Revue de presse

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Revue de presse
Fujifilm lance la première édition de son concours photo et plonge
ses candidats au cœur de trois univers exaltants: la musique, la
mode et l'art contemporain.
Fortement touché par la conversion du marché de la photographie, passant de
l’argentique au numérique, la société japonaise Fujifilm a essuyé une forte crise
début 2000, suite à la chute des ventes de ses pellicules photo et l’arrivée sur le
marché des industries électroniques et de téléphonie mobile. Depuis, la marque s’est
reconvertie dans la nouvelle génération d’appareils : les hybrides. Souhaitant toucher
une clientèle plus haut de gamme et se différencier des concurrents, c’est dans ce
contexte que le concours Talents Nomades est né, déclare Christophe Eisenhuth,
responsable marketing et communication relations publiques de Fujifilm France. Initié
par l’agence Pschhh, fondée par le pertinent Jules Guillemet, ce concours est avant
tout une initiative de brand content aux dispositifs innovants et alternatifs.
Sous forme d’un web documentaire de 12 épisodes, diffusés un à un chaque
semaine sur la chaîne étudiante MCE et WAT.tv, Talents Nomades a rassemblé huit
candidats sélectionnés par casting. Ces amateurs de photographie, tous issus de
parcours différents ont dû révéler leur potentiel à travers trois sessions plus
qu’originales et alliant trois univers : la musique avec le festival de rock indé Cabaret
Vert, la mode dans les backstages de la Fashion Week avec le créateur Manish
Arora et pour la finale, le vernissage de la Slick Attitude, le off de la Fiac. Au huitième
épisode, le concours comptabilisait déjà plus de 90 000 vues.
Chaque série de photo est soumise au jury dont la composition réjouit autant que les
partenariats : Diego Buñel en tant que président, (Les Nouveaux Explorateurs), Agnès
Grégoire, rédactrice en chef du magazine PHOTO, Renaud Monfourny,
photographe et membre fondateur des Inrockuptibles et Jean-Baptiste Simon,
fondateur de la galerie Sakura. Des yeux aguerris donc, mais surtout séduits par
l’envie de voir de jeunes talents éclore.
Le gagnant, dont le nom sera dévoilé courant novembre, lors du dernier épisode,
bénéficiera d’un tremplin aux ressorts bien tendus: il remportera le dernier appareil
Fujifilm, le X T1, deviendra ambassadeur de la marque, ses œuvres seront
présentées à la galerie Sakura et figureront en double page du magazine PHOTO.
Une interview par les Inrockuptibles est également prévue.
Des connexions plus qu’intéressantes et inattendues de la part de Fujifilm mais qui
correspondent exactement au nouvel univers que la marque souhaite adopter et que
la pétillante agence Pschhh a su lui ouvrir. Les prochaines éditions de Talents
Nomades sont prévues pour les années à venir et des extensions à d’autres
domaines comme la danse ou le sport sont envisagés. Ça bouge chez Fujifilm !
T a g s : T a l e n t s N o ma d e s , f r a n c e , Fu j i f i l m, P sc h h h
Après une compétition d'agences, l'agence Pschhh remporte la stratégie digitale et
trade marketing de deux marques sur le marché des nettoyants ménagers du groupe
Unilever: Cif et Sun.
www.strategies.fr
07/11/2014
En UNE :
marques en vue
Cif et Sun dans l'escarcelle de Pschhh
DIGITAL. Suite à une compétition, le groupe Unilever a confié à l'agence Pschhh la stratégie digitale et
trade marketing de deux de ses marques pour 2015: Cif et Sun, leaders nationaux sur le marché des
nettoyants ménagers. Les derniers articles sur Unilever
Publié dans Satellinet n°220 du lundi 10 novembre 2014
L’agence Pschhh remporte la stratégie digitale des marques Cif et Sun (Unilever)
Sélection de budgets de communication en ligne remportés par les agences.
Semaine du 3 au 9 novembre.
[suite de l'article sur abonnement]
Date : 20/11/2014
Pays : FRANCE
Page(s) : 6-7
Diffusion : (10000)
Périodicité : Hebdomadaire
Surface : 8 %
Myfujifllm.fr Met en scène son produit phare, le livre photo HD. Réalisé par l'agence
lagence Pschhh, le film montre un décor
de laboratoire dans lequel trois professionnels semblent interpellés par un objet, jusqu'à
même les émouvoir aux
jusqu
à
larmes... Cet objet n'est
est donc finalement que le livre photo HD, qui met en valeur la photonumérique sur du papier
n
La
photographique. campagne est diffusée sur les chaînes nationales et la TNT (France TV et TMC) et est également
relayée sur le web.
Tous droits de reproduction réservés
À quelques semaines des fêtes de Noël, Myfujifilm.fr reprend la parole en TV. L’agence Pschhh, qui a
accompagné la marque dans la conception, la réalisation et la production de cette nouvelle campagne,
signe ici un film original, en rupture avec l’univers traditionnel des acteurs de l’impression photo
numérique.
Fujifilm, reconnu pour son savoir-faire et la qualité de son tirage papier depuis 80 ans, a lancé en 2011 Myfujifilm.fr, son
offre de développement de photo numérique et d’impression en ligne.
Aujourd’hui challenger sur un marché devenu très concurrentiel, la marque souhaite affirmer son expertise et mettre en scène
son produit phare, le livre photo HD, à l’approche des fêtes de fin d’année. L’agence et la marque ont souhaité développer un
film proposant un univers radicalement différent des autres acteurs du marché.
Dans un décor de laboratoire trois professionnels semblent interpellés, stupéfiés, par un objet soumis à observation. Jusqu’à
même les émouvoir aux larmes… Cet objet au cœur de toutes leurs attentions se révèlent être finalement le livre photo HD,
un produit de haute qualité mettant en valeur le meilleur de la photo numérique sur du véritable papier photographique.
Imaginé et produit par l’agence Pschhh, qui accompagne Fujifilm dans sa stratégie de communication globale, ce film a été
pensé pour valoriser l’expertise historique de la marque et la qualité exceptionnelle de son tirage photo.
A propos de Pschhh
Créée en 2007, Pschhh est une agence 360 qui défend une approche de la communication et du marketing centrée sur un brand content
généreux, un storytelling fort et une bonne dose d’advertainment, créateurs d’expériences et de relations entre les marques et leurs publics.
Dirigée par Jules Guillemet et Sébastien Brocandel, l’agence associe sa vision stratégique (conseil et activation) à son énergie créative
(production 360, studio de création propre), au service de clients tels que Adidas, Google, Chevignon, Timberland, GDF Suez, EDF,
Carrefour, Décathlon, Fujifilm, Heineken, etc… Pschhh compte aujourd’hui une trentaine de collaborateurs.
Site web : www.pschhh.com
Page Facebook : www.facebook.com/pschhh.
Crédits
Responsables annonceurs : : Angela Berbentia, Christophe Eisenhuth, Franck Portelance et Séverine Rivoisy
Equipe commerciale Pschhh: Jules Guillemet
Equipe création Pschhh : Sébastien Brocandel, Thomas Zavrosa
Production : Margaux Eschalier
Maison de production : Pschhh
Réalisateur : Benoit Tetelin Mallory
Strategies.fr
PRODUCTION
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réalisateur: Benoit Tetelin Mallory
production: Pschhh
AGENCE
agence: Pschhh
directeur de création: Sébastien Brocandel
directeur de création: Thomas Zavrosa
tv prod: Margaux Eschalier
CLIENT
client: Fujifilm
Date : 20/11/2014
Pays : FRANCE
Surface : 19 %
Mots : 128
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Myfujifilm.fr met en scène ses Experts
A quelques semaines des fêtes de Noël, Myfujifilm.fr reprend la
parole en TV.
Fujifilm a lancé en 2011 Myfujifilm.fr, son offre de développement de photo numérique et
d'impression en ligne. L'agence Pschhh, qui a accompagné la marque dans la conception, la
réalisation et la production de cette nouvelle campagne, signe ici un film original, en rupture avec
l'univers traditionnel des acteurs de l'impression photo numérique. Dans un décor de laboratoire
trois professionnels semblent interpellés, stupéfiés, par un objet soumis à observation. Cet objet
au cœur de toutes leurs attentions se révèlent être finalement le livre photo HD.
La campagne (15") sera diffusée sur les grandes chaînes nationales + TNT (France TV et TMC),
et sera également relayée sur le web (en format 20").
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Pas de fête de fin d'année sans photos ? L'agence Pschhh accompagne Myfujifilm.fr pour un spot TV chargé
d'affirmer son expertise avec son produit phare : le livre photo HD. Le spot met ainsi en scène trois professionnels
dans le laboratoire-maison qui découvre l'objet de la convoitise.
Titre
"myfujifilm.fr"
Agence
Pschhh
Campagne myfujifilm.fr
Annonceur Fujifilm
Marque
myfujifilm.fr
Communication
Agences 360 ou digitales, geek ou stratégiques ?
Complémentaires aujourd’hui, confondues demain, chacune défend ses atouts : la vision stratégique des agences 360, contre la
réactivité et la maîtrise technique des pure players
Si les domaines de compétence d’une agence de communication traditionnelle et d’un pure player se rejoignent de plus en plus, il existe
encore de réelles distinctions. La première se démarque par sa capacité accrue en stratégie globale et en expertise marketing, alors que le
second possède une réactivité et une maîtrise technologique que les grosses structures n’ont pas toujours. À l’annonceur de cerner ses
besoins : plutôt stratégiques, plutôt techniques, ou plutôt les deux.
Par Julien Lamotte
D
epuis quelques années, le digital est devenu le principal moteur d’une campagne de publicité. La communication online
emporte tout sur son passage, elle est devenue une clé incontournable de la réussite d’un projet. Le marché publicitaire tout entier
est désormais sous l’emprise numérique, à tel point que l’on peut parler, comme sur une scène de crime, d’empreinte digitale. Pour
tenter de déchiffrer cette empreinte, deux modèles d’agences s’opposent : les pure players d’un côté, et les agences dites 360 de
l’autre.
Ces dernières sont celles qui ont intégré la notion digitale à leurs services de communication déjà existants (print, spots TV, etc.).
Comme leur nom l’indique, elles sont capables de traiter toutes les problématiques inhérentes à une campagne via une pluralité de
canaux. À l’opposé de ces agences multifonctions, les pure players se distinguent par une activité uniquement dédiée au “tout en
ligne”.
Des souris et des hommes
Devant l’émergence de ces agences ultra-spécialisées et technologiquement très en avance grâce à la compétence des “nerds”, ces
petits génies de l’informatique, les grands groupes de communication n’ont pas tardé à réagir en rachetant ces pure players pour
les intégrer à leurs services (lire encadré). Mais le marché, en perpétuelle mutation, continue de faire la part belle à ces petites
structures qui rivalisent avec les mastodontes de la publicité.
Si leur vision de la place à accorder au digital diffère souvent, tous les acteurs de cette lutte se rejoignent néanmoins sur un point :
il serait tout à fait réducteur de résumer la distinction entre agence traditionnelle et pure player à une opposition entre
communicants d’un côté, et “nerds” de l’autre. Denis Pilato, directeur associé et fondateur de l’agence généraliste Care, prophétise :
“mettre dos à dos pure player et agence 360, c’est la photographie d’un marché actuel en train de disparaître. D’ici deux ans, on ne
fera plus le distinguo. Ces structures sont complémentaires aujourd’hui et demain fusionnelles”. Un constat repris par Frank
Farrugia, cofondateur de Re-mind, agence média exclusivement digitale, lassé des clichés autour des “geeks”, supposés constituer la
moelle épinière des pure players : “chaque univers est tombé dans la caricature. Il faut prendre le meilleur de chaque système. Le
digital a aussi besoin de moyen terme”.
“Si leur vision de la place à accorder au digital diffère souvent, tous les acteurs de cette lutte se rejoignent néanmoins sur un
point : il serait tout à fait réducteur de résumer la distinction entre agence traditionnelle et pure player à une opposition entre
communicants d’un côté, et “nerds” de l’autre”
Le phénomène est constaté par tous : de plus en plus de pure players incluent de la stratégie marketing à leurs prestations
techniques alors que dans le même temps, les agences 360 digitalisent au maximum leur offre. D’où une certaine confusion des
genres. “Les pure players vont muter en agence pluri-systèmes, avec des connexions de plus en plus poussées avec leur client afin
de mieux les connaître pour mieux les servir”, prédit Franck Farrugia. La page d’accueil de Re-mind ne dit d’ailleurs pas autre chose,
en promettant d’injecter du temps réel dans les médias traditionnels et de la vision long terme dans le digital.
Pour autant, et même si chaque modèle empiète sur les plates-bandes de l’autre, on observe une forme de respect mutuel,
presque de crainte, entre pure players et agences généralistes. “Ce n’est pas qu’une lutte entre deux systèmes. Certes, le marché
est compétitif et il faut remporter des compétitions, mais les agences 360 comme les pure players ont également bien perçu
l’intérêt qu’ils peuvent avoir parfois à collaborer” fait remarquer Élisabeth Billiemaz, directrice générale de l’agence Les Gaulois, née
de la fusion de deux filiales du groupe Havas. Cependant, si ces collaborations sont de plus en plus fréquentes, elles n’absorbent
pas toutes les différences entre les deux types d’agence.
Pure players, la temporalité explosée
Souvent constituées en petites structures, les agences entièrement online se distinguent par leur souplesse et leur vitesse de
réaction. C’est le cœur même de leur métier qui veut cela. Franck Farrugia analyse : “on constate une mutation de la fonction
marketing très fortement impactée par le digital qui bouleverse tout à travers deux points : le premier, c’est la lisibilité de la
performance. Avec cette nouvelle donne, on est beaucoup plus au courant de ce qui se passe. Le second point réside dans le fait
que le digital explose la notion de temporalité. On ne raisonne plus en termes de mois, de trimestre, nous sommes dans
l’immédiat”.
Ce dernier poursuit son raisonnement : “en combinant ces deux points, l’annonceur possède beaucoup plus de données, il est plus
‘intelligent’ et du coup, il est en droit de demander plus de réactivité. Cette temporalité immédiate offre également des
opportunités, car on sait tout de suite ce qui marche ou pas, elle laisse la place à l’erreur car on a la possibilité de corriger le tir en
quelques secondes”. C’est donc bien cette capacité d’adaptation qui fait l’une des forces majeures des pure players, leur autre atout
résidant bien entendu dans la grande maîtrise technologique dont font preuve ces agences.
Pour Jean-Philippe Martzel, directeur général adjoint de DigitalLBI, la plus-value s’exprime en termes de moyens humains : “la vraie
différence, c’est qu’à l’intérieur des agences purement digitales, il y a un tiers des personnes, des ingénieurs pour la plupart, qui
s’occupent d’intégrer des codes, alors que dans les agences dites intégrées, on va rechercher des prestataires extérieurs”. Passé
d’un média traditionnel à une structure entièrement vouée au numérique, ce dernier explique que “les ingénieurs de DigitasLBI sont
invités à la réflexion, ils ne se contentent pas de rentrer du code ! Ces ingénieurs d’un nouveau genre, appelés creative technology,
sont sans cesse sur la piste de nouvelles solutions informatiques”. Des arguments de poids auxquels doivent répondre les agences
360.
Agences traditionnelles, la stratégie des belles histoires
La riposte des entreprises de communication traditionnelles a déjà débuté par l’acquisition de certains de ces pure players. Mais la
digitalisation de leurs services n’est pas une fin en soi, les agences 360 doivent également capitaliser sur leur savoir-faire pour
convaincre des annonceurs éventuellement tentés par l’expérience pure player. S’il reconnaît que “plus le sujet est pointu, plus la
prestation d’un pure player sera affinée”, Vincent Leclabart, président de l’AACC (Association des agences-conseils en
communication), affirme que “les 360 possèdent la maîtrise de la marque, de l’idée créative. Les geeks ne l’ont pas”. Pour Élisabeth
Billiemaz, le nouvel enjeu se situe dans le lien créé avec le consommateur.
“On peut envisager qu’un annonceur confie les clés de sa communication globale à une agence intégrée qui va piloter le projet
grâce à sa vision périphérique, puis ensuite ce même annonceur peut faire appel à un pure player pour décliner les applications
numériques par exemple”
Le digital, et en particulier les réseaux sociaux, ont en effet inclus une notion d’interactivité qui n’existait pas auparavant.
“Désormais, la communication se fait de chaque côté du tuyau entre l’annonceur et le public. La marque n’a plus cette fonction
d’émetteur exclusif, elle est redescendue un peu de son piédestal. Et pourtant, même si le consommateur joue désormais un rôle
actif, il a encore envie qu’on lui raconte de belles histoires. C’est là que l’expertise et l’expérience d’une agence tout-terrain
trouvent leur terrain d’expression. Mais cette dernière doit avoir à l’esprit que le consommateur, si enclin soit-il à s’émerveiller, doit
être intégré au processus de création, il est en quelque sorte le co-réalisateur d’une campagne.”
La directrice générale de l’agence Les Gaulois défend son modèle : “la plus-value d’une agence traditionnelle se situe plus que
jamais dans le conseil et le sens marketing. Dans un monde publicitaire en pleine mutation ouvert aux quatre vents du digital, il
s’agit de créer une véritable identité pour l’annonceur, il ne faut pas que le message véhiculé perde sa cohérence. La stratégie joue
donc un rôle primordial pour répondre aux problématiques des marques, pour définir avec précision leur terrain d’expression”. Un
avis partagé par Jules Guillemet, fondateur et directeur général de l’agence Pschhh : “L’époque est au multicanal, mais le message
ne doit pas être altéré par les intérêts divergents de médias issus d’une
culture différente. La télé et Internet sont en effet régis par des codes
dissemblables et pourtant, ils doivent trouver un terrain d’expression
commun pour que le message véhiculé reste cohérent. C’est là que
l’expertise d’une agence traditionnelle est primordiale”.
Jules Guillemet va même plus loin et ose brancarder le tout-puissant
numérique. “On constate aujourd’hui un phénomène de ‘back to basics’ où
l’on se rend compte qu’une pub télé ou une belle affiche c’est bien aussi,
rappelle-t-il. Cette tendance, appelée ‘digital detox’, suit la réaction sociétale
des gens lassés d’être assistés par les nouvelles technologies. Les marques
ont suivi le mouvement. On réalise que le digital n’est pas non plus l’Eden
absolu, qu’il n’est pas la réponse à tout.” Devant cette forêt de visions
contradictoires, dans un écosystème digital de plus en plus complexe,
comment l’annonceur pourra-t-il alors choisir objectivement à qui confier sa
campagne ?
Guerre éclair ou longue campagne ?
Denis Pilato annonce en préambule qu’ “un annonceur qui veut faire du digital sans stratégie de marque ne sera pas pertinent. Son
action manquera de souffle. D’ici peu, les coups réalisés en one shot, sans réflexion profonde derrière le projet, auront disparu du
monde publicitaire digital”. Jules Guillemet délimite quant à lui les domaines de compétences d’un pure player : “si c’est pour une
mission de community management par exemple, une agence traditionnelle sera peut-être un peu limitée.
Il en va de même pour la refonte d’un site Internet, d’une application iPad ou téléphone mobile, bref des domaines qui nécessitent
peu de stratégie. Ces pure players sont pleinement efficaces pour la production pure, ou bien pour des missions d’e-réputation
avec infiltration de forums par exemple. Ils maîtrisent parfaitement les contraintes de l’e-RP car ils ont une connaissance parfaite
des blogueurs”. A contrario, selon lui, s’il faut challenger une marque ou créer un plan de communication, une agence
traditionnelle est parfaitement qualifiée. “De plus, il y a un vrai ras-le-bol des annonceurs avec ce morcellement où chacun tire un
peu dans tous les sens. Les clients veulent des mécaniques bien huilées, fluides, avec un même message. Une mission qui
correspond assez bien aux compétences d’une agence 360…”
Élisabeth Billiemaz tente elle aussi de clarifier les positions : “si le client est une enseigne avec une grande maturité, habitué aux
contraintes d’une campagne, il devrait se fier à l’expérience d’une agence 360. En revanche, pour un site d’e-commerce par
exemple, aux demandes extrêmement spécifiques et techniques, la maîtrise technique d’un pure player pourrait s’avérer très utile”.
Et de proposer en conclusion : “on peut également envisager qu’un annonceur confie les clés de sa communication globale à une
agence intégrée qui va piloter le projet grâce à sa vision périphérique, puis ensuite ce même annonceur peut faire appel à un pure
player pour décliner les applications numériques par exemple”. Le choix de la sagesse ?
Franck Farrugia porte aussi le débat sous la lumière financière : “pour l’annonceur, le prix est un facteur d’exclusion si l’agence est
trop chère, mais en aucun cas un facteur de choix car sur les compétitions, il y aura toujours des agences aux mêmes tarifs. Ce qui
va forcer la décision, ce sont donc les compétences, un supplément d’âme, un service irréprochable”. En cette ère numérique, savoir
que le facteur humain joue toujours un rôle décisif est finalement rassurant.
Des petits indépendants contre les puissants
La réaction a été lente mais retentissante. Ancrés dans leurs schémas de communication “à l’ancienne”, les grands groupes de publicité ont perdu un
temps considérable à l’arrivée des pure players sur le marché. Ces structures traditionnelles ont bien failli rater le coche du digital, mais leur puissance
financière leur a permis de combler leur retard grâce au rachat et à l’incorporation de ces nouveaux acteurs. C’est le groupe Publicis qui a le premier
tiré la sonnette d’alarme en acquérant, dès la fin 2006, Digitas, puis Business Interactive, W Cube et Phone Valley en 2007. En 2009, Duke et
Razorfish sont également tombés dans l’escarcelle de Publicis et depuis, toutes les grandes enseignes de communication lui ont emboîté le pas et
possèdent désormais leur cellule digitale.
Ces absorptions massives signifient-elles pour autant la fin des pure players indépendants ? “Le juge de paix, c’est la finance, rappelle Franck
Farrugia. C’est elle qui décidera de l’avenir, et on y est déjà avec l’acquisition de petites structures performantes par les plus grands groupes. Ceux-ci
ont de tels moyens qu’ils ont pu se permettre de rater le virage du digital et de se relancer en rachetant des pure players. C’est le sens de l’histoire.
Désormais, ces grosses sociétés publicitaires possèdent les armes pour gérer cette mutation, cette hybridation.”
Et d’ajouter, fièrement : “ce qui n’empêche pas les pure players de continuer à rivaliser avec les agences généralistes. À 50 personnes, nous parvenons
à remporter des marchés devant des sociétés 360 extrêmement puissantes financièrement”. Pour Vincent Leclabart, ces petites structures qui résistent à
l’envahisseur ne sont pas vouées à disparaître. “Les agences exclusivement online se posent la question de leur avenir car la plupart sont rachetées,
note-t-il. Mais le marché est tellement innovant qu’il arrive de nouveaux acteurs tous les jours, lesquels remplacent les pure players intégrés aux
grosses écuries.”
Services marketing et DSI, sous le drapeau du digital, la trêve
Les services marketing et informatique sont de plus en plus amenés à collaborer main dans la main pour digitaliser les prestations d’une agence. Une
étude récente d’Accenture (2014) illustre bien cette nouvelle donne, avec ses avantages mais aussi ses contraintes. Ainsi, les responsables de ces deux
départements sont plus que jamais conscients de l’importance d’unir leurs efforts pour mener à bien la transformation numérique de l’entreprise,
notamment dans sa version marketing. Il ressort ainsi de cette étude une convergence accrue autour des technologies appliquées au marketing, puisque
plus de la moitié des directeurs marketing (52 %) et des DSI (53 %) placent les technologies appliquées au marketing au sommet ou aux premiers
rangs de leurs priorités.
Néanmoins, cette nouvelle ère de coopération ne va pas sans heurts et des difficultés de mise en œuvre doivent être surmontées. Il apparaît en effet que
certains professionnels du marketing doutent de la capacité de la fonction informatique à suivre l’évolution des demandes du marketing dans la sphère
numérique. Parallèlement, 43 % des DSI estiment que les exigences du marketing changent trop fréquemment pour pouvoir y répondre.
Là encore, la solution se trouve dans l’interaction de compétences humaines puisque, selon l’étude, les deux fonctions doivent s’attacher à renforcer
leur coopération, les responsables marketing en recrutant davantage de collaborateurs dotés de compétences numériques, et les responsables
informatiques en embauchant davantage de profils techniques possédant une expérience du marketing. Plus précisément, Accenture recommande une
transformation des perceptions : de transactionnelles, les relations entre les deux fonctions doivent devenir stratégiques, les équipes marketing et
informatique devant dorénavant piloter conjointement de nouveaux services conçus selon un modèle et une approche numériques.
Publié le 14/01/2015
PAYS : France
RUBRIQUE : Mouvements
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DIFFUSION : 9455
SURFACE : 12 %
15 janvier 2015 - N°15.01.2015
PERIODICITE : Quotidien
ThomasZavrosa, directeur généraladjoint stratégieset
développementde Pschhh
AGENCE . Thomas Zavrosa arrive au poste nouvellement créé de directeur général adjoint de l agence
'
Pschhh, chargé des stratégies et du développement . Diplômé de l Edhec Business School et titulaire
'
d un master en management du sport , Thomas Zavrosa a débuté en 2005 chez Young
'
&
Rubicam
Paris et a été durant deux ans consultant freelance auprès d annonceurs et d agences.
'
'
Tous droits de reproduction réservés
URL : http://www.strategies.fr/
PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
16 janvier 2015 - 00:20
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Thomas Zavrosa, directeur général adjoint
stratégies et développement de Pschhh.
Thomas Zavrosa arrive au poste nouvellement créé de directeur général adjoint de l'agence
Pschhh, chargé des stratégies et du développement. Diplômé de l'Edhec Business School et
titulaire d'un master en management du sport, Thomas Zavrosa a débuté en 2005 chez Young &
Rubicam Paris et a été durant deux ans consultant freelance auprès d'annonceurs et d'agences.
Tous droits de reproduction réservés
DIFFUSION : 9455
PAYS : France
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22 janvier 2015 - N°1798
PERIODICITE : Hebdomadaire
PSCHHH
.Thomas
Zavrosa
arriveauposte
nouvellement
créé
dedirecteurgénéral
adjoint.
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PAYS : France
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SURFACE : 9 %
16 janvier 2015 - N°226
PERIODICITE : Hebdomadaire
Pschhh recrute Thomas
Zavrosa
en tant que
DGA
L agencePschhh, dirigée par
Jules Guillemet et Sébastien
Brocandel
, accueille Thomas
Zavrosa au poste
crée de DGA en charge
nouvellement
des stratégieset du
développement
. Pour Jules Guillemet et
SébastienBrocandel, associés
de l agence: «Nous sommes
ravis que Thomasnousrejoigne
dans l aventurePschhh. Nous
sommesaustadeou l agencene
cessede progresseret se
avecunecroissance
développe
. [ ...] Nous avonsbien
significative
l intention de créer des
opérations
et des campagnes360
encorepluspétillanteet à notre
image, celled uneéquipede 30
collaborateurs
, hyper-motivés.
'
'
'
'
'
'
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RUBRIQUE : La publicite et ses dirige…
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DIFFUSION : (600)
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PERIODICITE : Quotidien
19 janvier 2015 - N°15804
M. Thomas ZAVROSA est nommé directeur
général adjoint en charge des stratégies du
développement de l agence Pschhh
'
M . Thomas ZAVROSA, précédemment directeur de clientèle chez Young Rubicann, est nommé
directeur général adjoint en charge des stratégiesdu développement de l agence Pschhh. Il agit
d une création de poste. Il y a quelque chose en plus chez Pschhhqui ne a pas fait hésiter sur
mon choix. Entre advertainment, brand content et opérations à forte résonance médiatique, les
projetsdéveloppés sont ceux d une agencetrès prometteuse , explique M . ZAVROSA.
&
'
s'
"
'
m'
'
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Diplômé de l EDHEC BusinessSchool et titulaire d un master en management du sport,
M . Thomas ZAVROSA commença sa carrière en 2005 chez Young RubicannParis (WPP)
où il occupa les postes de chef de publicité puis de directeur de clientèle , en charge
notamment des comptes Décathlon, Grand Optical et Kronenbourg. En 2009, il intégra le
collectif Enjoy ADS en tant que directeur conseil et développement où il remporta plusieurs
compétitions comme LacosteLive, Rip Curl Europe ou Bering. Depuis 2012, il avait quitté
Enjoy pour devenir consultant freelance auprès d annonceurset d agences.
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&
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Tous droits de reproduction réservés
URL : http://www.ladn.eu/
PAYS : France
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15 janvier 2015 - 00:01
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Thomas Zavrosa rejoint l'agence Pschhh
L'agence Pschhh accueille Thomas Zavrosa au poste nouvellement
crée de Directeur Général Adjoint en charge des stratégies et du
développement.
Diplômé de l’EDHEC Business School et titulaire d’un master en management du sport, Thomas
débute sa carrière en 2005 chez Young & Rubicam Paris. Chef de publicité puis directeur de
clientèle, il a notamment géré des grands comptes comme Decathlon et l’ensemble de ses
marques propres, Grand Optical ou Kronenbourg et s'est également occupé pendant 5 ans de la
communication de Surfrider Foundation, ONG environnementale.
En 2009, il intègre le collectif Enjoy comme directeur conseil et développement. En charge des
prospections de l’agence, il remporte plusieurs compétitions comme Lacoste L!ve (retail), Rip
Curl Europe (Digital) ou Bering (Pub). Il assure également la supervision de plusieurs comptes
nationaux (Wonderbox, Destination Nature, Bering, Russian Standard Vodka) et internationaux
(Havaianas Europe, Rip Curl Europe).
Après 2 ans passés comme consultant freelance auprès d’annonceurs et d’agences, il rejoint
l'aventure de l'agence Pschhh en tant que DGA en charge des stratégies et du développement.
Tous droits de reproduction réservés
RUBRIQUE : Nomination
PAYS : France
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SURFACE : 4 %
PERIODICITE : Quotidien
16 janvier 2015 - N°1889 - Edition Paris Centre-Ile-de-France
75 / Pschhh : Communication
Après 2 ans passés comme consultant freelance auprès d annonceurs et d agences,
Thomas Zavrosa intègre l agence PSCHHH / T : 01.43.72.52.23 en tant que Directeur
Général Adjoint en charge des stratégies et du développement, poste nouvellement créé.
www .pschhh .com
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Tous droits de reproduction réservés
RUBRIQUE : Communication conseil
PAYS : France
PAGE(S) : 3
SURFACE : 7 %
16 janvier 2015 - N°1192
PERIODICITE : Hebdomadaire
PSCHHH
Thomas Zavrosa
cette
rejoint
agence conseil en
communication
au
marketing
,
nouvellement
crée , de
- poste
directeur
général
en charge des stratégies et du
adjoint
développement.
Edhec (2005.), ma.ster en management
du sport, il débute, en 2005, chez
Young Rubicam Paris, comme chef
depublicité puis directeur de clientèle,
avant de rejoindre, en 2009, le collectif
Enjoy, en tant que directeur conseil et
. Dernièrement, il était
développement
consultantfreelance etcoach sportif
&
&
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14 janvier 2015 - 18:44
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Thomas Zavrosa chez Pschhh
Thomas Zavrosa rejoint l'agence Pschhh et se voit confier la Dga en charge des stratégies et du
développement, un poste nouvellement créé. En 2009, il a intégré le collectif Enjoy comme
directeur conseil et développement où il a décroché des comptes comme Lacoste L!ve (retail),
Rip Curl Europe (Digital) ou Bering (Pub). Il était dernièrement consultant freelance
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Et pschhh, ça fait une nomination ! L’agence de communication et de marketing Pschhh vient d’annoncer le
recrutement d’un nouveau Directeur Général Adjoint qui sera en charge des stratégies et du développement de
l’agence. Pour ce faire, c’est Thomas Zavrosa qui a été choisi ! Découvrez-le par ici !
A chaque jour sa nomination, vous connaissez la chanson ! Hier, Air of melty vous annonçait la nomination d’Aline Bonnet au sein de l’équipe
Brand Activation. Aujourd’hui, c’est au tour de l’agence de communication et marketing Pschhh, qui "défend une approche de la
communication et du marketing centrée sur un brand content généreux, un storytelling fort et une bonne dose
d'advertainment, créateurs d'expériences et de relations entre les marques et leurs publics" et qui a déjà travaillé pour des
marques telles qu’Adidas, Google, Timberland ou encore Décathlon, de faire parler d’elle aujourd’hui pour une nomination de taille en son sein
! Thomas Zavrosa rejoint l’agence au poste nouvellement créé de Directeur Général Adjoint, sous la direction de Jules
Guillemet et Sébastien Brocandel. A ce poste, il sera en charge des stratégies et du développement. Diplômé de l’EDHEC Business School
et titulaire d’un master en management du sport, Thomas Zavrosa a débuté sa carrière en 2005 chez Young & Rubicam Paris, où il a été Chef de
publicité puis directeur de clientèle, avant de rejoindre le collectif Enjoy en tant que directeur conseil et développement. Après 2 ans passés
comme consultant freelance auprès d’annonceurs et d’agences, il rejoint donc l'aventure de
l'agence Pschhh en tant que DGA en charge des stratégies et du développement.
Thomas Zavrosa a expliqué qu’"il y a quelque chose en plus chez Pschhh qui ne
m'a pas fait hésiter sur mon choix. Entre advertainment, brand content et
opérations à forte résonance médiatique, les projets développés sont ceux
d'une agence très prometteuse et les grands clients qui ont rejoint Pschhh
ces dernières mois, ont tout de suite compris qu'il pouvait se passer quelque chose de nouveau dans le monde de la
communication". Jules Guillemet et Sébastien Brocandel, associés de l'agence Pschhh, se sont également exprimés au sujet de cette
nouvelle arrivée : "Nous sommes ravis que Thomas nous rejoigne dans l'aventure Pschhh. Nous sommes au stade ou
l'agence ne cesse de progresser et se développe avec une croissance significative. 2015 sera l'année Pschhh ou ne
sera pas ! Nous avons bien l'intention de créer des opérations et des campagnes 360 encore plus pétillante et à notre
image, celle d'une équipe de 30 collaborateurs, hyper-motivés et convaincus que la nouvelle création publicitaire
passe aussi par des modèles d'agences hybrides à l'image de Pschhh". Bonne nouvelle aventure à lui !
RUBRIQUE : Livres
PAYS : France
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PERIODICITE : Bimensuel
30 janvier 2015 - N°412
FCB PARIS
étoffe ses équipes.
'
Après l arrivée de son
nouveau directeur
de création Julien
'
Rotterrnan , l agence
FCB Paris recrute
Virginie Clerget au
poste de directrice
des stratégies et du
développement . Elle
était auparavant chez
Clm bbdo et Havas
Paris . FCB Paris
recrute également le
concepteur-rédacteur
Benjamin Caillé
afin de développer
'
l expertise de creative
technologist . ce
nouveau poste , il
aura pour mission
d' apporter aux
clients et prospects
de FCB Paris « des
réponses sans cesse
plus novatrices et des
idées toujours plus
connectées comme
FCB Paris vient de le
faire pour Nivea Perles
de Q10 avec Oculus »,
selon les termes de
'
l agence.
CÉCILE
ROQUELAURE
est nommée directrice
communication
d' Empruntis.
Le spécialiste du
courtage en crédit
'
Empruntis l intègre
au poste de directrice
communication et
études . En 2001 ,
Cécile Roquelaure
initialement collaboré
'
rejoint le groupe Caisse à l implantation en
d ' Epargne en tant que
France de la marque
de barbecue Weber à
responsable produits/
marché (
assurancevie
, épargne , IARD ,
gestion privée) au
sein de la Caisse
lie-de- France Ouest
puis de la Caisse
'
Côte d Azur , où elle
devient responsable
communication clients
en 2008 . En 2012 ,
elle intègre l ' organe
central des Caisses
d ' Epargne , BPCE, en
tant que responsable
assurance non-vie
( AR D et prévoyance) ,
elle occupait
poste
avant de rejoindre
qu'
Empruntis.
JEAN
CHRISTOPHE
GROS
est le nouveau
directeur marketing
de Toupret . JeanChristophe Gros
'
rejoint l entreprise
la fin des années 90.
PAUL
MAZLOUM
opérations.
responsable comptes
'
clés d enseignes
et de directeur
grandpublic
commercial . Depuis
2011 , il encadrait
les équipes ventes et
GUILLAUME
TALON
directeur marketing
et communication
ex-directeur
sur les différentes
France de Mazars . Il
était auparavant chez
général
'
adjoint de l agence
Australie et ancien
BNP Paribas Wealth
senior partner
chez Havas Paris ,
Management en
tant que responsable
et Pierre-Antoine
Allain , ex-Capgemini
marketing digital ,
après avoir été
Consulting , rejoignent
le cabinet de conseil
responsable marketing
produits et services de
2005 à 2013.
MARIE
BOUQUILLON
'
intègre l agence ESV
Digital en tant que
(Chief Operating
Officer) . Elle aura
pour mission de gérer
l ' ensemble des équipes
de fonds et de
décoration , en tant que
directeur marketing
et communication.
Digital liées aux
offres de l ' agence
dans les secteurs
Précédemment
du data analytics ,
du branding et de
l ' achat média . Elle a
auparavant passé six
travaillé pour le groupe
Materis après avoir
projet spécialisée dans
les problématiques
technologies et
les fonctions de
est nommé au poste
nouvellement créé de
française Toupret ,
spécialisée dans les
enduits de préparation
sein du groupe suédois
Husqvarna , il a aussi
&
marketing produits en
tant que directeur de
division IT Consumer
opérationnelles en
'
France et d assurer
'
l application
des nouvelles
'
méthodologies d ESV
directeur marketing
et communication au
conseil en stratégie
McKinsey
Company
en tant que chef de
ans au sein du pôle
Business Technology
Office du cabinet de
Equancy en qualité de
directeur et consultant
senior . Guillaume
Talon sera en charge
du développement de
la practice branding
d ' Equancy Paris.
Pierre-Antoine Allain
vient quant à lui
'
renforcer l expertise
marketing stratégique
du cabinet.
ANGELO
D AMBROSIO
'
est nommé directeur
'
général d Acer France
Il remplace Daniel
Trachino qui occupait
la fonction depuis
2007 et qui prend la
gestion de la région
du Moyen-Orient dans
le groupe . Angelo
'
d Ambrosio a intégré
la société Acer France
en 2006 . Il a occupé
lignes de produits (PC,
portables , netbook ,
tablettes , moniteurs et
vidéo-projecteurs) .
KARINE
PATOLE
GUEDON
se voit confier la
direction adjointe
de AdCity , le
du groupe
pureplayer
Havas dédié aux
problématiques locales
et multi-locales . Sa
principale mission
la responsabilité du
bureau régional de
Puteaux (92) et le
développement de
l ' implémentation de
la data AdCity auprès
des clients du groupe
directrice du pôle
Communication BtoB
&
Local) .
THOMAS
ZAVROSA
rejoint Pschhh
est en tant que
DGA stratégies et
C'
développement que
Thomas Zavrosa
'
rejoint l agence . Il
débute sa carrière
en 2005 chez
Rubicam
Young
Paris en tant que
chef de publicité
puis directeur de
&
clientèle . En 2009 ,
intègre le collectif
Enjoy comme
directeur conseil
et développement.
Avant d' intégrer
Pschhh , il a passé
passé deux ans
comme consultant
freelance auprès
'
d annonceurs et
d 'agences.
Havas. Elle était
jusqu'
ici la directrice
du développement
de la marque BFM
Business . Elle était
auparavant global
account director
chez Mediacom ,
après être passée à la
direction commerciale
de Vizeum et Carat
Fusion (où elle était
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RUBRIQUE : Conseils
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28 janvier 2015 - N°28 01 2015
PERIODICITE : Quotidien
Pschhh entre à AACC
'
MARKETING SERVICES . L Association des agences-conseils
en communication
accueille Pschhh
parmi les agences membres de sa délégation Customer marketing . Pschhh est une agence-conseil
communication
en
globale créée en 2007 , dirigée par son fondateur Jules Guillemet et Sébastien
Brocandel , directeur associé en charge de la création . Elle compte parmi ses principaux clients Adidas
Group , Carrefour , Chambord , Chevignon , Decathlon , Easy Jet , EDF , Fujifilm , GDF Suez , Google ,
Jardiland , etc . Les derniers articles sur Pschhh
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28 janvier 2015 - N°229
PERIODICITE : Hebdomadaire
PSCHHH
rejoint
'
AACC
L Association
des AgencesConseils en Communication
( AACC) annonce l arrivée de
l agence PSCHHH parmi les
membres de sa Délégation
Customer
Marketing . PSCHHH est
une agence-conseil en
communication
globale créée en 2007
qui défend une approche de la
communication centrée sur un
brand content généreux , un
fort et une bonne dose
storytelling
d advertainment .
PSCHHH
ses
parmi
principaux
compte
clients : adidas Group ,
Carrefour
, Chambord , Chevignon ,
Decathlon , easyJet , EDF ,
Fujifilm
SUEZ , Google ,
, GDF
Jardiland ,
Legrand , Mister
Cocktail , MSA , Nikon , OTIS ,
Poliakov , Unilever
( sur les
Cif
et
Sun)
,
marques
Timberland
.. .
'
'
'
'
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RUBRIQUE : Informations diverses
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DIFFUSION : (600)
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28 janvier 2015 - N°15811
PERIODICITE : Quotidien
Pschhh/ AACC / intégration : L Association des agences-conseils en communication (AACC) a
'
annoncé hier l intégration de l agence Pschhh au sein de sa délégation Customer Marketing .
Pschhh est une agence-conseil en communication globale créée en 2007 et dirigée par MM . Jules
GUILLEMET , fondateur et directeur général , et Sébastien BROCANDEL , directeur associé en charge
de la création . Pschhh compte parmi ses principaux clients : Adidas Group , Carrefour , Chambord ,
Chevignon , Decathlon , EasyJetou encore EDF.
'
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"
"
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JOURNALISTE : Le 27/01/2015 À 1…
PAYS : France
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28 janvier 2015 - N°28 01 2015
PERIODICITE : Quotidien
Ca Pschhh à AACC
'
Le 27/ 01/ 2015 à 16 :42 par Carole Soussan
s en publicité , est à la délégation Customer
Après les arrivées cette semaine à AACC de St John'
marketing de enrichir d un nouveau -et 23ème- membre : Pschhh . L agence conseil en
communication globale a été créée en 2007 par Jules Guillemet , fondateur directeur général et
Sébastien Brocandel , directeur associé en charge de la création . Une façon , pour eux , d aider nos
métiers dans leurs intégrations et évolutions au sein de l écosystème dans lequel nous progressons"
'
c'
'
'
s'
'
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RUBRIQUE : Marques en vüg
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PERIODICITE : Quotidien
18 mars 2015 - N°20150318
Les casinos Partouche mènent une compétition
PUBLICITE . Les casinos Partouche mènent une compétition , orchestrée par le cabinet Pitchville ,
concernant leur charte publiciaire . Les agences en lice sont Le Fil , La Famille XXL , Pschhh , Enjoy et
la sortante Complus . L agence choisie aura pour rôle de définir une charte , qui sera ensuite déclinée
'
au niveau local par les casinos du groupe.
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18 mars 2015 - 11:55
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Les casinos Partouche mènent une
compétition
publicité, orchestrée par le cabinet Pitchville, concernant leur charte publiciaire. Les agences en
lice sont Le Fil, La Famille XXL, Pschhh, Enjoy et la sortante Complus. L'agence choisie aura
pour rôle de définir une charte, qui sera ensuite déclinée au niveau local par les casinos du
groupe.
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Le brand content est sur toutes les lèvres, mais de quels contenus
s'agit-il, et à quelles fins ?
Quelle mouche a donc piqué le monde de la publicité et du marketing ? Pas une agence aujourd'hui qui
ne se revendique du "brand content", des annonceurs qui challengent leurs plans média TV car ils
souhaitent développer leur proprecontenu de marque...
Un tel enthousiasme, aussi spontané qu'excessif, impose une
certaine prudence. Tendance ou traquenard ? Illusion ou
révolution ? Le "brand content" ne serait-il pas devenu un
contenant sans contenu... ce qui serait quand même un
comble !
Des contenus
tornade Web
chamboulés
par
la
Si le stylisme et les personnages de la série "Mad Men" nous paraissent d'un autre temps, que dire
alors de leur vision de la publicité ? La tornade Internet est depuis passée par là, rebattant les cartes
et
repensant
tous
les
usages
sur
son
passage.
Conversation,
co-création,
information,
personnalisation... autant de verbes d'action que le Web a radicalement redéfini et dont le
dénominateur commun est l'interaction.
L'existence même d'Internet est conditionnée par ce que les utilisateurs y créent : si l'interaction y est
possible, c'est parce que les "users" y génèrent du contenu(UGC). Le "brand content" répond en
toute logique à cette structuration fonctionnelle : si une marque veut exister sur le Web, elle se doit
d'être un internaute comme un autre et de générer à ce titre un contenu déclenchant ou autorisant
l'inter-action. Internet procure les interfaces (sites, moteurs de recherche, réseaux sociaux...), les
"users" les font vivre en y injectant le contenu dont elles ont besoin pour vivre et se développer. C'est
un cercle vertueux reposant sur une dépendance mutuelle.
Le problème est qu'aujourd'hui, du fait de la typologie des plateformes pour lesquelles les marques
développent habituellement du contenu (sites internet, blogs, réseaux sociaux), celui-ci n'est en
général envisagé que d'un point de vue éditorial, avec pour objectif principal d'exister à tout prix
dans l'écosystème digital. Posts, tweets, articles... sont souvent perçus comme des occasions
supplémentaires de gagner en visibilité, le contenu restant lui, très autopromotionnel. Mais alors quel
contenu générer ? Et surtout à quelles fins ?
Vous avez dit "performatif" ?
Ce qui réunit les agences de la délégation "Customer Marketing" de l'AACC, c'est une conviction
profonde
:
le
consommateur
doit
toujours
être
placé
au
centre
des
écosystèmes
de
communication/promotion créés par les marques. Le contenu envisagé au travers de ce prisme
"customer centric" pose la question du bénéfice que ce dernier en tire. Pour qu'il y ait bénéfice, il
faut qu'il y ait effet, modification d'un état de fait : d'où l'idée que le contenu a probablement un rôle
"performatif" à jouer.
"La performativité", explique Wikipédia, "est le fait, pour un signe linguistique [...], de constituer
lui-même ce qu'il dénote, c'est-à-dire que produire [...] ce signe réalise l'action qu'il décrit. Par
exemple, le simple fait de dire " je promets " constitue une promesse."
Un brand content d'inspiration "performative" exaucerait en même temps qu'il la formule la promesse
qu'il sous-tend. Un tel contenu produirait une valeur ajoutée tangible pour le consommateur final,
si ce n'est d'un point de vue fonctionnel (création de services à la "Nike +"), au moins émotionnel
(création de programmes de divertissement tels que ceux développés par Lego).
Et maintenant, action !
A lire aussi :
La vidéo, dynamiseur de brand content, première partie et deuxième partie
Le brand entertainment renouvelle les contenus publicitaires
L'auteur : Issu d'une famille d'entrepreneurs et passionné de théâtre depuis sa plus tendre enfance,
Jules Guillemet, a d'abord étudié la philosophie et développé parallèlement des projets de fiction
(écriture, réalisation et production de 4 courts et moyens métrages). Il décide de mettre ses
compétences narratives et son goût pour le storytelling à profit pour les marques et crée l'agence
Pschhh en 2007, à l'âge de 21 ans. Directeur général de Pschhh, il en assure aussi une partie de la
Direction Conseil pour certains des principaux clients de l'agence (GDF SUEZ, Fujifilm, Ben&Jerry's
entre autres).
Nous poursuivons, dans cette deuxième partie, notre enquête sur la vidéo, indispensable média de brand
content. Découvrez, si vous l'avez ratée, la première partie du dossier ici.
YouTube, Dailymotion ou Vimeo ?
Quelle plateforme choisir pour publier sa vidéo sur le Web ? YouTube se présente comme la plateforme
référente. Propriété de Google, elle assure un référencement optimal au contenu vidéo. Pour Jules
Guillemet, "YouTube a plus un rôle d'hébergeur de vidéos que de réseau social.On y met en ligne sa vidéo
puis on la diffuse en plus sur des plateformes périphériques (sites affinitaires, blogs...)". Mais rien
n'empêche de publier également sa vidéo sur Dailymotion, afin d'optimiser son référencement naturel
(SEO). Vimeo, quant à elle, est uneplateforme très prisée des artistes et des créatifs. Elle permet de
toucher un public plus jeune, particulièrement sensible à la qualité de l'image.
Le hashtag
Le hashtag est intéressant à utiliser pour relayer son contenu vidéo sur le Web,surtout pour un
dispositif avec un message fort ou une cause particulière.La reprise du hashtag par les utilisateurs
de Twitter, habitués à cet outil, permettra à la vidéo, et à l'opération dans laquelle est intégrée, d'optimiser
sa visibilité sur le Web. "Pour la viralité, une vidéo qui a récolté un nombre de vues limité mais aura
permis la diffusion du hashtag pourra quand même être considérée comme réussie", note Jules Guillemet.
Quels KPIs ?
Comment évaluer les résultats de son contenu vidéo ? Tout dépend de l'objectif suivi. Sur le Web, on peut
suivre le nombre de partages de la vidéo sur les réseaux sociaux, ou la typologie des commentaires
(positifs ou non). " Attention toutefois à pondérer les résultats : un like n'est pas à mettre au même niveau
qu'un partage ou un commentaire, plus engageant ", précise Jules Guillemet.
De plus, les KPIs changent en fonction du sujet abordé. Pour l'opération "La Vérité sur les Filles" pour la
nouvelle Renault Twingo, la marque et l'agence Marcel ont suivi le nombre de vues générées par
conversation, autrement dit l'engagement : "Nous avons voulu répondre aux questions suivantes : la
conversation générée était-elle positive ou négative pour la marque ? Y a-t-il eu approbation ou rejet de la
vidéo ?", explique Jérémie Bottiau. Hormis l'engagement, d'autres KPIs peuvent être suivis, tels que le gain
de notoriété ou la conquête d'une nouvelle cible.
Cas pratique : l'Effet Papayon d'Oasis
En 2014, Oasis diffuse sur YouTube "L'Effet Papayon", une web-série en quatre épisodes de 2 minutes 30
chacun. Chaque vidéo présente le même schéma scénaristique, autour de l'arc narratif global : l'histoire
d'amour entre Ramon Tafraise et Frambourgeoise.
Pour faire patienter les fans entre chaque épisode, Oasis y a intégré des Easter Eggs, comme le
site YouPomm ou le jeu vidéo Fruit Fighter, parodie du célèbre Street Fighter. "Ces clins d'oeil, cachés dans
chaque
épisode,
ont
rendu
plus
engageant
le
visionnage
des
vidéos, remarque
Jérémie
Bottiau. L'internaute les regarde une première fois par plaisir, puis une deuxième fois pour découvrir les
bonus cachés". Résultat : 7 millions de vues sur YouTube pour les trois premiers épisodes.
Passant de 24.000 à 105.000 abonnés, Oasis est devenue la première chaîne YouTube de marque en France.
A RETENIR :
Ne pas copier-coller un succès
Dupliquer une idée qui a fonctionné n'est pas la bonne solution : celle-ci a déjà été vue partout (exemple : la
vidéo interactive "L'ours et le chasseur" signée Tipp-Ex). Il n'y a pas de formule toute faite en brand content
: à vous d'innover !
Le bon dosage
Il est important de trouver le bon rapport entre un contenu original et audacieux, et le message à diffuser.
Beaucoup d'annonceurs souhaitent une vidéo décalée, en oubliant le réel enjeu : proposer du contenu en
accord avec l'ADN de la marque.
Une question de cadre
Au moment du tournage, on ne choisit pas le cadre d'une vidéo de la même manière selon le support choisi
(TV, Facebook, YouTube...). Plus on va vers un petit écran, plus on doit simplifier l'arc narratif et le cadre du
contenu. Il est donc important de travailler sur cet aspect dès la phase de conception, au moment du choix
du support de la vidéo.
Avec le digital, les possibilités pour les marques de diffuser du contenu se sont considérablement
développées. L'opération Red Bull Stratos, en 2012, a prouvé qu'on pouvait créer un contenu puissant,
visible et stratégique, grâce à la vidéo. La même année, la web-série "Les Dumas", de BouyguesTelecom et l'agence DBB Paris, a cumulé 10 millions de vues tous players confondus, et rencontré un vrai
succès populaire.
Aujourd'hui, rares sont les opérations de content marketing où la vidéo ne joue pas un rôle majeur.
Hébergée sur YouTube, elle permet de dynamiser le contenu et de le partager rapidement sur
les réseaux sociaux. Ses multiples formats (tutoriel, storytelling, web-série...) en font l'outil idéal pour
trouver le ton juste auprès de sa cible, tout en proposant une durée adaptée au support que celle-ci
utilise (une vidéo Vine de six secondes sera visionnée sur mobile alors qu'un film de vingt minutes pourra
être diffusé au cinéma). Attention toutefois à ne pas oublier le principal : raconter l'histoire de la marque. Et
intégrer la vidéo au sein d'un écosystème plus large de contenus.
La vidéo, une part de l'écosystème
Si elle a parfois le premier rôle, la vidéo ne doit pas rester isolée mais faire partie intégrante d'un
ensemble de contenus. On ne peut ainsi pas concevoir des vidéos sans penser à l'écosystème digital. Pour
son client Renault, l'agence Marcel a intégré la vidéo au reste du dispositif "La Vérité sur les Filles". "Le but
des trois films diffusés sur YouTube était de donner envie et relayer l'ouverture d'un pop-up store,
l'événement principal de l'opération, explique Jérémie Bottiau, directeur de création chez Marcel. La vidéo
n'est ici que l'élément déclencheur de la viralisation de la campagne. Sur cette opération, ce sont les jeunes
femmes qui créent le brand content, en proposant des phrases que l'on va imprimer ensuite sur des teeshirts, pas la vidéo".
Quel objectif ?
Le brand content vidéo répond à un objectif précis. Les marques doivent savoir à quoi le contenu
vidéo va leur servir. Exemples d'objectifs derrière des opérations de brand content vidéo : l'opération
digitale "La Vérité sur les Filles" (Renault) a pour but de créer un point de rencontre entre la cible à
conquérir (les jeunes femmes) et la voiture (nouvelle Twingo). "Comment créer du contenu créatif qui fait
déplacer les consommateurs ?, se sont demandés Jérémie Bottiau et son équipe. La réponse : ouvrir un
pop-up store où ces derniers sont invités à faire un selfie pour avoir la chance de gagner un vêtement
personnalisé. La vidéo joue alors le rôle de relais vers le point de vente éphémère".
Le film "L'Odyssée de Cartier", diffusé en TV et au cinéma et qui dépasse les trois minutes, devait justifier
d'un savoir-faire et communiquer sur le patrimoine de la marque. La vidéo représente dans ce cas un écrin
pour la marque.
Une approche customer centric
Cela peut paraître évident, et pourtant... Il est primordial, au moment de concevoir une opération de brand
content, de se poser la question de l'intérêt pour le client. Créer du contenu vidéo, c'est bien, encore
faut-il se demander quelle sera la valeur ajoutée au final pour le consommateur.
La web-série "Mon Projet Plus" par GDF Suez Pro, par exemple, a pour but d'accompagner huit candidats
(boucher, boulanger, carrossier ou créateur de start-up) dans leur projet professionnel et leurs
investissements. "Le contenu est mis en valeur dans des vidéos mais aussi dans un magazine ou des fiches
pratiques, mises en ligne sur le site Web, explique Jules Guillemet, directeur général de l'agence Pschhh, en
charge du projet. A travers ce contenu pédagogique, le client peut trouver une réponse à ses questions
concernant l'énergie".
Le succès du tutoriel
De plus en plus utilisé par les marques, le tutoriel vidéo est un format efficace pourdémontrer son
expertise et développer sa notoriété. Leroy Merlin propose de nombreux tutoriels sur sa chaîne
YouTube, où elle montre, en situation, comment utiliser ses produits (comment poser une gouttière ou
monter sa porte de garage par exemple).
Dans un souci de simplicité du message véhiculé, Leroy Merlin a mis en place un système à base de
marteaux pour annoncer, en début de vidéo, le niveau de difficulté (1 marteau étant le moins difficile sur
une échelle de 3). Ces tutoriels vidéo sont également relayés sur le site Web de la marque où, à
droite de chaque vidéo, sont proposés les produits nécessaires à l'installation présentée. Les images
cliquables renvoient alors vers les fiches produits correspondantes.
Si des secteurs comme la beauté ont recours depuis longtemps à ce format (comme récemment Garnier
Fructis qui vient de confier l'animation des tutoriels coiffure "Ose ton #hairfie" à la youtubeuse Andy
Raconte, via l'agence No Site), le tutoriel vidéo est désormais utilisé par tous, du secteur IT (Sage qui
fait témoigner ses collaborateurs) à l'habillement (la marque américaine d'outdoor Sierra Trading Post
qui montre en vidéo comment enrouler correctement une corde d'escalade), en passant par les mixeurs
professionnels (les célèbres tutoriels vidéo humoristiques "Will it Blend ?" signés Blendtec, où le p-dg,
habillé en savant fou, s'amuse à détruire le dernier iPhone ou la dernière tablette pour prouver l'efficacité de
son produit).
La web-série
Le format de la web-série (diffusion sur Internet de saisons découpées en plusieurs épisodes, sur le modèle
des séries TV américaines) n'a jamais été aussi populaire. On en trouve des centaines sur le Web, touchant
des univers aussi différents que la banque ("Les Colocs" de BNP Paribas, réalisée par Riad Sattouf) ou la
téléphonie mobile ("Les Dumas" de Bouygues Telecom). La web-série est un format qui répond à une
fonction de branding et d'image de marque. Toutefois, il ne fonctionne que si la marque n'apparaît
que de façon homéopathique et très subtile. Ici, le contenu ne doit pas être centré sur le produit.
Conçue par l'agence DDB, la web-série humoristique à succès "Les Dumas"suit, en douze épisodes,
la vie numérique d'une famille lambda, sans présenter les services de l'opérateur téléphonique derrière le
dispositif (la marque n'est citée qu'en début et en fin d'épisode). L'ensemble des épisodes a généré 10
millions de vues tous players confondus et une majorité de retours positifs, avec 96% de likes sur
YouTube.
Réseaux sociaux : à chacun sa cible
Les réseaux sociaux sont intéressants pour relayer sa vidéo de brand content "car, sur ces sites, c'est
l'utilisateur qui va viraliser lui-même le contenu, explique Jules Guillemet. Beaucoup investis par les
influenceurs, ils représentent un levier intéressant pour mener une stratégie d'influence".
Attention toutefois à respecter les spécificités de chacun. Instagram, réseau social dédié à l'image, où
il est possible de publier des vidéos de 15 secondes, vise un public jeune, mais moins que celui de Snapchat,
application de messagerie mobile où la vidéo ne peut être vue qu'une seule fois avant de disparaître.
URL : http://veillebrandcontent.fr/
PAYS : France
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25 mars 2015 - 05:40
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Cif et Sun proposent conseils et cadeaux avec
l'opération « Joyeux ménage »
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25 mars 2015
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Les marques de nettoyants ménager (Cif) et de produits lave-vaisselle (Sun) du groupe Unilever
ont lancé en mars 2015 la plateforme « Joyeux ménage », proposant des astuces pour le ménage
tout en donnant la possibilité aux internautes de gagner une soirée d’anniversaire.
La campagne a été créée à l’occasion des 50 ans des deux marques. Le site dédié comporte un
onglet « Trucs et Astuces » donnant des conseils de nettoyage, particulièrement utiles pour des
lendemains de fêtes. Les internautes peuvent ainsi remporter une soirée d’anniversaire en
participant à un jeu interactif, ainsi que d’autres cadeaux et bons de réduction. Un quiz en ligne
est également disponible.
L’opération a été conçue par l’agence Pschh.
Dans Blog, Conseils pratiques/ coaching, France, Jeu · Cif, hygiène, maison, Sun
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RUBRIQUE : Événements
PAYS : France
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PERIODICITE : Hebdomadaire
20 mars 2015 - N°244
EVENE1VIENTS
Cif et Sun célèbrent
avec Pschhh
Pour célébrer leurs 50 ans , Cif et
Sun , accompagnés par leur agence
Pschhh , lancent l opération « Joyeux
ménage» . Les 2 marques du groupe
Unilever
offrent
l opportunité
leurs consommateurs de gagner une
soirée d anniversaire mémorable.
'
'
'
La campagne prend forme en
magasin
et via la plateforme
.fr . Sur ce site événementiel ,
joyeuxmenage
leurs 50 ans
les internautes peuvent amuser via
un jeu interactif pour tenter de
une fête d anniversaire d une
remporter
valeur de 3 .000Euro . Pour célébrer avec
leurs consommateurs ce
cinquantenaire
, Cif et Sun les invitent
également
à répondre en ligne au quizz
viral « quelle genre de fête êtes-vous
?» , afin de les accompagner dans
l organisation d une fête d
anniversaire.
s'
'
'
'
'
'
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PAYS : France
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SURFACE : 94 %
PERIODICITE : Hebdomadaire
20 mars 2015 - N°244
LE CHIFFRE CLÉ
603 628
C est le nombre d emplois
généré
par le média TV en Europe.
'
médiaComi
La lettre des professionnels de la communication
Les secteurs culture* et
européens , générateurs de
croissance Source
Entretien avec... Raphaël de
ANDREIS
CEO de Havas Media
Group France
:
lance le «One Data»
Publicité
Havas : bénéfic
net en hausse de 9,4%% en 2014
4
Inditex (Zara)
un résultat net en hausse de 5%% sur
2014-15
CAMPAGNE:
Campagne
nationale
sur la prévention et
gestion
des déchets
: France : les
voient l avenir de manière
e-commerçants
positive
Des chanteurs
qui font
le bonheur
des
publicitaires
Par temps de crise du disque , placer ses chansons dans des publicités ou
des films est devenu une source de revenus recherchée par les artistes.
Certains groupes , pas forcément très connus du grand public , sont même
devenus des spécialistes.
Les Français Make The Girl Dance et
If The Kids font partie de ces groupes
dont les noms
apparaissent pas en
n'
haut des charts mais dont les
publicitaires
raffolent Le premier , groupe
électro-dance
révélé en 2009 grâce à clip
de
peuplé
jeunes
filles déambulant
nues en pleine
? DISTRIBUTION
: Chronodrive
très brièvement ,
dans la
DISTRIBUTION
: La SNCF
veut développer plus de services
des commerces dans les gares
? DISTRIBUTION
lance «Fnac
concept store
NOMINATIONS
Arnaud Montebourg
président
8
:
un nouveau
: Habitat
nommé vice-
VISION : Le replay de plus
en plus apprécié des telespectalems
Sun
: Cif
célèbrent leurs 50 ans avec Pschhh
mécliaCom'
- La lettre des professionnels
télévision
Pierre Mathieu ,
de
groupe
dance oor qui
publiera début
mai son second
album (
Extraball»
) . « Vous
avez une
visibilité
que vous
auriez jamais
par des moyens
normaux» , confirme
n'
bandeson
du film
de
Luc Besson , « Lucy» , et a été entendu
dans des jeux vidéo Le second , duo
électro-rock , a récemment rythmé ces
dernières années des publicités pour
un parfum rose , une voiture espagnole
ou du prêt-à-porter pour femmes et
enfants Loin d avoir le sentiment de
«vendre leur âme au diable» ou d être
de simples « groupes à pubs» , ces
artistes
recherchent ces partenariats pour
se faire connaître et trouver les moyens
de financer leurs productions à une
'
'
de la communication
'
de
contribué
à vendre des
Mousquetaires : les ventes en hausse
de 110/ en 2014
lance son service
C'
journée dans une
me
parisienne
( «Baby
Baby
Baby» ) , a
: Pologne/ Les
DISTRIBUTION
carrière . « est plutôt gratifiant , et cela
nous apporte une exposition qui
rassure
les programmateurs de concerts» ,
explique Greg Kozo , membre de Make
The Girl Dance
aux côtés de
l ex-animateur
MAKETHE GIRLDANCE
des
téléphones ,
crèmes anti-rides
ou des glaces . Il
aussi ,
apparaît
'
époque où il est devenu périlleux de
miser
sur les ventes de disques pour faire
- N°244 -Vendredi
de
promotion
Brice Montessuit , membre d
the
Kids , dont le premier album ( « Set You
free» ) paraîtra le 15 juin . Ce groupe
est offert une petite carrière
'
s'
internationale
en 2010 quand Lacoste a choisi
l une de leurs chansons pour une
diffusée en Europe mais
campagne
également
au Brésil ou au Canada . «Il y a de
vrais pics d audiences sur nos clips dès
'
'
une campagne passe quelque part» ,
constate le compositeur.
qu'
20 mars 2015
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TYPE : Web Grand Public
27 mars 2015 - 10:55
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Cif et Sun, 50 ans de lendemains de fêtes
Quoi de pire que le ménage les lendemains de soirée? Cif
et Sun s'asso cient pour vous accompagner dans ce moment difficile et pour fêter leur 50 ans dans
une campagne baptisée « Joyeux ménage « .Partant du constat que les lendemains de fêtes et
d'anniversaires rimaient souvent avec ménage, notamment pour la vaisselle (Sun) et les sols et
surfaces (Cif), Unilever choisit de positionner ses marques comme les partenaires indispensables
des lendemains de fêtes.Cette campagne, orchestrée par l'agence Pschhh, est déclinée en trade et
en digital. Elle permet de gagner une soirée d'anniversaire « éclatante » et mémorable d'une
valeur de 3000euro, organisée par un birthday planner.Les objectifs marketing de la marque
derrière cette campagne sont double. D'abord, accroître la préférence de marque de Cif & Sun en
leur assurant une visibilité originale dans un secteur fortement concurrentiel. Mais également
dépoussiérer la marque auprès des plus jeunes en créant l'émulation à l'occasion de cette opération
anniversaire, alibi parfait pour les reconquérir.Pour arriver à toucher le plus efficacement possible
une cible jeune, Unilever n'a pas hésité à miser sur une plate-forme web alliant deux concepts
marketing :- l'advertainement : sur le site on retrouve un jeu invitant à nettoyer en 30 secondes
une cuisine « post-anniversaire » avec 6 produits des gammes Cif et Sun. Un moyen simple et
efficace de communiquer le bénéfice clé de chacun de ces produits.- le brand utility : au travers
d'une rubrique Trucs et Astuces assez fournie permettant de rendre service aux consommateurs
les moins habitués du ménage .On note une volonté de positionner le ménage non comme une
corvée mais comme une activité pouvant se révéler fun.Pour donner une visibilité digitale
maximum à cette campagne , on retrouve un quiz « quel genre de fête êtes-vous ? » qui permettra
de drainer du trafic sur la page Facebook notamment auprès des jeunes friands de quizz et autres
sondages online.Au total c'est plusieurs milliers de bons de réduction qui sont mis en jeux chaque
mois et 16 anniversaires sur mesure d'une valeur de 3000 euro chacun. La campagne s'étend
jusqu'au 31 décembre 2015, avec des tirages au sort chaque mois afin de maximiser l'effet dans la
durée de la campagne.
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http://www.lsa-conso.fr/
Les deux marques du groupe Unilever Cif et Sun fêtent leurs 50 ans. Pour l’occasion, l’agence
Pschhh a lancé l'opération "Joyeux ménage", qui offre la possibilité via un site dédié de
gagner des cadeaux et même une soirée d'anniversaire.
Pour célébrer leurs 50 ans, les deux marques vedettes
du groupe Unilever Cif et Sun ont fait appel à l’agence
Pschhh. Afin de fêter cet anniversaire dignement,
l’opération "50 ans de joyeux ménages" a été dévoilée le
19 mars 2015. Dans cette campagne, les deux marques
jouent sur le double sens des mots. Du ménage, c’est ce
que l’on fait généralement au lendemain d’une fête
mémorable et les deux produits sont utiles et
complémentaires à cette occasion. Un ménage, c’est
aussi un couple, ici composé de deux marques unies
depuis 1965, année de leur création. La campagne joue
également l’antinomie des termes fête et ménage en
donnant à ce dernier un aspect positif et ludique, loin de
l’image de la corvée.
CAMPAGNECIF ET SUN DÉCLINÉE EN TRADE ET EN DIGITAL
La campagne prend forme en magasin et via la plateforme web joyeuxmenage.fr, qui offre des
cadeaux à gagner. Sur ce site événementiel dédié, les internautes peuvent participer à un jeu
interactif pour tenter de remporter une fête d'anniversaire "éclatante", d'une valeur de 3 000 euros. En
tout, 16 anniversaires (10 anniversaires à gagner via le site événementiel et 6 autres dans des
opérations en magasin) sont à gagner jusqu’au 31 décembre 2015. Les internautes sont également
invités à répondre à un quiz en ligne afin de les accompagner dans l'organisation d'une fête
d'anniversaire. Enfin, des conseils, trucs et astuces de nettoyages sont mis à disposition des
consommateurs, histoire de renforcer l’image experte de ces deux marques.
PAYS : France
RUBRIQUE : Informations diverses
PAGE(S) : 22
DIFFUSION : (600)
SURFACE : 8 %
PERIODICITE : Quotidien
19 mars 2015 - N°15847
Cif et
Sun
anniversaire : Pour fêter leur cinquantième anniversaire , Cif et Sun
( Unilever) , accompagnés par leur agence Pschhh , lancent l opération Joyeux Ménage . La campagne
est déployée via le site Internet joyeuxmenage .fr , site événementiel qui permet aux internautes de
jouer pour tenter de remporter une fête d anniversaire . Cif et Sun proposent également des astuces
pour organiser une fête d anniversaire , adressant ainsi à un public jeune , cible inhabituelle sur le
secteur.
Pschhh
'
'
'
s'
Tous droits de reproduction réservés
Cif et Sun célèbrent leurs 50 ans de "joyeux ménages"
avec Pschhh
Pour célébrer leurs 50 ans, Cif et Sun, accompagnés par leur agence Pschhh, lancent
l'opération "Joyeux ménage" : les deux marques du groupe Unilever, partenaires
indispensables des lendemains de fêtes, offrent ainsi l'opportunité à leurs consommateurs de
gagner une soirée d'anniversaire mémorable...
La campagne "Joyeux ménage", imaginée et orchestrée par l'agence Pschhh, prend forme
en magasin et via la plateforme web joyeuxmenage.fr
Sur ce site événementiel, les internautes peuvent participer à un jeu interactif pour tenter de
remporter une fête d'anniversaire "éclatante", d'une valeur de 3 000€. En tout, 16
anniversaires avec birthday planner sont à gagner. (10 anniversaires à gagner via le site
événementiel et 6 autres dans des opérations en magasin, du 24/02/2015 au 31/12/2015).
Pour célébrer avec leurs consommateurs ce cinquantenaire, Cif et Sun les invitent
également à répondre en ligne au quizz viral "quelle genre de fête êtes-vous ?", afin de les
accompagner dans l'organisation d'une fête d'anniversaire.
Joyeuxmenage.fr combine ainsi advertainment et brand-utility, puisqu’il propose de
nombreux trucs&astuces de nettoyages et la possibilité de remporter des bons de réduction.
Date : 02/04/2015
Pays : FRANCE
Page(s) : 47
Rubrique : OPINIONS
Diffusion : 9455
Périodicité : Hebdomadaire
Surface : 85 %
PRÉFÉRENCE DE MARQUE ET NOUVEAUX USAGES,
EMBARQUEMENT IMMÉDIAT
CONSOMMATIONl imaged Air Franceet son«wifi onboard»
avecsa conciergerie d Applepour sonprojet
d automobileconnectée
, autantdeservicesqui valorisentloffre produit onpeut interrogersur la notiondepréférence
de marqueduconsommateurIIconvientdebienidentifiercesleviersdecréationde valeurnaissants.
'
'
'
'
s'
ont en commun
Apple , qui
des
développerait
voitures
connectées ,
Air France , qui
associe à
Orange pour proposer le «wifi
on board» , et BMW avec sa
conciergerie? Tous cherchent
à valoriser leur offre produit
historique en l enrichissant
de services ou d objets qui
génèrent une valeur ajoutée
pour le consommateur final.
Effet de mode ou révolution? De
quoi cette dynamique est-elle le
u'
'
s'
JULESGUILLEMET
fondateur et directeur général
de l agence
'
'
'
'
symbole?
Pour décrypter ce phénomène , il
faut revenir à une question
apparemment
basique mais
essentielle:
pourquoi un individu
consomme-t-il une marque
plutôtune autre? En effet , sur
quoi repose la fameuse
préférence
de marque qui est sur les
lèvres de tous lesdécideurs
marketing
depuis quelques années?
qu'
Pour
'
'
qu'
qu'
'
VENDRE
(DU)MIEUX
. Le
consommateur
est , in fine ,
préoccupé
que d une chose: son
bénéfice
individuel . il consomme
n'
'
« Le consommateur
est , in fine ,préoccupé
que d une chose : son
bénéfice individuel
»
n'
ETSEDISTINGUER.
CONNU
il y ait préférence de
il y ait
marque , il faut
identification
, différenciation puis
adhésion à celle-ci . Problème:
le consommateur ne nous
déclarera
son amour que si nous
sommes intimement connus
de lui et à la condition que ce
que nous lui proposons nous
distingue suffisamment des
autres prétendants ! Là où
sera
l identification
notamment
assurée par des éléments
visuels (logo ,packaging , charte
graphique ...), la différenciation
senourrira de toute
opportunité
pouvant mener à l adhésion.
La publicité , et son formidable
pouvoir de présence à l esprit ,
et la promotion , qui augmente
les ventes à l aide d incitations
financières , assurent-elles
pour autant aux marques une
préférence durable et solide?
'
S'
le produit , est
il y trouve
un intérêt , mais son désir est
volatile et pour le fidéliser , il
faudra sûrement faire plus que
simplement le séduire avec de
belles promesses . Pour vendre
plus , il faudra vendre (du)
mieux . Et générer ainsi de la
valeur ajoutée pour celui que
nous cherchons à toucher le
consommateur final.
La guerre de territoires que
nous constatons encore
souvent
entre les départements
communication et marketing
c'
qu'
aura alors plus lieu d être ,
car les actions
promotionnelles
seront intrinsèquement
liées au produit jusqu'
àl
enrichir
directement.
Cette création de valeur
pourra
passer par exemple par
l amplification de l expérience
consommateur grâce à des
connectés , par la création
objets
de services additionnels et
, par un
complémentaires
de la marque sur des
accompagnement
problématiques périphériques
à son offre produit ... Il devra
dans tous les cas en résulter un
bénéfice fonctionnel et/ ou
émotionnel
suffisant pour que cela
génère une adhésion pérenne.
Comment appréhender
ces
nouveaux usages et quelle
méthodologie
adopter pour
identifier
ces leviers de création
de valeur ? Paradoxalement ,
est souvent en partant de
nos expériences personnelles
de manière ultra concrètes et
quotidiennes . Les meilleures
idées ne sont-elles pas celles
qui nous convainquent , car
elles répondent à des besoins
évidents ? Repensez-y la
prochaine
fois que vous pourrez
poster vos photos de vacances
sur Facebook depuis votre vol
retour!
'
n'
'
'
'
c'
Tous droits de reproduction réservés
EMISSION "A VOS MARQUES" - DIMANCHE 5 AVRIL 2015
Les secrets marketing des marques de légende

L'émission dédiée aux marques et à leur communication. David Dauba reçoit experts et chroniqueurs
de la publicité en plateau pour dérouler l'actualité marketing de la semaine.
http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/quand-volkswagen-ecorche-volontairement-sonnom-valery-pothain-jules-guillemet-et-christophe-lafarge-13-0504-489339.html
http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/les-francais-sont-ils-publivores-ou-publiphobesvalery-pothain-jules-guillemet-et-christophe-lafarge-23-0504-489349.html
PAYS : France
RUBRIQUE : Atelier direct et digital
PAGE(S) : 68-70
DIFFUSION : 8530
SURFACE : 241 %
JOURNALISTE : Xavier Foucaud
PERIODICITE : Mensuel
1 avril 2015 - N°184
ATELIERDIRECTET DIGITAL/
vidéo ,
une part de
l écosystème
La
'
Raconter deshistoires grâce à la vidéo
Avecle digital , les possibilitéspour
les marques de diffuser du contenu sesont
considérablementdéveloppées.L opération
Red Bull Stratos, en 2012, a prouvé que l on
pouvait créerun contenu puissant,visible et
stratégiquegrâceàla vidéo.La mêmeannée,la
web-série LesDumas , de BouyguesTelecomet
l agenceDBB Paris,a cumulé 10millions de vues,
tous playersconfondus,et rencontré un vrai
succèspopulaire. Aujourd hui ,raressont les
opérations de content marketing où la vidéo ne
joue pas un rôle majeur. Hébergéesur YouTube,
'
"
"
'
'
elle dynamise le contenuen le partageant
rapidement sur lesréseauxsociaux.Sesmultiples
formats (tutoriel storytelling , web-série...) en
font l outil idéal pour trouver leton juste auprès
desacible,tout en proposant une durée adaptée
ausupport que celle-ci utilise (unevidéo Vine de
6 secondesseravisionnéesur mobile, alors un
film de 20minutes pourra être diffusé au cinéma).
Attention , toutefois, à nepas oublier le principal:
raconterl histoire de la marque et intégrer
lavidéo au sein d un écosystèmeplus large
decontenus.
XAVIER
'
qu'
'
'
1
Si elle occupe
parfois le premier
rôle, lavidéo ne
doit pas resterisolée
mais faire partie intégrante
d un ensemblede contenus On
ne peut , ainsi , pasconcevoir des
vidéos sanspenser à l
écosystème
digital . Pour son client
Renault l agenceMarcel a
intégré lavidéo au restedu
dispositif La vérité sur les
filles . Le but des trois films
diffusés sur YouTubeétait
de médiatiser l ouverture d un
pop-up store, événement
principal de l opération . La
vidéo estici que l élément
déclencheurde la viralisation
de la campagne.
'
'
'
"
"
'
'
'
'
n'
Chefde groupecréatifchezGrey
Paris, avantde rejoindreMarcel
directeur de création, lvlarcel en 2012entant que directeur
création.
créé,notamment
de
@leblogE
la série [ effet Papayon"
pourOasis.
JérémieBottiau,
"
Jules Guillemet ,
directeur général, Pschhh
@JulesGuillemet
Aprèsavoirréaliséet produit des
courts et moyens-métrages
, Jules
Guillemetacréé l agencePschhh,
en 2007 Dg, il assureégalementla
directionconseil pourcertainsclients.
'
Quel objectif?
Le brand content
vidéo répond àun
objectif précis. Les
marques doivent
savoir à quoi le contenuvidéo
va leur servir. Exemples
d objectifs derrière des
2
'
Tous droits de reproduction réservés
PAYS : France
RUBRIQUE : Atelier direct et digital
PAGE(S) : 68-70
DIFFUSION : 8530
SURFACE : 241 %
JOURNALISTE : Xavier Foucaud
PERIODICITE : Mensuel
1 avril 2015 - N°184
FOURNISSEURS
MOYEN
Criteo, AdMoove,
SmartAdServer,
UrbanAirship, Tapvalue,
Facebook, Twitter
L AVISDELA RÉDACTION
DURÉE
De 000à
150000
Euro
Astuce n°1: ne pas
copier-coller un succès
Dupliqueruneidéequia fonctionné estpasla
bonne solution.CHle-d a déjàétévue partout
(exemple : 2 vidéo de l ours et du classeur
signéeTipp-Ex). Il y a pas defounule toute
faite en brand content:à vous d innover!
n'
'
n'
'
'
Dequatre
à sixmois
La vidéo doit répondre à un objectif précis
et apporter une réellevaleur ajoutée.Si elle
estsouventl aspectle plus visibled un
dispositif de brand content, elledoit être
intégrée au restedu dispositif
'
poser une gouttière ou monter
sa porte de garage, par
exemple). Si dessecteurs
comme la beautéutilisent
depuislongtemps ce format
(pour destutoriels maquillage ,
par exemple),le tutoriel vidéo
estdésormais utilisé par tous,
du secteur IT (Sage, qui fait
témoigner sescollaborateurs) à
l habillement ( la marque
américaine d outdoor Sierra
Trading Post, qui montre en
vidéo comment enrouler
correctement une corde
d escalade), en passantpar les
mixeurs professionnels ( les
célèbrestutoriels vidéo
humoristiques -Will it blend?
signés Blendtec,où le p-dg ,
habillé en savantfou , amuse à
détruire le dernier iPhone ou la
dernièretablette pour prouver
l efficacité de son produit) .
'
'
'
opérations debrand content
vidéo :l opération digitale La
vérité sur les filles"
(Renault)
a pour but de créerun point
de rencontre entrela cible à
conquérir ( lesjeunes femmes)
et lavoiture (nouvelle Twingo) .
Comment créerdu contenu
créatif qui fait se déplacer les
consommateurs? Réponse:
ouvrir un pop-up store où ces
derniers sont invités à faire un
selfie pour avoir la chancede
gagner un vêtement
. La vidéo joue , alors, lerôle
personnalisé
de relais vers le point de vente
éphémère. Le film L odyssée
de Cartier , diffusé enTV etau
cinéma et qui dure plus de trois
minutes ,devait justifier d un
savoir-faire et communiquer
sur le patrimoine dela marque.
La vidéo représente, dans ce
cas, un écrin pour la marque.
pour le client.Créer du contenu
vidéo, estbien, encorefaut-il
se demander quelle sera la
valeur ajoutée, aufinal , pour
le consommateur. La web-série
Mon projet plus , par GDF
SuezPro , par exemple, a pour
but d accompagner huit
candidats ( bouchers,
, carrossiersou créateurs
boulangers
de start-up) dans leur projet
professionnel et leurs
investissements
. Le contenu estmis en
valeur dansdes vidéos mais
aussidans un magazine ou des
fiches pratiques,mises en ligne
sur le site web. À travers ce
contenu pédagogique, leclient
peut trouver une réponse àses
questions concernant l énergie.
Approche
centrée client
De plus en plus
utilisé par les
marques, letutoriel
vidéo estun format
efficace pour démontrer son
expertise et développer sa
notoriété . Leray Merlin propose
de nombreux tutoriels sur
sachaîne YouTube, où elle
montre ,en situation ,comment
utiliser sesproduits (comment
'
"
'
"
'
Cela peut paraître
évident , et
pourtant
... est
primordial , au
moment de concevoir une
opération de brand content, de
seposer la question de l intérêt
3
'
c'
"
"
'
'
Le succès
du tutoriel
4
"
s'
'
La web-série
Le format dela
(di Fusion
sur Internet de
saisonsdécoupées
enplusieurs épisodes, sur le
modèle dessériesTV
a jamais été aussi
américaines)
populaire . On en trouve des
centainessur le Web, touchant
desunivers aussidifférents que
'
la banque ( Les colocs , de
BNP Paribas)ou la téléphonie
mobile ( LesDumas ,
de BouyguesTelecom).
La web-série est un format
qui répond à unefonction
de branding et d image
de marque .Toutefois, il ne
fonctionne que si la marque
apparaîtque de façon
homéopathique et trèssubtile.
Ici , le contenune doit pasêtre
centrésur le produit Conçue
par l agenceDDB, la
humoristique à succès Les
Dumas"
suit , en 12épisodes, la
vie numérique d unefamille
lambda,sansprésenterles
servicesde l opérateur
derrière le dispositif ( la
téléphonique
marque est citée en début et
en fin d épisode). ensembledes
épisodesa généré10millions de
vuestous playersconfondus et
une majorité de retours positifs,
avec96%% de likes sur YouTube.
"
"
"
"
'
n'
'
"
'
'
n'
qu'
'
Réseaux
sociaux: à
chacun sa cible
6
n'
Les réseauxsociaux
sont intéressants
pour relayer sa
vidéo de brand 4
Astuce n°2:
Le bon dosage
Il estimportant detrouverlebonrapportentre
un contenuoriginaletaudacieuxetle message
àdiffuser.Beaucoupdannonceurssounaitent
unevidéodécalée,enoubliantrenjeu:proposer
ducontenuen accordavecl ADN dela marque.
'
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RUBRIQUE : Atelier direct et digital
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DIFFUSION : 8530
SURFACE : 241 %
JOURNALISTE : Xavier Foucaud
PERIODICITE : Mensuel
1 avril 2015 - N°184
des histoires grâce à la vidéo
Raconter
4
content car, sur cessites ,
estl utilisateur qui va viraliser
lui-même le contenu . Beaucoup
investis par lesinfluenceurs , ils
représentent un levier
intéressant
pour mener une stratégie
d influence . Attention toutefois
à respecter les spécificités
de chacun . Instagram , réseau
social dédié àl image , où il est
possible de publier des vidéos
de 15 secondes, vise un public
jeune ,mais moins que celui
de Snapchat, application de
messagerie mobile où la vidéo
ne peut être vue
une seule
fois avant de disparaître.
l objectif fixé . Sur le Web ,
on peut suivre le nombre de
partages de la vidéo sur les
réseaux sociaux , ou la typologie
des commentaires (positifs ou
négatifs) .Attention , toutefois , à
pondérer lesrésultats: un like
est pas à mettre au même
niveau
un partage , et encore
moins d un commentaire , qui
demande de prendre le temps
de laisser son avis, donc plus
engageant. De plus , lesKPI
changent en fonction du sujet
abordé. Pour l opération La
vérité sur lesfilles» pour la
nouvelle Twingo , Renault et
l agenceMarcel ont suivi le
nombre de vues généréespar
conversation , autrement dit
l engagement.Concrètement , il
a fallu répondre aux questions
suivantes: La conversation
généréepar chaque vidéo
était-elle positive ou négative
pour la marque ?Y a-t-il eu
approbation ou rejet des spots
de la part desinternautes
Hormis l engagement,d autres
KPI peuvent être suivis , tels que
le gain de notoriété ou la
conquête d une nouvelle cible. a
'
'
c'
'
n'
qu'
'
'
Leffet Pa ayon , COasis
En2014, OasisdiffusesurYouTubeLeffet Papayon, uneweb-sérieen
quatreépisodesde2 minutes30. Chaquevidéoprésentele mêmeschéma
, autourdel arc narratifglobal : l histoired amour entre
scénaristique
RamonTafraiseet Frambourgeoise
.Pourfaire patienterlesfans entre
chaqueépisode,Oasisy a intégrédes eastereggs , commelesite
YouPommou lejeu Fruit
Cesclins d oeilrendentplusengageant
le visionnagedesvidéos. Résultat: 7 millionsdevuessur YouTube
. Passantde24 000à 105000abonnés,
pourlestrois premiersépisodes
Oasisestdevenuela premièrechaîneYouTube
de marqueenFrance.
'
qu'
"
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YouTube ,
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Dailymotion
ou Vimeo ?
Quelle plateforme
choisir pour
publier savidéo
sur le
YouTube se présente comme
la plateforme référente.
Propriété de Google , elle
assure un référencement
optimal au contenu vidéo.
Mais rien empêche de
publier également savidéo sur
Dailymotion , afin d optimiser
son référencement naturel
(SEO) . Vimeo , quant à elle, est
une plateforme très prisée des
artistes et des créatifs . Elle
permet de toucher un public
plus jeune , particulièrement
sensible à la qualité de
l image . Attention , donc, à
choisir la plateforme la plus
adaptée à ses objectifs.
'
n'
'
Le hashtag
Le hashtag est
intéressant à utiliser
pour relayer son
contenu vidéo sur le
Web, surtout pour un dispositif
avecun messagefort La reprise
du hashtagpar les utilisateurs
de Twitter , habitués à cet outil ,
permettra à la vidéo , et à
l opération dans laquelle elle est
intégrée, d optimiser savisibilité
sur le Web. Pour la viralité , une
vidéo qui a récolté un nombre
devues limité mais aura permis
la diffusion du hashtag pourra
quand même être considérée
comme réussie.
"
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XAVIER FOUCAUD
LES VIDÉOSCITÉES
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Astuce n° :
une question de cadre
momentdu tournage,on nechoisitpasle
cadred une vidéo delamêmemanièreselon
lesupportchoisiPlusonvaversun petitécran, Quels
plus on doit simplifierl arcnarratif etlecadre
du contenu.Ilestdoncimportant detravailler
sur cetaspectdèsla phasede conception.
Au
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L effet
Papayon
(Oasis)
La vérité
sur les filles
(Renault)
'
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Comment évaluer
lesrésultats de son
contenu vidéo ?
Tout dépend de
Mon projet
plus (GDF
Suez Pro
Will it blend?
(Blendtec)
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TYPE : Web Grand Public
23 avril 2015 - 18:36
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Les douze binômes du Startup Project
dévoilés
PartenariatL’AACC, Cap Digital et l’Udecam ont révélé les douze partenariats agences-start-up
de la saison 3 du Startup Project, programme se présentant comme un «accélérateur d’accès au
marché de la communication». Initialemment, 25 start-up avait été sélectionnées parmi les 57
candidatures à l’appel à projets.Les douze binômes sont:- Smart Tribune (outils de relation client
communautaire) et Australie, - Ubudu (plateforme de marketing microlocalisée, pour les
enseignes notamment) et DAN Paris, - Sépage (personnalisation automatiques de l'affichage des
offres sur les sites web) et Fullsix, - Feeligo (plateforme de native adversting qui permet aux
marques un accès ludique au coeur des conversations de leur audience grâce à des «brands
stickers») et Havas Media, - Tangible Display (interaction tangible via des écrans multitouch ou
de la vidéoprojection) et Les Gaulois, - Flamefy (plateforme fédérant tous les supports, services,
canaux et contenus afin d’optimiser la relation entre une marque et ses consommateurs) et MEC, TVTY (plateforme SAAS de moment marketing, qui permet aux utilisateurs de choisir une
temporalité et de synchroniser leurs campagnes digitales existantes) et Mindshare, - Simbals
(logiciels d’identification audio et de recommandation musicale pour la musique numérique et les
médias connectés) et Ogilvy, - Leankr (solutions pour rendre la télévision plus interactive) et
Pschhh, - The Bubbles Company (recharge de smartphones ou de tablettes qui sert de canal de
communication) et Publicis Consultants, - Data2content (solution pour la création de contenu
textuel unique et pertinent) et Rapp, - Audiogaming (innovations dans le domaine du son et de
l'interactivité) et We are social.Dans les neufs prochains mois, ces start-up vont bénéficier d’un
mentorat par leur agence partenaire et de l’hébergement de leur équipe si elles le souhaitent. Ces
agences accueillantes, quant à elles, s’engageront à intégrer les services ou technologies des
start-up dans leurs propositions commerciales.
Tous droits de reproduction réservés
URL : http://www.offremedia.com/
PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
30 avril 2015 - 08:58
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Havas Media, Mindshare et MEC parmi les
12 duos agences/startups sélectionnés pour le
Startup Project de l’AACC, l’UDECAM et
Cap Digital
Pour cette 3ème saison du Startup Project de l’AACC, l'UDECAM et Cap
Digital, 12 binômes ont été formés suite à des pitchs et des speedmeetings
organisés entre les 18 agences membres de l’AACC ou de l’UDECAM, et les
startups.
Parmi les duos constitués, 3 concernent des agences médias : Havas Media est
associée à Feeligo, une plateforme de native advertising qui permet aux
marques un accès ludique au coeur des conversations de leur audience grâce à
des Brands Stickers. MEC (groupM-WPP) s’est rapprochée de FlameFy, une
plateforme fédérant tous les supports, services, canaux de communication et
contenus afin d’optimiser la relation entre une marque et ses consommateurs.
Mindshare (groupM-WPP) et TVTY, plateforme de synchronisation publicitaire, fonctionnent en
binôme. Parmi les autres couples formés figurent : Australie et Smart Tribune ; FullSIX et Sépage
; Les Gaulois et Tangible ; Ogilvy et Simbals ; Pschhh et Leankr ; Publicis Consultants et The
Bubbles Company ; Rapp et Data2Content ; We Are Social et Audiogaming.
Dans les neuf prochains mois, ces startups vont bénéficier d’un mentorat par leur agence
partenaire et de l’hébergement de leur équipe si elles le souhaitent. Les agences accueillantes,
quant à elles, s’engageront à intégrer leurs services ou technologies dans leurs propositions
commerciales.
Par ailleurs, parmi les 57 candidatures à l’appel à projets, 25 startups, labélisées Startup Project,
ont été sélectionnées et intègrent d’office la place de marché dédiée à la valorisation des
participants au programme.
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L'agence Pschhh a imaginé et produit une opération de brand
content pour GDF Suez Pro : "Mon Projet +".
L'idée : un programme multi-canal, une web-série qui présente le quotidien de 8
professionnels (issus de la boulangerie, de la restauration, d'une start-up, etc...)
coachés par des personnalités référentes dans leurs secteurs.
Ainsi, Eric Kayser aide-t-il un jeune couple de boulangers à reprendre un fonds de
commerce et Amandine Chaignot, anciennement chef de l'hôtel Raphaël et jury de
l'émission Masterchef en 2013, accompagne-t-elle Valentine Davase, créatrice du
foodtruck "Le Réfectoire", dans le lancement de son premier restaurant en dur.
Chaque aventure entrepreneuriale est filmée puis montée sous forme d'épisodes qui
sont autant d'étapes clés du projet.
Les
épisodes
sont
diffusés
sur
la
plateforme
digitale
dédiée http://monprojetplus.gdfsuez-pro.fr/ et des fiches thématiques complètent et
enrichissent le contenu délivré par les vidéos.
T a g s : w e b s é r i e , P s c h h h , E n e r g i e , G D F S u e z P ro , f r a n c e
PAYS : France
RUBRIQUE : Marques
PAGE(S) : 19
JOURNALISTE : Carole Soussan
SURFACE : 58 %
25 mars 2015 - N°25032015
PERIODICITE : Quotidien
MARQUES
ACCUEIL>
Pschhh crée le Projet GDF Suez
Pro
Le 24/ 03/ 2015 à 13 : 12 par Carole Soussan
IMON
PROJETJ
PRO
WEO-SERIE
FICHES CONSEILS
+
ACTUALITÉS
V
MON PROJET +
EST LE PROGRAMME OUI
C'
ACCOMPAGNE
PROS !
En mettant
TOUS LES
son energie
au service
de ta vôtre , GDF SUEZ PRO grâce
Mon projet
vous accompagne
dans
conduite
de tous vos
L artisanat , l apprentissage , les petits métiers ... De nombreuses initiatives sont prises pour revaloriser
ces voies parfois sous estimées . Tel est le cas de GDF Suez Pro avec son opération de brand
content , et même de « brand utility », menée par l agence Pschhh , qui part pour une seconde saison.
L idée : un programme multi-canal , une web-série qui met en scène le quotidien de 8 professionnels
(issus de la boulangerie , la restauration , d une start-up , etc ... ) coachés par des personnalités
'
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référentes dans leurs secteurs . Ainsi , Eric Kayser a aidé un jeune couple de boulangers à reprendre
un fonds de commerce et Amandine Chaignot , anciennement chef de l hôtel Raphaël et jury de
l émission Masterchef en 2013 , a accompagné Valentine Davase , créatrice du foodtruck Le
Réfectoire , dans le lancement de son premier restaurant en dur . Chaque aventure entrepreneuriale
'
'
"
"
est filmée puis montée sous forme d épisodes qui sont autant d étapes clés du projet . Les épisodes
sont diffusés sur la plateforme digitale dédiée et des fiches thématiques complètent et enrichissent le
contenu délivré par les vidéos . Par cette opération , GDF Suez Pro estime entrer dans une relation de
partnership avec ses consommateurs , via un brand content qui est plus seulement éditorial mais qui
contribue à une mission de brand utility . GDF Suez pro et Pschhh travaillent d ailleurs au lancement
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'
d une saison 2 pour Mon projet + avec l ouverture d un casting de nouveaux entrepreneurs.
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URL : http://topcom.fr/
PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
15 avril 2015 - 12:22
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Chevignon lance une chasse au canard sur les
réseaux sociaux
Petite piqûre de rappel. En novembre dernier, Chevignon et son agence Pschhh lançaient
l’opération #UrbanHunt, une chasse artistique au cours de laquelle 10 créatifs ont été repérés par
Yoann le Creurer, responsable du style de la marque et ont ainsi intégré le bureau de style de
Chevignon pour y créer une collection capsule de t-shirts. A quelques jours du lancement en
magasin de cette collection, la marque propose au public de Paris, Lyon, Lille et Toulouse de
gagner un de ces t-shirts collector. Une vidéo, imaginée et produite par l’agence Pschhh, a été
mise en ligne aujourd’hui sur les médias sociaux de la marque. Le film, qui met en scène un
personnage à tête de canard tentant de se cacher dans des lieux improbables, annonce la prochaine
ouverture de la chasse #UrbanHunt… Le samedi 18 avril à partir de 10h, à Paris, Lyon, Lille et
Toulouse, les internautes sont invités à scruter les réseaux sociaux de Chevignon et à suivre des
indices disséminés un peu partout sur Facebook,Twitter et Instagram.
Tous droits de reproduction réservés
LES CREATIONS
http://www.nuwave.marketing/publicites/chevignon-est-de-retour-avec-la-chasse-urbanhunt/
CHEVIGNON EST DE RETOUR
CHASSE #URBANHUNT…
AVEC
LA
LE 15 AVRIL 2015 PAR MICHAEL GALMICHE
EN NOVEMBRE DERNIER, CHEVIGNON ET SON AGENCE PSCHHH LANÇAIENT
L’OPÉRATION #URBANHUNT : UNE GRANDE CHASSE ARTISTIQUE INTERNATIONALE
AU COURS DE LAQUELLE 10 CRÉATIFS ONT ÉTÉ REPÉRÉS PAR YOANN LE
CREURER, RESPONSABLE DU STYLE DE LA MARQUE. LES CHANCEUX ONT AINSI PU
INTÉGRER LE BUREAU DE STYLE DE CHEVIGNON POUR Y CRÉER UNE COLLECTION
CAPSULE DE T-SHIRTS.
A quelques jours du lancement en magasin de cette collection inédite, la chasse reprend de plus belle. Cette fois-ci,
c’est au public de Paris, Lyon, Lille et Toulouse de jouer pour tenter de gagner un de ces t-shirts collector.
Une surprenante vidéo, imaginée et produite par l’agence Pschhh, a été mise en ligne aujourd’hui sur les médias
sociaux de Chevignon :
Le film, qui met en scène un curieux personnage à tête de canard tentant de se cacher dans des lieux improbables,
annonce la prochaine ouverture de la chasse #UrbanHunt…
Le samedi 18 avril à partir de 10h, à Paris, Lyon, Lille et Toulouse, Chevignon vous invite à scruter ses comptes sur
lesréseaux sociaux et à suivre des indices disséminés un peu partout sur Facebook, Twitter et Instagram.
Vous pourrez alors partir à la recherche d’un trophée caché dans chaque ville, détenu par Jean le Duck, mystérieux
personnage à tête de canard, qui peut se trouver partout : dans un bar, un salon de tatouage, une galerie d’art, une salle
de concert…
Si vous avez la chance de dénicher le précieux sésame, il vous suffira de vous rendre en magasin dès le 23 avril afin de
vous faire offrir un t-shirt de la collection capsule UrbanHunt de Chevignon, aux accents résolument urbains.
D’autres dotations sont à gagner auprès de Jean le Duck, notamment des bons de réductions, des goodies et un coffret
créatif UrbanHunt.
Parallèlement à cette opération, vous serez aussi challengé pour déterminer qui est le meilleur canard danseur….
Chacun sera alors invité à réaliser une vidéo, muni de son t-shirt UrbanHunt et de son masque de canard, pour
proposer sa plus belle « Duck Dance » et peut-être gagner un voyage à New York.
Bonne chance à tous !
PAYS : France
PAGE(S) : 4
SURFACE : 9 %
15 avril 2015 - N°251
PERIODICITE : Hebdomadaire
et Pschhh
Chevignon
misent
sur la chasse
urbaine#UrbanHunt
En
novembre
dernier ,
et son
Chevignon
Pschhh
agence
l
lançaient
CHEVIGNON
opération rbanHunt : une grande
chasse artistique
internationale au cours de
10 créatifs ont été repérés
laquelle
Yoann
le
par
Responsable
du style de la marque . Les
chanceux ont ainsi pu intégrer
le bureau de style de
pour y créer une collection
Chevignon
capsule de t-shirts . A quelques
jours du lancement en magasin
de cette collection , la chasse
reprend de plus belle . Le samedi
18 avril à partir de 10h , à Paris
Lyon , Lille et Toulouse les
internautes sont invités à
les réseaux sociaux de
scruter
et à suivre des indices
Chevignon
disséminés un peu partout sur
Facebook ,Twitter et Instagram.
'
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32 000 likes Facebook
28 800 followers Twitter
La marque française de vêtements lance la collection capsule #UrbanHunt et vous invite à la chasse.
Le 18 avril dernier, Chevignon invitait le public à participer à une chasse au canard géante dans les rues de Paris, Lyon, Lille et Toulouse. Invité à suivre les
réseaux sociaux de la marque, le public devait retrouver Jean Le Duck, emblème de la collection temporaire, dans des lieux insolites des villes selectionnées.
À la clé, les participants qui arrivaient à retrouver ce fameux canard se voyaient recevoir un t-shirt de la collection. Parallèlement à cette course à
l’oiseau,Chevignon a mis en place un concours de danse, incitant le public à faire sa plus belle « Duck Dance » et de la partager sur les réseaux sociaux.
Concrétisation de l’opération #UrbanHunt lancée en novembre dernier avec l’agence Pschhh, cette campagne renouvelle l’esprit de la marque avec une idée
décalée.
À la rédaction, on a déjà retrouvé Duck Norris et Kahn Arlaqué.
L'agence Pschhh lance l'opération #UrbanHunt pour Chevignon :
une chasse urbaine connectée dans les rues de Paris, Lyon, Lille et
Toulouse.
L'objectif : tenter de trouver "Jean le Duck", mystérieux personnage à tête de canard, et tenter de gagner un
t-shirt de la collection capsule UrbanHunt de Chevignon lancée prochainement.
Samedi 18 avril, à partir de 10h, les internautes sont invités à scruter les réseaux sociaux de Chevignon et
à suivre les incides disséminés un peu partout sur Facebook, Twitter et Instagram. Ils pourront alors partir à
la recherche d'un trophée caché dans chaque ville, détenu par Jean le Duck. Dans un bar, un salon de
tatouage, une galerie d'art, une salle de concert... L'heureux détenteur du précieux sésame pourra se
rendre en magasin dès le 23 avril et se voir offrir un t-shirt de la nouvelle collection.
Parallèlement à cette opération, le public sera aussi challengé pour déterminer qui est le meilleur canard
danseur.... Chacun sera invité à réaliser une vidéo, muni de son t-shirt UrbanHunt et de son masque de
canard, pour proposer sa plus belle "Duck Dance" et peut-être gagner un voyage à New York.
http://www.influencia.net/
Sur fond de chasse au trésor, Chevignon et l'agence Pschhh lancent le
deuxième volet de leur opération #UrbanHunt. Objectif: réinvestir le milieu
urbain et afficher ouvertement l’esprit communautaire de la marque.
A partir du 18 avril, si vous habitez Paris, Lyon, Lille ou encore Toulouse, il se peut que vous
croisiez de mystérieux canards. Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une invasion de
«palmipèdes » mais plutôt de la deuxième étape de l'opération de Chevignon, baptisée
#UrbanHunt, une chasse urbaine connectée. « Au mois de novembre, nous avons lancé la
première étape avec un concours international de créatifs. Nous avons reçu quelque 470
dossiers et 10 ont été retenus par Yoann le Creuer, responsable style de la marque, pour
confectionner une collection capsule de t-shirts. Alors que les modèles seront bientôt
disponibles à la vente, une chasse au canard est organisée pour gagner l'une de ses
créations », témoigne Sébastien Brocandel, directeur création de l’agence.
En ressortant du placard le fameux concept de la chasse au trésor, une valeur sûre pour ce
type d'opération en ville, Chevigon mise avant tout sur la participation pour y donner de
l'écho. Le jeu est un atout indéniable quand on cherche à fédérer une communauté. Un bon
scénario bien mis en scène et bien écrit et le travail se fait tout seul ! Tel un fin limier, il
faudra mettre la main sur un certain « Jean le Duck » et son trophée mystère qui doit
certainement vous attendre dans un bar, un salon de tatouage, une galerie d’art ou une salle
de concert... " Derrière ce dispositif, il est question pour la marque de se réapproprier le
territoire urbain et d'accompagner l’homme moderne, nomade et tribal », explique Sébastien
Brocandel. Exit le personnage iconique à la sauce cow-boy et place à un homme "’anti
mouton ". Vous n'avez qu'à jeter un œil au site dédiépour vous en convaincre.
Troisième et dernière étape de cette opération : réaliser une danse endiablée pour gagner le
droit de migrer à New York. En effet, en suivant scrupuleusement le très sérieux manuel de
« la danse des canards » (voir ci-dessous), la vox populi décidera d’envoyer aux USA celui
qui fera le plus beau déhanché. « Nous voulions que cette opération dure dans le temps, ce
qui est une première pour la marque. Avec ce concours de créatifs, cette chasse au trésor et
ce voyage, on est vraiment dans le customer centric, avec une volonté d’accompagner cette
nouvelle vision de l’homme. On ne s’interdit pas non plus de lui donner une suite »,
conclut Sébastien Brocandel.
Mais alors, le canard de Chevignon ne serait-il pas quelque part un véritable Phénix ?
Descendue en flamme au début des années 90 pour un lancement produit douteux, (« Car il
y a eu des clopes Chevignon. Drôle d’idée, mauvais coup marketing. Mais c’était l’époque »,
peut-on lire sur le site) la marque a accédé au panthéon de la " hype " en 2011 en passant
chez Colette et continue son ascension en renforçant sa communauté. Le
site canardssauvages.com est un bon exemple de la stratégie développée. C’est
sûrement Georges Lewi, mythologue, qui parle le mieux dans INfluencia de ces marques
qui ont connu une histoire digne des montagnes russes, avec le cas Marlboro notamment :
« Les oiseaux surnaturels imitent le cycle solaire, les planètes, les nations, les idées se
consument pour mieux se transformer, pour nous permettre de nous renouveler. C’est
précisément ce que font les grandes marques, jouant tour à tour de fidélité et de rupture ».
Bon vol…
CB NEWSLETTER 15/04/2015
En novembre dernier, Chevignon lançait, avec Pschhh, l'opération #UrbanHunt, grande
chasse artistique internationale destinée à repérer 10 créatifs qui ont depuis intégré le
bureau de style de Chevignon pour y créer une collection capsule de t-shirts. A quelques
jours du lancement en magasin, la chasse reprend. c'est au public de Paris, Lyon, Lille et
Toulouse de jouer pour tenter de gagner un de ces t-shirts collector. Une vidéo a été
imaginée et mise en ligne aujourd'hui sur les médias sociaux de Chevignon. Elle annonce
l'ouverture de la chasse et invite les internautes à scruter les réseaux sociaux et à suivre des
indices disséminés un peu partout sur Facebook,Twitter et Instagram.
17/04/2015
Pschhh publie son trend book du printemps.
Trendbook de Pschhh : chaque saison, ils délivrent leurs meilleures adresses food, clubbing, drink,
shopping, etc...
PAYS : France
RUBRIQUE : Dossier
PAGE(S) : 24-26;28
DIFFUSION : 9455
SURFACE : 345 %
JOURNALISTE : Anaïs Richardin
PERIODICITE : Hebdomadaire
7 mai 2015 - N°1813
MAIKETING
Une incitation
et
ciblée
juste
Le digital a-t-il sonné le glas desflâneries du samedi? Le showrooming côtoie désormais
le webrooming et lorsque l on est en magasin , est smartphone en main . Le shopper marketing
change : exit le point de vente , est sur l ensemble du «journey» que les marketeurs
interviennent , avec un double impératif: la pertinence et la personnalisation.
'
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ANA%% RICHARDIN
?A_Rtchardin
nfidèle , volatile , insaisissable ... Les qualificatifs de l inconstance du
consommateur
ne manquent pas. En réalité , est surtout un être protéiforme , qui est ,
selon le contexte, ni tout à fait le même ni tout à fait un autre . Avec le numérique
et son lot de révolutions comportementales , le concept du « shopper» , cet
individu
moderne qui passe en caisse plus facilement mais qui y laisse moins
facilement
pousser , est né il y a quelques années . «Le customen est le client au
sens de l individu , clarifie Catherine Michaud , directrice générale de l agence
Integer France (TBWA) , tandis que le shopper , est le consommateur en posture
d achat .» Seulement , il est de plus en plus complexe de déterminer à quel moment le
consommateur devient shopper . « L étape où un
consomnzateur décide de passer à l achat est
Mais l élargissement est aussi spatio-temporel
et il faut considérer le shopper avant , pendant
hui beaucoup plus diffuse ,confirme Jérémy
aujourd
Dahan ,président-fondateur de l agence
et après l achat .»
hors-média
Globe Groupe . en est fini de la dictature du
Cela passe par de nouvelles pratiques
. Pour Jules Guillemet , fondateur de l agence
magasin: le consommateur peut décider d
marketing
acheter
à importe quelle heure et importe où.»
Pschhh , la solution est simple: «Le custonzer
En février 2015 , 84%% des Français ont ainsi
marketing , est une vision du consommateur.
acheté au moins une fois en ligne (source :
Le shopper marketing , est une méthodologie ,
des process menant à la conversion .» Et pour
Digitas
LBI) . Anne-Typhaine Gruat , planneusè
chez Matador , agence spécialisée dans
inciter à l achat , rien de tel que de créer « une
stratégique
la communication des foncières commerciales ,
connivence entre la marque et le client , ce qui
est bien placée pour savoir que l expérience
est aujourd hui la mission première du shopper
marchande
est désormais éclatée . «Il y a un
marketing» , constate Philippe de Mareilhac ,
du prisme du shopper marketing ,
directeur
élargissement
général de Market Value.
affirme-t-elle . est une notion qui dépasse le
Pasde connivence sans connaissance . Le
retail et qui intéresse aujourd hui tous les lieux
est ainsi devenu un one-to-few de plus en
one-tomany
de passage , comme les gares , voire les stades.
plus fin . Un nouveau paradigme rendu possible
'
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s'
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C'
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'
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JOURNALISTE : Anaïs Richardin
PERIODICITE : Hebdomadaire
7 mai 2015 - N°1813
par « la connaissance client augmentée- , basée
non seulement sur un mix de données structurées
fournies via l historique d achat et les habitudes
de consommation , mats de plus en plus
complétées
par les données non structurées que génère
"
'
'
le consommateur
sur les réseaux sociaux
exemple» , complète Jules Guillemet.
par
nuum , concept déposé par Integer , envoie valser
l antique parcours d achat . Découpé en quatre
phases: « Connect» , « Consider» , « Convince» et
« Continue» , ce shopper continuum
permet aux
'
'
annonceurs de mieux « comprendre et agir sur
l ensemble du parcours de décision des clients» .
La première
phase , « Connect» , est celle de
l amorçage de la relation , celle où le shopper
montre de l intérêt pour un produit . Une étape
est
durant laquelle l importance du numérique
mais où certaines ficelles
grandissante
sont encore efficaces . Le prospectus , par
ancestrales
'
'
Appétence
pour ta promotion
Si les traces laissées par les individus sont
suivies
à la loupe , les annonceurs misent surtout
sur les études marketing . Les budgets études de
connaissance du consommateur
ont explosé en
2014 (+ 12 points par rapport à 2013 , selon
Market
Research News/ Callson) , de môme que les
études sur la satisfaction et la fidélité (+ 16 points) .
du
Science du comportement
, compréhension
parcours d achat , ou plutôt des multiples
parcours
d achat . Les annonceurs
cherchent
à
ce qui leur échappe . « Cette
comprendre
du shopper , de la marque et du
transformation
1etallernous a obligés à repenser notre mission ,
'
'
constate Agnès Ruig , directrice générale adjointe
de l agence MRM-McCann . Nous sommes
dans la gestion des contenus et des
davantage
interactions
. Nous sommes entrés dans l ère du
'
'
customer
experience management , ou
Le CXM balaie d un coup de baguette numérique
le bon vieux CRM . Tout comme le shopper conti
'
'
'
exemple , reste , selon Frédéric Morin , directeur
marketing et commercial de Sogec , spécialisée
dans le marketing
relationnel
, « l un des
des Français
ont acheté
au moins
'
premiers
médias utilisés par les consommateurs»
« 51%% des Français les consultent
31%% les
emmènent
même en magasin» , rappelle-t-il.
Une appétence pour la promotion
directement
.
une
en février
fois
en ligne
2015
(source
Digitas
LBI) .
fiée à la crise qui , selon Frédéric Morin , «a obligé
de façon conjoncturelle
les marques à remettre
la promotion
au centre de leur attention . Pour
elles aient le droit de communiquer avec leurs
consommateurs , il fallait
elles soient
qu'
généreuses
.» Une stratégie payante : la promotion
est encore aujourd hui un véritable levier
. Selon Sogec , 23%% des consommateurs
driveto-store
effectuent leurs achats en fonction des coupons
qu'
'
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JOURNALISTE : Anaïs Richardin
PERIODICITE : Hebdomadaire
7 mai 2015 - N°1813
LESCENTRES
COMMERCIAUX
entrent
dansunelogiquedeprogrammation
dévénements
à linstarducoursde
ils obtiennent et 18%% sontmême prêts à
yogagéantorganiséparBeaugrenelle changer
de magasin pour une promotion .Mais cette
enavril.
phase se caractérise aussi par la recherche d
informationsen ligne (le fameux « zero moment of
truth» de Google) .« On voit de plus en plus que
la partie home canal"
se développe et que le
parcours commence sur le numérique , estime
Hélène Gombaud-Saintonge , directrice générale
de l agence Fullsix Data . Les taux de conversion
en
sont aussi plus importants en ligne
magasin
.»
physique
Ce succès explique en partie par l accessibilité
de l information . Les fiches produit renseignent
de manière quasi-exhaustive sur les
des biens et , en trois clics , les notations et
caractéristiques
« Les marques
voient
ont plus aucun
avis d autres consommateurs
une augmentation
secret pour le shopper . Un élément on ne peut
de
%% du
plus important aujourd hui pour ce
taux de conversion
dont on ne cesse d épingler la défiance à
consommateur
elles publient
l égard de la publicité et des discours marketing.
lorsqu'
les avis clients
«Quelle que soit la note moyenne d un produit , il
sur
une fiche produit
»
y a une augmentation exponentielle du taux de
conversion enfonction du nombre d avis . Mieux:
Aurélien
Dubot
,responsable
marketing
chezBazaarvoice les marques voient une progression de 80 à100%%
produitpourrEurope
du taux de conversion lorsqu' elles publient les avis
clients sur unefiche produit» , assure Aurélien
Dubot
, responsable marketing produitpourl Europe
chez Bazaarvoice , expert en avisconsommateurs.
Sans compter que ,désormais , les sites d
e-commerce
adaptent àl internaute pour lui offrir une
interface unique et personnalisée . « La person
'
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qu'
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"
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qu'
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'
s'
nalisation marketing est la clé de l engagement
client et la condition sine qua non pour séduire
les consommateurs», revendique Benoît Énée ,
directeur
des solutions produit chez Experian
on ne cesse
services France . Une vérité
marketing
d assénermais que tous appliquent pas encore.
'
qu'
'
n'
Appréhender le contexte
Au-delà du comportement du consommateur ,
cette connaissance passe aussi par l
du contexte dans lequel il se trouve. «Ce il
appréhension
faut avant tout savoir , est à quelle étape de son
purchase journey le shopper se trouve
martèle
Patrick Faure , directeur du planning
de Geometry Global , agence-conseil en
stratégique
activation
de marque . Est-ce que est une personne
qui a choisi un produit mais qui a pas encore
choisi une marque?Est-ce que est quelqu'
un qui
est à deux doigts de passer àl achat? Etc.»
Si les algorithmes et les solutions technologiques
permettent de déterminer ces éléments , le
parcours
d achat en reste pas moins semé d
embûches
pour le marketeur et constellé de
tentations
pour le shopper . «Le shopper marketing a
longtemps pensé point de vente . Aujourd hui , il
exprime sur tous lesmédias à partir du moment
où une personne est passée en mode achat» ,
observe
Patrick Faure.
est ainsi que le passage à l acte a revêtu de
nouveaux habits . Rue du commerce a installé
des bornes de shopping dans des boutiques Re'
qu'
c'
"
c'
n'
c'
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7 mai 2015 - N°1813
PAYS : France
RUBRIQUE : Dossier
PAGE(S) : 24-26;28
DIFFUSION : 9455
SURFACE : 345 %
JOURNALISTE : Anaïs Richardin
PERIODICITE : Hebdomadaire
«Les magasins débordentde créativité pour créer
une signature relationnelle particulière et pour
emmenerleclient sur le terrain del émotionnel»,
ajoute Philippe de Mareilhac . Le shopper
annoncerait-il la fin du marketing
marketing
opérationnel
traditionnel? est ce que semble penser
Eric Montazel, directeur retail&shopper
insights
chezTNS Sofres:« Lepoint de venteest une
occasion
deconvertir le visiteur enacheteur mais est
aussi un bonnombre d occasionsmanquées. 70%%
desPLVne sont pas remarquéespar le client . »
'
C'
c'
'
Suivi à la trace
Aujourd hui , l expérience de marque « passe
par l espace, l accueil, la relation qui va être
générée
avec le shopper la manière dont on va le
considérer à travers des actions quine sont pas
forcément de la promotion» , ajoute Jules
. Et là encore, pour considérer leclient ,il faut
Guillemet
le connaître ! Si l on ne parle que de beacons ,
ces petits capteurs qui « trackent» le client (lire
p 30) , de nouvelles technologies voient le jour
il passe les
pour reconnaître le shopper dès
il soit inscrit
portes du magasin , pour peu
dans le programme de fidélité , et qui ne
nécessitent
aucune action de sa part , comme le
d une application.
téléchargement
« On ne peut plus vendre des produits , on doit
pousser les consommateurs à acheter le
produit»
, revendique Jérémy Dahan . Offres
personnalisées
et ciblées au moment où le shopper
approche du rayon , conseils de vendeurs
basés
sur les précédents achats sont ainsi délivrés
dans une « logique d incitation juste et ciblée» ,
précise Lionel Aboudaram.
Et puisque les shoppers ont tendance à utiliser
leur smartphone en magasin pour obtenir plus
d informations , distributeurs etmarques testent
des rayons et des packagings intelligents qui en
facilitent l accès. En scannant le code-barres ou
le packaging d un produit , le consommateur
obtient
instantanément des avis clients mais aussi
des informations comme l histoire du produit ,
sa provenance,etc . Une incitation de plus à
garnir
son panier.
Mais le shopper marketing ne arrête pas à la
caisse. Charge à la marque ,ou à l enseigne
ensuite
, d entretenir le lien ,notamment via les
réseaux
sociaux et les communications
personnalisées
. «Ce qui permet defaire la différence
aujourd hui , est la pertinence, qui crée de l
, conclut Hélène Gombaud-Saintonge.
engagement
Unconsommateur qui aune influence sur les
réseaux
sociaux et qui sefait ambassadeur de la
marque aune grande valeur, même il est pas
un grand shopper.»
'
'
'
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'
COMPTOIR
DESCOTNNIERS
afait dechaque
sup ondepublicité
unpointdeventepot ntiel,
endéveloppant
une pplication
quipermetdacheterparQRcode.
'
qu'
qu'
en gares. Comptoir descotonniers a fait de
lay
vitrines de sets table
et
de
descatalogues
connectés
géants.Selectionnist permet d acheter en un
clic lesvêtements et accessoires présentés dans
les pages des magazines féminins . L affichage
« intelligent» permet de faire sescourses dans le
métro .Une nouvelle relation aux marques ,
rendue
possible par le mobile ( 22%% des Français
utilisent le t-commerce- à partir d une tablette et 19%% le m-commerce , selon Digitas LBI) et les
technologies développéestous azimuts.
'
'
Entertainment et expérientiet
Dans ce contexte , les lieux commerciaux ont
perdu l apanage de la relation marchande . «Ils
doivent se penser autrement que dans leur seule
fonction marchande, insiste Lionel Aboudaram ,
président de Matador.Les centres commerciaux
sont devenus des médias qui monétisent leur
audience. Ils racontent une histoire et est ainsi
ils entrent dans une logique de
programmation
ils ouvrent aux loisirs ,
d événements,
ils font venir des services publics , pourquoi
pas même, des logements ou des bureaux.»
Cette logique d entertainment et d expérientiel
se traduit par une hausse des budgets
annonceurs
, comme le révèle Jérémy Dahan qui a
«une croissance exponentielle des
remarqué
budgets
marketing opérationnel Avant , on avait un
dossier supérieur à un million d euros par
trimestre
. Aujourd hui , est un par semaine.»
'
des Français utilisent
le commerce
mobile
.
(source : Digitas
c'
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L’émission phare des années 80 lance son spectacle avec son animateur Marc Toesca. L’agence
Pschhh gère la conception de la campagne de communication de cet événement qui débutera le 25
février 2016. Pour le volet offline, l’agence a créé le visuel de la tournée, qui sera relayé en campagne
d’affichage 4×3, ainsi que la signature « Partez en live ». En ce qui concerne le online, l’agence a
prévu des opérations spéciales, des jeux concours, des quizz et des applications sur les pages
Facebook et Twitter du spectacle. Les internautes seront par exemple invités à poster des photos
d’eux de l’époque (fluo et épaulettes à l’appui), des publications rendant hommage aux expressions
désuètes ou des news annoncées via les moyens de transmission de l’époque (minitel…),
Le teaser de la tournée est à découvrir ici :
www.strategies.fr
DÉCIBELS PRODUCTIONS PART EN TOURNÉE AVEC
PSCHHH
événementiel
12/05/2015
Décibels Productions confie à l'agence Pschhh la communication de son spectacle
musical sur les années 1980, Top 50. L'agence a réalisé l'identité, la signature et le
visuel de la tournée présentée par Marc Toesca, ancien animateur du hit-parade
télévisé, et accompagnera l'événement d'un dispositif social media (jeux-concours,
application, opérations spéciales) supporté par le hashtag #ToutRedevientPossible.
Pschhh a par ailleurs participé à l'élaboration de la vidéo teaser du spectacle.
Megane Gensous
18/05/2015
et aussi...
Le 42e Grand Prix de la communication extérieure sera dévoilé le 19 novembre. Le jury se réunira le 12 novembre à Paris,
sous la présidence de Gabriel Gaultier... Le groupe Prisma Média va mettre en place à partir du 18 mai une rédaction unique
pour ses trois magazines de télévision, Télé loisirs, Télé 2 semaines et TV grandes chaînes, baptisée Newsroom
TV... Lagardère Active a vu son chiffre d'affaires progresser au premier trimestre, de 1,1% en données brutes et de 2,8% en
données comparables, malgré la baisse des recettes de la presse magazine (-7,4% en diffusion, -5,3% en publicité)... L'agence
Wellcom a été désignée «French Consultancy of the year» par le Holmes Report, spécialisé sur le marché des relations
publics... Cap & Cime PR annonce cinq nouveaux clients: l'Agence nationale de développement économique de la NouvelleZélande, la filière interprofessionnelle de l'agneau gallois, la foire aux vins d'automne Simply Market, le magazine Le Pan et la
start-up Wedzem... Décibels Productions confie à l'agence Pschhh la communication de son spectacle musical sur les années
1980, Top 50...
PAYS : France
RUBRIQUE : La publicite et ses dirige…
PAGE(S) : 12-13
DIFFUSION : (600)
SURFACE : 26 %
PERIODICITE : Quotidien
6 mai 2015 - N°15879
Décibels
Productions
pour la communication
fait
appel à Pschhh
globale du spectacle
Top 50
Décibels Productions a fait appel à l agence Pschhh pour la stratégie de communication globale du
spectacle Top 50 , en tournée à partir du 25 février 2016.
'
événement et fidéliser une communauté
aux
dates de concerts . L agence a ainsi conçu le visuel de la tournée , qui sera relayé en campagne
d affichage , et a pensé la signature Partez en live .
Décibels
souhaite faire connaître
Productions
'
jusqu'
'
'
"
"
Pschhh a également mis en place une stratégie social media qui permettra de créer de
l engagement autour du spectacle et fédérer une communauté d ambassadeurs, Des opérations
spéciales , jeux concours et applications seront également lancés sur les pages Facebook et Twitter
du spectacle, via le hashtag #ToutRedevientPossible.
'
'
Enfin , Pschhh a participé à l élaboration de la vidéo teaser du show , déjà diffusée sur les espaces de
billetterie en ligne.
'
Tous droits de reproduction réservés
"TOP 50" le spectacle choisit l'agence pschhh pour sa
stratégie de communication globale
L'agence Pschhh a été choisie par Décibels Productions
pour la conception et mise en place de toute la campagne
de communication de cet événement, on et offline.
Pour le lancement de la billetterie de la tournée "Top 50",
Décibels Productions a amorcé une campagne de
communication. La signature : "Partez en live".
L'agence Pschhh a été choisie par la production pour
l'accompagner dans l'élaboration et la mise en place de la
stratégie de communication globale de l'événement.
Outre son implication en amont dans le positionnement et
l'identité du spectacle, l'agence a imaginé le visuel de la
tournée, qui sera relayé en campagne d'affichage 4x3.
Pschhh a également pensé une stratégie social media :
opérations spéciales, jeux concours, quizz et applications
viendront rythmer les pages Facebook et Twitter du
spectacle jusqu'à son lancement en xx. Le tout
accompagné du #ToutRedevientPossible.
URL : http://www.presseedition.fr/
PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
1 juin 2015 - 19:02
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Vite dit Communication d'Entreprises
Presse Edition 03/06/2015
Depuis 2011, Les Trophées du Média Courrier consacrent chaque année les meilleures
campagnes de marketing direct réalisées par les entreprises, agences de communication et
collectivités locales, qui sont récompensées pour leur innovation, leur créativité et leur efficacité.
Le dépôt des candidatures et la présentation des campagnes (réalisées entre janvier 2014 et avril
2015) sont ouvertes sur www.tropheesdumediacourrier.fr. Le 10 septembre prochain, un grand
oral permettra aux nommés de présenter leur campagne au jury, avant la remise des Trophées le
30 septembre au cours d une soirée de gala à Paris.
Début 2014, LIDL avait confié à Starcom Mediavest, le conseil média et l'achat pour ses
campagnes TV. Suite à l'appel d'offres lancé fin 2014, Starcom Mediavest a non seulement été
reconduit, mais a également vu son territoire d'intervention élargi, puisque l'agence média du
Groupe Publicis gèrera désormais l'ensemble des campagnes de l'annonceur.
La Caisse d Epargne organise une consultation d agences pour faire évoluer son territoire de
communication. Les agences en lice sont, l agence sortante BDDP & Fils, Altmann + Pacreau,
Havas Paris, Herezie et Leo Burnett.
Décibels Productions a choisi Pschhh pour la conception et la mise en place de toute la
communication globale (on & offline) du spectacle Top 50, présenté par l'emblématique Marc
Toesca.
La toute nouvelle agences, les brunes étoilées, créée par Sophie Phitoussi forte de près de 20 ans
d expérience dans les métiers de la communication, annonce deux nouveaux budgets : L Hôtel
Renaissance Paris Le Parc Trocadéro et son restaurant orchestré par le chef Stéphane Duchiron et
lamarque allemande, Dr Schutz.
L agence conseil en image et opinions Wellcom a remporté le trophée Consultancy of the year,
excellant par la qualité de son accompagnement et la pertinence de ses actions. Le Holmes Report
décerne tous les ans le prix de la meilleure Agence conseil, s appuyant sur une analyse exhaustive
du marché.
Les 1er et 2 mai derniers, Atout France a organisé à Dubaï la 2e édition de Marhaba France, son
opération de promotion de la destination France. Plus de 2.000 rendez-vous d affaires ont ainsi été
enregistrés entre les 60 professionnels du tourisme français ayant fait le déplacement et les 120
tour-opérateurs venus de 10 pays du Moyen-Orient.
Depuis le 13 mai dernier, Bonne Maman s'affiche avec beaucoup d amour. Affichage national,
15.000 panneaux et 3 visuels. Exclusivement en format Abribus, extérieur, quais de gares,
couloirs métro. Responsable du budget chez Andros, Nathalie Hervy, Directrice Marketing.
Agence : Dufresne-Corrigan-Scarlett.
Alors que l espace retail se transforme, que les enseignes cherchent à recréer une relation in-store
personnalisée en jouant avec les sens et en offrant des expériences uniques à leurs clients, l UDA
souhaite accompagner ses adhérents pour flairer les tendances et propose un Retail tour d une
journée à Londres le 10 ou 16 juin prochains.
L Argus de la presse s associe avec ConsumerLab, institut d étude marketing en innovation et
expérience client du groupe Colorado, pour lancer la nouvelle édition 2015 du Book des
tendances Think Forward.
Jeudi 21 mai dernier, lancement du label Fleurs de France sur Marché de Rungis, par le
Ministre de l Agriculture Stéphane Le Foll, en présence de Stéphane Layani, Président du Marché
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TYPE : Web Grand Public
1 juin 2015 - 19:02
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et de Benoît Ganem Président de l Interprofession horticulture. Le label Fleurs de France est
désormais accessible à tous les horticulteurs, pépiniéristes et producteurs de fleurs coupées et
certifie au consommateur l origine française d une fleur, d un arbre, d une plante ou bien encore d un
bulbe. Sur un marché où la concurrence étrangère ne cesse de croître, la mention Fleurs de France
valorise la production horticole nationale et incite les Français à préférer des végétaux produits
dans l Hexagone favorisant ainsi le maintien de l activité économique et des emplois.
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3 juin 2015 - 14:41
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Francetv zoom : l’appli vidéo sur-mesure de
France Télévisions
France Télévisions vient de lancer l’application Francetv zoom. L’application propose une
sélection de programmes et vidéos de France Télévisions et l’édite de deux manières : une chaîne
mobile sur-mesure pour chaque utilisateur, générée par un algorithme de recommandation, et des
playlists vidéos réalisées par l’équipe éditoriale. L’agence Pschhh a été missionnée sur la
stratégie de lancement de cette chaîne mobile. L’agence a mis au point un dispositif de ciblage
des principaux ambassadeurs et influenceurs. A la rentrée, Pschhh orchestrera différentes
opérations à destination des utilisateurs et du public. Un spot antenne, qui sera diffusé sur toutes
les chaînes de France Télévisions, est également prévu pour septembre.
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03/06/2015
médias
France Télévisions lance Zoom TV pour un usage en mobilité
NUMERIQUE. France Télévisions lance France TV Zoom, une application, disponible pour
l'instant seulement pour l'Iphone d'Apple, proposant tous les programmes des chaînes du
groupe, dans leur intégralité mais aussi à travers les meilleurs extraits. Elle doit répondre à
une demande d'usage de la télévision en mobilité et avec un temps d'utilisation réduit à 5 ou
10 minutes. Cette appli, qui propose de la publicité, offre des émissions selon les goûts de
l'utilisateur. Le lancement est appuyé par une communication, signée par l'agence Pschhh,
avec un film TV qui sera programmé à partir de septembre.
FRANCE TÉLÉVISIONS LANCE FRANCETV ZOOM, SON APPLI-CHAÎNE ADAPTÉE À
LA VIE MOBILE
Le 03/06/2015
«Dans nos vies connectées, le mobile est en train de devenir le premier écran, celui qui nous
occupe et divertit le plus», résume France Télévisions. Lancée hier (sur iOS pour
commencer), la chaîne mobile francetv zoom de France Télévisions suit les spécificités du
média mobile : contenus individualisés, proximité et temporalités variables.
Les contenus proposent aux mobinautes des combinaisons d’extraits de programmes des
chaînes de France Télévisions soit sous forme de playlists éditorialisées avec un ton qui se
veut direct et complice («se coucher moins bête», «plus belle la semaine», etc…), soit avec
une playlist individuelle («Ma Chaîne»). Cette dernière propose automatiquement des
programmes et des vidéos du groupe France Télévisions qui s’adaptent aux goûts, aux
usages
et
au
temps
disponible
de
chaque
utilisateur.
La vision de chaque extrait s’accompagne de la possibilité d’accéder au programme dans
son
intégralité
(dans
la
limite
des
droits
du
replay
à
7
jours).
Les contenus individualisés sont construits grâce à un algorithme de recommandation,
développé par la start-up Cognik, et s’affinent en fonction des retours d’appréciation du
mobinaute.
L’ensemble des contenus n’intègre pas les programmes enfants qui restent le territoire de
«Ludo».
La présence publicitaire inclut des pré-rolls et des mid-rolls diffusés au sein des vidéos avec
un capping basé sur la durée d’utilisation. Pour cette première version de francetv zoom, une
première présence publicitaire apparaît après trois minutes de consommation, puis toutes les
dix minutes, quelle que soit la playlist consommée. Il n’y a pas d’annonce publicitaire à
l’ouverture. France Télévisions Publicité envisage également des contenus de marque.
D’ici les prochains mois, francetv zoom sera déployée sur web responsive, tablette et TV
connectée.
La communication du lancement de la chaîne a été attribuée à l’agence Pschhh.
PAYS : France
RUBRIQUE : Informations diverses
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DIFFUSION : (600)
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PERIODICITE : Quotidien
8 juin 2015 - N°15899
FranceTélévisions / Pschhh / précisions
Suite à notre article paru en fin de semaine dernière
du 5 juin 2015) , précisons que , dans le cadre du lancement presse de FranceTV Zoom ,
(cf . C.
l agence Pschhh a assisté France Télévisions Editions Numériques (FTVEN) dans la réalisation du
dossier de presse, du film de démonstration et des éléments de signalétiques à partir de l identité
graphique de l application . L événement de lancement presse au Palais de Tokyo - dont France
Télévisions est partenaire depuis 2013 - fut en revanche imaginé , réalisé et assuré par les équipes
de France Télévisions.
"
Pub"
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PAYS : France
RUBRIQUE : Informations diverses
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DIFFUSION : (600)
SURFACE : 10 %
5 juin 2015 - N°15898
PERIODICITE : Quotidien
Francetv zoom
Pschhh
budget : France TV a choisi Pschhh pour l accompagner sur la
de
son
Francetv
zoom . L agence a travaillé sur la stratégie marketing et les
stratégie
application
éléments de langage et a géré la communication avec la presse, les influenceurs et le grand public.
A la rentrée , Pschhh orchestrera différentes opérations à destination des utilisateurs et du public ,
autour de ces nouveaux usages. Un spot antenne , qui sera diffusé sur toutes les chaînes de France
Télévisions , est également prévu pour septembre.
'
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C'est l'agence Pschhh qui orchestre tout le lancement de cette
nouvelle application
L'agence a été missionnée pour accompagner France TV dans le positionnement de cette application, en
travaillant sur la promesse marketing et les éléments de langage.
Les équipes ont également mis au point un dispositif d'émergence progressive, du ciblage des principaux
ambassadeurs et influenceurs jusqu'au grand public.
Elle a ainsi notamment imaginé l'événement de lancement qui a eu lieu au Palais de Tokyo et organisera
différentes opérations à destination des utilisateurs et du public à la rentrée de septembre.
Egalement : un spot antenne, qui sera diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions, est prévu pour
septembre.
Francetv zoom, à l'assaut de la génération smartphone
Publié le 02/06/2015 par Thomas Pike
La nouvelle application "francetv zoom", lancée le 2 juin, regroupe les
programmes de France Télévisions dans une chaîne mobile pour iPhone
fondée sur la recommandation.
Dix-huit mois de développement ont été nécessaires
pour développer l'application "francetv zoom",
lancée ce mardi 2 juin par France Télévisions
sur iPhone. "Pour que le service public reste au
service de tous, il était temps de proposer à la
génération
smarthphone
une chaîne
mobile
fondée sur la recommandation", indique Bruno
Patino, directeur général délégué aux programmes,
aux antennes et aux développements numériques.
Comme d'autres acteurs "historiques " de la
télévision (cf. TF1 avec la nouvelle version de
myTF1), le groupe public continue d'adapter son
offre aux nouveaux modes de consommation
de la télévision, boostés par les usages des offres
délinéarisées et par l'arrivée d'offres comme Netflix,
basées sur de puissants outils de recommandation. La campagne de lancement de l'application a été réalisée
par l'agence Pschhh.
Pour mettre au point francetv zoom, France Télévisions s'est attaché à résoudre plusieurs paradoxes qui
circulent autour de la télévision et de son hyper-offre: "Il n'y a rien à la télévision " mais " je n'arrive pas à
regarder tout ce qui me fait plaisir", ou encore "je veux avoir accès à tout" et "je n'arrive pas à choisir".
Deux offres sur-mesure ou en playlist
Deux modes d'accès sont proposés. Dans l'offre "sur mesure", l'utilisateur renseigne ses thèmes de
prédilection (sport, info, culture, musique...), ses émissions préférées et le temps dont il
dispose (5, 10, 20 minutes ou plus). L'algorithme de recommandation lui propose alors une offre
personnalisée au sein des programmes et extraits vidéo de France Télévisions. La sélection est
affinée en fonction de la navigation, des durées de visionnage, des pauses...
Le téléspectateur mobinaute peut aussi opter pour des playlists de vidéos éditorialisées selon des
thématiques ou adaptées aux différents moments de la journée: "Se coucher moins bête", "Ca part en live
!", "Voyage, voyaaaage"... Les sélections sont réalisées par une équipe éditoriale de quatre personnes dédiée
à ce service.
Une publicité non intrusive
Assez logiquement, cette application gratuite propose de la publicité. "Nous avons travaillé avec France
Télévisions publicité pour garantir une bonne intégration des écrans dans la navigation et un
caping en fonction de la durée d'utilisation. À terme, nous allons proposer des expériences de brand
content", indique Élodie Buronfosse, directrices des contenus et services numériques de France Télévisions.
Les premiers écrans n'arrivent qu'après deux ou trois minutes de visionnage et ne doivent pas couper les
vidéos.
Un prototype en évolution permanente
Francetv zoom a été conçue selon une démarche de prototypage et à l'issue d'un processus itératif, mis en
place avec TNS Sofres. Des groupes tests à Lille, Paris et Bordeaux ont permis de valider le concept et
d'adapter l'ergonomie du service en fonction de l'avis des utilisateurs tests. C'est aussi sur ce mode que
seront mis au point les futurs développements, annoncés entre l'automne et la fin de l'année: un mode de
visionnage hors connexion, des fonctionnalités d'abonnement, de partage de vidéo ou de playlist, des
options "voir plus tard" ou "voir sur grand écran".
PAYS : France
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SURFACE : 112 %
PERIODICITE : Quotidien
3 juin 2015 - N°nc
: tout France
FranceTVzoom
Télévisions sur iPhone , pour
l instant . . .
'
Le 02/ 06/ 2015 à 19 :17 par Thierry
Wojciak
X
Il était urgent de ne plus attendre . L équipe numérique du groupe France Télévisions
présentait mardi son nouveau jouet aux ambitions assumées, FranceTVzoom , une nouvelle
'
application pour regarder sur son smartphone une chaîne personnalisée composée d émissions
du groupe . Pour l heure en version « prototypale » et disponible uniquement sur iPhone , cette
'
'
nouvelle offre qui est le fruit d un investissement de 1 ,5 million
sur 2014-2015
est pas
« un lancement-bilan , au contraire , est un front pionnier » , souligne Bruno Patino , directeur
général délégué aux programmes , aux antennes et aux développements numériques du groupe ,
'
Euro
n'
c'
faisant ainsi référence au changement de président du groupe en août prochain.
FranceTVzoom est le « fruit d une intuition et de deux convictions » , explique-t-il . D abord ,
'
'
est pas un outil mais un mode de
que le temps du mobile est avéré et que « le smartphone
vie » et ,
ensuite , « depuis des mois» sont développées des offres non linéaires sur la
n'
qu'
télévision basées sur les recommandations . « Nos recommandations pour FranceTVzoom
seront à la fois humaines , sociales et algorithmiques . Notre nouvelle chaîne mobile sera
fondée sur de la recommandation contextuelle » , martèle-t-il.
Des émissions
jusqu'
à J+7
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PAYS : France
PAGE(S) : 11-12
SURFACE : 112 %
PERIODICITE : Quotidien
3 juin 2015 - N°nc
Dans les faits , une fois installé , ce nouveau service dont le projet a été initié en janvier 2014
propose au mobinaute une offre « sur mesure » pour répondre « à la douleur du choix» dans
une hyper-offre , selon l expression de M . Patino : l utilisateur renseigne ses thèmes de
il apprécie
prédilection ( sport , info , culture , musique ...) , ses émissions préférées et celles
'
'
qu'
moins , puis le temps dont il dispose ( 5 , 10 , 20 minutes ou plus) . A partir de toutes ces
informations , l application propose automatiquement des extraits et des programmes de
France Télévisions . ai 5 minutes , au lieu d aller sur YouTube , on offre une réponse plus
'
"
'
J'
qualitative , estime Elodie Buronfosse , directrices des contenus et services numériques de
France Télévisions . A côté de cette chaîne personnalisée , le mobinaute a également accès à
des listes de vidéos thématiques ( Se coucher moins bête , Ca part en live ! , Voyage ,
"
"
"
"
"
"
voyaaaage ) réalisées par une équipe éditoriale spécialement dédiée , toujours à partir
d extraits de programmes du groupe audiovisuel public . La publicité y sera également
présente sous forme de pré-roll , mais « nous travaillons également sur la possibilité de
"
'
proposer du brand content » , indique Elodie Buronfosse . En cochant la case ai plus de
à J+ 7 , toujours en
temps , l utilisateur se verra proposer des émissions intégrales jusqu'
"
j'
"
'
fonction de ses goûts . Il agit aussi , souligne Elodie Buronfosse , de faire découvrir des
émissions mal connues de France Télévisions . Par ailleurs , est l agence Pschhh qui a été
choisie pour orchestrer tout le lancement de cette nouvelle application . Un spot antenne sera
s'
'
c'
même diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions en septembre prochain.
En attendant le web et. . . Android
A ceux qui pourraient penser que l avènement de FranceTVzoom annoncerait un enterrement
de première classe de Pluzz , la plateforme de télévision de rattrapage des chaînes du groupe
'
France Télévisions , Bruno Patino dément : « Pluzz reste le coeur de l offre numérique de
France Télévisions , de ce
il reste à développer . Nous allons apprendre de FranceTVzoom
'
qu'
». Quoiqu'
il en soit , l application FranceTVzoom , disponible donc depuis mardi sur IOS ,
arrivera en version web en septembre et sur Android en fin d année. « Il y a 5 ans, le
numérique était à côté de l entreprise France Télévisions . Aujourd hui , il est dedans » , sourit
'
'
'
'
en coin Bruno Patino . Le sentiment de la mission accomplie ?... Pour la démo ,
c'
est ici.
Tous droits de reproduction réservés
PAYS : France
RUBRIQUE : Informations diverses
PAGE(S) : 14
DIFFUSION : (600)
SURFACE : 9 %
PERIODICITE : Quotidien
29 mai 2015 - N°15893
Pschhh Ben
s campagne : Ben&jerry'
s a choisi l agence Pschhh pour l accompagner
dans sa campagne Quand est fondu , est foutu ! . La marque , qui engage depuis sa création
dans de grandes causes, a choisi cette année de se battre contre le réchauffement climatique.
Autour d actions de terrain et d événements , l agence Pschhh accompagne Ben Jerry' s dans le
but de mobiliser le maximum de fans français . L opération sera relayée sur benjerry .fr/ climat et sur
les réseaux sociaux de la marque.
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Tous droits de reproduction réservés
Pschhh, choisi par la marque Ben & Jerry's pour l'accompagner
dans sa campagne pour l'environnement "Quand c'est fondu, c'est
foutu !"
Ben & Jerry’s lance sa campagne « quand c’est fondu, c’est foutu ! ». Objectif : mobiliser 500 000 fans à
travers le monde à rejoindre le mouvement.
Autour d’actions de terrain et d'événements, l'agence Pschhh accompagnera Ben&Jerry's à agir contre la
fonte des glaces, avec pour mission de mobiliser les fans français et les inviter à se rallier notamment à la
pétition initiée par AVAAZ pour parvenir à un accord : http://www.benjerry.fr/climat
Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même des festivals de musique en France : à
We Love Green, Rock en Seine ou encore aux Eurockéennes.
URL : http://topcom.fr/
PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
11 juin 2015 - 12:28
Cliquez ici pour accéder à la version en ligne
Ben&Jerry's s'engage avec Pschhh contre la
fonte des glaces
Ben&Jerry’s le sait : 2015 est une année importante pour le climat. Au mois de décembre, Paris
accueillera la 21e édition de la Conférence Climat des Nations unies (COP 21). La marque de
glace en profite pour s’engager pour le climat. Autour d’actions de terrain et d’événements,
l’agence Pschhh accompagne Ben&Jerry’s à agir contre la fonte des glaces, avec pour mission de
mobiliser les fans français via #FonduFoutu et les inviter à se rallier à la pétition initiée par Avaaz
pour parvenir à un accord… Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même
des festivals de musique en France : à We Love Green, Rock en Seine ou encore aux
Eurockéennes. L’opération est relayée sur Benjerry.fr/climat et sur les réseaux sociaux de la
marque.
Tous droits de reproduction réservés
www.strategies.fr
BEN & JERRY'S SENSIBILISE AU RÉCHAUFFEMENT
CLIMATIQUE
Publicité
01/06/2015
La marque de crèmes glacées Ben & Jerry's s'engage contre le réchauffement climatique dans une
campagne, signée par l’agence Pschhh.
Baptisée «Quand c’est fondu, c’est foutu!», elle repose sur de nombreuses actions de terrain et
d'événements, ainsi que sur un site, www.benjerry.fr/climat, qui propose aux internautes de signer une
pétition lancée par l'ONG Avaaz et qui relaie de nombreuses informations sur le sujet. Un film joue
habilement sur la fonte des glaces, montrant aux internautes les effets que peuvent avoir deux degrés
de plus sur différents produits de la marque.
Anaïs Richardin
01/06/2015
La marque de crèmes glacées Ben & Jerry's s'engage contre le réchauffement climatique
dans une campagne, signée par l’agence Pschhh.
Baptisée «Quand c’est fondu, c’est foutu!», elle repose sur de nombreuses actions de
terrain et d'événements, ainsi que sur un site, www.benjerry.fr/climat, qui propose aux
internautes de signer une pétition lancée par l'ONG Avaaz et qui relaie de nombreuses
informations sur le sujet. Un film joue habilement sur la fonte des glaces, montrant aux
internautes les effets que peuvent avoir deux degrés de plus sur différents produits de la
marque.
Ben & Jerry's, c'est toute une philosophie. Depuis ses humbles débuts il y a 37 ans, la marque se consacre à
faire la meilleure glace possible de la meilleure façon possible. Et s’engage sur des sujets allant du commerce
équitable au mariage pour tous. En 2015, son cheval de bataille c'est le climat, normal pour une marque givrée...
« Nous ne sommes pas des chercheurs mais nous pensons que, tout comme les crèmes glacées, les calottes
glaciaires sont faites pour rester gelées ». Elle a ainsi opté pour l'agence Pschhh et lui a confié sa campagne
«Quand c’est fondu, c’est foutu!». Objectif : mobiliser 500 000 fans à travers le monde à rejoindre le mouvement.
En partenariat avec AVAAZ, Ben&Jerry’s veut mobiliser et lancer le mouvement #FonduFoutu pour apporter sa
pierre à l'édifice de l'accord sur le climat. Autour d’actions de terrain et d'événements, Pschhh accompagnera
Ben&Jerry's pour mobiliser les fans français Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même
des festivals de musique en France : à We Love Green, Rock en Seine ou encore aux Eurockéennes. Toute
l'opération sera relayéesur les réseaux sociaux de la marque.
07/06/2015
ÉMISSION "A VOS MARQUES" PRÉSENTÉE PAR DAVID DAUBA
Sujet sur la campagne Ben & Jerry's "Quand c'est fondu, c'est foutu".
Citation de l'agence Pschhh.

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