dossier de presse - Pôle Salons et Congrès du Groupe Moniteur
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DOSSIER DE PRESSE Le rendez-vous de l’achat public Contact Presse : Stéphane BALLISTE, 01 40 13 30 80 [email protected] Sommaire Présentation du SMCL 2010 Fiche 1 - Le Salon des Maires et des Collectivités Locales 2010, mode d’emploi, temps forts et chiffres-clés p. 5 - Le SMCL 2010 en chiffres - Les temps forts du SMCL 2010 : Prix de l’Innovation, Village Territorial, … - Tendances de l’offre du SMCL 2010 - Informations pratiques Le marché des Collectivités Locales en 2010 Fiche 2 Fiche 3 2010, les collectivités à la croisée des chemins - 2009 : un effort d’équipement maintenu - 2010 : une année de transition p. 8 L’achat public, levier de performance économique territoriale p. 10 - Les Trophées de la Commande Publique 2010 1 Les 9 zones thématiques du SMCL 2010 Fiche 4 Sport – Loisirs – Tourisme – Culture Un nouvel espace pour le Salon des Maires: Sport, Loisirs, Tourisme, Culture dans le Pavillon 5 p. 14 La zone Sport - Loisirs - Tourisme - Culture représente 8,8% des exposants du SMCL 2010. Le Forum Sport, Loisirs, Tourisme & Territoires p. 18 Programme complet Fiche 5 Enfance – Santé – Social Pour une ville accessible p. 22 La zone Enfance - Santé - Social représente 4,9% des exposants du SMCL 2010. Fiche 6 Aménagement urbain Du quartier à la ville durable p. 25 La zone Aménagement urbain représente 19% des exposants du SMCL 2010. Fiche 7 Environnement – Energie p. 31 La loi «Grenelle 2» : mise en œuvre législative des Grenelle de l’Environnement La zone Environnement - Energie représente 15,7% des exposants du SMCL 2010 Fiche 8 Institutionnel – Finances – Services aux collectivités p. 36 Rationalisation des coûts, mutualisation des équipements et optimisation des dépenses La zone Institutionnel - Finances - Services aux collectivités représente 20% des exposants du SMCL 2010. Fiche 9 Matériel – Transport – Véhicules La loi Grenelle 2 : un changement essentiel dans les transports p. 42 La zone Matériel - Transport - Véhicules représente 6,5% des exposants du SMCL 2010. Fiche 10 Bâtiment – Travaux publics – Voirie Sécurisation des réseaux enterrés et nouvelle règlementation thermique p. 45 La zone Bâtiment - Travaux publics - Voirie représente 11,4% des exposants du SMCL 2010. Informatique – Télécommunications Fiche 11 L’accès au haut débit, au très haut débit et la dématérialisation des marchés publics p. 49 La zone Informatique - Télécommunications représente 9,5% des exposants du SMCL 2010. Fiche 12 Prévention – Sécurité La maire, maître d’œuvre de la prévention La zone Prévention - Sécurité représente 4,2% des exposants du SMCL 2010. 2 p. 54 Le programme des événements du SMCL 2010 Fiche 13 Les 5 Cycles d’Ateliers et Conférences du SMCL 2010 p. 56 Cycle Sport – Loisirs – Tourisme – Culture Programme détaillé des Ateliers techniques, Conférences exposants et Remises de prix Cycle Services aux collectivités Programme détaillé des Ateliers techniques, Conférences exposants et Remises de prix Cycle Développement durable – Aménagement urbain Programme détaillé des Ateliers techniques, Conférences exposants et Remises de prix Cycle Energie Programme détaillé des Ateliers techniques, Conférences exposants et Remises de prix Cycle Environnement Programme détaillé des Ateliers techniques, Conférences exposants et Remises de prix Plan Accueil Presse du SMCL 2010 p. 68 3 Présentation du SMCL 2010 Fiche 1 Le Salon des Maires et des Collectivités Locales 2010, mode d’emploi, temps forts et chiffres-clés Organisé par le Groupe Moniteur, en partenariat avec l’Association des maires de France (AMF) qui tiendra en parallèle son congrès annuel, le Salon des Maires et des Collectivités Locales (SMCL) est le rendez-vous national annuel des acteurs de la commande publique, de leurs partenaires institutionnels et des prestataires spécialisés dans la gestion, les services, l’aménagement et le développement des collectivités territoriales. Le SMCL 2010 en chiffres 5 pavillons d’exposition 55 000 m² 900 exposants 55 000 visiteurs attendus 9 espaces thématiques 11 ateliers techniques 55 conférences exposants 6 remises de prix ou trophées Pour répondre au mieux aux besoins et demandes des collectivités locales, le SMCL 2010 est structuré en 9 espaces thématiques permettant aux visiteurs de cibler leurs recherches : Institutionnel / Finances / Services aux collectivités (20% des exposants) Aménagement urbain (19%) Enfance / Santé / Social (4.9%) Sport / Loisirs / Tourisme / Culture (8.8%) Environnement / Energie (15.7 %) Informatique / Télécommunications (9.5 %) Bâtiment / Travaux publics / Voirie (11.4 %) Matériels / Transport / Véhicules (6.5 %) Prévention / Sécurité (4.2 %) Les temps forts du SMCL 2010 Le concours des Prix de l’Innovation du SMCL 2010 viendra récompenser les exposants du salon présentant un produit, procédé, matériel, système, service ou technique novateur. Le jury présidé par Jacqueline GOURAULT (Sénateur-Maire de La Chaussée Saint-Victor, 41) et composé de 12 professionnels des collectivités, récompense dans chacune des 9 catégories du salon les produits ou services les plus innovants. Cette année, 84 exposants ont présenté 92 dossiers. Remise des Prix de l’Innovation, Mardi 23 Novembre, 11h30, Village Territorial, Pavillon 2/1. Le Village Territorial dans le pavillon 2/1 sera le lieu de rencontres et d’échanges des fonctionnaires territoriaux et accueillera les remises des Prix de l’Innovation du SMCL 2009, des Prix Territoriaux, des Prix de l’Ethique, des Prix des Collectivités Accessibles… La 1ère édition des Prix des Collectivités Accessibles qui ont pour objectif de récompenser la politique volontariste des collectivités en faveur des personnes en situation de handicap. Deux prix, l’un à une collectivité de moins de 40 000 habitants, l’autre à une collectivité de plus de 40 000 habitants, seront remis dans 4 catégories : Espace Public/Habitat ; Transports/Déplacements ; Nouvelles Technologies ; Emploi. Remise des Prix Mercredi 24 Novembre, 11h, Village Territorial, Pavillon 2/1. Les Trophées de la Commande Publique (3e édition) qui ont pour vocation de récompenser les organisations soumises au Code des Marchés Publics ou à l’ordonnance du 6 juin 2005 (Etat, collectivités, hôpitaux, établissements publics, chambres consulaires…) qui cherchent à améliorer l’efficacité de leurs politiques d’achat. Les Trophées seront attribués dans 3 catégories : Méthodes et organisation ; Performance économique de l’achat public ; Achat durable. Remise des Trophées, Jeudi 25 Novembre, 11h45, salle 21, Pavillon 2/1. Les visiteurs du SMCL pourront assister à 5 cycles d’Ateliers techniques sur les grands enjeux des collectivités locales, ainsi qu’à des Conférences exposants qui, grâce à des cas concrets et retours d’expériences, apportent des solutions opérationnelles aux collectivités. Rappel : En 2009, 48 900 visiteurs dont 70% d’élus et décideurs territoriaux et 30% d’acteurs privés de la ville ont visité le SMCL. 4 Tendances de l’offre du SMCL 2010 Le Salon des Maires et des Collectivités Locales (SMCL) est le seul rendez-vous annuel national qui réunit tous les grands acteurs de la commande publique avec l’ensemble de leurs partenaires institutionnels ou spécialisés dans la gestion, les services, l’aménagement et le développement des villes, départements et régions de France. Première manifestation professionnelle du secteur des collectivités locales, ce salon offre aux décideurs de l’achat public (élus et décideurs territoriaux) des réponses et solutions concrètes aux problématiques et besoins rencontrés dans l’exercice quotidien de leurs missions. Le SMCL est un outil au service des décideurs locaux afin d’optimiser, de rationaliser et de mutualiser leurs dépenses. Les échéances de la mise en accessibilité des espaces publics La loi Handicap de Février 2005 a fixé des objectifs et échéances de mise en accessibilité des espaces publics. C’est donc tout notre environnement quotidien qui doit être modifié. Nous sommes aujourd’hui à mi-chemin du calendrier fixé par la loi puisqu’il ne reste que cinq exercices budgétaires pour diagnostiquer, programmer, budgéter et … réaliser. Les bâtiments publics en premier lieu doivent être accessibles tant aux personnes à mobilité réduite qu’aux déficients visuels ou auditifs. Ainsi, en plus des rampes d’accès qui viennent compléter les escaliers, ce sont de multiples équipements de signalisation et d’aide au repérage spatial qui sont proposés afin que chacun puisse avoir accès au service public, à l’espace public. De la même manière, la mise en accessibilité implique que les documents, services d’information, standards téléphoniques et sites internet des collectivités puissent être utilisés et compris par tous. Là encore, plusieurs systèmes de traduction et d’adaptation visuelle voient le jour. Les solutions de dématérialisation et de guichet unique permettent ainsi d’avoir accès, quel que soit le jour et l’heure, aux différents services de la collectivité, sans contrainte d’horaire et de déplacement. Rationaliser, optimiser, mutualiser les dépenses et les équipements Les produits, systèmes, matériels et techniques destinés aux collectivités territoriales s’inscrivent dans la démarche globale d’économies d’énergie. Alors que la question du développement durable et du respect de l’environnement est présente à l’esprit de tous les administrés ; les communes, intercommunalités, départements et régions de France sont à la recherche de solutions permettant ces économies d’énergie. La question de l’efficacité énergétique de ces matériels, véhicules et équipements est au cœur des préoccupations des acheteurs publics. Ainsi, les fabricants ont développé les motorisations électriques, ont réduit les émissions de CO² ainsi que les consommations d’eau et de carburants. Les véhicules utilitaires, eux aussi, ont des motorisations électriques. Aussi, les véhicules et équipements de nettoyage de voirie recyclent désormais les eaux de lavage. De la même manière, les équipements photovoltaïques et éoliens se multiplient. Les luminaires urbains fonctionnent non seulement à l’aide de LED mais également grâce aux énergies solaire et éolienne. Certains de ces équipements se voient dotés de capteurs ou programmateurs et ne se mettent en lumière qu’à certaines heures de la journée ou lors du passage de piétons ou véhicules. L’heure est également à l’optimisation, à la rationalisation et à la mutualisation des équipements. Des solutions de rationalisation des collectes de déchets ménagers font appel à des conteneurs d’apport volontaire (verre, carton, papier, etc.) équipés de boîtiers/capteurs communicants afin d’effectuer les tournées de ramassage uniquement quand nécessaire. Des plateformes web ont été développées pour permettre aux communes de se prêter, s’échanger ou se vendre du matériel. Certains mobiliers urbains sont désormais fabriqués en éco-matériaux recyclés, issus de la valorisation des déchets des produits électriques et électroniques. Des solutions d’éclairage à LED permettent de rénover le parc des lanternes d’éclairage public sans avoir à changer le mât d’éclairage. Ailleurs, des solutions innovantes associent une assise confortable à un espace jardinable pour apporter à l’usager nature et confort dans l’espace vert public. 5 Informations pratiques Mardi 23, Mercredi 24 et Jeudi 25 Novembre 2010 : Paris Expo - Porte de Versailles 75015 Paris - Pavillons 2/1, 2/2, 3 et 5 Horaires d’ouverture : Mardi 23 Novembre : 9h00 - 19h00 Mercredi 24 Novembre : 9h00 - 19h00 Jeudi 25 Novembre : 9h00 - 18h00 Moyens d'accès Métro : ligne 12, direction Mairie d’Issy, station Porte de Versailles Tramway : Ligne T3 - arrêt Porte de Versailles Autobus : ligne 39, 80, PC Voiture : Porte de la Plaine Parkings publics : Porte C - Parking C Accréditation Presse, Inscription visiteurs, Liste des exposants et Programme complet disponibles sur www.salondesmaires.com Les visiteurs sont invités à se pré-inscrire en ligne afin d’obtenir leur badge électronique et préparer leur visite grâce au plan interactif. Contact Presse Salon des Maires et des Collectivités Locales 2010 : Stéphane Balliste Tél : 01 40 13 30 80 [email protected] Contact Presse 93ème Congrès des Maires et des Présidents de Communautés de France: Marie-Hélène GALIN Tél : 01 44 18 13 59 [email protected] 6 Etat des lieux des Collectivités Locales en 2010 Fiche 2 2010, les collectivités à la croisée des chemins 1er investisseur de France, les collectivités territoriales gèrent notre cadre de vie, de la crèche à la maison de retraite. Après un effort d’investissement maintenu au niveau de celui des années précédentes, notamment grâce au versement anticipé du FCTVA, le gel annoncé des dotations de l’Etat sur trois ans prévu par le Projet de Loi de Finances pour 2011 risque fort d’accentuer l’effet de ciseau connu par les collectivités depuis plusieurs années. Cette 15ème édition du SMCL sera donc placée, plus que jamais, sous le signe du « Dépenser moins, Dépenser mieux ». 2009 : un effort d’équipement maintenu1 L’année 2009 restera en France comme une année de récession sans précédent dans l’après-guerre. Dans ce contexte, la dépense publique locale a joué un rôle important de soutien à l’économie. Les dépenses sociales de redistribution ont fortement été mises à contribution et la demande intérieure a été stimulée à l’aide de mesures incitatives à la dépense. Les collectivités locales assurent la majeure partie des investissements publics. La formation brute de capital fixe des administrations publiques locales s’est élevée à 44,5 Md€, contribuant pour 70% à l’investissement public en France en 2009, après 73% en 2008. Les collectivités ont quasiment maintenu leur effort d’investissement au niveau de celui des années précédentes. Une partie des dépenses a été financée par grâce au versement anticipé du fonds de compensation de la TVA (FCTVA). Cette avance de l’Etat a été accordée en échange d’un engagement à maintenir les dépenses d’équipement à un niveau conforme à celui des années antérieures. Elle a permis aux collectivités de soutenir le secteur du bâtiment et des travaux publics sans recourir à l’emprunt, voire même en le réduisant. 2 En 2009, l’effort d’équipement est resté soutenu : le montant des dépenses d’équipements s’est élevé à 39,8Md€. C’est une baisse légère (- 0.6%) contre -3.2% en 2008. 2009 est la deuxième année du cycle électoral dans les communes. La première partie du cycle électoral est généralement marquée par la mise en place des équipes municipales et la définition de nouveaux projets. La phase de décision sur le lancement de nouveaux équipements explique le moindre dynamisme des investissements en 2008 et 2009. La mise au point des projets, la passation des marchés et le lancement des travaux sont des étapes qui se réalisent plus tard, dessinant le cycle d’investissement. 1 Source : Observatoire des finances locales « Les finances locales en 2010, Etat des lieux ». Source : Bulletin d’Informations Statistiques de la DGCL, « Les budgets primitifs des collectivités locales en 2010 », N°76 – Septembre 2010. 7 2 En 2009, deux événements ont influencé ce cycle. En premier lieu, la crise économique a touché les finances des collectivités locales au second semestre 2008, et s’est poursuivie au cours de 2009. Dans le même temps, la mise en place d’un plan de relance et l’adhésion des collectivités à ce plan ont entraîné un accroissement des recettes d’investissement contribuant à limiter la baisse des investissements pour 2009. En 2009, les communes et leurs groupements auront concentré 68.8% des dépenses d’équipements des collectivités locales (27.4 Md€). Cependant, certaines de ces dépenses auront été financées indirectement par les départements et les régions sous la forme de subventions d’investissement. Les dépenses d’équipements des départements se sont élevées à 8.6M€ en 2009 (en hausse de 0.7%). Les efforts des départements se concentrent sur les collèges, mais également sur la voirie depuis le transfert des routes nationales. Les dépenses d’équipements des régions enregistrent également une hausse modérée de 1.5% et s’élèvent à 3.8Md€. Les régions investissent principalement dans 3 secteurs : les lycées, la formation professionnelle et le transport ferroviaire. 2010 : une année de transition L’année 2010 succède à une année de crise économique et se situe entre deux périodes de réformes pour les collectivités locales. Les transferts de compétences de l’acte II de la décentralisation sont en phase d’achèvement. Les budgets régionaux et départementaux sont moins modifiés en structure que les années antérieures. Le montant des compensations correspondant aux nouvelles compétences transférées en 2010 est de 100M€ quand il était de plus de 2.2Md€ en 2007 et de 1.7M€ en 2008. Par ailleurs, au 1er janvier 2010 la taxe professionnelle est supprimée. Dès 2010, les entreprises sont soumises à la Contribution Economique Territoriale (CET) qui comporte une part imposable sur des bases foncières et une part imposable sur la valeur ajoutée. Les entreprises de réseaux sont en plus redevables d’une imposition forfaitaire. En 2010, l’Etat encaisse ces nouveaux impôts et verse aux collectivités une compensation relais se substituant au produit de taxe professionnelle. Le produit de ces impôts sera perçu par les collectivités locales à partir de 2011. Avec cette réforme, l’ensemble de l’architecture de la fiscalité locale, et notamment la répartition des impôts entre collectivités, est revu. Ainsi en 2010, les régions votent pour la dernière année des taux de taxes foncières, les départements votent pour la dernière fois un taux de taxe d’habitation. Enfin se dessine la réforme des collectivités territoriales, dont le projet de loi est en cours d’examen à l’heure où nous écrivons ces lignes. Les perspectives économiques laissent présager au mieux une timide reprise au cours de l’année 2010. Depuis la fin 2009, les conditions de financement s’avèrent plus favorables à l’emprunt, en raison des baisses des taux d’intérêt. 8 Etat des lieux des Collectivités Locales en 2010 Fiche 3 L’achat, au cœur des politiques publiques La commande publique française pesait en 2008 au moins 68,5 milliards d'euros, selon les chiffres de l'Observatoire économique de l'achat public. Acteur essentiel de l’activité économique, l’achat public, souvent le deuxième poste de dépenses derrière le personnel, est aussi, dans ces périodes d’incertitudes budgétaires, un des leviers pour dégager de nouvelles marges de manœuvres, et un vecteur incontournable du retour à l’équilibre budgétaire. La performance en haut de l’affiche Bien acheter ne se résume plus au seul respect des procédures juridiques et des grands principes. La performance économique fait désormais partie intégrante du credo des professionnels quel que soit leur employeur public. Du côté de l’Etat, la Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) continue de jouer le rôle de locomotive. Parmi les 150 mesures prises en juin dernier, on trouve toujours la mutualisation et la professionnalisation de la fonction achats. Même si les PME risquent de grincer des dents, l’accent sera mis sur le développement de marchés« multiservices » qui confient à un même prestataire privé la réalisation de plusieurs missions comme l’entretien, le nettoyage, l’accueil ou la gestion du courrier, et qui permettent de dégager d’importantes économies. Parmi les nombreux chantiers lancés par le Service des Achats de l’Etat (SEA), dont l’ambition est de déduire 10% (un milliard d’euros) de la facture des achats courants en trois ans, figure l’opération Calypso. Il s’agit de repérer des gisements de gains rapides par la mutualisation de bonnes pratiques, la massification ou la redéfinition du besoin, dont l’exemplarité sera capable de susciter l’adhésion et d’entraîner le mouvement dans les ministères et leurs services déconcentrés. Une première vague, réalisée entre septembre et décembre 2009, a porté sur dix familles. La troisième vague a été lancée en septembre dernier. Toujours à la pointe, le ministère de la Défense a mis au point un système d’information de mesure de la performance de l’achat, baptisé Impact, capable d’estimer à la fois les gains économiques et la maturité des pratiques. Un dispositif étendu, en partie, aux autres administrations d’Etat. Le secteur hospitalier n’est pas en reste. Son ministre de tutelle, Roselyne Bachelot, s’appuyant sur les expériences réussies des groupements de commande initiées par le Réseau des Acheteurs Franciliens (RESAH-IDF) ou l’Union des CHU (UNIHA) a promis, fin juin, le déploiement d’un programme « performance des achats », étalé sur cinq ans, qui mettra l’accent sur le cœur de métier : l’achat des médicaments et dispositifs médicaux. La création de la direction des achats de la Ville de Paris à la fin de l’année dernière est emblématique de ce mouvement d’ensemble. Son objectif est clair : renforcer l’attractivité des marchés publics de la capitale, aiguiser la concurrence, c’est-à-dire, in fine, rendre les achats plus performants. L’efficacité rime aussi avec développement durable. En juin 2010, vingt organismes publics et privés se sont entendus pour grouper leurs commandes de véhicules électriques. Passé sous la forme d’un dialogue compétitif et coordonné par l’UGAP, ce marché historique en raison de son ampleur (potentiel de 50 000 unités) est un signal envoyé aux constructeurs. Petit à petit, l’obligation de moyens laisse la place à l’obligation de résultats. Pour exemple, la ville et la communauté d’agglomération de Montluçon ont signé un contrat de performance énergétique. Ce contrat de partenariat prévoit la rénovation thermique et la maintenance de 97 bâtiments avec l’objectif contractuel de diminuer la consommation d’énergie de 17%. Longtemps délaissé, le suivi de l’exécution des marchés retrouve des lettres de noblesse. La Caisse d’allocations familiales du Bas-Rhin évalue ses titulaires et mène des enquêtes de satisfaction auprès de ses clients « internes », tout comme l’Assistance-Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui a mené, cette année, une étude qualitative avec l’aide de TNS Sofres. 9 Etat des lieux des Collectivités Locales 2010 2010, la dématérialisation passe à la vitesse supérieure 2010 restera sans conteste comme l’année du décollage de la dématérialisation. Depuis le 1er janvier, de nouvelles obligations ont été mises à la charge du pouvoir adjudicateur et des entreprises candidates (voir le décret n° 2008-1334 du 17 décembre 2008 et l’arrêté du 14 décembre 2009 relatif à la dématérialisation des procédures de passation des marchés publics). Quatre principales nouvelles contraintes s’imposent aux entités soumises au code des marchés publics (Etat, collectivités territoriales, hôpitaux). Pour les marchés supérieurs à 90.000€ HT, le pouvoir adjudicateur doit publier son avis d’appel public à la concurrence et ses documents de la consultation sur son profil d’acheteur (plateforme internet qui doit permettre, au minimum, la mise en ligne des avis de publicité et des cahiers des charges, ainsi que la réception des candidatures et des offres électroniques). Deuxième mesure : la transmission électronique des candidatures et des offres est devenue obligatoire pour les marchés informatiques au-dessus de 90 000€ HT. De quoi astreindre l’entreprise à transmettre uniquement par la voie électronique sa candidature et son offre via le profil d’acheteur ; et l’acheteur à ouvrir et traiter les enveloppes électroniques reçues. Troisième nouveauté : à compter du 1er janvier 2012, pour les marchés de fournitures, services ou travaux de plus de 90.000€ HT, la personne publique ne pourra plus refuser de recevoir les candidatures et les offres par voie dématérialisée. Enfin, dernière possibilité offerte depuis janvier, cette fois pour tous les marchés quel que soit le montant : la personne publique peut imposer la transmission par voie électronique de tous les documents écrits de la procédure de passation. La France n’avance pas de manière isolée. A l’échelle européenne, la Commission Européenne finance en partie le programme Peppol (Pan european public procurement on line), chargé de travailler sur la définition de normes et d’outils interopérables, notamment pour faciliter la candidature en ligne aux marchés publics à l’intérieur de l’Union. Plusieurs logiciels open source, qui changeront la vie des soumissionnaires comme le vérificateur de certificat électronique ou le dossier virtuel des entreprises, avancent à grands pas et sont testés depuis la rentrée. Autre indicateur au vert : la carte d’achat, qui permet d'automatiser l'exécution de la dépense publique et de payer beaucoup plus rapidement les fournisseurs (parfois en quatre jours), commence à faire des adeptes. En 2009, le nombre de programmes « cartes achat » du secteur public a plus que doublé tout comme le chiffre d’affaires brassé. L’arrivée des référés contractuels dans le paysage du contentieux Entré en vigueur le 1er décembre 2009, le référé contractuel, bébé de la directive recours 2007/66/CE, a transformé le paysage du contentieux administratif. Il est désormais possible aux opérateurs économiques, susceptibles d’avoir été lésés par des manquements aux obligations de publicité et de mise en concurrence, d’attaquer tout contrat administratif de la commande publique après sa signature. Le juge dispose désormais d’une palette de sanctions : la nullité totale ou partielle, l’abrègement du contrat ou des pénalités financières. Mais attention, il ne s’agit pas d’une séance de rattrapage offerte aux fournisseurs qui auraient échoué lors d’un référé précontractuel préalable. En mars 2010, le tribunal administratif de Lyon a rendu l’une des premières ordonnances de référé contractuel. Le requérant avait saisi le juge au motif que la personne publique avait signé le contrat sans respecter le délai de stand still3 et d’autre part que la société retenue avait présenté une offre anormalement basse. 3 Stand still : Délai suspensif entre la communication de la décision d'attribution du marché et la signature de ce dernier afin de permettre aux soumissionnaires d'engager, le cas échéant, une procédure de recours. Ce délai permet à un candidat évincé de contester en temps utile la méconnaissance par un pouvoir adjudicateur de ses obligations en matière de publicité et de mise en concurrence. 10 Etat des lieux des Collectivités Locales 2010 Réglementation : du changement en perspective Comme les années précédentes, la réglementation et le cadre des marchés publics a connu son lot de bouleversements. La décision du 10 février 2010 du Conseil d’Etat d’annuler le seuil des 20 000€ pour les petits achats et le retour au palier des 4 000€ à partir du mois de mai ont fait couler beaucoup d’encre. Il a également fallu, pour les acheteurs, se mettre au diapason des nouvelles règles concernant les délais de paiement (30 jours pour tous, à l’exception des hôpitaux). Le décret n° 2010-406 du 26 avril 2010 a formalisé les modalités de publicité et de mise en concurrence des contrats de concession de travaux publics de l’Etat, des collectivités territoriales et des pouvoirs adjudicateurs soumis à l’ordonnance du 6 juin 2005. Le même texte a mis fin à l’existence des marchés de définition, dans le collimateur de l’Europe. En septembre, a démarré la refonte des formulaires. Quatre nouveaux DC sont désormais disponibles : DC1 (ancien DC4), DC2 (ancien DC5), DC3 (ancien DC8) et DC4 (ancien DC13). Identifiables grâce à leur couleur bleue, ils peuvent dès à présent être utilisés par les opérateurs économiques et les acheteurs publics. Les anciens formulaires DC6, DC7, DC11 et DC12 vont disparaître pour devenir les futurs formulaires NOTI (notification du marché) et OUV (ouverture des plis). Une consultation sur les formulaires EXE (exécution des marchés) est prévue au mois de novembre. D’autres changements sont annoncés. Un nouveau décret, attendu avec impatience et prévu, à l’heure où nous imprimons ces lignes, pour la fin 2010 sera chargé de préciser les cas dans lesquels les circonstances peuvent autoriser l’absence de publicité et de mise en concurrence (article 28 du Code). L’article 56 relatif à la dématérialisation sera toiletté et réécrit dans un souci de clarté. Ce décret devrait comporter également des dispositions modifiant l’article 18 sur les prix pour tenir compte de la décision du CE du 9 décembre 2009, département de l’Eure. L’article 74 sur les procédures de marchés de maitrise d’œuvre sera amendé afin d’introduire le dialogue compétitif dans les procédures applicables à ces marchés. Le ministère des Finances réfléchit par ailleurs à la possibilité de créer, dans le cadre fixé par la loi MOP, des contrats globaux permettant de lier la rémunération du titulaire du marché à la réalisation d’objectifs de performance, mesurables sur la durée, notamment pour offrir un support juridique aux contrats de performance énergétique souhaités par le législateur dans le cadre du Grenelle de l’environnement. L’article 53 du Code sera aussi remanié à terme pour faciliter l’achat durable de denrées alimentaires et l’approvisionnement des collectivités par les circuits courts. Le gouvernement l’a promis lors de l’adoption de la loi sur la modernisation de l’agriculture. Pour finir, les acheteurs publics pousseront sans doute un ouf de soulagement puisque le souhait de la Commission Européenne qui voulait remettre à plat des directives européennes de 2004 n’a pas été exaucé. En mai, les eurodéputés ont estimé, à ce stade, qu’une révision de la législation existante n’était pas nécessaire. Mais ce n’est que partie remise. Pour plus d’informations : www.achatpublic.info 11 Etat des lieux des Collectivités Locales en 2010 L’achat public au cœur du SMCL 2010 La journée du Jeudi 25 Novembre sera particulièrement consacrée à la thématique de l’achat public. En salle 21, pavillon 2/1, plusieurs conférences seront organisées afin de faire le point sur la question de l’achat public et sur les récentes modifications du Code des Marchés Publics. 10h15 – 11h45, Conférence Club Marchés Actualité de la commande publique Grenelle 2 et Achat Public durable Des marchés aux achats publics : l’expérience de la Ville de Paris Actualité jurisprudentielle Les Marchés Publics demain : Constitution, Europe, concession de services… (sur inscription : clubmarché[email protected] 01 40 13 35 30) 11h45, Remise des Trophées de la Commande publique 2010 Organisés par www.achatpublic.com et le Groupe Moniteur, les Trophées de la Commande Publique ont pour vocation de récompenser les organisations soumises au Code des Marchés Publics ou à l’ordonnance du 6 juin 2005 (Etat, collectivités, hôpitaux, établissements publics, chambres consulaires…) qui cherchent à améliorer l’efficacité de leurs politiques d’achat, qu’il s’agisse du respect des procédures réglementaires, de la recherche de l’offre économiquement la plus avantageuse ou de la mise en place d’une organisation plus performante. Les Trophées seront attribués dans trois catégories : Méthodes et organisation Ce prix récompense les meilleures pratiques et innovations dans le domaine de la méthodologie (définition d’une stratégie et d’une politique achat en lien avec la politique générale des Personnes Publiques, relations acheteurs-fournisseurs, sourcing, benchmarking, négociation, sécurisation des procédures, utilisation des nouvelles technologies…) et/ou de l’organisation (organisation des entités achats et relations avec la structure, recrutement, formation et professionnalisation des agents…). Performance économique de l’achat public Ce prix récompense les meilleures pratiques et outils permettant d’améliorer et d’estimer la performance économique de l’achat : négociation, gains, relations avec le fournisseur et suivi de la qualité des prestations, contrôle de l’exécution du marché, clauses contractuelles de performance, indicateurs de moyens et de résultats, mise en place de tableaux de bord… Achat durable Ce prix récompense les actions et les réflexions entamées pour aboutir à un achat public plus durable et responsable : prise en compte dans la définition du besoin, raisonnement en coût global, insertion de clauses environnementales ou sociales, choix de produits ou de prestations respectueux de l’environnement, de l’éthique, biens issus du commerce équitable, achats solidaires, chartes fournisseurs… 12 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Sport – Loisirs – Tourisme – Culture Fiche 4 Un nouvel espace pour le Salon des Maires: Sport, Loisirs, Tourisme, Culture dans le Pavillon 5 Le Salon des Maires et des Collectivités Locales 2010 se développe et s’agrandit dans un nouveau pavillon, le pavillon 5 qui accueillera l’offre Sport, Loisirs, Tourisme et Culture. Près de 100 exposants spécialisés dans les équipements sportifs, de culture, de loisirs et de tourisme seront présents dont des associations partenaires du mouvement sportif et les représentants des principales fédérations sportives. Les élus et décideurs territoriaux trouveront dans cet espace dédié des réponses liées au financement des équipements sportifs, à leur conception et aux services associés, à l’évolution de la réglementation sur la surveillance des piscines… Le sport, vecteur de dynamique et de cohésion sociale Chacun sait que les collectivités sont très présentes dans l’organisation du sport. Aujourd’hui, elles sont confrontées à plusieurs défis et plus particulièrement la réhabilitation de leur patrimoine sportif ou la construction d’équipements nouveaux. Désormais, les équipements ne sont pas conçus comme de simples espaces destinés aux compétitions, ils doivent répondre à des besoins plus larges et intégrer de nouveaux services. L’intervention des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale dans les équipements sportifs pose également la question de la localisation de l’équipement, de son dimensionnement, de son accessibilité. La réponse aux nouvelles demandes sociales est un autre défi. Le sport est un formidable outil de mixité sociale mais aussi de développement local. Les élus, selon les territoires qu’ils ont en charge, développent des projets d’animation, des événements, construisent des politiques éducatives avec les écoles et les clubs. Les Schémas Départementaux et Régionaux de Tourisme L'action touristique fait aujourd'hui partie des préoccupations de la quasi-totalité des collectivités locales. On compte ainsi plus de 3600 offices de tourisme en France. Le rôle des collectivités dans l'attractivité touristique d'une zone est complémentaire de celle des professionnels du tourisme. Dans le cadre de la loi n° 92-1341 du 23 décembre 1992 portant répartition de compétences dans le domaine touristique, il a été demandé aux collectivités comme les Départements et les Régions de se doter de Schémas Départementaux et Régionaux du Tourisme qui traduisent les volontés locales et les stratégies concertées. Ainsi, ce schéma vise à définir la politique touristique de la collectivité et les conditions de sa mise en œuvre. Les actions proposées doivent permettre de mieux qualifier et positionner l’offre d’hébergement, de mieux organiser l’accueil touristique, de développer la fréquentation et enfin de soutenir un développement durable, respectueux de l’environnement. Le développement de l’accompagnement éducatif Depuis 2008, l’accompagnement éducatif est généralisé à tous les collèges, publics et privés sous contrat, ainsi qu’à toutes les écoles élémentaires de l’éducation prioritaire, et ce dans trois domaines : l’aide aux devoirs et aux leçons, la pratique artistique et culturelle, la pratique sportive. Autre élément à prendre en compte pour les collectivités : la suppression du samedi matin travaillé en primaire, qui rend nécessaire le développement d’une offre périscolaire. 13 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Sport – Loisirs – Tourisme – Culture La zone Sport – Loisirs – Tourisme – Culture représente 8,8% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Aires de jeux Billetterie Colonies de vacances – Centres de loisirs Culture – Loisirs - Tourisme Equipements sportifs Fédérations sportives Voyages - Vacances Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière de Sport, Loisirs, Tourisme et Culture - Aires de jeux ATAPARC RS CEMER : Équipements de matériels de Fitness en plein air pour toutes générations et aires de jeux enfants GERFLOR : Revêtements de sols PVC pour le Bâtiment en rouleaux ou en dalles. Revêtements de sols sportifs indoor. Protections murales et mains courantes GRANDS STADES : Terrains et revêtements de sports extérieurs et intérieurs pour la compétition ou le loisir comme les patinoires synthétiques ou les gazons synthétiques JINGDAN EUROPE : Appareils de fitness de plein air, création d'espaces ludiques et intergénérationnels en accès gratuit dans les espaces verts LIMONTA SPORT : Fabricants de revêtements sportifs LOSBERGER FRANCE SAS : Concepteur et fabricant d'espaces couverts PRO URBA : Equipement des espaces extérieurs des collectivités (jeux, mobilier urbain et traitement des sols) REGESPORTS : Domaine des sols sportifs, de loisirs et de sécurité (sols amortissant, revêtements de sols …) SMC2 : Concepteur et constructeur de bâtiments sports & loisirs TENNIS JEAN BECKER : Inventeur des courts de tennis en béton poreux rouge et vert TRANSALP SAS : Généraliste français des équipements de jeux d'extérieur et d'équipements sportifs de proximité - Culture – Loisirs – Tourisme ANIMAVILLE : Société événementielle et organisation de manifestations urbaines (matériels de divertissement, plage éphémère, patinoire, location de train touristique …) BOUCLIER BLEU : Association de protection et de sauvegarde du patrimoine culturel en cas de conflit armé ou de catastrophe majeure VERT MARINE : Partenaire des collectivités pour la gestion déléguée de leurs équipements "sport-loisirs", touristiques et culturels. - Equipements sportifs A&T EUROPE : Réalisation de piscines en acier inoxydable protégé de la piscine pour compétition à la piscine pour particulier en passant par les parcs aquatiques ABRISUD : Conception et installation d'abris sur-mesure et grande largeur pour les bassins publics ACS-PRODUCTION : Conception et installation d’ouvrages permanents et définitifs tels que des couvertures de terrains de sports, tennis couverts, tribunes, préaux … AGORESPACE FRANCE : Créateur de terrains multisports de proximité en libre accès ALCOR EQUIPEMENTS : Conception, location et vente de tribunes modulaires, à caractère temporaire ou définitif, extensions de Stades ALEO INDUSTRIE : Fabricant de matériel de fitness de plein air et de matériel de musculation pour clubs sportifs BERTELE : Sièges et tribunes, écrans vidéo et scoreboards, équipements sportifs pour stades et salles de sports 14 BODET : Affichage, chronométrage sportif HF. Systèmes de contrôle d'accès, logiciel de planification de salles de sport, courts de tennis, salles polyvalentes CAMMA SPORT : Terrains Multisports - Equipements pour stade - Equipements pour salle de sports - Parcours sportifs - Skate Park - Equipements de Plein Air CREATIV’ SYNTHETIQUE : Spécialiste du gazon synthétique pour la réalisation de jardins, d'aires de jeux d'enfants, de terrains de sports, de courts de tennis et de golfs DOAPARK : Equipements de Fitness de Plein Air, aires de jeux, dalles de sol amortissant et mobiliers DOUBLET : Aménagement des salles (tribunes, podiums …), espaces de communication (drapeaux, banderoles …), mobilier d’accueil et mobilier urbain EUROFIELD : Producteur de gazons synthétiques destinés à la pratique sportive et aux aménagements paysagés FERRARI SA : Fabricant de textiles et membranes composites pour les bâtiments publics (aménagement des centres aquatiques, couvertures de bâtiments sportifs ...) GERFLOR : Revêtements de sols PVC pour le Bâtiment en rouleaux ou en dalles. Revêtements de sols sportifs indoor. Protections murales et mains courantes GESPORT WOODFLEX : Construction et rénovation de parquets sportifs, parquets démontables, sols sportifs combinés GRANDS STADES : Terrains et revêtements de sports extérieurs et intérieurs pour la compétition ou le loisir comme les patinoires synthétiques ou les gazons synthétiques HSB FRANCE : Construction ou rénovation de bassins de piscines en inox JEZET SEATING : Constructeur de tribunes télescopiques et de fauteuils de spectacle JINGDAN EUROPE : Appareils de fitness de plein air, création d'espaces ludiques et intergénérationnels en accès gratuit dans les espaces verts JUNKERS FRANCE SAS : Fabricant de parquets en bois massifs pour le sport, l'habitat, le commerce et les bureaux MAESTRO : Entretien, rénovation et régénération de terrains de tennis et surfaces multisports MONDO FRANCE : Fabricant de revêtements de sols sportifs indoor, outdoor, industriels et civils, équipements sportifs, sièges pour stades, gazons synthétiques SAUR : Spécialiste de la gestion déléguée de services pour les collectivités locales dans les domaines de l’eau et de la propreté et de la gestion d'équipements publics : golfs, campings, centres aquatiques SMC2 : Concepteur et constructeur de bâtiments sport & loisirs TARKETT SPORTS : Fabricant des sols sportifs du terrain de football au sol de gymnase TECHNOX : Conception et construction d'équipements ludiques pour parcs d'attraction et piscines (toboggans et pentaglisses en inox ; planchers, ailerons pour piscines …) TRANSALP SAS : Généraliste français des équipements de jeux d'extérieur et d'équipements sportifs de proximité ZELLER FRANCE : Construction et rénovation de piscines publiques en Inox - Fédérations sportives COMITE NATIONAL OLYMPIQUE ET SPORTIF FRANCAIS (CNOSF) FEDERATION FRANCAISE DE BADMINTON FEDERATION FRANCAISE DU CYCLOTOURISME FEDERATION FRANCAISE DE CYCLISME FEDERATION FRANCAISE D’EDUCATION PHYSIQUE ET GYMNASTIQUE VOLONTAIRE FEDERATION FRANCAISE DE GOLF FEDERATION FRANCAISE DE TIR A L’ARC FEDERATION NATIONALE DES OFFICES MUNICIPAUX SPORTIFS (FNOMS) MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS - CENTRE NATIONAL POUR LE DEVELOPPEMENT DU SPORT MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS SPORTS ET TERRITOIRES : Réseau des professionnels du sport dont le but et de mener des réflexions partagées sur les politiques sportives territoriales UNION FRANÇAISE DES OEUVRES LAÏQUES D'EDUCATION PHYSIQUE (UFOLEP) USEP : Fédération sportive scolaire 15 Le Comité National Olympique et Sportif Français au SMCL 2010 Association reconnue d'utilité publique, le Comité National Olympique et Sportif (CNOSF)a notamment pour mission de : Représenter en France le Comité International Olympique (CIO). A ce titre, il mène des actions pour promouvoir les valeurs de l’Olympisme et conduit les délégations françaises qui participent aux compétitions organisées sous l’égide du CIO. Représenter l'ensemble du Mouvement Sportif français auprès des pouvoirs publics et de la société civile. Mener des actions d’intérêt commun au bénéfice de ses membres, et tout particulièrement en lien avec les collectivités locales, premier partenaire du Mouvement Sportif. Acteur central du sport français, le CNOSF regroupe en son sein 107 fédérations et groupements nationaux. Pour relayer ses actions au niveau local, il s'appuie sur ses instances déconcentrées que constituent les 131 Comités Régionaux, Départementaux, et Territoriaux Olympiques et Sportifs. Le CNOSF agit par conséquent au bénéfice de : 175 000 associations sportives ; 16 millions de licenciés ; 2,5 millions de bénévoles. Pour l’Olympiade 2009-2013, le CNOSF s’est fixé comme objectif d’être tout particulièrement au service : des clubs en valorisant leur apport éducatif et le lien social créé ; des fédérations en facilitant le développement de leurs différentes missions ; du Mouvement Sportif en travaillant à une meilleure gouvernance du sport avec l’Etat, les collectivités territoriales et le monde économique, à l’effet de définir conjointement des politiques sportives cohérentes et globales ; des Français en encourageant la pratique sportive comme source de bien-être, de santé et d’épanouissement et en favorisant la pratique au sein d’un club fédéral ; de la France en développant son rayonnement international par l’excellence en termes de résultats sportifs, d’organisation de grands évènements ou d’exercice de responsabilités au sein des instances sportives internationales. de l’Olympisme en promouvant celui-ci comme un vecteur d’éducation et de culture, notamment en direction des jeunes. La richesse du sport français, au-delà de la contribution exceptionnelle des bénévoles, est aussi dans son maillage de structures sur l’ensemble du territoire, mais encore dans ses réseaux nationaux et internationaux faits d’une culture commune constituant un espace privilégié d’échanges, de savoir-faire et de valorisation au service de l’intérêt général. La présence du CNOSF au Salon des Maires 2010 marque une volonté affirmée de consolider le positionnement du Mouvement Sportif et de son organisation comme un des principaux acteurs de la vie sociale, de la coopération et de la dynamique des politiques sportives locales, en harmonie avec les priorités des collectivités territoriales en particulier. Les missions d’intérêt général du Mouvement Sportif doivent continuer à se développer dans notre pays. La diversité des pratiques et l’accueil de tous les publics constituent une valeur ajoutée concernant tout à la fois l’utilité sociale, l’éducation, le bien-être et la santé, l’aménagement du territoire, l’économie, l’emploi… Il appartient au CNOSF d’imaginer ensemble pour l’avenir les conditions et modalités d’évolution du modèle sportif français, dans un cadre permettant à tous les acteurs de trouver un positionnement adapté, avec des mécanismes de péréquation rénovés, dans l’intérêt bien compris de la société française. Le CNOSF est un acteur permanent pour le développement du sport dans l’élaboration d’axes stratégiques de coopération et de co-construction des politiques sportives territoriales aux côtés des collectivités locales. 16 Le Forum Sport, Loisir, Tourisme et Territoires 2010 : « Vers une nouvelle économie du sport » Le pavillon 5 hébergera à la fois le Forum SLTT et le secteur “équipements sportifs, de culture, de loisirs et de tourisme » et le Forum Sport. L’édition 2010 de ce forum aura pour thème « Vers une nouvelle économie du sport » Le Forum Sport, Loisirs, Tourisme et Territoires (SLTT) est le rendez-vous des acteurs du marché de l'équipement sportif et des collectivités. Il constitue depuis plus de 15 ans, un lieu de rencontre et de réflexion entre professionnels du sport. Unique par sa dimension intellectuelle, il est dédié à l'analyse et à la prise en compte de l'évolution des pratiques sportives en France et permettra de débattre des enjeux 2011 quant au développement, l'adaptation et la création d'équipements sportifs sur le territoire. Participants attendus : Décideurs du sport, représentants du mouvement sportif, organisateurs d'événements sportifs, organismes de formation, fonctionnaires d'Etat et des collectivités territoriales, gestionnaires délégués...et les visiteurs du Salon des Maires : élus, acteurs de la commande publique et leurs partenaires institutionnels ou prestataires spécialisés dans la gestion, les services, l'aménagement et le développement des collectivités, décideurs territoriaux... Le Forum SLTT sera composé de 6 thématiques : Animation évènementielle : un nouveau mode de diffusion de la culture sportive. Pratique physique, santé et bien-être : un enjeu d’éducation, de société ? Equipement sportif : un levier majeur pour une nouvelle économie du sport ? Compétences : projets sportifs, qui fait quoi ? Réponses aux demandes sociales et services : les acteurs du sport sont-ils à la hauteur des enjeux sociaux et économiques ? Financement : comment conjuguer financement public et financement privé ? Des ateliers techniques seront organisés autour de 4 problématiques : Les métiers du sport : quel avenir ? Financer un projet en recourant aux financements privés et européens peut-il rapporter gros ? Les modes de financement et de gestion des équipements sportifs (PPP, concession, BEA, gestion déléguée, etc.) avec le privé, une alternative au modèle traditionnel ? Les relations entre collectivités et associations sportives : la nouvelle donne. Objectifs pédagogiques : Identifier les enjeux 2011 du développement, de l’adaptation, de la création d’équipements sportifs sur le territoire. Analyser l’évolution des pratiques sportives en France. Inscription sur www.salonsltt.com 17 Programme complet du Forum SPORT Lundi 22 Novembre 2010, 16h00-18h00, Pavillon 7 Plénière d'ouverture La fin du modèle d’organisation du sport français ? La crise du football français au mondial 2010 serait-elle le révélateur d'une gouvernance du sport français en mutation ? Cette remise en question par certains du modèle fédéral est concomitante à la réforme de l'Etat et des collectivités locales et à la raréfaction des financements. L'année 2010 sera-t-elle celle d'une rupture avec le modèle ancien et jusqu'ici partagé du sport français ? Qu'en pensent les acteurs ? Quelles conséquences sur les institutions, sur les usagers et les consommateurs Mardi 23 Novembre 2010, 10h00-12h00, Pavillon 5 - Salle 51, Forum Equipement sportif : un levier majeur pour une nouvelle économie du sport ? Le parc français d’équipements sportifs est daté, vieillissant voire vétuste. Ce constat ne vaut pas uniquement pour les stades de ligue 1. En effet, il est frappant de constater le peu d’évolution qu’ont connu les équipements sportifs au cours des dernières décennies. Plus préoccupant est la tendance à reproduire des équipements types dont la conception répondait à des besoins essentiellement compétitifs et éducatifs, qui aujourd’hui ne répondent que partiellement à la demande sociale. Pourquoi les équipements sportifs sont en déficit de locaux de convivialité ? Pourquoi les parents sont obligés de rester debout pour suivre les matchs de leurs enfants ? Pourquoi les équipements des collèges et lycées sont fermés après l’école, le WE ou pendant les congés ? Pourquoi la majorité des équipements n’est pas ouverte aux usagers informels ? Pourquoi les équipements sportifs ne sont pas regroupés dans les complexes pour faciliter les rencontres, mutualiser les moyens et créer de la valeur ajoutée sociale et économique ? Y a-t-il de réelles études de besoins ? Mardi 23 Novembre 2010, 10h00-12h00, Pavillon 5 - Salle Amérique, Forum Pratique physique, santé et bien-être un enjeu d’éducation, de société ? Un français sur deux déclare pratiquer une activité physique et sportive (enquête TNS Sofres 2009). Selon la même source, 92% privilégient une activité d’entretien physique et 50 % considèrent que le club sportif est adapté aux attentes de la population. S’il n’est plus besoin de justifier les effets externes positifs de la pratique physique et sportive que ce soit en terme de santé, de lien et de mixité sociale, d’éducation, de citoyenneté, la question reste totalement ouverte sur les réponses à apporter à la demande sociale. Le club sportif doit-il se diversifier et chercher à répondre à tous les besoins ? Est-il en mesure d’y répondre ? A t-il le choix ? Au contraire le club doit-il se recentrer sur la pratique compétitive ? Existe-t-il une corrélation entre le nombre de pratiquants et le nombre de licenciés ? Sur ce sujet comment fonctionne les autres pays ? Comment concilier la logique disciplinaire (fédérale) avec des enjeux plus transversaux : éducation, santé ? Qui éduque aux pratiques physiques sportives et éducatives ? Y a-t-il un lien possible entre activités physiques (santé) et pratique sportive en club ? Le temps de l’offre sportive est-il adapté à l’évolution de la demande sociale ? Mardi 23 Novembre 2010, 11h00-13h00, Pavillon 5 - Salle Asie, Forum Animation évènementielle : un nouveau mode de diffusion de la culture sportive. Les manifestations sportives et récréatives se sont considérablement multipliées au cours de ces dernières années. L’événement qu’il s’agisse d’une coupe du monde d’un match ou d’une rencontre exceptionnelle, est à la fois le prétexte et le support d’une nouvelle communication politique. Plus localement, les mairies se sont engouffrées dans les animations éphémères clés en main, avec l’installation de patinoires démontables l’hiver, de mini-plages l’été ou encore d’organisation de raids aventures et de fêtes du sport. L’évènementiel n’exclut-il pas à terme les acteurs locaux ? Pour les grandes villes comment éviter la fracture entre le sport spectacle et la pratique de masse ? Comment concilier évènementiel et développement local ? Les retombées économiques médiatiques et sociales justifient-elles de tels investissements ? 18 Mardi 23 Novembre 2010, 14h00-15h00, Pavillon 5 - Salle Asie, Forum Les métiers du sport : quel avenir ? Quels MNS ? La mutualisation des services : quel impact pour les services des sports ? Quelles formations initiales et continues pour les métiers du sport ? Mardi 23 Novembre 2010, 15h15-16h15, Pavillon 5 - Salle Amérique - Forum Financer un projet en recourant aux financements privés et européens peut-il rapporter gros ? Les fonds de dotation : nouveaux outils de mécénat pour les collectivités locales ? Exemples d'Avignon et de Strasbourg. Le mécénat, les fondations pour quoi faire ? Quels financements européens pour le sport ? Mercredi 24 Novembre 2010, 10h00-12h00, Pavillon 5 - Salle Asie, Forum Compétences : projets sportifs, qui fait quoi ? L’organisation du sport en France est complexe voire illisible en raison de la multiplicité des acteurs, des territoires, du foisonnement de leurs interventions et du croisement des financements. Le club sportif héberge des activités très variées pouvant aller du sport professionnel à l’éducation par le sport. Les collectivités locales tentent de maintenir un équilibre entre le sport éducatif, le sport santé, le sport loisir, le sport de compétition et le sport spectacle. L’Etat se désengage tout en conservant la parole du sport au niveau national. Les opérateurs privés peuvent à la fois se positionner sur des activités économiques mais également, dans le cadre de contrat particulier, réaliser des missions de service public pour le compte des collectivités. Cette situation peut-elle perdurer ? Répond-t-elle à la demande sociale ? Au-delà du débat sur la répartition des compétences entre les collectivités locales, vaut-il mieux définir les missions de chacun des acteurs et renforcer leur intervention sur leur cœur de métier? Aux acteurs publics les activités de service public, aux acteurs privés les activités économiques, aux acteurs associatifs la compétition sportive ? Comment faire face à la pénurie annoncée des financements publics ? Faut-il réhabiliter le principe du qui paye décide ? Mercredi 24 Novembre 2010, 10h00-12h00, Pavillon 5 - Salle Amérique, Forum Réponses aux demandes sociales et services : les acteurs du sport sont-ils à la hauteur des enjeux sociaux et économiques ? Et si le sport en France était totalement passé à coté d’une démarche marketing pertinente dont l’enjeu est de répondre en permanence à la demande sociale et aux besoins des usagers ? En dehors des enseignes spécialisées dans la distribution d’articles de sport voire des structures privées de bien-être et de mise en forme, les prestataires de services (publics et privés) sportifs dans leur grande majorité ont considéré que le spectacle sportif (un match au plus haut niveau) ou que l’équipement sportif était suffisant pour attirer les spectateurs et les pratiquants. La vérité est qu’y compris des champions ou des championnes du monde n’attirent pas les foules dans les stades, que l’équipement n’est plus suffisant pour être attractif, que les associations ont de plus en plus de difficultés à répondre aux besoins des jeunes. La demande sociale est-elle formatée par l’offre, les médias, les distributeurs d’articles de sport et les prestataires de services ? Les collectivités, ont-elles une véritable connaissance de la demande sociale ? Les clubs sportifs ont-ils analysé le marché de la pratique sportive ? L’offre de services et l’aménagement de l’espace public sur un territoire sont-ils réellement adaptés à la demande et aux besoins ? Comment anticiper sur les futures demandes ? Quelle place occupera le supporter face à la grande diffusion sportive ? 19 Mercredi 24 Novembre 2010, 11h00-13h00, Pavillon 5 - Salle 51, Forum Financement : comment conjuguer financement public et financement privé ? Chacun s’accorde à dire que le financement public a atteint ses limites. Si le financement croissant des collectivités a accompagné le désengagement de l’Etat au cours des dernières décennies, les prochaines décennies seront au mieux marquées par une stabilisation du financement public, mais plus vraisemblablement un désengagement dont on peut difficilement estimer le niveau aujourd’hui. L’incitation fiscale au financement privé du sport, les marchés nouveaux offerts par la libéralisation des jeux en ligne, la création de fondations, de fonds de dotations constituent de nouvelles opportunités pour le financement des pratiques sportives. Le recours à des financements privés dans le cadre de contrat de partenariat même pour des petites opérations offre aujourd’hui quelques marges de manœuvre pour la réalisation et l’exploitation des équipements sportifs à des collectivités volontaristes. Le partenariat public-privé constitue-t-il la voie d’avenir ? Comment conjuguer besoins publics et financements privés ? Que peut-on attendre des opérateurs privés dans leur participation au financement du sport ? A moyen et long termes, sera-t-il possible d’éviter un recours de plus en plus important au financement individuel ? L’implication récente mais de plus en plus sensible d’opérateurs privés sur des nouveaux publics (jeunes, sport santé, …) est-elle une voie d’avenir ? Le sport est-il à son vrai prix ? Mercredi 24 Novembre 2010, 14h00-15h00, Pavillon 5 - Salle Asie, Atelier Les modes de financement et de gestion des équipements sportifs (PPP, concession, BEA, gestion déléguée, etc.) avec le privé. Une alternative au modèle traditionnel ? Les montages en aller-retour sont ils plus efficaces que les montages classiques en maîtrise d'ouvrage publique ? Les montages associant réalisation et exploitation : quels risques pour les opérateurs privés ? Vingt ans de gestion déléguée des équipements : peut-on tirer un bilan ? Mercredi 24 Novembre 2010, 15h15-16h15, Pavillon 5 - Salle Amérique, Atelier Les relations entre collectivités et associations sportives : la nouvelle donne. La circulaire du 18 janvier 2010 a-t-elle fait évoluer les relations entre les collectivités et les associations ? Le CNDS : quel impact ? Quelle concertation entre les collectivités ? Subventions publiques : faire plus avec moins. Repenser les relations existantes entre les associations et les collectivités. Mercredi 24 Novembre 2010, 16h30-18h00, Pavillon 5 - Agora, Plénière de clôture Vers un nouveau modèle économique pour le sport ? Synthèse des forums et propositions concrètes en terme : - d'organisation : quelle légitimité et quelles compétences pour les différents acteurs ; - d'aménagement et d'équipement : quelles maîtrises d'ouvrages pour les équipements actuels et futurs, principaux leviers d'une nouvelle organisation du sport ; - de financement : quelles complémentarités, quelles modalités de financements ? 20 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Enfance – Santé – Social Fiche 5 Pour une ville accessible La loi du 11 février 20054 instaure l’accessibilité de la voirie, des logements, des transports, des lieux recevant du public (ERP), des écoles… Mais c’est le principe d’une accessibilité universelle qui est directement induit dans cette loi « handicap ». L’accessibilité suppose de prendre en compte l’intégralité de la chaîne de déplacement dans la cité, mais aussi la culture, les loisirs, l’information de manière générale… Le maire est en première ligne pour relever le défi de cet « accès à tout pour tous ». 2010, à mi-chemin du calendrier de la loi Handicap de 2005 La réussite de la loi du 11 février 2005 constitue un véritable défi pour tous les acteurs publics et privés, en fixant un délai de dix ans pour rendre la France accessible ! Or, nous sommes déjà à mi-chemin puisqu’il ne reste que cinq exercices budgétaires pour diagnostiquer, programmer, budgéter et … réaliser ! Pour y parvenir les acteurs locaux doivent se mobiliser en se coordonnant. La loi du 11 février 2005 définit l’accessibilité fixe les échéances suivantes: Dépendance, solidarité et services à la personne En matière de solidarité, le risque de la dépendance entraîne la création de nouveaux services à la personne (gardes d’enfants à domicile, gardes d’enfants hors du domicile, accompagnement des enfants dans leurs déplacements, soutien scolaire, assistance administrative, assistance informatique, préparation de repas et commissions, garde-malade, assistance aux personnes âgées ou dépendantes, aide à la mobilité et au transport…) Autre thème d’actualité, la mise en place du Revenu de Solidarité Active depuis le 1er Juin 2009 qui garantit une augmentation des revenus et complète les ressources de ceux qui tirent de leur travail des revenus limités. Versé par les caisses d’allocations familiales ou les caisses de mutualité sociale agricole, il est financé pour partie par les départements. 4 Loi n°2005 – 102 du 11 Février 2005 21 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Enfance – Santé – Social La zone Enfance – Santé – Social représente 4,9% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Accessibilité Associations Foyers résidences - Maisons de retraite - Maisons médicalisées Fournitures générales Mobilier scolaire Services à la personne Social - Santé Téléassistance Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière d’Enfance – Santé - Social: - Accessibilité ALMA : Fabrication, entretien et maintenance, d'élévateurs pour personnes à mobilité réduite, ascenseurs, monte-charges DELTA PROCESS : Solutions d’accessibilité pour les personnes sourdes et malentendantes EX-INDUSTRIES : Accessibilité à la ville et aux établissements recevant du public des personnes handicapées ESIUM : Dispositifs d’accueil, d’information et de guidage pour personnes à mobilité réduite (déficience sensorielle, handicap physique …) FIPHFP : Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique, finance les actions de recrutement ou de maintien dans l’emploi de personnes handicapées dans la fonction publique INVACARE POIRIER : Gamme complète de fauteuils roulants manuels et électriques, ainsi que des produits de maintien à domicile - Associations ANACEJ : Association pour promouvoir la participation des enfants et des jeunes à la décision publique et accompagner les collectivités territoriales dans la mise en place de ces démarches ARLOD : Recensement national des défibrillateurs accessibles au grand-public, création d'une base de données géolocalisée mise à disposition des services de secours (SAMU, Pompiers, Sécurité Civile...). ARLoD est partenaire du Ministère de la Santé et des Sports pour la constitution de cette base de données nationale ASSOCIATION DES PARALYSES DE FRANCE : Mouvement national de défense et de représentation des personnes ayant un handicap moteur et de leur famille FEDERATION DES AVEUGLES DE FRANCE : Fédération pour l'amélioration morale, intellectuelle et sociale de tous les aveugles FEDERATION FRANCAISE DES MAISONS DES JEUNES ET DE LA CULTURE FNASS (Fonds National d'Action Sanitaire et Sociale) : Association - paritaire et pluraliste gestionnaire de l'action sociale des personnels territoriaux depuis 1966 par une cotisation versée par l'employeur UNEA : L’Union Nationale des Entreprises Adaptées fédère les Entreprises Adaptées pour les conseiller et les accompagner dans leur obligation d'emploi de Travailleurs Handicapés - Fournitures générales ASLER DIFFUSION : Fournitures générales et mobiliers spécialisés pour bibliothèques, CDI, archives, centres culturels / Mobilier, petit mobilier et accessoires espaces petite enfance CAMIF : Camif Collectivités distribue et installe des équipements publics. Elle accompagne les collectivités et établissements scolaires dans la réalisation de leurs projets CBS : Gammes de produits (radar de vitesse pédagogique, matériel de festivité ou de voirie, mobilier urbain, de bureau et scolaire, jeux extérieurs …) DPC : Produits dédiés à l'aménagement des Médiathèques et du mobilier d'accueil UGAP : Centrale d’achat public avec une gamme diversifiée de produits et de services (véhicules, informatique et multimédia, mobilier, services aux bâtiments et aux occupants, produits verts…) 22 - Foyers résidences – Maisons de retraite – Maisons médicalisées LES SENIORIALES : Concept de vie et d'habitat dédié aux retraités et reposant sur les valeurs de sécurité, de confort, de convivialité et de vacances GROUPE NOBLE AGE : Création, reprise et gestion d'établissements médico-sociaux (EHPAD) et sanitaires (SSR, clinique, HAD). Accueil de personnes âgées dépendantes physiquement et psychiquement. Structures dédiées à la maladie d'Alzheimer et unités spécialisées MARIANNE DEVELOPPEMENT : Promoteur de résidences de logements avec services pour les séniors STEVA : Concepteur et gestionnaire de lieux de vie innovants pour seniors - Mobilier scolaire BESSIERE : Fabricant de mobilier, bardage bois, menuiserie agencement BOURRELIER EDUCATION : Fourniture de matériel pédagogique, de livres et de mobiliers scolaire CRECHE ATTITUDE : Spécialisée en conseils, création et gestion de structures d'accueil pour jeunes enfants (0-6 ans) CRECHES DE FRANCE : Création et gestion d'établissements petite enfance sur tout le territoire FACILITEM : Construction et aménagement de crèches HABA FRANCE : Fabricant spécialiste de l'aménagement intérieur et extérieur des lieux d'accueil petite enfance et enfance et spécialiste dans les jeux, jouets, accessoires créatifs pour les travaux manuels et éléments de décoration LES PETITS CHAPERONS ROUGES : Spécialisé en conseil, création et gestion d'établissements petite enfance MATHOU CREATIONS : Fabrique de mobilier pour crèches, halte-garderie, maternelles, centres de loisirs, ludothèques et autres structures d'accueil pour la petite enfance PEOPLE AND BABY : Expert en création et gestion de crèches d’entreprises et de collectivités conventionnées par la CAF SOUVIGNET : Fabricant français de mobilier à usage collectif à structure bois ou métal destiné à l'équipement des salles polyvalentes, cantines, salles de classe, internats … WESCO : Conçoit, fabrique, et distribue du matériel pédagogique, de motricité du mobilier scolaire... Spécialisé dans l'équipement des lieux d'accueil de la petite enfance WIKI CAT : Créateur d'aires de jeux et de mobilier en bois massif pour crèches et maternelles - Social - Santé DEFIBRIL : Premier réseau national qui accompagne les entreprises et les collectivités locales dans l'accès à la défibrillation grand public DEFIBTECH : Fabricant et distributeur de Défibrillateurs Automatisés Externes SCHILLER FRANCE : Fabricant français et distributeur de défibrillateurs automatisés externes, leader en cardiologie depuis 35 ans. ZOLL MEDICAL : Gamme de défibrillateurs automatisés externes destinés à l'équipement des lieux publics - Services à la personne / Téléassistance ADMR : Services de téléassistance et téléassistance mobile pour le maintien à domicile ARPEGE : Acteur majeur des Collectivités Locales depuis plus de 20 ans, développe et commercialise une gamme de produits. Les solutions sont attachées aux métiers de gestion de la population et interconnectées avec des services en ligne FILIEN ECOUTE ADMR : Services de téléassistance et téléassistance mobile pour le maintien à domicile. Équipement de maisons de retraite, foyers logement... UNA PETITE ENFANCE : Propose des solutions sur mesure pour la politique d'accueil de la petite enfance, combinant structures individuelles et collectives. UNA Petite Enfance s'appuie sur l'expertise et les valeurs du réseau UNA, présent sur 80% du territoire et proposant déjà plus de 300 solutions Petite Enfance 22 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Aménagement urbain Fiche 6 Du quartier à la ville durable Les Grenelle Environnement ont confirmé l’attente de la société française pour des solutions d’aménagement durable identifiées et mises en œuvre rapidement. Les débats menés dans ce cadre ont montré que l’aménagement durable est une formidable occasion d’innovation, de développement économique et d’amélioration du cadre de vie. La gestion différenciée des espaces verts mais également les engagements des acteurs de la filière espaces verts pour une disparition des produits phytosanitaires constituent autant d’avancées vers la ville durable. La Trame verte et bleue, un des engagements phares de la loi Grenelle 2, même si elle n’a pas de caractère obligatoire, vise à favoriser les échanges entre espèces animales et végétales sans interruption ni obstacle. La « gestion différenciée des espaces verts » La gestion différenciée (parfois qualifiée de «gestion harmonique », «gestion raisonnée durable», «gestion évolutive durable», «gestion raisonnable» selon les villes) est une façon de gérer les espaces verts en milieu urbain qui consiste à ne pas appliquer à tous les espaces la même intensité ni la même nature de soins. Selon cette approche, il est ainsi inutile, voire écologiquement non pertinent, de tondre systématiquement toutes les surfaces enherbées, ce qui conduit malheureusement à n'obtenir qu'un même milieu végétal. La gestion différenciée permettra que certains espaces moins fréquentés, aux sols plus fragiles ou écologiquement précieux soient laissés à eux-mêmes, fauchés ou extensivement mis en pâturage, alors que d'autres seront intensivement tondus en raison de leurs fonctions ; l'exemple extrême étant celui du terrain de football destinés aux compétitions homologuées. Cette logique s'accompagne souvent d'une augmentation des surfaces végétalisées, de la surface boisée et d'une réduction (ou suppression) de l'usage des pesticides et désherbants et de l'exportation des produits de fauche et de taille (vers unité de compostage, horticulture, agriculture..) ou de leur utilisation locale (compostage…). Cette nouvelle tendance est également appuyée par le cadre législatif. Les collectivités territoriales ont désormais la possibilité d’exiger l’emploi d’outillages électriques, de matériels non polluants, moins bruyants, moins énergivores dès la rédaction de leurs appels d’offres en matière d’espaces verts. D’une manière générale, les espaces verts d’une collectivité sont passés d’une fonction purement esthétique à une fonction globalement environnementale. Pour preuve, les initiatives locales de collecte municipale et de valorisation des déchets verts se multiplient. Il en est de même des journées portes ouvertes des services espaces verts des communes. Les administrés sont informés du fonctionnement de ces services. Les choix d’espèces plus rustiques, moins gourmandes en eau et peut-être moins ornementales qu’auparavant sont justifiés tout comme le retour des végétations spontanées au pied des arbres qui évitent l’emploi de produits phytosanitaires. 23 Le « Zéro Phyto » La gestion différenciée est aussi associée à des techniques plus attentives à l’environnement, qui passent notamment par la réduction, voire l’élimination des produits phytosanitaires. A Paris, la consommation de désherbants est ainsi passée de 116 à 6 tonnes entre 1991 et 2005, alors que la surface des espaces publics a augmenté (30ha supplémentaires depuis 2001). Chantal JOUANNO, secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie, a signé le 3 septembre l’accord cadre relatif à l’usage professionnel des pesticides en zones non agricoles, avec des représentants des collectivités territoriales, et les principaux acteurs de l’usage professionnel des pesticides. L’utilisation des produits pesticides en zones non agricoles (voiries, trottoirs, parcs publics, terrains de sport ou de loisirs, zones industrielles, aéroports…) représente environ 5% du tonnage de substances actives commercialisées chaque année en France. Les signataires de cet accord-cadre (AMF, AAPP, AFDEJEVP, UNEP, 3 D, UOJ, VNF…) s’engagent à améliorer la connaissance des organismes nuisibles ; privilégier les aménagements urbains qui nécessitent un usage en pesticides aussi minimal que possible ; améliorer les pratiques d’entretien, en n’utilisant les pesticides qu’en dernier ressort et en utilisant dans ce cas des produits à faible impact tout en réduisant les quantités apportées (traitements localisés) ; diffuser les bonnes pratiques d’expériences notamment par la création d’une plate-forme informatique d’échanges entre les professionnels. La Ville durable Selon l’idée que le « "durable" est au temps ce que le "global" est à l’espace », la ville durable est une ville respectant les principes du développement durable et de l'urbanisme écologique. Elle cherche donc à prendre en compte conjointement les enjeux sociaux, économiques, environnementaux et culturels de l'urbanisme pour et avec les habitants en facilitant les modes de travail et de transport sobres, en développant l'efficience du point de vue de la consommation d'énergie et des ressources naturelles pas, peu, difficilement ou coûteusement renouvelables. Ce sont souvent des éco-villes (ou éco-quartiers) cherchant à diminuer leur empreinte écologique en compensant leurs impacts. Leur gouvernance se fait généralement suivant le principe de l'Agenda 21 local, incluant des modes de démocratie participative et parfois un objectif d'autarcie énergétique voire alimentaire. À plus petite échelle, on parle d'écovillages. Il en est de même des routes et rues durables, axes de circulation qui doivent être partagés. C’est l’exemple des voies sur berges à Paris qui sont des voies de circulation la semaine, se transforment en espaces de promenades piétonnes et cyclistes le weekend et sont aménagées en plages l’été. Depuis octobre 2008, le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire a lancé un plan d’actions en faveur de la ville durable visant, à travers différentes initiatives, à favoriser l’émergence d’une nouvelle façon de concevoir, construire, faire évoluer et gérer la ville. En novembre 2009, a eu lieu la première conférence nationale sur la Ville durable. JeanLouis BORLOO et Benoist APPARU y ont présenté les 160 projets déposés pour l’appel à projet EcoQuartier et les 19 déposés pour la démarche EcoCité. Ces programmes visent à réduire l’impact de l’urbanisme sur l’environnement : consommation d’eau et d’énergie, émissions de gaz à effet de serre, matériaux polluants, chantiers toxiques... 24 La loi Grenelle 2 et la Trame verte et bleue La loi portant engagement national pour l’environnement, dite Grenelle 2, a été adoptée en mai dernier. Elle décline, thème par thème, les objectifs entérinés par le premier volet législatif du Grenelle Environnement (loi Grenelle 1). C’est un texte d’application, de territorialisation et de mise en œuvre de six chantiers majeurs : le bâtiment et l’urbanisme, les transports, l’énergie, la biodiversité, les risques, la gouvernance. La Trame verte et bleue, l’un des engagements phare du Grenelle Environnement, est une démarche qui vise à maintenir et à reconstituer un réseau d’échanges sur le territoire national pour que les espèces animales et végétales puissent, comme l’homme, communiquer, circuler, s’alimenter, se reproduire, se reposer, en d’autres termes assurer leur survie. Elle contribue ainsi au maintien des services que rend la biodiversité : qualité des eaux, pollinisation, prévention des inondations, amélioration du cadre de vie… Le retour ou le développement de ces corridors biologiques se manifeste également dans les projets d’aménagement de berges qui visent à renforcer les capacités de communication des espaces verts intramuros avec les ceintures vertes périurbaines. 25 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Aménagement urbain La zone Aménagement urbain représente 19% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Affichage urbain Décoration lumineuse Eclairage urbain Equipement électrique Equipements scéniques Equipements techniques Espaces Verts Funéraire - Cinéraire Gestion des accès Gestion des aires d'accueil Mobilier Urbain Pavage - Dallage Paysagistes Phytosanitaire Sanitaires Signalisation au sol, routière Stationnement Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière d’Aménagement urbain : - Affichage urbain ACE ELECTRONIQUE : Panneaux à messages variables à implanter sur la voie publique. ADAPTIVE MICRO SYSTEMS EUROPE : Gamme complète d’afficheurs électroniques à LEDs pour intérieur et extérieur en standard et sur mesure CISABAC : Support de communication intégré aux palissades de sécurité CHARVET INDUSTRIES : Concepteur de solutions de communication par affichage électronique COMAT ET VALCO : Spécialiste en mobilier intérieur-extérieur, de voirie, aménagement de salle polyvalente et matériel de festivités, affichage, signalisation, mobilier scolaire, aires de jeux, mobilier sportif GORGY TIMING : Systèmes de distribution d’heure et de synchronisation ainsi que des afficheurs de communication visuelle OXIALIVE : Gamme d'écrans numériques à leds intérieurs ou extérieurs - Décoration lumineuse BLACHERE ILLUMINATIONS : Conception, fabrication, vente et location de décors et décorations lumineux festifs pour rues, places et ronds point FESTILIGHT : Décorations lumineuses et illuminations festives pour les collectivités, les centres commerciaux… GROUPE LCX - LEBLANC CHROMEX : Leblanc Illuminations® révolutionne l'illumination festive intégrant à son design innovant les dernières technologies - Eclairage urbain CITYLONE : Contrôleurs intelligents d'éclairage urbains COMATELEC : Eclairage public, urbain, sportif, industriel et de tunnel E.T.I : Prestations d'études de conception lumière dans des secteurs tels que l'urbanisme, l'architecture, le design, la conception de produit … RAGNI : Luminaires d'éclairage public et de mobilier urbain SPIE : Conception, réalisation, exploitation et maintenance d’installations plus économes en énergie et plus respectueuses de l’environnement THORN EUROPHANE : Fabrication et commercialisation d'appareils d'éclairage professionnel intérieur décoratif et fonctionnel, extérieur et de mise en lumière de monuments 26 - Espaces verts ARCHITECTURES DE JARDIN SARL : Fabrication « sur mesure » de supports en acier galvanisé et thermolaqué pour plantes grimpantes (kiosques, treillages, pergolas, gloriettes, tuteurs, arceaux) ATECH S.A. : Jardinières, suspensions, balconnières, mobilier urbain personnalisé, barrières, topiaires, murs végétalisés GREEN CITY : Jardinières aériennes et au sol MARCANTERRA : Fabrication de mobiliers et d'ouvrages bois sur mesure pour l'aménagement d'espaces naturels et péri-urbains ; production de plantes aquatiques et de systèmes précultivés ; réalisation de procédés utilisant les plantes pour l'épuration des eaux et le maintien de berges MECACONCEPT : Bordure de jardin et tour d'arbre PLANTE ET CITÉ : Centre technique national dédié à l’expérimentation dans les domaines des espaces verts et du paysage urbain - Mobilier urbain ABRI PLUS EQUIPEMENTS : Gamme d’abris conteneurs et caches conteneurs, ouvert ou fermé AD PRODUCTION : Fabricant de signalétique touristique et de mobilier urbain (planimètre, balisage de sentiers, table d'orientation, plan de commune…) ALTRAD MEFRAN : Jeux d'extérieur, complexe et équipements sportifs, mobilier urbain, échafaudages, podiums, postes de secours, abris festifs, mobilier d'intérieur, matériel électoral, illuminations de Noël … APR2 : Mobilier urbain, jardinières, clins de bardage, portoirs floraux, lames à terrasses en écomatériau AREA : Concepteur et fabricant de mobilier urbain et d'équipements de Sports et de Loisirs d'extérieur BENITO FRANCE : Fabricant de mobilier urbain, éclairage public, jeux pour enfants, fonte de voirie, conteneurs souterrains et nouvelles technologies CONCEPT URBAIN: Concepteur et fabricant de mobilier urbain au design contemporain ESPRIT ORANGERAIE : Gammes traditionnelle et contemporaine de bacs et jardinières FONDERIES DECHAUMONT : Fonderie de fonte ductile concevant et fabriquant des pièces pour assainissement, mobilier urbain ou pièces à la demande FREPAT SL : Fabricant et designer de mobilier urbain, produit sur mesure en acier corten, inox et bois GHM - GENERALE D'HYDRAULIQUE & MECANIQUE : Produits en fonte ou en aluminium moulé et en acier, couvrant plusieurs secteurs d'activité (mobilier urbain et mobilier d’éclairage) LARBALETIER : Mobilier de décoration urbaine MARCANTERRA : Fabrication de mobiliers et d'ouvrages bois sur mesure pour l'aménagement d'espaces naturels et périurbains ; production de plantes aquatiques et de systèmes précultivés ; réalisation de procédés utilisant les plantes pour l'épuration des eaux et le maintien de berges MOBEXTAN : Gamme complète de mobilier d'extérieur en bois PLAS ECO : Mobilier urbain en plastique recyclé SABACAUCHO : Potelets à mémoire de forme, et tous types de pièces industrielles en élastomères SINEU GRAFF : Programme de mobiliers urbains au design intelligent (confort, qualité esthétique, performance) s'inscrivant dans une démarche d'éco-conception SOTRALINOX : Spécialiste de l’aménagement d’espaces publics et privés avec une gamme complète de produits standards et des solutions personnalisées (mobilier urbain, signalétique, solutions d’éclairage public) SQUARE : Gammes complètes de mobilier urbain éco-citoyen avec l'utilisation combinée du métal, du bois et matériau composite TOLERIE FOREZIENNE : Gamme de mobilier urbain inédite, ludique, participative, conviviale par des designers internationaux 27 - Sanitaires FRANCIOLI : Mobilier urbain et toilettes publiques à nettoyage automatique ou manuel utilisant des matériaux adaptés aux contraintes urbaines ITS GROUPE MAILLARD INDUSTRIE : Conception, fabrication et commercialisation de sanitaires publics pour les collectivités locales MICHEL PLANTÉ SYSTÈMES : Conception, fabrication et commercialisation de toilettes publiques à entretien automatique SAGELEC : Sanitaires autonettoyants et anti-vandalisme pour lieux publics - Signalisation au sol, routière API ELECTRONIC : Matériel électronique lié à la sécurité routière DATACOLLECT TRAFFIC SYSTEMS GMBH : Tout ce qu'il faut pour suivre la circulation (cinémomètre, compteur radar …) NADIA SIGNALISATION : Signalisation routière et urbaine, signalétique SEMCO GROUPE : Création-Conception-Fabrication d'équipements d’accessibilité pour tous secteurs (voiries, espaces verts, forestiers et piétons, pistes cyclables, voies vertes et sites naturels) SES : Conception, fabrication et pose d'équipements de signalisation routière, autoroutière et urbaine SIGNAUX GIROD : Signalisation routière, temporaire, permanente, autoroutière, électronique TECKNISOLAR-SENI : Panneaux de signalisation lumineux et dispositifs d’éclairage autonomes par énergie solaire fonctionnant hiver comme été VIA TRAFFIC CONTROLLING : Panneaux indicateurs de vitesse cinémomètre 28 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Environnement – Energie Fiche 7 La loi «Grenelle 2» : mise en œuvre législative des Grenelle de l’Environnement Développement des énergies renouvelables, amélioration de la performance énergétique des bâtiments, mise en œuvre de plans de réduction des émissions de gaz à effet de serre, préservation de la qualité de l’eau, réduction des déchets… toutes ces notions font désormais pleinement partie de notre quotidien. La loi dite Grenelle, promulguée en juillet dernier, compte 257 articles répartis en six « grands chantiers » dont « énergie et climat » compte le plus grand nombre de bilans à dresser et d’objectifs chiffrés à atteindre. La loi portant engagement national pour l’environnement dite Grenelle 25 La loi ''Grenelle 2'' a été promulguée le 12 juillet dernier. Ce ''monument législatif'' constitue ''la boîte à outil'' du Grenelle, trois ans après son lancement. 257 articles, répartis en six chantiers (bâtiments et urbanisme / transports / énergie et climat / biodiversité / risques santé / déchets / gouvernance), déclinent la mise en œuvre des engagements du Grenelle de l'environnement du 3 août 2009, dite loi ''Grenelle 1''. Le texte prévoit 201 décrets d'application. Ces décrets expliquent précisément comment la loi doit être interprétée et mise en œuvre. Sur ces 201 décrets, 135 seront soumis au Conseil d'Etat et 56 en commission consultative d'évaluation des normes (CCEN). Le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer s'est donné 18 mois pour publier les 201 décrets. Cinquante d’entre eux sont ''jugés prioritaires'' et passeront devant le Conseil d'Etat avant fin 2010 ou début 2011. Ces décrets concernent les ''obligations communautaires et les réformes structurantes'' liées aux études d'impact notamment. Le Schéma Régional Climat Air Energie (SRCAE) Le SRCAE est l'un des grands schémas régionaux créé par la loi Grenelle II (Article 68[1]) dans le cadre des suites du Grenelle Environnement de 2007. Il décline aussi aux échelles régionales une partie du contenu de la législation européenne sur le climat et l'énergie. Ce schéma doit intégrer dans un seul et même cadre divers documents de planification ayant un lien fort avec l'énergie et le climat, qu'étaient auparavant les schémas éoliens, les schémas de services collectifs de l'énergie. Ce schéma est co-piloté par le préfet de région et le Président du conseil régional, en concertation avec les acteurs concernés pour définir des objectifs quantitatifs et qualitatifs à l'échelle de chaque région. Il fixe des objectifs de maîtrise de l’énergie (à l’horizon 2020 et 2050) conformes aux orientations qu'il a défini pour atténuer les effets du changement climatique et s'y adapter, diviser par quatre les émissions françaises de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050. Il fixe aussi des orientations pour atteindre des normes de qualité de l’air et diminuer la pollution de l'air, en définissant donc des « normes de qualité de l'air propres à certaines zones lorsque les nécessités de leur protection le justifient ». Il fixe par zones géographiques, « les objectifs qualitatifs et quantitatifs à atteindre en matière de valorisation du potentiel énergétique terrestre, renouvelable et de récupération et en matière de mise en œuvre de techniques performantes d'efficacité énergétique telles que les unités de cogénération, notamment alimentées à partir de biomasse, conformément aux objectifs issus de la législation européenne relative à l'énergie et au climat. Ce SRCAE peut intégrer le Plan climat-énergie territorial (PCET) des Régions. Le projet de schéma est élaboré sur la base d’un inventaire régional des émissions de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre, d’un bilan énergétique régional d’une évaluation régionale du potentiel énergétique, renouvelable et de récupération, d’une évaluation régionale des améliorations possibles en matière d’efficacité énergétique, d’une évaluation régionale de la qualité de l'air et de ses effets sur la santé publique et l’environnement. 5 loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement national pour l'environnement 29 Le bilan des émissions de gaz à effet de serre6 Le bilan est à réaliser avant le 31 décembre 2012, selon la méthode du bilan carbone. Il porte sur le patrimoine et les compétences de l'entité qui le produit. Il est public et mis à jour tous les 3 ans. Il est obligatoire pour les personnes morales de droit privé employant plus de 500 personnes (250 en outre-mer). Il l'est aussi pour l'État et certaines collectivités (régions, départements, communautés urbaines, communautés d'agglomération et communes ou communautés de communes de plus de 50 000 habitants) et toutes autres personnes morales de droit public employant plus de 250 personnes qui doivent y adjoindre une synthèse des actions envisagées pour réduire ces émissions. En région, le préfet et le président du conseil régional coordonnent la collecte des données, font un état des lieux et vérifient la cohérence des bilans. Les énergies renouvelables7 Un « comité de suivi des énergies renouvelables » est créé, au sein du Conseil supérieur de l'énergie, pour « évaluer la progression vers l’objectif de 23 % d'énergies renouvelables dans la consommation d'énergie finale en 2020 » (art 84) Les gestionnaires des réseaux publics de transport et de distribution d’électricité voient (art. 71) leurs missions élargies aux mers territoriales, plateau continental et zone économique maritime pour le raccordement aux réseaux publics terrestres qu'ils exploitent. Ils doivent élaborer un schéma régional de raccordement au réseau des énergies renouvelables, à faire approuver par le préfet dans les 6 mois suivant l'établissement du SRCAE. Les collectivités peuvent, dans certaines conditions, prolonger une DSP (délégation de service publique), et classer (pour 30 ans au maximum, et après avis de la commission consultative des services publics locaux) « un réseau de distribution de chaleur et de froid existant ou à créer situé sur son territoire, lorsqu’il est alimenté à plus de 50 % par une énergie renouvelable ou de récupération, qu’un comptage des quantités d’énergie livrées par point de livraison est assuré et que l’équilibre financier de l’opération pendant la période d’amortissement des installations est assuré au vu des besoins à satisfaire, de la pérennité de la ressource en énergie renouvelable ou de récupération, et compte tenu des conditions tarifaires prévisibles. Les réseaux existants font l’objet d'un audit énergétique examinant les possibilités d'amélioration de leur efficacité énergétique ». Les collectivités doivent veiller à la bonne coordination des différents plans de développement des réseaux d’énergie et peuvent obliger certains bâtiments très énergivores, neufs ou en rénovation lourde à se raccorder au réseau (dans les zones délimitées par le ou les périmètres de développement prioritaire). Tout réseau de chaleur doit se doter d’un système de comptage de l'énergie livrée aux points de livraison avant mi-2015 et les bâtiments réhabilités pourront justifier d'une renégociation de la puissance souscrite. A certaines conditions, les Départements, Régions et EPCI, sur leurs territoires, peuvent aménager, exploiter, faire aménager et faire exploiter des installations de production d’électricité en bénéficiant de l'obligation d'achat de l’électricité, dans un délai maximum fixé par la loi. De même, pour toute personne morale (quelle que soit la mission pour laquelle elle a été constituée) peut exploiter une installation de production d’électricité utilisant l’énergie radiative du soleil dont les générateurs sont fixés ou intégrés aux bâtiments dont elle est propriétaire, en bénéficiant de l'obligation d'achat de l’électricité, qui est par ailleurs élargie à « l'énergie marine, l'énergie solaire thermique ou l'énergie géothermique ou hydrothermique ». 6 7 Art. 75, et article L. 229-25 du Code de l'environnement Art 71, 84 à 86. 30 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Environnement – Energie La zone Environnement – Energie représente 15,7% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Assainissement individuel ou collectif Carburants Déchets: récupération, traitement, stockage, recyclage Eau Electricité Energies propres, renouvelables Gaz Mesures: Air, Eau, Gaz Nucléaire Recyclage et valorisation Traitement de l'air Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière d’Environnement - Energie: - Assainissement individuel et collectif AGUR : Gestion déléguée des services publics d'eau et d'assainissement BIOROCK : Solutions d'assainissement individuel, compactes, qui fonctionnent sans électricité CANALISATEURS DE FRANCE fédère 400 entreprises spécialisées dans la fourniture, la pose et la réhabilitation de canalisations d’eau potable, d’eaux usées et de gaz. CHOLTON : Gestion par délégation de services publics d'assainissement et d'eau potable pour les collectivités EPUR : Conception et fabrication de stations d'épuration d'eaux usées domestiques et industrielles JEAN VOISIN : Traitement des eaux usées domestiques, collectives et individuelles NANTAISE DES EAUX : Gestion et exploitation de services d'eau potable et d'assainissement pour les collectivités et les industriels SAUR : gestion des services d'eau et d'assainissement SEBICO : Produits techniques et innovants pour l'assainissement individuel et la récupération des eaux de pluie SNITER (SYNDICAT NATIONAL DES INDUSTRIES DU TRAITEMENT DES EAUX RESIDUAIRES) : Regroupe les 36 principales entreprises spécialisées dans le traitement collectif des eaux usées urbaines et industrielles STGS : Gestion des services publics d'eau et d'assainissement TERNOIS EXPLOITATION : Construction de stations de traitement d'eau potable et d'eaux usées - Déchets, récupération, traitement, stockage, recyclage AENERGIS : Solution de gestion et d'optimisation intelligente des collectes de déchets en points d'apport volontaire CNIM : Constructeur de centres de traitement et de valorisation énergétique des déchets clés en mains ECO EMBALLAGES SA : Eco-organisme, agréé par l'Etat, pour contribuer au financement de la collecte sélective ECO FOLIO : Eco-organisme des papiers qui finance et accompagne la collecte, le tri et le recyclage des papiers FEDERATION DES ENTREPRISES DE RECYCLAGE (FEDEREC) : Regroupe plus d'un millier d'entreprises investies dans la transformation de déchets en matières premières GROUPE ECT : Valorisation et stockage de matériaux inertes (remblaiement de carrières, aménagement de parcs, dépollution de sols et création d'espaces verts …) 31 GROUPEMENT NATIONAL DES PME DU DECHET ET DE L'ENVIRONNEMENT – GNPMED : Réseau professionnel qui regroupe une soixantaine de PME indépendantes de la gestion des déchets HOLDING VERTE ET LEDJO ENERGIE : Accompagne les collectivités, les agriculteurs et les industriels dans le développement et le financement de projets de méthanisation des déchets JUWEL H. WUSTER : Développement et fabrication des silos à compost et système de tri des déchets en matière recyclée MODULO BETON : Conception et commercialisation de déchetteries modulables en béton NICOLLIN SAS : Environnement, propreté urbaine, traitement des déchets PAPREC FRANCE : Leader indépendant français du recyclage RECYCLAGE PAPIER CARTON : Gestion et le recyclage des papiers et cartons. REVIPAP: Groupement Français des Papetiers Utilisateurs de Papiers Recyclables, REVIPAC: Filière Emballage Papier-Carton, REVIGRAPH: Filière de recyclage des imprimés papiers ROSSIGNOL PROFESSIONNEL : Fabrication et commercialisation de matériels et équipements destinés à la collecte des déchets, à la propreté et à l'hygiène des locaux RUMAL : recyclage des pneus usagés SECHE ENVIRONNEMENT : Gestion des déchets ménagers et des déchets dangereux des ménages, travaux de dépollution et de réhabilitation de sites et friches industrielles SEPRA ENVIRONNEMENT : Spécialiste de la propreté urbaine et collecte de déchets divers SEPUR : Acteur majeur dans la gestion des déchets et la propreté urbaine SERACC FRANCE : Fabricant du conteneur semi-enterré qui permet de stocker et d'amasser des déchets à basse température, sans odeur - Eau APRO INDUSTRIE : Fabrication et installation de réservoirs pour le stockage d’eau incendie, d’eau potable, d’eau de process et d’effluents urbains FEDERATION DES DISTRIBUTEURS D’EAU INDEPENDANTS : Regroupe la quasi totalité des entreprises privées indépendantes spécialisées dans la gestion déléguée des services publics d'eau et assainissement GENIE CIVIL DE L’EAU ET DE L’ENVIRONNEMENT (GCEE) : Représente les principales entreprises spécialisées dans les travaux de construction, d'entretien et de réparation des ouvrages de génie civil propres aux équipements de l'eau et de l'environnement GLS : Bureau d'études dans les traitements d'eaux ITRON : Fabricant des compteurs d'eau et systèmes de relève à distance associés pour les Services d'Eau Publics en régie LYONNAISE DES EAUX : Production et distribution de l’eau potable ; Assainissement des eaux usées et pluviales ONEMA : ONEMA et les Agences de l'eau sont des établissements publics nationaux sous tutelle du ministère en charge du développement durable et mettent en œuvre la politique de l’eau dans l'objectif de l'atteinte du bon état des eaux en 2015 SAINT GOBAIN PAM : systèmes de canalisation en fonte ductile pour l’eau potable et l’assainissement SAFEGE : Compétences en ingénierie dans les domaines de l’eau et les infrastructures hydrauliques, l’environnement et les déchets, les infrastructures urbaines et de transport, et les énergies SUEZ ENVIRONNEMENT : Leader mondial exclusivement dédié aux métiers de l’eau et des déchets UIE (UNION NATIONALE DES INDUSTRIES ET ENTRPRISES DE L’EAU ET L’ENVIRONNEMENT) : Rassemble les entreprises du cycle de l'eau, du captage au rejet dans le milieu naturel 32 - Electricité / Gaz ALSI : système de relève et de télé-relève, de gestion clientèle et de facturation, portail internet et système de d'analyse pour la Maîtrise de l'Energie ALTERGAZ : Fournisseur 100% gaz de ville, expert de l’ensemble de la chaine gazière ANTARGAZ : Propose des solutions gaz naturel et propane qui répondent à l'ensemble des besoins des collectivités BUTAGAZ : Leader français de la distribution des gaz de pétrole liquéfiés (GPL) ERDF : Exploitation et entretien du réseau d’électricité GRTGAZ : Exploite, entretient et développe le réseau de transport de gaz naturel sur la majeure partie du territoire national MEDIATEUR NATIONAL DE L’ENERGIE : Institution publique indépendante qui recommande des solutions aux litiges entre consommateurs et fournisseurs d’électricité et de gaz naturel, et participe à l’information des consommateurs sur leurs droits PRIMAGAZ : acteur du monde de l'énergie moderne (optimisation du budget énergie, politique de conseil en énergie, solutions modulo durables évolutives et adaptatives) RTE : Gestionnaire du réseau de transport d'électricité français qui a pour mission l'exploitation, la maintenance et le développement du réseau à haute et très haute tension TOTALGAZ: Producteur et distributeur de gaz de pétrole liquéfiés SERCE (SYNDICAT DES ENTREPRISES DE GENIE ELECTRIQUE ET CLIMATIQUE) : Réunion de 270 entreprises, audits énergétiques et offres multi-techniques d’optimisation énergétique et développement durable - Energies propres, renouvelables ABO WIND : Fermes éoliennes "clefs en main" ALTERRYA : Développe, finance, construit et exploite des centrales de production d'énergie (électricité et chaleur) à partir d'énergie renouvelable BIOVAL ENVIRONNEMENT : Production d'énergie à partir de biomasse CFG SERVICES : Géothermie (études techniques, travaux, maintenance, réhabilitation…) CITA: Développement et exploitation de parcs éoliens CREPITO : Commercialisation des granulés de bois et des bûches de bois comprimé ENERTRAG : produit de l’électricité à partir de sources renouvelables, parcs éoliens et photovoltaïques ENFINITY : Groupe international spécialiste dans la conception, l'installation, l'exploitation et le financement de projets d’énergie solaire et éolienne ETDE : Solutions énergétiques et services de proximité dans de nombreux domaines de compétences comme les infrastructures d’énergies (électricité, eau, gaz…), les réseaux numériques, l’éclairage public, la vidéo-protection … EUROPEENNE DE BIOMASSE : Groupement de producteurs de biocombustible solide à destination des collectivités locales, des réseaux de chaleur et des industriels FONROCHE ENERGIE : Maîtrise toutes les étapes du secteur photovoltaïque, 1er assembleur français de panneaux photovoltaïques JUWI ENR : Projets éolien et photovoltaïque, offre multi-énergies renouvelables pour contribuer à la diversification du bouquet énergétique des territoires KDE ENERGY : Conception, construction, exploitation de fermes éoliennes NOVEOL : Un type nouveau d'éolienne à axe vertical innovant et design OFFICE NATIONAL DES FORETS (ONF) : Assure la gestion durable des forêts publiques relevant du régime forestier, forêts domaniales et des collectivités OKOFEN : Marque spécialiste en Europe de la chaudière à granulés de bois OSTWIND INTERNATIONAL : Construction et exploitation de parcs éoliens sur l'ensemble du territoire français Q-CELLS : Leader mondial du marché photovoltaïque (fabrication de cellules de qualité, fournisseur des modules et parcs solaires, conception clé en main de centrales solaires) SOLAREO : Bureau d'études spécialisé dans l'énergie solaire et la performance énergétique, et producteur d'électricité photovoltaïque VEOLIA ENVIRONNEMENT : amélioration de la qualité de vie urbaine, réduction des pollutions, lutte contre le changement climatique, protection de l’environnement, préservation des ressources VOLTALIA : Producteur d'électricité sur la base d'énergies renouvelables 33 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Institutionnel - Finances - Services aux collectivités Fiche 8 Rationalisation des coûts, mutualisation des équipements et optimisation des dépenses Les différentes réformes en cours font de 2010 la dernière année d’un système fiscal. Les concours financiers de l’Etat aux collectivités locales, hors FCTVA, seront gelés en valeur à partir du budget triennal 2011-2013 et s'élèveront au total en 2011 à 53,38 milliards d'euros, comme en 2010, à une dizaine de millions d'euros près. Le plan de relance, avec notamment le versement anticipé du Fonds de Compensation pour la TVA a permis aux collectivités territoriales de préserver leurs dépenses et de maintenir leur effort d’investissement. La tendance est à l’optimisation des performances, à la mutualisation des équipements et la rationalisation des coûts. Les budgets primitifs des collectivités locales en 20108 Les budgets votés par les collectivités locales au titre de l'année 2010 prévoient une hausse des dépenses totales de 3,2%. Cette évolution est relativement faible au regard de celles des dix dernières années, marquées par les transferts de compétences de l'Etat vers les collectivités. Dans le bloc communal, les dépenses des intercommunalités continuent à progresser et les marges de manœuvre sont préservées. Les départements doivent faire face à une équation délicate avec des dépenses sociales dynamiques (notamment la mise en place du RSA) face à des recettes qui le sont nettement moins. Les subventions d'équipement et charges à caractère général sont votées en baisse. Dans les régions, l'année 2010 marque le début d'un nouveau mandat de quatre ans pour les exécutifs. La taxe professionnelle ayant été supprimée au 1er janvier 2010, les collectivités reçoivent de l’année, pour l’année 2010, une compensation relais s’y substituant. En 2011, les collectivités percevront de nouveaux impôts et une dotation leur garantissant la neutralité budgétaire de cette réforme. Dans ce contexte, les collectivités ont voté des budgets en hausse de 3.2% par rapport à 2009. Dans les départements et les régions la hausse des volumes budgétaires est très mesurée. Les dépenses des départements sont votées en hausse de 1.4Md€ dont environ la moitié est liée au RSA, généralisé en juin 2009. Les régions prévoient de dépenser 800M€ de plus en 2010 qu’en 2009. Les dépenses de fonctionnement des régions et départements croissent plus rapidement que leurs recettes de fonctionnement. Optimiser, rationaliser, mutualiser les dépenses Comme chaque année, les collectivités territoriales sont soumises à un effet de ciseau budgétaire. Avec une hausse limitée des recettes et une augmentation des dépenses contraintes, notamment dans le cadre de la décentralisation : financement du RSA, droit opposable au logement et à la garde d’enfant, mise en place des services minimums mais aussi le financement des programmes lancés en début de nouveau mandat, communes, intercommunalités, départements et régions ne disposent que de peu de leviers d’action. L’augmentation de la fiscalité locale est une solution peu envisageable dans le cycle municipal. De la même manière, les collectivités préfèrent limiter l’appel à l’emprunt même si les taux sont très favorables. C’est donc la rationalisation des dépenses et la mutualisation des équipements qui offrira aux collectivités le moyen de pourvoir aux besoins de leurs administrés. 8 Bulletin d’Informations Statistiques de la DGCL « Les budgets primitifs des collectivités locales en 2010 », N°76 – Septembre 2010. 34 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Institutionnel - Finances - Services aux collectivités La zone Institutionnel, Finances, Services aux Collectivités représente 20% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Agence de communication, agence événementielle Associations Banques - Etablissements financiers Bureaux d'étude - Conseil - Formation Communication par l’objet Comptabilité - Gestion Délégation de service public Développement économique Distribution Edition - Presse Fédérations Fournitures Générales Gestion et valorisation du patrimoine Ministères et organismes officiels Mobilier et matériel de bureau Organisme de Certification Qualification Ressources humaines Restauration Collective Sonorisation V.P.C. Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière d’Institutionnel – Finances – Services aux collectivités: - Agence de communication, agence événementielle CODECOM : Conçoit et organise des évènements grand public "clé en main" INEXINE : Création de sites Internet et de portails Intranet pour les Collectivités locales basés sur la solution open infolive LDM MOBILE : LDM Media, agence de communication digitale (marketing direct, événementiel Web / Mobile) MONCLOCHER.COM : Spécialisé dans la création de site internet pour les collectivités locales - Associations / Fédérations ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) : Participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l'environnement, de l'énergie et du développement durable AGENCES DE L’EAU : Etablissements publics du ministère en charge de l’environnement. Ses missions sont d'aider les ouvrages et les actions qui contribuent à préserver les ressources en eau et à lutter contre les pollutions, en respectant le développement des activités économiques ALLOCATIONS FAMILIALES : La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) et le réseau des 123 caisses d'allocations familiales (Caf) constituent la branche Famille du régime général de la Sécurité sociale, en charge du service des prestations légales et de l'action sociale familiale ASSOCIATION NATIONALE POUR LA DEMOCRATIE LOCALE : Organisme de formation à destination des élus locaux et qui publie également tous les mois "le Bulletin des élus locaux" ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE: L’AMF représente près de 36 000 adhérents (maires et présidents d’EPCI) CENTRE D’INFORMATION DES VIANDES : Plate-forme d’échanges et d’information, le CIV a pour mission de contribuer à une meilleure connaissance, pour tous les publics, des viandes bovine, ovine, porcine, chevaline, de leurs produits tripiers et de leurs filières 35 COMITE NATIONAL D’ACTION SOCIALE(CNAS): Véritable comité d'entreprise des collectivités, le CNAS est en permanence aux côtés des agents territoriaux et de leurs familles grâce à un riche panel d'offres CROIX-ROUGE FRANCAISE : Actrice de référence dans le domaine de l'action humanitaire, forte de ses 50 000 bénévoles, elle mène un combat quotidien pour « Humaniser la vie » FEDERATION DES EPL : Fédération des Entreprises publiques locales assure un double rôle de représentation et d'animation du mouvement des Sem et des Sociétés publiques locales FEDERATION NATIONALE DES CHASSEURS FEDERATION NATIONALE DE LA PECHE EN FRANCE ET DE LA PROTECTION DES MILIEUX AQUATIQUES FEDERATION NATIONALE DES JARDINS FAMILIAUX ET COLLECTIFS : Crée, développe, réhabilite, gère et anime les jardins familiaux et collectifs dans le respect de l'environnement et de la biodiversité INTERBEV : Association Nationale Interprofessionnelle du Bétail et des Viandes, défendre et valoriser les intérêts communs de l'élevage et des activités industrielles, artisanales et commerciales de la filière NOTAIRES DE FRANCE : Consultations juridiques ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES : Veille notamment au respect de la déontologie professionnelle et contrôle la qualité des interventions de ses membres TERRITOIRES DE COMMERCE EQUITABLE : La campagne Territoires de Commerce Equitable co-organisée par la Fédération Artisans du Monde, la Plate-forme pour le Commerce Equitable et Max Havelaar France, s’adresse aux collectivités désireuses de s’engager en faveur du commerce équitable par la mise en place d’achats équitables et d’actions de sensibilisation UNCCAS : L'Union Nationale des CCAS est l’unique représentant national des centres communaux et intercommunaux d’action sociale UNSFA : L'Union Nationale des Syndicats Français d'Architecte réunit des syndicats départementaux et régionaux URSAFF : Principale mission de collecter les ressources pour financer les prestations du régime général de la Sécurité sociale - Assurance – Mutuelle - Prévoyance CAREL: Régime complémentaire de retraite mutualiste des élus locaux GMF ASSURANCES : 1ère mutuelle d'assurance des agents du service public GROUPAMA: 1er assureur des collectivités avec plus de 50% des collectivités assurées HARMONIE MUTUELLES : Leader national de la protection sociale et la proximité d'un partenaire dans vos régions INTERIALE : Mutuelle du Ministère de l’Intérieur et des conseils généraux IPSEC : Conçoit des régimes collectifs de protection sociale pour couvrir tous les besoins des agents et de leur famille MGS – MUTUELLE GENERALE SANTE : Spécialiste de la protection sociale, affiliée à la Mutualité Française, elle est reconnue par 1000 entreprises adhérentes réparties tant en secteur public que privé et en particulier dans les collectivités locales MNFCT : Solutions collectives ou individuelles en prévoyance et en complémentaire santé MUT’EST : Mutuelle historique de la fonction publique territoriale MUTAME : Réseau de mutuelles créées par des territoriaux pour des territoriaux MUTUELLE NATIONALE TERRITORIALE: 1ère mutuelle de la fonction publique territoriale MUTUELLES DE FRANCE : Partenaires d'un grand nombre de communes, les Mutuelles de France couvrent l'ensemble de la protection sociale complémentaire sur tout le territoire - Fournitures générales BORNEY : Drapeaux et pavillons de nations ou publicitaires, voiles évènementielles, tapis, kakémonos, enrouleurs, banderoles et calicots, stands parapluie, fanions, mâts, produits de signalétique… PICHARD BALME : Fabricant de Décorations Officielles Françaises et Internationales, Cocardes, Echarpes et Insignes de Maires Marques… 36 - Banques – Etablissements financiers CAISSE D’EPARGNE : Gamme complète de financements adaptés aux besoins des collectivités et à leurs spécificités règlementaires CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS: Institution financière publique qui finance le logement social, la politique de la ville et les infrastructures CREDIT AGRICOLE : Offre de produits et services (crédits, monétique, épargne, assurance) pour répondre aux attentes des collectivités CREDIT MUTUEL : Gamme complète de financements destinés à l'équipement et à la gestion des collectivités locales DEXIA : Banque de l’économie locale, joue un rôle majeur dans le financement des équipements collectifs et infrastructures, des secteurs de la santé, du logement social et de l’économie sociale GROUPE LA POSTE : Se positionne comme une entreprise de services de proximité et de prestations destinées aux décideurs publics locaux. Banque postale SOCIETE GENERALE : L’un des tout premiers groupes de services financiers de la zone euro. Avec 157 000 personnes dans le monde, son activité se concentre autour de 3 grands métiers (Assurances, Banque Privée, Banque de Financement & d'Investissement) - Bureaux d’études – Conseil – Formation CNED : Premier opérateur de formations à distance du monde francophone CONCERTAUX : Concertaux Groupe Novances intervient en direction des collectivités locales, plus particulièrement dans les domaines d’activités suivants : Accompagnement budgétaire, Gestion active de la dette, Contrats publics, Audit conseils FRANCE ACTION SOCIALE : Formation, conseil, aide en ligne pour les élus, collaborateurs d'élus et agents territoriaux GO PUB FIT : Accompagne les communes et les Etablissements Publics de Coopération Intercommunale dans la gestion de la publicité urbaine RW CONSEIL : Assistance à la maîtrise d'ouvrage pour des projets liés à l'administration électronique, la dématérialisation, la gestion unifiée des dossiers usagers. Étude de faisabilité et de cadrage, rédaction de cahier des charges, conduite du changement ... SAFER : A travers des études et des actions d'achat et de vente, elle participe à l'aménagement durable de l'espace rural (Études foncières / Achat, vente ou gestion de biens agricoles ou ruraux / Conseil auprès des agriculteurs, des collectivités et autres organismes…) SOMIVAL : Accompagne les collectivités locales dans la maîtrise d’ouvrage de leurs équipements (Stratégie de développement, évaluation de la faisabilité d’un projet, conduite d’un investissement, gestion de sites touristiques …) SODEREC : Maîtrise d'ouvrage des constructions publiques, en assistance à maîtrise d'ouvrage (mandat de maîtrise d'ouvrage, conduite d'opération, études préalables) ou en partenariat publicprivé. - Distribution ALLIANCE DURABLE : Démarche collective d’agriculteurs, meuniers, boulangers et consommateurs dont l’ambition est de proposer des produits issus de blés 100% français cultivés durablement, à prix abordable CARREFOUR PROXIMITE : Les enseignes de Carrefour proximité enrichissent l'offre multiformat du groupe Carrefour CASINO : Le Groupe Casino est positionné sur le commerce de proximité au travers de formats et enseignes variés, répondant à la diversité des besoins des communes GROUPEMENT DES MOUSQUETAIRES : 6 enseignes de distribution qui proposent des prix bas et des surfaces de vente adaptés aux besoins du client METRO CASH & CARRY FRANCE : Leader du commerce de gros SIMPLY MARKET: Supermarché traditionnel de proximité à vocation essentiellement alimentaire SYSTEM U : Enseigne de grande distribution alimentaire commerçants indépendants. UGAP: L’Union des Groupements de l’Achat Public est la centrale d’achat publique chargée d’acheter et de céder des produits et services destinées aux personnes publiques et personnes privées chargées d’une mission de service public UGAP : Centrale d’achat public avec une gamme diversifiée de produits et de services (véhicules, informatique et multimédia, mobilier, services aux bâtiments et aux occupants, produits verts…) 37 - Edition - Presse CEDROM-SNI : Spécialiste de la gestion et de la diffusion d’information de presse. La société édite Europresse.com, la base de presse en ligne adoptée par un grand nombre de bibliothèques municipales et départementales de prêt, médiathèques … CERTU: Administration qui produit et diffuse des méthodes et techniques urbaines en aménagement COURRIER DES MAIRES: Revue d’information, de formation et de réflexion sur les enjeux de la gestion locale EDITIONS LA SOURIS VERTE – STUDIO DALIX : Crée, conçoit et édite des collections de cartes de Vœux spécialement étudiées pour les mairies, les collectivités et les entreprises EDITIONS WEKA: Accompagnent les décideurs des collectivités locales dans différents domaines : marchés publics, budgets et finances, gestion des personnels et des services publics ENVIRONNEMENT MAGAZINE : N°1 de la presse professionnelle de l'environnement et de l'énergie, apporte des solutions pratiques et concrètes pour une meilleure gestion de l'environnement par les collectivités territoriales GAZETTE DES COMMUNES : Outil hebdomadaire d'information et de travail des décideurs territoriaux GAZETTE SANTE SOCIAL : Information mensuelle des acteurs sanitaires, médico-sociaux et sociaux GROUPE BURLAT : Prépresse, impression et distribution (journaux de collectivités, bulletins municipaux, plaquettes, brochures, catalogues, affiches, flyers, enseignes, panneaux, réalisation de stands, sites internet) GROUPE MONITEUR : Le plus grand choix de revues et de livres français et étrangers sur la construction, l'architecture, le design, la décoration et les collectivités territoriales L’HEMICYCLE: Hebdomadaire de référence des élus nationaux et locaux JOURNAL DES COMMUNES : Avec plus de 170 ans d'expérience dans la gestion des petites et moyennes communes, le Journal des Communes est une référence pour les collectivités territoriales JOURNAL DES MAIRES : Revue de référence des élus locaux, des cadres de la fonction publique et des acteurs économiques des collectivités territoriales. LA LETTRE DU CADRE TERRITORRIAL : Bimensuel des managers et cadres territoriaux, outil indispensable au quotidien pour anticiper et décrypter l'actualité territoriale LE MONITEUR DES TRAVAUX PUBLIQUES ET DU BATIMENT : Chaque semaine, il commente et analyse l'actualité économique, technique, réglementaire et sociale de la filière construction et de l'aménagement du cadre de vie MAURY IMPRIMEUR SAS : Implanté sur 6 sites industriels dans 5 départements, imprime sur 30 rotatives pour les plus grands éditeurs de presse ou de livres français et étrangers PYC EDITIONS : Groupe de presse professionnelle indépendant centré sur les marchés du bâtiment, des services généraux, de l'industrie, du froid et des cuisines professionnelles, il édite une trentaine de supports POLE D’INNOVATION DE L’IMPRIMERIE : P2i assure la gestion de la marque Imprim’Vert® avec l’aide des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, des Chambres de Commerce et d’Industrie, de l’ADEME, des Agences de l'eau et des organisations professionnelles du secteur de l'imprimerie REVUE DES COLLECTIVITES LOCALES : Edition de magazines et de sites Internet dédiés à l’information complète et à forte valeur ajoutée des élu(e)s locaux et des cadres de la fonction publique territoriale - Gestion et valorisation du patrimoine ASTECH SOLUTIONS : Editeur de progiciels de gestion des services techniques et du patrimoine FONDATION DU PATRIMOINE : Promeut la connaissance, la conservation et la mise en valeur du patrimoine national grâce à 3 moyens: l’attribution d’un label, le mécénat populaire et le mécénat d’entreprise 38 - Ministères et organismes officiels ADEME : Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie AVOCATS – CONSEIL NATIONAL DES BARREAUX : Représente la profession d’avocats et promeut son image CERTU : Administration, membre du RST du Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement Durable et de la Mer, produit et diffuse des méthodes et des techniques urbaines en aménagement CNFPT (Centre National de la Fonction Publique Territoriale): Chargé de la formation tout au long de la vie des agents des collectivités locales MINISTERE DE L’ALIMENTATION, DE L’AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE MINISTERE DE L’ESPACE RURAL ET DE L’AMÉNAGEMENT MINISTERE DE L’ÉCOLOGIE, DE L’ÉNERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA MER MINISTERE DE L’ÉCONOMIE, DU BUDGET MINISTERE DE L’INTERIEUR MINISTERE DE LA JUSTICE – ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE MISSION INTERMINISTERIELLE POUR LA QUALITÉ DES CONSTRUCTIONS PUBLIQUES : Conseil et formation auprès des maîtres d'ouvrage publics et maîtres d'œuvre dans le cadre de leurs projets de constructions d'équipements publics et d'aménagements urbains ORDRE DES ARCHITECTES : Regroupe les professionnels qui remplissent les conditions fixées par la loi sur l’architecture pour exercer la profession d’architecte PARLEMENT EUROPÉEN RSI : Mission d'assurer la protection sociale obligatoire de 5,1 millions de chefs d'entreprise indépendants-actifs et retraités-artisans, commerçants, industriels et professionnels libéraux et de leurs ayants droits SENAT - Mobilier et matériel de bureau HOWE FRANCE : Equipement mobilier des espaces de réunion, de formation, d'accueil, et de restauration PLANORGA : Fabrication Française de tableaux d'écriture et d'affichage, de vitrines d'affichage pour intérieur et extérieur, signalétique, produits d'accueil et de présentation STEELCASE : Mobilier de bureau-solutions d'aménagements SIMAB : Partenaire des collectivités dans le domaine de l'organisation et de l'équipement du bureau ULMANN : Fourniture de tableaux, surfaces communicantes et aménagement d’amphithéâtres - Ressources Humaines ADECCO : Premier Groupe privé au service de l’emploi en France, il propose une offre complète de services en Ressources Humaines destinée aux candidats et aux entreprises privées et publiques RANDSTAD : Services en ressources humaines - Restauration collective ASC - AMBASSADE DE BOURGOGNE : Conçoit et fabrique des appareils de cuisson professionnels destinés aux collectivités et à la restauration commerciale AVENANCE : Leader sur le marché de la restauration scolaire GROUPE CHEQUE DEJEUNER : Partenaire des collectivités pour lesquelles il conçoit des solutions innovantes qui concrétisent leur politique sociale et culturelle MCDONALD’S FRANCE : Enseigne de restauration rapide 39 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Matériel – Transport – Véhicules Fiche 9 Grenelle 2 : un changement essentiel dans les transports La loi dite Grenelle 2, promulguée en juillet dernier, compte 257 articles répartis en six « grands chantiers » dont le chapitre Transport entend « assurer une cohérence d’ensemble de la politique de transports, pour les voyageurs et les marchandises, en respectant les engagements écologiques ». Développer les transports collectifs urbains et périurbains Ce volet « transport » de la loi Grenelle 2 entend faire évoluer nos infrastructures de transports et nos comportements. Il prévoit ainsi la réalisation d’un peu plus de 1 500 km de lignes de transports collectifs urbains, sans compter ceux de l’Ile-de-France. Pour ce qui est des transports collectifs urbains et périurbains, la loi envisage la clarification des compétences des collectivités locales afin d’améliorer la planification et la gestion de tous les modes de transports (auto-partage, vélos en libre service, réglementation du stationnement…). Elle offre également la possibilité d’expérimentation du péage urbain pour les agglomérations de plus de 300 000 habitants dotées d’un plan de déplacements urbains et donne la compétence aux communautés de communes et d'agglomérations pour organiser un service de mise à disposition de vélos en libre service et réaliser des stationnements sécurisés pour les vélos lors de la construction d’un immeuble ou de l’aménagement d’un parking. Des collectivités engagées dans le développement des infrastructures publiques de recharge des véhicules décarbonés9 Jean-Louis BORLOO, ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, et Christian ESTROSI, ministre chargé de l'industrie, ont signé le 13 avril avec douze collectivités territoriales pilotes10 et les constructeurs Renault et PSA une charte pour le déploiement dès 2010 d'infrastructures publiques de recharge de véhicules électriques. Les collectivités "pilotes" se sont donc engagées à mettre en œuvre le déploiement d'infrastructures publiques de recharge dès 2010, "si les conditions techniques et réglementaires suffisantes sont réunies", précise toutefois la charte. Les infrastructures devront avant tout couvrir les recharges normale (3 kW) et semi-rapide (24 kW) et permettre également la recharge rapide de forte puissance, notamment en courant continu (40 à 50 kW) ou par échange de batteries. "Les infrastructures devront atteindre une densité significative dès le second semestre 2011", insiste la charte. Les collectivités s'engagent aussi dans un programme d'achat de véhicules électriques dans le cadre du renouvellement de leur flotte. Enfin, les constructeurs automobiles signataires de la charte s'engagent pour leur part à commercialiser 60.000 véhicules électriques en France en 2011-2012, en ciblant notamment les agglomérations qui développent un réseau d'infrastructures de recharge suffisant. Développement du réseau des Transports Collectifs en Site Propre Jean-Louis BORLOO et Dominique BUSSEREAU, Secrétaire d’Etat chargé des Transports, ont confirmé, le 20 mai dernier, l’engagement de multiplier par cinq les réseaux de transports collectifs hors de l’Ile-de-France en 15 ans. L’objectif est de passer de 329 kilomètres aujourd’hui de ligne de Transports Collectifs en Site Propre (TCSP), à 1 800 kilomètres. Pour cela, l'Etat s’est engagé, dans le Grenelle Environnement, à cofinancer de nouveaux projets, à hauteur de 2,5 milliards d’euros d’ici 2020. Le 4 mai dernier un deuxième appel à projets a été lancé auprès des collectivités locales. La liste des projets retenus sera rendue publique en décembre 2010 mais dont les modalités de financement restent encore inconnues. Les travaux devront ensuite être engagés entre 2011 et 2013. Annoncé en 2008, le premier appel à projets a permis d’engager 810 millions d’euros pour cofinancer 52 projets, menés par 37 collectivités. (365 kilomètres de lignes nouvelles de transports collectifs, dont les opérations, pour certaines débutées dès 2009, seront toutes engagées d'ici fin 2011). 9 Véhicules à motorisation hybride ou électrique Bordeaux, Grenoble, Rennes, Nice, Angoulême, Pays d’Aix-en-Provence, Orléans, Paris, Rouen, Strasbourg, Le Havre et le Grand Nancy. 40 10 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Matériel – Transport – Véhicules La zone Matériels, Transport, Véhicules représente 6,5% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Carrossier - Equipementier Constructeur automobile Entretien de voirie Location de matériel / Outillage Matériel espaces verts Matériel et équipements de nettoyage Transports publics Véhicules Véhicules énergie propre Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière de Matériel – Transport – Véhicules : - Carrossier - Equipementier / Constructeur automobile AUTOMOBILES CITROEN : Gamme de véhicules propres : bi carburation (essence/GNV), bio carburants ISUZU : 1er constructeur mondial de moteurs diesels pour véhicules commerciaux, importateur de véhicules utilitaires légers, châssis cabine/carrossés KOLLE : Carrossier constructeur spécialiste dans l'aménagement et la transformation de véhicules utilitaires MITSUBISHI FUSO : Distribution de véhicules utilitaires de 3.5T à 7.5T de PTAC PEUGEOT : Constructeur automobile - Entretien de voirie / Matériel et Equipements de nettoyage 3D : Distribution de véhicules de nettoiement urbain et industriel et services associés ARMURERIE SALCET : Fabricant de matériel pour la propreté des voiries et espaces verts ARVEL: Fabrication d'outils de raclage et épandage / Equipements de véhicules destinés aux opérations de déneigement CONCEPT MICROFIBRE : Gamme d’outils ergonomiques, manches et balais innovants et durables, des mops et carrés microfibres performants et une gamme verte, recyclable CMAR: Fabricant de matériels de la voirie (laveuses de trottoirs, balayeuses aspiratrices compactes et sur châssis, véhicules rail-route, désherbeurs thermiques) EUROVOIRIE : Gamme de balayeuses, laveuses de voirie GLUTTON : Fabricant d'aspirateurs mobiles de déchets urbains et industriels KARCHER: Spécialiste du nettoyage haute pression LABOR HAKO : Fourniture et entretien de matériels pour communes et collectivités locales (balayeuses aspiratrices de trottoirs et de voirie, véhicules spéciaux porte-outils multi-fonctions) NILFISK: Fournisseur de matériels et d'équipements de nettoyage professionnels (balayeuses de voirie ou accompagnées ou à conducteur porté, laveuses accompagnées ou à conducteur porté, aspirateurs professionnels et industriels et nettoyeurs haute pression) PRODIM : Distribution de matériels et produits de propreté et de matériels de voirie et véhicules de proximité électriques SYSTEM H’O : Négoce matériels nettoyage industriel, solutions de nettoyage en eau pure (sans aucun produit chimique) TENNANT SA : Production, commercialisation et entretien de balayeuses aspiratrices de voirie et de machines de nettoyage industriel VOUSSERT : Grossiste et distributeur en produits et matériels d'entretien et d'hygiène. Equipement pour les collectivités (écoles, hôpitaux, mairies, casernes, lieux publics...) dans les domaines de l'hygiène et du nettoyage 41 - Matériel Espaces verts COCHET : Balayeuses de voiries et Taille Haies sur tracteurs et tondeuses DIEL : Vente d’articles de quincaillerie et de jardinerie ETS SEON : Fabrication et vente de matériel de nettoyage pour voirie et espaces verts KUBOTA : Importateur et distributeur de matériels agricole et espaces verts LEGRAND : Fabrication de remorques agricoles, de bennes de travaux publics, de plateaux à paille, d’épandeurs à hérissons, de remorques à ridelles rabattables, de porte-engin … MP PRODUCTION: Concepteur, fabricant et distributeur de matériel professionnel destiné au nettoyage de voirie et espaces verts RABAUD : Equipements pour la création et l'entretien des voiries et des haies REFORM FRANCE : Constructeur de porte-outils polyvalents pour l'entretien des dépendances routières et d'espaces verts ROUSSEAU : Conception, fabrication et commercialisation de matériels d'entretien des accotements routiers et des espaces verts STIHL : Import et distribution par réseau de revendeurs de matériels d'entretien des espaces verts, voirie, matériels forestiers YVAN BEAL : Distribution de matériels d'entretien d'espaces verts et motoculture - Location de matériel / Outillage EUROPE SERVICE : Vente et location de matériels de déneigement, de balayage et de débroussaillage, Service Après Vente, Maintenance, Dépannage sur site, Aménagement de camion et porteur pour le service hivernal LOXAM: Location de matériel pour le Bâtiment, les Travaux Publics et les Collectivités Locales - Véhicules et Véhicules énergie propre / Transports publics AVERE : Association pour le développement du véhicule hybride et électrique AIXAM MEGA: Constructeur de véhicules respectueux de l'environnement, gamme de véhicule permettant le transport de personnes et de marchandises ECO&MOBILITE : Conception, fabrication et commercialisation de véhicules électriques répondant aux besoins de mobilité de courte distance : les déplacements de proximité urbains et périurbains. GOUPIL : Conception et fabrication de véhicules électriques pour les collectivités, l’industrie et les loisirs INTERCYCLES: Fabrication et distribution de cycles traditionnels et électriques KASSBOHRER E.S.E. : Véhicules polyvalents équipés pour opérations extrêmes en terrains difficiles ou impraticables par engins à roues LA PETITE REINE : Spécialiste du transport écologique de marchandises en ville en vélos assistés électriquement LEITNER : Constructeurs de Systèmes de transports par Câble (Tramway Aérien, Mini-métro Funiculaire, Téléphérique Débrayable, Télécabine) LITTLE : Constructeur de véhicules électriques LINDNER : Constructeur véhicule polyvalent LUMENEO : Constructeur de voitures électriques ; développe et produit en petites séries des voitures innovantes, ingénieuses et écologiques MAM STRAGER : Véhicules communaux MIA ELECTRIC : Spécialisée dans le développement et la production de véhicules électriques REDCOST : Véhicules électriques destinés aux transports et aux services VELOGIK : Spécialiste en développement des déplacements à vélos pour les collectivités et administrations 42 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Bâtiment - Travaux publics - Voirie Fiche 10 Sécurisation des réseaux enterrés et nouvelle règlementation thermique Les secteurs du Bâtiment et des Travaux publics représentant près du quart des émissions de CO2, il est au cœur de l’objectif que s’est fixé la France de « devenir l’économie la plus efficiente en équivalent carbone de l’Union européenne d’ici 2020 » comme le précise la loi dite Grenelle 111. Objectifs majeurs de ce texte d'ici à 2020 : améliorer de 20 % l'efficacité énergétique, réduire d'au moins 20 % les émissions de gaz à effet de serre, et porter à 23 % la part des énergies renouvelables dans la consommation d'énergie finale. La Réglementation Thermique 2012 a pour objectif de fixer une limite maximale de consommation énergétique des bâtiments neufs pour le chauffage, l’éclairage, la ventilation, la production d’eau chaude sanitaire et la climatisation. Aujourd’hui, les règles concernant la sécurité des travaux réalisés à proximité des réseaux sont définies par le décret du 14 octobre 1991 et par son arrêté d’application du 16 novembre 1994. La réforme engagée vise non seulement à renforcer ces règles pour garantir un haut niveau de sécurité, mais également à établir un juste équilibre entre les parties en termes de responsabilité. Un arrêté d’application, attendu depuis plusieurs mois, doit préciser les dispositions relatives à l’amélioration de la qualité de la cartographie des réseaux, au renforcement de la formation et préciser les critères d’arrêt de chantiers. Sécurité des travaux à proximité des réseaux : une réforme du décret et 1991 et guichet unique très attendus Alors que des accidents, souvent graves, sont encore trop fréquents ; les pouvoirs publics et les organisations professionnelles ont engagé une concertation afin d’améliorer la sécurité des travaux à proximité des ouvrages enterrés. (Pour exemple, on recense chaque année plus de 6 000 endommagements suivis d’une fuite de gaz.12) Ainsi, la refonte du décret 91-114713 est toujours attendue depuis plus d’un an et demi. Cette refonte devrait avoir pour conséquence une amélioration de la cartographie des réseaux enterrés. Quelques-unes des évolutions de ce texte sont bien connues. Parmi elles, l’obligation de reconnaissance préalable des réseaux enterrés. Sauf exception, pour des questions de responsabilité, les travaux de reconnaissance préalables des réseaux feront l’objet d’un lot séparé du lot de travaux proprement dit. La coordination entre les déclarations préalables menées parallèlement par le maître d’ouvrage et par les entreprises sera améliorée en supprimant notamment les « Demandes de Renseignements (DR)» au profit des « Déclarations de Travaux (DT)». Les cartographies et plans de récolements devront obligatoirement être mis à jour dans les 3 dimensions à chaque création ou modification de réseaux. GrDF (Gaz réseau Distribution de France) s’est engagé à « améliorer sa cartographie », en y incluant les branchements et assurera les rendez-vous de chantiers avant travaux pour les projets sans tranchée. En outre, un guichet unique centralisant les plans de zonage de tous les gestionnaires de réseaux doit voir le jour, sous la maîtrise d’ouvrage de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS), pour être opérationnel au plus tôt, une fois le décret modifié. Toutes les collectivités vont donc être amenées à répertorier l’intégralité de leurs réseaux enterrés. 11 Loi n° 2009-967 du 3 août 2009 de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement publiée au Journal Officiel du 5 août 2009. 12 Source : Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer, en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat 13 Décret n° 91-1147 du 14 octobre 1991 relatif à l'exécution de travaux à proximité de certains ouvrages souterrains, aériens ou subaquatiques de transport ou de distribution. 43 RT 2012, une nouvelle approche de la conception des bâtiments Jean-Louis BORLOO et Benoist APPARU ont présenté la nouvelle réglementation thermique 2012 (RT 2012) en juillet dernier. Il s’agit là d’une avancée majeure du Grenelle de l'environnement, sans équivalent en Europe, qui va permettre la généralisation des bâtiments basse consommation (BBC). Alors que la réglementation thermique, mise en place en 1975 et progressivement renforcée, a déjà permis de diviser par 2 la consommation énergétique des constructions neuves, le Grenelle de l'Environnement prévoit de diviser par 3 les consommations énergétiques des bâtiments neufs d’ici 2012 : la consommation moyenne d’énergie primaire des constructions neuves devrait ainsi passer de 150 kWhEP/m2/an aujourd’hui à 50 kWhEP/m2/an en 2012. Par conséquent, l’enjeu de l’élaboration de la RT 2012 est donc, conformément à l’article 4 de la loi Grenelle 1, de limiter la consommation d’énergie primaire des bâtiments neufs à un maximum de 50 kWhEP/m²/an en moyenne. Cette nouvelle réglementation comporte ainsi trois exigences de résultats relatifs à une performance globale : le besoin bioclimatique, la consommation d'énergie primaire et le confort d'été. - Le besoin bioclimatique ("Bio-max") définit une limitation simultanée du besoin en énergie pour les composantes liées à la conception du bâti (chauffage, refroidissement et éclairage), imposant ainsi son optimisation indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre. - L'exigence de consommation conventionnelle maximale d'énergie primaire ("C-max") porte sur les consommations de chauffage, de refroidissement, d’éclairage, de production d’eau chaude sanitaire et d’auxiliaires (pompes et ventilateurs), soit 2 usages supplémentaires par rapport à ceux pris en compte dans la RT 2005. Conformément à l’article 4 de la loi « Grenelle 1 », le Cmax est de 50 kWh/m²/an d’énergie primaire, modulé selon la localisation géographique, l’altitude, le type d’usage du bâtiment, la surface moyenne des logements et les émissions de gaz à effet de serre. S’agissant des émissions de gaz à effet de serre, seul le bois-énergie, dont le contenu en CO2 est quasi nul (13 gCO2/kWh) et incontesté, ainsi que les réseaux de chaleur les moins émetteurs de CO2, font l’objet d’une modulation de cette exigence, limitée à 30% au maximum. Afin d’assurer l’équité de la réglementation, l’exigence de consommation (Cmax) est modulée à la hausse ou à la baisse en fonction de la surface du logement. En logement collectif, l’exigence de consommation Cmax est augmentée de 7,5 kWhEP/m2/an dans le logement collectif, temporairement jusqu’au 1er janvier 2015. Cette souplesse provisoire doit permettre aux filières industrielles de s’adapter (en proposant notamment, en volume suffisant, des pompes à chaleur adaptées au collectif, performantes et à coûts maîtrisés). - L'exigence de confort d'été dans les bâtiments non climatisés A l’instar de la RT 2005, la RT 2012 définit des catégories de bâtiments dans lesquels il est possible d’assurer un bon niveau de confort en été sans avoir à recourir à un système actif de refroidissement. Pour ces bâtiments, la réglementation impose que la température la plus chaude atteinte dans les locaux, au cours d’une séquence de 5 jours très chauds d’été, n’excède pas un seuil. Le calendrier d'application de cette nouvelle règlementation est le suivant : Juillet 2010 : Notification de la RT à la commission européenne Novembre 2010 : Publication des textes réglementaires et logiciels d’application de la RT 2012 disponibles 1er novembre 2011 : Application de la réglementation aux bâtiments tertiaires 1er janvier 2013 : Application de la réglementation aux bâtiments résidentiels 44 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Bâtiment - Travaux publics - Voirie La zone Bâtiment, Travaux publics, Voirie représente 11,4% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Bâtiment Bureau d’études - Contrôle Construction Entretien Voirie, Routes, Réseaux urbains Habillement professionnel Hygiène Logements sociaux Mise en accessibilités des bâtiments Promotion - Gestion Immobilière Rénovation et Entretien de Bâtiments Second Œuvre Travaux Publics VRD Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière de Bâtiment – Travaux publics Voirie : - Bâtiment / Travaux publics DASSE CONSTRUCTEUR : Constructions modulaires et industrialisées CELIZE : Celize Habillage urbain et financement est spécialisée dans la communication extérieure et le financement de chantier CI PROFILES : Couverture en matériau composite pour bassin et silo à boue, serrurerie CISABAC : Palissades de sécurité pour chantier CONSTRUCTION SAINT ELOI : Réalisation de travaux de construction métallique, métallerie, structure métallo textile et menuiserie métallique acier EIFFAGE : Leader européen des concessions et du BTP, Eiffage exerce ses activités à travers cinq métiers : concessions et partenariats public-privé (PPP), construction, travaux publics, énergie et métal FEDERATION NATIONALE DES TRAVAUX PUBLICS (FNTP) : Regroupe, par l'intermédiaire de ses 20 Fédérations Régionales et de ses 18 Syndicats de Spécialités, les 8 000 entreprises de toutes tailles exerçant une activité de Travaux Publics FINNFOREST : Industriel fabricant reconnu pour ses solutions écologiques et compétitives à base de bois nordique de qualité supérieure ainsi que pour sa gamme de services, construction résidentielle et non-résidentielle, aménagement de l'habitat... GROUPEMENT FRANÇAIS DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DES MONUMENTS HISTORIQUES (GMH) : Représente plus de 200 entreprises de restauration du patrimoine ancien, de toutes tailles GROUPE VILLEMAIN : Intervient dans les secteurs de la maçonnerie, taille de pierre, charpente, couverture, peinture, travaux sur cordes, création et restauration de vitraux METALU INDUSTRIES INTERNATIONAL : Pontons, passerelles, structures aluminium MODULE CRÉATION : Construction modulaire et industrialisée NEOBAT : Blocs coffrages isolants en polystyrène OBM CONSTRUCTION : Constructeur de bâtiments bois, bâtiments industrialisés et modulaires PAREX LANKO: Construction, Décoration, Protection des façades du bâti neuf et du bâti ancien, Isolation thermique par l'extérieur SOLEFIM : Répond aux besoins des collectivités locales cherchant un interlocuteur capable de prendre en charge tout ou partie de la vie d’un bâtiment (conception, financement, construction maintenance et exploitation) SOLFAB CONSTRUCTIONS MODULAIRES : Conception et construction de bâtiments industrialisés, modulaires et architecturés STX FRANCE CABINS : Conception, fabrication et installation d'éléments modulaires préfabriqués prêts à raccorder pour logements de service et habitat résidentiel VINCI CONSTRUCTION FRANCE : Exerce les métiers complémentaires du bâtiment (travaux neufs, réhabilitation, monuments historiques), du génie civil (ouvrages d'art, travaux souterrains, fondations), de l'hydraulique (réseaux, usines et stations d'épuration) et des services (montage, maintenance, fibre optique) YVES COUGNAUD : Fabricant français de bâtiments modulaires 45 - Second Œuvre K-LINE : Large gamme de menuiseries aluminium sur mesure combinant le meilleur de l'isolation thermique certifiée, des apports solaires de l'esthétique et du prix, adaptée au marché du neuf et de la rénovation KRONOFRANCE : Industrie de panneaux à base de bois (dalles et panneaux OSB, de particules ou mélaminés, sols stratifiés, tablettes mélaminées …) MURASPEC – BUFLON : Fabricant et distributeur de solutions murales (revêtements muraux vinyles, film pvc autoadhésif, panneaux décoratifs …) SAN STAP : Procédé de projection Polyuréthanne pour réaliser l'étanchéité, l'isolation et l'anticondensation des anciennes toitures VERRERIE DE SAINT JUST : Créé en 1826, Saint-Just, société de Saint-Gobain, est un acteur majeur de la fabrication et de la transformation du verre haut de gamme - Entretien Voirie, Routes, Réseaux urbains 3D : spécialiste du matériel de nettoiement urbain. Balayeuses aspiratrices sur châssis ARVEL : fabrication d'outils de raclage et épandage ATLANTIC MARINE : Franchissements de routes, voies SNCF, rivières. Aménagements portuaires pour la plaisance, la pêche et les loisirs. Embarcadères flottants. Plateformes flottantes pour services et animations. Constructions flottantes CANALISATEURS DE FRANCE : Fédère 400 entreprises spécialisées dans la fourniture, la pose et la réhabilitation de canalisations d’eau potable, d’eaux usées et de gaz COLAS : Entretien des routes et de toutes les autres formes d’infrastructures de transport, d’aménagements urbains et de loisirs, d’équipements industriels et commerciaux EUROVIA : Infrastructures de transport et aménagement urbain, production de matériaux, entretien et services SACER : Chantiers aux sols industriels, aménagements urbains, réhabilitation de réseaux, entretien de voiries communales, construction d'autoroutes, revêtements … SCREG : Spécialistes des travaux publics, des aménagements urbains et des infrastructures tertiaires et industrielles SEPRA : Conçoit, développe et diffuse des techniques innovantes en matière de revêtement de chaussées urbaines SOBECA : Réaliser, concevoir, et maintenir des réseaux souterrains et aériens permettant la distribution des énergies, des fluides, et des informations à tous les usagers TERTU : Aménagement Routes, Voies Vertes et Parkings (glissières de sécurité, garde-corps, murs antibruit, passerelles, séparateurs de voies, bornes anti-stationnement) - Habillement professionnel / Hygiène ANETT et CIE : Location entretien d'articles textiles et d'hygiène pour les entreprises et les collectivités ARGOS HYGIENE : Solutions innovantes sur le marché de la propreté et dans tous les lieux où l'hygiène est le maître-mot (écoles, crèches, maisons de retraite, secteur hospitalier...) DYSON AIRBLADE : Société Dyson est connue pour avoir révolutionné le marché des aspirateurs grâce à la technologie du cyclone et au système sans sac HYGIENE OFFICE : Désinsectisation, désinfection des bâtiments, du mobilier, des archives..., Éloignement des pigeons, Piégeage des nuisibles, Lutte anti-termites INITIAL : Spécialiste de la location-entretien, solutions pour la gestion des vêtements professionnels, les équipements d'hygiène des sanitaires, fontaines à eau, linge d'accueil, gants de travail, serviettes industriels sur tous les secteurs d'activités SKI2 INDUSTRIE : Spécialisée dans le séchage, la désinfection et la désodorisation des vêtements de travail - Promotion – Gestion immobilière CABINET JEAN CLAUDE SCHMITT : Spécialisé en aménagement de zones d'activités commerciales, parcs d'activités et parcs tertiaires FEDERATION NATIONALE DES SOCIETES COOPERATIVES HLM : Organisation fédérant 170 coopératives d'Hlm présentes partout en France, spécialistes de l'accession sociale à la propriété, du logement locatif social, de la gestion de copropriétés, de l'aménagement et du lotissement NEXITY : 1er acteur intégré des métiers de l’immobilier, Nexity rassemble tous les métiers et services immobiliers 46 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Informatique – Télécommunications Fiche 11 L’accès au haut débit, au très haut débit et la dématérialisation des marchés publics L’aménagement numérique des territoires constitue une priorité pour les élus. Si les zones blanches tant en téléphonie mobile qu’en réseau Internet tendent à disparaître, l’accès à Internet haut débit, et même au très haut débit, sont des facteurs d’attractivités économique des territoires. L’Etat a donc engagé un « programme national très haut débit » afin d’encourager les solutions techniques et faciliter l’accès de tous au haut débit. Par ailleurs, la dématérialisation des marchés publics poursuit sa mise en place effective et progressive. Le ministère de l’économie a d’ailleurs publié un guide pratique de la dématérialisation des marchés publics, outil pratique de référence à destination des entreprises mais aussi des collectivités, rédactrices d’appels d’offres. Le programme national « Très Haut Débit » Le Premier ministre, François FILLON a présenté le 14 juin dernier le programme national « très haut débit ». Avec plusieurs dizaines de milliards d’euros d’investissements à réaliser, le déploiement des réseaux à très haut débit, notamment en fibre optique, représente un enjeu industriel majeur, un levier pour la compétitivité des entreprises et surtout un facteur essentiel d’aménagement et de développement des territoires et de nouveaux services innovants, tant pour les entreprises que pour les acteurs publics et les citoyens. Ainsi, le Président de la République, suite aux recommandations de la Commission de l’Emprunt National, a décidé d’allouer 2Md€ à l’accélération du déploiement national du très haut débit. Ces enjeux justifient la mise en place de ce programme, assorti d’un calendrier global de déploiement, avec pour objectif final que tous les foyers aient accès à un service très haut débit grâce à la technologie la mieux adaptée à leur territoire. Si une majorité des français pourront avoir accès à court et moyen terme à des réseaux en fibre optique, d’autres technologies devront être mobilisées pour couvrir tout le territoire, comme par exemple la modernisation des réseaux existants, les services d’accès à Internet par satellite ou encore les services mobiles utilisant une partie des fréquences du dividende numérique libérées par la fin de la télévision analogique. Ce programme comprend trois volets : - le Volet A « Stimuler l’investissement par les exploitants de réseaux sur les zones « rentables » hors des zones très denses » - le Volet B « Soutenir les projets d’aménagement numérique « très haut débit » des collectivités territoriales. Ce second volet permettra aux collectivités de bénéficier, dans les zones où aucun investissement privé n’a fait l’objet d’une manifestation d’intention d’un cofinancement public direct et proportionné par l’Etat. Avant le 31 janvier 2011, les opérateurs et collectivités locales sont appelés à faire connaître leurs intentions d’investissement dans les réseaux à très haut débit. L'appel à manifestations d'intention d'investissement permettra d'établir une première cartographie prévisionnelle du très haut débit à l'horizon 2015. - la Couverture exhaustive du territoire Dans ce cadre, l’Etat soutiendra des projets complémentaires tels que la modernisation des réseaux existants, le déploiement de réseaux terrestres ou satellitaires, suscpetibles de couvrir les zones les moins denses. Il réunira les conditions pour qu’à terme, une fois la majorité de la population couverte par les réseaux très haut débit, et en partenariat avec les collectivités locales concernées, une démarche systématique pour la couverture des zones restantes en très haut débit fixe et/ou mobile soit engagée. 47 Quatre offres labellisées « Haut débit pour tous » Michel MERCIER, Christian ESTROSI et Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET ont annoncé le 2 septembre la labellisation de quatre offres haut débit à moins de 35 euros par mois, accessibles en tout point du territoire. Les quatre premières offres "haut débit pour tous" viennent d'être labellisées. Coûtant moins de 35 euros par mois, ces offres sont destinées plus particulièrement aux territoires souséquipés, comme les zones rurales. Le plan "France numérique 2012", lancé en octobre 2008 par le Gouvernement, prévoyait que "chaque Français, où qu'il habite, bénéficierait avant 2010 d'un droit d'accès internet haut débit à un tarif abordable, de l'ordre de 35 euros par mois, équipements d'accès inclus". Conformément au cahier des charges du label, les quatre offres "sont accessibles sur tout le territoire métropolitain, coûtent moins de 35 euros par mois, permettent des débits descendants de plus de 2 Mbit/s et comprennent des frais d’accès au service inférieurs à 100 euros". Les quatre offres labellisées s’appuient sur des technologies satellitaires. Environ 2 % des foyers n’ont en effet, aujourd’hui, pas accès au haut débit filaire, que ce soit via l’ADSL ou le câble. "Pour ces foyers, l’internet par satellite représente, en complément des autres technologies hertziennes, une alternative intéressante qui leur permet de faire pleinement partie de la société de l’information", précise le communiqué. Le Guide Pratique de la Dématérialisation des Marchés Publics La dématérialisation des marchés publics est la possibilité de conclure des marchés par voie électronique, soit par l’utilisation de la messagerie électronique, soit par l’emploi d’une plateforme en ligne sur internet. L'enjeu principal de la dématérialisation des marchés publics pour les entreprises est la disponibilité de l'information. Le but étant de mettre en ligne 100 % des marchés publics, les candidats auront un accès facilité aux offres. Un accès plus facile aux offres représente pour les entreprises un enjeu de productivité. En effet, celles-ci, du fait d'une information plus accessible, pourront réagir plus vite éventuellement sur plusieurs offres en même temps, de sorte que soit maximisée leur capacité (gain de productivité et gain organisationnels). La dématérialisation représente également une réduction de coûts importants. Les coûts liés à l'affranchissement des plis notamment, ou au traitement de l'information par les ressources humaines (gains financiers). Par ailleurs, cette dématérialisation représente, pour les collectivités locales comme pour les administrations centralisées de l’Etat, une procédure moins longue, également moins coûteuse, qui doit permettre de réagir plus efficacement sur les offres proposées. En d'autres termes est en jeu une meilleure fluidité de la procédure de passation des marchés publics. Le Ministère de l'Economie a donc publié sur son site Internet le 31 mai 2010 la première version finalisée de son guide pratique sur la dématérialisation des marchés publics14. Ce guide, qui n'a pas de portée réglementaire, est cependant un outil pratique de référence pour les entreprises candidates aux appels d'offres et aux acheteurs publics mais également pour les collectivités. Le code des marchés publics impose diverses obligations. Depuis le 1er janvier dernier, pour les achats de fournitures de matériels informatiques et de services informatiques, l’opérateur doit transmettre sa candidature et son offre par voie électronique. Les candidatures et offres papier sont refusées. Les acheteurs publics doivent donc, au moins pour ce type d’achats, être en mesure de recevoir les plis électroniques. 14 http://www.minefe.gouv.fr/directions_services/daj/dematerialisation/guide-pratique-dematerialisationmp.pdf 48 Les réponses du SMCL 2010 en matière de Informatique - Télécommunications La zone Informatique Télécommunications représente 9,5% des exposants du SMCL 2010 et les secteurs d’activité économique suivants : Bureautique Cadastre – SIG – Cartographie Dématérialisation E Administration Gestion des Réseaux – Intranet - Internet Logiciels Matériel Informatique Opérateur PAO – DAO SSII – Ingénierie Téléphonie Transmission voix et données Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière d’Informatique Télécommunications: - Cadastre, SIG, Cartographie BOTTIN CARTOGRAPHES : Conçoit, développe et commercialise des solutions de cartographie sur mesure en Edition, Web et Mobilité répondant à des problématiques variées, notamment de trafic en point de vente ou d'optimisation de ressources BUSINESS GEOGRAFIC : Editeur spécialisé dans la fourniture d’applications cartographiques métiers; consultation, mise à jour, aide à la décision en environnement Web CERENE SERVICES : cartographie, topographie, thermographie, détection de réseaux, s.i.g., études réseaux (télécom, énergie, fluides) INFO TP : Conception de logiciel, saisie de données, mise en service et formation SIG ORDRE DES GEOMETRES EXPERTS : Le géomètre-expert est aux côtés des élus pour les opérations d'aménagement urbain et rural, l'élaboration des documents d'urbanisme, les travaux cadastraux et la détermination des droits attachés à la propriété SIRADEL : Base de données géographiques 3D/2D et modélisation 3D réaliste de plus 2000 communes de France - Dématérialisation / E-Administration ACHATPUBLIC.COM : Leader en France dans les services aux acheteurs publics avec une offre complète de dématérialisation ARPEGE : Développe et commercialise une gamme de solutions sont attachées aux métiers de gestion de la population et interconnectées avec des services en ligne DICT.FR : Une plateforme collaborative d'échanges de documents préalables aux chantiers DMPH : Conseil et expertise système TIC, Technologies RFID, NFC, Cartes sans contact, dématérialisation, e-administration E-CITIZ : Guichet virtuel générique qui permet le déploiement rapide d'e-Services dématérialisant les procédures administratives ESII : Leader français de la gestion d’accueil, a développé une gamme de solutions pour les Mairies permettant d’améliorer la qualité de l’accueil des citoyens (Communication vidéo, RDV, SMS, Passeport Bio) IRIS France : Groupe spécialisé dans les technologies de dématérialisation MARCHES ONLINE : Un service du Groupe Moniteur, développé à partir de son expertise dans la publication et la diffusion d’appels d’offres, site leader en matière de consultation d’avis de marchés publics PREUVE ET ARCHIVAGE : Supports et techniques d'archivage de documents numériques. Archivage de documents numérisés et de documents numériques natifs. Archivage de données électroniques. Système d'archivage numérico-analogique. Archivage à très long terme. Archivage à forte valeur probante. Données à caractère personnel… 49 PROTYS : Guichet national internet pour le traitement dématérialisé des Demandes de Renseignements (DR) et des Déclarations d’Intention de Commencement de Travaux (DICT) RW Conseil : Assistance à la maîtrise d'ouvrage pour des projets liés à l'administration électronique, la dématérialisation, la gestion unifiée des dossiers usagers, la carte de vie quotidienne. Étude de faisabilité et de cadrage, rédaction de cahier des charges, conduite du changement ... TEAMNET – DBX : Acteur majeur des progiciels pour l'administration locale. Le groupe propose des solutions de gestion de la relation citoyen, portail familles, guichet et régie, Uniques, dossier unique d'inscription, prestation de service unique, e-administration TELINO : Solutions de dématérialisation : Logiciels de transferts automatisés ; Tiers de télétransmission pour les documents dématérialisés ULYS SOFT – DOTELEC : Editeur de logiciels au service des collectivités (mairies, communautés, offices HLM, OPAC, syndicats mixtes : enregistrement, suivi des délais, traçabilité des courriers / délibérations, projet, commissions, classement, / gestion du protocole / gestion de documents…) - Gestion des réseaux – Internet - Intranet GS2I : Solutions de sécurité informatique SOCIETE FRANCAISE D’EMETTEURS – SFE : La solution aux zones d'ombre TNT pour les collectivités - Logiciels ABELIUM COLLECTIVITES : Logiciels métiers spécifiques à la gestion des structures d'accueil, d'activités et de loisirs pour les établissements Petite Enfance, Enfance et Jeunesse, Scolaires et les établissements de Loisirs et Temps libre ACTEDEV : Logiciels spécialisé pour les agences et services de développement économique ADUCTIS : Leader dans la gestion des services techniques (logiciel de gestion des demandes et organisation de circuit de décision /intervention, patrimoine, planification, bâtiments, voirie, espaces verts, parc auto, commandes, stocks, personnel et festivités) AGYSOFT : Progiciel de gestion des achats et marchés publics AIGA: Logiciels spécialisés dans le secteur social ALSI : S'est développée dans les domaines de compétence spécialisés des opérateurs de la distribution d'énergies et de services avec une gamme de logiciels (système de relève et de télérelève – Electricité, Gaz, Eau- système de gestion clientèle et de facturation, système de portail internet, système de d'analyse pour la maîtrise de l'énergie) ASTECH SOLUTIONS : Editeur de progiciels de gestion des services techniques et du patrimoine BERGER LEVRAULT : Logiciels administratifs et spécialisés, Solutions dématérialisées, Edition CERIG SA : Gamme de logiciels (gestion comptable, gestion de personnel, gestion électorale, état-civil, gestion de facturations diverses, gestion électronique documentaire, gestion des groupements d'intérêts public …) COSOLUCE : Gamme innovante de logiciels de gestion pour les collectivités locales de moins de 10000 habitants IMD INFORMATIQUE : Editeur spécialisé logiciels de gestion achats stock INTELDEV : Editeur de logiciels pour la gestion des aires d'accueil petite enfance, jardin d'éveil et péri-scolaires JVS MAIRISTEM : Logiciels de gestion des mairies, CCAS, syndicats d’eau et communautés de communes LOGITUD SOLUTIONS SAS : Progiciels avec des fonctions complètes en intégrant des technologies innovantes pour satisfaire les collectivités et leurs administrés. SAIGA INFORMATIQUE : Développements de logiciels de gestion propriétaires et Open Source, Édition et distribution de logiciels de gestion… SELDON FINANCE : Conçoit des logiciels financiers pour les Collectivités Locales TELELOGOS : Editeur de logiciels de gestion de parc, de synchronisation de données et d’affichage dynamique VISA INFORMATIQUE : Editeur de logiciels pour le monde public avec un portefeuille de solutions pour la gestion de votre collectivité (gestion intégrale des ressources humaines, outil décisionnel et de pilotage des RH, gestion de l'eau et assainissement, état civil et numérisation des actes …) 50 - Transmission de voix et données / Téléphonie ALACATEL-LUCENT : Partenaire privilégié de la transformation des fournisseurs de services, des entreprises, des secteurs stratégiques (défense, énergie, santé, transport) et des administrations du monde entier, leur offrant des services voix, données et vidéo pour leurs propres utilisateurs et clients EUTELSAT : Premier opérateur européen de satellites de télécommunications, Eutelsat commercialise aujourd’hui de la capacité sur 26 satellites offrant une couverture sur l’Europe, le Moyen-Orient, l’Afrique et certains continents ORANGE – FRANCE TELECOM : Téléphonie fixe et mobile SFR : Opérateur global propriétaire de ses infrastructures mobiles et fixes, à même de répondre efficacement à l’ensemble des clients, grand public, professionnels, entreprises et opérateurs XILAN : Opérateur Internet spécialiste des zones blanches ADSL. XiLAN fournit, installe et exploite des réseaux radio pour le compte des Collectivités Locales afin d'apporter le Très Haut Débit Internet aux administrés sur le territoire communal 51 L’actualité des Collectivités Locales en matière de… Prévention – Sécurité Fiche 12 Le maire, maître d’œuvre de la prévention Police municipale, police rurale, des acteurs de proximité Représentant de l'Etat et agent de la commune, le maire est chargé, sous l'autorité du préfet, de l'exécution des lois et règlements sur le territoire de sa commune. Il a donc la possibilité de confier les taches relevant de sa compétence aux agents de la police municipale. Ils assurent la surveillance du bon ordre, de la sûreté, de la tranquillité et de la salubrité publique sur le territoire de la commune et font respecter les arrêtés municipaux. Leurs pouvoirs et missions peuvent ainsi varier d’une commune à une autre. Même si toutes les communes sont loin de disposer d’une police municipale, leur nombre est en constante augmentation depuis 10 ans. Avec près de 23 000 agents, dont 15% sont équipés d’armes à feu, les polices municipales constituent aujourd’hui la troisième force de sécurité du pays. En milieu rural, c’est le garde champêtre qui assure ces missions. Toute commune peut avoir un ou plusieurs gardes champêtres. L’intercommunalité a d’ailleurs permis la mise en commun de ces personnels. Chargés, dans le territoire pour lequel ils sont assermentés, de l’application des règlements municipaux et d’en dresser les procès-verbaux, ils peuvent également, comme les policiers municipaux en ville, sanctionner certaines infractions au code de la route. La perspective de fusionner les cadres d’emploi de police municipale et de gardes champêtres constituera sans doute un moment fort des prochains mois. La loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI 2), le rôle du maire et l’évolution des polices municipales Après de nombreux rebondissements, le projet de loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi 2) reviendra en deuxième lecture à l’Assemblée nationale, vers la mi-novembre. Le texte, qui a fait l’objet de nombreuses polémiques, contient une série de mesures relatives à la police municipale, en plein débat sur la place de celle-ci dans la chaîne de sécurité aux côtés de la police et de la gendarmerie. Il envisage de conférer la qualité d’agents de police judiciaire aux directeurs de police municipale qui pourront constater l’ensemble des crimes, délits ou contraventions. Il donnerait ainsi la possibilité aux policiers municipaux de procéder à des contrôles d’identité et à des contrôles routiers préventifs. Le rôle du maire, en matière de prévention de la délinquance est également affirmé : "il ne s’agit pas là d’une action subsidiaire de lutte contre l’insécurité, mais d’un mode d’action à part entière", peut-on lire dans l’annexe. Il s’agit de mieux coordonner l’action des acteurs locaux de la prévention en plaçant le maire au cœur du dispositif. Vidéoprotection ou vidéosurveillance En matière de vidéoprotection, la Loppsi 2 doit permettre la réalisation du plan national d'équipement qui fixe l'objectif d'une multiplication par trois du nombre de caméras sur la voie publique, pour arriver au nombre de 60.000. Le préfet pourra en imposer l’installation aux communes dans certains cas (prévention d’actes de terrorisme, protection d'installations et d'établissements sensibles). Mais l'un des points à trancher reste le contrôle de la vidéoprotection. Un compromis semble avoir été trouvé : le contrôle attribué à la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) et l’évaluation et l’amélioration des performances des systèmes confiée à la Commission Nationale de la Vidéoprotection (CNV). A titre d’exemple, il faut 140 000€ par an en coût de fonctionnement pour un système d’une vingtaine de caméras fonctionnant 24h /24 pour lequel cinq agents au moins sont nécessaires15 En réalité, le poids financier de la vidéosurveillance (ou vidéoprotection) repose moins sur la technologie choisie que sur les travaux publics nécessaires à la mise en place d’un système. La plupart des collectivités y voient aujourd’hui un élément parmi d’autres dans la panoplie destinée à rassurer la population et réduire la petite délinquance. 15 Source : Tanguy Le Goff, « Vidéosurveillance et espaces publics », 2008. 52 Les réponses du SMCL 2010 en matière de… Prévention - Sécurité La zone Prévention, Sécurité représente 4.2% des exposants du SMCL 2009 et les secteurs d’activité économique suivants : Alarmes Contrôle d'Accès Gardiennage Gestion du risque Incendie, matériel, véhicules Protection du travailleur isolé Radio communication Uniformes et Equipements professionnels Vidéo Surveillance, Télésurveillance Parmi ces secteurs d’activité économique, on peut noter la présence des exposants suivants qui répondront aux attentes et besoins des visiteurs en matière de Prévention - Sécurité : Contrôle d’accès BENINCA FRANCE : Sécurité, contrôle d'accès, automatisation BRICARD : Leader en matière de prestations de produits et services permettant d'obtenir un environnement sécurisé et productif (cylindres et organigrammes de clés, contrôle d'accès électronique, ferme-portes, fermetures anti-panique …) FACDEM SECURITE : Fabricant et distributeur de bracelets de contrôle, liens de serrage et articles d'identification, scellés de sécurité Gestion du risque GERISK SARL : Gestion des Risques (Identification, Evaluation et Plan de maîtrise). Document d'Information Communal sur les risques majeurs, document unique d'évaluation des risques hygiène, santé et sécurité au travail, l'assistance sinistre … HPC ENVIROTEC : diagnostics de pollution, audits IEM, EQR, ARR et plans de gestion études de conception, maîtrise d'œuvre de réhabilitation et de dépollution travaux de dépollution et de surveillance dossiers d'autorisation ICPE et consulting environnemental général Incendie, matériel, véhicules / Protection du travailleur isolé FINSECUR – KM EUROP : Fabricant de matériel électronique de détection incendie et de signalisation sonore et lumineuse à destination des ERP et des collectivités locales : système de sécurité incendie certifié EN/NF pour bâtiments d'habitations et lieux publics RCY : Proposant de nombreuses applications en textile technique, quatre spécialités (es barrages anti-inondation, les barrages antipollution, les citernes souples incendie et les tentes de secours gonflables) Radiocommunication AENERGIS : Transmission de données sans-fil ACTIA SODIELEC : Référence dans le domaine des télécommunications, nous sommes un fabriquant Français spécialisé dans la diffusion de la Télévision Numérique Terrestre (TNT) Uniformes et Equipements professionnels GK PROFESSIONAL : Fabricant et fournisseur des polices municipales en France et DOM-TOM PROMO-COLLECTIVITES : Fabricant d'uniformes police municipale et autres services, fournisseur d'accessoires se rapportant à la tenue, matériel de défense, équipement véhicule... SELECOM : Résorption, entretien d’articles textiles et d’hygiène pour les collectivités Vidéosurveillance, Télésurveillance ANAVEO: Fabricant et installateur de vidéosurveillance AASSET SECURITY : Concepteur de Vidéosurveillance TRAFICON FRANCE : Référence mondiale de la détection vidéo pour le trafic, optimisation de la gestion des infrastructures routières urbaines, autoroutières et en ouvrages d’art, détection automatique d'incidents, détection présence de véhicules / piétons et recueil de données trafic TTS (TRAFIC TRANSPORT SURETE) : Intégrateur en solutions de sûreté, vidéosurveillance et de contrôle d'accès (solutions logicielles sur mesure: banques, sièges sociaux, villes, tunnels, ponts, routes / Logiciels ADN Manager et POSM) 53 Le programme des événements du SMCL 2010 Fiche 13 Les 5 Cycles d’Ateliers et Conférences du SMCL 2010 Pour la première fois, les Ateliers techniques et Conférences exposants du SMCL sont regroupés en 5 cycles : Sport – Loisirs – Tourisme – Culture Pavillon 5, Salle 51 Services aux collectivités Pavillon 2.1, Salle 21 Développement durable / Aménagement urbain Pavillon 2.2, Salle 22 Energie Pavillon 3, Salle 30 Environnement Pavillon 3, Salle 31 ________________________________ Cycle Sport, Loisirs, Tourisme, Culture MARDI 23 NOVEMBRE 2010 14h45-15h45 – Pavillon 5 – Salle 51 Conférence de l’AFBB (Association Française pour les Baignades Biologiques) La baignade biologique : conception, exploitation et cadre règlementaire d’aménagements publics 16h00-17h30 – Pavillon 5 – Salle 51 Atelier technique Piscine. L’évolution de la réglementation relative à la surveillance et à l’encadrement dans les piscines. Chantier entamé il y a plusieurs années, la surveillance de piscines et des baignades a connu une première évolution avec la publication de la norme NF EN 15288-2 Partie 2 : Exigences de sécurité pour le fonctionnement. Cette norme pose un certain nombre de principes en matière de sécurité et de surveillance. L'arrêté du 15 mars 2010 portant création du certificat de spécialisation « sauvetage et sécurité en milieu aquatique » associé au brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport spécialité « activités aquatiques" vient modifier les traditionnels BEESAN. Cette évolution liée au diplôme en appelle une autre celle du cadre réglementaire de la surveillance et l'encadrement des activités aquatiques. Selon plusieurs réponses parlementaires la compétence d'encadrement entendu comme de l'animation, de l'enseignement ou de l'entraînement et celle de surveillance, qui recouvrent des métiers différents, répondant à des attentes différentes seront dissociés. Cet atelier permettra de faire le point sur les évolutions en cours. MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010 13h30-14h30 – Pavillon 5 – Salle 51 Conférence de l’AFBB (Association Française pour les Baignades Biologiques) La baignade biologique : conception, exploitation et cadre règlementaire d’aménagements publics 13h30-14h30 – Pavillon 5 – Agora Conférence du MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS – Direction des Sports Sport et développement durable : des engagements aux actes Madame Rama YADE, secrétaire d'Etat aux sports, a décidé d'adopter une stratégie partagée pour un développement durable du sport déclinée de la stratégie nationale de développement durable 2010-2013. Pour y parvenir, le ministère chargé des sports et le CNOSF ont coorganisé des Assises nationales et territoriales et sollicité la contribution de nombreux experts. La conférence permettra d'exposer le projet de stratégie issu des contributions recueillies et de faire témoigner deux organisateurs d'Assises territoriales. 54 14h45-15h45 – Pavillon 5 – Agora Conférence de TARKETT Les nouveaux atouts du gazon synthétique 14h45-16h15 – Pavillon 5 – Salle 51 Atelier technique Matériel et équipement sportifs. Etat des lieux sur les évolutions réglementaires en cours et les normes de préparation Les matériels et équipements sportifs sont soumis à une multitude de normes, réglementations mais aussi des textes édictés par les fédérations pour permettre le bon déroulement des compétitions qu'elles organisent, Tous ces textes n’ont pas la même portée juridique. Il convient de distinguer d’une part les texte à portée réglementaire émanant des différents ministères, les normes éditées par l’AFNOR voire par d’autres organismes au niveau européen et international et enfin celles qui relèvent des fédérations sportives et qui doivent faire l'objet d'une évaluation (notice d'impact) des conséquences, notamment financières, des prescriptions envisagées et être soumise à l'avis de la Commission d'examen des règlements fédéraux relatifs aux équipements sportifs (CERFRES). Cet atelier vise à faire un point d’actualité sur ces différents textes à appliquer ou en préparation. JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 10h00-11h30 – Pavillon 5 – Agora Atelier technique Communication et territoire. Comment valoriser son territoire ? Usages et bonnes pratiques. L’attractivité du territoire passe par la valorisation de ses ressources socio-économiques et culturelles. De nombreuses régions ont subi ces dernières décennies de graves crises structurelles dont la conséquence immédiate n'est autre que le dépeuplement de celles-ci. L’enjeu du territoire consiste désormais à revaloriser son image et à mettre en place de vraies stratégies marketing en mettant en avant ses atouts majeurs pour capter des créateurs d'entreprises, développer son tissu industriel, conserver ses commerces de proximité... Comment ré-envisager l’identité d’un territoire ? Comment mettre en place et développer une stratégie de reconquête sociale, économique et même culturelle ? Cet atelier au travers de témoignages et avis d’experts mettra en perspective des retours d'expériences sur l'ensemble de ces sujets. 15h30-17h00 – Pavillon 5 – Agora Atelier technique Financement des équipements sportifs : polarisation ou essaimage. Comment concevoir des équipements sportifs avec des services associés ? Les collectivités locales en réponse à un parc d’équipements sportifs vétustes et à une évolution de la demande sociale de plus en plus complexe multiplient les études et schéma d’aménagement des équipements sportifs. Elles souhaitent avec le mouvement sportif optimiser l’implantation territoriale des équipements sportifs mais s'interrogent également sur les moyens à mettre en œuvre dans un contexte financier difficile et un environnement en pleine mutation Faut-il privilégier un essaimage des équipements sportifs sur le territoire ou au contraire favoriser une polarisation des équipements et faciliter ainsi la création de services annexes ? Ces services sont-ils de nature à associer des opérateurs privés à leur financement et à leur exploitation et à diminuer la charge des collectivités ? ________________________________ 55 Cycle Services aux Collectivités MARDI 23 NOVEMBRE 2010 10h00-11h00 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence de l’ACFCI Les chambres de commerce et d’industrie : nouvelle organisation, nouveaux services aux territoires ? Bousculés par la mondialisation, mis en difficulté par la crise, de nombreux territoires cherchent des solutions d’avenir. Pour cela les collectivités locales peuvent s’appuyer sur leurs partenaires naturels : les chambres de commerce et d’industrie. Réorganisation, nouveaux services, nouvelles coopérations : quelles sont les perspectives ? 10h00-11h30 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Atelier technique Gestion locale. Quels modes de gestion et d’indicateurs de performance pour les collectivités locales ? Retours d’expériences Face à un changement important dans les modes de financement des collectivités, la situation des finances publiques exige de plus en plus d’efficience dans l’utilisation des ressources et leurs modes de gestion. Chaque collectivité, dans sa stratégie d’organisation de gestion se doit d’optimiser sa contractualisation selon l’importance et la destination de ses projets. Cela implique pour ces institutions non seulement de faire évoluer leur système décisionnel et managérial, mais encore de pouvoir objectiver les progrès réalisés – et ce alors même que le concept de performance reste bien souvent difficile à cerner. Quels sont les indicateurs de performances pour une collectivité ? Quelles bonnes pratiques retenir ? Quels sont les critères d’évaluation et comment les mettre en place au sein des collectivités ? Quels freins faut-il redouter et quels facteurs de réussite doit-on encourager ? Au travers d’exemples concrets, des experts et responsables de collectivités viendront témoigner de leurs expériences. 11h15-12h15 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence de Système U Les magasins U, des entrepreneurs locaux proches de leur environnement Les Magasins U sont depuis près de 10 ans l'enseigne de supermarché préférée des Français*. Présent sur les terrains du discount : Super U et Hyper U et de la proximité : U Express, Utile et Marché U, Système U est un groupe coopératif de 1 400 magasins, propriétés de commerçants entrepreneurs indépendants. Cette particularité conditionne le fonctionnement de l'organisation et dicte au quotidien une autre façon de pratiquer le métier de commerçant.* étude TNS Sofres Retail Distribution 11h45-12h45 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de l’UNA Du multi accueil à l'accueil à domicile : des modalités complémentaires et économiques pour la petite enfance 13h00-14h00 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence People & Baby Nouvelles contraintes financières des Collectivités : Comment développer une offre d’accueil petite enfance sur votre territoire, à moindre coût. 13h00-14h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence d’UNEA Remplissez votre obligation d’emploi de travailleurs handicapés et réduisez votre contribution FIPHFP en ayant recours aux Entreprises Adaptées Depuis la Loi du 11 février 2005 pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, les collectivités territoriales doivent remplir une obligation d’emploi de personnes handicapées représentant 6% de leur effectif global. Quelles sont les solutions pour s’acquitter de cette obligation d’emploi via l’achat de prestations, comment s’y prendre, quelles sont les possibilités offertes par le code des marchés publics, qui solliciter pour être accompagné, quels modes d’organisation pour les services achats des collectivités ? La conférence de l’UNEA, l’Union Nationale des Entreprises Adaptées, se propose d’apporter des réponses à ces questions au travers des interventions et des témoignages de professionnels du secteur : Patrons d’Entreprises Adaptées (EA), facilitateurs, acheteurs publics, élus locaux. 56 13h45-14h45 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence LA CROIX ROUGE FRANCAISE Titre en attente 14h15-15h15 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de l’ADEME Le dispositif de Conseil en énergie partagé Le conseil en énergie partagé, est un service d’accompagnement des communes (de moins de 10 000 habitants) et d'aide à la décision pour la maîtrise et la gestion de l’énergie sur leur patrimoine (bâtiments, véhicules, éclairage). Il s'agit d'un service de proximité qui propose de partager les compétences d’un technicien spécialisé entre plusieurs communes d’un même territoire, qui ne disposent pas des ressources nécessaires en interne. 15h00-16h00 –Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence ARVATO Services Retours d’expériences de sociétés expertes dans la relation administrés : quelles solutions pour renforcer la relation avec les citoyens ? Partenaire des secteurs privé et public, doté de moyens industriels innovants et performants, Arvato Services gère la relation quotidienne avec les citoyens : accueil et renseignements téléphoniques, traitement des demandes, gestion documentaire, archivage numérique, envoi de courriers, e-mail et SMS… Accompagné dans la conduite du changement, maître de votre budget et de votre temps, concentrez-vous sur l’essentiel : le service auprès des citoyens et l’amélioration des conditions de vie dans la cité. 15h30-16h30 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence du Groupe ADECCO France La Ville acteur de l’emploi et de l’insertion : quelle responsabilité, quel accompagnement et quels moyens d’agir ? Au-delà de sa fonction d'employeur, comment la ville, quelle que soit sa taille, peut agir sur l'emploi et l'insertion, notamment des plus fragiles (jeunes entrant sur le marché du travail, personnes handicapées, personnes aux minima sociaux,...) ? Débat proposé sur les Achats responsables, les clauses sociales d'insertion dans les marchés publics et privés, le développement de partenariats opérationnels entre villes, entreprises et acteurs de l'insertion par l'économique. 16h00-18h15 – Pavillon 5 – Agora Conférence Gazette Santé-Social Petite enfance. Les nouvelles offres d'accueil. Comment faire face au manque de places dans les structures d’accueil de la petite enfance ? Il existe une grande diversité de nouveaux modes d’accueil : micro-crèches, maisons d’assistantes maternelles, crèches d’entreprises et interentreprises, jardins d’éveil…. Mais cela suffira-t-il pour répondre à l’objectif du gouvernement de créer 200 000 places supplémentaires d’ici 2012 ? Après la publication du décret du 7 juin 2010 relatif aux établissements et services d’accueil de la petite enfance, deux points cristallisent les inquiétudes des professionnels : l’augmentation du taux de surnombre autorisé et une moindre exigence sur la proportion de personnel qualifié dans les structures. Dans ces conditions, comment concilier qualité de l’accueil, égalité de traitement des familles et équité territoriale ? MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010 9h00-12h00 – Pavillon 2/2 – Salle des évènements Conférence du Syndicat d’Agglomération Nouvelle Ouest Provence Conférence des exécutifs des intercommunalités industrielles - Le point sur la réforme fiscale et sur les clauses de revoyure après la suppression de la Taxe Professionnelle - Le traitement particulier des territoires d’industrie - Les questions sur l’avenir de l’industrie en France et des territoires qui lui sont dédiés Inscription préalable obligatoire ([email protected]) 57 10h00-11h00 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence d’Eutelsat Eutelsat met à l'honneur les communes qui ont choisi l'Internet haut débit par satellite 10h00-11h00 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence du Groupe Chèque Déjeuner - CEV Clés de la Ville : présentation de la solution multiservices universelle d'accessibilité aux services de la ville 10h00-11h00 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence FSCEF – Foires, Salons, Congrès et Evènements de France Stratégie des territoires pour une plus grande efficacité dans l’accueil des foires, salons, congrès et événements 11h15-12h45 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Atelier technique Dématérialisation et communication. Comment gérer les flux internes et externes d’une collectivité (marchés publics, signature électronique, actes administratifs…) ? Alors que la dématérialisation des échanges électroniques entre les collectivités, l’Etat, les entreprises et les citoyens s’accélère de manière continue, qu’en est-il de la gestion de ces flux internes et externes pour une collectivité ? La dématérialisation de l’achat public, par exemple, devient la règle et sera à terme la seule voie possible pour l’entreprise de répondre à un marché public. Les défis à relever sont multiples : communication, information, actes et certificats de validation, archivage et conservation des données… Autant de données qui nécessitent des réponses techniques - choix d’opérateurs, de solutions technologiques… En effet, la dématérialisation des flux entrant et sortant conditionne directement l’organisation interne d’une collectivité. Il s’agit avant tout, pour elle, de mener une réflexion sur l’ensemble et de bien définir le projet. Quelle organisation mettre en place ? Comment optimiser les process ? Du côté de l’usager, la dématérialisation des données a radicalement changé sa relation avec sa collectivité locale : consultation 24h/24h et 7j/7j, documents administratifs commandés en ligne… On ne vient désormais à la Mairie que si le déplacement est obligatoire. Par le biais de témoignages significatifs et des retours d’expériences, l’atelier dressera un état des lieux de cette mutation qui nous conduit de l’administration électronique à la ville numérique. 13h00-14h00 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence des Agences de l’eau Les agences de l’eau et la restauration des cours d’eau. Retours d’expériences et perspectives Pourquoi restaurer les cours d’eau ? Quels sont les outils et les aides à la disposition des collectivités locales ? Quelles structures peuvent prendre la maîtrise d’ouvrage ? 14h15-15h15 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de la Direction générale des Finances publiques – DGFIP Hélios: la dématérialisation au service des collectivités locales Cette conférence sera l'occasion de traiter de la fin du déploiement d'hélios, du portail de la gestion publique, la dématérialisation des PJ et la préparation du passage au protocole d'échange standard. 14h15-15h15 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence du Groupe Chèque Déjeuner - CEV Clés de la Ville : présentation de la solution multiservices universelle d'accessibilité aux services de la ville 58 15h00-16h00 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence de DOLIST.NET Résultats d’enquête en avant-première : quelles sont les stratégies e-mailing des organismes publics ? Dolist, spécialiste de l’e-mail marketing, vous dévoile en avant-première les résultats de l’enquête nationale menée en partenariat avec l’OTeN (Observatoire des Territoires Numériques) sur les usages de l’e-mailing des collectivités et organismes publics. Découvrez le panorama des pratiques de communication par e-mail de votre secteur et faîtes le point sur vos propres stratégies. Quelles sont les bonnes pratiques adaptées à votre activité ? Quels sont les pièges à éviter et les leviers de déploiement efficaces ? Bénéfices, retours d’expériences et cas concrets…Venez approfondir votre connaissance de l’e-mail marketing! 15h30-16h30 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de l’ADEME Le dispositif de Conseil en énergie partagé Le conseil en énergie partagé, est un service d’accompagnement des communes (de moins de 10 000 habitants) et d'aide à la décision pour la maîtrise et la gestion de l’énergie sur leur patrimoine (bâtiments, véhicules, éclairage). Il s'agit d'un service de proximité qui propose de partager les compétences d’un technicien spécialisé entre plusieurs communes d’un même territoire, qui ne disposent pas des ressources nécessaires en interne. 16h45-18h30 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de la Fondation du Patrimoine La valorisation du patrimoine : un impact social, économique et culturel pour vos régions JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 10h00-12h15 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence La Gazette des Communes, Club RH Quel avenir pour la prévoyance des territoriaux ? La prévoyance permet aux agents territoriaux de maintenir leur salaire en cas d’arrêt maladie ou d’invalidité. Pour les agents de catégorie C, aux faibles revenus, elle est vitale pour ne pas risquer la précarité. Pour la collectivité, c’est une manière de protéger ses agents, mais aussi une opportunité pour développer le dialogue social et renforcer son attractivité. Comment mettre en place un dispositif efficace ? Comment optimiser son contrat et favoriser l’accès au plus grand nombre ? Quel accompagnement mettre en place en termes de contrôles médicaux, retour au travail, prévention, aménagement de poste, reclassement ? Ces questions se posent avec une forte acuité. L’explosion de l’absentéisme et le report de l’âge de la retraite menacent les équilibres financiers du dispositif de prévoyance et l’accès des agents à cette couverture. Dans cette perspective, la participation de l’employeur et une réfl exion commune de l’ensemble des acteurs de la Fonction publique territoriale pour réformer le dispositif de prévoyance des territoriaux semblent indispensables. 10h15-11h45 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence Le Club Marchés, Groupe Moniteur (sur inscription) Actualité de la commande publique 11h45 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Remise des Trophées de la commande publique – 3e édition (sur inscription) Encourager les meilleures politiques d’achat Pour la troisième année consécutive, Le Groupe Moniteur et achatpublic.info organisent les Trophées de la Commande Publique. Ouvert gratuitement à tous les organismes soumis au Code ou à l’ordonnance du 6 juin 2005, ce concours veut avant toute chose encourager les meilleures politiques et pratiques d’achat. Les Trophées sont attribués dans trois catégories : Méthodes et organisation, Performance économique de l’achat, Achat durable. 59 11h00 – Village Territorial Remise du Prix de l'Ethique 2010 Cérémonie de remise du prix de l'Ethique 2010 à Florence Aubenas, Journaliste auteur d’un livre attachant après 6 mois d’enquête sur la précarité des femmes pour la rédaction de son livre "Le quai de Ouistreham" où elle raconte, à hauteur d'hommes" (ou de femme !), comment on vit aujourd'hui en France avec moins de 700 euros par mois. Et comment la solidarité, chez les démunis, n'est pas un vain mot. 14h00-15h00 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence de RANDSTAD Le 1er baromètre RH des collectivités locales 15h15-16h15 – Pavillon 2/1 – Salle 21 Conférence INSEE, Ma commune en chiffres avec l'Insee ____________________ Cycle Développement durable – Aménagement urbain MARDI 23 NOVEMBRE 2010 10h00-11h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence BTP Banque PPP : une alternative accessible à tous Alors que l’image des PPP renvoie systématiquement aux opérations de grande ampleur, le marché actuel des PPP est aussi un marché de petits projets. Ce nouveau mode de passation de la commande publique est aussi utilisé par les collectivités de taille petite et moyenne, pour répondre à leurs besoins spécifiques. Quels montages juridiques? Quel type de projets? Cette alternative à la maîtrise d’ouvrage publique permet-elle le développement du tissu local d’entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics? 11h15-12h45 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Atelier technique La Ville durable. De l’aménagement des zones périurbaines à l’éco-quartier. Comment bâtir une ville durable ? La multiplication des périphériques, couronnes urbaines, favorisées par le développement routier et des centres commerciaux périphériques, zones d’activités, mais aussi recherche d’habitat individuel et d’un cadre de vie plus agréable obligent les villes à repenser leur développement et aménagement urbain. L’interrogation est nécessaire voire impérieuse pour les villes qui doivent s’inscrire dans une réflexion et un respect des principes du développement durable et de l’urbanisme écologique, avec une prise en compte des enjeux sociaux, économiques, environnementaux et culturels de l’urbanisme pour et avec les habitants. Plusieurs modèles existent soit une très forte densification ou un étalement sans limite. Faut-il lutter contre un émiettement urbain et un aménagement des zones périurbaines très séduisantes pour la qualité de vie ? L’éco-quartier dont les collectivités françaises proposent aujourd’hui de nombreux exemples serait-il la solution ? Cela implique, entre autre, une moindre consommation énergétique, ou encore accorder une place prépondérante aux transports collectifs. Quels sont donc les apports et les limites de ces « morceaux de ville durable » ? Quels sont les critères et les objectifs d’un référentiel Ecoquartiers issu du plan Ville durable ? Comment imaginer concrètement une densité urbaine raisonnée et contrôlée ? L’atelier sera l’occasion de confronter et de débattre autour de ces enjeux et de ces options d’aménagement. 14h15-15h15 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence des Agences de l’eau La protection des captages d’eau potable* 15h30-16h30 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de l’ONEMA L’Observatoire national des services publics d’eau et d’assainissement : un outil au service des collectivités locales Un an après son lancement, présentation du dispositif, des résultats et des nouveautés. 60 16h45-17h45 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de la Fédération des Epl Les Entreprises publiques locales, acteurs clés de l’aménagement, la gestion et le développement durable des zones littorales MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010 10h00-11h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de la Fédération nationale des Travaux Publics – FNTP Mieux-disant dans la commande publique : mythe ou réalité ? Le Code des marchés publics impose l’attribution des marchés à l’offre économiquement la plus avantageuse, c'est-à-dire au mieux disant. Qu’en est-il en pratique aujourd’hui? Choix des critères et de leur pondération, analyse objective de l’offre technique, variantes, rejet des offres anormalement basses …Les outils existent mais sont-ils utilisés, adaptés au contexte actuel? Autant de thèmes qui seront abordés lors d’échanges entre élus locaux, maîtres d’ouvrage, et entreprises de Travaux Publics dont 45% de l’activité relève des collectivités locales. 11h15-12h15 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de Legrand Efficacité énergétique et installations photovoltaïques : des solutions pour les mairies 11h15-12h15 – Pavillon 2/3 – Salle Uranus Conférence MAMIAS Sécurité dans les clochers 12h30-14h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Atelier technique L’accessibilité des bâtiments publics. Etat des lieux sur les décrets d’applications et les obligations de mises en conformité d’ici 2015. La mise en accessibilité des établissements recevant du public (ERP) fait partie des obligations de la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Avant le 1er janvier 2015, les 650 000 ERP recensés en France et les installations ouvertes au public (IOP) devront respecter des normes d’accessibilité, quelle que soit leur catégorie (mairie, école, musée, salle des fêtes…). Pour permettre cela, les collectivités doivent réaliser un diagnostic au plus tard le 1er janvier 2011. Y a-t-il un traitement différent selon la taille de la collectivité ? Une démarche globale rigoureuse est indispensable et il s’agit de connaître au mieux « les outils » pour répondre à cette obligation de mise en conformité. Pour ce faire, l’atelier fera un état des lieux sur les décrets d’application, leurs obligations et leur calendrier de mise en œuvre. 15h30-16h30 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de la Fédération des Epl Les Sociétés publiques locales : un nouveau mode de gestion des services publics locaux 16h45-18h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Remise des prix du Concours photo co-organisé par la FNTP – Le Moniteur – Dict.fr « Trophées de l’image Travaux Publics 2010 » Créé pour valoriser les métiers et les hommes travaillant dans les Travaux Publics, ce concours a l’ambition de porter un nouveau regard sur le secteur. Quatre catégories de participants se sont affrontées – collégiens, étudiants, professionnels et acteurs. Vous pouvez voter jusqu’au 24 novembre sur le site www.trophees-imagetp.fr pour votre photo préférée. 13 photos seront récompensées au niveau national lors de cette cérémonie. 61 JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 10h00-13h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de la FNTP Responsabilité sociétale et travaux publics : quels enjeux et perspectives partagés pour les entreprises et leurs clients ? Les suites du Grenelle de l’environnement et la publication d’une norme ISO dédiée mettent en lumière les démarches de « Responsabilité Sociétale », incontournables pour les collectivités locales via les Agenda 21, comme pour les entreprises. La FNTP souhaite ouvrir un dialogue avec ses clients sur les « enjeux et perspectives partagés de la responsabilité sociétale ». Témoignages et table ronde illustreront par la pratique l’évolution en cours. A cette occasion, sera lancé le label RSE de la FNTP. 13h45-14h45 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de la Fédération des Epl Les Entreprises publiques locales : l’éolien, une diversification énergétique locale au service de l’aménagement et du développement des territoires 15h00-16h00 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence du Syndicat PROMU Le Mobilier Urbain : lien social au service du citoyen Le mobilier urbain très présent dans l'espace public joue un rôle de premier plan dans l'aménagement. Il est au service des usagers pour lesquels il doit être tant fonctionnel, qu'esthétique et intégré, de manière à être compris et accepté de tous. Il contribue alors en tant que bien partagé, à la cohésion sociale et au bien être du citoyen. 16h15-17h15 – Pavillon 2/2 – Salle 22 Conférence de GDF Suez Intérêts d’une collectivité à se lancer dans un projet éolien après le Grenelle 2 ________________________________ Cycle Energie MARDI 23 NOVEMBRE 2010 11h15-12h15 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence PARKEON Le stationnement et la mobilité électrique Quelle place donner aux véhicules électriques en ville, quels nouveaux services apporter tels que la possibilité de recharger son véhicule dans les espaces de stationnement publics. Parkeon présentera l'approche intégrée de gestion du stationnement et de gestion de l'énergie qu'il a développée avec son partenaire Schneider Electric. Cette solution offre : - aux automobilistes un accès facilité aux services de stationnement et de recharge, - aux opérateurs d'infrastructure une mutualisation des terminaux urbains et des services tels que le paiement et la télégestion - aux municipalités des outils de gestion de la Mobilité urbaine (allocation d'espace et tarification des services pour les véhicules électriques ET thermiques), - aux fournisseurs de l'énergie et gestionnaires du réseau électrique une gestion intelligente de l'énergie (prise en compte des heures creuses, des pics, de la demande) 12h30-13h30 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence COFELY Les énergies citoyennes. Comment les collectivités peuvent relever le défi des économies d’énergie et de la réduction des émissions de CO2 62 13h45-15h15 – Pavillon 3 – Salle 30 Atelier technique Energies et collectivités. Comment mettre en place un plan énergétique global des bâtiments publics existants face au Grenelle 2 ? La Loi portant engagement national pour l’environnement, dite Grenelle 2, décline les objectifs entérinés par le premier volet législatif du Grenelle de l’environnement (Grenelle 1). Les collectivités se retrouvent dans l’obligation d’accélérer la rénovation thermique de leur patrimoine bâti ancien et d’harmoniser les outils de planification. Les travaux devront être terminés en 2020. Date à laquelle, les énergies renouvelables devront contribuer pour 23% à la consommation d’énergie, contre 11% aujourd’hui. L’intégration de ces dernières dans l’existant est la plus grande source possible d’économie. Néanmoins cette mise en place peut s’avérer complexe et doit s’envisager dans un plan énergétique global : installation des équipements, isolation du bâtiment, obligation d’un diagnostic et d’attestation de performance énergétique… Quels outils et méthodes existent pour aider les collectivités à réduire la consommation énergétique des bâtiments anciens et leur coût, et respecter le calendrier et les obligations fixées par le Grenelle ? Quels sont les usages concernés par la réglementation (éclairage, chauffage…) ? Y a-t-il un niveau de pertinence de modulation dans la mise en œuvre de ces règles, et selon quels critères ? De son côté, la filière de la construction se doit de relever un défi technique considérable face aux enjeux financiers pour les collectivités. Quels sont les objectifs et les éléments concernés par le Diagnostic de performance énergétique (DPE) ? Comment s’orienter dans la variété des sigles et labels qui caractérisent les performances des bâtiments ? L’objectif de l’atelier est de faire un état des lieux de la situation et de présenter des retours d’expériences concrets et significatifs. 15h30-16h30 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence d’ERDF La gestion des réseaux de distribution d’électricité de demain Smart grids, compteur communicant Linky, véhicule électrique, essor des énergies renouvelables, fibre optique… ERDF reste l’acteur privilégié des élus locaux face un monde de l’électricité en évolution profonde où les réseaux électriques sont au centre de nouveaux enjeux. 16h45-17h45 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence CFG Services La géothermie pour vos réseaux de chaleur La géothermie est une ressource énergétique renouvelable particulièrement adaptée au milieu urbain. Elle est présente localement en de nombreux endroits. Elle ne nécessite pas de transport et constitue une source d’énergie extrêmement vertueuse en matière de rejet de CO2. Cette énergie est encore sous exploitée, la filière est structurée et le montage d’un projet de géothermie profonde, s’il est accompagné dès son émergence par des professionnels expérimentés, est une réalisation technique et industrielle enrichissante, durable et économique, preuve à l'appui. MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010 9h30-11h30 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence d’EDF EDF au service des Territoires Mini-conférences thématiques dans lesquelles les experts d'EDF et ses filiales présenteront leurs activités et les solutions et services proposés aux collectivités territoriales pour le développement des énergies renouvelables et de l'éco-efficacité énergétique. EDF présentera également les actions mises en place pour lutter contre la précarité énergétique (avec la participation de la Fondation Abbé Pierre). 11h45-12h45 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence de JUWI Grenelle 2 et réforme de la TP. De nouvelles règles pour valoriser ensemble le potentiel éolien et photovoltaïque de votre territoire Après un point sur les nouvelles dispositions fiscales et législatives, nos grands témoins (élus locaux, industriels, milieu associatif) partageront avec vous leurs expériences et leurs ambitions pour bâtir des projets de territoires structurants sur 20 à 30 ans. Au programme : EnR & transition énergétique, énergies décentralisées & réseau électrique, planification & concertation sur le territoire, contribution à l’économie locale et nationale… 63 12h30-13h30 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence PANGO PANGO - Stationnez malin. Bien plus qu’une solution de paiement du stationnement par téléphone mobile Pango est un système innovant permettant de régler le stationnement en voirie et en ouvrage, via votre téléphone mobile. Simple : Activation sans sortir du véhicule. Utilisez notre service vocal ou nos applications mobiles. Economique : Abonnement gratuit. Les frais concernent le stationnement pour sa durée réelle ou fixés par la municipalité. Pango France développe aussi un système de verbalisation assistée par ordinateur. 13h30-14h30 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence SHNEIDER La gestion de l'énergie au cœur de la ville durable. Du bâtiment au smartgrid en passant par l'éclairage public, le véhicule électrique et les ENR 14h45-15h45 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence de GrDF Eco-quartier : du projet politique à la réalisation, enjeux sociaux et énergétiques GrDF, concessionnaire en charge des réseaux de distribution de gaz naturel pour le compte des collectivités locales, dans le cadre de contrats de concession. Aux côtés des élus depuis 60 ans, GrDF met son engagement de service public au service de l’accompagnement des collectivités locales qui sont les décideurs, pour les éclairer sur leurs choix énergétiques dans le cadre en particulier de leurs projets d’écoquartiers. Les aider à s’approprier les atouts de solutions énergétiques à base de gaz naturel conjuguées aux énergies renouvelables, valoriser la place du réseau de gaz naturel, patrimoine collectif et atout pour les consommateurs été l’environnement, tels sont les axes proposés à l’heure du Grenelle et de la règlementation en faveur de la préservation des équilibres. 16h00-17h00 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence SERCE Efficacité énergétique et éclairage public : quels outils pour les petites communes ? L’éclairage représente un poste important dans le budget des communes, a fortiori pour les petites collectivités. L’évolution de la réglementation dans le sens d’une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux et de l’amélioration des performances sur le plan énergétique incite les élus à repenser leur installation. Cette conférence se propose d’’aborder très concrètement les technologies ainsi que les modes et outils d’aide au financement. Un témoignage issu d’une petite collectivité illustrera l’approche. 17h15-18h15 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence d’ERDF ERDF et Vous ERDF est présente à vos côtés, vous conseille et accompagne les projets de votre territoire dans le respect de ses engagements sociétaux et environnementaux : maîtrise de la demande d'électricité, participation aux documents d'urbanisme, rénovation de poste, déplacements d'ouvrage, amélioration de l'environnement des travaux sur la voierie, gestion de crise, etc. JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 10h00-12h15 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence d’Enerpresse La maîtrise de l’énergie : quels sont les principaux enjeux pour les collectivités territoriales ? Si l’on admet que la première des énergies est celle que l’on ne consomme pas, il apparaît que des efforts particuliers doivent être portés en matière de sobriété énergétique. Or, à ce titre, les collectivités territoriales ont un rôle de premier plan à jouer en tant que propriétaires d’un patrimoine immobilier considérable et d’un parc de véhicules de service important. On estime que la facture énergétique des collectivités qui représente 2 à 5 % de leur budget de fonctionnement pourrait être réduite à court terme de 20 à 30 % si elles réalisaient des économies sur leurs consommations. Mais les enjeux sont aussi symboliques ! Les Pouvoirs publics locaux ont, en effet, un devoir d’exemplarité vis-à-vis de leurs concitoyens. Face à ce besoin d’améliorer les dépenses de fonctionnement et à cette mission de service public, les lois Grenelle I et surtout Grenelle II fournissent beaucoup d’instruments aux élus locaux. Sont-ils adaptés ? Et seront-ils suffisants ? Des exemples concrets seront présentés lors de cette conférence. 64 13h45-14h45 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence d’ERDF Le rôle d’ERDF dans l’aménagement du territoire ERDF est partenaire des élus pour accompagner les projets de développement et d'aménagement de leur territoire : éco-quartier et politique de la ville, plans climat énergie territoriaux, plans de déplacement urbain, etc. 15h00-16h30 – Pavillon 3 – Salle 30 Conférence Groupe Moniteur La Lumière et la ville. Entre nécessité et valorisation. Quels moyens pour quels enjeux ? La Lumière au sein de l’espace public est un sujet désormais essentiel pour les collectivités. Les enjeux sont multiples et en dehors d’un cadre réglementaire et normatif, la lumière a des usages pérennes ou temporaires : sécurisation d’espaces publics, valorisation du patrimoine, éclairage des structures sportives, festivités… Aujourd’hui plusieurs solutions s’offrent aux collectivités (sodium haute pression – SHP, fluorescence compacte, LED,…) avec leurs spécificités et leurs coûts : type d’éclairage, économie et développement durable, pollution lumineuse, durée de vie des sources, etc. Cette conférence traitera de ces questions aussi bien pour l’éclairage de petites collectivités que d’un plan lumière. ________________________________ Cycle Environnement MARDI 23 NOVEMBRE 2010 10h30-12h00 – Pavillon 3 – Salle 31 Atelier technique Eau. Comment optimiser la gestion du cycle de l’eau des collectivités ? (eau potable, traitement des eaux usées…) La Loi sur l’eau du 30 décembre 2006 et ses textes d’application modernisent un droit complexe qui concilie des règles sanitaires, de sécurité, d’urbanisme, de construction et d’environnement. L’objectif de cette loi est d’atteindre un bon état écologique des eaux d’ici 2015, fixé par la directive-cadre sur l’eau (DCE) adoptée le 23 décembre 2000 par l’Union européenne. Tout bilan comparatif à l’échelle nationale se doit de prendre en compte la diversité des milieux et des situations, de fixer la singularité de l’état de références de bon état d’une masse d’eau et du travail à accomplir ensuite sur cette masse. Où en sommes-nous, un an après la création de douze nouveaux schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (Sdage), en vigueur pour la période 2010-2015 ? Quels sont les degrés d’avancement ? Quelle complémentarité avec les schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) ? Quel est le rôle et les attributions des commissions locales de l’eau (CLE) dans l’élaboration et la mise en œuvre des SAGE ? Quelles sont les incidences sur les documents d’urbanisme ? Le rôle et le champ d’intervention des établissements publics territoriaux de bassin (EPTB) ? Quelles sont les obligations d’informations vis-à-vis des usagers ? L’atelier visera à faire un état des lieux des obligations réglementaires dans une gestion optimisée du service public de l’eau et à s’interroger sur la nécessaire collaboration ou pas avec les entreprises privées. 12h15-13h15 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence d’Eco-Emballages 75% de recyclage : les moyens d’atteindre les objectifs 14h45-15h45 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de FOOTWAYS Pesticides et protection des captages : où en sommes-nous ? Grenelle de l’Environnement, Ecophyto2018,… les pesticides représentent une menace sérieuse pour la qualité des eaux. De nombreux captages d’alimentation en eau potable dépassent régulièrement les normes et risquent ainsi des fermetures par arrêté préfectoral. Comment (ré)concilier agriculture et environnement ? Quels sont les outils disponibles pour répondre à cette problématique ? 65 16h00-17h00 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de SITA Quelle tarification incitative en habitat vertical ? Peut-on et doit-on individualiser la tarification incitative en habitat collectif ? La Roche sur Yon Agglomération et SITA ont lancé une expérimentation inédite pour répondre à cette question, en partenariat avec l’ADEME et d’Eco-Emballages. Cinq scénarios ont été imaginés et mis en place dans 11 résidences. Les résultats obtenus seront présentés et de premières conclusions seront tirées. MERCREDI 24 NOVEMBRE 2010 11h15-12h15 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de Solaire Direct Le photovoltaïque municipal : une nouvelle compétence pour les territoires au même titre que l’eau et les déchets ? Aujourd'hui un nombre croissant de territoires entrent dans une démarche de développement de l'électricité solaire. Cette énergie se révèle un vecteur majeur d'autonomie énergétique et de développement économique des territoires. Évaluation du potentiel solaire, mises en œuvre de plans et actions concertés de développement des infrastructures, projets industriels, mobilisation de l'épargne locale, les initiatives se multiplient. Il s'agit de faire le point sur ces initiatives et d'apprécier les prémices d'une mutation historique des territoires vers un développement durable et écologique. 13h45-14h45 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence d’aEnergis Améliorer la collecte des déchets en Points d’Apport Volontaire : le service de télémesure, élément essentiel de la performance Fort développement du parc de conteneurs de déchets en apport volontaire, maîtrise des déplacements et économies de Co2, suppression des débordements… Comment concilier ces nouvelles contraintes avec l’exploitation quotidienne optimale de la collecte et l’équilibre financier de la collectivité ? Les nouveaux services pour y répondre. 15h00-17h15 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de l’Association des Directeurs Généraux des Communautés de France ADGCF L’Intercommunalité face au coût des transports publics 17h30-19h00 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de Communes forestières et ONF Une nouvelle gouvernance pour la forêt publique JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 10h00-11h00 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence d’Eco-Emballages Expérimentation des consignes de tri élargies à tous les emballages ménagers plastiques 11h15-12h15 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence de Paysage Actualités Faut-il éclairer les parcs et jardins ? 12h30-13h30 – Pavillon 3 – Salle 31 Conférence d’Eco-Emballages Les actions des entreprises pour un emballage responsable 66 15h00-16h30 – Pavillon 3 – Salle 31 Atelier technique Déchets. Réduction et recyclage des volumes d’ordures ménagères à l’horizon 2010. Quelles méthodes ? Quels investissements ? Quelles solutions ? La gestion des déchets intègre à la fois leur production, leur traitement et leur valorisation. Les collectivités locales constituent, au travers de leur responsabilité dans la gestion des déchets des ménages, de leur rôle de maître d’ouvrage ou de leur mission d’aménageur, un acteur essentiel de l’animation des échanges et du montage de projets concertés. Chaque année près de 2 milliards de tonnes de déchets sont produits en Europe et un français à lui seul, en produit en moyenne 577kg. Le principe des 3 R : Réduire, Réutiliser, Recycler, avec une responsabilisation du citoyen devrait aider à répondre aux objectifs de réduction de déchets nécessitant un traitement collectif : en 2012, un Français devra émettre moins de 400 kg par an, 35% de recyclage et de compostage des déchets ménagers contre 24% en 2004, 75% de recyclage des emballages contre 60% en 2006. Les critères qui président à la gestion des déchets pour une collectivité sont divers : évaluer les filièresproduits en fin de vie ; anticiper les exigences réglementaires de la filière des déchets d’équipements électriques et électronique (D3E), tenir compte des éco-labels, et des nouvelles solutions techniques, etc. Et cela d’un point de vue technique, économique et environnemental sachant que cette problématique ne peut se penser hors Communauté Européenne (Directive du 5 avril 2006 relative aux déchets) mais aussi du Grenelle et du référentiel national des coûts de l’Ademe ; cette dernière jouant un rôle actif dans la mise en œuvre du « Plan d’actions déchets 2009-2012 ». Comment optimiser le ramassage des ordures ménagères ? Quel moyen choisir entre l’incinération, l’enfouissement ou la collecte sélective pour réaliser des économies ? Quels sont les indicateurs de performances retenus en matière du traitement des déchets ménagers et assimilés mais aussi des déchets dits résiduels, c'est-à-dire qui n’ont pas pu être orientés vers les filières de recyclage ? Des experts et responsables de la gestion des déchets témoigneront de leurs expériences. 67 Plan Accueil Presse du SMCL 2010 68