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Conseil Municipal du 19 janvier 2015 Ordre du jour RAPPORTEUR - M. LE MAIRE 1 – Décisions municipales – Information du Conseil 2 - Dématérialisation – Télétransmission des actes soumis au contrôle de légalité – Convention entre l'Etat et la Ville de Talence RAPPORTEUR - M. DUART - Adjoint délégué au Périscolaire 3 - Convention relative à la mise en place d'un projet éducatif territorial avec les services de l'Etat. (PEDT) RAPPORTEUR – Mme LUTREAU-CHAVERON – Adjointe déléguée aux ressources Humaines 4 - Renouvellement de la mise à disposition d’un agent communal auprès du CAJ RAPPORTEUR - M. GOYER - Adjoint délégué à l'Urbanisme, la Publicité, l'Affichage, les Enseignes et pré-enseignes, la Taxe locale de publicité extérieure 5 - Autorisation de dépôt d’une déclaration préalable en vue de la division de la parcelle AS N° 687 sise 98 rue Bourgès à TALENCE 6 - Élaboration du Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) de Bordeaux Métropole Débat sur les orientations RAPPORTEUR - M. SALLABERRY – Adjoint délégué aux Finances 7 - Avance sur subvention de fonctionnement au CCAS et aux associations pour l’année 2015 8 - Tarification des classes de découverte 9 - Article L1612-1 du Code Général des Collectivités Territoriales - Exercice 2015 - Engagement, liquidation, mandatement des dépenses d’investissement RAPPORTEUR - Mme FABRE-TABOURIN – Adjointe déléguée à la Qualité de ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne 10 - Enlèvement des tags sur les immeubles privés talençais – Modification du cahier des charges 11 - Inscription de la Commune de Talence sur la liste départementale des villes où les façades des immeubles doivent être constamment tenues en bon état de propreté 12 - Expérimentation de fleurissement participatif des trottoirs. Charte d'engagement des habitants 13 - Création de vergers à Thouars – signature d'une convention d'accueil des collections du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine 14 - Renouvellement convention jours de pointe avec la Lyonnaise des Eaux 15 - Charte Manifestations éco-responsables 16 - Mise en place d'un atelier d'urbanisme concernant le devenir du terrain communal cadastré BM 81 sis 7 rue du 19 mars 1962 RAPPORTEUR – M. BONNIN – Conseiller municipal délégué à la CLECT 17 - Approbation du rapport de la CLECT en date du 2 décembre 2014 QUESTIONS ORALES CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 DECEMBRE 2015 N° 1 : Décisions municipales – Information du Conseil «Monsieur le Maire indique à ses collègues que par délibération du Conseil Municipal en date du 09 avril 2014, enregistrée par les services préfectoraux le 15 avril 2014, il lui a été confié la totalité des délégations prévues à l’article L 2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales. En conséquence, il a été amené à prendre les décisions municipales pour les objets ci-après : N° Date N° 1 20/11/14 OBJET / NATURE DE LA DECISION Signature d'une convention pour l'organisation de l'exposition «Grand déballage» du 9/12/14 au 10/01/15 au Forum des Arts et de la Culture BENEFICIAIRE ou PRESTATAIRE Collectif AVIS DE CHANTIER Villeneuve les Maguelone (34) Montant de la prestation : 4 855 € TTC N° 2 Désignation de Mrs MERLIN et LE BIAN – Service Juridique de la 21/11/14 Ville – pour représenter la collectivité lors de toute audience relative à la requête introduite auprès du Tribunal Administratif de Bordeaux par l'Association de Défense et d'Amitié du Quartier de Béthanie visant notamment à obtenir l'annulation de l'arrêté de permis de construire délivré le 02/05/14 (PC n° 33522 13 Z 1088) à Monsieur Gérard MALKA pour la construction d'un immeuble collectif d'habitation sur un terrain sis 22 rue du Général André. N° 3 25/12/14 Conclusion d'un marché pour l'entretien et le contrôle périodique Société MERCURA d'un radar laser de mesure de vitesse du 01/01/15 au 31/12/15, - La Chaussée St Victor (41) renouvelable par tacite reconduction d'année civile en année civile jusqu'au 31/12/17 Montant annuel révisable de la dépense : 1 381 € HT N° 4 25/11/14 Passation d'un avenant n° 1 au marché à bons de commande relatif à l'opération de travaux d'entretien, d'amélioration et de rénovation partielle sur les bâtiments communaux – Etanchéité afin d'honorer les besoins supplémentaires jusqu'au 31/12/14, le maximum dudit marché ayant été atteint avant cette date. Montant maximum initial du marché Montant de l'avenant n°1 Nouveau montant N° 5 27/11/14 SAS BORDELAISE D'ETANCHEITE - Villenave d'Ornon (33) 60 000 € HT + 2 500 € HT 62 500 € HT Conclusion d'un marché de maintenance (sans publicité et sans mise en concurrence) avec le propriétaire exclusif du progiciel «Logisoft sécurité» dont dispose le service de la Vie sportive pour assurer la sécurité des différents équipements sportifs de la collectivité du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement deux fois un an soit jusqu'au 31/12/17. Montant annuel révisable de la dépense 590 € HT Société SCMS Bourg en Bresse (01) N° 6 28/11/14 Passation de stationnaires : marchés concernant l'acquisition d'outillages Lot 1 – Pont-ciseaux encastrable Montant de la dépense : 7 730 € HT SARL FCV Dalla Santa Yvrac (33) pour le lot 1 SARL BV International Marcy l'Etoile (69) pour le lot 2 Lot 2 – Rabot dégauchisseuse Montant de la dépense : - 7 250 € HT pour l'offre de base - 496 € HT pour la prestation supplémentaire éventuelle «montée motorisée de la table à dégauchisseuse» N° 7 2/12/14 Signature d'une convention pour l'organisation d'une rencontre «Eveil et transmission culturels chez l'enfant» le 4/12/14 au Forum des Arts & de la Culture. N° 8 2/12/14 Passation d'un marché relatif à la démolition de bâtiments : – – N° 9 2/12/14 IDDAC Eysines (33) SARL D2M - Bassens (33) tranche ferme (démolition d'un ensemble de 4 maisons mitoyennes du 46 au 52 rue Marc Sangnier) : 19 202,14 € HT tranche conditionnelle (démolition d'une maison individuelle 30 rue Armand Leroi) : 11 897,86 € HT Mise à jour de la régie de recettes «Régie multiservices» en relation notamment avec la remunicipalisation des activités de la danse - Régie installée dans les locaux de l'Hôtel de ville - encaissement des produits : - restauration scolaire - accueils périscolaires - accueils collectifs de mineurs - classes de découverte - vacances sportives - école multisports et de l'éveil corporel - activités libres, ateliers d'expression, ateliers de sport et bienêtre, ateliers créatifs de l'Espace Seniors - Atelier de Création Talence du Forum - Ecole municipale de musique - activités de la danse - utilisation horaire des cours de tennis - recettes encaissées sur facturation et remise d'un reçu pour les paiements en numéraires à l'exception des activités du tennis qui sont perçues contre remise à l'usager de tickets - ouverture d'un compte de dépôt de fonds au Trésor - intervention des mandataires dans les conditions fixées par leur acte de nomination - fonds de caisse de 300 € à la disposition du régisseur - montant maximum de l'encaisse à conserver : 170 000 € dont 5 000 € en numéraire - le régisseur percevra une indemnité de responsabilité - le mandataire suppléant percevra une indemnité de responsabilité N° 10 Passation d'un avenant pour la mise à disposition de nouveaux Association l'Arbre à 3/12/14 créneaux d'utilisation de locaux municipaux (grand préfabriqué) dans le cadre de ses activités associatives du 15 décembre 2014 au 30 juin 2015 Palabres Talence N° 11 3/12/14 Passation d'une convention pour la mise à disposition de créneaux Association Voyage musical d'utilisation de locaux (anciens locaux du Centre social Mix Cité) - Talence les mardis de 20 h à 23 h (grande salle) et le mardi de 19 h à 23 h (bureau des animateurs) afin d'y dispenser des activités artistiques à dominante musicale, du 15 décembre 2014 au 30 juin 2015. N° 12 4/12/14 Passation d'un marché à bons de commande pour l'acquisition de coupes, médailles et décorations officielles pour l'année 2015 et renouvelable par tacite reconduction d'année civile en année civile jusqu'au 31/12/18 SARL STADIUM - Nantes (44) Dépense estimée (prix unitaires HT du détail quantitatif estimatif multipliés par les quantités annuelles indicatives) : 5 857,55 € HT N° 13 4/12/14 Passation d'un marché à bons de commande pour la réalisation des imprimés municipaux du 1er janvier au 31 décembre 2015 SAS SODAL Langon (33) Dépense estimée (prix unitaires HT contractuels du bordereau multipliés par les quantités indicatives) : 33 836,50 € HT N° 14 4/12/14 Passation d'une convention pour la mise à disposition de créneaux d'utilisation de locaux municipaux (anciens locaux du Centre social Mix Cité) lundi et jeudi de 19 h à 23 h 30 (ancienne salle de jeux) et le mercredi de 20 h à 23 h 30 (grande salle) afin d'y dispenser des activités artistiques (danse) du 15 décembre 2014 au 30 juin 2015 Association MOVE & FEEL - Talence N° 15 5/12/14 Signature d'une convention pour l'organisation de l'exposition «Troie» du 20/1 au 12/03/15 au Forum des Art et de la Culture Association La perspective des nuages - Bordeaux (33) Montant de la prestation : 5 000 € N° 16 9/12/14 Signature d'un formulaire de cotisation pour l'accompagnement technique (prêt de matériel et conseil à l'équipement) année 2015 IDDAC Eysines (33) Montant de l'adhésion : 450 € N° 17 9/12/14 Passation de marchés pour la composition (pour le lot 1 uniquement) et l'impression de diverses publications municipales du 1er janvier au 31 décembre 2015 Lot 1 – Journaux municipaux 16 pages – pré-presse Dépense : 5 850,00 € HT Lot 2 – Journaux municipaux 16 pages – Impression Dépense : 30 150,00 € HT SARL Hypophyse Communication Bordeaux (33) pour le lot 1 SA Fabrègue imprimeur St Yrieix La Perche (87) pour le lot 2 (offre de base) Lot 3 – Guide de la Ville «Cité Guide» - Impression SARL Imprimerie Laplante Dépense : 19 310,00 € HT Mérignac (33) + prestation supplémentaire éventuelle «3 000 exemplaires du pour le lot 3 plan» : 310,00 € HT (offre de base + PSE) Lot 4 – Guide Talence Culture «Cité Culture» - Impression Dépense : 7 120 € HT Lot 5 – Guide de la Jeunesse «Cité Môme» - Impression Dépense : 760,00 € HT pour le lot 4 pour le lot 6 SAS SODAL - Langon (33) pour le lot 5 pour le lot 7 Lot 6 – Guide de la Jeunesse «Cité Collégien» - Impression Dépense : 1 300 € HT Lot 7 – Guide de la Jeunesse «Cité Jeunes» - Impression Dépense : 1 400 € HT N° 18 10/12/14 Résiliation simple du marché à bons de commande n° 14/08-4 – Pâtisseries artisanales entières et individuelles en frais – du fait de la cessation d'activité du prestataire au 31/01/15, le titulaire concerné n'interrompant pas le marché avant plusieurs semaines, et laissant ainsi à la Ville le temps d'organiser ses achats. SARL N2MP - Aux saveurs de Madinina Talence La collectivité supporte les conséquences de cette résiliation et dégage ainsi le titulaire de ses obligations contractuelles. N° 19 11/12/14 Passation d'un avenant de transfert au marché n° 12/03-11 pour la fourniture de caoutchouc et outillages à main dans le cadre de l'appel d'offres relatif à l'acquisition de fournitures et outillages portatifs professionnels pour bâtiments, au titre des années 2012 à 2014, le titulaire du marché faisant l'objet d'une dissolution par fusion au profit de son associé unique. SAS Inter Caoutchouc - Toulouse (31) N° 20 11/12/14 Passation d'un marché de location courte durée de véhicules en auto-partage du 1er janvier au 31 décembre 2015 SCIC Autocool - Bordeaux (33) Dépense estimée 6 000 € TTC N° 21 16/12/14 Après avis favorable du comité d’agrément, passation d'une convention de mise à disposition de locaux au sein de la structure "Talence Pépinière" pour les durées et dispositions prévues dans la convention, à compter de sa signature. N° 22 16/12/14 Décision de déclarer sans suite l'appel d'offre lancé le 18/8/14 en vue de la passation d'un marché simple relatif aux assurances des risques statutaires des agents titulaires et stagiaires de la ville affiliés à la CNRACL pour motif d'intérêt général, attendu qu'il convient de redéfinir notre besoin. N° 23 16/12/14 Passation d'un contrat pour l'organisation d'un concert, dans le cadre des Rencontres Musicales, intitulé «qui a inventé la guitare électrique ?» à la Médiathèque G. Castagnéra, le 17 janvier 2015 Société SIMBALS Talence Association FLEX - Talence Montant de la prestation : 300 € TTC N° 24 17/12/14 Passation d'un avenant à la convention du 17/11/08 pour la mise à disposition de nouveaux créneaux du local du Comité de quartier de Thouars à compter du 01/01/15. Les anonymes du Campus - Talence N° 25 18/12/14 Décision de confier les intérêts de la Ville à la SCP d'avocats Paule Le Bail - Jean-Philippe Le Bail -168 rue Fondaudège à Bordeaux 33000- afin d'obtenir réparation devant le Tribunal Correctionnel de Bordeaux (4ème chambre) pour les dommages occasionnés à un bâtiment communal (Ecole Gambetta) causés par les travaux entrepris par Mme LESBROS-LANAVERRE : – vitre de toit brisée – canalisation obstruée par l'écoulement de ciment (des devis seront produits devant la juridiction). SCP d'Avocats Paule Le Bail Jean-Philippe Le Bail - Bordeaux (33) N° 26 19/12/14 Décision d'acheter et de faire installer un adoucisseur d'eau suite à l'acquisition d'un lave-vaisselle UGAP Mérignac (33) Montant de la dépense : 1 042 € TTC N° 27 19/12/14 Conclusion d'un marché de maintenance (sans publicité et sans mise en concurrence) avec le propriétaire exclusif du progiciel de gestion des demandes de logement du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement deux fois un an soit jusqu'au 31/12/17. SA Agence Française Informatique – Lognes (77) Montant annuel révisable de la dépense : 2 996,52 € HT N° 28 19/12/14 Passation d'un marché de location d'un progiciel de gestion de la taxe locale de la publicité extérieure du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement une fois douze mois, soit jusqu'au 31/12/16. SAS REFPAC-GPAC - Marq en Baroeul (59) Montant annuel révisable de la dépense : 3 348 € TTC N° 29 19/12/14 Passation d'un marché de location d'un progiciel de gestion de l'accompagnement aux demandeurs d'emploi du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement une fois douze mois, soit jusqu'au 31/12/16. SARL ABC Engineering - Aix en Provence (13) Montant de la dépense révisable pour une connexion individuelle mensuelle de 36,79 € HT soit une dépense annuelle estimée de 3 178,60 € TTC N° 30 19/12/14 Passation d'un marché de maintenance des équipements de fermeture du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement une fois douze mois, soit jusqu'au 31/12/16. SCS PORTIS -Villenave d'Ornon (33) Montant annuel révisable de la dépense : 2 642 € HT N° 31 19/12/14 Décision d'utiliser pendant deux ans un système d'accès mobile à la gestion des activités de la Police municipale. UGAP Mérignac (33) Montant de la dépense 16 355,76 € TTC N° 32 22/12/14 Résiliation pour motif d'intérêt général du marché à bons de commande n° 14/09-4 (Collecte, transport, traitement des déchets – Eaux de caveaux) la Ville ayant décidé de supprimer des emplois de fossoyeurs au cimetière de Talence (par délibération du 3/11/14). SARL AMI SUD-OUEST - Bassens (33) Règlement d'une indemnité de résiliation (5% du montant initial HT du marché concerné diminué du montant HT non révisé des prestations admises auquel d'ajoute5% du montant minimum du marché à bons de commande pour l'année 2015) : 306,35 € HT N° 33 23/12/14 Conclusion d'un marché de maintenance (sans publicité et sans mise en concurrence) de panneaux électroniques d'information du 01/01 au 31/12/15 reconductible tacitement d'année civile en année civile jusqu'au 31/12/17. SAS LUMIPLAN VILLE Saint Herblain (44) Montant annuel révisable de la dépense : 7 342 € HT N° 34 24/12/14 Passation d'une convention pour la mise à disposition de locaux Association Les éclaireuses municipaux (anciens locaux du Centre Social Mix Cité- grande et éclaireurs de France – salle) un dimanche sur deux afin d'y dispenser ses activités Groupe Talence (ateliers) du 11/01 au 28/06/15 - Bègles « Le conseil prend acte de ces décisions. CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 2 OBJET : Dématérialisation – Télétransmission des actes soumis au contrôle de légalité – Convention entre l'Etat et la Ville de Talence Nomenclature : 1.4 – Autres types de contrats Monsieur le Maire expose : «La loi n° 2004-809 du 13/08/2004 relative aux libertés et responsabilités locales, et notamment son article 139 et le décret n° 2005-324 du 7/04/2005 pris pour son application, autorisent la transmission par voie électronique des actes des collectivités qui sont soumis à l'obligation de transmission au représentant de l'Etat au titre du contrôle de légalité. Ce type de processus revêt un intérêt certain pour la Collectivité. Il permet en effet, entre autre : - de garantir un envoi fiable et sécurisé des actes, - de réaliser un gain de temps et de gagner en efficacité (délivrance quasi immédiate des accusés de réception), - de réduire les coûts d'envoi (frais postaux, impression papier...), - d'inscrire cette action dans le cadre d'une démarche éco-responsable. Pour mettre en œuvre cette télétransmission, une convention doit être conclue entre la Collectivité et la Préfecture qui s'inscrit dans le cadre du programme « ACTES » (Aide au Contrôle de légalité dématérialisé), conçu et conduit par le Ministère de l'Intérieur. La convention jointe en annexe précise donc notamment la date de raccordement de la Collectivité, la nature et les caractéristiques des actes transmis par cette voie, les engagements respectifs de la Collectivité et de la Préfecture pour le fonctionnement de ce processus ainsi que les références du dispositif homologué utilisé par la Collectivité, en l'occurrence la plateforme d'échanges S2LOW (tiers de confiance : Adullact). En conséquence, je vous demande de bien vouloir : - approuver le principe de télétransmission des délibérations du Conseil Municipal, y compris les actes budgétaires suivants : budgets primitifs, comptes administratifs, budgets annexes, budgets supplémentaires et décisions modificatives. Si le fonctionnement s'avère satisfaisant, une nouvelle délibération pourra être soumise au vote du Conseil Municipal afin d'élargir la liste des actes télétransmis en préfecture, - m'autoriser à signer la convention ci-jointe portant protocole de mise en œuvre de la télétransmission des actes des collectivités locales avec la Préfecture de la Gironde, ainsi que tout document nécessaire à la mise en œuvre de ce dispositif.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONVENTION PORTANT PROTOCOLE DE MISE EN ŒUVRE DE LA TÉLÉTRANSMISSION DES ACTES DES COLLECTIVITÉS LOCALES COMMUNE DE TALENCE La loi n°2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, et notamment son article 139, et le décret n°2005-324 du 7 avril 2005 pris pour son application, autorisent la transmission des actes des collectivités par voie électronique. La présente convention relative à l'expérimentation de la télétransmission est destinée à préciser les conditions de mise en œuvre de la télétransmission des actes à la préfecture de la Gironde. A cette fin, il a été convenu ce qui suit: Article 1 - Parties prenantes à la convention Cette convention est passée entre : 1) La préfecture de la Gironde représentée par Monsieur Jean-Michel BEDECARRAX, Secrétaire Général 2) La commune de Talence, représentée par M Alain CAZABONNE, Maire, dûment habilité par délibération du 19 janvier 2015, dénommée collectivité, Article 2 - Dispositif utilisé Référence du dispositif homologué Le dispositif de télétransmission utilisé par la collectivité est la plate-forme d'échanges «S2LOW». Informations nécessaires au raccordement du dispositif 2.1 : Trigramme identifiant : ITC : SLO 2.1.2 : La collectivité concernée par la présente convention a les coordonnées suivantes Numéro SIREN : 213 305 22 000013 Nom : Talence Nature : COMMUNE Adresse postale: Mairie de Talence, BP 10 035, rue du Professeur Arnozan, 33401 Talence CEDEX 2.1.3 Les coordonnées des opérateurs exploitant le dispositif sont les suivantes Numéro de téléphone : 04 67 65 96 44 Adresse de messagerie : [email protected] Adresse Postale : Le Tucano 836 rue du Mas de Verchant 34000 Montpellier (Le numéro de téléphone et l’adresse de messagerie sont celles que doit utiliser la sphère Etat dans le cadre du support mutuel défini dans le cahier des charges d’homologation. En particulier, en cas de raccordement via un tiers de télétransmission, les coordonnées seront celles du tiers de télétransmission. L’adresse postale doit permettre des envois d’information de nature sensible pour l’application : informations de connexion, etc.) Article 3 - Engagements sur l’organisation de la mise en œuvre de la télétransmission 3.1 Clauses nationales 3.1.1 Prise de connaissance des actes La collectivité s’engage à transmettre au préfet des actes respectant les formats définis par la norme d’échange, immédiatement lisibles par le préfet, et exempts de dispositifs particuliers (notamment de protection par des mots de passe). Le Préfet prend effectivement connaissance des actes dématérialisés, un accusé de réception électronique ayant été délivré automatiquement pour chaque acte avec identifiant unique propre à cet acte. 3.1.2. Confidentialité Lorsque la collectivité fait appel à des prestataires externes, participant à la chaîne de télétransmission, et mandatés à la suite d’une procédure de commande publique les liant à la collectivité, il est strictement interdit à ces prestataires d’utiliser ou de diffuser les données contenues dans les actes soumis au contrôle de légalité à d’autres fins que la transmission de ces actes au représentant de l’Etat. Enfin, il est interdit de diffuser les informations, fournies par les équipes techniques du Ministère de l’Intérieur (MI), permettant la connexion du dispositif aux serveurs du MI pour le dépôt des actes (mots de passe, etc.), autres que celle rendues publiques dans la norme d’échange. Ces informations doivent être conservées et stockées de façon à ce qu’elles soient protégées de tentatives malveillantes d’appropriation. 3.1.3. Support mutuel de communication entre les deux sphères Dans le cadre du fonctionnement courant de la télétransmission, les personnels de la collectivité locale et ceux de la préfecture peuvent se contacter mutuellement pour s‘assurer de la bonne transmission des actes et diagnostiquer les problèmes qui pourraient survenir. Coordonnées Préfecture : Adresse : Préfecture de la Gironde Esplanade Charles de Gaulle 33077 Bordeaux cedex Téléphone : 05 56 90 63 30 Télécopie : 05 56 90 61 25 Courriel : [email protected] Coordonnées Collectivité : Adresse Mairie de Talence, BP 10 035, rue du Professeur Arnozan, 33401 Talence CEDEX Téléphone 05 56 84 78 23 Télécopie 05 56 84 78 25 Courriel [email protected] Par ailleurs, le dispositif de télétransmission relevant de la «sphère collectivités locales» et les équipes du MI, prévoient un support mutuel (par téléphone et messagerie, du lundi au vendredi, aux heures ouvrées), permettant le traitement des incidents et des anomalies ne pouvant être traités au niveau local. Les délais de réponse aux sollicitations ne peuvent excéder une demi-journée. Le service en charge du support au MI ne peut être contacté que par un opérateur identifié grâce aux informations déclinées au paragraphe 2.2.3 du dispositif de la collectivité, c’est à dire, dans le cas d’un dispositif avec tiers de télétransmission, par un contact identifié du tiers de télétransmission. Les contacts directs entre la collectivité et le service de support du MI étant strictement exclus (le tiers de télétransmission doit mettre en place des moyens suffisant pour centraliser et traiter l’ensemble des demandes des collectivités faisant appel à lui). Les coordonnées auxquelles les opérateurs du dispositif de télétransmission peuvent contacter les équipes de support du ministère de l’intérieur auront été fournies lors de l’homologation du dispositif. Les seuls cas dans lesquels il est possible de contacter directement le support mis en place par le MI sont exclusivement : - l’indisponibilité des serveurs du MI, un problème de transmission d’un fichier, les questions relatives à la sécurité des échanges (en particulier les changements de mots de passe ou d’adresses de connexion) et au raccordement du dispositif, les mises à jour de l’homologation et du cahier des charges d’homologation. Ces prises de contact se font exclusivement en utilisant les coordonnées fournies par le MI à cet effet. En particulier, l’adresse émetteur utilisée par les équipes techniques du MI dans les transmissions de données de la sphère MI vers la sphère collectivités ne doit pas être utilisée, que ce soit pour contacter le support ou faire part d’une anomalie. De façon symétrique, seule l’équipe de support du MI pourra contacter les opérateurs du dispositif de télétransmission de la collectivité, aux coordonnées indiquées au paragraphe 2.2.3. 3.1.4 Interruptions programmées du service Pour les besoins de maintenance du système, le service du MI pourra être interrompu 1/2 journée par mois en heures ouvrables. Les équipes techniques du MI avertiront les services de support des dispositifs de télétransmission des collectivités territoriales trois jours ouvrés à l’avance. Durant ces périodes, les collectivités peuvent, en cas de nécessité et d’urgence, transmettre des actes sur support papier. 3.1.5 Suspensions d’accès Le Ministère de l’intérieur, dans les conditions prévues aux articles R 2131-4, R 3131-4 et R 4141-4 du code général des collectivités territoriales peut suspendre l’accès aux serveurs de réception des actes si les flux en provenance d’une collectivité sont de nature à compromettre le fonctionnement général de l’application. Les suspensions peuvent être opérées dans l’urgence pour des motifs de sécurité générale (par exemple détection d’un virus, même véhiculé de manière involontaire dans un flux en provenance d’une collectivité). Dans le cas d’une suspension sur l’initiative du représentant de l’Etat, la suspension ne porte que sur des collectivités concernées par l’incident. Cette suspension fait l’objet d’une notification concomitante du représentant de l’Etat à la (ou aux) collectivité(s) concernée(s) afin que celle(s)-ci transmette(nt) les actes sur support papier. Dans le cas d’une suspension sur l’initiative des services techniques du MI, cette suspension peut porter sur un dispositif, et donc concerner l’ensemble des collectivités utilisatrices de ce dispositif. Dans ce cas, cette suspension, entraîne un contact direct entre les équipes techniques du ministère et les opérateurs du dispositif, dans les conditions prévues au paragraphe. L’information des collectivités concernées doit être assurée par les opérateurs du dispositif. 3.1.6. Renoncement à la télétransmission Le décret en Conseil d’Etat pris en application de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales reconnaît aux collectivités territoriales ayant choisi de transmettre leurs actes par la voie électronique la possibilité de renoncer à ce mode de transmission. Dans cette hypothèse, la collectivité informe sans délai le représentant de l’Etat de sa décision de renoncer à la télétransmission en précisant expressément la date à compter de laquelle ce renoncement prend effet. Il appartient à la collectivité de préciser également si ce renoncement porte sur la totalité des actes jusqu’alors télétransmis ou ne s’applique qu’à certains d’entre eux. A compter de cette date, les actes de la collectivité doivent parvenir au représentant de l’Etat sur support papier. Dans l’hypothèse où la décision de la collectivité consiste à renoncer à la transmission de la totalité de ses actes par la voie électronique, la convention a vocation à être suspendue par le représentant de l’Etat. 3.1. Clauses optionnelles 3.2.1. Classification des actes La collectivité s’engage à respecter la classification en matière, et à ne pas volontairement transmettre un acte dans une classification inadaptée. Il en est de même pour toutes les informations associées aux actes ou courriers transmis. La classification comprend trois niveaux. 3.2.2. Tests et formations Des transmissions fictives pourront être effectuées, soit dans le cadre de tests de bon fonctionnement, soit dans le cadre de formations. Afin d’éviter que ces données fictives puissent se confondre avec des données réelles, l’objet des actes fictifs commencera par les caractères ‘TEST’ faisant apparaître explicitement qu’il s’agit d’une transmission fictive. 3.2.3 Types d’actes télétransmis Les catégories d’actes ayant vocation à être transmis au représentant de l’Etat exclusivement par la voie électronique sont : Les délibérations du Conseil Municipal de la Ville de Talence. En ce qui concerne les actes budgétaires, seront transmis l'ensemble des décisions budgétaires correspondant à un exercice budgétaire complet (budgets primitifs, comptes administratifs, budgets annexes, budgets supplémentaires et décisions modificatives) sous la forme des maquettes budgétaires et comptables prévues. En tout état de cause, la double transmission d’un même acte (par voie électronique et par voie papier) est interdite. ARTICLE 4 - VALIDITÉ ET ACTUALISATION DE LA CONVENTION 4.1. Durée de validité de la convention La présente convention prend effet à partir du ….. 2015. Une nouvelle convention sera conclue en cas de changement de dispositif. Sur la base du décret précité, l’application de la présente convention peut être suspendue par le Préfet si celui-ci constate des altérations graves du fonctionnement du dispositif de télétransmission ou qu’il est empêché de prendre connaissance des actes transmis. 4.2. Clauses d’actualisation de la convention Certaines clauses de la convention doivent pouvoir faire l’objet d’une actualisation. Cette actualisation peut être rendue nécessaire par : - des évolutions extérieures et indépendantes de la volonté des parties contractantes et conduisant à des modifications du cahier des charges national (par exemple, pour prendre en compte des évolutions technologiques et juridiques, d’intérêt général, ayant un impact sur la chaîne de télétransmission), - par la volonté des deux parties de modifier certaines des modalités de mise en œuvre de la télétransmission initialement définies. Dans le premier cas, un arrêté du ministre de l’intérieur portera modification du cahier des charges national. Dans l’hypothèse où les modifications ainsi apportées au cahier des charges national auraient une incidence sur le contenu de la convention, celle-ci doit être révisée sur la base d’une concertation entre le représentant de l’Etat et la collectivité. Dans le second cas, l’opportunité d’actualiser la convention est laissée à l’appréciation commune des parties. Dans les deux cas, la convention pourra être actualisée sous forme d’avenants. -------Le secrétaire général de la Préfecture de la Gironde et le Maire de la commune de Talence sont chargés de l’exécution de la présente convention. Fait à Bordeaux, Le … / ... / 2015 Monsieur Jean-Michel BEDECARRAX Secrétaire Général de la Préfecture de la Gironde. Monsieur Alain CAZABONNE, Maire de Talence CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 3 Objet : Convention relative à la mise en place d'un projet éducatif territorial avec les services de l'Etat. (PEDT) Nomenclature : 8.1 - Education Monsieur DUART, Adjoint délégué à la Vie Scolaire, expose : «Les écoles de la Ville de Talence sont passées à la semaine de 4 jours et demi depuis la rentrée scolaire 2014 -2015. Dans le cadre de cette réforme éducative, le Projet Educatif Territorial (PEDT) formalise les orientations retenues dans les groupes de concertations composés des représentants des parents d'élèves des écoles maternelles et élémentaires, des représentants de l'éducation nationale et des élus de la ville. Il propose des orientations éducatives pour les activités périscolaires et une action éducative en cohérence avec le projet d'école. Il poursuit l'objectif de mobiliser les ressources d'un territoire afin de garantir la continuité éducative. Il engage les différents partenaires à se coordonner pour organiser des activités éducatives et assurer l'articulation de leur intervention sur le temps dévolu aux enfants dans un souci de cohérence et de qualité. Enfin, il a vocation à prendre en compte l'offre existante lors du temps périscolaire et peut s'appuyer sur les différents dispositifs qui peuvent exister sur le territoire de la commune. Le PEDT proposé par la Ville de Talence a reçu un avis favorable, lors de son examen en commission interministérielle organisée par la Direction des Services Départementaux de l'Education Nationale et la Direction Départementale de la Cohésion Sociale. Il sera signé pour un an et sera revu à l'issue de cette période en tenant compte des éléments recueillis lors des différentes réunions de bilan. Je vous demande d'autoriser Monsieur le Maire à signer la Convention relative à la mise en place d'un projet éducatif territorial avec les services de l'Etat. Le document mentionné page 5 de la convention et qui définit les modalités d'utilisation des locaux, des matériels et des matériels pédagogiques est en cours de finalisation. » Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE PROJET EDUCATIF TERRITORIAL PROJET EDUCATIF TERRITORIAL DE LA VILLE DE TALENCE SOMMAIRE 1 - Périmètre et public du PEDT 2 - État des lieux et diagnostic 3 - Méthodologie 4 - Objectifs du PEDT 5 - Contenu et activités du PEDT 6 - Coordination, pilotage, évaluation 7 - Annexes 1 Ville de la Communauté Urbaine de Bordeaux,Talence, compte une population totale de 42 119 habitants au 1er janvier 2014 sur une superficie de 8,28 km². La CUB. Talence, située au sud de Bordeaux (2 km). De par sa situation géographique, et malgré un territoire réduit, la commune de Talence bénéficie d'une dynamique de peuplement avec un accroissement régulier de sa population. On peut souligner également que sa population est plus jeune que celle de l'agglomération bordelaise. Talence se caractérise aussi par la présence de l'Université et de nombreux établissements d'enseignement supérieur sur son territoire. La ville de Talence compte aussi un quartier prioritaire Politique de la Ville actuellement en opération de restructuration urbaine. Situé au sud de la ville, ce territoire recouvre 3 groupes scolaires et une école maternelle. Des actions spécifiques y sont déployées dans le cadre du Contrat de Cohésion Sociale et Urbaine ainsi du programme de réussite éducative. 2 1 - PERIMETRE ET PUBLIC DU PEDT Territoire concerné Public concerné Périodes concernées …........ ............ ..…....... Ville de Talence Enfants de 3 -11 ans scolarisés dans les écoles publiques Journée et semaine scolaire Nombre d'enfants potentiellement concernés par le PEDT …. 2 593 septembre 2014 dont enfants scolarisés en école maternelle ….................1 490 dont enfants scolarisés en école élémentaire ….............. 1 103 Nombre d'établissements d'enseignements concernés....................18 écoles maternelles..................................................................10 écoles élémentaires..................................................................8 GROUPE SCOLAIRE Albert CAMUS Léon GAMBETTA Joliot CURIE Georges LASSERRE Paul LAPIE Jules MICHELET Maurice RAVEL ST EXUPERY Jean JAURES Pablo PICASSO TOTAL ECOLE MATERNELLE ECOLE ELEMENTAIRE TOTAL 113 162 275 145 237 382 168 275 443 163 208 371 134 210 344 104 176 280 79 105 184 77 117 194 76 76 44 44 1103 1490 2593 Il est à souligner que, depuis plusieurs années, la commune enregistre une augmentation significative des effectifs scolaires avec plus de 198 enfants scolarisés entre 2010 et 2014 (+ 101 en maternelle et + 97 en élémentaire). Cet accroissement s'est traduit par 3 ouvertures de classe sur la période. Il est à noter que cette dynamique se concentre sur le Nord de la commune. D'autre part, l’école élémentaire Maurice Ravel comprend une Classe pour l'Inclusion Scolaire (CLIS) pour les élèves en situation de handicap qui accueille une douzaine d'élèves. Il convient également de préciser que 2 écoles privées sont situées sur le territoire communal et que celles-ci n'ont pas prévu d'appliquer la réforme des rythmes scolaires à ce jour. 3 Plan des écoles publiques maternelles et élémentaires de Talence 2 - ETAT DES LIEUX ET DIAGNOSTIC L’état des lieux et le diagnostic s'appuient notamment sur les éléments du Contrat Enfance Jeunesse et sur les évaluations annuelles des partenaires ainsi que sur le suivi de dispositifs tels que le Programme de réussite éducative et le Contrat urbain de cohésion sociale. Les éléments spécifiques au PEDT sont issus des travaux menés par les différents groupes de travail et alimentés par les diagnostics et évaluations des services municipaux. 4 A - Activités périscolaires et extra scolaires déjà existantes et fonctionnement l'année précédent la mise en place du PEDT • DES ACCUEILS PERISCOLAIRES : avant et après l'école La ville de Talence propose depuis plusieurs années un service d'accueil périscolaire dans l’ensemble des écoles. Les enfants sont ainsi accueillis avant et après l'école, et des équipes d'animateurs qualifiés leurs proposent des activités dans le cadre de projets pédagogiques construits sur les axes définis par le projet éducatif des accueils (Cf annexe). L'accueil périscolaire est organisé autour des postulats suivants : – La libre adhésion : aucune activité n'est imposée, l'enfant a la liberté de faire ou de ne pas faire. – L'inscription de l'action périscolaire dans un cadre ludique : les notions de loisirs, détente, de jeux et de plaisir sont des constantes. – L'inscription de l'action périscolaire dans un cadre pédagogique mais non didactique : les APS sont des lieux d'apprentissage et de socialisation sans vocation enseignante. L'acte éducatif consiste à susciter la curiosité, à encourager l'envie d'aller vers l'autre et à s'insérer dans le groupe. – L'unité dans le service proposé : quel que soit l'âge et le sexe des enfants, sur l'ensemble du territoire, tout en prenant en compte les différences de cycle (maternelle, élémentaire), les APS proposent le même type de prestation. Modalités d'inscription : Ce service accueille en priorité les familles dont les deux parents travaillent. La famille inscrit enfant à l’accueil périscolaire du matin et/ou du soir. L'enfant peut être récupéré par la famille à tous moments. Une tarification personnalisée en fonction du quotient familial est appliqué (cf annexe). son Les accueils périscolaires sont déclarés accueils de loisirs sans hébergement. Le nombre d'enfants inscrits au service correspond à environ 50% de la population scolaire et la fréquentation se situe à environ 750 enfants par jour (cf annexe). • LA PAUSE MERIDIENNNE En maternelle les enfants sont pris en charge par les ATSEM, et les plus jeunes du 1er service de restauration sont accompagnés à la sieste, dès la fin du repas. En élémentaire, des animateurs périscolaires interviennent pour proposer des activités ludiques et de détente à ceux qui le souhaitent. • ACTIVITES EXTRA SCOLAIRES : mercredi et vacances scolaires 4 centres de loisirs, ACM associatifs soutenus financièrement par la collectivité, accueillent les enfants le mercredi et les vacances. scolaires. Association «Loisirs des petits rois», Domaine des petits rois - 1 allée des petits rois (près piscine). NOMBRE DE PLACES : 88 maternelles / 96 élémentaires = 184 enfants Ouvert tous les mercredis avec repas et pendant les vacances scolaires. Centre Social de Bagatelle, 323 rue Frédéric Sévène. NOMBRE DE PLACES : 40 maternelles / 60 élémentaires = 100 enfants Ouvert les mercredis avec repas et toutes les vacances scolaires de 9h30 à 19h30 (sauf Noél et aout) Association «Mix-cité Centre Social et Culturel de Talence-Thouars», Le Dôme 221, avenue de Thouars. NOMBRE DE PLACES : 24 maternelles / 24 élémentaires = 48 Ouvert les mercredis après midi sans repas et vacances scolaires de 7h30 à 18h30 (sauf Noël et au mois d'Août) 5 Association «Centre Animation Jeunesse», 84 rue Camille Pelletan. NOMBRE DE PLACES : 30 places pour les enfants de 9-10 ans (CM 2) Ouvert les mercredis après-midi sans repas et vacances scolaires de 7 h30 à 18 h30 (sauf Noël et au mois d'Août) Pour ces mêmes périodes, la Ville propose dans le cadre de son projet de développement de la pratique sportive pour tous, 3 accueils spécialisés autour des animations sportives : Eveil corporel : pour les moins de 6 ans, le mercredi matin : 58 enfants en 2013-2014 Ecole multisports : le mercredi après-midi en direction des 6-11 ans : 135 places Accueil collectif de mineurs «Vacances sportives» à destination des 8-16 ans sur les vacances scolaires (hors Noël) : 30 places. • DES PROPOSITONS SPORTIVES ET ARTISTIQUES : soir et mercredi. Sports et Activités physiques Les 42 associations sportives qui se déploient sur le territoire et utilisent les équipements sportifs municipaux proposent aux enfants et aux jeunes de la pratique sportive de différents niveaux. Quelques associations (Gym, Judo, Acrosports, basket..) ont des propositions d'éveil pour les moins de 6 ans. En 2013, 922 enfants de moins de 12 ans fréquentaient les clubs sportifs (546 pour les 12/18 ans) (Cf Annexe). A l'exception de 2 clubs (Judo et Football), les créneaux d'activités sont concentrés sur le mercredi aprèsmidi et le soir. Pratiques artistiques et culturelles Plusieurs propositions existent sur le territoire et se développent sur l'année scolaire et hors temps scolaire. L'Ecole Municipale de Musique accueille les enfants dés l'age de 5 ans. Elle offre un cursus d'apprentissage permettant de découvrir et de s'initier à la pratique musicale, seul et en groupe : éveil musical, formation musicale et enseignement spécialisé sur 29 disciplines instrumentales, ateliers de pratiques collectives. 308 enfants de moins de 11 ans fréquentent l'école. Des cours sont proposés dans 5 groupes scolaires après l'école (cf Annexe ). L’association Rock et Chanson, Scène de Musiques Actuelles installée sur le quartier de Thouars développe également une école de musique, dédiée à la pratique des musiques actuelles. Elle accueille ainsi 131 jeunes de moins de 17 ans. Les Ateliers Création Talence, structure municipale, proposent 4 ateliers de découverte et de pratique des arts plastiques, le mercredi pour les moins de 11 ans et accueillent ainsi 71 enfants. L’Office Culturel et Éducatif de Talence anime une école de Danse à partir de 4 ans et une école de Théâtre à partir de 8 ans. La Danse regroupait ainsi en 2014, 95 enfants de moins de 11ans dont 22 de moins de 6 ans et le Théâtre 19 enfants de 8/11ans. Des stages de théâtre sont également organisés pendant les vacances scolaires. Plusieurs associations proposent des activités dans les champs sportif et culturel. B - Le contexte territorial • Besoins répertoriés La réforme des rythmes scolaires en modifiant la répartition du temps scolaire est venue réinterroger les temps périscolaires et extra scolaires et donc les activités existantes sur ces périodes. En outre, elle a également invité les acteurs à réexaminer les articulations entre les différents temps de 6 l’enfant et la cohérence éducative des différentes propositions. Pour la Ville, il s'agissait donc de mobiliser les acteurs afin de construire un projet d'organisation du temps scolaire et un projet éducatif pour les temps périscolaires et extra scolaires afférents. • Atouts du territoire et leviers pour la mise en œuvre du PEDT * Les services de la Ville de Talence : Une Direction Pôle Vie de la Cité regroupant les secteurs Education Enfance Jeunesse, Sport et Culture et un service Education Enfance Jeunesse récemment structuré. Des accueils périscolaires avec un fonctionnement et des taux d'encadrement satisfaisants. Des propositions éducatives en matière sportives et culturelles, environnementales sur les temps scolaires et extra scolaires. Un ensemble de services municipaux intervenant pour le fonctionnement des écoles et autour des écoles (Atsem et agents d'entretien, restauration, bâtiments, ASVP, espaces verts....) * Des équipements sportifs et culturels : Stade Nautique, Parc des sports et des loisirs, plusieurs salles de sports et espaces sportifs de proximité, le réseau des Médiathèques, le Forum des Arts et de la Culture. * Le tissu associatif : Des associations bien implantées sur le territoire et intervenant auprès des enfants dans les domaines de l'accueil de loisirs, de l'accompagnement à la scolarité, du sports, des pratiques artistiques. * Des dispositifs actifs : Un travail de partenariat autour des actions éducatives existe depuis plusieurs années avec le Contrat Enfance Jeunesse, le Programme de Réussite Educative, le Contrat Urbain de réussite Educative. • Contraintes du territoire 2 horaires différents pour les groupes scolaires. Contraintes spatiales dans les écoles et locaux souvent mal adaptés au développement d'activités pour un grand nombre d'enfants Contraintes d'organisation et de sécurisation relatives à l'accroissement des effectifs dans les nouveaux temps d'accueil Contraintes d'organisation et de temps de travail pour les personnels (entretien) Répartition territoriale des Centres de loisirs et capacité d'accueil de ceux-ci saturée, notamment pour les moins de 6 ans. 3 - METHODOLOGIE D'ELABORATION DU PEDT Dés la parution des textes relatifs à la mise en place de la réforme des rythmes scolaires, la Ville a sollicité les parents à partir d'un questionnaire afin de mieux appréhender les orientations des familles sur les modifications à venir. Cette démarche a permis d'avoir un premier avis sur les points suivants : – le jour souhaité par les familles pour la mise en place de la demi-journée supplémentaire : le mercredi matin ou samedi matin ; – les habitudes des familles en terme de mode de garde : proches/baby sitter/centre de loisirs ; – leurs éventuels besoins à venir. Au regard du taux de réponse et du nombre de familles privilégiant le mercredi comme demi-journée supplémentaire, il a été très rapidement décidé d'acter ce choix. D'autre part, considérant les enjeux pour les enfants, pour l’organisation des familles, pour les structures éducatives, et les impacts financiers, la Ville a souhaité se donner le temps de travail, de préparation et de concertation nécessaire compte tenu du délai maximum autorisé. La mise en place de la réforme a donc été fixée à la rentrée scolaire de septembre 2014. 7 Au niveau municipal un groupe d'élus regroupant majorité et opposition a été constitué pour piloter la mise en place de la réforme avec le soutien technique de la direction du Pôle Vie de la Cité et du secteur Education Enfance Jeunesse (cf Annexe). Une méthodologie en 2 étapes a été adoptée Etape 1 : préparation du Projet d'organisation du temps scolaires (POTS) Etape 2 : PEDT et projet d'organisation des temps périscolaires Sur la phase de préparation du POTS plusieurs travaux et réunions de concertation ont été menés avec l'Inspecteur de circonscription et son équipe, avec les directeurs d'écoles, avec les parents d’élèves et avec les représentants du personnel municipal et les agents municipaux intervenant dans les écoles. Dans les débats et réflexions concernant le POTS, les principaux partenaires (Ville, Education Nationale, parents) ont posé des bases pour les orientations éducatives des nouveaux temps périscolaires. Pour l'étape 2, deux groupes de concertation et travail ont été organisés, l'un pour les maternelles, l'autre pour les élémentaires La composition de chaque groupe est la suivante : - Adjoint délégué à l'enseignement et élus du groupe de pilotage municipal - 1 représentant des parents d'élèves de chaque Conseil d'école - 2 enseignants - la direction Education Ville - des professionnels, en fonction des besoins. Des réunions plénières (Ville, parents, Education Nationale, structures et associations éducatives) ont permis de finaliser le projet. Des réunions techniques avec différents partenaires (CAF, centres de loisirs, conseils des maîtres, services municipaux) ont soutenus les travaux et permis la préparation opérationnelle du projet. Pour construire le PEDT, les réunions des groupes de concertation se sont organisées sur les thèmes suivants : Organisation du mercredi après l'école : – organisation de la sortie de l'école (garderie) – organisation d'un transport vers les centres de loisirs – besoin de places d'accueil Organisation du temps périscolaire : - contenu des nouveaux temps : axes éducatifs et principes - modalités de prise en charge des enfants (inscriptions, fonctionnement) - principes des activités (type, cycle, régularité, locaux) - encadrement des enfants (intervenants) 4 - OBJECTIFS DU PEDT LES AXES PRIORITAIRES DU PEDT Premier axe : Organiser la réforme du temps scolaire Deuxième axe : Maintenir la qualité éducative sur le temps périscolaire, visée depuis de nombreuses années Troisième axe : Développer la complémentarité des services éducatifs et favoriser les articulations dans les propositions Quatrième axe : Ouvrir un champ d'expérimentation à de nouvelles actions éducatives concertées 8 La durée du PEDT est fixée à trois ans. Toutefois, les acteurs considèrent qu'à l’intérieur de cette période le dispositif proposé peut être ajusté et peut évoluer en terme de fonctionnement et d'organisation, en fonction des évaluations, des besoins et des moyens. LES OBJECTIFS DU PEDT - Agir au côté des parents et de l'école pour l’épanouissement et le développement de tous les enfants ; - Prendre en compte de manière globale les différents temps de l’éducation et leurs articulations. Prendre en compte les spécificités des différents âges ; - Accompagner les enfants vers l'autonomie et la citoyenneté. Encourager la solidarité et la coopération dans leurs initiatives et leurs activités créatives ; - Rechercher la complémentarité et la continuité entre les différents projets et les différentes actions ; - Mobiliser les structures et les acteurs artistiques, culturels, sportifs autour de leurs missions éducatives sur le territoire. Orientations éducatives pour le temps périscolaire Afin de répondre à ces objectifs et de prendre en compte le contexte territorial, les orientations éducatives suivantes ont été posées pour le déploiement des activités périscolaires : - Temps de détente, de plaisir où doit prévaloir un esprit ludique - Favoriser le vivre ensemble, l'harmonie des relations , la coopération et l'échange - Proposer des découvertes pour ceux qui n'ont pas de pratique et pour les autres, élargir le champs de connaissance 5 - LE PROJET En premier lieu , il convient de préciser le projet d'organisation du temps scolaire sur lequel s'adosse le PEDT Plan de l'Organisation du Temps Scolaire (POTS) Écoles Jaurès, Picasso et groupes scolaires Curie, Lasserre, Ravel, St Exupéry, Michelet Lundi 7h30 9h 12h 14h 16h15 17h15 19H pause accueil Mardi méridienne école TAP périscolaire Mercredi Jeudi Vendredi 9 accueil périscolaire école 12h30 garderie pause méridienne école TAP accueil périscolaire accueil périscolaire Groupes scolaires Gambetta, Camus, Lapie Lundi 7h30 8h30 11h30 13h30 pause Mardi méridienne école Mercredi accueil périscolaire Jeudi Vendredi Légende Ecole Temps scolaire Pause méridienne école 15h45 TAP 16h45 accueil périscolaire 18h30 12h30 garderie pause méridienne école TAP accueil périscol aire accueil périscolaire TAPageurs : Nouveaux temps d'activités périscolaires Accueil périscolaire garderie Le Projet Éducatif de Territoire se propose de prendre en compte les différents temps des enfants de 3 à 11 ans, en s'appliquant à organiser des temps de transition entre le temps scolaire et les temps familiaux propices à l'épanouissement et à la socialisation des enfants. Le POTS de la Ville de Talence dégage des Temps Activités Périscolaires positionnés à la fin du temps scolaire. Au-delà des changements d'horaires, c'est bien la place de l'enfant qui est à reconsidérer, afin de mieux prendre en compte les rythmes des enfants (veille, activité, détente...). Il est important que les choix qui seront faits en terme éducatif puissent assurer une cohérence et une continuité dans les différents temps qui composeront les 24 h de sa journée, à savoir : – – – – Les temps scolaires (l'apprentissage des savoirs fondamentaux) Les Temps PériScolaires (les APS la pause méridienne et maintenant les TAP) Les temps extrascolaires (les activités culturelles, sportives, artistiques, récréatives passées en dehors de la famille et de l'école) les temps familiaux Les différents partenaires de ce temps de l'enfant vont devoir partager leurs pratiques respectives afin de travailler ensemble sur ces nouvelles organisations ainsi que sur les contenus proposés aux enfants . Les actions développées dans le cadre du PEDT tendent donc à articuler de manière efficiente ces différents temps en privilégiant des axes déjà existants dans le cadre du projet éducatif des accueils périscolaires. Pour la présentation, il convient de distinguer la proposition pour le mercredi après-midi et des temps périscolaires des autres jours scolaires de la semaine. A - Une organisation et des activités pour le mercredi • Mise en place d'une garderie le mercredi dès 11 h 30 Les enfants que les parents ne peuvent pas venir chercher à la fin de l'école peuvent bénéficier d'une garderie jusqu'à 12 h 30 le mercredi, sous la responsabilité des agents de service et des ATSEM et cela sur inscription. • Mise en place de navettes des écoles vers les Accueils Collectifs de Mineurs La Mairie a décidé de mettre en place un service de navettes de bus vers les ACM à la fin des cours du mercredi midi. Le service sera gratuit. L'ACM du Centre Social Mixcité ainsi que l'activité Ecole Multisport ne font pas partie de ce dispositif car ils ne proposent pas de formule avec repas. 10 Les enfants seront regroupés dans les bus selon leur ACM de destination. Les ATSEM les récupéreront dans les classes pour procéder à un accompagnement jusqu'au portail, où ils seront ensuite pris en charge par les animateurs de chaque centre. La Ville mettra en place une procédure stricte de prise en charge des enfants sur ce temps avec ses partenaires associatifs, avec notamment une réception, le mardi après-midi, des listes définitives d'inscrits. 5 bus seront mobilisés pour les rotations. Ouverture d'un ACM : Les p'tits Potes et les Potes • Les trois ACM existants sur le territoire de la ville ne disposant plus de places supplémentaires pour accueillir des enfants, il a été décidé de mettre en place un ACM dans les locaux de l'école Joliot-Curie le mercredi après-midi. Cette école est celle qui correspondait le plus aux attentes des parents et de la Ville : elle dispose d'équipements capables de convenir à l'ouverture de cet ACM et est située en plein centre du territoire. Les préinscriptions se sont faites dans les deux ACM de Bagatelle et des Petits Rois et, grâce à une gestion partagée de la liste d'attente, une grande majorité des familles voulant inscrire leur enfant a pu avoir accès au nouvel ACM. La politique tarifaire propose un tarif évoluant en fonction du Quotient Familial. B - Des activités pour Les Temps périscolaires du matin et du soir Le projet d'activités pour les temps périscolaires s'articule à partir des orientations éducatives précitées. Les TAPageurs, puisque c'est ainsi que seront nommés ces nouveaux temps de prise en charge des enfants, ont pour projet d'instaurer un temps de détente et de plaisir après la classe, faisant l'objet d'un projet pédagogique particulier afin que les activités éducatives y soient abordées de manière ludique. Les activités proposées tiendront compte des spécificités, des âges, notamment avec une attention accrue envers les plus jeunes (les maternelles). Pour ces enfants de maternelle les différents temps de transition devront être particulièrement soignés afin de permettre aux enfants de prendre leurs repères tranquillement. Installant un espace convivial, propice aux différents besoins des enfants (jeu, discussion, repos, rêverie, retrait...), ils devront permettre des échanges et de la coopération entre les enfants autour de petits pôles d'activités variés. Ces pôles seront proposés aux enfants dans la classe ; ils pourront être déployés au fur et à mesure tout au long de l'année. Certains outils sont dans la classe, d'autres sont amenés pour l'occasion, dans tous les cas un partenariat étroit avec l'enseignant est à installer (notion partagée en conseils des maîtres) : – – – – – – Pôle jeux d'imitation (dînette) Pôle jeux de sociétés (achat mallette Memory, puzzles, jeux de cartes...) Pôle jeux de construction (disponibles dans la classe) Pôle marionnettes (création des TPS) Pôle livres (disponibles dans la classe) Pôle manipulation (pâte à modeler, découpage, enfilage, pompons...) Le positionnement des ATSEM de classes en partenariat avec des animateurs sera la garantie de la continuité éducative. Il leur sera demandé de jouer avec les enfants, d'être attentifs à leurs besoins respectifs à l'issue d'une journée de classe. Pour les enfants de l'élémentaire, les propositions d'activités s'organiseront autour de 3 axes : – – – 11 «Je découvre et j'expérimente» : les enfants y retrouveront des activités culturelles, manuelles, scientifiques mais aussi sportives. L'activité proposée se trouvera au centre de l'atelier. «Je fais et je pratique avec les autres» : l'activité est un support et l'accent sera mis sur les échanges, la coopération, la participation, la construction ensemble. On retrouvera ici des activités manuelles, sportives, artistiques mais aussi des activités de type jeu de société coopératif. En d'autres termes, on travaillera sur la capacité de socialisation de l'enfant. Des projets thématiques pourront être développés à l'initiative des enfants. «Je joue, je rêve, je peux ne rien faire» : Cet axe se déclinera autour d'espaces propices au calme, avec un accompagnement particulier et seront proposés aux enfants afin qu'ils s'y détendent. Sous forme de cycles variables, les enfants pourront faire des découvertes autour de 8 thématiques : – – – – – – – – Planète Zen : Apprendre à se détendre, à se poser, à s'écouter, à respirer... Planète qui bouge : Bouger son corps de toutes les manières pour le sentir vivre, pour se défouler, pour jouer avec les copains copines... Planète vivre ensemble : Et si on parlait des choses sérieuses qui intéressent les enfants... Comment on se parle, comment on s'écouter, on se respecter, qu'est-ce que c'est être amoureux, l'amitié, qu'est ce qu'on fera quand on sera grand ? Comment vivent les autres enfants dans le monde, quelles sont leurs habitudes ? Planète sciences : S'amuser avec les sciences, manipuler, découvrir, pratiquer, faire des expériences pour comprendre Planète nature : Faire connaître aux enfants ce qui existe autour de chez eux, la ville et la nature, des contes, des histoires de la nature, les fruits, les légumes, les fleurs, les herbiers, les oiseaux, le vent, entendre, écouter, voir... Planète sport : Découvrir dans le plaisir une discipline sportive Planète mon quotidien : Ou comment mieux comprendre son environnement (les animaux domestiques, les dangers de la maison...) Planète artistes : Création musicale de texte, fabrication d'instruments de musique, création de pièces de théâtre, découvrir mille et une façons de dessiner, danser, chanter, peindre.... S'exprimer, faire des mini reportages photo, créer une vidéo... Ces temps donneront également l'occasion à des enfants pouvoir bénéficier de pratiques qu'il n'ont pas habituellement, en dehors de toute notion d'enseignement dispensée dans le cadre scolaire. Les mêmes activités ne seront pas déployées sur l'ensemble des écoles. Cependant, le service éducation veillera à une répartition équilibrée des propositions. Un appel à projet a été lancé du côté des associations talençaises et des différents partenaires du territoire ainsi que des services de la Ville afin de mettre en œuvre et organiser des activités ayant lieu pendant les TAPageurs. • Accueils Périscolaires Avec la mise en place de nouveaux temps d'accueils des enfants, les TAPageurs, le soir, après la classe, l'accueil périscolaire a modifié son projet pour, encore plus qu'avant, proposer aux enfants un temps de pause, de détente organisé essentiellement autour des installations d'espace (permettant aux enfants de circuler à leur rythme) et des propositions d'activités légères ne nécessitant pas d'inscription ni de suivi. Le goûter proposé aux enfants sur ce temps participe également de ce temps de décontraction. L'évaluation 2014 - 2015 permettra de vérifier la pertinence de cette réorientation des accueils périscolaires et éventuellement de préciser les ajustements nécessaire en terme d'articulation. • Encadrement La Ville de Talence a fait le choix de positionner 8 directeurs des temps périscolaires dans chaque groupe scolaire. Ces directeurs prendront en charge l'organisation des Temps d'Activités Périscolaires et celle des APS. Cette organisation doit permettre une coordination de terrain plus efficace et doit favoriser la cohérence des propositions. Professionnels de l'animation, ces directeurs seront titulaires du BPJEPS1, diplôme de l'animation. Durant les TAPageurs, ils encadreront des équipes composées d'animateurs BAFA et d'ATSEM en maternelle. L'encadrement se fera sur la base d'un taux d'encadrement assoupli pour les TAPageurs, le taux d'encadrement sur l'APS demeurant inchangé. Les équipes pourront être également accompagnées par des professionnels de l'animation sportive ou culturelle (services municipaux, associations). 1 12 Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport Il est également à souligner qu'un appel à projet a été adressé aux différentes associations du territoire. 24 associations ont fait des propositions (cf annexe). Dans chaque école, un projet pédagogique pour les TAPageurs sera élaboré en début d'année scolaire. Dans le cadre de projets spécifiques des intervenants spécialisés pourraient intervenir. Il est à noter que les mêmes animateurs encadreront les enfants pendant les accueils périscolaires et proposeront des animations sur la pause méridienne. Cette continuité est profitable au suivi des enfants. Ce sont ces équipes qui présenteront à la rentrée les programmes d'activités de manière plus détaillée. • Organisation - Inscriptions Pour les maternelles, à la fin de l'école, les enfants seront pris en charge au sein de leur classe par les équipes d'animation ( ATSEM et les animateurs.) Les temps de transition feront l'objet d'une attention particulière pour tous les enfants et des rituels seront organisés. A l'école élémentaire, les enfants seront rassemblés tout au long de l'année par groupes d'âge. En maternelle comme en élémentaire, la durée du TAP est d'une heure afin de permettre aux enfants de profiter tranquillement de leurs activités. Durant ce temps, il n'est pas possible pour les parents de venir récupérer leurs enfants, contrairement à l'accueil périscolaire. L'inscription aux activités périscolaires se font en mairie au moment de l'inscription scolaire. • Tarifs En ce qui concerne les nouvelles activités périscolaires, un tarif forfaitaire mensuel et personnalisé sur la base du quotient familial CAF a été mis en place. Pour les Talençais, la participation des familles varie de 1 €/mois à 12 €/mois. Cette grille tarifaire est construite sur le même modèle que celle en vigueur pour les Accueils Périscolaires. La grille des Accueils Périscolaires a quant à elle été revalorisée en 2014 (cf Annexe). • Modalités d'information aux familles Les familles ont été informées par courrier de la réforme des nouveaux rythmes scolaires et notamment l'insertion d'un temps d'activités périscolaires (TAP), pour lequel a été fourni un livret explicatif récapitulant l'organisation de la semaine, l'encadrement et le contenu des TAP ainsi que leurs modalités d'inscription. L'information a également circulé dans les écoles ainsi que sur le site internet de la Ville. Des échanges ont également été organisés lors de plénières (cf Annexe). 6 – EVALUATION- COORDINATION - PILOTAGE A - Evaluation Compte tenu du fonctionnement satisfaisant et de l'implication des acteurs, il a été décidé en réunion plénière de maintenir les groupes de concertation pour assurer, dans une troisième étape, l'évaluation et l'ajustement du projet. Il a ainsi prévu que la première année de mise en œuvre du projet ferait l'objet d'un suivi spécifique visant à ajuster les organisations, à prévoir d'éventuels déploiements et à envisager des adaptations, y compris sur le POTS. L'année scolaire 2014 - 2015 est donc envisagée sous un angle expérimental et comme une troisième étape dans l'élaboration du PEDT. Durant cette 1er année, il conviendra également de définir des indicateurs permettant l'évaluation du PEDT à l'issue de la période des 3 ans. 13 B - Coordination VILLE DE TALENCE Noms et fonction des correspondants : - Mora Isabelle : Directrice Générale Adjointe des services, Direction Vie de La Cité - Bianco Dany : Responsable du Secteur Education Enfance Jeunesse coordinatrice PEDT Adresse : Hôtel de Ville , Rue du Professeur Arnozan - Talence Tel : 05 56 84 78 33 Adresse électronique : [email protected], [email protected] C - Pilotage Le Comité de Pilotage doit représenter les différents partenaires impliqués dans le projet en tenant compte des groupes déjà constitués. Il est ainsi envisagé la composition suivante : • • • • • • • • • Monsieur le Maire 4 élus (l'adjoint à l'enseignement, l'adjoint à la Culture , l'adjoint à la Jeunesse, 1 élu de l'opposition faisant parti du groupe de travail) 1 représentant de la LA CAF 1 représentant de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale, de la Jeunesse et des Sports 1 représentant de la direction Académique de l'Education Nationale l'inspecteur Education Nationale de circonscription et 2 directeurs d'écoles 4 représentants des parents d'élèves issus des groupes de concertation Les représentants des associations gestionnaires de centres de loisirs Les responsables municipaux : la Directrice générale adjointe des services en charge du Pôle Vie de la Cité et la responsable du secteur Education Enfance Jeunesse coordonnatrice du PEDT LISTE DES ANNEXES Annexe 1 : Projet éducatif périscolaire Annexe 2 : Effectifs des Accueils périscolaires avant PEDT Annexe 3 : Effectifs jeunes dans les Clubs Sportifs Annexe 4 : Répartition par age des élèves de l'école municipale de musique Annexe 5 : Les interventions de la collectivités sur le temps scolaire-enfance Annexe 6 : Grilles tarifaires Annexe 7 :Questionnaire en direction des familles Annexe 8 : Appel à projet associatif Annexe 9 : Organisation des transports du mercredi Annexe 10 : Plaquette d'information et de présentation du projet en direction des familles Annexe 11 : Effectifs et inscriptions Septembre 2014 14 CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 4 Nomenclature : 4.1 - Personnel titulaires et stagiaires de la FPT OBJET : Renouvellement de la mise à disposition d’un agent communal auprès du CAJ Madame LUTREAU-CHAVERON, Humaines, expose : Adjointe déléguée aux Ressources «Lors du Conseil Municipal du 16 janvier 2014, vous aviez autorisé la mise à disposition d’un agent supplémentaire auprès du CAJ, en qualité d’adjoint d’animation 2ème classe, afin de répondre aux actions de la politique jeunesse de la Ville, en vue de favoriser la mixité sociale. Afin de poursuivre cette action auprès des adolescents, je vous demande : - de renouveler la mise à disposition de cet agent auprès du CAJ à compter du 20/01/2015 pour une durée d’un an, - de renouveler la convention d’objectif en ce sens, et de signer toutes les pièces afférentes.» l Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE l ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE RENOUVELLEMENT DE LA CONVENTION PORTANT MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL COMMUNAL Entre la Ville de Talence, représentée par son Maire dûment mandaté en vertu d'une délibération du Conseil Municipal en date du 11 juillet 1997 Et Le Centre Animation Jeunesse de TALENCE, représenté par sa Présidente Mme VITEL Il a été convenu et arrêté ce qui suit : ARTICLE 1ER : En application de la loi du 26 janvier 1984, du décret du 8 octobre 1985 et de la délibération du Conseil Municipal du 19 janvier 2015, la Ville de Talence renouvelle auprès du Centre Animation Jeunesse de TALENCE, la mise à disposition du personnel correspondant au poste suivant : - Un adjoint d’animation 2ème classe à temps complet ARTICLE 2 : Les agents mis à disposition du CAJ effectueront la même durée hebdomadaire de travail, auront droit au même nombre de jours de congés annuels et bénéficieront des mêmes avantages que le personnel communal. Ils seront en outre soumis aux règles applicables aux Fonctionnaires territoriaux mis à disposition. ARTICLE 3 : D’après le décret n°2008-580 du 18/06/2008 il convient que le CAJ rembourse à la ville les rémunérations de cet agent mis à disposition à hauteur de XXXX ARTICLE 4 : La présente convention est établie pour une durée de 1 an à compter du 20 janvier 2015 Fait à Talence, le La Présidente du CAJ, Mme VITEL Pour Le Maire Alain CAZABONNE CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 5 OBJET : Autorisation de dépôt d’une déclaration préalable en vue de la division de la parcelle AS N° 687 sise 98 rue Bourgès à TALENCE Nomenclature :2.2 - Actes relatifs au droit d’occupation ou d’utilisation des sols Monsieur GOYER, Adjoint délégué à l'Urbanisme, expose : «La Ville est propriétaire de la parcelle AS N° 687 située 98 rue Bourgès à Talence qui comporte une habitation utilisée comme logement de fonction pour un agent municipal. Ce dernier ayant été relogé dans un autre immeuble de la Commune, cette propriété ne présente plus d'intérêt pour la Collectivité. En conséquence je vous propose de diviser cette parcelle d'une superficie totale de 723 m² en 3 lots, dont deux pourront être mis en vente, le troisième faisant l'objet d'un remembrement avec le Cimetière pour la création de cavurnes. Pour permettre cette opération, il convient de déposer un dossier de déclaration préalable conformément à l'article R 421-23 du code de l'urbanisme afin de diviser cette propriété en trois parcelles dont les contenances seront respectivement d'environ 325 m² pour la partie supportant l'échoppe, 275 m² pour le terrain à bâtir ainsi constitué et 123 m² pour l'extension du Cimetière. En conséquence, je vous demande d’autoriser Monsieur le Maire à déposer le dossier de déclaration préalable relatif à la création de ces parcelles et à signer tous les documents concernant cette division. La cession ultérieure de l'échoppe et du terrain à bâtir feront l'objet d'une nouvelle délibération.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL - SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 6 OBJET : Élaboration du Règlement Local de Publicité intercommunal (RLPi) de Bordeaux Métropole - Débat sur les orientations Nomenclature : 8.8 - Environnement Monsieur GOYER, Adjoint délégué à la Publicité, l'Affichage, les Enseignes et pré-enseignes et Taxe locale extérieure, présente le rapport suivant : «Ce rapport sert de support au débat qui doit se tenir en conseil municipal sur les orientations du projet de RLPi (Règlement Local de Publicité intercommunal) de Bordeaux Métropole en application des articles L581-14-1 du code de l’environnement, L123-9 et L123-18 du code de l’urbanisme. Un règlement Local de Publicité (RLP) édicte des prescriptions à l'égard des publicités, enseignes et pré-enseignes visibles de toute voie ouverte à la circulation publique. Ces règles, plus restrictives que le règlement national, peuvent être générales ou s'appliquer à des zones identifiées. L’amélioration de la qualité du cadre de vie et notamment la mise en valeur des paysages, la lutte contre la pollution visuelle, la réduction de la facture énergétique nationale, et dans une certaine mesure la sécurité routière constituent les objectifs principaux de cette réglementation, tout en garantissant la liberté d’expression ainsi que la liberté du commerce et de l’industrie Depuis la loi Engagement National pour l'Environnement (ENE) de 2010, Bordeaux Métropole, compétente en matière de Plan Local d'Urbanisme (PLU), est compétente pour élaborer un RLP intercommunal sur son territoire. Les 22 RLP communaux existants continuent à s’appliquer jusqu’à l’approbation du RLPi. La procédure d’élaboration du RLPi est identique à celle du PLU, qui prévoit la tenue d’un débat sur les orientations en conseil de Bordeaux Métropole et dans les conseils municipaux des communes membres. Concernant le RLPi, au vu du diagnostic réalisé sur le territoire et en fonction de ses spécificités, des orientations en terme d’implantation publicitaire et d’intégration dans l’environnement ont été définies comme support au projet de règlement. Pour mémoire voici une synthèse des conclusions du diagnostic : - L'analyse des 22 RLP communaux en vigueur a démontré que de très bonnes mesures individuelles avaient été prescrites mais que l'ensemble restait très hétérogène. - Le bilan des entretiens avec chaque commune a fait apparaître un certain nombre de souhaits communs pour ce futur RLPi à savoir : préserver les acquis des RLP existants, prendre en compte l'utilité du mobilier urbain et de la micro-signalétique, prendre en compte les espaces de nature, assurer la protection des centres-villes, diminuer certains formats, encadrer la densité et la qualité du matériel, contrôler la publicité numérique et maîtriser les enseignes temporaires. Les conclusions du diagnostic terrain ont fait apparaître : sur les 2 243 dispositifs publicitaires recensés sur les pénétrantes métropolitaines une disparité des matériels, peu de dispositifs en infraction, une forte proportion de panneaux de 8 m², un nombre important de panneaux de 2 m² sur le domaine privé, et une bonne qualité du matériel, sur les 2 134 photos d'enseignes une difficile prise en compte de leur environnement avec un grand nombre d'infractions à la réglementation nationale dans les centres commerciaux notamment. Ces conclusions ont donc permis de définir les 12 orientations suivantes pour le futur RLPI : - Pour la publicité : 1/ Interdire la publicité dans certains lieux 2/ Harmoniser les règles dans les lieux identifiés 3/ Adapter les formats des dispositifs aux lieux environnants 4/ Dédensifier la publicité 5/ Veiller à la qualité et à l’esthétique des dispositifs 6/ Adopter une règle d’extinction nocturne 7/ Traiter le cas particulier de l’emprise de l’aéroport de Mérignac - Pour les enseignes : 1/ Adapter les enseignes à leur contexte 2/ Appliquer la réglementation nationale dans les zones commerciales 3/ Instituer des préconisations esthétiques 4/ Interdire les enseignes sur clôtures 5/ Réglementer les enseignes temporaires Un document complémentaire, ci-annexé, proposées. détaille et explicite les différentes orientations Ceci étant exposé, il vous est demandé, de bien vouloir débattre sur les orientations présentées ci-dessus.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE Orientations du RLPi Conseil Municipal Pour mémoire voici une synthèse des conclusions du diagnostic : - L'analyse des 22 RLP en vigueur a démontré que de très bonnes mesures individuelles avaient été prescrites mais que l'ensemble restait très hétérogène. - Le bilan des entretiens avec chaque commune a fait apparaître un certain nombre de souhaits communs pour ce futur RLPi à savoir : préserver les acquis des RLP existants, prendre en compte l'utilité du mobilier urbain et de la microsignalétique, prendre en compte les espaces de nature, assurer la protection des centres-villes, diminuer certains formats, encadrer la densité et la qualité du matériel, contrôler la publicité numérique et maîtriser les enseignes temporaires. - Les conclusions du diagnostic terrain ont fait apparaître : . sur les 2243 dispositifs publicitaires recensés sur les pénétrantes de la cub une disparité des matériels, peu de dispositifs en infraction, une forte proportion de panneaux de 8m², un nombre important de panneaux de 2m² sur le domaine privé, et une bonne qualité du matériel. . sur les 2134 photos d'enseignes une difficile prise en compte de leur environnement avec un grand nombre d'infractions à la réglementation nationale dans les centres commerciaux notamment. LES ORIENTATIONS POUR LA PUBLICITE ET LES PREENSEIGNES N°1 : interdiction dans des lieux identifiés Afin de préserver et de mettre en valeur la richesse patrimoniale du territoire de la Cub, outre les lieux et immeubles déjà protégés au titre de l'article L. 581-4 du Code de l'environnement, la publicité sera interdite dans les espaces de nature identifiés au PLU. N°2 : harmonisation des règles sur lieux identifiés Les règles concernant l'implantation des dispositifs publicitaires seront harmonisées assurant une cohérence sur l'ensemble du territoire de la Cub : - dans les lieux présentant un patrimoine bâti remarquable (ZPPAP/AVAP, PSMV, abords des monuments historiques inscrits ou classés) - ou ayant fait l'objet d'un traitement paysager notable (lignes du tramway, ronds-points, certaines entrées de ville), - ou encore sur les voies structurantes de l'agglomération celles-ci ayant pour caractéristique de traverser plusieurs communes. Une continuité voire une progression doit y être instaurée. N°3 : adaptation des formats publicitaires aux lieux environnants Les formats publicitaires seront modulés en fonction des lieux environnants en veillant, notamment, lorsque la publicité est scellée au sol : - à ce qu'elle ne dépasse pas le bâti environnant ; - ne soit pas à une hauteur excessive par rapport aux voies qui la borde ; - et en évitant, lorsqu'elle est murale, qu'elle ne masque les éléments de composition du bâti. N°4 : suppression des doublons (et plus) Afin d'avoir une meilleure perception de la publicité dans le cadre, les doublons (et plus) seront proscrits, la règle nationale de densité ainsi que le régime de la publicité lumineuse numérique seront renforcés. Enfin, une interdiction sur les clôtures sera envisagée. N°5 : amélioration de l'aspect des dispositifs (Photo 5) L'aspect esthétique des dispositifs publicitaires sera amélioré en supprimant, notamment, passerelles et accessoires. N°6 : adoption de la règle nationale d’extinction nocturne amélioration de l'aspect des dispositifs Afin d'assurer une harmonie de réglementation sur la totalité du territoire de la Cub et d'en garantir une meilleure application LES ORIENTATIONS POUR LES ENSEIGNES N°1 : Adapter les enseignes à leur contexte Les enseignes de centre-ville devront être adaptées à leur contexte et, lorsque ce dernier présente des qualités architecturales remarquables (ZPPAUP/AVAP, secteur sauvegardé, abords des monuments historiques classés ou inscrits), seront intégrées aux façades des immeubles ; N°2 : Appliquer la réglementation nationale dans les zones commerciales La réforme de 2012 a considérablement durci les règles applicables aux enseignes : limitation de leur surface par rapport à la surface de la façade, limitation de leur surface lorsqu'elles sont en toiture, restriction de leur nombre lorsqu'elles sont scellées au sol à une par voie bordant l'établissement. L'application du RNP constituerait une étape importante et déjà satisfaisante pour le cadre de vie. La simple mise en conformité des enseignes avec le RNP apporterait déjà un changement significatif dans les zones commerciales. N°3 : Instituer des préconisations esthétiques Des préconisations esthétiques seront adoptées conduisant notamment, et lorsqu'il y a lieu, à ce que les enseignes scellées au sol soient transformées en totem. N°4 : Interdire les enseignes sur clôtures N°5 : Réglementer les enseignes temporaires La durée, les formats, le nombre et les procédés des enseignes temporaires seront réglementés. CONSEIL MUNICIPAL - SEANCE DU 19 JANVIER 2015 Nomenclature : 7.5 - Subventions N° 7 OBJET : Avance sur subvention de fonctionnement au CCAS et aux associations pour l’année 2015 Monsieur SALLABERRY, Adjoint délégué aux Finances, expose : «Pour éviter au Centre Communal d’Action Sociale et à certaines associations constituées sous le régime de la Loi de 1901, de connaître de graves difficultés financières avant le mandatement des subventions qui constituent l’essentiel de leurs ressources, le Conseil Municipal vote habituellement une avance de fonds venant en diminution de la subvention allouée pour l’année. Je vous propose en vertu des dispositions comptables qui permettent aux ordonnateurs des Collectivités Territoriales de mandater, sans budget, des dépenses dans la limite des crédits ouverts l’année précédente, d’accorder au CCAS et à certaines associations une avance sur subvention dans les conditions suivantes : Centre Communal d’Action Sociale Chapitre 65 / Article 657362 / Fonction 520 1 600 000 € Office Culturel et Educatif de Talence Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 331 180 000 € Association Loisirs des Petits Rois Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 421 135 000 € Centre Animation Jeunesse Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 4221 80 000 € Association Mix-Cité Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 4221 70 000 € Comité des Œuvres Sociales du Personnel Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 0201 60 000 € Talence Innovation Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 901 25 000 € Rock et Chansons Chapitre 65/ Article 6574 / Fonction 331 25 000 € Associations sportives : ADEM 22 500 € Anonymes du Campus 300 € Aquitaine Talence Voile 2 300 € Association Foot Fauteuil 150 € Association Karaté Saint-Genès 500 € Cercle des Nageurs de Talence 10 000 € Ecole Talençaise des Sports Motorisés 42 000,00 € Ornon Gironde Escrime Talence-Gradignan 2 000 € Union Sportive Alliance Talençaise Football 7 000 € Union Sportive Talençaise 5 000 € Union Sportive Talence Acrosport 2 000 € Union Sportive Talence Aïkido 200 € Union Sportive Talence Athlétisme 8 000 € Union Sportive Talence Badminton 3 000 € Union Sportive Talence Basket 15 000 € Union Sportive Talence Boxe 2 000 € Union Sportive Talence Club de tennis 3 000 € Union Sportive Talence Escalade - Vertige 500 € Union Sportive Talence Gymnastique 4 000 € Union Sportive Talence Handball 1 500 € Union Sportive Talence Judo 2 500 € Union Sportive Talence Karaté 500 € Union Sportive Talence Pétanque 500 € Union Sportive Talence Plongée - Le Nautile 500 € Union Sportive Talence Tennis de table 1 500 € Union Sportive Talence Volley-ball 2 000 € S'agissant des associations sportives, la dépense sera imputée au Chapitre 65 / Article 6574 / Fonction 40 du budget.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 8 OBJET : Tarification des classes de découverte. Nomenclature : 7.10 - Divers Monsieur SALLABERRY, Adjoint délégué aux Finances, expose : «Après une concertation avec les parents d'élèves et un travail de préparation avec la conseillère pédagogique de l’Éducation Nationale, la Ville proposera pour l'année 2015, 3 thématiques pour les classes de découverte: classe mer ou classe verte à Sanguinet et classe patrimoine à Temple dans le Lot. Dix classes se sont positionnées. Il est proposé de fixer comme suit la grille tarifaire pour la participation des familles : ENFANTS TALENÇAIS Quotient familial CAF Tarif par enfant et par jour De 0 à 200 3,50 € De 200 à 3 000 De 3,50 € à 28,00 € suivant la progression linéaire : PRIX = 0,008750 x QF + 1,750 Supérieur à 3 000 28,00 € ENFANTS NON TALENÇAIS » 28,00 € ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 15 JANVIER 2015 Nomenclature : 7.1 - Décisions budgétaires N° 9 OBJET: Article L1612-1 du Code Général des Collectivités Territoriales- Exercice 2015Engagement, liquidation, mandatement des dépenses d’investissement Monsieur SALLABERRY, Adjoint délégué aux Finances, expose : «L’article 1612-1 du Code Général des Collectivités Territoriales permet au Conseil Municipal d’autoriser Monsieur le Maire à engager, liquider et mandater des dépenses d’ investissement dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent non compris le remboursement de la dette jusqu’à l’adoption du budget. Ces dispositions donnent la possibilité de lancer des opérations nouvelles d’investissement dés le début de l’exercice et d’assurer la continuité des opérations en cours pour lesquelles il peut être déjà présumé que les crédits de reports s’avèreront insuffisants d’ici au vote du budget primitif. Imputation 21/215801 21/21831 21/218401 21/218411 21/218802 23/231307 23/231311 23/231323 23/231319 23/231322 Affectation Acquisition autre matériel, outillage techniques Acquisition matériel informatique Mobilier administration Mobilier scolaire Matériel sportif Travaux bâtiments Travaux écoles Travaux salles de sports Travaux stade Travaux stade nautique » ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE Montant 20 000,00 € 20 000,00 € 10 000,00 € 5 000,00 € 20 000,00 € 100 000,00 € 60 000,00 € 20 000,00 € 10 000,00 € 10 000,00 € 275 000,00 € CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 10 Objet : Enlèvement des tags sur les immeubles privés talençais – Modification du cahier des charges Nomenclature : 8.8 - Environnement Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation citoyenne, expose : «Par délibération du 4 juillet 2005, la Ville a mis en place le service municipal d'enlèvement des tags sur les immeubles privés talençais pour répondre au développement et à la multiplication d'inscriptions de toutes sortes qui constituent une dégradation générale de l'environnement. Dans un souci d'intérêt général la Ville propose donc aux propriétaires qui le souhaitent un service gratuit d'intervention pour l’enlèvement de ces inscriptions couramment dénommées «tags». Un cahier des charges définit les conditions et les limites des interventions et un formulaire d'autorisation doit être au préalable rempli et signé par le demandeur. Après plusieurs années de pratique, au vu des expériences du service, de l'évolution des normes de sécurité encadrant le travail des agents et de la nécessité de poursuivre notre action pour améliorer le cadre de vie des habitants, il convient d'actualiser le cahier des charges et le formulaire d'autorisation sans remettre en cause la prestation gratuite offerte aux habitants. Je vous demande donc de bien vouloir approuver le nouveau cahier des charges et le formulaire d'autorisation ci-joints fixant les conditions d'intervention du service municipal d'enlèvement des tags sur les façades des immeubles privés de la Commune.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE INTERVENTIONS DES SERVICES TECHNIQUES MUNICIPAUX POUR LUTTER CONTRE LA PROLIFERATION DES INSCRIPTIONS DE TYPE « TAGS » CAHIER DES CHARGES La Directrice des Services Techniques, Anne-Marie PIERRE-LACOUTURE Talence, le 2 janvier 2015 Préambule : Le développement et la multiplication des inscriptions et tags sur les immeubles de la Ville visibles depuis la voie publique constituent une dégradation générale de l’environnement de la Commune, engendrent une image négative des différents sites Talençais ouverts au public et favorisent un climat d’insécurité. C’est pourquoi, dans un souci d’intérêt général, la Ville de Talence propose à ses Administrés un service gratuit d’enlèvement de tags dans les conditions prévues par le présent document ainsi que le formulaire d’intervention signé par le demandeur. Il est bien entendu que la Ville n’intervient que sur demande expresse d’un Administré habilité et pour réduire, voire annuler, les désordres et les dégradations constitués par les tags visibles à partir du domaine public. Cette intervention, destinée à éliminer ou masquer le tag du fait de toutes les restrictions énumérées précédemment, ne constitue : - ni une remise en état ni un embellissement des façades dégradées Elle ne se substitue en conséquence aucunement à l’action des professionnels du bâtiment qui interviennent sur les façades par Aéro-gommage, sablage, peinture et toutes procédures équivalentes afin d’entretenir, embellir ou rénover un immeuble. 1) Définition du tag Toute marque ou inscription effectuée avec de la peinture sur une façade de bâtiment et destinée à être vue par le plus grand nombre. Ces représentations constituent une dégradation de l’aspect extérieur du bâtiment. 2) Tags entrant dans le cadre des interventions de la Ville Sont enlevés uniquement les tags visibles à partir du domaine public et de manière directe. Ne seront toutefois généralement pas pris en compte : - les inscriptions anciennes atténuées par les intempéries ou diverses traces les tags qui nécessitent une reprise du support dans son ensemble (principe de non substitution à l’action des professionnels) les tags supérieurs à 2 m² et au-delà de 2 m de hauteur les supports spécifiques pour lesquels les services municipaux ne sont pas équipés (aluminium brut, anodisé, laqué…) 3) Matériaux servant de supports aux inscriptions de type tags Il s’agit principalement de : - pierre enduit ou crépi teinté dans la masse parement en bois exotique bois peint, lasuré ou verni acier peint ou laqué PVC 4) Interventions proposées par les services municipaux Elles varient selon la nature du support sur une surface maximale de 2 m² et une hauteur maximale de 2 m : Nature du support Procédé de nettoyage Peinture Peinture (même teinte ou approchante) Pierre Enduit ou crépi teinté dans la masse Peinture (même teinte ou approchante) et dans certains cas bien précis sablage, microbilles (Aéro-gommage basse pression) Autres supports : - Bois - Acier - Aluminium - PVC Chiffonnettes chimiques Graffitex 5) Intervention 5.1) Demande émanant du propriétaire ou personne autorisée Cette demande fera l’objet d’un courrier ou d’un appel téléphonique au CTM (05.56.84.78.66 de 8 h 00 à 12 h 00 et de 13 h 30 à 16 h 30). Dans ce cas, le propriétaire devra remplir le formulaire d’autorisation d’enlèvement de tags. 5.2) Demande formulée par la Mairie La Ville adressera aux propriétaires sur les sites sensibles ou très fréquentés, déjà dégradés, le formulaire d’autorisation d’enlèvement de tags à compléter. 5.3) Déplacement sur les lieux du technicien de la Ville chargé de l’intervention - Rencontre (si possible) du propriétaire ou de l’occupant - Analyse de la procédure la plus adaptée à l’enlèvement du tag, proposition d’action et prise de photos avant intervention 5.4) Enlèvement du tag - Mise en œuvre du procédé choisi à titre d’essai - Si essai concluant, enlèvement global du tag 5.5) Conclusion de l’intervention et prise de photos 6) Délai d’intervention Les services de la Ville interviendront dans un délai de 48 à 72 heures maximum sur la façade de l’immeuble du demandeur après réception du formulaire d’autorisation et ce, sous réserve que ledit formulaire ait été clairement et correctement complété. 7) Contestation Selon les termes du formulaire d’autorisation dûment rempli et signé par le demandeur et considérant que toutes précautions auront été prises par les parties en ce qui concerne : - l’identification du tag - la qualité du demandeur (propriétaire, occupant mandataire) - la protection par le propriétaire ou son représentant de toute partie fragile ou sensible de l’immeuble - la procédure d’essai et sa validation - le procédé utilisé pour enlever ou masquer la totalité du tag aucune contestation ne pourra être élevée et aucune action juridique engagée à l’encontre de la Ville ou de son représentant et de ses assureurs. AUTORISATION D’ENLEVEMENT DE TAGS SUR IMMEUBLE PRIVE (partie visible à partir du domaine public) Le développement et la multiplication des inscriptions et tags sur les immeubles de la Ville visibles depuis la voie publique constituent une dégradation générale de l’environnement de la Commune, engendrent une image négative des différents sites Talençais ouverts au public et favorisent un climat d’insécurité. C’est pourquoi, dans un souci d’intérêt général, la Ville de Talence met en place un service gratuit d’enlèvement de tags sur les immeubles privés. Pour en bénéficier, le présent formulaire doit être retourné dûment complété et signé au : Centre Technique Municipal 73 rue Roustaing 33400 TALENCE Désignation de l’immeuble : Collectif Maison d’habitation Autre Adresse : ....................................................................................................................... ......................................................................................................................................... ......................................................................................................................................... Partie concernée (attention surface à traiter limitée à 2 m² et hauteur d’intervention inférieure à 2 m) : Désignation Matériau ou revêtement Protection anti-graffiti oui non Surface ou longueur Observations Façade Porte Volet Clôture Mur Autre Je soussigné(e) ............................................................................................................ Domicilié(e).................................................................................................................... .................................................................................................. ................................ Agissant en qualité de Propriétaire Syndic de l’immeuble désigné Locataire autorisé par le propriétaire Autorise la Ville de Talence à procéder à TITRE GRACIEUX à l’enlèvement des tags ci-dessus désignés sous réserve que l’essai effectué préalablement par le service municipal soit concluant Autorise la Ville de Talence à intervenir d’office, en cas de nouveaux tags, et en ayant recours au même procédé que celui utilisé lors de la première intervention Je déclare en outre RENONCER A TOUT RECOURS ENVERS LA VILLE DE TALENCE ainsi que SES ASSUREURS, en cas de dégradations éventuelles provoquées par un usage normal des produits ou des procédés mis en œuvre pour le nettoyage. Je déclare avoir pris connaissance du cahier des charges établi par la Ville de Talence et y adhérer complètement. J’ai bien noté que j’informerai (ou mes ayants droits) la Ville en cas de cession de ma propriété et que j’aurai, dans le cas contraire, à supporter toutes les conséquences juridiques d’une contestation élevée par le nouveau propriétaire à l’encontre de la Ville. La Ville m’informera, le cas échéant, de toute décision consistant à ne plus intervenir sur ma propriété. Cette décision pourra être prise à tout moment et n’est susceptible d’aucune contestation. Date : ............................................ Signature du demandeur Précédée de la mention « Lu et Approuvé » CONSEIL MUNICIPAL-SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 11 OBJET : Inscription de la Commune de Talence sur la liste départementale des villes où les façades des immeubles doivent être constamment tenues en bon état de propreté Nomenclature : 2.1 - Environnement Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne, expose : Les façades d’immeubles, perceptibles depuis le domaine public, sont une composante majeure des paysages urbains, de leur identité et donc de l’attractivité de la Ville. Leur maintien en bon état concourt donc à la qualité de notre cadre de vie en valorisant notre patrimoine bâti. La commune de Talence entend donner une impulsion à l’embellissement de ses paysages, en imposant que les façades des immeubles soient constamment tenues en bon état de propreté. Cette obligation permettra notamment de faire disparaître les tags et graffitis, incivilités qui constituent une pollution visuelle altérant parfois durablement la qualité du cadre de vie. Bien entendu, la ville continuera à offrir le service anti- tags pour une intervention rapide sur les inscriptions isolées et de faible dimension Le législateur a noté l’importance de ces enjeux et a rendu obligatoire, le maintien en bon état de propreté des façades, par le biais des dispositions légales contenues dans les articles L132-1 à L132-5 du Code de la Construction et de l’Habitation. Cette obligation est applicable dans toutes les villes qui, par arrêté préfectoral, sont inscrites sur une liste des communes habilitées à prendre un arrêté municipal pour obliger leurs administrés à entretenir leur bien immobilier. C’est pourquoi, il vous est proposé, dans un premier temps, de vous prononcer sur l’inscription de la Ville de Talence sur la liste départementale précitée. Dans un deuxième temps, les périmètres concernés par cette obligation, les modalités d’application, seront définis par arrêté municipal après débat dans les différents Conseils communaux.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 12 OBJET : Expérimentation de fleurissement participatif des trottoirs. Charte d'engagement des habitants Nomenclature : 8.8 - Environnement Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne, expose : «La politique de valorisation du cadre de vie menée par la Ville de Talence vient d'être distinguée par l'obtention d'une 2ème fleur au classement des villes et villages fleuris. La collectivité souhaite aujourd'hui s'appuyer sur cette dynamique pour lancer une expérimentation de fleurissement participatif des trottoirs. L'objectif est d'associer la population à la mise en valeur du cadre de vie par le fleurissement et la végétalisation des trottoirs et des murs de clôture et façades. Cette initiative est également prévue au plan d'actions de l'Agenda 21, approuvé par le Conseil Municipal du 31 décembre 2012, axe 2, action 19 «poursuivre les efforts de maintien de la biodiversité». La création d'aménagements simples et qualitatifs permettra de : masquer les murs dégradés ou peu esthétiques valoriser le cadre de vie en embellissant les rues créer des cheminements agréables renforcer la présence de la nature en ville Au-delà, compte-tenu des effets négatifs aujourd'hui connus de l'utilisation des herbicides sur la santé, il s'agit aussi pour la Ville de faire le choix avec ses habitants de planter plutôt que désherber et de cultiver un peu plus dans les quartiers le vivre ensemble. Cette expérimentation vise à conforter une méthode et une charte d'engagement. Concernant la méthode il est proposé que les riverains porteurs d'un projet de fleurissement de trottoirs se manifestent directement auprès de leur conseil communal. Un étude de faisabilité par les services techniques concernant la présence éventuelle de réseaux sous les trottoirs et le respect de l'accessibilité dû aux personnes à mobilité réduite sera alors effectuée. Au besoin, une autorisation d'occupation temporaire du domaine public sera demandée par la mairie à Bordeaux Métropole pour chaque plantation envisagée, cette dernière étant propriétaire du trottoir. Si le projet s'avère réalisable, le riverain confirmera son intention par la signature d'une charte d'engagement avec Monsieur le Maire. Les services techniques interviendront de façon groupée sur les emplacements concernés pour réaliser les trous nécessaires aux plantations, ceux-ci n’excéderont pas 15 cm de diamètre et de profondeur. Une signalétique sera également fournie afin de faire connaître la démarche et les zones de fleurissement. Concernant la charte : celle-ci rappelle les prescriptions en matière de plantation et les principaux points de la méthode proposée. Elle impose de ne pas planter certains végétaux. Il s'agit des végétaux ligneux (arbres et arbustes) pouvant endommager les réseaux, le domaine public ou privé, des végétaux épineux, toxiques ou urticants, des végétaux exotiques reconnus envahissants qui porteraient préjudice aux espèces indigènes. Un guide de conseils avec des listes de plantes à privilégier selon la nature des sols, l'orientation des trottoirs (ombre, soleil), le port des plantes à l'âge adulte sera élaboré par les services municipaux à l'attention des porteurs de projet. Ces informations seront mises en ligne sur le site talence.fr. Je vous demande donc de bien vouloir : approuver l'expérimentation de fleurissement participatif, adopter la charte d'engagement de végétalisation des rues, adopter la charte d'engagement de végétalisation des rues, autoriser Monsieur le Maire à signer cette charte avec les associations et les habitants porteurs de projets.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE Charte de végétalisation des rues de Talence Opération «vers chez vous, Talence s'engage, fleurissez vos trottoirs» 1) Objet La ville de Talence met à disposition des riverains qui en font la demande, certains espaces du domaine public en vue de les végétaliser : trottoirs ainsi que pieds de façades et de murs de clôture. Cette végétalisation comportera la plantation de végétaux ainsi que leur entretien suivant les conditions définies dans la présente charte. 2) Conditions L’ensemble des travaux relatifs à la végétalisation de trottoirs, pieds de façades et de murs est soumis à instruction préalable des services de la ville. Les projets d’aménagement sur trottoir ne pourront être acceptés qu'à la condition de maintenir un passage libre pour les piétons d'au moins 1,40m. En cas de défaut d’entretien ou de non respect de la présente charte, la ville de Talence informe le demandeur de ses intentions et, sans réaction de sa part, récupère sans formalité la maîtrise de l’espace. 3) Limites Ne pas utiliser de désherbant ou produit chimique. Ne pas apporter d’amendements ou d’engrais sauf compost naturel. Limitation du travail du sol à 15 cm de profondeur. Afin de contenir la circulation des piétons, l’emprise des espaces aménagés sur le domaine public sera inférieure ou égale à 15 cm de l’alignement des façades. L’épaisseur de la végétation devra aussi être contenue dans ce même volume de 15 cm de base et jusqu'à une hauteur de 2m. Proscrire l'usage des plantes épineuses ou urticantes, des végétaux ligneux (arbres et arbustes), de plantes toxiques ou exotiques envahissantes (verge d'or, sénéçon du Cap, buddleia, raisin d'Amérique : phytolacca, herbe de la pampa, renouée du Japon , bambous, ...) sur l'ensemble des aménagements. Ne pas planter au pied des poteaux de signalisation routière, ni de mobilier urbain. D’une manière générale, il ne devra résulter de ces plantations aucune gêne pour la circulation ni pour l’accès aux propriétés riveraines. 4) Consignes d’entretien Assurer l’arrosage des plantations autant que nécessaire. Ramasser les feuilles mortes et déchets verts issus des plantations afin de tenir le trottoir dans un état de propreté permanent. Tailler régulièrement les végétaux pour éviter toute entrave à la circulation des piétons et des véhicules et éviter l’envahissement des propriétés voisines sauf accord des propriétaires. 5) Signalétique Délimiter la plantation par une affichette fournie par la Mairie. Cette affichette protégera les plantations des interventions d'entretien des agents de la voirie. 6) Durée de la charte Il pourra être mis fin à la présente charte, soit par la Ville ou par le demandeur, en cas de non respect des consignes. Le demandeur ne pourra prétendre au versement d’une indemnité ni au rebouchage des trous effectués pour les plantations. La ville de Talence s’engage à respecter les plantations qu’elle aura autorisées. Toutefois sa responsabilité ne pourra être engagée en cas de destruction accidentelle ou d’intervention sur la voirie nécessitée pour des motifs d’urgence ou impérieux liés à la gestion de la voie publique. Le porteur de projet Le Maire Nom : Prénom : Adresse : Adresse de la plantation : Signature Signature CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 13 Nomenclature : 8.8 - Environnement OBJET : Création de vergers à Thouars – signature d'une convention d'accueil des collections du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne, expose : «La Ville souhaite implanter des vergers en libre cueillette sur le domaine de Thouars aux abords du Château et une haie fruitière à proximité du parking du Stade Nautique. Pour réaliser cette opération, le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine se propose d'accompagner la Ville en lui fournissant les espèces végétales fruitières anciennes adaptées au site d'accueil et les conseils nécessaires à leur développement. Ce type de plantations permet la préservation de variétés en voie de disparition et contribue au maintien de la biodiversité dans notre région. Cette aide serait formalisée par la signature d'une convention entre la Ville et le Conservatoire pour déterminer les obligations de chaque partie et fixer le montant de la redevance annuelle versée par la Ville. Cette convention serait signée pour une durée initiale de 5 ans reconductible annuellement par tacite reconduction. Le Conservatoire fournirait les végétaux à la Ville et lui apporterait ses compétences techniques pour la création des vergers pour un coût de 2 263,80 € TTC et la Ville opterait pour le niveau d'adhésion «Bronze», le moins onéreux, d'un montant annuel de 950 €, l'entretien des vergers étant pris en charge par le service municipal «Environnement et Paysage». En conséquence, je vous demande : - d'autoriser Monsieur Le Maire à signer avec le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine domicilié au Verger Conservatoire Domaine de Barolle – 47130 MONTESQUIEU la convention fixant les conditions de participation du Conservatoire et de la Ville à la réalisation de vergers sur le site de Thouars et tous les documents qui en découlent, - de choisir le niveau «Bronze» d'adhésion pour une redevance annuelle de 950 €.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONVENTION D'ACCUEIL DES COLLECTIONS DU CONSERVATOIRE VEGETAL REGIONAL D'AQUITAINE ENTRE : Le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine - Plantes cultivées et apparentées dont le siège social est sis au Verger Conservatoire domaine de Barolle, 47130 MONTESQUIEU représenté par son Président, M. Patrick BEAUVILLARD, habilité à signer le présent acte en vertu d'une décision du Conseil d'Administration en date du 6 septembre 2012. D'une part, et d'autre part, organisme représenté par (nom prénom, fonction) adresse administrative email nom du responsable technique adresse email PREAMBULE L'inventaire et la collecte d'espèces végétales fruitières présentes anciennement dans la région Aquitaine, commencée en 1979, a permis de réunir un patrimoine fruitier régional tout à fait unique de plus de 2000 accessions (variétés et populations variétales), toutes espèces confondues. La protection et l'étude de ce patrimoine végétal obligent le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine à mettre en place ou à reprendre des sites de plantation favorables au développement des arbres fruitiers afin d’assurer la duplication locale du patrimoine conservé. Ces sites devront faire l'objet d'une attention particulière afin d'éviter toute mise en péril du patrimoine fruitier. La présente convention a pour objet de déterminer les obligations des deux parties afin d'assurer la protection et la valorisation de ce patrimoine d'espèces fruitières. Le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine apportera son expérience et ses compétences techniques auprès du site d'accueil et du personnel affecté au site. Il pourra, en fonction du niveau de convention choisi, effectuer des prestations d’entretien du verger. Le responsable du site d'accueil portera tous les soins nécessaires aux plantations mises à sa disposition et bénéficiera de l'image et de la renommée du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine. ARTICLE 1 - OBJET DU CONTRAT Mettre en œuvre les moyens techniques et de gestion permettant la mise en place et la valorisation d'un site accueillant des variétés régionales spécifiques. ARTICLE 2 - ESPECES CONCERNEES Un site d'accueil doit être planté d'arbres de la pépinière du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine ou de variétés régionales attestées ou encore d'arbres dont l'ancienneté mérite l'établissement de mesures de protection et de valorisation. Le site doit être un lieu favorable à une plantation fruitière et à la valorisation de l'ensemble "siteverger". Les surfaces à planter, le choix des espèces et des variétés, la conduite des arbres ainsi que le travail de préparation du sol seront déterminés d'un commun accord entre les parties. ARTICLE 3 - MISE EN OEUVRE ET SUIVI DES PLANTATIONS Le site d'accueil s'engage à planter les espèces fournies en étroite collaboration avec le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine. Le site d'accueil s'oblige à prodiguer aux plantations tous les soins nécessaires au développement de ces dernières, afin de participer à leur conservation et à leur valorisation en respectant les conseils prodigués par le CVRA. Le Conservatoire effectuera les prestations suivantes en fonction du niveau de convention choisi : Bronze Conception du Verger Travail du sol avant plantation Plantation du verger Argent Or Lettre aux adhérents Réception des fiches-conseil « Les Arbres bien dans leurs racines » Figure sur la carte des sites d’accueil du CVRA Fiche annuelle prévisionnelle d’entretien Fiche d’entretien renseignée Site d’accueil Formation du personnel sur site Accès stages de formation du CVRA Taille du verger Entretien du sol (paillage, roulage) Protection écologique du verger Visites de suivi technique, surveillance sanitaire et interventions techniques (Or et Argent uniquement) Panneau signalétique « Site d’accueil du CVRA » à l’entrée Conception et fichier informatique d’un « Guide du visiteur » 1 1à2 3à5 Pour les conventions Bronze et argent, le site d’accueil renseignera et transmettra au CVRA la fiche d'entretien. Celle-ci doit comporter la liste de toutes les interventions réalisées comprenant la date, le type de travaux et les produits utilisés, ceci afin de faire une programmation raisonnée en fonction de l'historique du verger. ARTICLE 4 - PROPRIETE DES PLANTATIONS Les plants sont acquis par le site d’accueil auprès de la pépinière du Conservatoire et restent entièrement la propriété du site d'accueil dès la plantation mais ce droit de propriété ne saurait entraver à quelque titre que ce soit l'exécution de la totalité des clauses de la présente convention. ARTICLE 5 - GESTION DES PLANTATIONS ET EVALUATION SCIENTIFIQUE DU MATERIEL VEGETAL La gestion et le suivi sanitaire des arbres est assuré par le site d'accueil ou le CVRA selon le niveau de prestation choisi. Le site d’accueil permettra sur rendez-vous l'accès du site à tout personnel ou représentant du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine afin de procéder à toute observation et analyse utiles. ARTICLE 6 - ASSISTANCE TECHNIQUE et FORMATION Toute intervention technique demandée par un site d’accueil hors du niveau de convention choisi, sera refacturée par le CVRA, que cette intervention concerne le personnel du Conservatoire ou celle d’un sous-traitant. Le personnel du site d’accueil responsable de l’entretien sera associé aux travaux du Conservatoire sur le site de manière à enrichir sa formation. ARTICLE 7 - PROPRIETE DES RECOLTES Les récoltes des plantations sont la pleine propriété du site qui les utilise comme bon lui semble à l'exception de la prise d'échantillon prévue à l’article 9 de la présente convention. ARTICLE 8 - DIFFUSION DE MATERIEL VEGETAL Seul le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine dispose du droit de diffuser le matériel végétal issu des plantations du site d'accueil, sauf concertation avec le CVRA. Le site d'accueil s'engage expressément à ne diffuser aucun matériel végétal (boutures, greffons, arbres greffés) à quelque titre que ce soit sans l'autorisation écrite du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine, et que toute multiplication du matériel végétal ne pourra se faire que sous le contrôle direct du Conservatoire. ARTICLE 9 - PRISE D'ECHANTILLONS Le site d'accueil autorise le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine à procéder aux prélèvements d'échantillons selon les modalités qui suivent : - Matériel Végétal Le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine est autorisé à prélever tout le matériel végétal qu'il désire et à tout moment de l'année tant que ces prélèvements n'entraînent pas une dégradation des arbres. - Récolte Le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine est autorisé à prélever sur chaque arbre de chaque variété 1 à 5 kg de fruits, ceci afin de répondre aux nécessités d'exposition des produits et de leur évaluation qualitative. ARTICLE 10 - PROMOTION DU SITE D'ACCUEIL Le Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine s'engage à promouvoir et faire connaître le site d'accueil selon un programme concerté, notamment par l'organisation de visites, d'expositions, de stages et d'en signaler l'existence dans ses différentes publications et site web. ARTICLE 11 – ADHESION AU CVRA Par cette convention le responsable du site d’accueil est adhérent au collège 3 du CVRA. Il siège à l’Assemblée Générale, et peut être candidat au Conseil d’Administration. ARTICLE 12 - REDEVANCE L'adhésion du site d'accueil à la présente convention entraîne le paiement au Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine d'une redevance annuelle forfaitaire pour la totalité des prestations, dont le montant dépend du niveau de prestation choisi et de la surface du verger. Le tarif est défini annuellement par l’Assemblée Générale du CVRA. Tarif annuel année 2014 (engagement de 5 ans, site situé en Aquitaine) Bronze Argent Moins de 1 ha 950 € TTC 1 400 € TTC Moins de 2 ha 950 € TTC 2 000 € TTC Or 4 200 € TTC 5 600 € TTC ARTICLE 13 - UTILISATION DU LOGO DU CONSERVATOIRE VEGETAL REGIONAL D'AQUITAINE Le site d'accueil pourra utiliser le logo du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine sur les panneaux d'information concernant son accès et sa signalisation. L'utilisation du logo du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine se limite à ce seul objet. Le Conservatoire peut demander l’arrêt d’utilisation du logo dans le cas où la convention n’est pas respectée. ARTICLE 14 - DUREE DE LA CONVENTION La présente convention est signée pour une durée initiale de 5 ans à compter de la signature et renouvelable annuellement par tacite reconduction faute d'être rompue à l'initiative de l'une des parties par lettre recommandée avec accusé de réception dix-huit mois avant le terme prévu ci-dessus. ARTICLE 15 - RUPTURE EN COURS D'EXECUTION La présente convention pourra être rompue à tout moment en cas d'inexécution des obligations de l'une des parties, incluant le non-paiement de la convention dans l’année. Cette rupture interviendra de plein droit suite à une mise en demeure envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception et restée sans effet dans un délai d'un mois. En cas de rupture en raison de non-respect de ses obligations par le site d'accueil, ce dernier devra verser une indemnité équivalente au montant des redevances restant dues jusqu'au terme de la convention prévue par l'article 13. En toute hypothèse, quelle que soit la raison de la résiliation de la présente convention, le site d'accueil sera tenu de respecter les articles 8 et 9 du présent document pendant la durée prévue à l'article 13. ARTICLE 16 - CLAUSE DE COMPETENCE Tout litige portant sur l'application de la présente convention devra être porté devant le Tribunal civil compétent dans le ressort du siège du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine. Fait en deux exemplaires, à , le Niveau de convention choisi : Redevance annuelle forfaitaire : bronze □ - or □ - argent □ Surface du verger : Verger de moins de 1 ha Verger de moins de 2 ha Le représentant du Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine. BRONZE 950 € 950 € ARGENT 1 400 € 2 000 € OR 4 200 € 5 600 € Le représentant du site d'accueil. CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 14 OBJET : Renouvellement convention jours de pointe avec la Lyonnaise des Eaux Nomenclature : 8.8 - Environnement Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne, expose : «A la suite d'une journée de consommation exceptionnelle d'eau en juin 2005 qui avait mobilisé la quasi-totalité de la capacité de production de la CUB, une convention dite «jours de pointe» avait été signée entre la Ville et la Lyonnaise des Eaux le 23 mai 2007. Ce document engageait la Collectivité à effacer une partie de ses consommations principalement d'arrosage lorsque la Lyonnaise en faisait la demande pour des raisons de surconsommation inhabituelle. Depuis sa création, cette convention n'a pas été mise en œuvre compte-tenu d'une part de la réduction des consommations depuis 2007 et d'autre part plus récemment des précipitations abondantes qui ont permis aux nappes libres subaffleurantes de bien se recharger. Cependant pour faire face à toute nouvelle situation exceptionnelle, la Lyonnaise des Eaux souhaite renouveler son partenariat avec la Ville. Pour que cette démarche soit efficace le dispositif sera proposé aux autres maires des communes de la Métropole. En effet, en différant nos consommations non prioritaires, nous permettons à la Lyonnaise des Eaux de répondre aux besoins en eau des administrés lors des jours de forte pointe tout en préservant les ressources en limitant ainsi les prélèvements. La détermination des compteurs d'arrosage soumis à ce dispositif sera réalisée en concertation avec les Services Techniques. En conséquence, je vous demande de bien vouloir autoriser Monsieur Le Maire à signer la nouvelle convention jours de pointe avec la Lyonnaise des Eaux pour permettre d'assurer dans des circonstances exceptionnelles la continuité du service de fourniture d'eau aux habitants de la Commune.» ADOPTE PAR VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 15 OBJET : Charte Manifestations éco-responsables Nomenclature : 8.8 - Environnement Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation citoyenne, expose : «Depuis 3 ans, une démarche a été entreprise avec l'ADEM (Association pour le Développement des Épreuves combinées et du Meeting de Talence) pour la mise en place d'un Décastar éco-responsable. Le Comité National Olympique du Sport Français a reconnu ces efforts et attribué à cet événement, en 2014, pour la 3ème année consécutive le label «Développement durable : le sport s'engage». En effet, les manifestations festives, culturelles ou sportives comme toutes les manifestations rassemblant un public nombreux peuvent être à l'origine d'impacts sur l'environnement : production de déchets, déplacements, consommation d'eau ou d'énergie... Diverses actions peuvent être mises en place pour limiter ces effets. La ville de Talence avec ses partenaires, notamment l'ADEM et les habitants membres du Conseil Local du Développement Durable, a souhaité rendre ces actions concrètes pour les organisateurs de manifestations locales en élaborant une charte des Manifestations éco-responsables. Cette initiative est prévue au plan d'action de l'Agenda 21, approuvé par le Conseil Municipal du 31 décembre 2012, axe 1, action 2. Cette charte formalisera la volonté des organisateurs et des participants de s'engager dans une démarche plus responsable. Souhaitant montrer l'exemple, la Ville de Talence, en tant qu'organisateur d’événementiels appliquera à son niveau cette charte pour ses propres manifestations de façon progressive. Je vous demande donc de bien vouloir : - adopter la charte municipale pour l'organisation de Manifestations éco-responsables - autoriser Monsieur le Maire à signer la charte avec les organisateurs de manifestations volontaires.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE Charte municipale pour l'organisation de Manifestations Éco-responsables Depuis quelques années, à l'initiative de son Conseil Local de Développement Durable, la Ville de Talence au travers de son service des sports et de ses services techniques, s'est associée à l'ADEM (Association pour le Développement des Épreuves combinées et du Meeting de Talence) pour apporter des améliorations dans le cadre d'une meilleure prise en compte de la gestion environnementale, lors de l'organisation du Décastar. Cet événement a d'ailleurs reçu le label «Développement durable, le sport s'engage» de la part du Comité National Olympique du Sport Français. Il convient aujourd'hui de formaliser ces efforts par un document qui sera élargi aux autres manifestations municipales et sera partagé avec les acteurs locaux : la «Charte Manifestations Éco-responsables». Cette Charte rend compte aussi de l'engagement des élus municipaux en faveur de l'environnement et du cadre de vie de leur ville. Il s'agit d'une démarche progressive qui concernera dans un premier temps, les manifestations du Défi Sport, du Mai Talençais, pour s'étendre à l'ensemble des manifestations utilisant les installations du domaine public talençais. Au travers de la «Charte Manifestations Éco-responsables», …........... [la personne morale concernée] s'engage à : 1- Communiquer dans le respect de l’environnement : – – – – Limiter l’usage du papier en communiquant via l’outil internet (mails, site internet, réseaux sociaux,...), Utiliser du papier recyclé ou issu de forêts durablement gérées, et imprimer en rectoverso, Sensibiliser le public au développement durable (animations, messages, stand ou signalétique rappelant les éco-gestes…), Prévoir un libellé dans les messages publicitaires/annonces/inscriptions papiers.. 2 - Favoriser l'accessibilité des manifestations pour tous : - Privilégier les modes de déplacement doux (transports en commun, vélo, marche), - Promouvoir le covoiturage, - Prévoir l’accès adapté aux personnes à mobilité réduite, - Désigner du personnel dédié à l'accueil des personnes à mobilité réduite. 3 - Assurer la gestion des déchets : - Mettre en place, poursuivre et encourager le tri pour le recyclage des déchets, - Prévoir des poubelles, et (suivant la nécessité) des containers spécifiques pour le recyclage des déchets, - Assurer la gestion des restes alimentaires avec priorité pour une distribution vers des structures présélectionnées, - Réduire la production de déchets et des surplus en choisissant le plus souvent possible du matériel réutilisable et recyclable (éviter les assiettes et les couverts en plastique, …) et en bannissant le suremballage. 4- Maîtriser les consommations d'eau et d'énergie : - Utiliser l’eau du réseau de distribution (pas d’eau en bouteille sauf si nécessité), - Vérifier que tous les robinets sont fermés en partant, - Éteindre la lumière et le chauffage en partant. 5- Utiliser des produits éco-responsables : - Privilégier les fruits et légumes de saison, - Favoriser les produits locaux, et, si possible, issus de l'agriculture biologique, - Privilégier les circuits courts, - Favoriser les produits respectueux de l'environnement ou éco-labillisés pour les objets promotionnels. Sur les manifestations mettant en œuvre la Charte Manifestations Éco-responsables, un «responsable éco-manifestation» sera identifié et aura pour missions notamment le suivi des engagements de ladite charte, la mobilisation et la formation éventuelle des équipes, l'évaluation et la communication des résultats. L'organisateur, Le Maire, Signature Signature CONSEIL MUNICIPAL – SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 16 Objet : Mise en place d'un atelier d'urbanisme concernant le devenir du terrain communal cadastré BM 81 sis 7 rue du 19 mars 1962 Nomenclature : 3.5 – Autres actes de gestion du domaine public Madame FABRE-TABOURIN, Adjointe déléguée à la Qualité de Ville, au Développement Durable et à la Participation Citoyenne, expose : «En 2007 la salle de sports COUZINET a été touchée par un incendie qui l'a totalement anéantie . Les activités sportives ont été relogées et la salle Boris Diaw a ouvert ses portes aussi il n'apparaît plus aujourd'hui opportun de reconstruire sur ce site un équipement sportif. L'emprise désormais disponible pourrait accueillir du logement social et/ou du logement en accession à la propriété qui favoriserait les parcours résidentiels et le mélange des populations, Une partie des ressources tirées de cette opération pourrait être employée pour l'aménagement du vaste espace vert à l'est de la parcelle, qui aujourd'hui est largement sous utilisé faute d'équipements intéressants pour les riverains. Devant l'étendue des possibilités, il nous a semblé qu'une démarche participative permettrait de définir au mieux des intérêts de chacun l'aménagement de cette parcelle d'une superficie totale de 16 706 m² . Je vous propose en conséquence de mettre en place un atelier d'urbanisme Ce dernier pourrait être composé de 15 talençais répartis comme suit : 1/3 issu des membres du conseil communal sud 1/3 de résidents du périmètre du conseil communal sud 1/3 de résidents de la zone de proximité Conformément à nos engagements de transparence, de proximité et de démocratie locale plusieurs séances de travail seront organisées et animées par un professionnel Je vous demande donc de bien vouloir valider le principe de l'organisation d'un atelier d'urbanisme concernant le devenir du terrain communal cadastré BM 81, sis rue du 19 mars 1962 à Talence.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE CONSEIL MUNICIPAL - SEANCE DU 19 JANVIER 2015 N° 17 OBJET : Approbation du rapport de la CLECT en date du 2 décembre 2014 Nomenclature : 7.10 - Divers Monsieur BONNIN, Conseiller municipal délégué à la Commission Locale des Charges Transférées, expose : «La Commission Locale d’Évaluation des Charges Transférées (CLECT) a pour mission d'’une part, de procéder à l’évaluation de la totalité des charges financières transférées à l'Établissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI) et correspondant aux compétences dévolues à celui-ci et d'autre part, de calculer les attributions de compensations versées par l’EPCI à chacune de ses communes membres. Dans ce cadre et conformément à l'article 71 de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles (MAPTAM) du 27 janvier 2014, la CLECT a évalué, dans son rapport en date du 2 décembre 2014 (dont vous trouverez les détails en annexe), le montant des charges liées aux compétences communales transférées à la Communauté Urbaine de Bordeaux dès le 28 janvier 2014 avec un transfert effectif à compter du 1er janvier 2015. Sur les six domaines de compétence inscrits dans ce rapport, la ville de Talence est concernée par trois d'entre eux, à savoir les aires d'accueil des gens du voyage, les concessions de distribution publique d’électricité et de gaz et la politique de la ville. En conséquence, je vous demande de bien vouloir approuver le rapport du 2 décembre 2014 accompagné de ses 2 annexes.» Adopté par VOIX POUR VOIX CONTRE ABSTENTIONS NE PREND PAS PART AU VOTE Commission Locale d’Evaluation des Transferts de Charges (CLETC) Rapport du 2 décembre 2014 En application des dispositions de l’article 1609 nonies C V du code général des impôts (CGI), le montant des attributions de compensation doit être révisé pour intégrer les nouveaux transferts de charges opérés à l’occasion de chaque transfert de compétences. Ces transferts de charges doivent être approuvés par les conseils municipaux par délibérations concordantes à la majorité qualifiée (soit les 2/3 des communes représentant plus de la ½ de la population ou la ½ des communes représentant les 2/3 de la population), sur rapport de la commission d’évaluation des charges transférées. C’est la raison pour laquelle la présente commission a été mise en place le 4 juillet dernier. Le vote du montant des attributions de compensation se fera à la majorité simple du conseil de l’ECPI. Une attribution de compensation prévisionnelle tenant compte de la présente évaluation sera notifiée aux communes avant le 15 février 2015. L’attribution de compensation définitive sera votée au plus tard au 31 décembre 2015 et tiendra compte également des compétences transférées à la Métropole au 1er janvier 2015 en application de l’article 43 de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles du 27 janvier 2014 (MAPTAM). Le présent rapport a pour objet d’évaluer les compétences transférées à La Cub par l’article 71 de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles du 27 janvier 2014 (MAPTAM), depuis le 28 janvier 2014 mais avec transfert effectif à compter du 1er janvier 2015. Les compétences transférées des communes vers la Communauté Urbaine sont les suivantes : o o o o o o aménagement, entretien et gestion des aires d’accueil des gens du voyage (10 aires et 17 communes concernées), création et entretien des infrastructures de charge nécessaires à l’usage des véhicules électriques ou hybrides rechargeables (14 bornes et 2 communes concernées), création, aménagement, entretien et gestion des réseaux de chaleur ou de froid urbains (2 réseaux de chaleur sur 2 communes concernées), concession de la distribution publique d’électricité et de gaz (28 communes concernées), aires de stationnement (1 aire et 1 commune concernée), politique de la Ville. L’évaluation de la compétence « promotion du tourisme dont la création d’offices de tourisme » interviendra lors du transfert de la taxe de séjour à la Métropole en 2015. S’agissant enfin de l’évaluation de la charge des équipements prescrits par des lois et règlements et non réalisés par les communes au moment du transfert de compétence, l’évaluation sera réalisée sur la base du coût de réalisation des aires concernées, ce qui aura pour conséquence une révision des attributions de compensation des communes concernées après la réalisation de l’équipement sur la base du coût effectif de réalisation. 1 Rappel du calendrier de travail de la CLETC : - - 4 juillet 2014 : 1ère séance de la CLETC, 21 octobre 2014 : 2ème séance de la CLETC, 21 novembre 2014 : 3ème séance de la CLETC, 27 novembre 2014 : présentation du projet de rapport de la CLETC en Bureau, 2 décembre 2014 : adoption du rapport de la CLETC à la majorité simple, Semaine du 1er décembre : envoi du rapport validé par la CLETC lors de la séance du 2 décembre aux 28 communes membres, Du 4 décembre au 31 janvier 2015 : approbation du rapport de la CLETC par délibérations des conseils municipaux. Chaque conseil municipal approuve le rapport à la majorité simple mais le rapport doit être approuvé par la majorité qualifiée des communes membres, Jusqu’au 31 janvier 2015 : notification des délibérations des communes à la Métropole, 13 février 2015 : délibération du Conseil de Métropole à la majorité simple fixant les attributions de compensation révisées pour 2015, Communication aux communes membres du montant des attributions de compensation versées (et perçues) révisées pour 2015. Les montants des charges transférées (voir tableau en annexe) : Il résulte des travaux de la CLETC, que les compétences transférées par la loi MAPTAM depuis le 28 janvier représentent un montant total de 1,991 M€ ce qui se traduit par un montant d’attribution de compensation à verser de 54,546 M€ et à percevoir de 15,223 M€ soit un montant net de 39,323 M€. Le détail par communes et par compétences vous est présenté dans le tableau ci-après. Les attributions de compensation versées par La Cub aux communes membres en 2014 s’élevaient à 55,793 M€ et celles perçues des communes membres s’élevaient à 14,479 M€, soit un montant net de 41,314 M€. Dans l’attente de l’approbation par les communes membres du rapport de la CLECT à la majorité qualifiée au plus tard le 31 janvier 2015, ce montant sera reconduit au Budget Primitif 2015 pour permettre le versement aux communes des premiers douzièmes de janvier et février 2015. Par ailleurs, si un emprunt globalisé, dont une quote-part a été affectée au financement de la compétence transférée à l’EPCI, demeure au passif de la Commune concernée, après transfert de la compétence ou de l’équipement, l’EPCI remboursera alors la quote-part de l’annuité correspondant au financement de la compétence transférée sur la durée résiduelle du contrat de prêt via une convention spécifique. 2 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES Aires d’accueil des gens du voyage, infrastructures de charge des véhicules électriques, réseaux de chaleur, gaz et électricité, aires de stationnement et politique de la ville COMMUNAUTE URBAINE DE BORDEAUX Réunion de CLETC du 2 décembre 2014 Jean-Pierre COBLENTZ Rozenn LE CALVEZ STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A – 193 rue de Bercy 75012 Paris Tél. : 01 42 60 15 18 - Fax : 01 42 60 15 73 Page 1 58 cours Becquart Castelbon BP 346 • 38509 VOIRON cedex Tél. : 04 76 06 10 00 - Fax : 04 76 06 33 76 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SOMMAIRE Page 2 Rappel de la méthode d’évaluation des charges transférées Page 3 I. Aires d’accueil des gens du voyage Page 8 II. Infrastructures de charge des véhicules électriques Page 50 III. Réseaux de chaleur et de froid urbains Page 58 IV. Concessions de distribution publique d’électricité et de gaz Page 61 V. Page 72 Aires de stationnement VI. Politique de la ville Page 74 VII. Synthèse propositions d’évaluation des charges transférées Page 76 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 RAPPEL DE LA METHODE D’EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES Page 3 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EXTRAITS DE L’ARTICLE 1609 NONIES C DU CGI IV. Il est créé entre l'établissement public de coopération intercommunale soumis aux dispositions fiscales du présent article, à l'exclusion de ceux mentionnés au 5° du I de l'article 1379-0 bis, et les communes membres une commission locale chargée d'évaluer les transferts de charges. Cette commission est créée par l'organe délibérant de l'établissement public qui en détermine la composition à la majorité des deux tiers. Elle est composée de membres des conseils municipaux des communes concernées ; chaque conseil municipal dispose d'au moins un représentant. La commission élit son président et un vice-président parmi ses membres. Le président convoque la commission et détermine son ordre du jour ; il en préside les séances. En cas d'absence ou d'empêchement, il est remplacé par le vice-président. La commission peut faire appel, pour l'exercice de sa mission, à des experts. Elle rend ses conclusions l'année de l'adoption de la cotisation foncière des entreprises unique par l'établissement public de coopération intercommunale et lors de chaque transfert de charges ultérieur. Les dépenses de fonctionnement, non liées à un équipement, sont évaluées d'après leur coût réel dans les budgets communaux lors de l'exercice précédant le transfert de compétences ou d'après leur coût réel dans les comptes administratifs des exercices précédant ce transfert. Dans ce dernier cas, la période de référence est déterminée par la commission. Le coût des dépenses liées à des équipements concernant les compétences transférées est calculé sur la base d'un coût moyen annualisé. Ce coût intègre le coût de réalisation ou d'acquisition de l'équipement ou, en tant que de besoin, son coût de renouvellement. Il intègre également les charges financières et les dépenses d'entretien. L'ensemble de ces dépenses est pris en compte pour une durée normale d'utilisation et ramené à une seule année. Le coût des dépenses transférées est réduit, le cas échéant, des ressources afférentes à ces charges. Cette évaluation est déterminée à la date de leur transfert par délibérations concordantes de la majorité qualifiée des conseils municipaux prévue au premier alinéa du II de l'article L. 5211-5 du code général des collectivités territoriales, adoptées sur rapport de la commission locale d'évaluation des transferts. Page 4 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 RAPPEL DES PRINCIPES DU REGLEMENT INTERIEUR DE LA CLETC DE LA CUB COUT NET DES CHARGES TRANSFEREES Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement Dépenses de fonctionnement du service (dépenses de personnel, charges générales, fluides, subventions, contribution budgétaire…) Recettes de fonctionnement du service (régie de recettes, subventions…) ≈ Coût net de fonctionnement du service Période de référence : le dernier exercice (soit 2013) est privilégié compte-tenu de l’augmentation régulière des charges de fonctionnement. Mais pour tenir compte de l’évolution irrégulière de dépenses, ou encore de dépenses « exceptionnelles », la moyenne de plusieurs exercices peut être retenue, ou des opérations exceptionnelles non retenues, voire le coût prévisionnel 2014 si une diminution des charges est constatée. Par ailleurs, afin de tenir compte de la réalité du coût du service des corrections aux contributions budgétaires peuvent être proposées Page 5 + Coût net des charges liées à l’équipement (en cas de mise à disposition) Coût de réalisation, d’acquisition ou renouvellement + Dépenses d’entretien + Intérêts de la dette Equipement « récent » (6 ans au plus) : coût d’acquisition ou de construction net du FCTVA et des éventuelles subventions d’équipement, rapporté à la durée de vie de l’équipement. Actualisation du coût net selon l’indice de la construction BT01. Equipement « ancien » (plus de 7 ans) : coût de renouvellement (reconstitution d’une valeur à neuf, prix de renouvellement forfaitaire au m², valeur de remplacement en cas de sinistre) net du FCTVA et des éventuelles subventions d’équipement, rapporté à la durée de vie de l’équipement Dépenses d’entretien et contrats de maintenance, et de grosses réparations Transfert d’un emprunt affecté « récent » (6 ans au plus) : prise en compte de la réalité des intérêts Pas de transfert d’emprunt affecté : simulation d’intérêts correspondants à une part de financement par emprunt et selon un taux fixe de 3,20% sur 15 ans (cf. détail du calcul p. 39). Somme des intérêts rapportée à la durée de vie de l’équipement. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 FOCUS SUR LES CHARGES SEMI-DIRECTES ET DE STRUCTURE Le règlement intérieur de la CLETC prévoit de majorer le coût des charges transférées par les charges semi-directes (travaux en régie) et de structure (fonctions support), dont la méthode d’évaluation est la suivante : Dans le cas où l’exercice de la compétence repose sur un équipement : 25% du coût moyen annualisé Dans le cas où l’exercice de la compétence ne repose pas sur un équipement : 25% du coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement Page 6 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODE PROPOSEE PAR LE REGLEMENT INTERIEUR DE LA CLETC POUR LES AIRES D’ACCUEIL NON REALISEES Article 12 : « Concernant les équipements prescrits par des lois et règlements mais non réalisés au moment du transfert, l’évaluation financière sera effectuée sur la base du coût net d’acquisition ou de construction constaté au moment de leur mise en service. Les attributions de compensation des communes concernées seront révisées l’année suivant la mise en service de l’équipement sur la base de l’évaluation de la charge transférée par la CLECT ». Page 7 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 I. AIRES D’ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE Modifications apportées par rapport à la réunion de CLETC du 21/11/14 Page 8 Modification de l’article 12 du règlement intérieur de la CLETC relatif à la méthode d’évaluation des équipements prescrits par la loi ou règlement mais non réalisés au moment du transfert (cf. page 7). CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 ORGANISATION DES 10 AIRES D’ACCUEIL DES GENS DU VOYAGE Commune BEGLES Organisation Localisation de l'AAGV Mode de gestion Titulaire du contrat Nombre d'emplacements Ville seule Bègles DSP Adoma (01/10/12 au 30/09/15) 24 Ville seule Bordeaux Marché SG2AHacienda (15/10/13 au 14/10/16) 32 Ville seule Saint Médard en Jalles DSP Aquitanis (30/10/09 au 30/06/15) 30 Convention entre les 2 villes Mérignac DSP Adoma (01/08/10 au 31/12/14) 48 Convention entre les 2 villes Le Haillan DSP Aquitanis (02/06/12 au 01/06/18) 24 Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors Cub) Saint Jean d'Illac Marché SG2AHacienda 24 Syndicat Intercommunal pour l’Aménagement et la Gestion de l’Aire d’Accueil Intercommunale des Gens du Voyage Villenave d'Ornon DSP Vago (01/07/13 au 31/12/16) 30 Bruges DSP Aquitanis (01/01/13 au 31/12/15) 26 Saint Aubin de Médoc DSP Aquitanis (30/06/15) 16 Marché Vago (15/07/14 au 15/07/14) 32 BORDEAUX SAINT-MEDARD-EN-JALLES MERIGNAC PESSAC EYSINES LE HAILLAN MARTIGNAS-SUR-JALLE GRADIGNAN TALENCE VILLENAVE-D'ORNON BLANQUEFORT LE BOUSCAT Syndicat intercommunal de construction et de gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage à Bruges BRUGES SAINT-AUBIN-DE-MEDOC LE TAILLAN-MEDOC PAREMPUYRE Page 9 SIVU Porte du Médoc Syndicat Mixte pour la réalisation et la Pian Médoc gestion d’une aire d’accueil des gens (commune hors du voyage CUB) CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 L’EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES SELON L’ORGANISATION DE LA COMPETENCE Organisation de la compétence Commune seule Convention entre communes Syndicat intercommunal Page 10 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Coût net des dépenses liées à l'équipement Charges semi-directes et de structure Oui, selon méthode évoquée plus haut Oui, selon méthode évoquée plus haut Oui Oui, selon la méthode évoquée plus haut, en Oui, à partir du coût net à Oui (pour toutes les sachant que la prise en prendre en charge par communes qui prennent charge des coûts se fait à chaque ville part à la convention) parts égales entre les villes Contribution budgétaire versée au groupement Non (charges déjà valorisées dans les comptes du syndicat et financées par les contributions budgétaires) CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DU COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L’EQUIPEMENT Page 11 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV GEREES PAR UNE SEULE VILLE Bègles Bordeaux Saint Médard en Jalles Page 12 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODE D’EVALUATION POUR LES VILLES QUI GERENT SEULES UNE AAGV Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement déterminé à partir des charges de fonctionnement supportées par la commune nettes des éventuelles recettes. Evaluation des charges semi-directes et de structure (cf. p.45). Page 13 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DES DEUX ESTEYS (BEGLES) AAGV localisée sur la commune de Bègles Gestion confiée à un délégataire (Adoma) Capacité d’accueil (en caravanes) : 26 places COUT NET DES DEPENSES NON LIEES A L'EQUIPEMENT SUPPORTE PAR BEGLES (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 Rémunération délégataire Assurances Subvention du CG TOTAL 2011 2012 2013 -39,6% 51,8 17,2 18,9 0,0% 0,1 0,1 0,1 -100,0% 23,8 0 0 -17,8% 28,1 17,2 19,0 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. Page 14 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DE LA JALLIERE (BORDEAUX) AAGV localisée sur la commune de Bordeaux Gestion en marché confié à SG2A-L’Hacienda Capacité d’accueil (en caravanes) : 26 places COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT 2013 (en k€) Marché de prestations de services Eau Electricité TOTAL DEPENSES 34,7 165,9 23,4 Etat 50,9 Conseil Général 40,6 COUT NET Montant du marché notifié le 7 octobre 2013 9,9 Régie de recettes TOTAL RECETTES Page 15 121,3 114,8 51,0 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DE SAINT MEDARD EN JALLES AAGV localisée sur la commune de Saint Médard en Jalles Gestion confiée à Aquitanis dans le cadre d’une DSP Capacité d’accueil (en caravanes) : 30 places COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT (en k€) 2011 Rémunération du délégataire 18,7 2012 19,3 2013 19,5 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. Page 16 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV GEREES PAR DEUX VILLES DANS LE CADRE D’UNE CONVENTION Mérignac/Pessac Le Haillan/Eysines Saint Jean d’Illac/Martignas sur Jalle Page 17 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODE D’EVALUATION POUR LES AAGV GEREES PAR DEUX VILLES DANS LE CADRE D’UNE CONVENTION Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement déterminé à partir des charges de fonctionnement supportées par la commune nettes des éventuelles recettes. En général, les charges sont supportées à parts égales entre les deux communes. Evaluation des charges semi-directes et de structure pour toutes les communes qui prennent part à la convention (cf. p.45). Page 18 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DE LA CHAILLE (MERIGNAC/PESSAC) AAGV localisée sur la commune de Mérignac Convention entre les villes de Mérignac et Pessac pour le financement des charges liées à l’AAGV (fonctionnement et investissement) qui sont supportées à parts égales entre les deux communes Gestion confiée à un délégataire (Adoma) Capacité d’accueil (en caravanes) : 48 places COUT NET DES DEPENSES NON LIEES A L'EQUIPEMENT SUPPORTE PAR PESSAC (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 Subvention de fonctionnement versée à Mérignac Subvention CG COUT NET 2011 2012 2013 Selon recettes encaissées par Mérignac -30,9% 37,0 15,8 17,7 -100,0% 7,1 1,8 0,0 -23,2% 29,9 14,0 17,7 COUT NET DES DEPENSES NON LIEES A L'EQUIPEMENT SUPPORTE PAR MERIGNAC (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 2011 2012 2013 Contribution versée au délégataire -30,9% 73,9 31,6 35,3 Assurances -21,5% 0,3 0,3 0,2 Participation Ville de Pessac -30,9% 37,0 15,8 17,7 -100,0% 22,2 0,0 0,0 8,7% 15,1 16,1 17,8 Subvention CG COUT NET Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC Page 19 Participation du Département versée désormais directement au délégataire. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DE JALLEPONT (LE HAILLAN/EYSINES) AAGV localisée sur la commune de Le Haillan Convention entre les villes de Le Haillan et Eysines pour le financement des charges liées à l’AAGV (fonctionnement et investissement) qui sont supportées à parts égales entre les deux communes Gestion confiée à un délégataire (Aquitanis) Capacité d’accueil (en caravanes) : 24 places COUT NET DES DEPENSES NON LIEES A L'EQUIPEMENT SUPPORTE PAR EYSINES (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 Rémunération du délégataire Recettes de fonctionnement COUT NET 2011 2012 2013 -3,5% 11,4 12,3 10,7 N/A 0,0 0,0 0,0 -3,5% 11,4 12,3 10,7 Pas de recettes de fonctionnement perçues, la subvention du CG était perçue directement par le délégataire COUT NET DES DEPENSES NON LIEES A L'EQUIPEMENT SUPPORTE PAR LE HAILLAN (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 Assurances Rémunération du délégataire Recettes de fonctionnement COUT NET 2011 2012 2013 4,0% 0,2 0,2 0,2 -3,5% 11,4 12,3 10,7 N/A 0,0 0,0 0,0 -3,4% 11,7 12,5 10,9 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. Page 20 Le Haillan prendrait en charge seule l’assurance de l’AAGV CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV DE SAINT JEAN D’ILLAC AAGV localisée sur la commune de Saint Jean d’Illac (commune membre de la CC Jalle Eau Bourde) Convention passée entre Saint Jean d’Illac et Martignas sur Jalle : chaque commune prend en charge à parts égales les dépenses d’investissement et de fonctionnement Gestion confiée à Hacienda dans le cadre d’un marché de prestations de services Capacité d’accueil (en caravanes) : 24 places COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT (en k€)* 2011 Participation versée par Martignas à Saint Jean d'Illac 23,2 * La participation versée recouvre principalement les charges liées au marché, aux fluides et charges de personnel, mais intègre également quelques dépenses portant sur l’entretien ou des réparations. Page 21 2012 20,8 2013 17,2 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 AAGV GEREES DANS LE CADRE DE SYNDICATS INTERCOMMUNAUX Syndicat Intercommunal pour l’Aménagement et la Gestion de l’Aire d’Accueil Intercommunale des Gens du Voyage à Villenave d’Ornon Syndicat intercommunal de construction et de gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage à Bruges SIVU Porte du Médoc Syndicat mixte pour la réalisation et la gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage (Parempuyre/CC Médoc-Estuaire) Page 22 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODE D’EVALUATION POUR LES AAGV GEREES DANS LE CADRE DE SYNDICATS INTERCOMMUNAUX La contribution budgétaire est théoriquement retenue comme coût net des charges transférées, à la fois pour le coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement et le coût net des dépenses liées à l’équipement. En effet, la contribution budgétaire est destinée à financer le fonctionnement et le remboursement du capital (qui peut être assimilé à un amortissement, et donc au coût de renouvellement habituellement pris en compte). Toutefois, dans le cas de certains des SIVU étudiés ici, cette règle générale n’est pas applicable strictement car : Les contributions budgétaires sont insuffisantes pour couvrir l’annuité de dette, donc une majoration à hauteur du déficit d’épargne est proposée (cas des SIVU de Villenave d’Ornon et Bruges) Un syndicat (Saint Aubin de Médoc) n’ayant pas contracté de dette, la contribution budgétaire ne finance donc que le fonctionnement. Afin de tenir compte du coût des dépenses liées à l’équipement, il est proposé de majorer les contributions budgétaires d’un coût moyen annualisé et de frais financiers afférents (conformément la méthode appliquée pour les autres communes non membres d’un syndicat). Pas d’évaluation des charges semi-directes et de structure car elles sont déjà valorisées dans les comptes du SIVU (donc financées par les contributions budgétaires). Page 23 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU DE VILLENAVE D’ORNON (1/3) DESCRIPTION AAGV localisée sur la commune de Villenave d’Ornon Organisation dans le cadre du SIVU pour l’aménagement et la gestion de l’aire d’accueil intercommunale des gens du voyage de Villenave d’Ornon, composé des communes de Villenave d’Ornon, Talence et Gradignan Gestion confiée à un délégataire (Vago depuis juin 2013) Capacité d’accueil (en caravanes) : 30 places Page 24 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU DE VILLENAVE D’ORNON (2/3) EQUILIBRES FINANCIERS DU SIVU EVOLUTION DES EQUILIBRES FINANCIERS 2011-2013 (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 ou moyenne 2011/2013 2011 2012 Diminution de plus de moitié des contributions budgétaires des communes, sans que les charges diminuent autant. 2013 Recettes de fonctionnement -45,4% 82,5 23,7 24,5 - Dont contributions budgétaires des membres -33,2% 55,0 23,7 24,5 -100,0% 27,5 0,0 0,0 Dépenses de fonctionnement -37,0% 61,5 23,6 24,4 - Dont contribution financière versée au délégataire -49,3% 39,1 9,5 10,0 - Dont participation du département - Dont assurances 13,1% 0,9 1,2 1,2 113,3% 0,3 3,2 1,4 40,0% 3,3 0,0 6,5 - Dont intérêts de la dette -45,2% 17,8 9,8 5,3 Epargne brute -92,9% 21,0 0,1 0,1 Remboursement du capital -64,2% 219,2 27,6 28,1 Epargne nette -62,4% -198,2 -27,5 -28,0 Dépenses d'investissement 12,4 32,0 1,0 4,1 Recettes d'investissement 114,0 333,6 0,0 8,5 -101,7 -301,7 1,0 -4,4 -64,2% -219,2 -27,6 -28,1 N/A 103,4 -28,5 -23,6 -15,9% 178,1 149,6 126,1 -4,6% 615,8 568,0 560,1 1235,7% 29,3 N/A N/A - Dont autres charges à caractère général - Dont charges de personnel Besoin de financement Variation de dette Variation du fonds de roulement FdR au 31/12 En-cours de dette au 31/12 Ratio de capacité de désendettement Page 25 La diminution de la contribution versée au délégataire résulte de la fin du reversement au délégataire de la participation du Département (désormais perçue directement par le délégataire) Le niveau des contributions budgétaires permet de couvrir uniquement les charges de fonctionnement, mais pas le remboursement du capital de la dette, ni le besoin de financement des investissements (couverts par la mobilisation du fonds de roulement). A noter qu’en 2011, le SIVU a procédé à un remboursement anticipé à hauteur de 184k€. Sans cette opération exceptionnelle, l’épargne nette se serait établie à -14k€. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU DE VILLENAVE D’ORNON (3/3) REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES (en k€) 2011 2012 Part (en %) 2013 GRADIGNAN 22,0 9,5 9,8 40% TALENCE 22,0 9,5 9,8 40% VILLENAVE-D'ORNON 11,0 4,7 4,9 20% TOTAL 55,0 23,7 24,5 100% MONTANT PROPOSE POUR L'EVALUATION (en k€) Contributions budgétaires 2013 24,5 Insuffisance d'épargne nette 2013 28,0 TOTAL 52,5 Majoration des contributions budgétaires 2013 à hauteur de l’épargne nette négative 2013, pour que l’annuité de dette soit couverte par les contributions budgétaires MONTANT CHARGES TRANSFEREES PROPOSEES En k€ En % GRADIGNAN 21,0 40% TALENCE 21,0 40% VILLENAVE-D'ORNON 10,5 20% TOTAL 52,5 100% Page 26 Coût net des charges qui pourrait être retenu par la CLETC. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CONSTRUCTION ET DE GESTION D’UNE AAGV A BRUGES (1/3) DESCRIPTION AAGV localisée sur la commune de Bruges Organisation dans le cadre du syndicat intercommunal de construction et de gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage à Bruges Gestion confiée à un délégataire (Aquitanis) Capacité d’accueil (en caravanes) : 26 places Page 27 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CONSTRUCTION ET DE GESTION D’UNE AAGV A BRUGES (2/3) EQUILIBRES FINANCIERS 2011-2013 DU SIVU EVOLUTION DES EQUILIBRES FINANCIERS 2011-2013 (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 ou 2011 2012 moyenne 2011/2013 2013 Recettes de fonctionnement -20,0% 165,2 154,2 105,6 - Dont contributions budgétaires des membres -12,0% 135,3 149,0 104,8 -100,0% 26,1 5,3 0,0 -55,3% 3,8 0,0 0,8 -6,7% 84,9 92,4 73,8 -29,7% 42,5 27,1 21,0 N/A 0,0 8,2 0,0 1,4 - Dont participation du département - Dont autres produits Dépenses de fonctionnement - Dont contribution financière versée au délégataire - Dont dépenses d'entretien - Dont assurances 32,9% 0,8 0,8 -26,1% 0,5 4,0 0,3 0,0% 20,0 20,0 20,0 - Dont intérêts de la dette 21,7% 21,0 32,3 31,1 Epargne brute -37,1% 80,3 61,8 31,8 Remboursement du capital -54,7% 250,1 49,6 51,3 Epargne nette -66,1% -169,8 12,2 -19,5 Dépenses d'investissement 10,5 13,9 17,7 0,0 Recettes d'investissement 11,0 5,0 25,2 2,7 Besoin de financement -0,4 8,9 -7,5 -2,7 Variation de dette -54,7% -250,1 -49,6 -51,3 Variation du fonds de roulement -69,4% -178,7 19,7 -16,7 1,4% 102,9 122,6 105,8 En-cours de dette au 31/12 -4,8% 1 081,8 1 032,2 980,9 Ratio de capacité de désendettement 51,4% 13,5 16,7 30,9 - Dont autres charges à caractère général - Dont remboursement frais de gestion à Bruges FdR au 31/12 Page 28 Les contributions budgétaires versées par les communes ont été réduites en 2013, malgré la moindre diminution des charges. La diminution de la contribution versée au délégataire intervenue en 2012 émane de la fin du reversement de la participation du CG Globalement sur la période, les contributions budgétaires ne permettent pas de couvrir le remboursement du capital de la dette (niveau très élevé en 2011 lié à un remboursement anticipé de 205k€). Le SIVU mobilise son fonds de roulement pour le couvrir, ainsi que le besoin de financement résiduel. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CONSTRUCTION ET DE GESTION D’UNE AAGV A BRUGES (3/3) REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES (en k€) 2011 2012 2013 Part (en %) BLANQUEFORT 39,3 42,5 30,0 29% LE BOUSCAT 59,8 65,8 45,6 43% BRUGES 36,1 40,7 29,2 28% 135,3 149,0 104,8 100% TOTAL MONTANT PROPOSE POUR L'EVALUATION (en k€) Contributions budgétaires 2013 Insuffisance d'épargne nette 2013 104,8 19,5 Majoration des contributions budgétaires à hauteur de l’épargne nette négative 2013, pour que l’annuité de dette soit couverte par les contributions budgétaires 124,3 TOTAL MONTANT CHARGES TRANSFEREES PROPOSEES En k€ En % BLANQUEFORT 35,6 29% LE BOUSCAT 54,1 43% BRUGES 34,6 28% 124,3 100% TOTAL Page 29 Coût net des charges transférées qui pourrait être retenu par la CLETC. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU PORTE DE MEDOC (1/3) DESCRIPTION AAGV localisée sur la commune de Saint Aubin de Médoc Organisation dans le cadre du SIVU Porte du Médoc composé des communes de Saint Aubin du Médoc et Taillan Médoc Gestion confiée à un délégataire (Aquitanis) Capacité d’accueil (en caravanes) : 16 places Page 30 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU PORTE DE MEDOC (2/3) EQUILIBRES FINANCIERS 2011-2013 DU SIVU EVOLUTION DES EQUILIBRES FINANCIERS 2011-2013 (en k€) ∆ annuelle 2011/2013 ou 2011 2012 moyenne 2011/2013 Les contributions budgétaires versées par les communes ont doublé en 2012, puis été réduites de 25% en 2013 en lien avec la diminution des charges. 2013 Recettes de fonctionnement -8,2% 35,6 43,9 30,0 - Dont contributions budgétaires des membres 25,7% 19,0 40,0 30,0 -100,0% 16,6 3,9 0,0 Dépenses de fonctionnement -3,0% 35,5 48,3 33,4 - Dont marché de prestations de services 1,9% 32,1 44,8 33,3 -100,0% 2,5 1,4 0,0 -65,0% 1,0 2,1 0,1 Epargne brute N/A 0,1 -4,4 -3,4 Remboursement du capital N/A 0,0 0,0 0,0 Epargne nette N/A 0,1 -4,4 -3,4 Dépenses d'investissement 3,3 2,4 7,6 0,0 Recettes d'investissement 1,4 4,3 0,0 0,0 Besoin de financement 1,9 -1,9 7,6 0,0 Variation de dette N/A 0,0 0,0 0,0 Variation du fonds de roulement N/A 2,1 -12,0 -3,4 -51,3% 20,1 8,2 4,8 En-cours de dette au 31/12 N/A 0,0 0,0 0,0 Ratio de capacité de désendettement N/A 0,0 0,0 0,0 - Dont participation du département - Dont dépenses d'entretien - Dont autres charges à caractère général FdR au 31/12 Page 31 Globalement sur la période, les contributions budgétaires ne permettent pas de couvrir les charges de fonctionnement. Le SIVU n’a pas de dette. Le SIVU mobilise son fonds de roulement qui n’atteint plus qu’à peine 4,8k€ fin 2013. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SIVU PORTE DE MEDOC (3/3) REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) REPARTITION DES CONTRIBUTIONS BUDGETAIRES (en k€) 2011 2012 2013 Part (en %) SAINT-AUBIN-DE-MEDOC 9,5 20,0 15,0 50% LE TAILLAN-MEDOC 9,5 20,0 15,0 50% 19,0 40,0 30,0 100% TOTAL Coût de renouvellement par place 22,9 Nombre de places 16,0 Coût de renouvellement de l'AAGV 366,5 Durée de vie 20,0 Coût moyen annualisé 18,3 DETERMINATION DES FRAIS FINANCIERS (en k€) Majoration des contributions budgétaires à hauteur du coût moyen annualisé et des frais financiers afférents, les contributions budgétaires actuelles versées par les communes ne permettant de ne financer que le fonctionnement. Le Taillan Coût de renouvellement MONTANT PROPOSE POUR L'EVALUATION (en k€) SAINTAUBINDEMEDOC Contributions budgétaires 2013 LE TAILLANMEDOC TOTAL 15,0 15,0 30,0 Coût moyen annualisé 9,2 9,2 18,3 Frais financiers 1,3 1,3 2,7 25,5 25,5 51,0 TOTAL Page 32 St Aubin 183,3 183,3 Part de l'emprunt dans le coût net d'investissement moyen 2008-2013 ou plafonnement à 53% si supérieur 53% 53% Montant emprunt théorique 97,1 97,1 Masse des intérêts de la dette 26,7 26,7 Durée de vie 20 20 Frais financiers 1,3 1,3 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement qui pourrait être retenu par la CLETC. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNDICAT MIXTE POUR LA REALISATION ET LA GESTION D’UNE AAGV – PAREMPUYRE/CC MEDOC-ESTUAIRE (1/3) DESCRIPTION AAGV localisée sur la commune de Pian Médoc, commune membre de la CC Médoc-Estuiare Organisation dans le cadre d’un syndicat mixte composé de la commune de Parempuyre et de la CC Médoc-Estuaire Prise en charge du coût à couvrir à parts égales entre la CC et la commune de Parempuyre La CUB se substituera à la commune de Parempuyre pour le versement de la contribution budgétaire Mise en service de l’aire en août 2014 Gestion assurée dans le cadre d’un marché (Vago) Capacité d’accueil (en caravanes) : 32 places Page 33 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNDICAT MIXTE POUR LA REALISATION ET LA GESTION D’UNE AAGV – PAREMPUYRE/CC MEDOC-ESTUAIRE (2/3) COUT PREVISIONNEL 2014 ne comprenant que 4 mois d’exploitation et les subventions de l’Etat et du Département n’étant pas connues à ce jour, la contribution budgétaire à verser par les membres n’est pas encore déterminée. A titre d’information, voici les éléments connus à ce jour. En supposant la perception de 90k€ de recettes de l’Etat et du CG (niveau de recettes perçues par Bordeaux pour une AAGV de même capacité gérée en marché), la charge résiduelle à supporter par les membres s’établirait à 150k€, soit 75k€ pour la commune de Parempuyre. BUDGET PREVISIONNEL DU SM (en k€) POUR UN EXERCICE COMPLET Marché de prestations de services 95,6 Contrat OM 5,6 Prestations administratives et techniques 20,0 Fluides 12,0 Assurances 1,0 Dépenses de fonctionnement 134,2 Recettes usagers Fluides Subventions CG Subventions Etat Recettes de fonctionnement 13,4 nc nc nc 13,4 Remboursement du capital Provision GER Dépenses d'investissement 99,9 20,0 119,9 Recettes d'investissement Page 34 nc CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE Page 35 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L’EQUIPEMENT * SYNTHESE COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT * (en k€) Commune Organisation Localisation AAGV Montant proposé BEGLES Ville seule Bègles BORDEAUX Ville seule Bordeaux SAINT-MEDARD-EN-JALLES Ville seule Saint Médard en Jalles MERIGNAC PESSAC EYSINES LE HAILLAN MARTIGNAS-SUR-JALLE GRADIGNAN TALENCE VILLENAVE-D'ORNON BLANQUEFORT LE BOUSCAT BRUGES SAINT-AUBIN-DE-MEDOC LE TAILLAN-MEDOC PAREMPUYRE TOTAL Convention entre les 2 villes Mérignac Convention entre les 2 villes Le Haillan Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors Cub) Syndicat Intercommunal pour l’Aménagement et la Gestion de l’Aire d’Accueil Intercommunale des Gens du Voyage Saint Jean d'Illac Villenave d’Ornon 19,0 51,0 19,5 17,8 17,7 10,7 10,9 17,2 21,0 21,0 10,5 Syndicat intercommunal de construction et de gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage à Bruges Bruges SIVU Porte du Médoc Saint Aubin de Médoc 25,5 25,5 Syndicat Mixte pour la réalisation et la gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage Pian Médoc (commune hors CUB) 75,0 35,6 54,1 34,6 466,5 * Pour les SIVU, compte-tenu de leur mode de financement (et des corrections apportées sur les contributions budgétaires), le montant proposé correspond à la fois au coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement et au coût net des dépenses liées à l’équipement. Page 36 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DU COUT NET DES DEPENSES LIEES A L’EQUIPEMENT Page 37 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 MODE DE DETERMINATION DU COUT MOYEN ANNUALISE La détermination du coût moyen annualisé ne portera pas sur les équipements gérés aujourd’hui dans le cadre d’un SIVU, la contribution budgétaire des membres permettant de couvrir théoriquement le fonctionnement, le remboursement de l’annuité de la dette (soit un « amortissement » théorique) et les dépenses d’investissement courantes. Selon le règlement intérieur de la CLETC, le coût moyen annualisé est déterminé selon un coût de renouvellement pour les équipements de plus de 6 ans, sinon un coût de construction est retenu. MODE DE DETERMINATION DU COUT MOYEN ANNUALISE SELON L'ANCIENNETE DE L'AAGV Organisation Localisation AAGV Année de construction de l'AAGV Méthode de détermination du coût moyen annualisé Ville seule Bègles 2003 Coût de renouvellement Ville seule Bordeaux 2007 Coût de construction Ville seule Saint Médard en Jalles 2005 Coût de renouvellement Convention entre les 2 villes Mérignac 2002 Coût de renouvellement LE HAILLAN Convention entre les 2 villes Le Haillan 2006 Coût de construction Saint Jean d'Illac 2008 Coût de construction MARTIGNAS-SUR-JALLE Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors Cub) Commune BEGLES BORDEAUX SAINT-MEDARD-EN-JALLES MERIGNAC PESSAC EYSINES Page 38 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 DETERMINATION DU COUT MOYEN ANNUALISE A PARTIR D’UN COUT DE RENOUVELLEMENT (1/2) Le coût de renouvellement retenu pourrait correspondre au niveau du coût net d’investissement actualisé (de l’indice BT 01 entre janvier de l’année de construction de l’aire et décembre 2013) par place constaté sur les différentes réalisations d’AAGV. Même si la méthode du coût de renouvellement ne concerne que 3 AAGV, il est proposé de le déterminer à partir des coûts constatés sur l’ensemble des AAGV. COUT NET D'INVESTISSEMENT PAR PLACE DE CARAVANNE (en k€) Villenave d'Ornon Mérignac La Chaille Le Haillan Eysines Bruges Bègles Bordeaux Saint Aubin du Médoc Saint Jean d'Illac Saint Médard en Jalles ENSEMBLE Dépenses d'investissement brut 997,3 1 117,8 744,1 1 464,0 502,7 1 949,0 764,0 644,9 846,6 9 030,4 Recettes d'investissement 468,0 824,7 351,5 520,3 275,9 546,2 300,7 355,4 473,4 4 115,9 - Dont Cub aides à la place 24,7 39,5 19,8 21,4 19,8 26,4 13,2 24,7 189,4 - Dont Etat 290,2 506,0 217,9 277,5 256,1 487,8 170,7 256,1 320,1 2 782,5 - Dont CG 0,0 49,4 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 49,4 - Dont CR 0,0 173,7 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 173,7 - Dont CAF 0,0 56,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 56,1 - Dont ADEME 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 32,0 0,0 0,0 0,0 32,0 - Dont FCTVA 153,1 nc 113,8 221,4 0,0 0,0 116,7 99,2 128,5 832,7 Coût net d'investissement 529,3 293,1 392,7 943,7 226,8 1 402,8 463,4 289,5 373,2 4 914,6 Coût net d'investisseement actualise 578,6 427,8 489,9 1 037,2 319,9 1 671,6 483,4 328,9 481,4 5 818,7 30 48 24 26 24 32 16 24 30 254 Coût net d'investissement actualisé par place 19,3 8,9 20,4 39,9 13,3 52,2 30,2 13,7 16,0 22,9 Année de construction 2010 2002 2006 2009 2003 2007 2011 2008 2005 Nombre de places de caravanes Coût net par place proposé de retenir comme coût de renouvellement : 22,9k€ Page 39 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 DETERMINATION DU COUT MOYEN ANNUALISE A PARTIR D’UN COUT DE RENOUVELLEMENT (2/2) En appliquant le coût forfaitaire de renouvellement de 22,9k€ (déterminé précédemment) au nombre de places de caravanes des AAGV, le coût de renouvellement de chaque aire est obtenu. Rapporté à la durée de vie proposée (20 ans), le coût moyen annualisé à intégrer dans l’évaluation en résulte. COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) Saint Médard en Jalles Bègles Mérignac/Pessac Coût de renouvellement par place 22,9 22,9 22,9 Nombre de places 24,0 30,0 48,0 549,8 687,3 1 099,6 Durée de vie 20,0 20,0 20,0 Coût moyen annualisé 27,5 34,4 55,0 100% 100% 50% 27,5 34,4 27,5 Coût de renouvellement de l'AAGV Part à la charge de la ville Coût moyen annualisé à la charge de la ville Même montant à retenir pour Mérignac et Pessac Page 40 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 DETERMINATION DU COUT MOYEN ANNUALISE A PARTIR D’UN COUT DE CONSTRUCTION ACTUALISE Le coût de construction actualisé est obtenu en appliquant au coût net d’investissement de l’origine l’évolution de l’indice BT 01 (bâtiment) entre le mois de janvier de l’année de construction et décembre 2013. La durée de vie proposée est de 20 ans. COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) Saint Jean d'Illac/Martignas Bordeaux Le Haillan/Eysines Coût net d'investissement à l'origine 1 402,8 289,5 392,7 Coût net d'investissement actualisé 1 671,6 328,9 489,9 20 20 20 83,6 16,4 24,5 100% 50% 50% 83,6 8,2 12,2 Durée de vie Coût moyen annualisé Part à la charge de la ville Coût moyen annualisé à la charge de la ville Même montant à retenir pour Le Haillan et Eysines Page 41 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 FRAIS FINANCIERS Les frais financiers intégrés dans l’évaluation sont destinés à prévoir les intérêts de la dette qu’aura à payer la Cub lors du renouvellement des équipements transférés. La méthode d’évaluation consiste, en l’absence de transferts d’emprunts (cas ici), de déterminer un emprunt théorique correspondant au coût net d’investissement (renouvellement ou construction actualisé) pondéré par le taux de couverture moyen du besoin de financement de la commune des 6 derniers exercices (2008-2013), dans la limite d’un plafond de 53%, soit le taux moyen constaté sur l’ensemble des communes de la Cub entre 2008 et 2012. Les conditions de prêt appliquées sont les suivantes : taux fixe de 3,20% sur 15 ans (durée moyenne des emprunts de la Cub). La masse des intérêts est ensuite rapportée à la durée de vie de l’équipement proposée, soit 20 ans. DETERMINATION DES FRAIS FINANCIERS (en k€) Le Mérignac/Pes Haillan/Eysin sac* es* Bègles Bordeaux Martignas sur Saint Médard Jalles en Jalles TOTAL Coût de renouvellement ou coût de construction actualisé 1 099,6 489,9 549,8 1 671,6 328,9 687,3 Part de l'emprunt dans le coût net d'investissement moyen 2008-2013 33,3% 32,6% 53,0% 49,4% 53,0% 46,3% Montant emprunt théorique 366,1 159,9 291,4 826,4 174,3 317,9 2 136,0 Masse des intérêts de la dette 100,6 43,9 80,1 227,0 47,9 87,4 586,9 Durée de vie 20 20 20 20 20 20 20 Frais financiers 5,0 2,2 4,0 11,4 2,4 4,4 29,3 * Pour les AAGV gérées dans le cadre de conventions entre 2 villes, prise en compte du taux de couverture par emprunt de la « ville pilote » Page 42 4 827,1 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 GROSSES DEPENSES D’INVESTISSEMENT ET D’ENTRETIEN Pour les AAGV gérées en DSP, les grosses dépenses d’investissement et certaines dépenses d’entretien incombent au délégant. Cette charge doit donc être considérée dans l’évaluation. Pour les autres communes (gestion en marché), les dépenses qui leur incombent dépendent de l’objet du marché. Sur la base des éléments transmis par les communes, 70k€ pourraient être retenus comme coût net des dépenses de gros entretien. Organisation Localisation AAGV BEGLES Ville seule Bègles BORDEAUX Ville seule Commune SAINT-MEDARD-EN-JALLES MERIGNAC PESSAC EYSINES LE HAILLAN MARTIGNAS-SUR-JALLE TOTAL Page 43 Dépenses d'investisse ment brut cumulées Période Dépenses d'investisse ment annuelles moyennes FCTVA Coût net 31,3 2011-2013 10,4 1,6 8,8 Bordeaux 25,0 2013 25,0 3,9 21,1 Ville seule Saint Médard en Jalles 52,1 2009-2012 13,0 2,1 11,0 Convention entre les 2 villes Mérignac 139,6 2008-2013 23,3 3,7 19,6 Convention entre les 2 villes Le Haillan 79,5 2007-2013 11,4 1,8 9,6 Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors Cub) Saint Jean d'Illac Intégré dans la participation que la Ville verse à Saint Jean d'Illac 83,1 13,1 0,0 70,0 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE EVALUATION DU COUT NET DES DEPENSES LIEES A L’EQUIPEMENT Organisation BEGLES Ville seule Bègles 27,5 4,0 8,8 40,3 BORDEAUX Ville seule Bordeaux 83,6 11,4 21,1 116,0 Ville seule Saint Médard en Jalles 34,4 4,4 11,0 49,7 27,5 2,5 9,8 39,8 27,5 2,5 9,8 39,8 12,2 1,1 4,8 18,1 12,2 1,1 4,8 18,1 8,2 2,4 0,0 10,6 233,1 29,3 70,0 332,5 Commune SAINT-MEDARD-EN-JALLES MERIGNAC PESSAC EYSINES LE HAILLAN MARTIGNAS-SUR-JALLE TOTAL Page 44 Convention entre les 2 villes Mérignac Convention entre les 2 villes Le Haillan Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors Cub) Saint Jean d'Illac Coût moyen annualisé Frais financiers Dépenses d'entretien et grosses réparations Localisation AAGV TOTAL CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DU COUT DES CHARGES SEMI-DIRECTES ET DE STRUCTURE Page 45 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 RAPPEL DE LA METHODE PROPOSEE PAR LE REGLEMENT INTERIEUR DE LA CLETC Le règlement intérieur de la CLETC prévoit de majorer le coût des charges transférées par les charges semi-directes (travaux en régie) et de structure (fonctions support), dont la méthode d’évaluation est la suivante : Dans le cas où l’exercice de la compétence repose sur un équipement : 25% du coût moyen annualisé -> cas des aires d’accueil des gens du voyage Dans le cas où l’exercice de la compétence ne repose pas sur un équipement : 25% du coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l’équipement L’évaluation de ces charges ne concernera que les villes qui gèrent seules l’AAGV ou bien celles qui gèrent dans le cadre d’une convention avec une autre commune. S’agissant des AAGV gérées en SIVU cette évaluation n’a pas lieu d’être car ces charges (supportées par la commune qui porte le SIVU) sont valorisées dans les comptes des syndicats et financées par les contributions budgétaires. Page 46 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DES CHARGES DE STRUCTURE ET SEMI-DIRECTES EVALUATION DES CHARGES SEMI-DIRECTES ET DE STRUCTURE (en k€) BEGLES BORDEAUX SAINTMEDARD- MERIGNAC EN-JALLES PESSAC LE HAILLAN EYSINES MARTIGNA S-SURJALLE TOTAL Coût moyen annualisé 27,5 83,6 34,4 27,5 27,5 12,2 12,2 8,2 233,1 Taux 25% 25% 25% 25% 25% 25% 25% 25% 25% 6,9 20,9 8,6 6,9 6,9 3,1 3,1 2,1 58,3 Charges semi-directes et de structure Page 47 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES* * Synthèse établie sur la base des propositions d’évaluation précitées Page 48 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 Proposition évaluation coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Proposition Proposition évaluation coût évaluation Total proposition net des charges de d'évaluation dépenses liées à structure et semil'équipement directes Organisation Localisation AAGV BEGLES Ville seule Bègles 19,0 40,3 6,9 66,1 BORDEAUX Ville seule Bordeaux 51,0 116,0 20,9 187,9 Saint Médard en Jalles 19,5 49,7 8,6 17,8 39,8 6,9 64,5 17,7 39,8 6,9 64,3 10,7 18,1 3,1 31,8 10,9 18,1 3,1 32,1 17,2 10,6 2,1 Commune SAINT-MEDARD-EN-JALLES MERIGNAC Ville seule Convention entre les 2 villes Mérignac PESSAC EYSINES Convention entre les 2 villes Le Haillan LE HAILLAN MARTIGNAS-SUR-JALLE GRADIGNAN TALENCE Convention avec Saint Jean d'Illac (commune hors CUB) Syndicat Intercommunal pour l’Aménagement et la Gestion de l’Aire d’Accueil Intercommunale des Gens du Voyage Saint Jean d'Illac Villenave d'Ornon BLANQUEFORT LE BOUSCAT Syndicat intercommunal de construction et de gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage à Bruges Bruges 21,0 21,0 21,0 10,5 35,6 35,6 54,1 54,1 34,6 34,6 BRUGES SAINT-AUBIN-DE-MEDOC SIVU Porte du Médoc LE TAILLAN-MEDOC PAREMPUYRE TOTAL Page 49 Syndicat Mixte pour la réalisation et la gestion d’une aire d’accueil des gens du voyage Saint Aubin de Médoc Pian Médoc (commune hors CUB) 29,8 21,0 10,5 VILLENAVE-D'ORNON 77,8 25,5 25,5 25,5 25,5 75,0 75,0 466,5 332,5 58,3 857,3 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 II. INFRASTRUCTURES DE CHARGE DES VEHICULES ELECTRIQUES Bordeaux Parempuyre Aucune modification apportée par rapport à la réunion de CLETC du 21/11/14 Page 50 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 BORDEAUX Page 51 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 ORGANISATION DE LA COMPETENCE Un appel d’offres a été lancé par la Ville de Bordeaux afin d’acquérir une vingtaine de bornes à recharge lente / semi rapide entre 2012 et 2015. Ces acquisitions sont subventionnées au titre du programme Ecocités. La Ville de Bordeaux a installé 12 bornes sur 6 stations, 2 bornes ayant été offertes par le constructeur automobile Nissan (donc 10 financées par la Ville). Page 52 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L’EQUIPEMENT La ville supporte aujourd’hui 12,6k€ de dépenses de fonctionnement et les dépenses d’électricité (3,2k€), sur la base des éléments 2014. A compter de 2016, une fois la période de garantie terminée, des dépenses de maintenance seront à supporter (estimées à 3,5k€/an). Ces dépenses n’étant pas supportées par la Ville aujourd’hui, elles ne rentrent pas en compte dans l’évaluation. COUT NET DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT (en k€) Abonnements tarifs bleu et jaune Supervision des bornes 2 Abonnements téléphoniques GPRS 0,6 Dépenses d'électricité 3,2 TOTAL Page 53 10 15,8 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 COUT NET DES DEPENSES LIEES A L’EQUIPEMENT COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) Dépenses d'investissement TTC FCTVA 36,7 Subventions 97,0 Coût net d'investissement 99,3 Durée de vie Coût moyen annualisé Page 54 233,0 3,0 33,1 Durée d’amortissement CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE SYNTHESE PROPOSITIONS D'EVALUATION (en k€) Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement 15,8 Coût moyen annualisé 33,1 Frais financiers 0,0 Dépenses d'entretien 0,0 Charges semi-directes et de structure (25% du coût moyen annualisé, soit 25%*33,1k€) 8,3 TOTAL Page 55 57,2 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 PAREMPUYRE Page 56 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE La commune a installé 2 bornes de rechargement, dont elle a supporté le coût à hauteur de 33%. La commune ne supporte aucune charge de fonctionnement. COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) Dépenses d'investissement TTC 7,0 FCTVA et subventions 4,7 Coût net d'investissement 2,3 Durée de vie 3,0 Coût moyen annualisé 0,8 SYNTHESE PROPOSITIONS D'EVALUATION (en k€) Page 57 Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement 0,0 Coût moyen annualisé 0,8 Frais financiers 0,0 Dépenses d'entretien 0,0 Charges semi-directes et de structure (25% du coût moyen annualisé, soit 25%*0,8k€) 0,2 TOTAL 1,0 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 III. RESEAUX DE CHALEUR ET DE FROID URBAINS Bordeaux Saint Médard en Jalles Page 58 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 VILLE DE BORDEAUX Transfert des forages de ressource d’eau chaude d’origine géothermale. Exploitation des réseaux de chaleur alimentés par les ressources d’eau chaude par Régaz, dans le cadre d’une convention d’exploitation signée avec la Ville de Bordeaux, le 25 juillet 1991. Cette convention porte à la fois sur l’exploitation des réseaux de chaleur et la distribution de gaz. Compte tenu des écarts de montants entre les deux activités, la redevance R1 est intégralement affectée sur la compétence distribution de gaz (Cf. page 70 du rapport) Page 59 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 VILLE DE SAINT MEDARD EN JALLES Réseau de chaleur construit par la Ville en 2007 puis étendu en 2013. Exploitation et maintenance confiées à Cofely dans le cadre d’un marché (signé le 24/01/07 pour 9 ans). COUT MOYEN ANNUALISE (en k€) COUT NET DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT NON LIEES A L'EQUIPEMENT (en k€) 2011 2012 Investissement Investissement 2007 2013 2013 Charges de personnel pour suivi du marché 0,0 0,0 0,0 Recettes 0,0 0,0 0,0 Coût net 0,0 0,0 0,0 Détermination des frais financiers (en k€) Coût net de construction actualisé selon BT 01 (pour la partie construite en 2007) + coût net de construction pour l’extension de 2013* Part de l'emprunt dans le coût net d'investissement moyen 2008-2013 Montant emprunt théorique 343,4 46,3% 158,9 Dépenses d'investissement TTC FCTVA 616,0 95,4 Coût net d'investissement 130,6 187,7 Durée de vie 30,0 30,0 Coût moyen annualisé 4,4 6,3 Coût moyen actualisé selon BT 01 5,2 6,3 11,4 SYNTHESE PROPOSITIONS D'EVALUATION (en k€) Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Coût moyen annualisé Frais financiers Durée de vie 30,0 Dépenses d'entretien (comprises dans le marché) Charges indirectes et semi-directes TOTAL Page 60 34,4 390,0 43,6 1,5 222,1 Subventions Masse des intérêts de la dette Frais financiers Total 0,0 11,4 1,5 nc 2,9 15,8 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 IV.CONCESSIONS DE DISTRIBUTION PUBLIQUE D’ELECTRICITE ET DE GAZ Modifications apportées par rapport à la réunion de CLETC du 21/11/14 Renseignement des données manquantes Correction des dépenses d’investissement de certaines communes Page 61 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 ORGANISATION DES COMPETENCES AUTORITE ORGANISATRICE Electricité AMBARES-ET-LAGRAVE AMBES ARTIGUES-PRES-BORDEAUX SDEEG BASSENS Commune BEGLES Commune BLANQUEFORT BORDEAUX SDEEG Commune BOULIAC SDEEG LE BOUSCAT SDEEG BRUGES SDEEG CARBON-BLANC SDEEG CENON SDEEG EYSINES Commune FLOIRAC SDEEG GRADIGNAN SDEEG LE HAILLAN LORMONT MARTIGNAS-SUR-JALLE MERIGNAC PAREMPUYRE PESSAC SAINT-AUBIN-DE-MEDOC SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND SAINT-MEDARD-EN-JALLES Page 62 SDEEG Commune SDEEG Commune SDEEG Commune SI du Médoc Commune SDEEG SDEEG Commune SAINT-VINCENT-DE-PAUL SDEEG LE TAILLAN-MEDOC SDEEG TALENCE SDEEG VILLENAVE-D'ORNON SDEEG Gaz Commune Commune Commune Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune SDEEG/Régaz SDEEG/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz SDEEG/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz Commune/Régaz SDEEG/Régaz Commune Commune/Régaz Commune Commune/Régaz SDEEG/Régaz Commune/Régaz CU Bordeaux - CLETC CONCESSIONS D’ELECTRICITE Page 63 2 décembre 2014 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODES D’EVALUATION CONCESSIONS D'ELECTRICITE Communes membres du SDEEG Communes qui gèrent seules Commune membre du SI du Médoc (Parempuyre uniquement) Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Coût net dépenses liées à l'équipement Aucun Moyenne sur 5 ans actualisée par l’indice BT 01 des participations versées par les communes (pas de recettes à déduire, car perçues directement par le syndicat). Pas de dépenses d'entretien, ni de frais financiers. Dépenses de fonctionnement équivalentes à R1 2013 (redevance de fonctionnement, dite redevance de contrôle) Pas d'évaluation des dépenses semidirectes et de structure. Moyenne sur 5 ans actualisée par l’indice BT 01 des dépenses d'investissement nettes de R2, article 8 (pour Bordeaux, Mérignac et Pessac uniquement) et FCTVA (pour Bordeaux, Lormont, Mérignac et Pessac uniquement). Pas de frais financiers, ni de dépenses d'entretien. Aucun Moyenne sur 5 ans actualisée par l’indice BT 01 des dépenses d'investissement (pas de recettes à déduire, car perçues directement par le syndicat) Pas de frais financiers, ni de dépenses d'entretien. Pour Bègles, l’évaluation du transfert de la compétence concession de la distribution publique d’électricité se fera hors redevance perçue par la commune au titre du rachat de la régie. La métropole reversera à Bègles la redevance jusqu’à l’échéance du contrat (2021). Page 64 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 COMMUNES MEMBRES DU SDEEG Coût net dépenses liées à l'équipement = Coût net dépenses de moyenne actualisée par fonctionnement non liées l’indice BT 01 des à l'équipement participations communales versées au SDEEG AMBARES-ET-LAGRAVE 0 26,1 26,1 ARTIGUES-PRES-BORDEAUX 0 39,0 39,0 BLANQUEFORT 0 65,1 65,1 BOULIAC 0 16,5 16,5 LE BOUSCAT 0 87,1 87,1 BRUGES 0 27,5 27,5 CARBON-BLANC 0 31,9 31,9 CENON 0 3,3 3,3 FLOIRAC 0 13,1 13,1 GRADIGNAN 0 11,2 11,2 LE HAILLAN 0 25,1 25,1 MARTIGNAS-SUR-JALLE 0 0,0 0,0 SAINT-AUBIN-DE-MEDOC 0 32,8 32,8 SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND 0 0,0 0,0 SAINT-VINCENT-DE-PAUL 0 0,0 0,0 LE TAILLAN-MEDOC 0 23,6 23,6 TALENCE 0 29,3 29,3 VILLENAVE-D'ORNON 0 54,0 54,0 0,0 485,4 485,4 TOTAL Page 65 TOTAL CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 COMMUNES QUI GERENT SEULES (1/2) Détail du coût net des dépenses liées à l’équipement DEPENSES D'INVESTISSEMENT REALISEES PAR LES COMMUNES ACTUALISEES SELON INDICE BT01 (en k€) 2009 AMBES BASSENS BEGLES BORDEAUX EYSINES LORMONT MERIGNAC PESSAC SAINT-MEDARD-EN-JALLES 47,3 121,0 61,0 0,0 0,0 0,0 0,0 171,3 7,2 2010 0,0 38,4 0,0 326,3 51,0 0,0 241,9 187,0 59,4 2011 0,0 58,4 0,0 0,0 25,1 61,9 156,7 460,5 158,3 2012 0,0 35,4 0,0 297,9 31,8 4,8 0,0 0,0 107,7 2013 Moyenne 2009-2013 0,0 23,6 158,4 142,9 7,0 97,6 246,7 0,0 199,6 9,5 55,4 43,9 153,4 23,0 32,9 129,0 163,8 106,4 Les dépenses d’investissement de Ambes, Bassens, Bègles, Eysines, Lormont et Saint Médard en Jalles sont nettes de la redevance R8. FCTVA ENCAISSE PAR LES COMMUNES ACTUALISE SELON INDICE BT01 (en k€) 2009 AMBES BASSENS BEGLES BORDEAUX EYSINES LORMONT MERIGNAC PESSAC SAINT-MEDARD-EN-JALLES 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 13,5 26,5 0,0 2010 0,0 0,0 0,0 50,5 0,0 0,0 0,0 29,0 0,0 2011 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 9,6 40,5 71,3 0,0 2012 0,0 0,0 0,0 46,1 0,0 0,7 22,8 0,0 0,0 2013 Moyenne 2009-2013 0,0 0,0 0,0 22,1 0,0 15,1 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 23,8 0,0 5,1 15,4 25,4 0,0 FCTVA uniquement pour Bordeaux, Lormont et Pessac. Estimation pour Bordeaux et Lormont. Pour Mérignac, récupération de TVA. REDEVANCE ARTICLE 8 ENCAISSEE PAR LES COMMUNES ACTUALISE SELON INDICE BT01 (en k€) 2009 AMBES BASSENS BEGLES BORDEAUX EYSINES LORMONT MERIGNAC PESSAC SAINT-MEDARD-EN-JALLES Page 66 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 41,2 57,3 0,0 2010 0,0 0,0 0,0 130,5 0,0 0,0 0,4 62,5 0,0 2011 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 108,5 154,0 0,0 2012 0,0 0,0 0,0 119,2 0,0 0,0 1,6 0,0 0,0 2013 0,0 0,0 0,0 57,1 0,0 0,0 19,1 0,0 0,0 Moyenne 2009-2013 0,0 0,0 0,0 61,4 0,0 0,0 34,1 54,8 0,0 Redevances article 8 uniquement pour Bordeaux, Mérignac et Pessac. CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 COMMUNES QUI GERENT SEULES (2/2) Synthèse Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement = dépenses de fonctionnement redevances R1 Dépenses AMBES BASSENS BEGLES BORDEAUX EYSINES LORMONT MERIGNAC PESSAC SAINT-MEDARD-EN-JALLES TOTAL Page 67 0,4 0,7 2,7 74,0 1,9 1,7 12,3 9,7 3,0 106,5 Redevance R1 0,4 0,7 2,7 74,0 1,9 1,7 12,3 9,7 3,0 106,5 Coût net 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 Coût net dépenses liées à l'équipement = moyenne actualisée des investissements nette des redevances R2, article 8 et FCTVA Moyenne 2009-2013 actualisée des dépenses d'investisse ment 9,5 55,4 43,9 153,4 23,0 32,9 129,0 163,8 106,4 717,2 Redevance R2 0,0 34,7 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 34,7 Article 8 (Bordeaux, Mérignac et Pessac uniquement) FCTVA (Bordeaux, Lormont, Mérignac et Pessac uniquement) 0,0 0,0 0,0 61,4 0,0 0,0 34,1 54,8 0,0 150,3 0,0 0,0 0,0 23,8 0,0 5,1 15,4 25,4 0,0 69,5 TOTAL Coût net 9,5 20,7 43,9 68,3 23,0 27,8 79,5 83,6 106,4 462,7 9,5 20,7 43,9 68,3 23,0 27,8 79,5 83,6 106,4 462,7 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 PAREMPUYRE (COMMUNE MEMBRE DU SI DU MEDOC) Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement PAREMPUYRE Page 68 0,0 Coût net dépenses liées à l'équipement = moyenne actualisée par l’indice BT 01 des dépenses d’investissement 25,5 TOTAL 25,5 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 CONCESSIONS DE GAZ Page 69 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODES D’EVALUATION CONCESSIONS DE GAZ Coût net dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Coût net dépenses liées à l'équipement Communes membres du SDEEG Aucun Aucun (à la charge du concessionnaire) Communes qui gèrent via Régaz Pas de dépenses de fonctionnement, sauf exceptions, R1 uniquement (redevance de fonctionnement) Pas d’évaluation des charges de structure et semi-directes. Aucun (à la charge du concessionnaire) Communes qui gèrent seules (en direct avec GRDF) Pas de dépenses de fonctionnement, mais R1 uniquement (redevance de fonctionnement) Pas d’évaluation des charges de structure et semi-directes. Aucun (à la charge du concessionnaire) Pour Bordeaux, l’évaluation du transfert de la compétence concession de la distribution publique de gaz se fera hors cession des actions de Régaz et hors redevance de mise à disposition d’éléments immatériels perçue par la Commune, sujets qui seront réglés par une convention spécifique car n’ayant pas directement trait au transfert de compétence. Page 70 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES Coût net dépenses de Coût net dépenses liées à fonctionnement non liées l'équipement à l'équipement AMBARES-ET-LAGRAVE AMBES ARTIGUES-PRES-BORDEAUX BASSENS BEGLES BLANQUEFORT BORDEAUX BOULIAC LE BOUSCAT BRUGES CARBON-BLANC CENON EYSINES FLOIRAC GRADIGNAN LE HAILLAN LORMONT MARTIGNAS-SUR-JALLE MERIGNAC PAREMPUYRE PESSAC SAINT-AUBIN-DE-MEDOC SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND SAINT-MEDARD-EN-JALLES SAINT-VINCENT-DE-PAUL LE TAILLAN-MEDOC TALENCE VILLENAVE-D'ORNON TOTAL Page 71 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 TOTAL 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 V. AIRES DE STATIONNEMENT Le Bouscat Modifications apportées par rapport à la réunion de CLETC du 21/11/14 Suppression des fiches de Blanquefort et Gradignan. L’évaluation de Blanquefort sera faite en 2015 avec les éventuelles nouvelles aires de stationnement transférées. L’aire de Gradignan ne sera transférée compte tenu de son intégration dans le périmètre de la ZAC centre-ville. Page 72 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 LE BOUSCAT Aire de stationnement entrée en service en octobre 2007. 672m², 57 places dont 2 PMR Mobilier urbain : 4 candélabres simples 150W + 2 candélabres doubles 150W DETERMINATION DU COUT NET D'INVESTISSEMENT ACTUALISE Travaux Extension initiaux TOTAL 2013 2007 Dépenses d'investissement TTC FCTVA Coût net d'investissement Coût net d'investissement actualisé selon indice BT 01 Durée de vie Coût construction annualisé 236,5 36,6 199,9 12,0 1,9 10,1 238,2 10,1 DETERMINATION DES FRAIS FINANCIERS (en k€) Coût de construction actualisé 248,3 Part de l'emprunt dans le coût net d'investissement moyen 2008-2013 49,9% Montant emprunt théorique Masse des intérêts de la dette 34,1 20 Frais financiers 1,7 COUT NET DES DEPENSES LIEES A L'EQUIPEMENT (en k€) 12,4 Frais financiers 1,7 Dépenses d'entretien 1,0 TOTAL Page 73 248,3 20 12,4 SYNTHESE (en k€) 124,0 Durée de vie Coût moyen annualisé 210,0 15,1 Coût net des dépenses de fonctionnement non liées à l'équipement Coût net des dépenses liées à l'équipement Charges semi-directes et de structure (25% du coût moyen annualisé, soit 25%*12,4k€) TOTAL A définir (probablement dépenses d'électricité, assurances…) 15,1 3,1 18,2 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 VI. POLITIQUE DE LA VILLE Page 74 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 METHODE PROPOSEE L’évaluation de la charge transférée pour la politique de la ville correspond à la valorisation du transfert d’un ETP à la métropole. Le montant à prendre en compte est de 67 774,44€ (salaire moyen CC d’un Ingénieur chef classe normale). Il est proposé de répartir la charge au prorata de la population de chaque commune. Page 75 AMBARES-ET-LAGRAVE AMBES ARTIGUES-PRES-BORDEAUX BASSENS BEGLES BLANQUEFORT BORDEAUX BOULIAC LE BOUSCAT BRUGES CARBON-BLANC CENON EYSINES FLOIRAC GRADIGNAN LE HAILLAN LORMONT MARTIGNAS-SUR-JALLE MERIGNAC PAREMPUYRE PESSAC SAINT-AUBIN-DE-MEDOC SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND SAINT-MEDARD-EN-JALLES SAINT-VINCENT-DE-PAUL LE TAILLAN-MEDOC TALENCE VILLENAVE-D'ORNON TOTAL 1 251 267 679 647 2 341 1 408 22 310 293 2 150 1 446 647 2 062 1 875 1 540 2 176 865 1 916 672 6 140 742 5 474 591 191 2 642 96 854 3 799 2 701 67 774 CU Bordeaux - CLETC VII.SYNTHESE PROPOSITIONS D’EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES Page 76 2 décembre 2014 CU Bordeaux - CLETC 2 décembre 2014 SYNTHESE SYNTHESE PROPOSITIONS D'EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES (en €) Concessions Infrastructures Aires d'accueil Réseaux de de distribution de charge des Aires de Politique de la des gens du chaleur et de publique véhicules stationnement ville voyage froid urbains d’électricité et électriques de gaz AMBARES-ET-LAGRAVE 0 0 0 26 098 0 1 251 AMBES 0 0 0 9 467 0 267 ARTIGUES-PRES-BORDEAUX 0 0 0 38 969 0 679 BASSENS 0 0 0 20 677 0 647 BEGLES 66 116 0 0 43 886 0 2 341 BLANQUEFORT 35 620 0 0 65 077 0 1 408 BORDEAUX 187 895 57 157 0 68 304 0 22 310 BOULIAC 0 0 0 16 505 0 293 LE BOUSCAT 54 067 0 0 87 122 18 223 2 150 BRUGES 34 643 0 0 27 454 0 1 446 CARBON-BLANC 0 0 0 31 859 0 647 CENON 0 0 0 3 260 0 2 062 EYSINES 31 849 0 0 22 957 0 1 875 FLOIRAC 0 0 0 13 088 0 1 540 GRADIGNAN 21 003 0 0 11 170 0 2 176 LE HAILLAN 32 078 0 0 25 088 0 865 LORMONT 0 0 0 27 768 0 1 916 MARTIGNAS-SUR-JALLE 29 849 0 0 0 0 672 MERIGNAC 64 494 0 0 79 538 0 6 140 PAREMPUYRE 75 000 962 0 25 494 0 742 PESSAC 64 329 0 0 83 640 0 5 474 SAINT-AUBIN-DE-MEDOC 25 498 0 0 32 846 0 591 SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND 0 0 0 0 0 191 SAINT-MEDARD-EN-JALLES 77 836 0 15 763 106 436 0 2 642 SAINT-VINCENT-DE-PAUL 0 0 0 0 0 96 LE TAILLAN-MEDOC 25 498 0 0 23 596 0 854 TALENCE 21 003 0 0 29 263 0 3 799 VILLENAVE-D'ORNON 10 501 0 0 54 020 0 2 701 TOTAL 857 278 58 119 15 763 973 584 18 223 67 774 Page 77 TOTAL 27 349 9 734 39 648 21 324 112 343 102 105 335 666 16 798 161 562 63 543 32 506 5 322 56 681 14 628 34 349 58 031 29 684 30 521 150 172 102 198 153 443 58 935 191 202 677 96 49 948 54 065 67 222 1 990 741 Annexe SYNTHESE PROPOSITIONS D'EVALUATION DES CHARGES TRANSFEREES (en €) Concessions Aires Infrastructure de Réseaux de d'accueil des s de charge distribution Aires de Politique de chaleur et de gens du des véhicules publique stationnement la ville froid urbains voyage électriques d’électricité et de gaz AMBARES-ET-LAGRAVE 0 0 0 26 098 0 1 251 AMBES 0 0 0 9 467 0 267 ARTIGUES-PRES-BORDEAUX 0 0 0 38 969 0 679 BASSENS 0 0 0 20 677 0 647 BEGLES 66 116 0 0 43 886 0 2 341 BLANQUEFORT 35 620 0 0 65 077 0 1 408 BORDEAUX 187 895 57 157 0 68 304 0 22 310 BOULIAC 0 0 0 0 293 16 505 LE BOUSCAT 54 067 0 0 87 122 18 223 2 150 BRUGES 34 643 0 0 27 454 0 1 446 CARBON-BLANC 0 0 0 31 859 0 647 CENON 0 0 0 3 260 0 2 062 EYSINES 31 849 0 0 22 957 0 1 875 FLOIRAC 0 0 0 13 088 0 1 540 GRADIGNAN 21 003 0 0 11 170 0 2 176 LE HAILLAN 32 078 0 0 25 088 0 865 LORMONT 0 0 0 0 27 768 1 916 MARTIGNAS-SUR-JALLE 29 849 0 0 0 0 672 MERIGNAC 64 494 0 0 79 538 0 6 140 PAREMPUYRE 75 000 962 0 25 494 0 742 PESSAC 64 329 0 0 83 640 0 5 474 SAINT-AUBIN-DE-MEDOC 25 498 0 0 32 846 0 591 SAINT-LOUIS-DE-MONTFERRAND 0 0 0 0 0 191 SAINT-MEDARD-EN-JALLES 77 836 0 15 763 106 436 0 2 642 SAINT-VINCENT-DE-PAUL 0 0 0 0 0 96 LE TAILLAN-MEDOC 0 0 0 854 25 498 23 596 TALENCE 21 003 0 0 29 263 0 3 799 VILLENAVE-D'ORNON 10 501 0 0 54 020 0 2 701 TOTAL 857 278 58 119 15 763 973 584 18 223 67 775 TOTAL 27 349 9 734 39 648 21 324 112 343 102 105 335 666 16 798 161 561 63 543 32 506 5 322 56 681 14 628 34 349 58 031 29 684 30 521 150 172 102 197 153 444 58 935 191 202 677 96 49 947 54 065 67 222 1 990 741