Corridas déficitaires mais rentables

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Corridas déficitaires mais rentables
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(Film Noirfilm)
PRIX : 1,50 € - N° 519
LUNDI 12 MARS 2007
www.semana-grande.com
Corridas déficitaires mais rentables
OUVERTURE
À MADRID
•UNE OREILLE
POUR PÉREZ MOTA
•BONNE
NOVILLADA DE
CARMEN SEGOVIA
•ET PLUS D’UN
TIERS D’ENTRÉE...
FALLAS
DE VALENCIA
•PREMIER PLEIN
AVEC JESULÍN,
CORDOBÉS, RIVERA
•DANIEL LUQUE
ET JOSÉ CALVO,
PREMIERS
LAURÉATS
CASTELLÓN
•OUVERTURE
AVEC PALHA
ET OREILLE POUR
PACO RAMOS
Le budget des corridas semble être parmi ceux rigoureusement surveillés par
l’administration. Notamment dans les arènes gérées directement par les villes, où l’organisation
des corridas ne doit engendrer aucun déficit, et même parfois financer le reste des fêtes. Mais
la renommée de ces fêtes, sans spectacle majeur aux arènes, ne sortiraient pas du canton.
Les subventions pleuvent sur les festivals d’été dont la plupart ne survivent que grâce à
l’argent public. Le budget des communes explose : la seule municipalité de Paris verserait, au
bas mot, plus de 150 millions d’euros annuels en subventions aux différentes associations de la
ville. Et ne parlons pas des puits sans fond(s) que constituent les clubs de football. La corrida,
qui génère à travers les ferias des retombées économiques sans égal en matière de tourisme, de
restauration, d’hôtelerie et de commerce, doit présenter des comptes aussi clair que de l’eau de
roche, ce qui est tout à son honneur.
Il y a cependant des investissements à moyen ou long terme qui se heurtent à la frilosité
des élus municipaux, lesquels, à moins d’un an des échéances électorales, ne veulent pas courir
le moindre risque.
Et pourtant... Lorsque Bousquet et Casas proposèrent à Paco Ojeda, alors au sommet
de sa gloire et de ses prétentions financières, de tuer seul six toros à Nîmes en septembre 1984
contre un gros chèque de 100 millions de centimes, l’amphithéâtre romain aurait dû être
considérablement agrandi pour que la seule vente des billets couvre les frais d’organisation. Les
esprits comptables ne se privèrent pas de jeter l’index sur une telle audace, qualifiée à l’époque
de “gabegie”. Trois ans plus tard, les mêmes coupables recommencèrent en raflant à Diodoro
Canorea et aux arènes de Séville, grâce à une surenchère financière et une étonnante force de
persuasion qui demeure l’un des mystères de l’organisation taurine, la double alternative de Litri
et Camino par leurs pères respectifs, réapparaissant ce jour-là pour la dernière fois en costume
de lumières. Le plein assuré - et qui finalement ne fut pas si assuré que cela - était loin de
rembourser l’investissement... Oui mais, de ces deux corridas-là, on en avait parlé toute l’année,
en France comme en Espagne, et vingt ans plus tard, on en parle encore. Ce fut le début de
l’époque dorée de la feria de Nîmes en particulier, de la corrida en France en général.
J’ai parlé de Nîmes, j’aurais pu parler de Dax, à une époque où la ville laissait les
mains libres à l’improvisation artistique de Pierre Molas, qui tentait d’organiser tout ce qu’il
avait envie de voir comme aficionado. Ou d’autres arènes, plus ou moins importantes, où, à
différentes époques, les audaces étaient permises. À Bayonne, on voulait Ponce et les Fraile, ou
Ponce et les Victorino un peu plus tard, et on les avait. À Vic, on cassait la tirelire pour faire
venir Rincón le samedi. À Mont-de-Marsan, on s’offrait Joselito avec les Cuadri. À Éauze,
Pierrot Miquel s’offrait une année Capea, une année Jesulín, plein d’années Rincón, puis Ponce,
Muñoz ou Juli. À Béziers, on réunissait Ponce et Tomás au même cartel pour le petit local du
coin, un dénommé Castella.
La plupart des corridas que je viens d’évoquer, juste quelques exemples glanés de
mémoire, ont été déficitaires. Mais elles ont marqué un avant et un après dans chaque ville,
fidélisé un public, attiré l’attention des grands medias sans lesquels il est difficile aujourd’hui
d’exister, et lancé une politique d’abonnements fort rentable pour de nombreuses ferias. Toutes
ces audaces d’organisation constituent le patrimoine sur lequel vit aujourd’hui une grande partie
de notre économie taurine.
En 2007, la principale vedette est française. C’est la première fois qu’un tel phénomène
se produit et son absence dans la moindre feria française importante ne peut effleurer l’esprit.
Enrique Ponce et El Juli sont au sommet de leur art. José Tomás réapparaît. Des jeunes toreros
intéressent aussi d’autres types de publics. Si les ferias toristas sont les grandes victimes de la
langue bleue, se voyant privées des fers les plus prestigieux, il y a longtemps que le choix n’avait
pas été aussi large parmi les meilleurs toreros. Alors, en 2007, qui osera les plus beaux cartels ?
Marc LAVIE
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SEMANA PASADA
EN ESPAGNE
. Madrid
. Dimanche 11 MARS. Plaza de Las Ventas. Temps
agréable. 1/3 entrée. Novillos de Carmen Segovia,
bien présentés et donnant en général un bon jeu (noble
le 1er; plus violent le 2e : brave et encasté le 4e ;
maniables les autres), pour Manuel Jesús PÉREZ MOTA,
rouge et or (un avis avec ovation et une oreille) Agustín
de ESPARTINAS, rose et or (un avis avec silence et un
avis avec silence) Salvador GARCÍA, rouge et or (un
avis avec silence et deux avis avec silence).
Président: Manuel Muñoz Infante. Agustín de Espartinas et Salvador García, de Ronda, se présentaient à
Madrid. Ouverture de la temporada 2007 à Madrid.
À la sortie de la deuxième paire de banderilles, le banderillero Juan Currín fut pris par le 2e, souffrant d’une
légère commotion cérébrale nécessitant des examens
radiologiques. Il a été transporté la clinique de la Fraternidad.
DU MONDE, DES NOVILLOS ET UN NOVILLERO.
Voilà la temporada 2007 bien lancée, avec une belle
affluence à Las Ventas - presque une demi entrée!
- pour un type de spectacle qui l’an dernier n’intéressait pas grand-monde. Preuve que la corrida,
avec les nouvelles de ces dernières semaines, a à
nouveau le vent en poupe.
Bonne novillada de Carmen Segovia, présentée
dans le type de son origine Torrestrella.
Correct devant son premier, Pérez Mota affronta
en quatrième un novillo provoquant de l’émotion
par sa bravoure et sa race. Le meilleur de sa faena,
ce furent les passes de poitrine. Il sut donner de la
distance à son adversaire, bien se placer, et la faena
prit de la hauteur, valant à son auteur la seule oreille
de la journée, et la première de la temporada madrilène.
Agustín de Espartinas écopa en premier lieu du pire
novillo de l’envoi, violent et difficile, et malgré les
précautions naturelles, il ne fut pas en dessous des
circonstances. Face au cinquième, il toréa avec bon
goût, un peu en marge, mais en donnant l’impression qu’il peut tirer des faenas de nombreux novillos. Est-ce l’influence du maestro Espartaco?
Salvador García était le plus vert du trio. Il mit de
l’enthousiasme, tira quelques bonnes passes, mais
il manqua la liaison à ses faenas. (José María Sotomayor)
RESEÑA des NOVILLOS. 1. “Bandido”, n° 44, negro listón, 530 kg
(né en mars 04). 2. “Lanzador”, n° 24, negro, 477 kg (né en mars
04). 3. “Pocosueño”, n° 28, negro listón chorreado bragado, 472
kg (né en septembre 03). 4. “Dormidito”, n° 1, negro, 492 kg (né
en juillet 03). 5. “Flamenco”, n° 46, negro, 535 kg (né en avril 03).
6. “Siestero”, n° 30, negro listón, 489 kg (né en septembre 03).
. “Fallas” de Valencia
. Jeudi 8 MARS. Première novillada des “Fallas”.
Novillada non piquée. Temps froid et vent violent. 3/4
entrée. Erales de Remonta, braves, pour Juan Carlos
MARTÍNEZ, de Valencia (un avis avec silence et une
oreille) Daniel PALENCIA, d’Alicante (une oreille et un
avis avec silence) José ARÉVALO, de Moncada (deux
oreilles et tour de piste après un avis).
Grande affluence et triomphe de José Arévalo, dont
le toreo tourbillonnant a séduit la foule.
. Vendredi 9 MARS. Deuxième novillada des “Fallas”. Novillada avec picadors. 1/3 entrée. Novillos
portugais de Falé Filipe (d’origine Marquis de Domecq),
nobles mais faibles, pour Daniel LUQUE, lilas et or
(ovation et une oreille après un avis) PÉREZ MOTA,
rouge et or (tour de piste et un avis avec silence)
Alberto GÓMEZ, vert jade et or (un avis avec silence
et un avis avec silence).
Le banderillero José Manuel Montoliú a salué au 3e.
Alberto Gómez débutait avec picadors. Daniel Luque
remplaçait Oliva Soto, blessé à l’entraînement.
AUX PORTES DE L’ALTERNATIVE.
C’était une novillada mais deux des novilleros,
Daniel Luque et Pérez Mota, ressemblaient déjà à
des matadors de toros. Ce n’est pas illogique, puisqu’ils vont bientôt prendre l’alternative. Luque sera
sacré matador en mai à Madrid, alors que Pérez
Mota franchira le Rubicon en juillet à Santander.
Tous deux, devant des novillos nobles mais faibles,
semblèrent s’amuser avec des faenas appliquées,
d’excellente technique, mais dépourvues d’émotion.
Le débutant Alberto Gómez accusa beaucoup de
nervosité et parvint pas à convaincre.
RESEÑA des NOVILLOS. 1. “Pacífico”, n° 83, castaño, 473 kg (né
en septembre 03). 2. “Pontilhito”, n° 109, negro, 452 kg (né en
février 04). 3. “Descuidado”, n° 108, negro, 450 kg (né en février
04). 4. “Zafreño III”, n° 84, negro, 450 kg (né en octobre 03). 5.
6. “Subordinado”, n° 86, melocotón, 460 kg (né en décembre 03).
6. “Fidalgo”, n° 98, negro, 510 kg (né en juillet 03).
. Samedi 10 MARS. Première corrida fallera. Temps
agréable. 1/3 entrée. Toros des héritiers de Maria
Luisa Domínguez Pérez de Vargas, inégaux en présentation et en jeu (les meilleurs furent le 2e et le
4e), pour Paco SENDA, ivoire et noir (silence et ovation) José CALVO, bleu de France et or (une oreille et
tour de piste) Francisco José PALAZÓN, blanc et or
(silence et un avis avec silence).
Les banderilleros César Fernández et Miguel Angel
García ont salué au 2e.
UN TORERO AVEC MYSTÈRE.
José Calvo a signé la meilleure faena de l’aprèsmidi face au deuxième, un bon toro de Guardiola,
qu’il a toréé avec entrain, classe et élégance. Il eut
en partage le meilleur et le pire, qui fut le cinquième
bis, lequel sema la panique dans les cuadrillas provoquant une blessure à la cheville au banderillero Alberto Martínez - mais prenant finalement
la muleta avec noblesse, grâce à l’assurance de ce
torero qui, après dix ans de profession, a encore
quelque chose à dire. La pétition d’oreille à l’issue
de ce cinquième combat fut forte mais le président
garda le mouchoir dans sa poche. Un mystère ce
José Calvo: il ne torée pratiquement jamais mais
il torée bien.
Les toros de Guardiola ont un problème de carburateur mais gardent un fond de bravoure, à peine
perceptible.
Paco Senda eut quelques détails sur la gauche face
au noble quatrième, qui méritait mieux.
Francisco José Palazón a eu le lot le moins facile
et n’a pas pu exprimer toutes ses possibilités.
RESEÑA des TOROS. 1. “Glotón”, n° 31, negro, 472 kg (né en
novembre 01). 2. “Habanero”, n° 112, negro, 522 kg (né en
décembre 01). 3. “Chistoso”, n° 63, negro, 509 kg (né en août
02). 4. “Santito”, n° 22, negro bragado, 510 kg (né en août 02).
5bis. “Tintón”, n° 25, negro, 543 kg (né en novembre 02). 6
“Ganancioso”, n° 11, negro, 577 kg (né en février 02).
2
. Dimanche 11 MARS. Deuxième corrida fallera.
Temps ensoleillé. Plein (plus de billets). 5 toros de
Maria José Barral, jolis, bien faits, braves, nobles mais
faibles (le meilleur fut le 4e), et 1 de Martelilla (6e
bis), âgé de cinq ans, mobile et encasté, pour JESULÍN
de UBRIQUE, carmin et or (une oreille et un avis avec
silence) Manuel Díaz “EL CORDOBÉS”, rose indien et
or (silence et une oreille) Francisco RIVERA ORDÓÑEZ,
bleu pervenche et or (tour de piste et ovation).
Une minute de silence fut respectée au paséo en
mémoire du picador Antonio Ladrón de Guevara.
GUICHETS FERMÉS.
Formidable affluence et guichets fermés pour ce
cartel médiatique, alors que les Fallas ne sont pas
encore plantées...
La corrida de Barral a eu beaucoup de qualités
mais a manqué de force.
La grande technique de Jesulín parvint à faire durer
un premier, dont il coupa l’oreille après une estocade efficace. Il fut meilleur devant le quatrième,
le meilleur du lot duquel il tira trois séries impeccables mais qu’il tua mal.
El Cordobés fut réduit au rôle d’infirmier devant
l’invalide deuxième. Face au cinquième, plus solide
mais plus violent, la première partie classique de
la faena, interprétée avec mérite et assurance, ne
porta pas sur les gradins, qui se réveillèrent lors
de deux sauts de grenouille, ce qui lui permit de
couper l’oreille après une demi lame et un descabello.
Fran Rivera ne se confia que sur la corne droite du
bon troisième, lors d’une faena incomplète mais
comportant de bons passages. Il tua d’une demi
lame efficace et la pétition d’oreille, semblant majoritaire, ne fut pas attendue par le président. Le
réserve de Martelilla, sorti en sixième, fut un toro
encasté. Rivera lui cloua trois paires de banderilles
et fit ensuite une faena intermittente, se terminant
sur une mise à mort laborieuse.
“llenazo” à Valencia.
. Feria de Castellón
. Dimanche 11 MARS. Première corrida de la feria
de la Magdalena. Temps ensoleillé. 3/4 entrée. Toros
portugais de Palha, correctement présentés, mobiles
et encastés, prenant quatorze piques et provoquant
deux chutes, et difficiles en général (le plus noble fut
le 3e; le plus brave fut le 6e), pour Pepín LIRIA, bleuet
et or (un avis avec ovation et ovation) Juan José
PADILLA, blanc et or (ovation et silence) Paco RAMOS,
céleste et or (une oreille après un avis et un avis avec
applaudissements).
Une minute de silence fut respectée au paseo en
mémoire du picador Antonio Ladrón de Guevara. Le
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SEMANA PASADA
picador Justo Manuel Jaén, renversé par le 5e, fut soigné de diverses contusions.
La corrida de Palha a animé l’après-midi et donné du
fil à retordre aux toreros.
Le meilleur lot a été pour le local de l’étape, Paco
Ramos, qui fit une faena appliquée au troisième dont
il coupa une oreille généreuse. Il fut débordé par la
bravoure du sixième.
Pepín Liria fut vaillant et vibrant avec un lot qui ne le
laissa pas respirer.
Padilla ne put briller qu’avec cape et banderilles au
cinquième. Ses adversaires se replièrent vite sur la
défensive et la lutte fut brève.
La puissance d’un toro de Palha.
. El Bonillo (Albacete)
. Samedi 10 MARS. Temps ensoleillé mais très froid.
1/2 entrée. Toros de Manuel Caro Andrade (d’origine
Jandilla), correctement présentés, certains âgés de
cinq ans, de peu de force et maniables en général,
pour Francisco Javier SÁNCHEZ VARA, bleu de France
et or (une oreille et deux oreilles) Antón CORTÉS, noir
et or (quatre oreilles) Fran MORENO, vert bouteille et
or (quatre oreilles).
Président: Manuel Rubio. Fran Moreno a pris l’alternative à 17 h 50 avec le toro “Enigmático”, n° 2,
colorado algo salpicado (né en décembre 01), qu’il
a dédié à son ami Salvador Rubio.
Les trois toreros sont sortis en triomphe. Corrida télévisée par Castilla La Mancha TV.
Manuel Caro Andrade a acheté l’élevage de José Pocoví
et possède des toros d’origine Jandilla (via Las Monjas), ayant éliminé toute la partie Núñez que possédait Pocoví. Il a pour cette année une autre corrida,
qui ira à Soria, et trois novilladas (pour Soria, Cordoue et Ciudad Real).
Fran Moreno est originaire de Murcie mais son père
est d’El Bonillo. Il a débuté en costume de lumières
en 1995 et a souvent toréé en France en novilladas
non piquées (notamment à Saint-Martin-de-Crau, Alès,
Dax, Saintes Maries de la Mer...). Il a reçu son toro
d’alternative par deux largas à genoux, a posé les
banderilles (meilleure la troisième paire, un violon cité
à genoux), est assez emprunté avec la muleta et a
coupé deux oreilles malgré trois pinchazos... Les oreilles
furent généreuses, cela va sans dire...
. Tobarra (Albacete)
. Dimanche 11 MARS. Arènes couvertes. 2/3 entrée.
Novillos de Guadalest, correctement présentés et donnant un excellent jeu, pour Valentín Rodríguez “RUFINCHI”, blanc brodé de noir (quatre oreilles) Pepe
MORAL, turquoise et or (tour de piste après un avis
et deux oreilles) Álvaro CASILLAS, vanille et or (une
oreille et un avis avec ovation).
Président: Ismael Tárraga. Le banderillero Francisco
Javier Tornay a salué au 1er. Une minute de silence
fut respectée au paséo en mémoire de victimes des
attentats du 11 mars 2004 et du picador Antonio
Ladrón de Guevara, mort la veille dans un accident.
Pepe Moral portait un brassard noir en mémoire de
sa grand-mère, décédée le jeudi précédent. Il a dédié
le 5e à ses supporters de Los Palacios.
Novillada télévisée par Castilla La Mancha TV.
BONNE NOVILLADA DE GUADALEST.
Pour la cinquième et dernière novillada éliminatoire du concours Puerta Grande, les novilleros ont
affronté un bétail de luxe de Guadalest, peu piqué
mais possédant beaucoup de mobilité, de noblesse
et de suavité dans les charges.
Rufinchi fut le plus généreusement primé. Il fit deux
faenas vaillantes, dans un style un peu rustre, et tua
de deux bonnes estocades, avec un pinchazo au
quatrième.
Pepe Moral tenta de toréer avec pureté - sans toujours prendre le rythme et en guidant un peu trop
ses adversaires vers l’extérieur - mais tout ce qu’il
fit fut empreint de classe et de bon goût. Le président, si généreux avec Rufinchi, lui refusa l’oreille
du deuxième fortement demandée mais fit tomber
deux mouchoirs à la mort du cinquième.
Álvaro Casillas est un novillero de Talavera de la
Reina, déjà mûr, qui a cédé sur le tard à sa vocation pour le toreo. Il tente de toréer de près, la main
basse, en composant la figure, mais a du mal à
connecter avec les gradins. Il ne sait pas tuer, ce
qui lui prive de trophées au sixième.
La finale de Puerta Grande aura lieu le 25 mars
avec des novillos d’El Ventorrillo.
Iván Magro (une oreille) Curro Martínez (une oreille
et silence) Reyes Ramón (silence et deux oreilles).
La corrida était animée musicalement par les chanteurs Chiquetete et Curro Malena.
. MONOVAR (Alicante). 11 mars. Plein (plus de
billets). Toros des frères Tornay, discrètement présentés et manquant de force, pour El Cid (une oreille et
une oreille) Francisco José Palazón (quatre oreilles)
Cayetano (deux oreilles et une oreille). Nouveau plein.
. ZARZA LA MAYOR (Cáceres). 11 mars. Corrida
concours. 1/2 entrée. Toros de Los Bayones, Carmen
Lorenzo, Aguadulce, Miranda de Pericalvo, Mercedes
Pérez-Tabernero et Antonio Arribas pour Javier Valverde (un avis avec silence et deux oreilles) El Capea
(une oreille et silence) Morenito de Aranda (une oreille
et deux oreilles). Le prix au meilleur toro fut attribué
à l’élevage de Miranda de Pericalvo. Le prix au meilleur
picador fut attribué à Juan Bernal. Morenito de Aranda
réapparaissait après la grave blessure subie en
Colombie.
. Autres novilladas
. Samedi 10 MARS. Plein (plus de billets). Toros de
Sampedro, nobles mais très faibles, pour Francisco
RIVERA ORDÓÑEZ, bordeaux et or (ovation et une
oreille) EL CID, aubergine et or (ovation et deux
oreilles) CAYETANO, rose et or (ovation et deux
oreilles).
Réapparition de Cayetano après sa blessure au poignet.
Cayetano et El Cid sont sortis en triomphe. Fran Rivera
dédia le 4e à la Duchesse d’Albe. Cayetano a dédié le
6e au novillero Julio Benítez (El Cordobés fils).
. HUERCAL OVERA (Almería). 10 mars. 1/3 entrée.
Novillos de Soto de la Fuente, inégaux (3e et 6e
meilleurs), pour Miguel Angel Delgado (un avis avec
silence et un avis avec ovation) Alejandro Carmona
(une oreille et un avis avec ovation) Julio Parejo (deux
oreilles et une oreille).
. LEGANÉS (Madrid). 10 mars. 1/4 entrée. Novillos d’Apolinar Soriano, mansos et difficiles, pour José
María Lázaro (silence et une oreille) Alberto Revesado
(silence et silence) Daniel Cuevas (silence et un avis
avec silence). Le banderillero David Adalid a salué.
. SANLUCAR DE BARRAMEDA. 10 mars. 1/3 entrée.
Novillos de Toros de la Plata, inégaux (2e, 3e et 4e
supérieurs), pour Diego Ramón Jiménez, vert mousse
et or (tour de piste et ovation) José Caraballo, blanc
et or (ovation et deux oreilles) Oliva Soto, turquoise
et or (ovation et ovation). Diego Ramón Jiménez a
dédié le 4e à José Tomás.
. ALCAUDETE (Jaén). 11 mars. 1/2 entrée. Novillos de Martelilla, maniables, pour El Sombrerero (une
oreille et une oreille) Alejandro Enríquez (une oreille
et ovation) Mazzantini (ovation et une oreille).
. LAUJAR DE ANDARAX (Almería). 11 mars. Faible
entrée. Un toro de Castilblanco pour le rejoneador Leonardo Hernández (deux oreilles). Novillos de Torrealta,
bons (4e et 6e supérieurs), pour Daniel Luque (une
oreille et deux oreilles et queue) Oliva Soto (une oreille
et une oreille) Miguel Angel Delgado (tour de piste et
deux oreilles).
. Autres corridas
. Corridas à cheval
RESEÑA des NOVILLOS. 1. “Peregrino”, n° 41, burraco (né en janvier 04). 2. “Gracioso”, n° 18, negro (né en novembre 03). 3.
“Inculpado”, n° 9, colorado (né en mars 04). 4. “Peludo”, n° 14,
negro (né en octobre 03). 5. “Mirlo”, n° 50, negro (né en octobre
03). 6. “Cancelito”, n° 60, negro listón (né en janvier 04).
. Ubrique (Cadix)
. YECLA (Murcie). 10 mars. 1/3 entrée. Toros de
Martín Lorca, maniables sauf le 5e, difficile, pour
Jesulín de Ubrique, rose et or (une oreille et une oreille)
Pepín Liria, vert bouteille et or (deux oreilles et ovation) Victor Puerto, rouge et or (quatre oreilles). Les
trois toreros et le mayoral sont sortis en triomphe.
. MARTOS (Jaén). 11 mars. Corrida flamenca. Faible
entrée. Toros de Lora Sangrán, maniables, pour le rejoneador Pedro Cárdenas (tour de piste) le rejoneador
3
. BOLLULLOS DEL CONDADO (Huelva). 11 mars.
Plein. 6 toros d’Arucci et 1 de Flores Tassara (7e)
pour Fermín Bohórquez (deux oreilles) Antonio
Domecq (une oreille) Andy Cartagena (deux oreilles)
Álvaro Montes (une oreille) Sergio Galán (deux oreilles
et queue) Diego Ventura (deux oreilles et queue)
Pedro Calero (une oreille). Calero n’étant pas annoncé
au cartel, il toréa seul le dernier toro, de réserve, alors
que les autres rejoneadors avaient quitté les arènes.
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(Film Noirfilm)
LE POINT SUR…
Apoderados et empresas
Même si la période des transferts n’est pas totalement terminée, on peut faire le point sur les
divers changements d’apoderados et de directeurs d’arènes.
PRINCIPAUX MATADORS
Miguel ABELLÁN: Manuel Álvarez Canorea
Sergio AGUILAR: Juan Manuel Rodríguez Vélez
Manuel AMADOR: Francisco Romero Leal
Julio APARICIO: Francisco Romero Leal
Antonio BARRERA: Francisco Romero Leal
Vicente BARRERA: Manolo Martín
Luis BOLÍVAR: Victorino Martín
CANALES RIVERA: Manolo Martín
Javier CASTAÑO: Julio Fontecha et Pedro Carra
Sébastien CASTELLA: Luis Alvarez
CAYETANO: Curro Vázquez
Javier CONDE: Simon Casas
Antón CORTÉS: José Félix González
Salvador CORTÉS: José María González de Caldas
Fernando CRUZ: Luciano Núñez
Curro DÍAZ: Luis Fernandez “Jocho” et Antonio Ruiz Palomares
Carlos DOYAGUE: Andrés Sánchez
EL CAPEA: Emilio Moreno
EL CID: Manolo Tornay
EL CORDOBES: González de Caldas
EL FANDI: Antonio Matilla
EL FUNDI: Raúl Galindo
EL JULI: Roberto Domínguez
Luis Miguel ENCABO: Rafael Corbelle
Luis Francisco ESPLÁ: Francisco Sánchez
Antonio FERRERA: Fernando Lozano
FINITO de CÓRDOBA: Antonio Matilla
Eduardo GALLO: Oscar et Pablo Chopera
Iván GARCÍA: Andrés Caballero et Alejandro da Silva
JESULÍN de UBRIQUE: Pepe Luis Segura
César JIMÉNEZ: Enrique Martín Arranz
JOSÉ TOMÁS: Salvador Boix
JUAN BAUTISTA: Santiago López
Álvaro JUSTO: Julio Norte
Julien LESCARRET: Olivier Baratchart
Pepín LIRIA: Angel Bernal
Denis LORÉ: Jean-Marie Bourret
Domingo LÓPEZ-CHAVES: Roberto Espinosa
José María MANZANARES FILS: Antonio Matilla
Serafín MARÍN: Angel Guzmán
Julien MILETTO: Robert Margé
Eugenio de MORA: Francisco Romero Leal
MORANTE de la PUEBLA: Rafael de Paula
MORENITO de ARANDA: Carlos Zuñiga
Alejandro MORILLA: Pepín Jiménez
ORTEGA CANO: González de Caldas
Juan José PADILLA: Antonio Matilla et Diego Robles
Andrés PALACIOS: Francisco Romero Leal
Francisco José PALAZÓN : Manolo Carrillo
Miguel Angel PERERA: Fernando Cepeda
Enrique PONCE: Victoriano Valencia et Juan Ruiz Palomares
Victor PUERTO: Justo Benítez
RAFAELILLO: Robert Piles
José Ignacio RAMOS: Mariano Jiménez
César RINCÓN: Luis Manuel Lozano
Francisco RIVERA ORDÓÑEZ: Manolo González
SÁNCHEZ VARA: Fernando Rivera
Mehdi SAVALLI: Luc Jalabert et Alain Lartigue
SERRANITO: Rafael de la Viña
Alejandro TALAVANTE: Antonio Corbacho
Matías TEJELA: Simon Casas
UCEDA LEAL: Lázaro Carmona
Javier VALVERDE: Nacho Matilla et Angel Castro
Salvador VEGA: Ignacio Zorita
Luis VILCHES: Francisco Romero Leal et Curro Durán
NOVILLEROS
Joselito ADAME: Alain Lartigue et Luc Jalabert
Julio BENÍTEZ: El Tato
Miguel Angel DELGADO: Rodríguez de Moya
EL SANTO: Olivier Baratchart
Antonio João FERREIRA: Richard Milian
Israel LANCHO: Andrés Vázquez
Daniel LUQUE: González de Caldas
Daniel MARTÍN: José María Cerezo
José Manuel MAS: Manuel Martínez Erice et Alejandro da Silva
OLIVA SOTO: Simon Casas et Manolo Cortés
Sebastián PALOMO: José Luis Lozano
Eugenio PÉREZ: José Luis Galloso
Román PÉREZ: Nacho Matilla et Angel Castro
PÉREZ MOTA: Tomás Campuzano
Angel TERUEL: José Luis Lozano
REJONEADORS
Curro BEDOYA: Parrita
Andy CARTAGENA: Manuel Martínez Erice et Alejandro da Silva
Sergio GALÁN: Martín Arranz
Pablo HERMOSO de MENDOZA: Chopera
Leonardo HERNÁNDEZ Fils: González de Caldas
MARIE SARA: Manuel Álvarez Canorea
João MOURA père: José Cutiño
João MOURA fils: José Cutiño
LE TORO ET LE FLAMENCO
Le matador Curro Romero et le chanteur flamenco José Mercé ont participé à un spectaculaire “mano a mano” verbal lors d’une conférence organisée à Séville, à la fondation El
Monte, par Cajasol et modéré par le journaliste José Enrique Moreno.
Curro a notamment affirmé: “La seule chose que j’envie à José Mercé, c’est qu’il est au
ministère de la Culture et moi, à celui des “chorizos”, celui de l’Intérieur.”
José Mercé a avoué qu’il aimait “les toreros cortitos et flamencos, qui blessent avec leur
toreo.”
Plus de quatre cents personnes assistaient à cette conférence dans la salle Joaquín Turina.
Tous deux coïncidèrent sur
le fait que “la précipitation n’est jamais bonne
pour l’art.” Mercé précisa
sa pensée : “dans le
chant, tout comme face
au toro, lentement et en
rythme...” et a insisté sur
sa préférence des toreros
de faenas courtes :
“J’aime un muletazo bien
donné, pas vingt.”
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(Film Noirfilm)
TORO…
Les toros du concours de Saint-Sébastien
“Alcachotifo”, d’Alcurrucén (pour Fernando Cruz)
Ce dimanche 18 mars à 17 h 30 aux arènes de Saint-Sébastien aura
lieu une corrida concours. Voici les toros qui entreront en compétition.
“Moñito”, n° 32, de Victorino Martín
(pour Juan José Padilla)
“Valenciano”, n° 790, de Palha
(pour Juan José Padilla)
“Garrochista”, n° 108,
d’Esteban Isidro
(pour Domingo López-Chaves)
“Juncal”, n° 132, de Cebada Gago
(pour Domingo López-Chaves)
“Solterón”,
n° 73, de Fuente Ymbro
(pour Fernando Cruz)
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(Film Noirfilm)
À L’AFFICHE
MARS
13. CASTELLÓN. (nov) 6 Alcurrucén. Alejandro Rodríguez,
Sebastián Palomo, Angel Teruel. 13. VALENCIA. 6 Los
Chospes. Manuel Amador, Fernando Cruz, Ambel Posada.
14. CASTELLÓN. (nov) 6 Fuente Ymbro. Oliva Soto, Abel
Valls, Diego Lleonart. 14. VALENCIA. 6 El Torero. Serafín
Marín, Serranito, Juan Ávila. 15. CASTELLÓN. 6 Manolo
González. Javier Conde, César Jiménez, Manzanares. 15.
FITERO (Navarre). (nov) 6 Angel Luis Peña. Pérez Mota,
Chechu, Oliva Soto. 15. VALENCIA. 6 Alcurrucén. César
Rincón, Enrique Ponce, El Cid. 16. ARNEDO (Rioja). (16
h 45) (nov ss pic) 3 La Quinta + 3 El Beato. Juan Carlos
Cabello, Pablo Lechuga, Juan Carlos Rey. 16. CASTELLÓN.
6 Jandilla. César Rincón, El Cid, El Fandi. 16. MARACAY
(Venezuela) (nocturne) 6 Los Arangüez. Pepe Luis Gallego, Maravilla, José Cariel. 16. VALENCIA. 6 Núñez del
Cuvillo. Vicente Barrera, Morante de la Puebla, Alejandro
Talavante. 17. ARNEDO. (nov ss pic) (16 h 45) 3 La
Quinta + 3 El Beato. Damián Castaño, Román Pérez, Patrick
Villebrun. 17. BENIDORM (Alicante). (nov) (17 h 30) 6
Garzón. Andrés González, Daniel Cuevas, Juan Luis Rodríguez. 17. CASTELLÓN. 6 Fuente Ymbro. El Juli, Matías
Tejela, Alejandro Talavante. 17. MARACAY. 6 Rancho
Grande. Ignacio Garibay, Gabriel Picazo, José Alberto García
(alternative). 17. MOTRIL (Granada). 6 Gerardo Ortega.
Jesulín de Ubrique, El Cordobés, F. Rivera Ordóñez. 17.
SAINT-SÉBASTIEN. (nov) (17 h 30) 6 Bucaré. Pérez Mota,
Daniel Luque, El Santo. 17. SANLÚCAR DE BARRAMEDA.
(nov) 6 Bucaré. Salvador García, Alejandro Parralo, Pepe
Moral. 17. VALENCIA. 6 Las Ramblas. Finito de Córdoba,
El Fandi, Eduardo Gallo. 17. VALENCIA. (12 h) (nov) 6
Sorando. Raúl Martí, Angel Teruel, Sebastián Palomo. 17.
VIC-FEZENSAC. (nov ss pic) (16 h 30) 3 Santafé Martón.
Alberto Durán, Thomas Cerqueira, Tomasito. 18. ARNEDO
(Rioja). (rej) (16 h 45) 6 Sánchez Ybargüen. Sergio Domínguez, Rui Fernandes, Leonardo Hernández. 18. CASTELLÓN.
6 El Pilar. Jesulín de Ubrique, F. Rivera Ordóñez, Cayetano.
18. FITERO (Navarre). 6 José Luis Marca. Francisco Marco,
Antón Cortés, Ambel Posada. 18. MADRID. (nov) 6 Julio
de la Puerta. López Díaz, Salvador Fuentes, Eugenio Pérez.
18. MARACAY. 6 El Prado. Erick Cortés, Serafín Marín, El
Capea. 18. MORÓN DE LA FRONTERA. (rej) 6 Arucci. F.
Bohórquez, Alvaro Montes, Diego Ventura, Sergio Galán,
Mariano Rojo, João Moura fils. 18. SAINT-SÉBASTIEN. (17
h 30) Concours (Palha, Victorino, Cebada Gago, Alcurrucén, Esteban Isidro, Fuente Ymbro). J.J.Padilla, D. LópezChaves, Fernando Cruz. 18. SANTAREM. (rej) Rui Salvador, José Manuel Duarte, Vitor Ribeiro. 18. VALENCIA. 6
Fuente Ymbro. Victor Puerto, El Juli, M.A.Perera. 19. CASTELLÓN. 6 Victorino Martín. Antonio Ferrera, Domingo
López-Chaves, Luis Bolivar. 19. LA PALMA (Murcie). 6
Arauz de Robles. Alfonso Romero, Marc Serrano, X. 19.
OVIEDO. 2 Benítez Cubero + 4 Gerardo Ortega. P. Hermoso de Mendoza (rej), F. Rivera Ordóñez, Cayetano. 19.
VALENCIA. 6 Sorando. Enrique Ponce, Manzanares, David
Esteve (alternative). 19. VALENCIA. (12 h) (rej) 6 Benítez Cubero. Andy Cartagena, Rui Fernandes, Álvaro Montes,
Leonardo Hernández fils, Moura Caetano, El Cartagenero.
24. ARANJUEZ (Madrid). (nov) 6 Corbacho Grande. José
María Lázaro, Israel Lancho, Salvador García. 24.
SANLÚCAR DE BARRAMEDA. (nov) 6 Osborne. Eugenio
Pérez, Miguel Angel Delgado, Alejandro Carmona. 24. TEXCOCO (Mexique). 6 Montecristo. Manzanares, Arturo Macías
(mano a mano). 25. ATARFE (Granada). 6 Manuel Angel
Millares. David Valiente, Alejandro Enriquez, Eliseo Gallardo.
25. BILBAO. (nov) 6 José Cruz. Daniel Martín, Daniel
Luque, Julio Benítez. 25. MADRID. (nov) 6 Santos Alcalde.
Daniel Cuevas, Pepe Moral, Joselito Adame. 25. TOBARRA
(Albacete). (nov) 6 El Ventorrillo pour les trois finalistes de
Puerta Grande. 25. VALENCIA (Venezuela). 6 Tarapio. Bernardo Valencia, Mari Paz Vega, Sánchez Valencia. 25.
VERGÈZE (Gard) (16 h) 6 Gilbert Mroz. Marc Serrano,
Jonathan Veyrunes, Iván Fandiño. 25. VERGÈZE. (10 h
30) (nov ss pic) 4 Tardieu. Marc-Antoine Romero, Patrick
Villebrun et deux autres. 31. ALMENDRALEJO (Badajoz).
6 Alcurrucén. Enrique Ponce, Antonio Ferrera, Miguelín
Murillo (alternative). 31. MONTORO (Cordoue). (nov) 8
Jaralta. Currito, David Valiente, Israel de Córdoba, Ignacio
González. 31. SANLÚCAR DE BARRAMEDA. (nov) 6 Juan
Albarrán. Jiménez Caballero, Pedro Carrero, Francisco
Pajares. 31. SÉGOVIE. 6 Hilario Serrano. Manolo Sánchez,
Leandro Marcos, Sánchez Vara. 31. TEXCOCO (Mexique).
8 La Joya. Fernando Ochoa, Ignacio Garibay, Leopoldo Casasola, Paul Cortés.
AVRIL
1. ALMENDRALEJO. (rej) 6 Esteban Isidro. Fermín Bohórquez, P. Hermoso de Mendoza, Victor Ribeiro. 1. FOURQUES
(Gard). (nov mixte) 4 Cuillé + 2 Pagès-Mailhan. Francisco
Montiel, Alejandro Enríquez, Tomasito. 1. JAÉN. 6 Torrealta.
Ortega Cano, El Cordobés, El Fandi. 1. MADRID. 6 Pedrés.
Manuel Amador, Antón Cortés, Salvador Vega. 1. NAVAS
DE SAN JUAN (Jaén). (nov) 6 Apolinar Soriano. J.M.Lázaro,
Alberto Revesado, Daniel Cuevas. 1. SAN FERNANDO DE
APURE (Venezuela). 6 Campolargo. Bernardo Valencia,
Erick Cortés, Marí Paz Vega. 1. TEXCOCO (Mexique).
(goyesca) 6 Luis Felipe Ordaz. Alejandro Amaya, Arturo
Macías, Juan Chávez. 5. TEXCOCO. 6 San Marcos. Leonardo Benítez, El Conde, José Luis Angelino. 6. ARLES. (17
h) 6 Domingo Hernández. César Rincón, Juan Bautista,
Sébastien Castella. 6. TEXCOCO. 6 Medina Ibarra. Rafael
Ortega, Ignacio Garibay, Arturo Macías. 7. ARLES. (17 h)
6 El Pilar. El Juli, Matías Tejela, Mehdi Savalli. 7. ARLES.
(11 h) (nov) 6 Antonio San Román. Álvaro Samper, Joselito Adame, Oliva Soto. 7. CABRA. 6 La Palmosilla. Morante
de la Puebla, Sergio Aguilar, Cayetano. 7. SANLÚCAR DE
BARRAMEDA. (nov) 6 Martelilla. Israel Lancho, Eliseo Gallardo, José Manuel Mas. 7. TEXCOCO. 6 Vistahermosa.
Eloy Cavazos, Zotoluco, Paul Cortés. 8. AIGNAN (Gers). 6
Miranda de Pericalvo. Luis Vilches, Javier Valverde, Mehdi
Savalli. 8. AIGNAN (matin) (nov ss pic) 4 Meynadier. Jeronimo Delgado, Tomasito. 8. ARLES. (17 h) 6 Antonio Palla.
Antonio Ferrera, Salvador Cortés, Jeremy Banti (alternative). 8. ARLES. (11 h) (nov) 6 Capea. Daniel Luque,
Marco Leal, Román Pérez. 8. MADRID. 6 Puerto de San
Lorenzo. El Juli, Manzanares, Alejandro Talavante. 8.
MÁLAGA. 6 Zalduendo. Javier Conde, F. Rivera Ordóñez,
Cayetano. 8. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Zalduendo. Enrique
Ponce, El Cid, Sébastien Castella. 8. TEXCOCO. (rej) 6 San
Lucas. Jorge Hernández, Eduardo Cuevas, Pedro Louceiro,
Gaston Santos. 8. UBEDA (Jaén). (nov) 6 Miranda y
Moreno. Alberto Lamelas, David Valiente, Alejandro Enríquez. 9. ARLES. (17 h) 6 Piedras Rojas. El Fundi, Domingo
López-Chaves, Julien Miletto. 9. ARLES. (11 h) (rej) 6
Mercedes Pérez-Tabernero. Fermín Bohórquez, Pablo Hermoso de Mendoza, Andy Cartagena. 9. MUGRON (Landes).
(nov) (17 h) 6 Vellosino. Oliva Soto, Rubén Pinar, El Santo.
9. MUGRON. (nov ss pic) (11 h) 4 Ana Corera. Thomas
Dufau, Mathieu Guillon, Thomas Cerqueira. 13. SÉVILLE.
(18 h 30) (nov) 6 Torrehandilla. Daniel Luque, Agustín de
6
Espartinas, Oliva Soto. 14. BRIHUEGA (Guadalajara). 6
Santiago Domecq. Enrique Ponce, El Juli, Cayetano. 14.
SÉVILLE. (18 h 30) 6 La Dehesilla. Uceda Leal, Antonio
Barrera, Antonio Ferrera. 14. TEXCOCO. 6 San Martín. Eloy
Cavazos, Zotoluco, Rafael Ortega. 15. BARCELONE. 6 El
Ventorrillo. El Juli, Manzanares, Alejandro Talavante. 15.
CORDOUE. 6 Julio de la Puerta. J.J.Padilla, Antonio Barrera, José Luis Torres. 15. GARLIN. (nov) (16 h 30) 6
Comte de Mayalde. Joselito Adame, Rubén Pinar, Miguel
Angel Delgado. 15. GARLIN. (nov ss pic) (11 h) 3 Ana
Corera. Damián Castaño, Matthieu Guillon, Cayetano Ortiz.
15. SÉVILLE. (18 h 30) (rej) 6 Bohórquez. Fermín Bohórquez, P. Hermoso de Mendoza, Diego Ventura. 15. TEXCOCO. 3 Teófilo Gómez + 3 Pepe Garfias. Humberto Flores,
Federico Pizarro, Ricardo Medina. 16. SÉVILLE. (18 h 30)
6 Cuadri. Fernández Pineda, Serafín Marín, Manuel Escribano. 17. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Cebada Gago. Curro Díaz,
Robleño, Fernando Cruz. 18. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Palha.
L.M.Encabo, D. López-Chaves, Iván García. 19. SÉVILLE.
(18 h 30) 6 Victorino Martín. Pepín Liria, El Cid, Salvador
Cortés. 20. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Zalduendo. Morante de
la Puebla, El Juli, Manzanares. 21. SÉVILLE. (18 h 30) 6
Torrealta. Sébastien Castella, Miguel Angel Perera, Alejandro Talavante. 22. BARCELONE. 6 Valdefresno. El Cordobés, Rivera Ordóñez, El Cid. 22. GUIJUELO (Salamanque).
Jesulín de Ubrique, Álvaro Justo, Cayetano. 22. SÉVILLE.
(18 h 30) 6 Puerto de San Lorenzo. Luis Vilches, Eduardo
Gallo, El Capea. 22. VITORIA. 2 Murube + 4 Zalduendo.
P. Hermoso de Mendoza (rej), El Juli, Sébastien Castella.
23. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Núñez del Cuvillo. Jesulín de
Ubrique, Morante de la Puebla, Alejandro Talavante. 24.
SÉVILLE. (18 h 30) 6 Torrestrella. César Rincón, Enrique
Ponce, Salvador Cortés. 25. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Victoriano del Rio. Miguel Abellán, El Juli, El Cid. 26. SÉVILLE.
(18 h 30) 6 J.P.Domecq. Finito de Córdoba, Sébastien Castella, Manzanares. 27. SÉVILLE. (18 h 30) 6 El Ventorrillo. César Jiménez, Matías Tejela, Miguel Angel Perera.
28. SAINT MARTIN DE CRAU. (nov) (17 h) 3 Justo Nieto
+ 3 Sánchez-Fabrés. Pérez Mota, Joselito Adame, El Santo.
28. SÉVILLE. (18 h 30) 6 J.L.Marca. El Cordobés, F. Rivera
Ordóñez, El Fandi. 29. SAINT MARTIN DE CRAU. (17 h)
Concours (Fraile, Justo Nieto, Santafé Martón, Tardieu, Granier, Meynadier). Robleño, Julien Lescarret, Sergio Aguilar.
29. SÉVILLE. (18 h 30) 6 Miura. El Fundi, J.J.Padilla,
Javier Valverde. 29. SÉVILLE. (12 h) (nov) 6 Murube.
Antonio Domecq, Rui Fernandes, Andy Cartagena, Raúl
Martín Burgos, Sergio Galán, Leonardo Hernández fils. 29.
TRUJILLO (Cáceres). 6 Zalduendo. P. Hermoso de Mendoza (rej), El Juli, Cayetano.
MAI
1. PALAVAS. (17 h) 6 Andrés Ramos. Denis Loré, Julien
Miletto, Mehdi Savalli. 1. SÉVILLE. (nov) 6 Guadaira. Antonio Nazaré, Pérez Mota, Miguel Raya. 6. BARCELONE. 6
Garcigrande. Enrique Ponce, Morante de la Puebla, El Fandi.
6. SÉVILLE. (nov) 6 Macandro. José María Lázaro, Salvador García, Sandra Moscoso. 8. PALAVAS. (17 h) 6 García
Jiménez. El Juli, Juan Bautista, Manzanares. 13. SÉVILLE.
(nov) 6 Bucaré. Emilio de Justo, Sergio Serrano, X. 13.
VALENCIA. 6 Marquis de Domecq. El Renco, José Manuel
Prieto, Paco Ramos. 20. BARCELONE. (rej) 6 Castillejo de
Huebra. F. Bohórquez, P. Hermoso de Mendoza, Diego Ventura. 20. SÉVILLE. (nov) 6 Yerbabuena. Alejandro Parralo,
Salvador Fuentes, X.
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(Film Noirfilm)
À LA TÉLÉ
- “TERCIOS”... Le magazine hebdomadaire de Jean-Michel
Mariou, diffusé tous les samedis à 11 h 15 sur France 3 Aquitaine, fêtera sa centième émission le samedi 17 mars avec
un numéro spécial avec les meilleurs toreros qui ont parlé
devant la caméra.
. “FACE AU TORIL”... Le prochain numéro de ce magazine
sera diffusé le samedi 17 mars à 16 h 20 sur France 3 Sud
(Internet: http://sud.france3.fr/toros). On pourra y voir des
reportages sur l’élevage de Piedras Rojas (Patrick Laugier), la
faena de Ponce à Olivenza (le 4 mars dernier), le journaliste
péruvien Angel Parra (récemment disparu) et le novillero français Román Pérez.
. “TORO BRAVE”... Ce magazine hebdomadaire présenté par
Hervé Touya est diffusé cinq fois par semaine (à des heures
différentes) sur Alegria TV, chaîne qu’on peut capter sur Astra
(et sur Canalsat, canal 182).
- “TOROS PARA TODOS”... Le magazine hebdomadaire présenté par Enrique Romero a repris sa diffusion le dimanche 4
mars sur Andalucía TV vers 16 heures. On peut capter Andalucía TV sur Astra (et Canal Sat) et sur Hispasat (et Digital
Plus, canal 90), ainsi que sur Internet (www.canalsur.es)
. “ESPAÍ TAURÍ’... Le magazine hebdomadaire de la télévision valencienne présenté par José Luis Benlloch a repris sa
diffusion sur le Canal Valencia le dimanche à 20 h et rediffusé
le mercredi soir à 1 h 30. On peut capter le canal Valencia sur
Astra (et Canalsat) et sur Hispasat (et Digital Plus, canal 92),
ainsi que sur Internet (www.rtvv.es).
. “TIERRA DE TOROS”... Un nouveau magazine taurin hebdomadaire vient d’être lancé sur le canal Extremadura TV. Il
est diffusé le dimanche à 13 h 30, est présenté par Antonio
Castañares et rediffusé à minuit. On peut le capter sur Astra.
. LES TRENTE MEILLEURES DE DIGITAL PLUS... Du 12 mars
au 12 avril, Digital Plus diffusera sur le canal 10 (canal Eventos) les trente meilleures corridas enregistrées par cette chaîne
depuis sa création, diffusées à 22 h et rediffusées le lendemain à 17 h. Trente retransmissions à enregistrer ou à graver
pour les collectionneurs. Cette semaine, notamment, le jeudi
15 à 22 h, la corrida des quites de 1996 à Madrid avec Joselito, Ponce, Rivera et des Samuel Flores; et vendredi 16 à 22
h, la corrida du 3 juin 2005 à Madrid avec El Cid et les Victorino.
. LA FERIA DE SÉVILLE SUR DIGITAL PLUS... . La feria de
Séville sera entièrement télévisée par Digital Plus. Il en coûte
un abonnement supplémentaire de 39,90 euros pour l’ensemble de la feria qui sera diffusée sur un nouveau canal intitulé “Canal Feria” (canal 110), avec huit heures d’émissions
quotidiennes du 13 au 29 avril. Pour acheter le Canal Feria,
il suffit de se munir de sa carte d’abonné (la retirer du décodeur) où est inscrit son numéro d’abonné et de téléphoner au
numéro suivant: (00.34) 902.180.704 en choisissant le
canal “Feria de Sevilla”, qui sera le canal 110. On peut également acheter l’abonnement de Séville sur Internet à l’adresse:
www.plus.es. Il faut alors aller dans la rubrique “taquilla”,
puis “compra” et utiliser le même procédé avec son numéro
d’abonné inscrit sur la carte.
ÉCHOS DU CALLEJÓN
. Simon Casas à Alicante
. Novillada à Garlin
Simon Casas a remporté le concours pour la direction des
arènes d’Alicante. Il y organisera la prochaine pour les fêtes
de la Saint-Jean, autour du 24 juin.
Première annonce spectaculaire: la corrida du jeudi 21 juin
réunira à la même affiche Enrique Ponce et José Tomás,
avec des toros de Juan Pedro Domecq ou Zalduendo.
“C’est le premier bouquet de fleurs que je veux offrir à
l’afición d’Alicante” a déclaré l’imprésario français.
Le dimanche 15 avril à Garlin (Pyrénées-Atlantiques), à 16
h 30, novillos du Comte de Mayalde pour Joselito Adame,
Rubén Pinar et Miguel Angel Delgado.
À 11 heures est prévue une novillada non piquée avec trois
erales d’Ana Corera Esparza pour Damián Castaño (de
Salamanque), Matthieu Guillon (de Mont-de-Marsan) et
Cayetano Ortiz (de Béziers). Entrée gratuite pour les moins
de douze ans et les possesseurs de billets pour l’après-midi.
Réservations à partir du 3 avril au 05.59.04.74.23 ou sur
le site web:
http://site.voila.fr/torosengarlin
. José Tomás à Nîmes
Simon Casas a également annoncé qu’il avait engagé José
Tomás pour les deux autres arènes qu’il dirige, Nîmes et
Málaga. À Nîmes, le torero de Galapagar se produira le
dimanche 16 septembre, jour de clôture de la feria des
Vendanges. À Málaga, José Tomás fera le paseo le 18
août.
José Tomás fera également le paseo le 24 juin à Algeciras
et terminera sa temporada, comme il la commence, en
septembre à Barcelone pour les fêtes de la Merced.
. et à Béziers ?
Robert Margé négocie cette semaine l’inclusion de José
Tomás à la feria de Béziers. Il lui a réservé la date du 13
août. On sera bientôt si la négociation aboutit.
. Discussions avec Chopera
La casa Chopera a proposé à José Tomás de l’inclure dans
toutes ses ferias à partir de juin. À ce jour, le torero n’en a
accepté que deux: Almería en août et Salamanque en
septembre. La suite au prochain numéro... D’autre part,
une arène française - non gérée par Chopera - aurait
proposé pas moins de 25 millions de pesetas (soit 152
000 euros en monnaie d’occupation) pour une seule
corrida. Entre les nouvelles enchères de Castella et le retour
de José Tomás, les prix risquent d’exploser en 2007!
. Cartels de Palavas
Les cartels de la feria de la mer de Palavas sont les
suivants.
Le mardi 1er mai à 17 heures, toros d’Andrés Ramos pour
Denis Loré, Julien Miletto et Mehdi Savalli.
Le mardi 8 mai à 17 heures, toros de Hermanos García
Jiménez pour El Juli, Juan Bautista et José Marí
Manzanares.
. Toros pour Mont-de-Marsan
La commission taurine de Mont-de-Marsan a retenu quatre
des cinq élevages qui fourniront les corridas des prochaines
fêtes de la Madeleine, du 22 au 26 juillet.
Les élevages retenus sont ceux de Valdefresno, Adelaída
Rodríguez, Robert Margé et Vellosino. Le cinquième lot
sera choisi entre Charro de Llén et Moisés Fraile.
La novillada piquée proviendra de l’élevage de Coquilla de
Sánchez-Arjona et la novillada non piquée portera la devise
de Pierre-Marie Meynadier.
La seule inconnue du public français est l’élevage de
Vellosino. C’est l’ancienne ganadería de Manuel San
Román, repris à l’automne 2000 par les propriétaires
actuelles, dont l’origine est Juan Pedro Domecq.
. Toros pour Béziers
Les arènes de Béziers ont également retenus leurs
ganaderias pour la feria d’août qui aura lieu du 11 au 15.
Les cinq corridas proviendront des élevages de Domingo
Hernández, El Pilar, Victoriano del Rio, Puerto de San
Lorenzo et Valdefresno. La novillada piquée arborera les
couleurs locales de Robert Margé.
. Rameaux à Jaén
Le 1er avril à Jaén, corrida avec des toros de Torrealta pour
Ortega Cano, Manuel Díaz “El Cordobés” et El Fandi.
. Début de temporada à Lisbonne
Rui Bento Vasques, directeur des arènes de Campo
Pequenho à Lisbonne a annoncé les premiers cartels de la
saison dans la capitale du Portugal.
Le 8 avril, toros de Brito Paes pour les rejoneadors Moura
Caetano et Manuel Telles Bastos, le matador El Capea et le
novillero Antonio João Ferreira.
Le jeudi 3 mai, toros de Francisco Romao Tenorio pour les
rejoneadors João Moura père, Pablo Hermoso de Mendoza
7
et João Moura fils qui prendra l’alternative (au Portugal).
Le vendredi 4 mai, toros de Varela Crujo ou Paulo Caetano
pour Enrique Ponce, José Luis Gonçalves et El Juli.
Le samedi 5 mai, novillos de Manuel Veiga pour les
rejoneadors Francisco Palha et Tomas Pinto, et les
novilleros Miguel Tendero et Wilson Maçarico
“Chamaquito”.
Le 17 mai, toros de Pinto Barreiros pour les rejoneadors
Antonio Ribeiro Telles, João Salgueiro, Manuel Lupi et João
Salgueiro Costa.
Le 14 juin, toros de différents élevages (concours) pour
Luis Rouxinol, Rui Fernandes et Sonia Matias.
. Mort accidentelle du picador
Ladrón de Guevara
L’un des meilleurs picadors actuels, Antonio Ladrón de
Guevara, a trouvé la mort dans la nuit du 10 au 11 mars,
dans un accident stupide.
Antonio avait toréé le samedi 10 mars la corrida d’El
Bonillo (province d’Albacete, voir compte rendu dans nos
colonnes) dans la cuadrilla d’Antón Cortés dont il était
membre depuis plusieurs années. Après avoir dîné avec la
cuadrilla à Munera, il rentrait à Valencia au volant de sa
Mercedes avec le banderillero Valentín Arenas et un
aficionado de Valencia. Il se trouva alors en panne
d’essence, et partit en chercher à pied avec son
compagnon Valentín. Mais en franchissant la barrière de
protection de l’autoroute, le malheureux picador ne se
rendit pas compte qu’il était sur un pont et tomba, faisant
une chute de plus de dix mètres. L’intervention des
pompiers ne parvint pas à le réanimer.
. Victoriano del Rio enthousiasmé
Les toreros français ont défilé le 11 mars chez le ganadero
Victoriano del Rio: El Santo a participé à une tienta le
matin et Julien Miletto l’après-midi. Victoriano del Rio ne
cachait son enthousiasme au téléphone: “ces deux toreros
m’ont fait une très bonne impression”, insistant sur la
métamorphose de Julien Miletto: “J’ai été très surpris par
Miletto, que j’avais vu toréé dans le passé. Face à trois
vaches différentes, dont deux bonnes - mais les bonnes
sont les plus dures à bien toréer! - j’ai vu un torero
beaucoup plus préparé, avec une autre mentalité, qui sait
toréer, qui est courageux et qui, en plus, a de la sensibilité
et a un physique agréable, ce qui compte si on veut
devenir figura...” Victoriano lui a offert un toro que Julien
devrait tuer dans les prochains jours.
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(Film Noirfilm)
ÉCHOS DU CALLEJÓN
Si El Santo continue son entraînement avant la novillada
du 17 à Saint-Sébastien, Julien participera à de
nombreuses tientas cette semaine chez Domingo
Hernández, Valdefresno, Puerto de San Lorenzo, García
Jiménez et Andrés Ramos. Il va toréer le lundi de Pâques à
Arles, le 1er mai à Palavas, ensuite à Nîmes, Toulouse,
Béziers et il est actuellement en contact avec les autres
grandes arènes françaises.
Quant à Victoriano del Rio, il est désolé de n’avoir cette
année que deux lots pour la France: l’un pour Dax avec le
fameux mano a mano Juli-Castella, et l’autre pour Béziers.
. Sébastien Castella recueille les
trophées...
Castella était ce week-end à Burgos où il a recueilli la
plupart des trophées mis en jeu lors de la dernière feria.
Le samedi 10 mars à midi, à la Casa Ojeda, il a reçu les
trophées comme triomphateur et comme auteur de la
meilleure faena de la dernière feria de San Pedro y San
Pablo, les autres primés étant José Ignacio Ramos, pour la
meilleure estocade; Antonio Bañuelos, pour le meilleur lot
de toros; et Miguel Angel Muñoz, pour la meilleure pique.
Les trophées furent remis par des représentants de la
mairie et l’acte était organisé par le club taurin 25.
Le samedi soir, Castella fut l’invité d’honneur d’un grand
repas de gala à l’hôtel Puerta Grande de Burgos, où il fut
distingué par le trophée Puerta Grande au triomphateur de
la feria. Tous les participants au repas, y compris les
toreros, payaient et tous les bénéfices allèrent à la
construction d’une maison d’accueil pour les femmes en
détresse.
Le dimanche, ce fut une journée au campo chez Antonio
Bañuelos, en présence de plus de 180 personnes. À la
tienta participèrent Sébastien, son protégé Jeremy Banti
qui prépare son alternative arlésienne - et qui a montré
d’excellentes dispositions - et le novillero salmantin Daniel
Martín “El Dani”, qui va ouvrir la saison à Bilbao le 25
mars prochain et qui est actuellement dirigé par José María
Cerezo.
En ce début de semaine, Sébastien sera à Bilbao où il
recevra les trophées correspondant à la feria 2006 le 11
mars à l’hôtel Ercilla. Il sera également l’invité du club
Cocherito.
. Débuts à cheval
de Manolo Manzanares
Le deuxième fils de José María Manzanares, Manolo, a fait
ses débuts de rejoneador le 9 mars dans les arènes
mexicaines de Juriquilla. Il alternait avec les novilleros
Salvador Fuentes (ovation), Pablo Sánchez (une oreille) et
Santiago Fausto (une oreille), devant des novillos de
Marrón. Manolo Manzanares a salué sous l’ovation à la
mort de son novillo.
. Dès que la frontière
se rouvrira...
Le jeudi 15 mars, le ganadero Tomás Prieto de la Cal a
dicté une brillante conférence au club Cocherito de Bilbao.
Il a beaucoup parlé de la France, sans laquelle, a-t-il dit,
SEMANA GRANDE
N° 519 - LUNDI 12 MARS 2007
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“nous ne serions plus vivants...” et a manifesté son plus
cher désir devant la crème de l’afición bilbaína: d’envoyer
ses meilleurs toros vers la France dès que la frontière se
rouvrira...
. Nouvelle page web
de Sébastien Castella
Le matador Sébastien Castella a remodelé sa page web,
sur Internet. On y trouve de très beaux reportages photos,
des nouvelles, des archives ainsi que les vidéos des
dernières émissions de télévision - notamment sur Telecinco
- auxquelles il a participé.
L’adresse est la suivante: www.sebastiancastella.net
. Mort de Juan Guardiola Soto
Le ganadero Juan Guardiola Soto est décédé le 8 mars à
Séville. Il avait hérité de son père une ganaderia qui fit le
bonheur des aficionados toristas dans les années soixante,
avant d’être vendue à Javier Pallarés puis à Félix
Hernández Barrera, qui en possède toujours le fer mais qui
en a changé le sang.
. Jesulín, papa
Jesulín de Ubrique et son épouse actuelle, Maria José
Campanario, sont les heureux parents d’un petit garçon,
Jesús, né le 5 mars. C’est le deuxième enfant du couple,
qui a déjà une fille de quatre ans, Julia. D’autre part,
Jesulín a une fille plus grande, Andrea, de son premier
mariage avec Belén Esteban.
. Théâtre Salvador Távora
Un théâtre portant le nom de Salvador Távora sera
inauguré ce mercredi 14 mars à Séville, dans la zone du
Cerro de Águila. Sa pièce “Carmen” y sera représentée
jusqu’en juillet.
L’après-midi, un hommage sera rendu à Salvador Távora,
qui recevra le prix “Mayoral d’honneur”. Elia Domenzain,
poète mexicaine, sera chargée du discours de clôture.
. Exposition de Lucien Clergue
à Arles
Lucien Clergue présentera une grande exposition de ses
photographies à Arles, à l’espace Van Gogh, du 31 mars
au 10 juin.
Premier photographe élu à l’Académie des Beaux-Arts,
Clergue déclinera son exposition sur quatre volets:
- du cinéma du pauvre à l’alphabet du monde, la première
époque qui va du tout jeune photographe et sa rencontre
avec Picasso en 1953 au début des années 60
- corps mémorables: quarante images en noir et blanc,
anthologie du nu.
- tauromachies: fil rouge ininterrompu d’un bout à l’autre
de l’oeuvre, intimement lié à sa ville et redoublé par le
regard de Picasso
- couleur et diffraction: apparue dans son oeuvre en 1981,
la couleur marque un tournant décisif dans la vision
photographique de l’artiste.
L’exposition sera ouverte tous les jours de 13 heures à 19
heures, avec nocturne le vendredi jusqu’à 22 heures.
Entrée: 3 euros. Renseignements au 04.90.18.41.20.
. Vicente Barrera à New York
Le matador Vicente Barrera a été récemment reçu par le
Club taurin de New York. Ci dessous, la photographie
souvenir de son passage dans la mégapole américaine.
. “Planeta toro” à Espartinas
Une véritable foire du toro, Planeta Toro, sera inaugurée le
jeudi 15 mars à Espartinas (province de Séville). Pas
moins de 140 exposants - dont 39 ganaderías - sont
attendus sur une superficie de 8 000 mètres carrés, dans
une salle couverte.
Le salon sera inaugurée le 15 mars en présence de la
duchesse d’Albe, avec le spectacle “tauromachies du
monde” qui réunira des recortadors, des toreros landais
(sauteurs et écarteurs), des forcados portugais et des
rejoneadors. Auparavant, le professeur Andrés Amoros lira
un “décalogue en faveur de la Fiesta”.
Le vendredi 16 mars sera une journée consacrée aux
écoles taurines andalouses, avec de nombreux tentaderos.
Des toreros légendaires recevront un hommage le samedi
17. On y attend Pepe Luis Vázquez, Litri, Rafael Chicuelo,
El Viti, Pablo Camino, El Vito et Fermín Bohórquez (père).
À 17 heures aux arènes d’Espartinas aura lieu le très
attendu “mano a mano” entre Espartaco et Cayetano, face
à des toros de Núñez del Cuvillo.
Le dimanche 18 mars à 12 h 30 aura lieu une corrida à
cheval avec des toros de Luis Terrón pour Fermín
Bohórquez, Diego Ventura et David Vázquez, qui prendra
l’alternative.
. Corrida en direct de Castellón
Ce jeudi 15 mars à 17 h, corrida en direct de Castellón sur
le canal Valentia (TVV) avec des toros de Manolo González
pour Javier Conde, César Jiménez et José María
Manzanares. Commentaires “en valenciá” de José Luis
Benlloch.
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