Femmes et médias, partenaires pour une meilleure
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Femmes et médias, partenaires pour une meilleure
La Presse parle de l’IPAO… 1 FEVRIER 2013 2 3 4 5 MARS 2013 6 7 8 9 10 AVRIL 2013 11 12 13 14 15 16 17 18 http://www.ndarinfo.com/Dakar-Cloture-d-un-atelier-sur-les-Medias-sociaux-et-laCitoyenne_a5185.html 19 Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest Publié le 6 avril 2013 Les partenaires au projet étaient tous présents à l’étape d’Abidjan L’URPCI (l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire) et son partenaire historique l’IPAO (l’Institue Panos d’Afrique de l’Ouest) viennent de lancer un important projet de promotion de la bonne gouvernance en Afrique de l’Ouest avec le soutien financier de l’Union Européenne. Ce 05 avril à l’hôtel Ibis-Plateau (Abidjan), les trois entités ont officiellement donné le top départ du projet dénommé « Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest ». Il s’agit d’un projet qui sera mis en œuvre dans cinq pays de la sous région sur une période de trois (3) ans. Ainsi les acteurs des médias, les organisations de la société civile (les OSC actives pour les droits et la participation des femmes dans bonne gouvernance) et les femmes du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Ghana, de la Guinée et de la Sierra Leone bénéficieront d’un renforcement de capacité pour accroître la participation des citoyens dans le contrôle de l’action publique. Pour Karamoko Bamba le Président de l’URPCI « ce projet est le bienvenu car il intervient à un moment très important de la vie de la Côte d’Ivoire ». Il s’agit du contexte électoral mais également celui du processus de réconciliation nationale. Voici pourquoi, le Président de l’URPCI n’a pas manqué de remercier l’IPAO pour son engagement aux côtés des médias de la sous région. Il a aussi plaidé pour une synergie des efforts pour que les productions réalisées dans le cadre de ce projet soient mutualisés pour le bien des populations. Sur le contexte et le bienfondé du projet, Mme Pauline Bend Directrice des Programmes de l’IPAO soutient que « le projet « Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest » intervient dans un contexte marqué par un déficit de contrôle citoyen, un déficit d’information et un déficit de cadre juridique ». A travers ce projet l’IPAO et ses partenaires dans les cinq pays cibles veulent permettent aux médias de jouer un rôle de veille et d’éveille des consciences sur l’importance des femmes dans la gestion de la chose publique. Pour Mr Sangaré Abdoulaye, le conseiller du Ministre de la Communication représentant la tutelle, un tel projet ne peut que recevoir le soutien du ministère vu son importance. Aussi il a invité les professionnels des médias à œuvrer pour une meilleure vulgarisation des droits de la femme. Il s’est félicité du choix de la Côte d’Ivoire et a souhaité plein succès au projet. Dans les cinq pays cibles des organisations représentatives de la société civile seront les porteurs du projet. Les partenaires de l’IPAO pour ce projet sont : le Centre du Commerce International pour le Développement (CECIDE) pour la Guinée, le Ghana Community Radio Network (GCRN) pour le Ghana, l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), Femme, Droit et Développement en Afrique (WILDAF) pour le Bénin, la Mano River Women’sPeace Network (MORWOPNET) et la Society for DemocraticInititiatives (SDI) pour la Sierra Leone. Créé en juin 2000, l’IPAO est une organisation régionale africaine non gouvernementale indépendante, qui a pour mission de démocratiser la communication, et consolider des espaces publics pour des sociétés africaines ouvertes, où les opinions des citoyens sont éclairées, et leurs voix amplifiées et entendues. Son siège est à Dakar et l’IPAO mène des actions dans les 15 pays de la CEDEAO et en Mauritanie. Notons qu’au cours de la cérémonie officielle de lancement du projet« Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest », les organes de régulation et d’auto-régulation des médias ont été dignement représentés. Nous citerons la Haute Autorité de la Communication Audio-visuelle (HACA), le Conseil National de la Presse (CNP), le Fond de Soutien au Développement de la Presse (FSD)…Du côté des OSC, les organisations féminines les plus représentatives au plan national ont répondu présentes à l’invitation de l’URPCI. SUY Kahofi 20 Côte d’Ivoire : Lancement du projet »Femmes et Medias, Partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest par: Apa publié le : 05/04/2013 à 19:15 39 vues Dans: L’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) a lancé vendredi à Abidjan, les activités de son projet dénommé « Femmes et Medias, Partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest ». Financé par l’Union Européenne (UE) et d’autres partenaires à hauteurs de 1, 175 millions d’Euros, pour une durée de 3 ans (2013-2015), ce projet est mis en œuvre dans cinq pays que sont : Benin, Côte d’Ivoire, Ghana, Guinée et Sierra Léone. »Ce projet est financé à hauteur de 1,175 millions d’Euros dont 80%, soit près de 920 millions d’Euros sont financés par l’Union Européenne », a déclaré lors de la cérémonie de lancement de ce projet, Pauline Bend, la directrice programme de l’IPAO. Selon elle, »ce projet répond à des besoins et des contraintes dans les pays cibles ». Le Projet vise à renforcer les synergies entre les cinq pays cibles, et entre les différentes catégories d’acteurs (médias et OSC, particulièrement celles qui promeuvent les droits et la participation des femmes), pour accroitre la participation des citoyens, leur contrôle sur l’action publique, et la recevabilité des élus dans ces pays. Mme Kaba Fofana, directrice de l’égalité et de la promotion du genre au ministère ivoirien de la solidarité, de la famille, de la femme et de l’enfant a salué les actions de l’IPAO en Côte d’Ivoire, au plus fort de la crise ivoirienne. »La société civile doit cesser de s’acoquiner au politique » a-t-elle préconisé en promettant que les autorités ivoiriennes »veilleront qu’il ait une évaluation de ce projet ». Procédant à l’ouverture de la cérémonie, Abdoulaye Sangaré, représentant la ministre de la communication Me Affoussiata Bamba-Lamine, a exhorté les organisations et pays bénéficiaires à »tirer le meilleur profit de ce projet ». Cette cérémonie de lancement, a permis de présenter le projet aux différentes catégories d’acteurs (medias, société civile, décideurs nationaux et locaux) et aux partenaires au développement. Elle a été suivie d’une réunion de travail restreinte durant laquelle l’IPAO et ses partenaires dans les pays ciblés ont passé en revue tous les éléments du projet et ont convenu de la meilleure stratégie pour atteindre les objectifs retenus. Il s’agit notamment d’accroitre les capacités des journalistes à produire des contenus médiatiques de nature à renforcer le contrôle des citoyens sur l’action publique et la recevabilité des élus. L’objectif de ce projet est également de renforcer les capacités des organisations de la société civile (OSC), et notamment des femmes, à interagir avec les medias pour faire entendre leurs voix sur des décisions qui les concernent. Consolider les cadres juridiques propres à garantir une gouvernance démocratiquement particulier, l’accès à l’information et les medias communautaires est également au nombre des objectifs à atteindre. Les promoteurs de ce projet veulent en outre partager entre acteurs des différents pays, les bonnes pratiques de communication qui facilitent la transparence, la veille et la participation citoyenne. Crée en juin 2000, l’IPAO est une organisation régionale africaine non gouvernementale indépendante, qui a pour mission de démocratiser la communication et consolider des espaces publics pour des sociétés africaines ouvertes où les opinions des citoyens sont éclairées, leurs voix amplifiées et entendues. Depuis son siège à Dakar, l’IPAO mène des actions dans les 15 pays de la CEDEAO et en Mauritanie. L’IPAO appui les débats publics et le dialogue politique sur les questions essentielles du développement en Afrique de même que la constitution de savoirs sur le développement des medias et sur les enjeux de la 21 communication pour le développement en Afrique. Cette ONG appui également la production et la diffusion de contenus médiatiques de qualité, générés par les africains eux-mêmes et le renforcement des capacités des acteurs du changement social à informer, communiquer et se faire entendre. L’IPAO fédère, catalyse, innove à l’échelle régionale, suscite et promeut les initiatives en matière de communication gratuite. Copyright : © APA 22 L’IPAO présente son projet " Femmes et médias" Abidjan, 06 avr (AIP)- L’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) a présenté vendredi son projet intitulé "Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest", au cours de la cérémonie de lancement organisée au Plateau, le quartier administratif Abidjan, 06 avr (AIP)- L’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) a présenté vendredi son projet intitulé "Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest", au cours de la cérémonie de lancement organisée au Plateau, le quartier administratif d'Abidjan. Selon la directrice des programmes de l’IPAO, Pauline Bend, ce projet va remédier au déficit de contrôle citoyen sur la gouvernance et à la marginalisation des citoyens dans les décisions publiques. « Nous avons trois orientations majeures, à savoir le renforcement des capacités, l’instauration d’un environnement propice à une meilleure gouvernance ainsi que la collaboration et la diffusion de bonnes pratiques », a-t-elle indiqué. Financé par l’Union Européenne pour une durée de trois ans (2013-2015), ce projet est mis en œuvre dans cinq pays (Bénin, Côte d’Ivoire, Ghana, Guinée, Sierra Leone). Il vise à renforcer les synergies entre ces pays et entre les différentes catégories d’acteurs,, à savoir les médias et organisations de la société civile, particulièrement celles qui promeuvent les droits et la participation des femmes. Ce, pour accroître la participation des citoyens, leur contrôle sur l’action publique et la redevabilité des élus dans ces pays. Le ministre de la Communication, Me Affousiatou Bamba-Lamine, par la voix de son représentant, Abdoulaye Sangaré, a exhorté les organisations des médias et celles de la société civile des cinq pays partenaires du projet en tirer le meilleur profit. Quant à la directrice e la promotion du genre au ministère de la Solidarité, de la Famille et de l’Enfant, Kaba Fofana, elle a salué cette initiative qu’elle espère fructueuse pour accorder une place assez importante à la femme dans les médias. Créé en juin 2000, l’IPAO est une organisation régionale africaine non gouvernementale indépendante qui a pour mission de démocratiser la communication et consolider des espaces publics pour des sociétés africaines ouvertes, où les opinions des citoyens sont éclairées, et leurs voix amplifiées et entendues. L’IPAO mène depuis son siège à Dakar, des actions dans les 15 pays de la CEDEAO ainsi qu’en Mauritanie et appuie les débats publics et le dialogue politique sur les questions clés du développement. (AIP) en/cmas 23 L’IPAO organise un séminaire sur "femmes et médias" Publié le jeudi 4 avril 2013 | AIP Abidjan - L’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPAO) va organiser vendredi à Abidjan, le lancement officiel des activités de son projet « Femmes et médias, partenaires pour une meilleure gouvernance en Afrique de l’Ouest », rapporte un communiqué de presse transmis mercredi à l’AIP. Financé par l’Union Européenne, pour une durée de trois ans (2013-2015), ce projet est mis en œuvre dans cinq pays (Bénin, Côte d’Ivoire, Ghana, Guinée, Sierra Leone). Il vise à renforcer les synergies entre ces pays, et entre les différentes catégories d’acteurs (médias et OSC, particulièrement celles qui promeuvent les droits et la participation des femmes), pour accroître la participation des citoyens, leur contrôle sur l’action publique, et la redevabilité des élus dans ces pays. Cette cérémonie de lancement, permettra de présenter le projet aux différentes catégories d’acteurs (médias, société civile, décideurs nationaux et locaux, partenaires au développement). Elle sera précédée d’une réunion de travail restreinte durant laquelle l’IPAO et ses partenaires dans les pays ciblés pourront passer en revue tous les éléments du projet et convenir de la meilleure stratégie pour atteindre les objectifs retenus. Il s’agit d’accroître les capacités des journalistes à produire des contenus médiatiques de nature à renforcer le contrôle des citoyens sur l’action publique et la redevabilité des élus; Renforcer les capacités des OSC, et notamment des femmes, à interagir avec les médias pour faire entendre leurs voix sur des décisions qui les concernent; Consolider les cadres juridiques propres à garantir une gouvernance démocratique, en particulier l’accès à l’information et les médias communautaires; Partager entre acteurs des différents pays, et capitaliser les bonnes pratiques de communication qui facilitent la transparence, la veille et la participation citoyenne. Les partenaires de l’IPAO pour ce projet sont le Centre du Commerce International pour le Développement (CECIDE) de Guinée; le Ghana Community Radio Network (GCRN), l’Union des Radios de Proximité de Côte d’Ivoire (URPCI), Femme, Droit et Développement en Afrique (WILDAF) du Bénin, Mano River Women’sPeace Network (MORWOPNET) de Sierra Leone. La Society for DemocraticInititiatives (SDI) de Sierra Leone collabore également à ce projet. Créé en juin 2000, l’IPAO est une organisation régionale africaine non gouvernementale indépendante qui a pour mission de démocratiser la communication et consolider des espaces publics pour des sociétés africaines ouvertes, où les opinions des citoyens sont éclairées, et leurs voix amplifiées et entendues. Depuis son siège à Dakar, l’IPAO mène des actions dans les 15 pays de la CEDEAO et en Mauritanie. L’IPAO appuie les débats publics et le dialogue politique sur les questions clés du développement en Afrique; la constitution de savoirs sur le développement des médias et sur les enjeux de la communication pour le développement en Afrique; la production et la diffusion de contenus médiatiques de qualité, générés par les africains eux-mêmes; le renforcement des capacités des acteurs du changement social à informer, communiquer et se faire entendre; l’IPAO fédère, catalyse et innove à l’échelle régionale, suscite et promeut les initiatives en matière de communication démocratique. (AIP) cmas 24 MAI 2013 25 26 http://www.pressafrik.com/An-3-Parite-la-coordonnatrice-du-Caucus-Fatou-Sow-Sarr-salue-lesavancees-de-Wade-et-previent-contre-les-forces_a103409.html 27 28 29 30 AN III DE LA LOI SUR LA PARITE : Les femmes jugent le bilan satisfaisant, mais perfectible Mercredi 15 Mai 2013 Trois ans déjà que la loi n° 2010-11 du 28 mai 2010, instituant la parité, a été votée. Depuis son adoption par l’Assemblée nationale, cette loi, tant sollicitée par la gent féminine, a suscité de nombreux débats, voire des polémiques dans les milieux socio-professionnels, religieux et politiques. Ainsi, pour le 3ème anniversaire du vote de la loi sur la parité célébrée, hier, par Article 19 en partenariat avec le Caucus des femmes leaders du Sénégal et l’institut Panos, la gent féminine dit être satisfaite du résultat obtenu après de longues années de lutte. «La loi sur la parité a été appliquée, si on reste sur la question des principes. Mais, il y a des limites à cette loi», avertit cependant Fatou Sow Sarr, coordonnatrice nationale du Caucus des femmes leader du Sénégal. Pour elle, ce qui est important aujourd’hui, «c’est de continuer à travailler dans l’esprit de la parité, c'est-à-dire essayer de voir comment faire en sorte qu’il y ait des progrès en termes de réduction des disparités et des inégalités». De plus, ajoute-t-elle : «Nous allons voir comment influencer pour qu’il ait des améliorations dans les modalités de désignation des postes à pourvoir». Car, fait-elle savoir que «si tous les postes sont paritaires, on n’aura absolument pas de problème». Estimant, en outre, qu’on va vers des élections locales, Mme Fatou Sow Sarr indique que «le problème se situera là où il y aura des postes uniques», mais pas à la base. Un tel optimisme n’a pas empêché, Maïmouna Kane, ancienne ministre, responsable moral du Caucus d’avertir: «Nous ne devons pas dormir sur nos lauriers, la parité c’est une étape franchie mais ce n’est pas suffisant». Ce qui fera dire au ministre de l'Élevage, Aminata Mbengue Ndiaye, elle aussi membre du Caucus, qu’ «il faut que nous soyons réunies pour défendre cette loi au nom de nos enfants». Un combat qui, selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, doit se mener jusque dans les Universités. «L'université est un espace où la place de la femme reste à conquérir parce que jusqu’à présent, il n’y a pas encore eu de femme recteur au Sénégal», dit-il. Par ailleurs, la rencontre a aussi été l’occasion pour les participants de dénoncer les disparités et l’existence de stéréotypes dans le traitement de l’information ayant trait au genre. Le ministre Abdou Latif Coulibaly d’indiquer que «les causes de cette disparité sont ailleurs, mais pas dans les médias. Ce sont des problèmes de société qui dépassent largement les médias», dira-t-il. Mously NDIAYE 31 32 http://www.lequotidien.sn/index.php/societe/item/21531-l%E2%80%99institut-panos-%C3%A0l%E2%80%99heure-de-la-parit%C3%A9 33 http://www.lequotidien.sn/index.php/component/k2/item/20589-distinction-prix-m%C3%A9dia-etparit%C3%A9-le-journal-le-quotidien-honor%C3%A9 34 JUIN 2013 35 36 37 38 http://www.lequotidien.sn/index.php/societe/item/21532-formation-renforcement-desm%C3%A9dias-pour-la-transparence-dans-la-gestion-des-ressources--12-membres-de-lasoci%C3%A9t%C3%A9-civile-%C3%A0-l%E2%80%99%C3%A9cole-du-journalisme-citoyen 39 http://www.lequotidien.sn/index.php/societe/item/19902-citoyennete-pour-plus-ded%C3%A9mocratie-et-la-bonne-gouvernance--l%E2%80%99institut-panos-pr%C3%B4nel%E2%80%99usage-plus-accru-des-m%C3%A9dias-sociaux 40 41 42 JUILLET 2013 http://www.lequotidien.sn/index.php/societe/item/21579-prix-parit%C3%A9-et-genre--letroph%C3%A9e-remis-au-journal-le-quotidien 43 AOUT 2013 http://www.pressafrik.com/Panos-Afrique-de-l-Ouest-incite-a-une-utilisation-du-Crowdmappingpour-une-mobilisation-sociale-et-citoyenne_a109536.html 44 SEPTEMBRE 2013 http://www.lauthentic.info/spip.php?article5385 45 http://maurisahel.com/article1083.html 46 http://www.lauthentic.info/spip.php?article5417 47 OCTOBRE 2013 http://www.ndarinfo.com/Media-Le-journaliste-Ousseynou-Diop-porte-le-flambeau-de-la-ville-a-unatelier-de-L-Institut-Panos_a6600.html 48 Formation sur le genre, la gouvernance et les VFF ; lanationbenin.bj/publication.php?pub=SOCIETE&lign=441 Les journalistes renforcent leurs capacités Une vingtaine de journalistes suit depuis lundi 7 octobre dernier et ce jusqu’au vendredi prochain, une formation sur le genre, la gouvernance et les violences faites aux femmes (VFF). C’est une initiative de Wildaf/Bénin et de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (IPANOS), financée par l’Union européenne. C’est le directeur de cabinet du ministre de la Communication, et des Technologies de l’Information et de la Communication (MCTIC), Serge Wilfrid Martin qui a procédé à l’ouverture des travaux à Cotonou. Par Maryse ASSOGBADJO Outiller les journalistes sur les différentes thématiques basées sur le genre en vue de leur permettre de faire des productions visant à sensibiliser les populations sur les formes de violence dont sont victimes les femmes. C’est l’objectif de l’atelier qu’organisent depuis lundi dernier WILDAF Bénin et l’Institut PANOS Afrique de l’Ouest (IPANOS) au profit des hommes des médias. Pendant cinq jours, les participants renforceront leurs capacités sur le genre, la gouvernance et les violences faites aux femmes. En effet, partout dans le monde, des inégalités entre femmes et hommes persistent dans presque tous les domaines : représentativité politique et accès au pouvoir décisionnel, vie économique et emplois, accès à l’éducation, la formation et aux facteurs de production…. A cela s’ajoutent les violences physiques, morales et sexuelles dont sont constamment victimes les femmes. Aussi les pesanteurs socioculturelles, les habitudes rétrogrades évoluent-elles trop lentement en leur faveur. Au Bénin, les chiffres et données des inégalités renseignent davantage sur l’ampleur du phénomène. Plus de 69% de femmes déclarent avoir été au moins une fois, victimes de violences, se désole le représentant de l’Union européenne, Javier Medrano. Depuis plus d'une décennie en effet, Wildaf-Bénin à l’instar d’autres ONG, défenseurs des droits des femmes, multiplie des actions pour arriver à bout du phénomène. Mais les fruits tardent encore à tenir la promesse des fleurs, en dépit de l’arsenal juridique mis en place pour promouvoir l’autonomisation des femmes. Il se pose dès lors, un déficit de communication. D’où le présent séminaire pour associer la presse au combat. Celle-ci étant très peu outillée pour aborder de façon technique et professionnelle, les questions sur les violences faites aux femmes (VFF). Généralement, elle diffuse très peu d’informations en faveur du droit et de l’équité du genre et il n’est pas rare que les contenus diffusés soient de nature à véhiculer des stéréotypes et une image visant à stigmatiser les femmes, fait observer le directeur de cabinet du ministère de la Communication, et des technologies de l’Information et de la Communication (MCTIC), Serge Wilfrid Martin. L’objectif de ce projet est de renforcer les synergies inter-pays entre journalistes et organisations de la Société civile notamment les femmes pour accroître la capacité politique des citoyens, leur contrôle sur l’action publique et la redevabilité des élus, a-t-il poursuivi. Il s’agira au cours des cinq jours de travaux, de donner les rudiments nécessaires aux journalistes afin qu’ils puissent animer des débats radiophoniques documentés et de qualité sur les thèmes relatifs aux violences faites aux femmes, de même que sur «la responsabilité civile, la gouvernance et la lecture critique du budget...», a précisé Geneviève Boko Nadjo, coordonnatrice de Wildaf/Bénin.... 2013-10-08 22:16:49 49 NOVEMBRE 2013 http://www.cridem.org/C_Info.php?article=647652 50 DECEMBRE 2013 Soleil L’Institut Panos récompense des reportages sur la bonne gouvernance Last Updated on Monday, 09 December 2013 17:43 Monday, 09 December 2013 17:21 Près d’une dizaine de journalistes de la presse privée et des radios communautaires ont reçu, vendredi dernier, leurs prix de meilleures productions médiatiques sur la Gouvernance. Le concours est organisé par l’institut Panos/Afrique de l’Ouest, en partenariat avec l’ambassade des Pays-Bas. La cérémonie était présidée par le ministre de la Communication et de l’Economie numérique, Cheikh Bamba Dièye. Cette activité de l’institut Panos, initiée depuis trois ans, entre dans le cadre du renforcement du rôle des médias pour la transparence dans la gestion des ressources publiques et le contrôle citoyen. Ainsi, il s’agit pour l’institut Panos de mieux outiller les journalistes afin de bien sensibiliser les populations sur un certain nombre d’aspects de la gouvernance au Sénégal que sont les gestions financière, foncière, forestière et minière, entre autres. Pour les différents reportages les régions de Sédhiou et de Kédougou ont été ciblées. Pendant deux mois, les journalistes ont eu à relayer les préoccupations des citoyens marginalisés du débat public à travers divers formats : le témoignage oral, des débats radiophoniques, des reportages d’investigation et le journalisme citoyen. Cette démarche a permis de réaliser six émissions radiophoniques et six débats sur les questions de gouvernance. A cela s’ajoutent sept autres médias (presse écrite et presse parlée) qui ont mené des campagnes d’investigation portant sur les pillages des ressources minière et forestière dans les régions de Kédougou et de Sédhiou. A l’arrivée, les journalistes Birame Faye du « Quotidien » et Joe Marone de la Rfm ont remporté les prix d’excellence. Ils ont présenté les meilleures productions « Gouvernance investigation ». Pour le journalisme citoyen, les radios communautaires « Pkumel Fm » de Goudomp, « Kambeng Fm » de Madina Wanifa, « Kédougou Fm », « Gigig Sembé FM » ont été primés. Après la cérémonie de remise des prix, le ministre de la Communication et de l’Economie numérique a félicité les récipiendaires et l’ensemble des organes de presse qui ont participé à cet événement. Cheikh Bamba Dieye s’est aussi félicité de l’initiative de l’institut Panos pour l’organisation de ce concours et l’implication de l’ambassade des Pays-Bas dans la consolidation de la liberté et de la démocratie au Sénégal. Pour le ministre de la Communication et de l’Economie numérique, les médiats, et plus particulièrement les radios communautaires, jouent et doivent jouer un rôle incontournable dans la gestion transparente des ressources publiques. Selon Cheikh Bamba Dièye, les messages véhiculés par les radios communautaires à travers les langues nationales sont plus accessibles et plus compréhensibles aux populations. Ce qui va permettre à celles-ci de mieux comprendre et de bien appréhender le fonctionnement et la gestion du bien public. Auparavant, le chargé du projet Libasse Hann s’est félicité du comportement exemplaire des reporters et de la qualité des productions. Il a aussi salué le partenariat fécond entre l’institut Panos Afrique et l’ambassade des Pays-Bas qui a permis la formation d’une cinquantaine de journalistes et la création de 300 contenus médiatiques. Pape Coly NGOME 51 52 53 54 REPORTAGES - MAGAZINES Lancement du projet UE FEMEGOV en Côte d’Ivoire. Reportage de 2 minutes réalisé par Juliette Weah et Christian Kofi diffusés au Journal Télévisé des deux chaînes nationales ivoiriennes : Diffusions : - 6 avril 2013 : 20h JT de RTI 1 et RTI 2 6 avril 2013 : 23h JT de RTI1 et RTI 2 Lancement de l’activité Synergie Dakar du programme Migration Reportage diffusé au Journal Télévisé de la RTS du 23 mai 2013 Célébration An III de la Parité Reportage d’Amadou Arame Thiam diffusé à la RTS le 13 mai au JT de 20h et 23h Reportage de Dior Ndiaye Cissé diffusé à la RTS Radio le 13 mai au JP de 20h et de 23h Reportage de Fatou Laye Mbaye diffusé à la SENTV le 13 mai au JT de 19h et de 21h Reportage d’Ababacar Diémé diffusé à la radio Zik FM le 13 mai au JP de 19h Reportage de Mame Diara Dasylva diffusé à la radio Sud FM le 13 mai au JP de 13h - 14h – 17h – 18h Reportage de Maguette Dieng diffusé à la RDV le 14 mai à 22h Reportage de Ramatoulaye Diaw diffusé à la 2STV le 14 mai à 20h Reportage de Dieynaba Seydou Ba diffusé à la RFM le 14 mai à 13h Reportage d’Alioune Badara Ndim diffusé à LAMPE FALL TV et radio le 14 mai à 13h et 20h Reportage d’Aicha Diop Sy diffusé à MOURCHID TV le 14 mai à 20h Reportage d’Oumar Ndiaye diffusé à REWMI FM le 14 mai à 13h Prix meilleures production sur la gouvernance 2013 Reportage d’Amar Ndione diffusé à la RFM le 06 décembre au JP de 20h Reportage d’Ibrahima Mboup diffusé à la RTS le 07 décembre au JT de 20h Reportage d’Amar Mamadou Diallo diffusé à la SENTV le 07 décembre au JT de 20h Reportage de Fatou Laye Mbaye diffusé à la ZIK FM le 07 décembre au JP de 13h 55