gala méritas 2009 - Cégep de Baie
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gala méritas 2009 - Cégep de Baie
Volume 15, numéro 15 Le mardi 12 mai 2009 22 élèves sont récompensés lors du GALA MÉRITAS 2009 Voir pages 2, 3 et 4 pour détails Prochaine parution : Août 2009 Dépôt des textes : au local A-160 Vie étudiante GALA MÉRITAS! C’est le 6 mai dernier, en soirée qu’à eu lieu le gala méritas 2009 du Cégep de Baie-Comeau. Afin de récompenser les élèves sur différentes sphères scolaires, des entreprises et organismes de la région ainsi que le personnel de notre école me financent et remettent des prix et bourses. Le gala débuta avec un mot de la directrice générale du Cégep, M Danielle Delorme, suivi du mot du président d’honneur du gala M. Denis Cardinal, directeur de l’ATR Manicouagan. La cérémonie me fut animée par M Marilène Gill, professeure de français au cégep. Le public a eu la chance d’avoir une prestation de Louis-Philippe Dupuy accompagné de sa guitare, participant à la finale nationale de Cégeps en spectacle. Il interpréta avec brio une chanson de son cru intitulée Quelqu’un d’autre. Félicitations à tous les gagnants ainsi qu’aux nominés! Voici donc la liste des prix et bourses et les récipiendaires de ceux-ci : Prix pour la qualité du français écrit (500 $, 300 $, 200 $) Prix en histoire (300 $) Prix en mathématiques (200 $, 100 $, 50 $) 1) Sophie Villeneuve, 2) Éricka Lavoie, 3) Virginie Samuel-Lafleur Sophie Grégoire Tremblay 1) Jean Sébastien Côté, 2) Sophie Villeneuve, 3) Virginie Samuel-Lafleur Bourse de l’Ordre des comptables en management accrédités du Québec (500 $) Bourse des techniques non traditionnelles (250 $) Bourse Relève santé (500 $) Joyce Truchon Marie-des-Neiges Anctil Castonguay Vanessa L’Italien Bourse d’excellence du Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens de CSSM (500 $) Bourse Olympique Radio-Canada (500 $) Bourse René-Landry (500 $) Jonathan Bergeron et Virginie Samuel-Lafleur Pierre-Luc Lessard Page 2 Jean Sébastien Côté Vie étudiante suite Activité de l’année Engagement social de l’année (500 $) Prix Bob-Rooney (300 $) Journée Innue Jasmin Poirier Élise T. Lechasseur Bourse Louis-Rock (250 $) Prix du progrès personnel (350 $) Prix d’encouragement pour les mères aux études (500 $) Justine Vachon-Riverin Justine Vachon-Riverin Karine Munger Bourse pour souligner le mérite des étudiants et étudiantes bénéficiant de services adaptés (250 $) Bourse Science de la nature (500 $) Bourse de Sciences humaines et sociales (500 $) Kéven Jean Côté Jean Sébastien Côté Sophie Grégoire Tremblay Bourse de Sciences humaines et administratives (500 $) Bourse de Sciences humaines et psychologie (500 $) Bourse Art et lettres option langues (500 $) Stéphanie Chénard-Marcil Éricka Lavoie Pascal Jean-Lavoie Page 3 Vie étudiante suite Bourse Techniques biologiques (500 $) Bourse Soins infirmiers (500 $) Bourse Technologie du génie civil (500 $) Dominic Cyr Vanessa L’Italien Marie-des-Neiges Anctil Castonguay Bourse Technologie de l’électronique industrielle (500 $) Bourse Techniques d’éducation spécialisée (500 $) Bourse Techniques de comptabilité et de gestion (500 $) Éric Langelier Johana Gay Caroline Savard Attestation d’études collégiales à temps plein (500 $) Hommage Cégep de Baie-Comeau (1 000 $) Bourse Pierre-Larue (500 $) Serge Hovington Hélène Belzile, psychologue Sophie Grégoire Tremblay Prix du mérite scolaire et Médaille de la Gouverneure générale (1 000 $) Virginie Samuel-Lafleur Page 4 Vie étudiante suite LETTRE OUVERTE C’est à la suite d’une question qui m’a été posée que j’ai décidé d’écrire une lettre ouverte pour le DEC Express. On m’a donc demandé : « Que penses-tu de ton expérience dans le journal étudiant? » Voici donc ma réponse. Je suis déçue de ne pas avoir adhéré à cette organisation collégiale dès ma première session. J’ai seulement décidé de m’embarquer à la quatrième session. Le simple fait d’avoir écrit dans le journal du DEC Express ma permis d’explorer le monde de l’écriture. J’ai pu acquérir des connaissances quant à la construction d’un article en faisant la différence entre un article qui résume les faits et une critique. Trop souvent, des journalistes introduisent dans leurs articles une touche de leur opinion, ce qui le rend subjectif et encourage les gens à penser inconsciemment de la même façon que son auteur. Donc, cela m’a permis de savoir un peu quel genre de journaliste écrit j’aimerais être. Mon expérience au journal étudiant m’a aussi permis d’avoir de la confiance pour l’université dans mon futur programme : COMMUNICATION. Étant donné que je savais que nous devons écrire dans le journal de l’université dans le cadre de plusieurs cours et en étant maintenant plus expérimentée, j’ai donc moins de stress à l’idée d’écrire dans un journal et d’être évaluée! Le monde des communications est tellement vaste et il est important de toucher plusieurs des sphères qu’il contient. Le DEC Express m’a non seulement permis d’écrire mais m’a aussi dirigée vers d’autres projets comme ma participation à une vidéo promotionnelle tournée par le Cégep de Baie-Comeau. En s’impliquant dans une activité parascolaire, tu peux te faire connaître au cégep ce qui peut te permettre de multiplier des expériences et des opportunités. Cette année, le cégep avait une entente avec le Théâtre de Baie-Comeau qui permettait à tous les journalistes du DEC Express d’aller voir des spectacles gratuits à condition de créer un article dans le journal étudiant. Étant donné que le journal n’impose pas de sujets et que l’art m’intéresse, j’ai donc décidé de couvrir ce genre d’évènements. À chaque fois que j’ai couvert des spectacles, j’avais hâte d’arriver chez moi et d’écrire mon article. C’était enrichissant et, en plus, j’ai appris que les journalistes du DEC Express étaient rémunérés. En plus, écrire dans le journal permet de redécouvrir la langue française, de faire plein de rencontres qui peuvent servir dans le futur et d’avoir du plaisir tout étant récompensé. Pour moi, c’est comme si, finalement, il était possible qu’une passion puisse aussi devenir un travail. J’ai adoré mon expérience et je suis certaine que cela a bien entamé mon début dans l’incroyable univers des communications! Stéphanie Julien Page 5 Vie étudiante suite DÉMYSTIFIER LES PRÉJUGÉS SUR L’HOMOSEXUALITÉ Jeu-questionnaire - Vrai ou Faux 1. Dans un couple gai ou lesbien, un des partenaires joue le rôle féminin ou le rôle masculin Faux. Comme quoi le modèle du couple traditionnel est omniprésent. Dans un couple gai ou lesbien, chacun des partenaires est ce qu’il est sans jouer de rôle féminin ou de rôle masculin. 2. Je peux reconnaître un gai ou une lesbienne à première vue Faux. Quelques garçons sont plus délicats ou quelques filles plus costaudes que d’autres, mais cela n’a rien à voir avec leur orientation sexuelle. Il y a toutes lesbiennes : sortes d’homosexuels ou de des costaudes et des costauds, des délicates et des délicats; des sportives et des sportifs, des intellectuelles et des intellectuels; des dures et des durs ainsi que des sensibles. Si tu crois être capable de les reconnaître, il est fort probable que tu fais erreur. 3. Deux hommes ou deux femmes peuvent adopter un enfant Vrai. La loi sur l’union civile en vigueur depuis juin 2002 permet aux couples de même sexe d’adopter des enfants. Page 6 4. Les enfants élevés homoparentales ont développement dans des familles des problèmes de Faux. Il n’y a pas plus d’enfants gais ou lesbiennes issus de couples homosexuels que de couples hétérosexuels. En 2202, l’American Academy of Pediatrics des États-Unis a clairement affirmé, dans sa publication de février 2002, que les enfants élevés dans un milieu homoparental se développent aussi bien sur tous les plans que ceux élevés dans un milieu hétéroparental. De plus, elle conclut aussi qu’il en va du bien de l’enfant de lui reconnaître officiellement ses deux parents. 5. Un enfant élevé par deux hommes ou deux femmes a une plus forte probabilité de devenir gai ou lesbienne qu’un enfant élevé par des parents hétérosexuels Faux. Des études ont clairement prouvé qu’il n’y a pas plus d’enfants qui sont gais ou lesbiennes parmi les couples homosexuels que parmi les couples hétérosexuels. Vie étudiante suite Page 7 Vie culturelle SPECTACLE DE BALLET FUSION C’est la fin de semaine des 2 et 3 mai que s’est déroulé le spectacle annuel de l’Académie de danse de BaieComeau. Le spectacle « FUSION » regroupait donc plus de 140 jeunes qui dansaient du ballet classique, du ballet jazz ou du hip-hop. Plus d’une vingtaine de numéros ont été présentés sur la scène du Théâtre de BaieComeau. La première partie fut entamée avec les toutes petites. Inutile de vous dire qu’elles étaient magnifiques dans leurs petits costumes telles de jolies princesses! Il y a eu, par la suite, un numéro de hip-hop et un extrait du « Lac des cygnes » dansé par Ariane Gagnon et Rocky Gagné, un danseur professionnel qui fréquente le Cégep de Baie-Comeau. Cette partie s’est enchainée avec divers numéros de hip hop et de ballet classique effectués par les plus jeunes et les débutants, sauf la prestation de la troupe de JAZZ suivis de la troupe Arabesque. C’est lors de la deuxième partie que les chorégraphies ont commencé à être plus complexes et que les plus habitués nous ont démontré leur savoir-faire. Je dois dire que les jeunes danseuses du groupe ÉLÉMENTAIRE 4A ET AB, m’ont beaucoup impressionnée. Elles étaient quand même assez jeunes et leur synchronisation et leur grâce se faisaient sentir dans les chorégraphies de monsieur Valentin Kostov. Aussi, plusieurs chorégraphies de Marie-Claude Marquis, enseignante à l’académie, teintées de danses contemporaines si je ne m’abuse, furent extrêmement impressionnantes. Toutes les membres des catégories INTER furent excellentes pour bien y présenter le style. Les AVANCÉS en ballet classique étaient elles aussi plus qu’époustouflantes. Je ne pensais pas que du ballet pouvait être aussi plaisant à regarder. Le numéro qui m’a le plus marqué est sans aucun doute ROUGE ET NOIR, interprété par les AVANCÉS en ballet classique. Les robes étaient somptueuses et les danseuses aussi. La finale nommée comme le titre du spectacle, étaient remplie de styles et de talentueuses danseuses. Il y avait des danseuses et ci et là, on ne savait plus trop ou tourner la tête tellement qu’il y avait de belles prestations sur la scène entière. Page 8 Durant le spectacle, je dois dire que l’éclairage était différent pour chaque numéro et était associé au thème de la musique. C’était magnifique et vraiment très bien choisi. Les costumes, qui étaient soit dit en passant faits sur mesure, était très beaux. Les robes bleusmauves du numéro JUSTE COMME ÇA étaient sublimes. Tout le monde avait des costumes dignes de grands spectacles. Sincèrement, c’était très joli! Je n’avais jamais vu autant de beaux costumes dans un spectacle y impliquant majoritairement des jeunes. Plusieurs élèves du cégep de Baie-Comeau étaient impliqués dans ce spectacle. Quelques-unes d’entreelles sont des professeures de ballet. Il y a donc, Sophie Grégoire-Tremblay, Jeanne Desgagné-Gagné et Isabelle Forest-Couture. D’autres, comme Virginie Samuel-Lafleur, Éricka Lavoie, Jessie Mckinnon, AnneMarie Dechamplain et Isabelle Perron participaient à ce spectacle en tant que danseuses. À vous tous et à tous les autres danseurs et danseuses de l’académie : Félicitations!!! Stéphanie Julien Mot de Louis-Philippe Dupuy Wow! Je n'aurais jamais pensé que, poussé par des amis, présenter une humble chanson à la finale locale, ici au théâtre de Baie-Comeau, m'amènerait à me frotter aux dix meilleures prestations de la province à la finale nationale de Cégeps en spectacle à Jonquière. Cela aura été une expérience révélatrice. J'y ai découvert que je pouvais faire sourire et capter l'attention, par mes histoires et ma musique, de près d'un millier de personnes. J'y ai en outre appris que j'allais toujours rencontrer des gens meilleurs que moi, et ce, dans ce que je peux faire de mieux. De meilleurs musiciens, chanteurs, écrivains... Ce que je n'ai pas remporté en prix à Jonquière, je l'ai gagné en certitude et en envie de continuer, de travailler encore plus fort. J'invite tous ceux intéressés par l'art de la scène et, qui sait, à se produire à Cégeps en spectacle à venir me parler, à demander mon humble conseil. J'invite aussi tous les créateurs à se faire confiance et à foncer. Vie culturelle suite JINJOO CHO C’est le samedi 18 avril dernier que le Théâtre de BaieComeau a accueilli à bras ouvert une violoniste hors pair, JinJoo Cho. Ce spectacle de mademoiselle Cho, organisé par Jeunesse musicale Canada était en fait sa vingtième prestation pour la saison 2008-2009 avec cette organisation. La première partie du spectacle fut entamée par Simon Fortin Dufour. Cet homme de 21 ans se prête au violon depuis qu’il est tout jeune. D’ailleurs, ce baie-comois fréquente encore l’école de musique Côte-Nord. De plus, il a complété une technique en génie civil au Cégep de Baie-Comeau. Il a su interpréter avec brio deux chansons dont l’une était de Johann Sébastien Bach. La deuxième partie fut poursuivie évidemment par Jinjoo Cho. Ses trois premières chansons furent sans accompagnement. Elle poursuivit donc ses autres morceaux avec LouiseAndrée Baril, l’une des musiciennes les plus accomplie du Canada, qui l’accompagna au piano. Elle nous démontra donc des pièces de Bach, de Paganini, de Prokofiev et plus encore. La simplicité du décor mettait vraiment en valeur les artistes qui s’y exerçaient. À chaque fois que l’on changeait de morceaux, l’éclairage alternait du bleu au fuchsia. De plus, elle portait une robe beige qui lui allait comme un gant. Son accoutrement nous permettait à la fois de la regarder et d’admirer son violon. De plus, selon chaque pièce bien sûr, il y avait tout plein de rebondissements! Je ne me doutais pas qu’un violon pouvait faire autant d’effets sonores. Je n’avais jamais assisté à un spectacle de musique classique ou d’instruments seulement. J’ai aimé mon expérience. C’était impressionnant la façon dont son corps pouvait suivre le rythme et la fluidité de la musique. Je n’étais pas vraiment connaissante de la musique classique c’est pourquoi, à quelques reprises, je trouvais les pièces assez longues. J’ai découvert que le temps des pièces classiques n’à rien avoir avec le temps des chansons populaires qui passent à la radio! Pour bien et mieux apprécier cette nouvelle avenue, la moitié du spectacle m’aurait suffit. Aussi, et je ne sais si cela est normal, toute les pièces m’évoquaient la tristesse. Mais, il est certain que cette expérience ne m’empêchera pas d’explorer à nouveau et de poursuivre mon intérêt envers l’univers de la musique. Stéphanie Julien Cette jeune femme d’origine coréenne n’a donc pas terminé de concrétiser des projets puisqu’elle compte faire encore plusieurs concours internationaux dans les mois à venir. Page 9 Vie étudiante ENVIRONNEMENT Le 15 avril dernier à 12 h 45, le Cégep de Baie-Comeau à eu la chance d’accueillir Jérôme Dupras (un membre des Cowboys Fringants) pour une conférence sur l’environnement. Ensuite, de 15 h 30 à 18 h, il y a eu un échange (brainstorming) sur l’environnement avec un panel formé de différents intervenants de la région où tout le monde pouvait donner son avis à propos de ce projet. Ce fut une activité très intéressante et très instructive pour tous ceux qui s’intéressent à l’environnement. Carole-Anne Bouchard CONCOURS DE PHOTOS Voici les dessins qui apparaîtront sur les bacs de récupération : Page 10 Vie culturelle HÉSITATION Résumé « Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre. À présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce dont j'ai besoin... ni de ce que je veux faire, là, maintenant. » Critique C'est un tome que j'ai adoré. L'histoire de chacun des Cullen est mise en avant. L'accent est mis sur Jasper et sur sa singulière histoire avec Alice. Je les aime vraiment tous les deux. On apprend l'histoire de Rosalie également. On découvre les sentiments de Jacob Black et Bella qui doit faire un choix, en dépit de son amour pour les deux. Bella est mature, car elle sait vraiment ce qu'elle veut, et rien ne l'empêchera d'obtenir ce qu'elle souhaite. Des personnages loups-garous sont mis en avant, comme Sam Uley et le triangle amoureux entre Emily et Léah. Celle-ci est mise en avant également. Les Volturi, la famille royale des vampires est également présente. Comme Bella est encore humaine, j'ai beaucoup apprécié les moments passés entre Bella et son père, le diplôme de fin d'études, le choix des facs. L'auteure réussit à maintenir l'équilibre entre le monde humain, le monde des loups, et celui des vampires. Cependant, la faiblesse de Bella nous prend de cours et signe une véritable incompréhension. Mais les émotions d’amour, d’amitié, d’hésitation… sont des sentiments très complexes et très humains, n’est ce pas ce qui nous caractérise? Une phrase néanmoins tirée de l’ouvrage m’a attiré l’œil et je l’ai trouvée très jolie : « Si tous les autres mourraient mais que lui restait, je continuerais d’être. Si tous les autres survivaient mais que lui disparaissait, l’univers me deviendrait étranger » caractérise bien l’esprit de Bella. Mais elle est poussée par un amour infini pour Edward. Caroline Savard Page 11 Vie culturelle suite RAPIDES ET DANGEREUX 4 Résumé Cinq ans après avoir échappé au FBI, Dominic Toretto gagne toujours sa vie grâce à son habileté derrière le volant. À la tête d'une combine de vol d'essence, il prend la fuite quand l'étau policier se resserre, laissant derrière lui sa fiancée Letty afin de la protéger. Peu après, Dominic apprend son assassinat. Pendant ce temps, l'agent Brian O'Conner traque un important trafiquant d'héroïne, l'élusif Braga. Or il s'avère que ce dernier est intimement lié au meurtre de Letty. Toretto et O'Conner sont ainsi forcés de collaborer une seconde fois. Critique Bon, par quoi commencer pour cette critique de Fast et Furious 4 présenté au Québec sous le titre Rapides et dangereux 4? Allons-y pour la distribution. Vraiment rien à redire : le retour de Vin Diesel (Dominic “Dom” Toretto) dans un rôle qui lui va comme un gant fait du bien. Idem pour Paul Walker (Brian O’Conner), Michelle Rodriguez (Letty) et Jordana Brewster (Mia Toretto), tout comme le retour de Sung Kang dans son rôle de Han Lue (Fast and Furious 3, aussi connu sous le nom de Fast and Furious: Tokyo Drift). Un peu étonnant quand même, quand on se souvient de ce qui lui arrive dans Tokyo Drift, mais bon, on n’en fera pas un plat. Enfin, on prend plaisir à détester John Ortiz (Campos) et Laz Alonso (Fenix Rise), tout comme Shea Whigham, emmerdant à souhait dans le rôle de l’agent du FBI Ben Stasiak. Page 12 Côté action, la table est mise dès la séquence d’ouverture, une impressionnante scène de vol de camion citerne qui nous en met plein la vue et laisse un peu présager du calibre des scènes d’action du film. On n’est pas déçu : entre une course époustouflante dans les rues de Los Angeles et des courses folles dans des tunnels traversant la frontière entre le Mexique et les États-Unis, on est servi! Caroline Savard Vie culturelle suite Les 168 heures de la culture Les 168 heures de culture tire déjà presque à sa fin. La première édition s’avère un succès autant sur le plan artistique qu’humain. En effet, les étudiantes et les étudiants du programme Arts et lettres et les comédiennes et les comédiens de la Troupe L’Obscène ont vécu une expérience des plus enrichissantes. Certains se sont retrouvés devant les caméras de l’équipe de Cogeco, d’autres se sont adressé en direct aux auditeurs de la radio de RadioCanada pour parler de leur expérience pédagogique et artistique. Aux dires de ces spécialistes de l’information, ces jeunes faisaient preuve d’assurance et de curiosité en s’adressant aux médias. Toutefois, la promotion d’une activité contribue, le moment venu, de l’assumer et de la défendre. Là aussi, les collégiennes et les collégiens ont relevé le défi avec brio. Côté théâtre, les membres de la Troupe L’Obscène ont livré une interprétation touchante et sensible de « Ma Corriveau ». Le metteur en scène Jean-Claude Rochette a su les faire évoluer dans un univers mystérieux, sobre et chaleureux et les a dirigé, de sorte, à ce qu’ils nuancent ce texte coloré, complexe et poétique de Victor-Lévy Beaulieu. Le même soir, côté poésie, un récital où les mots étaient en vedette a été offert. Encore une fois, les jeunes ont excellé. En plus de démontrer du doigté à l’écriture de fabliaux, de rondeaux, de ballades et de « cadavres exquis », la cohorte de deuxième année de ce programme a ravi les spectateurs en ponctuant la soirée de chants et de musique, voire même d’exercices de création littéraire à l’entracte. À cette programmation variée de ce 168 heures de culture, annonciateur du nouveau volet : « Culture et création » en vigueur dès l’automne 2009, il ne reste plus qu’à présenter, avant que le temps ne s’arrête jusqu’à la prochaine édition, le projet d’intégration en anglais et la présentation danse-musique. Josée Girard Enseignante en français Côté cinéma, le public était convié à la projection de courts métrages. Avant le visionnement, il a appris que trois éléments imposés - un lieu, un mot et un objet ont servi à la création de l’œuvre cinématographique. Les étudiantes et les étudiants de première année en Arts et lettres devaient donc tourner au moins une scène dans un bois, utiliser le mot « dégoûtant » et avoir recours à une fleur. Ces contraintes ont donné lieu à des sujets et des traitements très variés. Tout en évitant les clichés, les cinéastes en herbe ont su émouvoir, choquer et amuser l’auditoire. Page 13 Vie culturelle suite GALA DE GYMNASTIQUE DU CLUB TOURNE-SOL Aussi, le groupe de gymnastique simplifiée a effectué une jolie routine qui leur a été adaptée. Puis, pour couronner le tout, les compétiteurs p2 et p3 ont fait monter la température dans la salle, avec leur routine ayant pour thème Le Cabaret, avec les costumes assortis. C’est la fin de semaine du 9 et 10 mai dernier que s’est déroulé le gala annuel de gymnastique du Club Tourne-Sol. Plus de 170 gymnastes ont présenté leur savoir-faire acquis durant l’année. Le spectacle était sous le thème de LA FIÈVRE DE LA DANSE et a eu lieu dans le gymnase de la polyvalente des Baies! Les routines étaient donc conçues afin que les spectateurs puissent admirer les différents types de danse! C’est donc sous la tutelle de 19 entraîneurs et moniteurs que les gymnastes ont, tout au long de l’année, pu apprendre et s’amuser en même temps. Les plus petites/petits étaient vraiment mignons sur des chansons de disco et de baladi. Quelques numéros furent très impressionnants. La routine des jeunes garçons compétiteurs avec le style du break dance en ont époustouflé plus d’un. Ces jeunes hommes, présentaient des mouvements assez complexes et leur aisance était plus que remarquable. La routine de ballet jazz du groupe gym ado, principalement composé d’anciennes gymnastes de compétition fut aussi très coquette. Page 14 L’animation teintée d’humour du spectacle a été réalisée par des entraîneurs et des gymnastes. Alors, ont pouvait y retrouver les juges de LA FIÈVRE DE LA DANSE et l’animatrice principale de ce « show » interprétée par Joëlle Tremblay. De plus, le club souligna le départ de plusieurs entraîneurs qui fréquentent le cégep de BaieComeau comme Julie Baron. Bref, ce fut un spectacle fort amusant et composé de diverses chorégraphies toutes originales les unes que les autres. Stéphanie Julien Vie sportive COMPÉTITION DE TIR À L’ARC F.T.A INTERNATIONAL Cinq jeunes du cégep participaient à une compétition internationale de tir à l’arc, le 18 avril dernier; voici leur classement : Mathieu Joubert Guillaume Bérubé Simon Chouinard Manuel Ébacher Tommy Tremblay Médaille d’argent Médaille de bronze Quatrième place Cinquième place Cinquième place Félicitations à nos élèves et merci au cégep pour sa collaboration Pierre Joubert, entraîneur Page 15 Page 16