Je suis face à un problème que je n`arrive pas à résoudre
Transcription
Je suis face à un problème que je n`arrive pas à résoudre
Je suis face à un problème que je n'arrive pas à résoudre... « Comment prouver que cette similitude est le fruit d’un hasard ? » Hier soir, j'ai lu le texte de Bertin dans sa totalité, et également noté la structure de son texte.... Je crois qu’il y a 10 ans, j’avais déjà contesté tout plagia sans avoir lu le texte de JB dans sa totalité, de même sans avoir ensuite écouté entièrement la chanson. C'est là ou je me dis ; « Y'a un truc qui ne va pas »... "Est-ce seulement un hasard avec toutes ses similitudes ? Avec autant de point communs ?" Seule particularité et elle est importante : Le texte de Bertin, nous décrit le réel qui se rapporte aux mains. Comme un acquis et non interchangeable, qui se rapporte tjrs au même sujet « Des mains » Et d’où le choix de la comparaison vers le réel, pour le texte de JB, et non comparatif vers une image, dans mon texte. La particularité pour ce qui concerne le mien, est qu’il est en plein dans la caricature rien n’est définitif et donc interchangeable en matière de Sujet (Voir le texte « Forums blues ») même texte, mais dont le « Des mains » est remplacé par Forum ou Parloir…) Chose impossible à réaliser avec le texte de Bertin qui avant tout est une chanson, pas de la poésie) Bien ! je vais donc maintenant faire la critique de mon propre texte et en me rapportant à celui de Bertin : 1) Le titre : « Des mains » (hasard facilement défendable) en deux mots « ça peut arriver ! » 2) L’côté répétitif de l’objet principal : Des mains : Des mains pour… Des mains qui…. Des mains comme… « Là, on commence à ce dire ; tiens ! « Le titre et cette même répétition à l’identique ! Bizarre ! Bizarre bizarre ! J’ai dit bizarre ? Ah comme c’est bizarre ! Ben oui automatiquement, c’est ce que l’on se dit, « c’est bizarre », surtout si on connaît le texte de Bertin. On se dit « tiens ! J’ai déjà lu, ou entendu, c’môchin lôa quelque part !) C’est logique !!! ; Je me serais dit la même chose et aurais même tendue l’oreille… 3) Alors voyons ; première strophe : Déjà le titre ce n’est pas LES mains, ni Nos mains ; il s’agit bien DES mains » tout pareil. Et juste là dans la première strophe y’a deux fois la répète « Des mains ». Par contre les ombres elles se déplacent, avec l’enfoiré de JG (Oh putain! c’est Bertin ; il à copier Bertin le JG superstar !) P’tain c’est copier-coller, ça... Le saaalaud !. Regarde c’est tout pareil, l’enfoiré…. Oh le vache, le Jaco ! En plus, je viens de repérer un truc, sans déconner ; JB Allant et venant des mains de lingères JG Des mains pour se laver, des sentences infâmes Je réalise qu’c’est la lingère de Bertin qui ont lavé les mains de JG (t’as vu l’enc’foiréééé). En plus il va nous dire « mais non je connaissais même pas le texte de Bertin avant d’avoir pondu le mien ! ) Eh oh ! JG ! Tu nous prends pour des gogols ou quoi ? Bertin (comparaison vers une image réelle) Des mains pour partir au long cours comme des cheveux ou comme la vie De belles mains sur la page ou la peau De belles mains des mains de noblesse Des mains comme sont toutes les mains JG (comparaison vers une image imaginaire) Des mains comme des ombres Ces ombres que l'on porte au bout de l'invisible Des mains comme une issue Comme un possible lien Comme un attachement. Des mains comme des veilleuses dans l'ombre naissant allant et venant des mains de lingères Au moins ces deux mains là, elles n’pensaient pas lavoir. (Bertin avait fréquenté pas mal de branleuses à une certaine époque ! » (pourtant il y avait un panneau « fait gaffe à tes comparaisons, faut pas tomber dans l’piège » et paff , v’là l’inconscient, qui fait monter sa bite entre les mains des Lavandières.) Attends, je vais voir si y’a pas autre chose après… Et va z’y les répètes Man ; Des mains comme-ci, Des mains comme-ça.. Ellez zi va ! Et que j’te la re-maquille la mère de jacques Bertin « R’garde ça l’enflure » . Même ça mère, ma parole ! JB Des mains comme veillant les mains de mères 4) JG Des mains, comme des phrases et les mots que l’on pense Ces mots que l’on suppose au creux d'un sentiment Mêmes mots employés le sont parfois aux mêmes endroits dans l’ossature des deux textes : JB Des mains qui creusent des sillons dans la vie sans ombre des mains aveuglément qui suivent une passion Des mains pour bâtir la maison comme mon père Des mains comme des foules de mains qui viennent me donner la main JG ( avec l’accent pied noir) T’as remarqué ? Bertin écrit ; « dans la vie sans ombre »… Du coup l’enfoiré d’JG, il l’efface toutes ses ombres, il vire l’ombre qu’il reste, puisqu’il a lu « sans ombre » par Bertin ; Il nous en parle même plus. Si ça ce n’est pas du plagia, je ne m’y connais plus alors ! Remarque qu’il se rattrape quand même un peu avec bâtir. « Des mains pour bâtir la maison comme mon père de JB » Lui JG, il a dû s’dire ; bâtir- vêtir, c’est presque pareil et j’ vais tous les niquer, ya ya yae ! pis ça ne ce verra pas. Et allez hop ! v’la phrase de JGO (« JGO » sorte de cuisse de Jupiter) « Des mains pour nous vêtir d'amour que l'on proclame de JG » Des mains comme des foules de mains appelant l'espoir et l'eau vive Des mains comme des troupeaux de mains longeant la rive et t'accueillant dans ton lendemain sans limite Bon là je n’ai pas trop cherché non plus, sauf les répets, mais bon, faut pas croire… Il n’a pas dû comprendre ce que Bertin voulait dire ; l’est tellement con c’JG. Doit manquer d’imagination… Ah ben si tiens, attends ! C’est pas ça… ! En fait, je crois que chacun d’eux, utilise un vécu, ce qu’ils ont vu, ou lu, ou entendu, bref tout ce qu’ils ont appris par leur propre passé ; Avec en plus La politique, la religion, la guerre… la vie quoi, enfin je voulais dire, la vie de chacun d’eux. Et boum ! v’là le JG qu’arrive… Et que j’te pique une ombre par ici, que j’remaquille ta mère par là ; Bon ! il refuse totalement la branlette des lingères ; encor ça, on veut bien ! On peut l’comprendre après tout ! Va même allez se rhabillé d’JGO ; Enfin ! je voulais dire se revêtir, pas rhabillé ; mais bon, c’ presque pareil. Des mains traçant les signes du pardon et puis se cherchant comme des paroles d'abandon Des mains comme des voiles pour partir loin Des mains comme des voiles pour partir loin, loin Avec des yeux d'enfant dans l'horizon loin, loin Alors là ça confirme… Ma main à couper tiens… Des mains comme une rime, aux paroles qui dansent Des mains, comme des voiles, un bateau sous le vent Ce n’est pas du copier-coller ça peut être ? hum ! Il va nous dire que c’est ce qui l’a troublé cette nuit, parce que monsieur n’avait même pas fait gaffe de la ressemblance qui saute aux yeux comme un coup de pied au cul. Pourtant et jusqu’au bout des ongles, il le savait qu’on connaissait Bertin. Mais non ; il sait qu’on sait, mais non, monsieur poste son texte. Il est con ce JG, ou quoi ? Il arrive là, beau gosse et tout, avec l’air de dire ; Hep les gens ! Regardez ça, ce zoli texte que je viens d’pondre ; Elles sont pas belles mes mains ! ih ih ih ! Trop marrant le JG ! ça donne envie de le taper tiens. Pt’ain ! On lui balance les détails de nos preuves sous son gros nez de con d’Breton et Monsieur non seul’ment se pavane, mais en plus, il nous nie tout t’en bloc ! Mais on va où là ! C’est pas un truc de ouf ? JB Avez-vous écouté la chanson de Bertin en son entier Faut écouter la fin de la chanson… Le truc avec le voyageur et qui ne figure pas dans son texte écrit ! Le voyageur que nos mains rêvent avoir été coupées JG Faut écouter la fin de la chanson… Il coupe quelque chose Bertin ! Et oui il coupe les mains du voyageur et JG lui, qu’est ce qu’il écrit, hein ! Qu’est qu’il écrit ? Des mains que l’on réclame, qu'on saigne et que l'on coupe Bien, c’est re moi JG J’ai 4 enfants et 4 petits enfants et je jure devant eux que je ne connaissais, ni le texte, ni la chanson de Bertin avant d’écrire mon propre texte. Je jure aussi n’avoir pas fermé l’œil de la nuit et repensé à tout ça…. Le pire est le truc « des mains coupées », que je n’ai découvert en son entier que hier soir… Est-ce un hasard vraiment ? Ou bien est-ce ma tête qui me jouerait des tours depuis 10 ou 15 ans ? Juste une autre question : Qui d’entre nous aura eu ce courage, d’écouter jusqu’au bout, la chanson de Bertin, parfaitement inaudible ?