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Les produits
Les principaux accessoires sont :
• les sacs (à main, à dos, banane, à bandoulière, tambour, bowling,
pochette, cabas, panier, sacoche …)
• les chapeaux (capelines, bérets, bonnets, hauts de forme, canotiers,
borsalinos, panamas, cloches, casquettes, casques, tricornes,
toques…)
• les écharpes, étoles, foulards, manchons (de laine, tissu, fourrure…)
• les cravates (longues, nœuds papillon, lacets…)
• les ceintures (de cuir, métal, à boucle…)
• les bijoux fantaisies (bagues, boucles d’oreilles, colliers, bracelets,
épingles à chapeaux,… bijoux de sacs, de téléphones portables…)
• les gants (longs, mitaines, moufles,…)
• Les autres accessoires : parapluies, éventails...
Liste des sous-pages
• Le sac
Le sac est l’un des accessoires les plus porteurs du marché de
l’accessoire. Il s’en produit en France plus de 7 millions par an.
Accessoire à part entière de l’habillement, que l’on renouvelle
désormais fréquemment, il est disponible de plus en plus souvent
aujourd’hui dans les boutiques de prêt-à-porter où il se vend parfois
plus facilement que les vêtements. Les Françaises en achètent en
moyenne un par saison.
Proposé dans de nombreuses matières (cuir, lézard, crocodile, peau de
serpent, matières textiles diverses, naturelles ou synthétiques...), à
porter à la main, en bandoulière ou sur le dos et de formes variées
(mini-sac, pochette, besace, cabas, book bag...), il est disponible dans
tous les styles et tous les niveaux de gammes, pour les femmes comme
pour les hommes, auxquels s’adressent notamment des sacs
asymétriques et autres modèles holster à porter en bandoulière et qui
rencontrent un vif succès.
Les sacs à petits prix achetés par les consommateurs français
viennent en grande partie de Chine et des pays d’Asie.
Les produits haut de gamme sont quant à eux souvent fabriqués à
l’étranger pour une question de coût de fabrication.
Le sac est un secteur prisé des jeunes marques, du fait des possibilités
intéressantes qu’il offre en termes aussi bien de choix de matière que
de création. L’abondance de l’offre fantaisie, notamment à petit prix,
nécessite toutefois de la part des jeunes créateurs un positionnement
(style, qualité, prix) juste et pertinent et un concept leur permettant
de se démarquer de leur concurrence.
• Le chapeau
Eminemment intemporel, le chapeau (élégant, capeline, panama,
borsalino, casquette, toque, béret... fait aujourd’hui l’objet d’un
véritable engouement, quels que soient sa forme et son style.
Il est proposé dans des matières souples et confortables, fines et
précieuses pour les modèles les plus habillés.
A l’instar des sacs et ceintures, de nombreuses boutiques et chaînes
de prêt-à-porter en vendent en complément de leurs collections.
La demande émane de toutes les générations, y compris les
adolescents qui manifestent actuellement pour le chapeau un
véritable engouement.
Hormis les modèles haut de gamme pour hommes (feutres, panamas,
borsalinos...) et pour femmes (chapeaux de cérémonies...) vendus
dans des chapelleries traditionnelles, la majorité des chapeaux
achetés aujourd’hui sont importés d’Asie.
Le chapeau est un secteur ouvert à la jeune création, à condition
d’être à la fois créatif et de présenter un bon rapport qualité-prix.
• L’écharpe, l’étole, le foulard, le chèche...
Les écharpes, étoles, foulards et autres turbans et bandeaux sont très
présents actuellement dans les collections de prêt-à-porter. Ils
permettent aux consommateurs de toutes générations de
personnaliser leurs tenues vestimentaires et d’affirmer leur style.
En matières chaîne et trame ou en maille, ils s’adaptent
particulièrement au mixage de styles et aux ensembles les plus
décalés et se portent en toutes circonstances, au quotidien comme
pour les cérémonies.
Ils sont proposés dans des matières très différentes, du simple voile
de coton à la soie et au cachemire les plus précieux, unis ou imprimés,
à la mode et de différentes tailles.
Ce segment se prête très bien à l’activité des jeunes créateurs du fait
des possibilités qu’il offre en termes de choix des matières et de
création avec des coûts de façon peu élevés.
• La cravate
Associée historiquement au costume mais aussi désormais à toutes les
tenues masculines, habillées, “casual“ ou décontractées, la cravate
continue, au fil des saisons, à séduire de nombreux consommateurs,
de tous les âges et tous les styles.
Inconditionnellement présente sur les défilés, elle est proposée dans
différentes matières et suit les tendances de la mode de près.
Elle permet à l’homme d’affirmer son style et sa singularité, en
personnalisant sa tenue.
Elle se porte aujourd’hui par plaisir, non plus comme une obligation,
comme cela fut longtemps le cas.
Elle constitue l’un des achats cadeaux clés pour l’homme.
• Le bijou fantaisie (hors joaillerie)
Le segment du bijou fantaisie affiche un indéniable dynamisme,
malgré la crise. Achat-plaisir (et impulsif) ou achat-cadeau par
excellence, il représente un budget moyen de 50 € par an,
représentant une moyenne de 2,4 pièces achetées chaque année, soit
40 % de plus (en euros constants) qu’en 1980.
Le consommateur (homme et femme) voit en lui un accessoire
valorisant et abordable.
Les ventes de bijoux fantaisie (argent compris) ont dépassé, en 2010,
1,1 milliard d’euros, soit plus de 51 millions d’unités*.
Ce segment, caractérisé par une offre multiple - composée de colliers/
tours de cou/pendentifs/sautoirs, bracelets, bagues, boucles d’oreilles,
broches... - est particulièrement sensible aux exigences liées aux
nouveaux modes de consommation, en termes notamment de
consommation responsable et de sécurité.
Les consommateurs se laissent désormais davantage tenter par un
produit fabriqué dans des conditions respectueuses de l’homme et de
l’environnement (commerce équitable, actions sociales et
solidaires...).
Ils sont en outre de plus en plus attentifs à l’innocuité des matières
entrant dans sa composition (absence de nickel et autres métaux
nocifs pour la peau).
Le contexte de crise aidant, ils sont enfin de plus en plus attirés par
les produits français.
Le bijou fantaisie se prête relativement bien à l’activité du jeune
créateur, à condition que son offre non seulement se démarque de la
concurrence, propose une vraie valeur ajoutée et présente un bon
rapport qualité-prix, mais aussi prenne en compte le besoin de lien
social et d’éthique du consommateur citoyen.
*Source Précepta
• Le gant
Devenu un “must-have“ du prêt-à-porter féminin, au même titre que le
sac ou la paire de chaussures, le gant mise aujourd’hui sur les
matières, les couleurs et les détails originaux.
Certains couturiers les aiment longs, d’autres leur privilégient la
version mitaines, d’autres encore les modèles classiques à forte valeur
ajoutée (cuirs les plus raffinés, couleurs exclusives...).
Très présents sur les podiums, ils s’apparentent pour certains à de
véritables bijoux (agneau gansé de renard ou orné de rubans, de
clous argentés ou dorés, de strass et d’autres détails précieux, coloris
assorti à celui de la robe et des chaussures...).
Toutes les générations les apprécient, y compris les plus jeunes qui
affectionnent les modèles originaux, voire décalés.
Au même titre que les sacs, ceintures et chapeaux, ils sont de plus en
plus proposés dans les boutiques et chaînes de prêt-à-porter, à des
prix accessibles.
Des boutiques spécialisées leur sont par ailleurs entièrement
consacrées. On y trouve des modèles haut de gamme extraordinaires.
Le gant (haut de gamme) requérant un nombre d’heures de travail
relativement important, sa production est aujourd’hui en grande
partie délocalisée.
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