MADRID

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MADRID
MADRID
Elisa Igoa (Seconde)
Empezamos el viaje en autobús hasta Segovia, donde pudimos visitar el Alcázar, el
Ayuntamiento y la ciudad. Llegamos al hotel, cenamos y ¡discoteca! ¡A bailar! ;)
Al día siguiente, entre risas llegamos a la capital. Pudimos ver las principales calles de
Madrid, luego nos dirigimos hasta el Retiro y el Museo del Prado. Tuvimos una visita
muy entretenida viendo cuadros muy importantes como Las Meninas de Velázquez.
Después, fuimos directos al teatro
Guindalera, muy divertido y con muchas risas
sobre todo con los voluntarios…
Para mí, el mejor día.
Toledo, fue el tercer día. Comenzamos con una visita del Ayuntamiento acompañada de
regalitos. Después con Luimi, un guía turístico, visitamos la interesante catedral, el
museo del Greco y por último la Sinagoga.
Y por fin llego el tiempo libre en Madrid :p. Además de visitar el museo Thyssen
Bornemisza, donde por ejemplo vimos
algunas de las obras de Salvado Dalí. Ese
día fuimos también a comer algo típico,
madrileño, chocolate con churros
¡Riquísimos!
Une Espagne suspendue dans le temps
Irene Lomas (Première)
Tolède, 17 décembre 2014. À mi-chemin entre la Place du Zocodover et le fleuve Tage qui court le long
de la vieille ville,là où le passé et le présent se fondent sous le regard des pierres centenaires, l’imposante masse
fortifiée de l’Alcazar se dresse devant nos yeux. Cette forme solide, rectangulaire, aux fenêtres austères et couronnée
de quatre tourelles noires, aussi indifférente au passage des siècles paraisse-t-elle, n’a pas toujours eu l’aspect que
l’on perçoit aujourd’hui : érigé sur un ancien château médiéval, l’Alcazar montre dans ses arcs et ses couloirs la
chronique de la Renaissance espagnole et les idéaux des nombreux architectes qui ont participé à son édification.
Pourtant les bouleversements de l’Âge Moderne font de lui une création futile lorsque la capitale du royaume se
déplace à Madrid avant qu’aucun monarque n’ait eu l’occasion de l’occuper. Il voit alors passer entre ses murs des
reines veuves cherchant de l’écart puis est successivement transformé en prison de la Couronne, siège militaire et
Académie d’Infanterie. De nombreux incendies à travers les siècles ainsi que sa quasi-totale destruction en 1936
pendant la guerre civile, ont impulsé sa reconstruction de 1940 jusqu’à 1961. Dès lors, il héberge le catalogue du
Musée de l’Armée et la Bibliothèque de Castilla-La Mancha que nous avons visitée.
Notre guide, une jeune fille nommée Patricia, nous a reçus dans une petite salle du huitième étage, celui où se trouve
la bibliothèque. Après une longue explication légèrement redondante sur le fonctionnement de celle-ci (identique à
n’importe quelle autre entité de ce nom en Espagne) – et une petite pause où quelques filles ont profité pour
examiner de plus près les toilettes masculines en l’absence d’une file d’attente – elle nous a conduit vers la collection
qui constitue l’une des plus anciennes et importantes du pays. Au passage on a vu des affiches de l’initiative
« Bibliothèque Solidaire » qui prétend impulser la solidarité pendant les fêtes avec un système bien curieux : un délai
dans la remise des livres empruntés comporte une amende de 1kg de nourriture pour les plus pauvres. Finalement
c’est les adolescents collés à leur écran plat qui vont être contents, tiens.
Nous avons parcouru de longs couloirs étroits aux murs nus qui faisaient penser à ceux d’un autre château royal, celui
de l’Escorial, pour aboutir à des salles utilitaires : Salle d’emprunt, Salle de conférences, Salle de lecture,
Hémérothèque… Traversant une petite porte verte nous sommes sortis dans une belle terrasse où se détendre et
prendre des photos sous le ciel ensoleillé. Bizarrement, le balcon donnant sur le patio au-dessous était protégé par
une maille (peut-être afin d’éviter les suicides d’employés ?) et donc le tout avait l’aspect d’un trampoline blanc et
colossal.
Pour la deuxième partie de la visite on nous a emmenés dans la section la plus ancienne de la bibliothèque, une salle
recouverte d’étagères de chêne jusqu’au plafond contenant autour de 1000 manuscrits et 414 incunables. Au centre,
parmi les volumes rangés dans tous les niveaux, un trompe-l’œil a capté notre attention. Les exemplaires les plus
iconiques étaient exhibés dans des vitrines climatisées ici et là, et de lourdes tables complétaient le décor. Il s’agissait
de la Salle Borbón-Lorenzana qui date du XIXème siècle et qui doit son nom à deux Cardinaux du Siècle des Lumières,
Luis Antonio de Borbón et Francisco Antonio de Lorenzana. La contribution de ces religieux adeptes aux idées de
l’Illustration a permis d’enrichir la collection de la Bibliothèque et, encore aujourd’hui, des experts analysent leurs
vieux ouvrages à la recherche d’indices pour mieux comprendre le passé.
Sur le chemin de retour vers les ascenseurs nous avons traversé un autre couloir parsemé de portraits d’hommes –
aucune femme présente, bien entendu – illustres : des érudites, des écrivains, des jésuites et autres personnalités de
l’univers culturel national.
En sortant de ce que la plupart des élèves ont classifié comme une promenade interminable (mais quand même
moyennement instructive, il faut être objectif) dans les entrailles du château, on a accueilli les ruelles tolédanes pour
se perdre parmi les magnifiques sélections d’épées au thème « Seigneur des Anneaux », phénomène culturel bien plus
actuel et séduisant.
El Ayuntamiento de Toledo
Inés Martínez (Seconde)
La semana pasada las clases de 2nde y 1ere OIB fueron de viaje pasando por numerosas ciudades más
bonitas las unas que las otras : Segovia, Madrid, Toledo, Burgos.
Os voy a hablar del miércoles, cuando fuimos a Toledo. Esta ciudad es patrimonio de la Humanidad y
estuvimos recorriéndola todo el día, descubriéndola todos juntos. Por la mañana nos acogió una señora en
el ayuntamiento, bastante impresionante, y nos explicó el uso de este edificio enseñándonos las dos salas
principales : la sala de invierno (donde hacía un calor sofocante) decorado con terciopelo rojo y oro.
Después descubrimos la sala de verano (¡donde hacía más frío que en la calle!) decorada con azulejos y el
retrato del rey actual. Finalmente, la visita guiada se terminó con unas vistas maravillosas de la catedral de
Toledo y un sol radiante, donde obviamente todo el mundo se hizo al menos una foto con la catedral y
después, nos fuimos todos de compras, nuestro objetivo principal del día.
CATEDRAL DE TOLEDO
Maddi Bercianos (Première)
En nuestro viaje a Madrid tuvimos la suerte de poder visitar una hermosa ciudad como
Toledo. En esta pudimos entrar en la catedral. Desde el exterior se veía un edificio grande, bonito,
antiguo, en el que daban ganas de entrar. Entramos, y para empezar, sabíamos que la visita iba a
ser larga, pero además nuestro guía no fue muy breve, ni muy agradable de escuchar. Eso hizo de
la visita que podía haber sido agradable, un momento largo y aburrido. En cambio, hay que
admitir que la catedral era preciosa, todos esos altares e historias inscritas la decoraban. Esta
catedral se construyó a principios del siglo XVI con una arquitectura gótica. Opino que su
situación no es la mejor, ya que al haber una plaza extensa solamente en un lado de la catedral, no
se puede observar todo su exterior.
LA CATHEDRALE DE TOLEDE
Sonia Irazu (Seconde)
La cathédrale de Tolède était très jolie, autant intérieurement qu’extérieurement. Seulement,
le guide qui nous a accompagnés durant la visite de cette cathédrale n'était pas à l'aise et
paraissait ne prendre aucun plaisir à son métier. Il manquait de vivacité, ce qui a rendu la
visite ennuyante, longue.
VISITA AL MUSEO DEL PRADO
Elvira Lomas (Seconde)
El día 16 de diciembre visitamos el Prado. Tuvimos la suerte de tener una buena
guía; Nos explicó todo con detalle pero de manera entretenida.
La primera obra de arte que vimos fue una estatua. El resto fueron cuadros, algunos
religiosos. La obra que más nos gustó con diferencia fueron Las Meninas, de la que
aprendimos mucho.
La idea de ir a un museo nos parecía a todos un tanto aburrida pero no fue el caso,
todos aprendimos cosas nuevas y nos hizo interesarnos por el arte un poco más.
.
Le Diable s'habille en Prado
Chantal Dal-Zin (prof de Français)
Le Diable se mêle de tout pour abîmer, ruiner, anéantir mais la statue du demidieu que nous avons vue entrant dans le musée est une merveille d'harmonie et
d'équilibre, merveille fondée sur le chiffre 7. Visiblement, le Diable ne sait pas compter
jusqu'à 7! (Il n'a pas eu Monsieur Fautous en cours!...)
Si le Diable a voulu, à travers le tableau Les trois âges, de Hans Baldung, nous
faire frémir devant le fuite du temps, il n'a pas su que Dieu, par l'intermédiaire des
artistes, nous enjoint certes de penser á Lui en méditant, mais aussi de profiter du
temps que passe "Carpe diem!"
Les traces des différentes strates de cultures et des civilisations vues à travers les
représentations de la femme relèvent de notions telles que "Pureté, Fertilité, Amour,
Sensualité...", notions divines et non diaboliques...
Enfin, le Tableau Les Menines est fascinant par sa mise en abyme, un jeu qui
relève de Dieu... non du Diable, qui, lui, ne connaît que l'abîme...
Alors, merci au Prado de donner encore et toujours, à travers l'Art, une
merveilleuse leçon d'amour de la vie...
El Lavatorio, de Tintoretto,
Esteban Crespo (Première)
Se trata de un óleo sobre lienzo, pintado hacia 1547 y de 210 de ancho x 533 cm de largo.
Jacopo Tintoretto tuvo en 1547 el encargo de pintar dos grandes lienzos. Estos lienzos tenían
que ser expuestos en la capilla mayor de una iglesia en Venecia. Tintoretto pintó un cuadro
perfecto en el espacio de la iglesia de San Marcuola, es decir desde el punto de vista del
espectador. Y por esta razón la perspectiva que uso era muy particular, Cristo se ve más en el
centro solo al observar la pintura desde un enfoque lateral izquierdo. También podemos
contemplar arriba a la derecha la segunda pintura encargada que es La Ultima Cena. Pero otra
cosa muy interesante es que estos dos cuadros estaban colgados uno en frente del otro. El
encontrar cuadros relatando estos dos momentos precisos del evangelio era muy frecuente
en la misma sala de una iglesia. Pero en esta misma, el cura solía lavar los pies a doce
mendigos el día de Jueves Santo, así su acto se convertía en un entusiasmado episodio sobre
la humildad. La estructura de El Lavatorio era tan compleja que el rey mando a Velázquez y
tuvo que analizarla en profundidad para que, al poner la pintura en la sacristía de El Escorial,
se pudiera valorar desde esa orientación lateral explicada anteriormente.
Punto de
fuga
Sentido de la
mirada para
valorarlo
plenamente.
Para terminar el cuadro fue pintado con un fondo recordando a Venecia, una ciudad con
canales, hasta vemos una barca, pero pintar los edificios en blanco y así de hacérnoslo ver un
poco como imaginario recordaría un poco la idea del paraíso.
La Ultima
Cena
El teatro Guindalera
Oihana Riezu, Héloïse Filgueira (Première)
Hemos llegado al teatro, muy pequeñito pero se estaba a gusto. Los dos actores
José y Alicia nos han hecho una pequeña presentación del teatro del siglo de Oro.
Después nos han hecho participar, han escogido a tres alumnos para hacer
ejercicios de interpretación. Luego nos han interpretado unos monólogos de Tirso
de Molina, Calderón de la Barca y Lope de Vega. Con cada monólogo que nos
hacía Alicia teníamos dos versiones: la versión original y la “actual”, lo que nos ha
permitido entender que no hace falta entenderlo todo para entender la obra.
Tras esas interpretaciones, han vuelto a elegir a cuatro alumnos para interpretar
una escena, nos hemos reído muchísimo con las actuaciones. Y para terminar los
dos nos han interpretado un trocito de una obra de Cervantes.
La verdad hemos pasado un momento muy agradable donde no han faltado las risas en ningún momento.
Nous sommes allés au théâtre Guindalera lors du deuxième jour du
séjour pour clôturer notre première visite de Madrid. Loin des immeubles
imposants qui hébergent les pièces et comédies musicales du moment, ce petit
théâtre dépourvu de grandes enseignes a su nous transmettre un charme
modeste mais pas pour le moins amusant. Deux acteurs nous y attendaient, une
petite introduction historique pour aborder le thème de leur intervention, « El
teatro en el Siglo de Oro », et la glace était brisée. Alors se succèdent des
improvisations propices aux plus enthousiastes qui ont créé une atmosphère chaleureuse. Ensuite,
monologues tantôt d’antan tantôt modernes avant de finir sur une note joyeuse, un épisode avec
chevaliers et tout le toutim qui a débouché sur un baiser aussi attendu que ceux de la fin des Walt
Disney. Chapeau les artistes !
Cristina Urricelqui (Première)
Burgos es una ciudad pequeña pero bonita cuyo monumento principal es la catedral. Nuestra parada fue
bastante breve, con breve me refiero a que paramos casi exclusivamente para comer. Además hacia
muchísimo frío y niebla como en cualquier ciudad del centro de España en esta época del año. Encontrar un
sitio donde comer fue un poco complicado ya que íbamos una tropa y claramente en Burgos no llevan
nuestro horario francés. Por lo tanto nos recorrimos toda la ciudad con gente muy amable que nos guiaba y
acabamos cada uno en un sitio diferente: “pecaditos”, “los cien montaditos” o en una cafetería. Tras esta
parada de hora y media aproximadamente retomamos ruta hacia San Juan de Luz siendo la última ciudad
visitada en este increíble viaje.
Mme. Fiesta (X2), M. J(M) √ (Fautous)2, Sr. Brausa
Mª José Oliván (prof de Literatura OIB)
A Mme Dal-Zin ya la conocía antes del viaje, fumamos juntas en la puerta del lycée, y eso
une mucho. Es querida por sus alumnos, todos la aprecian como una excelente
profesora, dura y exigente, justa y rigurosa, simpática y amena, y además prepara el
viaje más esperado del año. Para los profesores es una referencia, siempre cordial y
servicial, ocurrente y divertida. Lo que no sabíamos ―yo, al menos― es que es la reina de
la pista de baile en la discoteca, ¡qué sorpresa, Chantal! Gracias por habernos
acompañado en este viaje, ha sido un placer viajar contigo.
A quien no conocía apenas es a M. Fautous, Jean-Marc, que ha sido un regalo para
nosotros en este viaje. Discreto, oportuno, eficaz, necesario... ¿quién nos hubiera
contado tantas veces con tanta paciencia? ¿Y quién hubiese estado atento a los pasillos
del hotel por las noches "por si hubiera alguna emergencia" (ya sabéis...)? ¿Y quién mejor
que él para controlar desde su altura impecable si alguien se extraviaba por las calles de
Madrid? Una perla, vamos. Agradezco tu paciencia y buen humor y tu ayuda
inestimable en todo momento.
Y luego está Braulio, el Sr. Saavedra, Brausa... Es una de las mejores personas que
conozco. Braulio es un hombre bueno y generoso como pocos, tiene un carácter
amigable y conciliador, atempera mi mal genio, lima mis asperezas, es un buen
compañero. Sin él este viaje hubiera sido muy diferente; pensad en las cosas más
divertidas que hemos hecho y seguro que han sido cosa suya: el chocolate con churros,
el teatro Guindalera, Madrid de noche... Y también las más provechosas. Gracias Brau,
por todo... (Por cierto, los niños quieren que al año que viene los lleves a Canarias)
Firmado: Sra. Oli
Le départ
Louise-Anne Zugaza (Seconde)
Le départ fut triste et émouvant car ont c’est tous rapprochés les un
aux autres et c’était la fin de notre voyage scolaire. Nous partîmes de
Fuenlabrada vers 9h avec un arrêt à Burgos entre temps puis nous
arrivâmes à Saint Jean de Luz vers 17h30. Cette semaine s’est déroulée
très rapidement et ce fut une semaine enrichissante par la découverte de la
culture Castillanes et Madrilène. Quand je suis descendue du bus, j’étais
contente car j’ai revu Irene Lanchas qui n’avait pas pu venir au voyage. Je
voyais les personnes contentes de revoir leurs familles et leurs amis. J’ai
trouvé ce voyage trèsintéressant et j’espère que l’année prochaine nous
partirons dans un autre endroit avec les OIB.

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