel et le Messie qui rachètera les hommes. vie, et surtout Il est bien vrai que Dent)e a effteuré toutes ces idées et donné à Michel un air doux et se't~y'6 à la mais le cœur n'est point satisfait, on désirerait se montrât encore fois que cette douceur plus dans les paroles divin (p. 19). » que sur )e visage du messager dans Litt. Les dix dernières de l'article et Philos. mêlées, Elles lignes (pp. ')9-20) sont reproduites le premier sur forment alinéa de la page Voltaire. son char de 119, « il ne faut point ~M'yer « <r!'o~Ae. » « « « « « « « « 64 f; 1820, Ji/at 15 V. Hugo dépose de ;)/<e.<C7'6M 15 février Paris, a l'Académie le Ce'~OKpwcyK cf. ERNEST DuPUY, 7~6UMe de 1902, p. 857. des Jeux floraux a tenu L'Académie le 3 mai. Aucune Ode séance annuelle, le prix de t'année deux ont mérité obtenu intitulée L'une, d'encouragement. prix de Zf)u:s' est de M. Dieulafoy Siècle .Y/F, sur le Nil l'autre qui a pour titre ~oy.~e connu de M. Hugo, jeune poète déjà par succès dans le même cf.bM~ta< genre 15 mai 1820. ~a7'<s, 20 ~7'o.s'e. Le ~M/MK, chant L. Th. P. du Polonais par t. n, livrais. xn, pp. 44-45. Pëiicier. de L. Théodore Zcs /t~M de /7<o?KMe. suivi de notes historiques sa n'a un le 7'/«'e Spectacles. comédie leur, M. Gosse. Second en cinq /Mpa~ actes et //te~<7'e français. en comédie actes et en cinq ville CoM~e~. Lill. (1) H. pp. 31-37, Signé Le en vers, Flat- 6 par ~Wo~Mte vers, t. u, poli, de M. Merlivrais. Xf, N.-B. est des de imité élégiaque, C~~r~: Z.!«.. Ce morceau est Poème en 6 chants, par M. P. V. Bois- Le Flatteur, comédie en 5 actes et en membre de ia société Gosse, vers, par Etienne les comédiens par philotechnique, représentée ordinaires du Roi, )e t! mai d820. In-8, Imp. Fain~ Barba. B. F. 24 juin )820, no 2282. Paris, Z'OMMe ou la Fausse bienveillance, poli en 5 et M. MerviHe, comédie actes en vers, par les comédiens du Roi, sur le représentée par le 2e théâtre le 8 avril t820. français, tn-8, tmp. Barba. B. F. mai t3 Fain, Paris, 1820, no 1642. Poésie. ~HtMe. A e~c. Ode. Lydié. (Hor., lib., Lydia, ), Ode. vui.) ~'e ~s?' 20 (i). et de l'FoTMMte est (1) V. Hugo n'a jamais reproduit )a critique qu'il a faite du f/o~eM?' ~o<t. d'en découper des morceaux à cette d'aittcurs car son travail se prêterait H dimcite peu opération. tes deux et les suivre à V. en a faut lire ce que écrit. pièces pas pas pour comprendre Hugo seulement noter des idées ou des afïirmations de V. Nous allons quelques-unes Hugo. !t commence n'est pas un caractère )a pièce de M. Gosse n'est qu'une que flatter pâle copie du Tartufe. par prouver il flatter A ce sujet de piété est un motif rien d'avilissant. prétend que par de faux dehors qui n'a nous semblent V. L'idée et l'expression fausses. encore le ~a~eM?' au également Hugo compare il s'amuse à tourner en ridicule vers ~e'c/ta?t< de Gresset, est puis pour le style, quelques (la chose à prouver sont empruntés à Housseau tacite pour n'importe quel auteur), que certains qui les a pris à les a à Juvénat. qui pris Regnard encore au ~/e'cA6[?t~ à propos C'est pour lui le même V. Hugo revient de t'Z~o~t~e poli de Merville. de toute originalité. Il résume la pièce les défauts tout en critiquant rendépouillé qu'il personnage mais on trouve de choses intéressantes à dans ses sauf contre peu appréciations, quelques glaner dans le de celle-ci « En une erreurde croire réflexions c'est que parce générales genre généra!, qu'une « chose nous a fait rire dans le monde, elle fera rire au théâtre. Un homme disant une sottise, grave, il sera hué. L'avare, « réjouira tout un cercte. au théâtre )e joueur, le jaloux, ne font ceux pas rire ils les mettent au désespoir. » « qui les entourent du Conserv. Litt. et celui de raconte sont tellement le mieux. (1) Le texte Hugo difTérentsque tous les deux. est de les reproduire Conservateur Au Littéraire. V. //M<yo raconte. des Dieux dont tu te ris en ta folle tendresse, Lydie, donc 9 Veux-tu perdre Sybaris? Dans les liens où tu l'as pris Va-t-it consumer sa jeunesse ?9 D'où vient en mépris prenant que et sa poussière, Le champ de Mars Il ne vient dans la carrière plus ses coursiers 9? Guider aguerris nom des Dieux dont tu te ris, en ta folle Lydie, tendresse, Veux-tu donc 9 perdre Sybaris? il est épris Dans l'amour dont Va-t-il consu~ner sa jeunesse ?9 n'a-t-il du Pourquoi que mépris Pour sa noble Mars. pour poussière ? dans l'arène Pourquoi guerrière, ses rivaux Surpassant surpris, Ne franchit-il la carrière, pas Fier de ses coursiers aguerris ?9 son coeur n'est tibro, Depuis que plus craint-il du Tibre? 9 l'onde Pourquoi sur membres ses flétris, Pourquoi~ N'ose-t-il l'olive 9? pas verser ta tendresse craintive Pourquoi Amollit-elle ses esprits 9? sous l'armure Pourquoi falisque Ses bras ne sont-ils meurtris ?9 pas de la fléche du et Pourquoi disque N'a-t-il mérité le prix pas ?9 à la douleur en proie, Jadis, à la cour de Scyros, Thétis, Au Sur nom son et jadis souple corps, l'onde du cramt-il Tibre, Pourquoi flétris Et d'oindre ses membres Du sue de l'olive généreux Et dans sa nonchalance oisive, De fatiguer ses bras meurtris 9? Au poids de l'armure falisque libre, et du disque de la flèche Pourquoi a d'autres le prix Laisse-t-il ?9 à l'inquiétude en proie. Telle, à Scyros, Thétis, autrefois, –65– 9 1820 ~t sières. (Signé xii, pp. 55-60. S.). Co?:sgy'u. Lill. t. n, livrais. CoM.s'<«.t.u, livrais, xn, p. 43; 2*) vers. cf. F. Hugo raSigné .1. Sainte-Marie; t. ), pp. 243-244 26 vers, conté, Lydie. </t'c livrais.,i, OMM~, Horace, Ode Lydia, ~y' cf. les Odes et Ballades, édition de l'Imvn! le Nationale, p. 410. On y trouvera primerie texte du Co)'t~<'?'H.Z<«. Littérature du Croisé; a/t.e. 7t?~?~o~,ot< tVM/<cr Scott /)ny (4) /e/!e<OMr Conse~'u. 1Loin des fatales tours de Troie Elevait un naissant héros, de leurs muraiHes, Qui jusqu'au pied Sur tes Troyens anéantis. Devait semer les funéraires donc une autre Thétis ?9 Es-tu Loin des Dérobait funestes le naissant tours de héros de leurs Qui, jusqu'au pied SuriesTroyensaneantis Devait semer les funérailles Es-tu donc une autre Thétis Troie, murailles, ?9 a peine En voici le résume. deux de son long article. W. Scott (')) V. Hugo a reproduit pages sur des et des souvenirs nationaux mais son nouveau plus fCoH~'u. Litt., p. 45) roman, sujets « a du mérite et du succès. Le talent est de tous les lieux comme de tous les Ivanhoé, cependant « temps. la terre » le génie ne perd pas ses forces, comme en quittant maternelle. Antée, La traduction l'on vient de est mais un éclatant en faveur c'est publier que négligée témoignage « Si un ouvrage de W. Scott. doit être regardé comme bon. c'est quand un mauvais traducteur n'a « point réussi à le rendre » ~CoMM~M. Litt., ennuyeux, p. 46.) V. ensuite des luttes nécessaires entre deux habitant la même dont terre, parle peuples Hugo t'un est vainqueur et t'autre alors surtout a inégalité de civilisation entre les deux vaincu., qu'il y dans le cas présent il s'agit des luttes entre les Saxons vaincus et les Normands nations; vainqueurs. W. Scott a trouvé dans ces guerres est riche une. matière féconde son nouveau roman d'observations il ne non vérité dans les locales et les détails morales, manque pas plus.de peintures historiques. n'écrit (CoM.fe/'M. Litt., pp. 46-47.) Pour accroitre encore de la composition, une troisième race se présente naturellement t'originatité au milieu des deux peuples la race juive. « W. Scott a su tirer de l'aversion générale qu'elle inspi« rait, une foule de scènes neuves tantôt amusent et tantôt intéressent. » ~CoM~t?. Litt., qui p. 47.) V. Hugo cite alors « une page de W. Scott tableau fidèle de la sorte exerd'hospitalité que l'on « çait alors envers les Juifs. ~CoK~'u. Litt. p. 48). H a reproduit la page 49 dans ~«. mais il n'a pas manqué et pAt7o6'. M~e'e.s' (pp. 50-5i), d'y faire suivant son habitude. Les cinq de la page 50 (Litt. et. quelques premières changements, lignes trois l'idée mais non du CoK6'e/'M. Litt. les dernières /Vt!<o<.wc/ee.s') reproduisent l'expression (cf. de ta La au bas la et Philos. a subi dans dernote de 50 ses.deux 48). lignes page page (Zt«. mêlées) nières à ta phrase. Au lieu de ces mots: lignes une transformation qui donne plus de vigueur 7Mt/'coMtil met de /'M~Mt'e/' au service de la doctrine </M avait le bon rabbin ?'MM:/t, plet. qui f~ë/'teHce y le savait peut-être par ea;pe'eMce. (Co?Me?'M. Litt., p. 50.) Les deux premières de la 5i et Philos. ont conservé t'idée mais non (Litt. lignes page mêlées) du disait: « CoMM/'M. Litt. Cetui-ci A <~o?tt~M /'e;cecr<!<i'OM, pas l'expression /<t<e~e'<ateM<o<<'<. « ~e~&t~Ha:< M <'Meo/'e </aM.< toute la cA/'e<t'eH<e/e/)/Mspro/bM<< Mte/j/'M. Il y a évidemment plus d'énergie dans « ~o:7<!MNe'cAa?t<OH</eA<Me;MOtetM/tec/<aM<t7/OH~eM:e~'M.)) » Litt. et Philos. 7M~/fM. Un peu plus loin, dans la même page, on a fait une suppression Parlant de la qui a son importance. du professeur de Kœnigsberget de Antoine, ministre chrétien à conversion.)u judaïsme Rittanget il la écrivait avaient embrassé loi mosaïque Ce Genève, qu'ils au<;M<eM!eM< « par MM Mtco?:ce~a&<e dans et chrétien a Litt. Philos. MM/eef. jugement, trop disparu Enfin il a ajouté un paragraphe dans le CoKseyu. Z?'«. dont nous ne voyons point l'équivalent <cAujourd'hui, il y a fort peu de juifs qui soient juifs, fort. peu de chrétiens chrétiens. On qui soient < ne méprise ne croit matheur Jérusalem et Saloon ne Immense plus, hait'plus. parce qu'on plus. « mon, choses et choses mortes. Il y a Paris et Voltaire. Tout ceci est Home VII, mortes Grégoire certainement de 1834. Dans le CoMM~'u. Litt., V. Hugo continue en citant de longs fragments de Scott (cf. pp. 50 à faites au roman. ce qu'on, a pu 53). Pour terminer (cf. pp. 53-54) il parle de quelques critiques Malgré Wamha et ses plaisanteries un peu bizarres il aime les tournois, les dire, il aime le bouffon parfois t) d'intérêt ne lui les souterrains. les etc. a trouvé un défaut l'unité châteaux, voleurs, plus grave L'attention se divise entre Howena et la juive parait Hebecca, pas sauvegardé. lady qui à certains moments parait être le personnage principal. Enfin le dernier du Coltserv. Litt. se retrouve dans les quatre dernières de la lignes paragraphe et Philos. I.a citation commence de la page H2 ~t«. page ~tl et les trois premières ~M<e'es/ par ces –M– 20 1820 ~< è Zï< t. n, livrais. X)t. ~ï~.e</V«7oA-t<?/<'e.t. 112. pp. <, 45-54. i, V. 111- Signé 50-51, pp. N.-B. FuecM/toe ou le Retour dM C~'ot'M, par Waiter roman traduit de Scott, Fangiais, par le traducteur des Contes de ??<o?t A6<e, 4 vol. in-12. h. Nicolle. B. F. Cosson, Paris; Paris, Imp. 8 avril 1820, n° 1250. w d'un inédit ~M~a~r</ (Extrait ouvrage intitulé Les Contes Conspru. soM~/M <c/t<e) /~<. t. < livrais. sans 63-72, x)f, pp. signacf. V. t. 377-388. ). ture racole, Hugo pp. a six ou ou omissions de ll y sept corrections sans phrase importance. Institut Royal de France. Séance ~Me6t?tMMC//ed<'s<yM~<7'e~icadf?/Kg.(24Avrit Congru. 7./M. t. n, 1820) (1). pp. 72-74. (Signé M.). Spectacles. Second théâtre radin et ~'e'rtc, ~'o'ye'dte M. Liadières Con.s'e?' par (1) « On ?:OMS promet le 7~o?tas<ëre. M Le mot faiseurs remplace nous en avons sur notre bureau une pile, remplace pile. V. Hugo a glissé écrites en mai 1820, dans un sept on huit lignes et aux pages qu'il a ainsi arrangées, il adonné postérieur, pour date mots livrais, français. en cinq /«. e'e/'teaMte/s article qui Avril 1820 publi- j'en ne peut ai xn, Conactes, t. n, h- là ctre une que Il y a en effet nulle (1) V. Hugo n'a reproduit part ce compte-rendu académique. peu de choses à en citer. H y a, au commencement, sur le intéressantes une longue page dégoût qu'éprouvent pour les lettres les hommes le bulletin des pairs ou l'ordre du jour des de 1820. On aime mieux lire à V. Hugo, en passant, tient à montrer sa science de )a littérature et se moquerde M. Carrion députés. de Nisas, le dithyrambique. H parle des discours, des lectures faites à )'Académie. La voix de l'un des orateurs était ensuite a été un autre lu une dissertation un peu trop Tout ce compte-rendu a fait, je peu élevée, longue. à M. a en crois en vue de la dernière lecture faite l'Académie. Picard M. )e Comte lu, effet, pour bien, dont la santé ne lui permettait à la séance, une traduction, de Neufchâteau, François pas d'assister en vers, de divers des poètes de la Philosophie des Poètes, fragments comiques grecs, qui fait partie M. V. de les savantes travaille de Neufchâteau. ne manque pas ouvrage auquel Hugo signaler remarques la et enfin la et la facilité de celle-ci. traduction, qui accompagnent grâce w V. Hugo a extrait a introduites avec des changements qu'it (1) De ce long article, quelques phrases dans Litt. et Philos. mêlées. Pour ne pas y revenir, citons immédiatement la première. Texte du et CoMser~. Litt. En M~ mot il !KueM<e des ressorts semble dramatiques (p. 78) (M. Liadières) de les à artisan la force de semblable cet grec qui M'eM< pas manquer vigueur pour /<!tre~oMer, ~M~e l'arc Voici maintenant et Philos. mêlées Il y a le texte de Litt. </M't< avait forgé. (p. 97) des poètes t'MueM<eK< des ressorts et ne savent OK ne les qui dramatiques, pas peuvent pas faire à artisan de <*a?'c avait semblables cet ?t'eM< la tendre y'or~c. JoMe/ grec qui pas /brce qu'il Le reste de l'article, sauf une douzaine de lignes, n'a été il renferme reproduit pourtant pas Il ia un peu idées ou théories intéressantes. débute un de quelques par long exposé pièce, exposé aride des jugements, des critiques fines et mordantes qu égaient ça et là des appréciations, (CoH~ert). f,itt., pp. 74, 75, 76.) V. Hugo a écrit ensuite un long paragraphe sur la vérité sur )e plan de cette tragédie, historique et sur les règles. une partie dans Litt. et Philos. §V). On en retrouve mêlées, p. 287, « Le plan. l'histoire et non moins souvent )a vraisemblance; mais comme cette blesse souvent « invraisemblance dans la s'est et non n'existe nature même des concessions l'auteur faites, que que « dans la marche de l'action ou l'enchaînement des scènes, t'intérét n en est pas détruit. Les défauts « de cette tragédie ont cela d'ingénieux, faut pour en être choqué avoir lu l'histoire et connaître qu'il « les règles; aussi le grand'nombre des spectateurs s'en aperçoit ne sait peu, parce qu'il que sentir; « le grand nombre bien. Et en effet, pourquoi trouver si mauvais traqu'un auteur juge-t-ii toujours « gique la viole quelquefois l'histoire ? Si la licence n'est vérité pas poussée trop loin, que m'importe la vérité morale soit observée. Voulez-vous donc l'on dise de l'histoire ~historique, pourvu que que « ce qu'on a dit de la poétique d'Aristote Elle bien mauvaises de fait faire tragédies ? Soyez .67 20 1820 Mai vrais. xn, 74-80 pp. (Signé cf. H.) ~<«. e< P/~<M./M<?/<'e.<,p.97,§)u,etp.287,~vi. N.-B. CoMfa~tM et 7''re</e'r!c, en tragédie 5 actes, M. P.Ch. au Liadières, par capitaine etc. la corps royal du génie, représentée pour fois les comédiens ordinaires du première par le 2e 22 avril sur théâtre le samedi, Roi, français, 1820. in-8. Paris. Barba. B. Didot, Paris, Imp. n' 27 mai 1884. 1820, F., Lettre poH~aMce 25 Lettre d'Abe! Hugo cf. Appendice. à Adolphe Trébuchet Lettre (inédite); Abel parle d'un voyage qu'il projette en Vendée, à et d'un voyage de sa mère et de ses frères Il se moque un peu de son frère ~o?M!eMr Nantes. Eugène. Lettre d'Abel Hugo à son oncle Trébuchet n° 153, mars cf. Revue des aM<o<j~'<ïp/s-, d893. Le sujet traité semble le même que dans la lettre du même jour à Adolphe Trébucbet n" 228, on y sicf. Ca/a/c~MM CAap'auay, la même lettre. gnaie 27 29 de Rohan reçoit cf.oM/'Ka/ Saint-Sulpice; et Drapeau Quotidienne d'Abel Hugo cf. (inédite) Appendice. à condotéance propos Figaro, V. à Hugo 1815-1835, de M. Pinaud pp. V. Hugo à 12 mai 1886. Coures- 21 361-363. Adolphe Trébuchet 25 Il n'y a qu'une lecture sans mauvaise importance le f/OM avec dit le vous, partager Figaro le ~OM avec les <<OM6[<eM~, a écrit ~ar~a~e?' V. Hugo. mineurs à les ordres de Paris, 28 mai, blanc. 29 mai. Le duc Lettre cf. de à Trébuchet Adolphe C'est une lettre de de la mort de la mère d'Adolphe. Lettre de V. cf.2'a?'o,12mail886 ~5-3o, pp. N.-B. Hugo a Trébuchet Ado)phe et Co?'?'e.joH~Mc<? 29 7-8. Dans la Co/ve.s'/MM~Mce il y a huit font au moins ia suppressions qui disparaître Dans )e Figaro il y a trois moitié de la lettre. de lecture e'c/uat~ le vide erreurs pour écrivis, ce rece?'e~ verres. vide, pour pour ,/M<~ 1 2 de Marie-Joseph Trébuchet aux frères L'existence de cette lettre est affirmée Hugo dp V. Hugo a Adolphe Trébupar une lettre 1820. (Voir cette chet, 10 juillet date). Lettre Le yoM?'Ha/ </e Nantes el de la Loireun long extrait du Con/H/<'y't'CM?'<' contient ~«. une serv. sur les Jeux noraux, puis dizaine de lignes sur V. Hugo qui a eu précéa demment odes couronnées, plusieurs qui d'un ouJ!/e/C!/t~e~. jSK~<M< (extrait les C~M/e~' sous inédit intitulé la vrage Co~eyo. Z,<«. t. n, livrais. xni, <eM<e) Suite cf. V. t. ), pp. 388pp. 99-107 ~M~o raco/~e', 397. A la page 392, après le premier alinéa on a oublié une ligne .s''e7c:'a CM moi ?'~y'e/ Me //«~/y'?'a~ caryec?'M.s' qu'il /J/M& de ~a; ?~Mi!M. N.-B. Nous donnons, tantpou)' cette livraison « peintre fidèle de la nature et des caractères et non servile de l'histoire. Litt. copiste (CoHMrc. Dans et à une Litt. Philos. on a ce la ?K~ëM, p. 77). ajouté (p. 287) paragraphe phrase, dernière, au CoKM~'f. Litt. point qui n'appartient V. Xugo continue en faisant a su imaginer des situations théatra)es remarquer que M. Liadières H n'avoir trouve aussi deux caractères biens et habilement conçus qu'il parait, pu développer. qu'à part les autres sont ternes et pâles. tracés, « a bien à peu près tout ce qui s'acquiert, Le style offre peu de remarques à faire la versification « savoir ia correction et la clarté mais elle a bien peu de ces qualités qui ne s'acquièrent pas et « qu'il serait ici ». (Conserv..Litt. dur de désigner p. 79.) -68 3 1820 ,/MM~ cette remporté, décernés ment le par année, l'Académie. un des premiers Il a obtenu les autres. la date que nous trouvons à )a Bibliographie de la France, mais H est très évident d3e parut avant le que la livraison 3 juin, puisque le JoM~M~ de A'aM<M du 2 juin, en publie un long extrait. que prix récemde la le /!e7a6/e?KeH< lys d'or pour il vient statue de //CM?'! Agé de i8 ans, d'être nommé ~<?'e ès-Jeux et floraux tel le 3 mai. Le journal incomme proclamé ma~re~. ensuite le nom des onze dique 3 pour toutes 31x, pp. AM/p«?'~CAam~e/:o!M.)ettre font une critique de d820. 33. 3 juin éiogieuse M. J. l'ode /)/o~e ~M?' le Nil sous la signature (Méty-Janin). Académie Co?Me/'u.t«., (Signé des ~eM.'c /~?'aM.E (3 mai 1820) t. livrais. 107-1H xin, pp. J.)I un Ce long article d'Abei d'abord Xugo contient du 3 mai de la séance d820, puis compte-rendn do programnie. Abel Hugo a fait des nn extrait sur Le siècle extraits de i'ode de M. Dieulafoi de AoM!6' .Y/~ de ~'M?' le ~MtC!'<<e. de /?/)Mre de l'ode Le Ce/ne, M. Chartes de Saint-Maurice, de Marseitie. Enfin il adresse de M. P. Dm'and un éloge Mme Tastu son à la pour ~/?KHe de touer en terminant ~Mr.~e. )t n'a pas négligé )'Académie des jeux floraux qui « se montre digne « du titre de Seconde Académie de France et de » « plus ancien de l'Europe. corps Httéraire ~euMe~ï~p'rH<?'e.~e.?~a:<e C/ïe~y, ou 7/M/oo'e de la 6'OM~c7'~<tOM, avec etc., Et H:c~ cette épigraphe ?'<?XM?'</e<. M0?'a<e et de Z!<0~/ra/jAïe politique ~/M~t~?~?'s les ~/e?~&?'es de la 67<6t7?:6?'e des ou Résultat des votes pour et co?t<?'e Députés, la liberté tHa!!t7!<~«~/e /«., (d). Co~U. t. n, livrais. xm, pp. 115-416 (V.). </e/a~<e'?Y<<M?'e /~<;UMe//</c'?Y<ï~<C/«</e< de Hue6'~oMe<<'MKe ~9, ~ar~të ~OM?' /t CoK.!eru. satire <'«)'?~'<e, Litt., «MOt'yMte article est tivrais. ~2-115. Cet t. n, x!n, pp. FJ n'osons t'attribuer à V. Hugo, nous signé ce soit bien son genre. quoique F«?'<e<ë'.<, Conserv. ~< ~OM~c~c; littéraires, t. n. Hvrais. xm, etc. pp. ~6-d20. article non certaineCe long appartient signé a V. mais il dn moins, en partie ment. Hugo, la part lui nous est impossible d'indiquer qui revient. des nouIl y a des appréciations sur Voiney, sur sur velles Lamartine qui pour D)aHe, part la Grèce, sur C. De)ai.ebrnu qui va parcourir commence un n'en', jamais été reproduits. Le premier par une phrase (1) Ces deux compte-rendus ultras de V. Hugo. mais le reste nous prouve les sentiments et pas très claire pour nous; peu lourde « H est impossible, de lire deux On rit de pitié a ia première dit-il, ligne, pages de ce plat ouvrage. si en est nauséabonde. Si le « on bai)te de dégoût à la seconde. Cette compilation est ridicule, qu'elle ne se disil s'est grandement car les acheteurs « iibraire a cru faire une bonne trompé, spéculation, de voir leurs « puteront souscrit, probablement pas un livre où les niais mêmes qui ont rougiront leur de « noms. On ne peut mieux les Plaisirs de C/tC/)'/ appliquant l'expression qualifier qu'en « Caithava C'est M/t vrai cAao~ de &~Mes. ? » d'ailleurs. « Si vous voulez très court Nous trouvons les mêmes idées dans ie second compte-rendu, ode d'Xorace commence et « apprendre est un Mirabeau, par For<M que ia fameuse que M. Manuel si vous désirez savoir « tenacem, et que M. )e marquis de la Fa.yette est un.homme /b?'<M et MMcem: « de plus que le nom de M. Aurran de P~e/eM a de l'analogie avec la-loi exceptionneHe: que tous du ~YKs ouvrez cette « )es M~yas portent des eAa~eaMï-' à trois co7'He.! t'eMM~Ct<M etc., siècle, etc., Il est fâcheux et que le Tari f des co?MC!eKCM; « nouvelle brochure. etc., que )'idée n'en soit pas neuve, M. ne saurait avoir de conscience « soit ta depuis deux ans pour nous apprendre Etienne, qu'on plus que » « ni plus de talent M. Evariste Dumouiin. que -69- 3 JM/M ~820 aussi faire un Les vigne qui compte voyage ~feMOt~M de M. de Chateaubriand sur Mgr le due de Berri ont paru on en rendra dans la compte livraison est de Vic(le compte-rendu prochaine On des lettres du avri~820 28 tor). parie qui ont nommé V. Hugo maitre floraux et l'on ès-jeux cite le nom des onze maîtres liste a été (cette ie de s'est servi yoM''M<!< Nantes par copiée qui en même temps de l'article d'Abel dont nous avons parié). 3 Saint-Victor dans le publie, intéressant intitulé et des we~ï<<ï<:('MX article très en </e/tpy'a< M. de la Martine Le 344-354 (J.-B. vm, pp. un Dc'CH.~Mr, De la /~oe.s'te de poétiques t. t, livrais. Z)e'/eMsei<?', de Saint Victor). Vers le 5 probablement. -Moïse sur le Nil, Premiers Ode une amaranthe réservée qui a obtenu jours M. Victor-Marie de Besançon Hugo, (1) par 1820, Recueil des Jeux floraux, pp. vij-x. du Recueil n'est à L'apparition pas indiquée B. F., mais elle a eu lieu comme d'habitude vers )e 5 juin. t. n,)ivrais. 121Cf. Co/M~'u.ZtM. X!v,pp. ~o?.~ sur le Nil. In-8. 124, 10 juin 1820; Paris. Ode, par V.-M. Imp. Guiraudet, Hugo, couronnée l'Académie des Jeux floraux. par 9 février n° 702; RoTablettes B.F.,9 1822, Odes et BalM~n<!<?Mps.l823, pp. 96-100; Me Mar!'f<K?', édition Odes lades, pp. 257-261 édition de l'Imprimerie NatioBallades, nale, pp. i84-187. Vers le 5 probablement. Le VeM~e 6aH?< Premiers à ~H?Mn, béroïde Raymond jours qui a concouru M. le prix Victor-Marie de pour par Hugo, Recueil des Jeux Besancon floraux, (l): 1820, pp. xxv-xxix. à M. Pinaud, dans une lettre du 18 avril 1820 ~CM'7'e~oH~aMce ~5(d) V. Hugo avait proposé à la Ire strophe, Les voici S" vers, il proposait ~~3.?, qui n'ont pas été faites. p. 359) deux corrections 4e vers, il disait deremp)acercAa.s'<M~~a!M!par~eMj:My!oceM~;àta8~ strophe, qn'on pouvait mettre Ses malheurs éveillent mon amour, au lieu de ses malheurs ont ému Mo?t <MKOMr. Le texte des ./e«j; du Conservateur Les O~M et Littéraire sont /~o?'aM;E et celui identiques. fait Ballades n'ont correction. Nous la trouvons à la 13e strophe. au bas de la p. 260, au derqu'une nier vers. Les Odes et /~a;<~«<e6' donnent: Chanter les lyres éternelles. En 1820. V. Hugo avait écrit mais dès 1822 ~0<<M et Poésies il avait ~/o<t<e/' les !yres éternettes, fait la correction. diverses), o des .Jeux floraux n'avait tous les vers de t'héroïde (1) Le Recueil point par imprimé envoyée h avait fait trois coupures V. Hugo. et supprimé vers. F. raconté en a fait cinquante-cinq ~/<t</o mais n'a laissé de côté que 32 vers. Autre Ce morceau est pour le /~CMe<7<<M./M<.x autant, remarque une mais une le Co<M'e/'u. ~'«. four héroïde, élégie pour /o/'ac~M< /,c~eMMe&nMMt y?o?Wt;c est devenu/~y?KOH<<f<CO/ le texte de F. 7/K~/o raconté. Suivons Page 263. Les neuf vers ont premiers Le bruit du vent dans le feuillage la paix du bois désert. Trouble Le uot expire sur la plage Et dans les échos du rivage. Prête à mourir ma voix se perd. été laissés de côté. Les voici Ces lieux, si chers a. mon jeune Entendent mon dernier concert; Seul, bientôt, le bruit du feuillage ta paix du désert. Troublera neuf vers, le /?ecKet/ des Jeux floraux n'avait imprimé que les cinq premiers, antres. tes quatre vers donnés raconté K. //«yo ont été transformés. premiers Page 263. Les deux par et le CoK<;eru<!<eM/' Z:«e'7'aM'< d'après le /~<;CMe<7 des .Jeux floraux Bientôt. Lis sans retard, lis, 6 ma douce amante, Ces mots qu'en frémissant trace ma main tremblante. De ces .70 âge, négligeant Les voici 1820 ./M<M Cf. C~t.u. t. x, livrais. Z!'< xvt, 209-215 Le ~eM?~ 6a?i?K. pp. 7~a!/?H07M/ à ~'H!M<ï Odes et 7-'OM!'e.! ~up?'p~ Etégie par V.-M. in-12, -t822. Paris, Hugo, Pe)icier, V. t. t, pp. 263199-209 ?-aco~<e, pp. 7/M~o 270 Odes et ~< ~sco/t, Raymond Elégie édition de lades, l'Imprimerie Nationale, 486-491. pp. 264. Page Je Le ler mais t'écris vers est transformé mon oui, pardonne sort lui aussi est fixé Emma, car pardonne-moi, mon CoMMrK.~t~. Le huit Recueil vers, Jeux des jusqu'au 26S. Après Page floraux, « Oui, vers: le 1er après frémis, vers, le « Ne charmante vers quatre ont été t'offre un épouse. laissés de a. ce bel art fidèle j'avais, que Monté ma lyre en ton honneur, Etmontuth insensé devait aujourd'hui Achever ce chant de bonheur. Alors, Le Dans 8e a été vers mot sein est fixé. V.~M~O)-<!COH<e. vers ma sort cadavre )), glacé » (p. 265.) côté V. par a trente- supprimé ?'<ïcoM<ë /~M~o j'aime, même transformé ta reposait co)ombo Dans craintive Co;t.!et'u.«. MM tM:'?M ta reposait eoiombe craintive ~M</o?'aeon<ë. LeiSfversaussi: Demain tout ~aMr<ï! oublié. Demain aMt'a tout oublié. CoMM!'u.«. Page 266. Ou Page Pourrnoi, Et )e sort Vers vers Le dormira 267. ma 8 a subi un cendre petit V.M<?o?'<:eo?:<e. changement //e7<M abandonnée 6'otM~'u. où dormira ma cendre abandonnée Litt. raconté. //M~o Vers8et9: tout; j'ignorais vient d'apprendre H!o<, je t'aimais à ce tyran Pour ~/aM sanscraint.e jaloux Co<Me!c.«. moi. j'ignorais le sort vient tout e< je d'apprendre t'aimais sans crainte a ce tyran jaloux r'M<yo?'aco?:/ë. 17: Ces vers, )e Après pour 19~ vers, ton qui amour Coy:.M)'t;iM. <e)M/?'e dix-neuf vers ont été Ces vers pour ton qui V.M<yoi''<zeo~M. supprimés par V. T~M~o racoK<f mais distrait et taciturne, Non, depuis longtemps, Mon trouble se hsaitdansmesyeux indécis; Je m'échappais dés l'aube, nocturne, ou, promeneur ma mère en bravant ses récits. J'épouvantais si j'avais mon zèle ner. heureux, [Tantôt gai, par Mérité ses simples faveurs; un regard Tantôt, sur te croyant infidelle, Sombre, sous les arceaux de l'antique chapelle Je promenais mes pasreveurs.] Mon « C'est son Dieu père en souriait: qui l'inspire « Son tnaitreest. comme )ui,sombreetgaitouratour.)) Hé)as!i)oub)iait son déiire, qu'aussi,dans < amour jeune » Si Pétrarque est roi de la lyre, Il est esclave de l'amour. Ma tuére. à son époux un œii d'envie, jetant Bénissait calme ce trompeur; Muette, elle savait, dans sa tendre douleur, L'ati'reux ma vie de mystère Etfedouxsecret.demoncOBur. Page Ce qui fait Mon réveil 268. les fut 2 et Vers ennuis, suivi où du 3 mon pàle âme est en Ce qui cause le deui) Mon fut réveil celui proie désespoir.. dont du mon paie Co;tM)'M.<'<. Vers âme est la proie; désespoir, K//M~/o?'aeon<e. 18: En quels lieux puis-je aller courir? Co?txe)'M. Sous quels cieux puis-je aller souffrir ~t/</oraf;OK<'e. -71 ? 9 1820 7ï<tM Vers le 5 probablement. qui M concouru pour Idylle F.-J/. de Hugo, Besançon Aetatis 6 de Lamartine. Mariage notandi sunt tibi mores. Hor. (Ars poetica; Ages. par 156). Recueil << Jeux /?o?'aKa;, ~820, pp. xxx<vxxxvi. On ne trouve pas à B. F. l'indication de l'apparition du /~<'CM<?<7 en ~820, mais il a dû paraître à son ordinaire, c'est-à-dire vers ie 5 juin cf. Conserv. Z!'«. t. n, livrais. xx, 2 septembre V.-M. d820, pp. 369-371. Hugo; V.-M. O~M Poésies diverses fnpar Hugo. Pélicier. Guiraudet; Paris, ~8,Imp. Idylle, 1825. Inpp. 2~1-2~7 ~4KMa~roM!aM<!</M~ Pas d'épigra264-266. 18, Paris, Canei, pp. B. F., i" phe. Signé: Victor-Hugo., janvier n° 116. F. t. i, pp. 2471825, //M</o raconté, 269. Vers let2: Page la mort est moins Emma, amère on meurt dans tes bras. Quand presque COHMt'u. Zi«. Vers cujusque Les Deux le prix (1). La mort, o mon Emma, m'eût été moins amère De mourir dans tes bras. presque V. y/M~O raconté. 21 Fuyant Vers Dans Emma, redoutant de la suivre, Ct)KM?'o. Z.!«. Emma, Fuyant dont seul l'aspect m'enivre, Hugo raconté. 24 ce vain corps resterait pour souffrir. Con~eru. Dans sa prison resterait Z. pour souffrir. //M~o raconté. Les six derniers vers de )a page 269 (V. Hugo et les deux de la p. 270 ont été raconté) premiers laissés de côté par le Recueil des Jeux floraux. Les cinq vers que nous avons mis entre crochets ne se trouvent le Recueil des Jeux pas dans mais alors les autres vers ont été des ici nous ne troufloraux, que supprimés remplacés par points, vons aucune indication on peut donc se demander s'ils n'ont au texte pas été ajoutés après coup aux Jeux floraux. envoyé Le texte de V. /~M~o raconté est presque a celui des Odes et Poésies diverses de d822. identique On a ajouté vers déjà supprimés les Jeux floraux. Voici ie premier et )e (pp. 264-265) vingt-six par dernier Les beaux jours ils ont fui. Sais-tu ce qu'il me reste ?9 Demain aura aura touttoutoublié.oub)ië. Toutes les corrections que nous avons indiquées de la p. 267, les vers 2 et 3 de la p. 268. Pour ces est identique à celui des Odes et Poésies diverses. des Annales (t) Le texte romantiques Le texte du 6'OM.s'e/'H. Litt. et celui du Prenons le texte de //M~o raconté pour Dans )e Recueil des Jeux floraux on Dans le Co?Me?'u. Litt. on lit déjà ia Dans V. //Myo raconté on a supprimé voici Le vieillard Le jeune homme Le vieillard Le jeune homme avaient quatre été vers, faites dès 1822, sauf les ie texte du CoMMrua<eMr vers 8 et 9 Littéraire et celui du Co?M<u. Litt. sont identiques. Recueil des ye~.f floraux ne différent un mot. que par voir cette différence; vers 21. p. 248, lisait: ia sagesse mes discours. inspire raison mes discours. inspire vers trouvent leur Les cinq qui place au bas de la p. 247. Redoute un sexe ingrat mon Os. tu dois m'en Vole plutôt au Pinde, illustrer ta mémoire. Le l'inde et ses sentiers me sont connus. déjà n'aime la Apollon que gloire. Apollon ne hait pas Vénus. croire. On a fait de plus deux corrections Dans V. /~Myo racole, Viens briguer p. 248, vers ler, on lit on lisait: au dernier vers de la même une si belle une vierge Brigue donc; page vierge remplace aussi belle. Le texte du Co?:Mrua<eK;' Littéraire et celui des 0</M et Poésies diverses sont identiques. .72. Premiers jours .<:M 1820 10 .<)'/e./V: J/oy~ des par t'Académie )~t) OcHve couronnée ode, Jeux floraux. en ~820 la ([Hette Pharaon vint :u) temps, de ses filles, pour se baigner, accompagnée Ex. qniniarchaientietongdubot'ddei'eau. ch.if,3. M 'CoM.te~. V-M. 124, ~/«., Hugo. t. fr, livrais. x<v,pp.~2)- Me.< et 249; merie Nationale, ~«f/ pp. édition 492-494. det'tmpri- Littérature /~e«rM et française. ~/e'MO<'?' ~e<'& <oMe/~?~ /a Vie et /a ~M</tfn~/Kps /<. /)/?' ~/oy'<</c~4. C/My/s-e?'<<utf<yK/ ~Mc </e /~e''?' <h'<o~, /t/~ de ~'M/!c~, par M. le Vicomte de Chateaubriand ConM?'H. (~ t. n, livrais. Z!«., x)v; pp. 425-145, signe V. ce long article mais aussi, d'abondantes reproduit, (i) V. Hugo n'a jamais qui renferme citations, au commencement, deux ou .trois très intéressantes sur Chateaubriand, sur la légitimité, et ia pages faction Nous les transcrivons afin de ne déflorer les idées de régicide. simplement pas V. Hugo. « fi est en Afrique une hydre s'endort avoir dévore sa on lui aban(le T'ente) qui après proie « donne une victime, et l'on profite de son engourdissement Nous avons acheté bien cher pour )atuer. « Je droit d'écraser révolutionnaire mais celle-la ne s'endort l'hydre (Co?Mw~. Litt., p. 125), pas. Le « treize février nous t'a prouvé. à force ouverte. JI faut anéantir « H faut donc t'attaquer la faction Sans doute le gourégicide. « vernement la noble tâche lui est mais c'est aux remplira dignement qui confiée aujourd'hui « royaHstes, c'est surtout aux écrivains à le seconder. Jeunes ou vieux, obscurs ou monarchiques on en est aux le péril accourent; se rangent, se «célèbres, assassinats, qu'ils presse; qu'ils qu'ils « serrent autour de ce trône la Révolution s'attend tous les vient que jours à voir crouler, parce qu'elle « de lui donner base un tombeau. pour « Ëfle a été longtemps à méditer ce crime le dogme sacré de la )égi)imité la l'embarrassait; « protection si évidemment étendue sur la maison de France, lui semblait céleste, royale inexpticabte. « Qu'a-t-eite fait ? cite a tranché ce nouveau nœud gordien d'un coup de poignard. La violence et la voilà tout le secret des succès révolutionnaires. « trahison, « La France s'est un moment crue perdue. tout espoir de perpétuité dans la race royale Cependant « ne lui a pas été enlevé, et elle.se rassure car il dans son sein de reste encore chaque jour davantage « ces hommes contre les révolutions, et dont )e génie suffire qui sont des puissances peut quelquefois arrêter la des A la tête de ces Français nous aimons a « pour décomposition empires. privilégiés, M. Vicomte le de Chateaubriand. Dans cette de stériiité littéraire et de monstruosités « placer époque « potitiques. du noble est un bienfait chaque ouvrage pair pour les lettres, et, ce qui est bien plus « encore, un service la monarchie. On ce que Virgile a dit du sage jeté au pour peut iui appliquer « milieu des agitations populaires /~<e )'e~t< dictis aMMM06' et pec~oya MM<ce<. « Ce magnifique est surtout réservé à l'admirable vient de publier sur la triomphe qu'il ouvrage « vie et la mort de Mgr le duc de Berri. Ce livre a été une consolation )a France entière i'a pubiique « iu et s'est sentie fut peut-être de nature à rendre sa perte amère en lui en soulagée, quoiqu'il plus « faisant mieux connaitre toute i étendue. on tant de à voir un si beau Cependant éprouve plaisir « monument élevé & la royale a la fois par le héros et par l'historien, victime, que l'admiration, inspirée « efface presque tout sentiment M. de Chateaubriand à la vérité réveilfe un bien cruel soupénible. mais ce souvenir a-t-if besoin d'être réveiffé? et doit-on se d'une main avenir plaindre qui ne « rouvre ia biessure du baume sur la plaie 9? que pour verser « Tel est le pouvoir du génie de ces ~/e'M:o:e~ a été un événement entre tous les l'apparition « événements nous ils ont été en un moment enlevés et agitent. attendus, qui Depuis longtemps « répandus toute la A la France. de les avoir n'a été tus. par fauteur, l'enthousiasme, gloire après pas « moins grand avant de les lire du de nos écrivains s'est que l'impatience plus illustre f'ouvrage zD « trouvé encore au-dessus de l'idée qu'on s'en était formée. « Nous voudrions louer dignement celui qui a si dignement loué notre infortuné duc de pouvoir « Berri nous ferions ressortir cette richesse cette de sentiment, cette d'imagination, profondeur « variété de style, cette prodigieuse cette cette harmonie, cette néglipropriété facilité, d'expressions, « gencc si gracieuse, cette naïveté de génie l'on dans sur les (si peut s'exprimer ainsi) particularités « l'enfance et la vie privée du Prince, et cette énergie d'une i~me fortement dans les détaifs indignée son exil et sur sa mort. «.sur Nous nous plairions, s'est aujourd'hui que M. de Chateaubriand placé <t si haut dans la sphère littéraire et politique, la et de calomnie mémo que l'esprit parti aujourd'hui « se taisent devant sa gloire sous peine de ridicule, il revenir sur les obstacles ce écrivain que grand « a rencontrés en entrant dans la carrière; à triompher nous aimerions pour lui des outrages qu'if a « dus à la beauté de son génie et des persécutions lui a suscitées la noblesse de son caractère que « mais des ~/ar<)/ n'a pas besoin de nos éfoges; et si d'ineptes l'ont abreuvé de critiques fauteur « dégoûts dans ses premiers il a l'admiration efforts, reçu pour dédommagement contemporaine, qui « lui répond de cefte de la postérité. Nous remplirons donc ces feuitfets de nombreux par passages de « la production.extraordinaire sous les yeux elle a été lue de tout le monde; n'imque nous avons 7111) tO ./M<~ 1820 dO Prose. La Hto?'/ du Fe/t</f'eK Th. Co/t~e?' Péticier): (L. livrais. Xtv, pp. i~4-i25. par Zt~ L. Th. t. P. n, ~/e7aM</<;A'. ~Ky-y~< inédit intitulé vrage <CM<c),Suite:Co<tS~?'u.Lï«.,t. V. 150-159; xiv, pp. pp. 397-409. (extrait Les Con~ Hugo d'un ou- sous la livrais. x, t. ). ?'acoH~e, Trois ou quatre changements sans imet une le 400, portance après suppression, p. 2~ alinéa //e/M't t'OM?'!<, mais M osa tK<ey~ow~?'e /)e<M!ar par son ept/tOMëMe or</Mt<!tre. Nota. ~/)pc/f«7e. en tragédie y/te'c cinq CoM.<c?'u.~ï«..t.t), français. actes, ~'M:e<tM~, Delrieu (4) Ai. par livrais. xiv, pp. 160- i65(H.). « porte ce sera une occasion de la t'élire et qui s'en serons forcés de mêler de plaindra ? Nous « temps en temps notre prose à ces citations à joindre mais elle servira seulement les diverses « parties de notre comme dans )'or. (Co~Mey'u. extrait, Litt., l'alliage pp. 126-128.) cette citation.nous ne ferons réflexion. V. est à une époque Après longue qu'une Hugo dit. qu'il littéraire et de monstruosités de stérilité Cette transforpoétiques. pensée, il l'a développée plus tard, il et l'a mise dans Litt. et Philos. sous ta date d'avril 1820. Cette page mée, arrangée Me~M, p. Ut, est certainement t'articte nous postérieure qui occupe. Nous ne donnerons )e reste de ni les citations faites pas l'article, par V. Hugo qui avec beaucoup d'art y mêle sa prose, tantôt de la première est majes(de l'ouvrage) pour dire que « le début partie « tueux et rapide Litt. la dans le passage de Loire la célèbre (CoM.<erM. p. ~28), tantôt pour rappeler notice de Chateaubriand sur la Vendée. Le tableau du licenciement de t'armée de Condé « arrache les « larmes c'est le propre des hommes fortement émus d'émouvoir fortement les autres. Au reste il « n'est une dans cet écrit dans la son auteur t'ame la plus noble et pas page qui ne décèle plus élevée, « cette âme passionnée tous les de MOM~M s'est en ce seul mot J'aurais pour genres gloire qui peinte « Mure avec Périclès et M:oM/'M' avec 7.,ëoMt~<M ~tme/'Ht/'e <<e~fM'tsa Cf. CoM~M. ye'M~a/eM~. Litt., « pp. ~32-d33. Citons encore réflexions de V. Hugo sur ta correspondance la du duc de Berri avec quelques du roi des Deux-Sicites avant leur mariage, « où se peignent dans toute petite-fille correspondance ces deux belles « leur pureté ces deux nobles si tôt et si cruellement On lit ces âmes, cœurs, séparés. « lettres charmantes avec une sorte de plaisir et ce n'est sans une certaine crainte resreligieux, pas « pectueuse Cette est un vrai de tant de vertus. que l'on viole, pour ainsi dire, le secret publication service rendu à ta cause Aux siècles dans de calamités on les temps royale. publiques, antiques. « déchirait dans les temples le voile qui cachait te sanctuaire, afin que te peuple voir de pût plus près « ses dieux. » (CoH.s'e/'u. /.?«., )37.) p. la conclusion « Dans Voici de l'article de V. Hugo cet l'homme d'état et t'écrivain écrit, « britient avec une égaie supériorité, et c'est une chose de sophismes, consolante, dans ce temps que « la politique de M. de Chateaubriand, toute si et si forte de soit en même généreuse, temps juste raison. M. de Chateaubriand avec son âme voilà pourquoi il n'y a pas dans .« parle, pense, et écrit « ses ~/f'yKO"'< une seule ligne qu'un lecteur voulut Pour nous. nous avouerons français retrancher.' <f naïvement la première émotion si l'ouvrage causée nous qu'après par cette lecture, avons,cherché « ne pourrait maLière a quelques même pas donner critiques, espérant par là donner plus de poids à <t nos éloges.ac/'?<?</M<;c.<aM'Me<H7'<e6'< a-t-on dit: nous avons reconnu (.<?ct<c, que cette <: maxime tant de t'ois citée était ici en défaut; est certes car si fart qui a dicté ces .4/eMO'?'M, <<t/ « ct/e, il nous est démontré te moins. )) fondée de ce bel ne serait qu'une e~<f/Me pas ouvrage (Conserv. /«., pp. d44-t45.) n'a été reproduile théatrate nulle dans les oeuvres de V. Hugo. On le (1) Cette critique part facilement. A l'article est un long résumé de la pièce. comprend part quelques appréciations, Notons ce jugement « Peu d'ouvrages renferment autant de reconnaissances que la tragédie ce moyen. vraiment i) est habilement ridicule <f nouvette; épique, quand presque employé, y devient ` t'abus en a été fait.. « par Litt., qui (CoMM/'N. pp. i60-t61.) Citons encore ta conclusion meilleur situations et plusieurs vers, dignes d'un « Quelques tragiques ne peuvent racheter les défauts d'un pareil <: ouvrage, plan. Les caractères, plutôt esquisses que peints, <f sont, de pâtes copies fameux. Laodice dans Stratonice d'originaux rappelle Ctéopatrc, ~o</o</M/te « ressemble à Zénobie; au frère de à dans Le seul 0?'M<e. Antiochus, Nicomède Hétiodore, Hgisthe < caractère de Nicanor, dont la. conception à M. Delricu, est bien tracé et bien soutenu. appartient « Le style de Démëtrius a de la. noblesse it et de la. correction, il est quelquefois mais tragique; Si M. Detrieu de poésie. n'avait fait représenter il y a longtemps <: manque génu'atement rct ouvrage .74- 10 ~M<M 1820 N.-B. en 5 actes, par tragédie M. Deirieu, ial''s fois sur le représentée pour au théâtre ic 31 octobre remise français, 1815, théâtre avec changements. le jeudi 18 mai 1820. Ladvocat. B.F: 27 mai Paris, )n-8.tmp.Fain, n° 2e B. F. 18 édit. novembre 1820, 1820, -i889 no 4213. Second Comédie Démétrius. <Ae'e en ~'t~ trois t. n, Noire, /MpMï.s'. ~a DaMtf actes et en prose CoH(ï) )ivrais. 165-167 xt\pp. (M.). N.-B. Nous ne croyons pas qne ia Dame ait ?t0tye été imprimée. La dernière de V.Hngo page (p. 167) de l'article sur taranteM0:rea.:été yc/ereproduite'parie des des de la" /.t«M'a<«?'< spectacles. ~rapAe .s'C!eH<;<s'e<<<<s'n'r~,<<?'OM<OK.<;e~t.[,!ivrais.tu, p.32(aoutl820?). 10 Variélés. se)'u. /«., Deux trois à V. Citons de CoMetc. 172-176. pp. .s'M?' Littéraire. A~M<< /?'<!nfa:M du 13 février .s'Mtrt<s- d'une ~~20, sur la ?KO?'/ de S. A. 7?. ~?' élégie /e duc de /~e?'?'t, par A. d'EgviHy. ~Vos?'e<.s',héroïde; par M. le Chevalier Revue /'6[«e/(~< variétés nous semblent mais nous ne appartenir Hugo, pouvons )'affn'[ner. une note sur des stances élédans le Journal de Nantes et giaques parues C. S. K., un long entrefilet sur des dissignées cours et une attaque contre le ce'/e&re politiques une note sur l'Académie, snr Royer-Cotiard, Chateaubriand. Une d'une critique demi-page d'Mne ode contré <'?.'E!~feHce de /)teM paratt trop mais qui sait? 9 chrétienne pour être de V. Hugo, « « « « ou 7tOMHC~~ /«ë'?*a~'M, t. n, livrais. x)v, ces de Port Conserv. 170 de Guy (2). t. n, Litt., livrais. xn', pp. 168- )n-8, 6 mai imp. 1820, (U.). N.-B. Boucher, n°160). NM<<s /'raMpa:Ms, et Uentu. Paris, Petit etc. B. F. des années aux comédiens une tragédie nous français pour monter nouvette) déj& (et s'il ne fallait croire le succès de CoH?'a~t?t et F/'ëa!e'?'/c l'a à faire DeMte7y'!M.< sur pourrions que reparaftre engagé la scène. En tout cas, M. Delrieu a fait un mauvais sa pièce n'ajoute calcul; & l'Académie, postulant rien a sa réputation, » (Conserv. c'est reculer. et, pour lui, ne pas avancer Litt., p. 165.) montrer les sentiments ultras de V. Hugo en 4820, il n'y aurait (!) Si l'on voûtait qu'à citer toute tt se moque cette critique. de M. Tirecuir de Corcette, de t'o~MMe de M. Cugnet de Montartot, des <s', de la pièce qui viennent vanter/~coH(<t<;OM<<e.s' les <e/'6' des prélats. H cAaMO!HM, personnages conclut il sa grande satisfaction « qu'il ne suffit plus aujourd'hui de phrases )ibéra)es d'une douzaine du parterre, le défaut de comique, la nullité de vraisemd'intérêt, l'absence « pour racheter, auprès « blance, le vide d'action, et faire d'un mauvais a la mode. imbroglioZD le chef-d'œuvre &(CoKse/'u.Zt«., p. 16(i.) !1 termine son article ainsi « La D<.t?He Noire ne présente absolument rien de neuf que son création de cette Metpomène des boulevards a la muse comme « titre, digne qui ressemble tragique « la. Cythérée à Vénus. hottentote ressemblait La 7)f(M!e Noire aurait du tomber dès l'exposition, qui « a iieu a la seconde scène de la manière )a plus maladroite et la plus ridicule. cette Cependant aurait le scènes assez et ptusieurs prématurée empêché public d'apprécier plaisantes « justice quelques a l'auteur. la « mots spiritue)s dont on doit tenir compte Ce dernier, nous aurons de ne que politesse sans doute ni la 7)aMe~YoM'e retirera définitivement ne nommer, «pas sapièce.NU'MMMte gris, « sont des sujets de comédie; mais il est un personnage sur la sans doute qui réussirait aujourd'hui il réussit « scène comme dans le monde, veux dire t'owMe de toutes les coM<eM/'6'. (Co?Mer?j. je Litt., p. d67.) seulement a ces deux t)u premier il fait deux (2) V. Hugo consacre quelques lignes ouvrages. citations donneront aux lecteurs l'envie de lire t'ouvrage de M. d'Egvitty. qui, espère-t-il, M. de Port de Guy est « du petit nombre des anciens confesseurs de la légitimité, les pour qui « règnes divers des usurpations se ans n'ont sont successivement détrônées trente qui jamais depuis « été qu'un et ». V. cite une dizaine de vers bien tournés. H parte long pénible temps d'épreuves Hugo ensuite du même En tête de l'un d'eux « sont rappelées. les condamnations de deux ouvrages auteur. )) dont a été frappé M. de Port OM tK/aMta/~ex de Guy. « Ces titres mais bien <t/M;<<UM singuliers, « réels, au respect sont aujourd'hui ta dernière de bien des royalistes et les seulsque public, propriété « la plupart d'entre eux aient jamais en récompense de leur dévouement. » reçus, 7 ~0 ./«tyt 1820 155 Le ~t)OMpMte?t< </e~/a~/<e?'6M 2" mention à l'Académie cf. noM«r<p.684.M.E.Dupuy,renvoieatort, cette mention croyons-nous, 17 de 7Voe7, 4820 par La Veille couronné en floraux, livrais. parMme.Tastu: xv, pp. 477-179. ~pï~raHtHte. ~e?'< Litt., obtient /~np~o)'< au 10 avril Nos ?'eyy°~ par M. le Chevalier de l'éloge de Louis ~Y! Guy, auteur Ptu-is. M. F. 1er avril 1820. Boucher, une Ray1821. Vers C'e'yMe~M<e. /a!<.s' à un <s'e)' t. )), livrais. <7oH.!C?'H. Litt., xv, p. ~79; V. d'Auverney. 17 juin 1820. Signé Cf. 0~'e?'UM/<'M?'~<s'7)/o~M,3s année, n°26, 20 juin cf. 1820, p. 12o, d'Auverney /~Myo Les vers ~'acon/ë-t. t. p.2t3. du Con~e/'u. /.</< et de )'06~'<j<!<eM?' des ~/b<fe~ sont exactement reproduits. à la Vierge hymne ('Académie des Jeux Conserv. ~!«., t.n, J. J. Reda (J. J. Ader) t. t), livrais. xv, p. 179. Co?:- le 2 août 1818, d'après Ces vers ont été composés le manuscrit même de V. Hugo. Z<</6'?'<ï<M?'e Le ~/oxcAe?'OM, française. traduit en vers F:'r~<7e, français, po~?He~e M. ie Comte de Valori Conserv. Lilt., par t. n, livrais. 187--193 xv, pp. (S.). Le style de cet article tamaniët'edeV.Hogo. nous rappelle de Port de in-8, imp. no 1126. Lalla ~<«e'?'<~M/'<? 0!H~/a<e. ~OM/f/t CM la /<MeM~ Thomas Moore Magole par (1) t. livrais: Co/t. 180-187 /< )i, xv, pp. (V). Cf. L ill. e/ /«/M. Mi~/e<?.< t. ), pp. 52-53. Ces 2 pages reproduisent avec quelques chandu Co/~cru. les pp. 182-183 Litl. gements cf. V. Hugo pv~'OH/e Lalla /~OMAA, poème de Thomas t. 423-430. Moore, ), pp. beaucoup Littéraire. Les de la /)/?'~)e'~ Abbadie Co'<sp?'c. /~«yo?'re par M. Arnaud t. o, livrais. Litt., xv, pp. 202-204 (F.). /fet)Me On dirait ici le style de V.Hugo. De encore de cette Revue littéraire p!us, l'auteur parle de 6'aMa~e/' de Tour f'co~e<<« et )'/)/'< <<M comme s'il avait fait )'artic!e sur ces deux volumes. Or, c'est V. Hugo qui en a rendu compte (cf. 6'OM.!e/'u. M< t. ), nvruis. vm, pp. 298-307). d'un ou~/e7aK~6.s-. ~y-ya?'ya/ (Extrait inédit /e.< CoM/p~ intitu!é sous la vrage t. n, <e/t<e). Suite et fin (2) Lill., Co'~c/'u. 193-202 V. Hugo livrais. cf. xv; pp. (M); t. ?'~co/ pp. 409-419. V. /~My/o 7'acoM<e on a fait subir ait texte du Co'Me/'t\ Litt. transformations (i) Dans quefques Les semblent bien inutiles. et les nous suivons le texte de V. //M<yo raconté. voici, donner, qui pour 423 on a à. la 3e le mot .!eM/<?MeM<. Page ajouté ligne tout au bas de la page, Z~a/ceM ben Ilassem //a/ce/H &e;< /McAe?M. Page 425 remplace 427 ai ]a 2ue ligne, les mots à)a2e)igne,)emot femmes coH<;M&/?tM; Page remplace après « /brMM<M et exclamatives on a ''es mots « Miat/t~aM~ ?H<e/o<y<ï<tUM », supprimé qui presque tout le /)oeyMe .!?/' le <oM /y/</M<; blesse le yoM< et surtout /'a«f<t<<OM ». On se demande /a<:<yKS ce jugement a disparu pourquoi ?9 Au bas de fa même la phrase « elle a/)/JMte soit bras. </e sa MeMM/'e, x se trouvait dans page, /«. tcCoH.M'y'M. de ia citation, les mots voix éteinte après )a'J'aligne après ~F. //M</o racole, p. 428, ligne 5e). "n a fait. subir de nombreux a la citation 6e, e~/ra~ Page 428 changements iigne remplace s'il f/0!<e/e te sera e/'oya/]ignc9<.cy'oya!s'reui place eA'/jc/'a: 20e, doux remplace s'il )igne mots 24' les on a ~'aMM <<e ~e7:ca, ~M&e ~OM.-E; ligne <<)M<. excepté sa bienaprès supprimé qu'il et tjeï'~a?t&e loi 26'' le ~M 27e. nous atMo~M le t/e /.)OMr lignes yM/MMt fleurs que remplace parfum nos fleurs f/NK~ ce bas !HOM~c. c/t~M iigne 33e, ?e<a~ remplace lui donne <a mort lui <<o/tMe la .s'aM~e ou la ?/M~'< Page 429~ ligne 22~ <yM';7 remplace qu'il ~/t si mon être Pleît ait 23°, ciel wo/t ligne sa~ pouvait reuipiace que A'f<M</soit 33e, a~aligne e/te tes lèvres aux M~eMMe~ rempiace attache tes <e~e.! à mes lèvres. 430. les été transformées. Voici le texte du CûMM/'u. 7, 8. 9, 10 ont Litt. Les Page lignes ~f T'/io~a~ ~/ooy'e o?~ le de OMcya.~M plu ~e'/tey'<e/MeM< qui claoqueront toutefois y/o!<< ~Me~MM e<M c/a~6'!</Me .!aM).' qu'ils motiver /e!<?' 6'e't;e/'?'<e. /.a e/tcwt/xoM.s' /)M/MeM< ~OMt'e /'oMa7t<Me, par ses et à indécises la cr!</<y!<e. /br??:e6' t;a~MM ec/ia/~e un certain nombre de changements. Prenons F. //M.</o (2) On a fait subir à la fin de Bug Jarga) 7'acoM~c' au bas de la page, cet c[y&?'~ remplace ce ~e'~e?<ï/. Page 4H On a transformé les quatres une amphibo)ogie Page 4)3 premières pour éviter, je suppose, lignes lisait « on allez dire it Biassou sur son car il a Frères, qu'il ne déploie pas Je drapeau noir captif, sauvé ia vie à Bug-Jargai n et Bug-Jarga) la phrase de n'est ZD ZD veut qu'il vive, ornais //M<yo<'acoM~e heureuse. guère plus i2e ligne, la le mot /!<v/e on a supprimé « Il fit un signe Bask sauta à après plusieurs lignes: 76 177 1820 .«M 20 Ce <yMe~o'~tc. Vers 06.!e~'ua<eM?' des ~fo~cs, 23 Lettre de Sigisbert. CoM?'r/e?' /?'aMp~M n°305. vay, /'a<~ 20 juin. un ~e.!M7'<. Cf. 17 juin. au rédacteur du Hugo cf. Ca<a/o~!< CAa?'a- ./Mt7/e< Poésie. Le &OHH:. à jt'eM~e ~ay/MOK~ Co~MM'u. Zt«. t: n, livrais. jB'M~M< élégie 209-215. V.-M. cf. Premiers xv), pp. Hugo; des jours de juin 1820, ~ecM<?~ de /4ea~p'M!e · Jeux /?oraM.E. 7'/t<K~'e Le /'o~!CM~ec/ae/e-s-. français. comédie en cinq actes et en vers CM/au'e, par M.DeiavittedeMirmont. ~ecoM</ /<e 7.'a7'/<~<e <!Ht~ /?'M/ipaM. comédie en cinq actes et en vers lieux, par M.Théauion(i). « mes « moi « vint me cria-t-il. Le jappement du dogue Suis-ie, devant pieds. disparut. qui marchait il me guida travers les ténèbres; nous sortîmes du mont. En entrant dans ia vallée, Bug-Jargal » au-devant de moi, son visage était serein. Aux i6e et He lignes, on lisait « J'ai fait dire à Biassou de ne pas déployer le drapeau noir au lieu de « Biassou ne dépioira » pas. la 2e on a supprimé une phrase « J'étais Le peu que je comprePage 4-17, après ligne, pétrifié. « nais à ce qui venait d'avoir lieu me faisait tous les » malheurs. prévoir Aux lignes 5e et suivantes, il y a eu des transformations, on a supprimé de petits détai)s ie chien baissait la queue, ses grands étaient humides. Le sentait les mêmes craintes yeux capitaine que lui, il faisait vers lui. quelques pas de son côté au iieu de s'élancer 5 et 8 ont été transformées. JI y avait ceci « Je lui annonçai Page 4i8. les lignes simplement « que ce serait lui ou dix des siens qui vous tiendraient à la ligne 9e, on n'indique compagnie » plus comment s'était « sauvé en faisant un trou B. Bug-Jargal grand « Le sergent on lisait: se tut. » Page 419, à lafin, Nous n'avons une certaine Nous avons indiqué que les changements ayant importance. négligé toutes les petites transformations sans valeur. n'a pas été reproduit, V. Hugo. à propos du Folliculaire, fait un ()) Cet article croyons-nous. entre la de cette comédie et la première des CoMe<~e?M. JI rapprochement première représentation ensuite du teint de la et des libéraux riaient du bout des iëvres parle royaliste pièce journalistes qui Litt., (Conserv. p. 223). H est, quant à lui, trop petit pubnciste les vices et les ridicules des journalistes. pour connaitre La pièce nouvelle offre beaucoup de ressemblance avec le Tartufe et V. Hugo cherche à le prouver. Le Folliculaire cela est amusant il est supérieur aux Comédiens et l'inmalgré par l'intrigue térêt. Le dialogue est plein d'esprit et de naturel il y a des traits des idées de piquants, ingénieuses, beaux un style plein de verve; les caractères sont habilement tracés. vers, Au commencement de son compte-rendu sur l'Artiste V. Hugo fait d'érudiambitieux, preuve tion. de nous et le traducteur des Contes ~4/'f<&M dans leur L'évêque Claudianopolis, dit-il, rapportent, à la o;'tfM<a~ de .')/. cette maxime des Persans ~M/)p~e'/KeH< bibliothèque d'Herbelot, qui possède un art peut dire est Ce début n'amène )e mais V. Hugo a fait </M'!< grand seigneur. guère sujet, de science. preuve L'Artiste ctM&t<!eM;e rappelle le Glorieux de Destouches. Le plan a des défauts, mais il a des intentions et des scènes piquantes. Les caractères ne sont pas tous dramatiques soutenus également le style n'est assez et la écrite avec pas cependant soigné pièce~est esprit. V. Hugo se moque de jeunes niais qui ont applaudi des traits contre les distinctions « On sociales. « regrette M. dont les Théauion, ait cru sont, dit-on, de s'asque opinions monarchiques, prudent « surer ce pauvre de succès. « L' Artiste ambitieux n'est pas une bonne comédie ce n'est moyen non une comédie médiocre ». pas plus « pourtant dans la Quotidienne N.-B. On trouve, du 5 juin 1820. un article sur r~)'<e f/m&eM.-c de Théaulon l'on facilement de celui de V. Il idées rapprocher sur les que pourrait connhunes, Hugo. y a trois ou quatre sur les traits satiriques contre la noblesse, sur ~léauton huissiers, on au trouve, royaliste y commencement, avec )e Glorieux. le même rapprochement Dans le Drapeau M<Mc du 8 juin, MartamviHe écrivit un article sur le Folliculaire on trouve les mêmes idées que dans le Cogère. 223. allusions aux Z!«., p. journaux à Molière et Tartuffe, mêmes idées pour le style. royalistes, 77 i VM<7/e< 4820 La ~apo?:ney:'e, en 3 chants, avec poème des notes et crihistoriques, étymo!ogiques :CoM.s'c?'t\ Hvi'ais. Z,<t. u, xvi, tiques 217-223 Article d'Abei contre pp. (A.). Hugo0 la franc-maçonnerie. HOMuc//<s' F'~7'<<<, /<e'?Y<s, CoK.s-cru. t. tt, )ivrais.xvi, Lill., pp. etc. 240-246. Nous devons reconnaitre la main de V. Hugo dans quelques-unes des rarî'x7e'~ ou ~VoM~e~/es .Littéraires la note sm' Guiraud par exemple a dont' le /e/H.(/<; été reçu au 2e théâtre français~ la note sur Edmond Geraud et la /<«c/te d'Aquidu 2e volume de l'Essai sur <a!;te, t'annonce de Lamennais. <M<.<t~j're;tee ~M7' Co?t~ quelques phrases Z:'M., t. u,tivrais. (/M xvi, ~<P~e«/ pp. 246-248. Cet article est sisnë Les /~eWac<eM/ dit CoMMrua~eMr /,t«e'at~e. Une part en revient donc it V. Hugo. C'est une attaque du Oe'/<'MxeM/' et une « le de Chateaubriand, apologie dithyrambique noble pair », le chef des royalistes, «)epius illustre génie du siècle ». Histoire de Gil etc. ~Ma'/e, par etc. Neufchâteau, Lefèvre. Paris, Z~/as de .S'HK<Mn<? /)<!?' M. le Comte de François 3 vol. iu-8. tmp. Crapeiet, 223Co/<.s'e?'u.Z!t.n,)ivrais. xv),pp. cf. Le télégraphe de la litté231, signéH. des spectacles, des sciences et des ra<M?'c, Il m, pp. 27-28. arts, T'oM/oK.~c, t. i, livrais. une partie des pp. 224, 225, 227 du reproduit Co?Mg~. sur le /o~ïCM/at7'e et une Litt., de la p. 229, sur t'~d~e aMt&t~eM.E. partie N.-B. Le Fo~tcM~aM'e, comédie en 5 actes et en vers, par DeiaYiHe de Mirmont, représentée les comédiens ordinaires du roi. le mardi par 6 juin 1820. !n-8, imp. Paris; Fain, Paris, Ladvocal. B. F. 24 juin 1820, no 2281. L'~4r<M<e aMt&t<!M<.c ou )'~<<o;j<tom. comédie en 5 actes et en vers, par M. Théau)on, représentée sur le théâtre du faubourg Saintfrançais le 3 1820. Germain, juin In-8, imp. Didot, Paris B. F., 8 juillet 1820, n° 2519. Paris, Barba. Revue /:«e'?'a<)'e. Hommage de ~Van~'re «M.K ?y!<~MM de </Me</p~c?'r<:Co7!seru. j~ xvf, p. 238 (U.). de ~'aueM~/e A. R. ~?' le t. u, livrais. )) n'y a que quelques lignes pour dire que ridée est touchante et que les regrets de l'aveugle sont avec naturel exprimés etsimpHcité. N.-B. de etc. ~f<wtM6t</e l'Aveugle, fn-8, Boucher B. 20 mai n' 1822. F., 1820, tmp. Lettres On trouve dans cette édition ['examen de la de savoir si Lesage est l'auteur de question Gil R/<M ou s'il l'a pris de l'espagnol, etc. de Neufchâteau, par M. François B. F., ~rjui))et ~820, n" 2354. Article Trébuchet sur signé (une colonne) V. Hugo et ~/o!.s'g ~M;' le ~V! dans le ./OMr/i<ï< ~e7V~M<e.! et de /a Zo~'e-/n/<«'H?'c, ~jui!~eti820. de V. Hugo a Adolphe Trébuchet 12 mai cf. Coy'y'p.~o~~aHCp Figaro, 1886; de la lettre ~~5-35, pp. 9-11. La moitié est supprimée. On y trouve aussi plusieurs cf. inexactitudes j4/t6~'ce. /~Ke de /.a&OM!~xp. /~<c/:otMH:e. L. de C<~e/(M~. la F/p.eM.c. De.s'cû?H&M 6*M.p. (1) C~/ï~'M. Z./«. t. n, tivrais. 255-2C1 xv!i, pp. cf. et Philos. t. 1, p. 157. w:~t' (U) poétique. V. Hugo fait de nombreuses citations: il se contente (-1) Dans cet article, ça et ià une d'ajouter ou un critique éioge. A), de Labouïsse est un poète aimable et un poète Dans son fidèle (c'est-à-dire royaliste). élégie ~/K Mta/«</i'<; on trouve les sentiments d'un bon père. d un bon époux ii y a des et d'un bon français, idées avec bonheur dans son idviie Z<!A'o/!<M</e. exprimées gracieuses Le Cu/t.ff/'u. A</<. n'insère les chansons: on l'ait une exception de M.Cipcipas pour des couplets re) inlitulés Le ~fM~<<e/ a imité M. Hicbomme en vers une trad!nte de FAitemand B/a~c/'e et tr't/Af/Mt, insérée éiégie dans lit xme tivraison du CoHA'eru. V. Hugo Litt. cite des vers touchants ne manquent qui pas « On trouve dans la M. de sans est des traces pièce d'énergie. Richomme, doute, encore, qui, jeune < d'un talent aurait tort de ne pas cultiver. » qu'it « H y a de bons sentiments et de bons vers dans une 0</e contre les MMMMM de la /</<</MK<ë « que nous transmet M. de la Villestreux mais il a un défaut des », y prosaïsmes fréquents, presque de absolu mouvements !) est l'auteur de de a de ~V<ïK<e~e duc lyriques. t'OMMa<y<; <'at;e;t.~e de Berri. Le CoM.<e/'u. Litt. ne peut pas admettre les poésies La pièce ~OMueMt/ e'7'o<Mc.s'. envoyée par M. Gaspard Descombes est de ce nombre. « Elle n'est dénuée ni de grâce, ni d'é)égance, ni de frai« cheur. » «Au reste nous croyons utile de prévenir en passant nos jeunes poètes contre le genre « érotique ditîère du Et a ici nous nous bornons les qui beaucoup genre purement e/e'~?a<yKe. piaider «intérêts (le i'art.~ » Les cinq dernières (ie son article, dans /.t~. e< P/tt7o~. lignes Mie/eM, t. 1, V. Hugo les a insérées 157 milieu de la « La des etc. » p. (au page) peinture passions -78-– 1 10 et il 22 ./M<7/e< 1820 3 fi Trébuchet aux frères d'Adolphe de V. Hugo a. Adolphe Trécf. Lettre Hugo buchet 1820). (10 juillet de l'Essai sur Le second volume ~H~<~e-' cf. La est en vente )'eMce de Lamennais 7 juillet. Quotidienne, 10 d'Abel à Adolphe Hugo à celle de Victor du même jointe dite. Cf. Appendice. 15 du V. Hugo assiste à la leçon de clôture latine de Tissot: Co)Mf?'u. de poésie cours t. n, tivrais. xvm, pp. 321-325. Litt., Foucher se rencontrent V. Hugo et Adèle au bal de Sceaux Ze~-e.< à la fiancée, p. 55. 16 Mi-juillet 22 ~feMO~'M 7H~<0?t de Lettre Lettre Mme Hugo et ses n° 10 cf. Mézièi'es, Trébuchet, Adolphe .sp?'?' ouvrage a /t/.«o~-e imprimé contenant de sur la vie la les du manuscrits autographes, Grand écrite feu Mgr le prince de Condé, par et la correspondance de ce prince avec Condé, les souverains des familles et princes royales de l'Europe CoH~e?'u. t. livrais. Zt«., n, (1) cf. Z.!«. et Philos. xv)i, pp. 26d-27d (V.) mêlées, pp. i56-d57. Trébuchet, Inéjour. fils vont habiter Lettre d'Eugène 4 août 1820. poM)' Condé, N.-B. ~/t;'?HO:M ~e?'M; M l'histoire de pour maison de Condé, etc. T. chez in-8, Boucher, Paris )'édit., imp. rue des Bons-Enfants, no 34, B. F. 22 janvier 1820, no 332. T. n, in-8, imp. Gratiot, chez l'édit., rue Paris; des Bons-Enfants, no 34. B. F. 29 janvier 1820, no 335. 2e édit., 2 vol. in-8. Paris, imp. Boucher: Paris, chez )'ëdit, rue des Bons-Enfants, no 34 et chez B. F. Ponthieu. 2 décembre no 4375. i820, la rue de à Hugo dans le .De/eH~'CM?' un t)e St-Victor publie 2<= article. De /M poésie en général el des Mteditations ;)M7/MCS d<' 7)~. de /M ~/a?'<g. du 3 juin. tt y fait C'est la suite de l'article ~o~e su?' le 7V!7 de l'ode de V. Hugo t'étoge cf. Le De/'en.s-pM?', t. n, livrais, xvi, p. 117, 22juiHetl820. mort le M. Charles A'ec?'o/o~e. Loyson, 27 juin 1820 6'o~c?'t\ Z.<«., t. n, livrais. xvi!, est d'Abet Hugo pp. 284-285, (A). Cet articte un étoge de Ch. Loyson. 24 J.-H. Rousseau avait lu à Voltaire son Ode « Elle n'ira à son à <a Po.s'< pas adresse Arrouet. On n'en », dit le sardonique au Génie, ode que M. Victordira pas autant V. Hugo n'a reproduit le dernier dans Litt. et Philos. (4) De ce long articie que paragraphe ?/t<?<e~, tout le reste est inédit. au nom V. Hugo commence de la magie de Condé. ))réveii)een par nous parler qui s'attache nobles et ne sont de notre V. notre une foute d'idées généreuses qui plus temps. esprit Hugo profite du meurtre du duc d'Hnghien sa haine contre pour exprimer Napoléon. « Un homme nous comme vivait le encore, qui est venu parmi pour attester que la Révolution « meurtrier de ce même a mieux encore en faveur de l'illustre nom de Condé. en prince, témoigné a-t-il f/<MM le c:e~ jooMy « iui consacrant, une de ses dernières Je voudrais, a~e;' dit, imprécations. l'athée a Dieu et du à la vertu. « j/ <OMrM:e/t<et' le /<?Mce </e 6'o~~e. de crime Hommage effroyable « Bonaparte, né dans l'anarchie, connaissait de même tout l'empire des souvenirs de la despote « race de Condé sur les Français. Sans rappeler son épouvantable du 22 mars nous troud804, faute « vons la preuve nous dans tant dura son de ce que avançons l'opposition qu'il apporta, que usurpa« tion. à ce que la vie ~M ~y'H/t<< CoM</t', écrite le de vit le par Mgr prince Condé, jour. ('CoH4'erc. Lt«.,p.262.) L'auteur mêle aux de cet ouvrage qui n'est pas un panégyrique. V. Hugo fait ensuite )'é)oge sévères la conduite du grand Condé. V. Hugo fait une les observations politique éloges que mérite exités mais il entre les deux Condés~ tous deux, différentes; comparaison pour des causes longue citations montrer le de est un de longues que noble, simple, quoique peu apporte pour style l'ouvrage prolixe. du dernier V. Hugo se montre ensuite de Condé. treséiogieux pour l'historien prince la inédite a les /f<c'-A'!Mt//e « qui Il n'oublie volumineuse correspondance pas jointe l'ouvrage, éveillent un souvenir et satisfont une curiosité ». En traits il exquisse ensuite l'histoire de la rapides, a du combattre, avec de t'armée de Condé alors était (que son père, il me semble, qu'il campagne Moreau sur le Rhin). H termine Litt. et Philos. enfin par le paragraphe M~/KM, pp. 1S6-1S7. qu'on peut lire dans -79 22 Juillet 1820 de faire paraître le poète y amis Hugo vient au <7en~ le nom de Chateaubriand l'Ode de ne est bien a son adresse. Nous regrettons de cette beHe citer que deux strophes pouvoir ode. Cf. Drapeau 1820. &/anc, 24 juillet Fin juillet Fin juillet à Paris. « M. Soumet. Arrivée de Soumet cf. La est a Paris depuis quelques jours ? aussi 31 juillet Voir 1820; 0MO<eMne, x)x ~'OM.s-e?'u. Litt. t. i), livrais. Fa?'e/M, nouvelles 19 août //«e'?'<ï!?' 364-368, pp. est annoncée. 1820, où cette arrivée Lettre de Soumet à J. de Rességuier. arrivé à Paris, fraîchement met, y de V. Hugo V. /o BinÉ, portrait ~30, pp. 152-153. Soufait le avant AO!~ d très élogieux le G'c'H!?. « Dans Entremet jPe6a~ sur du Journal des cette ode ~'M?' le Le Poésie, Chateaubriand Génie, (1). le ode Vicomte de le tirage à ~!«. certainement avant le 5 août ainsi t8e du Conserv. parut que (1) La livraison à mais ils sont certainement de la FraHce les donne tous les deux cette date, La ~'Mo~'a/j/tt'e part. à A. datée du 4 août, annonce l'envoi du tirage lettre antérieurs. Une Trébuchet, d'Eugène Hugo le M juillet, fait réloge de t'ode de V. Hugo; le à part. De plus, le 1er août, le Journal des Débats à L'ode était donc parue cette blanc en cite deux strophes. époque. Drapeau vers changé 8e vers, à part ne diffère du Co?Meru. Le tirage Litt., (8e strophe, que par un seul /eMyA ?HatM~ serviles. Litt. disait Des Le Odes et Ballades, l'ers chargent p. 277). Le Co?Merc. leurs serviles. Les Grecs courbent à part a donné le texte qui est resté /OK~ tirage Lien des changements, soit en 1822, soit en 1828 on on a fait bien des corrections, Mais depuis, 2 décembre 1911. dans la /~uMe soit M. Barthou, a signalé bien des variantes, bleue, pp. 708-709, l'édition des ÛDES ET BALLADES de dans sous le titre C/<a<ea'<&ta?tde< )~. /~M~o, soit M. G. Simon, et ces variantes en suivant Nous allons noter ces changements yVa<MKa<e, pp. 515-519. l'imprimerie l'édition ne varietur. l'une est empruntée En 1822, V. Hugo avait mis deux épigraphes Commençons par i'épigraphe. '). Cn vient de )a rétabHr dans l'édition de /?K/)rMKeyte « Va d'un au Capitole an Tasse pas ferme Pensées ~:t)e/M la. trouve dans les de Lamennais, était restée. On ~a<t't)~r<<< (pp. L'autre, 570-571) le xvnie siècle et ~M;' sa situal'Etat de de /aKce suivent les A'M/' /'e'.y/Me pendant /e.ei'o?M qui Tournachon. ~<tV!e~ de tllélanges <wt ac<Me//e, fn-8, 1819, Paris, religieux e<t~o~op/t!</Me~. les vers 1, 2, 4 ont été transformés en 1822. Voici les deux textes A la 2e sh'opi~e, D'un t;c)a.t magique et céleste ses yeux La Gloire fascine U subit, le pouvoir funeste De ce fantôme impérieux </OH~M. Voici, pour les mêmes vers, deux La gloire, fantùine céleste, de loin u. ses yeux; Apparait funeste )) subit le pouvoir De son sourire impérieux Odes et Ballades. Litt. autres variantes signalées Il subit ton pouvoir funeste, Gloire, fantôme impérieux Tu l'entraînes, Dans t'avenir A la 1 4 S bene et céleste, mystérieux. M. G. Simon 3e strophe, signale Si la Sirène qu'il adore Ou si la Gloire qu'il adore L'accueille après de longs efforts, La variante du vers 7 est ie texte les variantes même du M. Barthou et par M. (i. éclat. céleste, Tu pares d'un Son avenir mystérieux. suivantes 5 La Haine, l'Injure impunie, C Le Dédain qui suit le génie 7 Usent les jours de ce mortel. 8 Du malheur mémorable exemple. Co;Me/'f.Zt«. -80. par Simon 5 1820 ~40M< à M. de Chateaubriand, « G'eMï'e, adressée te « poète se tient souvent a la double hauteur « de son sujet. cf.OM?'na~ des R. ? Signé d" Août 4820. Débats, du CoK.~erua~M?' parle le y~!<rKa/ </e ./Van<M 2 août 1820. Z.OM'e-7n/ë'?'!eM''e, Trébuchet t'aù'e dans Lettre d'Eugène Le Figaro (~2 seulement quelques 6'o?Me?'u. Litl. 293, Signé V.-M. Cf. Le Ce/ne, Trébuchet. Hugo a Adolphe en a reproduit mai 1886) envoie six. lignes. Eugène A la 4e strophe, notons, M. G. Simon, d'après trois variantes 1 Toutefois dût-il être 2Aux traits amers de 2 Aux tourments longs 8 Voudrait,inSdèleasagloire. Pour la Se strophe, ton nom Quand M. doit G. survivre Edit. De lades les plus celui du donne Simon aux une vers au variante riantes nale, 6e on strophe, signalées p. 816). 5 Longtemps sur relève MM. par été les Barthou dans ignoré vers en changés 1828. vers ton nom et le doit G. plusieurs Odes (cf. Simon à Voici de du côté aux variantes nef a 7 Souvent 8 Ainsi lutté contre et 9 Errait vieil le jadis inconnu sur l'onde 6 Qu'un A )a 7° strophe, Tu Voici son jour fuis d'après le la terre, le feu les devait 3° vers pur qui a été corrigé après A la tours de 8c strophe, leurs ~'aHS le âme 8~ ont cle vers pour Odes quelques et Bal- bien des Bornant 6, 8, lointaines, Sorrente, tes 9 Tu devais errer sans Longtemps Tu autres en une Sous étoile vagabonde Comme le vieux toi, Méonide, Avant Traîna va10, Natio- 9, l'imprimerie plages de 7, de remplir sort son dans le et patrie de l'univers. mers guide, mers, monde sans en guide, mers. 1822 t'anime Co?Meru.j~:«. manuscrits à ton S, de 8 8 10 10 remplir. variantes des 1 Loin des bords t'avaient vu naitre qui 2 Tu fuis des quand régnaient pervers au jourde nos revers 3 Et tu trouvas un nouvel être 4 Au sein d'un nouvel univers. 5 Perdu sur ces lointains rivages, 6 Leurs neuves,leurs grands bois sauvages 7 l'laisaient des cru 7 Ont souvent t'ensevelir. 7 Traina sort de mers son 7 Subit les caprices divers Homère nom âges, Nationale. courses incertaines, sans et sans patrie 6 Longtemps, 6 Commetoi.duneétoile errante 9 10 texte édition Ballades, 5 Hélas monde, à l'ensevelir; prête les /M~M. vers SHelas!comu)etoiMeonide, le Cygne S Hélas 6 Ta braver avec ses outrages, Que t'importe, A toi, nain If géant, un peuple Tout doit un tribut au génie, ils n'ont Eux, que la calomnie Le serpent n'a que son venin. Odes et Ballades. Litt. manuscrits 289- pp. 1, 2 et 8 Edit. les vils t'importe outrages né pour mourir, vulgaire, la calomnie, Qui, poussé par Poursuit encor dans ton génie Le grand siècle veut flétrir. qu'il Conserv. )a 8~ Quand âges. ont xvm, en proie la douleur, dela douleur, Que D'un A aux NE VARIETUR. derniers cinq Co?tse?*u. Litt. livrais. Hugo. ode a M. le Vicomte de ChaVictor--Marie teaubriand ïn-8, par Hugo. Anthe chez Paris, Boucher, imprimeur-libraire. rue des Bons-Enfants, n" 34 et chez libraires au Palais-Royal, PéHcieretPonthieu, M.DCCC.XX. extrait du Conser(au verso ua<eMr /«(;'<'a!?'e, t.- n, iivrais. In-8, xvm). 7 pages. De l'imprimerie d'Anthe Boucher, de L. G. Michaud, rue des Bonssuccesseur ~t«ede la et t. n. 1 2 3 3 3 4 fuis le soufile premiers vers qui t'anime O~ef~a~a~M. de cette strophe Jeune vers un nouveau monde encor, Tu fuis loin de nos bords sangiants, du feu te féconde Et là, qui Et là, d'une extase féconde Et là, d'une extase profonde les premiers Tu sentis élans. e feu a été changé variante les comme nous créneaux l'avons des indiqué plus haut. Au 10~ vers, les ~/ra)M. 81 10 1820 Août de l'ode sur exemplaires l'adresse de leur nouvelle à venir faire son Adolphe de politique et question cf. Appendice. A celui la de 9e les strophe, ne l'édition ont Les dieux de ses Eleusis N'entend plus Délos cherche Voici vers 6, fui dans théories les pieux ses chœurs les été corrigés 1822. après Voici le vu ses concerts ude)es Con~-e. variantes grandeurs de l'édition par signalées texte a strophe CoMM/'o. du subi Litt. A l'ombre de la immobi)e Tente Le voyageur camp T'accueillit errant Tu vis encor le maudit Où, par Mourut ie Sauveur Sur le tombeau La muse sainte T'enseigna ses les dans trouve i'e'<<!<!OM de des et remaniements celui vers premiers l'édition nombreux. avons de <M~7'MKe/'te six les trois derniers leurs actuellement concerts concerts; n'entend plus allons dans les leurs d'abord Odes et luths ndè)es mettre en Tente du est 1822, 7Va<to?ta<e. Les Conserv. Litt., M. par signalée voici Numide ce bord nous Barthou, trois possédons la dernière sa sainte et variantes. nous est Ballades. L'une donnée se par Le camp T'accueillit du Numide voyageur errant sur ce bord au loin la Pyramide Qu'ombrage Tente immobile de ia mort. t~~a~e de mort. du 4 5 6 7 de texte l'édition du de Conserv. ./Va<:c)M<s. l'Imprimerie Litt., nous possédons, grâce à Et dans ces paisibles retraites La sainte muse du prophète T'enseigna. tombe éternelle et solennelle Et près de sa tombe adorée La muse éternelle et sacrée T'enseigna. T'enseigna. -82- AI. Barthou. Accueillit tes pas voyageurs Tu vis encor ces lieux augustes Où mourut le premier des Justes, Sauveur des humains, profanes Et sur sa tombe délaissée d'Amos et d'Osée La muse muse d'Eiieet d'Osée ses secrets divins. T'enseigna de sa tombe muette près sainte muse du prophète T'enseigna. de le foule sans remord, fils du Numide, et la Pyramide, immobife de la mort Odes Et La près muse regard Ballades. Litt. larmes arrosée de Job et d'Osée ses secrets divins. T'enseigna Et La pieux P'eux variantes Et là des La muse et Ballades. Qu'un pacha Et le Bédouin, Et Carthage, texte vers concerts Mais si ia Grèce est sans prestiges Tu savais des lieux sotennets Ou sont de plus sacrés vestiges, Des monuments éternels, plus Une tombe de vie pleine Et Jérusalem asservie l'autre Variante Pour On Nous A t'ombre de ces Pyramides, Où s'acharnent Où s'entassent les ans rongeurs, ( dévorent Que La tente des Numides agreste La tente des anciens Numides 2 3 3 moins nous que du prairies, chants Pyramide. de la Mort, du Numide sur ce bord. Mont Auguste son peuple injuste, des humains rachète, qui nous du Prophète secrets divins. Le camp du voyageur T'accueillit errant sur Où s'élève la Pyramide immobile de la Tente d 2 2 et 7 flétries Co?:M?'u. Pour Litt. Nationale: /wpy'tMe?-!e les longues théories blanches théories 40' Conserv. Odes 8 La du /«. Elevant E)ever 6 Les choeurs, 6 Marcher les texte Les dieux ont dans les fui Adieu les blanches théories! Plus de jeux, de saints plus Adieu les fêtes fraternelles prairies, quelques a 8 ont 7, n° 34. B. F., 5 août Enfants. n° 2825. 1820, Prix 0 fr. 50. Cf. Odes et Poésies diverses, cf. Odes et livrais. 1822 Ballades, m, ode 1820 (l'édition vi, pp. 273-279, de 1828 juillet comme date cf. Odes et porte juin 1820) édition de l'Imprimerie Ballades, Nationale, 196-199. pp. varietur maintenant 5 Thèbes le Génie, il donne demeure et invite à Paris. droit Il est de Chateaubriand M. Barthou, au i820 5 Août ~4 Corre.!po?t~aKcc. <<MCoMse?'!?a~Mr~ï«et'a!)'e: t. i), livrais. xvnr, pp. des MwceaMa: de ~E/)o~!<!on <e </?'a?to! ~r:ï; de ~e:'n<M~e. eo~coM~poM?' Por<?'a!<~e~e~MC<<e~errï;parM.Gérard (1). Co?tsc?'r. t. 't. Hvrais. Z~ xvut, pp. 296299 (M). ~p'~ac~M~ CoMse?'H.Z!'«., 325-356. (P.-S.-F. j6p<!M.K-~4?' d'Arboy). la He strophe, MM. Barthou d'abord le texte de l'édition Pour transcrire au foyer de lEnEn, 2 Tu vins, rapportant STesmauxauxrivesétrangéres 4 Et les hautes leçons et G. Simon ne varietur de nombreuses variantes. ont donné avec en regard une de ces variantes. tes 1 2 3 4 3 4 pères, trésor pour du trois derniers vers de sort. )a strophe 8 Et la liberté, chaste et sage, fuir un 9 Vint culte qui l'outrage 10 Dans des tes défenseurs bras, 8 Et la liberté 9 Commit sa 10 A ton bras, rassurée cause vénérée défenseur des foyer trois présentent autres 8 L'Anarchie, 9 Faut devant éclaire rois. rois. la France. Sers altière et servile, ton front tranquille ~M!<t'OK Dans la 13e et dernière NE strophe, de <M/)?'<?Ke?'te ton prince, toute défends la France. ~?<ù'<M?: de /Mp?'iM, vARiETUR les cinq variante derniers ~Ya<MHa<e signale Voit d'en haut, Nos soins, nos deux vers ont différente de affreuse chimère, ton front sévère, L'Anarchie, Pâlit devant Tel l'oiseau du Cap des Tempêtes Voit des nuages sur nos têtes Rouler t'amas séditieux; Pour lui, loin du bruit de la terre, Bercé sur son aile légère. I) plane et s'endort dans les cieux ('). CotMer:). /«. L'édition pères, sort; 8 Et la liberté profanée 9 S'enfuit, abandonnée. longtemps 9 S'enfuit, tremblante et consternée, 10 Dans tes bras, défenseurs des rois. variante enfin signaler une dernière des six derniers vers, venons celles que nous d'indiquer: 5 Le Rhône, au jour cachant son onde, 6 Au sein de la terre profonde 7 Plonge ses flots tumultueux des sombres 8 Puis, échappe plages, 9 U reparait sur nos rivages, 10 Plus vaste et plus majestueux. A la 12c strophe, trois vers seulement ont une variante. ton prince, tes variantes Il faut 6 Sers de allons fatigué'du L'absence,auxrives étrangères. T'avait rendu encor. plus grand Ton tes nobles misères cœur, grand Te restaient dernier trésor. pour 5 Dès lors, laissant ta douce lyre. 6 De la sagesse qui t'inspire 7 Le Sénat la voix entendit 8 Et la liberté, et fière, sage 9 Confia sa chaste bannière 10 A ton bras, défenseur des rois. 5 Tu déposas ta douce lyre. 6 Dès lors, la raison qui t'inspire 7 Au Sénat ta voix paria par 8 Et la liberté rassurée sa cause sacrée 9Confia 10 A ton bras, défenseur des rois. Les au Enfin, Tu revins, Nous Nationale. subi quelques changements du cap des tempêtes Tel l'oiseau Voit les nuages sur nos têtes Rouler leurs flots séditieux; Pour lui, loin des bruits de la terre, Bercé par son vol solitaire, dans les cieux Il va s'endormir Odes et Ballades. variantes sur planant débats furieux; pour nos têtes, les vers 6 et 7 cet article. H profite du sujet donné au concours aux jeux (1) V. Hugo n'a pas reproduit (Achille, littéfunèbres cë)ébres en l'honneur de Patrocie, donnant à Nestor le prix de )a sagesse) pour parler rature. H prétend est plutôt dans il critique avec une dans Mme Dacier Uornere; que le sujet que des finesse de doigté Mme I) passe les tableaux ont obtenu Dacier. ensuite en revue grande qui mais il a surtout un tableau couronné. C'est « une récompenses, remarqué que les juges n'ont point « composition sans et ou sans sans sans sans bizarre, noblesse, harmonie, élégance grâce, goût, « brittait toutefois un beau talent. Nestor ressemblait. a. un vieux sorcierde Achille village. berger, « rappelait. à cela la un campagnard avait l'air d'un chef de voleurs. querelleur. ajoutez Ulysse .(*) L'~4/&a<ro~ dort en volant. -83- 1820 ~0!<< Cette de )'é)égie, Un 6aHMt, élégie parle « de notre jeune et brillant un peu longue co!ÏaM. V.-M. L'auteur laborateur, Mugo~. indique une élégie allemande de ressemayant beaucoup blance avec Raymond d'Ascoli. 5 lettre Fa?'t<'<e~.yVoMue//<<<Mc'~<ïtr~,etc.Co~Mt'u. t. n, livrais. Z.!«., xvnt, pp. 327-328. V. Hugo a dû y collaborer, car ces variétés renferment une note sur Gil-Blas, Liorente, longue une autre note sur les Lettres Neufchâteau, et Lamartine dont la mort a été Champenoises heureusement démentie. .1 9 Eloge Trébuchet. vers), ?'a!re; sur /e 6'eMM', par de V. Hugo donne des extraits (cinquante il recommande le C'OH~'e?'ua~K?' ~/</6cf. Journal de ~V~H/es et de la Loirede 7K/e'?'<t;M?'p, 19 l'ode H en 9 août Poésie. se?'u. Signé t. Lill., x, De Labouïsse. Ca~'6o?te/, livrais, xix, Cunserv. 314 (H). éiégie pp. Con- Con.~)'u. 325 (V). 330-331. Litt., t. ii, livrais, xyni, pp. 310- de Royal /a</«e, poésie Z!«., France. par CM/Mt'e M. Tissot (2). t. n, livrais. xvin, pp. du 321- <: foule des Grecs, dont les physionomies des copies adoucies variées, prodigieusement paraissaient « des têtes des démons dans la tentation Antoine. aces défauts se mêlaient des d.e saint cependant «beautés réelles. Les formes étaient mais bien les têtes mais fortement après, étudiées; ignobtes, « caractérisées; l'ensemble offrait chose de et de nouveau. Placez la scène non chez quelque sauvage « les Grecs, mais chez les Sarmates ou les Wisigoths, le tableau » V. Hugo, était frappant dé vérité. cette page, pensait-it en écrivant à Han d'Islande ? On le dirait en vérité. Le portrait du duc de Berri par Gérard lui permet de parler de « la peinture vivante qu'a tracée « du prince que nous pleurons de nos écrivains. Nous né nous étendrons te premier pas beaucoup « sur cet ouvrage dont la vue nous a vivement émus: nous pourrions déraisonner comme bien d'autres «sur ses défauts et ses beautés; mais nous ne nous en sentons Nous l'admirons à pas le courage.n « tort et A travers, comme Henri [V aimait » Crillon. le sujet et de ~e/'tc~ fi « le spectacle a de l'éclat; les (~t) V. Hugo résume d'j4~/)<Mte ajoute « sont liées avec assez d'art et le style ne manque scènes H cite un sur pas d élégance o. long fragment il porte ce jugement « Il y a du naturel et de la Z> dans ces ou l'on voudrait toutefois tequet vers, grâce « effacer » quelques expressions impropres. une chute Le public n'a voulu entendre les 6~py'o~eMa~e~<MM.PayMasubi complète. que deux actes. ce fait dispense V. Hugo de faire t'analyse de la pièce. H en porte le jugement premiers « trivialité suivant et incorrection du style, défaut absolu de naturel dans les caractères et les per« sonnages, incohérence des scènes, mauvais invraisemblance et faiblesse de goût du diatogue, l'action, « absence » de comique. V. Hugo, un peu contre son habitude, adresse ensuite des éloges C> aux acteurs Samson, Lafargue, ZD MHe Claire, Duparai. L'auteur d't6 </aK6' Paris est incertain. Le Co?Me/ avait nommé M. Mal/oMteM<de AtM., les l'ont lui avec force jeux de mots et catembourgs. montey journaux répété après V. Hugo termine une observation sur la salle même de l'Odéon. Sur la balustrade du balcon, par C/'tM/OM est placé avant Fo~at'e. « Ce contre-sens absurde doit-il être imputé à la chronologie ou au « goût exquis des décorateurs ? Voltaire aurait-il droit encore de dire de nos jours On m'ose préférer Crébillon le barbare « Hélas on fait plus on lui préfère n'est-il a rien au CecMpM~opt: pas vrai, M. Lepan, qu'il n'y « dessus de Campistron ?. si ce n'est M. » peut-être Lepan. dans cet article, ne ménage non pas seulement, (2) V. Hugo, pas M. Tissot, parce qu'il est mauvais mais aussi et surtout est libéral et M. ne l'oublions professeur peut-être Tissot, parce qu'il philosophe. à cette la tête de turc de tous les journaux Il devait souvent de pas, était, époque, royaHstes. parler l'Etre V. dit a de l'Etre un talent tout particulier ~M~re/Me puisque reçu Hugo qu'il Suprême pour les clôtures. V. Hugo le compare aux grands orateurs radicaux il fait son portrait d'Angleterre, puis (il le connaissait bien puisqu'il avait été son élève, affirma tard M. Tissot plus lui-même). Citons « de M. comme celle de tous les grands quelques lignes Tissot L'éloquence orateurs, « est encore et dans le geste que dans les paroles elle est dans ce charmant embarplus dans faction -84- 5 N.-B. ie j4~'KM<e et Périclès, représentée. 17 juillet 1820. tn-8, imp. Vve Porthmann, Paris. Paris chez Vente. B. F., 29juii)et n° 2737. 1820, Une ~7'OMeMC~e (/<MM Paris n'a pas dû être imprimée. Collège cours de 1820. A.-J. ~4 ec!f/e'/?K'e royale de .M~<yMe. Spectacles. en un acte,; et ~<c/eA', Aspasie opéra pade M.Daussairo)esdeM.Viennet, .musique M. ballets de Gardel. gne, tS'coK</ </<e'<~?'p français. ~te ~?'o??M?ta<<e ~«n.s' ~?' ou de ~?'e.s' et de Zo!K, comédie en cinq actes et en prose (1). 5 1820 19 Août Poésie. Z/«e'?'a<M~'e en six poème Conserv. J. Signé Essai /~a?'o/~ j4n'y/a'e. /n~'ep!~e, Sir Walter Scott chants, par t. n. livrais. ~!«., x)x, pp. 332-340. est d'Abel Hugo). (cet article sur en macère 6'o?:e?'H. 330. Signé Fa?'<e7e'.<. CoM~'eru. In-8, ~e'y'a!'?'e, 182-183, 1832; juillet t. i, pp. 229-231 cf. édition de l'Imprimerie 412. Seguin. Nouvelles Z,<rat?'e~, t. !i, livrais. xix, Litt., imp. B. F., 364-368. 3e note est sur un autre ami 19 (1).' x)x, pp. 329- t. ni. fivrais. i, pp. cf. Y. ~M~o?~coM<e, les Odes et Ballades, 411Nationale, pp. Les P~~MM!g.< /?'M</M/~ CM fe~S- /0;H~«.S', de Boishuguet, chevalier par M. de Sapinaud de St-Louis; seconde édition revue et augmentée. V. Hugo a dû collaborer à la rédaction de cet article s'il ne i'a pas cotnposé en entier. Il est question de la séance annuelle de l'Acades Inscriptions et Belles démie Lettres. On annonce i'at'rivée à Paris « cet d'A)exandce Soumet « enfant d'tsanre un si qui occupe rang n distinguéZD « parmi nos jeunes » poètes. La Galèse N.-B. La livrais. x)X du Co/Me/'u. Zt~ est antérieure de ptusieurs au i9 août, puisque jours )e JoMrMa~ de Nantes et de la Zo:e-/M/<'rteM?'e en parle à la date du 20 août. etc. pp. ~« t. n, livrais, Litt., V. d'Auverney. Cf. France de reli- /n~<e'?'e;tce F. de la Mennais (tome gion, par M. l'abbé n) t. n, livrais. 348-3S1. CoHse?'u. Lill., xix,pp. A. article est d'Abel (cet Signé Hugo). N.-B. ~M~ fïM~t~c'yeMee. Essai Tom'nachon-Moiin et Ce)iot. Paris, ~820, n" 2SH. 8 juillet Le vieillard à Mme la mardédiées Fe?K'/e'e?!KM, .E~tc~ quise de la Rochejaquelein par le même (1). CoM.s'c?' t. n, livrais. Z.î«., xix, pp. 351358 (V). de V. Hugo, « « « « « « ras qui annonce le professeur ne sait pas trop ce qu'il va dire, que Monsieur embarras se lequel termine d'ordinaire un bredouillement de et un elle est dans par plein grâce MOK-seK6' ingénieux ces grands dans ces bras étendus, dans ce de donné si à sur la chaire yeux, longs coup poing propos au moment où il faut que l'auditoire dans ce verre d'eau l'interapplaudisse, que l'on boit pendant faut les se et dans cette confusion ruption lorsqu'il que apptaudissements prolongent. pudibonde qui coiore le visage de l'orateur enivré décès de l'estime témoignages publique. » V. Hugo rend compte ensuite de la leçon ette-même, des comparaisons faites le professeur par entre Horace et Montesquieu, des explications données sur Lucain, des contre-sens faits par M. Tissot, de ses digressions sur Marins, ce grand homme a renversé l'aristocratie de la sur les qui noblesse, orateurs sacrés avaient derrière eux « toute une école antique où ils ont été abreuver leur génie. » qui V. Hugo reconnait l'auditoire et qu'il était le seul qui osât rire que applaudissait frénétiquement de l'auditoire et du professeur )i termine eh décochant un dernier, trait. « Dans certains moments je « me suis cru transporté dans le bon temps, écoutant les discours du citoyen Tissot aux clubs des «cordeliers ou des jacobins. » trouvé entre (1) Nous avons santes. Sont-ce des coquilles ou le lecteur pourra juger. le Coîiserv. et V. /?M~o nMOH<e, deux différences Litt., des corrections. Nous reproduisons les quatre vers où elles Il plantait le tilleul près du pin résineux, Et greuait te prunier sur l'arbuste .épineux Chez lui, se soumettant au cordeau qui l'aligne, Le platane les amants de la vigne ombrageait CoftMru. /«. Le texte de la F/'aMce littéraire est le même amuplutôt se trouvent Il plantait le tilleul près du pin résineux, Et greffait le p~e~t'e;' sur l'arbuste épineux Chez lui. se soumettant au cordeau qui t'aligne Le platane les sarmants de la vtgne; ombrageait V. Hugo !'<;coH<e, p. 231. ici que celui du CoMt'en~eMr Littéraire. les journaux de M. Sapinaud (2) V. Hugo ne veut pas dire comme que la traduction estea;ce«eH<e, elle n'est mais elle deviendra excellente si l'auteur l'améliore pas 6oMMe encore, d'édition en édition. Rien n'est difficile comme une traduction des Psaumes. Rousseau en a traduit n'a qui plusieurs donc il n'est honteux M. d'avoir pas toujours réussi, échoué dans une pas pour Sapinaud quelquefois traduction « des saints D'ailleurs la si complète continuellement cantiques. poésie hébraïque, sublime, « mais toujours nue en quelque trouve mal aisément sorte, une interprète grave, fidèle dans simple, « la muse française, sacrifie à à et la de et la vérité qui l'harmonie, l'élégance propriété l'expression « des images. M est même, à notre dans les livres sacrés, une foule de passages avis, ne qui pourront être transportés dans notre et déconcerteront tous les traducteurs ». On pourrait «jamais littérature, se demander si V. Hugo n'a pas emprunté sur ce dernier et même des tournures à point des idées un article de Lestrade sur le même dans le 6/a/t(; du 1er t820. sujet ~)/'apeaM juillet V. Hugo. cite ensuite de la traduction de Sapinaud de Boishuguet. Il prétend quelques exemples est exacte et nous ne son du qu'elle textuelle moins avis, cités partageons pas pour les psaumes de Boishuguet avec une Sapinaud retranche, étonnante facilité. transpose ajoute, V. Hugo termine ains) son jugement « Le style de M. Sapinaud n'est ni de force, ni dépourvu -85 1820 Août dont la tragédie de Turnus est annoncée Pichat, le 15 janvier 1821. L'auteur fait un grand pour de Pichat. éloge Enfin deux pages sont aux Lettres consacrées ~VorMaH~/M ont Chateaubriand qui prétendu que fait monarchique s'était et religieux par intérêt L'auteur déclare en le personnel. passant que du Génie 1er volume <<~ Christianisme a été imà Londres avant le retour de Chateaubriand prinié en France. 20 yoM?'?:a/ ~'ïeMy'e contient Le de 7VsK<M'e/ de un long extrait <eM?' xix~ livrais. /e?'a!'?'e, de Richer l'article J. signé cf.OM~a/ de A'M?i<~ Hugo 7?t/e?-:eM?'p, 30 Chateaubriand La Quotidienne, 20 août N.-B. Paris, 2335. Les imp.-libr. Psaumes, Leclerc. Vendéennes. Elégies Leclerc. B. F., 10 juin Lettre 22 août de V. Hugo 1888. 2e ëdit., B. F., 24 2 vol. in-18, 1820, n" juin In-8, Didot, imp. n" 2120. 1820, à A. Trébuchet Paris, Figaro, 23 la /.o<7'e-/K/pdu Conservasur le doit être el de la Voyage d'Abel Loire- d820. est de retour 30 août -)820. à Paris cf. Septembre 2 /~oe'~ïc. Les deux Contre. ~4ye.s' t. n, Hvrais. 369-371. xx, pp. Signé Hugo. Voir primés le 5 juin Les </eM.E ~~es dans le /~CM~7 des Jeux ont Littérature Examen française. critique et complément des Dictionnaires historiques les plus dictionnaire de depuis le répandus, J~o?'e'?' la Biographie Universelle jusqu'à inclusivement. Tome i (A.-J), contenant environ 240 articles 50 refaits et 560 nouveaux, du Dicou augmentés corrigés par l'auteur </oMHa!?'e des ouvrages et pseuanonymes Z! V.-M. été im- //or<!M.R. Z,a! mort du <~Mc d'.Ë'K<y/<t, suivi poème, ode intitu!ée le 6'?' des 7~o~< d'une par M. Miche!et, officier dans la garde royale t. n, livrais, C'OMM7'Z.<«., xx, pp. 38~-385. </OK!/W~(i). ni de vivacité; mais il manque en un mot de « d'onction, trop généraiementde grâce, d'élégance, « poésie. ou incohérentes, et le goût n'a pas toujours au Les figures tronquées présidé y sont souvent « choix des expressions, à l'harmonie à la composition » des images, et même des rythmes. V. Hugo parle ensuite des ~7s'<ytM FeK~e'e/tKM. « II était digne d'un chevalier français, porteur « d'un nom devenu durant nobles de leur consacrer une accoutumée ces historique guerres, lyre déjà « à répéter les tons graves de la harpe du psalmiste. Les infortunes de l'armée ont quelque royale « chose » de sacré qui donne à ces élégies un air de continuation des saints cantiques. et Philos. mêlées commencement de l'article Litt., (1) Litt. reproduisent (p. il3-H4)ie (CoK~eru. et a été dénomination. 371 372). Une correction de faite remplace pp. petite style qualification du CoMMru. offre peu d'importance et nous arrivons à cet autre Ce qui suit dans l'article Litt., Mais à la morceau sur Jean Alary a mis dans Z!'«. et Philos. mêlées que V. Hugo (pp. 414-115). a été complètement, transformée et augmentée. Au lieu des qui suit la citation page 115, la réflexion V « six lignes de Litt. et /tt<o~. avait Sous Louis cette dénomi?Me/fM, XIV, Hugo dit simplement des poètes aux philosophes ». <: nation de c/'oMM des philosophes aux poètes, en 93, elle revint passa En 1834, il n'attaque il donne à son idée une forme et les révolutionnaires, plus plus les philosophes et plus généraie. vague de V. Hugo, mettre de la variété dans son article et intéresser son cite des traits lecteur, pour des observations ou des détails un pasteur noblesse ou de fidélité, plaisantes piquants protestant, un Claude un un Camille Brousson, Vendéen, Desmoulins, révolutionnaire, philosophe, paysan Il parlé lui en fournissent la matière. amis et ses J.-J. Rousseau, Mais il n'oublie ses pas protecteurs. a enrichi le Gil Blas de Crapelet, Barbier des notes dont le Comte de Neufchateau François critique d'avoir « les innombrables admirateurs de l'illustre vicomte de Chateaubriand ». Notons en attaqué <: Je biâmerai. M. Barbier d'avoir un esprit une critique apporté passant, plus importante peut-être « de pbiiosophisme » dans un ouvrage où i'impartiaiité semblait et presque de libéralisme indispensable, H reproche ii fait ensuite de style, rectifie des vers cités d'une manière incorrecte. quelques.critiques si Volney n'était à'Barbier d'avoir relaté un fait peu honorable pas mort. pour Volney qu'il raconterait I) s'amuse en terminant à parler dont il laissera les matériaux aux de sa propre biographie du Litt. bureaux Conserv. 86 2 1820 ~e/J<eMt~re dans le corps de la revue, L'article, n'est mais à la table on trouve A.-B. ou pas signé, AB. Est-il d'Abel Peut-être. Mais le Hugo? bien à celui de Victor. style ressemble 2 Visite à la Trappe CoM~o-u. ~e/CM~c.?. t. livrais. Litt., n, A. xx, pp. 385-389. Signé T.-T. Cette lettre est d'Adolphe Trébuchet. Entrefilet sur l'ode le Génie, dédiée à M. de Chateaubriand, par Victor-Marie Hugo. « Autrefois d'un d'une l'apparition poème, « ode, soulevait la foule, les aujourd'hui. « poètes n'ont d'autres lecteurs plus qu'eux« mêmes et leurs amis. ont Quelques-uns « triomphé de l'indifférence du et public, « parmi ces élus on doit M. Victor compter « Hugo, célèbre de nombreux triomdéjà par « phes académiques. n vient de publier une « ode sur le Génie, dédiée à M. le vicomte de « Chateaubriand. On ne pouvait mieux l'adres« ser. Le poète n'est pas resté au dessous du « sujet, » Ici quarante vers sont cités. Co7îM?'u. Litt., 378 (V) cf. Z~. ld4,H5. t. n, livrais. xx, pp. Philos. M!<?/e'g.s', pp. N.-B.–F~aM:e/tcy'<t~Me.etc. chez Rey, Baudoin; Paris, B. F.. 3 juin 1820, nod9S2. Gravier et 37')-H 3 In-8, imp. Baudoin. ~<KMe/ de ?'pc?'M<eMM7t<, ou Recueil des <3y</o?~aMCM le circuapprouvées par Roi, /a!'?'M et ~e'eM/OMA' ministérielles, auxquelles /'<'a;c'eM<oK de la loi du 10 ?/ïa?'.s' 1818 « ~o?tHe/tCM, ordre du ministre publié de par la guerre (~). CoKA-ey-H. Z~ t. ii, livrais. xx, pp. 394395 (M). N.-B. Nous n'avons cet ouvrage pu trouver à la Bibliographie de la France où il n'a pas été annoncé. Nous ne savons à quelle époque il a été ni où il l'a été. En )8d9 parut à Melun imprimé, avec l'autorisation du préfet, (chez Michelin), un ~/<MMe/ de recy'M<e~eM< dont le titre est un peu différent de l'ouvrage de M. Foucher. nouvelles Fa?'t'e<M, etc. littéraires, (2) CoM.!e~. t. H, livrais. /«.. cf. Az«. et /<o.t. 400 ?H~'M, xx. pp. 396t. i, p. 60. ne pouvait d'adresser (~) V.Hugo des étoges à l'auteur manquer de ce ~CMMe< puisqu'il n'était autre M. le toucher, Aussi « que de t'homme pèred'Adète. utile et laborieux parfe-t-ii a rassemblé qui « les matériaux de ce recueil. sans même avoir fa consolation de voir son nom sur la couverture d'exactitude et de méthode « Beaucoup d'ordre, dans le classement des matières, donnent un grand au ~aMM<-< du /!ecrM<e;<;K<. L'auteur « pnx de cet excellent recueil a réussi à mettre de la clarté dans une partie bien embrouillée de notre » législation. Il se moque un peu de la toise du recruteur sur toutes les têtes, de la loi du 10 mars suspendue « si chère aux partisans de cette absurde tout le monde et n'élève égalité qui ravale personne. '( Kemarquons seulement en passant que les appels forcés n'ont jamais réussi dans l'héroïque Vendée, « ou chaque homme est un soldat au premier volontaire, » tt ne faut pas oubtier appel du devoir que la toise du recruteur était suspendue sur la tête de V. Hugo et qu'il t'éviterait par ses pressantes démarches du secrétaire des Jeux floraux, le bon M. Pinaud. auprès It critique en terminant le nombre immense des fonctionnaires. « Beaucoup de ces Messieurs. « sont a peu près aussi utiles a t'Etat de Regnard recevait que l'Arlequin une de la ville, qui pension « pour tous les ~M:K~e~OMrA' le crt/t au cheval faire de 6?'oK~e. » Nouvelles Farter. (2) L'articte Littéraires, n'est entier de la main peut-être pas tout de V. Hugo, mais il a dû y travailler en a reproduit un passage puisqu'il dans Litt. et Philos. mêlées. U autre nouvelles part certaines devaient t'intéresser tout particulièrement qu'il renferme L'article commence fait au ï'~ra/)Ae par un reproche de la littérature. à Toulouse imprimé H a reproduit des articles du Conserv. sans indiquer la source. /«., Ce sont des articles de spectacles de V. Hugo. Mais le Co/:M~. n'est pas très fâché Litt., annonce aimablement te puisqu'il ye~acAe de la littérature libéral. « De tous qu'il trouve tes journaux cependant littéraires qui s'impriment « dans la capitale. aucun n'est libéra) c'est qu'en effet l'amour des lettres se concilie difficilement « avec la soif des révolutions. » Parmi les Nouvelles citons une note sur le Conservateur littéraires, de Chateaubriand « ouvrage célèbre sur le Conservateur », de Neufchâteau, « excellent choix de morceaux inédits ? » (or ce recueil n est point certes à mettre entre toutes les mains), sur le Conservateur de M. Delandine. Le CoM~-H Litt. cite'une demie de ce recueil. a e~M nombre page dans la vie </M calife propos huit, ~o<f<~eMt Cette petite histoire arabe doit être de V. iiugo, a cette aimait et qui étudiait la littérature époque arabe. A la suite se trouve l'extrait du CoMy?-!e/- /y-aHpaM ~'M. et Philos. reproduit par mêlées. En on a la date reproduisant et mis t4 septembre au lieu de 18 septembre. changé Enfin on lit l'annonce de différents entre autres la ~eaKMe <?'c poèmes épiques, de Soumet, la découverte de divers manuscrits faite en Irlande. « L'examen de ces papiers une y a fait reconnaitre c vieille traduction des poésies fort antérieure & l'imitation originates d'Ossian, » Tout de Macpherson. ceci pourrait bien encore a V. Hugo. appartenir -87 2 d820 ,S'e/)<e?M~'e « Et maintenant, l'auteur peut se dire comme « le Corrège ~OM p~o?' aMc/te io. » Cf.Zp/<re. t. n, lettre C'/<H/H/~MOï'i820, mais xviii, pp. 338-340 (B. F., 2 septembre, cette lettre est sûrement du mois d'août). Z)~eoM~. 6'M7' ment mutuel. Agmine partito les avantages fulgent, de l'enseigne- paribusque magistris. Virg.(l). livrais. C'OK.!P?'u. Zï'«., t. m, xxt, pp. 7-15. cf. ~<«. et Philos. mêlées, Signé pp. 133cf. V. T~M~o ?'<ïeon<e, t. n, pp. 135 31-41 cf. Odes et Ballades, édition de l'Imprimerie avec cette date 12 Nationale, pp. 466-473, mai 1819. de Gil Blas Z~<e'?'a<Mre Histoire française. édition de ~a?t<a?te collapa?' Lesage; tionnée sur celle de 1747, corrigée pa?' l'auavec M?t examen de ?îoMteur, jot'e/tMK'~c[:?'e, des c/ta/):~M ue~HX so??~Ka<?'M et des notes /oa?' ~f. le Comte historiques et /<Me?'aù' de de Neufchâteau, ~cac~M:c 7'aKpoM t. m, C'o?Me?'u. Litt., /'?'SKpa~e,etc.(2): Lt«. avait mis (p. 78) la note suivante « L'auteur de cette pièce avait vu dans (1) Le CoKM/'u. <s l'Enseignement mutuel une méthode mais non admirable, comme le prétend la fraction ubéutile, « rate. Considérant sa pièce sous le rapport nous l'admettons dansce littéraire, recueil, sans partager « tout a fait son opinion. mutuel à la loué très modérément le vérité, L'enseignement y est, (l'auteur « rega!'de seulement de comme rendre les premiers travaux élémentaires /MOMM <y!'s<M et susceptible a son l'auteur même su faire dans endroits et ses « /J/M6' coMr<6') percer plusieurs opinion royaliste « sentiments et nous devons lui en savoir nous pensons cependant religieux gré dans un pareil sujet sans même sous le point de vue moral, le grand « que la nouvelle méthode, l'envisager présente « inconvénient de laisser vite oublier ce qu'elle a promptement ce du reste enseigné, qui compense « t'avantage et d'égayer les études. L'auteur a ia faire précéder de cette pièce nous autorise d'abréger « de cette de mûres réflexions et une observation mieux entendue de la méthode mutuelle l'ont note; à fait revenir à notre avis. Son discours fut en 1819 lui décerna l'Académie, « déjà presque envoyé qui ne le On « une mention honorable sous le n" 16.. et décida donnerait t'insère ici, tel qu'elle pas prix. à l'Académie; au conon croit devoir ne l'a point <c qu'ii fut soumis ajouter que l'auteur représenté « cours cette année. » Cette note est curieuse on connaît le dessous des cartes. quand a reproduit le Co?Meru. il a même fautes fidèlement Zt«. quelques K. T~M~o racoM<e corrigé à A la les trois vers d'Horace le Co~seru. attribuait la sat. tv. du ZtM., d'impression. p. 32, que liv. u, sont restitués à la sat. Vf. A la p. 35, vers 3e on a remplacé avec raison à des /epo?M si chères à tes <epoM~ si cAe/'M. A la p. 39, vers 13e le savoir vous honore meilleure rempar une expression avec raison le savoir MOM.f /to/t0/'e. place Daus son volume V. Hugo avait 43 vers sous les Litt. et PA~o~.Mt~e'e. reproduit (pp. 133-135), titres suivants ~/t Mo?/n?t< les M/aK~ so/<7'</e l'école et~t des e/t/a?t<.s'e/K;s'e. )t avait mis la date Yf~'M 1820 est fausse. a été écrit avant le 15 mai et en septembre. qui //e/Mc/'yeMM<t< MM/Me~ publié H avait fait deux corrections p. 134, 13~ vers, <~e M~etK, remplace dge enchanteur; p. 135, 11" vers, t)t<e/'M6'aM<A'. /)M/'6' <;<~o;/e<t~: ronpiace a propos sur deux pots pourris du FaM!/)trR, de V. Hugo débute (2) ij'articie par des plaisanteries sur un libelle moraux de M. Gosse, sur certains apologétique pour le duc Decazes, sur les proverbes H s excuse auprès de ses lecteurs de ne pas leur parler de ces productions ouvrages politiques. irnpordes notes dont un de nos académiciens vient d'enrichir le tantes et de « s'occuper les plus distingués « chef-d'œuvre des romanciers du premier français la suite de )'ar)ic)e dans et Philos. et 109, avec la date On retrouve Litt. M:e~<;M, pp..108 V. a à °/tu/ ~$/9. C'est un paraHète entre et Walter Scott. la l'écrire en pu Lesage Hugo rigueur 1819 et. te g)isser, en 1820, dans cet article, mais nous n'en avons aucune et nous croyons tout preuve, ~9 est fausse. simplement que la date avril V. Hugo en arrive au travail de Franre morceau dans Litt. et Philos. mêlées, Après reproduit uti)e ))– <: François Litt.. çois de Neufcbâteau (Co~tseru. important, p. 17). C'est un travail, < grand, « de Neufchateau éclaircit. dans ses notes les obscurités du texte, résout les difficultés grammaticales, « relève V. fait de nombreuses les erreurs » Pour ces citations assertions, historiques. prouver Hugo de souvenirs littéraires Ainsi il attaque la ou d'innocentes qu'il entremêle agréablement critiques. H manie des acteurs de mêler des vers à leur conversation réfute certaines Litt., (Conserv. p. 18). de Neufchâteau lui semblent mauvaises les mots et Chinchilla 19 et étymologies qui hidalgo (pp. -88. 9 1320 Septembre livrais, mêlées, xxt, pp. pp. 15-25 108, 109, (V) HO. cf. /<ï«. et P/<:7o.<. N.-B. Histoire de Gil Blas de ~'et)t<t«MHe 3 vol. avec 9 gravures, etc. in-8, imp. Crapelet. 13. F., 1er juillet Lefëvre. Paris. 1820, n" 23S4. de France. Aca~/e7f<M~cs. /H.s'<ï<M< royal annuelle démie Séance /Y'«?~at~e. publique ~e St-Louis Co~tseru. (14 août 1820) (l): t. m, livrais, 31-37 (M). Litt., xxt.pp. la science de son frère Abel a dû lui venir en aide. La biche de Sertorius, le 20). Ici certainement le renard dans la robe du jeune lui permettent de faire de caché pigeon de Mahomet, Spartiate « l'érudition Il ne peut oublier la politique En fait de charlataneries (pp. 20-23). je ne balancerais « pas à mettre les mouchoirs de Makandal sur la même le ~e'moH dont s'était ligne que /aMt<tM' « gratifie, il y a peu d'années, un gigantesque de toutes les folies des fléaux de Dieu parodiste qui « l'avaient Il ici évidemment à V. immédiatement 20). précédé qui oppose (p. s'agit deNapotéon Hugo le grand « d'héroïques ». Condé siècle où l'on faisait son bâton de maréchal dans les jetait jongleries a son grenadier un charlatan mais Chevert était lui aussi d'une toute autre lignes assiégées. parlant manière. « habile V. Hugo ne manque à François de Neufchâteau annoça et là' des éloges pas de donner tateur si commentateur Les sont faites », « savant &. « bon poète quelques critiques qu'il se permet de les recevoir. gentiment que ce dût être un plaisir pour Neufchâteau V. Hugo parle de la réclamation de a l'égard de C~o~' et de la réfutation longuement l'Espagne « dont les recherches ». La question sont extrêmement qui en a été faite par Neufchâteau piquantes devant V. Hugo termine sur le nom de l'Académie va bientôt être tranchée. portée par un M'ra<Mm Ltorente le Conserv. avait nommant Florente. en le ~.t«.. que estropié A la p. HO de Litt. et Philos. on a reproduit la p. 22 du Co?Merc. et par le fait mêlées, /.tM., même une plaisanterie trouve à la Ire livraison du t. i du Conserv. Litt., Cette qu'on pp. 38-39. doit de V. se la bien à ici ne l'avoir commise être plaisanterie trop propos pour pas Hugo qui rappelle H la fait suivre alors. d'une autre sur le de Kant. Le thermomètre de ce système, plaisanterie système ce sont les variations de prix de la perruque du philosophe et Philos. CoM~'er~. mèlées, (~!«. p. HO; Litt., p. 22). V. Hugo caché sous le voile de t'anonymat est très curieux et très intéressant. ('<) Ce compte-rendu ne se gêne pas pour dire sa façon de penser et émai))er sa prose de réflexions de mots piquantes, dont on goûte il fait de discrètes la saveur l'on comprend les faits auxquels allusions. toute lorsque Il commence sur l'objet de la séance, sur le public, sur les immortels arrivant par un long début les uns après les autres. il )t voudrait Pour lui en attendant l'Académie l'ouverture, songeait. que fut séparée du reste de l'Institut: sur fauteuil il serait heureux de lire les noms française chaque de ceux qui l'ont occupé a le jour de chaque on rappellerait haute voix le nom des ancêtres réception du académiques récipiendaire. Le discours du nouvet de Pastoret, fut plein d'étégance. La péroraison fut touélu, M. le Marquis sur a chante les vertus des Bourbons ici longuement). M. Layatui il a évité répondu (V. Hugo appuie comme Pastoret toute allusion aux idées politiques de Volney. V. Hugo aurait chez Pastoret, désiré, une répudiation des de son franche, circonspecte, prédécesseur. quoique principes M. Raynouard de 1821. le prix d'éloquence a lu le rapport sur le quadruple concours Pour le était et li (<M &<M'eaM et à /)e<e''Mt?Me/' les <'om<eM;' <'orn<eM?' de sujet coM/)f<e/' qualités yjro/)<'<M la <yt&MHe. V. Hugo, avoir de la chaire eut été oubliée, est heureux de après regretté que l'éloquence M. féliciter Armand Malitourne mention honorable. N'oublions qui a eu la première pas que c'est l'un de ses amis. V. Hugo à l'égard ancien use d'une fine moquerie de M. Delamalle, avocat, qui a obtenu le prix. Pour il indique, sans insister, les deux mentions le ~et!OMe?He)~ <<e ~/a<e~Ae?'6e6' honorables 2e a accordées. La a été donnée au no 33 S'MM< /<M?'M!<M re?'M?H. V. Hugo aurait que l'Académie pu donner le nom que cachait le sien. Parlant de (<M jMf</ et cette épigraphe c'était )'/?M<ttM<:OM puisque de t'Epitre de M. Mennechct offre de t'étéde Mcnnechet obtenu le prix il dit: qui avait «L'épitre « gance, de la précision, et ingénieux; mais elle ne renferme des détails pas plus de poésie gracieux ZD ZD « que le sujet. » tt faut voir là évidemment la petite d'un concurrent malheureux. vengeance En donnant le nom du vainqueur du concours sur )'~Me:~He?HeM< ~/M<Me/, M. X. B. de Saintine, V. Hugo en profite Saintine a avec Lebrun le prix de poésie sur 1817, le pour dire, qu'en partagé /~OK/;eM?' de <'e<M(/e « personne, n'a oubtié brillant concours. » ce n'aime afurme-t-it, ajoute qu'il mais qu'il porte à l'auteur un véritable intérêt. Sa pièce, « pleine de vers n'est pas le sujet heureux, « cependant du ni de ni de a la auteur, exempte prolixité, prosaïsme. Ajoutons, louange jeune qu'ette « n'est que très modérément En général, nous le disons avec peine, et parce libérale. nous avons que –89– 12 1820 23 29 6'e/e du t. n de l'Essai sur l'InCompte-rendu dans les Lettres ~t~'e/tce CAM?~e/to:'SM, Laurentie. Le est loin de partager par critique toutes les idées de fauteur cf. Z,e~'esC/<Hmt. u, lettre d820, xx, penoises, pp. 41-51. Signé L. (Laurentie). Naissance matin. du duc de Bordeaux de Victor à Adolphe Tt'ébuchet Hugo cf. Le /y<ï?'o, 12 mai 1386 Co/'?'<s'/w:a!<!Kce 1815-1835, pp.il--)2. Lettre 3 )I )i y a, dans le Figaro, N.-B. trois erreurs de lecture mais dans la insignifiantes, Corye~pOMdance un tiers de la lettre est supprimé. à 2 h. 35 du < Du 29 auti V. Hugo compose l'ode sur la naissance </M 1~ oet. duc de Bordeaux à cf. Lettre de V. Hugo du 20 octobre cf. G. SIMON, L'EnSuint-Va!ry, de V. //M~/o, pp. 222-223 et la lettre de /a/tce A). Foucher du 6 octobre. Octobre fi Lettre de M. Foucher a Mme Hugo, pour sur le /)/Me/ remercier Victor de son article ~M ?'ec?'M<e?Mp/t< et, de l'envoi de son Of/e -s'M7' la KMM~'MMCe <<M (~MC' ~C ~0?Y<gaM~ Cf. ~g<<)'M a /<ï /<«?tcec, p. 34. Entrefilet de la 0Mo//f/!eMHe sur le Co?tse?'?~a<eM?' Z!«e'?'aM'< <( Parmi les productions « remarquables, consacrées a célébrer la nais«. sance du duc de Bordeaux, on cite une ode « de M. V.-M. Hugo qui doit être insérée dans « le prochain numéro du Co~<'?'u<ï<eM?'Z~e« ?'aù'e. Ce recueil périodique qui a des titres « a la protection du gouvernement et pour le« quel devraient souscrire les amis des tous de la p7'o~o.«7!OK <<'a<;cM~a!<ï'o?! coK/o/e< /?'e~ le duc .Dec~M, ancien pair de France, du Conseil des ancien Ministres, président ministre de i'fntp.rieur et de la police générate du royaume, a soumettre à la chambre de 1820 de Coussergues, membre par M. Ctauset de la chambre des députes, conseiller a la Cour de Cassation, chevalier de l'ordre roya! militaire de officier de l'ordre et St-Louis, de la Légion d'Honneur. royal C/HM06.s'ua<ïOH&.s'M?' /'<'c?'<~M6/ï'e'pa?' le duc 7)cca~eA'; sel <<e CoM.Me?'</Me.s' eo/t~'e de France par M. le comte d'Argout. pair (i) CoH~e~'u. Z,!«., t. «r, livrais. xxti, pp. 50-64. « promis et cela, bien plus par la faute de notre de tout dire, ces deux concours étaient médiocres « vénérable sur Académie forcés de travailler de méchants française, que par celle des concurrents » « sujets. V. Hugo avait mais malgré probablement raison, soi, on ne peut oublier qu'il avait été concurrent malheureux et qu'il jugeait ses juges. à V. Hugo de reproduire cet article traite des questions essentiellement difficile (1) Il était qui deux afin de V. Hugo, dans le Co?Me/'u..&;«., avait tenu pourtant à parier de ces ouvrages politiques ses opinions. et prouver restait dans la critique montrer Pour son article qu'il cependant justifier fait au commencement une littéraire et qu'i) ne dépassait les limites de son recueil, il avait point « il la forme vaille le fond série d'inductions. Pour qu'uu son objet, est utile que ouvrage remplisse les maté« et nécessaire La Httéraire doit donc apprécier les matériaux le titre. critique que justifient « riaux et juger la forme, c'est a dire, si l'ouvrage est polémique, voir, sur quelles preuves reposent « les arguments et de quel style ils sont revêtus. » H résume ensuite le volume de Clausel de Coussergues, fortement sur l'accusation solenappuyant discutant lonnelle à la tribune contre le comte l'assassinat du duc de Berry, portée Decazes, après il « du comte cherche sur la prétendue terreur de 4845. Dans les 06M~a<tO?M guement d'Argout, des d'accusation. en vain, contre i'acte dit-il, preuves « porte )i compare les styles des deux parties. Celui de Clausel de Coussergues de la l'empreinte « conviction il dans dans la et le cachet de la probité. est simple et clair, l'exposition récapitulaDu reste « tion. ii est rapide et précis. il est semé de traits et d'observations spirituelles. piquants » < M. Clause] aux « on n'y trouve de mouvement, point d'éclat. point peu de cbaieur. répond « injures M. est bien loin aux calomnies » calme, par une dignité par un froid silence. d'Argout « de ce ton dont la modération fait i'énergie. « Tu te fdches, Son exorde est au moins maladroit. « yM/)!'<ey, lui dit V. Hugo, <<oMe <M as tort. » « du lecteur Voici la conclusion de f'articie Nous réclamons, en terminant, pour cet l'indulgence « article, le silence écrit maJgré tant d'entraves, et dicté du moins par une intention pure. Dépiorant du des feuilles royalistes, nous n'avons défenseur des prérogatives pas voulu qu'un généreux « obiigé « trône sans une voix amie et et des libertés du peuple, au milieu de nous être accueilli par parût 90 7 1820 Octobre « « « « « « « « véritablement se fait reroyalistes, les plus' et par les doctrines marquer pures les aperçus littéraires les plus ingénieux et les plus profonds. Dire que la quelquefois rédaction en est principalement aux confiée soins de M. V. Hugo et de ses frères, c'est en faire le seul éloge ne puisse être qui » contesté. N.-B. La xxne livrais. est certainement parue vers le 13 septembre, V. en fait puisque Hugo mention dans sa lettre il son cousin, du 21 sepà propos de fa Société de tembre, Académique Nantes. lettres parCiausetdeCoussergues. ln-8, imp. Projet. n° etc. B. 19 août Paris, Dentu, F., 1820, Dentu, no 3060 2990. 2eëdit.. 26 août, 3' edit., 19 n" d'une septembre, 3251, réponse à augmentée du comte l'écrit d'Argout. On souscrit un ou plusieurs volumes, pour a Paris, aux bureaux du Con.s'gru. rue Lilt., des Bons-Enfants, 34. Prix de chaque livraison 1 fr. 50. Cf. La ~KO/t~tenKp, 6 octoséparée. bre 820. 7 Observations. in-8, par le comte d'Argout, Paris. chez les marchands Paris, B. F., 26 août, no 3061. imp. Dupont, de nouveautés. Poésie. imitée de ~o?t~.<Ce;)/t<se, :~y~e Ader: CoK~pt'f. t. in, /,<«., <yM:eM, par J.-J. livrais. xxn, pp. 41-42. Z.<«e')'M<M?'e /'?Y<7<pa~e. La Mto?'< <<Mdue de « -S'. ~4. R. ~M!e la DMc/te~.«' ~e)'?' poème </c ~c?'?' de Coriolis d'Espar M. le marquis t. ))f, livrais. xxn, pinouse:CoMS<;?'u.«., 43-46. Cet article est d'Abel pp, (J.). Hugo. Second </<ë<!<?'e /a'tpat.<. Spectacles. Z,WoMMte M pre'6'aM/!0?ts, comédie en cinq actes et en vers, CoHsero. par M. Désaugiers t. in, livrais. 64-H7. (A.). Cet Litt., xxtt, pp. article est d'Abel Augo. ~/e7~/ty~. jL!/< t. )n, [ivrais. Fïe/0, xxt), fragment pp. H7-74. Hugo). Variétés. Nouvelles /<era:')'e.s', Co?!e?'u. t. )n, livrais. Litt., xxo, CoK.fe?'(?. A. H. (Abel pp. etc. 78-80. A la p. 79, il y a une vingtaine de lignes sm' la et les philosophes tin xvtnc, philosophie qui est bien dans le ton et les idées de V. Hugo. Cette note sur parle d'une phrase prononcée par Kousseau « Le vieittard Voltaire. à x' qui l'a communiquée bien de fauteur être François Neut'ebapourrait teau. 44 de Chazet. La nuit et /a~'o)<?'nee Alissan ~M 29 septembre naissance du duc de de divers avec pièces auteurs, Bordeaux, In-8, Ponthieu. B. F.. 14 octoParis, imp. Dupont, bre 1820. Lettre V. BtKM, 231. Lettre annonce ode sur « J'espère « « Alissan de Chazet, protecteur de V; Hugo, cite des vers de divers auteurs, mais ne cite rien de V. Hugo. de V. Hugo de V. à Saint-Vah-y 1830, pp. 222, Hugo avant Hugo l'envoi de La MH~MMce au deux duc de MaiHé. cf. Eo. 223 et H lui d'une exemplaires <<M ~MC de ~o?'</eaM.'c. bien voudrez en accepter que vous un et mettre l'autre sous les yeux de Son Altesse A cette ode ./)/OM.~Mr. est Royale une autre dont jointe pièce j'ose également faire a A. R. S. hommage aujourd'hui que ta « « « France « [ation. Cf. et » nos Catalogues princes ont CAa?'<!Uf<y, enfin une conso- n° 423. « reconnaissante. Nous lui avons rendu aussi clairement nous l'avons satisfaits témoignage que pu « si, dans notre a » il su lire notre littéraire, suffrage approbation politique. V. Hugo, s'est sûrement cet article il a écrit dans /~t«. e<P/t?7os. m~e'M quand plus tard, rappelé « Une grande M. Donnavient de s'émouvoir, ces jours-ci, à propos de M. Decazes. querelle politique «dieu contre M. Decazes;M. contre M. Donnadieu; M. Clausel de Coussergues contre d'Argout V. « M. d'Argout de et les de sont Cette est évidemment 1834 souvenirs » (p. 112). phrase Hugo peutIl être un peu confus, comme l'a prouvé E. Birë ('F. //M.~o avant aurait dû dire ~~50, pp. 186-187). M. Clausel de Coussergues a écrit contre M. Decazes, M. d'Argout a répondu à M. Clausel qui a répondu à M. d'Argout. 9t 20 (~û~'e 1820 19 21 Poésie. Ode sur la naissance 7/CM?'C/<a?'?Y~M~M~r!'c-.D!eM~OMHe duc de Bordeaux, d'Artois, /r<t7:cc (1). CoM~'ero. t. in, livrais. 7.z«., 83. V.-M. Hugo. a réuni dans.un Recueil Richard morceaux de prose sur les poésies, discours, Nous voula naissance du duc de Bordeaux. drions citer Dureau de la Malle. et une ode de M. Hugo dont nous avons déjà par!é. au Co~u. cf. La Elle est insérée ~ï'«., 19 octobre ~820. 0Mo<!f/!CKnp, La librairie Lettre de la maréchale Oudinot à V. Hugo, de Berry au sujet de de la part de la duchesse l'ode ~M?' la naissance du duc de /~or</e<ÏM.K cf. G. SiMOK, /K/'aH<-6 de V. ~M'7o, pp. 222223. /.ï'/<f'?'a<M?'e Zc/sde F! any/a~e. 0~6orMe. M~ïa?H traduites ~/e/~<X/<, ~a?' de l'Anglais par A. D. t. m, livrais. CoHA'p?' Z!«., xx]!i, pp. 96102. J. J. A. = J. J. Ader. du <S'ec?'e/'?'aHfM~< ~a/)p07'< ~M?' le co/tde ~ea~pw~ /<ï!?'e;!e7'Me< cours en 1820. d'éloquence t. )u, livrais. CoM~'u. /«., xxn), pp. 103H3. A. =-AbeiHugo. ZïM<7'?'c N.-B. t) fait, l'éloge de son ami Maiitom'ne il une dizaine de vers de l'ode de son frère et cite ~M?' la ??:o/'< </M PrtHce de Condé. C'est Eugène un excellent fraternetie. exemple d'affection N.-B. Il est évident que avant le 21 octobre, puisque tre de la maréchale Oudinot ciant V. Hugo au nom de la de 6\ A. de petit-fils xx)n, R. pp. 81- la livrais, xxm parut nous avons une letremer(2d octobre) duchesse de Berry. de .< A. R. ~r /e Ode .Mr la naissance duc de Bordeaux, suivie d'une Ode sur la Par ??tor/ de S. A. 7~. ~/yr le duc de Berri. Victor-Marie de l'Académie des Jeux Hugo, Moraux. Paris. Boucher, Paris, Boucher, ]n-8,imp. 0.75 (Extrait du Conserv. PéHcier.Ponthieu, t. n), livrais. xxm, pp. 81-86). Z!«., édition ne !?f<rtc<M?', Cf. Odes et Ballades, cf. Odes et Ballades, édition de pp. 89-95 Nationale, pp. 72-76. l'Imprimerie /!eH'<<; poétique. bouïsse, Gasp. /C/<0?M7Ke (~). Co?<se?'u. Z!«., 96. U. ~M/. /~cyMtOM< Descombes, Gabriel, t. ni, livrais. xxn), de LaAug. pp. 86- a en 1820 et même dans l'édition de 1822 (Odes et Poésies qu'on lisait diverses) (1) L'épigraphe « L'enfer, <0!M les été abrégée. Voici le commencement sa rMtMe, tente qui a disparu ~Mt y)rcMe~< les ~e'MO?M de la ~o/M~<e, la milice de ct'c~OM'e: de <M:&MH cherchent a corro?K/)ye «MoyeM~ « fidèle. Le ciel ~?'e?t< ait secours de ses e;t/aK~ etc. » prodigue. les a Voici d'autre cette ode subis. part changements que 5 On lisait, en Et viens voir si ta noble vers 1820 et 1822 épée (1828). Page 91, épée grande Une race de rois à leur trône e'AraM/e isolé (1822). Page 91, vers 12. En 1820 Les trois derniers vers ont été transformés. Les voici tels Page 92. qu'on les lisait en 1820 et 1822. Sois aux sombres soucis qui nous rongent encore Ce qu'est le flambeau de j'aurore Aux vapeurs dont la nuit couvre son char de deuil. Maudis la trahison et proclamas ta foi. 93, vers 13. On lisait en 1820 et 1822 Page vu naitre. en 1820 et 1822 chercher MM; lieux Dis, qu'iras-tu qui t'ont Page 94. vers 7. On lisait 10. les vers On lisait en 1820 et 1822 Voit Palerme en fureur, Messine dans larmes, ti commence nu))e part cet article par ~2) V. Hugo n'a reproduit qui n'a rien de bien intéressant. rendre d'un M. ancien maire d'Issoire. C'est un ~oMM~<yeaZ)<'<!</e, par prospectus compte Reymond, dans rimé pour la commune de Chanonat veut é)ever un monument à Delille. « Mettre du talent qui « un prospectus, voilà ce qui était M~M~et difficile et c'est ce qu'a fait M. Reymond. Ce prospectus « est partout la du chantre des la et frafcheur plein d'élégance; plusieurs passages rappellent grâce « Jardins. » V. Hugo donne de longs extraits ou l'on rencontre des vers « charmants. harmo» et de fermeté.~ «nieux. beaux pleins de chaleur a envoyé de Castelnaudary V. Hugo les fait connaître en citant M. de Labouïsse plusieurs pièces. Dans le de trois morceaux A F/eoMoye, le t~e?' le Baptême. plusieurs passages ~4~0~/te, seul de Labouïsse chante le cerisier, le pêcher. L'abricotier l'amandier, ~er~er <4</o/p/!e, l'abricotier, ne plaît, pas à V. Hugo car ce nom lui « semble ». Il termine sa critique par cette peu harmonieux d'être citée nous interdise de plus longues « Nous regrettons qui mérite que le défaut d'espace phrase « citations, M. de où l'on aurait des preuves de ces sentiments pu trouver monarchiques que professe « Labouïsse, if est difUciie d'être et sans lesquels vraiment Peu de beaux vers ont été inspirés poète. « par la trahison et la révoite. » A propos il s'amuse a. se moquer de de M. Gaspard Descombes de Gallus, qui a traduit l'églogue au dire du Co?M<t<M<!OMHe<. M. Descombes est bien auM. Tissot, le premier de MM poètes e/e'~ta~MM -92 2t 1820 Oc/o~'e 21 ?'f'o~?~~e ~e/an~s'. Aa~K~e e)t /'M(?cM?' des <<e Jc.SM/f. /'a.s'<ono??:e CoH.')'p~u.7.i[«.,t.m.)ivrais.xxm,pp.H3H5. J. =AbeU)ugo. Revue /~</<?'at?'e. <<Mc f/e ~e)'< et du ~'M<?'eMMe de ~K?'< <tM.x C/<a~My.'s-?/xe'< /M<66a;M/Z.e<oM?'K«M. ~a?' O~c.s'M?' /M p.T/)/o<<.s' (/M c/ieua/aya?' Le Zo7'?v«M. ~ar y. t. m, livrais. CoM.s'p?' Lill., xxnt, pp. IV (/<? /<t ~'oc!<'<e'~ea</e'M:ï~'e'OKc<)M6/Hp o!e /a /.o/?'6-eK?'c, que <~M Z)e'~M?'<p~e?t< <eKMe /e~3 aoM< .0, ~OK~/M /.)?'M«~otcc ~e /?-e<eaM (1). CoM.SM'H. Zï~ L m, livrais. xx)n, pp. H9~20. M. Lettre de V. Hugo Co~'e~on~f~ce de V. Hugo Lettre H6- a M. Finaud 27 Lettre de V. Hugo a Saint-Vairy. Eo. B~R! V. /yM.yo f<HaM.< ~30, 119.J.=AbeiHugo. 24 (Tou)ouse). pp. 363-364. ~5-~35, à Agier. 2t 28 p. 231. de M. Le N.-B. Abel se tnoqoe agréablement et il lui oppose 22 vers de Soumet dont Lorrain )~ pièce a été, en 4813. couronnée a )'Académie avec celle de Mme française Dufrenoy. ~VoueM!~e 4 /,nK:.f ~Y~7/ ait &c/'c~aM de //e/u'ï V suivi de j~a/<s'Aë7'<«'.s', dithyrambe qui a concouru a ('Académie en 1820, française par le Comte de Pons, officier de la garde Caspard royale. Paris, )n-8, Irnp. Boucher, Boucher, Pélicier, B. F., 4 Novembre n° 3948. Ponthieu. 1820, La naissance </e //eMrt 7)~ ~/e7~</c. CoM~ A~< t. i!), livrais. xxtv, pp. 'i48155. A. H. (Abe)ifugo). Fa?'të<<s-VoMt~/c.s etc. Co/t/«e'?'a!?'e.s'. t. m, livrais. xx!V. p. 168. «'?'u. Litt., Une petite note des Variétés semble appartenir « L'on attend a V. Hugo. avec un impatience 4 ~!co?M<eDoMMa<M,)ieu./)/e'wfwc/)OM?'/e tenant des armées du Roi, commangénéral deur de l'ordre et militaire de Saint Royal officier de la Légion Louis, d'Honneur; grand sur la plainte en calomnie lui contre par portée les sieurs et Regnier, auteurs Rey, Cazenave et signataires d'une pour pétition quelques habitants de Grenoble. MM H:c'MM!?'e Réponse ~'ye?(e?'a//)onMH<<<eM;par Saint-Aulaire (2). Con.s'eru. Zt«., 142 (V) Cf. jLï~. dessus de lui, car sa traduction mérite des étoges. et des conseils. de la grSce et de la précision reconnait présente que sa traduction ni d'abandon ni de vivacité. dénuée V. et de M. ~o'y'ye?', poM?' le Comte de t. )n, livrais. xxiv. pp. d34e< Philos. mêlées, p. 112. lui donne Hugo que sa phrase les Il deux. n'est poétique de M. Cabriet. n'e manquent ZM~<aHce~aMKaM!ta~M/aMor<<<'MMeaM!aM<ec/t<r:e, « H cite une douzaine de vers harmonieux et touchants ». douceur ni de facilité. à mon sur à de M. contient de « bons frère la poésie, Richomme, T/ep~e son penchant conseils ». ples et d'excellents ni de exem- du Co?MerM. Z!'«. ce compte-rendu dans le cadre La (d) V. Hugo a quelque peine à faire rentrer de Nantes surtout de recherches C'est avec en société académique s'occupe scientifiques. plaisir qu'il « il veut payer à une société semble surun tribut de louanges parte, qui dans une ville commerciale, « tout avoir à cœur la prospérité de l'agriculture. » V. Hugo a d'autres raisons ne peut évidemqu'il Dans le rapport il est heureux de ment donner au public de ses lecteurs. du secrétaire général Bretons et des essais « trouver les noms de plusieurs savants recommandables par de bons ouvrages M. de la Boëssiëre. et agriculteur, ancien les « utiles. On y remarque général royaliste qui pratique vit à « vertus M. l'abbé de la loin des hommes et cherche encore les servir; répubiicaines Trappe qui « M. Trébuchet, savant e6'<MHa6<e que modeste, un très et croit aussi est distingué qui antiquaire V. M. Ed. fticher dont le amateur curieux et non < M'e~e qu'un (c'est nous qui soulignons Hugo); dans M. Athenas et une foule « talent et les connaissances ont été si justement loués ce recueil « d'autres instruits suit rarement la science utile. » hommes et peu connus, parce que la célébrité amis V. Hugo encadrait ainsi admirablement de son oncle par l'éloge des de son oncle. Ce t'étoge n'avait en effet d'autre but de faire à Trébuchet. Marie Joseph compte-rendu pas que plaisir de celui est une répétition (2) Cet article 7 livrais. octobre xxu, pp. 50-64, 1820). « Nous autres, dit V. Hugo dès le début le paru du présent 93 mois précédent article, nous dans autres, le Conserv. qui nous Litt. occupons (t. H!, de 1820 ./Vou<<? « ouvrage de Chateaubriand sur de M. le Vicomte « les affaires actuelles ». L'auteur presse Chateaubriand de publier ce volume dont par discrétion il ne veut pas révéler le titre. Avant le 10 111 N.-B. Réponse Fuin, Paris, Ladvocat 2e édit., 14 octobre, no 3932. ~eMOt~e /MM/' n'ai rien trouvé aB. Trébuchet vient faire ses étudesde Adolphe Cf. droit à Paris et descend chez Mme Hugo Lettre de son père du 18 novembre. au 7)/~Ht)!ye, etc. In-8. )mp. B. F. 7 octobre, no 3362 no 3394; 3e edit., 4 nov., Vicomte F. /)oMMf!eM, etc. Je des M<0?'cef<M;E de Exposition de ~?'f<~M?'6 et d'ar/)e!M<M7'e, de A'c«~<M?'c, de à /~H?'~ el envoyés c7«<ee<M?'c, coMroKng'~ /~OMtc. ~'o~?'a<< de ~Me la Duchesse de y)/. A'/K~o/t Z.!«., ~e?'~<; par (d). Co'<sc?'H. t. t!i, livrais. xxtv, pp. 146-147 (Signé M.). ~eaMa:4?'< un Nodier dans le Défenseur publie la phrase où V. Hugo pris qui sert a la /~a/t~e ~Vox're dans les Odes d'épigraphe t. )n, tivrais. et Ballades: cf. le Z)e'eKse;<?', 1820. xxxn!, p. 294, 11 novembre V. Hugo envoie a Gaspard de Pons la pièce cf. GASPAHu intitulée /OM.s<?<)n/'e< t. n!, p. 169; DKPuNs.)<pK.ï; /joe'<~Me.<, E. Muu<, F. //M~ at'aM< ~~0, pp. 344-345; 255-256. F. //M</o ?Y<coM<e, t. t, pp. Cb. article 7)/ les Rédacteurs ~'o/'?'e.s'po?t~HC< ~M CoK.s'e?'H<ï<eMrZ,t«<'?'<i!<re(2). ~'OM.s'<'?~. t. i!<, livrais. Litt., xxtv, pp. 185')58, V.-M. Hugo. de du. privilège de faire entendre, de spectacles et de beaux-arts, nous jouissons et de prose, à rogner les ongles, à en temps, des vérités utiles. On ne s'est que nous croyons pas borné temps aux journaux on leur a mis un baillon et nous, iimer les dents que nous n'avions politiques, parce a la aussi sans oublier ni dents, on n'a pas songé nous ôter ni ongles, voix.: cherchons-nous, que ce » est littéraire, à justifier en même recueil temps son titre de CoK.swun<eM7'. de talent ». « écrites, avec beaucoup trois ou quatre dit-il, pages du ~/e'to:re V. Hugo cite ensuite <: En infortuné duc Il veut. lui aussi ajouter sa page au ~e'/MOtre et il s'adresse au duc Decazes: vérité, « Decazes vous n'êtes encore d'Etat, qu'ambassadeur, que pair de France, que duc, que ministre quoi ait sersait et. comme l'a si bien prouvé M. d'Argent. entré riche « que cordon bleu comme chacun a le de louer une maison vous en êtes sorti « vice f<M /~ot de 7'a/tce, /)aK);y'e, peine avez-vous moyen contre vous on publie encore « de campagne de 24.000 francs hé bien de tribulations, pour comble d'une libelles sont ces vilains et, ce qu'il y a de plus affreux, grossis <:desMe~e.<;<<t//aMi<:<<M7'<<, fi faut convenir « liasse de pM'c<M justificatives, que qui sont encore plus libelles que tout le reste. à et leurs « les royalistes sont bien ingrats toutes les bontés de votre excellence, que procédés après « votre égard /«.. & (Co~eru. p.. 139.) sont peu dëticats. faire aux de côté dans cet article Les questions littéraires, on le voit, sont laissées pour place ses à prouver L'auteur met un matin a attaquer le duc de pure politique. Decazes, plaisir questions un coup d'encensoir à un illustre membre de la chambre M/<r<M et à donner en passant opinions au ministre avait adressé un défi qui se renferma haute, M. de Chateaubriand, qui avec autorité jadis il répond M. de Saint-Aulaire fait comme le duc alors dans sa toute puissance. Decazes, par un fier M. Berryer. x toutes les assertions silence capitates~de dans un peu transformées V. Hugo termine son article par deux ou trois phrases que l'on retrouve « M. Decazes le texte du Conserv. Z:«. Litt. et Mt<o.<. (s'en répondra-t-il ??~M (p. -112). Voici dans Toutes ces dans Z/M. et Philos. enfin lui-même ? querelles (batailles, <: méiera-t-i), mêlées) où de preux chevaliers allaient « 7~t«. et Philos. nous rappe)ient les anciens temps provoquer M~"M) vu « dans son fort quelque félon. Au bruit du cor un nain Nous avons plusieurs paraissait. déjà géant » « nains nous n'attendons le plus que géant. apparaître et Philos. sous la date ti est évident, en 1834 les mêlées, qu'en composant pp. 1-tt et 'tl2 de Litt. « on nous avait sous les yeux le CoK.s'e/'u. Il y puisait d'avril ')820, V. Hugo quelques lignes. et du 7 octobre bien d'avrii 1820. Mais avec ses deux articles le ~)/OK«.<<ere, etc. », qui sont promet nous du reste, le morceau du 4 novembre, il composait une partie citant même textuellement que à du 4 novembre. son article devons de restituer « « « « « vers e H nous montre n'a pas grande Cet article cependant que V. Hugo sait aborder importance. traitant des sujets H s'occupe de trois ou quatre tableaux tous les sujets. plus particulièrement » « Nous louons, la poésie où nous en trouvons ou poétiques dit-il, vestige. partout antiques « la fin la Duchesse de Berri. Tout Paris a voulu voir ce it a réservé le portrait de Madame pour avec plaisir que nous il nous a été doux de suivre la mode, et c'est « tableau en cette circonstance. le plus vrai, le « payons à l'artiste un tribut bien mérité de louanges. Sa composition est de l'effet en même le Koi. « plus touchant et le plus dramatique. Tous les Français font le éloge que contraen priant humblement ceux de MM. les Artistes nos jugernents « Nous terminons que et il y a si loin d'un « rieraient, sans scrupule nous ne sommes de les casser simplement qu'amateur, »)) « <ï/M6[<e<t7' à un coH/taM~<t/' ()) discuter (2) Cette lettre demande pourquoi n'est article qu'un a consacré V. Hugo sur littéraire trois grandes .94 Lafont élégie de M. l'abbé à un ouvrage pages qui nous une d'Aussonne. On absolument parait se 4 A' 1820 't88 Lettres Trébuchet deMarie-Joseph et a Sophie Trébuchet Hugo. N.-B. dit ~6 octobre ou les /r/ monument et.hist.o<(!??tM~e~/ar~: poétique mémoire <)e Mfn'ie-Ant.oinett.c riqueé!evë!')!a reine de et du jeune ~'Autriche, France, roi, son fits~parM.Lafontd'Aussonne. a Adolphe [nédites cf. ~/)yjgn(/:c< t) est heureux de l'excellent de son fils voyage Hitéraire et, Conseils Causerie politique. a.Paris. Remerciements à Sophie. paternets. 26-29 Chateaubriand dinaire et ministre de Prusse ~820. Fin nov. Lettre cf. d'Adolphe est nommé envoyé plénipotentiaire 26 et l'Eloile, Trébuchet a 29 à )n-8. crime Paris, Imp. H.)<28oct.,no3885. extraorla cour Egron. Paris, Pichard. etc. 7'Ae<7'<' <?'aClovis, -9/jec/ae/e. /'rf<npait'.s'. en c/M</ actes «;MKe< /ja/' yc'<e ('<). novembre son Le 208 père. Inédite. H est n'en possédons qu'un fragment. du des rehttinns et, de Mme Hugo. générai question < J'oubliais de te dire que Victor et Eugène suiils en sont a leur « vaient les cours de droit, « 3e année un » Abel travaille chez négociant. Nous CoM.s'e?'ï«,t.in,!tvrais.xxv,pp.20<(H.). N.-B. Clovis représentée par les tragédie. 'omédiens ordinaires le d9 octobre 1820. dn Roi, In-8. Imp. Fain Paris. Ladvocat, et Barba. B. F., 4 nov., n' 3910; 2e édit 11 nov., no 4074. seulement 132 vers suivis de 30 pages de notes et d'anecdotes. de nutte valeur. Cette élégie comprend a vers H est vrai que V. Hugo n'a pas prodigué ses éloges: du talent. certains sont l'auteur, dit-il, de méiancotie. Mais il n'a craint de faire des réserves. d'autres de et fouettants. pas pleins grAce Marie-Antoinette ette-mëme son propre Latent. a fait une faute de goût prononce étoge. f élégie est stances faibles la déparent. un peu longue. quelques par ailleurs )cs meilleures n'ont V. Hugo en parlant ainsi est généreux encore: tes stances qui) a citées comme Il y a dans l'élégie même s'il n'a tes plus faibles. de on se demande valeur, pas choisi pas grande mais y a si ébauche de t ode que V. H!!go écrira sur Louis XVtL Lafont comme une lointaine a peu de ce serait faire i\ V. la des deux franchement entre valeur poétique que injure Hugo de ie rapports un pNM)~ef/Me/jatfMf<M-Y~e.s'tëc~e dans te avec Latent d'Aussonne égaré comparer qui semble méritait son élégie, sont bien plus intéressantes, mais l'ouvrage ne xïxe. Les notes pas un qui suivent Litt. article du CoMse~'M. dans les deux faits suivants. est très royntiste, ce qui nous croyons les trouver Les raisons L'étégie un Les notes, suite, se terminent a V. Hugo de montrer ses opinions. par qui lui font permet Extrait du CoM~e/'M..Lt«., ?ME'W<e, rédigé «~OM?'MN< </M plus grand par MM. Hugo ». (Le crt'MM du C'était un moyen H s'agissait des dernières volontés de Jacques Oetitte. 16 octobre, pour p. 40). d'affirmer d'autres rédacteurs V. Hugo de prouver sa reconnaissance et en même temps qu'il y avait au CoKA'e?'N. Litt. cet article. On n'y trouve en effet aucune de ces idées générâtes qu'il (-t) V. Hugo n'a pas reproduit a développer dans Litt. et Philos. mêlées. Peut-être est-ce cela aimait et qu'it a reproduites pour que sur le théâtre. est l'un des moins bons qu'il ait produits cet article Plus intéresson sujet. Son début semble un peu cherché et V. Hugo a bien de la peine a amener assez clair est le le Clovis de Lemercier et celui de Viennet; sante est la comparaison qu'il fait entre ». V. Hugo ta débarrasse d'une foule de scènes de la pièce est « un imbroglio résumé qui tragique embrouillent le fil de sans resserrer l'action. de nœuds accidentels qui l'intrigue épisodiques, de « Le style n'est guère au dessus du plan il est diffus, et manque essentiellement négligé. du critique. )) n'aime « poésie. » Deux pages de citations pas tes vers qui partent appuient l'opinion Il trivialement H applaudirait de ~a?/~ et de liberté, ce sont « des vérités triviales, plus exprimées avec les amis de l'auteur les deux vers suivants volontiers Vos soldats irrités demandent son trépas Ctovis ne reçoit point la loi de ses soldats. contribuent et les affaires actuelles de l'Europe beaucoup à la beauté de ces « Le jeu de Tahna « vers.» » fut plus indépendant de la politique, car on sent trop de V. Hugo On souhaiterait que le jugement a ses lecteurs, tt il n'a dans cet article souvent impartialité jadis promise que, royaliste, pas cette & a & les des vers Corneille accuse Viennet d'avoir Brifaut, Voltaire, preuves qu'it apporte emprunté la lui a Evidemment le succès de à l'appui semblent bien faibles, ne dire pièce pour pas davantage. Le succès dit-il dans sa conclusion. « Si elle était tombée, nous aurions été plus indutgent, déptu. des libéraux. Le des amis de l'auteur vient des applaudissements rangés sous le LM6'<re, évidemment une citation et un piètre jeu de à V. Hugo de faire, en terminant son article, mot lustre permet mots. -95. 9 /)eee?H~'e n 0 1820 Œ'MU?'e.! co~H/j/e~M Z.a/M~e a?t~/<!tse. de Lord ~y~'07! (1~ article). t. Ht, livrais. CoH6'er~. xxvf., pp. 212Lill., 216 (A. de V.) = A. de Vigny. N.-B. Le 2e article ne parut jamais. de /'c.sprt< et de l'abus <M~e par joAtyKC a!;<7-an< /e~c/e, t. )n, livrais. Co'ts~'u.Zt~ xxvj, 223. A. S. = Alex. Soumet. De philosoPortalis. pp. 216- 7''er<Ma?t<~ de S. A. R. C/ta?'/M Eloge duc de /~e?'?' d'Artois, par Maquart. livrais. Co7~e?'u. Lill., t, m, xxvt, pp. 224228. A.=Abe)Hugo. </<e'~<)'e /?v<ytpa/.s. L'accident eH comédie e?t 3 actes et eM prose de voyage, 7)/. Georges ~)Kt;a/. Con~'e?'< t. m, livrais, Lill., xxvf, pp. 235237,A.H.=AbetHugo. Second V. Hugo assiste à la représentation et CM!7/aM??:e de Rougemont. ~te t. tu, )ivrais. se?'u. Lill., xxvo, pp. 6 janvier 1821. Variétés, seru. Litt., M~Mue/~e.! littéraires t. ni, livrais. xxv<, de EuCf. Con279-284, CoHp<6' 246-248. pp. de ces JI est assez probnbte que quelques-unes JI est question d'un nouvelles sont de V. Hugo. « dont la réputation naissante ne jeune officier « tardera à la devenir de ce)ébrité )). C'est pas de Pons ou A. de Vigny. évidemment. Gaspard ti est question d E. Deschamps etde sa traduction de Guiraud et de son Pélage, d'Amédée d'Horace, de de l'ode de V. Hugo ~M)' la i'édition Tissot, dit ~«c de j9o7'~eaM~ a ?ta<.<saxce imprimée Nantes. Poésie. Le' 4 ?toucMt6/'e ~<«?!6'M. t. m, livrais. Z!«., 1820 (Saint- C/!a?'/P~). Conserv. xxvt, pp. 210. V. M. Hugo. Cf. Litt. et Philos. t. t, pp. M:<?/e~, de 1820. 182, la ~'a/K<-C'/<Hr/M Au 24<= vers, Héros. ~/<!?'<yr remplace ~CaM.E-~4)' Annales ~/K~pe. Salon de ~<M9, par C. P. Landon, peintre S. A. R. Ms'' le duc de Berri, membre etc. 2e vol. Composé d'honneur, Légion six dernières livraisons (1). CoHsgrt?. t. m, livrais. A: xxv), pp. 230 (M.). B. F. Salon de etc. ~9, royale Paris Paris, bureau des ~MMe B. F. 30 Sept., no 3431. Revue Z/«e''a:'t'p. ~'p!e 7)/. le Chevalier de /o~<G'M! Co?t.s-<a<<07~' ?'c/e«.s'e.s', In-8. Annales 209151- de de la des 229- tmp. du à Dieu par aM<cM7' des H:o?Y</e.s- et poli- </(/M~ C'a?'M!eK .~<tc?'M??t, aMc~o?'e /!a~M/p/<o Carr. /)<Me?'<M/o/t .~K?' la C'e'.s-M?'e, <?'af/M!<e de H. jSo;</a?' l'anglais, ~f<?'~4. A A. R. 7!/M:e la Duchesse de Berri, à /'oeca~!OH de <« naissance le duc de ~<?.A~' ~o?'</eaMX CoM~'eru. 243, 245-246 /)ar~ Lill., (U.). j8e'y'<'M~?'</eZa6<ïMy?!e(2). t. m, livrais, xxvi, pp. 242- N.-B. Z~<ye s Dt'eM, etc. fn-8. !mp. Boucher, Paris, B. F., 30 sept., n" 3447. Dissertation ~M/' la ce'6'M?'< etc. !n-8, fmp. Gueffier. Gueffier et Maradan.B. F.. Paris; Paris, 14 oct., no 3606. Nous n'avons rien trouvé à B. F. pour les deux autres. dans cet article et la conclusion. Le début est une que le début (1) I) n'y a d'intéressant attaque les libéraux, MM. Juge, Bousquet-Deschamps, de Villars enfin M. « a contre et Pontignac Kératryqui « oublié sur )e salon certaines car depuis quelque ce grand à épftres métaphysiques temps, publiciste « la suite des ex-conseillers et à du jour, d'état, des Hoyer-Coiiard Guizot, verse, propos des affaires « flots d'encre doctrinaire, encre a dit noire ~'OMh'e. » qu'on p)aisamment beaucoitp plus </Me La conclusion est une attaque contre les Musées ou plutôt la valeur des tableaux renferment. qu'ils « La dernière a selon la n'est richesse. Socrate voulait nous, exposition prouvé que l'abondance pas « que sa maison fut petite, nos musées sont-ils si Les vrais chefs-d'œuvre sont-ils pourquoi grands? « moins vrais rares les amis?~o~ musées sont des a-t-on car beaucoup de que temples, dit; d'accord, « temples sont des hospices. » en quelques de ces quatre volumes. (2) V. Hugo rend compte lignes H félicite le chevalier de Port de Guy d'avoir et noblement souffert longtemps pour la cause roya« Ses vers, écrits de verve, liste. sont pleins et de chaleur. Le des écritures style d'énergie y est imité « avec beaucoup de bonheur; nous avons d'autant meilleure grâce à iouer les vers de M. Port de Guy, « que nous ne partageons toutes ses opinions, sans toutefois lui céder en royalisme » pas complètement A propos du Cf<?MeM McrMMt, V. Hugo écrit « Des idées et morales sont rendues religieuses y « d'une manière et tant de bons conseils ne ingénieuse énergique. quel dommage. que puissent « être compris » de la plupart de nos libéraux Dans la pièce de M. Bérenger de Labaume, il y a des vers charmants. V. Hugo en cite quelquesuns dont « l'un est adressé à nos libéraux à montrèrent tant de la naissance de l'enfant qui stupeur « qui est pour eux, suivant la belle et énergique de M. de Labaume, M l'inévitable ~ot. expression -96 9 1820 Z)cceM:<y-f 2:i Le duc de Rohan Cf. La Quotidienne, 2S Chateaubriand Cf. L'Etoile part pour Ber)in. et le JoM?'Ma< de Paris, 28déc. 1820. est ordonné sous-diacre. 24 dé'c. 1820. Lettre de V. Hugo Le Figaro, 22 août à son 1888. oncle Trébuchet, cf. :'<* Lettre d'Abel a son oncle Trébuchet Hugo Cf. Revue des n" 94, nov. Autographes, n" 75. 1885, p. 12 et Catalogues C~?'~uay, .~4 Le prospectus d'un ouvrage en 30 vol. in-8, intitulé le Génie du ?"/te'~<?'<; ~pa~MO/, par M. A. Hugo, rédacteur du Conservateur Littéraire se distribue en ce moment et paraît devoir fixer l'attention du monde Httéraire. Cette entreprise dont et l'utilité l'importance a déjà semblent incontestables son mérité auteur une foule de suffrages honorabtes. Cf. 31 déc. 't820. r~o: –97– ;i CHAPITRE IV 1821 1821 () ./a~M!e?' ~'Of'.S'tf. –7,P ~<ï/:~'OK.U.~«., t. Ht, 7,t'«<?'<!<M?'c /?'aHpa:'xc. ~'<3~e?'a/CK?' a:< iivrais.xxvx,pp.249-25~. Le ComteAlfred XIXe siècle; par A. J. C. Saint-Prospet-. deVigny. (Deuxième édition) (d). CoK~?');. t. m, livrais. Z~ Z~t.ni,)iv)'ais. xxvn, Z')o.s'<o!<;Co?).~ru. pp. 259A. 265 (Signé cf. /<. c<' Philos. yM~/p'M, xxvx,pp.251-252. S.Saint-Vatry. V.) 0~ f<0K!t:M~7/ï?*p!'7!M~ (extraitd'une t. ), p. i53. Défiez-vous de ces gens. etc. traduction inéditedesOdesd'HoraceCoM- N.-B. ~'0<'M?'t!a<eKy aM A'AYe.s.tgc/6, ct(; .s'67'u. /«.. t. nf,livrais,xxvn,p. 253.Emile 2e édit. !n-<2. Irnp. Pi))et, Paris Paris, Richard. B. F., 2 déc. d820, no 4445. Deschamps. 7'Ap'e Jean ~e /«e'?'<ï<M?'ces/;)a~MO/e.Zo/)p</e Fe'~a'.Ze.! Spectacles. /Y/Mp<ï~, 7'~Mf/e ~/aa~'</ CoK~e?'/< t. m, ~OM~o~/?~, tragédie en 5 actes. ~ay de livrais,xxvx,pp.254-259. A.==A.Hugo. fo?'?HOM< (2). de l'article Le commencement, se trouve dans Litt. et Philos. avec un seul mêlées, changeLes cinq premières sont une citation comme le prouve ce bout de phrase négHgé. « Que ment. lignes coKC<!<re</e4' paroles de j9MC<o~ ? Rien, MMO~t ~M'ii faut observer avec ses yeux. » V. Hugo Dans les pages du CoH~eru. Litt. avec de cette 2e édition de qui suivent, parle éloges « On retrouve a chaque l'écrivain vif et piquant, l'Observateur. l'observateur habile, page quoique « parfois le et le » cite de longs raiiteur, fidèie. systématique, philosophe compatissant Français s'amuse ensuite en rappelant les titres des chapitres, à faire des réflexions amusantes ou extraits, continue ses citations sur réflexions savantes, pleines pour terminer par que)ques toujours d'a-propos, « le talent très distingué de M. Saint-Prosper. On regrette son ne soit aussi que style pas toujours « flexible son et n'écrive avec autant de de de correction concision, que esprit qu'il pas pureté que que Peut-être aussi ces légers dans un ouvrage ~de rapidité. de mérite, sont-ils un calcul défauts, plein « adroit de l'auteur. On sait pourquoi ëiève de Socrate, la queue à son chien. Alcibiade, coupa « ~'O&sM'Mo/eMT' ait A'Ye est un livre attachant, un peu abstrait siècle et parfois même quoique « obscur. )t présente d'idées origina)es, son succès neufs, beaucoup d'aperçus d'images pittoresques; « ne peut de s'accroitre encore. M. avant manquer Espérons que Saint-Prosper publiera peu une « 3~ édition, où seront tous ies travers du siècle. Ces nombreux tout variés signalés sujets, qu'its sont, « entrent naturellement dans son ainsi naïvement dans son cadre car, que le disait Montaigne des diversité d'herbes tout sous le nom de « chapitre noms, y ait, quelque qu'il ~'eHt~o/~)e « salade. » (i) du Co/Meru. Zt'M. a été coupé en deux morceaux trouver (3) L'article pour place dans de on a mis au Philos. commencement un mêlées, plus qui préambuie n'appartient article du Co/Meru. mais à son article sur Don Carlos, du même numéro de ta revue Litt., A la fin Don Carlos évidemment Jean de Bourgogne. /.tM., pp. ~79-280). remplaçait L'articte du Co?Meyu. Litt. commence dans Litt. au haut de ia p. et Philos. mêlées, les /M'eM?ëyM scènes de ce«e~éce. » Il y peu de changements. A deux ou trois reprises le nom de l'auteur Au bas de la p. d42, V. Hugo a supprimé remplacé par une périphrase. 98 Litt. et à cet pas (Conserv. d40 « dès, V. Hugo a tout un 1821 ti .m~' Le combat de 7)Ve'<<t?:~s. &'e?'u.Z<«.. t. fu,!iv[-ais.,xxvn, = A. H. Abel Hugo. Variétés, .s'<;?'u. j~ nouvelles t. i! <aM!'<?aHa: littéraires, livrais. xxvti, 6'OM- pp.268-274, 6'OMetc, pp. 286-288. de cet Une partie article certaineappartient ment à V. Hugo. On rappelle le programme des Jeux floraux. On espère MM. Pichat et Soumet que feront leurs tragédies paraître prochainement qui des talents d'un ordre si élevé. On se moprésagent et de ses cours au collège de que de M. Tissot France. On annonce avec éloge le prospectus du Cc'/tte <~M <Ae'<~re espagnol, en 30 \o!. ouvrage A. On in-8. par de la fondation de Hugo. parle la Société <<M Bonnes Lettres et de la création académie d'une de médecine. royale « J'ai « numéro lu dernièrement, un hasard, par du 6'OM~'t)~eM?'«<Mu'eoù)'on a prétend de a donné a tous que Lope Véga « les personnages de ses comédies, la physio- t. of.Hvrais.xxvn. 6 janC'OK.<e?'!).j6!'«., vier 1821, pp. 274-278, cf. Litt. et /M<o.s'. E. 140 144 et 101-102 et FMro~<M<6Ve'c.9. pp. ~r sept. ~833, livrais. ~<e'r<M?'6', v), p. 98. N.-B. Jean de ~OM/'y/o.~Me, tragédie en 5 surie théâtre actes, représentée français, par les comédiens ordinaires du roi, le 4 décembre 1820, M. GuiHeun de Formont.. tn-8, imp. Firminpar Didot. Paris, M'"e Cellis et Harba. 13. F. 30 déc. 1820, no 4811. Second <Ae'~<?'e français. en 4 actes /«M?HC, comédie /)oMCa?'/o~, tragédie M.Lefebvre(l). CoK~eru. j~!«'t. t! 279-284. y a deux H. et le 2" M. ~M~eMe et Guilet en prose. en 5 actes, par feu n~ livrais, xxvn, pp. le 1~ est signé articles, 'Cf. Z:'«. et PAï/o.s-. c'est le début de t'articte ~<?/e'e.s-, pp. ') 39-140, sur Z)o?! Carlos. morceau sans grandes transformations et 102. (Ce morceau a été reproduit qu'il a reporté pp. 101 dans i'ËMrope 1er septembre livrais. </«e'?'a!< 1833, v;, p. 98.) L'article continue ont été nécessaires au haut de la page pour p. '143, mais quelques changements recoudre ensemble les deux parties; ces changements sont sans importance. La dernière de « l'article ~M </M;M la telle </M'e«e est phrase <a</ef<t'e /'a?'<e. n'appartient On lisait & la place « Ou u)ie!~x encore, Litt. il f'a!)ait comme M. Lemercier, étabiir pas au Conserv. « une double nous montrer le duc ie Dauphin et Tanneguiconspiration, conspirant pour assassiner < Duchatet sacrifiant son honneur au salut de son maître nous pensons la ainsi que pièce conçue. <: serait restée au théâtre si elle avait surtout été exécutée avec ie taient dont M. de Forment a donné « des preuves dans plusieurs de son talent nous aurons lieu de rendre parties ouvrage, auquel dans le article nous » consacrerons au de cette « justice prochain que style tragédie. de quelque a propos de Eugène et CMi~MMe. H ne~veut pas rendre (1) V. Hugo se contente lignes des deux actes qui ont été joués. « On nous accuserait de trouhter le repos des morts. L'aucompte M. a mieux il a fait pis aussi, car il a mis son nom au roman des ,')/tM!0/t<: leur, fait; Rougemont, « Mat~M. Ducis qui préférait, faire un mauvais mauvaise disait-il, plutôt qu'une ouvrage action/aurait « mieux aimé faire une mauvaise comédie roman immoral et » qu'un irréligieux. On avait empêché la représentation les amis et les ennemis de fauteur s'étaient battus et après ie 3c acte les acteurs A continuer. avaient du renoncer Le ./OMr/tf<< <<e~7)~n<6', du 10 décembre, rendit de l'incident et V. lui a certainement compte Hugo emprunté quelques expressions. C'est dans le VoM~Ha~ des Debats du 21 de .') de la )''o représentation C., octobre, (article propos de Clovis, de Viennet) V. a l'idée forme le début de son article sur Don Carlos que Hugo puisé qui et Philos. Le les ne l'en ~«. m~s, pp. 139-140). parterre ignore historiques, l'exposition sujets instruit le journal du lendemain trouvera les renseignements désirés. Le pas assez et c'est dans qu'il même a d lui fournir sa documentation sur Raynouard. Schiiieret (25 décembre) Lefebvre. journal V. Hugo fait un résumé de la pièce, accuse le. poète d'avoir embelli le caractère de historique Don Carlos. Le style offre des prosaïsmes, mais le 5e acte est écrit de verve. V. Hugo fait toute une de citations de vers fort « Mais les aristarques du lustre ont couvert de concis, beaux, touchants. page « bravos d'assez mauvaises tirades sur ies/)/M,ies etc. etc. » V. se demande !H~MMt<eM7~, Hugo si l'on a eu raison de choisir l'assassinat « de Don Carlos M. Lebrun nous a pour sujet tragique. « montré une reine décapitant sa sœur par politique; M. Lemercier nous peint un roi déshéritant son « (its par démence M. Lefebvre nous en fait voir un autre tuant le sien par jalousie amoureuse « convient-il de traduire sur la scène éterneHement le de/trap~ye~es? aussi allonsNon, sans doute <: nous bientôt a M. roi roi libérateur; à applaudir, Pichat,Enée, fondateur, grâce Léonidas, grâce « M. Guiraud, roi libérateur et fondateur tout ensemble. N'interdisons d'ailleurs aucune des Pélage, « ressources' de l'histoire aux auteurs s'il le faut, les pr~y'M abandonnons-leur, tragiques d'autrefois, « t'tH~MMt~tOM. si vieille. Dans siècles, nos jacobins, nos nos teutoaujourd'hui quelques radicaux, nos carbonari seront aussi du domaine de l'histoire sûrs les « nions, auteurs ancienne, soyons qu'alors « n'auront d'aller chercher des crimes leurs dans les annales des trônes, plus besoin pour tragédies « dans les archives » du Saint-Office. -99- 6 1821 y<!MUte)' du temps de Charlesdes Espagnols Si on l'eut dit de Caldéron, « Quint. j'en aurais mal lu & déduit l'avait mais puisque M. A. de Lope de Véga, il m'a fallu « qu'il s'agit lu du tout, et « conclure pas qu'il ne l'avait « je suis fâché n'ait eu ce pour lui qu'il pas « plaisir. » nomie Cf. 12 20 N.-B. .OoM Carlos, tragédie. représentée sur le 2' théâtre le mercredi 20 déc. français, 1820. In-8, imp. Fain B. F., 17 féParis, Dufour. no 647. vrier, La l''s et unique représentation et de Eugène GMt~aMMe eut lieu le 9 déc. 1820. ~Vttto'~c t. livrais. Littéraire, vn), i82i. Lettre sur p. 352, 6 janvier première la Littérature espagnole, par L. Rincovedro. Le Génie du thédtre avec un espagnol une notice biographique. précis historique. un examen rédacteur critique. par A. Hugo, du CoH~e?'f. 30 vol in-8, Litt., souscription. Boucher. Annonces nouveaux dans la d'ouvrages Minerve t. i, livrais, Littéraire, ix, p. 434, · 12 janvier 182~. Poésie. G'/0?'U!M<Ë7~ÏC. t. ni, livrais. Conse?'u. Z.«., xxvni, pp. 289-290 Le comte J. de Rességuier. au bas de la p. S89., une note qui On trouve, de V. Hugo, sur la grâce et l'éléest certainement facilité de ces vers. gante Histoire de la France, /e générale depuis la paix IX, jusqu'à ?'e~Me de CAa~M ~e'He?'a/ee?t M. ornée de ~j!5; Dufau, par plus de 230 portraits. xe et xie Hvrais. (1). Conserv. /«., 306-312, signé V. t. f!t, ii vrais, xxvm, pp. le commencement de l'article du CoM~e/'c. Litt. dans Litt. et Philos. (1) Nous retrouvons m~ 65. Faisons les deux « Tout AM~oytCM se laisse p. remarquer que premières lignes qui faire par /M<OM'c. etc. » ont été ajoutées L'article du Conserv. Litt. commence à .S'tK<~f«/ après coup. cette introduction, V. Hugo le marin. fait le procès de Vely de si près, Après qui a vu l'histoire l'a vue de si loin et Villaret de si bas. Pour il lui de Garnier d'avoir attelé son Garnier, quj reproche talent à ces trois médiocrités consécutives. M. Dufau aurait le corinthien dû, comme Lacoëthès, « refuser de forger une branche d'acier un arc fer. ? » de pour V. Hugo cherche à montrer ensuite du monde veulent à distance. être peints que les événements « Nous ne pouvons, en général, l'histoire à mesure de génies forts peindre que nous la faisons peu « savent se soustraire aux préventions et voilà pourquoi il est plus ce nous difficile, contemporaines, « semble, d'être bon publiciste d'être bon historien, » que Il revient à Ht. Dufau, la fin du xvie siècle et celle du xvme, des rapprochements qui a fait entre autant douloureux. Il lui d'avoir été trop impartial, d'avoir loin singuliers que reproche poussé trop « cette timidité de jugement dont on fait, je ne sais pourquoi, une qualité de l'historien ». Il lui sait de ses réflexions sur les Jésuites. gré pourtant sages et modérées Le style lui parait un peu négligé. La critique est juste et éclairée vif, rapide, animé, parfois en est sobre, mérite un l'auteur chez historien. Chez de de lieux grand jeune lui, point phrases, point, total. à d'effet deux de citations communs; peu d'effets partiels, beaucoup V. Hugo apporte pages H de son dire. est heureux en parlant du président de rappeler le souvenir de LavoiBrisson, i'appui sier et de faire une réflexion sur le du de Paris. générale premier président parlement Nous la retrouvons dans Litt. et Philos. Me~c'M, p. 64, sans aucun changement. V. Hugo, la simplicité de M. J'abandonne Dufau, après quelques éiogessur élégante pour parler La digression de Voltaire. une trouve dans Z!'«. et Philos. comprend grande page qu'on reproduite à nouveau son article de 1820, V. Hugo lui a fait subir Me/e'M, pp. 84, S5 et 36. Mais en imprimant de nombreux changements. A la p. 54 « Quels mots aurait-il mis au dessous de pareilles choses ? » Le Conserv. Litt. avait écrit » Les deux suivantes: « Un ce serait celui-ci: :«Oue)s<aMe<!M.:c.B spectacle curieux, lignes « Voltaire la » cause sont une addition de 1834. l'effet, Marat, jugeant jugeant A la p. 55, il y a des additions et M. Ed. Biré a déjà montré encore, plus importantes qu'ici V. Hugo dit, en 1834, justement le contraire de ce qu'il disait en 1820 (E. BthË, t~. Hugo avant ~.90, Etudions les deux textes. Au milieu de la p.SS, nous lisons: «Peut-être pp. 180-181). rapidement « n'eut-il borné à la France. Le sentiment national eût émoussé la pointe point eu ce tort s'il se'fut « amère de son esprit. ne se faire cette illusion ? » En V. de contenté Pourquoi pas 1820, Hugo s'était « Peut-être » dire n'eut-il à tracer les fastes de sa patrie Plus bas point eu ce tort, s'il se fut borné iOO- ~0 1821 20 J~M~er Les ./Vy?M~AM Con~'er~. /«., J. L. 290-292: fèvre). Littérature ~v/~M!< de su?' la neige. t. ni. livrais. (probablement /ranpa!6'e. ~c/ttMe~ champs. Co?<xe?'u. j~ï~ 293-297 A. S. = La par Cf. xxvni, Jules c< ~«~.s' 64,65. N.-B.–Laxe)ivrais. 1820, no d009. La xt<: livrais.cst&B.F. pp. Le- cloche, poème M. Emile Des- t. ))!, livrais. xxvm, Alexandre Soumet. 7~ M:67t''e.s', est, pp. 54, H.F.: :)6sept. 55, 23 56, mars 1820.no33~. pp. La traduction d'E. Deschamps est encore inédite. A. Soumet se fait donc son éditeur et publie 78 vers de ce poème. H en profite pour faire un du d'E. pompeux éloge père Deschamps. .L'Or/eHKï'~e, par M. Lebrun national poème des Charmettes en 28 chants, (4e et dernier article). Co/tscrt). t. ni, livrais. Z.!«., xxvm, pp. 297-305: A. = A. Hugo, Cayac/M et réflexions le Mora/c. par L. C. Vicomte Conserv. t. )!<, livrais. ~ï«., xxvtn, pp. G. de P. = Gaspard 312-317 de Pons. La vengeance. ~/e/<!n~e6'. Co?)~eru. t. n!, 7. 318-322: J. = Abel Hugo. ~VoMHc//p. livrais. xxvm, pp. Second </te~<re français. MtajL'tM<?'ï~?~ comédie en <?'0!~ ae<M et en prose, ladroil, par M. Picard. Conserv. t. ni, livrais. Z:«., xxvni, pp. 323-324 A. H. = Abel Hugo. Janvier V. Hugo La fille d'0<a!7/, compose (date dans les Odes et édition Ballades, indiquée 283 et dans de /??:ne MM?'!e<M)', p. t'e~to~ Nationale, ~r!me?'!e p. 202). <x Pour moi nous lisons (toujours bien soit plus grand et plus a p. 58) cosmopolite que l'historien « mon gré., je ne hais pas l'historien Le est selon le second est plus l'humanité, patriote. premier plus « selon la cité. Le conteur me charme sa partialité d'une nation même dans souvent, domestique « étroite, trouve chose » En V. « Pour et je de fier. avait écrit 1820, moi, je n'aime quelque Hugo » « pas, je l'avouerai, historien et trouve chose de fier. soit qu'un cosmopolite; je quelque A la p. 56, nous trouvons tout en haut ou cinq de 1834, ou en tout cas quatre lignes 'qui sont à » l'article etc. n'appartiennent point que nous analysons: « Voltaire a toujours l'ironie à sa gauche. Au lieu de cet éloge de Voltaire, V. Hugo recommandait it M. Uufau de soigner son et de style les détails et de ne tenter l'histoire des peuples La raison étrangers. prodiguer un peu moins jamais tirée des la convenances du langage, nous retrouvons dans Litt. et Philos. mêlées, qu'il en donne, 56. Mais là encore V. a article. Voici deux ne transformé son contenait p. phrases que pas le Hugo « Un historien CoHMrM. Litt. ne trouverait expressions qui sententl'homme étranger jamais certaines « du pays. Nuance toute » A la chinoise et toute charmante. exclamaplace de cette dernière phrase « Cette délicatesse tive. il y avait celle-ci d'un » serait-elle d'expression étranger? La conclusion de l'article n'a jamais de Chateaubriand, été reproduite. C'est un é)ogedeW. Scott, V. de Lamennais. C'est la première fait allusion a Lamennais. fois, croyons-nous, que Hugo « Ces vérités semblent avoir d'un Sir Walter écrit l'histoire été senties Scott contemporain « d'Ecosse. Un de nos compatriotes nous fournit un exemple encore M. de Chateauplus éclatant « briand écrit l'histoire de France. dans notre littérature de cet homme Quel vide remplira l'ouvrage suivant la belle de M. de est si f<Ma/t<da;t.'< la Nous Lamennais, « qui, expression posséderons gloire <( alors notre histoire écrite un nos hommes d'état par historique, par un homme personnage jugés nos écrivains nos grands hommes enfin immortalisés une seconde « d'état, appréciés par un écrivain, « fois par un grand » homme. -d(M 1821 Janvierfévrier ./aMU!e/' Fondation de la Société des ~OH/iM Lettres. Les Lettres ont deux notes Champenoises intéressantes sur la société. Le 9 février (t. iv, lettre xxfx, elles donnent les noms pp. 65-69) des fondateurs, membres donateurs. influents, Le ~7 février lettre (t. iv, pp. 107-1~6, xxx) elles donnent le nom des littérateurs, parmi sont cités Abel V. et lesquels Hugo. Le t/OMr?<a< des 7)~M<.s' (~ février) en parle lui aussi assez ionguement. Février Commencement de février <: )t I Lamennais arrive à Paris et descend chez rue du Cherche-Midi, 15. Saint-Victor, Cf. D'IlAussoNviLLK, ~c«reA'</e7,c[M!CMMa's à la 6f<yo?tKe Co~M, p. 106. « Je serai probable« ment à Paris, à la fin de janvier cf. LA» ~/M Lamennais X'MCOHMM. Lettres à VEILLE, Benoit le 3 ou 4 <4~ p. 127. « J'arriverai » février. Annonce du Génie etc. par Abel Hugo. yoM~:a< de Nantes 6 février 1821. rieure, Première dit et thédtre de la espagnol, Zo!re-/H/e- conférence de Frayssinous, à sur l'Incrédulité des jeunes 18 février. Quotidienne, Saint-Sulpice, cf. La gens Destitution de Tissot, latine au collège de DeHHe cf. Le Journal 1821. de poésie professeur successeur de France, des Débats, 11 février <~2 aux Jeux Rességuier, de M. Poitevin-Peitavi, l'éloge mars 1823. 15 Séance d'ouverture Le JoK/'na/ de Paris, 17 Poésie. Z'M~e. Elégie. Co?:xe?'u. t. m, livrais. Z:«., 329-330: Alex. Soumet. floraux, prononce le 31 imprimé des Bonnes 19 février Lettres 1821. xxrx, cf. ~«e'/v<<«re /?'aMca<s'<?. /OM!<;A- (<e ~~e jOes6o)'~eA'- ~</More (t). ~'o?t.s-c?'< /«.. t. m, H vrais, xxfx, pp. 338345 V. pp. littéraire n'a jamais été reproduite et pourtant elle est curieuse (1) Cette critique à par V. Hugo, V. Hugo semble étudier. accabler Mme Uesbordes-Vaimore de louanges, mais à y regarder de plus près. il n'a donné tant de compliments en même sa véritaMe La coupe que pour faire passer temps pensée. était amère, il a mis beaucoup de miel sur les bords. Voici le début: « Je viens de tire. pour la 3e fois, ce volume de poésies, et je suis à en faire décidé un grand « éloge; car je suis décidé à beaucoup citer. J'étais contre Mme Desbordes-Vaimore prévenu j'avais « lu son nom dans t'~4<MM/tacA des ~MtMes; et, avant d'ouvrir le livre, j'avais un long préampréparé « bule d'article en plusieurs Le premier roulait sur la fadeur des poésies en générât points. étégiaques « je démontrais le ridicule de ces éternettes lamentations découvert amoureuses j'avais qu'il n'y a rien <: de tel que d'être mourant vivre et citais à à tort et travers pour de Voltaire, longtemps; je l'exemple 80 ans aux détails de la vie privée, je montrais « qui fut mourant le mourant puis, descendant mar« chandantavec son libraire, ou corrigeant son désespoir amoureux sur une épreuve. Le second point « traitait des dames toutes les auteurs; modernes et même je pesais féminines, gloires anciennes, ~2 t7i 1821 477 Feu~te?C7(aM< du vieux tiré du roman ~o'/a~Mp, de Jean 6'6oya?'. Conserv. t. m, livrais. /« xxix, pp. 330331 Le comte France d'Houdetot. N.-B. /'OM!M de ~Me D<M<w<<M- ~a<?More, 3e éfiit.!n8,imp.Didot, Paris, François-Louis. B. F., jerj,j,]iet d820, n" 2439. Z.!«erM/M7'e Robert anglaise. Southey. le dernier des <?o~/<.?, poème. 7~o~e/'<e/i;, Co?t~eru. t. n), livrais. Litt., xx<x, pp. 332338 A. = Abel Hugo. Le ~<ï//<e?~?', poème, ~ar ~oyy'iia. Conserv. Z..<«., t. Hi. livrais. 350 G. de P. = G. de Pons. Gabriel de La Mta<!Me'e sance xxix, pp. 346- a ~Mce?'~ey. Costumes. -~f7an'y< Voyage ~/o°M?' /ya6!<a<!OK~. Une ?:occ. Co/~eru. t. m, livrais. /.t«., xx!x, pp. 352362 J. A du ~9 Olt la ?!a<x~e/e/n6?'e, de ~o?'~eHM.K, poème, maire de Brioude~). de ~/y?' /e duc M. de Tallayrat, par CoM~eru. t. )n, Z!< 346. N.-B. livrais. xx!x, pp. 345- La MMt< (~M ~3 /'ec?'te?', in-4, imp. B. 3U no 3433. F., 't820, Dupont: sept. dit 59 M/)~ La matinée n'est pas A B. F. Cet article est-il d'Abel Hugo comme le prétend M. L. de la Sicotière dans la Revue de j3re<a</?te et de Vendée, 25 mars 1882 (cité par E. BiRË~ V. //M<yo avant le 1830, p. 165), nous n'osons car Abel ou bien il est tout de fantaisie, croire, d'ailleurs ses n'avait frères, que Hugo, pas plus visité Auverné. La correspondance entre jamais suffites Trébuchet et les frères Hugo le prouve samment. 6'oc«''<e des Bonnes prospectus). Co~.te/ t. ni, Litt., 367. On trouve parmi V. Hugo. Lettres (extrait livrais. xxfx, les membres du pp. 362Abel et « contemporaines, à l'avis finalement de ce poète qui n'aimait pas à voir ~'eMcre ~a/M' j'en revenais » « des doigts de rose. ont fait évanouir ces pensées hosMais les premiers vers du livre, et de poésie, pleins de charme V. dans les vers de Mme Desbordes-Valmore il a de la tiles et mélodie, y Hugo est vite convaincu que du et de la douceur, des faits touchants, des observations en un mot de de la grâce cœur, qui partent ou cinq pages), la poésie et un talent charmant. V. Hugo multiplie les citations les (il y en a quatre aimables. entremêlant de notes critiques toujours La conclusion suivante termine son article « Ce volume ait publiés est un des recueils les plus remarquables depuis poétiques qu'on long« temps. La critique des de un des répétitions, l'obscurité, y peut reprendre négligences, quelquefois « emploi telle de certaines etc., trop fréquent expressions, que sensible, pauvre, petit, qui sentent « l'affectation à force de naturel la poésie de Mme Desbordes-Valmore est essentiellement et rêveuse, « rien n'est plus éloigné la m'arrêterai à ces de la mélancolie Je ne que mignardise. point légères dans vers constamment harmonieux des hémisne même des «imperfections, je reprendrai point « fiches et tombe tel que inexplicable ou des rimes comme mien et chagrin, monde durs, casM/ « taches à Fauteur. La Muse faciles à effacer. Il est une observation plus importante que je soumettrai « de Mme Desbordes-Valmore est triste, ce n'est presque au ciel qu'elle va et. chose singulière, jamais « chercher ses consolations; en quelque sorte à Dieu que dans trois ou quatre elle ne songe élégies ne devienne «touchantes sur la mort de son enfant. Sa douleur est toute à moins terrestre, qu'elle « maternelle. du triomphe H me semble n'a encore obtenu que la moitié que Mme Desbordes-Valmore « réservé un à un talent tel que le sien ses vers vont au cœur: leur qu'elle imprime passionnés » «caractère religieux,iisirontat'ame.') tt faut remarquer car on n'est la note franchement cet article, point religieuse qui termine à rencontrer à cette époque de V. Ilugo. habitué de pareilles idées sous la plume « plein dans un poème a chanté la mort du duc de Berry (~) V. Hugo rappelle que M. de Taiayrat « de sombres ». Le poème qu'ii donne ne lui est nulet d'émotions touchantes inspirations aujourd'hui « dont et la facture lement inférieur. V. Hugo cite une douzaine de vers le désordre est poétique « éiégante « Nous ne nous lassons dans ce recueil les ouvrages M. Puis il ajoute pas de mentionner « sur la naissance V ce glorieux nos et la muse de Henri enfant française inspirera longtemps poètes; « pourrait » ces du /H te erit cantatio ~eM. adresser lui paroles psaume MM!/)e/' 103 1821 17î /e~ Fa7'!e'<M,A'OM!)e/~Z<«e'?'a!?'ps,etc. CoHxpru. t. ni, livrais. Litt., 368. 367- xxix,pp. Il y est parlé de la C7?/<eMKM<redeJ. Lefèvre, de t'/M??<o;'<a<t<f' de f<!Me de Joseph d'un Rocher, poème de J.-J. Ader, sur la /7'OK<.<e. V. Hugo a du contribuer a cet article pour une large part. 18 Avant le 28 28 Février FévrierJ\)ars Conférence de Frayssinous à Saint-Sulpice, contre l'Athéisme. Cf. La Quotidienne, 20 février 1821. V. Hugo l'ode sur cf. ()M!'6M'on compose Odes et Ballades. p. 68. V. Hugo lit a la Société des Bonnes Lettres son ode sur 0Mï6c?'07t cf. Annales de la et </e.< ~?'<s, Littérature t. n, livrais. xxn, 3 mars 1821. p. 368, V. Hugo compose Regret. née par les Odes et Ballades, V. Hugo Adèle rencontre La date est p. 345. dans la rue. donLa correspondance interrompue depuis longva recommencer entre eux. Cf. Les temps Annales et littéraires, 4 février ~o//<~Mes 1912, pp. 1H-H2. à F!.s-oK,)uetellmarsà V.Hugo compose la société des Bonnes Lettres. ~fa?~ Cornmencernent de mars Lettre Annales 1912, d'Adèle Foucher à V. Hugo e< littéraires, ~o/<<«/MM cf. Les 4 février p.112. de la séance des Bonnes LetCompte-rendu tres du 28 février. « Le nom encore peu « connu de MM. Hugo, devaient à qui remplir « eux seuls cette séance avait attiré peu de « monde. MM. Hugo ont été accueillis avec « l'indulgence s'attacher à leur âge qui devait x et à leurs sentiments. M. Victor est Hugo « venu réchauffer la prose de son frère par « une ode sur Quiberon, qui a été fort ap« plaudie et qui mérihnt de l'être, parce que, « malgré on un trouve obscurités, quelques y « sentiment et une poésie animée. » profond ~KM/es et ~cs~r/s, ~e/aZ:«cr<!<M7'e t. n, livrais. xxn, p, 368, 3 mars d82i. )i Conférence de Frayssinous, àSaint-Sulpice, sur t'C/KtOM de la t'e/t~ïOM et de la société cf. La OMo<<~eMMe, ~2 mars d821 et la Gazette de ~'aMce, 19 mars 1821. 13 Lecture aux Bonnes d'une ode sur le xv)u" Cf. La CMO<f//e?iHe, la Z~<c'?'~<M?'e et des 1821 p. 415) 10 mars V. Hugo, Lettres, par siècle intitulée F~ïon. 12 mars les ~4n?t<e.! de Arts xxui, (t. n, livrais. !eC'o?t~'M<eMr~t«e- <04 Lettre de V. Hugo à Adèle Foucher. Cf. Lettres à la fiancée, pp. 37-40. Samedi, commencement de mars 1821 14 15 16 au 19-20 21-22 ~0?-~ t-M~'e (t. in, livrais. xxx, pp. 408-410) 31 mars les Ze~'e.s' xxxiv" let1821 C/<MM!pe~o~e~, H semble 1821. tre, p. 265, 20 avril que V. a fait lire par un autre son ode Hugo indisposé (cf. 31 mars 1821). Lettre d'Adète Foucher à V. Hugo cf. Les /t?tMa<c.s' ;.)o<ï/t</Mes et /~<e'?'<!M'c6', 4 février 4912, p.H2. Mort de t'abbé dans l'établissement Carron, dit a 3 h. 35 du maUn, de ~/a?'!e-7'/i~'ese, des Feuillantines, t. tv, tivrais. XLvm, qu'il dirigeait, impasse cf. Le De'/eK~eMy, n°12; p. 401, 17 mars 1821. d'Adète Foucher à V. Hugo 19 Lettre cf. ~4nMa<e.s' ~o/!<!</Mese~ ~!«e'?'at)'e~, 11 février 1912, p.138. Lettre d'Ade!e Foucher à V. Hugo cf. /iMnales 11 février /)o<!<!</Me.s' et ~<6!!re~, 1912, p.138. Adèle Foucher écrit à V. Hugo cf. MH<~es et <~<e'<ï!?'e~, 11 février 1912, p. politiques 139 et Lettres à la /ta/tce'e, 46. p. 21 V. Hugo habite et déjà, 10, rue de Mézières 22, rue des fossés de M. )e Prince, Saint-Valry, la lettre de V. Hugo à de Rességuier, d'après du 2) mars cf. ~/e?'cM?'e de /<Kce, décembre 1902, p. 588. 22 Chateaubriand est nommé de la président société des Bonnes Lettres à la place de Fontanes cf. ~K7m~e~<~e et des Littérature 1821. Arts, t. )i, livrais. xxvn, p. 40, 7 avril 23 Deux frères qui serecommandentégatement à l'attention et par leur jeunesse et publique leur ont fait les frais de cette talent, par séance des Bonnes 28 février). Lettres, (séance M. Abet Hugo qui s'occupe d'un grand travail sur la littérature en a lu quelques espagnole extraits. M. Victor Hugo, jeune poète plein de et d'énergie, a lu une ode sur Quiberon vigueur Cf. Lettres qui a été très applaudie. C/ta~peM0!~es, t. iv, lettre xxxft, p. 188, 23 mars 1821. Conférence de Frayssinous, à Saint-Sulpice, sur t'Mea/:07t (/e.~ e/<«n<.s cf. Le ./OMrna< </es ~e6a~.< 26 mars 1821. 25 28? `I Lettre d'Adc!e nales ~o<!<Me& 29 V. Hugo déjeune avec le duc de Rohan et t'abbé H dîne avec Soumet, Frayssinous. MHe Duchesnois, M))e Leverd et Mme Sophie ensuite à la 1" représentation Gay. 11 assiste du y)/M/<<'e </e Chapelle, de Mme Sophie Gay cf. P. //M</o raconté, t. i~, pp. 130:133. 30 V. Hugo Feuillantines ?'H<;un<e, est Foucher a V.Hugo: et ~«e'y'st/'es, pp. mené, par )educ voir Lamennais: t. ti, pp. 133-135. cf. An139-140. Foucher cf. 16 Foucher cf. 19 de V. Hugo à Adèle Foucher cf. à la fiancée, p. 45. cf. Lettre de V. Hugo à J. de Rességuier: E. BtnÉ, F. Hugo avant 1830, 133, pp. 131, 232 AnMAND de note et Mercure PuAviEL, t. xuv, décembre 1902. France, pp. 587-588, Les deux se complètent. 21 Lettre Lettres Lettre Lettres de à la V. à Adèle Hugo /!<mc~e, pp. 41-4~. de V. Hugo à Adèle à la ~a~c~e, pp. 43-44. Lettre Lettres de V. Hugo à Adèle à la /ta!7tc~e, p. 46. cf. 23 à Adèle cf. Foucher Hugo ~Hc~e. pp. 47-48. Lettre de V. Hugo a M. Pinaud (Toulouse) cf. Correspondance ~5-jf~35, pp. 364-366. Il envoie l'ode sur 0Mt&e?'OH. 25 Lettre Lettres Lettre de Lettres à la Lettre de Lettres à la Foucher V. V. Hugo T~aMc~; à Adèle pp. 49-50. Foucher 28 cf. 29 de Rohan. aux cf. F. //M~o –105– u ~/<~ 1821 3~ d'une traduction Ode ri ~a/~<M.9 (extrait des Odes d'Horace): Con.t:. inédite 7. Emile Dest. ni, livrais. 369-370. xxx, pp. champs. <e/?:an</e..Team Chrétien Zt«e?'<M?'e Le Pelit /e?'7'e. ~omaM 6'o?t.s'<H. 6'p!e< A. =Abe) t. )n, livrais. xxx, pp. 375-382. Litt., Hugo. Le Cc~Kï~a~ de Fen~'e Con~/e7</K~e~. ~c?'c. ~/«., t. ni, livrais. xxx, pp. 393-408. A. H. = Abel Hugo. sous le titre Le CoM.s'e?'<Lt«., Société des ~0/t/te.s' ~e~yc~' et sous la signature F. de i3., un bref compte-rendu donne de, séances de février et de mars. II se contente de nommer les lecteurs et le titre de la lecture. Le 28 février M. A. Hugo, sur la ~< de i'acadëmie <M?'e~KO/e. M. V.Hugo, des Jeux floraux, ode intitulée 0M<6e~M. ou ~7/te.s'ccHe de ~< Tere/t /794, ~'e'MK~'e en 5 actes et en prose, avec drame ?'<< cette épigraphe Que /'p.xeMju/e </« passé vous ~f'M:MKÏ'&fCOK~'e/'MUe/H/'(t). C'on.s'p?'< Zï~ 385. V. cf. Litt. 63, avec ce titre: /H<CM?'. t. J", livrais. xxx, pp. 382e< Philos. ?/ee~, pp. 6tMMe /cc/M?'e c~M ~/o~i~'M N.-B. Z'e'Mïty/'e' Paris, Goujon, Fouguernv, 1820, n" 4140. etc. In-8. ~79~, tmp. H. Pontfueu. F., i8nov. Odes, parAntoine-Char)es.Zao6'oo/t,~4/)o<~.M /~e/<yï'OM (2). lout feK~eMr. 6oK.s'c?'u. 388. M. N.-B. )n-8. fmp. no 678. ~v!«.. Odes, Didot, t. in, par Paris. livrais. xxx, pp. Antoine-Charles, B. F., 17 février 385eLc. 482f, son article du CoM~ru. 7/t«. mais avec quelques (1) V. Hugo a reproduit, presque en entier suppressions. se terminait, ainsi ~Proctbés et Cyestris. Page Gi, la t''s phrase soutinrent, jadis contradictoire« nient une thèse à peu près aussi oubliée de nos jours que les problèmes de M. Gosse, ou le gros livre <: de M. Guizot sur les Francs et les Gaulois ». finissait « Comme tout le monde n'a pas ce volumineux par cette phrase Page M, le 1'~ alinéa à sa disposition, « recueil un moment et l'effroi de mes lecje vais le feuilleter pour l'amusement « leurs ». au lieu de Les on lisait « Les AraAcadémies, Page 6i, avant-dernière ligne collège des lettres « démies, sanctuaire ». des lettres le ')' aiinéa a vu ses premières « après le risible. transformées l'odieux vient 63 Page lignes « Tournez la page. Vous êtes à une séance des Jacobins dans Zt'«. et Philos. Mc/ee.s'. », lisons-nous « Le 6'ott.s'e?' Zt'M. disait Je m'aperçois et j'ai de faire rire mes iecsérieux, que je deviens promis « leurs. Pour tenir ma promesse, le n" suivant ». m'offre une séance des Jacobins la 22e V. a car nous 63, une « j\e continuons après supprimé phrase Page ligne, Hugo pas « tombons dans l'atroce et c'en est trop ». A'/w/)/e, V. Hugo n'a pas reproduit Nous allons en donner de larges extraits. )a fin de son article. « La révolution naturalisera le drame dans notre l'on ne faire littérature, pourra guère parce que « que des pièces de ce genre bâtard sur cette monstrueuse. La royale époque y est toujours tragédie « souiiiée le et la farce de JugeC'est ce qu'a senti avec beaucoup par bourgeois populacière. « ment l'auteur dont j'annonce ).a fable de sa pièce est d'une vérité: le plan est l'ouvrage. dépiorabie « théâtral, l'action se noue avec art, se dénoue naturellement, c'est à dire horriblement. car la nature « de ce temps ia était borribie. Des contrastes, ia habilement font succédera piaiménagés, peinture « sante des Brute de cabaret et des Aristide de carrefour, le tableau des Soion du club et effroyable « des Lycurgue de la commune. Les personnages sont fidèlement dessinés et opposés entre eux avec « talent. an il est sait trivial être avec Ics assassins, et élevé avec les Quant vrai, fauteur style, « victimes. « Ajoutons du drame n'est point inférieure a la partie nous que la partie comique tragique « pensons cet n'est nuiiement du aussi son que ouvrage indigne personnage, distingué par rang et « ses lumières on l'attribue. A'OM optes aM~y't, sic non o/x't que respectable par son âge, auquel « nocet aMC<o/ me pardonne il faut bien que cet article de citer en terminant un peu de latin qu'on « contienne au moins une ligne purement » littéraire. ont déjà de signaler ce petit recueil. Deux des trois odes (2) V, Hugo est heureux qu'ii contient obtenu un honorable succès. « Elles la religion et la monarchie, à une époque où il y défendaient « avait il le faire, surtout les hommes les Laocoons de quelque courage pour qui en se constituant « notre a voir d'un moment a l'autre arriver sur eux les serpents sous âge, étaient exposés vengeurs « la forme de destitutions ministérielles H semble les dangers a pu courir en 1819 que V. Hugo grossit plaisir que M. Antoine-Charies il ses sur il odes Z~~m?: et la /OH. Avec plus de raisfu aurait du quand publia pu le féliciter 'e )06 3i 1821 /a/.s Le vision 43 mars, M. V. Hugo lire une devait sur ie\'i)~siècte(on a voulu écrire le il ne!) d'indisxvn~siècie); pu, pour cause position. Le 27 mars, M. A. Hugo, .s'M<<e </<; .s'on <s'coM~ A'M?' /« Z,t«ër«<M?'<; e.ayKo<e. Cf. Co?:~Y'?' t. or, livrais. ~<< xxx, pp. mars 4821. 408-i.)0,34 34 ~ay'tf/ë'.s', A-e~'u. //<< noM~e~M /t</<<ït?'e.s', t. t!), livrais. xxx. pp. 7)/e'M!0!'rp.! </e la société <e//tM/o<to/t de sciences et arts (année C6!??t6?Y/ agricutture, -)820)~). Co7~e?'u. ~!M., t. m, livrais, xxx, pp. 388389. U. N.-B. Cambrai etc. .cMOt/'M. B. F., 9 mars 1821, In-8. !mp. n° 943. Hm'cx, les /Peo!ac<eM?' C'o?'?'e~/)OHf/«H<;e. j4 ./U~. du CoH~eruM<eM7' .s'M/' << Zfto~?'M~t«~'aï/'e, ?tOMue~e des CoM<eM:/<o/'«!?t.s' (2). p/ne t. tn, livrais. Co/t.!eyu. Litt., xxx, pp. 389392, Victor-Marie Hugo. etc. C'f~t4t0-4t2. On tronvc dans cet. articte nouveties, quctqnes mises )& sûrement V. Il par Hugo. y est question des Jeux noraux, du de !a séance de t'académic Poitevin~2tevricrl82t,etde!'ciogcdeM. PcitaYi.pat'M.tecomteJutcsdcXesseguiet'. montré e/t ~5 en écrivant La nécessité de ?'e;ttWM?' et de rétablir courage qu'il avait Ro?ta/)a/'<e ~MBOM/'&OH.S'. Mais V. Hugo veut faire de la politique. Plus loin )ë nom de Sinon lui permet, une petite attaque contre le duc Decazes. « Quelqu'un t'outre ce du personnage me démodait si ~'MO~ de jour (il s'agit « 1 Enéide de Virgile, de la ruse et de la n'était actuellement ambassadeur Anen type fourberie) pas « g)eterre. .a est quelquefois malicieuse L'ignorance V. Hugo félicite fauteur de son « style rapide et pressant, parfois obscur, par l'heureuse quoique « audace de ses métaphores, la pompe de ses rimes et l'élégante de sa versification .x pureté En terminant le couvrait fauteur. « il lève un peu voile de l'anonyme Sous ce nom se cache, qui un de ces Français combattu dans nos armées, consacrent « nous dit-on, avoir longtemps qui, après « un brave leurs loisirs A leur muse et teur muse au trône. C'est tout simplement officier aujourd'hui son de ses vers pour gagner ses épaulettes, et ne se sert point de « qut ne s'est point servi épée pour sa réputation » « faire littéraire. Antoine-Chartes cachait Charles Perrin-Brichambault ou Perrin de Brichambau)t, en effet Antoine V. ne sont pas fameux. colonel de génie. C'était un pauvre les éloges de poète et ses vers, malgré Hugo, La politique la critique de V. Hugo. ou t'amitié ont été pour beaucoup dans Antoineprobablement Chartes était de plus membre de la société des Bonnes Lettres. a un gros volume, la raison en est dans l'abonV. Hugo regrette de consacrer un petit article H a distingué ~w le e/tMr<< <<e des vers dance des matières. des observations par M. Servois, « de M. Delcroix. Le docteur a fait un sur la vaccine. V. est étonné Peysson poème Hugo que l'auteur « ait abordé il y a peu d'années Franun pareil le beau poème couronné par l'Académie après sujet, « c.aise. si bien alors l'art de Jeûner, ne s'est jamais, Le poète éminemment distingué, qui célébrait « que nous sachions, mis en tête de le pratiquer: M. Peysson, nous n'en doutons pas, le pratique qui, « avec beaucoup de succès, aurait-it dû entreprendre de le chanter ? CMt~Me ~MMm .M (1) à cette nous montre bien l'état d'âme de V. Hugo et le désir qu'il a de faire preuve (2) Cette lettre il va mettre son nom et ses prénoms. d'un nrdent Cette fois d'ailleurs époque royalisme. Voici de larges extraits de cet article « Les spéculations libérales de librairie se multiplient comme les conspirations chaque jour si l'audace des factieux est « amène son ~'ros/<ec<M~ et son explosion, et il serait curieux de rechercher ou l'insolence des factieux. Je des écrivains, des écrivains par l'audace pense « inspirée par l'insolence « d'ailleurs a est bien tant soit le moteur des hommes surtout f intérêt personnel peu entreprises, que a. la fortune et & la gloire M. Tou« entreprises commerciales en dupant le bon public, on marche honneurs de f~KM ? 9 ne vient-il les pas d'obtenir < quel, déjà rente par la petite /);'o~?':e<e, « En fait de spéculations de ce genre, c'est de la Biographie ;tOMt;e</e des coM~eM/joratHs, par vais vous Je il votre attention ce « MM. Arnault, A. Jay, Jouy et Norvins, entretenir. que je signalerai souvent des mouvements d'indiet rapide lecture, interrompue par « qui m'a frappé à une première est précédé d'un Tableau vous sans doute.' Le Dictionnaire et de dégoût que partagerez «gnation « <troMO~</t</Me <<M e~ë/te/HeM~ se soit plu a que l'on <<e~Mt~ ~7~7, ~tM</M'N ce ~OMr, où il semble » le dernièrement un élève du libéralisme insultait en face. « insulter trône comme l'autel, dans cet la fille de V. Hugo donne alors ses preuves ~/Mf~tMte est toujours ouvrage Royale ou encore le P)'ë<eM<<M<. /~KM ~f< S. M. Louis XVH n'est Louis XV1H est ~M~'teM)' jamais le /~oz H est question 21 mars )804 est le de la MMM'< du duc d'Enghien de f/~Hy)e~'eM/' Le jour ~Va/M/e~M. est assassiné Charc/t~'c/t~Kt M 7'eM<re~' eyt France, Le 13 juillet 1793. Marat c<<M'M par </<tt aua:~ Cadoudal et ses coMp~tce~ sont condamnés lotte Corday. dans sa. prison s'e7r«/t~/e Georges Pichcgru :'< mort. des 5 et sont des <tf?MM«Me!MM. Au 13 Les massacres 6 octobre 1789 vendémiaire, ~oM~Mees 107 3t 1821 j~ La C/y<e?KHM<?'e, de M. Soumet, de l'académie des Jeux vient d'être à l'unanimité floraux, reçue aux Français. Ce bel ouvrage le tour de prendra la du même auteur, Cléopdtre, reçue depuis i2 ans, et sera joué incessamment. On annonce ensuite de deux oul'apparition « dignes de tout l'encouragement des royavrages « listes qui voudront sans doute faire pour la reli« gion et la monarchie, ce que les libéraux font « contre elle nuit et jour. » Il s'agit des oeuvres de Bossuet et d'un ouvrage de Saint-Prosper, jeune éèrivain et )) intitulé royaliste distingué ~ay<yrologe Mars V. Hugo Révolutions Ballades, Fin mars 7'oya~. compose date p. 43. Le CoH~'ua<eM?' l'ode donnée /!«~'aM'e le Poète dans dans les Odes cesse les et de paraître. Avril 4 7 Conférence de Frayssinous, à Saint-Roch, t'œuvre du Bon Pasteur Ce ~«e KOM.! pour avons à c?'a!7:e et ce </Me HOM.s' avons à en ~?'H/!ce cf. La e~e'er p~Mr /a religion 6 avril ')82<. ~Mo~i!eKKe, Des travaux littéraires commmencés depuis et MM. frères désilongtemps auxquels Hugo rent se livrer exclusivement ne leur presque permettant plus de consacrer aujonrna) qu'ils ont fondé le temps et les soins que demande une telle ils nous ont offert de entreprise, réunir leur recueil aux Annales et de prendre V. Hugo à Aimé Martin. II lui de de littérature la place répétiteur a l'Ecole française polytechnique. Cf. //t~'M!e'<<p des C/<e?'e~eM~, 25 oct. 't888, t. xxi, p. 607. La fille <0-7'<i'!7:, ode. Annales de la Littérature et des ~h'< t. ut, livrais. 7 avril xxvn, d82). d3-i6, pp. Victor-M. Pas d'épigraphe. Il n'y a que Hugo. des différences de ponctuation avec le texte des Odes et Ballades. Cf.Za/oM<5juin1822, pp. 339-340. Lettre demande de les /ac<M<.E. Ne trouvez-vous V. Hugo, s'écrie Bonaparte dissipe pas, Messieurs, ZD une fleur de phiian« thropie dans cette apologie de la mitraillade de St-Roch ? » V. Hugo utilise ensuite le ~oca&M/aM'e des </e'KO?KtMa</OMA' de /)ay<t.s'. Les <'o/tM~OM~M sont des républicains se font <7/'(<eM~ de sans les patriotes gloire de la dénomination culottes; i'auguste surnom de chambre tM/roMM~e est une </e'KO?HMM<!o?t ~erMOt/'e )c 10 août, ]c 2 septembre, le 21 janvier. iei6 octobre sont des on lit dans ce vocabulaire le mot yoM?-?M'Mre?Kf<~Ma~M.~Ennn on n'y trouve « votants; oubli il n'est pas le mot inutile, ne songe à ly /f;t/< personne qui « chercher. » Sur le texte même de la Biographie, V. Hugo se résigne à ne faire seule observation. qu'une « Elle sera consacrée à signaler au mépris une attaque bien obscure et un mensonge bien grossier « contre la gloire du grand Moreau. attribuait la victoire de Ilohenlinden à Augereau. » La Biographie Victor a avec restitue Moreau la lui mais raison, n'oublions Hugo. gloire qui appartient, pas qu'en est pour les royalistes le « grand Moreau V. Hugo, 1821, Moreau c'est de plus ie chef et le », pour d'armes de son père. compagnon V. Hugo après sa rectification continue ainsi « Soit soit voilà comment les ignorance, perfidie, <: nouveaux écrivent l'histoire. Du reste, MM. Arnault, et Norvins, ont fait biographes Jay. Jouy déjà <un articietrèsnatteur sur M. Arnault, et ils en préparent sans doute de non moins à glorieux « MM. Jay, Jouy et Norvins. « Comme un peu vives, permettez-moi, de m'en je me suis vu forcé a'quelques attaques Messieurs, « rendre en et de me dire bien cordialement votre collaborateur et ami. Victorresponsable signant, « Marie Hugo. » V. Hugo dans son dernier du CoHM~. article ne se contente Litt., ardempas, on le voit, d'être ment il mène une à fond contre les royaliste, charge hbéraux, contre Bonaparte etie pauvre Augereau. sur certains mais le désir évident d'afficher Peut-être, points, tort, son royalisme lui fait n'avait-il pas les bornes d'une ste et désintéresst'e. dépasser critiqua J! i08 5 7 1821 Avril à la rédaction de part avec nos collaborateurs Lesta)entsdeMM. l'idences dernières. Hugo, tité de leurs doctrines et littéraires politiques nous ont fait avec celles que nous professons avec d'emleur proposition autant accepter de nous avons pressement que plaisir les rangs de notre complets regretté que ne nous permissent de donner rédaction pas les du dans les Annales à tous écrivains Z!«. la place méritent Conserv. d'y qu'ils être Nous espérons ne pas occuper. cependant de leur et de toute coopération part privés à nous bien nous aideront comptons qu'ils cette variété de tons notre journal jeter dans ont droit d'exiet de matières que les lecteurs objet que ger dans un ouvrage qui n'a pour de les distraire. Le directeur des Annales. (Au la de la 27" verso de couverture livraison, 7 avril contient la fille 1821). Cette livraison ~'0-7'«!t'<! et un article de Matitourne. et des Arts, Cf. ~t/!HM/e.! de << Z.<«e'</<M?'e 7 avril 1821. t. nt, livrais, xxvn, Conférence de Frayssinous, a Saint-Sulpice, la duchesse voici le à laquelle assiste de Berry sujet: Z)tK)!7n'<e</e n~<ye 6'a<n<p?'e~to/tjU<M'.s'OM e<a6~.s'e?Ke?t< ~e'Mte <y«ï est MM Hwae~e et. Le Z~e'tpM.s'eMy', -)0 avril ~82~. 8 14 Sur la couverture des .4/t/K< de /a Littéà la suite ~~<Mi''e et </e.s' -4?'<.s', on ajoute des noms des rédacteurs ceux de A. Matitourne. cf. ~t/tK<~e~ V. Hugn, A Hugo, dans cet ordre de /M ~!«e'?Y<<M?'e et des .4?~.s', t. )n, livrais. 14 avril 1821. xxvin, 16 Sermon à Saint-Sulpice, de Frayssinous, de la f/e'/aM.s'e'.s', en présence pour les e/i/s' duchesse de Berry cf. ~.M ()MO<M/«;HHe, 15 et 17 avril 1821. de Vigny a V. Hugo, Lettre d'A. signalée dans la 6'o/'?'<s'OH(/a/tc<? ~.M 5-~35, p. 13. V. Hugo Avant le entre le 28 février et le 21 reçoit, 21 Avril avril, une lettre de Chateaubriand qui le félicite de son ode sur cf. C'o?'?'es0Mï&e?'OH, lettre de V. Hugo à ~5-J'~35, jt)OK~<Kce A. de Vigny, 2t avril t821, p. 15. Epigraphe parce pleure Cf. d'Arven). cf. Les 1823 pp. 141-143; avec 281-283 Ecoutez la est fiancée jeune qui délaissée (ballade 13 juin Littéraire, qu'elle Le Courrier Tablettes ?-oM:aK<:</Mes, cf. Les Odes et Ballades, la date Janvier. 1823, pp. à J. de Rességuier cf. Lettre de V. Hugo F. ~M.<70 avant ED. BiRÉ, ~30, pp. 134 et PRAVIEL. de France, cf. ARMAND ~rCMre 219 décembre 1902, t. xuv, pp. 589-590. 17 à A. de Vigny de V. Hugo cf. CorC'est le ~5-~3.5, 7~joon</o'Kee pp. 13-16. la contenu de la lettre nous fait préciser qui est le samedi saint. date. Le 21 avril 21 18 Avant 21 te Avril 21 V. cf. commence V/CM f/M/K/e Hugo 1815-1835. Lettre de V. Correspondance 21 avril 1821, p. 15. Hugo a A. de Vigny, Dans les /.e«?'e& a /a y~Kce'e (pp. 171-172, lettre du 16 fév. 1822) il est question du mois de mai Peut-être a-t-il commencé a 1821. l'écrire en mai, après y avoir travaillé en avril et peut-être même avant. Lettre Lettres de V. Hugo tres à la /!<M:c6e., pp. la couverture des ~)/u<M<c.s', le nom de V. Hugo est placé avant ceux de Ch. Nodier, A. Hugo Ancelot, Amar, Destains, Matitourne, cf. ~t«na<e~' de la Littérature et des Arts, 21 avril 1821. t. ui, livrais. xx!x, Sur d09 à Adèle 51-52, Foucher Let54-56. 53-54, 26-27-28 1821 Avril 29 à Saint-Sulpice Conférence de Frayssinous, Nos devoirs coMt/~e nos devoirs chrétiens, 1' CO~MtC /r<i!Mpa!6'; cf. La ()MO~ÏC?:?!e, mai ~82). 30 Lettre de la Maréchale Oudinot au marquis de Lauriston. Elle demande au nom de la duchesse de Berry une pension pour V. Hugo cf. Ca/a/o~Mes n" 405. 67ta?'<!uay, ~a: Premiers Mme jours de lancée, mai Hugo tombe p.59. malade cf. Lettres à la 3 La séance a des Jeux floraux. d'une ode intitulée par la lecture eut l'honneur de AL V. Hugo, 0M!&e/'o/<, qui d'être admis l'an dernier les membres parmi cf. Anitales </e de ce célèbre corps littéraire la Z!«~Y<<M?'e et des ~ty'<.9, t. n', livrais. 19 mai 1821 cf. Le.lourxxxm, pp. 279-280, Ma~ de /t.s'. 28 mai 1821 cf. Le /a~esM <</a/tc,2tmaii82i. 4 son ode ~M/' Lettres V. Hugo lit aux Bonnes cf. ~iM/t~/e-s' le ô~p/e'/Me (/M </MC de Bordeaux t. tu, livrais. de /H Zï'</<'?v<~M?'e des ~4?'/s, xxxt, 5 mai 1821. 3-5 a propos de l'ode ~M~' /)e'/en6'eM?' C'est la plus &a/)/<?~c (/M f/Me de ~o?'</<'a~x:. des pièces L'auteur est remarquabte publiées. à peine âgé de 19 ans. Il compte déjà parmi l'élite des écrivains cite royalistes. Le journal 22 vers cf. Le ~e'/eM.s~M?', t-. v, n"s 2 et 3, 3 et 5 mai )82L pp. 40-41, 3-5-8 7 ~caf/~Kïe été terminée Note du Annonces des /~H:MMe<'s d'A. /s'<oy'<</MM sur la couverture du jUë'/e?tt'eMr des 3, Hugo. 5 et 8 mai. Lettre de M. Finaud, à V. Hugo Toulouse, de l'Imprimerie cf. <3<c.< et /~f</<<7~.s-. édition Nationale, pp. 548-549. Ode .!M?' le 6ap~/Me </M f/Mc de /~or~~M.'c. « On trouve chez une ode de Lenormand « M. Victor Hugo, jeune poète déjà connu par « une foule de productions annoncent à la qui « fois un beau talent et d'excellentes doc« trines. se distingue Celle dont nous parlons « comme toutes les autres par une versifica« tiou soutenue, mouvements par des poéti« ques et par des sentiments honorables. Nous « citons au hasard les vers en qui suivent, de ne pouvoir cit'T le poème «regrettant « entier le feu du génie Où étinceite pindari« que. » 22 vers sont er.suite cf. La cités 7 mai 182t. QMo<<eK/tc, .1)0 le 6a~<~e Ode sur de S. A. 7!. HenriZ)!<?M</OKH~ <?'C/<ar~e?'o!!na?:ït/<!?'!e duc de Bordeaux, Victor-Marie lois, par des Jeux floraux, ln-8. Hugo de l'Académie Pelicier. Paris, [m p. Ant. Boucher. N.-B. On ne trouve sur cette ode aucune indication à la Bibliographie de la France, mais elle fut composée et puMiee entre le 21 avril et le 5 mai. Le 21 avril, V. Hugo écrit à de Vigny qu'ii ne l'a pas commencée. Le 4 mai, V. Hugo la lit aux Bonnes Lettres. Le 5, les ~MMa~de /a Littéra<Mre et des Arts l'annoncent en vente chez Pelicier et le Z~e/eMMMy en publie des extraits. Cf. RosERT, CoM?'oK?ïe~e et </e?'os~ cyprès ode sur le &c,~<g du duc de Bordeaux, des par Victor-Marie Hugot (sic) de !'Académie Jeux floraux, cf. Odes et ~*oe.e~ pp. 413-122 cf. 0des et Ballades, diverses, pp. 71-82 pp. 97 1U4. On trouvera de cette ode. au 8 juin 1822, les variantes Avant le 5 1821 Mai i4 Ode ~M?' /<' 6o,p<eM!e f/M f/Mc de ~o?'f/eaM.E. a reçu une foule d'odes, Le JoM7'?K!/ de Paris à citer les plus se borne stances, épîtres.i) « La première de ces mentions remarquables. à l'ode de « honorables est due sans contredit « M. Victor Ce jeune poète, déjà auteur Hugo. du. 2 février « de très belles odes sur l'attentat de l'enfant des miracles a « et la naissance « encore eu cette fois de très heureuses inspice morceau « rations. C'est surtout pour plein nous « de verve et de chaleur que regrettons à nous con« la sobriété des citations laquelle et nous nous « damne le défaut d'espace les « bornons à transcrire ici une des strophes » Le journal cite 6 vers, « plus remarquables. inconnus que V. Hugo puis nomme des poètes à vaincre cf..7oM?'K~ n'avait pas de gloire i4 mai d82i. de Paris, 18 .H7' la H~< Entrefilet a propos de l'Ode sance f/M f/MC Bordeaux, par Mety-Janin t. iv, lettre cf. les Lettres C'/«</M/~MO<s'e. 18 mai 182t. xxxvi, 25 à la société V. Hugo a dû faire une lecture des Bonnes cf. ~4?tMr</p~ de la /.ï«eLettres t. nt, livrais, ?'a<M~'e et dg~~?' xxxi, 5 mai 1821. ()Mi!'6e?'o;t, ode par maître ès JeuxFtoraux('t). M. Victor-Marie Hugo, a. été composée du il au 17 février Cette o<)e, d'après le manuscrit, 1821 (Odes et Ballades, 56 et Elle a été le février à la société de l'Imprimerie 28 des Nationale, lue, 1821, pp. 498). <<e la Littérature et des t. n. livrais. 3 mars Lettres Arts, xxn, (~)MHM<M p. 368, 1821~. a Toulouse fut à la le 28 où elle lue /<M~M, mars, (Co/'?'e~o?t~a;tce p. 363) t'envoya. mai. du 3 le dernier vers de la l~ strophe. Dans le Recueil des Jeux on on corrigea 1822, MoraMa;, sur A la même <MM'e ~t<r <'?<?!~f7'6'. On lit maintenant /'MMt~e?'s. FMKMe/t< Apparaissent la 2e n'est dans le Recueil f<M Ye~a: Floraux. Enfin on fit on ajouta qui pas disparaistrophe époque V. le 9 iui-même de la Zt«e'?'a<M;'e et des A tre une coqui)ie juin, par Hugo (Annales signa)ée, Arts). et Ballades, enfin une patrie, la 9e strophe j4mM, on va vous rendre p. 63) on avait imprimé (Odes au lieu de on va. Bannis, de l'Imprimerie Nationna)e vient de nous donner variantes le manusL'édition quelques d'après crit (cf. pp. 308-309). des variantes aux vers 1 et 3. A la l''c strophe, nous avons (1) édition Bonnes V. Hugo séance En lisait 1 Sur son sanglant bonheur en vain le crime veille. 3 L'anathème, sans cesse u, son orelHe, parlant 3 nde)e.a son etoHe. toujours a beaucoup à V. Hugo. I) en a fait deux ou La composition de la 14e strophe semble-t-il, coûté, celle où nous apparait l'influence trois rédactions, conservant la moins religieuse, négligeant davantage et du G'e'MM du christianisme. Voici cette dernière de Chateaubriand 1Alors tous les démons bannis des autres mondes, 2 Avaient fait pour ie nôtre un sénat digne d'eux 3Tel un dragon, issu de cent dragons immondes, 4 Rassemble en lui leurs traits hideux. dans la fange, 5 Le colosse de fer s'est dissous 6 le ténébreux En.vain archange 7 en le créant, S'applaudissait 8 Ce sénat que le crime encor admire et vante, 9 Qui vomissait )e meurtre et semait l'épouvante. 10 Eu son sein portait son néant. Citons encore certains vers biffés, 2 L'ange des imposteur variantes du mal -<it- son qui montrent sourit en le créant effort et le travail de sa pensée. 26 j~a: ~821 Mai de l'Académie F<c/o?'M~o, ~eav! des des Jeux /~0?'<!Ma; A'M?' /'ï'MSMr?'ec<<OK de Pons, officier C?'<'c~, par le comte Gaspard Pé)icier. chez Boucher, de la garde royale, des ~47tMS<es de cf. Annonces de la couverture t. in, livrais. et des Arts, la /</g?'a<Kre xxxv, des Lettres C/tam2 juin cf. Annonces 182t t. v, lettre xxxvm, p. 70. penoises, de ni à la bibliographie Cette épître n'est nationale. ni à la bibliothèque la France, Recueil de l'A cadémie des Jeux Floraux, B. 26 mai n" 2086. Cf. 49-53 1821, F., pp. cf. Odes et poe'~tM diverses, 1822, pp. 29-38; ne uar!'e<My, Odes e< Ballades, édition pp. cf. Odes et Ballades, édition de l'Im6t-68 Nationale, prirnerie pp. 51-56. .<!?: 3 du 3 mai La lecdes Jeux Floraux Séance ture d'une très belle ode de li. Victor Hugo, Floraux terminé maître ès Jeux dignement cette belle séance. Cette ode avait pour M. elle a été lue le comte titre 0M!6e?'c?t, par f/e /?'ance, de Rességuier cf. la Ca~e~e 3 juin. Recueil de t'Académie des (année 182)) (1). ?tHa/~ de /<: Z!«e'a<M?'e livrais, xxxvt, 379-392, pp. 9 juin 1821. Jeux e~ des ~4?' Vietor-M. Floraux t. m, Hugo, 6 Tous les crimes, impur mélange, 7 Formaientce sénat digne d'eux; 8 Cette hydre vomissant le meurtre et t'épouvante 8Tel un affreux dragon. de ce monde n'empruntant redoutaient vante, 9 Que les rois, que l'imposture difformités de monstre les immonde, 9 Que chaque en son corps hideux. 10 Les rassemble A la dernière strophe nous avons trois variantes aux trois premiers enfin, On dit que, de nos jours, p~a/yM~ ces ~Mjox par/ut'e~. Dans la plaine homicide ou ces preux sont tombés, e~i pleurs, t~MKe?:<, les yeux /)r:e;' les vierges pures. vers. n parle les origines de la Z'~e des fleurs. de i'induigence de i'Académie, du (1) V. Hugo raconte « du des Jeux floraux l'une des vénérables associations des vieux souvenirs plus qui font corps cortège au ridicule de montrer encore « littéraires de l'Europe. C'est s'exposer que quelque respect pour tout mais nous ne reculerons devant le ridicule, « ce qui est venu a nous de l'ancienne [''rance jamais traditions et des institutions « lorsqu'il de témoigner en faveur des séculaires. Et paternelles s'agira a quelque séduit et à la « en cela, l'institution des Jeux floraux chose son qui qui impose fois par à l'antiquité ses à » « origine, elle appartient formes, chevaleresque par l'antiquité héroïque. a de l'année et en les ensuite étudier le recueil 't821 revue morceaux passe qui V. Hugo s'attache du chevalier de une Ode au AWHMet/. )! Le ode aux cite avec le composent ~a~ay~.s-, poète, Foucry, de Hoimon-Durand. L'amitié le porte à citer le YeMKg MtOM~</t< qu'il a pour l'auteur plaisir poète mais il n'hésite non mais des réminisdeux pas à lui faire remarquer pas des plagiats pages, une et Durand lisent. aiment et de et de Soumet. C'est savent cences preuve que Hugo par Miiievoye suivant de lui-même étudie encore une les beaux eoeur vers, l'expression Hugo V. Hugo Z~~re de Saint-Maurice il s'attarde à ?<M/)oe/e de Chartes une seconde <!<M: 7)/ftse~ de M. ChjUiHon, /'(;<re « où chaque d'un ami Hocher. fois à l'ouvrage /'tttt/<«</<<</f/a«t< poème de M. Joseph vers porte ». V. Hugo cite le début « plein de douceur et de majestés « l'empreinte d'un talent élevé et religieux du poète à t'~me immorteue d'une sœur idée qui invocation charmante qui n'est plus, puis « une ». V. « serait si elle n'était touchante citations Hugo, profondément après de longues ayant ingénieuse « Ces beaux vers terminent trait à la bonté divine finit ainsi son étoge le dignement poème qui, bril« iant d'images aux lettres un homme un poète ». Il et d'harmonie, promet religieux et )a religion discours couronné M. de ia Servière « sur examiner en détail le de les ~t~eran'a pas d'espace pour II passe aussi très rapidement sur ie discours en vers la ~e~M/tcf « <M/'M classique e< TOM!aK<Me (<'MK du rapport de M. Finaud. les f/erHte~aeceM/.s' ode par M. le de M. Carré, l'extrait F:e!7~<r(/, M. le de M.)'oitevin-Peitavi«dans undiscours ComteJuiesdeKességuierafaiti'éioge Marquisd'Aguitar. rare », discours intéressant « écrit avec une éiégance soutenue et une pureté et souvent « toujours ». V. Hugo continue de son ami « Cn retrouve en tête de deux élégies, le encore, « éloquent i'éioge d'heureux et ce nom est « nom de M. de Rességuier, !/une,intitulée C/o/'Mt«a,aété toujours augure. la ?HO/~ f/'MMe Fille de est « insérée dans le Co/Me/'f. l'autre de At«., Kt/<H~e également remplie H2 9 .<!? 1821 en ce moment au théâtre une répète de M. Soumet sur le même tragédie sujet que de Mely-Janin )'0res<e (c'est-à-dire C7</<p?Mcf. l'Eloile, nes<re); 6 juin. Le duc de Rohan est ordonné cf. le diacre 17 juin. Journal de Paris, On Ht l't V. Hugo a dû faire une lecture à la société des Bonnes Lettres: cf. les .<4?ma/e.< de la Littérature et des ~4?'<s, t. m, livrais. xxxv, 1821. 2 juin 2') sur V. Hugo à propos /)~/eK<<'M?' des poésies lyriques de M. Dorion (un Nantais). « On n'a pas assez rendu au talent de justice « M. Hugo. » Cf. le Défenseur, t. v, n° 33, p. 337, 21 juin. de Mme Hugo. Mort Elle est enterrée au 27" division, chemin MontPère-Lacbaise, voisin. Son tombeau est reproduit dans l'Illusdu 30 mai 1885. tration 27 Note du Du 27 juin au 21-22 juillet, de travailler à /7a?t d'Islande la fiancée. p. 172. V. Hugo cesse cf. Lettres à de V. Hugo Désespoir et rire cf. Lettres à la 29 Bal chez M. Foucher. qui a vu Adèie danser fiancée, p. 60. 30 une à L'~<M<7p consacre colonne grande de Gaspard de Pons, sur )'/H~M?'?'ec<<OM t'ép!tre « Cette Le journal termine ainsi Grecs. :t M. Victor « pièce est adressée Hugo, jeune « poète dont tous les pas ont été des succès. « Il n'est un amateur de beaux vers qui pas « ne lui conseille de faire une réponse. » Cf. n° 242, samedi 30 juin 1821. l'Etoile, Lettre cf. Fty~'o, de V. Hugo a son 22 août 4888. oncle Trébuchet 30 ./Mt7~e< 3 « M. le général et ses fils, MM. Hugo, Hugo « jeunes écrivains ont fait une monarchiques, cruelle. Mme leur et a perte Hugo, épouse « mère, de leur être enlevée à un âge où vient « sa famille et ses amis, dont ses vertus fai« saient le bonheur, de la pouvaient espérer « posséder longtemps 3 ~:eM7i<~ juillet. « « « « encore. Cf. La Quoti- et d'harmonie. charmante de M. de Rességuier, ont dernièrement L'éiégie que les ~K?t<t~ aussi voulu suffisait aux lecteurs une idée de ses jolis vers. Nous avons leur publiée, pour donner son car M. le de n'est comme de faire eonnaitre excellente Comte pas beaucoup prose Rességuier de ce temps, dont on connalt la prose quand on a lu leurs vers ». poètes « On ne parierait ici d'une ode sur ()Mt6e?'OK, V. Hugo termine ainsi son compte-rendu point « qui se trouve ne une faute dans la seconde du recueil, s'il partie d'impression également s'y trouvait « assez grave les du volume rectifier. Au lieu de que possesseurs pourront « « « « charme enfin une patrie, Amis, on va vous rendre i) faut lire etc. Les auteurs, des fautes Bannis, qui ont essuyé d'impression; f) petite observation typographique. n'y a que les bons ouvrages qui puissent comme il n'y a que les femmes vraiment belles belles pression, qui restent ou d'une toilette sans élégance. Victof-M. Hugo. nous braver en dépit cette passeront les fautes d'imd'nn faux jour 113 <K 15 1821 ./Mt7/~ 3 « « « « « « « 7 14 « L'épouse de M. le générai vient de Hugo mourir dans la force de l'âge et lorsqu'elle semblait devoir a sa famille de promettre années de vie et de bonheur. Cette longues aussi dame, distinguée par son esprit que son était mère des caractère, par respectable de littérateurs ce jeunes monarchiques » nom. Cf. La G'a~e~e de France, 3 juillet. Les journaux à la suite des jourfrançais, naux anglais du 4 juillet, annoncent la mort de Napoléon survenue le 5 mai. Cf. ie./OK?'tta~ des Débats, 7 juillet. Vers tantes Hugo d5 ~i <9 20 23 le ~4, Adolphe Trébuchet part pour où il arrive le 32 cf. Lettre d'Eugène a Marie-Joseph août. ~0 Trébuchet, pour Dreux. H reste un de V. Hugo pour Dreux. Départ chez Gaspard de Pons. jour à Versailles, Départ Arrivée 28 30 Fin juillet Juillet Foucher Lettre de V. Hugo 1815-1835, poMofaKce Hugo à Dreux. Dans les premiers de septembre on jours au théâtre trajouera français C/y~MtKe~v, de M. Soumet. gédie en 5 actes, pour la représentation de retraite au bénéfice de Thénard cf. le ./OM?w/7 de Paris, 19 juillet. de V. Lettre cf. Odes à son oncle de V.Hugo 22 août 1888. cf. Figaro, deV. Hugo à M. Foucher Lettre à la fiancée, pp. 62-63, qui en des fragments. de V. Hugo et de M. Foucher. de M. Pinaud, à V. Hugo Toulouse, e< Ballades, édition de l'Imprimerie p. 549. cf. Lettre de V. nales politiques 1912, p. 159. Deux aux lettres de Marie-Joseph Trébuchet fils Hugo, avec une lettre cf. Letd'Adolphe tre d'Eugène ~82d. ~0 août Hugo u son oncle, CA~y: p. 350. ~0!~ Abel intituté: ~no/M ~aoûH82i. 3 un article dans l'e Hugo pubtie ~ay«?'<e'.<o</r!~Me,7~0M!a?!c<?~e.s'~aA. H.) cf. )'<oi! (4 colonnes signées à une attaque de )'~o:~e Réponse de i'articted'A. 7'o:'?'. à propos Hugo. du ~!7'0!?'est aussi du 3 août. du /5-55, Corres- Trébuchet: cf. Lettre.s contiennent 166 30 de Vigny (Rouen) pp. 17-20. Hugo et à M. Foucher: littéraires, cf. ~/t18 février Lettre de V. Hugo à M. Foucher cf. Lettres à la fiancée, en contiennent un p. 64, qui cf. Annales et littéfragment politiques 18 février autre raires, 19i2, p. 159, fragment. à Chateaubriand remet le diplôme ès ./CM.K 2'o?'aM.K cf. i'~oï/e, 30 la ()Mo<!</ïen7te, et les 3~ juillet, juillet ~82~ Annales de la Littérature et des Arts, t. iv. livrais. xf.iv, p. 208, 4 août d82i. le Fa~o~ de Odes et Ballades, à A. cf. 14 La lettre est datée du 30, mais c'est une erreur, elle est du 20, puisque V. Hugo ZD dit qu'il est arrivé la veille & Dreux. p.d59. V. Hugo de ~Va~'f compose par les de V. Hugo C'M'?'e.~oM</<ïMC'e Lettre Du 25 juillet au mois d'octobre, V. Hugo se à 7/aM f/s'~tx/e. H achève remet le 15~ chacf. Lettres à la fiancée, pitre p. d72. Lettre de M. Foucher à V. Hugo cf. ~)Mnales -) 8 février et littéraires. )9t2, politiques V. Hugo date donnée à M. Finaud p. 366. Lettre Rencontre Nationale, 25 de la famille de V.Hugo à J. de Rességuier: cf. 16-17 et ~<M5-35, Correspondance pp. A. PftAVtHL, /e?'CMre de 7'a?:ce, décembre 14 juillet 1902, p. 591. On a mis par erreur 1822. Lettre ~/<- L'attaque ~4 27 28 1821 Ao~<! 3 4 10 est à Montfort-t'Amaury, V.Hugo ami cf. Lettre de Saint-Valry M. Foucher du 3 août. à Lettre de M. Foucher ?t<y/M politiquces et liltéraires, 159-160. pp. Lettre d'Eugène chet cf. Figaro, deux fragments, Vers le 10 août Lettre inédite. Vers le 10 août A. de Vigny Paris: cf. Lettre buchet. 10 an 14 Lettre V. Hugo d'Abel Hugo 19 mai le reste et Gaspard d'A. Hugo V. l'aris V. cf. ~4~Hugo 18 février 1912, oncle rentre Hugo cf. ~Mna/e.s' Lettre de V. Hugo à M. Foucher, de datée cf. Lettres à la /ïaHcec, Montfort-l'Amaury cf. !Myo t. x, pp. 119?'aeoK<e, p. 64; cf. ~MM~e.! 120 /<«e?'a:'y'e.<. y)o/<<ï<yMM 18 février 1912, p. 159. K de Y', Hugo a M. Finaud po?~a/iee~6'j'5-/535, p. 367. Lettre de V. Hugo a Saint-Va!ry V. ~«yo avant 1830, pp. 233-235. 14 Trébuchet, de Pons sont à à son oncle Tré- de Vigny à V. Hugo: cf. a Saint-Valry, du 14 août. Lettre du duc de Rohan de V. Hugo il Saint-Valry, 13 son Hugo à a son oncle Trébu1886, qui en contient est inédit. a son Hugo V. chez Lettre à V. Hugo cf. du 14 août. de Lettre à Montfort-l'Amaury et <t</e'?'aï?'M, ;jo/<</</M~' de p.160. 14 15 au 20 V. Hugo rend à Rocher visite est à qui Paris cf. Lettre de V. Hugo à Saint-Valry, du 14 août. H part avec Rocher pour la Rocheil y reste trois jours et en repart le Guyon, 21 cf. ~4/tM/e.f et ~!«e'?'a<rex, politiques 18 février 19)2, p. 160. V. Hugo a dû écrire au duc Lettre de V. Hugo à Saint-Valry, de 16li Lettre de M. Foucher à V. Hugo cf. V. Hugo t. it, p. 124; cf. Annales raconté, pO<t<«/MeS et <:«e'?'a~, 18 février 1912, p. 160. 18R La CoM?'oKy(pe~'c~/)~ et de )'<MM ou le la 7Vs:a?<(;e et le jBap~me, Deuil, par l'ode sur Robert, le contient, 115-122, pp. de Bordeaux, du duc Baptême par VictorMarie de l'Académie des Jeux Hugot (sic) Horaux. 19 Lettre de M. MM/es po/Mp.s1912, p. 160. 21-23 25 27î cf. Anfévrier à propos de t'jE'/o~e de </e q/jM'd.s' et de ?'o';es. Le journal de i'ode de V. Hugo cf. l'Etoile, Note Corres- cf. E. BfHK, 16 de V. Hugo à M. Foucher, datée de f< la fiancée, la Roche-Guyon cf. Lettres t. tt, p. 116; cf. p. 64; cf. F. //M~o racoM<e, 18 février ~MKa~s'/JO/t<!fyM~e<~<e'?'<M?'e~ 1912, p. 116. 20 Lettre de V. Hugo Ka~' et /JO/:<<(/M~ 1912, p. 160. cf. A nfévrier 23 de V. Hugo a Saint-Vatry cf. E. Bu<n. Y. ~M'yo avant 1830, p. 231. de Vigny Lettre de V. Hugo A. cf. EHNxsï 15 février Revue de Paris, Dupuy, 1902, p.865. 27î de Lettre Le 2) août V.Hugo la Roche-Guyon. quitte le 22 il est à Mantes et il arrive a Paris le 23 au matin cf. Annales et litté~o/t~Mes 1912, ~«/'(;A', 18 février p. 160. V. Hugo à la séance assiste annuelle t'Académie cf. Lettre de V. Hugo à A. du 27 août. Vigny, V. cf. cf. à M. Foucher Hugo t. n, pp. 123-124; cf. Anet littéraires, 18 février Lettre V. Hugo ?~coK<e, nales po/ï~'</Mes 1912, p. 160. Rohan cf. du 14 août. à V. Hugo: Foucher et //«e/'a!'ycs, 18 Lettre de de Lettre la CoMroKne cite 10 vers 27 août. H5 à M. Foucher: )8 littéraires, 1821 Août 29 au banquet assiste Hugo Lettres Chateaubriand que préside de V. Hugo à Saint-Valry, 27 31 août. 0Mo~(/!eKMe, Avant Lettre de la duchesse de Berry une pension Prade). pour demander de V. Hugo cf. Nouvelle Revue, ~909, p. 270. septemb. V. des Bonnes cf. Lettre cf. la août; au comte en faveur 13 mars .S'c/)<eyM~'e 4 Abel ~'arïc/M. Le </e?'M!M' des Hugo. comédie en Goths Ultimo fameuse (~ Godo), 3 journées de Lope de Véga. Article signe H. cf. l'Etoile, n° 308, 4 septembre (Abe~ Hugo) )821. 6 Le généra) Hugo Chabris le maire de Thomas cf. DUFAY, p. 15 civilement devant épouse Marie-Catherine (Indre) F. T/M~o à vingt ans, 23. favorable et ordonnance Rapport de 500 fr. en faveur de gratification Alissan de Chazet, entre le 27 juin et a envoyé, à ce sujets une tembre, comte Pradel cf. G. VAu'mmo, i5 mars ~909, pp. 270-271. Revue, Abel La sabia A. H.) 182). ~07:cc//a cf. l'Eloile, une pour V. Hugo. iei5 sepau note Nouvelle Lettre V. Hugo de V. Hugo a Saint-Vatry auaK~ /~50, pp. 235-236. cf. E. B)MM, T'~eo~o~ n" 323, 19 Hugo. (article signé i9 septembre 23 F~~c à la Trappe Trébuchet. Adolphe du 6'OKsero. /~<. (signé A. T-t.) C'est l'article un journal de d'après que le journal imprime à son oncle, Marseille (Lettre d'Eug. Hugo 1' cf. le ./OM?'/tf</ novembre des 1821) 23 septembre 1821. /)c&a~, 26 Abel Hugo publie dans )~<o<7e une variété Il y a T~er~oM le /~OM.E, chanson norvégienne. bien des ressemblances entre cette nouvelle et xxxvni et xxxix les chap. de Han xxxvn, ~s/aM'e. 29 Trébuchet les Sites de Marie-Joseph publie et de la Sèvre, dans le ./OMy-Ka/ ~'a:'K<ï'ac?'<' de Nantes e< de la Zo~'6-/M/e?'<eM/ 29 sep18:21. tembre Octobre à l'Odéon cf. Français 2 La C/y/eM:MM~'e de Soumet du comité des retirée des serres t'~0!7c,2octobrei82i. est 3 Annonces dans )'~0!7e de l'épître adressée sur i'/?MM?'y'ec<tO?t à V. Hugo par G. de Pons des G'?'cc.s- et de l'ode de Holmodurand (DuMtOMra~: cf. t'~o!< /e~'eMMe poète range)) 3 octobre 1821. Lettre de V. Hugo a son cf. le /a?'o, 10 mai 1886. rue du Dragon,n" 30. Lettre Ap<eA' 116 de V. Hugo a M la ~f<?< pp. oncle Trébuchet V. Hugo habite Adè!e 67-68. Foucher cf. !6 Oc~o~'e 1821 7 Lettre d'Adèle ?ta<e.s /)o<(yMe.! 1912, p. 161. à V. Hugo cf. ~nFoucher et /ï~e'?'a!'7'e~, 18 février 10 Annonce avec par A. Guiraud de é)oges cf. t'~o~e, 20 Lettre d'Adète Foucher à V. Hugo cf. AnM~/es ~o<ï<!</Me.s' et //«e'?'azres, 18 février lettre a été reçue Cette 1912, par p. 161. V. Hugo le 20 octobre. aux t'O~g 10 octobre à Adè)e Lettre de V.Hugo Foucher: cf. /Le<e.~ à la fiancée, Cette lettre, pp. 69-72. non datée dans l'original, doit être du 8 octobre, car elle répond à une lettre d'Adèle du 7 octobre. Crées, 1821. Lettre de V. Hugo à Adèle /.e«?'e.s' à la fiancée, pp. 72-76 t. 122~23. ?'ccoM<e, n, pp. Lettre 21 d'Adèle Foucher à V. Hugo, qui l'a cf. ~tns/cs le 21 octobre reçue ~o/!<!</M~ 18 février et /<e'?'n!'?'e.<, 1912, p. 161. 27 Lettre d'Adè!e Ma/es ~o/!<ï~M~' 1912, p. 162. 29 à V. Hugo, Lettre d'Adè)e Foucher reçue le 30: cf. ~MKa/f.s' et /<«ey'<t!?'M', ~o<<<~MeÂ' 18 février 19i2, p. 162. En Lettre V. Foucher à V. Hugo et <~e?'a~'e.s', 18 cf. ~4Hfévrier octobre a un Hugo pense que Soumet approuve ce'c, pp. 172-173. Octobre et novemb. V. Hugo travaiiïe au rapport académique de demandé sur François Neufchateau, par cf. ~e«)'~ <t la lancée, Gil ~/aA' p. 173. à de V. Hugo Il la fiancée, pp. Adète 77-78. Foucher cf. cf. Y. /~M~o Foucher cf. 20 2H a Adète de V. Hugo 27 Foucher: cf. a la fiancée, p. 79. Lettre il son oncle Trébuchet de V. Hugo 30 oct.19 mai 1886 (trois 2 nov. cf. te/</a?' erreurs sans cf. Co~'MpoH~aMcp 1815-1835, importance) sont supprimées). pp. 20-22 (sept a huit lignes Lettre Ze«?'es grand sujet tragique M cf. Z<'«~e.f <a /taK- ~Voue7?ï~re 1 ` 5 10 à son Lettre d'Eugène Hugo chet. Inédite cf. ~1/~eH~tcc. Ouverture des cours de droit 21 octobre 1821. dienne, oncle Trébu- Lettre Lettres cf. la ()Mo< Lettre Lettres d'Adèle Foucher à Annales et littéraires, politiques 1912, p. 162 et 25 février 1912, Adèle 80-82. Foucher cf. 1 a Adè)e Foucher cf. 2 pp. 82-84. V. Hugo a J. de Rességuier: cf. cf. ~~5-35, 22-24; 6'o?'Mjt)OM~<:Mce pp. A. PRAVIEL, de .France, décembre ~/ercM7'e 59~-592. Le texte du 7)/e?'eM?'e 1902, pp. au une texte de la Corre.~onajoute ligne dance. 7 Lettres est nommé aumônier Frayssinous premier du roi. JI laisse un moment ses confépour M. de Trevern rences. le remplace et commence le 12 novembre à Saint-Thomas cf. le VoMy?~ des Débats, 5 nod'Aquin vembre cf. l'Eloile, 11 novembre 1821 1821 cf. les Annales de /H Zt«<a<M?'e et des Arts, 17 t. v, livrais. et novembre, Lix, p. 201 livrais. t.xrv, 22 décembre, pp. 375-384. V. p. cf. Hugo 18 février 180. V. Hugo les a reçues le 10 novembre mais elles dù 2 et le ont être écrites entre le 10 novembre. 11 sur les Bonnes sur les Lettres, Long article sur les cours, les professeurs, attaques subies, les conférenciers. Abel Genoude, Hugo, Victor Rocher. cf. le ./OM~'Ka/ des Hugo, 11 novembre 1821. ~)e'6«~ 16 Lettre d'Adèle Foucher à V. Hugo, reçue 17 cf. ~MMa~s et littéraires, politiques 25 février 1912, p. 180. de V. Hugo à à /a fiancée, pp. cf. de à la Lettre de Lettre de Catalogues il lui V. Hugo /<aMcee, V. Hugo, Paris, C/t<ïr<ïHay, a son père, n" 114. Btois de la tnaindie et de la mort de sa parle H lui envoie de ses études et de ses projets. mère, ses essais littéraires lui ont valu d'être nommé qui « Nous membre de la 2e académie du royaume. « voudrions, mon donner cher quoique papa, « renommée littéraire an nom nous te deque « vons, mais elle n'égaiera la renommée jamais « mi)it.aire » que tn y as attachée. Les Catalogues CAa7'Mt;<M/ (no 200) signaient à son à la une lettre de V. Ilugo relative père, de sa mère. est faussement mort Cette lettre datée de d820 et ne fait qu'un probablement avec cette lettre du i2 novembre 182). le ~1– t 1821 Novembre 20 d'Adèle à V. Hugo, Lettre Foucher reçue le 20 cf. nnales <?< /!«erat/'e. ~o<:<</MM 25 février 181. d9i2, p. 28 à V.Hugo: cf.~4?<Lettre d'Adèle Foucher 25 février e~ littéraires, nales po/:<«yM~ le 28 1912, p. ~8~. V. Hugo a reçu cette lettre d'Adèle. novembre, jour de la naissance Lettre de V. Hugo Adèle Foucher cf. V. Hugo remit /.<'</?'e&' à la fiancée, pp. 85-86. cette lettre en même temps que la suivante elles sont toutes deux sur la même feuille. 121.) de V. Hugo :'). Adète Foucher à la fiancée, cf. F. pp. 87-88 ?-neoM<c, t. n, p. 122. 13 Lettre Lettres cf. //M~o de V. Hugo au baron Lettre à proTrouve, lecture a faire aux Bonnes Lettres pos d'une cf..4Mta<eM?' décembre i9i0. <aK<o~rap/<c.s', i4 V. Hugo a Adèle Lettre de Lettres à /? /«!Mcc'e, pp. 89-92. Lettre Z<'«rp.< de /a V.Hugo fiancée, a pp. Adèle 93-97. Foucher cf. 17 Foucher: cf. 24 /)cceM!~y'e Ouverture <7 )4 Saint-Augustin, cf. la Quotidienne, rue NeuveBonnes Lettres, n° 17, ancien hôtel de Gêvres 1821. 6 décembre Lettre d'Adèle 8 cf. Annales février 1912, p. à V. Hugo, reçue le et littéraires, ~5 ~O/~Z~MM 182. Lettre vendredi ra/p.s', des Foucher tt. V. Hugo, d'Adète Foucher 14 cf. A nnales politiques 25 février 1912, p. 182. le reçue et litté- Abel l.'i 17 21 29 /ïoM<a!Mce.< M:aM?'MfyMM. Le Hugo. <Oc/tM/! 14 cf.l'Etoile, Ca~< (signé H.); 1821 et 7 janvier décembre 1822. V. Hugo a Adèle la pièce A toi envoie cf. cf. Odes et BalLettres à la fiancée, p. 106; ~«/e~, pp. 350-354. Foucher cf. cf. F. Hugo :< Adè)e Lettre de V. Hugo Foucher Z.e</r<?~ la fiancée, Les pp. 99-100. du 7 et du 8 sont sur la même feuille. Lettre de Lettres /a V. Adèle Hugo /:sHcee, p. 101. Lettre de V. Hugo à Adèle Lettres à la fiancée, pp. 102-104 t. 125-126. raconté, i!, pp. Foucher cf. lettres 7 8 cf. 13 Foucher: cf. cf. F. Hugo 14 de V. Hugo à Adèle cf. Foucher; à la ~a~cee, Les lettres pp. 105-106. du 14 et du 15 sont sur la même 15 17 Lettre Lettres du 13, feuille. à V. Hugo, reçue et /t«e'ra!?'e~, le 25 Lettre Lettres cf. 17 Adèle Foucher 108-110. cf. 21 le Lettre Lettres à de V. Hugo à la ~a7:<e, p. à de V. Hugo à la fiancée, pp. à Adè)e Lettre de V. Hugo Foucher Les Lettres à la /!aMee'<?, pp. 110-112. feuille, du 21 et du 22 sont sur la même cf. lettres 22 Adèle Foucher 112-113. cf. 24 Adèle Foucher 113-114. cf. 27 cf. 28 cf. 29 Nodier sur Walter cf. la Quotidienne, Lettre d'Adèle 22 cf. Annales février 1912, p. Foucher Scott Lettre d'Adèle Foucher a V. Hugo, reçue samedi 29 décembre: cf. ~MM~M politiques 25 février et littéraires, 1912, p. t82. V. Hugo est invité, comme membre de l'académie des Jeux a dîner chez le floraux, comte de Chabrot, de la Seine. C'est préfet A)is-!an de Chazet transmet l'invitation. qui V. Hugo, sur cette invitation, le samedi écrivit, 29 décembre, a 4 heures, à Adèle Foucher une lettre qui est inédite. Décembre raconté, à Adèle de V. Hugo à la ~<Mcee, pp. 98-99 t. fi. pp. 120-121. et dé- Article de Ch. /c~owa?~<.s'M:c.' cembre 1821. joc/z/Mes 182. Lettre Lettres V. Hugo la Peste )'C</e sur de compose /ce<OMe.' cf. Lettres à la /:a/<cee. p. 173; cf. Odes et Ballades, le ~OMfpp. 2R3-269, ment. H8 de V. Hugo ;'t a la /îa?!<;ee, pp. a Lettre de V. Hugo /y'<s /M't<'f'e, pp. Lettre Lettres Adèle 107. Foucher: de a Adè)e Foucher Hugo /f.s /a /tH/c'e, pp. H5-H)i. V. Hugo a Adètu Foucher Lettre de cf. F. 116-118; /e.s'M/a/<K~e<'e,pp. t. <[. p. 122. ?'acoM/e, Lettre T/M~o CHAPITRE V 1822 1822 Janvier 2 5 7 8 12 entre Querelle de cher à propos à la fiancée, pp. d'Adète Lettre Ma/e.< /)o/<yMM p.208. Lettre d'Adète nales politiques 208-209. pp. V. Hugo et Chateaubriand 123-124. la Foucher a V. Hugo cf. ~/tet littéraires, 3 mars 1912, d'Adèle Foucher Lettre samedi cf. Annales 12) 3 mars 1912, pp. ?~ù-M, à V. Hugo politiques 209-210. 22 Lettre d'Adèle Foucher a V. Hugo mardi cf. ~M~a/M 22) politiques ?'a!re.s-, 3 mars 1902, p. 210. 29 30 Foucher à un pp. 142-143. bat à de V. Hugo o, la fiancée, pp. & Lettre de V. Hugo Lettres à la fiancée, pp. à Lettre de V. Hugo 7.e«?'es à la fiancée, pp. Lettre Lettres Let- le (reçue e< litté- cf. Foucher Adèle 142-143. Adèle Foucher 144-146. Foucher Adète 147-149. cf. cf. cf. Adè)e Foucher cf. de V. Hugo à la fiancée, pp. 150-152. à son ce jour-lit une lettre V. Hugo a écrit dans le général père, Hugo. Elle est signalée à la fiancée, 25 janvier, les ~e~res p. 154. Lettre Lettres .~Mr le Nil, par V.-M. Hugo cf. La n" 52, pp. 112-114, 25 janvier 1822. d'Adèle Foucher a V. Hugo (reçue le Lettre samedi cf. Annales et <<«e26) ~o/!<«/Mes 3 mars ?Y«?1902, p. 210. ~/oM'e Foudre, Lettre Lettres à la société des Bonnes sur la /<«c/'H<M)'c dramacf. ~iMMa/e.! de la Litléra<«yM<; e~ayno/e <M/'6'e<</e.s' Arts, t. Vf, livrais. Lxvm, p. 104 et livrais. Lxx, p. 178. soutenir une V. Hugo va à l'Odéon pièce cf. ~t~na~e.! et littéroyaliste; po/<</K~ 3 mars 1902, p. 210. ~<«'s', Abel Lettres pp. Adèle Foucher 128-135. de V. Hugo a Adèle Foucher cf. à la fiancée, pp. 136-141. à J. de Rességuier: Lettre de V.Hugo cf. cf. ~5-~35, 25-26 Co~)OMf/<mce pp. et E. BiHH, V. ~«.'70 avant 1830, pp. 131-132 de France, cf. A. PRAViEL, Mercure 137 décembre 1902, pp. 592-593. le (reçue et <!«ecf. a Lettre Lettres a La séance extraordinaire de l'Académie d'une de été terminée Réponse par la lecture de TVcM/c/eaM a un nouveau 3/. /?'a?~o<~ cf. le sur /'aM~K?' de Gil Blas système de Paris, 10 janvier ~822. Journal d'Adèle Maladie tres à la fiancée, 25-26 de V. Hugo Lettre à la fiancée, Lettres Foucher a V. Hugo cf. An3 mars 1912, e< littéraires, 17 25 de V. Hugo à Adèle Foucher cf. M/a ~aMcee, pp. 123-128. cf. Ze«?'M Lettre de V. Hugo a Mme Delon H /M /<aKce'c, p. 125. Lettre Lettres famille Foucf. Lettres fait Hugo une lecture ~9 Lettre Z6«?'g.s' a Adè~e Foucher Hugo fiancée, pp. 153-155. Foucher de V. Hugo à Adèle M la fiancée, pp. 156-157. de M V. 4 4 9? 8 ):< 177 19 :'U 2) ~4i. cf. 25 cf. 31 1822 Janvier La. pièce en question Tuteur ou l'Ecole de 5 actes et en vers, par doit être Le .Père et le en la yeMHCMc, comédie MM. Théodore et Achille représentée, Dartois(oud'Artois)deBournonvi)ie; théâtre le 28 janvier sur le second 1822~ français. )n-8. )mp. de Guiraudet, Paris. Paris, Barba. B. F., 9 mars n' 1163. La 2e représentation eut 1822, lieu le 30 janvier. 30 janv.2 février~ Janvier Lettre d'Adèle cf. février): 3 mars ra!'r~, a V. Hugo ~4M?ia/c.s' po//<!</MM 210. 1902, p. Foucher V. Hugo travai!!e à ~4M<y 7<o6.!a?'< tres /a/taMc'<e, cf. E. BinÉ, p. 173 avant 1830, pp. 449-457. le (reçue et litté- cf. F. LeiHugo Z''eu?'!f/' 1-1 (i V. Hugo travaille à ~M?/ ~o~ar< <rc.9 à la fiancée, cf. E. BiRÉ, p. 173 avant ~~30, pp. 449-457. V. Hugo reçoit le mardi écrite samedi 9 février. une lettre 5, mercredi d'Adèle 6, Lettre cf. Let~M~o t4 15 16 21 V. Ze~a/a/~cc'e, Foucher, vendredi 8, ode par M. V. Hugo, cou~7oMe .!M?' le /V! ronnée par t'académie des Jeux Floraux, ïn-8. Paris [mp. Guiraudet, (c'estun tirage à part de B. la Foudre, du 25 janvier F., 9 fé1822). n-702. vrier 1822, <0 de Foucher à V. Hugo, écrite d'Adèle le le même 10, de 2 h. à 4 h. et reçue cf. ~MM~/e.! jour: politiques et littéraires, 10 mars 1912, p. 231. Lettre dimanche Hugo à Adè)e Foucher pp. 158-159. à de V. Hugo à la /ta?tce'e, pp. de V. Hugo à Lettre Ze/M à la /ïaMccc, pp. 123 et racoM<e\t.u,pp Lettre -Le«r~ cf. 1 cf. 8 Foucher cf. cf. F. Hugo 9 Adè)e Foucher 159-160. Adè)e 460-163 125. Lettre Ze~'es à Adète de V. Hugo à la /?aMc~, p. 164. Foucher cf. Lettre Z~t'es à Adète Foucher de V. Hugo à la /t<!Hce'e, pp. 165-166. cf. 10 Deux lettres de V. Hugo à Adète Foucher cf. Zc/c.sla /taMc<;e, cf. 167-173 pp. P'. //Myo raeoK~e, t. n, p. 127. Lettre de V. Hugo à Adète Foucher cf. .Z~es à la /<aKcee, p. 174. 16 V. Hugo va a la messe à Saint-Su tpice cf. Lettres à la /<M?iee'e, p. 165. GenAdèle Foucher part inopinément pour à V. Hugo ce billet inédit « Je tilly et envoie c: pars aujourd'hui Cela se décide à Gentilly. <t à t'instant. Je voulais de profiter de la sortie s maman mais je suis constampour t'écrire, « ment » contrariée. La Vengeance de /H ~/<!<~oHe, fragment Abel cf. tiré de l'italien, la Foudre, par Hugo: 15 février 205-209. 1822, pp. Lettre d'Adèle Foucher à V. Hugo cf. ~4?tet /<<«''?'aù'p.s', 10 mars 1912, nales politiques p. 232. La de la y)/a<<07tc. In-8. Vengeance Imp. Paris Abel C'est un Guiraudet, (signé Hugo). à part de la 7<'OM</re B. F., 16 février tirage 1822, no947. V. Hugo a passé sa soirée avec quel(jeudi) de génie et plusieurs hommes ques hommes à /a fiancée, de talent cf. Lettres p. 177. V. Hugo n'a-t-il fait erreur et mis jeudi pas de séance aux Bonnes vendredi, pour jour Lettres. Lettre /r~ ~20 de V. à Adè)e Foucher Hugo ~KCëc, pp. 175-176. cf. 20 21 1822 ~eu~ 22 2~ LetAbel Hugo a eu du succès aux Bonnes sa leçon sur la littérature dramatres, dans et dahs ses traductions de tique espagnole morceaux de poésie: cf. rt~MH/e~e plusieurs la Z,f<ra<M?'ee< des ~4/'< t. vt, livrais. Lxxtv, 2 mars 1822. p. 308. Lettre d'Adèle Foucher a V. Hugo, samedi 23: cf.Hns/es /)0/<<<</«M 't0 mars 1912, raires, pp. 232-233. Février Soumet est très C<?//eH!nM<?'c p. 173. occupé par cf. Lettres reçue le et /«~- de V. Hugo à Adète Foucher cf. à la fiancée, pp. 176-178. à Adèle Lettre de V. Jlugo Foucher cf. Lettres f< la fiancée, pp. ~79-180. Lettre de V. Hugo à J. de Rességuier cf. E. BntÉ, V. /7M~o avant 1371830, pp. 138 et 337-338 A. PnAV)ML,e?-eMre</e cf. décembre ~aMce, 1902, pp. 594-595. Lettre Lettres 28 24 25 sa tragédie de à la fiancée, ~f<!?'S 2 Lettre d'Adète nales po/!<«/Mcs p. 3 Foucher à V. Hugo cf. Anet littéraires, 10 mars 1912, 233. Première conférence de Frayssinous à SaintcAre'eMne 7'o~ï<ncect'M!7c, Sutpice~Sh.: et philosophique: cf. yoM?'a/ des Débats, 27 février 1822 et la Quo<<e?!7te, 5 mars 1822. Le -/OM?'?ta/ des ~)e'6M~ du 5 mais annonce le premier M. l'abbé consistoire, que, dans 1~ aumônier du roi, sera précoFrayssinous, nisé évéque in partibus d'Hermopotis. M. Abel Hugo, dans la séance des Bonnes Lettres du 5 mars, s'est fait écouter avec plaisir dans ses analyses du théâtre de espagnol cf. ~4MMa/M de la jGï«e'?'a<M~'e Lope de Véga et des t. vt, tivrais. Lxxv. ~t?' p. 338, 9 mars 1822. 9 10 11 )2 13 Lettre samedi d'Adèle Foucher à V. Hugo, reçue le 9 mars cf. Annales et politiques 10 mars littéraires, 1912, p. 234. V. Hugo va à i'égtise de Saint-,Sulpice pour voir de loin Adèle Foucher. H va aussi probablement à la messe cf. Lettres à la /:a7tce'e, p.193. Annonce éiogieused'Tt'/eKa, dans JoM?'?tM< des Débats, le d'A. de Vigny, du 11 mars 1822. Lettre Lettres sa penpour pp. 206-207. Adèle Foucher 182-184. cf. 1 cf. 2 cf. 4 cf. lui cf. de de V. Hugo Adète Foucher cf. à la fiancée, p. 191. à Adèle Foucher Deux lettres de V. Hugo cf. jLe«''e.s- à /« /tMHce'e, pp. 192-194. Lettre mention 9 10 cf. 11 à Adèle Foucher cf. de V. Hugo H la /!<ïnc<'e, p. 197. Foucher cf. à Adèle de V. Hugo à la lancée, pp. 203-207. Il en est fait de V. Hugo à son père. à la /KïKce'e, p. 206. dans les jLc~rM 1~ de Lettre Lettres <H Lettre Lettres les ministères à la fiancée, Foucher: Lettre Lettres p.251. V. court V.Hugo sion cf. Lettres Adèle 181. de V. Hugo à Adèle Foucher « la /ta?tcp'e, pp. 185-188. a Adèle Lettre de V. Hugo Foucher Lettres « la /ta?tCfe, pp. 189-191. au général V. Hugo écrit Hugo, pour a demander de consentir son mariage à la /t«MCc'e, Z,e<<s' p. ')89, qui parlent cette lettre sans en rien citer. Lettre Lettres une dé V. Hugo à à la fiancée, p. à de V. Hugo à la fiancée, pp. Lettre Lettres le mardi 12 mars, lit à la Saint-Valry, société des Bonnes Lettres une ode intitulée La Mtpr< de j8o?K;AaMtjo cf. ?tMa/e.s' de la ~/«e'?'<!<Mr<' e< des Arts, t. vi, livrais. Lxxvi, 16 mars 1822. pp. 346-349, à V. Hugo Lettre d'Adèle Foucher cf. An7)K/g.s' ;)o/t</</Me.< et <<«e'HtrM, 17 mars 1912, lettre de son reçoit Hugo père, une favorable à son maapportant réponse à la fiancée, cf. Lettres riage p. 197. 15-1 H Lettre Lettres Adè)e Foucher Hugo /<Q!?tce'e, pp. 195-196. V. 15 –121– 1fi 1822 15 .s Z'AeM?'e de la ?/:<)?'<, nouvelle par cf. la /OM~'c, Abel Hugo t. iv, pp. 15 mars 1822. Lettre d'Adè)e 7ta/M;JO/!<~Me.s'p/ p.252. A. H. == 341-345. t- à V. Hugo cf. An17 mars 1912, ~/e'?'a!?'e.s'. Foucher ))! la Fille la ~'oMHH~6M/p, //e/e'Ha, de Jephté, la /e~!MC la <!f/M//C?'C, le Bal, Paris. /?'o/t. )n-8. Guiraudet, Paris, Imp. = Pélicier A. de Vigny) (~sans nom d'auteur B. F-, 16 mars 1822, n-' 1349. 19 d'Adè!c Lettre nales politiques Foucher a V. Hugo cf. /JM17 mars et /«e?'a~'e~, 1912, p.252. Lettre d'Adè)e nales politiques 252. p. Foucher a V. Hugo cf. ~4H17 mars 1912. et littéraires, 21 23 24 /~oeM:e.s'. 19 Lettre Lettres Z'7/eM?'<? de /a /Mo?'<. tn-8. Imp. Guiraudet, Paris. En prose. Abel Hugo à Signé (tirage la /OK~'c, le de i'articie dans part paru 15 mars 1822) B. F., 23 mars 1822, n° 1435. Lettre Lettres à V. Hugo Foucher cf. ~)Met /e')'aù'<?.s', 17 mars 1912, Lettre Ze/es Lettre d'Adèie Ma/e.!jt)o//</</Mp.s' p.253. 24 de V. Hugo Lettre n (30, rue du Dragon) M. de Lourdoueix, chef de division au MinisH lui envoie tère de l'intérieur. deux odes et il de la peine qu'il se donne le remercie pour lui cf. Revue aM~M6'<!?!i!eM?!C, t. x, p. 449. 15 avril 1907. a la Frayssinous prêche Saint-Sulpice Nécessité de /« ?'6'<on ~o~?' le 6oH/teM?' cf. la ()«o<tf/!e?<?tp, 26 mars 1822. social de V. Hugo a à la /?aMc~ pp. :), de V. Hugo à la /taMceg; pp. a de V. Hugo à la /?aHee'c, pp. Adèle Foucher 208-209. cf. 2~ Ade)e Foucher 209-2{i. cf.f'. 22 Adèle Foucher 21i-2i4. cf. 23 ~'oM!?<aM<- 24 j~e'?v<<M?'<?. T/e'/e'/ta. la Poèmes, ~H /<'ï7/f <<e Jephté, /a T'c~/tHte bule, la /'?'s'oH, etc. le Bal, (1). 3 Article de colonnes signé V.-M. du 24 mars d822: cf. Lill. I'~o//c mêlées, pp. 93 et 159. M6<M/<c?'e, Hugo dans et Philos. n'a reproduit de cet article dans /«. et Philos. ?7M7ëe6'. Les deux (1) V. Hugo que sept lignes de la p. 93 sont le commencement de l'Eloile. de l'article Les cinq dernières premières lignes lignes de la p. 159 sont la conclusion de l'article Voici cet article, son intégrité dains toute presque entièrement, inédit, « Voici enfin des poèmes d'un poète, des poésies Nos lecteurs auront qui sont de ia poésie peut« être peine il. croire cette chose merveilleuse; mais qu'ils ouvrent le volume ou qu'ils lisent cet article, « si ce n'est de nailre pas trop prétendre que de demander pour une jeune gloire qui vient quelques « moments de cette attention si vivement soUicitée les folies du siècle, par impuissantes qu'ils cessent « pour un moment d'attacher leur aux grandes du corps social, entière commotions la pensée toute « machine n'aura sans doute le de se ces politique pas temps déranger pendant qu'ils parcourront « colonnes et peut-être auront-ifs de i'âme chose dans cette feuille. quelque plus lorsqu'ils jetteront « Qu'ils se rassurent ils n'auront entièrement les objets de leur médid'ailleurs, point abandonné « tation babitueffe. Le poème s'offrira le à leurs estencoredu domaine d'T/e/e'Ma, qui premier regards, « de ia politique du moment; car l'auteur fut inspiré de la Grèce. D'un autre côté par les affaires « par une comme si la muse avait voulu le poète d'avoir attaché un inspiration mystérieuse, punir « drapeau a sa lyre pour attirer la foule, ~Me'MS est un des morceaux de son recueil où son talent « brille le moins avec d'éclat. de côté les défauts mettez de la composition et Toutefois, singuliers « vous serez intéressé, de cette malheureuse ému. entraîné fiancée, par les douleurs qui aime, qui sait « qu'elle est aimée et que le plus grand des malheurs contraint à se dérober il ce plus grand des biens, « de peur qu'ii n'empoisonne toute sa vie par des plaisirs aux supplices a subis. pareils qu'elle Ajoutez « à cet attrait de curiosité et de pitié un style où se trouve à chaque dans pas des vers tels que ceux-ci « lesquels la grâce d'une habilement accroit le charme d'une rêverie et expression négligée profonde « vraie. )) V. Hugo cite ici 24 vers dont voici le premier et le dernier. Au cceur privé d'amour c'est bien peu que la gloire D'un puis il continue « Ces vers semblent écrits fraterne) avec ec)a.t i))u[hinent la plume de cet _)-);)_ ies cieux. André Chënier qui avait quelque chose là, de ce 1822 En ~/<M-.< 2<t Lettre de Lamennais à V. Hugo cf. ~4?~leur <<'«M<o</?'«p/M.s', juin-juillet 1876. p. 99 seutement sont citées cf. sept ou huit lignes n°s -)38 et 141 la letC«<a<o~M<~ C/<o?'auay, tre est datée de la Chênaie. ~0 une poésie: Le /'?'/?Saint-Vatry publie dans les Annales de la Zi!'<a/M?'ec< temps, t. vt, livrais. des Arts, Lxxvnt, 4d6-4d8, pp. 30 mars 1822. V. Hugo mars compose son ode sur Lettre ~e/M de V. Hugo f/ la /?f<neec, il Adè)e Joncher pp. 245-248. cf. BoKa/)a?'<e. « jeune et brillant et qui reçut, il a quelques années sa coupoète, dévore par l'échafaud républicain « ronne de gloire des mains d'un homme noble et illustre alors l'envie encore la auquel disputait «sienne propre. « Cette fraternité et celui de M. le comte entre le talent d'André Chénier Alfred de remarquable « Vigny se décèle dans le nouveau Prenons un tableau recueil. partout gracieux. V. Hugo cite 10 vers dont voici les premiers et le dernier. La harpe tremble encore et la flûte soupire. Car la Walse bondit dans son sphèrique empire la Vierge Sone et foule en passant les bouquets de sa tête. « Certes la vérité la vivacité des coupes, des détails, pour le luxe des images. « je crois qu'il est impossible de rien trouver de supérieur a ce morceau dans « Choississons » une peinture terrible. V. Hugo cite 12 vers. TH)!cSodomea.vucettefeu)!t)eiu)pudente cncor. ses pas qu'il écoutait « Après avoir cité ces grands la variété du beau talent de M. de Vigny, montrer nous vers, pour voudrions transcrire de la T~MMe adultère et de la Fille de ./e/)/t<< cette foule de vers touchants si l'on trouvait dans la Bible comme tout il coup chose de Virgile et dans qui frappent quelque mais la plupart à être vus en situation, nous préférons de ces traits demandant t'Evangite renvoyer au volume le lecteur lui-même lui bien d'autres Nous ne détaencore qui présentera jouissances. chons rien du 6'OMMtay/t~M~, drame de soixante et vers, également qui a ses actes et ses péripéties, certainement bien d'être lu en entier. Citons les derniers vers d'une charmante qui mérite élégie intitulée ils d'un voit celle qu'it aime suivent les plaintes antique, Symètha partir jeune grec qui Zn et dont l'absence » causera sa mort. V. Hugo cite 10 vers. Dans le port de Pyrée un jour fut entendue N'entendit « « « '( « « « « t'éetatde l'ensemble, tout André Chénier. Qui. d'une plus aile invisible avait ému sa lyre. d'un effet « Ici la naïveté est déchirante aussi il faut peut-être trouver des idées pour profond « atter chercher » ce que le ~/as</Me de fer mourant a de plus lugubre a dire son confesseur, V. Hugo cite 22 vers. « Les vers de M. Alfred de Vigny sont tous aussi beaux ont cela de particulier que d'autres, qu'ils « sans être beaux comme cette nativité de talent est digne d'attention. Terminons nos d'autres, « extraits cette belle //c'<ëKa. tirée de des Turcs dans par strophe gracieuse t'hymne V. Hugo cite 10 vers sur la ~'eW.i. « Ces jolis si riches et si harmonieux, se louent d'eux-mêmes. Nous avons cité et vers, beaucoup « nous avons mal fait de ne pas citer davantage ce que nous car nous regrel,t.ons maintenant tout « avons laissé dans le volume. au succès si mérité d'André Ce recueil sans doute Chénier, participera « nous osons le prédire. Les rapports, de M. de Vigny avec celle que l'organisation poétique présente « du jeune Chénier, tout le de même et monde, personnettequi frapperont que l'originalité primitive « les caractérise tous deux. talents sont frères, ces sœurs dont parle ils se Ces deux comme Ovide « ressemblent sans être André s'est & étudier M. de Vigny Chénier borné a. pareils. l'antique. a comme cet article a pu le faire voir, emprunté avec le plus rare bonheur les couleurs grecques. « hébraïques et modernes. de la peine dans Les gens qui aiment il gâter leur jouissance et cherchent « leur plaisir trouveront d'un de taches tant de beautés, des incorrections nées beaucoup systèparmi « me, des négligences nous nées de la paresse. l'émotion Nous, qui respectons poétique, profondément « nous garderons d'entrer dans ce débat à tourmenter se tourmentent fauteur, que les critiques « nous jouirons en en égoïstes de tant si clairvoyanls de talent. Tous ces hommes qui sont graves « grammaire, en versification, en prosodie et si aveugtes en poésie, nous rappellent ces médecins qui <t connaissent » la moindre l'âme et la vertu. fibre de la machine mais nient humaine, ignorent qui Victor-M. HuGO. -123 1822 Avril 4 (jeudi saint) 5 <! 6 7 9 10 V. Hugo voir Adète et 22). va deux fois cf. Lettres Article sur l'ode tulée ~KO~~ar/e, cf. l'Etoile, Etoges: à Saint-Sulpice à la fiancée, pour pp. 219 intide M. Victor-M. Hugo, Z. On cite 10 vers. signé 1822. 5 avril n°503, dont la J. de Rességuier le Pèlerin, publie finale rappelle la finale d'O. 7'a<<< cf. ~mna/es <<e /H Zï<<:<M?'6 et des Arts, t. vii, livrais. 6 avril -t822. i.xxix, pp. 11-12, V. Hugo part pour Lettres à la fiancée, avec Gentilly pp. 222-224. Ade)e cf. Pâques. V. Hugo aux Bonnes Ancelot lit pour l'ode .s'M?' la /~e~<e de 7~a?'ce/OMe cf. Lettres, t. vu, ~4MH~/e.s' de la /</6'7'a~M?'e et des Arts, livrais. Lxxx, p. 71, 13 avril 1822. Abel Hugo. Les article ~OM?'&o?M, signé mais te 5 Abel le Ch., )ui)ietI822, revendique: cf. i'F/o~e, 10 avril t. 1822, v, pp. 28-30. cf. de V. Hugo à J. de Rességuier Lettre V. Hugo avant E. B)nÉ, 1830, 132, pp. cf. A. PRAVJHL, ~6'?-cM?'e~7''ra7<cp, 138, 237; 595-596. décembre 1902, pp. Foucher cf. de V. Hugo à Adèle Lettre et à la /!aHc~, Lettres Hugo pp. 219-221 t. 122. n, pp. 121, raconté, 3 cf. 5 Lettre Lettres à Adèle Foucher de V. Hugo à la fiancée. pp. 22~222. 4 cf. de V. Hugo à Adèle Foucher à la fiancée, pp. 222-224. ode par Victor-M.Hugo. In-8. ~Mo~a~oa?' Pélicier. B. F., Paris. Paris, Imp. Guiraudet, n" 1636. L'ode a dû paraître 6 avril 1822, ce jour là l'Eloileen le 5 avril, avant puisque les variantes, fait l'éloge et cite 10 vers. Pour 1822. voir au 8 juin Lettre Lettres Les Catalogues une lettre de V. son frère Eugène. gène, cette lettre C'/Mïya~ay (n° 200) signalent t à à son père, relative Hugo S'il s'agit de la folie d'Euest faussement datée. 114 Artic)e sur l'ode de M. Victor-M. intiHugo, M. tulée /~MOKf/?' cf. la Foudre, signé 10 avril 1822, t. v, a" 67, pp. 31-32. )33 Lettre d'Adèie nales ;)o/~t~Me.s' Foucher cf. ~KV.Hugo: 17 mars 1912, et littéraires, p.234. 14 A Saint-Sulpice, à h.,conférencedeFraysà la duchesse d'Ansinous assistent laquelle et la duchesse de Berry ce ~M' goutême des propagateurs des auteurs, /'<M< pen~e?' et o~M des lecteurs des livres cf. !e~ Journal des Débats, 15 avri); Quotidienne, 16 avril de ~'aKce, 15 avril. Ga~e~e 19 Frayssinous le 19 polis, 5 mai 1822. 20 Joseph duction 20 avril est préconisé évêque d'Hermoavril: cf. Journal des Débats, Kocher publie de la Bible de 1822. un article Genoude cf. de V.Hugo à J. de Rességuier: 134 et E. BmË, V. Hugo avant ~~30, pp. cf. A. PftAVtKL, ~/c/'CM/'6 e~e France, 219 décembre 1902, pp. 589-590. 17 7 de V. Hugo à J. de Rességuier cf. Lettre )32 et E. Bn< V. Hugo avant 1830, pp. de France, cf. A. PRAV)EL. ~ercM7-e 242 décembre 1902, pp. 596-597. 19 Lettre sur la tracf. Etoile, Ancelot un article sur /y<<M. de publie ît compare lui aussi à Vigny. Eloges. Vigny Chénier: cf. ~)7:K<~es </e/M/,ï«<<~M?'ee< des t. vn, livrais.n, 20 avri) 1822. Arts, pp. 73-83, 21-24 Les Catalogues CAs~'auay (n° 377) signaient le manuscrit de l'ode La Lyre autographe et la Harpe, avec des ratures, des corrections et des variantes inédites. le manuscrit, D'après l'ode aurait été composée du 21 au 24 avril. 22 un article de trois Me)y-Janin (M. J.) publie grandes cotonnessur/ye/~Ha, de Vigny. Etoges et critiques cf. la Quotidienne, 24 avril 1822. 124- 1822 Avril 26 Abel aux Bonnes Lettres, Hugo, parle de la d'/H<~ e~e C~s~'o, Maxias de tragédie par Lacerda: cf. ~HMa/s' de la Z.<«e'?'a<M?'<?e< <<<s'.4?'<.s'. t. vn, livrais. Lxxxn, p. 136, 27 avril 1822. 27 Article sur l'ode de V. Hugo, deux cotonncs du rez-dc-chausséc 27 avril tion cf; la Quotidienne, 28 DernièreconférencedeFrayssinousaSaintZ)t.S'6'OM?'.S'.SM?' les M!S'.S'/0?).S' Sulpice y)/OM«eM?', 1er mai 1822. 30 Bonaparte, et une cita1822. cf. le 6'/<tMe-/yf/,7'oM inédit traà Pise, fragment duit de Lord cf. la Byron, par Abet Hugo 30 avril. 7~0M</re, t. v, n" Lxx<, pp. 123-127, 1822. En avril V. Hugo compose La Lyre et la //a/)e Odes et Poésies diédition verses 1822, pp. 103-111 /!<;fa?'ite<M?', pp. 251-255. -4 l'Académie des ./CM.7; F/o?'aMA': Odes et Poésies édition He/;a?'te1822, pp. 13t-134; avec la date: mai <?-. 1822. pp. 271-272, Cette ode fut lue à Toulouse le 3 mai 1822, en avril elle fut donc et envoyée composée 1822. La pp. 357. Chauve-Souris: édition 179-185; Odes et Poésies ~<S~, ne ~a?'/c/Mr, 355pp. Le 7YMaye: Odes et Poésies édition ne varietur, 188 pp. et Le CaMeAp~~?': Odes édition ne varietur, 189-192 Odes et Po~ Le ~a/ï'K ne UH?'ïe<M?', pp. édition 196 ~~3~, pp. 359-360. 185- Poésies ~6' pp. 361-362. :/< pp. 363-364. 193- ~fa< t* 3 5 7 H aux la pièce Jeux Floraux que adressa at'Académie et une ode de V.Hugo J. de Resscguieroù il est question de V. Hugo. OM /es ca?tAbet Hugo. Le coMM/e ~o'cc/eM?' <<t<<M/s e7~<6/M à )a mais Lucifer, (signé n" Lxxn, table Abel Hugo) cf. la T~oM~'e, t. v, pp. 144-~51, 5 mai ~822. On lit Lettre de V. Hugo (Gentilly) cf. Lettres cher à la lancée, aux Bonnes Lecture Lettres de /?OMta?:ces t~e/t~eeMneA- sur Henri de la Roehejacqueiein et Lescure, cf. ~?t?:a<es de la par A. Hugo t. vo, Hvrais. ~<'«<a<M?'ee<~c.s'~)?' Lxxxtv, mai 1822. p. 202, Le 7)/<;<<o?tna!7'e /t<.s'~r«/Me (B. F.. H mai, n" 2150) parle V. Hugot (sic) et de ses odes, ~e?'</MM et le /t~M6<eMp?~ //eM?-t /V. Deux Foucher 229. </e la yeMKe&se avec de é)oges les Ft'ey/ye-s- de de la s<M<Mp de ~25 lettres cf. à Adè)e Foupp. 225-226. de V. Hugo (Gentilly) o la fiancée, Lettres à Adèle pp. 227- <! 7 1822 14 ~t aux Bonnes Lecture Lettres par Abel Hugo, sur la tragédie cf. ~)MKM/~ du FïCM-K~/eHf/o: </c la Z!«e'7Y<<Mre et des ~4r~, t. vit, Hvrais. Lxxxv, p. 236, 18 mai 1822. est lue ode, ~MOMapa?'<e, par Saint-Vatry~ aux Bonnes tel 4 mai: cf. ~Hna/e.< Lettres, de la /«c'?'<7<M?'e et des .4r/.s', t. vu, Hvrais. 18 mai 1822. ).xxxv, p. 225-228, 17 V. lettre 19 Lettre d'Adète ?ta/e.s' po/<<Ke~ -24 25 ~7 2!' est à Hugo à Lamennais. Paris d'où il adresse une Foucher à V. Hugo cf. Anet <«e'?'a!?' 17 mars 1912, et A. Foucher font une promenade cf. /,e<<?.s' M la /t<ï/!ce'e, p. 235. Abel Hugo. Les Z:'6emM;x en ac<!OM (signé atatabte Abel Hugo) cf. la ~'OM<~?'e, Lucifer, t. v, n° <.xxv<, pp. 243-246, 25 mai 1822. Hugo à Paris 12 de V. Hugo (Paris) ~5-~35, Co?'?'e~oH(/aHce 17 Lettre à Lamennais pp. 26-28. de V. Hugo Lettre (Gentilly) cher cf. 7.e«?'e~ à /M /?f//t6'e< p.254. V. Hugo en bateau V. venir Lettre de V. Hugo & Adète Fou(Gentilly) cher: cf Z.e«?'e~ à /a/KïMcee, pp. 229-231. Cette lettre doit être du dimanche 19 mai au lieu du 12 comme la lettre trouve qu'on pp. et datée dix heures du soir. 232-234, le 27 mai quitte GentiHy pour cf. Ze«rM la /tMMcec, p. 237. cf. a Adète Foupp. 235-236. Le </<uoMp?y!pK< <~M)<.s' la /'c.s'<e, ode par M. Victor-Marie maître floHugo, ès-jeux raux (1). T~cMC!~ de /~4e~e'/K<'<? af~' VeMa; ~o?'at<~c, cf. O~e.s' et /'oe'.M'es <ue?'.s'M le pp. 32-55 ~eMOMpM~ 121-129: cf. Of/<< e<j3a/pp. ~</M. pp. 263-269. Lettre d'Adèie nales po/t~'t/M~' Foucher à V. Hugo cf..4~17 mars 1912, e< /!<<K'7'c.s-, de V. Hugo a Rességuier cf. E. BmÉ, F. ~M.~0 nuaM< ~~30, cf. PuAVtRL, p. 338 ~e~cK?'e de 7'aKcc, décembre 1902, pp. 597598. p.254. Lettre d'Adète na/e.s' po~ï</</M~ a V. Hugo Foucher cf..4n17 mars 1912, e< ~'«e/'aù'e. Lettre de V. Hugo (Paris) a Adè!e cf. ~e~res à la /?a:Kc< pp. 237-238. p. Lettre 254. Abe) Nouvelle. Ze.< /ïaMpa!7/e.! </M Fn!!?oa?e. Hugo. Chanson traduite du morhistorique A. H. et à la table Abet Hugo) toque (signé cf. la /~OMa!?-e, t. v, n<'Lxxvn, 30 pp, 269-271, mai 1822 Foucher: juin Page 265, et 1822). Versl2etl3. ode vers a subi 6. Et quelques l'étreint en changements dans ses bras- Le monstre l'une à l'autre oncha.ine ses victimes Ils les traine aux mêmes abîmes. Odes et ~<!«a<<e~. 'Lettre de V. Hugo (Paris) cf. Ze~y'e.s- à la /ta7tce'c, pp. 30 a Adèle 239-240. juin 1822 remplace- Sous et en Et 1828. Les voici en suivant ~W<?'et'M~ de ses bras Foucber l'édition (Jeux Floraux miHe traits amis, par cent nœuds tégitimes. Le monstre enchaîne ses victimes. Jeux Floraux et Odes et Poésies 6h'ue?'~6~. Vers 20. Dans )e~ecMe:7<<es Jeux Floraux, on )isait:e<M<!K~; tigres (corrigé Poésies <e/<'6'). le /<e<;Me:7 des ./eK~' f/o~ax~. on lisait: destin Page 267, vers 3. Dans quel grand Odes et Poésies ~?e?'~e~). Vers 8. On lisait des .M.c Floraux et Odes et Poésies (/<ecMet/ <<t~ey'~e~) Kn a 1828 on mis ~a/M' ce monde stérile. d'argile, -~26- 28 29 V. Jtugo compose tWoMtMC ~eM?'eM.r, puisle trouve dans les et Poésies diOdes qu'on ~o'se.~duSjuin. (1) Cette ne varietur. 26 Lettre de V. Hugo (Paris) à Adèle Foucher cf. Ze«?'~ à la /~Kcee, pp. 238-239. ./M!M Avant 25 dans Odes et (corrigé dans ~M/- ce globe 1822 ./M!/Ï est ordonné à Le duc de Rohan prêtre cf. au 8 juin le récit de l'ordinaNotre-Dame V. Hugo a dû assister a tion par Saint-V:t)ry. l'ordination. ABEL HUGO. /~OHt~HCeS /t!.S<0/</M< duiles de /'e.s'pa//MO/,parA.Hugo.In-~2. B. F.. Paris. Boucher, Paris, Péticier. 4822, n" 2S37. traImp. ~juin ÂBE!. HuGo. /!oMK<Mcp~'oe /t/.s'/o?'/H de 7'py(/e don /<o</?'< j5'a/tM /)o.s'<e?'o de /o.s' Todos en /eM~Ma</e a?!<~«o; recopilado por Abet In-42. Paris. PeHBoucher, Paris, Hugo. Imp. et Baudry. B. F., cier, Rodriguez juin ~822, n°2608. sur les leçons d'Abet et les Entrefilet Hugo aux cf. lectures de V. Hugo Bonnes Lettres 1822. i'~o~e, ~juin A. mais ABKL HuGo. Les /~e~<c/</<s' (signé cet au n° 84, 5 juillet. Abel Hugo revendique t. v. n" 78, cf. la ~OM</?'e, article) pp. 286288. Lettre de V. Hugo a Adèle Foucher cf. « la /<a?tcp'e, /.e«?'~ Le texte de pp. 24~-242 i.) lettre prouve avec Adèle et qu'il est a Paris a non comme on l'a imprimé dans les Gentilly Lettres a la fiancée. lui V. Hugo va voir te duc de Rohan pour de Marieun exemp)aire de l'ouvrage porter sur y</tMe (/e /c<M~Me cf. Joseph Trébuchet a son Lettre Trébuehct du père, d'Adolphe Inédite. 8 juin. d'Adèle Foucher a V. Hugo cf. j4KLettre 24 mars Ma/ex ~o/~tt/MM et /!«<a/y'e.s', ')912, 272. p. Lettre Inédite. Sédition d'Adolphe Il parle du des Odes Lettre de V. Hugo .'). Adè!e Foucher cf. 7.c~'e.s' a la /?<ïMc<e, p. 243. Cette lettre a été certainement écrite de Paris certaines d'après inédites. V. Hugo a dû rentrer avec parties Adèle a Gentilly, le samedi soir, 8 juin. Odes a son père. Trébuchet duc de Rohan et de la et Poésies diverses: cf. et Poésies diverses, par Victor-M. Fo.ï; <M6[6<!< in deserto. Hugo. Epigraphe Paris. tn-8, Guiraudet, ij-~34 p. Imp. Paris, B. n<'27~. F., 8 juin ~822, Péticier(~). ~4y~eH~!ce. deux on la retrouve dans l'édition ne ~sWe~M?', (t) La ~'y'c/Mce contient pages pp. S-6. 24 odes et 3 poésies diverses. Le volume renferme Les voici dans l'ordre où V. Hugo les a placées les transformations a il en '1822, avec fait subir cette époque ou tes changements qu'il leur que l'on dans l'édition de 1828 et par conséquent dans l'édition trouve ne varietur. L Le poète (~a/t.s- les ~euo~M<to?t4', en 1821, mais non encore pp. 3-8, ode composée et Ballades, pp. 39-43). (Odes à Alexandre En 1822, elle était dédiée Soumet et portait outre l'épigraphe d'A. Chénier d'Horace ad ~MOKM: Dictus ob /<oc <eMM'e <?'M, tirée de t'épître <eo/tM. ra~M/f/Me Voici les changements cette ode a subis. que Odes et Ballades, le crime, livide on )isait en )822 p. 40, 23<' vers. Quand Python crime, Python per/Me. 44 et 1S vers On lisait en d822 Page 41, Page Sans briser d'autres destinées. la de chaîne tes jours ~oM/M'e 42, vers 12 Page NexaMp~M~ 42, vers 20 ?'/e?: de ~'NKC/te;' d'autres destinées, la chaîne de tes jours 9 En 1822 l'avenir! a M;t jour mortuaire. 23 et 24, et page 43, vers Page Que n'cs-tu né sur les rivages Des j't&&as et des Cosroës, d'un ciel sans nuages, ~M.'c rayons Prophète 42, vers Sans ~e?' `.' ? Ne)'aeo<t<e/j/«.s')'avenu'. En 1822 Prophète 1 a..so/t /teM)'e dernière. En 1822 loin de nos rivages Que n'es-tu ~M.'c e/MM/M où t'ët/tta Coesroës, ~Ye sous un beau ciel sans nuages, d27 î imprimée une autre Quand le 8 1822 8 9 ./M/ une lettre assez curieuse Saint-Valry publie cf. ~4K?!a~ sur l'ordination du l'"juin de la e< des j4 7' t. vu, livrais. Lxxxvm. Z!«~7'a<M~'e A. de Saint-Valry, 8 juin 1822. pp. 313-317. Lettre raconté, tO de Lamennais à V. Hugo t. n, pp. 141-142. cf. F. Hugo /.e.s-<!7~aK~eKCOMcoM.~c~ome;)o/!<ïque, ?Mo?'a<ee<~«cra!~e. article d'Abel Hugo cf. la ~oM~'e, t. v, n" 79, pp. 314-319,10 juin 1822 Asmodée et et a la table Lucifer signé Abel Hugo. conte traduit de l'esMt6?'M!7/eMxe, //e<o~ë pagnoi.ArtictesignéA.H.:cf.LaFoM6~?'e,t.v. n" 79, pp. 320-323, 10 juin 1822 (a la table Abel Hugo). En 43, vers 16 Mais pour l'aiglon, fils des o?'a</M, Page 43, vers 17 Ce n'est qu'à travers les nuages Page 43, vers 18 Page Qu'il tt. ~t'enef 1822 Mais pour )'aigton fils des nuages. En 1822 Ce n'est En son vol M?'.< le soleil qu'à travers les orages. 1822 Qu'il mo;i<e au palais du soleil Odes et Ballades, ~eK~K'e, pp. 9-18. pp. 45-S1. dans Ode en plaquette, le 25 septembre le CoMMt'M. le 1819, imprimée reproduite Litt., 5 février 1820. Nous retrouvons, en 1822, le texte de la plaquette et du CoHM?'f. sauf « Ave, Litt., )'épigraphe te ~a<M<o!M< (Tacit.) aussi la correction 6'a;s<t?', Mor!<Mt't qui est de 1822. A la même époque appartient faite il l'avant dernier vers (Odes et Ballades, V. a <eMr~ détruits p. 51) remplacé Hugo champs par leur temple en ~eM!<. Toutes les autres sont postérieures à 1822. corrections [H. La Les Odes et Ballades, Kte?'f/M de ~e~MK, pp. 18-28. pp. 52-89. Ode imprimée dans le Recueil des Jeux 5 juin et dans le Conserv. Litt. Floraux, 1819, L'épiest la même cette des Floraux les vers de Guiraud n'ont été Jeux 1828. graphe que placés qu'en toutes les corrections on) été faites en 1822 on les trouvera en se reportant a ce que Presque nous avons dit au 8 juin 1819. Deux ou trois vers sont a noter. cependant sur ces festons Odes et Ballades, ces chaînes insultantes. p. 54, le 3e vers se lisait ainsi Pourquoi C'est en 1822 qu'a été supprimée la 4e strophe.que nous avons donnée au 5 juin 1819. lisait au vers 18. On encore cœMr ~'atrotM et non autre JM~ Charlotte, Page 58, Charlotte, est de mais toutes autres corrections sont les de 1822. 1828, qui religieuses IV. 0<<M et Ballades, ()Mt6e/-oK, pp. 29-38. pp. 61-68. Ode lue aux Bonnes 28 à Toulouse le 28 mars, le février lue & Toulouse Lettres, 1821, envoyée :< mai 1821, imprimée dans le Recueil des Jeux Floraux (cf. 26 mai 1821 pour les corrections). V. Rétablissement de'la statue de /feKW IV, pp. 39 48. Odes et Ballades, pp. 75-80. Ode imprimée dans le Recueil des ./e:M; F/o/'atM;, le 5 juin 1819, puis dans le Conserv. Litt., 6 mai 1820. Odes et Ballades. des vers 18, 21, 22 ont été faites en 1822. Page 76. Les corrections que nous avons indiquées vers En c'est le du CoM~erc. la correction 18. 1822 encore texte est de 1828. Litt. Page 77, est de 1822. Page 78, vers 16. La correction les corrections sont de 1822, sauf le dernier vers où on lisait est grand, Page 79. Toutes qu'il cet airain. sont de 1822, sauf le vers 13 où on lit encore Ecartons tout Page 80. Les corrections présage. VI. La mort du duc <~e Z)er/'t/. Odes et Ballades, pp. 49-59. pp. 81-88. Ode imprimée dans le Co)Me?'u. 4 mars en a Un certain nombre ~t'M., 1820, puis part. tirage corrections sont de 1822. el Odes ~a/<f«/M. 81. Les corrections aux vers 1 et 3 sont de 1822. Page est de 1822. Page 82. Au vers 3, la correction Au vers 13, on lit encore la voix MtM?'MtMraM<f. comme dans le Co?Me?*N. Litt. –128– le le de ~822 jMW 14 Première des représentation a. l'Odéon. V. Hugo de Guiraud, tainement. ~5 yt/acc/~&e'M, cery assiste La ~'0<a!«. Yictor-M. fille Poésie, par cf. la FoMf<?'e, t. v, n° 80, pp. 339-340, Hugo 15 juin cf. Odes et Poésies 1822; diverses au 8 juin. Abel La ~e?'K!~?'e a.s'.s'eMt6/e'e des traduit de l'allemand /aKM-M~. Fragment de Spietzz cf. la Foudre, t. v, n°80, pp. 34315 1822. .A. H. et a la table 346, juin Signé Abel Hugo. Hugo. /te~ Saint-Valry. cf. Annales Wer~e t. vn, livrais. Arts, 15 juin 1822. c/'MK jeune poète de la ~«~'a<M?'c Lxxxtx, pp. M la e~ des 365-368, sont de 4822. Pages 84 et 85. Les corrections au coeur. le texte du Conserv. Litt.: les maux que cause Page 87, vers 13. C'est encore vers 8 et 13. C'est encore le texte du Conserv. Litt. Page 88, VII. La MatMa/tce </M duc de ~oy~e~M~c, Odes et Ballades, pp. 89-95. pp. 61-70. Ode imprimée dans le CoMse/'u. il part. Un seul Litt.. 21 octobre 1820, puis tirage en 1822, au texte de 1820. Dans l'édition ne M/'te<M7', il est iapagc 9,1, vers 12 <;hnnge. isolé a rempiacu leur trône c'&raK/e. corrections faites a cette ode l'ont Toutes les autres rieurement A 1822. mot a été leur trône été posté- VIII. Le &ap<<?we <<M <<MC de /~or</eaM.'K, pp. 71-82. (Mc.f et /)a/<a~<s'. pp. 97-104. Ode imprimée en plaquette, avant le 5 mai 1821, lue aux Bonnes Lettres le 4 mai, !e imprimée 18 août 1821, dans CoM?'oKMe de cyprès pp. 115-122. et de roses, par Robert, Voici les différences existent l'édition de 1822 et Fédition Me M<M'<e<M?'. entre ) qui Odes et Ballades. Ou va-t-on? la nuit perfide dans on lisait en 1822 On marchons-nous? dans Page 98, vers 1 l'ombre vide. Vers 8 Les troupeaux c/tNMeK< les pasteurs: on lisait les troupeaux les pasteurs; /bM< fuir Les <MK&rM sans cercueils. on lisait; les .~)ee<e.s' sans cercueHs sur veillent Page 100, vers 6 son berceau. Voici les deux textes Page 102, les vers 12, 13, 14 ont été changés. 7')'t!e. autel, e/ta?'<&<, lois. t.o;nber sous une épée Les vertus sans honneur, les forfaits impunis Et lui, des vieux o'OMM cherchait l'ombre sublime, 1828 sur Page 102, Page 104, toi versera Et le <t'dMe et la Croix, tomber sous une épée Les vertus sans soM~t'e/t. les forfaits impunis Et lui. des chevaliers cherchait )'ombre sub)uue, et 1880. ')822. vers 17. En 1822 on lisait au lieu de </OM?'</e voyageuse. CoM/)e voyageuse vers 2 Quand surtoi )'huiie austère Quand <'M~Mf ~f/j<KM<K remplace l'huile austère (1822). le /)r~?'e IX. Odes et Ballades, Vision, pp. 83-93. pp. 105-110. Cette ode a été composée avant le 13 mars V. devait la lire ce jour-ta 1821, puisque Hugo lionnes Lettres. Elle a du être imprimée )a Ire fois dans cette édttion de 1822. pour Cette ode était dédiée en 1822, comme d'ailleurs en 1828. a M. le comte de Pons, Gaspard cace qu'on ne retrouve Kg Ma;'te<M~ it y a quelques à signaler. plus dans l'édition changements Odes et Ballades. vers 2 Page lOti, /Me.!eeK~ dans Page 10H, dernier On la nuit vers nu dans En ma en dédi- 1822 /<e<OMt'/te dans la nuit profonde, nuit. Qui mette au ciel la sombre Page 107, vers 8 Et la roue, aux /?amMM bruyantes, Page 107, vers 16 Te voilà lisait aux profonde, 1822 Qui ~MM/e au ciel la sombre nuit, En 1822 Et la roue, aux traces bruyantes, En 1822 Te voilà présence, nu sous ma présence, –129– <7el 1822 ,/M~ 15 Les Odes et /'oesi!'e.s' <~e~e.$ de V. Hugo sont annoncées du de France par la ~a~e~e 15 juin 1822. 17 de V. Hugo de Gentilly a Paris: cf. Voyage /.c~/?' à /<<a?tc<e, 17 juin, p. 244. V. Hugo asssiste, sans a une pièce Adè)e, de théâtre une lettre inédite d'Adèie, (d'après 21 du H s'agit juin, vendredi). probablement dont la première des~/<yce/<a&<;e~, deGuiraud, a eu lieu le 14juin. représentation 19 Page Page 109, vers 2 Un roi bon, Lettre de V. Hugo (Paris) Adèie cf. /.e«?'M à /M lancée, p. 244. Foucher En 1822: une belle 109, vers 14: ~/o?i .<M!< propice Un roi reine. sage, une grande reine. En 1822: ou terrible, C'est moi dont le xoM/~e ;HOi4'!&/e X. Odes et Ballades, ~;<o~.a/My'<e, pp. 93-101. pp. 111-116. Cette ode a. été composée en mars en le 6 avril 1822. 1822, imprimée plaquette Voici les différences entre l'édition de 1822 et l'édition ne cctyte~Mr. qui existent Odes et Ballades. vers 10. Et dans leur gloire Et dans Page H2, t'M~t'e, CH <<Mas~re féconde, remplace et leur t??:??to?tde. gloire M/)M/'e grandeur Vers 13. ~a~Mere, de lois affranchie, De ?:o~OM~' de lois affranchie. remplace vers. Qui livre au méchant. le pervers, Page 113, dernier remplace qui livre au méchant /:erMcr6'. US. Les 6 premiers vers ont été transformés. Page Ses aigles, sous vingt cieux pa?'eMees, qui volaient de ses longues ~M nord. années Guidèrent l'immense appareil Mais là parut l'écueil de sa course hardie. Les peuples un sanglant incendie sommeillaient Fut. i'aurore du grand révei) d828-d880. Vers 8. voulut, /'aM<o?Ke ennemi, remplace Les vers 21, 22 et 23 ont été transformés. Voici Des <)'t!neA' restaurés écoutant la /<!M/a!'e Il brillait de loin comme urz phare, ~o/:<r<t~ &?'a!< l'écueil /'ecMe!7 eowMe OM /iaM<o/:n!e?'. MMp/tare. Voici XI. Cette nos Quand villes. ce bruit les sous vingt cieux ses aigles joarMmee~, Rappelant Le nord de ses longues armées Vit venir )'im)nense appareil Mais là parut l'écueil de sa course hardie. Et le jt)Ao?'e .<aMueMt- d'un grand incendie Fut l'aurore du grand révei) d822. Voulut, les 2 textes Tous éclata leur les 2 textes faible spectre ennemi. ses pas dans son ile e&a;t~a/e<t< nos ntMro:7/e~. Exil~ des champs de batailles Il ~e /< se <Mt'uiMa!< 6<e~ e/ta~/M <OM<e/t</er. </e&a/a<«e.! 1828-1880. Vers 24. Il mourut ce bruit accoM/'M< vers 17 i822. dans nos villes, rempiace )) mourut Quand La ode et la /~M-pe, Odes et Ballades, Lyre pp. i03-m. pp. 251-255. a été composée en avril 1822, du 21 au 24, d'après les Catalogues no 377, et C/ts~'acay, cette édition. Elle a été reproduite dans les ï'M&/e«e~ de imprimée pour la Ire fois dans romantiques 48-2) texte que l'édition de 1822). 1823, pp. (c'est le même En 1822. il n'y a pas de dédicace a Lamartine. On la trouve en d828. Remarquons en passant que la 2e épigraphe aux Actes des a été V. Au lieu de empruntée Apôtres arrangée par Hugo. ~'<cœat< dabat 4e Et eœ/MrMM< loqui t~artM /Mloqui, /~y'OMf -S'/jtr/<M.s- Sanctus e/o</Mt, on lit, ch. 2e, verset Sanctus dabat illis. guis ~rOM< 6't<M~ e/O~Mt Trois corrections seulement ont été faites n) l'édition de 'i822 Odes et Ballades. 16 ton maître, a d'un signe austère 252, vers Dieu, a Page remplace Dieu, ton maitre, d'un bras austère. le monde Son être emplit Page 253, vers 4: Son être emplit remplace l'espace. 255. vers Et 18 frémit de l'éternité Et frémit sous l'éternité. Page remplace XIL Moïse sur le Nil, pp. H3-')20. Odes et Ballades, pp. 257-261. Cette ode composée en février 1820 a été imprimée vers le 5 juin 1820 dans le Recueil des Jeux Floraux. En 1822, V. Hugo n'a fait qu'un en la changement réimprimant. Odes et Ballades, dernier vers Chanter les Monter les p. 260, lyres éternelles remplace lyres. ~30- 1822 20 21 22 ./M/ Abel -Lc.s' .«cc/:a'6<'e. en Hugo. tragédie 5 actes, M. Alexandre Guiraud: cf. la par t. 20 juin FoM~'g, v, n"81, 366-368, pp. 1822, signé A. H. Ze <oMt&eaM e~M ~e?t<~e'eM ZM~'a/j/t: cf. la /OMf<?'e, t. v, n" 8i, p. 369, 20 juin 1822, signé J. A. et à la table Abe) Hugo. à propos Entrentet de la /Vo<«,'e 6'M)' .4M?«* de ~?'e<a</Ke, Trébuchet cf. par Marie-Joseph 21 juin 1822. la ()MO~!eK/te, Cet entreutet est de Victor Hugo ou de l'un de ses frères. Entrefiiet d'A. Hugo Y. Hugo par des à Adèle Deux lettres de V. Hugo (Paris) Foucher cf. Lettres à la fiancée, pp. 245-246. V. Hugo malgré t'en-tête de la lettre écritcette il doit rentrer tous lettre étant, a Paris, mais a les soirs a Gentilly et remettre ses lettres Adèie. sur les 7!o/MaHce.s/t~<o?'«yMC.s' et les Odes e< ~'o6.'<ps </ï'Hf?'s' de cf. la ()Mo<«/~eKMe, 22 juin. XiH. Le Dévouement, Cette ode, composée Ancelot, qui remplace ye?<a: Floraux (cf. le Odes et Ballades. Page 265, vers 6. Au Les vers 12 et 13 ont Le monstre l'une t) les trame Odes et Ballades. pp. 121-129. en décembre 1821, a été lue ie !) avril V. Hugo, puis le 3 niai 1822 aux Jeux 25 mai, pour les corrections). lieu de Et i'étreint <<aK~ ses été refaits. Voici les 2 textes à l'autre ses victimes enchaîne aux menées abtmes bras Sous pp. 263-269. des Bonnes Lettres 1822, à la Société et imprimée dans le Recueil Floraux, hideux on mille traits Le monstre lisait Et, i'étreint amis. par cent nœuds enchaîne ses victimes 1828-1880. Page 267, vers 8 7)MHS ce monde <<e. légitimes, 1822. A'/e't/e remp!acc 6'M?' ce ~<o&e d'argile (1822). A r~ca~MHM des YeMx Floraux, Odes et Ballades, pp. 131-134. pp. 271-272. la date donnée l'édition Me a été au moins en avril 1822, ode, malgré par M<e<M/ composée fut iue il Toulouse le 3 mai. puisqu'elle il l'édition de '1822, M. GusTAVE S)MON(//e;t/aMce de L'édition Me ua/'te~ur est identique //M</o, de la 272 en modifiant un vers. Le manuscrit p. peu le dernier peut-être p. 197), cite la 1'~ strophe modification. Au lieu de Et fait asseoir dans vos il écrit. Et fait asseoir à cette banquets porte vos banquets. XIV. Cette XV. Le Ge'Mte, pp. 13S-I45. Odes et Ballades, pp. 273-279. a 1820 l'édition de 1828. en juillet l'édition Cette ode été composée en juin 1820 d'après d'après a cette date E!)e a été imprimée dans ie Conserv. Zï«. le 5 août 1820. En se reportant Me varietur. t'état de cette ode dans l'édition de 1822. on verra suffisamment, croyons-nous, XVI. La Fille Odes et Ballades, d'Otaïti, pp. 147-1SO. pp. 281-283. dans les Annales de lit At«e/Y(<Mre et des Cette ode a été composée en janvier 1821, imprimée le 7 avril 1821, sans épigraphe Arts, (voir a cette date les autres réimpressions). de 1822, V. Hugo avait mis comme Ë'eoM<e~ /M~eMMe/ï<ï/tee'e Dans l'édition épigraphe qui pleure Ballade de est de est d'Arven. tirée de /)o/07'!<<a d'Alfred délaissée, L'épigraphe Vigny /w.7'ee qu'elle dans l'édition ne uf<We<Mr, il n'y a que des différen1828. L'édition de 1822 est exactement reproduite ces de ponctuation qui ne changent pas le sens sauf pour le 1< vers de la p. 283 (<Me.f et /</a~e.s'). <M veux On lit en 1822 partir aux MOM~, etc. XVII. ~'7/omMte ~M/'eM~, pp. 151-153. cette ode Odes et Ballades, mais composée pp. 285-287. c'est évidemment fut On ne sait à quelle époque juin 1822. un peu de l'édition de 1822 diffère ne t!r<te<M7'. L'édition Sur vers 4. Au lieu de un lit aux pieds de vermeil on lisait Page 286, orne mon lit de vermeil. la p. 287 n'existait la p. 286 et-cornmence qui termine Page 286. La strophe la trouve dans l'édition de 1828. 3. Au iieude: on lisait en vers tes/e~MKM def'Ëurope. Page 287, avant en 1822 pas 1822: le mois La pourpre en 1822, les pp. 157-161. en février 1821, Odes offre et Ballades, pp. 343-345. en 1822 le même texte que –~3~– l'édition maison beautés l'Europe. XVIII. Le Regret, Cette ode, composée de He tw:e<M?'. de 21 1822 ~M<~ 22 .L de Rességuier. Clémence Poésie, Isaure, ode cf. ~4HHa/~ de la ~'«e~~M~'e et des xc. pp. 406-407, 22 juin ~4?'/A', t. vu, livrais. 1822. I! consacre dont quatre vers n V. Hugo, H fait )'ë)oge. 24 d'AHssan de Chazet au ministre de Rapport la maison du Roi. 11 lui envoie les Odes e< ~'o~.s'<He?'~e~ de V. Hugo et demande pour lui une pension cf. (JAmuKL VAmm!«(, ~VoM15 mars 273-274. 1909. pp. ?~/e~e<;M< 25 Entrefiiet très sur les éfogieux Poésies « L'auteur, ~/uc?'.s'M qui « encore atteint sa vingtième année, « pris place parmi les poètes lyriques « célèbres. )) cf.oK?'Mf</ de Paris, 1822. 2<~ Odes et n'a pas a déjà les plus 25 juin Annonces des Odes el Poésies diverses de V. Hugo et des /<oMtMHCM historiques d'Abe) cf. l'Eloile, 26 juin 1822. Hugo XIX. ~)K vallon de CAer~y, pp. 163-169. fut composée en juillet 1821. Les Cette ode même texte. Odes éditions et Ballades, pp. 347-350. de 1822, J828. 1880 donnent A toi, pp. 171-177. Odes et Ballades, pp. 351-354. Ces vers furent a Adèle le 45 décembre 182) leur composition envoyés bre ou décembre 1821. Trois petits changements seulement sont à signater. Odes et Ballades. Voici les deux textes Page 352, les vers 12 et 14 ont été refaits. absolument le XX. Sombre Avec au lieu un rire Page 353, La iumiere du bonheur que j'avais affreux tu le vers 13 a été à jamais ma)heur tant reue. Sombre ~'M< ~eue lui ne me fut Avec au lieu du un rire affreux remonte bonheur donc que ma /o</e te malheur à novem- a cru a M?'M 1828-1880. aussi transformé 1822. La lumière point ravie 1828-1880. à mes yeux ~'a /)f)«t< été ravie )822. XX!. La C/taKt?e-6'oMrM, (Mes et Ballades, pp. 179-185. pp. 355-337. Cette ode fut composée en avril 1822 et imprimée la Ire ibis dans la présente pour édition, puis un mois après dans la /OMo're du 5 juillet 1822. reproduite lisons dans t'édition ne Ma?-?'e<M/' est de 1828. En 1822, on lisait à sa L'épigrupite que nous place la phrase suivante Fille de la nuit fo/e.<M 67-K?Ke<Me, /;OM~MO! ainsi sur Ma tête avec tes ailes MOM'M et froides Edda. Un seul vers a subi un petit changement Odes et Ballades, ~«tre vers, au lieu de on lisait p. 356, au dernier par la ,gloire, ~Hpe~afMla vie. Cette correctiou doit être de 1828. XXH. Le 7VM~< en avril Composée aucune retouche. pp. 185-188. 1822, imprimée Odes pour et Ballades, la Ire fois pp. dans 359-360. la présente édition, cette ode n'a subi XXIII. Le CaMC/tfMar, Odes et Ballades, pp. 189-192. pp. 361-362. Ecrite en avril ici pour <a Ire fois, cette 1822, imprimée ode avait trois épigraphes dont deux ont en 1828 sa tête e'Moy-Me et rit. disparu somnia, Aegri HoRAT, et 7/ soulève CH. NODIER, ~?Kar/-a. V. Hugo a fait deux corrections à l'édition de 1822. On s'était du dernier vers beaucoup moqué de la p. 361 (Odes et Ballades). On lisait en effet: Tant6t d'une eau morte il traîne son corps bleu. )) l'a remptacé celui que nous lisons maintenant yaHM< <<'MMc eau dormante par il lève son front est de 1828). Le 10e vers de la p. 362 a été retouché 6<eM (la correction La nuit d'un pas léger <OMche ton front a été remp)acé La nuit d'un vermei), sur ton front par pas léger court vermeil. 132 1822 ./<«'/< 30 Juin A'e'CM~<i\'ouvene. cf. la /~M~c, Hugo 30 juin <822. C'est RM/rf<t)M juillet Abel t. v, des Entrefilet des jLe«re.'< C/«t/M/)Oï6'M a prode V. Hugo sur .Ro~a/e et pos de l'ode de ses Odes e< Poésies (/<M/s'e.scf. propos t. )x, lettre 74.. Lettres C/taH~e"~<A'e.s', ou juillet, Juin- la table signée n" 83. pp. 415-419, un lointain croquis S. F. sur la notice ~4/tMC </e signé de Trébuchet. à peu près C'est le ~re/H~He, texte article du ./oM?'/ta/ même de que la signature ~Vf<K<e.s' du 5 juillet ~822, portant ou S. F. Cet article est d'Adolphe Trfbuchet S. F. équivaudrait alors a Son des fils Hugo. cf. ~.c«~.sFils ou Ses Fils C/t«?M;)e<iO!s'e~, t. ix, lettre 75. Article ./?«7/<'< Juillet ?i `?? Soumet obtient une pension de 1.000 fr. de plusieurs couron« comme auteur poésies « nées par l'académie et vivement française de toutes parts M (jA~itKL VAU« recommandé i5 mars 1909, 7VoM~e//e /Me, rmEK, p. 274, note. Victor-M. .Poe'.s'/e. ~< C/taMUë-6'OM?' par t. v), n° 84, pp. 18-19, cf. la Foudre. Hugo 1822. (Voir (Me.f ~822. Odes p< el jooe'.s'~ 5 juillet diverses, (/<M?'e~ poésles 5 jutHet 8 juin 1822). Lettre de V. Hugo à sou père cf. Co?' cf. Pi~tHE pondance ~~5-~5.5, 66-167 pp. 35-37. Ce DupAY, V. T/M~/o à vingt ans, pp. dernier la Co?'yMpon<<a?)ee. complète ouvrage XXIV. Le ~a<tH, Odes et Ballades, pp. 193-196. pp. 363-364. fut en avril ode (tans cette édition 1822, cette Composée imprimée mais ne l'a retouchée deux vers ont été transformés. V. Hugo pas depuis vers 1 et 3. 0</(M et Ballades, p. 364, Un soleil Sur aussi beau luire u~on tombeau a. ton désespoir muet Luire et noir a tes yeux Sur mon noir pour des odes se trouvent en pleurs et muet H. le texte diverses avec cette ~'<a<~ 7<«e: aux donné Jeux Du sang pour le reste au ~i juin 1819. En 1828, aussi épigraphe beau tombeau /<ïC!M et 1828. MOH. OMt?t<6;M cf. t. n. pp. 263-270, mais le pp. 199-209; 7/M.f/o )'f/.eo/t<e, dans F. //M.yo )'acoM<e, Le premier commence pp. 264-265. par et voici le dernier /)eMiat?t. MM/'M <OM< OM&/të. Voir pour cette c!t;M~<yMe ?to<a?M<t A'MH< tibi MO/'M, //or~<. Floraux. Voir au 5 juin 1820. U). /jM /)e7'M!e/ cf. Bar<<e.<, pp. 219-232; 7/M.~a /'acoM<e, vers ont été négligés. Ainsi on ne trouve Certains pas 24 vers Ire et le dernier. Tu nous braves comptant sur ta nombreuse Voir un soleil 1823 les Poésies L –~ay~KOK~ d'~scoH. Elégie, 26 vers poète a négligé que l'on trouve Les <<MM~c~oM/'A' OH< /'Mt. ces mots au S juin 1820, poésie fois. ° 1880. A la suite MM~t (Ovide). la 1" des héros morts pour nous. pp. 211-217. V. ))ugo t. i, pp. 271-283. lit p. 280-281 qu'on tu'mcc a réimpritné dont voici le Il. VMt//e< 1822 5 CM eyt/f?' Abel Hugo. ~/M !?t~?'?'o~M<ou'c 3 juillet. t. vt, n" 84, pp. d5-17, cf. la /OM<e, mais le contenu indique qu'il signé Asmodée, est d'Abe) Hugo. a Adèle FouDeux lettres de V. Hugo (Paris) cf. /.e</?'e.s à la ~a~eee, cher pp. 247-250. 5 Deux lettres de V. Hugo à Adèle Foucher: a la fiancée, cf. Lettres pp. 251-252. )t lui donne Lettre de V. Hugo à son père. sur sa position et la des détails intimes fr. que te roi lui a accordée de 1.200 pension n" 200. cf. Catalogues C/~raray, 13 Article du yoM?'/<a/ de A~</t<es, sur Trébudes /.c«r~' C~a?Hsemblable à l'article chet, ')822 et a celui des ~eHOt.s'e~, de juin-juillet d823. AMKM /~?'M'ï'gKMes du 3 avril 9 a V.Hugo: cf. ~/tLettre d'AdèieFoucher 24 mars d9~2, M<!<e~ po<!<i!'f/«~ e< <:Me?'a!'?'< p. X) 272. Ahe) Hugo.M<0!eco?!~M~o?'a!'Me. cf. la /oM<e, t. v~, n" 85, /M:«e< '10jui!!et~822. Entrefilet de V. Hugo t'ot/e, ~2 ~4 sur les é!ogieux et les ~faec/<a6ce.! Odes e< .PoMï'<?.<; de Guiraud cf. ~juit)et1822. a V. Hugo cf. AnFoucher 24 mars 19~2, e< ~<e'7'?'< 272. le recueHd'Me.s'de EntrefHetetogieuxsur V. Hugo a jeune homme d'une si haute espérance )) cf. -/OMrMa/ des Z)e'6a<.s', ~4 jui))et est peut-être de Lamennais. <822. Cet article Lettre 1)i pp. A.Hugo. Lettre d'Adèle Ha/~ po/<Me.sp. ~M!< 25-29, d'Adolphe Trébuchet Nouvel entref)!et ou ptutôt teur des 0</M de V. Hugo d822. /)<'<)~.f, ~6juH)et à son père. de !'édiannonce cf.OMy'Ha< des une de favorable pension Rapport pour fr. demandée ~200 par Hugo et Soumet, rapla demandée ne reçut pas port qui signature cf. GABttiKL VA)jTH)!<n.VoM!e7~M<d5 mars ~909, p. 274. 20 20 au 25 de sur les Artictc Saint-Valry /oeA'!e.s' </tue/e~ de M~ V.-M. Hugo Ma/e~ de ~H Z.!«e'?'~<M?'6 et des Arts, livrais. xcfv, pp. 65-70. Lettre du généra! a Hugo nant une lettre à M. Foucher main d'Adèle. L'existence de par !a 6'o?'?'e.~oKf/aMce prouvée un 67-168. On en trouve pp. P. de )a réponse dans fragment t. x, pp. d45-146. 23 Lettre d'Eugène Hugo chet cf. ~4~/)fK</)!'ce. 30 La/'OM< (t. v., fait )'é!oge de juillet) artic!e sur la /~o~<e, à son Odes et cf. ~4?tt. vti), conteVictor, demandant la cette lettre est ~~5-3.5, avec fragment /7M</o ?'a<oM<e, oncle Trëbu- no 89, Victor 30 ~25-~29, pp. et d'Abet Hugo, Le Béqui!)ard. signé –~34– Lettre Lettres de V. Hugo à la Fiancée, à Adète Foucher pp. 253-254. cf. 18 20 Lettre de V. Hugo à J. de Rességuier cf. cf. ~a-~3o, 29-30; C'oy~~o7~aKce pp. E. BMÉ, V. Hugo avant 1830, pp. 253-254; cf. A. PRAVIEL, ~/e?'CM7'e de /?'aHce, décembre 1902, pp. 599-600. Lettre Lettres de V. Hugo à Adèle à la fiancée, p. 255. de V. Hugo à son père 1815-1835, juoHa~Mce pp. 167-168 DUFAY, F. Hugo à vingt ans, pp. le texte. compléter Lettre cf. 23 Co~'e~cf. PiERRE 26 Foucher cf. 38-40, pour 1822 ~o~< 40 Lettre d'Adète HM/e6'~o<<<MeA' pp. 272-273. a V.Hugo: Foucher cf.JMet <!«e?'aM'e.s', 24 mars 4942, Lettre de V. Hugo a Adè!e Foucher /.e~'es M /M /tMce'e, p. 256. Lettre de V. Hugo a Adète Foucher Ze~'M « <M /?a?tce< pp. 257-238. Lettre de V. Hugo à Adète Foucher ~.e/e.sM la /<aHce'e, pp. 259-260. La V~OMf/rp contient une ode de E. Michctet, << 7 ./<««e< à ~«~<<. Deux Z<OM/'Ke'e vers de ()«~f.)t de V. Hugo servent d'épigraphe. 43 46 273. a V. Hugo: cf. ~t/t Lettre d'Adète Foucher 24 mars 4942, ?~<<e.! po<<<z</Me.s' et <ï«e'~(M?' p. 273. décerne La société d'émulation de Cambrai a Abel Hugo son ode sur <« un prix pour 6a<Mt~P ~ë Z)e7KÏ!'t! cf. le ./OK7'/M< </ë /'«?'<, cf. le ~/oH!<eM?' <7M<Nc?'.s'e/, 27 août 26 août cf. )'~o<<e, 29 ao&t. 20 a V. Hugo: cf..i/tLettre d'Adete Foucher et <ï</e'?'M<c.s', 24 mars 1912, ?tH<e.s- ;jo/<~ueA' donné quelques Hgnes p. 273. Ou a simplement de la tettre. 2) son brevet V. Hugo va au ministère pour cf. /.e«?'e.!<~ /H /t'aKc~e, p. 263. La 2" partie de 2~ août. ta lettre est du mercredi 22 le ')' numéro est du Le /~e</(dont août annonce les Oc/e.s- et ~'06'&'<&s' <~z~822) dans un entrefilet très uer~'eA' de V. Hugo, étogieux. 24 25 5 cf. 7 cf. 8 Lettre a V. Hugo cf.< /tLettre d'Adète Foucher 24 mars 4942, Ma~e~ y.'o/ï<t</Me~e</<«e'?'f/<e.s', p. cf. de V. Hugo à son père cf. Co?'?'e.s'469-470 et pour ~o/t(/a/t<;e~~5-35, pp. Pitsmu! DuFAY, t~. /7M~/OM m/t~/attx, comp)éter pp. 41-42. Lettre de V. Hugo à Adèie Foucher cf. Ae«7'M « /a /tf/Kce'e, pp. 262-263. 43 de V. Hugo à Adè)e Lettre Foucher cf. ~eM?*e.s' à la /t<7Kce'e, pp. 263-264. Les deux lettres sont sur le même papier. Lettre de V. Hugo à Adèie Foucher cf. 7.e~7'< à la /<fmee'e. La 2" partie pp. 265-266. de ta lettre, à partir c'est-à-dire du 2" atinéa, est. du mercredi 24 août. 44 Lettre jLe~re.s' Foucher cf. 22 de V. Hugo a Adè)e Foucher <a ~/?ice'c, pp. 268-269. cf. 2:< à Adèie de V. Hugo Foucher cf. à la /taKce'e, pp. 270-272. Adèle Foucher Deux lettres de V. Hugo cf. Ze«?'e&- à /M /ta?tce'e, p. 273 et pp. 274-275. 2<i Deux lettres de V. Hugo cf. ~ë~y-~ à /H /taMM'e. p. Deux lettres de V. Hugo H la /tH/~<'e, cf. 7.e«/'e.s' 279-280. 28 Lettre Ze<~e.s' de V. Hugo à Adè)e à la /ta?t<e'e, p. 267. 20 cf.~MLettre d'Adète Foucher a V. Hugo: e< /!«<'?'HM'c.s', 24 mars 19~2, MM/es joo<ï<;</M< n'en citent et y p. 273. Elles qu'une phrase allusions. font de nombreuses Ch. Légion M. Nodier est d'Honneur nommé chevalier de cf. )'~7oï~, 25 août. la 27 auteur d'un recueil de Hugo, nous avons avec étoges, poésies parte nous fassions connaître désire que que c'est le son M. Abel Hugo, frère, qui a remporté de poésie de la société de Cambrai cf. prix Journal de .Pa?'M, 27 août. 28 coLe 7<e'e!7 un article de deux publie lonnes sur les (Mes et /oe'sïe.s' </<t)<'?'.s'e.s' de V. Hugo de t'expresénergie grandes pensées, de poésie, sion, éctat goût presque toujours admirable richesse noblesse de sûr, d'images, sentiments. Victor dont V. Hugo obtient une pension de i.OOO fr. cf. GABmHL VAUTniEH, /VoM~<<e ~euM~, 45 mars 4909, p. 275. cf. AnLettre d'Adète Foucher à V. Hugo 24 mars 4942, KH~.< /)o/!<z'~Mex et //</era!?'e~, seulement sont citées. p. 273. Deux lignes Lettre ~«?'e~ a Adè)e Foucher 276 et pp. 277-278. a Adè)e Foucher et pp. pp. 278-279 cf. Co~'Mà son père: de V. Hugo 470-4 7d et pour /S/5-3a, pp. pOK~nce DurAY. V. //M~o ta mn.~ ans, comptéterP~uŒ la 6'oc!f'<e cf. BHLTO[<e'mo!?'e6'6~e pp. 44-46; 34 <~e.s' 6'c/eM(.'M et /,e«?'e.s' ~où'-e<-6'Ae~ mars 4902, pp. 30-34. Lettre d3S 27i 2') 34 ~0!<< 1822 :t! d'Adèfe Foucher a V. Hugo; cf..4)tLettre 24 mars /ta~ //«cra~'e. <9t2, po/<~</Me.s'c< a huit seulement p. 273. On a donné sept lignes de cette )ettrc. 6~<e~e 1 Article les Odes X., sur signé deux </n;er.s'eA' par M. Victor Hugo cf. t'~ot/e, 1822. ~septembre cf. Cor/v'.<de V. Hugo a Lamennais /&75-~<§3o, poyt</«Hce pp. 30-31. a Adèie Foucher Deux lettres de V. Hugo cf. 7.e~ à ~< /?a?iee'c. p. 281 et pp. 282283. et ~'oe'A' colonnes Lettre « l'auteur, Article encore ado)escent., éiogieux « est au premier et des penseurs rang des poètes « contemporains observations Quelques trop de choses dans un vers, trop de pensées dans une obscurité. froideur allécontrainte. strophe. dans les odes poHtiques. gorique 2 Lettre d'Adè)e ?<«/e<s'/)o<t<!f/Ke.s' p.274. 9 Foucher /</<p'7'a!?'e. sur la ~/<a: Entrefilet cf. la ()Mo<«//eM?!c, Hugo: 1 Lettre V. 3 de V. Hugo a .L de Rességuier cf. 35-36 1815-1835, Co?'re~)OH</OMC<' p~ (la date d823 est fausse le contenu luid'après cf. E. F. avant .N<'), Bnu. //M~o métne) cf. A. ~/ey'cM~ de PitAvmL, 338-339 pp. décembre France, 1902, pp. 600-602. 6 Lettre de V. Hugo a Adèle Foucher /f< Lettres fiancée, pp. 285-286. cf. 7 de M. Foucher M. cf. 9 cf. AnHugo 24 mars 1912, Trébuchet: cf. ~~p<'Mo!ec. de Lettre /f< ~.e~'M est nommé bibliothécaire de SaintSoumet ~c.s' ~&a<.9, 2 septembre Cloud cf.OM?'M<x/ de 7-*fM'!6', 13 septembre; cf. cf.oM?'Ma< 12 septembre 1822. y)/oK!<<;Mr KM!'He?~< 13H 21 ambassadeur de France a, a Paris il s'en va au congrès des Z)e&o' 13 sepJoM?'na/ Lettre d'Adèie ?tn<ps /)o~<t</MM cf. AnFoucher à V. Hugo p< <<e?'<ï!'?'e~, 24 mars 1912. L'mc'Hac/t </e.s' Z)aMe.! pour 1823 contient trois odes de V. Hugo La <0<a!<t le C'e'H!e. ode a M. le vicomte de (pp. 37-39), Chateaubriand ~/0!e SM?' le 7V!7 (pp. 47-52), B. F., 21 septembre, n°4272. (pp. 113-H 7) du de Lauriston, ministre, marquis a V. Hugo une annonçant que le roi lui donne fr. en même de 1.000 temps qu'a pension ./VoMUC//e Dorion cf. GAB~tEL \AUTH!E)!, TP~MP, 15 mars 1909, p. 275. 28 cf. AnAbel Hugo. La &a/<tt7/c f/e Z)e?<a!M /<H<e~ de la 7,<<<M)'c et </e.s' j4?'<s, t. V)H. A. Hugo. 28 septivrais.civ; pp. 383-389. 1822. tembre 5 13 45. de V. Hugo à son père: cf. Cor?'Mcf.P)):nnE ~5-~35, poKo'aKce pp. 173-175; F. /~Myo à vingt DUFAY, ans, pp. 49-52, qui la complète 6'or~~jooH~Mce. 18fi de V. Hugo à Adolphe Co?-?'M/<oM~Mee ~~5-35, 23 Lettre 274. Lettre a Adète Foucher Hugo /!a;?tc<M, pp. 286-287. cf. Corresde V. Hugo à son père; cf. PiMutE /jo?!~aMce~5-7~35, pp. 172-d73 47-48. JI ans, DupAY, V. T/M~o à vingt pp. rectifie une faute de la Co?~'M/)OMa!c!ncc cf. de la Société des Sciences BELTON, dlénzoires 31 mars 1902. et Lettres du Zoù'-e<-C/<er. p. 25 V. Lettre Chateaubriand, Londres, arrive de Vérone: cf. tembre. p. de Lettre </e /)f7:a!!7td'A. 9 septembre 1822. 2 V. Hugo a Adolphe Trébuchet: cf. C'M'e~)OM(/a~tce 31-32; 1815-1835, pp. 26 mai 1886. cf. 7'ya?'o, a Adèle Lettre de V. Hugo Foucher cf. à la /ta/ice'e, Lettres pp- 284-285. Lettre Lettre d'Adèle Foucher a V. Hugo cf. ~MMM/e.! ~o<!<t~Me.s- (?< ~<«e?'a!?'<'6', 24 mars 1912, au commencement de la p. 274, page. ti-7 l Lettre Trëbuchet pp. 31-32. cf. Lettre de V. Hugo a son oncle, le colonel Septemb. Louis Hugo, aTuHe: cf. PfE~HM DnFAY, F. ~My~) f/ vingt en cite deux ans, pp. 57-58.H fragdu colonel il ments dans une lettre son Hugo frère le général, du 9 octobre 1822. <3S– 1822 6'e/)/e?M6?'e 29 tout un rez-de-chaussée Méty-Janin publie de huit colonnes sur les Odes et Poésies de V. Hugo. H fait quelques ~e.scritiques et sur la nouvelle sur la préface école. Mais on rendra à de hautes ju tice à l'auteur appelé destinées cf. 0MO<«/<eKMe, 29 seppoétiques tembre 1822. 29 de 0 Mahony Article dans la /<'oMf/y'<?, t. vt, n" 401, p. 383, ainsi daté 29 xey~eMt6?'e Paris, ~S~(l). Septemb. Les~p«rMC/<a?M~e;to: (t.fx,)ettre8~, contiennent un entrefilet sur !:) pp. 265-266) notice Elles .4Mned'e~'e<a~nede'rrébuchet. annoncent comme la 2~ édition. prochaine Puis vient immédiatement a 266 après (pp. sur les Odes et /06's<e.s' 272) un long article </«;e~c~ de V. Hugo, article bien fait et très A. V. serait-il d'A)fred de étogieux, signé Vigny? Annonces des Odes et Poe'~ïes diverses article aimable de I'~tpo</OH, t. t, livrais. vx, pp. 174-178. p. 120 et livrais. et tv, Oc~o~'e 5 Abel ou le Po:Kï?'< C~'ue/t nouHugo. velle cf. la /OM</?'e, 5 octobre 1822, t. n. n" 402, pp. 18-d9, signé A. Paris se rendre Chateaubriand quitte pour au Congrès de Vérone cf.oM?'a/ de /~?' 7 octobre ~822. Lettre pour ~M~ de V. Hugo lui annoncer a Lamennais, son mariage n° 220. C/:a?'aM?/, Cette lettre avec celle du Correspondance fait icr <toub)e septembre~ ~5-~M~, la Chênaie, cf. Catalo- d emploi, semble-t-il, trouve dans ]a qu'on V. Hugo pp. 30-3t. de 0 Mahony mérite mention. La Foudre est censée le (1) L'article plus qu'une simple composer n" du 29 septembre '1842. A. de Beauchamp célèbre dans un tableau du l'anniversaire historique 29 septembre date de la naissance du duc de Bordeaux. Le comte 0 rend compte de la 1820, Mahony du 27 septembre séance de l'Académie 1842. De nombreux immortels sont morts; de libébeaucoup raux la vie; ont sont perdu François Jouy, Aignan~NépomuceneLemercicr, natif de Neufchnteau les victimes. De vrais les ont Lamartine. V. Hugo Lamennais, Nodier, royalistes remplacés parmi n'a pas encore été jugé digne d'entrer dans l'illustre assemblée s'est trompé (0 Mahony puisqu'il y On )naugure la statue entra en 1841). d'abord du comte de Muistre l'Académie de n'avoir que regrette au nombre de ses membres. Bona)d fait son é!oge. Le cardina) de Bausset découvre la pas compté « Le secrétaire a statue. ensuite donné lecture de la couronnée. Le perpétue! pièce sujet indiqué le duc de Bordeaux lui-même était La considérée cowMe A'OMrce des 7'e~.</tOM « par Mgr <Mtt'oMe « f/?'aM</e.s' ~e~SMS et des <y?'f<M~M ac<t'o?M. M. Victor s'est montré un si beau Hugo digne de tratter a et dans cette les brillantes son talent nous avait fait couronné, circonstance, « sujet espérances que il y a 18 ans. La pièce est terminée « concevoir du Prince nous montre par un éloge délicat qu'il à. la gloire « conduit la et étant la lui-même vivante de la vérité dans par religion, preuve développée tout Les murmures les ont il flatteurs l'auteur est allé recevoir l'ouvrage. plus accompagné quand si bien méritée et un public a une couronne MrCMMeMt français lui a prouvé qu'il savait apprécier « cette production d'une Académie vraiment digne française, « On a lu ensuite des stances de M. de Lamartine intitulée La Mtë/'e <MM..0er<M. Tous les yeux « se sont vers la tribune de lit mère de notre mais elle s'était retirée en entendant portés Henri, « l'annonce de son éloge. « La séa<!ce a été terminée d'un d'un de M. le vicomte par la lecture politique fragment ouvrage « de Chateaubriand & Mgr le duc de Bordeaux. dédié t) est intitulé La charte selon la M:OK<!rcA!<. « Si l'on peut en juger par un morceau détaché et a été trouvé sera le cheftrop court, l'ouvrage qui « d'œuvre de ce célèbre il a été couvert d applaudissements. » écrivain -~37– <8 Oc~-e 1822 fi Lettre raconté, de Lamennais à V. Hugo t. )t. pp. 146-147. cf. V. /~K~o 12 de V. Hugo et d'Adète Foucher. Mariage son beau-père, rue V. Hugo va habiter chez n" 39. du Cherche-Midi, 15 de sur le y'?-a/ Artic!e-entrefHet de Trébuchet. et sur ~MMe </<?jS?'p<ay?te, 15 octobre. cf. le Réveil, signé.' 19 Le ?'r~t.s<f, n" 4689. tobre, 20 J. de Rességuier tobre et va pour cf. Correspondance 23 à ~/<ïcc/t<7.&<?'M. de Guiraud, neuf Il n'y avait eu d'abord que H y en eut cette fois deux représentations. octocf.OM?'7<a< de Paris, seulement 23,25 27 octobre. cf. )e Journal des Débats, bre 24 par A. de Vigny. B. F., Vigny Pas 19 oc- arrive a Paris vers )e 20 ocvoir V. Hugo qui est absent ~~5-~<S35, p. 368. des Reprise )'0déon. de (?) à Gimel, directeur t'0déon.t)consenta)a reprise des/<!cc/:a6e'~(?) du c'est le désir de Lauriston. marquis puisque d'auH abandonne la distribution des billets cf. Cataloteur à MM. de Rigny et A. Hugo n<'s 163 et 224. <<es CAap'~a'y, Lettre de A. Soumet non de Vigny, cf. le Réveil, signé. 25 oc- 28 non sur le Trapiste, Entrefilet signé 28 octobre 1822. cf. l'Etoile, Vigny de 29 du ~OM<<PM?' sur les fortes d'Alfred de et Poésies de Vigny et les Odes diverses, V. Hugo (1) cf. ~7o?n<gMr M?t:up?'se/, 29 octobre, p. 1520, signé X. 25 Article On dirait bre1822. sur les .Po<~M, style V. Hugo n'a pas mennais attendu le 1er octobre à Lapour parler sa de son comme le prouve mariage, avec son père: cf. Coy/'e~jOMf/ance correspondance du 13 septembre 1822. ;M5-M, p. 172, lettre 1er il dut écrire la Le octobre, pour indiquer lui répondit date exacte et Lamennais par )a letdans ?'atre du 6 octobre qu'on trouve //K~o t. 146-147. conté, u, p)<. D autre du 1er septembre semble part, la lettre n'a pas été adressée faussement datée ou du moins 1er Lamennais à la Chênaie, le quilta septembre. aller à vers ta mi-août et la Chênaie, Paris, pour qu'a la mi-septembre Co~M/~OKn'y rentra (cf. et ~aKce avec le baron de t~o«M, j'p. i07-i08 V. Hugo, le Lettres a Benoit ~y, p. 153). 1er septembre, ne pouvait la présence de ignorer Lamennais à Paris. Lettre Lettres Lettre V. Hugo à de à /H /t<ïnccc, pp. Adèle Foucher cf. 288-289. de V. à Guiraud cf. ~/e7aH~c.< Hugo e~<<<s/o~'e de h'«e'?'a~M?'c 7'e/ï'yïeK~e publiés à propos du Jubilé de Mgr de Cabrières. Paris, t. 194. m, p. Picard, in-8, 1899, 4 cf. E. Bn:K. V. Hugo a Samt-Vatry: Miré cite deux V. T~M~o aH~ 1830, p. 273. lettre et la date ainsi « la de cette lignes » veille de son mariage. H a son de V. Hugo cf. Correspère cf. PrunRR 7~9-35, /M/«/aMC~ pp. 176-177 it V. 7/M~o M vingt 63-65. DuFAY, a/s', pp. erreurs de lecture cf. RKLTON, rectifie quelques des Sciences et Letjyg'MtOïy'p.s' de la Société 31 mars <?'~ du /C/«'?', 1902, pp. 49-SO. 19 Lettre de V. cf. Lettre Lettres à la a Hugo ~aMcc'e, pp. Adèle Foucher 290-291. de Lettre Article V. Hugo Co~'e~o~f/aHce Lettre cf. de a A). Pinaud ~5-~3o, (Toulouse) pp. :~8-369. de la part des des ennuis les poètes nouveaux commençait par parler que souffrent (1) L'auteur « H sur deux Ils nous paret des indifférents. faisait ensuite un bon paragraphe les critiques poètes. double nous ne nous c donneront de n'avoir couronne triomphe peut-être qu'une même pour leur « pardonnerions sur un front ces deux talents ont pas de l'arrêter plus fongtemps que sur f'autre ils « une même le cœur: tous deux sont doués de force et de grâce ont tous deux initié la source, « poésie au secret des plus intimes émotions. La moindre serait une grande préférence injustice « et cependant doubler nos en les variant. Si tout est rien n'est entr'eux, pour plaisirs pareil égal » ni le système de composition, ni la facture des vers, ni le coloris et les mouvements du slyle L'auteur faisait une citation de ~'y/M~Aa de Vigny, de ses modèles Théocrite, parfait Virgile, « ii continuait de V. La même la même nouveauté de conA. Chénier. par l'éioge originalité, Hugo « ception un de M. Laissant a nos est des plus grands charmes des ouvrages Victor poètes Hugo. iyri« ques, leurs savant désordre et tout ses devanciers, leurs invocations leur exclamations. pompeuses, « le cortège usé de leur mythologie n'a adopté le rythme et les formes de l'ode que on dirait qu'il « comme un beau moule où se précipitent sans confusion les brûlants d'un cœur jeune et put', soupirs « et les MtM/M <MKe M. de l'ode <~Me c~7'f7!eMHe. Victor est le créateur <M/wa<t'o?M Hugo c pathétique « et pensée. » Suivait une citation de A toi. terminait en parlant des pompeux des critiques acerbes adressait aux Le critique éioges, qu'on la mais deux poètes. Ils devaient s'en glorifier et en profiter. Ils peuvent contre versification pécher non contre la poésie. « La haute ne descend à cette aMa; Mo~ elle est critique pas ~Merre /)e<t<c « surtout l'art de distinguer i'énorme distance le &MM du beau, sait que les qui sépare parce qu'elle « ouvrages vivent » et l'éclat des beautés et non l'absence des défauts. plaisent par par –~38– 1 24 1822 7Vo~e?H~-e 7 de ~7!MMe.!<re, Première représentation au Théâtre Pour la oide Soumet, français. )e Réveil. du tique de cette pièce on peut lire 7 novembre )e ~o?(~e'n' ~7/npe?'sc/, du 8 nodu 8 novembre )e./OM?'Ma/</e/a?'s', vembre du 9 novembre le le JoM?'H< ~e.! Débats, du 9 novembre le J/oK~t'Mr ~/M!Réveil, la Ca~/e de France, ue?'M/, du 9 novembre du 40 nodu 9 novembre la ~MO<<eKKC, de Méty-Janin). vembre (article 9 de Première représentation Il faut lire pour met, à l'Odéon. du 9 et du 10 novembre Réveil, la ()MO<!<eMne, 10 novembre de Méty-Janin, (article qui lâche et ne garde et de lieu, temps le ./OM?'MM/ de Paris, d'action) novembre le Journal (attaques) du 11 novembre; le Réveil, du 17 21 de Soula critique le )'.&'<o</<?, du du 11 et du 14 les unités de l'unité que du 10 et du H des Débats, 25 novembre. sur les Odes et Article de Z. (Hoffman) cf.o~?'Ha/ des Poésies diverses de V. Hugo 17 novembre article favorable. 1822, Débats, L'auteur de t'ode~Kapa?'<e, par le tonguement il signale à V. Hugo deux écuei)s l'obscurité et l'exagération romantique. Entrefilet la 1" édition des des Débats annoncent qui que diverses est Odes et Poésies cf.OK?'7tf</ des Débats, presque épuisée 21 novembre 1822. 38 ~/o!'sc ~M!' le Nil est imprimé t)ac/! des ~/M~M c/<n?'eHne~, B. F., 30 novembre pp. 182-187. La fille d'Otaïti MMe/< des J/M~e.s'. est imprimée dans t'ma- Paris, 1822, Lefuel, n"5~62. dans t'~4 /ma- cf. Corresde V. Hugo à son père cf. PfERH! 5-~35, pondance pp. 177-178 V. Hugo à vingt DupAY, ans, qui cite cette du même jour, et en donne une autre lettre, d'Adèle à son beau-père (pp. 66-67). 49 Lettre de V. Hugo an ~/oM~eMr Universel; 26 novembre cf. Moniteur Universel, 1822. la date Dans le journal on trouve p. 1628. 20 no20 septembre, mais c'est évidemment cf. E.BmÉ, vembre faut lire F.K~o qu'il F. l'aavant cf. 279-282 ~~30, Hugo pp. t. t, pp. 431-436. conté, 20 Lettre Les ~/M.!e.? c/tre'<eKne.!OM choix de Poésies con?'e/ï'~«'M.!e~ et wo~'a~.s(Paris, Masson) ~M)' le Nil, pp. 182-187. tiennent J/o~g Z'a/Mta/Mc/: dédié <ïM.x </e?KOMe//e&' (Paris, la contient CKHa~~HKe, Eymery) pp. 1-3. B. F., 30 novembre 1822, n" 5257. /)ece~!6?'e 5 à V. Hugo à propos Lettre de M. Langlois à /Me~ de Ca.s'<?'o, lue et reçue de la pièce <t l'unanimité au PanoraMa </?'ftM~t~Me, cf. Odes et Ballades, interdite par la censure édition de l'Imprimerie Nationale, p. 552. 7)!ï'<f<<tOM.s' /Me7ï<yM~, 9" tinë, édition,etc. Le 7'7'a~M~, poème de Vigny, 2<=édition, etc. par A. de Lamar- Alfred par le comte (Premier article) (1): a été négligé (1) Voici le dernier qui celle de M. de Lamartine est peut-être « De toutes dans notre les renommées époque, qui s'élèvent Encore les neuf éditions du « la seule qui ait atteint du premier bond toute sa hauteur. incroyables ait des ~/e<<t<a<tOK~ Il semble « ~o/t<f<M'f les neuf éditions ont-elles rougi que ce siècle parodié un absurde et de bon à et ait voulu « d'avoir une fois expier par engouement applaudi propos, qu'il 139 7 1822 Dece~-c Avant le 10 V. Hugo compose Louis 40 V. Hugo lit Bonnes Lettres. 42 La 0Mo<ï~!e/Mte Louis XVII avec publie « On a pleuré une note très aux é)ogieuse « beaux vers de cette muse de vingt ans. « qu'on écoute ces nobles chants et qu'on dise « si les muses libérales atteindre a ce peuvent « degré d é)évation et de sentiment » cf. la H décembre. Quotidienne, 43 Louis XVII 7 décembre cf. le Réveil, samedi, 1822, n~29, et Philos. M~e'M, p. 2: cf. Z<«. pp.i55-)56. avec deux qui reproduisent petits changements sans importance, les trois premiers paragra«Ceux ne savent admirer. phes qui pas « leurs et la nature teur » pesanteurs assignent. XVII. à la Société des Lamartine. ~/<</ï/a<!OH.s'~oe'<<yM~,parA.de 9e édition, etc. Le Trapiste, poème par M. le comte Alfred de Vigny, 2~ édition, etc. et dernier (Second cf. le /<e'ue! tO décemmardi, article) (t): bre n° ~32, 2 et 3 cf. Litt. < d822, pp. 7-<o.s-. ~55 « Quand Mi6'/e~, pp. d53, 't54, « une langue. user les bords du chapeau « de Piron. » Le J/f)K!<'M?' ~/t!'Me?~'e/ Louis ~YF7/: pubtie cf. ~/o/t<<<'M?' t//<s~, décembre p. 4695,4 4822. « « « « « « « '< « « <' < « < « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « a « « la maiadresse d'avoir reconnu et salué un vrai ton, talent. Les belles élégies de M. de Lamartine ont obtenu tout le succès qu'eiies ont mérité, et mérité tout ]e succès ont obtenu. Fëheitonsqu'elles en ce jeune et nous et lui. de ses le charme de sa poésie, poète, pour pour L'originalité couleurs, la mé!anco)ie dans l'ensemble de ses ouvrages, à Fauteur des ~/efh~profonde empreinte assignent <tOM~ une des places les plus élevées nos Hâtons-nous de dire (car l'espace nous presse parmi poètes. et nous serons de remettre à un second n article ce nous reste dire des deux obligé nouvelles qui éditions hâtons-nous de dire que M. le comte Alfred de Vigny n'est pas moins que nous annonçons), de son talent, la richesse de son imagination, la fraîcheur de sa pensée, appeié, par la. flexibilité et la vérité de sa à briller au le la éminent de fittérature. Dans un proiagruce poésie, rang plus chain numéro nous citerons vers </M 7'7'cp!~<e et f/f.< ~/e<<a<i'o?M «M~f/~ô'. Le critique quelques est heureux il n'a à » quand pas critiquer, (d) Voici la fin de l'article qui a été supprimée « Cette histoire de tant de prétendus auteurs est-loin d'être celle des deux jeunes poètes qui font ie sujet de cet article. Tous deux originaux, ils marchent tous deux à la gloire par des chemins mais d'un sûr. Notre intention n'est pas d'établir un paraiiëie différons, entre deux pas également talens n'ont de commun leur Kous aurions désiré entrer dans défaits qui que supériorité. quelques sur les rapports de ia poésie avec la versification, art bien plus difnciie et bien moins vulgaire qu'on ne pense mais nous nous est temps d'en venir aux citations notre apercevons qu'il que premier article a promises, et que nous offrons au )ectcur comme un dédommagement de notre prose. « Le recueil de M. de Lamartine est enrichi de deux odes, d'une et d'une Cette deréiégie épftre. nière wef~'<<'t<tOM est la plus belle des quatre des deux odes, celle sur la naissance </M </M(; <<e était et fauteur a refaite nous connue, semble ia piusremarquabfe. ~oy</MMM;qui déjà Elle que abonde en beautés mâles et neuves. Nous croyons devoir seulement il M. de Lamarfaire observer fine qu'il lui arrive de mêler les couleurs et mythologiques, de parler de quelquefois religieuses de Betbféem i'étoi)e et du feu de Vesta, de Dieu et des dieux, défaut faut laisser aux étrange qu'il et harmonieuses odes de ce a si et longues, paies lyrique qu'on singulièrement appelé grand auquel M. de Lamartine est tellement dans un genre où pourtant ne brille sa toute supérieur pas supériorite. « Un des morceaux les plus achevés de tout ce volume est sans contredit le passage de Ja nouvelle méditation intitulée où l'auteur raconte l'une de ces journées de rêverie, ~t)7oM/,)/t?'e, qui « (Et) s'il est au sommet ne se peuvent raconter de ia verte colline. » (V. H. cite 24 vers). « H est impossible de jeter dans la poésie de charme, de grâce et de rêverie. M. de Vigny, plus vers lequel de si beaux vers sont la transition )a plus naturelle, nous semble avoir égatement tiré le de la des tableau plus grand parti description objets physiques, lorsqu'il peint Hmposa'nt que )a nature du autour ses soldats dans les solitudes du Montdéploie Trapiste haranguant intrépides Serrât: La lune alors un nuage. » (10 vers cités). plus belle écartait « Nous croyons inutile de faire au lecteur )'éc)at de ce coloris et la largeur de ce pinremarquer ceau. Entre toutes les beautés dont le 7'<'e/jM<e étincèie nous choisirons encore un passage qui, a tous ses autres un singulier d'à propos « Soit que la main mérites, mérite de Dieu ie couvre joint où se retire. vers ()0 cités). « Ces vers, sont au nombre des plus beaux faits M. de Vigny et tous les poètes, qui qu'aient étaient dans la première édition. « Ajoutons, en terminant )e compte a rendre de ces deux nouvelles que nous avions éditions, que les corrections les plus heureuses et les plus sages leur donnent un nouveau Les vrais poètes, prix. tels que MM. de Vigny et de Lamartine, sont aussi sévères tels peureux-mêmes que les faux poètes, MM. tels et tels )e sont autrui. » que pour ~40 iO Z~eeM~-e 1822 13 la 2e édipour 24 mai 1823. V. Hugo traite avec Persan tion des Odes cf. le ./)/?'où', Abel Hugo a lu aux Bonnes Lettres un discours sur la littérature et a trouvé espagnole MM. Ancelot, l'occasion de venger Guiraud et des injures radicales dont ils ont été Soumet cf. le Réveil, 19 décembre. l'objet 14 La Quotidienne annonce pour le 20 décembre la 2~ édition et les des Odes de V. Hugo Tablettes cf. la Quotidienne, ?wna?t~up.s' 14 décembre. Les Annales (t. tx, livrais. ZOM~~F7/. de la Zï«e'?'a<M?'e cxv, pp. e< des 354-356), ~4?'< publient ~7 il 25 exemplaires des odes Le Roi souscrit cf. la de V. Hugo cf. I'.Ë'<o//<?, 47 décembre 18 décembre cf. le 7?e'ue/ 18 ()M~ï6~pmHe, décembre. 18 V. Hugo //<!M f/t'/aMf/g Avant le 20 V. Hugo Nouvelles 18 V. Hugo avec Persan, signe un traité pour des et la réimpression Odes Ballades. L'édition de 1'liiiprimerie Nationate des Odes et Balce traité, ~a<<c6' donne pp. S52-5S3. 20 Article non signé. vend écrit 0</f.s'. 1.000 fr. cf. le J/n'ou', ./eAouK/t du très curieux Nous le résumons la et 1~ édition de 24 mai 1823. la journal (2). T~'c/Ncc des le Réveil, Lettre de /MM</<!HC6' Hugo 1815-1835, de V. 22 Figaro, Lettre cf. Louis bre, V. pp. a M. Pinaud pp. à son Hugo août 1888. ode XVII, 3-4 (1). cf. cf. Co'y'e. 369-370. oncle le Réveil, Trebuchet 11 décem- 11 l'ode de la note suivante. Le journal accompagne «'M. Victor a termine la. soirée (Bonnes Hugo « Lettres) la lecture ode sur d'une Louis XVII. 1. par « Le jeune poète tour à tour énergique, sensible « et gracieux a excité de véritables transports. « Chacun de ses vers était accuei))i par une salve « d'applaudissements. L'ode sur ~OM!'s AT/7 sera « insérée dans la 2e édition des Poésies de M. Victor « Hugo qui va paraître incessamment mais nous « croyons servir de nos lecteurs en fa l'impatience « donnant toute entière des aujourd'hui » cf. la 12 décembre: cf. le ~/OM?<eMr </Mt()Mu<<~<'M?te, les 13 cf. ~4?Mt6t<e.s' </e/e[/«cdécembre ~<xf/, ?'f/<M?-e et des Arts, 14 décembre cf. )a 2'i édition des Odes, cf. tes Odes et ~</a<<e6' 1823 pp. 697: de V. Hugo à M. Tézenas. H lui recom)nande tibraire de Blois, non breLebarbier, de la facultéde continuer veté, qui a été privé son commerce cf. Ca~a/o~Me~ OA~rauay, n° 282. Lettre Lettre ~o~MHce DupAY, texte. de V. V. Hugo n son père 178-179 ~S~5-5, pp. à ans, T/M~o vingt pp. cf. Co~'Mcf. Pnsn'tK 71-72. Même nombre de corrections cette ode. A part les fautes (!) V. Hugo a fait un certain d'impression, du Réveil, les textes du des~MMa~de/a~:«e/'a<Myee< de )a())tO<<dteMMe, ~/oM:<eM7'Htt;e~e<, sont identiques. de~~i?'<~ Voici les principales nous les indiquons en suivant le texte de l'édition Me uay'te<Mr. corrections, Odes et Ballades. « son oei) doux. M Page 69, vers 8: Au lieu de « son ceii &<e;t », on lisait 3: « « « » a remplace vers Vers 7'eK<e « entre ». 7 Page 70, M:a/'<y?'e a remp)acé Mar<< H. « ,')aMf<;M7'? » remptacé « 6'et~eM/' ». « yoM Dieu « t~ts, Vers 19 Vers 20: » a remplacé D~eM'). « CM le MeM?'<e d'/tor?'eM/' avide » a remplacé « ozi le c/'MMe de M<K</ avide ». Page 7i, vers 3 Vers 5 « lente » a remplacé vie » Vers 1S << ~o/t~Me vie » a remp)acé pas de mère « je n'avais « je n'avais ». Vers 24 « Et des peuples » a remplacé «.Et les peuples ». pas ma mère « » « 7: bénis tes a ». revers bénis ces revers Vers 't4: Le texte de l'édiPage 73, vers remplacé tion Me M/'te<M/' est celui du Réveil et des ~)?tMa/e~ mais la (~MO~teMMe avait écrit 7'~M ~e~MeM?' et le ~/OH!<eM?' e?t ses. ~OM 6'e<~?tCM?' CM ses. Ce sont évidemment des fautes d'impression. est-il de V. Hugo ? Nous n'osons mais il est certainement de i'un de ses (2) Cet. article l'affirmer, intimes ou de son frère Abel. En tous l'a fut-il amis en cas, Victor approuvé, peut-être l'inspirateur. L'auteur « des cet essaim de se sont de levés depuis triomphes multiplies parle jeunes poètes qui « peu avec leurs belles lyres et leurs chastes » t) veut « associer A ces jeunes si inspirations. gloires « récentes » H « autres renommées futures et prochaines veut des avanquelques peut-être. profiter « luges de la position rendre service et aux talents. au et aux » et lettres. pour pubHc. jeunes )i parle d'abord de Jules ~e/e&we, de deux tragédies et les ~/e~;tauteur, dit-on, C~/<eHUte~<' tt a un souvenir catM. excellent des Deux Puis vient Z)!M'(Mtd de )''7'MMf<<Mt~MO?t, gardé ~t~eM~e~. couronné aux Jeux floraux une 7)<;<M(;/te?KfM< ti cite ou 7/o~Mo?t-/)MraMd, ode Le de la 7'e?'e. pour il son tour des éloges d'une autre ode F~dt'eM. reçoit que)ques strophes ~atH<-)~t/ pour son une citation, «tiiaut féticiter de pareils vers, le poète et 7/</Mt<te à ~a ~te/'</e dont on fait longue « l'académie les couronne Ensuite vient de dont on le Co/Mqui Po?M, poë'ue Ga.s'~nyd rappelle n va insérer « tant et Discrète. une intitu)ée dans le recueil va être incessamment pièce qui )'/?t/t;t! .–141– 11 <66 ~t 1822 Décembre 28 viennent de ?'omsH<<yM~ Persan cf. la 0MO<!<c7tMe, paraître 28 décembre cf. l'Eloile, 29 décembre cf. le 28 et 30 décembre. Réveil, 29 Le /~o.?'?'cï</e, de cf. )e /~C! paraître 31 2e édition des Odes cf. le Réveil, aujourd'hui 30 décembre. l'Etoile, En décembre Les La Tablettes chez Jules Lefèvre, 29 décembre. vient de V. Hugo 31 décembre de paraît cf. V. Hugo a dû composer V~ouaA et la /edes 0</M. ti écrit aussi face de la 2" édition A G. l'édition de y (A Gentilly) d'après Nationale des Odes et Ballades, l'Imprimerie p. Décembre 1822 553. Deux articles de é)ogieùx livrais, xx, p. 257 et livrais. Victor Hugo. (t. l'Apollon, xxt, p. 297) sur L'~4MMMa:e de Lesur /t!s~<~Me, (p. 853), dit qu'on a remarqué année « un recueil cette « d'Odes e< </e Poésies de M.-V. Hugo, diverses, « d'un style chaud, ». vigoureux ne contiennent « publié sous le titre piquant de ?'a&<e«e~roMaMf!yMM.)) romantiques » (Les Tablettes de /s gloire mais autres et Le Désir bien deux Cynégire pas ce morceau militaire). « poète Sarde La série des jeunes de Vignet pas ~F!Me< qui ne tardera poètes continue par a un accessit à l'Académie et ~P'eAaM eu « sans doute à se révéler aux amis des lettres, qui par « et riche de pensées « est éclatante et de hardiesse et le style dont la poésie de hauteur plus encore & « de la vie ouvratravaille dans le secret <: d'images, d'importants privée par y! E. D~cAo'Mt~s. qui <[ ges. » « Nous terminons cette liste de noms, de l'article et inattendue La finale est curieuse dignement Ce jeune sont promis à de belles gloires, a dont ~'M</ëMe /?M~o. poète plusieurs par le nom de vers se et pourtant tous les amis des beaux « cherche l'oubli comme s'il désespérait de son temps de Condé, étincelantes d'un talent et M. le Prince ses deux odes sur Mgr le duc d'Enghien « rappellent de Nous connaissons ce de M. Eugène écrivain, jeune <: qui n'est cependant pas tout celui Hugo. des en vers et en s'il le au bel avenir veut, littéraire, fragments prose qui prouvent, <( appelé, plus bien rares. d'âme et une de une foule de beautés une neuves, conception originalité « par vigueur cette sur ne nous permette a Nous regrettons mémoire strophe Buonaparte qui étonne que que notre chose de de 10 vers). Il y a dans ces vers quelque « et émeut comme un passage de Tacite (citation du génie. M. Eugène est peut-être « fort et d'abondant en pensées Hugo qui annonce que ce talent lutter avec sa destinée « aurait tort de se condamner au silence, il doit savoir ne peut quand qu'on la sienne H < on la porte en soi comme lui est la gloire. un peu; mais n'était-ce un moyen Cet éloge étonne pour secouer employé par l'amitié pas peut-être avait dans la folie. deux mois sombré et relever Hugo qui depuis l'intelligence d'Eugène –~2– CHAPITRE VI 1823 ./<M!u<< 1823 i Entrefilet 2~ édition 2 du ~/troïr sur l'ode le Ce/ne Article qui est n se moque de dans )'M<Mme~ des ~MMiM. dit Jourdain, Chateaubriand, ~e~o?'<eM/' d'eau dont la vie y est racontée chapitre par chapi2 janvier d823. tre cf le ~?'o:r, 3 sur les séances EntreStet de la QMo~ta~'eMKf et sur l'ode de décembre des Bonnes Lettres de V. Hugo Louis ~F7/. admirable Lettre et. phe 4 Les élogieux des Odes, de M.-J. de la ()Mo</<pMKe de V. Hugo. Trébuchet a son sur la fils Ado)- ~)e?tc~<ce. Recueil orné ~o?HaM<!</Me~. inédits et d'une de quatre portraits vignette, MM. Colin et Boutanger. par lithographies Paris. PerIn-i2. Paris, Imp. de Debusscher, B. F., 4 janvier san et chez Pélicier. 1823, n"22~). Tablettes Jéhovah, 368-369, pp. ode M. cf. Tablettes Victor Hugo; ~OMMM<!</M~, cf. Odes et pp. 335-337. N.-B. V. Hugo n'a fait qu'un petit changeà cette ode. On le trouve ment à la p. 336 des Odes et Ballades, vers 8. On lisait dans les Tablettes Ou sur les bords du monde ?'OMMM<MM an lieu de Ou dans M?t coin du monde, Il n'y avait pas non plus d'épigraphe. Ballades, introuvable la Bibliothèque Nationale (1) On a souvent par)é de ce petit volume presque puisque ici que ce qui peut avoir un rapport avec V. Hugo elle-même ne le possède pas. Nous n'en dirons prochain et ses amis. Ils s'étaient fait dans ce volume une part considérable. Chateaubriand. E. OesAncelot, Mme E. A. Jules Desborde-Valmore, Géraud, Guiraud, Lamartine, Lefèvre, Delphine champs, Gay, A. Ch. L. Th. G. de J.-B. A. de Nodier, Péiicier, Pons, Soumet, Soulié, Lamennais, Saint-Valry, Vigny à l'ouvrage les trois frères une large contribution. Chateaubriand et surtout Hugo avaient apporté tes ~4M/to.<<;A'de /a s'inscrivait déjà publiés dans la Revue pour six morceaux~ fragments ~MttatHe, Littérature et des Arts, l'avoir été ailleurs. il semblait avoir la première après place mais en réalité mais lui appartiennent A. Hugo l'emportait surlui. morceaux autres Quatre sont signés par lui, quatre à son frère Eugène, la 7)MYt:ë/'e aMeM~/K'e des aussi deux qui, on ne sait sont attribués pourquoi, la /oM(~'e de De/t<ïtM cousous son nom dans (15 juin 1822~ et la ~rt<at«e 7''7'f//M:A'M<yM, imprimée ronnée de Cambrai et imprimée dans les ~)KMa/es de la Littérature et des Arts par l'Académie à les a-t-on attribués est-ce une erreur de est-ce l'éditeur, pour (28 septembre -1822). Pourquoi Eugène, faire à atteint la. fotie ? On ne sait Deux morceaux sont par que penser. anonymes plaisir Eugène~ dans la mai aussi l'oeuvre d'Abel Les fiançailles </« Vaivode, Foudre imprimées ')822)~ et le (30 la d821 7 Par dans /oM</re décembre et contre le /);<e< <<!t d'Ochali, Cap< paru (~ janvier 18~2). les Tablettes Roœuvre Victor ~t'ect/Mee, d'Eugène Hugo. est mis au rang des anonymes. plaça dans de ses odes La Zy/'e et <« /~a7'/)e, lIoïse sur /e Nil, ~M fille d'Otaïti et enfin quatre mantiques 143 ~i 1823 4 ./<M~ïe?' Saint-Valry fait &/c«e.< /~OH!a?!<~MM, V. Hugo cf. Annales des Arts, t. x, livrais, 1823. un sur les 7'aarticle contenant de rétoge de la Littérature et cxvm, p. 6, 4 janvier Le /~M'?'<c!'< poème suivi d'autres poésies, M. Jutes Lefèvre. In-8. par Imp. Rignoux, Paris. B. 4 Paris, F., 1823, Amyot. janvier n" 34. 9 10 de V. Hugo à son père d'après Pi~utE V. Hugo à vingt Mais DUFAY, ans, pp. 75-77. cette lettre est du 9 janvier le 4824, comme contenu l'indique. Article du ~?'o:'?', à propos de la religion au théâtre H se moque et en poésie. un peu des Tablettes et du déshabillé Romantiques des )) signale Job comme portraits. sujet encore V. a là vierge. Hugo peut-être puisé son amour cf. le ~ro:r, ~0 janpour Job: vier 1823. Lettre ~5 la ')''s représentation de 7)/M<A:e au Après théâtre de l'Odéon, l'anniversaire de Molière a été célébré par une pièce de vers de Romieu de la Litté1'aetd'AbetHugo.Les~MKa~M ~M?'e et des Arts t'attribuaient à tort à V. Hugo, les autres l'attribuaient soit à M. journaux soit a M. A. Hugo. Hugo XiIi Lettre de Lamennais à V. Hugo <~M;' d'autographes, t. xix, p. 122, Le général vend sa maison Hugo Lazareets'étabtitaD)ois,ruedeFoix,73:ef. PfMHXE DUFAY, ~M~O vingt 79. 22 Article d'une /~owaH<:<y«e. Abel. Article 24 25 Reprise Lettre colonne Rien sur aimable cf. cf. ~47M<ïi867. ans, sur les à son père de Saintpp. de V. Hugo poM~a?tC6'o-3o, Lettre Lettre à M. Finaud p. 371. de V. Hugo à son cf. Figaro, 22 août 1888. oncle cf. 6'o?'?'e.tTrébucbet Odes, par Victor-M. Hugo. Deuxièmeédition, de deux odes nouvelles. In-18. augmentée Paris. rue de l'ArParis, Imp. de Debuscher, n° 22 (Persan) et chez Pélicier. bre-Sec, Ce volume contient 26 odes. Les 2 odes sont les v~ et xxv;<' (Louis ajoutées XVII et Trois sont ~eAouaA). poèmes supprimés les ~'M/ers ~4~co/ Raymond Idylle, 6<ïr</M. La préface de cette nouvelle édition des Odes se trouve dans les Odes et reproduite Ballades, pp. 5-8. Nous indiquons ici la date de la Bibliographie de la France 11 janvier, n° d20) mais (B. F., cette 2~ édition a dû paraître le 31 décembre suivant l'Etoile et le Réveil et même la Quo~!M:ne. 77- Tablettes un mot sur Victor, le ~?'o~ 22 janv. de Clytemnestre. d'A. Trébuchet cf. ~4~- pendice. .Janvier un article sur les TaL'Apollon publie fait l'éloge de Victor <e/<o~aM<!</Mf.s-et et d'Abel cf. l'Apollon, t. m, livrais. Hugo xxn, pp. 46-49,8' V. Hugo compose la ~'e'ce de la édition de //a!K <aM~e. Ve'AoMMA. Cette dernière ode était en même dans la 2e édition des Odes mais comme imprimée temps il semble ont de que les 7'a~eMc.s' des Odes on peut Ao?Ma/t<MM précédé quelques jours l'apparition dire que c'est ici la dre édition de Ye'/tONa/t. L'ami de Hugo, L. Th. Pé)icier, morceaux réimprimaitdeux dans le Coitserv. Litt. Le ~M~a?: t. n. )ivrais. parus et le (Conserv. Litt., xn, mai 1820, pp. 44-45), C!?Me<:ey'e de Luben t. < livrais. (Co)Meru. Litt., Citons x], juillet d820, pp. 234-235, signé *). mémoire deux de Guiraud, ~/<<<a<!0?t M ~M'e pour de Lamartine, le Roi des ~JM~e~ de élégies les DeMa: de J. une étude sur le i.atouche, de Nodier Aveugles Lefèvre, genre romantique (avec trois autres de la Pauvre de fe de Hoffman. fragments~ )'o~~o<, Saint-Valry, fille, Soumet, Classique, )44 8 H 7~M'<e~ 1823 ode par M. Victor Hugo cf. AnJéhovah, nales de la Z.t<<M?'p et des Arts, t. x, livrais. février ~823. cxxfi, pp. 139-~40,/)~ Les Lettres contiennent un C'/taM~eHO~'M des rendu Tablettes 7~ocompte (96e lettre) « elles font comme ~na/t~t~Mps remarquer « une espèce de phénomène qu'à côté du nom « déjà célèbre de M. Victor Hugo, se trouvent « ceux de MM. Abel et Eugène ses frères Hugo, « par le talent » autant que par la naissance. !p A le 4 4 8 Première reml l'e eédition lion dee ~/fm an ~aM ~s~<ï?!~e vient de paraître san cf. le Réveil, 4 février ~823 dont l'entrefilet )'ou', 4 février, est Article savoyardes, du 4 vol. in-12. //SM (<</(ïMf/e, )mp. de NicoParis. Paris. rue de l'Arbrelas-Vaucluse, 10 fr. B. F., 8 février Sec, n" 22. Prix 1823, n° 6~9(1); cf. 2e édition, T/an <<s/aH~e, 2<! édition, 4 volumes in-12. Paris. Imp. Lebe), Lecointe et Durey. Prix 10 fr. B. F.. Paris, 26 juillet 4 vol. cf. 3e édition, 1823, n<- 3137 in-12. libraire. LacheGosselin, Paris, Imp. n" 731 vardière. 1829. B. F., 7 février 1829, cf. 4e édition. Paris. Plassan, Paris, imp. 2 vol. in-8. B. F.. 1~ ltenduel, 1833, juin n°2887. ~<n</e. s 11111e, l Réveil (non signé) de A. Guiraud. sur chez Percf. le ~télogieux. les Elégies La mo?~ du duc de ~e?'?'y, M. Victor Hugo: cf. ~Ma~es de la <M?'c et des .4?'<.f, t. x, livrais. cxxm. ~6C. ode par Littérapp. i6i- & édition rue de l'Arbre-Sec n' 22 Persan, éditeur, (1) La première porte au bas du titre Paris, MDCCCXxut. Elle contient 4 tomes, 1' tome ch. ) & x)t incl. 2e tome 237 pp. ch. xn a viii-316pp., xxiv inc). 3e tome 4" tome <')). xxxvu incl. 347 pp., a la fin. 237, pp., ch. xxv à xxxvt Cette édition des nombreuses ont de l'édition ne t)ar?e<;<?'. comprend épigraphes qui disparu unes sont à noter. ch. i Le avait au une Quelques emprunté qui a disparu. générai Hugo épigraphe « Je ne démêle pas. disait le roi Cornu, it nous faut donc attendre Qui diable ce peut-être Car de ce point jamais rien ne nous est venu. La /<<'uo«e des enfers), (Le général Au ch. x, une épigraphe à Soumet a disparu. empruntée Tu le sais, le cœur d'une mère Est inépuisable en douleurs. Le ch. xu contenait une longue du comte de Maistre, ~'o~f'e.! de ~<e<e?')OM7'y/ sur le épigraphe bourreau autour on fait )e vide. Ce nous V. son a duquel qui prouve que Hugo pour ouvrage largement utilisé les Soirées de ~<e'<e;'6'6oMr. Au ch. xxx, on trouve dans 1 édition ?te far:e<M/' une épide Régnier une de BM.<M'<yM<, les Contes sous /a tente. N'est-ce graphe qui remplace phrase pas de cette faire mettre sa à ses ch. en Au façon original propre prose xxxvt, épigraphe ouvrages. est encore il était Adélaïde de Braninconnu .N<~e&Me, Régnier remplacé par t~/M<yeK.Auch.xL, tôme a pris la place de J. Lefèvre H qui V. Hugo avait six vers de .Pay'MZHa. Au cl), emprunté xuv, a pris la place de Kotzebue. Ch. Nodier Au ch. XLVIII, six vers de /'6t)'tA'~Mt de Lefevre ont encore disAu dernier une épigraphe de Ed. Geraud, « Ainsi Les CM/'apt~ dans les bois, Ballade paru. chap. » tous les forfaits leur salaire a elle aussi. reçurent disparu Bien d'autres auteurs n'ont trouvé de citons en quelques-uns dont les noms nous pas remplaçants sur les lectures de V. Hugo Le Prieur, renseignent Aboutt'Haybb, arabe, SchHler, Lessing, poète de le baron chantde Fafnir Calderon, Edda. Mille et Une Nuits, etc. Lope d'Eckstein, Vega, Goethe, on le se contente au le titre d'un lieu du nom de voit, l'auteur. V. Hugo~ parfois d'indiquer ouvrage avaient trois et quatre Ces ont dû disparaître en Quelques chapitres jusqu'à épigraphes. épigraphes d833 ou 1841, car nous les trouvons dans les trois n'avons éditions premières (nous pu voir celle de -1833). La 2e édition une épigraphe au dessous du titre « Souvent le M~/Me effet naît de causes portait ». contraires Cette édition un de moins la ire la raison bien (Anonyme) compte chapitre par que dans la -t~e on avait là oublié de mettre un xux. Ce devrait être une des inconsimple que chap. V. à de son prote. typographiques que gruités Hugo reprochait l'ignorance stupide 4 tomes 1er tome Elle comprenait xxxv-244 ch. < a x< 2e tome. 285 pp., ch. xn il pp., incl. xxtv incl. 3e tome, 268 pp., ch. xxv à xxxix 4e tome, 248 pp., ch. XL à la fin. incl. Le 1er tome était de deux préfaces, celle de la Ire édition et une seconde précédé beaucoup plus l'on trouvera dans l'édition ne varietur. longue que La 3e édition ressemble à la seconde on retrouve la division en 4 tomes, presque entièrement 145 <9 1823 Février 9 Second article sur les 7'a6/~<<~ Réveil Il parle de la poésie du recueil 7ïoM:HK/Mp~. il et ne cite pas le nom de V. Hugo (article non signe). d2 Annonce des Elégies de Gui~mx/H~M, raud cf. 7oM?'M«~ de Pa/'<.s', )2 février 4823. Annonce des ~e'6H< ')3 février février. du de //<< f/Hf/e: cf. JoM?'a/ ')2 février cf. t'ot/e, ~823; cf. le CoM.s~M«o/t7ie/, 1823; -)5 i3 /.M 7/:ot'< Cette Hugo. des Odes de Trouvé cf. 15 La /OMf/?'<; parlant des ~e'~te~ ~'<ï~o!/a?'</e~ de M. A. Guiraud dit ceci « Les derniers hon« neurs de la société des Bonnes Lettres ont « été accordés, à M. Victor Hugo M je crois, cf. la /OM~?'c, t. vn), n" d28, p. 2(H, d5 février ~823, Rochefort. 7 ~8 2t V. Hugo reçoit cf.~e~<r,24mai~823. Article ~V~~a?! 150 fr. pour de 2 coionnes cf. le /~eï/, Le duel est imprimé des (extrait 24 </« duc </e /~<;y'?'f/, ode, Victor ode est extraite de la 2" édition M. V. Hugo, 3 fr.. Persan et in-~8, le ~'ue~, J3 février ~823. ~<M très éiogieux ~8 février ~'A'/aK~e sur 7/~M -t823. du de Eugène est /)re'e</)ï'ce, Hugo, dans le /~et/ du 21 février 4823 l'ablettes ~OMta/Ke.s-). entrefilet assez sur Long éiogieux ~'7~/a7~e.' cf. la 0Mo<eHKe, 24 février ~a'M 823. Littérature. d'autres poésies, Le suivi ~'<?,<c< poème, Lefèvre, par M. Jules in-8, cf. le 4 fr.50, AmyotetTrouvé (~) /~et/,met'~9 février n° deux credi, 1823, 203, colonnes non signées cf. Litt. et /M7o~. M~/e'e~, pp. « Ceux qui observent 137-159 avec un curieux les divers comme la plaisir changements. scorie desséchée d'une vieille se plaie qui cicatrise. » ie nombre des pages est le même. sont cependant à noter. La préface de la 2e édition Quelques points est ici de la phrase suivante note M édition. )) suffit pa/'<eM<t~eM!eK< ajoutée précédée /a/)/'e'(<e de hre cette note pour voir qu'elle n'est a été particulièrement point de 1829 mais de 1823 et qu'elle à ia 2e et non à ]a 3e édition. ajoutée Nous retrouvons de la dre et de la 2e édition )es épigraphes cependant au ch. vu, l'épigraphe empruntée à Lessing au ch. on a une 2e épigraphe ~xr, « D'où vient cette frayeur disparaît ajouté qui trouble les jours d'une a-t-il une voix dans le sang, une parole dans prospérité coupabie.? Pourquoi y la pierre ». (Chateaubriand, GeKt'e du c/trM~'aKMwe~. et f/tt~OA'. Me/e'M de l'article, (d) Litt. c'est-à-dire la première reproduisent le commencement mais avec quelques colonne, voici. changements graves que il faut signa)er un changement de ponctuation « C~<e opinion, Page ~S8, 5o ligne, aride Ae?'!<aCelle .~e remplace aride, o/):'nto?t /e~Me. héritage ia 8e ligne et avant la 9e il y avait « <~Mt a~eMe la HENRiADE une Page t58, après et les e~o~ee MARTYRS un ?'0/MaH. » au lieu du nom de CorHet~e, V. Hugo avait mis /!actMc. Page 1S8, il la fin du §, )8e ligne, a la 9e on lisait Chateaubriand iS9, au lieu du Dante. Page ligne, à la i'7e « la ?'OMh~e rec'M/era. » on lisait Page <59, ligne « L'opinion déplorable que nous avons signalée dans cet article reculera. » Le Réveil avait mis ia note suivante au bas de )a page Nous insérons cet article sans partager toutes les opinions de notre collaborateur sur la théorie nouvelle établir des progrès de qu'il prétend la littérature de notre Les de M. Jules il accorde des si époque. poésies éclaLefèvre, auquel éloges ont été jusqu'à tants, de ou de présent notre collabol'objet louanges exagérées critiques excessives rateur une juste ii a préféré s'abandonner à son admiration et n'a pouvait garder mesure voulu les nous sommes loin de lui en faire un mais remarquer beautés, l'auteur du que Parricide reproche, annonce avoir besoin de ces ménagements son livre, trop de talent à ia fois les élopour qui justifie et les a est un des bizarres et des plus remarquables ges critiques qu'il reçus, recueils de poésie, plus été publiés le commencement de cette qui aient année. depuis 146 )9 1823 /e!«; 25 Février de deux colonnes cf. le Réveil, (2" article) de V. Hugo, Cacus, t. ~rM:o?'!e<!Ùt, Lycée 1823. 108, février Article sur Han ~Vs~K~e, 25 février 1823. est imprimé dans le livrais. 11, pp. 106- V. Hugo obtient une nouvelle 2.000 fr. cf. GAB!t)EL VAUTHtKK, Revue, 15 mars i909, p. 275 note. de pension ~OMU6</e J~<n'A Mars V. Hugo va habiter rue de Vaugirard, n°90. 3 Le ~oM7'Kf<< de Paris annonce 7/</t! f/'7s<a?~/e. « Nous parlerons de ce roman qui, « par sa bizarrerie, doit piquer la curiosité » cf.oM?'M<~ de Paris, 3 mars 1823. 7 de V. Hugo /y<!M f/an~e de critique deux B. L. cf. VoM~Kf~ colonnes, signée 7 mars 1823. Cet article, de Paris, dur dans certains est au fond très endroits, juste et, il V. Hugo ses défauts, il ne tout en signalant méconnaît pas ses quatités. 10 Abel Hugo. cf. )e Réveil, La FeM~MMc'e 't0 mars -)823. de V. Hugo :t son frère Lettres et .1 Eugène son père, à Blois cf. ~o?'?'MpoH~aKce ~5cf. PtERKKDUFAY, F.~M~O 1835, pp..180-182 <t vingt ans, pp. 80-83. de la Madone: la partie de l'article qui a été négligée dont ici un peu tardivement ne doutons nous la première annonçons pas que le poète soit appelé a l'une des plus belles destinées littéraires notre qui illustreront pubtication~ne époque. Nous ne doutons écrivains dont le talent renconpas également qu'il ne soit un de ceux de nos jeunes le plus de contradicteurs. Pour arriver à la gloire qui lui est réservée, trera M. Jules Lefèvre a beauà vaincre dans le public et en tui-même. Son imagination forte et hardie est souvent coup d'obstac)es dans rude et téméraire ses conceptions son expression, neuve et pittoresque, est fréquemment bizarre, dans ses couteurs, franches dans les sont indécises l'ensemble. détails, Quelpresque toujours parfois il le il le torture. réunit les les Son vers, quelquefois style, qualités plus différentes, quefois néglige qui en même les défauts les plus contraires, tantôt si simple tantôt trivial, présente temps qu'it devient en est de traits de du on si figuré A.côté Mi!ton ou trouve des locutions Dante, qu'il sauvage. dignes la de Dorât ou de Marivaux de la et, de mélange singulier grandeur mignardise, de la force et de M. t'afféterie. On pourrait le talent de Jules Lcfèvrc, tel qu'it apparaît dans ce remarquable comparer à un jeune chêne de a le recueil sève et de dont on orné inculte et vigoureux verdeur, plein feuillage a tel genre de quelques roses artificielles. On ne saurait dire également s'il est plutôt propre qu'à tel on trouve dans son les autre mêlées livre et toutes ces poésies lyriques, dramatiques, élégiaques muses ont envoyé a M. Lefèvre de belles inspirations. Nous appliquerions volontiers a ce poète ce que Mad. de Staël dit de Goëthe, ?'eMeMt<e à la Ma<M?'e qui ~/w/Mt< /oM< et </e <OM<. Qu'il se garde qu'il bien de voir ici dans cette appréciation réuécbie de son talent autre chose que l'expression d'une haute nous ne non lui conseils dont il n'a et. sincère donner des car l' estime, prétendons plus pas besoin pas H porte nous sommes encore sur son talent. en tui le feu persuadés qu'il en sait bien plus que nous du au en la vivifiant. Loin de nous d'oublier le respect ce noble talent, sacré qui épure l'imagination don de t'fhuequiétëvet'homme au dessus de l'homme. Des imperfections n'effacent passagères pas des beautés et nous voudrions voir les imiter ces ancienssectateurs de immortelles, critiques Zoroastre, il se levail. dans les nuages, n'en adoraient le soleil. qui, même quand pas moins sa belle couronne attende se décourager, se développer Que M. Lefèvre donc, sans qu'it laisse son talent et fort dans la veille et la méditation, les hommes tels que lui sont. maîtres de l'aveoriginal de la médiocrité. nir, ce juge inexorable Dans un 2< article nous justifierons ce que nous avons dit des poèmes par des citations singulièrement remarquables de M. Jules Lefèvre. Voici Nous 147 5 1823 /)/a~. 12 consacre deux colonnes dans la à Han ~Ys/aHcfe. H y a critiques 0!<o<ï'en?:e H affirme, et louanges. sans rire, que ce roman a eu « un débit authentique et légitime de 12.000 E. B<MÉ. F. exemplaires » Hugo avant en cite une partie, /~30, pp. 295-296. 17i 200 fr. pour //aK<<ïM~e: V. Hugo reçoit 24 mai 1823. cf. Le ~?-o:?-, 19 et 21 Ch. Nodier Abel Hugo. 21 mars 1823. El cf. Viejo le Réveil, Lettre DUFAY, 19 à son frère Abel à t'!M~< MM. pp. de V. Hugo à son père V. Hugo ans, à vingt pp. cf. PiERRE 83-85. <55 et 19 Lettre d'Eugène Hugo PiKR!Œ DUFAY. V. Hugo 87. cf. 86- 22 Entrefilet du Réveil sur Han ~&<H«~. On le traduit à Londres, Vienne et Berlin. On en a tiré trois mélodrames la Porte Saintpour et la Gaieté cf. le Réveil, Martin, i'Ambigu 22 mars 1823. Lettre de V. Hugo à Charles Nodier à prode ce dernier sur Han d'Ispos de l'article lande la Quotidienne du 42 mars) cf. (dans n'* 131. Catalogues CAayauay, ~3 Le l'auteur des Trappiste, poème, par ~*o~?t~ et M!o~c?'HM, etc. B. b\, a?!<ï'~MM n" 1270, 22 mars 1823. L'Etoile l'annonçait dès le 20 mars. Le 25 mars la Foudre en un compte-rendu donne par Emile de Pluyette. 27-28 Venise ou le Conseil des cf. le Réveil, 27 et 28 mars 28 fait un long article, ni classique, Më)y-Janin ni romantique, sur les ya&/c«M~o??!aK<Mex: cf. la Quotidienne, 28 mars 1823. 31 J. de Rességuier de M. Poitepublie i'étoge le 12 février 1821. B. vin-Peitavi, prononcé 1823, no 1271. F., 31 mars Mars ~/aKCM Eugène Hugo. cf. Le ~ce'e~4~'mo?':ca!M, mars 4823. Dix, par 1823. A. Hugo à T'a/M~Me t. i, )iv. )! p. 172, Lettre d'Adète cf. PtKRRM Hugo pp. 87-89. Avril Avrit ~4c/~M:eMtde, t. Armoricain, 1823. par V. Hugo liv. )v, pp. cf. Le 258-261, Lycée avril d'un extrait inédit à ~coK&/f/.c, voyage Guérande et ses environs Trébupar Adolphe chet cf. Le Lycée liv. iv, ~4?'?KO?'!ca!'M, t. avril 1823. pp. 255-2S7, t~ 3 Ode à V. 7/M~o, par Jules Dehesmes d'Avicf. Ze/e/«!M~eMOMes, t, x)i, lettre gnon, 103, p. 420, i"avriH823. Article sur~MHe deïrébucbet, <~e~ye<ayKe, de du l'article 5 juillet dans 1822, le copie yoM?'Ka~ de Nantes et de /H Z.o:?'e-7K/'er<eM?'6 avec la même signature cf. les ZM?tM parit. u, liv. xxn, 3 avril .9!'e?tKes, pp. 3<2-3t4, méchante 4823, revue, petite irréligieuse, et anti-monarchique philosophique. ~48 et de Victor Hugo V. DUFAY, Hugo au général à 20 ans, MarsAvril 1823 Avril 10 Lettre d'A.Trébuchet a son père: cf. Ap- ~6Kd'!Ce. 121-~ a l'Odéon du CoM!<e Première représentation yM/ïeMdeGuiraud:cf.)c./OM?'?:a~</e/~?'s' 12 avril 1823. I! revient sur cette pièce le 13, le 14, le 24 avril. 13 Ar)ic)es n'a 13-199 · 19 29 de t'~<o:esur moitié réussi. le CoMf/e./M/tcM qui qu'à Articles sur le CoM)/e VM/teM. de t'jE'c/aï?' sur le rôle de la génération Long début poés'ë)ève cf. La Foudre et ~c/oï?', tique qui ~3~i9avnH8M. Entrefilet de l'Eclair celui du qui rappelle du « La Réveil 22 mars censure drama« tiquevient, de défendre aux théâtres dit-on, « du boulevard la représentation de plusieurs « mélodrames tirés du fameux roman de y/an « <aM</e » cf. L'Eclair et la FoM(/?'c, 19 avril i823. Le /<&?'e a été composé Repas le manuscrit Gentilly. d'après édition de l'Imprimerie ~M/<a~e~, p. Avril Avril-Mai 498. V. Hugo compose de 7/an ~'7.an~e. le 39 avril, à cf. Odes et Nationale, la Préface de ia2~ édition Article intitulé Du côté gauche, du côté et du ceM/re droit de la 7!e'/)M6/~Me des cf. 7'a6<e«<s' lettres, 6''M:He?~~«e~ signé X. livrais. « MM. Hugo, beauxxxm, pp. 18-28. « coup plus et sur inégaux (que Lamartine) « tout moins séduisants, ont obtenu néanmoins « de la muse lyrique des beautés d'un ordre « très un vrai talent. » élevé et qui signalent ~<ï< i 3 La duchesse visite l'Académie d'Angouiême M. Pinaud fait l'éloge des Jeux floraux. des de )'cadémie et entre autres de V. Hugo poètes la naissance célébrait précédente qui l'année du duc de Bordeaux cf. ~H~a/e~ de la 7~<<<?'a<M?'e et des Arts, t. xt, livrais, cxxxvi, ~0 mai 1823. 11 annonce la Un journal f/s'~H~e d'après la lettre de //<ïM ~s'~a«cfe teurs 7)/0!r. 2~ édition de Han du 17 mai des édiau du rédacteur ~77 aux Lettre des éditeurs de 7/aM ~67anf/e 47 mai rédacteurs du y)/:?'o!'r cf. Le ~Mo'où', cf. E. BmË., V. 7/M~o avant 1830, pp. 2962~7. 22 Entrefilet du ~/u'0t?'. ]) n'a la pas reçu lettre de V. Hugo, dans le 7)?'MjoeaM parue 6/a/fc. H l'aurait insérée avec cf. Le plaisir 22 mai 1823. J7:?-~t/ Lettre de V. Hugo (Gentilly) du Miroir cf. Le D?'<)eaM cf. E. BihH. F. ~M~oau<M<~&30, Le 7)!/t?'o<r l'a reçue seulement 149 rédacteurs 6~aMc, 21 mai pp. 297-298. le 226u 23mai. aux ~9 ~823 2:! Lettre de Persan aux rédacteurs </M ~yo:?' cf. Zc ~?'o!?'. 24 mai cf. E. B<RÉ. F. ~«</o f<ca7t< ~~0, pp. 298-299. 27 Lettre Mai-Juin ~/)eH<ee. V. Hugo de M. Foucher M. Trébuchet de V. Hugo à son père cf. Corres~/a 1835, cf. ~OM</aMce 182-~83 pp. PtEHBE V. //M~O à vingt DutAt, ans, pp. 92-94. Lettre cf. est à GentiHy. Lettre de V. Hugo aux cf. Le ~0!?', 26 mai avant ~30, p. 300. 24 rédacteurs du ~zro:')' cf. E. B)RÉ, F. Hugo ./M!M Juin Article de Saint-Prosper sur les V. Hugo cf. Lettres C/t<!?HpeHO! lettre 109, pp. 13-20. Odes de t. xm, Ii Abel Hugo et Romieu font jouer à f'Odéon Un «-~7'opo.s- ~M?' ~c~'?'e e< y/to?M< C'oy~M//e cf. yoM?'M«/ de Paris, cf. 6, 7, 12, 16 juin; /OM</?-e, 10 juin. 8 Lettre de Lamartine a V. Hugo, datée de Saint-Point cf. Revue de Paris. par Mâcon Z<ïM«ï/'<<Me et V. //M~o, Lettres tMe'<~ï'<<'s, par M. G. Simon, 13 avril 1904, pp. R71-672. I:< 2) de V. Hugo Co~on~aMee Lettre cf. (Gentilly), /<~5-5, à M. Finaud p. 372. 9 La Fille de V. Hugo, est impri<0-?'aK!, mée par le CoK/'?'!e7'jL<«M'a!?'e, n° 7, pp. 105106, 13 juin 1823. L. Thiessé un article sur //«?: a! publie lande. C'est une fine moquerie contre l'auteur de /~tM (<x/aM</e; c'est une excelanonyme lente critique cf. ~ercMre du ~'<M<?, t. ), livrais, cf. E. Bnu: xi, pp. S13-528 avant .1830, /yM~o pp. 293-294. a propos 21-35 Lettre de Saint-Vatry //an (/A'/f/M</e. 24 Article sur i'~4-7~'o~o.9 de Xonneu étogieux et A. Hugo le 6 juin à (Monnières), joué l'Odéon cf. Le 7)/!?'o<?'. 24 juin. C'est le dernier numéro 1. du journa). 2'i a Saint-Vah'y de 'i'hiessé Réponse de //CM o!s'f/e cf. E. B)RM. f<~MK< 1830, pp. 294-295. Juin Trébuchet. 6'<e<!M;E du Marie-Joseph de Nantes et de 6'/«!<eM?/&taM< 7~0M//f<y. cf. Lycée /t?'?Ko?'/caï'M. t. t, livrais. v). pp. 378-383. Juini 823. V. Hugo V. Hugo à propos a Thiessé )'~H!e. compose écrit son article sur de 0Me/t<tH /)M?':oa?' Waller de à propos F. Hugo Lettre Scott de V.Hugo à son père: cf. Cor?'MTMMa~Mce cf. P. ~~5-35, pp. 184-186; V. Hugo DUFAY, à M!~< <!7M, pp. 96-98. M. Dufay cite à )a suite une lettre d'Adèle au général, p. H9. 27 Lettre de V. Hugo datée de Genti))y: cf. 30 à son oncle Le ~<!?'o,22août Trébuchet, 1888. ./?«7/<-< r .Juillet S Fondation 0</c à de ta.M.!e/'?v<Mp~<.s'c. )'t6'/o?' //Kf/o qui a concouru M. Durand-Vrandau)mon:ef. prix par CMet<</e~eM.'t;/J!'o~MM.'c,pp.ix-xj.R.F.,5 n°2788. juiHet.~823, Lettre pour de V.Hugo;) son cf. Co?'?'e.<père: ;~)M~?<cc cf. ~o-35, J 87-~88 pp. PjEtt!tE Dub'AY, F. //M~O à vingt ans, pp. ')00~Ot. le Ile5 150 <<'r 1823 Juillet 21 C«~e«ë de France annonce l'apparition des 3e et 4e volumes de )'s'aï .<!<?' /'<Md!/y'ecf. G'a~<<; de France, reMce, de Lamennais 21 juillet 1823. 23 Lettre de Lamennais <eM?' d'autographes, 27 du général Lettre ehet cf. ~en</tcp. 29 La il V. Hugo cf. ~M!a~876, p. 99. juin-juillet Hugo (Blois), a A. Trébu- 7/aM La annonce la ~yMA'e /a/t0MO<!fh'e?!Ke de France G'a~e~e donne le somp<!t.s'c. La maire du premier numéro et cite t'articte de V. Hugo sans donner son nom. (Le premier numéro donc vers le 27 ou 28 juillet). parut Article de plus d'une colonne On est très élogieux /?'aM{:a!'&e. cf. L'Etoile, 31 juillet champs sur pour 1823. la J~M.s'e E. Des- Article sur /<m de la 7~</tdo?-e d'7.s7a/;d<?. et beaucoup de critiques louanges Quelques 31 juillet cf. La /a?tdo?-e, 1823. En juillet Fin juillet2 août V. Hugo Ballades, /'?'«K~<s'e Lamennais. de V. Hugo à son père cf. Co?'rMcf.PiEn~E /)o/t</MMce~~5-~M5, pp. 188-190: à vingt V. Hugo i)UFAY, ans, pp. 102-104. Lettre l'ode La Zt&ey'/e (Odes et compose et l'article de la ~V«.s'e pp. 147-153) sur l'Essai sur <Mdt/yc?'e/tce, de imp. B.F., f/s/Hn~e, Paris. Lebe), 26juiHetl823, 2~ édition, 4 vol. in-12, Lecointe et Durey. Paris, n" 3137. N. B. Voir au 8 février édition. pos de la première Lettre ~oMt/aKce OuFAY, 't823 les notes de V. Hugo a son père :~5-~3o, pp. 190-192 « ans, Hugo vingt pp. ~4 2t; pro- cf. Correscf. Pinnm! 105-107. 2i) Littéraire. Z)M?'M?a?'<< Fin 0MeH<t Critique <)M/co.M<tï.!a/MCoM?'</eZoM~ par Sir juiiktWatter traduit de l'Anglais, etc. Scott, 2aont (1) cf. La ~VM.s'e /?'aMp«Me, 1.1, livrais. i, pp. 2945 (n" de juillet, mais à B. F., 2 août, n" 3269), cf. et Phil. mêlées, signé Victor-M. Hugo t. t, pp. 245-257. numéro de la 7UM.s-e /'?'aKp«tA'<; Le premier contient un /?'a~weM< deyea?u:<; d'~4?'c, de la ~6MMf 7)/<<a</e, de Saint-Valry; Soumet; de Guiraud; un article sur les ~/eï//e/'a'/c, V. Hugo a dû tra7)7<BM?' de E. Deschamps. vailler avec ses amis a t'~uMM<-7~o~o.s'. d'être (1) Voici ie~ changements qui méritent signalés Litt. et Philos. 24G on a supprimé un parallèle entre mêlées, page Après le premier alinéa, W. Scott. a ei voulu le Louvre )a et monarchie de Napoléon Napoléon rajeunir recrépir Chartcmagne. sa W. Scottmieux mission de ce n'a celle de fondateur comprend poète que géant aveugle compris E. ë)RÉ. MMMM< V. 7/M.~o ~.M<3, p. 313). (cf. 248 le 1er d'un éloge des ~ar~r~, alinéa, Page Après suppression cet,.admirab)e poème qui mérite la palme de )a en vers sans //e/M-tCK/e, épique. Critique poésie gazette (cf. BmË, p. 3)5). )a note au bas de la page contenait une discussion sur Gt< ~<M de Lesage, les travaux Page 249 de Llorente et de Neufch~teau. Au lieu « de l'éloquence M~e~te de Rousseau M on lisait « )'é!oquence &«<aM<6 de Page 2SO Rousseau. » l'alinéa la p. 251 et commence 281 la p. 252 a été ajouté en 1834. Page qui termine les deux alinéas ont été remaniés On a supprimé un reproche Page 252 premiers pour le style. fait à W. Scot.d'avoir choisi Louis XI quand il y avait tant d'autres rois quiméritaientmieux(cf. Brn);, p. 313). 2H6 On lisait dans la ,M~g ce /MMM'e /bM au lieu de ce pauvre ?'7't<'OM<e<. Page V. terminait en remerciant W. Scott de sa préface touchante et ingénieuse. Son Page 237 iiugo vieux à instant le sourire et les iarmes. Il faut ne rire de marquis provoque chaque pas quelques ont vécu dans !'exi! et meurent dans )a des français ce sont les infortunes vieillards, pauvreté. qui de l'honneur. Pour nous, nous avons chose de plus ridicuie toujours pensé qu'il peut y avoir quelque ia le vieillesse et maiheur biRÈ. (cf. pp. 314-31S). que 1823 ~o!<< 4 ti du premier Le Journal t/es Débats parle « Un exade La ~/M.s-e Française. numéro du roman « men aussi ingénieux que profond « de (~MCH~M Z)M?'!oar<~ par M. Victor Hugo « montre dès a présent avec quelle hauteur et « quelle la critique sera exercée originalité <~p.! & dnns celte feuiiïe cf. Le Journal 4 août 1823. Débats, 3 p.109. a propos des Lettres F~MLa 7''OM<p, du vicomte cite des vers des déennes Wa!sb, par Vierge de Fe?'<~MK. Cette ode est attribuée n" cf. La /oM~'e. t. fx, elle à Abel Hugo 13, p. 301, 5 août ~823. Lettre de M. Finaud, Toulouse, de la ~/K.!e /?'/ïMp<e édition de l'Imprimerie a propos ~a//< p. 553. Dans un article il y a des lique, Han d'Islande ~823. 155 Reprise de Paris, ~4 Les deville 30 Les deville de ~aM/ 16 août à V. Hugo, cf. Odes et Nationale. intitulé Catéchisme allusions moqueuses Le cf. Corsaire, il t'Odéon 1823. romancontre 14 août a son père cf. Corresde V. Hugo cf. PiKtUŒ pp. 194-196 /)OK6~HC6 1815-1835, <!H~. pp. H0-i12; cf. F. Hugo à vingt DUFAY, des sciences BHLTON, ~MeM:o!'?'es de la Société dit Zc~p<-67<e~ vol. xvi, livrais. et lettres t, 31 mars 1902, pp.26-27. 6 de V. Hugo à A. Trébuchet jf~5-~35, ~oM~aKce pp. 33-34 26 mai 1886. garo, 22 Lettre cf. )e Journal en ~a~/tc, Français a-propos-vauMM. Abel à l'Odéon, en 1 acte, par cf. Z'~o<7e, 24 et Alphonse Hugo Vulpian cf. La <pMo<:</<eMMe, 25 août Le YoK?'août Le Co?'sM!'?'e, 25 nal des 25 août Débats, août (article aimable). Lettre cf. Corcf. Fi- en Espagize, à-propos-vauMM. etc. Abel Hugo et par in-8. Tastu. Paris; Alphonse Vulpian, imp. n" Il. 30 août 3702. Ponthieu, 4823, Paris, F., 30 Français en 1 acte, Second En août Fin ;L son père cf. Co?'?' de V. Hugo cf. PfEHXE :M 5-95, ~on<~<c<? pp. 192-193 H à vingt DUFAY. V. Hugo ans, pp. 107-109. au généra), à la suite une lettre d'Adèk joint Lettre août AoûtSept. numéro de La -VM~e 7''y'<ï)tff«'se. V. Hugo compose Le ~~c, M:oKjD~p, Actions de y~ce, M:e~ amis. Outre l'article de V. Hugo, le n° 2 de La ~Mc contient des vers de Pichald, Française Mme nesbordes-Vatmore, Jules J. de Lefèvre, un article de St-Valry et un de Kességuier. E. Deschamps. Le CoM?'?'te?' Littéraire de Strasbourg prétend que Abel Hugo. écrivain de marque, a dû fonder des o!<!M:M, ou Le Co't.s'M~OMM~ Le Corsaire, ou Le Diable 6o!<<'M.E, ou La 25~ /aK</o?'e cf. Le Courrier Littéraire, i823. numéro, août-septembre Littéraire. Essai sur l'indifféCritique M. l'abbé rence en matière de religion, par de la Lamennais, t. et !v (1). t. i, livrais. Cf. La ~Me n, pp.. yraMpaMe, n" 2, août 1823 n° 91-105; (B. F., 30 août, Victor-M. 3719). Signé Hugo. Cf. ~!«. et /<!7o~. yM~e'M, t. !,pp. 259-265. en reproduisant son artic)e, a fait un certain nombre de suppressions intéressantes. (1) V. Hugo, ~t~. et PAt~. de l'enthousiasme avide excité le Mte/e'M, p. 26d, lignes 8, 9, 10, il parlait qu'avait Ce'Mte c~M CA/'M<!«MMMe. avait contin~~é donnée aux )2, il disait t~age ?2 lignes que )'FMatSM?'~Y/!<<t/~e'Mce l'impulsion écrits de Chateaubriand. esprits par les admirables 863 la d'un « sentiment 20, il parlait Page Après ligne purement d'impuissance personnel qui d52 Fin d'août 1823 K 12 16 Sept.Octobre tS'e/~e?H~'e Annonce des ~e'/noù'M du Général cf. La ()Mo<ï</teKneet.~<?./OMnta~MZ)~6a~. 3 septembre. Hugo La ~for/~e~'oc?'<7<e, de Lamartine, parait chez Ladvocat cf. La 0MO<!<eH?!e, des 3 et 12 septembre cf. L'Eloile, des 3, d2 et 15 septembre. article de Z<<oï/e sur les ~<a:Long tions de 2~ vol., Lamartine, po~<ïf/Mes qui le 20 et en sur paraîtra particulier septembre ie Poète ~OM?'aK< cf. l'Etoile, 16 septembre 1823. de V. Hugo a son père cf. po/M~Mce 1815-1835, pp. 196-197 à vingt DUFAY, F. Hugo ~M~, pp. On y ajoute une lettre d'Adèle au et un /'os<c?'<jo<MH! de pp. H4-116 Lettre Con'escf. PiEMK 113-114. général, Victor. ~4 ??:on p~e, ode (t) cf. La -Mse f?'<!?tt. i, livrais. m (15 mais çaise, septembre, n" 423~), à B. F., 4 octobre, cf. pp. 141-145 Odes et Ballades, cf. A~OM!?c//M pp. 137-d41 Odes, 1824, pp. 39-47. Le troisième numéro de La ~fM~e ~'ancontient des vers de Mme Amable Tastu, çaise de Ulric cite trois vers de Guttinguer (qui V. Hugo), de Ancelot et des articles de G. Deset E. Deschamps. jardins, Saint-Valry 13 Sept.octobre Oe~o~'e )<' Lettre du généra) recommander Feraudi n" 220. y'Muay, Hugo aH,abbepour)ui cf. Catalogues à V. Hugo pp. 320-324. 3 Lettre de Vigny ~30, ~M~o avant 4 V. Hugo écrit La ~fo?'< &?'6M!/ cf. Odes et Ballades, Nationale, primerie p. 554. de i C/t<ï- cf. E. BfnÉ. Mlle édition V. de ~'OHtde l'Im- de V. Hugo à son père cf. Co~ cf. PtEXRE ~.5-~35, pon~ance pp. 197-198 Il a?is, pp. 418-119. DuFAY, V. //M</o M vingt une lettre d'Adèle au généra), ajoute pp. 117118. Lettre 4 « lui interdisait à l'occasion du 2e volume de l'Essai. Dans d'aborder le sujet de la controverse agitée « une discussion a. de article d'élever où il s'agit0 d'autorité ce n'est pas l'auteur cet qu'il appartient « la voix. » V. Hugo a supprimé son article et toutes les réflexions aussi toutes les citations qui ornaient petites il 11 a V. avouait encore ne voulait lui ont suggérées. ainsi supprimé qu pas qu'elles sept pages. Hugo Chateaubriand se prononcer sur les doctrines. 11 faisait allusion aux « pages merveilleuses écrites par Il fait certains sur les Juifs, de mémoire en mémoire. a disparaître éloges qu'il pftges qui passent difficile adressait à Lamennais « Nous ne savons si l'on partagera notre émotion mais il nous parait « d'épancher de céleste dans les paroles humaines douceur, plus joie, plus de plus de consolante « ravissante de Sion rendaient d'ellesmélancolie. On croirait entendre les soupirs que les cithares « mêmes, » la aux saules de Babylone durant suspendues longue captivité, ne désespère 264 le !< alinéa, on lisait « M. de Lamennais Que Page après pas de ceux aux« quels il apprend à espérer. On peut appliquer à ce prêtre illustre ce qu'on a dit poétiquement de je « ne sais quel écrivain la est lui mission. » une gloire que pour La ~Me a fait quelques à cette ode, en 1824 et en 1828. française (t) V. Hugo changements contenait une note de 36 sur la vie du de 180S à tirée du Diction1813, lignes Hugo longue général il n'était naire des <yeHeraff.x de Courcelles de la Révolufrançais par M. le chevalier pas question H avait tion. n'y pas d'épigraphe. 0 Odes et Ballades. on lisait ~/aM chercher de David les traces en 1828). (Corrigé Page 137, vers 4 e~ace'M. on lisait fortune. en 1824). Page 139, vers 13 y/'OM/x'parIa (Corrigé attendre son réveil. en 1824). vers on lisait courtisans 9 Page 140, Vingt royaux (Corrigé vers 11 Ne compte en sa pénible attente. en i828). on lisait: plus, craintive (Corrigé de vers 19; on lisait L'astre heureux luit. au lieu de Brennus luit. L'étoile (Coren 1828). rigé dans les Odes et Ballades le ler vers. V. Hugo a écrit/)/oy<M< ta tente Page 141. il faut corriger et non ta tête. C'est ici une erreur typographique. ton étendard. on lisait ta <'6[K?!tërc. Page 141, vers 9 puisque remplacé par puisque (Corrigé en 1824). –153 20 1823 9 20 Octobre Mort de Léopold-Victor fils de Victor Hugo, né le 12 juillet PIEHRE DUFAY, Hugo, V. Hugo à vingt donne l'acte de décès, ans, p. 122. Annonce Octobre de 7/a?: d'Islande, du beau talent de digne son auteur » cf. La 1823. Oct.-nov. l'ode Ballades, Lettre t;~ de V.Hugo à son père, cf. Corres.5-y~3o. cf. PiERHK po~a~ce p. 200 V. ~M~O à vingt DUFAY, ans, pp. d23--)24. Lettre de V.Hugo à son père cf. PiERmt DUFAY, V. Hugo ans, à vingt pp. 126-127. à Trébuchet consacre trois pages Adolphe la 2" édition des Odes et poésies diverses, de V. Hugo cf. Lycée t. n, ~4~'H:o?'ï'ea!M, livrais, T. x, pp. 283-286, signé Adolphe le 9, V. Hugo compose Après cf. Odes et fo?M&ye <MM en fant pp. 389-390. R de V, Hugo à son père cf. Cor/'Mcf. PjRME 1815-1835, ~OM<~Mce p. 199 Une DUFAY, F. T~M~/o à ~!H~< ans, p. 120. lettre d'Adè)e est ajoutée, p. 't21. de la 2" édition a ouvrage singulier, « M. Victor Hugo, 20 octobre Foudre, Lettre Lettre au sujet de V. Hugo au de sa souscription vicomte de Sennes à 7/aM e~aM~e. )H ti 30 ~1 iv de La ~M~e ~'aMp~~e fn° du 15 octobre), contient des vers de Chenedollé, de Mme Verdier, d'Alfred de Vigny, de Ch. Nodier et des articles de Soumet, Ho)moduet J. de Rességuier. rand, Saint-Vairy Le numéro 7VoueM!~7'e Hugo compose cf. Odes et Ballades, Nationale, p. 555. 15 La Foudre du 15 nov. contient trois articles intéressants. Le premier 197-201), (pp. Du Z)euo!?' dans sur le livre de Lamennais les temps est signé S. V. (probableactuels, Le deuxième, sur La Litment Saint-Valry). <e/'a~e La Z!Me'?'a<M~e clas~'OM~M<Mp, Le La ~/Msc ~/e?'CM?'g ~'aKpaMe, sique, est B. Le troisième (pp. 202-206), signé ~OM:f!K~aK ~'7~/aH(/c, (pp. 206-209), intitulé est signé S. V. (Saint-Valry probablement) (1). Annonce des Mémoires du général Hugo cf. La Quotidienne, 20 novembre 1823. 20 2~ V. la 6'M~?'?'c f/'jF~a~Me édition de l'Imprimerie 13 de V. Hugo à son père cf. Co?'?'c~Nov. cf. PiEKMDuFAY, F. samedi ~OMf/Mce,pp.20')-202; M7~, pp. 127-~28 cf. BELTON, T/M~O à vingt ~M~'e~ de la Société des ~'cï'eKee~e/ Z~/?'M du t. xvi, livrais. ZoM'-c<-C/<e?', t, 31 mars 37. -t902,p. Lettre 0 dit Ce'e'?'<i'/ t. i et n, ~/eMtO/rM /~M~o, 2 vol. in-8, Paris. B. F., 22 Pochard, imp. n° 4995. Ils sont d'un novembre, précédés P?'e'e!~ AM/o?'</Me </eA' ~e~ewe/t~ ont qui conduit ~M?' le /?'dMe d'Espagne, /Va/)o/eo/t par Abel Hugo fils (cit pages). à tire. Le premier sont intéressants est une attaque à fond contre Lamennais. (i) Ces trois articles La chose est à noter dans un journal ami de V. Hugo, surtout si l'article est de Saint-Vairy, ce que Le 2e article des divisions et nous n'osons affirmer. des talents politiques littéraires, de la parie jeunes de <'artic)e de Thiessé contre Han ~MM française, article fera (f/~aK~e, en fait de scanqui époque a fond contre da)e suit alors une attaque cet article et le jt/eycMre du AV~fe .stge~, rival de la J~M.s'e sens. H lui aussi Le 3e abonde dans le même des divisions littéraires où l'on mêle française. parle la politique /~aK <~7.~aM</e a été attaqué révolutionnaire et par les feuilles par la fraction royalistes. est pourtant un homme de talent des opinions L'auteur qui professe généreuses. ~54 1823 Novembre 25 Article de La Foudre sur la 2e édit. des Odes de Victor cf. La Foudre, Hugo (4) 247-252 novembre. 25 (E. D.), pp. Article de La Foudre sur les ~/p'MîO!'?'es du généra) cf. La Foudre, 274Hugo pp. 277 (B.), 30 novembre.. 30 Article sur ~4m?te de 7~'e~a~ng, de Trébude Feraudy chet et sur les Fables cf. La de V. Hugo. Foudre, pp. 283-285, peut-être La Fille ~/M.M, pp. En nov. Nov.-déc. <<'0-yaM! 261-262. V. Hugo compose Odes et Ballades, cf. -L'~rc de pp. 163-165. Almanach 7'rïompAc des cf. Le numéro v de La ~M~e Française (a" du 15 novembre) vers de Baourcontient des Mme Lormian, Michel, Dufrenoy, Adolphe A. Guiraud, des articles de Soumet, E. Desd'A. Hugo) et G. de M. champs (qui fait l'éloge vend à Ladvocat les Nouvelles Hugo d'Adèle au cf. lettre Hugo généra) dans PIEIIRE DUFAY, F. //M~o Hugo, 2 décembre, à vingt ans, p. 130, Nov. au V. 2 déc. Odes .Oeee~~e 1~~ V. un traité avec Ladvocat, Hugo signe cf. Odes et. Ra<pour une 3' édit. des Odes édition de l'Imprimerie <a</es, Nationate, p. 555. 2 Lettre d'Adèle Hugo PfKHHE DUFAY, V. Hugo 131. au gé/iéra) Hugo à vingt ans, pp. 6 Précis des euene~en~ historique qui ont sur le trône d'Esconduit Joseph Napoléon in-8, Pochard, ~a</Me, par Abel Hugo, imp. Paris. des ~M<ou'es du général Extrait Hugo. à 60 exemplaires, ne sevend contient pas, B. F., 6 décembre, pièces justificatives. 5435. 7 29 cf* 129* Tiré des n° La des vers de Soumet, ()MO<!<<<eMMe parle Victor et tant Guiraud, Méty-Janin, Hugo d'autres sur la guerre Cf. La d'Espagne 7 décembre 1823. Quotidienne, Ch. senal 1823. Nodier est nommé cf. Journal de (2) L'auteur lui plusieurs des bibliothécaire 30 Paris, de cet article cite idées qui serviront à l'Ardécembre abondamment la préface a V. Hugo pour composer 155 des la de V. Hugo et l'on de CroMK)eM. préface Odes trouve chez 1823 Décembre Décemb. des Cyclopes, par V. Hugo t. «, livrais. Le Lycée ~4?'M!o?'tca~, xu, décembre 1823. 429-430, Z'~H~'e V. Hugo -S'OMt6rcMï7 172. compose cf. Odes La ~/ot'< et Ballades, de ~e pp. cf. pp. de 167- La ~/M&e /a?ipat~e (n° v) du 15 décembre, mais du 27 à B. F.), contient des vers de Delde Nestor de Lade Brifaut, Gay, phine de L. Belmontet, des articles de marque, de Guiraud les ~?!0!?'~ du Soumet, (sur de Ho)modurand, de SaintHugo), général de V. Hugo, de E. Deschamps. Vatry, En 1823 de mois. V. Hugo Sans date compose A mes vers mes odes Odes et Ballades, (~4 pp. H9-d24); Z,M<où'e(0<~e<~a~aafc.s-, Za ~H?;~ ~Vo~ (Odes et Balpp. ~25-~27) Le et lades, pp. 129-136) Sylphe (Odes La Ballades, ~?'f<n<we?'e pp. 439-443) et Ballades, (Odes pp. 445-447) Epitaphe et Ballades, ~OH e~pp. 319-321); (Odes et Ballades, (Odes /f<~ce pp. 365-370) A Ballades, G.y /'ay(Odes et pp. 371-372) et ~'?tco?-e .BM//a6~ sage (Odes pp. 373-376) et .S'o/t Ballades, M/o<(0o~ 377-379;; pp. 7VoM (Odes et Ballades, Z/.4Mpp. 381-382) ~c/<?'s< Le < (Odes et Ballades, 313-318); et Ballades, nier 6'Aa?!< (Odes pp. 173-176). à son oncle Hugo 26 mai 1886. Trébuchet ~M?' ~o~<ï:'?'~ ~M~ /'y'ayM:en<. /?'e!7!p<i!6'e, t. n° 6, pp. 427-436 de décembre, (numéro i B. F., 27 décembre), V. Hugo (i). Cf. Z.ï' dée. Fin Lettre de V. cf. Le 7''<ya?-o, et Philos. M~ t. pp. 236-243. note de la .')/;Me /aMpaMe lecteur. Ce fragment est tiré d'une (1) Une renseignaitje Notice et MM' la vie les H'cy' de ~o«a:e choix de lettres dë' cet écrivain qui précède célèbre, publié par A. Bouiiand et C'o. Ce choix de lettres fait partie d'une collection sur imprimée par Firmin-Didot, en deux in-!2et in-8 raisin. Elle sera fin, formats, ornée des papier publiée des grand portraits divers auteurs. L'éditeur rien collection & la jeunesse destinée pour que cette soit n'épargnera particulièrement des de tous les amateurs de bons et beaux livres. Elle également digne bibliolhèques sera, par son extrême d'être donnée en étrennes. choix de lettres susceptible sera d'une élégance, Chaque précédé notice et raisonnée sur l'auteur elles seront biographique auquel empruntées. Le choix de lettres et la rédaction des ~Vo~'cMsont confiés à M. V. Hugo. La iro livraison paraîtra Je 10 décembre 1823. (elle parut en -1824 et il ne contint de Voltaire et de Mme de Séque des lettres vigné). Dans Litt. et Philos. ?M~/e'M f'articie commence au bas de la page A'OMMf/' Voltaire. il y c 236 a pas mal de variantes. voici les changements importants. « 18< et 19e Au de )a lieu ~Kce/<e » on lisait « soit tK/~we ~Mce~e. » Aulieu Page 239, lignes de « coMpa&/e « on lisait » ouvrage ?'e~aoM~a?t< ouvrage. <BMwe </?'aM:a<t~Me a remplacé Page 240, 10' ligne c/te/d'a'Mwe ~'a'?M6[~MM. La /by'ee ce K'e~ c'est 242, Ile )igne Page ceci empas Protée, ./M~!<e/remplace ~~oKr à ee<0~/Mpe si M&'e',y<7waM les temples ~yMM<e/' MHe comparaison ?t'OH<&?'K<e Protée <e ~ateM~ pour meM:e e?tcen~ </Me /jOMy ./M/):<e7'. reuo~M/tOK 242, ISe iigne révolution. fatale Page rempiace ~ep<o/'a&/e 18~' )igne choses MMM<MeM~M MO?M<rMo~t<M. remplace 19~ iigne révolution remplace e/)o</MC. 21e iigne le /~M.s' /'e</oi<<a~/e des soplcistes remplace le ~/<M <<c!ey'eK~ !<' ligne Note, ait jeté remplace eK<~e. -d56- 30 Fin déc. VII CHAPITRE 1824 1824 Janvier Hh 15 17 Lettre de Lamartine de Paris, Lamartine M. G. inédites, par 676-678. pp. à V. Hugo cf. T~ë~Me et F. Hugo, Lettres 15 avril Simon, 1904, livraison de la A/M~e /?'~?tpaMe. Septième On y trouve des vers de Mme DesbordesA. Guiraud, J. de Rességuier, Mme Valmore, A. Tastu, V. Hugo, un article de Guiraud des articies de G. de Pons, (Nos </oe~?te.s'), A. de Vigny et E. Deschamps. A la 7e livrais., on donne la date du 15 janle 15 de vier et on indique que La Muse paraît mois. On la trouve a B. F. au 24 chaque janvier. Poèmes et chants ornés de élégiaques, In-18. Didot, gravures, par A. Guiraud. imp. Paris. Boulland et Cie, Ladvocat B. Paris, n° 366. 1824, F., 17 janvier ()MO<!</te~e un entretitet du 17 janvier contient sur cet ouvrage. Lettre de V. Hugo a son père cf. PIERRE DUFAY, F. ~M~o à vingt a?: pp. 75-77. la donne comme étant de 1823 mais Dufay le post-scriptum le contenu, surtout, indique est de 1824. qu'elle ZaBaMe./Vot?'e,Ode(l). t. n, livrais. vu, pp. 43-49. et Ballades, pp. 129-136. ~/M~e/anpa! V. Hugo cf. Odes Lettre de V. Hugo à son cf. PiERKE père DuFAY, V. //M.</o<ï u!M~<aKA',pp. 133-134, qui au même, donne une lettre d'Adèle 132pp. 133. Dufay, le donne simmanuscrit, d'après ce /M?t</ï ~9 c'est nécessairement le plement 19 janvier. dans l'épigraphe, le nom après (1) On a supprimé cette phrase est empruntée cf. le /)e'/e)MeM?', auquel en suivant )e texte des Odes Voici les corrections on lisait p~'eMey son coursier 131, vers 14 Page vers 23 Et levant des voix sépulcrales la cloche du dernier vers 0« tremble de 1824). (Correction Page 135. Les vers 15, 16, 17, 18 sont transformés. est sans dangers. Un tel triomphe Mais qu'ils n'éveittent pas les preux de ces rnuraiDes ombres ont des batailles Ces qui jadis gagné Les prendraient pour des étrangers. Odes et Ballades. de Ch. Nodier, le titre de l'article ~NtM<cAe< t. )n. livrais. novembre 1820. xxxm, p. 294,11 et Ballades. au lieu de /t<~e/ de 1824). (Correction au lieu de –Ott, levant. (Corr. de 1824). M'&ra~t/e la cloche. soir au lieu de Qui les 2 textes Pour eux il n'est point de danger Les héros qui veittaient sur ces hautes murailles Les ombres ont des batailles qui jadis gagné Ne combattent que l'étranger. ~/tMe /rancf!<e et Odes de 1824. Voici de 1824; celles de la p. 135 ont été faites Les corrections de la p. 131 ont été faites pour l'édition en 1828 seulement. A la fin de t'ode, La ~/tMe française avait mis cette note Cette ode fait partie, ainsi que celle d'un du même insérée au 1er volume de la ~:Me (A mon ~ere) volume d'odes inédites auteur, qui en ce moment chez 3 fr. 50. Nous rendrons de ce nouveau recueil d'0</M Ladvocat, paratt prix compte de M. V. Hugo. –~57– 15. 19' 1824 En janv. Janvier V. Hugo compose Le CAaH< de /?'~He Le CAa?t< ~</af/e.s-, ((M<M~ pp. 297-30~; du 6'7'<yKe (Oo'e.s- et ~<ï</e.<, pp. 303-306) et ~< Le C/!a/t< f/M 7"OM?'no< (Odes pp. Janvierfévrier 307-3H). V. Hugo compose ~a/~a</eA', pp. 435-437, ~te date /<'e:cf. 't824. et Me~ -et;e~' Février 15 la Préface des ~OM!;e//M V. Hugo compose et 6a//<!</M, (?<~ cf. 0<~ pp. 9-2i. de La ~/M~f 7'a?!paMe La 8e Hvraison (B. vers de Mme 28 contient des CéréF.. février) de Mme Sophie Barbé. de Ch. Nodier, Gay, des articles de Louis Belmontet, de ViHebois, et de E. de Hességuier, de Saint-Prosper Deschamps. ~/<ï~ <1 6 Tablettes d'une Universelles parlent entre t'.Ë'<o<7<? et t'0?'?ow:M!ea propos dispute L'/?<0!/<' est contre, l'Oridu romantisme. L'Etoile les Romantiques. /~aM:M:p est pour « le principe d'autorité a appelé à son secours a Univerdu Père Lamennais cf. ?'a&~<~ 6 mars, 668 livrais., selles, pp. 176-178. 7 consacre deux colon~o'6'afp~e de France Odes par Victor-M. nes aux~oMue~es Hugo, lui des abstracF. B. On article reproche signé on le des tions obscurités, métaphysiques, et politique de félicite du caractère religieux est une des conses œuvres. Son ~M~cAr~ Son Bonaparte les plus étonnantes. ceptions de cf. 6'a~e«e est imposant et mystérieux 7 mars 1824. France, 11 Les des jeunes La Pandore se moque dévoués au culte de la contemplation. les avec les morts, confèrent tristes, les vampires, lutins, fées, revenants, des tombeaux. les secrets naissent bien bien pensionnés, bien mangeants, vantés. bien bien imprimés, Epris à l'infini ou à ils rêvent alors gloire Lettre de V. Hugo à Charles Nodier, aproarticle doit dans la d'un paraître pos qui (~Mo« Est-ce à lidienne. que t'aigte consentirait « juger franc ? w » le vol du moineau cf. Catalogues n" 404. Charavay, 8 poètes, Ils sont esprits, ils conIls sont placés, de leur l'incom- préhensible. obscur et « Le plus le moins intelligible, des congré« sans contredit le plus distingué « ganistes pleureurs dont je viens de parler a Le critique fait ensuite « est M. V. Hugo. de la vie de V. Hugo qui d'après l'historique en 1822 un recueil lui a 27 ans. H a publié de grandes d'odes où il y a de beaux vers, haineuse. Ses Noumais une politique pensées mériTous ses chants ~f.s' odes sont mieux. les rangs des tent d'être lus. Le poète déserte Choix de Lettres de ~Mp Sévisur sa vie et ses <MHe notice 07'H~</e ~OM portrait (le portrait Moral y~c, précédé ouvrages, et manque). 3 vol. In-18. B. F., Boulland 158 Paris. Paris, Didot, Imp. i3 mars 1824, n" 1313. i3 -< 1824 de l'honneur contempteurs ve en est dans~o~ pM/aKce 11 mars 1824 (non signé). i2 Annonce peau blanc, des ~Vouu<M d2 mars ~824. national cf. La Odes la preu7'aH~o~, cf. le .D?'a67<T;)/o?'a/</e.e<e.e Fb/<<xu'<ela vie cédé <Z'Mnp /to<<ce .s'M~' et les ouvrages <<('ee<ec?'n)<ï!H ej/c&?'ee~07'6'f/e~o?ipo~<a/<(l). 3 vol. in-i8. BoutDidot, Paris. Paris, Imp. land B. F., 13 mars -t824, n" d314. Cf. Litt. et /<!7os. ??~/eM, pp. ~S et 416, 't64 et pp. 23), 243. des Lettres Le choix moral de Mme de Sévigné et de Voltaire est précédé d'une de Préface en retrouve le commencement 115 et On dans Litt. et une e<M:<o~.MM/e'e. H6, pp on V. a 164 doit encore de à ~< vieilHugo reproduite, p. respect /a~eMM<.s's'e </M'a phrase que /)/M~ Dans les trois lignes, cette phrase, il a résume la demi-page lesse. qui précèdent précédente. il indiquait Les deux préfaces sont identiques. avoir parlé du style épistoiaire, les modèles Après Mme de Sévigné, mais ils ne sont sans du genre Voltaire, Jean-Jacques, pas danger pour la jeunesse. « il faut environner de Sévigné elle-méme ne peut être lue par les jeunes filles d'une chaste et Mme « religieuse sollicitude les premières d'une et les premières émotions d'un âme impressions jeune d'un « jeune cœur et l'on ne saurait cette vënérabte l'on doit trop répéter pensée antique sage, que « encore de respect à la jeunesse </M'a la vieillesse ». V. Hugo citait ensuite le nom des epMioplus dont il offrait une collection choisie J.-J. et J.-B. Rousseau. laires Voltaire, Frédéric, Montesquieu, La Boiteau. Lamotte, d'A)emhert, Voiture, Racine, Diderot, Ftéchier, Balzac, Harpe. Bussy-Rabutin, etc. Mmes de Sévigné, Villars, Maintenon, Aïssé, Simiane, Staal, Tencin, Lafayette, (L'enGraffigny ZD était nous n'avons trouvé Vottaire et Mme de que Sévigné). treprise grande, cette collection ne blessera la religion « C'est toujours dans les lettres Rien dans et la morale. « d'un de son cœur et homme plus que dans tous ses autres l'empreinte qu'il faut chercher, ouvrages, de sa vie. aux suppressions, elles nous sont indiquées intention la trace Quant par une trop pure à nous les Ce la mora)e conseille est que justifier. que toujours approuvé par le « pour songions « goût. » La préface de l'éditeur dans le Choix moral de Lettres de Mme de Sévigné les pp. v a comprend xix à d'une Notice Nous n'avons Elle est suivie 6W ~/?Me de trouvé nulle part xxx) (pp. Sévigné. viij. est pourtant bien son œuvre. dans les œuvres de V. Hugo cette Notice t'éditeur, qui, d'après les femmes, Il commençait par rappeler quelques phrases de J.J. Rousseau contre puis il affirmait Il le )eur en en Balzac et. Voiture, qui écristyle épistolaire appartenait propre. critiquait passant que « son de la postérité. Mme de Sévigné fut auteur à son insu V. Hugo admire vaient sous les regards » en « aisance, son naturel son style sa familiarité, Son livre est unique son genre, animé, exquis, on à « il est des choses ont une telle cherche les imiter, qui empreinte d'originalité, que plus plus on « les rend » inimitables. V. Hugo raconte ensuite la vie de Mme de Sévigné de quelques réuexions cette vie agrémentant toute dans Lettres. Les qui est un vrai tableau de la cour de Louis X)V, il en étuU termine en montrant offrent que ces Lettres a été souvent les uns )a trouventpye'eteKM,tes die le style. Mme de Sévigné critiquée autres ~a;t.s'e'MMVoltaire une caillette. V. cherche il prouver lit fausseté de ces critiques. On a te l'appelait Hugo La Fontaine. de vrai, dit V. Mme de Sévigné à Cicéron, H y a quelque chose comparé Montaigne, lui s'applique une page de La Harpe sur notre Farter, Hugo, qui cite pour conclure page qui d'après à Mme de aussi bien Sévigné. à reproduire ces quelques sur H y aurait vraiment intérêt dans les œuvres de V. Hugo pages Mme de Sévigné elles sont charmantes et l'on dirait parfois que V. Hugo a pris Mme de Sévignépour modèle il s'en est d'assez son et approché près. les Lettres de Vollaire en entier dans Litt. et La./Vo<ce se trouve reproduite qui accompagne la avaient ~Me Philos. Une partie Mt~e'es, déjà paru dans /wtpaMe pp. 231-243. (les pp. 237-243) Le du J/o;'a< mais les 231-236 ici la. fois. texte Choix (décembre 1823) pp. paraissent pour première et celui de ~tM. e<tt/(M. M~e'e.! n'offrent dont voici les plus importantes que de rares variantes » « poème ». « poème blafard de la Ligue, était simplement de la Ligue Page 232, ligne 28 V. Hugo n'avait le mot /~tce//<; on lisait en tou!cs les lettres pas osé écrire Page 233, ligne 26 son odieuse y. avait on a supprimé deux lignes ou V. Hugo racontait recueilli que Voltaire Page 236, ligne 3 la petite fille du Grand Corneille. (1) /t<<'M?'. -d59- t3 ~/<M'& ~824 Nouvelles ca?n??<!<~ Odes, su~t. par Paris, Victor-M. Ladvocat Hugo. (Imp. Nos Pi- nard),MDCCCXXtV(1824).!n-18.xxviij.-232p.: B. F., 13 mars n° 1370(1). 1824, Les N.-B. dans les premiers te de /7'CKce en le 11. ont dû paraître ~YoMt;e/~ Odes puisque la 6'6t~e<jours de mars parle dès le 7 et La Pandoredès se trouve aux Odes et Ballades, édition ne ~arte~M?', 1824), elle est pp. 9-21 (février (1) La Préface exactement. reproduite a édition avec les changements Ce volume contient 28 odes. Les voici, dans l'ordre de cette qu'on introduits. depuis Elle a gardé ce [. A M:e.< vers, en 1828, mes odes (t. t. pp. 121-129). pp. 1-10, est devenue, sans trouvé Nous n'avons titre dans les Odes et Ballades, que deux petits changements pp. 119-124. importance. l'instant. il y avait /M vers, voici Au ler vers, au lieu de ~/M odes, c'est l'instant. au lieu de Vous, ô mes chants. Vous, o mes vers. 121, au vers 11, i! y avait Page II. Le poète, Odes et Ballades, pp. 245 249. pp. 11-18. Ah H y avait deux à cette ode en 1824. Voici celle qui a disparu ceux que ravissent épigraphes c<BMr Th. J/e7o<.<e~ irlandaises. ces chants sont loin de croire fi l'amertume son Moore, qui ronge Pour le reste, V. Hugo n'a rien changé. III. Trois Odes et Ballades, /M<ot~ pp. 19-23. pp. 125-127. un Trouvent vers ont subi une transformation. Odes et Ballades, p. 126, vers 5, on lisait au lieu de Trouvent un but pareil des routes contraires. but pareil en <eMr~' sentiers contraires par Vers dresse. 14. /oK(<e. remplace au lieu de Et la vers se lisait Et la <<e/'H<e/'e <o?K&e et <e premier &e/'cesK Pf)ge 127, le dernier tombe et <e (/crM:e/' 6e/'ec<tM. /)yeM:'e/'e IV. La Bande Odes et Ballades, Noire, pp. 129-136. pp. 25 38. nous l'avons livrais. On Cette ode a été imprimée, vu, dansi:) 11, vn, pp. 43-49. ~MM/a?!p6[Me,t. mars soit 1828. L'édition au les corrections faites cette ode soit en en 1824, 1824, peut voir, 15 janvier la trivialité « Noire est une t?M<!<Mune note sur du titre. La .CaM<<e de 1824 portait (p. 26) petite « <tox laissée de cette révotution, la trivialité est souvent des choses et, en partant par la révolution « un défaut ». note n'a été dans l'édition ne varietur. inévitable Cette pas reproduite V. A MMM père, Odes et Ballades, pp. 137-141. pp. 39-47. dans la ~/MM /<ïMpa~e, t. ), livrais. 1823. En Cette ode a été imprimée m, septembre-octobre mais dont l'une a disparu en 1828. La voici ~VoM~ eMMM nos forfaits 1824, il y avait deux épigraphes MOiM eMMe~ nos gloires, Holmodurand. de 1824. En lisant ce que nous avons dit en septembre-octobre 1823 on verra quel était le texte VI. Le repas Odes et Ballades, libre, pp. 49-54. pp. 143-145. la note suivante t~ est aisé de voir que la composition de En 1824, cette ode était précédée de cette ode est <!K<er!'eM7'e a la mémorable guerre d'Espagne. le 29 avril (1823). le elle aurait été Cf. Odes et Ballades, manuscrit, composée D'après à Gentilly 498. édition de l'Imprimerie Nationale, p. vers ont été transformés. Voici les deux textes Les quatre premiers dieux de l'Olympe immolant l'Evangile Lorsqu'aux l'Evangile Lorsqu'à, l'antique Olympe immolant d'un tribunal Et d'un vil tribunal Le préteur fragile prêtant l'appui fragile appuyant odieux A leur temple odieux Ses temptes Le avait avait proscrit des chrétiens les chrétiens Livide, pleins de joie. juge proscrit pleins de joie. ~YoMM«e~ Odes. Odes et Ballades. a subi un petit Au lieu de CAercA<eM<<eKOM'e/<e~!M; changement. on cAeMttM; /'<eM~; VII. La Liberté, Odes et Ballades, pp. 55-64. pp. 147-153. l'édition de 1824, une seule est restée, voici celle que l'on Des deux que contenait. épigraphes <( OMest du là aussi est /<! /t'<'er<e– NM~' CorM~At'e/M St-Paul, l'esprit Seigneur, épître supprimée ibi /!&M'<fM. 2 Corinth, n[. 17. Voici le texte de St Paul ~/6! aM~e~ Domini, Spiritus Odes et Ballades. on lisait, Au lieu de Liberté Liberté, pur flambeau guide, pur flambeau. Page 148, vers 3. est complètement remaniée. Voici les deux textes La fin de la strophe Page lisait 145, le premier Cherchaient vers Car mon luth est de ceux dont les voix les infortunes, Pleurent toutes Mes hymnes Trainant importunes 160 dévoués ne vont point sur dans la lutte une chaîne l'aréne a 13 1824 0 yt/ft~ ./VoMue//<M cle é!ogieux t. 11, Hvi-ais. 16 Entrefilet ~où'M du /~Mpa~, Me~, par de Soumet <x, 15 mars sur aimable gênera! 16 mars ArtiVictor-M.Hugo. cf. ~/M6'e /?'<2/tpf<!xe, 1824, pp. 161-173. Hugo 1824. le t. m cf. /.e des J/ C'o?'.«ï!'?'e Bénissent toutes les vertus. Mes hymnes dévoués ne traînent point la chaîne Du vil gladiateur, mais ils vont dans l'arène, Du linceul des martyrs vêtus. Odes et Ballades. Dans condamnés Page Mais du manteau d'azur vêtus Mon luth n'est point de ceux dont les voix importunes Ne savent toutes les infortunes pas pleurer Etbénir toutes.les vertus. Nouvelles Odes, 1824. l'édition de 4824, l'expression vêtus ~'a~Ky aux descendaient dans le cirque, bêtes, 4 150. Le vers a pris une tournure reiigieuse de cette note Les était accompagnée coMuer<~ d'une <M)t!~Me 6/eMe. La correction n'avait qu'il pas en 1824. martyrs est de 1828. Et les sages, menteurs aux paroles Odes et Ballades. ~tume~' Et les sages, menteurs aux Nouvelles L'édition des Odes et Ballades de i'tmprimerie Nationale nous a donné Nous les indiquons en suivant l'édition Me ear:e<M/ tous les fléaux, Page 150, vers 8 .S'M~ son propre forfait jetant M?t <'c/t6[K</e d'oubli, vers 16 Promettre vers 19 de vos rois brisez ~e~M~ (<'atyaMt/ Nations, sa parole est féconde; Rn ~e;)A'e/ fraternels, 152, vers 8 Page vers 9 77 uoM~Mt être humble et souffrant! la Liberté vers 10: Frères, <~<t'OK A'OMt/~e par des crimes, La Liberté, COM?'MHK6[H< les victimes, sourit, vers 11 ~/ëre des dévoùments sublimes, vers 12 Les M:<Me en MM commun or~Me:7, Unit et vers 15 Malesherbes ~o/M<'?'<;Mt<. doctrines. pompeuses Odes. variantes. quelques VIII. La guerre Odes et Ballades, pp. 155-162. d'Espagne, pp. 65-76. Les journaux dans les Nouvelles Odes il semble ont parlé de cette ode avant son apparition qu'elle a du être imprimée quelque part. <e V. Hugo n'a mot on le trouve dans les Odes et Ballades, p. 160, vers 9 changé qu'un a un Vieux <e Louvre e'MMt. La note des Odes et Ballades, été aussi Louvre peu p. 543, remplace servum modifiée selons c'est <a MH tort 0 imitatoi-es, nous, remplace ~ecMS. Nationale. l'édition de Voici quelques variantes le manuscrit, données, d'après par l'Imprimerie Me varietur, Edition vénérable Page0 155, vers 1 Oh 1 que la Royauté, et poudreuse, vers 3 ~e.~9<eK<<!M<!K<e t/MS//a en leur nuit <e'/te'&retMe, une tête rebelle, dresse Page 156, vers 5 Son bras, quand /'o~y<te<7 le Louvre e'WM réponde; Page 160, vers 9 (?«'<: y'~Aa/K~ya./o.yeiM;, vers Son aux 8 /MKM<e, Page 162, épée, pervers au glaive cé)este. vers 9: Est pareille IX. de Triomphe, Odes et Ballades, L'Arc pp. 77-81. pp. 163-165. Cette ode est devenue Z'~t?'c de Triomphe de l'Etoile, c'est le seul changement. X. V. de ~o/K~~eK~, Odes et Ballades, pp. 82-92 a fait disparaitre tout une épigraphe pour changement, Hugo, Z.MM<'i?te. ~'aM/KOHe. A. Guiraud. ~ya<t</Mat< XL La mort de Odes et Ballades, pp. 93-102. pp. 289-295. Deux mots seulement ont été changés. Odes et Ballades. trace. Page 292, vers 1 marche remplace vers 10 secret éternel secret ?M~?'Met//eMa:. remplace Page 293, XII. de /re;te. Le Chant Odes et Ballades, pp. 103-110. pp. Un seul mot changé Odes et Ballades, dernier vers riches p. 298, /i~ca'<o?K6M. pp. 167-172. Une femme mourut qui /Me, 297-301. hécatombes remplace XHL Le Chant du C!<yMe, Odes et Ballades, pp. 111-118 pp. 303-306. En 1828, V. Hugo a fait. disparaitre une épigraphe, tirée des ~ar~/rs de Chateaubriand dant le peuple s'assemblait à /'(MM~/ttf/ttM<re Ha fait deux corrections </e Fe~asteH. saintes :.Cepen- –i61– 21 1824 ~arA- 22 Le met cite vers bien cf. 24 Corsaire dans la se moque de l'article de Sou~/M~e /?'a?tp<e sur V. Hugo. H vers du poète tirés de A mes quelques et ~4 toi il trouve doit être que Soumet fier de comprendre ces belles choses [a Le 22 Corsaire, Annonce cf. Journal des des mars 1824. ./VoMf<es Odes V. Hugo 1824. de 24 mars Débats, Odes et Ballades. de Nubie. Page 304, vers 6: d'FyfesMte remplace vers 10: Les parfums Cent parfums. remplace XIV. Le Chant du Tournoi, Odes et Ballades, pp..119-128 En 1828, Victor Hugo a supprimé une épigraphe d'A. Soumet Appelle 11 a changé trois Odes et Ballades. Page 307, vers 3: vers 5: 9: vers Page 308, XV. Odes tour Le ~e~t'o: de la /);'oe/t<He aux jeux ~Met't'/e?'~ les ~e!y?:eM?'s d'alentour. mots. vert dragon dragon. remplace grand Croix <oM?' d'Aragon <<<7~o?t. remplace Les maisons les palais. remplace pp. 129-137. Odes et Ballades, pp. 439-443. Bachelette. remplace La Cy-aM~ëre. Odes et Ballades, pp. 139-144. pp. 445-447. de D~cis (7/<MM~<) lisait en 1824, La 7MO?'< c'est MM MMtMet~ L'épigraphe qu'on 1828, par celle de Shakespeare que nous lisons dans les Odes et Ballades. La strophe termine la 446 a été très heureusement remaniée en 1828. Voici qui p. Page XVI. en Le ~y~Ae, et BaMa(<M. 441, vers 3 307-311. /)aMO!M~e Ou montre-nous ta bible, et les belles images Le ciel d'or, les saints bleus, les saintes à genoux, la le L'enfant-Jésus, et bœuf. et les mages crèche, Fais-nous lire du doigt, dans le milieu des pages, Un peu de ce latin, qui parle à Dieu de nous. Odes et Ballades. a été remplacée, les deux textes Ou montre-nous ta bible aux figures dorées, Les saints vêtus de blanc, protecteurs des hameaux, Les vierges, de rayons dans leur joie entourées, Et ces feuillets, où luit en lettres ignorées Le langage inconnu qui dit à Dieu nos maux. Nouvelles Odes, 1824. XVII. Odes Odes et Ballades, Epitaphe, pp. 145-150. pp. 319-321. et Ballades. t/M<!HC< remplace et vice versa. Page 3)9, le vers 3 a été remanié a/)~e/ mes MeaK~. Page 320, vers 3 M0?t Me'a?t< remplace XVIII. ~<w enfance, Odes et Ballades, pp. 151-159. pp. 365-370. En 1824. il y avait de Virgile. Géorgiqaes deux épigraphes. En 1828, Bettantùm V. Hugo en a fait Primus tabor animos atque arma Virg. Georg. disparaître une empruntée aux videre De nombreux ont été faits à cette ode. changements Odes et Ballades. des eaKOHS remplace l'airain des eoMM~. Page 366, vers 8 l'affût La strophe la p. 366 et commence la p. 367 a été complètement remaniée. qui termine Et j'accusais mon âge Ah dans une ombre obscure, Et j'accusais mon âge. et je disais « 0 Gloire vivre laisser Grandir, refroidir sans murmure donc aussi connu de la victoire ?9 Quand serai-je Tout ce sang jeune et pur, bouillant chez mes pareils, Mon sang dormira-t-il dans mes veines 9 perdu ? sur l'acier d'une armure. Faut-il un combat, célébré Qui dans un noir combat, qu'en par l'histoire, Coulerait à Hots si vermeils U ne soit jamais répandu ». Odes et Ballades. Nouvelles Odes, 1824. .F/ore~ee Je vis 7'MWM, Florence. Page 368, vers 16: Puis ?'M?'tM, puis remplace vers 7 Les rt/'e~ remplace Et les 7'M. Page 369, 369-370. dernière a La été entièrement en 1828. Pages strophe ajoutée XtX. Une /'<;e, pp. 161-166. Odes et ~a<~</e6\ pp. 435 437. En 1824, elle était intitulée Ballade avait et cette Elle apparaît comme ces figures épigraphe dont le poète voit les yeux étinceler à travers le feuillage daH~ sa du sombre, <yMaM< promenade il rêve de l'amour et (/M ciel. Th. Moore. Amours des ~)~M. soir, i62 1824 28 V. Hugo nerre cf. 202-203, Hugo. Mars avec M. de Clermont-Tondéjeune 1815-1835, Co~'e.~onf/uMce pp. lettre du 27 mars 1824 au général Article Trébuchet cf. Lycée d'Adolphe tes 7'OMtaM/ï'~Mes t. m. livrais. xv, T.t. Adolphe Trois Odes Page vers les 7"a& ~?'?Ko?'ïca~M, mars 1824, 287-291, pp. Lettre de V. Hugo à son oncle Cf. Le F~a~o, 26 mai 1886. vers ont été et Ballades. 436, sur de V. Hugo à son père cf. Cor?'e~cf. BEL202-203 1815-1835, ~o~aMce pp. des Sciences TON, 7)/e?KOï?'cs de la Société et ~M Loir-et-Cher, Lettres t. xv), livrais. 34 mars 1902, Betton ajoute p. 32. cinq à six lignes à la Correspondance: cf. PfEnnE V. //M~o à vingt DUFAY, ans, pp. 135-136. Lettre vers 437, XX. 9 et 10: 8 Fait MM~M* l'air G. y, pp. 167-171. Un seul mot changé Odes et Ballades. Page XXI. Odes Page Odes Joigne à la harpe du trouvère Le gantelet du chevalier. Nouvelles Odes, ~/M~t< <e peK< pp. 371-372. remplace et Ballades, vers8:~t&?'eremp)aceseMtMe. Paysage, pp. 173--179. et Ballades. 374, vers 16 et 17. 375, vers XXtt. 7 XXIV. En 1824, Odes et Ballades, naissent sous le chaume de l'aïeul. Odes et Ballades. Et des Ces 373-376. pp. magiques Les contes sous le chaume palais qu'enfantent rians de t'aïeu). ~YoMMMes Odes, 1824. i!M/- des bords. remplace à toi, pp. 181-186. O~M et Ballades, Il y avait en 1824 ces mots est changée. Encore seule L'épigraphe XXIII. Son Nom, Cette ode n'a jamais bords pp. 187-191. été retouchée. Odes pp. 377-379. ~< nunc et semper. pp. 381-382. et Ballades, ~c<!o?~ de grâces, Odes et Ballades, pp' 193-199. V. Hugo avait mis une épigraphe de Gilbert: J'ai il avait donné comme source actuelle puis a l'épigraphe pp. 383-386. M:o~ ca*My présenté Salomon. Ps. cxxv, /'tHMOceMce, Voici les changements Odes et Ballades. Page 383, vers3et4: Votre Page 1824. 371, Ces magiques palais qui Dans les beaux contes Page Mars transformés. Joigne la harpe du trouvère Au gantelet du chevalier. Odes et Ballades. Page Trébuchet. 384, soufte vers vers vers mourante de ma lampe vivant rallume la splendeur Odes et Ballades. Votre souffle vivant au Dieu vers. 5. de à ma lampe mourante a rendu sa splendeur. Nouvelles Odes, 1824. ~7e~e au calice amer. 6 ~Ve~e à ses preMM/'s~OM/'s. remplace sur dans l'abîme. 13 je marchais l'abîme; remplace /e planais 20 L'extase <'a?He?te. L'effroi ~Mt précède. remplace qui Et mon âme. ~/c;ts ~to?t ~~e. remplace Page 385, vers 1 aux vers 3 et 4. La dernière a subi la même transformation strophe que la première XXV. A mes amis, Odes et Ballades, pp. 201-205. pp. 387-388. lit les et est de 1828. i) y avait actnetiement dans Odes ~a~ades L'épigraphe qu'on Il n'y a pas eu d'autre seuls mots Et Mt ~t/'ead/a ego changement. XXVI. A /'<wt~-e d'MK enfant, Odes et Ballades, pp. 207-211 pp. 389-390. Pas de changement. XXVII. /<M<ec/t7-!s<, pp. Un seul mot a été changé. Odes et Ballades. 213-222. Odes et Ballades, pp. 313-318. Les mortels. Les peuples remplace Page 315, vers 5 XXVIII. Le der;tt'er Odes et Ballades, chant, pp. 223-229. pp. 173-176. Odes et Ballades. un écho faible. échos. Page 174, vers 5: Mille remplace En vers 9: remplace quand l'orage gronde, forage qui gronde, La dernière de la 174 et la 2e de la 175 ont été en 1828. strophe p. p. ajoutées –163– en 1824 27 ces 1824 do Avril LadO~Hvrais.dp)a~/M.!e/?'a«p<y,t.s'econtient vers de Soumet, d'A. de Rességuier, de un article contre les classiques de Ch. Vigny, un article sur Delphine Nodier, Gay de Guiraud. Le Co?'a!?'e annonce et Og, roman nouveau, en profite de Jean Sbogar. de pour se moquer des 30 .No?t<f7~M~e:cf.ZeCor.?'e,30avriH824. Avrit-Mai Le ~/e?'cM?'e du XIXe siècle contient un de P. F. Tissot sur les Nouvelles long article « M. Hugo est, dit-on, Odes de V. Hugo. l'un « des élèves de M. Chateaubriand qui, dans « sa ne prédilection paternelle, l'appelait a jamais sublime » cf. ~/e?'cM?'e que l'enfant du XIXe t. v, pp. 285-304. siècle, ~/a< 1 5 11 13 15 du généra) Lettre chet cf. Appendice. Lettre d'A. Hugo Trébuchet (Blois) a A. à son père Trébucf. Ap- yx'H~:cc. la dédicace Le roi vient d'agréer de )Y/~o<?'e de la campagne en ~3. <f,Ë'.s'pa'/Me par MM. Abel Hugo et Couché le fils, 1re livrais. 15 mai, chez Lefuel et Pillet cf. Cf~eMe de 7''rf<KCC, 13 mai 1824. La livrais. X)" de la /)/M~e /?'f<?ipa!g contient des poésies de Pichald, de Mme Desbordesde Ch. Nodier aux 7*0Valmore, (Adieux d'A. Guiraud, M:<?.M<:<yMe~),deJ. deRességuier, un artic)e de V. Hugo sur Eloa, deux articles de E. Deschamps. OM /M 6'c'M?' des ~?~M, Eloa, mystère, par le comte Alfred de Vigny, avec cette épigraC'est le l'ai phe .!e?'peK<, dit-elle, je écouté, et il M!'a trompé. Genèse cf.Me (1) /rHKt. livrais. n, xi, pp. 275-286, Victorçaise, M. Hugo cf. Z<«. e/ Philos. H!<M, pp. 276, 277, 278. n'ont V. Hugo les classiques en tournant 275-276, en pas été rééditées. (1) Les pages y attaque dérision toutes les sources de poésie où ils puisaient. Dans une longue de 28 lignes il se moque phrase du Tartare, du Pinde, de la Vache to, de Silène, des sources de ta fontaine du Castatie. d'Hippocrène, ruisseau du Permesse. H veut être de son pays, de son siècle, de sa religion. Les deux dernières de la ies 277 et 278 sont dans Litt. et Philos. t. i, lignes p. 276, pp. M:e~M, Idées CM A(Ma/ )\ Trois il 9e a une 284, /~OM?' Ko:M § changements p. ligne, y suppression 7'e?~/e/Me/' da?M Ho<re idée /)r!KC!pa/e, ces deux les 22 et 23 se opérations. 285, /'eMar~KOtM que p. lignes ainsi lisaient Nous Me MOM.t arrêterons ~M/' MMe idée sans doute au prepM.< qui paraîtra paradoxale mier e<MOM< /aM.<e?*o?M? </e habiles ~e~'atK etc. aperçu plus <<'ea;amtMey'jusqu'à quel point. Le d~ de la p. 279 constitue v de Z?'«. et M?'<o~. 286 et 287 avec quelques M:~e'M, )e pp. Au V. commencement du a la liaison a?MëMeM~ changements. § v, Hugo supprimé CM?'e/<o?MKo<M M<!<ttreMeM!e/t< a ~'aM<eMy <<OM, tout ce a à A. de a l'attribuer Milton. puis qui rapport Vigny, pour c'est le Paradis c'est ce poème (Eloa) Ainsi, § v, p. 286, 3e ligne, 6'M~/MMe~ /~ey'(/M remplace 5e figne, He et d2e Eve entrainée la e?tc/tC[?tteK~' et l'imprudence remplace lignes, par ia curiosité, compassion ~a la ~ceM?' des T't/tce des /je/t<tQM remplace jusqu'à a;«yM entrainée..jusqu'aM /'e/)''OMMe~. V. Hugo a ajouté /M ensuite première /e?M?Me CM eo?t<<'«;< avec <e~)r<;?M!e<' </<'M<o?t(pp. 286-287); p. 287, 2e ligne, au lieu de Eloa on lit i'a'Mc/'e de .')/t7<o?t. La fin de la p. 279, 281, 282. 283, 284, 285 et les six premières 280, de ia p. 286 ies'pp. lignes n'ont V. Hugo dans ia ~<6'e faisait de longues citations pas été reproduites. du poème /WMtpat.se (te du remords du démon au moment d'o~ peintures i'Ether, du Chaos, démon, d Eioa, portraits de consommer son crime, la chute d'Eioa. La 285 renferme des sur le dialogue qui précède p. éloges tafentd'A. de Vigny sur son imagination, son V. Hugo parle ensuite qui va se perfectionnant, style, de l'obscurité de son nom à lui. La fin de la p. 286 se retrouve dans /.t«.e<P/!t/o. a pp. 283-284. M:e7<'M,au§ni, V.Hugo a la 6e suivante Cette supprimé aura obéi à ligne la phrase fois ci, du ?MOHt4', la ~/MM française l'usage. 164 15 1824 jMat 24 JoM?'Ha/ de /~a?'i!'x parlant de fa séance des Jeux Floraux annonce n'y a pas eu qu'il « Vous de sonnet couronne, verrez que M. « Lam. ou M. V. H.. auront eu la malice « d'adresser à l'académie des sonnets roM:a?<« tiques. )) Aussi les voilà bien punis H prétend qu'il y a une croisade contre les Romanà Paris, à l'Académie, Auger tiques d'Aguilar aux Jeux Floraux de Toulouse cf. VoM~'na~ de Paris, 24 mai 1824. 25 Le Drapeau &/<!M6' publie un rez-de-chaussée de huit colonnes sur les Nouvelles Odes Cet article est très é)ogieux de V. Hugo. pour il le jeune dont raconte la vie et les poète de la succès. On fait deux longues citations <?Mer?'e ~payne et de <??'at!o!'H:ëre (20 et « L'art apprendra à M. V. Hugo ce 40 vers). « qu'il doit perdre, la nature lui a donné le Il est à 23 ans le pre« génie et l'inspiration. « mier comme Soumet est le poète lyrique « premier cf. /)r<j6<ïM poète tragique » &/<ïnc, 25 mai i824. Le Lettre de V. Hugo à M. Magalon. Il le cite d'être rendu à la liberté. « Si l'un de « doit des remerciements à l'autre, « moi » cf. Catalogues n" Charavay, félinous c'est 428. 21 ./Mt~ 7 Article contre Eloa 6ea'< que l'impression moins bon que ses de Vigny. Rien de son livre, vers:cf.<ï/~?«~o?'e, de plus rien de 7 juin 1824. V. Hugo compose cf. Odes et Ballades, Nationale, p. 556. A ~7. Chateaubriand: édition de l'Imprimerie ~4 Odes ~VbM~e/ Variëtës. par M. \Hugo (Z. = Hottman). lui consacre trois colonnes et Le critique il y a quelques élodemie. Au commencement ensuite des attaques contre ges puis viennent des de V. Hugo cf.OM~ta/ le Romantisme 14 juin 1824. Débats, 15 conLa livrais. x)i° de la ~/M.s'e/?'f<Kpf«.s'c d'A. de Brifaut, tient des poésies Guiraud, un article de d'E. d'A. de Vigny, Deschamps, une revue poétique V. Hugo sur Byron, d'E. de une étude de mœurs SaintDeschamps, .~Mr cf. Co?'o!oM, jLo)'~ jSyroM (d) Georges t. n, livrais. ~Mse/y'anpaMe, xne pp. 327-339. Victor-M. cf. Litt. et Philos. M!<?/ee. Hugo t. t, pp. 267-278 cf. ~4MMa/es ?'o?M6!?t<KM, ~~7pp. 1-11. Valry. 10 dans a été reproduit deux fois les ~MHa/M 1827-1828, -?M?' /~ore< (i) Cet article ?'OM!aM<Me~. avec la /!«e?'a<M;'e 2" dans Litt. et Philos. t. pp. MtOt/erHe, mêlées, B)/?'o?t et ses rapports pp. 1-1't de sa Mo~. Sur Lo7'<< ~/ro?<, à propos 267-278, La p. 267 dans Litt. et Philos. M~ee~' textuellement la ~/<Me /~a?:pM!~e a partir de la reproduit 8e ]is;ne en e?'o<7'e les ingénieuses Ce qui j'idce la /M&/M. précède reproduit que renferme p. 327 de la J/M.s'e, Le reste de l'article assez fidèlement et c'est l'un des écrits de V. Hugo qui a subi le est reproduit moins de transformation. et Philos. Mte~'es à la piace de //t«. p. 2G9, (te )igne~ <BM~)'es remplace chants p. 270, 8e ligne, on lisait MMt?Ke V. Hugo avait écrit jBMOMa/)<!r<e et non ZfoMa~a/e contre p. 271, ')e ligne, p. 272, i65 15 1824 25 ./M<M La /aM</o?'e i'artie!e de V. Hugo critique sur dans la rll2tse ft~ctnçuise a )a~/M~<?'«~pH:.s'e sur Byron.V.Hugoa l3yron. Iluâo oubiië ie dicton 0Ht .!e ?'M~em6/e poputaire .aMCMt6/e cf. La /~aMf/o?'e, ~824. 25juin Lettre de V. Hugo à son père cf. Cor?'Mde ~5-~35, cf. 203-204 pOK~ance pp. PlEtUtE DUFAY, V. Hugo M vingt SH~, pp. 140142. I) corrige de la Corresponune erreur <~<ïKce, Coe</o<yo?t mis pour Coëtlosquet. de V. Hugo à son oncle Trébuchet, lettre dans la (charmante intime), signalée n° 153, mars AeuMe des ~M<o~'aj9/«~, 1893 et dans les Catalogues de Cha~'aM<o~?'ajoAes vente du 10 mars 1892 cf. Cataloravay, ~MM, nos ~96 et 232. Lettre 27 Jûia Juillet d a V. Hugo. H ['informe de Soumet de « Je m'attends de sa Cléopâtre. t'ajournement « à beaucoup consolerai à d'injures je m'en « votre et iivré aux tigres de précieuse amitié « l'opposition, le Chant f/M c:'?'je relirai « que » cf. (.a/n~o~MM n" 285. C/<a?'aMay, 2 La velles i2 15 Lettre la Préface /MM</o/'<? attaque des NouOdes a propos de l'horloge qui est une et des dO.OOO vaillants .4/c«/ (.p~-y~e a tort de descendre Hoff!nan jusqu'à régenter un écolier M. V. H comme doit être Hugo. de ce débordement et de effrayé d'ignorance mauvais le domaine des letgoût qui inonde 2 juillet tres cf. La /<M</o?-e, i824. Article de la <9MO<!</ï'e/!Me sur fa~/M~e /?'r<net Les çaise cf. La~Mo~/eMHe, 12 juillet, et Ballades, Odes édition de l'Imprimerie Nationate, pp. 553-554. Lettre de E. Desch:)mps, A. Soumet, GuiJ. de Kességuier à V. Hugo. Ils donnent raud, leur démission de rédacteurs à la ~/M~e /'?'a?tcf. Odes et Ballades, édition de l'Imçaise Nationale, primerie p. 554. Entrentet a 20 lignes de comé)ogieux(13 sur la 2~ livrais. du bel ouvrage d'A. mande) sur la guerre cf. 6'<rfp«c Hugo d'Espagne Lettre nal des tre est de V. Hugo La Débats). antérieure la trouve à Hoffman ( Z. du VoM?'de cette letcomposition de quelques jours au 26. à cette date dans les Dépuisqu'on 6a~ V. Hugo la défense des romantiprend et de ses TVoM~e~' Odes contre les ques de l'article du 14 juin. E. Biré en a attaques cité une partie dans F. T/M~/o avant 1830, cf. Journal des Débats, 26 juilpp. 369-372 let 1824. 26 de V. Hugo au rédacteur des Débats à propos de la disparition de la ~/MM /?'aHH est absolument à la dispariçaise. étranger tion de ce recueil à la fondation il duquel s'honore d'avoir cf. Journal des pris part 29 juillet 1824 La même lettre fut Débats, adressée à la Quotidienne cf. Odes et Ballades. édition dei'fmprimerieNationate, p. 554. 28 Lettre ~a/:c<15juiHetl824. d9e ligne, On lisait, il y a une suppression ~At/OM/)At'e remplace /)At7o~o/)/n.'<'?Me p. 273, 15e iigne, importante. deux illustres dont /e il est au MCOMc< .s'M u/'at, génies, p/'eMMe?' est, 4'M~e'rteMy nM<f/M<~ay e7euH<!OM </<te~ar <a /ta«<eM/' de sa Mo/'a~e, Chateaubriand et Byron /);'o~e p. 274, 2~ ligne, ~oë~e 13c on lisait au lieu <er~eA'<7'e~ de 15~ au lieu de poe'MM; remplace /'e'e~; !/)<e?'/jyë<e )igne, ligne, ~a~M 26e ligne, <<a/t.s' ses moins ~e~/M œM~rM p/iM /OMa&/<Kf /jy'o<<Me<<o)).! au lieu de Me/He da/ts p. 275, 3e ligne, 8" ligne, V. Hugo a supprimé coM:Me dit V/orace note, p/'o/bK~ remplace e7/'<!?~e après ces mots les /io?/:M!es Me <o~e/'eM< 'tQs iigne, p. 276, note, poe'M remplace poé/KM. Les ~t?t?ta<M de ??toyceaM~e c/iOM:s de <:«e'y'a<Mre M:o~erMe ~ecMet< ~~27?'o?Ha/t<Me~ In 18, imp. de Ha!zac, à Paris. Urbain Canel B. F., 5 janvier no !)) contenaient une Paris, 1828, la de l'article de J/tMe Nous nous servons de ~t< et ~/<?7os. Me~eM partie grande /'7'a'/tpaMe. pour ia Elle &. la Des et 23 finissait reproduite. commençait indiquer partie page 269, ligne eA'pt't~aMa; a la p. 277, laissant de côté t'aiinéa 7.<: Mto/'< de Zfy/'o~t. Eiie ne contenait qui commence par ces mots note des pp. 275-276. Elle reproduisait exactement le texte de la yVM&'c /a?tpa:e et pas la longue seulement une note On coKK<M< /e <OMcAaM< af<!eM a~reMe ci Lord se ajoutait petite /}~oH, qui place ia 2e ligne de la p. 277 de Zt«. et ~/<t7o~. ??~M. après i66 1824 jM<e< 17 31 Og, parodie (de //a?t Rétif de la Bretonne, par Vignon VerJacob, in-12, imp. Locard et Davi, B. F., sailles Paris, Hubert. 17 juillet 1824, n° 3730. de Hotiman à propos des Second article cf. JoM?'?~~ des Débats, 31 Nouvelles Odes a!s/aM~e), juiHet1824. Juillet d'A. Trébuchet sur 7/a~ (~'Zs~nf/e. de critique cf. Lycée et un semblant Ë)oges ~4y?H07'<ca!'M, t. iv, livrais. xix, pp. 58-62. Article de V. Hugo au rédacteur des Débats a propos du 2~ article d'Hoffman. Les Débats refusèrent V. Jlugo au l'insertion, l'envoya le ~3 août et a 6/<ï!tc' qui l'imprima Z)?'ape«;< la <Ta~e«c de /Hne<' le ~2 août. qui t'inséra Voir aussi n° d48. <~<a/o<«M C/<(!?'aua'y, La Co?'e~/)OM(/f</«:e ~~5-35 contient une lettre de V. Hugo à HoS'man (pp. 37-38) sans date. Elle devrait se placer entre le 26 et le 31. Lettre 31 Juillet j4o!<< Article contre Eloa nal de Paris, 3 août 14 2t d'A. de Vigny 1824. cf. VoM?'- a donné naissanque le romantique tels que le Renégat, j~an ouvrages le ~o/t~'c, le DnmMc. on a ~'7~~a7t~e, cérébrales sont beauremarqué que les fièvres cf. La coup plus fréquentes qu'autrefois 14 août 't824. PaM~ore, Depuis ce à des ./VoMpe//eA' odes par V. Hugo. assez Critique violente du poète et du romantisme. On reconnaît du talent à V. Hugo cf. 0?' cependant t. t, livrais. V), 2d août d824, /~MMe, pp. 246-255, (X.). Lettre de V. Hugo au rédacteur du /)~'ape<ïM blanc d'insérer sa réponse à pour lui demander Hodman les Débats cf. Draque lui refusent ~ef/M &<aHc, 13 août 1824. 10 Lettre de V. Hugo au rédacteur de la Ga~e«e <<p ~<'a?tce, sur le même cf. La sujet Gf~e~e 12 août 1824. f<e 7~-a?tce, Lettre ~e?t;te de V. Hugo au rédacteur de lit ()MO< sur le même et. Catalogues sujet.' n~ 105 et 301. CAa?'afay. de V. Hugo a Guiraud cf. ~/e7an~e.! Lettre in-8. de Z:<)'«<M?'e et <f/<ou'e ?'e/<y<ex~e, t. n[, p. 195. Paris, Picard, 2t~ 6'e/~eM~'e 6 22 Septc~nbre Lettre de Lamennais à V. Hugo. H l'invite à choisir un jour pour dîner puissent qu'ils ensemble cf. FKUGÈRK, Lamennais avant l'Essai .!M?' l'Indifférence. cf. Ca<ap. 299 cf. CM<a~Hex Cliara/o~Me ~OHe<, n" 81U n" 220. ray, Gui~4uëMe??~H< de Charles X, ode par raud cf. Gazette de 7~-a'Kce, 22 sept. 1824. César ricain, le Rubicon passe t. tv, livrais. xx), pp. cf. Lycée 262-263. ~trMO- Lettre Trébuchet. de Il Léopoldine 273 et 300. Lettre de Les V. de Littérature Paris, V. Picard, a son Hugo lui annonce cf. oncle 6'«<a/o~Me.! V. Hugo a Guiraud et <&/oM'e t. /'MKe?'ot!~es n!, la Marie-Joseph naissance C/auay, t de n" cf. y)/e7aH~c.< In-8, re/ïy!'eM~e, p. 195. de XVI[[ Louis mourut ~K7/ le Hugo (Louis 16 cf.M?'Ka<~e.f Débats, Drapeau bre) 23 septembre et 6'a~e«e de 7~'MMce, cf. Odes et Ballades, pp. 193-~99. ode par septem6/c d824 ou cinq petits Cette ode a subi quatre changements. le texte Les voici en suivant des Odes et Ballades. au lieu de A ta p. ~94, vers 2, on lisait ec?'c<M!~ au vers 11 ~o?t c<'reMe</ au lieu de ~/a couches; a remplacé A la p. 196, vers 1 main ~e'pOMtMe. Loin du M'!M<MMle vers 11 se lisait ainsi bras; A la p. d98, vers H.MMtfK< qu it~'e/M'o/H~ naguère. ou lisait ~Vace NM <<e~tM < toits au lieu de 5, .Do/MM aM~c ~M/e~ e'~aMa;. A la p. 199, vers 7, on au lieu de tayjOM/e, lisait Ia.~oM/)e (ce change devait être une erreur typographique). 167 22 23 1824 Octobre 1 à Hugo (1~ octobre Lettre de Soumet d'après le timbre de la poste). Soumet est indigne de l'épithète de belle donnée à l'ode surLouis par les Débats de son cher et immorte) ami. H lui a voué une Il admiration. Saint l'appellerait pieuse Fïc/o?' si un ~a: ~tc~or n'avait traduit et fait le Voyage f/M poète cf. Anacréon /K<<;?'/?:<?'6 des chercheurs, t. IX, p. 95, 10 février 1876. TVo~e/M~'e i3 V. 7~u«e Hugo des reçoit Deux Lamartine ~/oK</e~, à dîner 15 sept. cf. de V. Hugo Lettre mie cf. française ~~30, pp. 40-41. d907, p.340,at'tic)edeM.Doumic. i6 ami de V. Hugo, Lettre de Guttinguer, à Tissot pour le remercier des compliments faits sur son volume de poésie cf. Catalogues n" 278. C'/tara~ay, 25 de Soumet à l'Académie Réception se cf. Ga~e~c de /~a?!ee (Ch. de novembre ')824 (3 ou 4 colonnes), nal de Paris, 26 novembre. françai23 R.), et ./OM?'- à M. Villars, Correspondance de l'Acadé~~5- de NeufchâLettre de V. Hugo à François cf. Correspondance teau ~~5-j!<935, pp. cf. /K~'Me<ù'cï?'e des 42-43 chercheurs, t. xviiL, 10 juin 1885. pp. 348-349, de V. Hugo à M. Raynouard. H Lettre lui demande des billets la réception de pour MM. Soumet et de Quéien cf. Catalogues no 140. C~ara~ay, Lettre de V. au baron d'Ekstein cf. Correspondance ~o-~35, 39-40, pp. du dimanche 28 novembre Les (datée 1824). n" 383, donnent une Catalogues CTtarauay, lettre du même au même et datée du 29 novembre. V. Hugo félicite M. d'Ekstein pour ses articles de critique littéraire insérés dans la même 6~Ke. C'est évidemment le Drapeau lettre. Hugo 14 15 16 28 -Z)ceey/c i F. sur t'Ty~ou'e de la article signé Long Caw~ayKe af/~joa~Ke en ~3 par A. Hugo et décembre Couché cf. 6'arp~e de France, 4824. 10 de malice, intitulé Les ~4~/s Article plein contre V. Hugo. On se TVoK~eaM.E, tout entier de Han sans le nommer <s/a7!</e, moque V. Hugo est appelé M. VHOGO. La moquerie cf. La .PaM<~o?'e, ne manque pas de finesse d824. dO décembre 19 une lectuGuiraud, Soumet feront V.Hugo, de la Société des re à la séance d'ouverture le 2i décembre cf. Caf~c Bonnes Lettres, d824. de France, ~9 décembre 22 Second Hugo 1824. Lettre de V. Hugo à Roger de l'Académie à ses armes. Il lui demande Cachet française.. a son très l'autorisation de se dire indigne » cf. confrère Catalogue c/'aM/o~'ap/te~ vente du 10 mars 1892. C/<a?'<!uay, d'Abel articte de F. sur l'ouvrage cf. Gazette de France, 22 décembre Lettre cf. ~s?'o, 168 de V. Hugo à son 22 août 1888. oncle Trëbucbet 19 23 /~eceM<~re 1824 23 1824. de Lamartine à V. Hugo cf. Revue de Paris, 15 avril 1904, pp. 678-679, ~aM«ï7'<<He et V. Hugo, /.c«re.s Me~:<e.s, par M. G. Simon. Lettre Sans mois, Lamennais FEUGÈRE, <h~'rene6, n"18i. Lettre de t'MpoM~Mcc V. Ilugo à A. de Vigny 1815-1835, pp. 43-45. cf. Co?'- sans jour. à V. Hugo. Invitation a dîne! cf. Lamennais avant l'Essai SM?' l'Incf. ~a<a<o~MM p. 297 C'/t~?'auf<y, ~69 WO ~2 29 APPENDICE AVERTISSEMENT Les au tout inédites 26 mai Lettres long que nous l'histoire quelques-unes i" août, 1886, publions de ses ont 8 août, ici intéressent parents dans paru la août, et de Victor sa car Hugo, famille. Elles elles sont nous racontent la plupart, pour t2 mai, 19 mai, Je T~ayo 1888, (15 juillet 22 août 1888). Mais M. Macé de Challes (pseutexte qu'un de M. Decamp), n'a parfois au public, donné qui les a présentées ou fautif. Nous cru qu'il n'était avons de les publier incomplet pas inutile intégrakment. en les révisant Nous avons mis entre crochets soigneusement, sur l'original. [ ] les parties dans le /~<r/'o. imprimées donyme Nous tenons à remercier la famille Liberge, de Nantes, qui aimablement Claire Trébuchet, nous ces Lettres et nous a permis de Jes publier. Mlle décédée communiqué à Nantes le 14 janvier elle aussi, à son père Adolphe 1908, possédait Trébuchet, grâce une correspondance très abondante avait mise gracieusement à notre qu'elle dispoet dont nous sition avons abondamment pronté. a à Lettredu<((;itoyen~Detairan~citoyen~Tréb))chet, à J'hôpitafmiHtaire de Port Employé A Port Brieuc. (Saint-Brieuc). N* année Nantes, ce 23 thermidor, ;'e/). (10 août -<795~. CITOYEN Brieuc AMI, J'ai du 8 courant, hier la vôtre reçu votre a reçu la sienne en même papa tiré vous nous avez d'inquiétude temps, cricar nous votre situation présumions rasmais nous sommes maintenant tique, sures. Nous avons aussitôt ici, que sçus les grands succès des vous, Républicains il à chacun s'en est Quiberon, réjoui, doit nous arriver bon nombre de trouet les réduire enfin la Vendée pes pour Auverné les 12 comme depuis jours, routes sont interceptées plus que jamais, nous n'avons de leurs noupoint sçu velles leur depuis départ, je les recommande à leur bon les ange pour qu'il de tous fâcheux accidents. Vopréserve tre sœur et votre autre tante se portent elles ont été bien bien, enchantées d'apde vos nouvelles. prendre Nous n'entendons de vopoint parler tre tonton votre seudepuis j'ai départ, lement entendu dire divorcé était qu'il et remarié avec une à Valencienautre il est à de n'avoir nes plaindre pas écouté qui les lui a sages prédit que volontés conseils de son père, ce lui arrive, ce qui l'on doit restoujours et les metpaternelles conçoivent l'espéquelques-uns satisde faire vendanges, quelle l'on l'on à faire ce que faction goûterait attrois ans! il faut est privé depuis aintendre ce bienfait de la Providence qui prouve les pecter tre à profit. Vous êtes avec un commis mur d'âge met votre à l'épreuve, diqui patience tes-vous, il vous par son peu d'expérience faut vaincre le feu de votre cajeune ractère et le plier, est beau cela quand on le rend sociable. Je faire, et peut si vous Chouans, terribles, une bonne sont les uns et les autres qui est de voir chacun impatient disfois ce chancre politique paraître rance nous angénérale qu'on accréet que les bruits paraissent l'on se Ce sera alors que pourra d'un sort l'espoir plus heuréjouir et-que de membres reux sera tant flatteur, que et des familles se rejoindront dispersés que nonce diter. la paix l'absence rend que chement augmente dez des nouvelles a reçu papa où deloupe, aussi désirer fruits. doux Il chère l'amitié. de a il me demanda bien, était il me dit qu'il il aurait ambulances, son changement, votre de lui une lettre il est maintenant, en la paix pour environ 3 comme ( ?) vint apporter est nan toujours qui il m'assura checoul ?), y et le Vous mais rapprodemanvotre frère, de la Guail paraît les goûter Pisemaines que de Coune lettre à Machoul (Mase portait qu'il de vos nouvelles, dans les toujours bien désiré il n'a pu y avoir réus- fille sont sir. Votre tante Trébuchet et sa -~73- y invite et pour se font vements surmonter les mouse faut il sentir, qui en la place des autres et penser .mettre nous serions bien aises de l'indulque en pareil aurait nous qu'on pour gence ces réflexions nous sont souvent uticas, comme vous êtes doué de bonnes les vous ne qualités je ne doute point que preniez Mais ce je que laisse entretenir je vous là le des dis en bonne sérieux pour ont fait qui part. vous vos loi- objets dans les temps de vos petits plaisirs sirs du oh je veux parler jardin, qu'il sont est les agréable, capucines superbes ainsi les à fleurs pois qui que font une verdure émaillée de fleurs charcela flatte la vue et l'odorat, les mantes, voisines en les des tant elles sont tenmais elles se distées de, posséder, Je ferai la popensent permissions. trouve en flagrant lice si j'en quelqu'une un medélit. Ce que nous être croyons est devenu un artichault lon d'eau qui a dérobent, APPENDICE fruit. Le cerisier maintenant du toute un regret beauté, j'ai qu'il tout mon écussonné fait pas j'ai ble celà sans avoir pu y pour tous manqué Les jardiniers m'ont Les rosiers ah les perfides. role, de aucune le fleur, pied produit est de soit ne Lettre de Sophie Hugo a son grand-père Le NorNantes. mand, Juge, rue de Maupertuis, (d) possiréussir. de pan'ont Paris, MON CHER ~9 ?!Ot;eM&e ~7~7. PAPA, il attend votre figure où l'endroit transplanté, pour Les ne lui convient potées point. mon attente il semfenêtre ont trompé Vos ble votre absence les afflige. que elles vous tourterelles se bien, portent leur adressent tous les jours agréable elles font mélodie, quelquefois enrager couche dans la votre mère nourrice qui lettres de mon frère et de Hugo [Des vous notre heureuse arannoncé ayant a eus lieu rivée ici et mon mariage qui il y a quatre il ne me reste plus jours du bonheur me vous qu'à parler qu'il sera sans doute promet qui parfait puistrouvé dans mon toutes j'ai époux que les caractérisent l'honnête qualités qui homme suis je que je serai persuadée infiniment lui. Sa sensiheureuse avec et chambre les réveillent bilité celui fait triste être encore dès davantage l'aurore. jours mignonnes. Maintenant parlons tous se maison, portent vos mies Siette qu'elElles sont toumonde du de chacune bien, vous souvent mandent tres de vous, d'amitié que vous assurer vous d'elles, ou mémoire, sortez point. ont aussi un vigne retour il est de la la de delet- plaignent beaucoup, si on des reçoit sensibles aux sont marques Je puis vous leur témoignez. que êtes pour La si vous êtes bien proche dire mieux Métaireau et éloigné de leur vous n'en .ses filles cœur bien tendre pour vous, le mord'elles vous seriez s'il dépendait heureux du monde. Votre tel le plus souvent informé de Savariau s'est cousin ainsi la bonne dame Guérivous que vous connaissent. neau et tous ceux qui attachement et Pour suis avec moi, je amitié Votre Concitoyen, attachement ses pour parens ressent tout déjà pour vous qu'il et la me garantie la bonté de son cœur c'est durer de ses sentiments moi pour à vous mon cher mon papa que je dois bonheur en consentant à mon union avec mon ble je son cher Hugo à tous vos extrêmement Mon mari vous avez mis bienfaits aussi reconnaissante.] fait ses efforts une place frère le en comsuis- ] pour pro- curer à mon avantageudése s'il ne réussit ce ne sera pas pas faut de soins et de démarches nécesbien la saires. Voulez-vous nous envoyer malle que grande une voie sure par se pourra dut qu'il venir si promptement. avons moins (nous) et la elle ne pas laissez coûteuse nous par- votre m'avez dit [Jeannette que intensertion était de nous donner quelques Viviettes cela nous fera bien plaisir. chez nous et le linge étant extrèvant votre seVotre vient de recevoir papa vous lui marconde lettre dans laquelle croîavoir Laissez La Charmante. quez et ménagez-les car elles tre vos ongles vous vous sedoivent vous être utiles, mement cher ici si vous vouliez avoir la bonté deux d'y joindre paires de draps seet deux ou trois nous vous napes bien rions comme je prévois que obligées voula malle ne sera si vous pas pleine de nous liez aussi avoir la bonté envoyer douze livres de dix livres de caffé et riez ne sucre du prix les marchandises L. bien cesse DELAIR. de cette charmante qui passé d'être très pas que désagréaen défaire de vous ble, tâchez promptesont bonnes à douceurs ment, pareilles Votre vous écrira demain. éviter. papa Vous recevrez sa lettre avec celle-ci. Je vais souper et boire à votre santé. Grand vous fasse. bien à trente cinq vingt coloniales n'onts ville de dans cette immense prix nous enverriez la note et de suite vous en ferions le montant passer (l)Cf.F<o,i5août.l888.. de sols point vous nous ou APPENDICE si cela vous était égal je vous reçu metaussi de dire à Jeannette de prie à ma mëtre dans la malle deux robes fleurs blanfond avec des re une rouge fleurs fond bteue avec des ches et une un blanches ques drez veut. ne aussi j'en ait r pour queltiende ménage j'en arrangement ne Mon frère à ma compte sœur.] il craint de son violon qu'il point cher soit en route adieu mon casser santé vos trois' d'une bonne jouissez le prie à leurs té ce égallement longtemps attache- TREBUCHET MON CHER fille HUGO. et du dont tout PAPA, 6 ~amef/ 6 janvier par faire mien mon l'est pas, de détours mettre .en au bataillon de Lettre de Hugo, adjudant-major d'infanterie de ligne, capita 20s demi-brigade de de guerre taine près le conseil rapporteur la indivision militaire an citoyen Trébuchet rue des Carchez le citoyen Lenormand, juge, Inédite. mélites Nantes. de l'an votre malà la valeur de le faire l'estimation porter avaient étant neufs, je vous zèle et capable. Si l'administration boursement ne NorVoulez-vous bien que permettre Marion trouMr Delair Jeannette mand et de notre souvenir vent ici l'assurance Jeansincère amitié. de notre prie [Je les couteaux.] oublier nette de ne pas ] /.c 17 ?t!0<e dans de réponds mon activité tout me ce rem- rendent ment. Je suis avec respect Votre très obéissante trouvèrent et ensuiplusieurs citoyens de ces vérifier la signature l'administration citoyens par municipale, vous m'en adresserez un et l'autre vous à l'administration. l'enverrez Je crois cetvite mesure nécessaire, pour presser vement le remboursement des effets volés. rien de votre côNe donc négligez besoin vous chérissent qui vous conserve ciel qu'il tendres et respectueux se qui d'en qu'ils certifier te de et papa enfants effets le et 1798). hier votre lettre très tard, J'ai reçu et malgré cela mon cher Trébuchet, je me suis rendu à la maison Longueville, retourné ce fermée. suis elle était J'y m'a fait voir une matin et on réponà la lettre se que l'on venait de faire d'Orléans. vous aviez écrite que été ausavoue Je vous pas que je n'ai de cette si satisfait réponse que je croyais vu dans l'absence véridevoir l'être, j'ai du chef de l'admitable ou prétendue des moyens de lenteur nistration qui m'ont si l'on nature à tout annuller de paru à cette affaire. met de la négligence à faire Aussi prompteje vous engage un inventaire des sans tarder ment et -175- je ce est honnête, tardera Si elle ne des moyens il faudra se pas. alors elle prendra contre lesquels Instruisez-moi garde. vous qu'elle donc afin annoncera, de que la presse. Dans le cas où elle ne se conduira il n'y aura de bien, pas plus ménagealors ment à garder et je vous donnerai un lui de ne conseil fera qui regretter vous pas avoir satisfait. et moi Sophie quoique votre évènement malheureux d'en sons et vous prions de notre famille, l'égard de notre papa. bien affligés de vous embrasà faire autant et notamment HUGO. Des choses J'ai réfléchi honnêtes que au des Cn de Naneux-mêmes dans la avait citoyens donner tes ne pouvaient pas le certificat de ce qu'il y faites en un malle, cependant frère et ferai mon par signer moi-même. rai mais estimez N.-B. vit lui-même tite note Donnez à sa tout Marie-Joseph sur la lettre suivante qui compréhensibles les Delaire. l'état valeur et le au juste, primitive. Trébuchet de Hugo nous je le signe- rend écrila pe-. plus événements écrilettre je lui que le vol lui qui apprenait sur la route de Pa«que. j'avais éprouvé et par «ris à Orléans, laquelle je l'enà faire des démarches auprès « gageais « de l'entreprise de toute maresponsable » lui sont confiés. « nière des effets qui à « Réponse « vis de Blois la APPENDICE Lettre <)u Capitaine buchet. Tré- beau-frère Inédite. ~a~<. 27 Vous aurez cher de 15 pluviôse (Jeudi française mon a son Hugo sans l'an 6 de à Trébuchet, République bien été m'accuser né- été si longtemps à gligence, puisque j'ai vous mais c'est de écrire, qu'attendant en jour le résultat de l'affaire dont jour vous m'aviez vous le chargé, je voulais en vous noudonnant de mes présenter velles. J'ai vu au moins le trouver première être fort qu'alors prendre sai d'après le Cn vingt j'ai entrevue avoir avant dans Fadat, après fois chez lui causé avec lui et l'un rien nous de contents il n'eut de renseignements avions pu été de ma sa devait l'ordonnance la lettre dont il d'attendre, voici le Paris le 22 FADATTE. été d'autant étonné plus cette lettre que je m'attendais conversation eue que j'avais à une réponse favorable datte, térêts nistration du et m'é- de la Fa- voulant et ne plus fis la réponse ci-dessous, je lui suis certain a reçue. qu'elle HUGO Je stile d'après avec ce à vos. intéintimider son admilui montrer de ména- /*f~ CI AU Cn /~Mf~ 6. FADATTE, les persuadé. Citoyen, que Cn lenteurs dans l'affaire du apportées mon se seraient Trébuchet, beau-frère, et terminées une décision favorable par conciliation de tous les intérêts lésés. Mais votre lettre d'hier annonce assez m'étais ouvertement contenu. pluviôse ne J'ai quoisans adresde vos demande un double il le présenter au conducpertes teur à la charge il paraissait vouduquel loir faire tomber le remboursement, mais ne répondait voyant qu'il pas je lui adressai plusieurs avoir lettres, après cependant été infructueusement le trouver et pour de me pressé répondre, puisque j'avais chargé crivit de Signé gement, que je paru l'autre, terminer .Je lui être et encore moins peut de ce délit responsable qui à la charge du proprié- vous donpouvoir ner une satisfaisante. réponse plus J'ai de vous saluer l'honneur, Citoyen, de tout mon cœur. prêt, de ne l'entrepreneur, est entièrement taire. Je suis fâché 1798). /fE?'!et' doute la conducteur les seul la intentions de lui faire de sa malle, supporter perte pour vous dans les détails néavec que j'entre la conduite va cessaires à légitimer qu'il tenir envers vous. an 6. CITOYEN, Le Le tre malheur ne ami, devant être arrivé peut sous la C" Trébuchet a un titre qui prouve sa malle à votre ada été confiée que c'est l'extrait de la feuille ministration, de votre Démore. diligence signé Lors d'une vérification de la première voiture à Bourg-Egalité, on s'est aperçu au être Cn Trébuchet, voconsidéré comme du conresponsabilité attendu le vol de la malle a ducteur, que eu lieu par effraction et qu'il n'a pu être en aucune manière toutes les paré précaùtions été le bureau ayant prises par et le conducteur la préservation de pour cet article. J'ai à cet pris mations convenables avait de n'y pas du conducteur et son était magasin et la avec toutes les inform'assurer s'il pour de la part négligence été convaincu j'ai que baché avec sa chaine recouverte attachée. bache Comme des attaches de cuir avaient été couque et que des effets avaient été enlevés. pées On a dit au Cn Trébuchet sa malle que en faisait et plein de bonne foi il partie a eu assez de confiance en vous pour croire ne lui mentait moi qu'on pas qui suis son fondé de pouvoir par procuration en doute le vol de je révoque légale, le ~ac~'o/! égard vol de et la malle pendant a la eu nuit, la malle dans la voiture parce que je n'ai aucune ait été compripreuve qu'elle se dans les effets dont elle a été chargée bien vos vos comje sais que registres, lieu le t7<: APPENDICE vos mis, vous, vous, voudront certifier garçons, pour mais vos faits étant registres par vos vos étant vos commis, garçons étant à votre ne peuvent salariés, service aux termes de l'article 351 de la loi du 3 brumaire tester ni pour ni contre vous. Je n'aurai donc aucune la preuve que malle du Cn Trébuchet ait été comprise dans le chargement de la voiture, partie le 12 et nivôse, manifeste q'uerie égard. Ma loyauté ne me cacher ma conduite, vous-même l'importante moi boursement, j'en naux il n'appartient la décider. Mais en taxer je pourrai la conduite comme la tenue à son permet vous de pas avez question appelle eux qu'à des vous tranché du remaux tribuseuls tribunaux assez con- atteignant pas la conduite naître avez tenue enque vous le Cn Trébuchet vers et qu'il sera important le public ne désormais que puisse être dupé, je vous préviens que son intentention est la que soit à Paris déclaration et ci-jointe à placards sera si vous Nantes, lui faites il peut perdre louis, vingt-cinq en sacrifier autant la conrenverser pour fiance le public a jusqu'à ce moment que eu dans votre administration Voici cette déclaration ci-dessous. « Ne des vous affichée en et où besoin fiés Messageries « Je malle lui à l'Administration pas de la 'Maison Z.OM~M<?t~c. ai confié le 12 Nivôse, livres 90 pesant pour qu'elle à Nantes. aucune Je n'ai transportée ve que cette malle ait été comprise le chargement de la voiture partie et cependant on m'a déclaré qu'elle été prise. « J'ai demandé n'avait qu'elle été enlevée teur, nistration s'est m'a ne déclaré pouvait, de ponsable un remboursement, de l'avis du une soit preudans le 12 avait puisconduc- pas, à force ouverte l'Admiri de mes déclarations et le Cn Fadatte, par qu'elle ni son être resconducteur, la « L'Administration perte Signé éprouvée des par Messageries confiance. tionales mérite de plus rue Mont-Martre a toujours lement les objets lui ont qui moi. NaCelle rendu fidèété confiés, le an Pluviose, TRÉBUCHET, de Citoyen j'eusse 6. Nantes J'attendrai 26 de ce mois jusqu'au pour devant le Juge de Paix cette afporter faire et pour la présenter à l'opinion pules placards et j'agirai comme par blique d'avoir l'honneur de vous le dire, je viens 'd'ici je ne reçois époque non d'une l'avis mais vous, indemnité, lui du remboursement des du effets Trébuchet. La de à me plaindre si n'aurais pas ma malle dans ses voitures.» Paris, si justice ne fera vous d'escro- et je remis par à cette conduite la vôtre. de loyauté plus de plaisir d'honnêteté viez d'abord de ceCa tiens est légitimée voulu chez vous me un serais fait que je J'aurais et je conserver avec et de confiance vous le ton m'a. que vous inspiré. HUGO. Signé C'est le 27, aujourd'hui Trebuchet et l'Administration rien vous avez senti répondu mon cher Fadat n'a sans doute effets des placards semquels produiraient blables à ceux dont surtout je la menace, à Nantes voilà et à Orléans. Mais seulement mon c'est à vous à manifeste, sur la marche consulter notre bon papa croit la qu'il venable. Je un tort infini et conplus faire peut qu'on de telles afpar Fadat ne peut rien contre n'offre tel moyen puisqu'il Mais si notre trouvait papa, à de forcer Fadat moyen plus prudente sens bien à Fadatte et que fiches, l'auteur d'un que la vérité. un sûr plus la faudrait ne pas baje pense qu'il à le prendre. remis au dossier toutes les pièces J'ai de cette ma lettre et celle de Faaffaire, donc dat y sont jointes. Répondez-moi payer, lancer après avoir consulté son est dessein que maintenant, faire en et je notre verrai papa, nous que ce qu'il sur ce fassions y a à conséquence. à merveille, elle Mon se porte épouse a cependant été malade jours, quelques elle vous embrasse d'un bon ainsi ccëur, nous vous que moi, et tous deux chargeons de mille choses affectueuses notre pour bon et sa famille. papa –t77 23 APPENDICE Vous de ma verrés bien l'écriture illisible par à la hâte, lettre, que je l'écris je n'ai en effet eu tant jamais d'occupations une que depuis quinzaine. Je crois bien définitivement que je n'irai pas en Angleterre. Martin et sa femme, Louis, saluent. ( ?) vous Le Cn Delaire et sa famille ainsi que notre papa. Et moi embrasse. je vous et Maphte vous saluent 5 et 11 ries en de y'a/t 6 ( FeHf/re~ ~0 ~t. Je en CHER reçois date du à 7 79S). votre petite lettre a .été 27 germinal en l'objet ai écrite et il rempli par une que je vous de jours, la vôtre dey a peu puisque mandant des sur l'affaire renseignements de Trebuchet et des nouvelles de la santé de mon et de la épouse mienne, je vous ai donné tous les désiriés. Maintenant en jurisconsulte apporte affaire vaincre ( ?) tome un dans une changement étrange comme la nôtre, et pour s'en conon n'a consulter qu'à Bourgeix sur le droit commun de la France 2, titre 9, chap. ? I, paragraphes consultation ces. sur les avec fort le Cn Ter- embarrassé, faite, je ne francs accepteembarras m'a les circonstande concilier me D'abord le désir à faire un portait sacrifice et je léger ne pouvait faire mieux pensais que Fadatte de remettre 500 mais que son francs, défenseur bien instruit des lois et s'obstinant à ne rien donner ou à ne donner renseignements je vais vous de notre af- que vous entretenir faire avec car je crois inutile de Fadatte, vous rappeler à vous écrique mes retards eu d'autres re, n'ont causes de que celles ne rien dire de décisif et que l'esque à différer poir au lenqui invite toujours demain. Vous savés n'est en usage qu'il pas que les voyageurs détaillent en menu tous les effets contenus dans les malles ou paaux quets qu'ils et déposent Messageries si cette formalité s'observait il fauque drait un registre Cepour chaque départ. le défaut de cette pendant formalité prévenu les lois anciennes et nouvelles, par ma trouvé rasson, je me suis la question par m'a qu'il obtenir de 150 puis plus cette somme ? Cet rai-je fait sur toutes appesantir PAPA, l'instant lois il était Fadatte se préjet dont chargé, tend dans le droit de ne rien et payer au surplus il s'en réfère à ce que fera son défenseur officieux, dix qui depuis ans est chargé de semblables affaires. Dans MON les le poids de sa malle et l'Adminisque tration Fadafte à la rigueur ne lui est redevable de 150 livres. Je me suis que consulté avec le Cn Terrasson, mon avocat, >, il est infiniment infiniment insadroit, il a conféré avec Fadatte de l'obtruit Lettre du Capitaine Hugo au grett'e du jerconseii de guerre, M Paris, Maison commune, place de au au TribuGrève, citoyen f.enormand,.)uge nal civil, rue MauperLuis No -19, Nantes. inédite. /?o/'<'< que du Message29 août 1790 article 4, 5 et du 10 avril art. paragraphe 1791, 22 et 23. L'omission de cette formalité n'est usitée nulle réduit à la qui part, de 150 livres le prétention seulement, assés malheureux voyageur pour perdre ses effets. Mais dans le cas de détails, il en est bien différent. Nous sommes dans le premier Trebuchet cas, n'a fait porter HUGO. Paris, ainsi date même 150 il me fallait nécesque francs, sairement un parti. Ce défenseur prendre bien instruit en à n'accorder persistant 150 vu mon que refus de francs, pourra les recevoir les consigner juridiquement et faire retomber sur notre les compte frais de la procédure intentée que j'aurai alors les frais à une cenqui s'élèveront, taine de livres ne me feront même pas sentir le gain de ma me cause, puisqu'il restera à peine 50 francs. D'un autre côté en acceptant les 150 francs purement et simplement, à payer sur j'aurai cette somme le défenseur officieux. J'ai cru devoir laisser à ce dernier toute la latitude terminer possible pour et pour obtenir ce qu'il en sus de la sompourra me fixée, les pour indemnité, lois. par Je lui ai dit de faire sentir au défenseur de 1T8 Fadatte que si Trebuchet n'obtenait APPENDICE que s'en 150 francs l'Administration à aurait ne le discrédit cela repentir par que tant à de verser sur elle, manquera pas Nantes où l'on serait dans qu'à Paris, le cas d'en l'on conférer et où racontedes rait les procédés tenait dans qu'elle circonstances tous les voyaqui intéressent geurs. Dans dont enj'ai à tmon frère, je lui dis que je voyé copie lui comme escroc, l'attaquerai puisqu'il sera de prouver la malle impossible que a été perdue mais a ce moyen d'attaque été annulé une lettre de Trebucher par la malle lui a été prise qui convient que en route de la bonne cette pièce, preuve foi de mon Faa beaucoup rassuré frère, datte ma que lettre cette à Fadatte accusation avait fait trou- bler (trembler). mon cher Enfin, papa, me touchent Trebuchet de les intérêts autant les que miens et je ferai le mieux, propres pour de dicter des conditions. faute pouvoir Ma famille sera sensible à votre bon du C" Delaire. souvenir ainsi celle que Je vous embrasse de tout mon cœur, en fait autant et nous mon vous épouse tous deux Cn Delaire prions et le d'assurer de notre notre famille attachement. I-lUGO. du Capitaine Lettre Hugo et de he!u)-t're''e Trebuchet. )nédite. ~ar/x. prairial AU PETIT 6 ~M)t6<: 21 mai FRÈRE son Sophie /7'3~). TREBUCHET, J'avais bien à mon Fadatte, promis cher affaire dans le cas frère, que votre d'un mauvais lui nuirait infinisuccès, ment le sacrifice lui conplus que qu'il venait de faire asde 600 francs pour ou éteindre le souvenir d'un évésoupir nement dans tous les tendait cas, qui la publicité, à faire tout le par perdre crédit de son Mais Fadatte, entreprise. sûr de sa n'a peut-être trop réputation, les suites consulté d'une conduite pas l'homme de loi de suggérée par chargé ses affaires celui-ci n'avait et ne devait ~79 avoir d'autre but son que et l'autre n'aurait qui pas de même, malheureusement de cause, gain dû l'envisager de son a été avis. est-il c'est Qu'en résulté, que j'ai fait à beaucoup de personnes de la part fin de votre affaire et que nombre de ces nées au département de l'ouest personnes et du midi des relations commerciapour les et autres ont craint cas de perqu'en te elles en viennent à essuyer les mêmes vous et elles se sont adrespertes que sées ailleurs. Plusieurs Nantais ont pris la voiture de la rue Mont Martre de 10 francs moins et apparemment chère, plus sûre. Ainsi a .été dupé de Fadatte donc, de tenacité et je ne calcule trop pas jusles torts ce n'est en qu'où iront pas est maintenant d'atpublic qu'il possible taquer dres mais cet de c'est il a suivi les il est inattaquable dire qu'on peut entrepreneur la loi et en public or- j'ai et ce cette essuyé raisonnement telle cause, perte par contre on ne lequel peut est le destructeur de arguer rien, plus son crédit. Je n'ai mis dans cette affaire à l'intérêt que js mettrai toujours eu seul n'ai je obliger, qu'un faire c'est de n'avoir mieux chagrin pu et en effet il était d'en impossible agir autrement et de réussir d'une autre mavous vu d'ailleurs avés les raisonnière nements ai apportés et vous que je vous les avés et bien sans doute. jugés jugés que vous s'étonne de ce Sophie toujours que vous lui parlés de réponses à des lettres vous lui .avés elle n'en que adressées, a reçu de vous, c'est réellement aucune ce que vous certifier. Ecrivez lui je puis donc mon et soyez cercher Trébuchet tain car vous déjà pluqu'elle répondra sieurs Elle fois elle a a parlé écrit de à vous écrire. M. Charbry et a retante également (ou Chailvy ?) et à notre à ses lettres. çu des réponses Je voudrais mon cher cébien, frère, der au désir de ma et nouvelle famille, vous aller tous à Nantes. On embrasser une nouvelle m'a donné qui pourrait peutêtre me faciliter ce on m'a asplaisir suré de guerre n'allaient les conseils que des affaires être pureplus que chargés ment mis militaires, des par et militaires, non des délits comce qui diminue- APPENDICE la masse de mes occupamon cher Trébuchet, je fedu directoire, rais valoir pour l'obauprès l'activité du tention d'un limité, congé fants service à Paris français ra beaucoup tions. Alors, me voir. que j'ai et je ne soit accordé Embrassez pa, et assurez attachement vous ris Je depuis doute pas le temps pour toute sincère. mille dit vous fait bon de famille de mienne honnêtes. moi votre notre La choses embrasse de je suis que il ne qu'alors aller de vous tout mon pamon Pa- prisonniers l'état d'activité c'est échanges nous plus qui valent du Capitaine buchet(~). letaucunes reçue cher frère et les retu me fais de ne t'avoir proches que pas m'ont d'une fois surprise répondu plus de t'asle temps Aujourd'hui je n'ai que et surer de la sincérité de mon amitié de te prier de mon d'être auprès papa et de mes tantes de ma sœur de Louis n'ai réellement de toi mon de toute ma généralement de mes sentiments prette d'attachement n'oublie pas mand ainsi que j'embrasse te et Marion Jean craint oublier sa commission des nouvelles de ses re fois tu nous que si tu as pris quelques famille de non l'inter- respect et nor- plus Jeannetque tu n'aye que il désirerai savoir la premièparents dis écriras nous informations. Adieu bonne et te souhaite une je t'embrasse et te prie santé de croire au sincère chement de ta sœur et amie. Fe atta- HUGO. On publie officiellement la nouvelle suivante le bombarl'Anglais' a commencé dement et d'Ostende a fait descendre 4000 hommes sur nos côtes entre cette ville et Dunkerque, hommes 1600 républicains ont ont fait 2000 attaqués, et tué 100 les réhommes, prisonniers n'ent ont La 16. publicains perdu que flotte continuait le bombardeanglaise ment d'Ostende sur les 8 heures du matin lui a fait Muscart (2 plairial) signifier si elle ne cessait il alle feu que lait faire fusiller les prisonniers et le feu a les cessé. Nantais les Cette nouvelle surtout ceux doit qui réjouir ont des bien 6000 Hugo Par; le 9 fructidor /'?'aKF<!Me (Dimanche HUGO. Je tres Angleterre, lequel 2000 toujours seront rendus Lettre cœur. bien [Eh lence est-il si ? Est-ce lébrer je son suis n'y depuis bitude moins ~80- anglais. à son bean-ft'ère Tt'é- OM 6 de la République 26 aoùt ~79<9~. Le siEh bien frère, vous avés choile dieu que désirés céavec moi que vous vous culte, je préviens que et qu'ayant nullement disposé, l'hade cinq lustres contracté mon près de parler, de ternes à aussi depuis qu'ayant la vérité, contracté celle enraciné dans tourester d'écrire, je veux à et c'est à vous, tes deux, donc j'écris envers taisés envers vous moi, qui vous envers votre futur neveu ou votre sœur, nièce. Notre Nantes cance, soins est-il de bon retour] papa une heureuse ? A-t-il fait à votre à est-il rendu amitié, affectionnés ? Si comme je le sire, il est sortira de nous seils de au à vavos dévous milieu de vous, je fait à cet effet mon pléet vous charge, l'embrasser autant de de nipotentiaire, vous sous trois mois fois, espérés que à Paris de lui dide parents compter lui écrire et qu'il re que nous espérons la s'est qu'il ne fussent prescrite, que deux pour mon à Nantes, mots. Mais point de vos pleins cher vous frère, rappelés ce que vous et dites lui tout pouvoirs et de sende d'aimable trouverés joli, timental. bien une c'est vous chose, que [Savés et que vous voir cet je je désire hyver, Une loi ne pas désirer en vain. crois Conentre les deux nouvelle qui répartit attribuée règle répondre s'il n'est toute guerre au premier, tous en- dans car se font les hommes de et 2000 en avec (l)Cf.Z.ef)'o<ï''o,l"Mût.d888 la d'abord besogne d" me permettra APPENDICE demander au courir jusqu'à r'embrasserons Mon cher dans te-t-on cousine de bon mes permission nous Alors cœur. de nous ma tantes, sœur et à se porte-t-il compose faites-vous ? A quoi que n'êtes moments passés précieux, vous au pas employé département. sœur se porte ma foi [Votre bien, bien et le travail ne l'incomdispose qu'elle mode nullement. Elle elle a fait s'amuse, la qui Et vous vous vos mais elles les a bien choipeu d'amies, très bien. Il est vrai sies, que notre position est différente celle dans laque vous nous avés alors nous vus, quelle étions nous seulement en n'éménage, tions très à notre aise, que peu aujourd'hui cela va mieux. alors l'inJ'avais de l'armée d.'Ande faire quiétude partie et nous n'en avons fait partie gleterre sur Ce le tableau. n'est mon que pas, craint les et ami, que j'eusse dangers les mais une noufatigues, je délaissais velle et cela n'est épouse, pas régalant. La cée aura guerre avant que vous au moment où dans le recommenma letreçu nos arlirés peut-être n'eussiés vous tre, mées auront brillé déjà tout est en mesure et Si par la circonscription veniés à être classé dans chés ce soit dans la que des procurerait avantages, trouviés cas la par tout la victoire, ira bien.] 1 vous militaire, un corps ta20e, on vous y si vous vous de rejoindre. en fait auSophie à ne nous engageons vous embrasse, tant ] et nous vous oublier de personne de la famille auprès ni auprès du Cn Delair de chez vous, du et Delaire de Paris. citoyen [Je du Capitaine bunhet('t). Lettre se porcomment Le cousin et la Trébuchet, la famille. Mathis, tout ce souhait. la directoire Nantes. HUGO. dit bonjour. Boulay-Paty, Conseil des 500 m'a chargé le choses de sa honnêtes bon papa], veuiiLés bien membre du de dire milà notre part le lui dire. Mon est charcher frère, votre réponse ma femme et moi l'avons lue mante, avec une entière et tous satisfaction vive, deux nous vous en votons des remerciements. vous n'encensés le Puisque que dieu de la de la douce amitié,. tendre, mes soins aux votres fêter j'unis pour cette divinité si chère aux bons cœurs et si souvent les mauvais,. défigurée par malheureusement rares. pas assez Votre est ma foi défense excellente, tout à fait et la persuasion excellente en la suffit au qui pénètre lisant, juge assurer votre succès, pour avés raison. Vous trouverez ci-joint notre bon vous qui Papa, les adresses chères, trouve des mettez-y en joye ainsi personnes la sienne et donc vous. une bonne lettre pour à mettre aimez sont qui vous et qu'elle le santé. désirs d'aller les mêmes tout à des désirs vifs, réflexion me cependant enfant et je me dis le petit frappe pourra-t-il cette route, supporter longue je nous. le pense et le degré de ses forces toujours [J'ai vous mais voir, fait une vifs fera si nous prudemment pouvons juger nous mettre en voyage, car vous ne doutés pas, mon cher veut frère, que Sophie être à mère de son tout fait enfant, à un ne veut l'abandonner qu'elle pas sein avant d'avoir de lui essayé étranger donner veut en nourrissien qu'elle ne faire cousant elle-même son poupon, ler dans ses veines de famille, qu'un sang et souvent source des habitudes, trop le il la vie. Né d'honnêtes gens, leurs et il ne sucera principes, doit avoir dans de sa mère aucun des vices le sein tant d'êtres dans la société. qui dégradent en se de nourrir son Sophie chargeant elle aura des obéit à la nature enfant, ne mais aussi de jouissances que peines, se de procurera-t-elle (1) Cf. Z.e~a'-o.i" ~8) Tre- Paris, le 26 /'ruc<:</ot' an 6 de la /!epf<&~</Me 12 Mp<eM6;'<; ./79~. française ('e?'er~: guide vous [Louis Le citoyen son beau-frët'c Hngo pas, août elle 1888. jouira du pre- APPENDICE mier sourire pérer sous de ses cher. plus ce yeux mon des moi en est qui à à tenant et (Nancy à les Louis. mais instruit, il d'autres que à l'être., et dans peut tricht et tingué té la ne a là ], il de et tout autre, c'est chet, il amis, parents est ceux étranger. le peuvent qui vent-ils que faire. pas Je il est plutôt que cher Trebuoù on ces doute j'ai laire, sa été famille ne et plusieurs n'ai je de Paris est cas, fort la du ~)'<, çaise /<* où et s'aide ne doi- cepenà mar- du Cn ,De- pour saluer le plaisir qu'u- trouver Mlle Archambeau, d'y suis vos comretourné j'y pour y faire et n'y ai trouvé Néanpliments personne. moins de vocroyés que je m'acquitterai Je ne m'amuse buchet à faire plaisir de dire pas, j'écris que de quoi pas ver vous engage toujours, mon /faM- faut Je cher -182- amis, expressions servent source et d'elle pleines beaux ces ces périodes repousse à nulle leur souvent vous (l)Gf.?-o,8MÙt.i888. ai élégance à des ou de mon ne sans donné bon pas, mé- Quand parents stile part découlent de qu'on brillantes ment que A franchise. discours lorsqu'il autre chose auteur le pense n'en qui à éloges mentir avec Tré- ne je que Cher pour des la j'aime, mon cœur que et phrases ce pour à mes porté, mon jamais, des donner pour rite commission. Je ] &?'M??!an'e an 7 de la République octobre -~79~. (Lundi, pense pas, sentiment fois tre finis mon Epiembrasje vous je et des fois eu que j'ai je lui TrëHugo à son beau-frëre Capitaine chez an Tribunal buchet, Lenormand, -L'ge f-ivi! (1). premier conseil de guerre permanent de la 17e division militaire, greffe du 1er conseil de guerre à Paris, maison commune, place de Grève. au 'fer batailHugo adjudant-major lon de la 20e demi-brigade d'infanterie de ligne, du le'' conseil de rapporteur près guerre. Lettre des départ commission rapai- HUGO. rien. ans. le Depuis qu'ils cousin Mathis et que demain Trébuchet, [Allons, t-re, ma longue épitre se bien franchement.] res- vous que soyez conscript cher de suite, au contraire je pense qu'étant d'un de conscript âge plus éloigné vous finir chez vous Vendémiaire, pourrés cinq Trebuchet re- insurmontable. dehors des dant vos Louis vous et ils se notre attachement à toute Témoignés notre famille et dites lui que si Sophie n'écrit à personne c'est sa depuis que a un dégoût étonnant elle grossesse pour lire et pour et que est écrire ce dégoût dis- obtenir D'ailleurs en fait sa écrirai. Maes- et parents des troupes dans avec pellent plaisir, ment bien. Veuillez dire au à pas s'est l'état ses de ma part. son et Epouse de votre souvenir Delaire, leur dire plus de il Corps mon avec que d'obligeant Martin, mercient Cns aux témoigner vous trouverés un sugrades meilleurs pas autant qu'on siège dans mieux, à Trebuchet, tout ce des peut mon a peu 18 beaucoup qualités, ne y procurer n'est qu'il pourquoi que, servir discipline, tout il offre vaut y com- depuis Franconie, bonnes avantageux Si vous je que au sais et que brave Fleurus, je marine la encore est Lieu- il occupent sont n'en qui Louis depuis se- second vrai l'est qui et périeurs à la vérité. est temps frère brillante, reçu peu encore II grands jeune livré étude si pu el- est l'Infanterie et n'ai il de troupes ne l'enveloppera Dans d'avancement grade cette moment conscription me officier. je à qui suite de s'est la mois votre li- la procurer commencer. premier dans vous vous ami, âge Mon temps quelque ra au et Par mathématiques. vous pourraient de famille, sommes mon bien, et, notre me reconnaissants. toujours avantages à Trebuchet, de vous devriez [Vous vrer aux encore prosaura de qu'elle cher nouvelles et Sophie en serons les verra et ] Continués, donner l'innocence que ne ne le sent s'y qu'à prouil le quand nécessité. mon avis et [je APPENDICE vous dans ai 'félicité sur ce .que vu j'avais vos ai dit ce que lettres, je vous sont d'ije vous répète, qu'elles pleines dées neuves et justes votre stile et que être trasi vous peut plus qu'ordinaire, vaillez à le. soigner, si vous vous donnés de à l'étude. le disais Je l'application à Sophie votre derencore en recevant nière du et elle de 3 Vendémiaire était mon avis. A votre on a du âge temps de reste et lorsqu'on le divise bien on en on trouve et pour l'utile,. pour l'agréable talents nécessaires et acquiert quelques vous avés commencés cette marche. déjà vous vous êtes adonné aux mathéDéjà d'étudier vous même matiques Essayés une l'italienne est exemple langue, par facile et il faut de temps peu pour l'apNos nous rendent cette conquêtes et elle offre beauindispensable Ah! si la carrière des coup d'agréments. armes embrassée tôt trop pour que j'ai mes militaire, j'ai goûts puisqu'à peine été forcé d'abandonner les eut sciences, au dessin, à prescrit que je m'adonnasse à la l'allemand, musique que j'avais commencés. me récréeAujourd'hui je le matin en traçant un léger rais paysale jour et je me allemand ge, je parlerais prendre. étude le soir. On ne peut tradésennuyerais plus vailler sa propre instruction, quand pour telon des fonctions publiques, remplit tous les encore celles absorbent que qui mes instants. Si la paix se fait je répatems rerai le si je m'apperçois perdu, occupations les voir répartition Conseils le j'ai passé habituelles. diminuer un des affaires devait me là n'empêchera pas nous ne travaillerons vons entre les mains tient de huit plus tems Je dans à la peu parce que entre les deux le faire croire, ce- que de quelques mois Nous a-, beaucoup. une affaire qui concents pièces, dont finira guère qu'en nivose. s'en charCollègue du pour jugement d'en profiter. Si mon le tems tacherai J'ai la lettre de reçu du Cousin pa et la note était jointe, j'y répondrai en attendant, mon jours, chet, assurés ma toujours famille de notre souvenir. vous embrassons de bon notre bon paqui y de peu Trebu- Mathis sous Cher soeur et notre et Sophie cœur. moi HUGO. Bien lair. des Le Cn choses Delair ~)n buchet. Capitaine inédite. 9 C" vous Martin, Dedisa vous aiment toujours à votre souvenir. bien il son Tré- Hugo A'/H<Me 29 (Samedi, 'le au et sa famille des choses. sent aussi bien femme et Louis et se rappellent Lettre honnêtes <t;t 7 de </<'ceM&t'e bean-frëre /M&<i</Me ~79S~. /'?'H)t- S'il mes m'attendais ne j'aurai ge, vacance et çaise ne soit plus trop tard.] amume paraît vous vous êtes que à St-Fiacre notre bon sé et que papa sa excellente a été satisfait de récolte aussi devés et en quantité, .m'a-t-il écrit, vous bien vous être amusés en vendange. vos aurait bien désiré Sophie partager ma il et sans sa rotondité, foi, plaisirs vous fut allée eut été qu'elle possible Moi, et moins, ou pluviose. /~a's. qu'il Il voir. a trois et quatre cents majorité rolles cette affaire concerne chaufvingt, sept feurs de la même elle nécessitera bande, à Paris de plus de deux cents tél'appel la mon cher Trebuy a longtemps, ai écrit, c'est chet, que je ne vous parce mille soins 'dije n'ai que pu le faire vers m'ont au que je ne occupé point ma sais comment réparer je ferai pour envers mes' et mes parents négligence les uns et les autres il faudra amis que là facileet ils en viendront m'excusent, ment ils sauront que je ne les ai quand un pas tention quand traient. Je ne moment de mes délaissés leur donner occupations sais pas, je ne peins comme je peine nuit et presque autrement quand et surtout' sogne si vous j'écrit que plus me dans l'inde temps, le permet- pourrés comme et je Il n'en me un lire, chat quatre griffonne être peut jour. de bel'on est chargé à la veille de quitter APPE!~DiCE des rien fonctions, laisser ne qui en arrière. permettent de re séant à curité d'obsl'espèce surêtre réduit, ne sera pas elle pourmoi Paris mais laquelle je vais dans un cantonnement Vous avés plus fréquemment. vous vous occutant gagné depuis que fait de votre cela me éducation, pés que un conContinués, plaisir inexprimable. moi detinués les mathématiques, pour tems mes devoirs m'ont fait puis quelque délaisser les muabandonner les sciences, rien donner ses, et ne plus ( ?) aux plaisirs. et je m'appliJe vais à la campagne si je puis car les soins m'y querai qu'on l'avoue de aussi honorablement quitter des fonctions aussi délicates, desquelles avec les meilleures on souvent, intentions, ne se tire comme on le désirerait. pas avec sa La calomnie ne m'atteindra pas m'en aux cent patte griffes, j'ai pour cependant m'eussent d'occupations entretenir laissent destine, J'espère votre que frère presque absolument. également m'écrirés vous trop occupé vous ne le pas, que permis peu et moins de vous à tout sans charme quelque pour ra m'offrir le temps nécessaire qui m'est à [réparer le vide de travaux studieux, que trois lesans, pendant j'éprouve depuis consacré en entier quels je me suis pour la chose H m'est doux je vous publique.] J'aurais désiré pas repos. parce que ne vous écrit délaisserés pas ma femmon Adieu, Trebuchet, petit vous embrasme et mon fils et son père, sent ainsi toute votre famille. que Louis est caporal. HUGO. Lettre du Capitaine buchet.~). Hugo le bouclier de l'opinion publipréserver, la Division, et l'ordre de que général à notre dont bon j'ai envoyé copie papa. l'aspas Paris, je vous [Je ne regrette et mon doit moins le resure, Epouse des encore. Elle n'a y jouir pu gretter de son beau-frère Tré- offre et si elle chaque jour, plaisirs qu'il à Idalie s'est distraite quelquefois ( ?), à Mousseaux à Tivoli, a passé ou elle dans notre antibien de tristes journées, Commune. elle a voulu que maison Quand sortir elle a été couverte de elle boue, a été d'être rendue aux avant fatiguée a risqué elle de promenades publiques, fouler cela, Paris. le 15 ;)/MKin.<e ~<i 7 de la République çaise ~<-<:t'/e'' ~799~.J. goûter forcé /rM- voir trouver courses femmes Treavec mon cher reçu plaisir, la lettre vous m'avés écrite buchet, que le 26 du mois et dans dernier, laquelle vous votre les craintes, m'exposés que bon sur mon cœur vous fait ressentir de fonctions vous craignés changement soient d'un moindre traitement qu'elles et que le séjour de Courbevoye, n'ait pas J'ai sans tions ris pour de vingt plus mon cher frère, que fonctions doit m'offrir nous doute que je de Rapporteur ne l'étais dans d'un Conseil un cabriolet, et tout avec piéton la déa bien suffi sans doute pour est d'une où l'on ville, toujours de courir une et deux heures pour un ne le au de ami, pas risque de A Courbevoye, elle aura peu à faire trouver pour quelques des elle aimables, jouira plaisirs croître Abel elle verra campagne, de la et elle sera bien satisfaite.] autant moi être que d'y et je suis malheureusement autant de charmes de que celui vous remercier de l'intérêt Je dois vous à ce qui nous que prenés regarde, et vous dire comment ma nouj'envisage velle situation. à mon Je vais vivre Corps plus ignoré pour Paris. le tements, je conviens Elle désire rendue bientôt, encore à PaVous pensés, jours. la cessation de mes moins que d'appoincela est vrai, et indemnités, de moins, eh chauffage que logement, an 2.000 francs j'aurai par bien avec cette diminution serai je n'en la raison mal, que je vais pas plus par à la campagne, où mes chevaux me vivre et où je n'aucoûteront beaucoup moins, les fonc'de Guer- (t;Cf.Z.e~yaro,SMùti888. ~84 rai pas tant les avantages de dépenses à faire. Au reste dont ce jour j'ai joui jusqu'à APPENDICE n'ont été et ne seront avantages éphémères je quitte aujourd'hui venir demain. Savés-vous bien je considère. d'aller Sophie voir prospérer neur de former se couvrir mes est j'en sans toujours que et cette chose encore me peut bataillon capable et l'amitié de un gloires, camarades. Pour du le nerf de la guerre vivre aye assés pour et que re- tout dans cela ce que C'est le plaisir qu'éprouve à la campagne, celui d'y notre l'honjeune enfant de dettes des sans de tous reste, l'argent et pourvu que en paix, je vis soucis. de tout embrasse son cœur à elle. joins bon papa et à notre Renouvelas à notre famille l'assurance de notre attachement. Sophie et je me vous Dites ma à sœur il y ait quoique que nous de ses que n'ayons reçu longtems nouvelles nous ne l'en aimons moins pas et que je la prie de permettre à son frère le militaire cœur de l'embrasser de bon et d'embrasser aussi lui notre tante. pour il Louis se porte si bien bientôt que ne notre pourra plus passer par porte, tant il devient et grand. gros Bien des choses honnêtes au Cn Delaire. de qualité commune. Rapporteur de Grève est couverte d'eau, [La place tant la Seine est grande, on ne vient chez moi et la bateau, je désire qu'en que se en et ne chemin présente noye pas vous arrive saine et entière.] Ecrivés moi et toujours à la en maison ma HUGO. suivi Paris, ventôse <!M7 ~3 au 3e bataillon beau-frère Tré- ce qu'il se fait sautille à cher tout voilà, mon [Me Trebuchet, fait instaHé dans mes nouvelles fonctions le seize à l'école midepuis je suis logé mon fils m'y et mon ont litaire épouse (~ Cf. LeFigaro, 1" août tSS8. aime le bruit des tambours entendre du matin au soir aux fanfares de guerriers perbe musique au bruit perçant yeux ne peuvent à feu ches que une magnifique qui qu'il la su- de la 20e, qu'il s'égaye des trompettes et que ses suivre loin ces boutrop conduit au grand galop artillerie Tout ce légère. enfants de son âge, l'amu- les qui effraye se et le satisfait] aussi sa bonne est-elle au Champ de Mars midi toujours depuis à le promener heures, et là jusqu'à cinq lui faire le bon air. prendre [Voilà là ceux les plaisirs de mon fils, de mon épouse, mon cher voici, voi'Tre- les plus constants. les miens] [Du au soir mon bataillon je manie je de tous les détails m'occupe qui le concernent et que l'absence du laisse chef, en partie à ma surveillance. Ensuite les rends au Conseil de jours pairs je me où je travaille à terminer les afguerre buchet, matin faires qui me restent.] ] Nous devrions être à les du service fatigues Courbevoye, de Paris mais et les élections nous retiennent ici peut-être nous elles seront y rendrons-nous quand faites du moins on en parle. Nous avons su le 9 les pluviose effets du tremblement de terre qui a eu lieu le 6 sur les rives de l'Océan et qui étendu à vingt l'intérieur de charmé d'apprendre ne vous ait causé toute notre famille été Ma?'s .<799,). l'une comme l'autre ne semblent la maman pas s'y déplaire, parce qu'elle étend la vue sur les fertiles coteaux de sur la les plaines Vaugirard, qui bordent sur des avenues le printemps Seine, que va rendre le petit Abel charmantes par- s'est dans de Hugo, Lettre adjudant-major de la 20e demi-brigade à son huchet(i). et quitte pour Les inondations la au moins myriamètres la République, je suis ce que phénomène aucun malheur et que en ait peur. ont .été comme vous aussi grandes à Paris Nantes. Nous avons été' qu'à de sortir de la maison commune obligés en bateau et l'on ne traversait aupas trement la place de Grève, les quais du la Grève ont Louvre et de été inondés jusqu'au premier étage. Ce que vous me dites de certaine personne me fait deviner elle n'a pourquoi à la lettre pas répondre que je daigné –185– 2t APPENDJCE lui avais écrite quelque mariage. frère Louis est Mon où il est Commandant de seize une garnison ferai un temps après détaché de la à mon Chelles avec place lui hommes je avec en lui disant plaisir grand vous l'embrassez. quel plaisir du mon cher frère, Je vous embrasse, et mon mon meilleur de cœur, épouse autant et tous trois mon fils en font nous embrassons notre bon papa réunis, de lui et de et vous d'être prions auprès de notre affection. notre famille l'organe Huco. souaux civilités et au bon Sensibles et de venir du Cn Delaire, du Cn Marion bon nous les remercions de Jeannette, de notre bon soucœur et les assurons venir. Adressez-moi mes lettres à nouvelle adresse, Commune. jusqu'à la Maison puisqu'elles cesser. au 3e bataillon, à son de ligne se du ou les Nancy, Vous devez re, de recevoir /7orea/ être une vous cy, lorsque sein de l'ancienne vous cesserez de rez instruit que au particulière perdre qu'estimé un an 7 ~/at-6<! 1799) frè mon cher étonné, lettre timbrée de Nanme encore au croyez de la France capitale l'être lorsque d'une [charge moment où aussi chéri père des bons moment 6 Mai citoyens et pour consolations vous semission venais de sa famille je de je n'ai pas s'il bon- un perdu apporter à ma était des possible ne mère et pour le but de ma remplir mission. Ma chère et mon Abel Sophie ont été du voyage, et sont au avec moi, sein d'une famille qui les chérit.] Vous vous de mon silence sur plaignez vos doivent être fondées Abel, plaintes (4)/.e~a)-o,t"MÙtt888. ~86 fait embrasser mille il ne fait jour que dormir. Tous disent plus souvent délicats, oh la petit bonhomme, le compliment, les vais faire aussi fois. sauter, Tout le rire, a les qu'il s'entend-il jolie petite comme s'il rit aux éclats fille, long téter traits dire et ce comprenait à ceux qui lui parlent ainsi: Il a les yeux bien ouun amour, un teint de Vénus c'est verts, de son aussi est-il adoré de sa mère, et de ses Ta. Ta. père Joignez tantes.] fille à tous ces attraits dont une jolie force dans les bras, qui si elle accroît la en fera dans l'âge proportion un luron des plus nerveux. Ne mon cher Trebuchet, croyez pas, dans soit ses promenades, Abel, que mon à des confié à de jeunes filles, étourdis, il /e 17 je lieu de mon vous en je parle père [Si vous me croirez Abel, partial je ne veux vous dire répéter que ce que j'en entends et d'avance dis que c'est la 'vérité. je vous et ne Dès il gazouille s'éveille, qu'il On soulève le rideau de sa pleure jamais. couchette et il sourit à quiconque lui sa rend le premier ce service. Si c'est et maman il veut lui dire chose quelque offre reins avec Lettre de Hugo, adjudant-major 20e demi-brigade d'infanterie beau-frère Trébuchet (d). ont l'assemblage, et dans les de leurs échapperait des bonnes raisonnables route nous avons que il est quelle presque une il lui mains et nerveuses. faite et dans resté toujours faut La lasur les genoux de sa mère ou sur les miens, me loin de lui faire le moindre mal, semble ainsi tout le monde, avoir qu'à ses Voilà accru je physiques. quaHtés crois le portrait de votre d'Abel, premier, de votre cher neveu. plus rendu Je repartirai d'ici le 30. Je serai à Paris le 6 du mois prochain, parce que m'arrêter à Toul et vous je dois pourrez m'adresser vos lettres à. l'école, militaire, sous la donne en je vous qualité que tête de la présente. bien mon TrebuJ'aurais cher désiré, le temps de ma mission n'eut que été limité, fait deux ou trois j'aurais pas lieues de plus et j'aurais été emcents brasser mon mes ma famille tantes, papa, eut vu ses parents et vous aussi. Sophie vous eussiez tous vu mon et fils, chéris, chet, APPENDICE G tous contents. nous eussions été réunis, sont il faut mes ordres Mais, impératifs~ et je vais le 6 prairial, que je sois à Paris affaires mes en y laissant quitter Nancy fondé mains d'un entre les domestiques si la chose ou de ma mère de pouvoir, sa famille et a balancé entre Sophie la mienne, elle fut retournée à Nantes si elle n'eut de me repas eu l'espérance à Nancy voir facilement en allant plus n'est distant de Worms d'envique qui elle ron et d'où peut myriamètres, vingt est avoir possible. embrassez mon cher Trebuchet, Adieu, et pour mon fils ma femme, pour pour et suret bons nos chers moi, parents, de sorte de me donner tout faites en à Paris. leurs -nouvelles à mon retour Nous sommes tous à J'ai vous. d'enfans an 7 de la République 1799). et se que près même Mayence situation mon pu font lui. les huit jours. et comme elle ne peut elle qu'y venu mon chez retour moi autant de satisfaction aimer et généralement autant mon moi, pour Pa- grand mon cousin Mathis, prie moi ainsi pour que ma couet dites-lui je ne lui sine que quoique reai pas moins je n'en aye pas répondu, enmis les pétitions m'a adressées qu'il du Cn Boulay-Paty, tre les mains qui m'a à assuré les avoir et déposées apostillées Voyés je embrassés-le cœur ce prévoir départ préà laissé tous mes effets j'aurais dispenj'y Nancy, lorsque étais, à Paris famille du retour sé ma petite Malbien et je l'aurais quittée arrangée. ce déheureusement je n'ai pu pressentir et d'autant moins encore que j'avais part, des lettres dans mes qui me reçu foyers à l'école miun long séjour promettaient litaire. (t) Cf. Le Figaro, tous pa. le leur] ] est que et si quelil éprouve un double chagrin c'est l'eschose me consoler peut que le 8 Mesde revoir Abel et Sophie poir tacheà Metz. Je sidor à mon passage et si je rai de les revoir quelquefois de les raptrouver occasion quelque puis emavec de moi, procher je la saisirai pressement. Si j'eusse cipité, j'aurais donnent Embrassés vie le plus de ma pénible [Le moment est mon cher Trébuchet, arrivé, je pars de mon et je suis forcé de me séparer Tous cher Abel chérie et de mon épouse la route ont hier tristement deux pris celle de Nancy et demain je vais prendre Worms, dans la nouvelles j'ai n'était qu'il d'autant à Paris, ce dont été plus j'ai bien de la avec fâché, plus que j'aurais de satisfaction fait sa connaissance, parlé vous et satisfait à vos désirs. il se forMon Abel est toujours gay tifie et n'ait jour quoiqu'il que chaque son mois il dit déaujourd'hui, septième maman distinctement et peu jà papa Lettre de l'adjudant-rnajor Hugo à son beau-frère Lenonnand. chez )e citoyen Tt-ébuchet juge au n° 49 (1). Tribuna) civil, rue Maupertuis, de mes décider, par la et aimée, y est connue bien. être Cn Conaud est Le (?) à mon pendant absence du C" Boulay-Paty appris HUGO. /'aW~, le 25 prairial française (13juin de fini si de plus que ce n'est pas par je répondu, comme au mais c'est qu'ici négligence, de Guerre, Conseil je n'ai pas une minuécrite à moi et que peut-être je ne vous raison du rais sitôt départ, pas si, pour là suspenmes n'étaient occupations par la ~87 Dites-lui Commission. n'ai pas dues. de l'adresse [Voici A la C°"e Hugo Rue des Maréchaux Nancy.] Au Sophie la jeune, ? 81, la mienne chez Ville sa mère, vieille à ] Voici quelle Cn Hugo, sera à Worms, du armée Da- nube. mon Je vous prie, à ma sincère amitié, bornes. sans La 1" août 1888. vous famille Labrosse cher elle frère, vous vous de est croire vouée salue ainsi APPENDICE mon Mes amitiés aux grand papa. Delair et Brosson. jeunes Ne m'oubliés de notre fapas auprès mille. de me donner de vos nouvelles Tachés que et Poste promptement tre lettre en sorte ce pour restante qu'elle Messidor, sance. soit rendue en prendra y Sophie Votre adressés-moi à Metz, vofaites le 7 de connais- ami, HUGO. Toutes les fois une lettre simple sés-la trois pour surement. plus un an, jusqu'à la mode dans les enfants s'y Lettre de )'adjudant-major Hugo, armée du Rhin, 4e division militaire, quartier général Nancy, au citoyen lieutenant d'une comTrébuchet., la franche de rue MauLoire-tnférieure, pagnie pertuis, n" 19, Nantes (1). demeurait lui donner y fran- cher Paris/mon mon épouse frère, j'aet mon fils à chez ma mère, cette destinaj'avais préféré tion comme parce que je regardais possible me revit et qu'elle fois, quelque recevrait que j'étais persuadé qu'elle plus facilement de mes nouvelles si elle que eut été à Nantes, beaucoup trop éloigné de notre mes se sont armée espérances réalisées et pour nis aux et d'une moi, que je manière puisque suis employé adjudants généraux combien de je ne sais ici, ma~s il serait possible et alors l'hyver j'aurais passer famille. cette S'il résignerais dre le bon (i) Cf. Le rude en encore, tems Figaro, elle agréable pour nous sommes saison était mais quand réu- comme de cette adjoint division, tems je resterai que j'y restasse la satisfaction de au sein de ma autrement, sais [je il vient. je bien, veut elle qu'il parce vos nourtette c'est que, dit-elle, et que départemens mieux portent qu'ailleurs. c'est assés jusqu'au neuvièla mère comme l'enpour Je pense que me mois, pour car si celui ce ne doit fant, (ci) profite être de la santé de sa qu'aux dépens mère et je craindrais de Sophie que celle n'en fut un luron avec de l'apaltérée, cette En quittant vais envoyé elle Nancy, porte toujours son Abel et I! a heureusement fait deux pétit d'Abel.] dents, j'espère pousseront que les autres de même et je regarderai comme un grand bonheur s'il à tous les dangers échappe de l'enfance, l'équi chaque jour jettent et le deuil dans les familles. La pouvante vérole a fait ici des petite je ravages, crois mon fils en sera que exempt vous m'adresserés que à l'armée, affranchissols elle me parviendra 19 </te?'mt</or an 7 de la République ~YaMC! çaise ~6 coM< ~799~. se Sophie rit encore me pren- )88- Je Trébuchet, que missent d'aller re connaissance voudrais mon bien, circonstances cher les me perrevoir d'aller faiNantes, avec ma et de famille, ce que cher. de plus j'ai des nouvelles de notre de nos de Nantes, parents vous présenter Donnés-moi et papa grand il y a longtemps rien et que je n'ai reçu en recevoir. Dites de notre que je désire bien des choses honnêtes au C" Depart laire et aux Cns Delaire fils de Paris. des renreçoit chaque jour [L'armée forts. Les bataillons auxiliaires s'organisent et avant peu je pense que nos armées victorieusement l'offenreprendront sive.] ] Donnés moi de vos de celnouvelles, les de votre et de l'Etat de la guerPays re qui fait. s'y Louis doit être nommé actuellement sous-lieutenant de Grenadiers, le C" Moulin membre du Directoire m'annonce (?) a apostillé la demande faite qu'il que j'ai de ce grade et je m'attends à lui, pour de jour à autre sa commission. recevoir Je vous embrasse de tout mon cœur. HUGO. aux Adjoint des Maréchaux, Nancy aoûtiSM. année. (Meurthe), rue généraux, Vieille à ville, division militaire. adjudants ? 81, 4e APPENDICE Lettre de Hugo, adjudant-major a ta 20e de ligne, aux adjoint capitaine rapadjudants généraux, 2e du du conseil de Armée porteur guerre. de guerre de second conseil Rhin, permanent 2e la 4e division au du conseil militaire, greffe de guerre, à Nancy, rue Callot, n' '102, à son Trébuchet. Inédite. beau-frëre de ce où la 8 ceH~e?/an'e (36 Mp<eM&e an 8 de la ~799~. je si Que ce bon Je qu'il du serais la bataille de Novi, Lecourbe Piémont, dans succès la vallée de Mas- celle deux nous nous qu'à journées, ses forces étant infiniment retirés, rieures aux nôtres, numériquement lement. A peine nous retirions-nous la rive de ce fleuve, gauche que a Papa sais qu'il de détacher douze mille la Hollande, de sorte que a .été de suite ce qu'il en restait réparti dans les fortes et cantonneplaces s'attendant à voir d'un moment mens, à l'autre l'ennemi à passer le Rhin, et de de n'ayant plus moyens l'empêcher. Néanmoins nous avons dans nos appelé nous l'annonce qui compagnée hors de tout Nous vous remerdanger cions tous deux de l'intention vous que l'inavez eue à ne pas nous dans jetter et nous vous au nom de quiétude, prions tout ce avés de plus cher a que vous engager nagements. vailleur, veut âge réussi, a perdu d'Airolo, après quelques et l'on à la jonction s'attend de ces séna, deux La passage du Rhin exégénéraux. notre sur cuté armée et sa marche par ont forcé le AuSchwetzingen général trichien Charles à se rendre à marches forcées sur et quand nous il n'en était 7ïë;)M&<Me et moi, mon avons cher frère, Sophie été de la maladie sensiblement affligés de notre l'eussions et nous grand papa, été bien si en nous annonçant davantage, accette vous ne l'eussiez nouvelle, pas de a Joubert, devait prénos succès en Italie, elle a été liparer mais les ont été forcées vrée, troupes de leurs reprendre primitives. positions dans Néanmoins a pénétré Championnet le le Nancy, française plan France se fatigue et il doit repos mon heureux en prendre. cher Trebu- lui prél'embrasser, je pouvais chet, senter mon mon Si je poufils, épouse. vais la famille à laquelle connaître j'apSera-ce doncenvain partiens. que j'en formerai le désir ? Me voilà à cent myriales franmètres de vous, quand pourrai-je tous. chir aller vous embrasser pour supéseusur l'armée ordre vers a reçu hommes démébeaucoup est tragrand son sans cesse, sommes les moins places exposées, auxiliaires des départemens dissement de l'armée, et au nouvelles les d'une troupes, les bataillons de l'arronde ces moyen nous tirerons de ces places, ou de passage, les vieilles pour couvrir en a repassé partie le au delà Rhin, plus Neud'Ehrenbresthein, que les garnisons Kehl et Huningue, Cassel, vied, qui gardent ces forts. Ce a déterminé ce qui la suite d'umouvement était rétrograde dont le but était ne combinaison militaire, partie en cas opposer attendant des les renforts, points princiVoilà notre situation elactuelle, paux. à l'autre le peut d'un instant beaucoup s'améliorer et j'ai lieu de penser qu'elle a encore chose d'imposant, puisquelque le P. n'a encore tenté Charles que pas de faire de ses nombreux équipages usage de pontons. très Nos sont départemens tranquilles, conon bien les tranquilles, y acquitte de tributions, Quand encore ? Ah, loin L'armée mon ami, de moi. dont je il ne découvrir mandée ral put l'espoir que en est fais reste l'armée du Masséna, par afin chasser entièrement Danube com- que ce l'ennemi un ensuite génédes l'armée des Alpes. Une y fournit il faut mais quisitions, Ils avaient prêtres. semblemens à des et détacher lignes grises, corps de vingt mille hommes d'Aipar la vallée rolo sur le Milanais où le Général Chamles devait Austro-Ruspionnet attaquer ses et faire sa tant avec cette jonction colonne détachée de l'armée du Danube, qu'avec on ses, des i8i) toutes les sur réles veiller formé des rasdéjà fontaines miraculeusur ils en avaient formé la chaîne ont les été dissipremiers Vosges, la persuasion, les derniers par par de troupes détachements qui les ont pés des battus il n'en partie à et dispersés, est plus du de tout y sorte question. qu'à présent APPENDICE Me voilà Conseil encore une fois rapporteur d'un de Guerre force je crois qu'à de finirai en faire ma plaider, je par De tous tems elle n'a pas été profession. la plus cela mauvaise, pour je ne dis pas elle ne rien et deme moi, rapporte finis la. Nantes, qu'excepté n'est pays pas trop Bretagne qui toutes ses richesses, agréable, malgré qui ne valent la tranquillité de ce pays, pas où l'on dort Sosans inquiétude, excepté a 24 heures phie cependant qui pendant trois mois n'ai touché un puis je pas le dis tous ceux denier, mais je pour ont célébré Bartolet et Cujas et qui qui ne s'en sont mal trouvés. pas Mon Abel a eu la petite il en vérole, est un peu masqué sur le nez, mais comme elle ne le défigure et qu'au mipas, eu peur Adieu, ma par ont haillons, les habitants la je tous deux de ces et ne ferais de même, mon pas si vous ne m'eussiez donrétablissede son heureux vous de lui témoigner prie né la nouvelle ment dont je tout notre plaisir. trouppe qui un superbe Commune comparaisons que je n'ai pas reçu la lettre la gravous nous annoncés de notre cher grand papa, sais ce qu'elle est devenue et puism'a évité des je rends inquiétudes à ceux l'ont aux ouqui placée qu'elle grâce bliettes, je ne cher Trebuchet, arrivant ici [En j'ai mon retrouvé mon bien épouse portante et Abel bien babillant à faire rire gai, surtout ne pleurant pas ] je voudrais que ici ville, imite la Maison qui là c'est la Meurthe y voit rapide qu'on ressemble en tout à la et tortueuse qui Nous Chère et dormante marécageuse rions cette petite c'est de la République je vous dirai par laquelle ve maladie et pouilleuse pillarde. se plaît ici. Elle beaucoup par Sophie trouve des sites court les où elle bois, et compare tout ce qu'elle voit charmans, la Chère et du fameux aux de rivages Là une foChateaubriant. c'est épaisse à allés ain- de vous écridifféré ayant au lendemain par toujours vos de recevoir de nouvell'espérance les et de chère famille. si notre Jugés rien du être en ne trouvant j'ai surpris car chez moi de ce qui vous était relatif dite, ressemble pour moi, tous tre silence et re en remettant de l'Isle et font aux verte, peur petits enfans barbes. Ce sont par leurs longues de très Aussi vilaines depuis gens. que ont elles ne nos femmes les vus, jolies les désirent et préfèrent les volonplus mautaires à toute cette race français, qui couvre édifice papa Embrassé aArrivé mon cher Trebuchet, d'hier, avoir assés les Vosprès cotoyé longtems été au pied du Donon, et être avoir ges, remonté aux sources de la Sarre, je m'attendais en retrouvant ma et mon Sophie a lire au moins une de vos Abel, lettres, étant de voextrêmement étonné parti sommes ? Ici nous plus Aun'avons de sales que d'horribles Russes trichiens, qui sont que très contens Les de leur precaptivité. miers sont on ne mal vêtus, peut plus une mauvaise les couvre et la micapote avec sère s'en sert se couvrir pour eux rêt Trebuchet, mon fils et Nancy, le 19 9 $'e?'M:?ia<.ax française (9 avril ~~00~. brigandages nous heureux, couverts de comme pointus Charles. Lettre de Hugo, capitaine du lerconrapporteur à seil de guerre etc. son beau-frère Trébuchet chez le C" Lenormand-Dubuisson, rue Maupertuis ~). leurs sont du prince mon cher HUGO. tétait encore et très peu puisqu'il que d'enfants sevrés ont été sauvés depuis que cette funeste maladie existe ici. Vous êtes donc entouré de vos toujours vilains finiront-ils donc chouans, quand autres bonnets convenir est un femme, embrasser notre bon si que notre famille. lieu de la nous entoure, contagion qui il a eu grâce au sein de sa mère le bonheur de s'échapper, nous sommes on ne peut eu contens ait aussi plus qu'il heureusement cette maladie. a eu Sophie lui tous d'une bonne mèles soins pour son à son sein doit salut re, c'est qu'il les des par (1) Ci. Le Figaro, je 190 8 août 1888. APPENDICE vous puissiez la nous ferait me [Vous re dans les dire Chargé cédure très nous revoir en à tous. famille, ce- plaisir vous allé faidirés, qu'êtes et je vais vous le Vosges de l'instruction d'une proasvolumineuse contre des eu besoin de me rendre sur sassins, j'ai les visiter leurs lieux, d'y d'y repaires, entendre les témoins, à la prode donner cédure le développement nécessaire. J'ai, l'avoue un pays je vous parcouru unique en son Couvert de la suite des genre. Alpes monts appelée Vosges, est couvert de le sommet Nous vous félicitons d'être votre place. Sensibles au bon souvenir nous vous de mille, prions notre reconnaissance. gner Ma Abel et moi, femme, sons tous du meilleur cœur de Ne des chaque ferai cette la renqui détrempant tourbe, aussi molle les marais et exque les hommes et les chevaux à se posent sans d'être secourus. Le noyer espoir brillant paysage y est ] Vous connaissez là les causes de par mon silence. bien charmé les Je suis que vôtres dans vous été ayant l'espoir que donner de plus agréacelles vous nous que que n'avons avés adressées et que nous pas Dites donc à notre bon papa comreçues. bien nous sommes charmés de son en- nous tier rétablissement et combien nous vouen drions l'embrasser lui pouvoir pour notre joye. témoigner Si notre désire être congrand Papa servé et qu'il ne le soit cela nous pas, fera de la peine à lui, mais par rapport si consultant mieux son c'est-àintérêt, dire sa il préfère une vie douce santé, et paisible au tracas des tribunaux, nous serons contens de le voir aussi tranquilmoins nous serons le, parce plus qu'au en de le cela que lui et sir, La lettre est présente elle l'heure, vous embraset vous prions d'aucune des auprès de nous. parleront négligés mois, autant de m'écrire pas au moins, de mon le promets. je vous une côté fois j'en ar)uee du Rhin, à son beau- ~Ve~!M</et:, le 22 /~o?'eo< an 8 de la République (12 niai .<~00~. française J'ai tre mon reçu hier, vous m'avés que vous me quelle malheurs arrivés suite à envoyée cher écrite donnés les à Nantes ma Sophie, la frère,. et dans letla-. détails des je dont l'ai je de reel- cevais aussi une dans lettre, laquelle le me ses affreuses peignait inquiétudes. Je n'ai été informé de ce terrible évènement le Moniteur donque par qui ayant né le nom des victimes sur le sort sans les des inm'épargna de ma famille. Sans détails dont il est eussent été les mien- quiétudes ce journal, plein, qu'elles jugés vous sachant si près nes, Je vous remercie toujours cher du frère, soin, que de m'instruire vous-même plosion, de tout Voilà et de me de ce château. mon beaucoup, vous avés pris de cette exrassurer sur le sort nous qui appartient. Louis maréchal des logis de la gendarmerie dans les déorganisée de l'Ouest; partements Si, mon. cher Tre- conserver. Nous ne désirons ce qui peut et lui faire plaiconserver la santé. dont dans la je vous parle celle que est datée vous qui de notre falui en témoi- Lettre de l'adjudant-major Hugo, de Memingen, quartier général frère. Inédite. pluies dent surs oublier dans HUGO. lines dont les vallées sont de remplies tourbe recouverte d'herbes aromatiques si elles offrent des délicieux, paturages elles offrent aussi des les dangers après eu de nouvelles nous personnes de neiges, glaces et de et ofsapins toujours verts, qui fre un coup d'œil étonnant. Des rocs aiet détachés de terre gus qui dépouillés s'élèvent et quelques uns par jusdegrés surmontent de colqu'aux nues, beaucoup avés bles ne conservé tout à j'ai reçue du 6 de ce mois. 19) ce donc on juge à propos de l'attacher à la de Nantes, recommande 'de place je vous le guider sa conduite et lui faire dans bien sentir ne se maintenir qu'il peut buchet, dans son excellente nouveau conduite. grade, Guidés que alors une par la sien- APPENDICE ne lui procurés ami, que quelde vos connaissances et faites ques-unes tous vos efforts d'en faipour l'empêcher re de mauvaises. Louis n'a cultivé pas son éducation dans son enfance il préne, mon de résulter de vie, qu'il travaille à son instrucet se fasse un peu à la société. mon cher à mo.n Trebuchet, Témoignés, à mon cousin Mathis et à papa, grand notre famille ma de l'acreconnaissance fait je sais et je pareils procédés leur voudrais être à même de en faire connaître moi-même toute ma satisfaction. Je ne désire c'est qu'une chose, que mon frère travaille à se concilier leur estime. Je vous qu'ils de écrivais lui que ont mon se rendre et reçois bienêtre pour elle, que par on a une famille se de la voir l'âge en qui peut à moi. rapport et est qu'on ne on former, lui de moyens travail du malheur des autres, que puissent à cet me conmes enfants, égard server un pareil attachement à celui que à ce qui appartient à mes deux je porte familles. Je vous embrasse bien sincèrement vous avés dû de ce pays recevoir déjà une mon lettre de moi, elle vous donne plan tion flatteur le prix du sœur, Quand dans doit aucun des négliger assurer une honnête ou du moins aisance, un sort but detel a toujours été mon connu votre chère sœur, puis j'ai je que n'ai aucun des moyens de le remnégligé Je préfère le tenir de mon plir. longtems férait le à l'instruction et il doit jeu se bien a perdes moments repentir qu'il dus. Sa s'est dans les jeunesse passée il y a contracté les habitudes du camps,, il faut soldat, aujourd'hui qu'il répare le temps établisse un nouveau perdu, qu'il cueil sentir votre adresse. Si à vous ne l'aviés continués m'adresser me vous l'avés fait. Embrassés moi pour tre famille. vos pas lettres grand papa allait épouse lettres je que elle n'annonce reçue, comet no- HUGO. à Nantes des dans lesquelles encore ouvertement l'idée contraire, point me font son elle état, penser, qu'attendu et ne s'encaissera agira plus prudemment une au risque de se dans pas diligence faire ainsi son intéressant presser, que Abel. Je préfère, comme lieu de préj'ai voir les hostilités seront bientôt susque fasse ses couches à Nanpendues, qu'elle la incessamment et cy où j'irai joindre Lettre de Hugo, adjudant-major, quartier général de Memingen armée du Souabe, Rhin, en Général Trébuchet Moreau, à son beau-frère (1). la conduire de forces, le sein de mon appris par vous m'aviés frère, que vous me donniés que des nouvelles de notre en Souabe, Memingen République française flatter, la mon cher épouse, écrit à Nancy. et dans votre lettre, dont grand papa la santé continue à notre satisfaction commune à s'améliorer. Elle a dû ou doit vous et vous sous annonrépondre peu, cer le 28 que depuis germinal [je suis de Nancy me rendre du parti pour près chef de de la réserve de l'état-major cette La peine lui a fait ce armée.] que vous me que mon cher Trebuchet, je vous avoue trouve infiniment je me que honoré de la confiance m'accorde qu'on et que tous à la conmes efforts tendent mais s'il fallait rester server, que longde ma temps séparé Sophie, je la quand sais dans de vives inquiétudes, je prendrai peut-être ces d'un sur an 8 de ~~00~. J'ai son enfant aura assés lorsque dans une voiture à moi, dans la voir, sa famille elle désire la connaître et certainement je désire je ne négligerai rien nous pour que soyons tous deux satisfaits. Je m'en fais une véritable fête. Je vous remercie dites d'obligeant, le 13 prairial (Lundi 2 juin ce l'a déterminé départ ler faire un voyage de s'y distraire des sent propre un autre Si les espéranparti. sort brillant me plus peuvent c'est assure à cause je vous plus de mon état, (t) Cf. Le ~/< 192 absence ce que à me dans demander d'alsa famille et reschagrins qu'elle senti mon j'ai par à une épouje devais S MuL 1S8S. APPENDICE se chérie consentais se rendit et, de je tout lui ai répondu mon cœur à ce mais a beaucoup à prendre tant précautions son fils fait des dents, pour qui que elle est forteenceinte, pour qui je l'ai ment à n'entreprendre ce voyaengagée avoir consulté le médecin ge qu'après du soin de sa santé et que j'ai chargé s'être mise le cas de le faire dans après avec toutes si les commodités possibles donc sirs rien soient près de vous, ne à s'oppose elle satisfaits, ma famille pour où je ne doute samment la sienne, soit infiniment sera-t-il tinue à de je que qu'elle elle comme accueillie. que si ce que quittera retourner ses déinces- qu'elle pas Peut-être vers ne bien concampagne ne soit qu'elle de comme nous avons lieu pas longue le la vous empenser, j'aille joindre, brasser et connaissance avec une faire famille ce sera avoue que j'aime je vous un bien beau moi, jour puisse-t-il pour arriver bientôt. trois reVoilà couriers que je n'ai pas possible être heureuse la et des nouvelles de cela m'inçu Nancy, deen recevoir quiète cependant j'espère main est très exacte parce Sophie que à m'en donner de mon côté je lui écris tous les deux et aussitôt presque jours un c'est elle je que j'ai moment que de mes commissions envers ma charge elle écris famille, je n'y plus seule, ,qu'à et et comme elle demeure tard faire mes main tention ne l'eut lettres rassure courir; la qui lui écrire souvent cas de recevoir des le mais rassuraient, et peu elle ne se suis trouvé à pluje me d'inquiétudes sieurs et aux bacombats trois grandes tailles nous à Lugen, avons livrées que Moeskirch et Biberach et j'ai eu le bonheur de Les évènen'être blessé. pas néments se passer seront qui pourront cessairement moins chauds ceux qui que ont eu lieu et l'acharnedans lesquels ment ple. lui et ont l'opiniâtreté la Rassurés écrirés. Bien des grand embrasse donc choses et à papa ainsi que été aussi de ma notre vous. Mon adresse est Au Cn HuGO, adjoint de la réserve tat-Major en Souabe. Rhin, lettres et dit va met. sans quand part famille, en exemvous à notre je HuGO. de chef l'armée de les l'Edu nous somsans doute que le 8 maîtres de la ville et que déjà de nos troupes d'Augsbourg, sont sur le territoire de la Bavière. Nous attendons des nouvelles du PreConsul mier pour pousser plus avant.] J Vous savez mes depuis Lettre et nécessairement elle se dissipeil le faut sa santé, mon aussi, ra pour vous à ne cher Trebuchet, je engage des aucun de la distraimoyens négliger re des noires idées dont elle se charge l'iil faut elle aime bien, donc magination toute la à scrupuleuse, mise dans toujours qu'un s'imagine dans il l'intervalle s'est écoulé, que qui m'être arrivé chose de fâpeut quelque cheux. Je l'assure de la gémis je vous voir dans un état de sensibilité pareil dans laparce l'impossibilité que je sens de la rassurer assés tôt. quelle je suis à moins Elle devrait se faire un peu amis d'elle avec elle depuis que s'est fois renplusieurs et l'aurait été davantasi mon atexactitude elle je l'ai quittée due très malade si ma ge grande aux connaît personnes qu'il qu'il tre une lettre dans le trou son papa. pour Il est dans mon absence consol'unique lation de voir qui ne veut per[sa mère sonne. Si elle se rend dans sa famille, il faudra bien ses ses qu'elle voye parents, éloigner je puis dans le cas de lui serait des évènements malheuvous assure ainsi qu'il c'est je se conduire reux faut chez ma mère lui communique elle y mange, qu'elle ce qui la concerne. C'est mon Abel qui porte à la poste, il les tient à sa des postes croire à de Hugo .Bo)?:&ae/i, française le à son 15 7/ieMt~or f)'et!<4~M!«e< sommes au [Nous mon cher Trébuchet, idée des dangers que rassurer le requand (i) 193 Cf. Le ~aro. beau-f't'ët'eTrébuchet('l). 8 Mût an cœur nous 1888 8 de la République 1800). de la tenons Bavière gar- APPENDICE nison dans Munich en est la Capitale. Nos en possession de troupes la Souabe et de cours du Danube Neudorf. Bombach d'où jusqu'à je vous écris est à trois lieues Nous d'Ingolstadt. nous de la réduction d'Ulm. occupons qui sont tout le s'est décidée Sophie où être Nancy j'espère tidor prochain.] ] Embrassés pour famille et pa ma partient. Je vous à rendu moi tout embrasse m'attendre en à fruc- mon grand ce qui vous paap- aussi. HUGO. mon adresse [Voici Au Cn HUGO chef de adbataillon, au chef ~de l'Etat-Major du centre joint de l'armée du Rhin. Au Général de l'Armée. Quartier En Bavière.] du Lettre bnisson. Capitaine Inédite. Hugo A mon retour été confiée je mon cher vous, d'une Nous cœur, puyé des beaucoup apostilles je puis utile. émarger, vous être Dans mes lettres mon frère Louis, jointe enfin et de des choses honnêtes vous embrassons mon cher grand une au de Cn tout DEnotre papa. Trébuchet. Au maison Caii!é '.). /,MM6U!f. Ma femme me charqui n'écrit jamais à notre aimable sœur ge de dire qu'elle de bon cœur les nœuds d'amour approuve vous avez formés et elle désire que vous qu'ils L'interprète sœur qu'il rendent entièrement heureux. de Sophie aussi à sa répond ne démentira la marjamais d'attachement et d'intérêt n'a que qu'il cessé de lui montrer et il l'embrasse de tout son cœur. Mes empetits garçons brassent leur leur oncle et petite cousine, me si apféliciter, dont le faire je vais être assés heureux pour est voit destination à Paappelé Je aM ~0 à en une Lettre de Hugo a son beau-frère rue Viiiidieli, citoyen Trébuchet Inédite (1). et je vois grand papa, les vous ocqu'ayant perdu places que vous désirés entrer comme cupiés, juge dans les tribunaux Je vais m'ocspéciaux. d'en faire la demande cuper vous, pour dans la supposition comme vous me le où il en serait établi un dans prescriv,és le département vous habités. que J'aurai sur HUGO. mission qui m'avait ici une lettre de trouve ordres être pense est j'en serai d'autant plus content cela me permettra de suivre que activement les démarches comque j'ai les unes faire mencées, TREpour placer BUCHET dans les les postes, autres pour faire placer mon jeune frère dans aspirant la marine. J'attache à la réusbeaucoup site de ces deux démarches finiront qui leur à chacun un état. par procurer Présentés de la part de ma femme et de la mienne, à mes frères et sœurs et à notre famille de notre sinl'hommage cère attachement. quelconque. si cela ris, Bien LAÏR. à M. Lenormand-Du- /.M/tg't):7/e. le 4 germinal (25 m~< :~0~ f~ des j'attends leur tante. HUGO. Embrassés de pa et adresse veau. la paix qui de périls après beaucoup gloires. Pendant mon absence ma femme était allée en passer le temps dans ma famill'ai le, retrouvée ici bien je portante, ainsi ses enfants. Elle a fait vacciner que le plus jeune. Nous sommes maintenant ici et seuls, notre que pour famille. nous ne vous je Ne notre pagrand changés pas mon la donne de nou- (i) La lettre, dont ce fragment fait partie, contenait deux ou trois pages qui ont été déchirées. Cette lettre a été envoyée de Lunéville, probablement à la même celle adressée à M. Lenorépoque que qui précède mand-Dubuisson. 194 APPENDICE Lettre du huchet(l). Capitaine son Hugo. /<e <<'e, /~or<o-et'?'~o. fW~: 5~M!7/e< ~~0.9~. le ce be:u]-frereTré- ~6 «tM.</<<o?'SK 11 tems enfin de vos mon nouvelles, [J'ai reçu cher et ce qu'il Trébuchet, y a de mieux c'est les Anglais les ont laissé que passer deux fois. Il y avait deux ans que avais je n'en reçu aucune.] Les détails vous me donnez sur que votre famille dans jouissés infiniment de et le bonheur dont votre m'ont ménage voudrais plaisir, je dans une position avec vos moyens je voir vous fait vous cependant plus car vous agréable vois dans la nécessité de végéenglouti ter et malheureusement je ne longtems vous soutenir d'aucune de puis auprès connaissances mois qui depuis sept [mes travaillent à !me tirer de la 20e où je me ruine Peut-être et qui ne peuvent réussir.] si la guerre procurer faudra me le un alors fait détermine se le. sur le à même s'engage trouver me pourrai-je emploi que je espérer à vivre plus sois et continent de vous il mais comme on votre sœur lucratif, placé que quelque temps seu- Nous sommes ici dans un brulant pays où tout est d'une affreuse rareté et par d'un fou. L'isle est belconséquent prix mais nous le, d'un y somaspect riant, mes rationnés pour l'eau, le pain presque six et ne vaut sols la livre rien, y vaut bœuf 12 et c'est souvent sous la du livre buffle, et le à 40 beurre est tout à proportion. Je couche sur une et si je n'avais mes paillasse pas draps de me contenter de mon je serais obligé tout nud. Votre sœur ne partage grabat cette est heureusement pas position, [elle en France mes affaires et fait tout pour (1) Cf. Le ~<M'o, 8 août il en est de malheureux. fallu [Peu que je ne fisse partie de l'expédition de St Dom.,] été j'aurais un cadet. Ne le manche joli jettés pas la cognée, encore après j'ai quelques esd'être mieux et les plus pérances gros finissent aider les par pouvoir plus petits. Il faut, il est de la patience, vrai, et comme vous en prenez votre moi, par attachement à votre et par votre épouse tendresse vos enfants. bien Croyés pour si je ne vous c'est fais rien que pour -~a- car pour l'amitié, de la bonne suis rempli pu efforts placer j'en avoir pour d'inutiles fait j'ai pour mon frère d'esplacer jeune pétille qui et de moyens, J. B. s'y est intéressé prit rien vivement et je ne sais comment n'a las d'être balotté il s'est réussi jetté dans le barreau où il a quelques succès. Je voudrais vous voir un car vous état, n'en avés pas. Il est vrai vous que vous et que intéressés dans les affaires par Louis, faire pourrés mais chose, quelque jusques autant vous mécontent de que mes enfants avec moi, [J'ai ainés se portent très ils bien, suite vous la vous-même là je suis sort. votre les deux apprennent Vicpetit le langue italienne plus fait des dents avec de diftor, beaucoup aussi bien ficultés et ne s'acclimate pas Il est vrai fait ici ses frères. que qu'il une chaleur extraordinaire, on la comà celle de l'Amérique.] pare diEmbrassés bien ma sœur moi, pour tes-lui d'avoir fait un je la félicite que l'embrasser et bien fils, que je voudrais mes la connaître, mais tous que projets de semestre des rompus par ( ?) ont été Dites à ma sœur la recirconstances. et à notre tante que quoique je ligieuse de leurs ne reçoive nouvelles, jamais je tandis ne les aime moins, qu'elpas que bats les moi, prient pour je me pour elle qu'ainsi nous nous les uns acquittons d'amitié dont envers les autres, excepté je 1888. heureux, s'en est par impossibilité, volonté et de vous. pour Assés heureux la en partie le Congrès par qui [Ruiné ne m'a valu de brillantes lettres, je que suis venu dans la 20e m'achever' voilà, 25000 fr. passés que j'ai dépensé depuis environ trois ans et si l'on continue à me restera rien. faire il ne me courir, le le ramener. J.B. qu'elle peut pour m'y à notre s'intéresse et cependant position nous n'avons encore réussir à rien.] pu mon il est dans la vie des Enfin, cher, ne les tiens pas quîttes. APPENDICE J'ai mon écris grand et par papa, voici la poste embrassés l'adresse enfans vos faut m'envoyer de ne pas risquerai embrasse Je vous à France de le ses pour il à laquelle lettres sans je quoi les recevoir. bien bon cœur. de il faut son grand âge, malgré nous sera conservé. espérer qu'il bien mal savez a été déjà qu'il s'en est heureusement il faut et qu'il tiré, mon cher encore cette fois, espérer pour moi-même sans cetpas frère, je ne suis cela la marche te espérance. que Malgré et papa encore Vous HUGO. est vous Envoyés bin. cit. [Au mon HUGO adresse à ma tante chef à de Bu de m'indiquez je ne la suive volontiers plus ment du lieu Rola 20<= trop sage pour que le fais d'autant et je pas mon que grand éloignevous des affaires pourrait vinssions à cas nous en que et des retards facheux dans les inconvénients que vous avez isle Porto Bde de ligne Ferrajo 1/2 dans à remettre d'Elbe par Livourne,] cette ville à Mr Joseph NégoPoggialy la faire ciant passer. pour de toute noNe m'oubliés pas auprès entraîner le perdre dans tous tre avec plein épouse représenter par qui comme elle d'agir pouvoir bon lui notre intérêt pour mon Vous saurez, habite Paris Sophie commun. prévus. J'adresse famille. Lettre'te U!igoàsonbeau-irere')'rébuchet,rue maison Caiiié, 9, Nantes, Vandicf:, inédite. mon cher Tréviens de recevoir, votre lettre du 5 pluviose buchet, qui m'a Ce néété transmise M~ Poggialy. par de mes noua du vous donner gociant combien les communivelles et vous dire Je sont difficiles pendant de à travers la nuée l'hyver entouré. Je me corsaires nous ont qui Germinal de vous écrire en proposais notre cher et à ainsi papa qu'à grand mais il se notre tante de Chateaubriant, une de le faire et je occasion présente à que par me la saisir. vous me la sandites sur me fait infinité de notre grand papa ment de et mes reaugmente chagrin de ne pas le connaitre. que Depuis grets m'a la guerre toujours je lui appartiens loin vous et si continue retenu de je fait à m'éloigner comme je l'ai depuis mois 18 côtes de sitée. Votre trop que bientôt quelque me verrai sur je terre anciennement à procuration le croira de se mon faire et semblera convenable années. sommes exposés depuis quelques raisons fallu de II m'a pareilles pour à un sacrifice me déterminer aussi grand unbien et je vous avoue c'en est que sente l'abj'en que malgré que grand, solue nécessité il m'est de m'y impossible Vous n'avés habituer. jamais quitté qui mettez vous à ma votre chérie, épouse moins la mienne n'aime je pas place, mer par et souvent m'empresse Tout ce ma cher Trébuchet, que ses enfants et avec rue neuve des petits qu'elle y demeure me- suis déterminé ? Je 76. champs en considéà lui donner cette résidence elle rant tous les évènements auxquels de siège, aurait en cas exposée pu être nous à et l'instabilité cruelle laquelle yot~o-fe?'?'a;o.<e~OMeM<Mea;< .<" ma'< 1804). (Jeudi cations donc vous aimer pouvez de situation là la trouve. la dans vôtre, jugez laquelle je mon cher Trébuchet, auprès Soyés, aimable de mon votre épouse, grand sa famille l'interprète pa et de toute dites mes sentimens de vive affection, mon à tous grand plaisir que plus embrasser et de rait celui de les bons ma femme et mes présenter de pade leur seleur pe- tits garçons. Tout à les vi- vous, cher mon Trébuchet. HUGO. tendresse alarmé sur vous l'état aura de sans notre doute Louis grand 196 est officier de grenadiers dans APPENDICE le 55e St-Omer. Bien d'infanterie régiment des choses à au de camp Delaire et à Mr Delaire. ma ma Embrassés belle sœur, sœur, ma et tante Mme Bellet et son mari celui les aimer autant pour qui espère un désire les connaître tous. jour qu'il Assure mon de mon attapapa grand chement et n'oublie ma respectueux pas sœur ma tante et toute la famille. Mon adresse est actuellement rue St? 250. Jacques près l'église Lettre de Sophie Trébuchet(i). Lettre de Sophie )h)go Trébuchet. Inédite. à son frère Marie-Joseph Ta lettre du 7 mai mon frère cher ma fait le plus elle m'en grand plaisir aurait encore fait si je ne davantage tu regardes ma à voyais que négligence, t'écrire comme une de mon dépreuve faut d'attachement toi. Sois donc pour bien convaincu les torts de ma que paresse ne sont ceux de mon cœur, point et si tu savais combien d'affaires puis et d'inquiétudes m'ont de toutes espèces un an tu serais certaiaffligées depuis nement fait un voyage plus indulgent j'ai à Naples avec mes enfants et cela m'a de six mois déjà pris plus je croyais m'y par fixer mais il de il est possible à Nantes HUGO née ta lettre reçu je l'ai lue avec que les pièces du 5 avril mon cher d'attention et notam- beaucoup y jointent ment fait notre l'arrangement par grand et la 1"= communautée, père par signé hors moi auqui m'applaudis beaucoup eu de cet arjourd'hui que j'ai copie de de n'avoir rangement point envoyé pour signer cette la 1~ pièce c'est la 1~ et cela me dans le contrat de mariage de notre pulé de la somme ayeule que la moitié qu'elle en achat de bien serait apportait employée fonds lui reviendraient nul qui propres, doute c'est avec cette le bien, que payé à ses enfans somme, qui, doit appartenir et non la reprise de cette somme. point S'il car avait en tu était autrement nous serions lésés, conviendras 1747 qu'en l'argent une valeur beaucoup plus grande a actuellement, il faut exaque celle qu'il miner notre le contrat de de mariageet les contrats de ayeule, d'acquisition la propriété de naître la portion notre deniers de Saint-Fiacre qui a été conpour avec les payée mère, laquelle aussi légitime- sans la toutes en font, grande nous portion appartient de ment le bien Monnière que apporté femme de notre grand père par la seconde à la seconde communauté, je appartient te déclare donc je ne signerai rien, que de ces difeu connaissance que je n'aye tes que attache- ce sont elles férentes parce pièces que établir nos droits et non pas qui doivent fasse un de l'été voyage rais bien du à t'embrasser plaisir faire ta famille connaissance avec ma avec belle sœur j'aime que connaître les d'après éloges que les personnes l'as connaisse qui moi embrasse la bien ainsi pour enfants et crois à mon sincère ment. ose j'h deux par qu'il raisons semble les droits de commuque nauté sur la propriété de Saint-Fiacre sont mal en ce que fut stiétablis, puisqu'il ne m'a été pas raisons qui sont dans lettre une que je à la fin J'ai frère ainsi pouvoir beaucoup à détailler trop longues mon mari est colonel du régiment Royal Corse dans ce pays ils se là portent fort bien de ses nouvelles avant j'ai reçu hier écrit avoir sa procuraje lui pour tion nous avons été assez étourdis l'un et l'autre oublier le besoin pour que j'en aussi-tôt pouvais avoir, que je l'aurai reçu la mienne tu pense bien je t'enverrai que je n'en pas un autre que toi au chargerai reste trëi'eM.n'ie-J P<«'/t'.<ej'~ou<0' /'<M'M,4.;M!H~OS.~ pouvoir possible iiugo:) son petit j'auet à surtout TRÉBUCHET. (i)Ct'e/aro.l5Mù).i888. i97 APPENDICE des ne peuvent déclarations en tenir qui lieu surtout dans l'état de faiblesse de tête où je trouve réduit notre grand père son d'ailleurs tu me dis avancé, par âge mon par que quelques acquiers portés du tems de la l~e comme fait père grand communauté être contestés pourraient par la 2me parce claine s'explique qu'il pas la lecture rement des différents contrats du donnant la date certaine d'acquisitions tems où elles ont été faites, tout de sujet sera détruit et je serais pour très fâchée la 2"~ comque fut frustrée dans munauté par surprise mon de ses droits, crois-moi, quelqu'un traitons les autres comme ami, toujours père qu'on présente aventurier vend qui enfans à la merci du presque tout et tous laissent la avait mon t'avoir désiré grand avait et père consentit, dit que sa de nos deux sœurs et paya leur pension chez notre tante ma tante RoTrébuchet, bin me prit chez elle et mon grand père mes deux frères ainés (je ne parle garda de toi puisqu'il avait annoncé la vopas en supde te garder chez lui même lonté le retour de notre mais cette posant père) de nos frères fut t'elle très pesurcharge les dé- cette auraient de cette notre de comme ta marraine maison de je crois que notre père y encore n'en suis-je pas sûre j'ai mort nous dans la malheureuse laissa position d'être à charge notre famille mais nous ne sommes aujourd'hui que à qui on peut faire croides enfants plus re ce discutons veut, qu'on quelle part de cette notre charge grand père prit d'abord notre oncle se chargea Lenormant contestations ma part nous voudrions l'être nous-même. La raison dans seconde qui cas m'aurait de signer empêcher claration les bases m'en quand semblait est justes [la rédaction à la mémoire pièce injurieuse est qui dans lui dis sans détour pour je que car il jouissait de la de non, portion bien à notre du de échu chef sa mère, de plus il avait sa mère, disposition une somme de quatre mille nous francs somme aurait été appartenant laquelle facilement à six pour cent an, placée par c'était l'intérêt du à commerce puisque du petit donc le revenu Nantes j'évalue sante un ses voilà premier venu de cette l'idét la lecture déclaration que à devenir audestinée de famille papier rait donné de lui à nos enfants et petitset je suis tu aies étonnée enfants, que souffert d'une manière si qu'on présentat défavorable une aussi action simple que de la vente celle de son mobilier qu'il bien de fortune demande tes ou était forcé de faire les circonstances par où il se trouvait à la veille d'un voyage et lointain devait durer trois années qui des enfants en bas et n'ayant que âge de veiller à par conséquent incapables il est nous eut leurs faux intérêts, qu'il pension auraient laisser sut on de car je notre la charge de mon grand père, nous fumes mis en pension par puisque et sans mon lui-même, que grand père s'en mêlat en rien] de plus j'ai toujours entendu à la dire tante Trébuchet qui bien à cette savait ce s'était qui passé et celui de et cette te 300 au moins, je à Nansi on aurait trouvé pas aux dans ce tems, une environs mes ou ils frères, certes pour une aussi bonne éducation reçu me fort bien les rappelle qu'on à l'école chez Mr. rue Dupas envoyait St-Denis mois pour à mère fr. à ou on payait et un 3 ou 4 fr. par onts aussitôt chacun qu'ils lire et écrire peu d'arithmétique les a fait vu la note j'ai embarquer la dépense fut faite Auqui pour à cette occasion laquelle dépense guste s'élevait à francs et à chaque re66 tour de voyage c'était avec l'argent qu'ils touchaient de leurs appointements qu'on leur achetait ce leur était nécesqui voilà des faits dont une j'ai saire parfaite connaissance ma sœur aînée tomba à la charge de notre la ayeul après avait laissé des fonds qu'il pour époque notre les trois ans payer pension pendant il paraît devait durer son que voyage mais s'était toujours qu'elle trompée est-il vrai et honoré pauvre que [mon ne laissa ses enfants à la père charge de personne et que c'est la mort seule mis dans cette malheureuse qui nous poà toi notre tante Rosette quant sition] mort près res, haut )H8 de notre eut lieu à peu oncle, qui dans le tems du départ de nos frèles cent écus affecter j'ai que plus à leurs devaient donc serdépenses APPENDICE vir à et tu m'ade notre sœur, voueras enfant ne les déque la pauvre dans le ménage de la tante pensait pas dont la maison ne coutait Trébuchet toute 100 francs Madelaine était pas par an entrée au sur la de couvent promesse lui sa dot l'oncle Lenormant de payer et sa de pension noviciat conséquemment mon n'en à point était grand père été et chargé lui comptait être prises nos d'après fait connaître celles été j'ai de peiné voir qu'on devaient qui de notre onconnue bien des dépenses la sur succession cle puisque sa volonté était et que d'ailleurs on ne doutait de si il eut eu le tems faire ses il nous dernières volontés tous les avantages qui auraient ce aurait été qui mon puisque grand père d'inventaire à la mort de me la succession de notre toute mobiiière tombait sible, que Il dans la 2"~ n'en profitera a passé dans tout me à parler reste me concerne quarts te elle voue dans déclaration que ma du bien de petite portion mère dont il me devait compte grand il si dans le même tems et dont ans ont bien depuis payé quinze de draps deux deux paires napes, zaine de serviettes et six ou douze cet de linge dont voilà envoi chons veut me bien faire abandon. Je suis semblables fâchée ne misères consentirai d'obligation voir car quand suis et je avoir, petit quoiqu'elle rente et l'aise mon je eut n'eut d'avoir mais point je suis bien sure été confié six que par conséquent été eut argent rêts accumulés et le tout remis et ce religieusement à j'y à de rai moyens au est me sacré à mes dire que ma dre aucun de que sure vous tout m'auras ses pouridées je mes que mon de ce dépenses soient quelques rien dans ne opinion un devoir remp)ir je dois cependant me défend de yeux position à de pouvoirs faire des te pren- ce n'ayant sujet mari m'auqui mon aux partages me et proposées refuserai que Hugo faire des revenus fixes sur suis revenus pour ce engagement à tu ses juste dispenser point torise âge quand ferai respecte ce qu'il mais signer, j'aplui aidions chacun nécessaire je con- déclaration combien ja nous que peut conditions suis que je se s'engager fonderait- de il ressourd'autres que n'ayant pas un ses si demain que appointements de fusil venait à sa famill'enlever ce ces coup le enfants me trouverais avec trois je à élever et tout bien une pour pension de douze francs obcent je pourrais que tu tenir du vois gouvernement que je serais loin de aider à notre pouvoir père mari je 667 ma ans ma au's- conserve jouit deux dou- jà. si hors je serais des donations tems tre à ges voie mon à ma tante cents livres de assez mal à les intéplacé que toute t'en à grande ménage économie pour t'en nir ce donner mari l'année sur de mes beaucoup faire les frais de puis idée que somme leur été ap- et qui le d'ê- voyam'en- frais de plus y parvenir te dirai je dans m'envoyer trois mille eu j'ai que des la qu'avec pu trois décôté loin à obligé que je une mois par un ce de suis je dernière je Pouponneau chose dans n'est n'a cette francs aux à si espérer fortune d'inquiétude faites avaient dépense de quoi peine mon puis de la côté présent mari mon l'aise, je parlé et pas quelque à quant ducation ~99 dire continuels cent point ai j'en livres été du sembla- qu'un m'arrivera mari heureux prouvées a pu toron ne mon avenir bien j'espère père grand ble malheur me charger loin d'en desi mon que n'aurait fort la le grand dans sa triple. veuille je je père prouvera à la parce que le passé sur relever de suis forcée m'aurait te somme pas que censurer grand son qu'à consentir lui qui annueiles j'asurprise crois convient notre lettre prouve à une d'extraordinaire loin car il paraît pas le même gouffre. de l'article qui ne n'attribue y a cette femétait trois res- mais ne qu'il de et posde toute justice fait n'ayant point cette francs surplus plus duite été été j'ai passablement d'y lire que les dons que mon grand m'avait devaient mon fait, engager à consentir à tous les arrangemens crois l'intérêt de la fortune de que dont il me devait fr., compte depuis à c'est dire majorité pendant quatre et Au pas que connaître eut fait sa seconde oncle qui les pour au communauté, 667 me garçons entretien à coûte et ce cent payer l'éfourqui a APPENDICE été les un objet 1600 fr, nourriture de francs 300 et à en manque grand père qui (ditde se chauffer et n'a il) pour qui pas à ses premiers besoins, quoi pourvoir j'ade me voue tout cela a bien lieu que car en supposant ne resurprendre qu'il tire à huit cent livres de renque sept te de il n'y a pas de ses propriétées, qu'avec aux frais restants j'ai pourvu de de cinq personnes qui comne mon trois pose (mes garçons ménage faisant dans la pension où qu'un repas ils sont) blanchisbois, j'ai loyer, payé enfin est tout ce nécessaire sage,' qui notre dans une et sentant être à l'aise, mais si son maison que j'aurais ménage quoi de la peine à arriver à la fin de l'année était bien administré il ne manquerai sans ne des à faire des dettes voulant choses nécessaires point pas premières la l'instruction de mes enfants Bellet en parle comme déranger j'ai vie presque réformé ma domestique et fait moi-même d'un homme réduit à l'aumône ne je V4 ma à cet état mon amitié toi me fait croire de choses allarmant cuisine pour puis entrer dans tous ces détails, afin te prie de m'écrire la dessus toute tes\ je que se fixent et la vérité idées enfin sur ma sont ses revenus, position, quels queltu n'attribue à mauvaise voles sont de lui, que point personnes auprès quelle ce qui serait somme il dépense et ce qui lui lonté, an impossibilité, je te le par dans le même cas serait nécessaire vivre sans répette, je suis qu'une privapour à la loterie et qui alors autant tions je contribuerait personne qui jouerait qu'il la me sera sa se réveiller riche ou à rendre la fin de ruinée, pourrait possible seule différence entre elle et qu'il y aurait c'est ce n'est volontairemoi, que pas ment suis le des évèneque je jouet mens, rien les attendre et je ne puis que les supporter s'ils malavec sont courage dans l'instant de receheureux je viens voir une de Bellet encore inlettre plus m'a convenante que celle que Lenormant vie douce s'il fallait cela une sompour me nos considérable et que trop moyens à tous ne nous de lui permissent pas fournir il vaudrait venbeaucoup qu'il de ou engage les biens sont' à lui qui de se laisser que manquer choses. Si l'état de sa santé pouvait dre une fin tu prochaine au surplus ces deux je pas que des pouvoirs dans des clair les quelques faire crainme l'écrirais un pouvoir suf- mes deux couécritte je suis fâchée pour sins aient assez et qu'ils peu de bon sens ne pas pour sentir que le ton de jugement ne leur pédant qu'ils prenent en m'écrivant va point vis à vis de moi qui suis de toute manière leur égale, sons me donnent que ne me persuaderons leur parole envoyer de de suite et je t'enverrais fisant pour empêcher l'apposition lets me réservant de faire un Nantes si ce malheur arrivait, rai- scel- à voyage je t'aurais ce pouvoir, mais la mari, ne m'autorisant procuration août que jusqu'au premier prochain j'ai attendre une prolongation préférer de pouvoir afin de te donner le mien un pour envoyé docteurs, dois sur pour affaires sans. voir signer, aussi bien les qui me regardent qu'eux contes me font ou par ou qu'ils ineptie me faire ne sont propour peur pas leur à me donner confiance dans pres Bellet me menace lumière par exemple de la perte de la somme que doit prélever dès des aujoprd'hui de mon tems plus long. J'aurai à ta lettre du répondu plutot mois d'octobre dernier si je n'avais pas attendu une à qui de mon mari réponse écris savoir s'il connaissait j'avais pour le préfet ou quelqu'un qui put avoir quelinfluence sur son mon mari que esprit continuellement de lieu mes changeant lettres sont souvent ou ne lui. perdues si mon la. 1re communauté grand père est forcé ses biens il suppose d'engager donc cetseulement que j'ignore que non te somme, 'mais encore la moitié des acde la de la tant lre, 2me quiers que des communauté ne répondent pas plus dettes les biens qu'il pourrait faire que du me dit aussi Bellet mogol grand vient une de bois corde qu'il d'expédier avoir été parviennent qu'après renvoyées dans ou six endroits ce decinq qui mande de tems bien beaucoup je croyais ne connaissait te qu'il personne qui put servir et malheureusement cela s'est vésois si je me trouvais rifié, persuadé qui 200 APPENDICE à ne même de t'être utile pouvoir je serais t'annoncer point paresseuse pour bonnes et si cela nouvelles peut quelques m'arriver un jour un je ressentirai plaisir vif que celui te je pourrai plus que faire n'être envers mais de je te prie moi ni rancuneux et de n'y susceptible bien sincère attachement. croire à mon Je t'embrasse ainsi ta femme et que tes enfants. HUGO Lettre de /!<~ TREBBUCHET. a Trébuchât Marie-Joseph Sophie ""go(i). Nantes. chère ?0 <r7/ /~<T). 'Sophie, tre de l'ordre dans ses affaires de famille et de rédiger deux des règlements de ses intérêts deux ~/<7communautés, blis sur dont malses titres et papiers son il fit une rechergré grand âge che difficile et longue et un examen pénible. Aussi nous rendîmes au ciel grâces de ce qu'il lui avait inspiré un tel projet, et de ce qu'il lui avait donné assez de forces le mettre à exécution. Le répour sultat de asce travail important qui a surait d'une manière claire et juste communauté ce qui lui chaque apparteun nous semblait alors devoir éviter nait, des discussions et peut-être des jour procès dans la qui paraissaient probables confusion où se trouvaient tous ces paaurait été de dépiers qu'il impossible brouiller, chose que notre grand'père pouvait faire lui seul. Nous nous félicitâmes donc et tous de cette essentielle, opération Je réponds à ta lettre du 12 Avril que et qui m'a je n'ai reçue qu'hier beaucoup affecté. Je vais combattre tes objections et je me plais à croire les nouvelles que observations te faire, te rapque je vais à des sentiments conforpelleront plus mes à nos intérêts. Je commencerai par une observation gé- nous nous nérale. à l'esprit là aurait manqué grand'père et à la probité justice qui le s'il avait cherché dans les caractérisent, lui à favoriser arrangements rédigés par une aux de l'autre. communauté dépens Bellet de et moi, sommes ainsi toi que la et comme toi communauté, première intéressés à nous assurer que nos droits étaient entièrement conservés les dits par Nous aurions été arrangemens. ignorants de les ats'ils avaient signer portés teinte à ces mêmes et de maudroits, vaise intérêts Notre de foi s'ils avaient été de la deuxième nuisibles aux communauté. nous avons voulu la conservaTous, tion de nos droits mais rien de plus nous désirons seulement une jouissance assurée et qui ne pût être contestée des dits droits. Notre donc remplit grand'père nos désirs à tous, co/K/7!e/!celorsqu'au l'an il s'occupa de metment de 12, )1) Cette Trébuchet, lettre est une copie, de la lettre envoyée nous en félicitâmes pensions été unanime, ses partager cussion bases que et que biens et sans arrêtées approuvées Tu dois surtout, parce notre approbation nous n'aurions eu à l'amiable, sans frais, par nous par te rappeler l'an 12) conformément notre grand'père à l'exception de que eut qu'à disaux et toi. dans que je t'écrivis ce temps une lonlaquelle je te (dans lettre à ce sujet gue par faisais connaître comment nos droits resavaient été Je dois donc pectifs réglés. être affecté péniblement aujourd'hui que les objections tu fais contre je vois que cette établit avec justice opération qui nos droits à chacun m'avait semet qui blé propre l'union et à entretenir entre nous tous si nécessaires l'intelligence pour faiterminer nos Aussi je vais partages. re tous mes efforts à tes pour répondre d'une manière satisfaisante. objections Ire objection. Les droits de la l~c comdis tu munauté sont mal établis en ce la moitié des stipulé que notre que grand'mère apfut en mariage et qui portait employée en achat de biens fonds, appartiendrait à ses seenfants, qui conséquemment à prélever le bien raient autorisés payé Il dit avec cette fortune. est l'arpar qu'il 6.000 n'est pas francs 1*~ que nous en fonds prélèverons à 'dire la cond'experts jusqu'à d'héritage ticle tente par'Marie-Joseph à Sophie. --20) 2H APPENDICE à ce Quant de tu actuelle que tête de notre père, je t'observerai grand déclarations ne viennent pas que les dites d'être mais actuellement que rédigées au commencement ainc'est de l'an 12, nosi est dit et alors ci-dessus, qu'il intérêts les 3.000 francs sur D'ale ler mariage. pendant acquets faits cet article nous avons donc Je droit près de en biens nos 3.000 francs prélever de et il est entendu ce sera fonds, que ces les avec préférence objets acquis currence des dits nous connaîtrons 3.000 ce que francs à l'instant de nos notre grand partages, devant nous remettre tous nos titres. père nous Au en supposant même que surplus prélevions francs de indistinctement biens sur tous pour les sont sur lésés. pas la faiblesse tre pleinement grand père jouissait toutes ses facultés morales et surtout c'est sa ce qui le prouve mémoire travail même. 3.000 du 1" de de le ausTu me marques Objection. si que je t'annonce acquets, que quelques à la 1"= communauté pourraient désignés ne être la 2' contestés par parce qu'ils sont et tu ajouclairement, pas expliqués 3me acquets perdrions la non et surtout nous lit, je crois que n'y pas vacar tu conviendras qu'attendu des leur actueiïe. des propriétés d'exnous aurions à estimation vignobles, de francs biens 3.000 pour perts, plus en cette somme n'a du en procurer que étaient à un 1747, où les biens époque très haut prix. tu ne si2me objection. Tu dis que rien tu n'ayes vu les pièces, gneras que doivent étace sont elles parce qui que tes en profiter pas de cette 2*~° communauté. /i!H.f dépens Je n'ai voulu te dire y avait point qu'il de des doutes sur la véritable destination ces articles, prouparce que les contrats des veront facilement font partie qu'ils te faire du ler lit mais j'ai voulu acquets blir nos droits et non pas des déclarations, surtout l'état de faiblesse de tête où dans se trouve notre grand père. Mais dis ces encore, pièces je te le avec de noconfondues les autres papiers tre de l'hébreu auraient été père, grand que tu que voudrais la qu'à qui ticles, tels de Bordiers bre seraient à distinguer. ché ne lecture de la désimple arnous concerne, plusieurs les maisons par exemple que nomen assez grand qui sont moment difficiles au premier entendre claration s'il ne les avait lui-même pour nous, pas réunies et ce sont ces pièet classées ces ainsi mises en ordre servi de qui ont base conséaux dites déclarations, qui nos droits, quemment présentent d'après Autant la par surprise vaincue. 2"~ et fâque toi je serais communauté fut frustrée contu en es sûrement Une autre raison, 4me objection. ajout'aurait de tes-tu, qui empêchée signer est cette c'est injudéclaration, qu'elle de notre rerieuse à la mémoire père, comme un aventurier vend qui présenté à la merci des tout et laisse ses enfans des pièces. Je serais fâché qui résulte les tu signasses Tous que aveuglément titres à toi ou à ton seront communiqués fondé de pouvoir. Sur la 'déclaration ou règlement la pour ce venus. premiers Je conviendrai aurait père pu convenables plus 2me à chaque article d'accommunauté, la date du contrat ~M~, y est indiquée ainsi nul doute et par la rédaction et la dits date des les articles contrats, que à cette 2me communauté. n'appartiennent Les contrats ai vus. Sur existent, je les les déclarations la première, il est pour dit les 22 articles détaillés, après que notre était père des circonstances, dirai aussi qu'il me un aventurier, rais ces 202 été avec toi notre grand expressions employer faire connaître pour que à cette vente forcé par mais je impérieuses ne le représente pas comcar si que des cela était, de signer, j'auavant flé- bien peu délicat fait ce qui pouvait d'avoir supprimer trir la mémoire de notre Notre père. eu un style fleuri n'a père jamais grand écrit à peu près et élégant il a toujours ausil parlait, sans détour comme comme avec un de rudesse. si quelquefois peu Mr ont été d'avec objets acquis le et Jean Guilbaud Mignaud, Braud, et ces contrats existent autres, également. à ton fondé Tout sera représenté de pouvoir s'il mérite ta confiance, ne siqui, rien sans être convaincu tes que gnera tous ne dis APPENDICE dans l'article Cependant je remarque que dont tu te plains, il dit qu'avant de partir son dernier il fit une vente pour voyage, de tout son mobilier, et ces mots dernier font connaître le motif de la voyage, vente. à l'embarras dit avoir eu Quant qu'il de nous, à la mort de notre cela père, me resta paraît vraisemblable, puisqu'il de et notre éducation de chargé pourvoir à nos ainsi cela est besoins que prouvé entretiens par le faits payement à Mme des veuve pensions dû être encore nant ment touché ferait pour nulle nous de avancées ne puis à dont et en le de sup'1786 il ne Auguste dans un donnés à te trouvais que sœur delà et qu'au résultat tu moi-même, aussi favorisée moi, que puisde la des bienfaits indépendamment de notre au père, compté ~1 t'avait de la dite somme de 667 francs. Relativement somme de à l'intérêt de 667 francs ainsi tite portion dans les biens il me semble mère, que tu 1" en considération mander, l'on a fait fices pour que si 2° parce sœurs que les prétention, munauté, enfans cette modique que de ta pede notre grand' ne peux les dedes sacrites frères et tu élevais cette de la 2me comdemander pourraient également leur des revenus maiorité compte depuis des biens de leur ~a/Mf/7ïc/ laquelle demande aussi fondée proque la tienne, les duirait en leur seulement faveur, pour 250 biens de Monnières, estimés environ francs de rente, une somme considérable. donc ma chère SoSois bien persuadée, et moi nous sommes dans phie, que si Bellet le tems de signer cette déclaempressés nous sommes convainc'est ration, que était conforme à l'équité et cus, qu'elle Je te conciliait nos intérêts respectifs. la communauté même 2'= répèterai que à nous faire reaurait eu des objections stile assez prouvaient qu'il bonne éducation. à ces En frais de nourriture, ajoutant d'entretien et les d'éducation, dépenses notre faisait a chacun de que grand père leurs voyages, leur procurer tous les pour effets nement naient fois était plusieurs- rappelle reve- de notre il aurait bien père, charge grand des a débour712 francs pu parler qu'il sés en argent, et au contraire toi, pour te tenir à moi, des comme 667 compte francs nous mta-is il a considérevenant ré que tu avais chez Madame Robin reçu notre tante les frais m'a commune, qu'il et élevés notre non par père, qui grand seulement fit apprendre à lire leur et à chez Mr Dupas écrire et chez Mr Duval au Pilory, mais encore les mit à la pension Kerhervé faire leurs études. pour A la vérité, trop léger n'apprit Auguste mais mon frère aîné pas chose, grand studieux étudia de succès avec assez plus le latin et eut une belle écriture. Je me une lettre de lui écrite de Brest rappelle à notre dont l'orl'écriture, grand père, et "une que de ses me Je à Madelon, entendu Quant j'ai toujours dire notre oncle de Rennes s'était que à la moitié de sa engagé payer dot, avait même Stle curé de qu'il chargé Laurent de compter, et que mon grand avait l'autre moitié. père compté Pour l'article te concerne qui j'avouerai à la été toi seule, que n'ayant point l'argent mention et ne nous tiendrait Une semblable idée serait de pas compte. ma part une injustice et une ingratitude. Le nous ensuite rend des compte qu'il 4.000 francs restants me parait et juste, en effet, a pris de chacun les soins qu'il de nous ont certainement absorbé au delà des 667 francs à chacun qui revenaient dans cette très somme. Je me rappelle bien mes frères en sortant de chez que Mme furent comme moi nourris Dugay thographe avait reçu insuffisants. dénuevoyages, ou les effets étant absolu, perdus et qu'il à notre fallait volés, grand père faire de nouvelles le voyadépenses pour ge suivant. Dugay, 1781, 1783 et. 1784, et 1782, je rece n'est 1786 marque que qu'en qu'il à toucher chose parvint quelque provenant des de notre appointements père. Je dois donc croire les dites que quatre années de pension ont été ses fonds car je particuliers, eut antérieurement poser qu'il bien nous trouverons certainécessaires, francs reveque les 667 qui leur de la succession de notre ont père lativement la 1~ Notre 2(M à l'avantage de communauté grand père a, qui la dite après résulte pour déclaration. la guerre ci- APPENDICE vile qui avait dépenses des mier mariage dification de maisons de cendiées soirs et tout dévasté, les biens fait granson prela reeet des sur de à St-Fiacre pour la maison principale bordiers avaient qui pour autres rerestées chez lui, et sont bien toujours commandables tous les soins par qu'elles ont eu et qu'elles ont lui. Les veilpour les et les fatigues ont alsingulièrement téré la santé de Jeannette, l'équi dans de été in- la des réparation presetc. Toutes ces logements été payées avec ses fonds la continuation de pendant tat de où se trouve gêne réduit notre sont 1° la guerpère grand re de la Vendée de ses requi l'a privé venus l'oet années, pendant plusieurs la paix fut établie à des bligea, lorsque tant faire relever énormes, dépenses pour les maisons incendiées et remplacer son mobilier la culture des pour que vignes épuisa même l'argent temps il Juge. Par suite de reux venu de qui fut ces lui privé restait. de sa Dans place évênemens le de malheuseul re- il a donc été réduit au de son attendu la guerre bien qui, maritime, des qui empêche l'exportation lui a produit très vins, année, chaque de chose. J'estime et quitte, peu que net il n'a retiré annuellement 7 à 800 pas francs de ses propriétés de qui, en temps valoir 12 à 1500 francs paix pourraient de revenu. Déduisant de ces 700 francs les 150 francs de rente les produit par 3000 dus sur les acquets munauté et les de 225 325 francs somme bien Jeannette et Marion, lui, de la loyer, insuffisante 2"~ comil restera lesquelles pour sont il est ne toujours, nuit et choses. fr. Jé présume somme de 1200 qu'une sera suffisante subvenir aux besoins pour et aux de notre père dépenses grand ainsi le revenu de ces dans propriétés, ces tems ne malheureux, pouvant produire nous net de 7 à 800 francs, plus la 2° son depuis longtemps abandonnées état de paralysie bien des anpendant nées ce qui nécessita des achats de médicaments de toute et d'avoir auespèce, de lui, près médecin, gardechirurgien, c'est durant cette maladie malade qu'il où nage. Ces détails doivent te faire voir qu'il n'est ait contracté pas étonnant pour qu'il environ francs de dettes, et qu'iné3.500 vitablement il sera d'en contracter obligé si nous ne nous emd'autres, beaucoup de mettre un à cet état terme pressons elle a abandonné cette l'amiable, prétention et a signé sans la déclaréservation ration fait de tout. Cet qui nous profiter doit plus la objet, je pense, que balancer sans fonpetite perte que tu appréhendes sur le prélief des dement, 3.000 francs de biens fonds. causes faiblesse ni jour ni veille quitter cesse de lui. Marion devient auprès la cuisine et pour faiindispensable pour re les choses nécessaires dans le mépeut sans dépenses ayant et particuliers la 2me communauté, cette dernière communauté aurait eu le droit à une reprise de la moitié de ces du montant toutes une mais nous donner sommes pour de son désir de tout terminer à preuve Les de le aurions viron à entre nous enrépartir 400 nécessaires compour deles 1200 francs pletter que je pense voir Ainsi si nous convenons de suffire tous la même somme, payer également ne étant 7 héritiers, les dits 400 francs feraient chacun pour qu'une modique somme de francs nous au57 an, par que rions lots nous francs à en sus du produit de nos payer tous réunis ne respectifs, préqui mon calcul senteraient, d'après approximatif net ci-dessus, 8.00 francs qu'environ de revenu. Par ce léger sacrifice d'une cinquantaine de francs chacun par an, nous aurons la satisfaction de mettre nonous-mêmes, tre grand à l'abri du besoin, et nous père un bien aurons de nous conserver l'avantage qui maintenant circonstances tible, ront suite des par est guerre; suscepces circonstances n'existelorsque de doubler de revenu comme plus, la Révolution. chacun conEt puis, avant naissant sans de la sa portion l'améliorer pourra ploitation. Si tu le désirais les nos morceller, indivis 204 valeur sous la et les après partages en surveiller l'ex- et afin de ne point trois lots resteraient surveillance de ton fondé APPENDICE de chacun la et nous en aurions le cas que nous nous arrannotre sœur son tiers. avec gerions pour serait avantaJe aussi nous pense qu'il avec Beld'acquérir conjointement geux de la 2' communauté let, les prétentions à St-Fiacre, aula raison par que nous rons des conditions et que les favorables, cerne à l'ocexpressions employées casion de la vente de nôtre et la père, 3me est sur la rédaction de l'article qui te concerne. la Je crois avoir refuté 1"~ et démontré les deux autres étaient que sans elles d'ailleurs, importance portent sur si peu de choses, les supposant qu'en pouvoir, dans moitié, le fondées, cas pourrait sans valeur à présent doupresque de prix à la paix. des entraves Si, au contraire, impréà ces vus si avans'opposent partages il en résultera notous, que tageux pour tre étrans'adressera à des grand père biens, bleront gers des ses bler re de la en réperte qui nous aurions la trisnous, de voir, au décès de notre trounotre bonne intelligence nis t'en ma chère conjure, Sophie, toi à nous l'exécution d'un pour commandé notre intérêt et par jet devoir coup je le sonne, désire et de dont l'inexécution à un chagrins vieillard, ces promptement parToutes les pièces sur indispensables. tages les arrangements antérieurs sont lesquelles tu prente seront établies, communiquées, beauqui, per- dras la seconde ce qui reste consulter à des ce a qui à faire avocats été tu mésintelligence pourrait faique ton refus à nos re naître et qui serait bien nuisible intérêts communs. ma chère SoEnfin, ton voyage à Nantes n'aura jamais phie, rends-toi donc à nos été plus nécessaire pourquoi penserais-tu, Sophie, que été assez irréfléchi donner mon j'aye pour à un acte contraire aux droits approbation de la 1~ communauté dont comme toi, Au reste, mon les obje fais partie. amie, tu fais, ne se réduisent jections que qu'à trois la 1re est relative .aux principales, prélief, tout te de pourras ton choix sur les dits arrangements nous irons ensemble à St-Fiacre, je te ferai tout de connous voir opérerons et ta au de milieu cert, nous, présence en resserrant les liens de notre ancien dans la famille une évitera attachement, ner, de de connaissance et de tout fait titrés rien justificatifs, je n'aurais signé,. car enfin, mes intérêts ne sont-ils pas les mêmes les tiens, et pourquoi veux-tu que suis sur les étais moi, que qui lieux, qui à même de tout de tout examivérifier, francs com- terminer puissions sais, j'ai plus que d'obligation et qui mais nous aime tous qui bien voir toutes nos afvivement, faires se afin nous dit-il de terminer, content et Sois mourir sans inquiétude. été intibien convaincue que si 'je n'avais mement est basé sur la persuadé que tout la plus et appuyé de justice scrupuleuse 3000 1~ ce sont plus que ces partages à nécessaires ne le seront cette qu'ils car si on attend là époque, jusque je crains les raisons déduites bien, par plus rien ou rien a ait haut, qu'il n'y presque Je t'en au nom de toute prie, partager. la famille, viens à Nantes nous pour que pronotre à dans maintenant tôt réu- causerait qui la certainement Néanmoins, partages. je pense que, pour ta satisfaction, il sera facile de changer les t'ont inconveexpressions paru qui nantes dans la déclaration et leprécitée, sera approuvé quel par nous changement tous à la fin de cette pièce. tu as le de venir à Puisque projet de Nantes, au décès notre grand père à assister nos partages, pour viens-y plu- grand père blée et des dissensions entre dont nous, les absorber entièrefrais finiraient par ment les nous restes d'un héritage qui notre faute. échapperait par Je faible avantage en résulter pour ne balancerait munauté, point les inconvénients graves qui résulteraient cette même ainsi communauté, pour que la 2' de ton refus aux d'accéder pour à de intérêts pour emprunter gros sur sommes qui seront hypothéquées doubiens ou personnels, que pour son revenu, il vendra à rente viagèet inces mêmes biens personnels dépendamment sulterait pour te perspective les vœux à tous, car vent pars notre grand si j'ai reçu répondu jusqu'ici faisant une espérer con- et ~05 aux nôtres tôt plus possible, me demande soupère ta réponse, et je lui ai en lui en négativement, c'est le favorable pourquoi, à ses désirs je lui ai APPENDICE laissé ta dernière ainsi qu'à lettre ignorer nos tu cointéressés dans l'espérance que te décideras enfin à venir ici pour tout terminer à l'amiable. Beliet et Lenormand auraient été bien affectés de tes à leur leurs intentions plaintes égard sont bonnes et ils ont d'attabeaucoup chement et en cette considétoi, pour ration tu dois oublier les expressions de leurs lettres ont te blesser. qui pu Ma femme et moi te réitérons l'offre d'un lit chez nous, où nous te recevrons avec le plus et le mieux grand plaisir nous sera tu nous ferais qu'il possible de la peine si tu nous refusais. ma avec Sophie, j'attends ta à cette l'impatience réponse dans m'annonlettre, l'espérance qu'elle cera ton et ton inNantes, départ pour de te réunir à nous tention pour procéder à des deveconjointement partages les circonstances nus dans indispensables Adieu, bien de chère actuelles. Lettre fille Inédite Trébuchet-Hugo. Nantes ne à serais me une indifférence mari, ce qui encore apportes ton frère rendre et tes mes enfants tion de traitée, te nuire et davantage, à te rangements été reconnus pourquoi? en qu'elle m'étonne toi de que c'est le aux Crains-tu pense-tu au profit que de sans me celles de de m'étonner retard ? et tu que de invitations pour les ar- et qui ont proposé paraît avoir été j'ai ton ta lais- cause cousins qui de la et respectés justes et petits enfants, seule So- me de serait lieu 1809. attendu un oubli ni petite (t). tu que 10 ans, a j'ai sa ce 4 mai jamais et à mon telle part égard se environ 9 à depuis donner de tes nouvelles ton à M. Lenormand-Dubuisson Sophie phie, tes non, dans tu me jugerais bien mal ?. cousins, intention je n'ai pas eu une pareille le règlement fait il y a j'ai que environ 5 été par l'excep- t'y refuser, capable ta frère, dont ton une et tes cousins à vouloir frère venir cours en offrant d'acquitter et de m'assurer le morceau de les derniers de ma triste jours ferai parce que je leur dans ils bien, lequel demniser de ce qu'ils aura-t-il donc toi que Je le l'abandon trouveront t'a à mon semes dettes pain pour existence, de mon à s'in- me fourniront, n'y refuserais ? qui t'y non. Mais dans à croire plais que où tu verrais y persiste je me de mon bien de faire la cession la en faveur de ceux auront qui mes névolonté de m'aider dans me cas afin tu fasque je t'en préviens se et je veux cela réflexions, que sous peu encore je vais cependant attendre ta réponse 24 du courant, jusqu'au ne si d'ici cette époque je reçois pas et une solution définitive de toi, j'agirai failes moyens nécessaires prendrai pour cessités, ses tes termine re cesser ma gêne. t'embrasse ainsi Je amitié. suis avec Je certifie que tes enfants et de lettre copie présente écrit à Sophie à celle j'ai que ma femme fille, Hugo, petite à Paris rue St-Jacques près ? 250. LENORMAND. conforme Trébuchet demeurant l'église, la tous à moins ans envoyé atcopie, scrupuleuse j'ai apporté tention à établir la justice et les droits et ceux de de mes deux communautés chacun de vous tous en et particulier, sur cela ma conscience est restée parfaitement tranquille. L'état de gêne où je me trouve à mon a porté ton frère de 86 ans âge grand obligé propre bonne de Je et Lettre de Trébuehet. Sophie bien Hugo a son frère Marie-Joseph ~Od~9ma:09~. de Je sœur frère a mis en tête de la (1) M. Lenormand-Dubuisson « Copie de la lettre que j'ai lettre la note suivante la ma petite fille. écrit à Sophie Trébuchet Seule, de Lenormand-Dubuisson. est de l'écriture signature -20H- ne t'ai pour (I) Marie-Joseph mots suivants « ainsi est qu'il mon pas répondu plutôt la raison a retarder qui Trébuchet « Lettre sans constaté par cher ma les a écrit sur l'original le 29 mai 1809 date reçue » de la poste. le timbre APPENDICE à réponse notre sur Hugo mais pour crois pas tion toutes te si demain bien parler les qu'il des loin engagements obligée de faire pour senties payer les ver ne je que notre de grand revenu les biens fr. de du conçois père de tous rente St-Fiacre de rente. ils estimation il ce verai on les servir de base peut faire et eue ou une valeur aujourd'hui II ce me que posant donna que ses la celle ou la de ils guerre valoir la à St-Fiacre estimation de cette les que seraient arrangements basés sur avec l'estimation la Ven- effectivement lecture et écris envoyé 2me communauté pour avant étaient de qu'en nous ce 6000 notre des pour par un somchose de l'ar- article la somme de me des dettes parler dit dans sa lettre à les payer s'engagent impossible d'y contribuer mon que il me pour réserve te remercie de tes offres obligeantes, si j'avais faire le voyage de Nantes pu aurais il certainement mais j'en profitée, m'est le moment de quitimpossible pour ter mes il y en a deux de maenfants, lades, à la fin de l'été, peut-être irai-je du plaisir à t'embrasser bien ainj'aurai si que ta femme et tes enfants que je désire tous connaître, beaucoup je vous prie tems rien de Je ont qu'ils un supposant coutera-t-il l'état d'après des quand donneront prédire leur que la par trouvait cette ses besoins très fâchée ceci fut entre je serais que tout nous un sujet de brouillerie, j'espère que non et que vous tous assez raisonserez nables sentir le droit bien pour que j'ai de ne pas prendre quand d'engagements de ne pouvoir les remplir. je crains doit qui auraient puis n'en droits trou- qu'ils donc ma ont qu'ils de tu le je dont valeur forte reste vente il en pas d'argent seraient qu'elles hypothésur les biens, nous serions dans ce quées cas 'd'en la ce rente payer obligés qui encore le tu me augmenterait fardeau, de nous parle grands avantages pour dans ces t'avoue je arrangements, que vois rien au reste je n'y que des charges qu'ils la ils pouvaient somme. cette dis point et ou dée me si serait bien ma part n'ayant tu me dis toi rapporte doit être qu'on plus et dévastations vi-' revenu peut favorables dans donc le qui favorable plus les remettre est ne en fixer pour non circonstances de Révolution mettait celle Car est cette valeur pas c'est celle qu'ils le prix en qu'on c'est si 1000 ne tu la n'est aujourd'hui suite. fr. grand père ses enfants fr. 400 les 8000 fr. ne que puisqu'il fr. de revenu 460 et que que de St-Fiacre nous restait en Bellet et à nous nous aurions 200 francs de revenu en pour à notre sans père compgrand J'oubliais fond qui revenu avant s'agit actuellement ont fond de pour francs rapporter du fr. biens 6000 que total 8000 que cela mais et rapportent devraient en le biens que des francs monter sans et rangement spécifier sa mort nous aurions un tiers de après cette rente de 500 francs à payer à notre sœur c'est-à-dire 166 fr. 10 s. et pour toutes nous aurions 200 francs ces, choses de rente. que 300 400 ne Cette que francs les fr. à fr. de ne vaut me insuffisante à quoi on s'engage ce je vois estimés fait-il communauté puisque francs 400 valaient 700 que 14000 le puisque 20000 fr. les se s'éledis pour communautées 2 con- me biens des bien de acquiers en sorte auque nous rente d'un fond estimé notre c'est-à-dire grand père rente et que réellement ce rapporte si le bien entier aux nous deux faire 500 ter le supplément je serais du fond du sont estimés fr., crois tu Comment quand à donc des vois que je la première la 2"~ pour que estimé pas ne retire 20000 1000 fond serais j'aurais doivent réel reste engacar part revenu Monnière nous ou espèce ma ces posi- honneur que rentes ces de de cieuse rentes puisque dessus au faire vendre notre personne mari je mon je perdais de pouvoir de cette, ne je de à francs ou on fait la l~e communauté rions à faire la faites propositions franchement rentes à écris j'ai père acceptent défend nous précaire à faire ger grand les tout supaban- deux de de croire serait me conserver à la mienne. HUGO, francs votre née amitié et TREBUCHET. sœur Tu 14000 207 liras ma lettre à mon grand père APPENDICE verras d'un .tu que je lui parle moyen le tirer d'embarras concilierait pour qui à la vente de ses biens tout, quant personnels à rente à quelqu'un de viagère ses enfants de nous je suppose qu'aucun ne serait assez délicat acheter peu pour de lui il est en enfance quand presque et le faire accuser à juste titre de mauvaise foi. Lettre de Marie-Joseph inédite. Trébuchet Nantes MA CHÈRE Sophie ~MM Hugo. 1809. SOPHIE, ta lettre sans le 29 date, ainsi est constaté qu'il par la poste, notre et grand père le même celle tu jour que a écrite alors tout était terminé ennous Ta première irrévocablement. sur ma réplique sième lieu ton de notre le 24 mai, détertniner convaincre fus de te ne pouvoir grand terme tout que réunir en laissant t'avait fixé qu'il se réunissait Notre te nous pour tu persistais dans ton reà ,nous. En regrettant de de concert avec toi dans de nous senfamille, de premier projet de son vivant suivant tage communauté et de chaque sus du revenu de nos lots faire les lui ses conseils et nous dans rer. par diriger nos opérations. Le seul et qui moyen qui se présentait fut à autorisé la loi, était la vente par des biens de noprix d'argent personnels tre père qui conséquemment pougrand de payer à Guérin les supportables par dans les 3.000 francs de la 2"~ communauté, sur les mêmes biens francs qu'également les 3.000 francs agir arrangements ne pouvait être différés qu'ils plus de et qu'il était instant prenlongtemps dre un faire cesser l'état parti qui put de gêne de notre et sauver le resayeul te de sa fortune. nos tions faisaient aussi passer pour actuels et les motifs qui nous Il a bien voulu nous éclaiagir. des propriétaires 2/3 des biens ils n'édans paternels lesquels cependant taient la fondés la moitié et que pour 2"~ communauté l'autre moitié. Mr pour a donc l'acte de cette Angebault rédigé vente des biens nous paternels laquelle est faite 1° moyennant la délégation de 4371 francs de dettes 2° à la charge mes propositions, par formellement ne vouton à rien, silence long à cette lettre et en troià répondre à celle retard père Angebault, considéré et qué, nos projets devenaient à réponse tu déclarais laquelle loir acquiescer Nous un autre moyen. à Mr cet effet adressés avocat estimé et généralement nous lui avons tout communinos et antérieurs arrangements une somme convenue pour la lui pour portion qu'il fixer. Son était de venintention plaiser dre à Lenormand, à Bellet et à moi, chacun un tiers comme pour représentant nos ce était branches qui avantageux la première communauté pour représentée par les enfans Trebuchet, qui à ce moyen reçu mai dernier, le timbre de a aussi reçu en donc trouver sommes à vait les vendre et à chacun J'ai lui tre lettre lait nous les dits dus et 1.500 francs biens paternels les acquits par 3° en réservant les 1.500 paternels ils dans supportent au du profit d'acquits les autres 1.500 francs premier mariage sont dus la portion mapar d'acquets de la maternels ternels lesquels acquets communauté non dans première compris la vente nous en entier. appartiendront Je t'envoie une copie de l'état des dettes dont nous nous sommes chargés par un parde droits en payer une respectifs à qui ajoutée l'acte et de la répartition précité, ce sujet entre ma branche, celle let et celle de Lenormand. somme additionnelle petite ce revenu fut suffisante le faire vivre, pour ce premier devenait inexéprojet, dis-je, cutable ton opposition, attendu d'après que la loi 'déclare de présucque les partages cession sont nuls toutes les parquand ties intéressées Il faln'y coopèrent pas. Suivant faite à de Bel- ma branche a répartition, à fr. 2 sols, mais 1.457 dans payer cette somme eu à payer de suite je n'ai 150 francs à la veuve Guérin. que Quant aux trois autres créanciers, j'espère qu'ils ne seront décès de notre payés qu'au grand 208 cette père, époque où nous jouirons sans APPENDICE aucune aurons de notre charge de facilité plus et portion nous pour où nous acquit~ ter. ma chère Enfin, aussi favorable à est et possible, vente est cette Sophie, notre communauté qu'il bien certainement les les charges. A la vé- excèdent avantages le traité rité faisant suite à cet acte par de nous nous à faire vente, engageons à notre sa vie, une pendant grand père annuelle de 940 francs, pension qui ajoutés aux du 260 francs montant revenu de Monnière Lenormand seul est que de lui forment la somme payer, obligé de 1~200 avons francs, que nous jugée ses suffisante à tous bepour pourvoir ci à 'compter 940 francs. soins par an Mais 940 il francs convient ce du le de sur ces déduire nous retirerons chaque revenu du bien de Stêtre produit général peut dont on mais francs, année que dont Fiacre, de à 12 1400 est d'abandonner obligé moitié le mettre pour les engrais devenus coûtent beaucoup venu environ 640. Reste à avancer au fermier en état de et du indispensables ci pour moitié pour la faire qui reles compléter 940 300. Dans somme de 300 laquelle ma branche le tiers ce supporte francs à payer 100 annuellem'ent francs qui fait à notre Madelon et moi et père par toi, chacun de nous 33 francs. encore il nous a abandonné 36 barde vin dont le produit nous aidera riques soit nos frais de parbeaucoup, pour soit lui payer sa pension juspour tage, grand pour Et qu'aux vendanges II résulte de toute l'exactitude prochaines. cet aperçu établi avec ce possible, que que à nonous aurons à payer année chaque tre nous père en sus de ce que grand n'excédera francs. toucherons, 40 pas Tu vois aussi cet le par aperçu que revenu de Monnière n'était pas compris dans les 700 francs portés approximativement dente que mier ration faire St-Fiacre dans ma précéet que cette somme ne fait du revenu, le ferpuisque de l'autre en considémoitié, est de dépenses qu'il obligé pour lettre, la moitié jouit des pour graisser les vignes qui de- puis nombre été. Ainsi maintenant pas ne le revenu total de 12 à donc point environ 20.000 n'exagérais ce bien même persuadé rait d'années de l'avaient pourrait 1400 quand francs. qu'actuellement à le vendre peine point donc francs. être Je j'estimais Je suis on n'au18.000 francs, Mr Gareau a vendu puisque 16.000 francs le sien qui n'est pas plus considérable le et était en que nôtre, très Le mauvais état le vendit. lorsqu'il au contraire, est en bon et à nôtre, état, fin la de la nous en ferme pourrons avec prendre nous-mêmes, l'exploitation d'autant rapport crifier sera en bon plus qu'il d'avantage et que nous à san'aurons plus à un fermier la moitié du revenu le cultiver et l'améliorer. dernier aux calrépond paragraphe pour Ce culs que Je me tu fais ta dernière lettre. par résume. Cette vente est légale est la autorisée loi parce par qu'elle de elle ne blesse les intérêts personne. les trois branches LenorBellet, puisque mand et Trebuchet y participent pour une et que n'en personne égale portion, est écarté elle n'est surprise, point puisdeux mois il en est question, que depuis et que d'ailleurs que tu en as été informé notre raide toute sa père jouit grand à ton elle n'est faite excluson point ni pour te nuire, article sion, puisqu'un du traité à même te met d'y participer. Ainsi donc si tu refuses concourir, d'y c'est onéreuse plus que tu la trouveras et nous ne pourrons être que profitable, accusés qu'il à nous d'avoir agi aura dépendu à ton détriment, de toi de te puisréunir des avantages qui peuvent cet dont Mr Anacte, ainsi t'envoie lui-même gebault copie, que du lettre traité en est la suite, qui par mettra à la ce te qui chargée poste à même de une détermination prendre connous te prions de nous faire que naître avant le de ce terme 28 mois, du délai t'est fixé le traité. Je par qui désire tes intérêts et les beaucoup pour car nôtres soit favorable, que ta réponse pour résulter jouir de si elle l'est, tout en conservant tes droits dans tu t'éviteras et les biens paternels, à nous les frais de separtage qui –20H 27 APPENDICE raient considérables si nous étions obli- ce juridiquement que partager de faire, car norefus nous forcerait tre intention est d'en finir et de connaîet tre nos droits d'une manière certaine nous connaissons maintenant que légale, gés ton de nos charges. prendre part tout ce qui d'indivis plus Si donc à la vente tu ne qui veux point nous délaisse est nous n'avons paternel, avec toi que pour les biens dont la succession est ouvermaternels, te depuis et que cela, d'après longtemps, à faire le code civil nous autorise partager de suite. Ton toutes meront biens, Traité celui aurait adhésion à cette vente aplanira les difficultés. Nos estiexperts et partageront de suite tous les dans le ainsi est qu'il expliqué et les lots se tireront au toi et m'écherra, qui chacune un tiers. vais de mon pour preuve sort. Dans Madelon y désir de Je à tout concilier et de te voir participer nos arrangements de famille, te faire une fixer tes incertitudes proposition qui doit me et détruire tes objections. Je charge d'administrer la portion sera définiqui tivement à ma le branche assignée par à intervenir nous j'agirai pour partage les revenus et produits je recevrai trois et je me chargerai de toutes les charges, etc. mais comme ces revedépenses, nus seront faire face à insuffisants pour attendu toutes ces il est dépenses, que faire les avances de je serai que obligé ma me seront rembourpendant gestion, sées toi et notre sœur votre par pour et cela seulement au décès de notiers, tre grand où je vous rendrai père, époque à chacune mon à compte qui présentera la recette tout ce que retirer j'aurai pu de nos biens communs et à la dépense les de etc. pension, frais, payements dettes même que le tout appuyé et justificatives me reviendra par soit sur imputé se trouveront qui j'aurais de pièces je consens le résultat pu et acquitter quittances ce que qui de la Balance vos portions respectives d'autant réduites. a l'avantage de con- Cette proposition cilier tes intérêts avec à notre utile père, grand ser un sol, tu coopéreras ton et à désir d'être sans débourun projet in- 2~0 et la conl'amélioration dispensable pour servation de ses propriétés nos qui entre mains seront mieuxsurveillées et pourront un jour nous plus dédommager, par de valeur, des sacrifices nous petits que sommes de faire obligés aujourd'hui. Si tu acceptes cette tu sens proposition, faut tu m'envoies sans délai, qu'il que ta dont le modèle est ciprocuration Tu m'as finissait d'Hugo si tu as le droit écrit la procuration que le ler août ainprochain, de me transmettre main- joint. tenant tes avant ponse nouveau et pouvoirs, le 28 délai du t'est qui Lettre de Sophie Hugo Trébuchet. Inédite. ta j'attends terme courant, accordé. à son frère rédu Marie-Joseph /'oW.<, 19 .<e/XeM&?-e1810. Je bien à ta douleur, mon prends part cher et quoique avancé de noami, l'âge tre eut du nous laisser peu grand père de le conserver encore d'espérance longon n'est de cetmoins temps pas frappé te subite et éternelle d'avec les séparation c'est une des souffransiens grande ce de l'humanité et que homme chaque doit ressentir d'une fois dans sa vie plus les objets de ses plus tendres afpour ce que lui-même fasse fections jusqu'à à son tour ceux qui restent pleurer après lui tâchons donc de nous soumettre à cette Je geante chez serait je ne nécessité cruelle. te remercie bien de l'offre oblitu me fais d'un que logement toi si j'allais à Nantes, cela me très et bien certainement agréable mais il ne descendrais pas ailleurs m'est tuellement ver et pas alors connaissance désire depuis tu voir que de Paris acquitter le pourrai-je cet hile plaisir de faire j'aurai avec ta famille ce que je le pouje t'envoie longtems me demande. possible peut-être Adieu, mon ami, sincère amitié. ma HUGO, porte née toi bien et TRÉBUCHET. crois à APPENDICE Mes enfants moi et sons tous. Je soussignée se de Joseph nous embras- de an et dernièrement 12 pluviose par Bellet et moi comme fondé de pouvoir de nos ont à l'esco-intéressés, procédé timation et ensuite aux partages des biens. Tu te rappelles ma chère sûrement, TREBUCHET époului autorisée par frère Marie Joseph Sophie HUGO à mon donne vous pouvoir TREBUCHET de me dans les représenter affaires de la succession de notre grand René d'apère LENORMAND promettant vouer tout ce qu'il fera Paris le HUGO, Lettre de Marie-Joseph inédite. Nantes, MA CHÈRE 19 septembre née du 6 juin sœur, que par ma lettre 1809, t'ai je prévenu que poussés par les motifs puissants fait connaître, que je t'avais nous avions tout en regrettant de te voir de notre acquis tous ses biens grand père personnels par acte du et traité 28 mai 1809 du même dont Mr. avoue jour t'envoyer Angebault et lettre à la poste, copie par chargée moi aussi l'état des detje te fis passer à 4371 tes de notre montant francs. aieul, Pour te déterminer à te réunir à nous, je t'offris la même de faire par lettre, pour toi comme notre soeur Madeleine, pour persister 1810 TREBUCHET. Trëbnchet, il Sophie «ot'em&t'e le Hugo. 1810. SOPHIE, fut que la la timbrée et j'ai remplies régulariser. vente a eu forenregistrée, et qui ont sufle tarif des Après lieu le 5 novem- scellés, bre jour annoncé. Tu verras le compte de la vente, par ? 1 le restant à ci-joint, que parentre les enfants de la 1~ commutager nauté toutes déductions n'est opérées, que de fr. 70. Je ne 340 t'envoie que pas du procès-verbal de cette venexpédition te afin 'de t'éviter des frais, mais tu pourras en faire communication prendre tu voudras. Pouponneau quand Etant de notre intérêt de régler miner toutes nos promptement dès le 22 octobre nos dernier, arbitres nommés par le règlement onéreux et profitable plus que que ne voulais les point partager risques nous courions de si notre que perdre, angrand père eut vécu encore plusieurs nées. te tu ma chère Néanmoins, Sophie, aujourd'hui n'existe que mon pauvre père grand et que la vente dont il s'agit, plus, présente de l'avantage, l'intention de notre sœur et 'de moi, est tu participes que comme nous aux bénéfices qui peuvent en résulter. En conséquence il te revient un tiers 'dans ma des biens portion paet de ternels acquise par moi et Madelon, aussi un tiers dans ce qui revient a. plus chez et refus été faite et qu'au consecrètement point traire toutes tentatives ont été failes tes de toi te déterminer à auprès pour à la condition bien enteny concourir, du à comme tu nous, que coopérerais la charge et à acquitter la detsupporter résultant te, de cette vente. obligation Ton à cet du obstination a donc égard nous tu trouvais cet acpersuader que 'de se contenter de celle paix que m'avais et il adressée précédemment est déterminé en exigeant seulement s'y qu'elle malité fi pour ton toutes les avances et payements nécessaires à l'exécution de nos engagements avec notre tu me rembouret que grand père, serais seulement à son décès. Tu as laissé cette lettre sans et certes réponse faite nous des biens l'acquisition par paest de'ce ternels, indépendamment qu'elle n'a rien de contraire à la délicalégale, tesse et à la plus sévère probité puisque a n'en été exclu n'a personne qu'elle Dans adresl'espérance que tu m'aurais sé une autre authentiprocuration plus nous avions fait annoncer les que par feuilles la vente des meubles publiques, le 5 de ce mois le frippour l'huissier, et le juge de étaient pier paix prévenus et tout était préparé. cette nouvelle N'ayant point reçu procuration et ne pouvant différer cependant la et fait le juge vente, j'ai prié prier de tu dans ter- affaires, experts du mois 2dt APPENDICE notre de branche dans les biens la communauté première estimé arbitres ayant séparément communauté ainsi de chaque droits maternels les experts les biens tu le que du l'extrait procèsci-joint par fad'estimation A~* 2, il .a été un droit les biens cile d'établir dans pamateret dans la portion ternels acquis la communauté. nelle de première nos droits est claiCe de règlement verras verbal rement voie fait par A~° copie le 3. partage Bellet dont je l'enétant et moi de Lenoraux ( ?) droits ainsi te sa tante je que à la fin de cette et lettre, l'expliquerai en qualité de de plus .vous représentant il a paru aux vos fondés de pouvoir, aussi arbitres, simple qu'avantaexperts faire seuaux intérêts communs-de geux l'un lement deux lots des biens, pour à sauf à nous, l'autre moi, Bellet, pour personnellement mand et de dans faire raison de votre portion établis et rélot suivant vos droits à la fin du II résulte de partage. glés tu es ce comme Madelon, partage que fr. dans mon lot 1397 intéressé 1° pour des biens ton tiers dans une pour portion vous notre ci. paternels acquis Et 2° pour 1145 ton tiers dans pour revenant à une tion dans les la première 1397,88 fr. 16 la porbranche de maternels biens communauté dans par résultat à les moi toi à me avances et dans de l'acte à laissent lot, de char- ma 6.4 ternels et maternels. A la suite de quoi, (1). de toute solde ou compte. à notre tu as Participant acquisition tu n'audroit à 2006 fr. 6.4 autrement fr. rais droit 94. 1451 qu'à Il détaillé arrifait un compte pour RESUME tu es exempte ver à ce résultat frs. 555 et il lui prouve qu'elle gagne dans touII y a eu grande exactitude tes ces Si tu veux discuter, opérations. à deux arbien m'en je veux rapporter bitres. II s'agit du mode de paiemaintenant fr. Si tu veux des ment des 2006 6. biens il y aura des frais fonds, d'experdu tise occasionnés le morcellement par intérêts lot. Je te compter juspréfère de la somme paiement qu'au sur biens à moi échus. Tout de de cela fr. est compté quand 592 90 363 fr. 90. La maison principale revenu net mais je n'en elle sera hypothéquée un sur en réalité rapporte retirerai commode pour revenu il est 229 pas l'exploita- fr.. un Grand Total. Sauf mon fr. dont une somme 2006 ge définitivement redevable je te suis pour solde de tes droits soit comme acquéreur les biens soit comme héritier dans pa- sol tion. à.. dans ta portion rembourser faits et les payements les achats (échanges) vente du 28 mai de 1809. Toutes et sont détaillées ces dépenses redans le compte je te justifiées que aussi les reA~° 4 lequel mets présente aux cettes faites relativement que j'ai est article biens dont il s'agit. Chaque nécesde notes ou d'explications appuyé Les saires à l'intelligence de mon travail. sont au même au soutien jointes pièces à notre sœur et je te les rendu compte le désires. si tu ferai passer le résultat de ce compte chacune Par fr. 18.8 déde vous me doit 563 qui de ses des fr. 4 montant duits 2543 -2i2- avait aussi des dettes pour père 600 dus à divers. Nous voulons francs, les payer mais ai pas fait compte. je n'en nous avaient Lenormand et notre tante à Bellet tous leurs droits cédé et à moi dans les biens de St-Fiacre (et il expliTon la cession). opposique longuement fit que tion aux je ne t'en arrangements ai Madelon ne voulut point point parlé Bellet non son fardeau, plus augmenter les chances et moi nous avons couru nous devons seuls des avanalors jouir des chandédommageront qui nous tages des ences des fonds avancés, courues, gagements pris. te Je rappelle voir. venir nous (i) Nous donnons, succinct. résumé l'espérance Je végète pour la fin donnée de à la Préfec- de cette lettre, un « APPENDICE du Secrétariat chef ture, quoique appoinen tements modiques. Accepterais place si tranquillité renaissait dans ce 'Espagne, si place en France, serais encore pays heureux. Fais connaître tes intenplus tions sur cette lettre. à 'Hugo. Bonjour de t'assurer de ma bien sincère amitié. Aussitôt arrivée à Madrid et je t'écrirai te donner de bonnes j'espère nouvelles, crois bien fois tout là, qu'une je ferai mon te tirer de ta pénible possible pour ne me tu m'écriras position, quand parle Lettre de Sophie Inédite. Hugo a Marie-Joseph point que je Adieu, moi ma de nos de arrangemens ne t'en la première. parle cher embrasse frère, tes enfants et crois sœur, vif désir attachement et au que t'être utile. Je t'embrasse. Trébur.het. mon ~Sa~O~Mm~e~~O~~ mon J'approuve, rangements pris dit plus tôt sans ma retenu quinze tu m'enverra lit, Ta cher tous les arami, toi et je te l'aurais par une douleur de rins qui dans mon clouée jours Ne reste te voir bientôt je, compte tout à loisir. causerons de cela mes enfants embrasse t'embrasse, moi ta femme et tes enfants. HUGO à. née notre et nous Adieu, rendre pour de au TREBUCHET. pas notre auprès sœur de nos et Madame parens Ma- sœur. mon rejoindre le je n'ai que le 24 décembre Général Quartier de l'assurance Monsieur, MINISTRE le Ministre en L'Inspecteur crétaire Général. Hugo à son frère Marie-Joseph place Delorme, près le BouleLoire-Inférieure. demain part pour mon cher et ami, à Monsieur le ~N~. Lettre de Lebarbier Revues & Monsieur matems DE et Chef LA ~3 Gran- le Monsieur, compte duquel de son ordre par aux Revues, de Rinard, Trébuchet. Général vous me ma GUERRE. inspecteur 26 décembre Trébuchet a mis la note suivante (<) Marie-Joseph «J'ai cette lettre le 25 décembre." o reçu sur l'original la Armée. Recevez, considération. TREBUCHET. jPar~,9mf!M~ ri, née vous m'avez invité à vous Monsieur, Mr. faire connaître devenu qu'est Hugo, était Maréchal de au service qui Camp l'honneur de vous J'ai préved'Espagne. nir qu'il est du nombre des officiers qui étaient au service de sa Majesté Cathoet à passer à ont demandé lique, qui à se celui de France. Il a été autorisé Pour Je HUGO Paris LE Lettre de Sophie Trébuchet, n° vard, à Nantes, sœur, Let.tre du Ministre de la Guerre, Préfet de la Loire-Inférieure. pays cy, ce n'est qu'en Espagne te faire aie donc un qu'il pourra placé, de patience et sois sur peu que je travaillerai de manière il sera tems quand les t'offrira que avantages que l'Espate de la au France, gne dédommagerons amitiés pour à mon de j'ai une ce Mille m'oublie en particulier this. reconnaissance des deux mille aux intérêts francs, quant qu'il n'en soit la et si pas j'étais question, t'abandonnerais même le maîtresse, je le pourrai-je un jour, priricipal, peut-être au reste sur mon cœur et repose-t-en mon amitié toi. pour Le crédit mon ne rien de mari peut dans famille Se- aux .<?. sur Hugo, demandez le des APPENDICE renseignements ce mois, était eu j'ai nes vu parce pas chez moi au meure, est encore se trouve J'ai votre par à Paris il du lettre y a trois sa mais me visite, que je il ne m'a de moyen de vous saluer avec une considération. parfaite LEBARBIER de RINARD. Lettre du générât Lucotte à Monsieur Trébuehet, chef du Secrétariat de )a Préfecture~ i, place Nantes. Déforme, let lettre de que m'écrire vous le 28 à le Général Hugo et n'a pas quitté dans la même est toujours son poste maison que des je n'ai pas reçu longtemps du général mais Hugo je sais bien sa femme consacre porte. ses moments à l'éducation de ses fils seront d'excellents qui sujets. Depuis nouvelles se qu'il l'assurance Monsieur, Agréez, mon estime'. Votre Le très dévoué Lieutenant de n Adolphe 20 /~< MON CHER Trehuehet avril (~. 1820. ADOLPHE, Nous n'avons tardé si longtemps à réà l'aimable lettre nous avons pondre que nous désirions enreçue que parce que à Nantes un du voyer exemplaire premier volume du Conservateur littéraire, la poste refusant de se charger des livraisons II accompagne cette séparées. lettre. En vérité, embarrassé mon mes cousin, cousins mon cher cousin, je suis bien la commencer, à j'écris pour à si j'écrivais collectivement serais moins je empêché, le Thionville demeure je Madame dont la famille est liée à Hugo la mienne cru devoir remettre à j'ai votre sœur la lettre à son mari adressée et lui communiquer celle vous m'aque vez écrite Elle va vous donner les détails vous intéressent sur leur comqui mune situation. tous trois Hugo juil- dernier. Monsieur Abel m'a- MONSIEUR, la de mais ici me Pour l'expression manque. des parents, des amis, vous me sempour ble le donc trop cérémonieux, je prends de t'écrire comme si je t'eusse parti déjà vu et pour commencer, je te dirai que ta lettre nous a fait à mes frères et à moi .?aoM<4. Je à réponds vez fait l'honneur lettre pas des'il sa pas indiqué quoi je ne sais ou où non j'ignore et ses enfants. Hugo à Paris Madame l'honneur ne je trouvais 18 de semaine l'ai toute serviteur, Général, vif plaisir, eux-mêmes plus posent Nous avons connaître ne nous et tu ne que nous servateur se proqu'ils témoigner. désiré beaucoup dont notre mère plaisir de te toujours des parents a jamais éloge, parlé qu'avec nous aurais écrit le premier pas aurions saisi l'occasion du Con- faire connaissance avec pour on est si heureux de trouver des amis toi les personnes à parmi déjà qu'attachent nous les liens du sang. J'écris cepter teur, nistériel ce dans à mon oncle le prier d'acpour aussi un exemplaire du Conservade tout miParis, (si le Journal confianest, mérite qu'il quelque ses assertions), il s'occupe quelde sciences et de littérature, quefois je désire donc cet lui soit que ouvrage L'autre t'es destiagréable. exemplaire né et tu auras bien la petite complaisanà tes sœurs, ce de le prêter que je te d'assurer de mon amitié. prie LUCOTTE. 12 mai en a donné 1886, quelques avons mises entre crochets. A cette lignes lettre une lettre de Victor trouve qu'on dans la très incomplète Correspondance 1815-1835, en la reproduisant, 6-7. Le ft~aro, n'a commis pp. faute insignifiante. qu'une (1) -2i4- Le f:ya?'o, nous que était jointe APPENDICE ton droit à Rennes, l'Eco[Tu vas faire le y est, bien dit-on, j'aimerais libérale mieux te voir étudier à Paris deux pour raisons 1° parce que les royalistes y sont en assez une 2" grand nombre], pour raison besoin de te dire. que je n'ai pas te souhaite à Rennes Je néanmoins tout le succès dans tes études. possible Si tu as quelques à commissions petites tu me prouveras en m'en Paris, chargeant cela des du succès le chose, voyez qu'une causer à maman, peut nous sommes Adolphe, moins vous plaisir ah frères. que mon n'y cela cher écrivez nous non Ecoutez, souvent, pas à tous, cela est si froid, mais à chacun, tantôt à l'un à l'autre, afin tantôt que nous puissions et que nous nous connaître rien à nous le jour n'ayons apprendre où il nous voir. sera de nous permis à mon amique tu attaches quelque prix tié. Je réclamerai de toi le même service si j'avais chose à demander à quelque ou à Nantes, des livres Rennes par exemple. Tu n'as la même raison nous pas que Et vos nos aimables sœurs, cousines, assurez-les bien de notre sincère affecet surtout cette Mademoition, grande selle écrit si ditesbien, Joséphine qui lui nous son n'avons oublié que jamais les lettre 'de et que dans 1815, aimable faire attendre ta pour réponse, j'espère la mienne donc la recevoir suibientôt, vra promptement. En attendant te le dire que je puisse de vive voix crois moi diverses Ton Lettre de Inédite. Eugène Hugo sincère ami, ABEL HUGO. vés à pectueux terprète sincères blissement P.S. COUSIN, Vous ne sauriez croire avec joie quelle nous avons votre lettre et combien reçu nous il est si doux. en avons été touchés de nouveaux de se sentir attaché par ne liens à la terre et de voir nous que tout à fait seuls dans sommes pas encore la hucette solitude de société grande maine. Vous nous offrez votre brave avec ah nous homme, jeune l'acceptons une vaibien de la joie, non comme pas de ne de convenance et formalité pomais un noble traité d'alcomme litesse, à traverser liance afin de nous aider coula vie, ainsi rageusement entre qui s'estiment gens dans les me coule sang Vous nous de parlez vous êtes bien téraires, amitié, convient qu'il et à qui le mêveines. nos bon époque, a été un de sommes de ne travaux litde nommer -215- trou- nos plus pouvoir Adolphe, tante de y assurer no- notre être resl'in- des vœux le réta- ami, E. mon CHER nous attachement et surtout de notre tante auprès nous formons pour que de sa santé. Adieu. Votre ~)t)!oM?Kat~MO. MON cette où grands regrets répondre. mon cher Veuillez, tre oncle et notre Trebuchet. Adolphe situations Maman et oncle quelques tail. jours Lettre de dite~). Abcl fait à ses toute lui elle Hugo HUGO. compliments sa famille, répondra a Adolphe à dans en dé- Trebucl'et. Iné- ~5 mn< ~S~O. Maman faut ne lettres, sur ce mon cher Adolphe, qu'il les gens de ses pas assommer d'être de son avis loin je suis dit, mais j'attendais qu'elle point; à vous répondre vit à ton père pour doit le faire de jour les deux. Elle même d'écrire et se jour propose mais dans l'incertitude du longuement écritous en très jour d'une tcUr'ti du VicLor ()) KHect.u.it a'~iupag~Hu dans /K T'Yf/at'n. )2 mai ~8Sfi. <)u'on trouve APPENDICE où cide elle à commencera la Mes frères, été moins ton amitié, sa lettre de me je la dé- Lettre mienne. précéder cher n'ont Adolphe, pas à tes sensibles louanges qu'à de ses amis est l'approbation de dans le monde et fait plus faire mon beaucoup d'un étranger, quoiplaisir que les éloges soit souvent moins désintéressée qu'elle Au reste, ce car l'amitié parfois. aveugle en mon'est à me pas à moi répandre tout ce que destie mes frères et pour te dire c'est nous devons je puis que un grand au Conservateur toujours plaisir où nous a pu approcher 1 époque puisqu'il à avons commencé si bons parents. Je t'ai envoyé correspondre avec de un du preexemplaire encore mier volume et si je ne t'ai point c'est qu'il du second, adressé des livraisons la fin du volume faut pour que j'attende de non timen faire la poste partir par tu ne perdras rien attenbrés. Ainsi pour la xni~ livraison dre. Tu auras vu par Victor mon oncle a du recevoir, que que dra eu cette n'avait est année encore ce Mon ma 29 nia: 1820. tu connaissais Tin Adolphe, d'une le danger mère, quiétude que cause la douleur de l'amalheureux tu connais des convoir tu nous demandes perdue, cher hélas mon ami, solations, quelles auconsolations nous te donner pouvons tres nous les larmes répandrons que de mère, avec Tu n'as pauvre plus et des consolations Adolphe, n'apaiseront ta douleur. Il faut savoir la supporter pas montrer toute soit. Tu dois pesante qu'elle de courage qui sont plus que tes sœurs ta que toi. et à tes sœurs de la tu auxquelles de l'hommage sans cesse à présent de saine morale principes t'a donnés. Fais qu'elle tu se qu'en faisant bien mère absente. Tu ne te tu facilement mais plus voyafaits mère montreras tes succès, ta mémoire lir les de la orages embarrassé de seras à ce que re, pense mère et fais-le. lettre, plus mon présente aie les et de probité et le bien penfais à ta plaisir consoleras pas auras de plus Le souvenir de toi un talisman forces contre la douleur. ta bonne mère sera pour te fera traverser précieux qui Vicque parce Montor veut t'ajouter mots quelques me de te préseizsieur charge Eugène en et moi ter ses respects je t'embrasse moi toute d'embrasser te chargeant pour A. HUGO. famille. ta ici Iné- cher Enfin finis Trébuchet. Tu pleureras l'exemple résignation. la solitude et devant elles ta mère dans arrêter les tu dévoreras tes larmes pour de ton leurs ne pas celles pour appeler 0 mon tu ensois ami, père. courageux, doutres dans la vie par le chemin des d'un ferme leurs, pas puismarches-y tu n'es à seul. Travaille, porte que pas d'aller embrasser des le plaisir pas gerai mais tout déjà tant parents que j'aime bien voir en désirant de vous je désire la Vendée n'ait ce voyage dans pas que avant sans doute ce qui se décidera lieu, peu. Je Paris dois que j'aurai remplis. la Vendée, J'irai dans peutpeut-être car sait-on être avant la fin de l'année, alors conce qui peut arriver, je ferai Vendéens sur naissance avec ces braves à Victor des détails tu promets lesquels et alors tu peux compter que je ne néglige et à Adolplie Hugo des larmes ce ne sont pas ta bienheureuse mère. Elle atqu'attend tu nous des tend de toi, demandes plus consolations et tu en dois à ton père qui tu en ses ne vit plus enfants, que pour un sans doute mettre au nombre des vœux été n'auront qui pas Abel dite(d). femmes à Toulouse, prix La pièce concouru. point Eugène dans la xive couronnée insérée qui lettre. Tu nous suivra de près cette parsi les desseins de les d'aller à Nantes la maman mis à vous sont exécution, avant verrez avec mes frères probablement à moi, il me faula fin de l'année quant avait de failet quand tu jeunesse ce que tu devras fait'aurait conseillé ta ami, que si songe à tes elle yeux, sans elle n'en n'est suit à celle d'Abel. Le FiVictor une lettre joignit mai On en trouve aussi )'a donnée (12 1886). ~<n'o la Correspondance des dans 1815-1835, fragments 7-8. pp. (1) 2)~ APPENDICE moins et de plus toutes pas près les tions à toutes applaudissant et heureuse de la vertu de son Ton cousin, A. HUGO. Hngo & Adolphe Nantes. fneditc(~. Trchuchet, t'écrira Eugène de Abel Delormcn la prends un ajouter a vivement mot proposent de à à tout à qui ne fait ne si tre serve j'ai vos ils voyage, partage les fatigues. son il t'écris n'y Mr. qu'au pour pas moi Vendée vos Decaze a coûté en parti, et te 'de présenter prie oncle et d'embrasser toute en- voyage. que let- prochaine En mes est parce alors réponse. en beaucoup n'eût pas qu'il bon longuement, ta mémoire, m'appartiendra la pour lorsem- pour soient pas bonne se m'y transportent vos excursions sans craignait est nous toujours d'ailleurs, sitôt la départ on t'y vous environs de pas vivantes enfin, Je de toi continue étrangers, arracher, lieu, avec bonheur de verrai partager fin parti, ces attendant leur descriptions et je idée à le entretenir moins et pour voyage messieurs renouveler le En les Ton intéressés 4, 1820. Victor d'amitié. me je attendant à respects la famille réje mon pour moi. Ton cousin et ami, MON A. CHER nous avons Trébuche), 4 aotit t, <SSO. ADOLPHE, ta plaisir bien lettre, (car que, tes lettres nous sont quoique particulières, la 'description tu nous communes ) que fais de la nous de l'abbaye Meilleraye a vivement mon cher continue, intéressés le plus souvent te sera Adolphe, qu'il à nous donner ainsi des possible détails sur notre seconde en attendant patrie, que ne juillet de lettre auront qu'ils brasser. ;Y Adolphe Hugo Paris, Nous dernière demain. /'a;s-, Je bonnes, fils. Lettre de Eugène place De!orme(l). sœurs embrasse tes ami, est impossible de et crois qu'il à votre malheur de plus part de Paris. parents prendre que vos place ac- mon Adieu, moi pour Lettre tes lu avec puissions la bien du tu sens parcourir cette idée avec toi t'effraie de nous pas que sommes Parisiens et que l'aspect des merveilles de la ville a dû nous grande du du ce n'est reste dégoûter monde certes à sortis des nous, pas à peine à te faire les honneurs des bancs, pomde il est ceux pes Paris, probable que mais sois qui y vivent, s'y amusent, persuadé si nous un après que soupirons où moment, c'est nous celui, après quitterons tout ce fracas aller pour goûter de vous les délices de la camauprès pagne. avons dernièrement deux exreçu homards nous avez envous que ils étaient encore très nous voyés frais] ne savons comment remercier notre oncle de ses bontés et de ses attentions. [Nous cellents Maman lui écrire incessamment, compte elle n'en n'est les emempêchée que par barras du déménagement dans elle lequel se trouve depuis quinze jours. à la de Paris l'état Quant politique, est assez le gouvernement a tranquille fait un pas vers le côté Mr. Benoît, droit l'ami intime de Mr. de Chateaubriant a de été sur le point d'être nommé Ministre on ne peut se discependant ne travaillent la que les libéraux une des populace grande partie jeunes de l'école de Droit et de Médecine gens dans les cabarets les se répandent avec l'Intérieur simuler HuGO. Cette )ct.trc est connue encadrée (1) parduux !ct.t.resdt;VicLor. On les trouve avec fjuetfjuusfa.utes dans le du)2ma.~SS(ietda.nsia.Co)'~</a)"o h'L sont .<S~5-~S35 mais )'e.s'/Mti6<<M (pp. !)-))) six Cinq lignes duitosda.ns/e.y<odul2inaji886. (i) t.ruamcon<p!utcs. de celle )ct.trc ont et,c rc{H'u- –2[7 :!S APPENDJCE soldats et tâchent de les engager leur si les libéraux ont le parti dans les élections, il est probable à soulever parviendront quelques qu'ils légions la consdu moins ne peut ils feront auxquelles proclamer titution des cent tel est jours leur et le gouvernement espoir, guère s'y quemment Il vient tre jours opposer qu'en les de troupes d'éclater il un horrible de Bercy fré- changeant garnison. a trois ou y incendie dans les journaux magasins en auront donné probablement mais je ne crois pas qu'ils sent des bruits qui courent de ce désastre. II constant paraît que les mis a arrêté dans dessous les vous détails, instruila cause sur le annoncent journaux des incendiaires. quales vous feu même a qu'on du gens d'un commis cependant je tiens la compaThory lui-même, que d'assurances n'avait gnie assuré que pour 60.0000 francs de batimens et avait refusé d'assurer les marchandises. Il paraît sensé de croire ceux plus qui pagnie de Mr. prétendent de Paris c'est des vins que l'entrepôt a fait mettre le feu. En qui effet, sous il était décidé Bonaparte, qu'il aurait de magasins à Bercy, n'y et pas tous les marchands que de Paris seraient forcés à la halle aux d'entreposer le Roi ayant ensuite de bâvins permis tir des hors des la magasins barrières, halle aux vins est devenue inutile et l'administration a été ruinée. Au reste, il faut n'en seespérer qu'il ra cette fois-ci comme de l'incenpas die de l'Odéon de personnes sont trop intéressées à 'découvrir la vérité, pour qu'il soit permis à l'intrigue et à l'intérêt d'en encore une mon cher Adieu, rerions bien pouvoir en Bretagne mais aussi tu vinsses que droit avec nous à Ton affectionné fois les indices. nous désiAdolphe, aller cet automne nous désirerions bien cet Paris. cousin, mais il en a fait tirer Conservateur], ses amis et quelques exemplaires pour les académiciens de sa connaissance. J'oubliais de te dire de ne plus nous écrire à notre ancienne adresse, mais à celle-ci Madame rue Mézières, N" Hugo, St-Germain. 10, faubourg été Les port c'est la prétendent que compagnie d'assurances le coup qui a fait faire pour l'effroi les jeter non parmi propriétaires ils s'appuient sur le nombre des assurés incendies est considérablement qui augmenté l'établissement de cette comdepuis étouffer Présente nos à notre oncle et respects assure tes frères et ta sœur de notre affection. Ecris nous si tu ne reçois exactepas ment le Conservateur littéraire. [Nous vous six exemplaires d'une Ode envoyons vient à Mr. que Victor d'adresser de Chaelle a été insérée teaubriand dans le hiver E. faire ton LeLU'ede Monsieur Madame Hugo, .Va;t<<M. –~8 «ocem&t-e 1820. Nous avons mon cher Adolreçu lundi, phe, ta lettre ton heureuqui nous apprend se arrivée et l'accueil si affectueux que tu as de nos bons reçu de Paris. parents Nous avons lu et relu ces dépremiers tails de ton chacun de nous a voyage été touché des de ta tenexpressions dresse et pénétré de reconnaissance des marques d'intérêt nées. Tous nos et d'amitié parents qu'on et nos t'a donamis à ont aussi ta lettre, j'ai communiqué enchantés de recevoir de tes nouvelles, particulièrement la famille Delajarrietla te, famille Mr. Cosson, Delair, etc., etc.. Les demoiselles Cosson et Mademoiselle ont dimanche derGergaud, passé nier la soirée avec ta sœur et nous avons de toi. beaucoup parlé qui été Le 14 de ce mois, au rouj'ai chargé à l'adresse lage accéléré, de ma sœur, une caisse contenant des des pommes, et du et châtaignes beurre, 50 pesant kilos. Cette caisse arrivera le 21 au soir, à Passy, barrière de Paris, chez 'Monsieur Pasteau, de Mr pour rières, HUGO. Trébuchct. a son fitsAdotpherhex rue Mcxiercs n" 10. Inédite. commissionnaire, entrepositaire Les caisses Bonjour. expédiées s'arrêtent Paris, maintenant aux barêtre ouvertes et visitées. pour Pour APPENDICE de celle l'ouverture possible du moins ai ou je envoyée, que à cette il est néassister opération, pour ou un de tes cessaire tu te trouves, que dans la cousins à la barrière de Passy, lettre du Dans ta 22. journée première si les tu me marqueras objets qu'eue Tu renferme sont en bon état. arrivés éviter s'il à ta tante de mettre les diras à à l'air, au soleil et même du feu pour les faire sécher si server. Informe-moi aussi, le paquet adressé que je t'ai médiaire de Monsieur Thibault, de moi et les tenait une lettre des Odes de Monsieur de l'éloge la m'a Victor. Richer de Sesmaisons des Chambre à une grande Cette dans Roi cette tu par abbaye ? faire à la du s'occupe et il réu- rapporte. connaissance de déjà Mr le Comte Humbert Mr Revelière à la et de ont été élus Ils Députés. majorité nomination et au ler tour de a été accueillie le le cri de Vive Elle a été aussi nomle plus grand le collège par Vive les Bourbons avec joie par apprise habitants de Nantes. Le soir bre des au en l'enthousiasme a éclaté spectacle de Lauriston, de Mr le Marquis présence rendu était du collège, s'y président qui nouveaux du des accompagné députés, du Lieut. Gai de la Division, du Préfet, déUne Maire, etc. loge magnifiquement avait de et d'emblèmes corée draperies été On donnait Adélaïde Dupréparée. du Duc de Boret le Berceau guesclin à la naissanToutes les allusions deaux. ont ce de ce prince, de la France, l'espoir été avec transport, malgré l'opapplaudies de factieux d'une qui position poignée siffler au ont eu assez d'audace pour les commencement du spectacle passade la famille de ges qui faisaient l'éloge enfin ils ont été comnos mais Rois et forcés de se taire. primés par la masse Tu que Mr. sauras mon cher aussi, avoir les libéraux après Colas, Ngt., se sont rendus, lui de bibliothèque suivant, premier savoir exemplaires Il leur tête, chez' Mr faire de d'une hommage en de leur retémoignage d'avoir défendu ce qu'ils apla liberté et les droits dit p!CM/ pellent La Révolution nous a appris ce qu'ils enet droits tendent liberté ~M peuple. par On commencera 27 novembre lundi, rue des Bons ? 1820, Enfants, 3, maison la la vente des livres de Silvestre, as reçu l'interil con- voyage livraison à Saint-Aignan, d'or coupe connaissance châtaignes la chaleur et les con- entendu ayant de ton relation la demandé qui la contient. Trappe, Conservateur d'un sur ouvrage nit tout ce qui s'y Tu as sûrement la nomination de scrutin. Haudaudine est vous Adolphe, diné chez Mr ayant 2i9- 911 Mr. XXX. décembre, Le vendredi se vendront, du Histoire de Catalogue. Paris France avant Laureau, Clovis, par 1789. 28 in-12, br. des ? 912 du Catalogue. Histoire trade St-Grégoire de Tours Français duction de Marolle, 2 vol. Paris, 1668, bas. in-8, tems ces deux je désire Depuis long des l'Histoire ouvrages, particulièrement de ~-C/~o/y~ de T'OMIS qu'on français toi ne trouve Informe aujourd'hui. plus du prix de cet rends-toi à réel ouvrage, et tâche la vente le jour que je t'indique, de l'avoir à un raisonnable. prix on vendra ausLe samedi 25 novembre un livre au même lieu, si, dans~Ie porté et ? du de Mr 584 D.t, Catalogue, intitulé Usages Poullin de par 12. Fais ~Q?H/-x des /YaMc.'K~, et inLumina, Paris, 1769, à un de l'acheter me feras connaître prix et différents le montant de ces livres, toucher la première te le ferai par je à Mr le occasion. N'oublie d'écrire pas de ses bontés Préfet le remercier pour du à m'instruire aussi toi, et pense pour aussi en raisonnable. résultat Nous sorte Tu démarches pour Auguste. une lettre de toi après 12 jours demain. Je t'écrirai dans 10 ou de nos te donnera nouvelles Joséphine la semaine Je te ferai prochaine. passer Mr Thil'intermédiaire de sa lettre par bault de tes attendons Mr Allegret. à me donmon cher Continue, enfant, des détails sur tout ce qui t'arrivener à Paris. Es-tu insra ou t'intéressera de Droit ? Y as-tu des à l'école tallé amis ? Les des connaissances ? professeurs ou te de plaisent-ils ? Es-tu content de APPENDICE ? Ne tu as reçu de Mr que tes prorien. Que je connaisse tes désirs, tes plaisirs, tes besoins. jets, Ouvre moi ton mon cher cœur, toujours Ton ton endoit Adolphe. père posséder tière Tu trouveras en confiance. toujours l'accueil me cache lui un ami de plein sollicitude pour tées Ma mari Blois 8.000 ensemble. ton donl'exta par pour te l'assurer pour de l'amitié et de et qui, conseils Laisse-toi périence. aussi diriger Tu sais tout ce que dit à tante. je t'ai cet elle comme avoir doit, moi, égard ta tendresse entière confiance. et ton t'embrasTous ceux qui te connaissent bonheur, nera les sent sonne ton et te ne font mille t'embrasse amitiés. Mais tendrement plus Mr afin Salliôn. Je les ai laissé les lire. décache- tu puisses que de tante avec moi qui a causé m'a dit était maintenant qu'il où il vivait avec une pension ils ont des francs, arrangements son à de mon cher au Papa, réponds-moi il me semble vite, qu'il y a un an besoin de receje t'ai j'ai quitté de vos ce sera moi nouvelles, pour Adieu, plus que voir une consolation. Dis à ma sœur grande fois. la prochaine que je lui écrirai ma Je t'embrasse de tout mon cœur, tante et mes cousins se joignent à moi. Ton fils soumis et respectueux. perque père. TREBUCHET. A. TREBUCHET. Pour ma .SQ?M/ P. doit t'écrire la setante maine Embrasse toute la maiprochaine. son Dis à Louise moi. pour que je penainsi se souvent à elle ainsi ma sœur, qu'à ainsi ainsi qu'à Prosper, Auguste, qu'à ainsi la Louis, petite qu'au petit qu'à de me donner Ne manque Hyacinthe. pas ma vive, me manchère et les expressions Sophie, le te comme quent pour l'exprimer je elle est un lien de voudrais plus qui m'attache à toi et à tes enfans la pour vie. à tous s'ils ont Dis-leur que pour Ma reconnaissance est bien leurs nouvelles. Embrasse Mr Delair ne m'oublie de nos pas auprès paà rents et amis mes présente respects à Mr. et Mme Mes amitiés Delajarriette. notre moi au souvenir Bureau. Rappelle une tendresse de frère, Adolphe j'éeux toutes les affections d'un prouve pour Ces si touchants d'apère. témoignages mitié neveux m'avez donque toi et mes ont été dans mon malheur une bien nés, viendra douce consolation. Un jour peutêtre où je pourrai vous donner aussi des. des sentiments inaltérables marques que et que dois vous m'avez inspirés je vous à tant 'de titres. Excusez le temps de )''t':tgment pët'e.)nédit. lettre de Adolphe Je n'ai Trébuchet tres une pour pas Mr a son Q j'aie de Brosses et te dire que Victor et Euils en de tout mon souvenir de mes cœur. tantes Rappelle Reles et de Mme Mathis. ligieuses yM~ycy~ soir cher Je reçois à l'instant ta lettre, mon il est impossible de te peindre la papa, ai ressentie. Je te remerjoie que j'en cie de la bourse, c'est sans doute de l'oula embrasse de ma bonne sœur vragé Victor me de une fois de plus. charge II est te sa reconnaissance. témoigner bien la ici valent cela m'est très pourquoi il m'a très bien Vicreçu, moi. Je joins ici deux letque de suivaient les cours de droit, gène sont à leur 3me année Abel travaille chez un négociant. Adieu une fois, encore je voudrais passer tout mon à vous écrire. N'outemps blie de bien vite. Je me pas répondre t'embrasse moi au ~YoMM&re~~O? connaissances c'est sienne, Du reste égal. tor .était avec d'Allory. J'oubliais BUCHET. mon barbouillage. de relire ma lettre. Ma de et mon TRE S. de l'impression de ses Odes. très content le Roi On dit ce soir d'Espagne que s'est mis à la tête de quelques troupes contre les Cortès. marcher Adieu, pour l'autre ~u- APPENDICE mon cher attend ma lettre Daniel papa, avec la remettre à Thiimpatience pour baud et qui part l'aîné, qui s'en charge demain. ne peut te répondre Daniel pas ce courrier. par Lettre de Eugène Hugo à son en convalescence dans les environs nous Blois, serait ici pensions qu'il le maintenant nous l'attendons 19, le 30, nous l'attendons d'autant avec ~arM,;<OaoM< MON Je CHER ONCLE, à dois vous écrire je Nantes dans tous les cas St-Fiacre, comme cette dernière adresse, je j'ignore vais vous à Nantes adresser cette lettre comme de coutume. C'est le dimanche nous 29 juillet que Mr avons votre lettre reçu première par de des ne sais ou à la Jarriette. manières plus vons nous si II est la fois à qui nous à de Victor difficile d'avoir franches et plus Adolphe ge, comme le départ deux jours tinuellement de ses nouvela été sorti j'ai de ma vue ne apporte ments plus voyaet à cause de et nous lui, eu un avait heureux tems pensions qu'il la pluie n'a commencé à Paparce que ris le dimanche soir 22 à que juillet, à la même heure où nous peu près voyons sa lettre est arrivé chez vous. par qu'il ce Monsieur. Nous l'apolies que la joie avec laquelle reçu avec toute devons un ami de notre recevoir oncle toute pour pour 'de espérance à son arrivée, la durée de son séjour à Paris. Deux letavoir votre jours après reçu tre Mr nous avons repar Delajarriette, Vous aviez bien vouçu celle 'd'Adolphe. cher en écrire une lu, mon oncle, partie afin rien ne manquât à notre que joie. Nous avons lu avec de plaisir beaucoup les détails du voyage Pendant d'Adolphe. la semaine son nous qui a suivi départ, été à tous avions attentifs les change- onc)eTrëbuc))et(d). d'impatience que est subordonnée ge de tems, ne des encore peut pas détails sur son il le lui demande, il n'est d'Adolphe de suite à Paris, en dans tournée donner petit car à voya- depuis resté pas il est conles envi- il cependant, quand regretté que la faiblesse m'eut de lire distinctement pas permis son nom à la de placé première ligne votre lettre. J'aurais désiré lui témoigner à lui-même le connaissions déque nous ne nous avait jà, et qu'Adolphe pas laissé rons. moment de la rup[Il paraît qu'au ture avec le ministère, Mr de Chateaubriand de lui faire avoir s'occupait quelde ces places honorables l'on qu'une que donne aux de où l'on a lettres, gens rien à faire et où l'on touche des apun petit C'est malheur dont pointements.] toute l'affection à vo.ignorer qu'il porte tre famille est maintenant devenue qui la nôtre. Mon cher nous avons été bien oncle, vivement de tout ce que Monsieur touchés la nous a dit de de vous, Delajarriette on les, d'autres qui ont passages crochets. Figaro. de cette 19 lettre mai 1886, nous cite les deux mettons facilement en affaires bien plus été également manquéës. cher vous nous oncle, tant voyant importantes remerciez nous avons eu pour que bien à nous de vous plutôt remercier nous avoir un ami pour envoyé aussi Maman le disait bien agréable. était celui la qu'Adolphe qui répandait dans la c'est une vérité joie maison] nous le désirons bien vivement et le vide que le départ a laissé au d'Adolphe milieu de nous nous le fait chaque jour désirer davantage. Nous attendons est toujours p~pa, qui Le console [Mon de l'attachement c'est Adolphe avez à notre douleur, part que vous prise et du désir vous avez de nous voir que à Nantes, et nous mon cher aussi, oncle, (1) se nous sentons maintenant plus que jaet une des choses nous regretque terions si nous ne connaissions la bonté de son de ce serait n'avoir cœur, p~ lui rendre maison notre mais plus gaie. telles ont été les funestes circonstances où nous nous sommes trouvés durant cetà peine te fatale avons-nous eu la .année, que mais courts entre 22) APPENDICE nous voir réunis un instant, qu'il fallu nous consoler plus songer qu'à mutuellement. C'est bien à nous, mon cher plutôt à vous remercier toute l'afoncle, pour fection vous avez la bonté de nous que joie n'a de nous ne savons notre reconnaissance, à vous assurer témoigner, comment avec auAdolphe en a probabled'empressement qu'il à vous Nous peu espérons quitter. nous d'heureuses nouvelqu'il apportera les de vous et de notre aimable famille car vous nous avez je dis notre, permis de considérer votre famille comme la nôces, tant ment vous nous nous nous la que et vous nous croiton ne trompe qui exprimer bornerons sentons bien vivement, rez parce est un qu'il point. I~ous aussi songeons tits cousins et à notre à (nos pevous nous cousine, de les regarder comme des frèpermettez ah! être bientôt réures, puissions-nous nis comme des frères doivent toujours l'être. mon cher vous rendre Adieu, allions souvent soit que à Nantes, oncle, visite nous soit nous soit absolument que cela impossible, votre puissiez-vous passer agréablement automne avec nous ou sans nous, et puissions-nous être présents à votre souvenir comme notre. Je votre vous le serez continuellement suis avec mon respect, dévoué et affectionné au cher oncle, neveu. E. HUGO. d'Abel va paraître d'ici à 5 L'ouvrage ou 6 jours, il a été les imretardé par Abel est désolé de ce retard, primeurs, il espère les dédommager souscripteurs les additions a faites à son par qu'il recueil. LeLU'e de inédite. Eugène Hugo a son oncle Trébuche). CHER mille commence vous demander par de vous écrire sur un semblapardons ble ici au milieu nous sommes papier, des embarras d'un et ce déménagement, n'est même une chose facile pas que de trouver un écritoire et une place pour écrire. cher oncle, voici la fin des attendons de tous les d'affectémoignages voulu nous donque vous avez bien celui-Ih. nous le plus senest ner, pour sible et le plus précieux. Vous avez bien voulu nous envoyer tre tion et mon cher dernièrement, oncle, l'ouvrage de Mr Richer, sur l'histoire de Bretagne. Vous ne sauriez croire avec intéquel sur un pays rêt nous avons lu les détails considérer en quelque que nous pouvons sorte comme notre patrie particulière. 11 est bien à désirer la littératupour re entreMr Richer continue cette que dans de pareilles prise proqui, exécutée Mr Riet avec le talent dont portions, mancher a déjà fait ne preuve, peut de donner à la France un magnifiquer Vous me permettrez en efque ouvrage. mon cher dans fet, oncle, l'impossibilité où je suis moi-même de vive d'exprimer voix à Mr tout le Richer plaisir que ses ounous a procuré la lecture de de vrages être auprès nous rien, m'en de remettre à ;vous lui l'interprète le savons comme la bien, en pour ce n'est que mais quelques on opinions nôtre, peut en conclure le reste par analogie pour des lecteurs et l'opinion ne se générale individuelles. compose que d'opinions la charNous avons lu en même temps mante vous faites des description que nous bords de la Sèvre, mon cher oncle, besoin de cela désirer pour de vous et quand nous senous aurons assez de bonréunis avec désirer votre aimable d'autres plainotre ne joie distraire. ne pas famille, pour sans sirs, qui augmenter en pourraient que nous Je voudrais savoir si Adolphe a lu dans le des Débats l'insertion de journal à la Trappe. Cela doit lui son voyage ONCLE, Je Mon nous n'avions pas d'être auprès rons à Nantes heur en étant /'a;'M,/e~"?:OHeM&)'e~<. MON et montrer faire lui ce n'était 222 pas nous seulement avions pour inséré plaisir que dans le Conservateur, et que ce morceau senti tout d'autres nous en avaient que vacan- que APPENDICE le mérite. Il est en effet, remarquable, ce n'est le dans Conservateur, que pas mais dans le de Marseille qui journal l'avait le des Dérépète que journal bats son a pris la relation de voyage. Si Adolphe à la 'maison faire insérer des Débats, bien s'est se avoir entendu dire rappelle de combien il était difficile le journal 'des articles dans fier et il doit être bien cela et d'autant plus que glorieux, fait sans moindre sollicitation, son article dans et reconnaissant qu'en nous avons été le des Débats journal aussi a. pu l'êagréablement surpris qu'il tre la lui-même. Mon cher sais de quelle oncle, je ne me servir vous exprimer expression pour combien nous sommes honteux du retard de à la l'ouvrage apporté publication nous de il a fallu d'Abel, voyons que ne combien d'affaires il est obsédé pour lui au dernier le en vouloir point, pas retard nous est d'autant pénible que plus être il doit vous nous sentons combien Il va cesser, dans parce que, désagréable. Abel où se trouve depuis l'impossibilité mois trois me suivre vais les affaire, je moi-même de charger presser mais nous n'en aurons pas imprimeurs d'excuses à vous adresmoins un million vous auser pour les 'embarras nous que rons de cette causés. de Mon cher oncle, permettez-moi au dire et de nous adieu, rappeler. venir de notre aimable famille que le le moment n'oublierons jamais vie sera celui où heureux de notre combien vous exprimer pourrons vous une sommes attachés autrement vous vous présenter mise à répondre que j'ai mable lettre. Mais vous on est aux que quand avoués on n'est le pas De temps. plus, j'aurais écrire vous qu'en envoyant excuse res ble de et mon Votre très mon cher respect et humble très veu, chainement. nous renvoyer ai- n'ignorez pas avec les prises maître de son voulu ne vous les exemplaion fait la Ta- place pour lui, mais je ne crois mes frères veuillent se décider pas que à manger à la maison il sera de forcé recommencer ses dîners Je vagabonds. ne puis encore rien vous dire sur notre position faudra Papa bien elle est II toujours provisoire. un voyage à Blois si que je fasse ne vient à Paris. Je voudrais pas pousser à faire Nantes jusqu'à tout ce gage vous pouvoir. Adolphe désire embrasser tous Nantes et vous serez vois pas, c'est je ne vous En plète impossibilité. s'il vous recevoir plait, attachement. tout dévoué respectueux Votre qui dira J'embrasse verra phe bien cet nous réunis. Vigny De hiver tous je m'enen mon combien je de si comqu'il y aura attendant, veuillez, de mon l'assurance neveu, A. plus nous et sera nos parents convaincu que sounous que votre à Adolphe,. votre volonté que Dites-lui nous avons loué que de la maison dont nous occuet le rez-de-chaussée. premier vos HuGO. enfants. Adol- tous nos amis lettrés à Paris. et de Pons sont par oncle, avec l'assu- obéissant E. HUGO. lequel Lettre Lettre de (néditc. Abel a Hugo son ne- Trcbnchet. onclc .)/ai~? cher de oncle, nous je trois, serais si le je plus n'avais 9 couune _<M~_ son ~eAdoiphcïrëbucnet.n père. Inédite. /r/S~K~i~9~. MON pable à lenteur dont ouvrage, vous très parviendront proVous avez eu la bonté de les 30 fr dont nous étions qui redevables soit faite. le second le pions H y aura la lettre. agréer, Daignez du rance profond l'honneur d'être j'ai Mon sur a CHER PAPA, et c'est d'Abel l'ouvrage ne faut bien ici le cas de dire déqu'il la lisde rien. Je t'envoie avec, sespérer H y avait te des souscripteurs. quelques des avaient souscrit pour personnes qui Voici exemplaires enfin cartonnés, mais il eut été APPENDICE trop long d'attendre et nous cette nouvelle préavons les enparation préféré tels dans ce cas les voyer qu'ils sont des ont souscrit souscripteurs qui pour cartonnés de 4 fr ne exemplaires paieront 3 fr. Il s'est, 50. que je crois, égaré une ou deux mais souscriptions je tu as les noms de celles pense que que tu nous a envoyées. Tu trouveras le dans même toi et un vélin paquet exemplaire pour deux du même exemplaires ouvrage en Tu Espagnol. n'y comprendras pas chose mais c'est Tu grand égal. pourrais en faire remettre un exemplaire, peut-être en ton nom à la Bibliothèque de Nantes. trente Il tout le tien y a en y compris volumes, dont vélin sans quatre ton compter exemplaire. J'ai mercredi dernier ton reçu ouvrage sur Anne de Bretagne, ce qui m'a fait de plaisir. Dumesnil touchés de beaucoup Madame été bien souvenir agréer merciemens. te pour au Duc et leur Victor hier lui l'exemplaire qui était destiné. Cet aimable homme jeune a chargé il Victor de te dire combien à cette était sensible démarche de ta part, et il te prie de recevoir tous ses remerciemens. Mes été cousins ont également bien flattés des eux. Tu as pour de Rohan a porté exemplaires qui eu tort d'appeler étaient le Duc ne on jamais de l'appelle pas l'usage même de la bienveillance parlant qu'en il honore dont c'est Victor, trop fort Victor car et lui sont ensemble comme avec Esmein le moins je suis ( ?) pour ils mon cher etc. etc., s'appellent ami, Tu à aurais dû ne pas mettre peut-être Mr ~o/~e/g'/z~~y ce n'est ainsi, Foucher c'est respect, bon bourgeois, comme à un la considération eut voilà les usages de on est très scrupuleux ces de peut plus intéressante signatures la fin font Le style en le plus bel effet. est parfait, c'est du moins l'avis de mes cousins. Ces messieurs de toi s'occupent les journaux. Le journal des Débats pour et la Quotidienne tice ces jours-ci je suis ministre été assez du saluts à Paris la Victor dessus. et moi les observations que faites. J'aurais aussi bien préféré eusses mis en tête de ton ouvrage nom et tes titres c'eut été mieux eu au moins tu étais, car sçu qui avec de moins et où Voici avons tu que ton et on cette --22:– doivent la un annoncer les Foudre, ta noLettres et autre doiChampenoises journal vent des articles sur insérer également et d'autres toi j'espère journaux que en encore. cela parleront je Malgré crains bien ne s'en qu'il puisse pas vendre à Paris, mais du moins ces différents articles feront d'effet à beaucoup Nantes et Mr Foucher ont cette de ton marque ils m'ont de te faire chargé et leurs rereconnaissance Mr Foucher doit t'écrire remercier. de Rohan à la vient on ne sait comment obta notice. Pardonne-moi ces mon cher aiservations, Papa, peut-être mais selon les usaje tort pas du moins de Paris. Du toutes reste, ges malgré ces ne ta notice est on choses, petites signature fin de et dans la et faciliteront Bretagne ton nécessairement la vente de ouvrage car tu sais un attache en province qu'on aux journaux de Paris. Nous grand prix deux exemsommes de donner obligés de ta notice plaires en parle, sans cela Il ne nous restera d'exemplaires placeront beaucoup de ges à 1 fr. Tu pas de Victor. à chaque journal qui ils n'en diraient rien. donc beaucoup pas bien ne se qui je pense car même à Paris on a à vendre les ouvrapeine avons mis le prix (Nous 50). trouveras 'dans mon deux paquet du recueil de Victor toi pour exemplaires et le Préfet. Si j'avais su que les ôuvrad'Abel fussent aussi tôt ges prêts j'aurais ceux de Vicen même envoyé temps tu ne mais recevras mon pator pas Tu celui-ci. quet longtemps après y trouveras une longue lettre de moi également toi et et une de Madame Dumesnil pour une autre Monsieur Palis pour ( ?). Dis-moi donc comment tu t'es arrangé avec Mellinet ton pour ouvrage. à J'oubliais de te dire que je porterai Monsieur de ton ouvrage Je n'ai pas de répondre apportée de la bon Brosse en les romances même d'Abel. tems que mon cher temps, papa, à ta lettre m'a jolie que Billiard je ne te parlerai que De famille Lafosse. Mr Lafosse royaliste, le a été~ comme je te l'ai APPENDICE II est dans la révolution. de Chambre du Roi, valet place assez belle et qui ne se donne qu'à des Mr Lafosse n'éDe gentilshommes. tant riche dans Mr Hue et trouvant pas dit, déjà maintenant ruiné un d'autant Mr parti honnête, plus que Hue a quelque lui et que chose devant l'établissement veut former qu'il représentait sous d'heureux lui a donauspices, né sa fille aînée de 28 ans et âgée aurait difficilement mariée qu'il peut-être a 45 de fortune. Mr Hue n'ayant pas ans. Ce que encore te dire c'est je puis me de cette aimable famille comble que et me prévenances beaucoup témoigne d'amitié. dîne encore lundi J'y prochain avec Saint-Valry. Victor a dit à Pélicier, chez je lequel vais remettre les exemplaires de ton ouà Mellinet 3 douzaines d'envoyer vrage, Tu aurais de son recueil. d'exemplaires dû à la faire sur ton recueil imprimer suite du titre chez Pélicier, libraire, tu en auras que alors on verra. sûr d'avoir tous ces et chez Mellinet, etc., etc. Mais bien j'espère une seconde édition et Tu être toujours peux et les articles annon- est en notre de te propouvoir Tu en as déjà et c'est curer. 5 d'assuré n'en a pour son redéjà plus que Victor cueil. mon cher t'embrasse Adieu, papa, je et t'aime et te respecte comme on aime et le meilleur des respecte pères. qu'il ADOLPHE. P. mille S. Mes amitiés. cousins de Mr Angebault, Lettre a Ado)phe Trébuchet, Inédite. vous font à de Nantes chanoine (1), Paris. élève en droit, 1822. A'am<M. 27 juin MON Je que ne m'a puis fait (1) M. Angebault BON vous votre devint tous AMI, tout exprimer excellente plus tard le plaisir lettre évêque Je d'Angers. ') l'ai relu lu, et je suis allé en à Monsieur votre père tous les sentiments partager homlui mage pour faire que j'éElle une une naïveté, prouvais. respirait franchise et je suis bien qui .m'enchantait convaincu vous d'ailleurs ne sauriez que feindre avec c'est un art jamais moi le monde commander que peut quelquemais et fois, bannit que l'amitié toujours en d'amis à me parlant j'aime rappeler que vos je vous tablettes. ai prié de faire m'inscrire sur Vous me parlez de vos affaires de conscience avec une de filiale espèce piété à laquelle naïvement. je dois répondre Vous mon bon n'est savez, ami, qu'il pas dans et ma manière de d'outrer voir, les devoirs de la religion, surun jeune homme du monde. Le des doit être le devoirs religieux tous nous tous, pour parce que les au même mais consébut d'exagérer tout pour principe même tendons être variées suivant en serait ridicule de presdu les crire à un homme monde jeune de conduite réclame celui règles que qui est renfermé dans le cloître. cette de foi, voici, Après profession quences les états mon bon à quelqu'un doivent et il me consulterait Paris. J'en m'ont base blie réunir mitié les ami, connais qui avis que je donnerais me serait et qui cher, sur la de congrégation parfaitement été communiqués à une congrégation à Nantes. Le but les statuts, qui de et qui servent étasemblable est de principal les liens de l'a- et d'attacher par et de la religion des jeunes gens et destinés à donner bien nés chrétiens, Les de le ton dans la société. pratiques consistent dans une charéunion, piété la Sainte une conMesse, que quinzaine, férence amicale sur des sujets religieux, la et à conduite appliqués spécialement devoirs d'un homme du monde, aux jeune une une harmonie concorde, prescrite par le règlement dont la devise Cor porte aux tems unum et a/M'/?M M/M, comme heureux de la primitive Eglise. Quant sont aux communions ou confessions, elles des direcà la abandonnées prudence et l'on ne a teurs prescrit particuliers, Vous mêce aucune sentez sujet règle. 0)" 2U APPENDICE me ce On serait fort que imprudent. au nouveau aucune n'impose pratireçu une petite oraique aucune prière excepté son à la très Sainte de la lonVierge d'un ave l'on maria gueur que engage à réciter Le but chaque jour. principal, le est d'unir les liens de je répète, par la religion des jeunes chrétiens, afin gens de se soutenir au milieu par l'exemple de la contagion du et sous ce monde, celle de Paris offrir rapport peut depuissantes la contre terreur du resgaranties en présentant les noms de humain, pect ceux d'en faire qui se font gloire partie, en commençant Mr. de Montmorenpar le Ministre cy, préfet. En résumé, en qui a été longtemps soit je ne dis point qu'il de s'y associer, mais indispensable je crois sous tous qu'on peut y gagner beaucoup et à vient rapports l'expérience l'apde mes conseils. pui Quelle que soit à ce votre détermination, sujet rappelez-vous mon bon la toujours, ami, que religion seule dès faire nous peut ce monde la joie de rendre même heureux, et continuez à toujours vos amis et la consola- tion de votre bon papa. Permettez-moi de m'associer à un peu ses si douces le cœur jouissances, pour d'un car vous ce père, quand m'écrivez, vous ne ferez assez souvent, que jamais le plaisir me fait croire que j'éprouve aussi de la famille. Excusez que je suis l'effusion de cet in-folio, la plume mitié la guide s'arrêter. Votre affectionné mais ne quand peut serviteur et l'aplus ami, ANGEBAULT Chanoine sec. J'ai l'intermédiaire de Gerreçu par ce que tu l'avais de me regaud chargé ta petite lettre m'a fait mettre grand et je me suis de porter plaisir empressé de suite chez Pélicier les exemquatre de ta notice m'ont plaires été requi mis la même voie. par Je pense autres. Tu qu'ils m'as te de ces ment entrer exemplaires, moitié pour nous que se comme les placeront 24 envoyé exemplaires de ta notice les y compris 4 derniers. Sur ce nombre il y en a eu 8 pour les reste donc 16. Il y en a mainjournaux, tenant 11 de vendus, ainsi c'est 11 francs dont Pélicier m'est redevable toi. pour Monsieur Mellinet de la venprofitant d'exemplaires de donner, gés et la nonces, produit fais bien de travailler tion, tras ta doit dans nécessairele nombre été obliles anont, qui par vente des autres. Tu à une seconde édi- mais si tu suis mon en tête de l'ouvrage les personnes qualité, avons conseil ton tu ne qui moins met- nom et te contu que naissent sauront du pas a été à même de faire les repar ta place cherches nécessaires dont tu parles. Victor est pénétré de la plus vive reconnaissance la peine pour que tu te donnes lui. Nous n'aurions pour pas manqué de remettre ta lettre à Monsieur Aimé mais il y a dans ce moment un Martin, article sur Victor de Mr. Delamennais, et qui doit être inséré dans le journal des Débats recours à il est leurs, dans sion Mr. n'exerce ce journal. de l'article qu'il des est trop rédacteurs une pas grande Ce qui retarde l'impresde M: Delamennais, c'est M. Duvicquet un flatteur en chef des Débats a Aimé donc Martin, inutile d'avoir d'ailqui, influence à Mr. Soumet lui qui parlait article Comment voulez-vous que /M/ Delamennais je fasse, aussi nous envoie un article où il traite ce /~M/?~ /M/?!me de vingt ans comme un écrigrand vain. mon cher ce n'est Ainsi, papa, pas répondu de cet Lettre d'Adolphe Trébochet ~<n' MON BIEN CHER son père. tnëdite. 14 juillet ses mais son oeuvres, d'après d'après l'on doit d'un du mérite que juger vain. Toutes ces ganaches littéraires de la réputation Victor effrayées que et craignant d'en être avoir, écrasés~ feront tout ce qu'ils pourront pour PAPA, Perrin demain et je part pour Nantes, ne veux le laisser sans lui pas partir donner une lettre toi. pour 226 âge écrisont doit ils em- APPENDICE l'on toute la jusne lui rende est due. Cependant je ne sais un misérable jourquel point un article des refuser qu'un pêcher que tice qui lui pas jusqu'à naliste peut écrivains du siècle veut bien plus grands lui envoyer. te prie de Victor également faire ses remerciements à Mr. agréer Boësnier. La lettre de Mr. n'est Angebault point au dessous C'est de ce que tu m'en as dit. tout ce qu'on trouver de aipeut plus suis on ne mable, de plus affecteux. Je touché de ces d'apeut plus marques mitié et dis de lui j'ai attachement lui. La lettre charmante, lui parlerai Mr. Palis lui bien tout le exprimer qu'il moi-même a su m'inspirer de Foucher Mr. dîne lui écrivant, Elle amitiés. pour également chez lui et un elle part à Made vous fait mercredi seul moins de 23 ou 24 fis.. relié convenablement. Enfin ce je ferai qu'il dépendra de moi l'avoir au meilleur marpour ché possible, je vais y aller aujourd'hui et si Perrin le lui peut l'emporter je remettrai. Jeudi ma malle au prochain je mettrai accéléré ainsi vous la ré.roulage pourrez clamer le jeudi suivant. Je mon examen mardi en huit, passe 23 à. 10 heures du matin et je juillet le soir même avec et Rossel Allory pars la diligence d'Orléans. par me n'ai parle vu point je vais les voir ADOLPHE. P. S. et moi la Embrasse toute pour famille.' Je t'écrirai petite grande par la poste le jour même où j'aurai passé mon examen. J'ai les deux tu m'areçu journaux que vais annoncés. Lettre cle Eugène Inédite. mirlitons si j'en son Hugo oncle Trébuchet. 23 juillet je temps. gilet proplus et j'attenpre, je gilet d'hiver dais mes faire mon après guêtres pour ce qui me contrarie on ne peut voyage, plus. de Je suis bien embarrassé de savoir manière les livres quelle j'enverrai que ma sœur m'a d'acheter. Je crains chargé les recherches faibien, j'ai d'après que tes depuis, de ne pas avoir cet ouvrage à Je et t'empapa, je t'aime fils le plus tendre et Paris, prochain pour Tréport. J'ai mon mercredi dernier, reçu paquet oumais vous avez je ne sais pourquoi blié mettre mes et le d'y guêtres gilet vous fort avez que depuis longJe n'ai mets un comme soumis. cher le est demain je de toi. beaucoup a fait bien (?) plaisir en Dumesnil à tous mille désir que le sincère mon Adieu, brasse le plus dont on trouverai. 227 MON Si CHER ONCLE, les dans lescirconstances pénibles nous nous sommes trouvés quelles depuis la mort 'de notre si des affaires mère, et qui revenaient le jour au jour urgentes nous ont de réponquelquefois empêchés dre avec pu mon aux de marques autant d'assiduité le vous désirer, cher à Oncle, ou irréfléchie votre bienveillance vous auriez que n'aurez attribué, pas une indifférence cou- une de pable interruption nous affectait bien correspondance qui n'a vous semplus qu'elle pu peut-être bler quelquefois pénible. Nous avions des nouvelles de vous et de notre famille de Nantes par Adolphe, nous savions vous nous aimiez touque vous soin mon vous-même, jours, preniez cher de nous le rappeler à tout Oncle, moment d'affection mulpar 'des marques nous votre bonté sur tipliées comptions excuser notre insoucianpour apparente ce une de c'était plus obligation que à vous à nous aimions et avoir, quant notre voix affection particulière, notre âme qui il s'élevait une dans nous disait que vous ne pourriez en douter. jamais mon nous Aujourd'hui Adolphe quitte, cher et en perdant Oncle, pour quelque tems ce second nous sentons tout frère, a dû vous en coûter nous ce qu'il pour le céder durant années. quelques de cet Nous allons être interprivés APPENDICE de nos vous étiez en yeux, présent vous aussi nous aimions en que lui-même et dans ce moment d'une sénous le besoin sentons paration pénible notre cœur dans le vôtre d'épancher pour de nous de l'ennui distraire essayer que dont il aura joie votre bonaugmenté heur. Adieu encore une mon cher Onfois, et veuillez cle, comme aujourd'hui, pour l'assurance du profond toujours agréer resavec nous pect lequel songeons toujours à vous, et avec je serai lequel toujours va nous rassurer tion en en prète vous c'était sentiments causer sur la auprès lui à de nos son et pour nous départ de votre affeccontinuité ne pouvez la que vous nous possédait, espérons te inépuisable indulgence lui faisait trouver qui l'oubli faisaient qu'ils et plaisirs qui, quand C'est d'elle, assez dans Oncle, auprès cances de particulier Votre neveu dévoué sentant à la vivacité refuser de la respectueuse nôtre. Nous vous et mon cher aimons, Oncle, nous ne vous disons cela vous pas pour le mais nous nous prouver, parce que à le vous êtes complaisons dire pour nous le représentant de notre mère sur la et en songeant vous avez terre, que en partage toutes les vertus reçu qu'elle gnés étaient mon que de avec lui retrouver cetses enfants pour de la joie dans d'elle leurs pour faisaient punis. cette conviction, nous ne nous vous de n'aller Adolphe ce ne E. Lettre de Monsieur chet.. Inédite. jouir sont pas à Paris, étaient pas du J'ai notice soit tôt très qu'ils mon excusons soumis HUGO. à Monsieur le 12 septembre Trëbu- 1822. MONSIEUR, éloi- penser Foncher Paris, y ils et et reçu sur notre curieuses tour que La pas ces vabonheur Reine noblement reusement de hautain tère. vous des plaisirs voir retiennent ce sont des qui nous soins et continuels résultant en fatigants de notre situation encore grande partie et du besoin de nous créér un précaire état. Avec nous à nos quel regret songeons aimables frères et sœurs de le Nantes, bonheur de les embrasser se recule pour nous d'année en année et cependant il ne en vivacité le désir et peut augmenter nous de les l'impatience que éprouvons connaître. j'ai lecture. augmentée, achevé cette cette cher lu la Reine dépeinte ce que et de Les n'avais attribuez et je vous Anne 2me édition de la Anne. Bien qu'elle d'avoir siregrété par vous cette vindicatif notes sont idée de plus à St-Félix. votre plume est avez masqué heuPrincesse avait dans le carac- Votre souvenirs fait naître ou rappelle des ouvrage attachants. îl nous fait aimer notre ancienne en il et cela Bretagne est utile surtout le phiaujourd'hui que s'efforce de losophisme plus que jamais la chaîne lie au passé. rompre qui nous Je térêt suis pour Ma que ma on ne vous famille. p'eut voulez sensible à l'inplus bien me marquer femme vient de fille. Sous quelques l'accroître d'une 'notreacjours sera sur Elle vous pied. prie ses salutions comme de mon côd'agréer té je vous de recevoir les témoignaprie de mon affectueuse considération. Ma ges femme remercie bien Monsieur Adolphe et Mademoiselle Trebuchet de leur bon petite couchée nous mon cher Oncle, permettrezvous d'être de nos prier auprès cousins et cousines l'interprète affection et de nous consoler de ne pas vous voir cette en sonannée nous n'en serons moins geant que pas à votre présents pensée. nous le plus tôt qu'il Renvoyez Adolphe vous sera nous aupossible, songez que rons ici en tristesse et en ennui toute la Adieu, vous de aimables de notre souvenir. Mes notre ment 228 enfants sont étudiant et, ce sentiment. impatients je partage Le jeune de bien Victor revoir sincèHu- APPENDICE go sin. a dû écrire Votre dernièrement très à humble et son tout cou- te somme de celle dû qu'ont les de mon recueil exemplaires à Nantes, si la vente en est Au moment où je vais publier dévoué serviteur. FOUCHER. Victor Lettre ù son Hugo onde Trcbochet et vous le pense faut terminer les de comptes Vous me feriez le surtenir notre en terminant plus par Adolphe, cette à cœur, mon cher affaire, j'ai oncle, de vous remercier encore une fois de tout ce que dois l'écouleje vous pour édition, je moi, qu'il la première. (1). ~~</<'e<'m&re.<?. MON CHER ET BON ment de eu guère tes à votre Néanmoins ONCLE, bon lire pour autre ouvrage et de en la publicavoquatre convenir pour je m'empresse lue hier j'ai insérée qu'a désire qu'elle soit aux nécessités de relations, et vous aiactuelle, pardonnerez sément à votre neveu ses pauvre longs silences si loin d'être de l'oubli. qui sont voilà sur mon En bien moi, déjà long excellent oncle et je sens que je ne tarirais si je voulais de vous .essayer pas ma ou ma félicité actuelle tenpeindre donc aux dresse Bornons-nous pour vous.] /7M~ dire encore J'ai d'imprimeur. votre francs (sur et permettez-moi un mot de libraire touché vous pour parties 22 lettre. journalisà la mienne. sur la très comme toujours des diverses annonvotre 2" édipour soit dit en passant doit l'une de de vous ( ?) aux le Réveil ne vous vos livraisons offrir l'ode Bonnes de ce ennuie Lettres matin. et que et Je pas votre aimafâcheuses, prie, prie [vous ble fille de l'aimer comme une comfille, me une soeur. adieu, Adieu, je m'arrête embrasse ici et je vous tendrement.] de et 16 d'An- Votre neveu bien dévoué. profondément VICTOR. Paris (<) Le Figaro, de cette ment textuellement. que n'ai trop. cher et excellent excusez Adieu, oncle, me tout ce griffonnage, mes trois frères de vous ma. nouvelembrasser, chargent la vôtre nous l'aile famille aime comme est en mons. Mon de femme] ange qui ce moment mais d'une indisindisposée, n'aura de suites pas position qui j'espère édition première de Pélicier. Auriez-vous de prélever bon oncle, cet- ne de Bretagne) la bonté, mon je Je omphe. Vous êtes nous a-t-il dit, également, l'un des d'un nourédacteurs principaux à veau va Nantes journal qui paraître dit que quel(Le Lycée Nantais). [Il m'a mauvais vers de moi pourraient vous ques mes vie choses vous occasion édition. de nos prochaine ces que tion. Adolphe (qui vous être bien si j'en cher, juge pour toute l'affection lui ceux portent que connaissent ses charmantes qui qualités) nous a dit que vous en prépariez Adolphe une 3me. Un tel dans un siècle succès, comme le un est véritable trinôtre, lumes, purement d'imagination, que je viens de vendre à assez avantageusement un libraire et qui paraîtra vers le milieu de Janvier. à celà mille autres Ajoutez à l'énumération embarras qui échappent et qui soit aux suites de mon tiennent, nouveau aux bonheur, soit conséquences de mes de mes amitiés, correspondances, de ma ma première à me louer compte apparition remises j'ai soif de vous écrire et [J'ai je veux ou arracher de gré de force aujourd'hui un moment de plaisir à toutes les occusans nombre mes pations qui envahissent Vous comprendrez journées. facilement que de bonnes excuses de vous j'ai trop auprès dirai en ce quand je vous je suis que moment livré au double soin de la seconde édition de ces Odes vous avez que été assez tion d'un produire envoyés épuisée ? ma 2"~ avec jugerez a publié le cûtnmenceaoût d888, Il en a donné la fin presaussi Nous [mettons entre crochets les 11 décembre 1822 Monsieur Monsieur ruiiroduites. 22') Trébuchet, Chef du Bureau APPENDICE des Archives fecture. Place et du Secrétariat ? Delorme 1. de Monsieur Lettre rue du Dragon Paris. Inédite. dernière vivement Pré- à son fils Adolphe Trëbuchet.~ no 45 faubourg St-Gcrmain à ~Vnn<e~. Ta m'a de la Nantes lettre, le 3 janvien mon cher 1823. été bien excellente dame. J'aurais joyeux à de la Soaussi d'assister la séance a ciété Bonnes où Victor des Lettres, obtenu un si beau son Ode triomphe de la est il est impossible admirable Adolphe, affligé. le nouje craignais Depuis longtems tu et veau malheur 'dont m'entretiens, dans ma précédente tu as dû voir lettre, étaient mes relativequels appréhensions ment à l'état de mon neveu. Je pauvre avec voudrais être à Paris pour partager toi les soins sa frères, qu'exige faites en sorte triste situation. Surtout, me trouve ne manque de rien. Je qu'il fort en ce moment néanmoins si gêné à ses ses frères ne pouvaient subvenir une écris le moi, et je vendrai dépenses, de ma rente sur l'état. portion Témoigne à mes neveux toute la part que je prends à et ce tes cruel événement qui me rappelle nous ont noudes vivement les malheurs trop qui récemment. Donne-moi frappés velles le plus tôt te sera qu'il d'Eugène nouvelles Dieu veuille ces possible. que soient meilleures les dernières que de Brian ( ?) par les occasions et d'Allory, tout a envoyé. ce que tu nous Tes tantes ont été on ne plus peut à tout ce que tu leur dis d'affecsensibles et elles m'ont bien tueux dans ta lettre, J'ai reçu recommandé t'assurer de leur attate de elles m'envoyer chement prient le plus tôt possible t'ont les ordo 'qu'elles endemandés. Delair a égatement été chanté de ta jolie il se -propose de lettre, te répondre. Nous ensemble avons déjeûné à ta chez lui et bu, avec du bon vin, santé. Il font mille t'écrire ils te qu'ils puissent est à Rennes amitiés. depuis quinDupré il s'est ze jours son droit pour y faire enfin décidé à prendre ce parti. ta lettre à sa mère. J'ai fait remettre le donnes sur Les détails tu me que m'ont beaubeau dîner de Mme Dumesnil trouvé heuJe me serais intéressé. coup des convives, reux d'être du nombre chez cette de me trouver avec vous tous de ému. Dis lui, lire sans être profondément ainsi ainsi sa charmante femme, qu'à qu'à la famille tout ce que je voudrais Foucher, Dis à Victor leur dire moi-même. que de le bonheur dont il jouit, était l'objet seront mes tous mes désirs vœux, que ses frères et je verrai accomplis lorsque assuré. d'un bonheur toi, jouir également Présente aussi à la famille dis-leur mesnil, de pouvoir rait ve voix. Madame J'ai mes vœux de bonne année DuFoucher et à Mme de ces vœux sequ'un les leur de viexprimer à il y a huit envoyé, jours Dumesnil, Louise qui six pour fut porter affranchir d'en francs de le panier gibier. le port. à la poste, oublia de J'ai le aux macarons gibier préféré j'ai Châteaubriant sçu que ces macarons dans la première huin'étaient bons que s'amolissaient ensuite. taine, qu'ils à tort a indiqué le C'est prix qu'on tu trouveras sur de beurre que lef~pot Ce beurre est destiné paquet. la de Corbron. En le à Mme baronne mes lui offrant, cette dame prie d'agréer et ma reconnaissance de ses bonrespects toi. coûte ici 40 à 42 tés pour Le café de droit sols la livre il ne paie point dans ton entrer à Paris. On croit est. qu'il pour dans la capitale. à meilleur marché envoi de J'ai châtaignes pensé qu'un ferait à mes neveux. Je t'adresplaisir samedi le rouserai donc, prochain, par trois de belles accéléré boisseaux lage seront Victor et deux châtaignes, pour Tu sa femme, et le troisième Abel. pour a encore eu la bonté de me tes bonnes étrendonner 24 francs pour nes. Ne manque de lui en témoigner pas ta reconnaissance. Van Iseghem, Lavigne. et Esmein, ont été aussi très contents de attendant recevoir une lettre de toi. En en paieras sur ta prix 230 le port, première dont note. tu porteras le APPENDICE Mellinet toi et tes de t'envoyer pour chargé de la cousins deux exemplaires armoricain. livraison du première Lycée Je te les ferai le Commisparvenir par sionnaire Briàn. vous de prie Me)!inet de lui envoyer instamment toujours queldans ce être inséré que chose pour journal. J'ai entre m'a que'nous Ainsi les odes été et déjà publiées, nues ne ici, peuvent le Lycée armoricain. les Je etc., Mr. tient de toi, en regrettant de également ne pas t'avoir avec nous. de Chateaubriand La nomination de Mr. au ministère a fait ici le plus grand plaisir à tous les ne royalistes personne s'en moi. J'ai réjouit plus que l'espénerance être utile à mes pourra qu'il et veux, peut-être j'en de la Abel bien une procurer apprendrais Dis-moi joie. la nouvelle ce que à place avec tu en penses. aussi le Roi J'ai été bien content que ait fait 25 exemplaires des poéprendre sies le goude Victor cela prouve que un peu de lui. vernement enfin s'occupe Continue à me donner sur eux toujours ainsi sur tous les détails possibles que tout ce qui te concerne ils auront pour moi le plus intérêt. grand ou dans serait-ce de 3 ou impripar consites de la lui compte exemplaires femme, de toi. de toi. Je dîne chez lui toujours alle jour des Rois avec ta sœur. Nous lons aussi la soirée quelquefois passer chez Cosson où on s'entreles familles Victor qui 'ont sont très conqui insérées dans 'être Je n'ai encore pu Deobtenir son compte de chez Mellinet. d'exemvra-t-il les 2 douzaines compter à Pélicier des de Victor, poésies plaires les lui a envoyées ? qui à Victor Je au surplus, écrire compte, la première occasion de Billiard et par tout cela. je lui expliquerai Tâche de faire annoncer ~4/M~ donc ma notice sur séquent Sèvre et de la Maine. en demander plusieurs vous en enverrai. sa me de dans'la Bretagne Quotidienne Ne un autre journal répandu. annonce et simple pure qu'une n'a point encore 4 lignes. Mellinet et mé la 3me édition de Clisson, Bona- Rossel, parlé beaucoup Rossel te prie de voir souvent toujours son un peu fils et de stimuler son apaà un thie. Je suis allé aussi bal donné Mr. par beau-père St-Quentin d'Ando Si tu. avais été ici tu y aurais ny (?). été ce sont des charmants. invité gens Scheult n'est retour de la camde qui s'inforpagne que depuis quinze jours et réponds-moi à ce le sujet y consent seraient tôt Ces articles plus possible. sous son Victor nom, imprimés Hugo. au surplus, Je te ferai observer, que Melne doit linet articles ~cpublier que des dits. les familles Doucet et Mercier, my, ils m'ont tous y faipourrions re mettre de vers, inconnues pièces Victor d'Auà Nantes, qui sont signées se trouvent dans le Conet qui verney à Victor s'il servateur littéraire. Demande pensé 'les autres nourriture ta pour de et février. janvier Portière de 9bre et Xbre. Ton de janvier, inscription février et mars du trimestre d'octobre.. Loyer de l'a réparation Remboursement de la montre de M. Bosnier. Je je tous nos amis, Toutes nos connaissances, la nous avons vus à l'occasion de que m'ont de toi avec nouvelle année, parlé le plus vif intérêt. Je ne te nomme percar il me faudrait nommer tout sonne, le monde. Le préfet un très beau bal aua donné suis il il m'avait invité. J'y allé quel t'envoie les J'ajoute donnés par 24 Mr. fcs d'étrennes Detair. Total 60 te nombreux et extrêmement brillant. était charmantes et richeLes femmes étaient Les meilleures choses ment étaient parées. servies avec les glaces, le punch, profusion, les les les pâtissirops, etc., dragées, ai vu series de toute beauJ'y espèce. de ma de personnes connaissance, coup c. de port en ci-joint à vue. payable pour remets Paris, 231 te cette deux 15,00 13,00 8,00 24,00 142,00 lettre que je sur mandats ont été très reconMme Bosnier la montre de tes démarches raccommodée. Ils m'ont chargé mille choses de leur dire part. Mr. et naissants est bien de le 72,00 0 10,00 APPENDICE Madame beauqui s'intéresse à de lui acheter deux coup douzaines en bois, /7MConté, ne de plomb A~° chez Giroux, ~4//?Ao/!S~ au même endroit où tu as acheté les deux cahiers de papier Envoie ces croquis. occasion. crayons par la plus prochaine et sa femme Lavéant me vu, que j'ai m'avait de toi avec intérêt. toujours enfants te font mille carespetits ses. annonce d'heureuses Prosper dispoil a été fois le presitions plusieurs mier à son école et a obtenu la croix ce qui était un grand honneur lui. pour ce et Lajarriette te prie toi, de crayons parlent Nos t'embrasse se joint à moi qui te 'prier de à l'occasion pour présenter de la nouvelle nos voeux et nos année, à Madame sentiments à la faLemaître, mille à ma nièce et à mes neFoucher, veux. Ne nous oublie non aupas plus Joséphine des près attachées. autres nous sont personnes qui Mes .amitiés à Allory, Brian. trois courriers Depuis je ne reçois plus le Réveil. Tu as bien fait de ne pas enles petits enfans en ont voyer d'étrennes, et ta sœur a reçu d'Allobeaucoup robe de mérinos et une ry une pèlerine. Nous sortons fort le soir, toujours tard, de la préfecture, ce qui me extrêgêne mes autres pour "mement occupations. Nous avons bien à la cruelle pris part Brian. Tous faite tes amis et perte qu'a reçu la préfecture te font mille et mille amitiés. La famille est bien reconLavigne de l'envoi naissante de Mme Collin. mon cher accablé de Adieu, Adolphe, travail, je ne sais comment j'ai pu t'écrire une aussi lettre. J'ai tant de plailongue sir à causer avec toi. toujours Compte sur la tendresse de ton Louise père. t'embrasse. TRÉBUCHET. Lettre Victor Hugo son 1 MON [Si nous Le (1) nous que frapper Figaro. mettons /~?'s'. CHER l'affreuse oncle 8 janvier entre 1823. ONCLE, catastrophe dans notre 22 (1). Trfbuchet août ~888, crochets. qui frère a publié vient chéri les de ne parties 232 pas excusé déjà dans d'avance trop de- cruellement votre cœur, je vous à manderais 'd'avoir tant tardé pardon vous ce que ~je sens, tout tout exprimer ce que d'heureux vous et je désire pour les vôtres. Maintenant sompour que nous mes deux cœurs à vous il me semaimer, ble aime deux fois plus, que je vous est pourtant bien difficile. Votre qui notre vient nous la de lire Adolphe de bonne lettre où vous lui tant parlez nous. Mon Adèle en a été touchée autant moi car est mêelle des que pénétrée mes sentiments moi le pour digne que frère de notre admirable mère. Notre jours pauvre dans un sa santé, frère est Eugène état bien alarmant, tousinon raison. du moins sa pour pour La guérison sera extrêmement Je longue. ne puis à ce déplorable malheur songer sans rendre au ciel de ce grâce que, nous il n'est était réservé, point puisqu'il arrivé du vivant de ma mère. Du moins cette inconsolable lui a été réaffliction servée évidente (faute pour épargnée que à met le Figaro), et elle m'a été donnée, dans moi, un moment où il fallait que vint servir de car autre- quelque grande catastrophe à mon bonheur contre-poids ment .été plus j'aurais heureux,qu'il à l'homme. partient J'ai fond vu avec' les offres un n'ap- attendrissement provou- de service vous que lez bien nous faire en cette triste conà notre bien sincère rejoncture. Croyez frais de cette maladie connaissance. Les sont énormes à la vérité mais mon père s'en et ce nous aurons à charge, que faire notre frère n'est au dessus pour plus nos de Faites faibles de d'Auce vous mon voudrez, verney que excellent rendez à Mr. Victor Huoncle, les petits de ce Mr. d'Augo tous péché tout ce que vous ferez sera bien verney votre avec autant de fait. Je lirai Lycée de curiosité, car bien plaisir je suis que tous nos sûr vaudra mieux requ'il que cueils des tout moyens.] vers mauvais Mr. littéraires de Paris. viens de publier ma deuxième édi[Je mon libraire s'est la de vous tion, chargé faire Serez vous assez bon pour parvenir.] de son exactitude ? Adolphe m'informer APPENDICE de révous êtes embarrassé que ou avec brisant avec Pélicier (en gler le on a enlevé le nom) le cachet pour Comme de Mr. Mellinet. j'ai compte petit mon avec arrêté Pélicier, je règlement bien Mr. Mellinet de vouloir compprie lui suffira. moi. Ma ter avec décharge me mon Mille pardons, ces détails fastidieux. volumes bientôt quatre Cher [Je de recevez ainsi tous les souhaits famille, votre bonheur fait pour veu dévoué et respectueux. VICTOR Abel M. et Mme Foucher, Ma femme, me de malade et notre chargent pauvre toutes leurs félicitations pour vous à l'occasion de la nouvelle année.] LeLtrcd'A()o)phcTrch~eLet.')sonpërc.h)C(tit.e. /'af.s',<e ?.5 janvier ~S~.?. MONCHERPAPA, letta charmante bien tre, grand plaisir être moins car en la lisant, il me semblait de vous tous. J'ai reçu également éloigné dans la même l'excellent journée, pâté de m'ende lièvre que tu as eu la bonté de et pour voyer lequel je te remercie tout mon et les châtaignes cœur, qui ont J'ai paru à sa avant reçu elle m'a fait faire un femme. hier un grand plaisir Ils sont on' à Victor et ne peut plus de ta attention sensibles à cette aimable Abel àinsi bon auquel j'ai part que notre Elles n'ont remis le tiers qui lui revenait. route à la différence de en point gelé me celles avec mon pâté qui qui étaient flatres et à moitié arrivées toutes ce n'était mais c'est pas perdues, égal, le principal de l'envoi. J'ai donné pour 5 fr. 5 fr. 'de Victor 40, .les châtaignes et 0.40 le port et -le factage pour pour les faire le garçpn. De 0,50 pour plus sont porter 5,90. chez Tu Victor n'as pas et Abel besoin de écrite de fonds Victor à a causer toi de tout ce que l'amitié la chargé pour tendre plus peut inspirer. Mon oncle est arrivé à Paris Hugo avec lui huit et il a amené depuis jours Il sa femme, car tu sais est marié. qu'il est venu Il a fait à ses pour Eugène. prose. votre aimable que bien ardents que neéternel votre tendant, envoi ainsi de joie beaucoup ils te remercient bien femme de tous les témoignages d'atout mitié contenus dans ta lettre et de à leur ce tu leur dis relativement que frère et à eux-mêmes, et ils m'ont Eugène lui sa qu'à sincèrement paru de tous enverrai atEn Oncle, vous le premier feras. tu as que avant voyer tu me que La lettre dit ce qui fait mes lés en- enfants si que à Victor fort toutes sortes de prévenances ainsa nouvelle femme. Il a envoyé un service de café en porcelaine et beau, leur enfin il n'a rien négligé Il a attachement. à me voir pour son prouver fois plusieurs a-t-il les liens de famille resserrer, dit, et pour des soins me remercier que j'avais il donnés à Eugène sa maladie, pendant me voir le premier. voulait même venir dernier avec Je suis allé chez lui jeudi avec il m'a embrassé et m'a Abel, reçu l'accueil le plus avec les dehors amical, Il m'a de toi, les plus affectueux. parlé Il m'a demandé t'aimait beaucoup. qu'il pour demandé si par son séjour à Paris il pouvait m'être de quelque utilité et que si par la suite le lui dire besoin de lui il fallait j'avais moi avec le plus et qu'il s'emploierait pour à Nanj'irais grand plaisir. Que lorsque tems chez fallait tes, il passer quelques un lui à Blois, aurait plaigrand qu'il tu devais être perque de la tout ce viendrait qui que serait chez lui avec toujours reçu enIl m'a le plus grand empressement. fait nomcore dit 1810 il t'avait qu'en un Démer Préfet 'de Guadalacarra par sir à suadé maison cret tu te et voir, royal, n'avais te qu'il pas l'avait et répondu, lui demandait jours Joseph viendrais ce~ que tu de ta Préfecture, qui belles té de l'Espagne, francs 150.000 lu que à toute ner avec chargé force lui, de ne écrit il pas prendre comme ne que que les tous est- quand possession une des plus t'aurait an. par je restasse que à ta santé a bu l'oublier et auprès rapporIl a vouà déjeûet m'a de 233.– 30 toi APPEXD:CE Tu ne seras je t'écrirais. pas plus étonné de cette que je ne le suis récepmon cher tion, je t'avoue que je papa ne attendais et je croyais m'y pas que cette entrevue se serait assez froipassée II été fort naturel. ce qui eut dement, neveu au marm'a comme son présenté lorsque de un quis C'est Sully qui 'descendant avec nous. directe du ce républicain, Du reste mon déjeûnait de ligne et de Sully plus ne s'accorde guères. qui oncle est fort laid ainsi grand que sa femme toi et que a l'air et il a peut être un pouce plus c'est il est fort tout, gros extrêmement il louche bon, beaucoup tu ne le reconnaîtras pas je crois que ce toi portrait et, je crois, J'ai reçu qui maigre. les deux le veux fort et à grand du Lyexemplaires de tu m'as envoyés, 11 y a des morceaux cpc Armoricain que la part de Mellinet. fort bien d'autres écrits, ainsi bles je te citerai extrêmement failes fragments <Hn dans /'<i'o/z~M~e/7!<~ de Savoyage et aucune d'intérêt venay, espèce qui n'ont sont mal les souvenirs qui ensuite écrits Mr. Richer de l'Armorique peut par qui là en prose mais laisse bien écrire qu'il ensuite les inla muse pièces poétique titulées Observations Bretons, /n/~ resur la etc. Celtique très honoravue etc. bretonne, figurent et à blement dans ce recueil il serait souhaiter fût ainsi comqu'il toujours Au la reste, j'exerce posé. critique que tout entière d'aici, je ne l'exerce pas à nous nous mis moi y sommes près deux qu'il Appel Gaule aux notre Quoi jugement. une belle annonce fait le Réveil et je dans te fera plaipense qu'elle pour porter en soit, j'ai a été insérée qui te l'envoie. sir et Mr Je Leboyer n'aurait japeut-être de trouserait bien aise le de ses écoliers pour mais pensé qu'il un ver à Paris louer dans les journaux. Tu as une bonne idée dans le mettre morceau aux passer ce sera Victor va a mis des annonces Lycée remarquable. où il naux de un afin de les presser. ouvrage, sur ce moment un article inséré dans les Annales. sera relativement dera l'anonyme II n'est Tâche tablettes entièrement imfaire un article primé. sur les dans le jourromantiques nal de Nantes. mon N'oublie article pas sur le livre du soldat. Ta notice sur les sites de la Maine est fort remarquable et il ne sera le morceau le moins pas distingué H paraît de plaisir c'est sans Je pas. mais du Cacus fort encore pas donc de livre de Mr. Richer. qu'il y a à Nantes beaucoup cet hiver. Je vous en félicite, doute suis parce que je n'y n'en non ici, point plus manque souvent refuse je ne des invitations, d'abord aller parce puis partout que à la fois, ensuite auparce j'aime que tant aller une soirée quelquefois passer chez Madame Dum. ou autres tranquille me serais doute Je sans inpersonnes. finiment amusé dans toutes les soirées tu es allé, où connaissant à Nantes un je nombre de demoiselles et de jeugrand nes et étant ensuite au milieu de gens ma famille. Mais ici c'est exdifférent, la société de Madame cepté Dumesnil, et ne et de Madame toutes les autres Foucher, m'offrent des inconnues, que figures ainsi me ces je ne puis plaire parmi Il faut habipersonnes. cependant m'y tuer ce qui ne peut se faire tout de pas suite. J'ai fait à Madame Dumesnil de part ce tu me dis relativement à elle. que Elle est bien touchée de vos sentimens et voudrait, les mériter ce que dit-elle, ma sœur a envoyé lui a fait un grand et je me suis plaisir déjà acquitté, je de ma sœur de tous ses pense, auprès remerciemens. est mieux Eugène depuis quelques jours, et si il continue, son l'empère pourra mener souvent lui avec au lui Val presque toujours aussitôt que la dans ses idées à Blois. Je vais le ment mon bien Grâce et il me demande de vos nouvelles. Mais fièvre il retombe reprend et dit en extravagantes les façons. Je crois aura qu'on la peine à le tirer de là. de Corberon te serait infinisi tu pouvais obligée m'envoyer par commissionnaire 6 livres de café choisi. lui ai dit Je valait de qu'il 40 à 42 avertis-moi garro- 234 voir de de toutes bien de Madame jourton pour Je fais dans ton Anne qui Victor à son man. sols et mais si elle s'il en était veut augmenté, néanmoins APPENDICE je un te le dirai. Tu lui ferais cellent également si tu voulais lui envoyer grand plaisir 8 ou 10 livres de bon elle m'en beurre; remettrait le prix ici. C'est une femme si excellente et qui avait ma tante pour une si vive amitié enchanje serais que té ~de pouvoir de quelque utilité. lui être Tu me à moi un ferais plaisir grand de un de beurre me glisser petit pot fût. dans mon paquet quelque petit qu'il On ne trouve rien à Paris pour déjeûner. Le de était joli Prosper compliment fort bien moi ce écrit. Embrasse pour et charmant enfant travaille si bien qui dis-lui tard je- le récompenseque plus rai de la peine s'est donnée de m'équ'il ont crire une si jolie lettre. Mes cousins été aussi contents de ce ait qu'il de tout à eux et ils l'embrassent pensé leur cœur. Je joins au reste ici une petite lettre cachetée pour Prosper, je l'ai de lui fera plaisir. parce qu'elle plus Nous avons ici des froids extrêmement la neige ne quitte la terpas rigoureux; re et on sait cela finine pas quand rideux mois la saison est ra depuis nes. aussi une de Le Victor dernier quelque ne qu'Allory Nantes. Dis à Mr. crire lui pour pour nos tantes Ursulicontenait d'Allory paquet chose toi. Je pense pour à tardera pas à retourner Lavéant que au dictionnaire le prendrai je vais de sousde Mr. voluJe Langlade. premier me et s'il n'est pas trop gros, je te l'ende verrai le commissionnaire Brian, par te remercient de Brian, Rossel, Allory leurs ton souvenir et ils te présentent respects. La famille Madame DumesFoucher, mes cousins te font mille amitiés nil, à toute la faainsi ma sœur et qu'à mes mille. Ne m'oubliez de pas auprès et sa famille, M.M. LaIseghem nos la etc. Présente Préfecture, vigne, à Monsieur et Madame Boësrespects la de nier, Jarriette, Bonamy, Millet, etc. Embrasse moi l'exScheult, pour amis ai écrit Delair je lui le commissionnaire par Enfin, d'Allory. mon cher ne m'oublie de papa, auprès personne souvent ici parce que je pense à tous nos amis et parens. Donne-moi des nouvelles de Louise ainque j'embrasse si que ma sœur et toute la petite famille. fait maintenant ? Que Auguste mon cher Adieu, t'embrasse Papa, je et et la vie le suis, pour le plus respectueux. fils A. Abel demeure 8 St. rue du Victor le plus tendre TRÉBUCHET. G. hôtel ides conseils Monsieur Foucher 8 Vieux Colombier rue du Cherche de chez guerre St. G. Le t. t.t'Cft'AdoipheTt'ebuchetiL son A~/7, 'Midi très et je pense en est de mêgoureuse qu'il doit me à Nantes. Mr. Crouan arqui remettra river à Nantes te aujourd'hui une lettre à ton adresse dans laquelle Madame Hue tu trouveras une lettre pour et Monsieur Van -2:~ Paris, MON CHER père. inédite. le ~0 avril 1823. PAPA, J'ai hier soir ta lettre du 7 Avril reçu et le je m'empresse d'y répondre par courrier Il est vrai d'aujourd'hui.. que dans le tems, les annoncèrent journaux l'Ecole de médecine était ouverte et que les leurs élèves que pourraient prendre dans inscriptions sonnes de dignes vaient culté pour là que ouverts. trompé, ments également serait remise ce trimestre-ci, je t'ai Mais ce foi mois, plusieurs sur ce chapitre assuré que toute dans et perm'ala Fa- son état premier c'est ced'après les cours étaient écrit que malheureusement je me suis à ce sujet les renseignej'ai pris et on ne sait même les plus exacts si l'Ecole s'ouvrira cette année. On pas et même ne prend je point d'inscription les '35 crois est inutile de remettre qu'il Les fcs qu'Allory m'a celà. envoyés pour nouveaux ont bien été insprofesseurs tallés mais ils ne sont aucunement prêts ceà commencer leurs cours. On pense pendant élèves pourront qu'ils sera permis lorsqu'il des de prendre inscriptions, à la fois toutes prendre eues cette année. n'ont pas que aux ils celles APPEKD:CE Je mon troisième examen lundi ou au plus car je ne saurai tard, au juste le jour et l'heure demain que vendredi. Je t'assure celà m'a beauque car il est fort et difficoup fatigué long cile et je serai très secontent lorsqu'il ra terminé. Je t'écrirai le jour même par mauvais passe mardi la poste. m'a Daniel remis les Lycées armoricains et tes lettres de sa part aux j'ai porté celle adressée et ils était Jarry qui leur m'ont remis 50 fcs sur il me lesquels reste Victor et ayant 15 fcs, ayant payé avancé 23 fcs pour mon examen y comet les faites pris dépenses que j'ai que tu ne m'as encore remboursées. Ce pas sera le prochain envoi sur pour lequel ces 15 francs. J'ai fait mes je déduirai il y a dimanche huit dernier pâques jours, le jour de Pâques bien heumême, j'étais reux. Tu trouveras dans mon ta paquet un bouteille de Pyrèthre, ton manuscrit, article le journal de Nantes sur la pour dans article rappeler tes. II j'ai dit les autant que de Chateaubriand naît le également il lui de parlera mier le voir. Mr. de jour qu'il pourra Chateaubriand lui a promis de faire tout ce Nous attendons d'un qu'il pourrait. à l'autre l'insertion dans les Annales jour je t'embrasse soumis et voyage. Cet o-.vrsge le et augmenté. mon ici, t'aime bien respectueux, P. S. t'embrasse la suite. Toute la famille de Paris ainsi ma sœur et toute que Madame vous assure Dumesnil tous de sa constante amitié. Persan le libraire de Victor vient de faire faillite et ce dernier trouve s'y engagé pour fcs. 1.500 ce est très malheureux. qui Pencher :t Monsieur Paris, F Trebuchct. mai ~?. MONSIEUR, examen a nécessitées et nécessite encore m'ont de m'occuper sérieusement empêché de mon article sur Han et d'Islande, me délasser à l'œuvre pour je me mettrai aussitôt examen sera Tu que mon passé. attendre de peux que les six exemplaires Buroleau soient vendus nous en repour mettre le prix. Je t'enverrai par missionnaire de Brian une lettre dame Dumesnil et un exemplaire me le puis Mt~o/zf< de réparer fort curieux ADOLPHE. Lettre de Monsieur Inédite. de mon article sur lui. Toutes les nouvelles du Conservateur littéraire sont d'Abel et sont H. ou A. H., tu signées les faire insérer dans le Lycée. Les peux études et fatigantes mon appliquées que je campagnes serait bon peut-être erreur. Cet article est les recherches il est dont suis de terminer obligé Je cher Papa, tendrement. Ton fils particulièrement comme il conministre de la marine, cette demande le pre- du car il n'est de moi mais de toi. Il y pas a seulement une faute. Tu dis le que nouveau est menacé du même sort village cela est absolument l'ancien, que impossible car il en est à plus de deux lieues et je n'ai mettre dans cet cela pas pu et article garde remis lui-même à Mr. et en la lui recommandant la lettre de Mr. Letorzec relation l'aveu de tous les presque il est mal écrit et rempli de royalistes Ton sur Anne de Brearticle petitesses. est sur le chantier et je te l'envertagne rai aussitôt sera terminé. Je vais dequ'il mander à Abel une nouvelle inédite pour votre Tu n'aurais dû metjournal. pas tre mon nom à .mon voyage à Escoublac, cette avec un ? Lunes où se des sur ton ouvrage de Mr. si tu parles de ses ouvrages le journal de Nantes, bien prends sont très Victor a libéraux, qu'ils Conciergerie trouve un de St-Edme, de J'ai re. ser avons dites votre votre com- de Made la est fort à vous fai remerciements plusieurs C'est un arriéré laisje ne puis que se Nous plus prolonger longtemps. lu avec vous avidité ce que nous de de quelques des environs points lu ville. On serait tenté avoir après d'aller établir ses tentes dans notice, le Comté duits de croître 236 Nantais. L'échantillon des provos ne ferait pâturages qu'acce désir. Si les rives de vos ri- APPENDICE vières sont en beauté aussi supérieures aux beurre rives de la Seine votre que l'est en bonté à celui de' Paris, il n'y aurait à balancer. pas en effet Je voudrais bien aller vérifier mo.i-même tout cela mais vois la je me pour à troisième ou quatrième fois condamné remettre Notre heureux nier part, tits pots arriveraient loir quelque merons au ce lutte qui sagrément. Votre jeune me toujours jours gai. Ma femme ladie nerveuse les enfants. est lui pour un nouveau est toujours Adolphe bon sage, toujours et les des laborieuses en faible mêtou- enfant et le ont Ils belle du petit les choses Le Lettre dnGunéra) Ruc ~u Drngon, tnëdite. la cher à noncé guerre). de votre vé la me Hngon )o, Hugo <\ Adolphe Blois, Trébuchât 27 juillet me note contenue dans votre vive à vous HUGO. 5 xtat en famille, promis, et le .<S~ rais demoiselle à en désireriez qu'elle vous sans le Bouche et lieu à chose l'ayant côté grondé, répondre lettre du éprouma fem- jours l'a cesse mariage les fêtes m'ayant remis j'ai écrire à Réfléchissez 237 vous d'être presque réception cependant mais exactitude, à la qu'elle donné mon jour pressais aimable vous a vous parce an- plutôt quelque temps autre d'un il eu les envoyer manger jour pa- gratitude, tous rappelant auxquelles arraché aurais adresAdolphe, je vous sé plutôt de votre cames remerciemens deau est arrivé aussi frais qui nous que bien si je n'avais attendu de conditionné, vous la poste la lettre d'avis de son par envoi. ne nous étant Cette lettre pas la Gl j'ai papa qu'à ai et j'en thèse contrariée de la jolie 1823. cher et Léopold. les plus Ado)phe't'ëbuchet faubou!'gSt-Gcr)n:)in Adolphe, votre plus tient Lettre du Général chexsonpërc.tnu'tite. qui à de D. Loire InMon de heu- de votre au bon souvenir mille choses affectueuses vos et sœurs. frères Je vous embrasse de tout mon coeur. Votre oncle affectueux, Nantes. (Ministère très en ont et bonne ~/o< chef de la TRÉBUCHET, du départ. été s'est trouvé si lait de sa mère a fallu requ'il Monsieur Monsieur la Préfecture à férieure venue d'Adèle Rappelez-moi et dites papa de ma à part FOUCHER. Mon couches et son reusement trouvé une a déjà rétabli la santé Ma femme vous dit affectueuses. traînante d'une matoujours est à Gentilly avec tous Je vais les tous rejoindre les et le double jours voyage quotidien à faire, diminue la petite portion que j'ai de temps commis de la guerre peut qu'un a sa famille donner et à ses amis. Veuillez bien les asMonsieur, agréer, attachement. surances de notre sincère Sr Votre très humble et très obéis.. A chose. directeur car Paris, naissant, mauvaise qualité à une nourrice. de si courir dé- le la date du dépoint porté n'avons si des pu calculer pede crème bien emballés vous encore assez frais vapour Nous nous en inforde la poste à notre retour de malgré que le temps soit convenable la il saison, peu pour être à craindre n'arrivaspourrait qu'ils sent tournés. Victor a été dans de grandes inquiétu- à un autre voyage temps. Victor n'a été pauvre pas Hugo dans le résultat de la pécuniaire de ses Il a eu afpublication ouvrages. faire à des et vous voir fripons pouvez de dans le Miroir comme il a été dupe ces misérables. eux dans ce Attaqué par il a été réduit à répondre, journal, genre de n'ayant nous trop de et si aujourd'hui je mériteje ne m'emà votre 30. sur figurer l'administration quelque où temps APPENDICE à votre et ajouter position les amis de trouver parmi de puissant restent quelqu'un je pour rai appuye. Quel à Blois recevrons Samedi ment à la mon Serdernier, j'ai prêté cour devant le premier Royale et ce serment, le preprésident Séguier, mier de ma vie n'a laissé pas que de me faire une H contient certaine impression. ce que tous les autres contiennent, /c- vous qui motif qui vous et moi nous soit le que ma femme le avec tâcheme qui amène vous y /~c <~M à la Charte et aux lois autres formules royaume particulières à la profession d'avocat. Un arrêt de la référé au dos de notre cour, diplôme, nous donne le titre d'avocat à la coar plaisir. plus grand Mr. Lambert, de temps en temps Voyez à Lyon son affaire marche parfaitement le centre de la Franet s'organise dans à ce écrit à votre père sujet. j'ai ce deux ofdes nouvelles des J'ai reçu et donhabitent Charenton ficiers qui à Eusoins nent de ma part quelques son gène le même. Nous ne état est à peu est trop. à moi femme se joint très affectueusement embrasser moi de tout son dire comme oncle Votre bien Les et somme 2 fr. pour Thibauld. plus Mr. vous pour c'est-àcœur. frais autres du serment dépetites monte à 64 fr. qui achetées graines pour les Serment 44 Souliers Pantalon francs K .12 ? » 8 2 Thibauld HUGO. général Paris. la robe cette voyer affectueux, Le de y compris montent à 44 francs. J'ai été oblipenses de soufaire deux gé de me faire paires n'en à mettre liers, ayant plus que mes souliers de bal du Préfet et mes un et j'ai acheté bottes, également pantalon d'été de 8 francs ce qui n'est pas soit bon. ai pas un cher je n'en qui m'enmon cher Ainsi, papa, pourrais-tu aller à Paris pensons pas avant les couches d'Adèle.. à n'écrit vois plus Abel, je le trop, tout à fait il s'occupe personne quand raison bien une de littérature. Je connais un mais me à l'excuser peu, porte qui trop Ma Roi, et Royale toujours près au a .66 P. S. ciements fait trop remervous article, y avez vous devrais-je pas mot Adèle. pour un Ci-joint gronder. mes oublier J'allais votre pour ne beau, Tu une chambre mois, ce mon loyer mois de Adolphe son Trébuchet père. /rM J'ai ta reçu ainsi Blon que te et je çait de l'autre. belle lettre Cette de pression que tu pour rendre as de m'a lettre je ta puisqu'elle et joie tu m'adresses. que contentement sont gement de me qu'elle bien que moi Ces un et digne ton fils. garnies nes. ~~4f. On de donné pouvais contient des aux m'annonl'un et plus recevoir l'ex- puissant je tâcherai de la bonne de de général félicitations marques m'ont née sieurs ton encoura- qui toujours pas opinion mais suite chez des Archives. plus de 15 rien cou- mes par d'une Mr. place de Rue convenait qu'il à jours avoir DufougeBlois est à préfet Mr. de ne malsai- coûtent de je pourrais de la Rue où Monsieur La par la chambres sont Royaume. et paie dans ces plupart ne me la que Dumesnil prêtés accompagné de St-Luc par cher suis je parlé ne qu'elle l'avait obtenue qu'alors me Mr. 238 la frs. ne je dans que été de 18 Madame du Mr. ou plus dernièrement Archives allé 15 puisque et que logé rn~eux qui pour Les meubles Salaberry et ray la à j'aurais que beaucoup actuel m'a papa, garnie serait puisqu'ils sins. 27avriiparMr. l'argent remercie récompense ma thèse pour du ~.< ~a: suis je Inédite. cher 12,50 que maison que même Lettre mon dis, la Rue était garde don- à ces mes- pas ne la à celui place a dit garderait semaines 3 la Com- place. présente et que les APPENDICE candidats au Mr. de l'intérieur ministre qui ont dû aller chez ces messieurs nomme, ce dernier et il y a une certitude presentière La place est que que je réussirai. de section des 1'600 francs et est à une de jusarchives au palais qui se trouve tice. Mr. de la Rue le ayant témoigné cette désir de me voir je dois y aller Blonard introuvable. Je n'ai pu voir encore les Rossel m'ont dames. je qui crois de Meltes lettres et celles apporté liriet Abel. Mr. Guesdon pour qui est venu me voir hier aujourd'hui pour part Nantes et il se de cette lettre. charge AnJ'écris occasion à MM. par la même à Delair et Lavigne. J'ai écrit gebault, semaine avec naît indirectement et refais de Auguste je lui grandes de ta Abel te remercie bien montrances, lettre à laquelle il dit ce qu'il répondra dont il ne fera il dit derien car comme un an qu'il à son père sans puis répondra servir un Si j'étais Mr. Gauthier et qui empressement aux placé qui montre le conme pour tout particulier. Archives, j'abandonrelativement projets à nerais alors mes la Préfecture de Je pense qu'il police. est ton à Mr. inutile d'envoyer ouvrage à Mesde ainsi d'écrire Salaberry que sieurs Foucault et Je préfère Levêque. Mr. sache de Salaberry je mets que que il est très toute ma confiance en lui, car ne de ce côté et susceptible peut-être me servirait-il s'il apprenait sonnes. Et utile m'être autant de avec zèle, pas d'autres que je sers perde il a tant à cœur puis sera le premier à cherqu'il l'avoir en agira qu'il ainsi à ton égard. de dire à Mr. Il te prie Mellinet avec le plus qu'il parlera grand de son frère dans son plaisir ouvrage sur non au siège de Stl'Espagne, pas car il est dans la première liSébastien, mais dans vraison est qui déjà parue entier un autre et il refera en endroit, la note de Mr. Mellinet. Il recevra également les renseignements sur avec plaisir Mr. Melle Capitaine Dast dont lui parle saura personnes qu'il pouvoir il l'a fait relativecomme utiles, Tu et St-Luc. à MM. Dufougeray en bonmon cher papa, que je suis mains et que nous devons concevoir linet. espérances. grandes chez le lythographe les carJ'ai porté tu me recommandes et tes de visite que les avoir à la fin de la semaine. je dois lui. Mr. Dufort les avec emportera si j'ai Je ne me envoyé rappelle pas si je ne ma thèse à Mr. de Tréméac, nues une cher m'être ment vois, nes les de l'avais cher paserais bien de réparer Je pa, les exemtu me aise renvoyasses que car dont tu n'as besoin pas je plaires un seul à disposer ici. Dis n'en ai pas Dumesnil à Mr. de Tréméac que Madame instamment de la personne très s'occupe et que de mon lui a recommandée qu'il pas fait je te prie, oubli. cet mon il quitte lequel Paris j'ai déjeuné demain ou je crois vais on leur a servi Tu bien Hyacollation. juges que Elle cinthe était au comble de la joie. contente et s'habitue chez son onparaît ils ont elle les plus cle pour grands égards. J'ai fait mes le mardi de la pasques même semaine où ma thèse. j'ai passé Mon oncle m'a écrit il y a quelHugo jouer ques jours de toi. Il avec et elle il et me parle longuement l'affaire il dont, paraît que t'avait réussit dans déjà parlé parfaitement certaines villes de France et il serait fort heureux s'établir un comptoir qu'il put à Nantes, car mon oncle pourrait faire avoir la direction. Je dois aller Mr. Lambert directeur de général tablissement. nécessaires je fais les démarches pour trouver une convenable. place Dufort et moi avons Mr. joué à la baraurait Paris re et je crois -quitté qu'il me voir si je ne l'avais rencontré sans Il dcit dans Paris. retourner l'autre jour Boësvu ici Mr. à Nantes vers le 15. J'ai avec fait avec me quelquefois promener Je l'ai mené dîner chez MaHyacinthe. dame Dumesnil et le soir dernier, jeudi vedes filles de la maison sont petites Je côté lui nier encore Tu les mépaquet t'amoires de Jean de je crois 7'yo~M voir entendu cet oudire que tu désirais donné été ainsi Abel, vrage qui m'a par de Latour d'Auque les origines gauloises Il et que vergne je t'envoie également. fois, plusieurs après-demain. 239– trouveras dans mon t'en voir l'é- APPENDICE y a pour dans sa qu'il navet y sont Mes mon une paquet des lettre d'Allory un et livre mère, souliers envoie à Joséphine. Les de graines Mr. Thibault m'a demandées que aussi. cousins et cousine la famille FouMadame t'assurent aincher, Dumesnil, si que ta bonne attacheClarisse de leur ment le plus sans oublier Josésincère, ont eu bien de le tems phine qu'ils peu voir à Paris. à moi mon cher Quant pat'embrasse et t'aime comme le plus et le des fils. plus respectueux pa, je tendre /~n-s'. A. P. S. Les couteau ont été de même remis 11 mai TRÉBUCHET, :<<9;M. av~. la corde, le petit à leur adresse. J'ai était l'argent qui pour et mon oncle Clément. Il vous Allory embrasse tous ainsi sa femme et la que bien Remercie petite Hyacinthe. Joséphine de sa lettre. Mille amitiés elle pour gants, remis et les à tous deux frères. Mes petits respects nos parents. <)~~ mon arQue </c~ XMy Han d'Islande. Profite le pour faire insérer de la bonne où disposition est Abel le frère de Mr. Mellinet. pour Assure bien notre attachement le plus dans tout ce que Lettre de Monsieur buchet. inédite. bonne filial. je mère de mon Je la comprends te dis toi. pour &. Adolphe ZD Angeba.u)t Tré ~tt:<es,3jMtH~~4. SALUT J'ai été au souvenir server et HONNEUR A MONSIEUR ET JOIE L'AVOCAT, bien mon bon ami, sensible, bien me conque vous voulez en l'amitié je vois que peut tiers se mêler à Cujas et Barthole je ne connais ces messieurs mais guère j'estime et je désire et j'aime le troisième être fort bien sur ses papiers. toujours vos cliens et votre code vous Quand -240- moments de donner permettront quelques aux existe souvenirs, rappelez-vous qu'il de la cathédrale un exide Nantes, près lé qui des se trouvera heureux toujours miettes vous laisserez tomber pour que lui. Au demeurant aimasoyez toujours ble la mélancolie ne peut gai et vertueux, demeurer sous la toque d'un avocat plus et se n'allez laisser l'ennui cacber pas dans les de votre robe. Je vous replis le dénonce le plus triste comme voisin sur avoir. J'aime que oncques puissiez un front un air oujeune serein, affable, et sur soit cette écrite vert, lequel paix de l'âme d'une bonne consqui est le fruit cience. ce mot trouve sous se Puisque de vos ma plume, nombre je veux qu'au amis vous surtout cet 'excellent comptiez Mr. en Ronsin, auquel je vous charge vertu de la sainte obédience d'aller une fois chaque mois offrir de mon l'hommage En attachement. comptant respectueux bien sur mes cela fait douze fois doigts à par an, si je ne me trompe, certes quant moi d'une constitution apparemment plus faible croirais malheureux si je je me ne mangeais le mois fois pour qu'une à la mais vous mets diète, je vous je voudrais vous vera l'époque. affamé voir arri- quand le pactole à l'avenir, n'existe Quant plus, mon très il a épuisé toute sa sourcher, ce et on ne voit de gens en robe guère se sur ses sais promener bords j'en bien moi un homchose, qui suis quelque me de robe si vous la croyez meilleure buvez rifiée l'eau de la Seine claà mais et dépurée, prenez garde à Pal'air l'on contagieux que respire ris et si vous vous trouviez indisposé ayez soin de recourir inau médecin que j'ai en reladiqué. Prenez-y garde, je suis lation avec lui et je lui demanderai peutêtre des nouvelles de ses malades. A Dieu et à Marie.. On me dérange. Tout donc à vous de de cœur. ANGEBAULT, Je thèse crois vous avais écrit vous en pour n'avez que vous à l'époque remercier, pas reçu C/M/ de votre mais je ma lettre. INDEX DESCORRESPONDANTS DE L'APPENDICE ÂNGEBAUt.T, chanoine.)~ 27 Juin 1822, 3 Juin 1824, )))!).A!M a Marie-Joseph. pp. 225-226. p. 240. il TnËHUCHET~ Marie-Joseph. ~Scpt.onbre'1822, pp. 228-229. il !)uGO~Abe), 20 )823, pp. 236-2:~7. HuGO; Huno, pp. pp. 222-223. 227-228. il ÏHËBUCHET, 1811, Victor, LucOTTE~ a TnEBucHËT, Décembre 1822, a TMÈHU<ŒT. 8 Juin 10 Avri) 180-181. 11 Mai '12 Septembre ~798, pp. ')81-182. 22 Octobre 1798. pp, 182-183. l:t Mars G Mai 1799, 6 Août 1799, 30 Septembre 9 Avril pp. 183-184. pp. 184-185. 1800, pp.'185-186. pp. 186-187. p. pp. !') 'l'HËBUCHET, .1820, pp. 1822, MiH'ic-Joseji 220-22.1. pp. 223-225. pp. 22(j-227. pp. 233-235. pp. 235-236. 1823, 1823, 1824, ,)8 Novembre a 188. 1799, p. 213. 18t3, pp. 238-24U. a HuGO, Sophie. TnËBucHET, Marie-Joseph, 20 Avril d809, pp. 201-206. 6 Juin 1809, pp. 208-210. 24 Novembre 1810, pp.2)1-2)3. 1798, 1799, u PRÉFET de Nantes. 1822. )4JuiHet. 26 1798, Sophie. Marie-Joseph. Adolphe, Novembre 25 Janvier 13 février TnÉHUCHET, Marie-Josep lsl3, pp. 213-214. TnHjtucHET, '15)~vrier)798,pp.l7ti-178. 2t Mai 1798, pp. 179-180. 29 Novembre a ]a guerre, 24 Décembre A()o)phe. pp. pp. 232-233. 1823, MtKtSTRE de aTnÉnucHHT,Marie-Josep)t. 6 Janvier 1798, p. )75. 1798, Marie-Joseph. pp. 229-230. 3Aoutl814,p.214. 27Jui)leH823,p.237.. 5 Mai '1824, pp. 237.238. Août p. 2)3. a IfuGO, LENOHMAXu-Dunuissox, 4 Mai .1809. p. 206. p. 194. 1802, 9 Mars )')7-20<. pp. )809, LEBARR[Ë!t DE RiNA~n, 2C Décembre a t.ENORMAKR-DuBUtssoK. Sigisbert, 20 Avril 1798, pp. 178-)7'). '3) Juin 1799, pp. 187-)88. 25 Mars !ai 8 Janvier a TnÉBUCHET, Marie-Joseph. )0 Aoù). )82d, pp. 221-222. d822, 20 au 29 H Avri)-Mail820,p.2)3. 4 Aoùt -)820, pp. 2)7-2)8. 20 Jui~et p. 496. 1804, pp. 20(i-208. 19 Septembre )8<0, pp. 2tO-2iL 18 au 20 Décembre )8t0, p. 213. a ÏRÉBUCHËT, Auoiphe. 't82d, pp. 192-193. -t800, pp. 193--194. 4Juin)808,p.i')'?. )2 Avrii t809, )')TnÉuucHET,Marie-Josep)). Mai )822 (?),?..223. ')cr Novembre 1800, 21Mai)'?98,p.l80 TnMHUCHRT, ))Jni))et-)820,p.2)7. Eugène, 2 Juin 191-192. pp. A LHXOHMANf)-Du)!UiSSO HUGO-ÏRÉBUCHET, Sophie, .19 Novembre -n97, pp. 174-175. a 'l'RÉnucHET, Marie-Joseph. Adolphe. Avril )820, pp. 2)4-2)3. 25 Mai )820, pp. 2)5-2)6. 29 Mai )820, pp. 2)6-217. HuGO, 1800, 1er Mars Pierre, 27 Mai '12 Mai 4Juii!cL .) 802 (?),?..194. 5 Juiiiet.)803, pp. 195-196. Marie-Joseph. 1795, pp. 173-174. THHHUOtHT, 10 Août )<'oucHË~, TnËBucHET, pp. 189-190. 190-191. TnÉnucHET, .18 Novembre 3 Janvier 1820, p. 220. Adolphe. 1820, pp. 2.18-220. 1823, pp. C 230-233. –241 31 ADDENDA Avril. 1816. 1819. 1819. 1822. major fondé du 3 Mai et sur Victor Hugo, Entrefilet sur la séance des Jeux Floraux «jeune 17 a le Il été de ans », qui d'or. remporté lys d'or et l'amaranthe envoyé par M. Picf. Revue Mai ~8~9, t. <i, p, 387 et 0</es~7?aMG!6~, édition de l'Imencyclopédique, Nationale, p. 536. primerie Octobre. Lettre de V. Hugo à Guiraud cf. LÉON SÉCHÉ, Le Cénacle de la jNM4'e//Y< çaise, pp. 42-43. –7)/aï.– athlète naud 1821. (1822).–7 Le demande l'admission de ses deux et Eugène, au fils, Abel Hugo de Gaëte, en 1796, et tenu par des religieux. Abel seul est admis cf. J. RAMco)!ège BA)D, A~p~.soM.s'Jo.s'c/t ~oMa/)M?-<e, ~~Oô'O~, p. 293. Lettre son père, Ils deman~Vouem6?'c. d'Eugène Hugo signée par lui et par Victor. dent a leur père une pension convenable et ils lui reprochent des mots trop vifs empioyéspar lui à l'égard de leur mère. (Communiqué par M. Charavay.) du 3 M:u et sur M. Hugo, 7)/Mt. Entrefiiet sur la séance des Jeux Fioraux jeune poète de dix-sept ans. I) a été envoyé M. Pinaud cf.OM?~a/~e.<; 41 mai 1819 et M".sDébats, par e< /af/M, édition de l'Imprimerie Nationale, p. 536. 1807. ./M!e~Lettre pp. 264-267. ./uillet. Article pp. 469-171. de assez dur Lamennais contre a V. V. Hugo Hugo: par cf. G. E.Héreau SmoN, L'.Ë'7!/<ïKce cf. 7!guMe de V. /~K.~o, t. xv, encyclopédique, de V. Hugo au Directeur avec de ~4o~. Lettre de la /~euMe eMC!/e/o~e'~«/Me réponse M. E. Héreau. par M. Charavay.) (Communiqué de Nantes d'A. Trébuchet y)/yaHH:er. Lettre de V. Hugo à ses tantes ursulines cf. Lettre à son père, 25 Janvier 1823, voir a t'.4/<?7t<ce. à V. Hugo 8 Juin. Lettre de Lamartine cf. Revue de Paris, ~<?Ha?'«K<; F. //M'/f). Lettres 15 Avril 1904, pp. 671-672. inédites par M. G. Simon, ~3 Juillet. Naissance de Léopotd-Victor Hugo. 16 1823. 6'e~<c/K67'e. 675. 13 TVo~eMt~e. 676. Lettre de Lamartine a V. Hugo cf. Revue de Paris, 15 Avril )904, pp. ('73- Lettre de Lamartine à V. Hugo cf. /~efMp f/e Paris, c 15 Avril 1904, pp. (i75- TABLE DES MATIÈRES t'fpM PHK)''ACE. )-XtV ~-4 t'RKL)MiNA)RES 1815-~8 CHAPmtEPREM)K)(, CHAt.iTHË E H, 5-)3 d849 CHAprrxKH), ~820. S2-97 CHAPHHRiV, d8~ 98-~8 CHAfiTttK V, 1822. CHApnnEVi, d82K. CHAt'rntEVH, 1824. di9~42 ~3-~56 157--)(it) Apt'KN)'i(:Ë. m-240 )!<DKXDËL'Apt'KNm< 24i ADDENDA. 242 Luçon. –tmp.S.t'Mteu.u -1 INDEX DES CORRESPONDANTS DE L'APPENDICE ANGEBAULT, chanoine, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 27 Juin 1822, pp. 3 Juin 1824, p. DELAIR à TREBUCHET, Marie-Joseph. 10 Août 1795, pp. FOUCHER, Pierre, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 12 Septembre 1822, pp. 27 Mai 1823, pp. HUGO, Abel, à TREBUCHET, Adolphe. 20 Avril 1820, pp. 25 Mai 1820, pp. 29 Mai 1820, pp. 11 Juillet 1820, p. HUGO, Abel, à TREBUCHET, Marie-Joseph. Mai 1822 (?), p. HUGO, Eugène, à TREBUCHET, Adolphe. Avril-Mai 1820, p. 4 Août 1820, pp. HUGO, Eugène, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 10 Août 1821, pp. 1er Novembre 1821, pp. 20 Juillet 1822, pp. HUGO, Sigisbert, à LENORMAND-DUBUISSON. 20 Avril 1798, pp. 31 Juin 1799, pp. 25 Mars 1802, p. HUGO, Sigisbert, à TREBUCHET, Adolphe. 27 Juillet 1823, p. 5 Mai 1824, pp. HUGO, Sigisbert, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 6 Janvier 1798, p. 15 Février 1798, pp. 21 Mai 1798, pp. 26 Août 1798, pp. 12 Septembre 1798, pp. 22 Octobre 1798, pp. 29 Novembre 1798, pp. 13 février 1798, pp. 13 Mars 1799, pp. 6 Mai 1799, pp. 6 Août 1799, p. 30 Septembre 1799, pp. 9 Avril 1800, pp. 12 Mai 1800, pp. 2 Juin 1800, pp. 4 Juillet 1800, pp. 1802 (?), p. 5 Juillet 1803, pp. 1er Mars 1804, p. HUGO-TREBUCHET, Sophie, à LENORMAND-DUBUISSON. 19 Novembre 1797, pp. HUGO-TREBUCHET, Sophie à TREBUCHET, Marie-Joseph. 21 Mai 1798, p. 4 Juin 1808, p. 12 Avril 1809, pp. 20 au 29 Mai 1809, pp. 19 Septembre 1810, pp. 18 au 20 Décembre 1810, p. 9 Mars 1811, p. HUGO, Victor, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 11 Décembre 1822, pp. 8 Janvier 1823, pp. LEBARBIER DE RINARD, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 26 Décembre 1813, pp. LENORMAND-DUBUISSON, à HUGO, Sophie. 4 Mai 1809, p. LUCOTTE, à TREBUCHET, Marie-Joseph. 3 Août 1814, p. MINISTRE de la guerre, à PREFET de Nantes. 24 Décembre 1813, p. TREBUCHET. Adolphe, à TREBUCHET, Marie-Joseph. Novembre 1820, pp. 8 Juin 1822, pp. 14 Juillet 1822, pp. 25 Janvier 1823, pp. 10 Avril 1823, pp. 11 Mai 1824, pp. TREBUCHET, Marie-Joseph, à HUGO, Sophie. 20 Avril 1809, pp. 6 Juin 1809, pp. 24 Novembre 1810, pp. 18 Novembre 1820, p. TREBUCHET, Marie-Joseph, à TREBUCHET, Adolphe. 18 Novembre 1820, pp. 3 Janvier 1823, pp. TABLE DES MATIERES PREFACE PRELIMINAIRES CHAPITRE PREMIER, 1815-1818 CHAPITRE II, 1819 CHAPITRE III, 1820 CHAPITRE IV, 1821 CHAPITRE V, 1822 CHAPITRE VI, 1823 CHAPITRE VII, 1824 APPENDICE INDEX DE L'APPENDICE ADDENDA