THE MAGNIFYING GLASS PRINCIPLE

Transcription

Le principe de la loupe
Auteur : Louis Jacques Filion
Cahier 2012-02
Référence de publication:
Filion, L.J. (2012) Le principe de la loupe. Processus d’amplification au cours d’une démarche de
recherche. La cognition entrepreneuriale – Méthodes de recherche. Revue internationale de
psychosociologie et de comportement organisationnel. Année XVIII, n° 44 - Printemps 2012, pp. 227240. Publié aussi sous forme de livre : Paris : Éditions ESKA.
Auteur : Louis Jacques Filion
Cahier de recherche n° : 2012-02
Date : Avril 2012
ISSN : 0840-853X
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Copyright  2012 – HEC Montréal.
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Les textes publiés dans la série des cahiers de recherche de la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier n’engagent que la responsabilité de
leurs auteurs.
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Amplification au cours d'une démarche de recherche
Louis Jacques Filion1
Introduction
La préparation aux recherches sur le terrain nous amène à lire les rapports de recherche, livres et comptesrendus de recherche de nombreux chercheurs de différentes disciplines qui ont réalisé des études sur le
terrain. Par exemple, la lecture de Darwin, Mead, Malinowski, Lévi-Strauss et autres nous apprend qu’ils
ont choisi un terrain dans un endroit différent de là où ils vivaient afin d’explorer à fond certains
dimensions des comportements humains et sociaux. D’ailleurs, plus d’un doctorant entretient le réflexe
d’aller étudier, ailleurs, certaines dimensions du phénomène qui l’intéresse. Pourquoi ce réflexe?
Comment se déroule ce processus? Les réflexions présentées dans ce texte se situent dans le prolongement
d’une publication antérieure sur ce sujet (Filion, 1989)2.
Les études sur le terrain : une méthodologie de recherche particulière
Au moment d’entreprendre une recherche, la première étape consiste à définir l’objet de cette recherche.
Ensuite vient le choix d’une méthodologie de recherche. Ici, de nombreux critères entrent en jeu, le
principal étant la compatibilité de la méthodologie et de l’objet de la recherche. Certains chercheurs
utilisent toujours la même méthodologie, quelle que soit la recherche entreprise. Il est plutôt suggéré
d’utiliser une approche contingente pour le choix d’une méthodologie de recherche et de choisir une
méthodologie qui soit compatible et cohérente avec l’objet de la recherche. (Filion, 1993).
Si on a établi l’utilité d’une recherche sur le terrain, quel qu’en soit le type, qu’il s’agisse d’une recherche
qualitative classique, d’une recherche – action ou autre, il convient de décider si celle-ci se fera au moyen
d’entrevues, d’observations ou autres approches, quel sera l’échantillon, à quel endroit. Certains
chercheurs préfèrent nettement sortir de leur milieu de vie habituel. Il semblerait que cela prédisposerait
l’esprit à une plus grande écoute et créerait un espace en vue de remettre en question les modèles mentaux
établis afin de bien laisser émerger des catégories représentatives des constellations étudiées et non pas
d’essayer de les intégrer dans des structures de connaissances déjà existantes.
Nous n’aborderons pas ici les avantages du travail sur le terrain en tant que méthode de recherche,
tellement cela nous semble évident, en particulier à une époque où nous observons l’émergence d’une
multiplicité de nouvelles pratiques émergentes dans pratiquement tous les secteurs d’activités humaines.
Bien d’autres chercheurs se sont penchés sur la question, parmi lesquels Malinowski (1922), Katz (1953),
Levi-Strauss (1955), Lewin (1964), Glaser et Strauss (1967), Wax (1971), Bogdan et Taylor (1975),
Morgan et Smircich (1980), Feldman (1981), Burgess (1982), Smith et Simmons (1983), Phillips (1984),
Whyte (1984), Strauss et Corbin (1998), Klein et Myers (1999), Boal et Hirsch (2002), Goodman (2004),
Spurlock, Cox, Lewis et Lueck (2008). L’abondante documentation déjà existante sur le sujet confirme
ces avantages.
Passons plutôt aux autres étapes du processus de décision concernant les choix à réaliser quant à la façon
de mettre en œuvre un projet de recherche concernant une recherche à réaliser sur le terrain. Dès qu’on
1
Professeur et titulaire de la Chaire d'entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier, HEC MONTRÉAL,
www.hec.ca/chaire.entrepreneuriat;www.hec.ca/chair.entrepreneurship;[email protected]
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L’auteur est spécialisé dans les recherches sur le terrain. Au cours de sa recherche doctorale, il a passé une année à
étudier une quarantaine d’entrepreneurs à succès dans quatre pays européens différents. Au cours des décennies qui
ont suivi, il a interrogé et étudié plusieurs centaines d’entrepreneurs dans près de 40 pays sur les cinq continents.
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choisi d’inclure la recherche sur le terrain dans notre méthodologie, les questions relatives aux acteurs à
étudier, du lieu et du moment de le faire ainsi que des façons de collecter les données se posent. Pour y
répondre, le chercheur a avantage à tenir compte de plusieurs facteurs dont celui des possibilités d’inclure
des éléments d’amplification afin d’être mieux en mesure de disséquer et d’examiner plus profondément
les éléments en cause dans le processus de recherche.
Si on a choisi la recherche sur le terrain, c’est qu’on souhaite faire des observations sur place afin de
détecter des tendances qui, vues de loin, risqueraient de passer inaperçues. Le chercheur pourrait faire ces
mêmes observations en étudiant un échantillon sélectionné dans son milieu de vie. Ce qui peut être décelé
ailleurs existe peut-être dans le milieu du chercheur, mais il faut avouer que dans un contexte familier,
bien des observations risquent de lui échapper. Il ne les voit simplement plus.
Dans un contexte nouveau, étranger, les possibilités d’observation de dimensions non facilement perçues
par le chercheur dans son milieu de vie habituel se multiplient. Le milieu de vie dans lequel le chercheur
évolue finit par faire partie de lui, au point de l’empêcher de voir distinctement ce qui s’y trouve. Le
changement de contexte procure au chercheur la stimulation perceptive dont il a besoin. Il peut être
estimé que plus le milieu où se déroulera la recherche est étranger au chercheur, plus les effets
d’amplification seront élevés qui permettront à ce dernier d’identifier et même de décoder des structures
d’activités et de comportements, individuels et sociaux, qu’il n’aurait pas été en mesure de percevoir dans
son milieu de vie habituel.
Ensuite vient la question du milieu le plus propice pour répondre aux objectifs de la recherche et pour
trouver. Évidemment, certains sujets risquent d’être mieux étudiés dans certains contextes tout simplement
parce qu’on y retrouve une plus grande intensité de ce qu’on recherche. Ainsi, on remarque que de
nombreux chercheurs vont à la Silicon Valley pour étudier des essaimages technologiques, parce que c’est
là où on en retrouve en plus grand nombre. C’est un peu comme le pêcheur qui recherche les meilleurs
endroits de pêche ou le cueilleur de pommes qui voit ses probabilités de recueillir des pommes comme
étant plus élevées là où se trouve une concentration de pommiers, soit dans un verger.
Les avantages de la recherche sur le terrain à l’étranger
Avant d’entreprendre des recherches sur le terrain, il est suggéré de consulter quelques écrits de personnes
qui l’ont fait, en particulier les travaux d’ethnologues et d’anthropologues spécialistes de la recherche sur
le terrain. Les études de Mead (Mead, 1928; Gordan, 1976) et Condominas (2006) sont intéressantes, mais
celles de Darwin (1968 et 1978), Malinowski (1922) et Levi-Strauss (1955) fascinantes. Naturellement,
comme méthode de recherche à l’étranger, les ethnologues privilégient l’observation, étant donné la
divergence qui existe parfois entre les concepts employés par les chercheurs et les sujets. Malinowski
explique cet écart comme suit :
« Puisque nous ne saurions interroger un indigène sur des règles générales et
abstraites, nous pouvons toujours lui soumettre un cas donné et lui demander
quelle solution il envisage. Ainsi, par exemple, pour s’informer de la façon
dont il considérerait un crime et le punirait, il serait inutile de poser une
question très générale telle que ‘Comment traitez-vous et punissez-vous un
criminel?’ car il se pourrait que, pour exprimer la réponse, les mots euxmêmes manquent en langue indigène ou en pidgin (anglais). »
(1922:12)
Par ailleurs, le niveau conceptuel ne donne pas toujours la possibilité au chercheur d’approfondir autant
qu’il le souhaiterait les questions principales reliées à l’objet de sa recherche. Mais tout dépend des types
d’échantillons abordés. Les échantillons abordés par les chercheurs sur le terrain, en particulier par les
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anthropologues, requièrent beaucoup d’angles de cueillette de données pour bien circonscrire et s’assurer
d’avoir obtenu une information adéquate. Il faut bien se rappeler toutes les controverses soulevées au sujet
de la validité des échantillons de Margaret Mead, plusieurs chercheurs ayant suggéré que l’échantillon
principal de sa première grande recherche était composé de personnes qui lui avaient menti ( ).
Mais pourquoi tant de spécialistes de la recherche sur le terrain ont choisi d’aller recueillir leurs données à
l’étranger. Pourquoi? Une phrase de Malinowski nous met sur une piste :
« Parce que certaines particularités qui frappent de prime abord ne se
remarquent plus aussitôt qu’elles deviennent familières. » (1922:12)
Pour les chercheurs, l’intérêt de travailler à l’étranger ne se limite pas qu’aux études comparatives, mais
concerne aussi les modèles universels. En fait, pour devenir vraiment universels, ces modèles doivent
souvent être élaborés et mis à l’essai dans différents contextes culturels.
Le fait de changer de contexte culturel semble rehausser le niveau de sensibilité du chercheur. En effet, la
recherche a pour but d’accroître ou d’élargir le point de vue que le chercheur entretient sur un phénomène
et c’est ce qu’il fait en choisissant un milieu de recherche étranger. Pour le chercheur, c’est une façon non
seulement de voir les choses d’un œil nouveau et de faire des découvertes, mais aussi, en l’absence des
repères habituels, d’aiguiser son sens de l’observation pour mieux interpréter les structures mentales
derrière le réel, derrière l’activité sociale. L’étrangeté du contexte a pour effet de stimuler les sens et de
permettre de voir ce qui n’aurait pas été évident de discerner dans un contexte familier. C’est pourquoi
nous proposons le principe de la loupe qui permet d’établir des niveaux amplifiants, d’agrandissement et
de grossissement relatifs à l’objet et aux sujets de la recherche.
Le principe de la loupe peut être défini comme suit :
« Dans le cours d’une démarche de recherche sur le terrain, les effets d’amplification
sont proportionnels à l’étrangeté des sujets et des milieux étudiés pour le chercheur
concerné ».
La probabilité de faire des observations significatives dans le cadre de recherches sur le terrain est
directement proportionnelle à l’étrangeté du chercheur à l’égard des sujets à étudier et de l’environnement
dans lequel se situe la recherche. Ce principe vaut tant pour l’étude des modèles mentaux et des
comportements individuels que collectifs. Certaines personnes trouveront évident qu’une lentille
grossissante permette de mieux voir les choses. Pour le chercheur, il existe de nombreux avantages à
regarder à partir d’un prisme amplifiant dont deux principaux : d’abord, le chercheur peut voir le
phénomène étudié plus clairement qu’il ne le pourrait dans le cadre d’un contact habituel; ensuite, le
chercheur peut isoler une partie du réel étudié, laquelle devient plus grande que nature et les effets
découlant de cet agrandissement favorisent une analyse de façon plus détaillée, plus profonde mais aussi
plus globale.
Il convient de mentionner l’accroissement des recherches réalisées à distance par téléphone et divers
moyens électroniques partout à travers la planète. Cette forme de recherche par entrevue permet
d’accumuler des données, mais le chercheur ne peut observer le contexte et ne peut généralement
approfondir le sujet puisque ces entrevues durent généralement moins d’une ou deux heures. Il peut
cependant y exister des éléments d’amplification.
3
« Une image vaut mille mots», dit le proverbe. Dans le domaine de la recherche, on ne pourrait mieux
dire : l’observation des sujets et les relations nouées avec eux dans leur propre milieu génèrent un
éclairage significatif sur les phénomènes qui les entourent et sur la dynamique sociale étudiée. L’inclusion
de la recherche sur le terrain dans la définition vient donc reconnaître le fait que le travail du chercheur
requiert au moins une part d’observation, qu’elle soit structurée, semi-structurée ou non structurée, dans le
processus de collecte de renseignements.
La définition met également en relation l’étrangeté du chercheur à l’égard du sujet de la recherche et la
stimulation de ses processus de perception. « Rien ne peut se faire de rien », dit le roi Lear. Dans le
contexte qui nous intéresse, il faut comprendre que la cumulation d’éléments nouveaux qui entourent le
contexte de la recherche stimule la perception du chercheur. Conscients de ce fait, les chercheurs créatifs
pourraient bien considérer le principe de la loupe comme une façon de favoriser l’innovation en recherche.
Le processus d’amplification
Pour faciliter l’application du principe de la loupe, il est suggéré de structurer le processus en quatre
degrés ou niveaux. Plus l’étrangeté du phénomène étudié et son contexte sont étrangers au chercheur, plus
le processus de perception comprend des effets amplifiants. Nous pouvons observer ce processus à partir
d’un vecteur dont les éléments vont du plus familier au plus étranger, donc ne comprenant pas d’éléments
amplifiants à une extrémité jusqu’à un extrême comprenant un grand nombre d’éléments amplifiants à
l’autre extrémité. Le tableau 1 ci-dessous introduit les niveaux d’amplification et la figure 1 qui suit
introduit le vecteur d’amplification :
Tableau 1
Quatre niveaux du processus d’amplification
Niveaux
Degrés d’amplification
0
Recherche sur le terrain dans le milieu de vie et/ou de travail habituel du chercheur.
1
Recherche sur le terrain dans un milieu culturel similaire au milieu de vie et/ou de travail
habituel du chercheur, parfois dans une région périphérique et d’une culture différente de
celle du milieu habituel du chercheur, mais où la langue parlée est la même que celle du
milieu du chercheur.
2
Recherche sur le terrain dans un lieu étranger, où la culture est différente et où la langue
est la même que celle du milieu de vie et/ou de travail habituel du chercheur.
3
Recherche sur le terrain dans un lieu étranger où la langue et la culture sont différentes de
celles du milieu du chercheur.
4
Recherche sur le terrain dans un endroit peu exploré où les gens parlent des langues peu
connues et vivent selon des préceptes et des cultures peu communes, souvent identifiées
comme des cultures marginales.
NB Des sous-niveaux sont possibles à chacun des cinq niveaux mentionnés ci-dessus.
4
Figure 1
Vecteur d’amplification
Aucun effet amplifiant -----------------------------------------------------
De multiples effets amplifiants
Les conditions d’application du processus d’amplification
Les différents niveaux d’amplification engendrent des effets sur le processus d’amplification. Certaines
conditions préalables doivent cependant être respectées pour que le principe de la loupe s’applique
pleinement. La réalisation de ces conditions peut aussi engendrer des effets sur les niveaux
d’amplification. Le tableau 2 ci-dessous suggère des conditions pour améliorer l’application du principe
de la loupe.
Tableau 2
Six conditions d’application du processus d’amplification
Conditions d’application du processus d’amplification
1.
L’emploi d’une approche méthodologique différente de celle habituellement employée dans ce
secteur pour ce type de recherche pourra générer une amplification à la démarche de la
recherche.
2.
L’emploi d’une approche méthodologique différente de celle que le chercheur utilise
habituellement pour ce type de recherche pourra générer une amplification à la démarche de la
recherche.
3.
Tous changements dans les façons de faire du chercheur, que ce soit au point de vue du mode de
vie, de l’alimentation, de l’habillement, des façons de se déplacer ou autre, favoriseront des
effets d’amplification ainsi que de stimulation des facultés sensorielles qui influencent les
perceptions. Tout ce qui est nouveau et étranger aux façons de faire du chercheur dans le
système logistique qu’il prévoit pour la recherche engendrera des effets d’amplification sur la
démarche de la recherche.
4.
Moins le chercheur connaît au préalable son sujet de recherche ainsi que le milieu dans lequel
évolue ce dernier, plus les effets d’amplification seront accentués.
5.
Moins il existe d’intermédiaires (d’un côté ou de l’autre) entre le chercheur et le cherché, plus
les effets amplifiants seront accentués. En outre, les intermédiaires augmentent le risque de biais.
6.
Aux dernières étapes d’une recherche sur le terrain, plus le chercheur tente d’approfondir la
compréhension de l’objet de l’étude en scrutant des phénomènes connexes et en inter-actions
avec le sujet principal de la recherche, plus le chercheur risque d’accentuer les effets
d’amplification.
NB D’autres conditions existent. Les six mentionnées ci-dessus sont les plus courantes.
5
Le chercheur ne peut s’attendre à remplir toutes ces conditions à chaque recherche dans le cadre d’un
même projet. Par contre, plus il en réunit, plus fort seront les effets d’amplification. Par ailleurs, il est
possible que le type de recherche entrepris doive répondre à certaines autres conditions non mentionnées
ci-dessus pour accroître les effets amplifiants. Le chercheur a avantage à analyser la situation pour déceler
ces conditions, et ce, avant d’entreprendre le projet de recherche, mais aussi tout au long de la démarche.
Quelques effets d’amplification
Jusqu’ici, nous avons abordé l’importance du processus d’amplification, mentionné des niveaux qui
peuvent être atteints dans ce processus et spécifié les conditions à respecter pour augmenter son efficacité.
Nous allons maintenant nous pencher sur les résultats du processus, soit les effets amplifiés.
L’exercice a pour but de choisir une unité de recherche facile à étudier, suivant le niveau de familiarité de
ses éléments aux yeux du chercheur, et de la grossir à divers niveaux. Mais en quoi consiste exactement
cette « loupe »? Nous avons déjà mentionné le rôle de l’étrangeté et des niveaux de sensibilité dans le
processus de perception; analysons maintenant d’autres aspects du processus d’amplification.
Nous avons réalisé des entrevues, dans certains cas suivies d’observation. L’observation prend une toute
autre dimension lorsque le chercheur ne comprend pas ce que disent les gens. Il doit alors se concentrer
sur le langage non verbal, une des quelques manifestation qui reste.
Le recours à l’entrevue suppose que l’intervieweur maîtrise la méthode et stimule le répondant. Dès le
départ, il doit créer un climat de confiance. À l’étranger, cette approche peut provoquer toutes sortes
d’effets amplifiés. Les gens se montrent plus enclins à répondre franchement à un étranger qu’à un
concitoyen, et même à lui confier des secrets qu’ils n’oseraient jamais divulguer à quelqu’un de leur
milieu ou à une personne susceptible d’utiliser ces renseignements dans leur milieu. Cette franchise
dépend aussi du niveau de confiance mutuelle établi au préalable entre l’intervieweur et le répondant.
L’expérience nous a montré que bien des entrepreneurs étrangers interrogés dans leur pays n’hésitaient
pas expliquer en long et en large leur développement, les contraintes familiales qu’ils subissaient, leurs
problèmes d’affaires, les difficultés liées à leur croissance et autres éléments ayant trait à l’entreprise ellemême. Certains répondants ont demandé de fermer le magnétophone ou de ne pas divulguer ce qu’ils
allaient dire, ont parlé de leurs cauchemars, de leurs thérapies, des difficultés d’appartenir à un groupe
ethnique différent, de leur maîtresse ou d’autres sujets tous plus intimes les uns que les autres. Certains ont
avoué raconter des secrets qu’ils n’oseraient jamais confier à leurs meilleurs amis, ni même à leur épouse,
mais ils voulaient ainsi contribuer à l’élaboration du savoir. Après les avoir écoutés, nous devons admettre
que leur réticence était bien compréhensible.
Certains aspects de la recherche semblent plus faciles à l’étranger que chez soi. Nous n’avions aucune
difficulté à obtenir rapidement des entrevues avec des gens d’affaires importants, sans doute parce que
personne n’osait refuser une entrevue à un chercheur étranger venu de loin à cette fin. Devant un
intervieweur étranger, les gens se sentent obligés de donner une abondance de détails pour s’assurer qu’on
les comprenne bien. Le chercheur se trouve dans la même situation. Il n’était nullement embarrassant pour
nous de demander des précisions. En tant qu’étrangers, nous entendions toutes sortes de choses dont nous
n’avions jamais entendu parler; il fallait alors vérifier si nous avions bien compris ou, en présence d’un
interprète, si l’interprétation était exacte. Dans de telles circonstances, le chercheur obtient suffisamment
de renseignements pour ses besoins. Bien sûr, il arrive que la personne interrogée ne veule pas livrer
beaucoup d’information. Dans toute série d’entrevues, certaines personnes parlent plus que d’autres. À
l’étranger, cependant, les particularités des entrevues prennent davantage d’ampleur. Il ne reste au
chercheur qu’à en tirer partie.
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Un autre effet concerne les préjugés des chercheurs. Comme ces préjugés ont parfois tendance à se
manifester de façon beaucoup plus marquée à l’étranger que chez soi, les chercheurs ont avantage à en
être conscients. Cet effet a comme corollaire que le travail sur le terrain en tant que tel, surtout s’il est
réalisé dans l’esprit de la théorie à base empirique (Glaser et Strauss, 1967), peut éventuellement aider le
chercheur à éviter la dissonance cognitive inversée, soit l’utilisation inconditionnelle des mêmes outils
méthodologiques pour tous les types de recherche. Certains chercheurs estiment pouvoir faire de nouvelles
découvertes en utilisant toujours les mêmes outils. C’est parfaitement possible, mais ils risquent aussi de
rester pris dans un paradigme immuable. Les paradigmes évoluent plus rapidement, plus sûrement et plus
facilement si on élabore de nouveaux outils de recherche que si on s’en tient toujours aux mêmes.
Autrement dit, il existe un lien entre l’élaboration de nouveaux outils et méthodes de recherche, ou
l’amélioration des outils et méthodes existants, et l’évolution des paradigmes. Un menuisier qui emploie
invariablement les mêmes outils fabriquera toujours plus ou moins les mêmes formes, à diverses échelles.
La recherche sur le terrain sensibilise le chercheur au besoin d’élaborer de nouveaux outils de recherche,
puisqu’en présence de conditions concrètes, il est constamment confronté aux distorsions causées par les
outils existants. À cet égard, les chercheurs qui appliquent le principe de la loupe se doivent de demeurer
alertes, puisqu’ils travaillent dans des conditions concrètes et bien réelles. Nous sommes donc en présence
d’un autre effet amplifié : nous prenons davantage conscience non seulement des biais que nous
entretenons, mais aussi de la nécessité d’employer ou d’élaborer des outils méthodologiques qui nous
aideront à éliminer certains de ces biais. Au bout du compte, les conclusions de la recherche s’en
ressentiront.
Sur le terrain, nous avons eu recours à une méthodologie de recherche qualitative. Nous avons étudié
d’abord des cas qui nous ont servi à élaborer un modèle, puis des cas de référence. Les premiers cas de
référence ont été étudiés dans le même pays que les cas modèles. Ensuite, nous avons étudié des cas de
référence supplémentaires dans d’autres pays. En fait, il s’agit d’établir un schéma, ou un modèle (pays
no 1), à partir des premiers cas, puis de traiter les autres cas comme des cas de référence (pays no 1, 2, 3 et
4) qu’on utilise pour vérifier et corriger les schémas perçus. Après avoir étudié une douzaine de cas dans
le premier pays (dont de trois à cinq aux fins d’élaboration de modèle) et de quatre à six cas dans chacun
des autres pays, on dispose de renseignements suffisants pour définir les schémas perçus et en vérifier la
validité. Une fois qu’on a défini l’objet de la recherche et le profil de l’unité à l’étude, il peut s’avérer
intéressant d’étudier quelques unités (pays no 1, 2, 3 et 4) voisines de l’unité à l’étude principale. On peut
en tirer des indices supplémentaires qui améliorent la compréhension des unités centrales. Dans notre cas,
les entreprises manufacturières de taille moyenne formaient l’unité centrale, tandis que les petites
entreprises, celles de taille légèrement plus grande et les entreprises de services représentaient les unités
périphériques.
Quelques biais amplifiés
Comme toute approche, le principe de la loupe comporte des faiblesses et certains effets négatifs. On
pense notamment aux préjugés des chercheurs, parfois amplifiés sans que le principal intéressé ne s’en
rende compte. Pour éviter cette situation, on peut discuter de ses perceptions et échanger ses points de vue
avec un chercheur de la place ou, mieux encore, avec un autre chercheur étranger à l’œuvre dans le pays.
Quelques effets négatifs découlent du choix de pays. Dans un pays de langue étrangère, par exemple, on
peut chercher longtemps, au risque de négliger ses recherches, avant de trouver la cause d’un écart
quelconque entre les unités à l’étude. Parfois, on doit y consacrer plus de temps que prévu, sans même
arriver au bout du compte à localiser la source de l’écart.
L’effet d’amplification touche un autre type de biais, celui causé par l’image de la base d’opération du
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chercheur. Dans le milieu local, la perception de l’université, du centre de recherche, du centre de petites
entreprises, de l’association d’affaires ou autre qui l’accueille peut s’avérer très différente de ce qu’elle
serait normalement dans son pays d’origine. Le biais engendré risque d’avoir des répercussions majeures
et durables sur les relations entre les chercheurs et leurs sujets d’étude. Par exemple, un entrepreneur peu
scolarisé et très méfiant envers les universités pourrait réagir négativement en apprenant que le chercheur
qui se présente à lui relève de l’université voisine pour laquelle il n’entretient pas une grande estime. Pour
le chercheur, cette perception peut être difficile à contrer. De la même manière, il souffrira du biais causé
par la mauvaise expérience d’un entrepreneur avec un professeur de cet établissement. Évidemment, la
situation inverse peut se produire, certaines personnes ayant tendance à surestimer les universitaires et à
avoir de trop grandes attentes à leur égard.
Les gens que le chercheur connaît à l’université ou au centre de recherche peuvent aussi devenir source de
biais dans ses relations avec les autres. Les personnes qu’il rencontre auront tendance à le catégoriser au
même titre que ses associés. Dans certains cas, cette assimilation concerne aussi les connaissances sur le
terrain. Que l’association éveille chez eux une impression positive ou négative, les gens rencontrés sur le
terrain ont de fortes chances de laisser ce biais s’introduire dans leurs relations avec le chercheur et
engendrer soit une sorte d’effet de halo, soit un obstacle de communication. Pour éviter ce genre de
situation, on recommande d’établir le contact avec l’établissement d’accueil au plus haut niveau possible.
Même si le chercheur connaît déjà une personne bien intégrée à un niveau hiérarchique inférieur, il est
préférable pour les deux que le contact officiel se fasse au niveau le plus élevé possible. Tout en favorisant
la neutralité de l’intégration du chercheur dans le système, cette stratégie rehausse le statut du chercheur et
lui confère de nombreux avantages qui se répercutent sur ses travaux de recherche : facilité d’accès à un
bureau, services de secrétariat, etc. La situation profite à la fois au chercheur et à son contact initial.
Les contacts avec les chercheurs de la localité s’avèrent extrêmement utiles et enrichissants pour toutes les
parties. Idéalement, le chercheur local devrait connaître le milieu afin d’aider le chercheur étranger à
cerner les unités à étudier. À défaut de le connaître parfaitement, il peut sans doute établir le contact avec
quelqu’un de mieux renseigné que lui. Autrement, on peut s’adresser à un attaché commercial de
l’ambassade.
Une autre catégorie de biais prend de l’ampleur à l’étranger : il s’agit des différences de vocabulaire. Un
même terme peut prendre un sens très différent selon qu’on emploie en France ou au Québec, par
exemple. C’est aussi le cas des termes employés au Royaume-Uni et aux États-Unis. Dans bien des pays,
le fait que l’anglais soit utilisé comme langue seconde entraîne aussi des variations sémantiques. Lors
d’une entrevue avec un entrepreneur finlandais, alors que nous discutions de stratégie, nous utilisions sans
distinction les termes « options » et « stratégies possibles » pour signifier différentes possibilités
stratégiques. Un chercheur finlandais qui assistait à l’entrevue nous a indiqué que dans son pays, le terme
« option » fait surtout référence à des transactions boursières et qu’en l’employant, nous risquions de créer
un malentendu. Nous avons abandonné le terme au profit de « stratégies possibles ». Cependant,
l’entrepreneur concerné ne semblait pas s’en faire, puisque l’interprète (diplômé d’une école de
commerce) lui expliquait chaque question dans les moindres détails. Souvent, la différence n’est pas aussi
flagrante, mais le chercheur doit être conscient des distorsions linguistiques et, durant une entrevue à
l’étranger, demeurer extrêmement attentif de façon à éviter tout malentendu né de ce type de biais.
Parfois, on doit absolument avoir recours à l’interprétation. Cependant, l’expérience nous a montré que ce
n’est généralement pas sans risque. D’abord, il est difficile de trouver un interprète professionnel à prix
raisonnable. En remplacement, on peut demander à un chercheur local de participer à l’entrevue. Mais la
plupart du temps, on arrive à trouver quelqu’un qui parle une langue qu’on connaît au sein même de
l’entreprise. Par ailleurs, nous avons remarqué que plus l’entrevue comptait de participants, plus les biais
introduits étaient nombreux. Le même effet se produisait en fonction du niveau hiérarchique de la
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personne qui assumait le rôle d’interprète. Nous avons une connaissance suffisante de plusieurs langues
pour savoir si l’interprète traduit littéralement ou non. Durant la première heure de l’entrevue, nous
proposions souvent des rectifications ou des ajouts (« M. X n’a-t-il pas aussi déclaré que…? », ou
« N’avez-vous pas oublié telle partie de la question? ») afin que l’interprète se sente surveillé et traduise le
plus fidèlement possible. En général, les meilleurs interprètes avec qui nous avons collaboré étaient des
femmes occupant des postes de niveau inférieur (secrétariat) au sein de l’entreprise concernée.
Le phénomène d’amplification touche une cinquième série de biais, associés à la façon dont le chercheur
entre en contact avec l’entreprise et s’y intègre. Un chercheur qui n’en est pas à sa première expérience
dans le pays peut avoir plus de facilité qu’un autre à s’adapter aux habitudes locales. Un grand nombre de
biais peut découler de la façon dont s’est fait le premier contact. Ici encore, le chercheur qui souhaite se
familiariser avec les habitudes locales a avantage à demander à un chercheur de la place de l’accompagner
lors d’une ou de plusieurs séances de travail auprès des unités à l’étude. Il faut parfois du temps pour
déterminer la série d’unités qui formera l’échantillon le plus représentatif, mais il faut prendre ce temps.
Idéalement, on en visitera de cinq à dix avant d’en soumettre deux ou trois à des études préliminaires.
Ensuite peut commencer l’étude approfondie des unités représentatives définitives.
Le pays d’origine du chercheur est source de biais dans ses relations avec les sujets de l’étude. Le degré
d’amplification de ces biais varie d’après la perception locale du pays d’où vient le chercheur.
Des biais peuvent découler des choix des sujets à étudier. « A beau mentir, qui vient de loin », dit le
proverbe. Qui nous dit que les sujets que nous sommes à étudier se comportent suivant leur façon
habituelle ou répondent à nos questions sans nous mentir. Il est intéressant de lire les controverses
soulevées au sujet des conclusions de recherche de Margaret Mead, certains chercheurs ayant étudié les
mêmes populations par la suite ont déduit que les gens qu’elle avait interrogés lui avaient menti. On ne
saura jamais qui a raison ou tort dans cette affaire, mais nous sommes en mesure de nous questionner sur
la validité d’un processus de recherche au cours duquel des vérifications ne sont pas effectuées auprès
d’acteurs connexes à ceux qui constituent les sujets principaux de l’étude.
Conclusion
Sur le terrain, nous avons veillé à toujours tenir compte de la grande variété des situations susceptibles
d’introduire des biais de toutes sortes dans nos travaux, ou de les amplifier. Ce qui comptait vraiment,
c’était de se rendre sur place et d’observer comment les choses se passaient en situation réelle. Compte
tenu des observations ci-dessus, nous avons procédé au choix des pays et des entreprises.
La recherche sur le terrain à l’étranger s’est avérée très stimulante. Beaucoup de détails se sont révélés
sous la loupe, ce qui nous a permis d’approfondir davantage nos conclusions. Les contacts et les
discussions que nous avons eus avec les chercheurs locaux ont aiguisé notre perception et nous ont ouvert
l’esprit. De retour dans notre pays, nous avons osé nous aventurer dans de nouvelles avenues de recherche
sur le terrain, avenues qui, autrement, seraient restées inexplorées.
9
RÉFÉRENCES
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London: Routledge and Kegan Paul.
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Klein, H. and Myers, M. D. (1999) A Set of Principles for Conducting and Evaluating Interpretive Field
Studies, MIS Quarterly, 23 (1) : 67-93.
11
LISTE DES CAHIERS DE RECHERCHE
Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A. Bombardier – HEC Montréal
3000, chemin de la Côte-Sainte-Catherine
Montréal (Québec)
Canada H3T 2A7
Téléphone : (514) 340-6380
Télécopieur : (514) 340-6382
Courrier électronique : [email protected]
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Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Prix
88-04-01
Entrepreneurship et gestion : opposition ou complémentarité
Jean-Marie Toulouse
88-05-01
Les entrepreneurs immigrants : à la recherche d’un modèle
théorique
Jean-Marie Toulouse, Gabrielle A. Brenner
11,50 $
88-05-01A
Immigrants entrepreneurs : In search of a theoretical model
7,50 $
88-07-01
Intrapreneurship – le nouveau nom d’un vieux phénomène
Gabrielle A. Brenner, Reuven Brenner
7,50 $
88-08-01
Innovation, venture, changement, entrepreneurship et gestion
Jean-Marie Toulouse
88-10-01A
Entrepreneurship Development in Third World Countries
Kenneth E. Loucks
7,50 $
88-10-02A
Small Entreprise Establishment via Nucleus-satellite Entreprise – a
Papua New Guinea Case Study
Geoffrey Meredith
11,00 $
88-11-01A
Intrapreneurship – What is it and how to compensate it?
Gabrielle A. Brenner
7,50 $
88-11-02
Potentiel entrepreneurial des femmes
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
89-03-01
Les tontines et la création d’entreprises au Cameroun
Jean-Marie Toulouse, Gabrielle A. Brenner,
Henri Fouda
7,50 $
89-11-01
L’entrepreneurship dans la
d’entrepreneurship marginal
89-11-02
L’entrepreneurship québécois : nouveauté ou continuité?
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
89-11-03
Libre-échange et gestion des ressources humaines
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
89-12-01
Business Creation Among the Chinese Immigrants in Montreal
7,50 $
90-02-01
Les entrepreneurs de l’ouest du Cameroun de Douala et leur
entreprise
Gabrielle Brenner, Henri Fouda, Jean-Marie
Toulouse
7,50 $
90-03-01
National, Regional or World Patterns of Entrepreneurial Motivation
Roger A. Blais, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
90-03-02
La culture entrepreneuriale
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
grande
entreprise :
un
cas
Jean-Marie Toulouse, Jean-Pierre Béchard
7,50 $
11,00 $
16,00 $
Numéro
Titre du cahier
Auteurs
International Comparisons of Entrepreneurial Motivation based on
Personal Equation, Hierarchical Analysis and Other Statistical
Methods
La clinique d’affaires mobile : une expérience d’aide aux
entrepreneurs
Jean-Marie Toulouse, Roger Blais, Bernard
Clément
7,50 $
Jean-Pierre Béchard
7,50 $
91-02-01
Le financement des entreprises des Bamiléké de Douala
Gabrielle A. Brenner, Henri Fonda, Jean-Marie
Toulouse
7,50 $
91-03-01
Cultural values of entrepreneurs and non-entrepreneurs
Roger Blais, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
91-06-01
Désirs de rapports collectifs de travail chez les cadres : une étude
empirique
Michel Tremblay, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
92-03-01
New Immigrants and New Businesses : the Chinese and the
Haitians in Montreal
Gabrielle A. Brenner, Gérard Célas, Jean-Marie
Toulouse
7,50 $
92-03-02
Création d’entreprises chez les
anglophones et allophones du Québec
Georges Tanguay, Luc Vallée
7,50 $
92-04-01
Evaluating Firm’s Strategies in Polish Markets
Victoria Miller, Jean-Marie Toulouse, Luc Vallée
7,50 $
92-09-01
Essai de classification
l’entrepreneurship
Jean-Marie Toulouse, Jean-Pierre Béchard
7,50 $
92-09-02
Activités d’affaires et groupes ethniques à Montréal
7,50 $
92-09-03
L’adhésion aux nouvelles technologies, un acte d’entrepreneur
Yves-Chantal Gagnon
7,50 $
92-09-04
Haitian Entrepreneurs in Montreal : New Lives, New Businesses
Gabrielle A. Brenner, Gérard Célas, Jean-Marie
Toulouse
7,50 $
93-01-01
Adopting New Technologies - An Entrepreneurial Act
Yves-Chantal Gagnon, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
93-03-01
Entrepreneurship Training : A Look from Educational Sciences
Jean-Pierre Béchard, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
93-04-01
Entrepreneurship and Integration : The Case of the Polish
Entrepreneurs of Montreal
Luc Vallée, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
93-05-01
Les entrepreneurs originaires du nord à Douala et à Yaoundé
Gabrielle Brenner, Martial Lipeb, Jean-Marie
Toulouse
7,50 $
93-11-01
L’évaluation des projets entrepreneuriaux dans la grande entreprise
Gilles Bourdeau
7,50 $
93-12-01
La gestion : des apprentissages à peaufiner et des chantiers à
ensemencer
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
94-01-01
Regional Business Creation and «Push» Factors : The Case of
Quebec
Jean-Marie Toulouse, Gilles Roy, Luc Vallée
7,50 $
94-02-01
Le développement d’activités de formation en entrepreneurship :
une approche intégrée
Louis Jacques Filion
7,50 $
94-02-02
Le profil entrepreneurial du Québec
Gilles Roy, Yvon Gasse, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
94-03-01
Un profil de l’industrie du capital de risque au Québec
Gilles Bourdeau,
Toulouse
7,50 $
94-03-02
La stratégie de
technologiques
94-04-01
90-09-01
90-11-01
des
ingénieurs
programmes
développement
des
francophones,
de
formation
nouvelles
à
entreprises
Alain
Prix
Noël,
Jean-Marie
Roger A. Blais, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
Entrepreneurship and Management : Differing But Complementary
Processes
7,50 $
94-06-01
Taux de croissance et comportements stratégiques des nouvelles
entreprises technologiques
Jean-Marie Toulouse, Gilles Bourdeau
7,50 $
94-06-02
La structuration sociale du champ de l’entrepreneurship : le cas du
Journal of Business Venturing
Richard Déry, Jean-Marie Toulouse
11,00$
94-10-01
Les systèmes gestionnaires des propriétaires-dirigeants de PME
regardés à partir de la métaphore mécanique
7,50 $
Numéro
Titre du cahier
94-10-02
Compétence à concevoir et espace de soi : éléments de soutien au
système d’activités entrepreneurial
11,00$
94-11-01
Processus d’implantation des programmes d’enseignement en
entrepreneurship : l’analyse d’un cas québécois
11,00$
94-11-02
Les grandes questions de recherche en entrepreneurship et
éducation
11,00$
95-01-01
Facteurs explicatifs des revenus des immigrants
Michel Sylvain, Jean-Marie Toulouse
7,50 $
95-01-02
Fondements théoriques des programmes de développement en
entrepreneurship : une étude exploratoire3
7,50 $
95-02-01
Évaluation globale
entrepreneurship4
Jean-Pierre Béchard, Gilles Bourdeau
7,50 $
95-03-01
Theoretical Foundations of
Programs : Exploratory Study5
7,50 $
95-04-01
Overall Evaluation of Entrepreneurship Training Programs6
Jean-Pierre Béchard, Gilles Bourdeau
7,50 $
96-01-01
Comprendre le champ de l’entrepreneurship
11,00$
96-04-01
Entrepreneurship et développement régional au Québec : impact du
mode de vie des ménages
Gilles Roy, Jean-Marie Toulouse
11,00$
96-07-01
L’entrepreneurship, un champ à la recherche d’une définition. Une
revue sélective de la littérature sur l’entrepreneurship
Jacques Baronet
7,50 $
96-09-01
Partage de la vision : réflexions préliminaires7
7,50 $
96-10-01
A Marketing System for Micro-enterprises : The Case of Selfemployment
7,50 $
96-11-01
Validation of a Didactic Model for the Analysis of Training
Objectives in Entrepreneurship
7,50 $
96-11-02
Travail autonome : des volontaires et des involontaires
7,50 $
96-11-03
Un système marketing pour le travailleur autonome : développer ses
réseaux pairs et complémentaires
7,50 $
96-11-04
Un modèle du processus entrepreneurial en neuf étapes
Christophe Kadji Youaleu, Louis Jacques Filion
11,00 $
96-11-05
Neuf étapes du processus entrepreneurial
Christophe Kadji Youaleu, Louis Jacques Filion
7,50 $
96-11-06
Sharing the Vision for a Learning SME in a Global Context8
7,50 $
96-11-07
Itinéraire d’un chercheur qualitatif
Jean-Pierre Deslauriers
7,50 $
96-11-08
La recherche en gestion des PME : des paradigmes en évolution
Gérald d’Amboise
96-11-09
Recherches qualitatives et longitudinales : les relations entre
sociologie et histoire
Françoise Chevalier
7,50 $
96-11-10
L’intervention support à la recherche en gestion
Paul Prévost
7,50 $
96-11-11
La recherche qualitative peut-elle être rigoureuse ?
J.M. Van der Maren
7,50 $
3
des
programmes
Auteurs
d’enseignement
Entrepreneurship
en
Development
For English version, see Working Paper no. 95-03-01 : «The Theoretical Foundations of Entrepreneurship Development Programs : an Exploratory
Study».
4
For English version, see Working Paper no. 95-04-01 : «Overall Evaluation of Entrepreneurship Training Programs».
5
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 95-01-02 et intitulé «Fondements théoriques des programmes de développement en
entrepreneurship : une étude exploratoire».
6
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 95-02-01 et intitulé «Évaluation globale des programmes d’enseignement en
entrepreneurship».
7
For English version, see Working Paper no. 96-11-06 :«Sharing the Vision for a Learning SME in a Global Context».
8
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 96-09-01 et intitulé «Partage de la vision : réflexions prélimaires».
Prix
11,00 $
Numéro
Titre du cahier
96-12-01
Evolution of Entrepreneurship Research Activities in Canada : A
Personal Perspective
Rein Peterson
7,50 $
96-12-02
Évolution de la recherche en entrepreneurship au Canada :
perspective personnelle
Jean-Marie Toulouse
7,50 $
97-01
Le champ de l’entrepreneuriat : historique, évolution, tendances9
11,00 $
97-02
Entrepreneurship : entrepreneurs and small business ownermanagers10
11,00 $
97-03
The Structural, Support and Ideological Factors that Encourage the
Creation of Cooperative Enterprises
7,50 $
97-04
Understanding the Field of Entrepreneurship : A Synthesis of the
Most Often Quoted Contributions
7,50 $
97-05
From Entrepreneurship to Entreprenology
7,50 $
97-06
Theorizing on Entrepreneurship and Education : Proposition of an
Integrative Model
97-07
97-08
Auteurs
Stratégies d’auto-formation à l’entrepreneurship en contexte
universitaire
Méthode systématique d’aide à la formulation de la vision
stratégique : étude exploratoire auprès d’un propriétaire-dirigeant de
PME
Jean-Pierre Béchard, Denis Grégoire
Pierre Cossette
Prix
11,00 $
7,50 $
11,00 $
97-09
Les disparités spatiales de l’entrepreneuriat au Québec
Nathaly Riverin, Marc-Urbain Proulx
7,50 $
97-10
Le métier d’entrepreneur11
7,50 $
97-11
The Entrepreneurial Craft : Thinking
Entrepreneur12
7,50 $
98-01
Diagnostic sur le travail autonome: Éléments de définition13
Gilles Roy
6,30 $
98-02
Diagnostic sur le travail autonome: Bibliographie thématique
Gilles Roy
5,48 $
98-03
Diagnostic sur le travail autonome: Statut juridique comparatif
Gilles Roy
5,60 $
98-04
Diagnostic sur le travail autonome: Profil sociodémographique
Gilles Roy
5,69 $
98-05
Diagnostic sur le travail autonome: Profil sectoriel
Gilles Roy
9,10 $
98-06
Diagnostic sur le travail autonome : Développement local
Gilles Roy
5,38 $
98-07
Diagnostic sur le travail autonome : Perception des acteurs
sectoriels
Gilles Roy
3,16 $
98-08
Diagnostic sur le travail autonome : Causes, motivations, problèmes
Gilles Roy
3,86 $
98-09
Contribution à l’étude des comportements entrepreneuriaux des
ingénieurs français
Alain Fayolle
7,50 $
98-10
Deux types d’entrepreneurs : l’opérateur et le visionnaire Conséquences pour l’éducation14
7,50 $
9
and Acting Like an
For English version, see Working Paper no. 97-02 : « Entrepreneurship : entrepreneurs and small business owner-managers».
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 97-01 et intitulé «Le champ de l’entrepreneuriat : historique, évolution, tendances».
For English version, see Working Paper no. 97-11 : «The Entrepreneurial Craft : Thinking and Acting Like an Entrepreneur».
12
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 97-10 et intitulé «Le métier d’entrepreneur»
13
Les cahiers 98-01 à 98-10 concernant le «Diagnostic sur le travail autonome»ont été produits en collaboration et avec l’aide financière d’Emploi
Québec
14
For English version, see Working Paper no. 98-11 : «Two Types of Entrepreneurs – The Operator and the Visionary : Consequences for Education».
10
11
Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Prix
98-11
Two Types of Entrepreneurs : The Operator and the Visionary Consequences for Education15
7,50 $
99-01
Espace de soi et vision16
7,50 $
99-02
Self-space and Vision17
7,50 $
99-03
D’employés à intrapreneurs18
7,50 $
99-04
From Employees to Intrapreneurs19
7,50 $
99-05
L’entrepreneuriat immigrant : revue de la documentation
Denis Robichaud
7,50 $
99-06
La PME au Québec : Profil comparatif
Marie-Hélène Légaré, Germain Simard, Louis
Jacques Filion
7,50 $
99-07
Quelles sont les méthodes pédagogiques les plus appropriées pour
nos entrepreneurs ?
7,50 $
99-08
De l'entrepreneuriat à l'entreprenologie
7,50 $
2000-01
Essaimage - Examen de la documentation
Christophe Kadji Youaleu sous la direction de
2000-02
Six types de propriétaires-dirigeants de PME
7,50$
2000-03
Travail autonome : des volontaires et des involontaires - Vers de
nouvelles formes de pratiques entrepreneuriales20
7,50$
2000-04
Carrières entrepreneuriales de l'avenir, espace de soi et essaimage21
7,50$
2000-05
Entrepreneurial Careers of the Future, Self-Space and Spin-Offs22
7,50$
Louis JacquesFilion
11,00 $
2000-06
2000-07
2000-08
Concevoir et mettre en œuvre une vision inspirante en milieu
scolaire
Entrepreneuriat ethnique : Données d'une enquête sur les
communautés chinoises dans les villes canadiennes de Montréal,
Toronto et Vancouver23
Ethnic Entrepreneurship in Canada : Comparison of the Chinese
Communities in Three Canadian Cities : Montreal, Toronto and
Vancouver
2000-09
Entrepreneuriat ethnique et rôle des réseaux de soutien : les
entrepreneurs chinois dans trois grandes ville canadiennes
2000-10
Problems encountered by ethnic Chinese entrepreneurs : A
comparative analysis in three major Canadian cities
2000-11
Transnational entrepreneurship and bootstrap capitalism : Social
capital, networks and ethnic minority entrepreneurs
15
Gabrielle .A. Brenner, Teresa V. Menzies,
Charles Ramangalahy, Louis Jacques Filion,
R.H. Amit
Gabrielle A. Brenner, Teresa V. Menzies,
Charles Ramangalahy, R.H. Amit, Louis Jacques
Filion
Gabrielle A.Brenner, Charles Ramangalahy,
Louis Jacques Filion, Teresa V. Menzies, R.H.
Amit
Gabrielle A.Brenner, Charles Ramangalahy,
Amit
Teresa V. Menzies, Gabrielle A. Brenner, Louis
Jacques Filion, L. Lowry, Charles Perreault,
Charles Ramangalahy
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 98-10 et intitulé : «Deux types d’entrepreneurs : l’opérateur et le visionnaire Conséquences pour l’éducation15
16
For English version, see Working Paper no. 99-02 : «Self-space and Vision».
17
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le no. 99-01 et intitulé : «Espace de soi et vision».
18
For English version, see Working Paper no. 99-04 : «From Employees to Intrapreneurs»
19
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le no. 99-03 et intitulé :«D’employés à intrapreneurs»
20
Ce cahier de recherche reprend les cahiers no. 96-11-02 intitulé «Travail autonome : des volontaires et des involontaires», et no. 96-10-01 intitulé «A
Marketing System for Micro-Enterprises : The Case of Self-Employment», et y fait suite.
21
For English version, see Working Paper no. 2000-05 «Entrepreneurial Careers of the Future, Self-Space and Spin-Offs». It repeats certain elements
published in working papers 99-01 «Espace de soi et vision», and 99-02 «Self-space and Vision»
22
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 2000-04 «Carrières entrepreneuriales de l'avenir, espace de soi et essaimage». Il
reprend des éléments publiés dans le cahier de recherche no. 99-01 «Espace de soi et vision» et dans le cahier no. 99-02 «Self-Space and Vision» cidessus.
23
For English version, see Working Paper no. 2000-12 «Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of Chinese communities in the Canadian cities of
Montreal, Toronto and Vancouver».
11,00 $
11,00 $
7,50$
7,50$
7,50$
7,50$
Numéro
Titre du cahier
Auteurs
2000-12
Ethnic entrepreneurship: Data from a survey of Chinese
communities in the Canadian cities of Montréal, Toronto and
Vancouver24
Gabrielle A.Brenner, Teresa V. Menzies, Charles
Ramangalahy, Louis Jacques Filion, R.H. Amit
11,00 $
2000-13
Problèmes rencontrés par les entrepreneurs chinois : une étude
comparative réalisée dans trois grandes villes canadiennes
Gabrielle A. Brenner, Charles Ramangalahy,
Amit
7,50$
2000-14
Typologie d'entrepreneurs - Est-ce vraiment utile?
7,50$
2000-15
Entrepreneurial typologies : are they really useful?
7,50$
2001-01
2001-02
Entrepreneuriat ethnique : Données d’une enquête sur les
communautés italiennes dans les villes canadiennes de Montréal,
Toronto et Vancouver25
Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of Italian communities
in the Canadian cities of Montréal, Toronto and Vancouver26
Prix
Teresa V. Menzies, Charles Ramangalahy, Louis
Jacques Filion, Gabrielle A. Brenner
11,00 $
Teresa V. Menzies, Charles Ramangalahy, Louis
Jacques Filion, Gabrielle A. Brenner
11,00 $
11,00 $
2001-03
Entrepreneurs et propriétaires-dirigeants de PME
2001-04
L’entrepreneurship féminin : essai de conceptualisation
Bahija Amrhar sous la direction de Louis Jacques
Filion
7,50 $
2001-05
Characteristics and features of Chinese and Italian ethnic
entrepreneurship in Canada : implications for businesses, research
and government policy
Louis Jacques Filion, Gabrielle A. Brenner,
Teresa V. Menzies, Charles Ramangalahy
7,50 $
2001-06
An Encounter with Claude Guinet
Joëlle Hafsi, Louis Jacques Filion
7,50 $
2001-07
La vision en gestion : examen de la documentation
Bahija Amrhar sous la direction de Louis Jacques
Filion
7,50 $
Chinese, Italian and Sikh Ethnic Entrepreneurship in Canada :
Implications for the research agenda, education programs and public
policy
Entrepreneuriat ethnique : données d’une enquête sur les
communautés indiennes/sikhs dans les villes canadiennes de
Montréal, Toronto et Vancouver27
Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of Indian/ Sikh
communities in the Canadian cities of Montreal, Toronto and
Vancouver28
Les entrepreneurs chinois, italiens et sikhs de Montréal, Toronto et
Vancouver : différences liées à l’ethnicité et à la localisation
Louis Jacques Filion, Charles Ramangalahy,
Gabrielle A. Brenner, Teresa V. Menzies
7,50 $
11,00 $
11,00 $
Charles Ramangalahy, Gabrielle A. Brenner,
Teresa V. Menzies, Louis Jacques Filion
7,50 $
2001-12
Evolving conversations:
entrepreneurship research
in
Denis Grégoire,
Béchard
7,50 $
2002-01
Le rôle des entrepreneurs dans la création du quartier et de la
communauté portugais de Montréal
Entrepreneuriat ethnique : Données d’une enquête sur la
communauté juive dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto
et Vancouver29
Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of the Jewish
community in the Canadian cities of Montréal, Toronto and
Vancouver30
Denis Robichaud
11,00 $
Teresa V. Menzies. Charles Ramangalahy
16,00 $
Teresa V. Menzies. Charles Ramangalahy
16,00 $
2001-08
2001-09
2001-10
2001-11
2002-02
2002-03
24
A
look
at
the
convergence
Richard
Déry,
Jean-Pierre
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le no. 2000-07 et intitulé «Entrepreneuriat ethnique : Données d'une enquête sur les
communautés chinoises dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto et Vancouver».
25
For English version, see Working Paper no. 2001-02 «Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of Italian communities in the Canadian cities of
Montréal, Toronto and Vancouver».
26
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 2001-01 «Entrepreneuriat ethnique : Données d’une enquête sur les communautés
italiennes dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto et Vancouver».
27
For English version, see Working Paper no. 2001-10 «Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of Sikh communities in the Canadian cities of
Montréal, Toronto and Vancouver».
28
sikhs dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto et Vancouver».
29
For English version, see Working Paper no. 2002-03 «Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of the Jewish community in the Canadian cities
of Montréal, Toronto and Vancouver».
30
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 2002-02 «Entrepreneuriat ethnique : Données d’une enquête sur la communauté juives
dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto et Vancouver».
Numéro
Titre du cahier
Auteurs
2002-04
L’entrepreneuriat comme carrière potentielle - Une évaluation en
milieu universitaire
2002-05
Entreprises ethniques : place de la famille et du groupe ethnique
dans l’entreprise
2002-06
Conseils d'administration de PME : un examen de la documentation
Louis Jacques Filion, Danielle L’Heureux,
Christophe Kadji-Youaleu, François Bellavance
Teresa V. Menzies, Gabrielle A. Brenner,
Philippe Cimper
Brahim Allali sous la direction de Louis Jacques
Filion
2002-07
Ethnic entrepreneurs in Canada : Problems encountered, as defined
by differences in ethnic origin and sex
Entrepreneuriat ethnique et développement local - Comparaisons
des contributions des entrepreneurs ethniques au Canada : les
Chinois, les Italiens, les Indiens/Sikhs
Business Creation by Immigrants - Case Study : Montreal
Quebeckers of Portuguese Origin
Les entrepreneurs Québécois d’origine portugaise de Montréal Proposition d’un modèle de création d’entreprises par les
immigrants et étude de cas
Rapport de recherche - Essaimage d’entreprises classiques - 19982001
Louis Jacques Filion, Teresa V. Menzies,
Charles Ramangalahy, Gabrielle A. Brenner
Charles Ramangalahy, Teresa
V. Menzies,
Louis Jacques Filion, Gabrielle A. Brenner, D.
Michel
2002-12
Entrepreneurship Education Revisited : the Case of Higher
Education
Jean-Pierre Béchard, Denis Grégoire
7,50 $
2002-13
Apprentissage et diffusion de l’innovation technologique en
contexte de PME : le cas WK Sistemas au Brésil
Edmilson de Oliveira Lima
7,50 $
2002-14
Essaimage technologiques : examen de la documentation
Christophe Kadji-Youaleu, Louis Jacques Filion.
16,00$
2002-15
Ethnic Enterprise Start-Up Stage: An Empirical Survey Among The
Chinese, Italian And Sikh Entrepreneurial Communities
2002-16
Entreprises ethniques et identité du partenariat : Une étude
comparative entre Chinois, Italiens et Indiens/Sikhs au Canada
2002-17
Guide d’essaimage d’entreprises - L’essaimage, voie de croissance
Charles Ramangalahy, Gabrielle A. Brenner,
Gabrielle A. Brenner, Teresa V. Menzies, Louis
Jacques Filion, Charles Ramangalahy, Sylvie
Paré
Danielle Luc, Louis Jacques Filion, Paul-Arthur
Fortin
2002-18
L’entrepreneuriat au Québec en 2001 : le rapport du GEM (Global
Entrepreneurship Monitor)
Nathaly Riverin
11,00 $
2003-01
Guide sur l’essaimage d’entreprises technologiques
Danielle Luc, Isabelle Savary, Louis Jacques
Filion
11,00 $
2003-02
Faire le point sur l’essaimage technologique – Les effets
multiplicateurs de l’essaimage technologique
Louis Jacques Filion et Geneviève Lefebvre
20,00 $
2003-03
Stratégie de PME : de la perspective traditionnelle aux approches
descriptives axées sur le processus
Edmilson de Oliveira Lima
11,00 $
2003-04
Apprentissage systémique et stratégie de PME
2003-05
Social Capital and Ethnic Business Performance : Entrepreneurs
from Four Ethnic Groups in Canada
2002-08
2002-09
2002-10
2002-11
Prix
16,00 $
7,50 $
11,00 $
7,50 $
7,50 $
Denis Robichaud
7,50 $
Denis Robichaud
7,50 $
Danielle Luc, Louis Jacques Filion
Edmilson de Oliveira Lima, sous la direction de
Charles Perreault, Gabrielle A. Brenner, Teresa
V. Menzies, Louis Jacques Filion, Charles
Ramangalahy
11,00 $
7,50 $
7,50 $
16,00$
11,00 $
7,50 $
Entreprises ethniques : comparaison du role-set des entrepreneurs
hommes et femmes des communautés chinoises, italiennes et sikhs
de Montréal, Toronto et Vancouver
The Double Jeopardy of Ethnic Minority Women Entrepreneurs in
Canada
Louis Jacques Filion, Teresa V. Menzies,
Gabrielle A. Brenner et Philippe Cimper
7,50 $
Teresa V. Menzies, Gabrielle A. Brenner, Louis
Jacques Filion
7,50 $
2003-08
Pierre Ducros : Businessman and Mentor
Joëlle Piffault, Louis Jacques Filion
7,50 $
2003-09
Créations d’entreprises et promotion sociale : entrepreneurs
ethniques et chômage. Le cas du Canada
Gabrielle A. Brenner, Teresa V. Menzies, Louis
Jacques Filion
7,50 $
2003-10
Intrapreneuriat et organisations
Brahim Allali sous la direction de Louis Jacques
Filion
11,00 $
2003-11
La création des entreprises de haute technologie (EHT) – Examen
de la documentation
Candido Vieira Borges Jr, Michel Bernasconi,
11,00 $
2003-06
2003-07
Numéro
Titre du cahier
Auteurs
Milieux innovants, création et développement d’entreprises –
Examen de la documentation
Entrepreneuriat ethnique : comparaisons entre entrepreneurs et non
entrepreneurs, les Chinois, les Italiens et les Indiens/ Sikhs au
Canada : Montréal, Toronto, Vancouver
Création d’entreprises technologiques : un modèle intégrateur en
trois temps
Philippe Cimper, Michel Bernasconi, Louis
Jacques Filion
Louis Jacques Filion, Dicarmel Michel, Gabrielle
A. Brenner, Teresa V. Menzies, Charles
Ramangalahy
Michel Bernasconi
7,50 $
Démarrage d’entreprises par les Chinois, Italiens et Sikhs au
Canada : quelques résultats empiriques
Patterns of Co-Leadership in Ethnic Businesses : A Comparative
Study of the Chinese, Italian and Indian/Sikh Communities in
Canada
Charles Ramangalahy, Teresa V. Menzies,
7,50 $
Louis Jacques Filion, Sylvie Paré, Teresa V.
Menzies, Gabrielle A. Brenner
7,50 $
Global entrepreneurship monitor – Le rapport canadien 2002
Nathaly Riverin
A Study of Entrepreneurs’ Ethnic Involvement utilizing Personal
and Business Characteristics
Entrepreneuriat ethnique : Données d’une enquête sur les
communautés vietnamiennes dans les villes canadiennes de
Montréal, Toronto et Vancouver31
Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of the Vietnamese
communities in the Canadian cities of Montréal, Toronto and
Vancouver32
Teresa V. Menzies, Louis Jacques
Gabrielle A. Brenner, Susan Elgie
2004-03
2003-12
2003-13
2003-14
2003-15
2003-16
2003-17
2003-18
Prix
11,00 $
16,00 $
11,00 $
Filion,
7,50 $
Gabrielle A. Brenner, Teresa V.Menzies,
16,00 $
Gabrielle A. Brenner, Teresa V.Menzies,
16,00 $
Mesurer l’entrepreneuriat dans les territoires MRC du Québec
Nathaly Riverin
11,00 $
2004-04
Co-leadership et entreprises ethniques au Canada : Portrait des
groupes chinois, italiens, indiens/sikh, vietnamiens et juifs
2004-05
The internationalization or transnalization of ethnic
entrepreneurship : The situation in Canada
2004-06
Démarrage d’entreprises ethniques : quelques particularités du
contexte canadien
Sylvie Paré, Gabrielle A. Brenner,
Sylvie Paré, Teresa V. Menzies,
Gabrielle A. Brenner, Louis Jacques
Filion
Gabrielle A. Brenner, Philippe Cimper,
2004-07
Global Entrepreneurship Monitor 2002 Canadian Report
Nathaly Riverin
2004-08
Operators and Visionaries: Differences in the Entrepreneurial and
Managerial Systems of two Types of Entrepreneurs
7,50$
2004-09
Two Types of Self-Employed in Canada : Voluntary and
Involuntary
7,50$
2004-10
Entrepreneuriat et organisations à but non lucratif (OBNL) –
Patrick Valéau, Philippe Cimper, Louis
Jacques Filion
2004-11
Six Types of Small Business Owner-Managers
2004-12
Global Entrepreneurship Monitor : Le rapport canadien 2003
Nathaly Riverin, Louis Jacques Filion,
Daniel Musyka, Ilan Verstinsky
11,00 $
2004-13
Global Entrepreneurship Monitor : Canadien National Report 2003
Daniel Musyka, Ilan Verstinsky
11,00 $
2005-01
Marie-Louise Roy : In Tune with the Inner Self
Joëlle Piffault, Louis Jacques Filion
2005-02
Création d’entreprises – Examen de la documentation
Cândido Borges, Germain Simard, Louis
Jacques Filion
11,00 $
2005-03
Entreprendre au Québec, c’est capital! Résultats de recherches sur
la création d’entreprises33
Jacques Filion
11,00 $
2005-04
Recherche sur la création d’entreprises – Données – Partie A
Jean-Hugues Duquette-Labrecque,
11,00 $
2004-01
2004-02
31
For English version, see Working Paper no. 2004-02 «Ethnic entrepreneurship : Data from a survey of the Vietnamese communities in the Canadian
cities of Montréal, Toronto and Vancouver».
32
vietnamiennes dans les villes canadiennes de Montréal, Toronto et Vancouver».
33
For English version, see Working Paper # 2005-07 «Venture Creation Processes in Quebec –Research Findings 2004-2005».
7,50 $
7,50 $
7,50 $
11,00$
11,00 $
7,50$
7,50 $
Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Prix
Jacques Filion
2005-05
Recherche sur la création d’entreprises – Données – Partie B
2005-06
Création d’entreprises – Jeunes entrepreneurs (18-34) – Rapport de
recherche
Jacques Filion
Jacques Filion
2005-07
Venture Creation Processes in Quebec – Research Findings 2004200534
J.acques Filion
2005-08
A Comparison of Female and Male Entrepreneurs – Insights from
GEM Canada
2005-09
Recherche sur la création d’entreprises - Jeunes entrepreneurs (1834) – Données – Partie A
2005-10
Recherche sur la création d’entreprises - Jeunes entrepreneurs (1834) – Données – Partie B
2005-11
Stages of Small Enterprise Development: A Comparison of Female
and Male Entrepreneurs
Yves Robichaud, Roland Lebrasseur,
Nathaly Riverin et Thierry Zinger
Jacques Filion
Jacques Filion
J. Terence Zinger, Rolland LeBrasseur,
Nathaly Riverin, Yves Robichaud
2005-12
L’influence de la culture d’un pays sur la propension
entrepreneuriale de ses citoyens : Le cas du Canada
Josée Audet, Nathaly Riverin, Maripier
Tremblay
2005-13
Entrepreneuriat technologique – Résultats de recherche sur la
création d’entreprises technologiques au Québec
Jacques Filion
2005-14
Recherche sur la création d’entreprises technologiques - Données –
Partie A
2005-15
Recherche sur la création d’entreprises technologiques - Données –
Partie B
2005-16
Création d’entreprises – Femmes entrepreneures – Rapport de
recherche 2005
2005-17
Création d’entreprises - Femmes entrepreneures – Rapport de
recherche – Données – Partie A - 2005
2005-18
Création d’entreprises - Femmes entrepreneures – Rapport de
recherche – Données – Partie B - 2005
2005-19
Understanding Teaching Models in Entrepreneurship for Higher
Education
Jean--Pierre Béchard, Denis Grégoire
7,50 $
2005-20
Résultats de recherches sur la création d’entreprises 2004-2005 Rapport sommaire
Jacques Filion
7,50 $
2006-01
Entrepreneuriat en contexte subsaharien – Écrits et tendances 19902000
Kibamtom Péklé, Louis Jacques Filion
11,00 $
2006-02
Marketing et PME en contexte subsaharien – Écrits et tendances
1990-2000
7,50 $
2006-03
Finance et PME en contexte subsaharien – Écrits et tendances 19902000
7,50 $
2006-04
Management socioculturel et GRH en contexte subsaharien – Écrits
et tendances 1990-2000
7,50 $
2006-05
Stratégie, alliances et PME en contexte subsaharien – Écrits et
tendances 1990-2000
7,50 $
2006-06
Description of four Pedagogical Innovations in Entrepreneurship for
Higher Education
Denis Grégoire, Jean-Pierre Béchard
11,00 $
2006-07
Archetypes of Pedagogical Innovation for Entrepreneurship in
Higher Education: Model and Illustrations
Denis Grégoire, Jean-Pierre Béchard
11,00 $
34
Jacques Filion
Jacques Filion
Jacques Filion
Jacques Filion
Jacques Filion
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 2005-03 «Entreprendre au Québec, c’est capital! Résultats de recherches sur la
création d’entreprises».
16,00 $
11,00 $
11,00 $
7,50 $
7,50 $
16,00 $
7,50$
7,50 $
11,00 $
11,00 $
16,00 $
11,00 $
11,00 $
16,00 $
Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Louis Jacques Filion, Fernando
Dolabela
Teresa V. Menzies, Gabrielle A.
Brenner, Louis Jacques Filion
Prix
2006-08
The Making of a Revolution in Brazil: The Introduction of
Entrepreneurial Pedagogy in the Early Stages of Education
2006-09
Derogatory Myths about Women Entrepreneurs: Is there any
Substance in the Myths in relation to Visible Minority Women
Entrepreneurs in Canada?
2006-10
Le parcours des créateurs d’entreprises technologiques : de l’idée
d’affaires au seuil de rentabilité
Cândido Borges, Louis Jacques Filion,
Germain Simard
7,50 $
2006-11
Étude du processus de création d’entreprises structuré en quatre
étapes
Louis Jacques Filion, Cândido Borges,
Germain Simard
7,50 $
2006-12
L’impact des régions du Québec sur l’innovation des nouvelles
entreprises : Analyse des données du Global Entrepreneurship
Monitor de 2004 et 2005
Jacques Baronet, Nathaly Riverin
11,00 $
2006-13
Dirigeants de PME face au choix des cheminements
d’internationalisation : Modes d’entrée et approches des marchés
étrangers
Brahim Allali
11,00 $
2006-14
Vision et turbulence dans les PME qui s’internationalisent
Brahim Allali
11,00 $
2006-15
Owner-Managers’ Vision and its Role in the Internationalization of
SMEs : A Multiple Case Study of Moroccan and Canadian SMEs in
the Agro-Food Sector
Brahim Allali
11,00$
2006-16
Pour une typologie des comportements organisationnels face à
l’innovation
Brahim Allali
11,00 $
2006-17
L’entrepreneuriat à Montréal
Nathaly Riverin
11,00 $
2006-18
Global Entrepreneurship Monitor : Le rapport canadien 200535
2006-19
Global Entrepreneurship Monitor : Canadian National Report
200536
2006-20
Problems Encountered by Ethnic Entrepreneurs : A Comparative
Analysis Across Five Ethnic Groups
2006-21
Création d’entreprises – Équipes entrepreneuriales – Rapport de
recherche – Données – Partie A - 2005
2006-22
Création d’entreprises – Équipes entrepreneuriales – Rapport de
recherche – Données – Partie B - 2005
2007-01
Measuring Ethnic Community Involvement: Development and
Initial Testing of an Index
2007-02
Social Capital and Business Performance: Ethnic Enterprises in
Canada
2007-03
L’identification d’une occasion d’affaires en contexte
d’entrepreneuriat ethnique
2008-01
Intrapreneuriat et entrepreneuriat organisationnel
2008-02
Understanding the Impact of Culture on a Firm’s Entrepreneurial
Orientation and Behavior: a Conceptual Framework
Olivier Basso, Véronique Bouchard,
Alain Fayolle, Thomas Legrain
11,00 $
2008-03
Defining the Entrepreneur - Complexity and Multi-Dimensional
Systems -Some Reflections
11,00 $
2008-04
Empirical Systems Modeling Methodology :
Entrepreneurial Actors
11,00 $
35
36
Examen de la documentation 1996 – 2006
Applications To
Victor Cui, Qianqian Du, Ilan Verstinsky,
Aviad Pe’ery
Victor Cui, Qianqian Du, Ilan Verstinsky,
Aviad Pe’ery
Gabrielle A. Brenner, Louis Jacques
Filion, Teresa V. Menzies, Lionel Dionne
Jacques Filion
Jacques Filion
Filion, Gabrielle A. Brenner, Susan Elgie
Charles Perreault, Gabrielle A. Brenner,
Filion, Charles Ramangalahy
Louis Jacques Filion, Gabrielle A.
Brenner, Lionel Dionne, Teresa V.
Menzies
Mircea-Gabriel Chirita, Joao Bento Oliveira
For English version, see Working Paper # 2005-19 « Global Entrepreneurship Monitor : Canadian National Report 2005».
36
Ce cahier est la version anglaise du cahier portant le numéro 2006-18 «Global Entrepreneurship Monitor : Le rapport canadien 2005».
11,00 $
7,50 $
11,00 $
11,00 $
7,50 $
11,00 $
16,00 $
11,00 $
11,00 $
11,00 $
11,00 $
Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Prix
2008-05
Entrepreneurial Representations, Self-Space and Metanoia
2008-06
Processus de création de nouvelles entreprises : temps, difficultés,
changements et performance
Candido Borges,
Germain Simard
2008-07
Particularités du processus de création d’entreprises par des femmes
Candido Borges, Louis Jacques Filion et
Germain Simard
11,00 $
2008-08
Contextes urbains et développement entrepreneurial : le cas du
Projet Entrepreneuriat Montréal (PEM)
Jean-François Lalonde, Robert Ladouceur,
Martial Fauteux et Louis Jacques Filion
11,00 $
2008-09
Représentations entrepreneuriales : un champ d’études en
émergence
11,00 $
2009-01
Transnational Networking and Business Performance:
Entrepreneurs in Canada
2009-02
Entrepreneuriat et industries du domaine des arts et de la culture –
2009-03
Managerial Performance and Business Success: Gender Differences
in Canadian and Israeli Entrepreneurs
Dafna Karif
11,00 $
2010-01
High Growth SMEs:The Evolution of the Gazelles and Some
Evidence from the Field
Sergio Janczak and Franck Bares
11.00 $
2010-02
Le réel expérimenté pour explorer la TPE : apports conceptuels et
méthodologiques
Christophe Schmitt et Louis Jacques Filion
11.00 $
2010-03
Entrepreneuriat international - Réflexion sur la structuration d’un
champ d’étude en émergence
Sophie Veilleux et Luz Marina Ferro
11.00 $
2010-04
A Study of the 2005 Fortune 500 Vision Statements
Bart Kasowski and Louis Jacques Filion
11.00 $
2010-05
Équipes entrepreneuriales et partenariats Entreprises
technologiques
Mircea-Gabriel Chirita
11,00 $
2010-06
La structuration d’un projet de création d’entreprise
Louis Jacques Filion,
Germain Simard
2010-07
Landscape Entrepreneurship: Lessons from the Mont Saint Hilaire
Nature Centre
Emerging Strategies and Generation Gaps among Entrepreneurs:
Differences between Baby boomers and Generation X
Emmanuel Raufflet, Maria Tengö, Marc-André
Guertin, Kafui Dansou and Louis Jacques Filion
Dafna Kariv, Louis Jacques Filion and Candido
Borges
11,00 $
Nature de l´opportunité et performance des nouvelles entreprises
Candido Borges,
Germain Simard
11.00 $
2010-08
2010-09
2010-10
Ethnic
Dix conseils aux créateurs d’entreprises
11,00 $
Louis
Jacques
Filion
Dafna Kariv, Teresa V. Menzies, Gabrielle A.
Brenner, Louis Jacques Filion
Mircea-Gabriel Chirita, Serge Poissonde-Haro, Luis-Felipe Cisneros-Martinez
et Louis Jacques Filion
Louis
Cândido
Borges
Jacques
Jeunes créateurs d’entreprise : leur parcours, de l’initiation à la
consolidation
Cândido Borges,
Germain Simard
2010-12
The Contribution of the Spin-off Process to the Development of
Academic Entrepreneurs´ Social Capital
Candido Borges et Louis Jacques Filion
2010-13
The Future of Entrepreneurship Research
2010-14
How Location and Ethnicity Affect Ethnic Entrepreneurs in Three
Canadian Cities
2011-02
2011-03
2011-04
Des villes entrepreneuriales : exemples canadiens et européens
Innovation ouverte, capacités et innovations organisationnelles Examen de la documentation 2003-2010
École communautaire entrepreneuriale
Clé indispensable au développement durable
Louise Roy: Intrapreneurship Through Organizational Change
(Case A, B, C, and D)
Filion
Louis
Jacques
11,00 $
11,00 $
11,00 $
et
et
Louis Jacques Filion et Cândido Borges
2010-11
2011-01
et
11,00 $
11,00 $
11,00 $
Filion
et
Louis Jacques Filion, Leo-Paul Dana, PierreAndré Julien, José M. Veciana, Tor Aase
Johannessen, Matthias G. Raith
Gabrielle A. Brenner, Teresa V. Menzies, Lionel
Dionne, Louis Jacques Filion
11,00 $
11,00 $
11,00 $
11,00 $
André Joyal
11,00 $
Denis Remon
11,00 $
Rino Levesque
11,00 $
Joëlle Hafsi et Louis Jacques Filion
11,00 $
11,00 $
2011-05
Développement durable et entrepreneuriat
Luc Bres, Emmanuel Raufflet et Louis Jacques
Filion
2011-06
Organizational Learning in SMEs’ Strategic Management: A
Descriptive and Systemic Approach
Edmilson Lima et Louis Jacques Filion
11,00 $
Numéro
Auteurs
Titre du cahier
Prix
2012-01
Le partage de la vision dans les très petites entreprises
Louis Jacques Filion et Edmilson Lima
11,00 $
2012-02
11,00 $
2012-03
La méthode biographique
Louis Jacques Filion et Hikari Akizawa
11,00 $
2012-04
Méthodologie de modélisation systémique
11,00 $

THE MAGNIFYING GLASS PRINCIPLE

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New Smyrna Beach, le 10 janvier 1968 Tel. chez Marie: 428

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