Le Monde de Cézard - Le collège lucien Cézard sur le web

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Le Monde de Cézard - Le collège lucien Cézard sur le web
Cette semaine à Lucien Cézard
4èmes : Début des épreuves communes !
...
Le Monde de Cézard
Semaine du 16/05/2016
Bimensuel gratuit
2ème année
N°21
Souvenirs de
Bavière
Vous n’êtes pas sans savoir
que les classes germanistes de 5ème
et de 4ème sont parties en voyage
en Bavière du 9 au 14 mai. Ça vous
a peut-être allégé votre emploi du
temps, mais savez-vous ce que
vous avez manqué ? Non ? Eh bien
voici quatre petits textes qui, vont,
j’espère, vous donner envie d’y
aller.
JOURNAUX EN LIBRE-SERVICE À MUNICH.
BIENTÔT LE MONDE DE CÉZARD ?
Le chiffre de la semaine
Lire la suite p. 2
2
C’est l’argent, en milliards
d’euros, dépensé par les
touristes en Seine-et-Marne
en 2015.
Nos rubriques
p. 3
LBA (la bonne adresse)
Pizza Fresca

p. 4
C. Q. F. D. (Ce Qu’il Faut Découvrir)
Les Creepypastas

p. 4
JDF (journal des films)
Captain America III : Civil War

Éditorial
C. Q. F. D.
Ce qu’il fallait démontrer, c’est que CQFD ne
veut pas forcément dire « ce qu’il fallait
démontrer », vu qu’il signifie, ici, ce qu’il faut
découvrir. En effet, c’est une nouvelle rubrique que
nous propose Anaïs Jaworski, une nouvelle
rédactrice. Vous aurez aussi la joie de découvrir ce
que vous avez (peut-être) manqué lors du superbe
voyage en Bavière. Vous verrez aussi le troisième
volet de notre trilogie « pizzas », ainsi qu’une
critique très complète sur Captain America III : Civil
War.
Voilà, nous espérons que vous trouverez ce
que vous aimez, bonne lecture à tous.
– La Rédaction
1
Ils l’ont dit… Il y a déjà quelque temps.
« La sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit. » (O. Wilde)
Souvenirs de Bavière
La vieille ville de Munich
La Marienplatz.
Ce fut une grande balade qui nous a conduits dans tous les recoins de la (vieille) ville de
Munich. Nous avons visité la Hofbraühaus, une grande et belle taverne où on boit des bières et
où on chante des chansons (en se tenant par les coudes…), ainsi que le « marché aux victuailles »,
un grand marché qui est là tous les jours, avec quantité de nourriture. Nous avons vu la Residenz
des Wittelsbach, une famille qui a régi Munich et la Bavière pendant des siècles, et également la
Marienplatz, une très grande place surplombée par une immense mairie, ayant pour particularité
de posséder, tout en haut, un carillon. Ce sont en réalité de petites statues qui bougent,
accompagnées de musique, à 11, 12 et 17 heures. Il y a aussi, dans cette ville, beaucoup de
choses typiques : les hangars pour vélos à deux étages, et les distributeurs de journaux (photo en
couverture), principe basé sur la confiance. En effet, des journaux sont disposés comme sur la
photo, et les gens en prennent, laissant une pièce à la place. – Louis Rubellin
Le Château de Linderhof
Le Château de Linderhof se situe dans l’extrême Sud de la Bavière. Nous avons par
ailleurs pu voir, depuis ce site, les Alpes Bavaroises. Comparé aux autres châteaux de Louis II
(comme Neuschwanstein ou bien Herrenchiemsee), celui-ci peut paraître très petit, mais il
possède, en revanche, de magnifiques jardins, dans lesquels on trouve de splendides statues.
Dans le parc, nous avons pu voir le Pavillon Mauresque et la Grotte de Vénus. Cette grotte a
été construite par Louis II, pour son ami Wagner, un grand compositeur allemand, pour le
bien d’un de ses opéras, Tannhäuser. Mais revenons-en au château en lui-même. La façade
est très jolie, mais elle fait tout de même penser à celle d’une villa (royale). Quant aux pièces,
elles sont particulières, car chacune d’elle a une couleur de thème (violet, vert, bleu…)
différente. J’ai donc beaucoup apprécié cette visite, que ce soit par le bâtiment ou bien les
jardins. Je n’ai qu’une seule critique à faire, qui est celle de la rapidité de la visite : nous
n’avions pas vraiment le temps d’observer chaque pièce. – Florian Lucas
Le Deutsches Museum
L’entrée du Deutsches
Museum.
Linderhof
Eh oui, il fallait bien que ce voyage compte un point faible. Ce point faible, selon moi, a été la
visite du Deutsches Museum. Tout d’abord, je tiens à préciser que ce musée est un musée de
sciences et techniques, et même si ce n’est pas mon domaine de prédilection (l’avis exprimé dans
ce texte est donc purement personnel !), j’étais néanmoins curieux de découvrir ce lieu. Mais voilà,
bien qu’il y ait eu écrit « Visite libre du Deutsches Museum » sur le programme, notre visite a été
malheureusement consignée à l’étage 2 et à la mine. Car, oui, en sous-sol se trouve la
reconstitution d’une mine de sel, où ont failli se perdre plus d’un élève. Enfin, les dispositifs
présentant les énergies renouvelables n’étaient pas des mieux faits. Enfin – et c’est un peu
dommage – les étages qui, selon moi, étaient les plus attractifs (planétarium, avions et astronomie)
n’ont pas pu être visités, en raison, donc, du temps passé à remplir les fiches. Enfin bon, c’était
quand même vraiment très sympa. – L. R.
Le BMW Welt
Le BMW Welt se situe à Munich, non loin du BMW Museum et de la Tour Olympique,
dans laquelle nous sommes montés le même jour. Avec une architecture en origami, il n’a pas
vraiment d’étages. Ce serait plutôt un rez-de-chaussée, surplombé par des couloirs et une
plateforme en suspension. Au rez-de-chaussée, il y a la boutique, des animations sur le golf,
et la cafétéria. Côté véhicules, il y avait tout naturellement des BMW, mais aussi des Mini et
des Rolls Royce, groupes rachetés par BMW. Sur les couloirs suspendus, étaient exposées
beaucoup de motos. Quant à la plateforme, je ne peux pas vous en parler, étant donné que
c’était ici que les acheteurs testaient leurs voitures, et que nous ne pouvions par conséquent
pas y avoir accès. Pour conclure, je dirais que c’était une excellente visite !!! – F. L.
Vue d’ensemble
du BMW Welt, prise depuis
un couloir suspendu.
Retrouvez plus de photos sur la page du MDC sur le site, et également dans l’endroit consacré à ce
voyage dans la rubrique Voyages du site du collège.
2
Remerciement…
Merci à Mme Perrot et à l’ensemble des accompagnateurs du voyage pour tout ce que vous avez fait ! (Les Élèves)
C. Q. F. D. 
Les creepypastas
Avant de rentrer dans le vif du sujet, je tiens à préciser que cet article parlera de ce qu'il faut découvrir, les sujets présentés dans ces articles
étant choisis d'après un avis personnel. Les exemples qui vont être cités peuvent heurter la sensibilité de certaines personnes. Je conseille donc aux
âmes sensibles de ne pas aller chercher les dits exemples sur Internet.
Qu'est-ce que sont les creepypastas ?
Pour répondre, je dirais que ce sont des histoires destinées à faire peur. Elles circulent sur internet et sont
généralement accompagnées de textes, de vidéos, de fichiers audio, de témoignages... Je tiens également à dire que ces
« preuves » sont souvent inventées de toutes pièces. Il existe aussi plusieurs types de creepypastas :
 Les creepypastas simples (expliqués ci-dessus). Exemple : le Slenderman (qui est
devenu la creepypasta la plus connue suite à une tentative de meurtre commise en
son nom).
 Les épisodes perdus qui sont des épisodes de dessins animés ou de séries pour
enfants contenant des images inquiétantes. Certains de ces épisodes sont des
canulars (exemple : Le suicide de Carlos dans Bob l'éponge), ou bien d'autres ont
vraiment été créés par les studios d'animation produisant ladite série (exemple :
Screaming Episode dans Candle Cove).
 Les cartouches hantées dans lesquelles il se passe des choses très étranges
(exemple : La cartouche hantée de Zelda).
Voilà, c'est tout pour cet article. J'espère que vous l'avez apprécié, merci ! – Anaïs Jaworski
Jeff the Killer,
(Version Chibi)
LBA 
Pizza Fresca 
Trois pauvres néons accrochés çà et là, un intérieur qui paraît peu salubre,
voilà à quoi ressemble l’extérieur de Pizza Fresca, pizzéria de son état à Fontainebleau.
Franchement, ça ne donne vraiment pas envie. Mais genre pas du tout. Les cartons de
pizza sont entassés dans l’entrée avec des sacs plastiques. Seule l’odeur qui peut
parfois vous mettre en appétit reste correcte. Mais c’est tout. De plus, le logo de Pizza
Fresca n’est absolument pas esthétique. Franchement, si c’est pour faire ça, autant ne
pas faire de logo.
Contrairement à la concurrence (voir nos autres articles), il n’y a qu’une seule offre. Pas de pizza à tarif moindre
certains jours, pas de pizzas gratuites, non, on vous offre… une cannette de 33 cl pour toute pizza achetée ! Et les prix ne sont
pas très bon marché (16 € pour une pizza de 40 cm)…
Quant aux pizzas… Bon, il faut reconnaître vraiment que ça sent très bon, et que la pizza ne luit pas de graisse comme
certaines autres. Et ça, c’est un bon point. En revanche, une fois mise en bouche, la pâte recèle un arrière-goût étrange, et est
un peu élastique (pourtant on annonce bien en vitrine qu’il ne s’agit pas de pâtons congelés). Mais c’est une élasticité
acceptable toutefois (mais en même temps, vu le four qui a cuit ces pizzas…), et la pizza n’est globalement pas mauvaise du
tout. Petits soucis d’image et de marketing donc pour Pizza Fresca, qui décroche deux étoiles sur cinq. – Louis Rubellin

Les concours de dessins reprennent ! Alors à
vos crayons pour dessiner quelque chose et le
donner à Hélory Marion-Miraca (4°E) le plus tôt
possible ! Merci d’avance et bonne chance.
– La Rédaction.
Information
Comme vous le savez, vous pouvez désormais
retrouver le Monde de Cézard sur Internet. Mais
savez vous que vous pouvez également trouver
photos et articles ? Dès aujourd’hui, découvrez
un JDL et des photos du jardin du collège.
http://www.luciencezard.org/?page_id=2425
3
Le truc de fou
Dans un restaurant Quick, un client a eu la (mauvaise) surprise de trouver, parmi ses nuggets… la tête du poulet. Oui, oui.
JDF
Captain America III : Civil War
Ça ne vous a sûrement pas échappé, le troisième volet de la
saga Marvel Captain America est sorti le 27 avril. Je dois dire avant
tout que la bande-annonce m’avait déjà considérablement donné
envie d’aller voir ce blockbuster. De plus, Captain America est l’un de
mes super-héros Marvel favoris. Eh bien, il faut dire que je n’ai pas été
déçu après ces deux heures vingt-six de film.
On retrouve donc les héros que l’on suit depuis huit ans (Iron Man, War Machine,
Captain America…), les deux personnages qui ont rejoint l’équipe dans Avengers : L’ère
d’Ultron (l’atypique Vision, un Paul Bettany au sommet de son art, et la tourmentée
Scarlett Witch), un inutile, une connaissance et un nouveau. Avant de dire qui sont ces
trois derniers, je tiens à préciser que Thor et Hulk ne sont pas présents dans ce film, car
ils sont occupés par leurs longs-métrages à eux qui ne tarderont pas à sortir sur nos
écrans.
Que Le personnage « inutile » se trouve être Spider Man. Eh oui. Pour tout vous dire,
j’ai été tellement déçu par l’interprétation de ce personnage (incarné par un acteur niais,
Tom Holland, pour qui le doublage français n’est vraiment pas gratifiant), que j’ai trouvé
inutile de l’insérer dans ce film, qui plus est pour une très brève apparition. Celui que j’ai
qualifié de « connaissance » n’en est une que pour ceux qui ont vu le film Ant-Man, je
parle bien entendu d’Ant-Man lui-même, que l’on voit dans le film non seulement sous la
forme d’Ant-Man mais également sous la forme de Giant-Man, chose que l’on n’avait pas
vue pendant Ant-Man. On retrouve bien sûr l’acteur Paul Rudd sous les traits de l’homme
fourmi, qui ajoute une touche d’humour à ce film. La carte de l’humour est, par ailleurs le
nouvel atout de Marvel (Deadpool, Les Gardiens de la Galaxie, ou encore Ant-Man), après
avoir joué sur le dramatique (Captain America II : Winter Soldier ou bien Iron Man 3). Le
« nouveau » à part entière, que l’on n’avait jusqu’alors jamais vu, est la Panthère Noire
(Black Panther en V. O.). Ce personnage, dont la véritable identité est T’Challa, roi du
Wakanda, un pays d’Afrique imaginaire (proche du Nigéria) m’a beaucoup plu par son
costume et son caractère.
Black Panther,
dans son costume noir
en vibranium, lors de sa
première apparition
dans
Fantastic Four #52
Juillet 1966
Au final, lors de la principale bataille qui se déroulera dans un aéroport, les superhéros de la « Team Cap »
seront : Captain America (naturellement), Hawkeye, le Faucon, Bucky Barnes, Ant-Man/Giant-Man et Scarlett Witch. Les
partisans d’Iron Man, eux, sont War Machine, Black Widow, Black Panther, Vision et Spider Man. La bataille de l’aéroport
est géniale en tous points (sauf pour les interventions de Spider Man, à qui Bucky et Faucon reprochent de trop parler
lorsqu’il se bat, ce qui accentue la bêtise, et donc l’inutilité du personnage). Les grand moments d’actions sont
accompagnés d’une musique époustouflante signée Henry Jackman (Captain America II : Winter Soldier, Kingsman…).
L’amour est aussi dans l’air dans Civil War, avec deux relations naissantes : Steve Rogers
et Sharon Carter (la… nièce de Peggy Carter, la copine de Captain America dans Captain
America : First Avenger) qui n’a pas de très grand intérêt, et celle, plus lente, plus réfléchie
entre Vision et Scarlett Witch. Quant au méchant, le vrai, le seul, le « Colonel » Helmut Zemo
(incarné à l’écran par Daniel Brühl) n’est pas un ennemi très convaincant. De plus ses motifs ne
sont pas des meilleurs (une histoire de vengeance), mais cacherait-il une autre motivation ? En
effet, Zemo est, selon les comics, un extraterrestre, mais je n’en dirais pas plus. Rempli de clins
d’œil (Star Wars), ou encore d’hommages (Stan Lee, le créateur de la plupart des personnages
de comics Marvel, en livreur FedEx), on ne s’ennuie jamais. Bref, le film est, et ce jusqu’aux
Stan Lee, en 2014. séquences post-génériques, une entière réussite qui donne envie de voir les prochains Avengers
Il a créé les super (Avengers : Infinity War I [2017] et II [2018]), et qui le place parmi mes films Marvel favoris, avec
héros comme :
Captain America : First Avenger, Les 4 fantastiques et le Surfer d’Argent, Les Gardiens de la
Les Avengers, les
Galaxie, Ant-Man et Deadpool. Les studios Marvel ont donc un très grand cran d’avance sur
X-Men, Daredevil,
DC Comics (qui, après leur cuisant échec de Batman v Superman : Dawn of the Justice,
Docteur Strange….
préparent Wonder Woman et Justice League). – Louis Rubellin
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