House (musique)

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House (musique)
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House
Origines
stylistiques
Disco, Synthpop,
Soul, Funk
Origines
culturelles
Années 1980,
Chicago
Instrument(s) Clavier,
synthétiseur, boîte à
typique(s)
rythmes,
séquenceur,
échantillonneur
Genre(s)
dérivé(s)
Tech House,
Microhouse,
Progressive House
Genre(s)
associés(s)
Acid House
Scènes
régionales
Deep House
Voir aussi
Garage
La House Music est née au début des années 1980 à Chicago. Originellement liée à l'histoire
des DJs, son nom provient du Warehouse, club où officiait le DJ Frankie Knuckles. La house
est fondamentalement constituée d'un rythme minimal, d'une ligne de basse proche du funk et
de voix, samplées ou non.
Si Frankie Knuckles, en tant que DJ, est le précurseur du genre, les premiers producteurs de
House sont Chip E. (Like This, It's House), Adonis avec No Way Back, Steve "Silk" Hurley
(Music is the Key, Jack Your Body), Marshall Jefferson et son morceau The House Music
Anthem (Move Your Body), Farley "Jackmaster" Funk et le fameux Love Can't Turn Around
(1986), Lil' Louis avec le tube international French Kiss et Larry Heard, qui composera sous
le pseudonyme de Mr. Fingers l'hymne deep house Can U Feel It dont l'une des versions est
agrémentée d'un discours de Martin Luther King. Réalisés en 1983 par Jesse Saunders et
publiés sur le label Mitchbal, les morceaux On & On et Funk U Up sont considérés comme
les deux premières véritables créations de house.
Si tous ces artistes viennent de Chicago, la house n'a cependant jamais été uniforme et dès
1988 apparaît par exemple la hip-house avec Fast Eddie et le titre Yoyo Get Funky, mêlant à la
house les racines electro du hip-hop.
Même si la house est née à Chicago, les villes de Detroit et New York ont rapidement
développé des scènes très actives, également portées vers le garage, house vocale héritière du
disco, inspirée par le club où jouait le DJ Larry Levan, le Paradise Garage. On a un temps
parlé de New Jersey House pour désigner la deep house de New York, dont le groupe Blaze
est encore aujourd'hui un digne représentant.
Frankie Knuckles et Larry Levan étaient amis avant de devenir DJ. Les promoteurs du
Warehouse souhaitaient même embaucher Larry Levan à l'ouverture du club, mais il préféra
rester à New York et céder la place à Frankie Knuckles. Larry Levan est mort en 1992 et reste
un mythe intouchable en tant que DJ.
Mel Cheren, légende de la nuit new-yorkaise, qualifiait la house de disco on the budget (disco
à l'économie). De fait, cette musique s'est caractérisée dès ses débuts par des moyens de
productions réduits, un côté « artisanal ». Les précurseurs du genre enregistraient leurs
morceaux sur cassettes dans le seul but que les DJ de Chicago les passent en club. Ces
expériences ont façonné la club culture et sa mythologie. Le disque vinyle est rapidement
devenu le support privilégié de cette musique.
Aujourd'hui, la production house est toujours vivace et est principalement jouée dans des
lieux spécialisés et dans certaines boîtes de nuit. Des soirées parallèles et beaucoup plus
underground peuvent également avoir lieu, bien que la house soit une musique électronique
cataloguée « de club » et ainsi rarement jouée en rave.
Sommaire
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1 Eléments Musicaux
2 Histoire
o 2.1 Précurseurs
o 2.2 Étymologie
o 2.3 Chicago : début des années 1980 - fin des années 1980
o 2.4 Detroit techno: milieu des années 1980 – début des années 1990
o 2.5 Grande-Bretagne : fin des années 1980 – début des années 1990
o 2.6 États Unis : fin des années 1980 - début des années 1990
o 2.7 Grande-Bretagne : début des années 1990 - milieu des années 1990
o 2.8 Les années 2000
3 Variantes de la House
4 Danse House (House Dance)
5 Artistes et morceaux représentatifs
6 Notes
7 Références
8 Liens externes
Eléments Musicaux [modifier]
La House est une musique au tempo rapide idéal pour danser. Les tempos standards de la
dance moderne sont moins élevés, généralement entre 118 et 135 bpm — à peu près 10 bpm
de moins que le disco.[1] Les tempos de la House étaient plus faible lors de ses premières
années d'existence.
L'élément commun des titres House est l'utilisation de kick drum (grosse caisse) à chaque
battement (aussi connu sous le nom de battement four-to-the-floor), généralement créé par
une boîte à rythme ou un sampler (échantillonneur). La piste de batterie est remplie de
rythmes à base de charleston qui contient presque toujours un Charlé ouvert sur le
contretemps de la huitième note entre chaque battement, et un son de caisse claire ou de clap
sur les battements deux et quatre de chaque mesure. Ce motif est dérivé du rythme de "fouron-the-floor" des années 60 et surtout des batteurs disco des années 1970. Les producteurs
échantillonent généralement des sons de batterie pour créer des sons plus complexes, et
adaptent le mix pour les grosses sonorisations des clubs en atténuant les fréquences moyennes
(bande de fréquence contenant les fréquences fondamentales de la voix humaine et de certains
instruments) pour privilégier le son de la basse et des charlestons.
Les producteurs de House utilisent de nombreuses sources de sons pour la basse. Ces sources
vont de la répétition d'une séquence créée électroniquement à l'aide d'un synthétiseur comme
un Roland SH-101 ou un TB-303, jusqu'à des enregistrements en studio d'échantillons de
musique jouée en direct par des bassistes, ou simplement en filtrant des échantillons de titres
classiques de funk ou de tout autre titre. Les pistes de basse de la House tendent à favoriser les
notes qui entrent dans une seule gamme d'octave, tandis que les pistes de basses dans le disco
alternent souvent entre des notes séparées par une octave. Certaines des premières productions
House utilisaient des pistes de basse issues de titres disco. Par exemple, le producteur Mark
"Hot Rod" Trollan copia les basses de la chanson de 1983 de Italo disco Feels Good (Carrots
& Beets) (d'Electra featuring Tara Butler) pour former les bases de sa production de 1986
Your Love par Jamie Principle. Frankie Knuckles utilisa les mêmes notes dans sa version
encore plus connues de Your Love en 1987.
Les sons générés électroniquement et les samples de titres issues du jazz, du blues ou encore
du synth pop sont souvent ajoutés aux rythmes de batterie et aux pistes de synthétiseur. Les
titres House incluent aussi des voix issues du disco, de la soul ou du gospel ainsi que d'autres
percussions comme le tambourin.
La Techno et la Trance, qui ont été développés à côté de la House, partagent cette
infrastructure basique de rythme mais elles évitent généralement l'influence de la musique
Live utilisé par la House, comme les inspirations afro-américaines ou latines, pour préférer
des sources sonores plus synthétiques.
Histoire [modifier]
Précurseurs [modifier]
La House est un genre musical descendant du disco des années 1970. Elle mélange des styles
musicaux comme la soul, le R&B, la funk, la salsa, le rock ou la pop avec un message
progressiste et pro-diversité. À la fin des années 1970, le disco a commencé à introduire des
sons électroniques, comme dans la production de Giorgio Moroder du single de Donna
Summer "I Feel Love" en 1977. La même année, l'album de Kraftwerk, Trans-Europe
Express, a commencé à être joué dans les club New-Yorkais. Cet album contient un certain
nombre d'éléments et de sons qui sont apparus plus tard dans des productions techno et drum
and bass.
Au début des années 1980, des DJs de Chicago ont été les premiers à expérimenter la house
music en mixant deux exemplaires du même titre disco. En utilisant cette technique, les DJs
ont pu répéter certains passages, en sauter d'autres et étendre la durée des voix ce qui leur
permit de créer des remixs du titre original. Cette technique de remix à double exemplaire a
finalement conduit les producteurs a créé leur propres rythmes pour les DJs, en opposition au
remix de vieux titres disco.
En 1984, Lime a sorti un album avec un style baptisé "HiNRG", qui est inspiré des sons de
Giorgio Moroder et de Kraftwerk de la fin des années 1970 pour donner un style accrocheur
avec l'utilisation de boîtes à rythmes et de break dans le rythme. Les mixs club de M and M et
le titre "On and On" de Jesse Saunders ont utilisé beaucoup d'éléments provenant de la dance
music qui s'est développé à partir des sons house, comme l'utilisation de synthés (dont le 303)
ou de voix de très courte durée. "On and On" est considéré comme étant le premier titre house
à être sorti, pressé et vendu au grand public. Ce morceau est souvent cité comme étant le
"premier enregistrement house", [2][3] bien que d'autres exemples de la même période comme
"Music is the Key" de J.M. Silk (1985) ont aussi été cités.[4] . La House music incorpore aussi
d'autres influences, comme le New Wave, le Reggae, le synthpop européen, l'industrial et le
punk tout comme le Hip-Hop qui était alors un style émergeant. Les DJs de house music ont
expérimentés de nouvelles techniques d'édition comme le remix, le sampling et d'instruments
éléctroniques comme les synthétiseurs et les séquenceurs.
Étymologie [modifier]
Les origines du terme "house music" sont contestées. Le terme pourrait trouver son origine
dans le nom d'un club, The Warehouse, qui était un des nightclubs devenus populaires auprès
des jeunes vivants dans la région de Chicago à la fin des années 1970 et au début des années
1980. The Warehouse était tout d'abord fréquenté par les communautés gay, afro-américaine
et hispanique[5] qui venaient pour danser sur les mixs du DJ Frankie Knuckles à base de disco
classique, de synthpop européen, de new wave, d'industrial et de punk. Knuckles sortait ses
titres dance et ses mixs sous les labels D.J. International Records et Trax Records. Ces titres
dance se sont fait connaître sous le nom de house music. Le club a obtenu une très bonne
notoriété au milieu des années 1970 et cette dernière a augmenté considérablement à la fin des
années 1970. Les productions de Knuckles ont augmenté à cette période et son mix de la
chanson de Jamie Principle "Your Love" est considéré par beaucoup comme le titre qui a
lancé la house.
Le titre "It's House" de Chip E. a aussi dû aider à définir cette nouvelle forme de musique
électronique.[6] Chip E. revendique le fait que le nom vient des méthodes d'étiquetage des
disques dans le magasin de disque Imports Etc. dans lequel il a travaillé au début des années
1980 ; la musique que jouait DJ Knuckles au nightclub Warehouse était référencé dans le
magasin par "As Heard At The Warehouse" (entendu à la warehouse), qui a ensuite été
raccourci pour donner "House music".[7]
Larry Heard, aka "Mr. Fingers", revendique le fait que le terme "house" vient plutôt des
premiers DJs qui créaient de la musique dans leur propre maison ("house" en anglais) en
utilisant des synthétiseurs et des boîtes à rythme dont le Roland TR-808, le Roland TR-909, et
le Roland TB 303, un synthétiseur-séquenceur de basses. Ces synthétiseurs ont été utilisés
pour créer une sous-catégorie de la house music appelée acid house.[8]
Juan Atkins, un des pères de la techno de Detroit, prétend que le terme "house" reflète
l'association exclusive de titres en particulier avec des DJs; ces titres étaient leurs titres
maison ("house" records) (un peu comme les salades maison dans les restaurants).[9]
Chicago : début des années 1980 - fin des années 1980 [modifier]
« Not everyone understands House music; it's a spiritual thing; a body thing; a soul thing. »
— D'après un titre produit par Eddie Amador
La house music s'est développée dans les maisons, les garages et les clubs de Chicago
initialement pour les amateurs locaux de clubs "underground" plutôt que pour un
développement commercial. Par conséquent, les titres étaient beaucoup plus conceptuels et
plus longs que ceux joués habituellement dans les radios. Les musiciens houses utilisaient des
synthétiseurs analogiques et des séquenceurs pour créer et arranger les éléments électroniques
et les samples de leurs chansons, en combinant des sons d'instruments traditionnels, des
percussions et des voix soul.
Les principaux magasins de disques ne disposaient souvent pas de ces vinyls 12 pouces car ils
n'étaient pas disponibles chez les principaux distributeurs de disques. À Chicago, les magasins
de disques comme Imports Etc., State Street Records, JR's Music et Gramaphone Records
étaient le principaux fournisseurs de cette musique.
La musique était essentiellement disco jusqu'au début des années 1980 lorsque la première
boîte à rythme autonome fût inventée. Les titres House pouvaient dorénavant obtenir un
avantage en utilisant un mixeur et une boîte à rythme. Ceci a permit d'augmenter le prestige
de DJs auto-didactes. Les DJs de clubs underground comme Ron Hardy et les animateurs
radio de The Hot Mix 5 ont joué les titres de Italo Disco comme "Dirty Talk", "MBO Theme"
de Klein M.B.O., certains des premiers titres B-boy Hip-hop comme "Hip Hop, Be Bop
(Don't Stop)" de Man Parrish, "Planet Rock" de Afrika Bambaataa and the Soul Sonic Force
et aussi Looking for the Perfect Beat de Kraftwerk. Ces genres étaient influencés par la house
de Chicago.
Jesse Saunders "Jes Say Records" a connu du succés dans les clubs avec des titres plus
orientés "B-boy Hip Hop" comme "Come to Me" de Gwendolyn, "Dum Dum" ou le titre
inspiré de Italo Disco "Under Cover" de Dr. Derelict, qui était le premier succès house faitmaison, ou "On and On" (1984) qui avait des paroles hypnotiques, une ligne de basse
cinglante et des percussions. C'était le premier disque House pressé et vendu au grand public.
En 1985, les titres historiques de Mr Fingers "Can You Feel It?"/"Washing
Machine"/"Mystery of Love" ont montré une influence jazz. Le son a été créé en utilisant un
Roland TR-707 et un Juno 6. Cette chanson aida à démarrer la mode de la Deep house, qui
avait un rythme moins rapide (110-125 bpm). La même année est sorti "It's House" de Chip E.
qui est un bon exemple de house music de Chicago. En 1986, "Acid Trax" de Phuture a
montré le développement d'une sous-catégorie de la house appelée acid house qui est le fruit
d'expérimentation avec un 303 par des musiciens de Chicago comme DJ Pierre.
Les premiers enregistrements house étaient "Your Love" de Jamie Principle et Frankie
Knuckles, "On and On" de Jesse Saunders (1985) et "The Jack Trax" de Chip E. Ils utilisaient
des rythmes complexes, une ligne de basse simple, la technologie du sampling et des voix
minimalistes.En 1985, la house music dominait les clubs de Chicago, domination largement
due à la diffusion de ces titres sur la radio 102.7FM WBMX qui était le fruit du travail du
directeur des programmes Lee Michaels et de l'équipe de DJs résidents de la radio, the Hot
Mix 5.
La musique et les mouvements ont aussi été aidés par la révolution de la musique
électronique. L'arrivée de matériel compact et bon marché comme les séquenceurs, les boîtes
à rythme (le Roland TR-909, le TR-808 et le TR-707), ainsi que des machines à percussion
latine (TR-727) et des modules de basse (comme le Roland TB-303) ont donné aux créateurs
de House music de plus large possibilités dans la création de leur musique. Le sous-genre qui
est l'acid house a été développé à partir des expériences de DJ Pierre, Larry Heard (Mr.
Fingers), et Marshall Jefferson avec les nouvelles boîtes à rythme.
Bon nombre de titres qui définissent la house music de Chicago ont été sortis par DJ
International Records et Trax Records. En 1985, Trax a sortit "Jack the Bass" et "Funkin' with
the Drums Again" de Farley Jackmaster Funk. En 1986, Trax a sortis "No Way Back" de
Adonis, "Can You Feel It ?" et "Washing Machine" de Larry Heard (sous le pseudonyme
Fingers Inc.), ainsi qu'un hymne house en 1986, "Move Your Body" de Marshall Jefferson,
qui a aidé à augmenter la popularité de ce style en dehors de Chicago.
En 1987, "Jack Your Body" de Steve 'Silk' Hurley a été le premier titre house à se hisser en
tête du TOP 40 en Grande-Bretagne. 1987 a aussi vu "Pump Up The Volume" de M/A/R/R/S
atteindre cette même première place dans le TOP 40 britannique. En 1989, Hurley transforma
la douce balade "Uh Oh Look Out" de Roberta Flack en un titre dance très énergique. "Theme
from S'Express" (1988) de S'Express est un example de musique acid house aux influences
disco et funk. Cette chanson utilise des samples provenant de la chanson de Rose Royce, "Is it
Love You're After", sur un Roland 303. En 1989, "Ride on time" de Black Box (qui utilise des
samples du hit disco de 1980 de Loleatta Holloway, "Love Sensation") a atteint le sommet des
charts britanniques et "Pump Up the Jam" (1989) de Technotronic a été le premier titre house
a entrer dans le top 10 américain. Une année plus tard, "Vogue" de Madonna arriva en tête des
charts du monde entier, devenant ainsi la plus grosse vente de single de WEA. En 1992,
"Release the Pressure" de Leftfield aida à introduire un nouveau sous-genre de la house
appelé progressive house.
La house music a aussi eu une influence dans le relais de messages politiques vers des gens
considérés comme exclus de la société, notamment la communauté gay et noire. Frankie
Knuckles a fait une bonne comparaison de la House en disant que c'était "l'église des gens
tombés en disgrâce" et Marshall Jefferson l'a comparé à "une ancienne religion dans laquelle
les gens sont justes heureux et crient". La Deep house était similaire dans beaucoup de
messages de liberté pour la communauté noire. Les deux CD House de Joe Smooth,
"Promised Land" et "I Have a Dream" ont donnée des messages similaires au discours de
Martin Luther King, "I Have a Dream". La house était aussi très sexuel et mystérieuse. "Baby
Wants to Ride" de Jamie Principle commence par une prière mais étonnament la chanson
parle d'une dominatrice qui séduit un homme afin qu'il la "chevauche" durant toute la
chanson. La danse house elle-même est bien plus vieille que la house music. Elle est apparu
dans les années 1970 avec la fin de l'ère disco au temps de la Warehouse à Chicago ainsi que
du Loft et du Paradise Garage à New York. La danse house prend ses sources dans de
nombreux éléments de danse issues par exemple de l'ère Lindy, de danses africaines, latines
ou brésiliennes ou encore du jazz, du tap ou de la danse moderne.
La danse house a été séparée en 3 styles : le Footwork, le Jacking, et le Lofting. Ceci inclus de
nombreuse variétés de techniques et de sous-style comme le skating, le stomping ou le
shuffling. La danse house incorpore aussi de nombreux mouvements issues de sources comme
le whacking, le voguing, la Capoeira, le tap et les danses latines comme la salsa. Une large
variété de mouvements proviennent du jazz et du bebop et même de danses africaine ou
latines.
Un des premiers éléments de la danse house est une technique venant de Chicago à base
d'ondulation du torse d'avant en arrière, comme si une vague passait à travers ce dernier.
Lorsque ce mouvement est répété et accéléré pour suivre le rythme de la chanson, cela
s'appelle du jacking, ou "the jack". Tous les jeux de pieds dans la danse house permettent
d'initier la façon dont le jack fait bouger le centre de gravité dans l'espace.
La house music et en particulier la Deep House étaient des genres de musique critiqués qui
apportaient l'immoralité et mettaient en avant différents aspects de l'orientation sexuelle et des
minorités. La House était vraiment concernée par la sensualité du corps et la sensation de
liberté sans avoir à se soucier de barrières extérieures.[10]
Detroit techno: milieu des années 1980 – début des années 1990 [modifier]
Article principal : Detroit techno.
La techno de Detroit s'est développée dans le milieu des années 80. Bien qu'elle soit une
forme musicale différente, ses pionnniers ont également joué un rôle dans la diffusion
internationale de la house music. La techno de Detroit s'est développée lorsque le légendaire
disc-jockey The Electrifying Mojo animait sa propre émission de radio, influençant la fusion
de sons éclectiques qui estla signature du son de la techno de Detroit. Ce son a été influencé
par la European Electronica (Kraftwerk, Art of Noise), le B-boy Hip-Hop (Man Parrish, Soul
Sonic Force) et Italo Disco (Doctor's Cat, Ris, Klein M.B.O.), et a en outre été lancé par Juan
Atkins, Derrick May, et Kevin Saunderson le "grand-père" de la Detroit Techno.
Juan Atkins a sorti "NO UFO's" (Metroplex Records), qui fût bien reçu à Chicago et qui est
désormais considéré comme un classique. Il continua en 1986 en sortant le titre
"Technicolor".
Derrick May aka "MAYDAY" sortit "Nude Photo" en 1986 sur son label "Transmat
Records", et participa au démarrage de la scène Detroit techno qui a ensuite été largement
diffusée dans les mix du Hot Mix 5 et de nombreux clubs de Chicago. Une année plus tard, le
label "Transmat Records", en sortant le titre "Strings of Life" qui est devenu un des hymnes
techno, a commencé à avoir plus de succés comme "Wiggin" en 1988. De même, Derrick
May a connu des succés sur le label Kool Kat Records avec beaucoup de remixes pour des
artites underground et des artistes trés connus.
KMS Records de Kevin Saunderson a contribué à la sortie de nombreux titres qui étaient tout
autant des morceaux House que techno. Ces titres ont bien été reçus à Chicago et ont été joués
dans les radios et les clubs de Chicago. Les titres de Blake Baxter, "When we Used to Play /
Work your Body" (1986), "Bounce Your Body to the Box" et "Force Field" en 1987, "The
Sound / How to Play our Music",“the Groove that Won't Stop” et le remix de "Grooving
Without a Doubt". En 1988, alors que la house devenait de plus en plus populaire auprès du
grand public, le groupe de Kevin Saunderson, Inner City, avec Paris Gray ont sortit les hits
"Big Fun" et "Good Life", qui ont finalement été repris par Virgin Records. En 1989, KMS a
connu un autre hit "Rock of the Beat" qui est devenu un thème dans les clubs de Chicago.
Grande-Bretagne : fin des années 1980 – début des années 1990 [modifier]
En Grande-Bretagne, la croissance de la house music peut être considérée autour de la
«Summer of Love" entre 1988 et 1989. La House music avait une présence en GrandeBretagne mais est le plus tôt apparue à Chicago, cependant on remarquait une forte distinction
entre la House music de la scène gay et celle de la scène "hétéro". La house music a grandi
principalement dans le nord de l'Angleterre, les Midlands et du Sud-Est. Inventé en 1982 par
Factory Records, l'Hacienda à Manchester est devenu une extension de la "Northern Soul",
genre qui a été la clés du succès de la musique anglaise de danse des clubs.
Jusqu'en 1986 le club était en difficulté financière; et la foule a commencé à augmenter que
lorsque les DJs résidents (Pickering, Parc et Da Silva) ont commencé à jouer la musique
house. De nombreuses venues de quartiers et des nuits de DJs ont également eu lieu à travers
le Royaume-Uni, telles que les parties privées accueilli par Miss Moneypenny, contingent de
Birmingham et de nombreux endroits à Londres. la house music a été renforcée dans le
Royaume-Uni par la préence, la même année de Knuckles, Jefferson, Fingers Inc (Heard) et
Adonis et fit alors une tournée de DJ internationale. L'un des premiers airs anthemic,
"Promised Land" de Joe Smooth, a été couvert et joué durant semaine par le Style Concil. Le
premier titre de house musique français est sorti en 1986 - "Carino" par T-Coy. les Européens
on également embrassé la musique house, et ont commencé la réservation des DJs de house
américaine légendaires à jouer dans des grands clubs, tels que le Ministry of Sound, dont le
résident, DJ Harvey apporta une place à Larry Levan.
La scène house dans des villes comme Birmingham, Manchester et Londres a également été
fournis par de nombreuses sous-stations de radio pirates et de grands DJs qui ont contribué à
renforcer cette musique déjà contagieuse, mais autrement ignorés par les grands, de la
musique de ce genre. L'un des plus anciens et les plus influents labels d'enregistrement de
house music du Royaume-Uni a été Network Records (autrement connu sous le nom de Kool
Kat documents) qui à contribué à introduire de la musique de danse italienne et américaine à
la Grande-Bretagne ainsi qu' à sélectionner la promotion de musique de danse au RoyaumeUni.
Mais la house a été également en développement sur Ibiza. Au milieu des années 1980 un
mélange Baléarique de la house a été perceptible. Plusieurs clubs comme Amnesia avec DJ
Alfredo jouaient un mélange de rock, pop, disco et de la house. Ces clubs, alimentée par leur
son distinctif et de l'ecstasy, ont commencé à avoir une influence sur la scène britannique. En
fin de l'année 1987 des DJs comme Paul Oakenfold et Danny Rampling ont été à Ibiza ce qui
porte le son d'Ibiza à des clubs au Royaume-Uni comme le Shoom à Southwark (Londres), le
Ciel, le Futur, la Spectrum et Purple Raines à Birmingham.
Aux États-Unis, la musique était en cours d'élaboration pour créer un son plus sophistiqué, en
passant juste au-delà de boucles de batterie et de courts extraits. Basés à New York, les
artistes interprètes Mateo & Matos, accompagnés de Blaze, ont produit une variante discohouse de liaison de pistes. À Chicago, Marshall Jefferson a formé le groupe maison Dix Ville
(à partir de «l'intensité»). À Detroit une proto-techno son musical a commencé à émerger avec
les enregistrements de Juan Atkins, Derrick Mai et Kevin Saunderson.
Atkins, un ancien membre de Cybotron, publie Model 500 "n ° ovnis» en 1985, qui est
devenu un hit régional, suivi par des dizaines de titres sur Transmat, Metroplex et Fragile. Un
morceaux les plus inhabituelles a été "Strings of Life" de Derrick Mai, avec une partie plus
sombre, plus intellectuelle que la souche principale de la house music. "Techno-Scratch",
morceau qui a été sorti par Knights of the turntables en 1984, avait le même son que la techno
Cybotron. Le gestionnaire de Factory Nightclub, Tony Wilson, a également favorisé la acid
house culture sur son émission de télévision hebdomadaire. Le Midlands à également adopté
cette musique à la fin des années 1980 avec la scène house des bas quartiers tels que les lieux
de plusieurs étages, des parkings et des stations de danse plus correctes tels que le Digbeth
Institute (maintenant le "Sanctuary" et maison à Sundissential).
États Unis : fin des années 1980 - début des années 1990 [modifier]
Retour en Amérique, où la scène n'a toujours pas progressée au-delà d'un petit nombre de
clubs à Chicago, Detroit et New York. Le Paradise Garage à New York était encore un club
d'excellence, car ils avaient Todd Terry, et sa couverture de class action de Larry Levan
mixant "Week-end», a montré la continuité de la disco des bas quartiers à une nouvelle house
avec son influence hip-hop évidente dans l' échantillonnage plus rapide et plus robuste de la
ligne de basse. Alors que le hip-hop était beaucoup playlisté, les seuls autres choix ont été le
Rock, la Country & Western ou encore le R & B. D' autres producteurs et DJs notables de
l'époque, comme Bobby Konders, Tommy Musto, Frankie Bones ont tous eut leur travail
commercialisé à l'échelle internationale dans les années 1980. En fait, bon nombre des
enregistrements sur le nouveau XL Recordings (UK) provenaient de ces artistes.
D'autres influences de New York venaient de la hip-hop, du reggae, et de la communauté
latine, et de nombreux super producteurs et DJs de la ville de New York se mirent à en jouer
pour la première fois (Erick Morillo, Roger Sanchez, Junior Vasquez, Danny Tenaglia,
Jonathan Peters). Avec des sons uniques qui évoluent dans d'autres genres (tribal house,
progressive house, funky house). Des producteurs tels que Masters At Work et Kerri Chandler
ont également commencé à inaugurer un son de garage plus riche qui a été repris par d'autres
univers comme le jazz, le hip-hop et Downbeat autant qu'il a été par la house aficionados.
Dans la fin des années 80, Nu Groove Records fut prolongé, même si il n'a pas lancé la
carrière de Burrell Rheji & Rhano Burrell, collectivement connus comme Burrell (après un
bref séjour sur Virgin America par Timmy Registford et Frank Mendez), avec l'essentiel de
tous les DJs et Producteur la scène underground. Les Burrells sont responsables du son "New
York Underground" et sont les champions incontestés de ce style de house music. + de 30 de
leurs communiqués sur ce label semblent soutenir ce fait. Dans le marché actuel Nu Groove
Record, comme la Burrells', jouissent d'un culte qui peredure et la côte de leurs vinyles à la
menthe peut aller chercher 100 $ US ou plus dans le marché ouvert.
Des groupes gospel / R & B influencé par Aly-us ont sorti "Time Passes On" en 1993 (Strictly
Rhythm), puis plus tard, «Follow Me» qui a reçu une diffusion radio aussi bien qu'il fut joué
dans les clubs. un autre hit des États-Unis qui a reçu la pièce radiophonique a été le seul
«Time for the Perculator" par Cajmere, qui est devenu le prototype du sous-genre
Ghettohouse. Cajmere commença les "Cajual and Relief" (entre autres). Au début des années
1990 des artistes tels que Cajmere lui-même (sous ce nom, ainsi que Green Velvet et en tant
que producteur pour Dajae), DJ Sneak, Glenn Underground et bien d'autres firent de
nombreux enregistrements. Les artistes de la Dance Mania récente et relative, tels que DJ
Rush, Robert Armani et son cousin Paul Johnson ont enregistré pour les deux et DJèrent dans
circuit des clubs européen. Derrick Carter a été actif en tant que producteur et DJ au cours de
cette période.
Le icones des labels de Detroit incluvent 430 West, KMS et Grooves graves avec des
producteurs tels que Kevin Saunderson, Marc Kinchen, Octave One. Underground Resistance
produisit aussi bien des pistes garage que électro. Une partie de la Los Angeles-scène se
constitua avec des parties organisée par Hardkiss et des expatriés du Royaume-Uni, comme
Charles Webster.
Grande-Bretagne : début des années 1990 - milieu des années 1990 [modifier]
En Grande-Bretagne, d'autres expériences dans le genre ont renforcé son appel. Des clubs
house et rave comme Lakota, Miss Moneypenny et "Cream" ont émergé à travers la GrandeBretagne, maison d'hébergement des événements de la scène house et dance. Le concept de
"chilling out" s'est développé en Grande-Bretagne avec la ambient house et des albums
comme Chill Out par The KLF et "analogique Bubblebath" par Aphex Twin. la chillout
musique est souvent défini comme un des genres différents, tels que l'air ambiant, ou
downtempo (plus tard) ou New Age (encore plus tard). La fonction unificatrice du Chill Out
electro est soutenue par des tons longs et un son plus doux, plutôt que par le bruyant son
d'autres certains styles de musiques électroniques.
Dans le même temps, une nouvelle scène indie a vu le jour, avec des groupes tels que les
Happy Mondays, The Shaman, New Order, EMF, [Meat Beat Manifesto. À New York, les
bandes tels que Deee-Lite ont favorisé la musique house à échelle internationale. Deux pistes
distinctives de cette époque ont été Orb "Little Fluffy Clouds" (avec un échantillon vocal
distinctif de Rickie Lee Jones) et le Happy Mondays "Writre For Luck" ( "WFL"), qui a été
transformé en un dance hit par Paul Oakenfold.
La justice pénale du Royaume-Uni et la loi sur l'ordre public de 1994 a été une tentative du
gouvernement d'interdire les grandes manifestations de danse mettant en vedette la musique à
"pulsations répétitives". Bien que le projet de loi est devenu loi, en Novembre 1994, elle a eut
peu d'effet. La musique a continuée de croître et de changer, comme caractérisé par
l'émergence des actes comme Leftfield avec "Release the Pressure", qui a introduit le dub et le
reggae dans les sonorités de la house music. En plus d'enregistrements commerciaux, un
mélange de R & B avec des basses plus forte a été utilisée. La house music a été façonnée par
de nombreuses inflences, y compris la scène de la culture de club. À l'instar des années 1970,
celle de la scène des clubs disco, la scène de boîte de nuit de la house music a été associée à
un certain nombre de médicaments utilisés pour améliorer l'expérience de la danse, comme le
nitrite d'amyle "poppers", la MDMA, la kétamine et le GHB.
En outre, comme la scène disco qui l'ont précédée, la scène house des boîtes de nuit a attirée
un mélange de biens culturels et les groupes raciaux. Des morceaus comme "The Bouncer" de
Kicks Like a Mule utilisèrent vitesse-up hip-hop breakbeats. Avec SL2 's "On A Ragga Tip"
ils ont donné les bases de ce qui allait devenir le drum and bass et le jungle. Initialement
appelé breakbeat hardcore, il a trouvé la popularité dans les clubs de Londres comme Rage
aussi bien que dans la musique de ville. Des labels comme Moving Shadow et Reinforced
sont devenu les favoris de la scène des bas quartiers.
"London Hardcore Techno" est un style de musique que Moonshine music sortit avec une
augmentation du rythme de quelques 160 bpm. le garage du Royaume-Uni le développa plus
tard. L'origine, un style combinant un rythme house avec une voix RnB et le ragga MCing
basse et la déformation de la jungle, il fait irruption dans le courant principal par des artistes
comme The Artful Dodger et 187 Lockdown, et influencé les actes pop comme Liberty X et
Victoria Beckham.[10] Le 4 Hero a adopté la catégorie soul et jazz, et quelques usages dans
une musique afin de créer une section orchestrale plus "sophistiquée" du son. Plus tard, ce qui
a conduit directement à l'ouest de la scène de Londres connu sous le nom de Broken Beat ou
Breakbeat.
Une nouvelle génération de clubs comme Miss Moneypenny's, Cream à Liverpool(par
opposition à l'originale nuit des bas quartiers, C.R.E.A.M.) et Ministry of Sound ont été
ouverts pour fournir un lieu pour des sons plus commerciaux. Les principales compagnies de
disques ont commencé à ouvrir "Superclubs" pour la promotion de leurs propres actes. Ces
Superclubs entré en commandite traitent d'abord avec les fast-food, boissons gazeuses, et de
l'habillement. Les flyers dans les clubs à Ibiza ont souvent porté de nombreux logos de
marques. Un nouveau sous-genre, Hard House de Chicago, a été développé par des DJs tels
que Bad Boy Bill, DJ Lynnwood, DJ Irene, Richard "Humpty" Vission et DJ Enrie.
Les années 2000 [modifier]
Le maire de Chicago Richard M. Daley a proclamé le 10 août 2005, "Jour de l'Unité de la
House" à Chicago, en célébration du "21e anniversaire de la house music" (en fait, le 21e
anniversaire de la fondation de Trax Records). La proclamation du 10 août 2005 a reconnu
que Chicago était "le domicile de la house music" et que les musiciens de house "ont été
inspirés par l'amour de leur ville, avec le rêve qu'un jour leur musique propager un message
de paix et d'unité dans le monde entier". Des DJs tels que Frankie Knuckles, Marshall
Jefferson, Paul Johnson et Mickey Oliver ont célébré la proclamation à la Summer Dance
Series, un événement organisé par Chicago's Departement of Cultural Affairs.[11]
Dans le milieu des années 2000, de nombreux genres de house sont apparus tels que Electro
House, la tech house, la house minimale, le disco electro ou encore la house de la tombée de
la nuit. Cette fusions se manifeste dans la liaison de styles musicaux par des artistes tels que
Dennis Ferrer et Booka Shade, avec son style de production ayant évolué à partir de la scène
soulful de New York et le second a des racines dans la techno. De nombreux DJs peuvent
aujourd'hui être entendu mélanger tous les sous-genres de la house et le plus grand nombre
des meilleurs éléments musicaux sont partagés entre ces sous-genres.
De nos jours, la house music est populaire dans de nombreuses boîtes de nuit à travers le
monde.
Variantes de la House [modifier]
L'appellation générique house rassemble de multiples variantes qui apparaissent et
disparaissent au gré des modes.[12] Cependant certaines ont une réalité stylistique tangible et
définissent un style ou une provenance bien précise.
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Acid House: ce terme désigne les compositions utilisant les sonorités "acidulées" du
synthétiseur Roland TB-303. A l'origine conçue comme un outil économique pour les
répétitions de guitaristes afin de leur apporter le soutien d'une ligne de basse
programmable, la TB-303 a connu un échec commercial à sa sortie en 1982 à cause de
ses sonorités très synthétiques, incompatibles avec le jeu jazz ou rock. Cependant, elle
connaîtra une seconde vie lorsqu'elle se verra réappropriée par les jeunes musiciens
house de Chicago, qui plébiscitent ce synthétiseur peu onéreux aux capacités sonores
puissantes et originales, conçu pour fonctionner avec d'autres éléments de la gamme
Roland comme les boîtes à rythmes TR-808, TR-909, ou TR-606.
Deep House: c'est la forme la plus underground et aussi la plus prisée par les
connaisseurs. Elle est parfois synonyme de house originelle et désigne la première
période de la house de Chicago. La production en est aujourd'hui mondiale.
Disco House: style house très répandu, dansant, orienté vers les clubs.
Electro House : très en vogue depuis 2006.
French Touch (ou French House ou Filter House) : cette appellation définit les
productions françaises qui mélangent les voix filtrées (flanger, compression, EQ...),
des samples disco et des lignes rythmiques puissantes, largement empruntées à la
Chicago House.
Funky House: style beaucoup plus ancré dans le funk et beaucoup moins dans le disco.
Garage House: descendant direct du disco, ce style peut être défini comme la house
chantée.
Ghetto House: variante de la house et de l'acid house, parfois alimenté d'un chant hiphop, de scratchs et de samples.
Latin House: style de house agrémenté de rythmes latins.
Progressive House
Speed Garage
Tech House: à la charnière entre techno (pour le tempo et les rythmes) et house (pour
l'usage des samples et des lignes de basse).
Tribal House: on y retrouve des sonorités africaines, notamment des percussions.
Danse House (House Dance) [modifier]
Tout comme le hip-hop, la house music possède sa propre danse. Les danses précurseurs de la
House Dance furent le jacking', le footwork et le lofting . le jacking fut créée sur la côte Est
des États-Unis dans les années 1970-80, nombre de morceaux ou artistes house y font
référence (commeTime to Jack, Jack Your Body, Jack The House, Farley "Jackmaster" Funk,
Jackmaster Dick, etc.). Le jacking est également appelé hip-house à New-York, à partir du
moment ou des danseurs de hip-hop ont commencé à danser sur de la house dans les clubs
new-yorkais.
D'autres styles existent également, tels que le wacking, le hustle, le locking, le loft style ou le
footwork. Les contributeurs majeurs de ces danses furent des personnalités comme Brian
"Footwork" Green, Marjory Smarth, Caleaf Sellers, Ejoe Wilson, Terry Wright, Shannon
Mabra, Tony McGregor, et tous les danseurs anonymes des clubs tels que le Warehouse à
Chicago, The Loft ou le Paradise Garage à New York.
En France, il existe des personnes que l'ont appelle des B-boys dansant sur de la house,
notamment lors des soirées dans des discothèques comme Respect, Cheers et Djoon, situé à
Paris.
Artistes et morceaux représentatifs [modifier]
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49ers - Die Walkure
6 Bells All - Me the
Mailman
95 North - (Get Your)
Mind Together
808 State - Pacific
State
A Guy Called Gerald Voodoo Ray
Adeva - Respect ;
Warning
Adamski - Killer
Adonis - No Way
Back ; The Poke ;
We're Rockin' Down
The House
Alexkid - Come Away
With Me
Alistair Colling vs.
Tortured Soul - When
You Find Your Love
Aly-us - Follow Me
Armand van Helden Witch Doctor ; You
don't Know Me
Armando - The
Future ;
Pleasuredome ; 100%
of Disin' you
Baby D - Let Me Be
Your Fantasy
Bam Bam - Wheres
your Child
Basement Jaxx - Red
Alert
Bass-O-Matic Fascinating Rhythm
Beatmasters - Rock da
house
Bel Amour - Bel
Amour
Bizarre Inc. - I'm
Gonna Get You (ft
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Eddie Amador - House
music
Edward's World - Soul
Roots
Farley 'Jackmaster'
Funk - Funkin' With
The Drums ; Love
Can't Turn Around
Fast Eddie - Yo Yo Get
Funky ; Acid Thunder ;
Jack To The Sound...
Fast Eddie & Kenny
Jammin Jason - Can U
Dance
Fierce Ruling Diva Atomic Slide
Frankie Knuckles Your love
Full House Communicate
Gate Decor - Passion
Galleon - So I begin
George Kranz - Din
Daa Daa
Gene Farris - This Is
My Religion
Gusto - Disco's
Revenge
Green Velvet - Flash
Groove Armada - I see
you Baby (fatboy slim
remix)
Guru Josh - Infinity
Hanna Haïs - "Rosa
Nova"
Hithouse - Jack To The
Sound Of The
Underground
Home Wreckers Jackin'
House Crew - Keep the
Fire Burning
House Master Boys -
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Mateo & Matos - Loft
Sensations
Maurice - This is Acid
Michael Gray - The
Weekend
Mike Dunn - Face The
Nation
Milk & Sugar - Has
Your Man Got Soul
Mish Mash Speechless
Mr. Fingers - Can You
Feel It ; Bring Down
The Walls ; It's Over
Mr Lee - Pump up
Chicago
Mousse T - Horny
Mylo - Drop the
pressure (club mix)
N-Joi - Anthem
Nightcrawlers - Push
The Feeling On
Nomad - (I Wanna
Give You) Devotion
Paperclip People Throw
Pat Hodges - Saving
My Love (Rosabel
Fireball Vocal Mix)
Pate No 1 - Always
Paul Johnson - Get Get
Down
Phat's And Small Turn Around
Phuture - Acid Trax
R.A.F.- We've got to
live together
Ralphi Rosario feat.
Xavia Gold - You Used
To Hold Me
Raze - Break 4 Love ;
Jack The Groove
Reel 2 Real - I Like To
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Angie Brown)
Blaze - Lovelee Dae
Boris Badenough - Hey
Rocky
Bomb the Bass - Beat
Dis; Megablast
Booty Luv - Boogie
2Nite (Seamus Haji
Big Love Mix)
Byron Stingily - Get
Up (Everybody)
C-Mos - 2 million
Ways (Axwell radio
edit)
Cajmere feat. Dajae Brighter Days
Cappella - U got 2
Know
Celvin Rotane - I
believe
Chanel - My Life
Chez Damier - Can
You Feel It
Chip E. - Like This ;
It's House
Coldcut - People Hold
On ; Doctorin' The
House
Copyright Feat. Imaani
- Bring Me Love
Crystal Waters - Gypsy
Woman (she's
homeless) ; Makin
happy
C & C Music Factory Pride (A Deeper Love)
D.H.S. - House of God
D-Mob - We Call It
Acieed
DJ Gregory - Elle ;
Tropical Soundclash
DJ Sneak - Sneak
Attack ; Show Me The
Way
DNA feat. Suzanne
Vega - Tom's Diner
Danny Marquez &
Ferry B - Afrocatalans
David Morales Needin' U
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House Nation
House People Godfather Of House
Identity Feat Inaya
Day - Gave Me Love
(Soul Avengerz Vocal
Mix)
Inner City - Big Fun ;
Good Life
James Jackrabit - The
Last Voice
Jean-Jacques Smoothie
- 2 People
Jestofunk & CeCe
Rogers - Say It Again
Jesse Saunders &
Vince Lawrence - On
& On ; Funk U Up
Joey Negro - Make a
Move on Me
Joe Claussell Spiritual Insurrection
Joe Smooth - Promised
Land
Johnny Fiasco - Movin'
Jomanda - Driftin' ;
Make my body Rock
Jungle Brothers - I'll
House you
Jungle Wonz - The
Jungle
Julien Jabre - Yalopa
Junior Jack Stupidisco
Junior Senior - Move
Your Feet
Kerri Chandler Inspiration
Kevin Yost - One
Starry Night
Kings Of Tomorrow Set My Spirit Free ;
Finally
Kraze - The Party
Krush - House Arrest
Kym Mazelle Useless ; I'm A Lover
Lexy & K-Paul - Love
me Baby
Lidell Townsell -
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Move It
Reese & Santonio Rock To The Beat
Robin S. - Show me
love
Romanthony - Let Me
Show You Love
Roger Sanchez Another Chance
S-Express - Theme
from S-Express
Sandy Rivera - Come
Into My Room
Shakedown - At night
(Alan Braxe Rmx)
Shapeshifters - Lola's
Theme
Sharam - PATT (Party
All The Time)
Sinema - In my eyes
Snap! - I've Got the
Power ; Rhythm is a
Dancer
Soulstars & Joy
Malcom - Beautiful
Sunshine (Candy Apple
Remix)
St Germain - Sure
Thing ; Rose Rouge
Sterling Void - It's
Alright ; I Don't
Wanna Go
Steve 'Silk' Hurley Jack Your Body ;
Music is the Key
Sunfreakz - Riding the
wave
The KLF - 3AM
Eternal
Terrence Parker - Hold
On
The Bucketheads - The
Bomb
Thomas Bangalter Trax On Da Rocks
Trouble Men - Party
Rockin
Ten City - Devotion ;
That's The Way Love Is
Todd Terry - Can You
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Davina - Don't You
Want It
Deborah Wilson - Free
Deep Dish feat. Stevie
Nicks - Dreams
(Axwell Remix)
Degrees of Motion Do you want it right
now (Haji & Emanuel
mix)
Derrick Carter Cosmic Disco
Duane & co - J.a.b.
Traxx
Eddie "Flashin'"
Fowlkes - Time to
Express
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Jack'n Tall
Libra Libra - I Like It
Lil' Louis - French
Kiss ; I'm Hot For
You ; Blackout
Lisa Lisa & Cult Jam Let The Beat Hit 'Em
M/A/R/R/S - Pump Up
The Volume
Mademoiselle - Do you
Love me
Major Boys feat.
Kathy Brown - Time
And Time Again
Marshall Jefferson Move Your Body (The
House Music Anthem) ;
Ride the Rhythm
Masters At Work Can't Stop the
Rhythm ; Work
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Party ; Weekend ; A
Day in the Life
Tony Di Bart - The
Real Thing
Ultra Naté - Free
Urban Cookie
Collective - I Got the
Key
Victor Romeo - The
Art of acid
Virgo - R U Hot
Enough ; Free Yourself
Wamdue Project King Of My Castle
Wee Papa Girl Rappers
- Wee Rule
Whirlpool Productions
- From disco to disco
Willie Wonka - What
is House
Yazz - Stand up for
your love rights ; The
only way is up
Yellow House - Jack
My Body