gala méritas 2009 - Cégep de Baie

Transcription

gala méritas 2009 - Cégep de Baie
Volume 15, numéro 15
Le mardi 12 mai 2009
22 élèves sont récompensés lors du
GALA MÉRITAS 2009
Voir pages 2, 3 et 4 pour détails
Prochaine parution : Août 2009
Dépôt des textes :
au local A-160
Vie étudiante
GALA MÉRITAS!
C’est le 6 mai dernier, en soirée qu’à eu lieu le gala méritas 2009 du Cégep de Baie-Comeau. Afin de récompenser les
élèves sur différentes sphères scolaires, des entreprises et organismes de la région ainsi que le personnel de notre école
me
financent et remettent des prix et bourses. Le gala débuta avec un mot de la directrice générale du Cégep, M Danielle
Delorme, suivi du mot du président d’honneur du gala M. Denis Cardinal, directeur de l’ATR Manicouagan. La cérémonie
me
fut animée par M Marilène Gill, professeure de français au cégep. Le public a eu la chance d’avoir une prestation de
Louis-Philippe Dupuy accompagné de sa guitare, participant à la finale nationale de Cégeps en spectacle. Il interpréta
avec brio une chanson de son cru intitulée Quelqu’un d’autre. Félicitations à tous les gagnants ainsi qu’aux nominés!
Voici donc la liste des prix et bourses et les récipiendaires de ceux-ci :
Prix pour la qualité du français écrit
(500 $, 300 $, 200 $)
Prix en histoire
(300 $)
Prix en mathématiques
(200 $, 100 $, 50 $)
1) Sophie Villeneuve, 2) Éricka Lavoie,
3) Virginie Samuel-Lafleur
Sophie Grégoire Tremblay
1) Jean Sébastien Côté, 2) Sophie
Villeneuve, 3) Virginie Samuel-Lafleur
Bourse de l’Ordre des comptables
en management accrédités du
Québec (500 $)
Bourse des techniques non
traditionnelles (250 $)
Bourse Relève santé (500 $)
Joyce Truchon
Marie-des-Neiges Anctil Castonguay
Vanessa L’Italien
Bourse d’excellence du Conseil
des médecins, dentistes et
pharmaciens de CSSM (500 $)
Bourse Olympique Radio-Canada
(500 $)
Bourse René-Landry (500 $)
Jonathan Bergeron et
Virginie Samuel-Lafleur
Pierre-Luc Lessard
Page 2
Jean Sébastien Côté
Vie étudiante
suite
Activité de l’année
Engagement social de l’année
(500 $)
Prix Bob-Rooney (300 $)
Journée Innue
Jasmin Poirier
Élise T. Lechasseur
Bourse Louis-Rock (250 $)
Prix du progrès personnel (350 $)
Prix d’encouragement pour les
mères aux études (500 $)
Justine Vachon-Riverin
Justine Vachon-Riverin
Karine Munger
Bourse pour souligner le mérite
des étudiants et étudiantes
bénéficiant de services adaptés
(250 $)
Bourse Science de la nature (500 $)
Bourse de Sciences humaines et
sociales (500 $)
Kéven Jean Côté
Jean Sébastien Côté
Sophie Grégoire Tremblay
Bourse de Sciences humaines et
administratives (500 $)
Bourse de Sciences humaines et
psychologie (500 $)
Bourse Art et lettres option langues
(500 $)
Stéphanie Chénard-Marcil
Éricka Lavoie
Pascal Jean-Lavoie
Page 3
Vie étudiante
suite
Bourse Techniques biologiques
(500 $)
Bourse Soins infirmiers (500 $)
Bourse Technologie du génie civil
(500 $)
Dominic Cyr
Vanessa L’Italien
Marie-des-Neiges Anctil Castonguay
Bourse Technologie de
l’électronique industrielle (500 $)
Bourse Techniques d’éducation
spécialisée (500 $)
Bourse Techniques de comptabilité
et de gestion (500 $)
Éric Langelier
Johana Gay
Caroline Savard
Attestation d’études collégiales à
temps plein (500 $)
Hommage Cégep de Baie-Comeau
(1 000 $)
Bourse Pierre-Larue (500 $)
Serge Hovington
Hélène Belzile, psychologue
Sophie Grégoire Tremblay
Prix du mérite scolaire et Médaille
de la Gouverneure générale
(1 000 $)
Virginie Samuel-Lafleur
Page 4
Vie étudiante
suite
LETTRE OUVERTE
C’est à la suite d’une question qui m’a été posée que j’ai décidé d’écrire une lettre ouverte pour le DEC
Express. On m’a donc demandé : « Que penses-tu de ton expérience dans le journal étudiant? » Voici donc
ma réponse.
Je suis déçue de ne pas avoir adhéré à cette organisation collégiale dès ma première session. J’ai seulement
décidé de m’embarquer à la quatrième session. Le simple fait d’avoir écrit dans le journal du DEC Express
ma permis d’explorer le monde de l’écriture. J’ai pu acquérir des connaissances quant à la construction d’un
article en faisant la différence entre un article qui résume les
faits et une critique. Trop souvent, des journalistes introduisent
dans leurs articles une touche de leur opinion, ce qui le rend
subjectif et encourage les gens à penser inconsciemment de la
même façon que son auteur. Donc, cela m’a permis de savoir un
peu quel genre de journaliste écrit j’aimerais être.
Mon expérience au journal étudiant m’a aussi permis d’avoir de
la confiance pour l’université dans mon futur programme :
COMMUNICATION. Étant donné que je savais que nous devons
écrire dans le journal de l’université dans le cadre de plusieurs
cours et en étant maintenant plus expérimentée, j’ai donc moins de stress à l’idée d’écrire dans un journal et
d’être évaluée! Le monde des communications est tellement vaste et il est important de toucher plusieurs des
sphères qu’il contient. Le DEC Express m’a non seulement permis d’écrire mais m’a aussi dirigée vers
d’autres projets comme ma participation à une vidéo promotionnelle tournée par le Cégep de Baie-Comeau.
En s’impliquant dans une activité parascolaire, tu peux te faire connaître au cégep ce qui peut te permettre de
multiplier des expériences et des opportunités.
Cette année, le cégep avait une entente avec le Théâtre de Baie-Comeau qui permettait à tous les
journalistes du DEC Express d’aller voir des spectacles gratuits à condition de créer un article dans le journal
étudiant. Étant donné que le journal n’impose pas de sujets et que l’art m’intéresse, j’ai donc décidé de
couvrir ce genre d’évènements. À chaque fois que j’ai couvert des spectacles, j’avais hâte d’arriver chez moi
et d’écrire mon article. C’était enrichissant et, en plus, j’ai appris que les journalistes du DEC Express étaient
rémunérés. En plus, écrire dans le journal permet de redécouvrir la langue française, de faire plein de
rencontres qui peuvent servir dans le futur et d’avoir du plaisir tout étant récompensé. Pour moi, c’est comme
si, finalement, il était possible qu’une passion puisse aussi devenir un travail. J’ai adoré mon expérience et je
suis certaine que cela a bien entamé mon début dans l’incroyable univers des communications!
Stéphanie Julien
Page 5
Vie étudiante
suite
DÉMYSTIFIER LES PRÉJUGÉS SUR L’HOMOSEXUALITÉ
Jeu-questionnaire - Vrai ou Faux
1. Dans un couple gai ou lesbien, un des
partenaires joue le rôle féminin ou le rôle
masculin
Faux. Comme quoi le modèle du couple traditionnel
est omniprésent. Dans un couple gai ou lesbien,
chacun des partenaires est ce qu’il est sans jouer
de rôle féminin ou de rôle masculin.
2. Je peux reconnaître un gai ou une lesbienne à
première vue
Faux. Quelques garçons sont plus délicats ou
quelques filles plus costaudes que d’autres, mais
cela n’a rien à voir avec leur orientation sexuelle.
Il y a toutes
lesbiennes :
sortes
d’homosexuels
ou
de
des costaudes et des costauds, des délicates et
des délicats;
des sportives et des sportifs, des intellectuelles
et des intellectuels;
des dures et des durs ainsi que des sensibles.
Si tu crois être capable de les reconnaître, il est fort
probable que tu fais erreur.
3. Deux hommes ou deux femmes peuvent adopter
un enfant
Vrai. La loi sur l’union civile en vigueur depuis juin
2002 permet aux couples de même sexe d’adopter
des enfants.
Page 6
4. Les enfants élevés
homoparentales ont
développement
dans des familles
des problèmes de
Faux. Il n’y a pas plus d’enfants gais ou lesbiennes
issus de couples homosexuels que de couples
hétérosexuels.
En 2202, l’American Academy of Pediatrics des
États-Unis a clairement affirmé, dans sa publication
de février 2002, que les enfants élevés dans un
milieu homoparental se développent aussi bien sur
tous les plans que ceux élevés dans un milieu
hétéroparental. De plus, elle conclut aussi qu’il en
va du bien de l’enfant de lui reconnaître
officiellement ses deux parents.
5. Un enfant élevé par deux hommes ou deux
femmes a une plus forte probabilité de devenir
gai ou lesbienne qu’un enfant élevé par des
parents hétérosexuels
Faux. Des études ont clairement prouvé qu’il n’y a
pas plus d’enfants qui sont gais ou lesbiennes
parmi les couples homosexuels que parmi les
couples hétérosexuels.
Vie étudiante
suite
Page 7
Vie culturelle
SPECTACLE DE BALLET FUSION
C’est la fin de semaine des 2 et 3 mai que s’est déroulé
le spectacle annuel de l’Académie de danse de BaieComeau. Le spectacle « FUSION » regroupait donc
plus de 140 jeunes qui dansaient du ballet classique, du
ballet jazz ou du hip-hop. Plus d’une vingtaine de
numéros ont été présentés sur
la scène du Théâtre de BaieComeau.
La première partie fut entamée
avec les toutes petites. Inutile
de vous dire qu’elles étaient
magnifiques dans leurs petits
costumes telles de jolies princesses! Il y a eu, par la suite,
un numéro de hip-hop et un
extrait du « Lac des cygnes »
dansé par Ariane Gagnon et
Rocky Gagné, un danseur
professionnel qui fréquente le Cégep de Baie-Comeau.
Cette partie s’est enchainée avec divers numéros de
hip hop et de ballet classique effectués par les plus
jeunes et les débutants, sauf la prestation de la troupe
de JAZZ suivis de la troupe Arabesque. C’est lors de la
deuxième partie que les chorégraphies ont commencé
à être plus complexes et que les plus habitués nous ont
démontré leur savoir-faire. Je dois dire que les jeunes
danseuses du groupe ÉLÉMENTAIRE 4A ET AB, m’ont
beaucoup impressionnée. Elles étaient quand même
assez jeunes et leur synchronisation et leur grâce se
faisaient sentir dans les chorégraphies de monsieur
Valentin Kostov. Aussi, plusieurs chorégraphies de
Marie-Claude Marquis, enseignante à l’académie,
teintées de danses contemporaines si je ne m’abuse,
furent extrêmement impressionnantes. Toutes les
membres des catégories INTER furent excellentes pour
bien y présenter le style. Les AVANCÉS en ballet
classique étaient elles aussi plus qu’époustouflantes. Je
ne pensais pas que du ballet pouvait être aussi plaisant
à regarder. Le numéro qui m’a le plus marqué est sans
aucun doute ROUGE ET NOIR, interprété par les
AVANCÉS en ballet classique. Les robes étaient
somptueuses et les danseuses aussi. La finale nommée
comme le titre du spectacle, étaient remplie de styles et
de talentueuses danseuses. Il y avait des danseuses et
ci et là, on ne savait plus trop ou tourner la tête
tellement qu’il y avait de belles prestations sur la scène
entière.
Page 8
Durant le spectacle, je dois dire que l’éclairage était
différent pour chaque numéro et était associé au thème
de la musique. C’était magnifique et vraiment très bien
choisi. Les costumes, qui étaient soit dit en passant
faits sur mesure, était très beaux. Les robes bleusmauves du numéro JUSTE COMME ÇA étaient
sublimes. Tout le monde avait des costumes dignes de
grands spectacles. Sincèrement, c’était très joli! Je
n’avais jamais vu autant de beaux costumes dans un
spectacle y impliquant majoritairement des jeunes.
Plusieurs élèves du cégep de Baie-Comeau étaient
impliqués dans ce spectacle. Quelques-unes d’entreelles sont des professeures de ballet. Il y a donc,
Sophie Grégoire-Tremblay, Jeanne Desgagné-Gagné
et Isabelle Forest-Couture. D’autres, comme Virginie
Samuel-Lafleur, Éricka Lavoie, Jessie Mckinnon, AnneMarie Dechamplain et Isabelle Perron participaient à ce
spectacle en tant que danseuses.
À vous tous et à tous les autres danseurs et danseuses
de l’académie : Félicitations!!!
Stéphanie Julien
Mot de Louis-Philippe Dupuy
Wow! Je n'aurais jamais pensé
que, poussé par des amis,
présenter une humble chanson
à la finale locale, ici au théâtre
de Baie-Comeau, m'amènerait à
me frotter aux dix meilleures
prestations de la province à la finale nationale de
Cégeps en spectacle à Jonquière. Cela aura été une
expérience révélatrice. J'y ai découvert que je pouvais
faire sourire et capter l'attention, par mes histoires et
ma musique, de près d'un millier de personnes. J'y ai
en outre appris que j'allais toujours rencontrer des gens
meilleurs que moi, et ce, dans ce que je peux faire de
mieux. De meilleurs musiciens, chanteurs, écrivains...
Ce que je n'ai pas remporté en prix à Jonquière, je l'ai
gagné en certitude et en envie de continuer, de
travailler encore plus fort. J'invite tous ceux intéressés
par l'art de la scène et, qui sait, à se produire à Cégeps
en spectacle à venir me parler, à demander mon
humble conseil. J'invite aussi tous les créateurs à se
faire confiance et à foncer.
Vie culturelle
suite
JINJOO CHO
C’est le samedi 18 avril dernier que le Théâtre de BaieComeau a accueilli à bras ouvert une violoniste hors
pair, JinJoo Cho. Ce spectacle de mademoiselle Cho,
organisé par Jeunesse musicale Canada était en fait sa
vingtième prestation pour la saison 2008-2009 avec
cette organisation. La première partie du spectacle fut
entamée par Simon Fortin Dufour. Cet homme de 21
ans se prête au violon depuis qu’il est tout jeune.
D’ailleurs, ce baie-comois fréquente encore l’école de
musique Côte-Nord. De plus, il a complété une
technique en génie civil au Cégep de Baie-Comeau. Il a
su interpréter avec brio deux chansons dont l’une était
de Johann Sébastien Bach.
La deuxième partie fut poursuivie évidemment par
Jinjoo Cho. Ses trois premières chansons furent sans
accompagnement. Elle poursuivit donc ses autres
morceaux
avec
LouiseAndrée Baril, l’une des musiciennes les plus accomplie
du Canada, qui l’accompagna au piano. Elle nous
démontra donc des pièces de
Bach, de Paganini, de
Prokofiev et plus encore. La
simplicité du décor mettait
vraiment en valeur les
artistes qui s’y exerçaient. À
chaque
fois
que
l’on
changeait
de
morceaux,
l’éclairage alternait du bleu
au fuchsia. De plus, elle portait une robe beige qui lui
allait comme un gant. Son accoutrement nous permettait à la fois de la regarder et d’admirer son violon. De
plus, selon chaque pièce bien sûr, il y avait tout plein de
rebondissements! Je ne me doutais pas qu’un violon
pouvait faire autant d’effets sonores.
Je n’avais jamais assisté à un spectacle de musique
classique ou d’instruments seulement. J’ai aimé mon
expérience. C’était impressionnant la façon dont son
corps pouvait suivre le
rythme et la fluidité de la
musique. Je n’étais pas
vraiment connaissante de
la musique classique c’est
pourquoi,
à
quelques
reprises, je trouvais les
pièces assez longues. J’ai
découvert que le temps
des pièces classiques n’à
rien avoir avec le temps
des chansons populaires qui passent à la radio! Pour
bien et mieux apprécier cette nouvelle avenue, la moitié
du spectacle m’aurait suffit. Aussi, et je ne sais si cela
est normal, toute les pièces m’évoquaient la tristesse.
Mais, il est certain que cette expérience ne
m’empêchera pas d’explorer à nouveau et de
poursuivre mon intérêt envers l’univers de la musique.
Stéphanie Julien
Cette jeune femme d’origine coréenne n’a donc pas
terminé de concrétiser des projets puisqu’elle compte
faire encore plusieurs concours internationaux dans les
mois à venir.
Page 9
Vie étudiante
ENVIRONNEMENT
Le 15 avril dernier à 12 h 45, le Cégep de Baie-Comeau à eu la chance d’accueillir Jérôme
Dupras (un membre des Cowboys Fringants) pour une conférence sur l’environnement.
Ensuite, de 15 h 30 à 18 h, il y a eu un échange (brainstorming) sur l’environnement avec un
panel formé de différents intervenants de la région où tout le monde pouvait donner son avis à
propos de ce projet. Ce fut une activité très intéressante et très instructive pour tous ceux qui
s’intéressent à l’environnement.
Carole-Anne Bouchard
CONCOURS DE PHOTOS
Voici les dessins qui apparaîtront sur les bacs de récupération :
Page 10
Vie culturelle
HÉSITATION
Résumé
« Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une
seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward
et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les
deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella
de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient
coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre.
À présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce
dont j'ai besoin... ni de ce que je veux faire, là,
maintenant. »
Critique
C'est un tome que j'ai adoré. L'histoire de chacun des
Cullen est mise en avant. L'accent est mis sur Jasper et
sur sa singulière histoire avec Alice. Je les aime
vraiment tous les deux. On apprend l'histoire de Rosalie
également. On découvre les sentiments de Jacob Black
et Bella qui doit faire un choix, en dépit de son amour
pour les deux. Bella est mature, car elle sait vraiment ce
qu'elle veut, et rien ne l'empêchera d'obtenir ce qu'elle
souhaite.
Des personnages loups-garous sont mis en avant,
comme Sam Uley et le triangle amoureux entre Emily et
Léah. Celle-ci est mise en avant également. Les Volturi,
la famille royale des vampires est également présente.
Comme Bella est encore humaine, j'ai beaucoup
apprécié les moments passés entre Bella et son père, le
diplôme de fin d'études, le choix des facs. L'auteure
réussit à maintenir l'équilibre entre le monde humain, le
monde des loups, et celui des vampires.
Cependant, la faiblesse de Bella nous prend de cours et
signe une véritable incompréhension. Mais les émotions
d’amour, d’amitié, d’hésitation… sont des sentiments
très complexes et très humains, n’est ce pas ce qui
nous caractérise?
Une phrase néanmoins tirée de l’ouvrage m’a attiré l’œil et je l’ai trouvée très jolie :
« Si tous les autres mourraient mais que lui restait, je continuerais d’être. Si tous les autres survivaient mais que lui
disparaissait, l’univers me deviendrait étranger » caractérise bien l’esprit de Bella. Mais elle est poussée par un amour
infini pour Edward.
Caroline Savard
Page 11
Vie culturelle
suite
RAPIDES ET DANGEREUX 4
Résumé
Cinq ans après avoir échappé au FBI, Dominic Toretto
gagne toujours sa vie grâce à son habileté derrière le
volant. À la tête
d'une combine de
vol d'essence, il
prend la fuite quand
l'étau policier se
resserre,
laissant
derrière
lui
sa
fiancée Letty afin de
la protéger. Peu
après,
Dominic
apprend son assassinat. Pendant ce
temps, l'agent Brian
O'Conner traque un
important trafiquant
d'héroïne,
l'élusif
Braga. Or il s'avère
que ce dernier est
intimement lié au
meurtre de Letty.
Toretto et O'Conner sont ainsi forcés de collaborer une
seconde fois.
Critique
Bon, par quoi commencer pour cette critique de Fast et
Furious 4 présenté au Québec sous le titre Rapides et
dangereux 4? Allons-y pour la distribution. Vraiment
rien à redire : le retour de Vin Diesel (Dominic “Dom”
Toretto) dans un rôle qui lui va comme un gant fait du
bien. Idem pour Paul Walker (Brian O’Conner), Michelle
Rodriguez (Letty) et Jordana Brewster (Mia Toretto),
tout comme le retour de Sung Kang dans son rôle de
Han Lue (Fast and Furious 3, aussi connu sous le nom
de Fast and Furious: Tokyo Drift). Un peu étonnant
quand même, quand on se souvient de ce qui lui arrive
dans Tokyo Drift, mais bon, on n’en fera pas un plat.
Enfin, on prend plaisir à détester John Ortiz (Campos)
et Laz Alonso (Fenix Rise), tout comme Shea
Whigham, emmerdant à souhait dans le rôle de l’agent
du FBI Ben Stasiak.
Page 12
Côté action, la table est mise dès la séquence
d’ouverture, une impressionnante scène de vol de
camion citerne qui nous en met plein la vue et laisse un
peu présager du calibre des scènes d’action du film. On
n’est pas déçu : entre une course époustouflante dans
les rues de Los Angeles et des courses folles dans des
tunnels traversant la frontière entre le Mexique et les
États-Unis, on est servi!
Caroline Savard
Vie culturelle
suite
Les 168 heures de la culture
Les 168 heures de culture tire déjà presque à sa fin. La
première édition s’avère un succès autant sur le plan
artistique qu’humain.
En effet, les étudiantes et les étudiants du programme
Arts et lettres et les comédiennes et les comédiens de
la Troupe L’Obscène ont vécu une expérience des plus
enrichissantes. Certains se sont retrouvés devant les
caméras de l’équipe de Cogeco, d’autres se sont
adressé en direct aux auditeurs de la radio de RadioCanada pour parler de leur expérience pédagogique et
artistique. Aux dires de ces spécialistes de l’information,
ces jeunes faisaient preuve d’assurance et de curiosité
en s’adressant aux médias. Toutefois, la promotion
d’une activité contribue, le moment venu, de l’assumer
et de la défendre. Là aussi, les collégiennes et les
collégiens ont relevé le défi avec brio.
Côté théâtre, les membres de la Troupe L’Obscène ont
livré
une
interprétation
touchante et sensible de
« Ma Corriveau ». Le metteur
en
scène
Jean-Claude
Rochette a su les faire
évoluer dans un univers mystérieux, sobre et chaleureux
et les a dirigé, de sorte, à ce
qu’ils nuancent ce texte coloré, complexe et poétique
de Victor-Lévy Beaulieu.
Le même soir, côté poésie, un récital où les mots
étaient en vedette a été offert. Encore une fois, les
jeunes ont excellé. En plus de démontrer du doigté à
l’écriture de fabliaux, de rondeaux, de ballades et de
« cadavres exquis », la cohorte de deuxième année de
ce programme a ravi
les spectateurs en
ponctuant la soirée de
chants et de musique,
voire même d’exercices
de
création
littéraire à l’entracte.
À cette programmation variée de ce 168 heures de
culture, annonciateur du nouveau volet : « Culture et
création » en vigueur dès l’automne 2009, il ne reste
plus qu’à présenter, avant que le temps ne s’arrête
jusqu’à la prochaine édition, le projet d’intégration en
anglais et la présentation danse-musique.
Josée Girard
Enseignante en français
Côté cinéma, le public était convié à la projection de
courts métrages. Avant le visionnement, il a appris que
trois éléments imposés - un lieu, un mot et un objet ont servi à la création de l’œuvre cinématographique.
Les
étudiantes
et
les
étudiants de première année
en Arts et lettres devaient
donc tourner au moins une
scène dans un bois, utiliser le
mot « dégoûtant » et avoir
recours à une fleur. Ces
contraintes ont donné lieu à
des sujets et des traitements très variés. Tout en évitant
les clichés, les cinéastes en herbe ont su émouvoir,
choquer et amuser l’auditoire.
Page 13
Vie culturelle
suite
GALA DE GYMNASTIQUE DU CLUB
TOURNE-SOL
Aussi, le groupe de gymnastique simplifiée a
effectué une jolie routine qui leur a été adaptée.
Puis, pour couronner le tout, les compétiteurs p2
et p3 ont fait monter la température dans la salle,
avec leur routine ayant pour thème Le Cabaret,
avec les costumes assortis.
C’est la fin de semaine du 9 et 10 mai dernier que
s’est déroulé le gala annuel de gymnastique du
Club Tourne-Sol. Plus de 170 gymnastes ont
présenté leur savoir-faire acquis durant l’année. Le
spectacle était sous le thème de LA FIÈVRE DE
LA DANSE et a eu lieu dans le gymnase de la
polyvalente des Baies! Les routines étaient donc
conçues afin que les spectateurs puissent admirer
les différents types de danse! C’est donc sous la
tutelle de 19 entraîneurs et moniteurs que les
gymnastes ont, tout au long de l’année, pu
apprendre et s’amuser en même temps.
Les plus petites/petits étaient vraiment mignons
sur des chansons de disco et de baladi. Quelques
numéros furent très impressionnants. La routine
des jeunes garçons compétiteurs avec le style du
break dance en ont époustouflé plus d’un. Ces
jeunes hommes, présentaient des mouvements
assez complexes et leur aisance était plus que
remarquable. La routine de ballet jazz du groupe
gym ado, principalement composé d’anciennes
gymnastes de compétition fut aussi très coquette.
Page 14
L’animation teintée d’humour du spectacle a été
réalisée par des entraîneurs et des gymnastes.
Alors, ont pouvait y retrouver les juges de LA
FIÈVRE DE LA DANSE et l’animatrice principale
de ce « show » interprétée par Joëlle Tremblay.
De plus, le club souligna le départ de plusieurs
entraîneurs qui fréquentent le cégep de BaieComeau comme Julie Baron. Bref, ce fut un
spectacle fort amusant et composé de diverses
chorégraphies toutes originales les unes que les
autres.
Stéphanie Julien
Vie sportive
COMPÉTITION DE TIR À L’ARC
F.T.A INTERNATIONAL
Cinq jeunes du cégep participaient à une compétition
internationale de tir à l’arc, le 18 avril dernier; voici leur
classement :
Mathieu Joubert
Guillaume Bérubé
Simon Chouinard
Manuel Ébacher
Tommy Tremblay
Médaille d’argent
Médaille de bronze
Quatrième place
Cinquième place
Cinquième place
Félicitations à nos élèves et merci au cégep pour sa collaboration
Pierre Joubert, entraîneur
Page 15
Page 16

Documents pareils