S - AMIGALAND V6.05

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S - AMIGALAND V6.05
jeu complet + deux distributions Linux !
S e p te m b re 1 9 9 8 - n °5 4
M g ir ilm s , anim âtes finis, n a c iiie le lir in g . . .
Les secrets de
l’informatique théorique
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
révélés
gr 12 heures de musique
sur un seul CD
BeatForge AMP
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0
2 : 4 6
f lL IC E
' 128
IN C H flIN S - HEftUEN
k B tt
44
hH /
F Mensuel - 11,25
Scan
- 273 FL - 11,10
FS - 260 FB N°ISSN
1259-1165
Scandale : la sécurité de
Windows ébranlée par
un grain de sable !
Economie : ces grandes
entreprises qui
adoptent Linux.
Hi-tech : Gateway présente
l’Amiga Digital
Convergence.
379230603900200540
C om m ent fo n ctio n n e
le fo rm at M P3?
PowerPC,
Permedia 2, Ultra-Wide S C S I...
Comment booster son Amiga ?
L in u x
Démarrez
Linux est un véritable système d'exploitation Freeware 32 bit multitâche - multi-utilisateurs et dépend des termes de la "GNU Public License'
Linux est de type Unix ™ (POSIX) avec des extensions System V et Berkeley, et est disponible sous forme de code source et de binaires.
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t o u t e
t r a n q u i l l i t é
Votre PC devient Station-X !
StarOffice
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Unux MNIS 09/98 (basé sur Débian, noyau 2.0.35)
*—Linux S.u.S.E. 5.3 08/98 (vers. Fr) ou (vers. US)
Unux S.u.S.E. 5.3 vers. Fr (avec support à I
Caldera jjg g g
OpenLinux
Base
Applixware 4.3.7 Office Suite (S.u.S.E.)
525
Applixware 4.3.7 Officie Suite (Logiciels du Soleil)
545
nstallation enFrance)335
Unux Snapshot 5.3 (S.u.S.E.) 08/98
190
Unux Officiel Red Hat 5.1 (Intel) Française
(Logiciels du Soleil)340
Applixware 4.3.7 Office Suite (Red Hat)
795
Applixware 4.3.7 Developer's Edition (Red Hat)
1990
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence non-commerciale)
215
Linux Officiai Red Hat 5.1 (Intel)
315
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence commerciale)
695
Linux Red Hat PowerTools 5.1 (Intel / Alpha)
170
CDE Client Edition / Developer (Red Hat)
Linux Official Red Hat 5.1 (Alpha)
330
Wabi 2.2 pour Linux (émulateur Win3.1x) -Caldera-
- Linux Official Red Hat 5.1 (Sparc)
330
Motif Red Hat 2.1
Extreme.Linux (Red Hat)
195
Accelerated-AX 4.1 Display Server Linux/BSD (XiCraphics)
745
Linux Library vers. 4 (Red Hat) Doc (800 000 p.)
165
Accelerated-LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (XiCraphics)
1490
495
OpenGL 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi Graphics)
2225
1795
Multi-Head pour Linux Vers. 4.1 /BSD (Xi-Graphics)
2225
2990
Caldera Open Linux Base 1.2 VF ou US (+ StarOffice 4.0 )
Caldera Open Linux Standard 1.2 (vers. US)
UUWr
195
295
Linux InfoMagic 06/98
175
780 / 1695
460
1345
170
CDE (Xi-Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder
pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated-AX 4.1 (Linux BSD)
Linux Slackware 3.5 (Walnut Creek) 06/98
185
Applications Graphiques pour Linux (MNIS)
165
Turbo Linux for PowerPC -support G3- (Pacific HiTech)
245
Linux Turbo Business Applications 01/98 (Pacific HiTech)
210
135
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— Linux Archives (InfoMagic)
L IN
U X 1)
MkLinux DR2.1 + livre 320 pages (Rich Morin)
330
GIMP1.0 (Wilber Works)
Real Time Linux (04/98) MNIS
235
Linux Games 01/98 (Pacific HiTech)
160
GNU HURD Temps Réel Mach 4.0 (MCD2)
250
SLA C KW ARE
JAVA WorkShop 2.0 SunSoft
Mi), nrjûi>
690
JÇ
Le Syteme Linux "0 Reilly -590 pages- 2eme Ed. (FR)
Unix Feeware 01/98 (Walnut Creek)
210
I
Administration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR)
GNU Step for Linux 04/97 (Net Community)
235
Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR)
C/C++ User Group Library 04/98 (Walnut Creek)
255
Introduction à Perl "O'Reilly (334 p.) (FR)
C++ Suite 98 (Bytesize)
130
Linux Devices Drivers "O'Reilly" (US)
Perl 08/98 (Walnut Creek)
210
Ada 04/98 (Walnut Creek)
190
Tous les titres de la collections O'Reilly sur commande FR/US
CO M PLETE
COMMAND
REFEREN C E
2
3
o
v
c
o
c
1
o
è
QRZ Ham Radio (Walnut Creek) 03/98
140
Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) US
CICA 32 W95/ NT 04/98 (Walnut Creek)
220
s
s
2
Linux Complété Command Reference "Red Hat" (1500 p.) US
Hobbes OS/2 10/97 (Walnut Creek)
150
r*s
o
Maximum RPM "Red Hat" (442 p.) US
Simtel MS-DOS 03/98 (Walnut Creek)
170
S
O
Doctor Linux 6th Edition (1631 p.) US
WinFiles.com 07/98 (InfoMagic)
190
Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR
L in u x
1175
JAVA WorkShop 2.0 Tarif Education) -SunSoft-
F ree BSD
3
V
NOUS ENVOYONS
FreeBSD 2.2.6 (Walnut Creek) 04/98
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Complété FreeBSD 2.2.6 + Livre (1750 p.) US
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.1 1 .1 . 1 .1
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s o m m a i r e
Dream N
A
54
E d i t o
Après plus de dix ans
d'informations rigoureuses
au service de l'Amiga, notre
confrère Amiga News cesse
aujourd'hui sa parution. Un
découragement soudain face
au phénomène du "PC à
3990 F" qui fait la fierté de
notre hexagone ? Une
lassitude inéluctable de la
contestation anti-Microsoft ?
Non. De l'aveu de Bruce
Lepper, son pragm atique
fondateur, "si Amiga News
s'arrête, c'est parce qu'il ne
rapporte plus l'argent
nécessaire à sa fabrication
minimum". Entendez p a r là
que cela faisait déjà belle
lurette que Bruce ava it aussi
tiré une croix sur les salaires
et les pages en couleurs. En
micro alternative, la passion
prime sur le commerce. C'est
d'ailleurs grâce à cet adage
qu Amiga News sera resté
aussi longtemps un
magazine complètement
dédié à l'Amiga : les
rédacteurs en chef des trois
autres supports français qui
chantaient autrefois les
louanges de la machine de
Commodore vantent
aujourd'hui les mérites des
jeux vidéos que l'on trouve en
supermarchés. Bruce, lui,
n'est pas prêt de vendre son
âme au diable. Il sait que son
AmigaNews suit juste
l'exemple de Steve jobs, cet
autre héraut solitaire de
l'alternatif : sommeiller un
temps pour revenir avec éclat
au moment opportun.
4. CD-ROM
34. KDE 1.0
36. Blender
COURANT ALTERNATIF
38. DDD
l’anarchie : une bande de petits
39. Transcat
malins vient de trouver une porte de
40. Gobe Productive 1.0
derrière dans W in d o w s qui lui p er­
41. Am iCom pSys
m et de contrôler n'im porte quel PC
41. M P3 sur Am iga
"W in t e l" c o n n e c té sur In te rn e t et
42. SkulICrusher
tou s les lo g iciels nécessaires sont
42. Delirium
44. W ordPerfect8
• DECOUVERTE
46. Le revers de W in d o w s 98
48. Com m ent fonctionne le M P3 ?
• EN PRATIQUE
52. Configurer une Pow erU p
55. Configurer KDE
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
56. Installer un Fixpack pour OS/2
accessibles à n'im porte qui. Am iga
58. Autom atiser la compilation
Inc. joue la transparence et lève dou­
60. Utiliser le BBC Basic sous RiscOS
cem en t le voile sur ses projets. Un
la b o ra to ire am éricain a réalisé un
• APPROFONDIR
o r d in a t e u r 100 fo is p lu s r a p id e
62. Les scripts Shell
q u 'u n e sta tio n h a u t de g am m e à
64. Les ressources de X
partir de composants défectueux...
•
PROGRAMMATION
22. DOSSIER
66. Objet
Si les ordinateurs se sont aujourd'hui
68. Perl
banalisé, les théories qui se cachent
70. C
derrière restent un univers aussi fas­
72. java
cinant que mystérieux pour le com ­
m un
des m o r te ls . A u jo u r d 'h u i,
• ZONE LIBRE
Dream vous propose un tour d'hori­
74. L'Amiga adopte Quake
zon rapide de la face cachée de l'in­
76. M icrostory Sinclair
form atique.
78. Courrier
81. Petites annonces
LABO
32.
L.
A b o n n em en t P.45
D ream 's bootik P.82
Kaffe OpenVM 1.0 b e tal
Les mois passent et
outre le noyau Linux
en lui-même, de
nombreux outils
arrivent à maturité.
C'est le cas de KDE et
de Kaffe qui sont enfin
disponibles en version
1.0 (voir le test de KDE
en page 34) pour la
plus grande
satisfaction des
utilisateurs. Sur un
autre champ de
bataille, plus RedHat,
SuSE et Debian
s'imposent et plus on
voit émerger de petites
distributions
"parallèles" visant à
atteindre un objectif
précis devenu
inaccessible aux
"grosses" distributions.
affe est une machine virtuelle tota­
sous GPL, mais il est par ailleurs possible
lem en t co m p atib le Perso n aIJava
d'acquérir auprès de TransVirtual une ver­
1.1. Ce projet maintenant ancien
sion "custom" (www.transvirtual.com). Les
inclut un JIT Compiler (Just In Time) et est
avantages indéniables de Kaffe, hormis la
écrit depuis le début "from scratch" c'est-à-
licence GPL, résident dans son architectu­
dire qu'il ne s'agit en aucun cas d'un porta­
re. En effet, les threads sont Posix, Kaffe
K
ge ou de la m o d ific a tio n
étant lui-même threadsafe
d 'u n e JV M déjà ex ista n te.
et le G arb ag e C ollector
K affe est fo u rn i a ve c ses
peut être rem placé par
propres classes standards qui
une m éth ode plus adé­
incluent Beans et AWT. En ce
quate. Kaffe est disponible
qui concerne la distribution,
pour une trentaine de sys­
cette nouvelle JVM existe sous
tèmes d'exploitation, dont
bien évidemment Linux.
deux formes : la première qui
est fournie sur le CD-Rom est
M o tif vs. BissA W T ?
Java 1.1 applications
1
PersonaIJava 1.1 com pliant
Ja v a class libraries
m odular Java 1.1 com pliant
K a ffe
Virtual machine
statically / dynam ically linked
native libraries
Opérating System
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Linux, BSD, Win32, DOS, QNX
L'ID E standard.
Schém a de fonctionnem ent de Kaffe.
KDE 1.0 enfin disponible
a première version stable de KDE est
L
enfin disponible ! Rappelons pour les
< *
quelques lecteurs qui déco u vren t
* I i Sumi and
S ^
‘o Dl S „ ■ Z
a c u n
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,
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..
l-
i h o m
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|
3
seulement Linux que KDE est un projet de
desktop graphique qui inclut un windowmanager, un gestionnaire de fichier et des
tonnes de petits outils qui p erm ettent
d 'u tilis e r Linu x co m m e on u tilis e ra it
i£SS2rS535SSESSS
W indows ou M acO S. Pour
couronner le tout, KDE est
un bureau à la mode Web,
c'est-à-dire que le double­
KLyx, ou le LaTeX W YSIW YG.
click disparaît et que rentrer
une URL dans le file mana­
ger transforme ce dernier en
b ro w se r W e b ! P o u r les
habitués, sachez que la ver­
sion 1.0 est disponible pour
un grand nombre de platesformes et d’architectures et
des packages pour la plu­
part des distributions coura n te s
sont
fo u r n ie s
(Debian, RedHat, sources).
Configuration à la Windows.
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S U.S.E. linux 5.3
C.od«w* h« ** apP,,ca,“>l"
>SC!>KO*MC!u'*
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Stam pedeLinux 0.86
et Sm alllinux 1.2.11
S
L'Unix pour les compatibles
qui vous fera tirer le
maximun de votre micro!
-*"1w
uuolen
tampedeLinux présente une nou­
velle approche des distributions
Linux. Celle-ci est prévue pour
être rapide, simple à administrer pour
l'utilisateur final, tout en demeurant
flexible pour l'utilisateur avancé. Parmi
les caractéristiques principales de
StampedeLinux, on remarquera parti­
culièrement les suivantes : fondée sur
la glibc2, la nouvelle distribution supporte l'installation via NFS, et
compilée entièrement avec PentiumCCC elle sera en moyenne de
S.u.S.E. Linux 5.3
déboguage s'il vous plaît.
S.u.S.E. Linux est un système d'exploitation puissant, fiable et rapide
avec plus de 800 paquetages de grande qualité, intégrés au système
Il est doté d'une interface graphique dont les possibilités enthousias­
meront aussi bien les néophytes que les professionnels.
R é p e r to ire Linu x
S.u.S.E. Linux est un systèm e d'exploitation "sim ple comme
Bonjour" qui répondra parfaitem ent à toutes vos exigences.
10 à 30%
plus rapide. Enfin les dernières moutures des logiciels
sont systématiquement fournies, en version sans les symboles de
FreeWRL : dernière version mise à jour du browser VRML. Ce brow­
ser GPL est écrit en Perl, avec des librairies C pour les interfaces et
les rendus, utilise OpenGl pour les graphiques et offre des caracté­
ristiques telles que le support des fontes TrueType ou la possibilité
d'être utilisé en tant que Plug-in pour Netscape. Gamora est un ser­
veur GPL en java prévu pour servir à peu près n’importe quoi. Les
dernières versions de G N U Emacs et XEm acs ainsi que Am aya,
► YaST, l'outil unique de S.U.S.E. vous assistera lors de toutes les phases
d'installation, de configuration et d'administration de votre machine
ou de votre réseau.
► Le manuel de 450 pages en anglais avec son supplément français est
une aide précieuse pour les débutants comme pour les professionnels.
► Le lancement des paquetages à partir des CD-ROM est possible sans
installation préalable.
► Une Assistance Technique à l'installation en langue française, avec
un numéro d'appel en France est offerte pendant 60 jours après
l'achat de S.u.S.E Linux.
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Amanda et Apache sont également proposées dans leur dernière
déclinaison.
R é p e rto ire A m ig a
Le jeu complet Whales Voyage 2. L'utilitaire DM S fourni sur le CDRom vous permettra de retrouver les disquettes originales via les
fichiers ayant l'extension .dms. D M S s'utilise de la m anière
suivante : 'D M S WRITE fichier.dms' écrira le fichier sur le disque
présent dans dfO : bien sûr, vous retrouverez comme d'habitude
des tonnes d'utilitaires des plus drôles aux plus indispensables.
R é p e rto ire RiscO S
La démo du jeu Destiny ! Enfin sur votre RiscPC, un doom-like
digne de ce nom.
S.u.S.E. Linux est un système offrant de nombreuses possibilités:
►
►
►
►
►
►
des applications variées,
des versions de démonstrations des applications courantes,
de nombreux langages de programmation,
des logiciels serveur Internet incluant Netscape Communicator,
émulateur DOS,
de nombreux jeux et beaucoup plus encore...
S.U.S.E Linux est un système d'exploitation à la portée de tous. Le leader
parmi les systèmes Linux ne coûte que 335 Francs (port compris).
Essayez-le dès m aintenant!
R é p e rto ire BeO S
Le célèbre Emacs arrive sur BeOS (version PC) : plus besoin de client
Applixware 4.4.1
mail ou de browser web, brossez-vous les dents avec Emacs.
SantasGiftBag : de nombreux utilitaires du générateur d'icônes à
l'économiseur d'écran.
R é p e rto ire O S/2
La suite bureautique fiable et rapide avec ses logiciels
de traitement de texte, tableur et éditeur graphique.
Nouvelle version incluant Applix Développeur,
Applix Data, ainsi qu'un m anuel de 300 pages.
La démo d'Omnifile vous permettra de pousser cet excellent pro­
gramme dans ses derniers retranchements.
R é p e rto ire A t a r i
CD Writer vous permettra comme son nom l'indique de graver des
CD-Rom ou même des CD Audio. Le célèbre Pov ainsi que de nom­
breux outils pour le HTML sont également au rendez-vous ce mois-ci.
R é p e rto ire Ja v a
Des bases de données, des éditeurs en pagaille et bien entendu des
tonnes d'applications Internet.
Pour toute commande veuillez
vous adresser à
MCD2 Diffusion,
72, Quai des Carrières
94220 Charenton le Pont
Tél : 01 56 29 23 00
Fax : 01 56 29 23 01
Email: [email protected]
S.u.S.E.
S.u.S.E. GmbH
GebhardtstraBe 2
D-90762 Fürth
Tel. +49 911 740 53 81
Fax +49 911 741 77 55
Email: [email protected]
http://www.suse.de/f/
A
Tous les W indows
complètement piratables !
PROCESSEUR
In te l passe
aussi au
cuivre !
es u tilisa teu rs de W indow s 95 férus
une vidéo Avi de ce que fait l'utilisateur cible
Le cuivre est depuis un certain
d 'Internet, et plus p articulièrem ent de
sous Windows ! Ce n'est plus du piratage, c'est
temps déjà apparu comme la
l'IRC, subissent tôt ou tard les effets dévas­
L
de l'espionnage ! Cela ne vous suffit pas ? Il y a
solution permettant aux pro­
W inN uke.
encore pire : BackOrifice peut aussi lire vos mots
cesseurs de gagner encore en
Concrètement, il s'agit d'utilitaires mesquins qui
de passe ! Ceux de votre compte Internet, de
puissance. Plus condu cteur
font planter la machine à distance. Mais, depuis
votre économiseur d'écran et du démarrage s'af­
que l'aluminium actuellement
peu, il y a pire ! «Cuit of the Dead Cows» (littéra­
fich e n t au to m a tiq u e m en t. Pour les autres,
utilisé, le cuivre perm et de
lement «Le Culte des vaches mortes»), groupe de
BackOrifice scrute ce que vous tapez au clavier...
réduire la taille de gravure et
joyeux hackers, vient de produire un utilitaire
Dans la foulée, BackOrifice pourra également
de descendre sous la barre des
appelé BackOrifice. Sous ce nom se cache un
informer le "client" de toutes les caractéristiques
outil de contrôle à distance de tout PC fonction­
hardware de la machine "serveur" (processeur,
nant sous Windows 95 ou Windows 98. Ce para­
mémoire, disque dur, carte graphique, etc.).
ta te u rs
d 'o u tils
tels
qu e
site est à classer dans la famille des Trojan (che­
D'autres informations plus sensibles peuvent
vaux de Troie) : pour infecter une machine, il
aussi être consultées, comme les caractéristiques
faut que l'utilisateur de la machine visée exécute
de la machine visée : processeur, mémoire, uni­
le logiciel appelé "serveur". Ce petit programme
tés disque et mots de passe (éco n o m iseu r
se révèle totalement silencieux puisqu'il n'affiche
d'écran, fournisseur d'accès Internet) ! Et ce n'est
rien à l'écran, n'est pas visible dans la liste des
pas fini : des plugins peuvent venir compléter la
ioW
tâches, ne s'avère pas facilement localisable sur
panoplie des commandes déjà disponibles. Fin
Espérons que le cuivre
le disque dur et se lance à chaque chargement
du fin, il s'avère difficile de détecter une infection
perm ettra de réduire la taille
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
de Windows. Exactement le genre de petit pro­
puisque le nom et la taille de l'exécutable "ser­
gramme qui aime à se dissimuler dans une archi­
veur" peuvent être modifiés et que rien n'est
ve quelconque en provenance d'Internet. Un
visible aux yeux de l'utilisateur. Et les antivirus
logiciel appelé "client", disponible sous Dos ou
actuels ne détectent rien... Heureusement, le
à la puissance, Intel se devait
Windows, permet alors de converser avec le "ser­
salut existe. Il suffit de disposer du logiciel "client"
d 'intégrer cette technologie
des processeurs.
0,18 microns. Dans sa course
veur", simplement en indiquant l'adresse IP de
pour vérifier immédiatement et régulièrement si
bientôt incontournable. Ainsi,
celui-ci ; po ur les m oins d éb ro u illard s des
sa propre machine se trouve infectée. Ironie du
après une première génération
pirates, il est même possible de balayer automa­
sort, BackOrifice n'est pas un virus, mais tout sim­
de processeurs 64 bits, débu­
tiquem ent un sous-réseau à la recherche de
plem ent un outil d'adm inistration système,
tant avec le fameux Merced
machines infectées. L'étendue des possibilités est
certes réalisé à des fins malignes. Les «Cuit of the
prévu pour l'an 2000, le pro­
plutôt effrayante : on peut lister le contenu du
D ead Cows» assurent q u 'u n e infectio n par
cesseur McKinley devrait assu­
disque dur, effacer, copier, ren o m m er des
BackO rifice résulte u niquem ent de la bêtise
rer le relais, avec un cœur en
fichiers.... Ou encore énumérer les processus, les
humaine (celle de l'utilisateur qui installe n'im­
cuivre, gravé à 0,13 microns.
détruire et les cloner : la machine de l'utilisateur
porte quoi sur sa machine). Ce qui est vrai. Mais
Comme d'habitude, ce projet
visé accusera de sacrés pertes de performances si
le logiciel serveur va apparaître bientôt sous
à long terme n'est pas défini­
on lance, en même temps, dix fois un logiciel
forme de virus... Les choses vont alors se com­
tif, et Intel pourrait facilement
comme W ord ! Sans oublier la possibilité de
pliquer ! D'ailleurs, un plugin du nom de Silkrope
le m odifier en fonction des
rebooter la machine, de geler Windows, d'affi­
permet déjà d'intégrer BackOrifice à n'importe
d e m a n d e s du m arch é, en
cher des boîtes de dialogues, de faire une captu­
quel exécutable... A noter que le logiciel client
introduisant par exemple le
re de l'écran en cours ou même d'enregistrer
est déjà disponible sous Linux, avec ses sources.
cuivre dans les processeurs
pour mobiles avant de s'inté­
resser au McKinley. Quoi qu'il
en soit, le cuivre ne devrait pas
tarder à s'imposer comme la
te c h n o lo g ie de référence.
D'ailleurs, le fondeur AM D a
également annoncé son orien­
tation vers cette technologie
dès l'an 2000.
Le client BackOrifice version Windows
"S ir D ystic", membre de "Cuit of the Dead
à l'œ uvre...
Cows", en pleine dém onstration...
ERGONOMIE
INDUSTRIE
• C o m m u n ic a to r/ 2 :
p re m ie r s te sts
Un d a v ie r,
nouvelle
g én éra tio n
Linux standardisé p o u r
l'e n tre p ris e ?
En grande partie grâce à la
presse et à Internet, Linux
Projet fou que celui de la société
est d éso rm ais co n n u du
am éricaine DataHand. Cette
grand pu b lic. N etscap e ,
filiale de Delaware Corporation
Corel et consorts ont par
prétend tout bonnement pou­
ailleurs contribué à la pro­
[
■
" i'
,
5
s
l.inui • Standard* Auociatlnn
Itnutfiif HiMhim fi* Ikon
lutimémftil*
1UL—
friMMft
<«h 4
kai
U«iTofV** i
L*tf ir»*n▼*«! KWi
«r»l rrmj érrHft
ri t*
baf U n bu
i»c* <i (M
si fUlnéu. Frémi sm t*
(.mrAtmiï,bi U— kfimi
rtath*4f» Irn*>4tm»«■*«wferkg
Vm*» (3CS) mi Or*rMa«2yi*m
voir remplacer notre ancestral
gressive reconnaissance de
clavier par de simples gants
cet
mécaniques ! "Simples" ? A la
m onde
vérité, les accessoires mis au
C e p e n d a n t, fo rce est de
point par DataHand sont d'une
constater que les sociétés
Unix lib re
de
dans
le
Summuf of Nffd
l'in d u s trie .
rare technicité : des touches
qui décident de se mettre à
mobiles à l'extrémité de chaque
la "mode" Linux se trouvent
doigt se manipulent dans cinq
fort embarrassées face à la
<OT/>i tmrm*t
art m
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mtf j-tt-Jrfrfftytr<baral r**-»i rrf«H Sy
j —
n ul
mi
..... •
Le projet LSA.
directions (nord, sud, est, ouest,
recrudescence de distributions et au manque de standardisation de
bas) suivant le caractère que l'on
ce petit monde. Il n'est pas ici question du noyau lui-même, ni de
veut entrer. Selon le construc­
la plupart des outils (G N U le plus souvent) qui répondent à la
teur, ce type d'appareils écono­
norme POSIX, mais plutôt de la manière de les associer et de les
miserait 50 % de fatigue à
distribuer. La diversité a permis un développement exponentiel de
chaque main et près de 80 % de
Linux, mais il serait temps d'établir des standards afin de permettre
petits mouvements répétitifs. Et
aux sociétés le désirant, de supporter Linux sans que cela n'entraî­
ça marche ! DataHand a déjà
ne de coûts prohibitifs. C'est de ce constat qu'est partie l’idée
conquis de nombreux industriels
d'une association dont le but serait d'établir ou tout du moins d'ai­
dont le service postal américain,
der à établir ces standards. A l'heure actuelle, il faut bien avouer
Microsoft, Silicon Graphics, Sun,
que c'est encore le flou artistique entre LSA, LSB et LSC, et il faudra
Dec, Oracle et Motorola.
sans doute attendre quelque temps pour que s'établissent d'eux-
On n 'y croyait plus compte tenu du
nombre de fois où il avait été
repoussé, retardé, ajourné, mais
voici que Communicator pour
OS/2 pointe enfin le bout de son
nez. La beta est plutôt stable et
répond correctement. Nous n 'avons
rencontré aucun problème pour
l'installation et la navigation sur
Internet. En ce qui concerne Java,
le produit exploite directement le
JDK installé sur le disque (le 1.1.6
se trouve exploité sans problème).
L'interface est similaire à la
version Win32 du navigateur. La
stabilité de la beta et ses temps de
réponse honnêtes laissent augurer
une bonne version finale. La beta
est téléchargeable sur :
http ://serviceS. boulder. ibm.com/pcp
d.nsf/ocomm40+home. La version
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
mêmes des standards pour les associations en édifiant... Par
ailleurs, précisons que tout le monde au sein de la communauté
Linux n'est pas forcément d'accord sur le principe même de la
nécessité d'établir des standards. Encore de belles polémiques dans
les news en perspective. En attendant que les choses se décantent,
on trouvera davantage d'informations sur http://www.linuxstandards.org.
Z, Tom bR aider 3 e t W ip e O u t 2 0 9 7
sur A m iga ?
Depuis que des petits malins ont montré qu'il était tout à fait faisable
d'adapter Doom, Quake, Abuse et autre Descent sur Amiga, les possibili­
tés ludiques de la machine ont sérieusement été reconsidérées par les
développeurs. A tel point que certains d'entre eux, motivés par le défi,
ont officiellement annoncé qu'ils se lançaient dans la course à l'adapta­
tion. Les prem iers titres co n cern és ne sont autres que Z
TombRaider.
(stratégie/action), WipeOut 2097 (course 3D futuriste) et Tomb Raider 3
(la suite du jeu le plus célèbre) ! En fait, Z n'est pas réellement une sur­
S \
prise puisque la version originale de ce jeu des Bitmap Brother fonction­
///
nait déjà sur Amiga 1200. L'éditeur n'avait en fait pas consenti à le
publier pour cette plate-forme, de peur de s'aventurer sur un marché
en "extinction". Une frayeur générale qui semble avoir totalement dis­
paru, et pour cause : en quelques années à peine, l'Amiga est sorti des
cahiers commerciaux pour s'enraciner sur le bureau des programmeurs
fantaisistes. Ce n'est plus du jeu vidéo, c'est du jeu algorithmique.
l s p
lo Æ
Un
-
-
•
0 =0 C=î.cn
WipeOut.
~y\\
finale tournera sur Warp 3 et
Warp 4, sera gratuitement
téléchargeable et exploitable,
toujours sans que L utilisateur n ’a it
à verser un sou, à partir du site
software choice d'IBM.
S t r a t é g ie
Amiga Inc. joue
la transparence
d'avoir OpenGL, Java, l'USB et la
protection mémoire dans la pro­
chaine version de l'O S"), Amiga
Inc. a parallèlement demandé
à son directeu r des projets,
Fleecy Moss, de se livrer au jeu
des questions-réponses. En
l'occurrence, il s'agit d'organi­
ser des conférences IRC dans
Accusé de part et d'autre d'un immobilisme confondant, Amiga Inc.
commence doucement à laisser filtrer des informations sur son activité.
lesquelles n'importe qui peut
poser les questions les plus
indiscrètes. Malheureusement,
les réponses sont loin d'être à
la hauteur des attentes. Voici,
D
epuis le départ-surprise
en substance, ce que Ton pou­
de l'ingénieur Joe Torre
va it tirer d 'u n e co n féren ce
cet été (remercié parce
"développeurs" donnée le 19
que personne ne com prenait
août dernier (pour plus de clar­
jamais rien à ses déclarations
té, nous avons regroupé les dif­
publiques ?), le constructeur
férentes questions/réponses
Amiga Inc. s'est trouvé un nou­
qui c o n c e rn a ie n t le m êm e
veau médiateur en la personne
sujet) :
de Bill McEwen, l'actuel direc­
D é velo p p e u r : est-ce qu'un
teur des ventes et du marke­
simple Cyrix 6x86 à 233 MHz
ting. Com m e Am iga Inc. n'a
sera suffisant pour développer
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pas grand-chose à vendre pour
des applications sous AmigaOS
le m o m e n t, Bill M c E w e n a
Fleecy Moss.
4.0 ?
Bill McEwen.
Fleecy Moss : pour commen­
donc été désigné pour remplir
le rôle de "l'évangéliste" (fonc­
Sacram en to Bee, un journal
d'ailleurs pas spécialement le
cer, ça ne s'a p p e llera plus
tion destinée à la promotion
local, lors de la dernière expo­
niveau : "En fait; nous ne cher­
Am igaO S 4.0, mais OS5dev.
d'une marque, très à la mode
sition américaine AmiWest 98 :
chons pas la grandeur parce que
Tout simplement pour que les
dans les sociétés américaines).
"Nous ne cherchons pas la gran­
nous com ptons aller bien au-
gens arrêtent de croire qu'il va
Une bonne occasion pour le
deur, nous cherchons juste à voir
delà"...
s'agir d'un nouvel OS destiné
constructeur de jouer la trans­
quel profit nous pouvons tirer de
Un vra i- fa u x f u t u r A m ig a
aux Amiga actuels. En fait, ce
parence en justifiant son opti­
tout ça". Une gaffe retentissan­
Pour donner un peu plus d'en­
sera un OS pour PC unique­
misme technologique par des
te puisque Bill M cEw en était
thousiasme aux révélations peu
m ent. Mais attention, le PC
propos cohérents et féd éra­
apparemment loin de se dou­
engageantes de Bill M cEw en
avec OS5Dev n'est qu'une solu­
teurs. Hélas, Bill M cEw en ne
ter qu e le S a cra m e n to Bee
lors de sa conférence d'ouver­
tion transitoire, qui ne devrait
semble avoir ni la conviction,
désignait en réalité un magazi­
ture à l'Am iW est 98 ("en l'an
pas durer longtemps. De fait,
ni les arguments pour redon­
ne publié sur Internet et, de
2 0 0 0,
BeO S
nous ne développ erons que
ner espoir aux foules. A com ­
fait, consultable par n'importe
d evraien t to ta lise r 0,5 % du
des drivers pour les cartes PCI
mencer par l'interview qu'il a
qui. Ses excuses officielles sur
marché des systèmes d'exploita­
de no tre pro pre station de
bien
le site d'Amiga Inc. ne relèvent
tion" ou encore "ce serait bien
d é v e lo p p e m e n t (un PC du
v o u lu
a c c o rd e r
au
A m ig aO S
et
catalogue Gateway). Pour être
sûr que to u t m arch e bien,
vous feriez mieux d'acheter
notre station de développe­
Concurrents du Pre\Box
Concurrents du projet D.C.
PC sous BeOS
PC sous Linux
Station Alpha
Centek Phénix
Acorn Phoebe
PowerMac G3
Console Sega DreamCast
Décodeur Internet
Acorn Network Computer
Télévision de cuisine (???)
ment plutôt que d'essayer avec
le matériel que vous avez déjà.
Plus que le Cyrix, je pense sur­
tout à la compatibilité de vos
cartes PCI.
D : est-ce que cette station de
développement sera prête dans
les temps (à la fin de l'année),
vu que cet OS5Dev n'est appa­
remment mis en place que par
quelques free-lances ?
Deux orientations complètement dissemblables pour les différents projets Am iga.
FM
:
je
n'en
sais
rien.
Effectivem ent, les seuls pro­
avan t qu'il y ait un nom bre
gram m eurs que nous avons
décent de logiciels qui tour­
D : allez-vous faire de la pub
sont des gens qui travaillent en
nent dessus.
pour prom ouvoir vos nouvelles
externe. Personne ne semble
D : que pouvez-vous nous révéler
machines ?
vouloir venir travailler dans nos
sur ce prochain Amiga et sa puce
FM : la station de développe­
locaux du Dakota du Sud. Moi-
"magique" ?
ment
même, d'ailleurs, je travaille
FM : Le nouvel A m iga, que
développ eurs, pas au grand
depuis chez moi. Cela étant, je
nous
public. Et en ce qui concerne
peux vous assurer que cette
Digital Convergence, tournera
les machines définitives, il ne
poignée de programmeurs est
sous O SSProd et c'est tout ce
s'agira pas des nôtres mais de
constituée des meilleurs dans
qu e
celles de nos partenaires. Mais
leurs domaines. Mais tout ce
dedans. Les m achines seront
bon, nous réfléchissons avec
que je peux effectivement dire,
bâties par des constructeurs
eux à l'a n g le m a rk etin g à
c'est que l'OSSDev est... bel et
tierces, suivant les spécifica-
adopter.
a p p e lo n s
nous
d éso rm ais
a u ro n s
p ro d u it
Dreamcast.
sera juste destinée aux
V e rs u n e in f o r m a tiq u e
in té g ré e
Ces indiscrétions contrôlées de
la part d'Amiga Inc. n'ont en
fa it q u 'u n bu t : fa ire c o m ­
Processeur : 680x0 + PPC
Systèm e : Am igaO S 3.1
Puce graphique : AGA + PC-VGA
Système graphique : C ybergraphX
Extension : Zo rro ll/lll
prendre le moins violem m ent
po ssib le à la c o m m u n a u té
A m iga que la te c h n o lo g ie
actu elle ne sera plus jam ais
supportée par la maison mère.
Phase 5 Pre\Box
Technologie Amiga Inc
Comme le prouvent les confé­
ren ces
d o n n ée s
lors
des
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Processeur : PPC
Système : AmigaOS 3.5
Puce graphique : PC-VGA + 3Dfx
Système graphique : CybergraphX
Extension : PCI + AGP
P roce sseur : MMC (+ Mips, Arm ?)
Systèm e : OS5Prod
Puce graphique : MMC
Systèm e graphique : OS5Prod
Extension : type PCI
récentes expositions, Am iga
Inc. constitue une filiale créée
par le constructeur américain
Gateway pour se lancer sur le
Jeff Schindler.
L'Am iga en tant qu'ordinateur sera de Phase S.
G a t e w a y p r é s e n t e d é j à le P C - T V
bien en cours de développe­
tions que nous aurons d o n ­
ment.
nées.
les
Projet in itial de Jeff Schindler chez G ateway, le PC-TV préfigure
D : mais pourquoi n'avez-vous
constructeurs tierces que nous
un nouveau genre d ’ap p areils auquel s'ap p aren tera l'Am iga
pas tout simplement recompilé
avons contactés sont tous ceux
D igital Convergence. De l'extérieur, tout porte à croire qu'il s'agit
ïAmigaOS 3.1 pour d'autres pro­
du monde Amiga actuel (Phase
d'u n e télé high-tech : b o îtie r n o ir m oderne, g ra n d écran ,
cesseurs
5,
enceintes et télécommande. M ais à l'intérieur, on trouve bel et
( Pow erPC,
A lp h a,
Pour
P io s ,
l'h e u r e ,
DKB,
A ccess
In te l...) avec ju ste un p e tit
Innovation...). Ils se disent très
bien une carte mère d'ordinateur dernier cri. Gateway a manifesté
Datatype 680x0 supplémentai­
intéressés m ais a im e ra ie n t
cet été sa vo lo n té d 'être p résen t sur ce m arché, p o u rta n t
abandonné p ar des grandes marques comme Compaq, en sortant
re, histoire de faire tourner les
d'abord connaître les spécifica­
anciens logiciels ?
tions de la puce "magique" que
la gam m e D estination D ig ita l M edia. N antis d'écrans de 27
FM : pour quoi faire ? Nous,
nous
pouces de d iago n ales, les q u atre m odèles proposés vont de
a p p elo n s
déso rm ais
nous visons un tout autre hard­
M M C . C ette puce n'est pas
10.000
ware et un tout nouvel OS. Si
fabriquée par nous mais par
drôlement cher pour un appareil de salon. M ais c'est norm al : on
vous voulez utiliser vos logiciels
une société secrète, qui ne la
a rarem ent vu une télé com prenant une carte mère Intel 440Lx,
Amiga actuels et l'AmigaOS 3 .1
sortira que l'année prochaine.
un Celeron à 333 MHz, un modem, un DVD, une carte audio, une
sur notre prochaine machine,
D'où l'in té rê t d 'é m u le r son
carte graphique et Windows 98. Si seulement G atew ay pouvait
vous n'aurez qu'à passer par
fo n ctionnem ent sur PC avec
intégrer tous ces divers éléments dans une seule carte mère avec,
Uae ou par une carte Siamese.
\'OS5Dev. Pour l'heure, ils ne
en plus, un OS qui lui appartiendrait, peut-être que les espoirs de
vente des PC-TV seraient plus im portants...
D : mais, alors... à quoi ça sert
veulent rien révéler dessus.
d'acheter aujourd'hui un Amiga
D : vous p réten d ez p o u vo ir
avec une carte PowerPC ?
vendre la future m achine aux
FM : eh bien, à attendre. Notre
alentours de 3000 F. Comment
nouvelle plate-forme, la Digital
faites-vous pour arriver à un prix
C o n v e rg e n ce , ne sera pas
aussi bas ?
prête avant un an et il faudra
FM : la chose n'est pas impos­
encore attendre six mois ou
sible. Regardez ce que fait Sega
une année su p p lé m e n ta ire
ave c
sa
n o u v e lle
co n so le
F à 30.000 F. On vo it tout de su ite le hic : ça fa it
Le Destination D igital M edia p a r Gateway.
• Le co d e so u rce de
S t r a t é g ie
W in d o w s p e rd u !
Parmi les nombreux procès dans
lesquels Microsoft est trainé, il y a
celui qui l'oppose à Caldera. Celuici prétend depuis plusieurs années
que Microsoft s'arrange pour que
ses logiciels tiers (dont Windows) ne
fonctionnent que sur sa propre
version du Dos et pas sur celle de
Caldera. Histoire de mettre fin à la
dispute, lejuge Ron Boyce a
demandé à Microsoft de lui fournir
le code source de Windows (3.1, 95
et 98) a f in de lefaire analyser par
un expert. Réponse de Microsoft :
"heu... On l ’a perdu
"l'Internetisation" de
d iffé re n ts m odules
de lo isirs , co m m e
une té lé v is io n (les
c o m m u n iq u é s
de
G a te w a y p récisen t
mêm e " télévision de
cu isin e
ou
ch a m b re " ...),
L'enseigne qui réunit les développeurs officialisés.
de
un
m a g n é to s c o p e ou
m a rc h é de l'in fo r m a tiq u e
Et la stratégie de la manœuvre
encore une console de jeux.
in té g ré e . Le b u t est d 'ê tre
fo rce le re sp e ct ta c tiq u e :
A
propriétaire d'une tech n o lo ­
Gateway multiplie les manifes­
d'Am iga Inc. sont désormais
gie largement diffusée à l'ave­
tations autour du nom Amiga
o u v e r t e m e n t ex p o sés sur
nir, que l'on retrouvera dans
dans le but essentiel de canali­
son
• Le F ix p a c k 7 V F p o u r
des décodeurs Internet, des
ser les développeurs potentiels.
( w w w .a m ig a .c o m ). Il s'agit
W a r p 4 est d is p o n ib le
consoles de jeux, des bornes
Le s a lu t re s te ra e u ro p é e n
d'une suite de transparents
interactives et, pourquoi pas,
Mais en ce qui concerne les
uniquem ent accessibles après
des ordinateurs. Dans cette
sim ples u tilisa teu rs, on les
avoir rempli un formulaire de
co n fig u ra tio n , l'in té rê t des
redirige juste vers ces coura­
co n fid en tialité. Raison pour
b re v e ts A m ig a se m o n tre
geuses sociétés européennes
laquelle nous ne pouvons les
d o u b le : en les ra c h e ta n t,
qui p a y en t leur red evan ce.
reproduire ici. Mais que l'on
Gateway s'offre les bases déjà
La prom otion de la m arque
se rassure, la pérennité de la
Le Fixpack nouveau est arrivé. En
ce qui concerne le correctif une
meilleure stabilité du système et du
Workplace Shell est apparue.
Quant aux fonctionalités, on
trouvera le support de /'Euro et de
Fan 2000pour la majorité des
modules du système (OS/2 n 'est pas
encore officiellement certifiépour le
passage à l'an 2000).
n o te r
que
site
les
p ro jets
Internet
toutes faites de sa technologie
s 'a r r ê te là. Il e st h o rs de
gam m e
future (Am igaOS) ainsi que les
question d'investir un dollar
(renom m ée "Amiga Classic")
c o m p é te n c e s de to u te une
dans la technologie actuelle :
est bel et bien assurée, mais
communauté de développeurs
pas de n o u velle version de
uniquem ent par les proprié­
très dynam iques (fédérés par
l'OS, pas de nouvelles cartes
taires de licences, tels Phase
l'emblème de l'ICOA). Fin du
mères 680x0 ou Pow erPC et
5 ou Dce. C'est d'ailleurs de
fin, Gateway rembourse même
mêm e pas de prise de posi­
ce cô té - là q u e les ch o ses
son a c h a t in itial en faisan t
tion dans le procès QuikPack
vo n t c e rta in e m e n t être les
payer des copyrights à toutes
qu i se c o n c r é tis e p a r une
plus excitantes, puisque l'on
les so ciétés qui su p p o rte n t
pénurie totale d 'Am iga 4000 !
nous p ro m e t de vérita b les
encore l'ancienne technologie.
C'est dit : la future technolo­
m icro-ordinateurs à la puis­
gie d 'A m iga Inc., la D igital
sance foud royante : jusqu'à
Convergence, n’aura d'Amiga
quatre processeurs PowerPC
que le nom et quelques frag­
G3 en parallèle et su ppo rt
A m ig a
a c tu e lle
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Ce q u ' i l d e v r a i t y a v o i r d a n s l ' A m i g a
Digital Convergence
ments de routine par-ci, par-
3Dfx 2, voilà les arguments
Am iga Inc., filiale de Gateway; l a dit et répété : la carte mère du
là. Pire, elle n'est pas desti­
du PreXBox de Phase d o nt
D igital Convergence ne sera pas celle d'un com patible PC ou d'un
née à la c o n s tru c tio n d'un
un p r o to ty p e d e v ra it être
o rd in a te u r à base de P o w erPC . In té g rée à l'ex trêm e, elle
nouvel ordinateur mais à l'in­
présenté avant la fin de l'an­
s'architecturera autour de la puce M M C (nom de code, on ne
f o r m a t is a t io n ,
née.
ou
p lu tô t
connaît pas encore sa véritable nature), laquelle fera à la fois
office de processeur, de co-processeur graphique, de modem
(ém ulation logicielle) et de contrôleur DVD. Les trois arguments
phares de cette plate-forme seront : connexion à Internet, lecture
de DVD (Rom, vidéo, etc.) et affichage possible en Pal ou Ntsc sur
une sim ple télévision. En ce qui concerne les extensions, les
machines devraient disposer d'un bus style PCI, la présence et le
nom bre des connecteurs p o u van t varie r d'un constructeur à
l'autre. Car oui, l'idée principale reste qu Am iga Inc. ne fabrique
pas lui-même les machines mais en vende juste des brevets. C'est
d'ailleurs cette m ultiplication des constructeurs finaux qui pourra
peut-être g aran tir une version purement inform atique du D igital
Convergence (surtout si Phase 5 se porte candidat). A ce sujet; la
technologie d'Am iga Inc. prévoit l ’adjonction possible d'un second
processeur; de type plus commun celui-là, pour que la m achine
ait une puissance de calcul acceptable.
L'éventuelle station de développement pour OSSdev.
Apple p u bliera-t-il le code
source de MacOS X ?
Apple s'est vu dem ander de
son intégralité, mais essentiel­
fournir gratuitement une partie
lement le noyau Mach du sys­
du code de son futur système,
tèm e et les portions concer­
Mac OS X. L'initiateur de cette
nant le pilotage des périphé­
Le noyau de M ac OS aussi libre que Linux.
idée est Don Yacktman, déve­
riques, que ce soit sur plate­
d em an de a vait été prise en
loppeur de renom , qui voit
forme PowerPC ou Intel. Cette
com pte et qu'elle n'avait pas
dans cette é v e n tu a lité un
dem ande, app rouvée par la
été re je té e , m ais q u 'A p p le
moyen d'empêcher les utilisa­
c o m m u n a u té des d é v e lo p ­
n'avait rien à dire à ce propos
teurs de fuir MacOs pour Linux,
peurs Mac, est parvenue jus­
actuellem ent. Entre les argu­
et également une possibilité de
qu'aux plus hautes instances
ments des développeurs affir­
réduire les coûts de développe­
d'Apple, qui se sont abstenues
m ant qu'une telle ouverture
m ent. C e tte
ne
de tout commentaire. Il a sim­
permettrait aux utilisateurs de
concerne pas le système dans
p le m e n t été précisé que la
dem ande
rester fidèle au Mac, et d'autres
spécialistes persuadés qu'une
te lle m a n iè re de p ro c é d e r
entraînerait de nombreux sur­
coûts, ne serait-ce que pour
regrouper tous les développe­
ments, la firme à la pomme n'a
plus qu'à choisir.
M ac OS X devrait ressembler à Rhapsody.
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JEUX
Des m achines à sous
à base d 'A m ig a !
Si Petro Tyschtschenko, président de la filiale commerciale Amiga
International, n'a plus d'Amiga 4000 dans ses cartons, il ne sait en
revanche plus quoi faire des stocks d'Amiga 1200 qui lui
restent sur les bras (et dont il avait luimême commandé la fabrication mas­
C.A du B.A.B - 39 Rue de Lam ouly - 64600 ANGLET
sive il y a quelques années, à la suite
d'une erreur d’estimation du marché).
INITIV II
Sa dernière trouvaille a été de liquider
à bas prix tout un lot de cartes mères à
la société autrichienne Impera, laquel­
Tow er Infinitiv II
1349 F
Tow er Infinitiv II Bundle,
(alim 200 W + kit clavier
A m iga externe)
1949 F
Kit clavier A 1 200
379 F
A lim entation interne 439 F
C arte Zorro II
1390 F
Carte Zorro III
3189 F
Option slot video pour
carte Zll ou Zlll
419 F
A daptateur PCM C IA 245 F
Sortie externe SCSI 169 F
Q uadrupleur IDE
165 F
Nappe IDE 2.5>2x3.5 125 F
le se spécialise dans la fabrication de
machines à sous maquillées en bornes
d'arcade. Afin de promouvoir un peu
ce produit, notre cher Petro pense
même organiser un grand concours
de programmation du meilleur jeu
de casino. Super excitant. De source
tout à fait officieuse, il paraîtrait que
ce concours ferait en fait partie des
term es du c o n tra t en tre les deux
sociétés : Im pera est très contente
d'avoir des cartes mères pour ses
machines à sous mais elle aimerait
Tel. 05 59 57 20 88
Fax 05 59 57 20 87
H ttp://w w w .SParadise.com
quand même bien pouvoir installer
des
lo g ic ie ls
dessus.
http://www.impera.at/
Le petit rare de Vlmpera.
V ente par correspondance
• Ja v a ra p id e su r R iscPC
PendngmPlkmrM*«V} d
CaffeineMark
3.0
E l
Les résultats.
La machine virtuelle Java d'Acorn
a passé avec succès les tests Caffeine
Mark 3. Le StrongArm 200 donne
un résultat de 180 environ et le
StrongArm 233, de 200.
Considérant que le compilateur
Just lu Time est désactivé, il s'agit
là d ’excellents résultats. La lenteur
de traitement sur les flottants est
compensée par des chiffres
exceptionnels dans le registre des
graphismes... Guère étonnant. Le
record actuel (sans Jit) est détenu
par une Sun Vitrail Mode/ 1200
sous Solaris avec le score de 270.
Depuis, on a reporté des résultats
de Tordre de 360 (Pc Bi- Pentium
Pro sous Linux). On notera que les
résultats de Digital donnent des
chiffres entre 400 et 550 sur
StrongArm 200 avec JavaOs. On
pourra donc s'attendre à des
chiffres équivalents sur le Phoebe.
Caffeine Mark ;
http:llwww.webfayre.com/pendrago
nlcaffeinemark.html
La nouvelle
génération
ARM arrive
Les microprocesseurs ARM et StrongARM se
sont imposé comme étant les puces au
meilleur rapport puissance/consommation.
Un miracle que la concurrence aura encore
plus de m al à renouveler dès la sortie
prochaine de trois nouvelles générations.
D
Intel a d'ailleurs déclaré que l'architecture du
epuis le rachat de Digital, l'avenir des
StrongARM serait modifiée de manière substan­
processeurs StrongARM passe désor­
tielle, dans le but d'atteindre des performances
mais par Intel, propriétaire des usines
doubles de celles de la génération actuelle.
de fabrication et détenteur de la licence Espérons
de
toutefois que la philosophie ARM sera
d é velo p p em e n t. In itialem en t boudé parrespectée,
la
et que le StrongARM 2 s'apparentera
société qui n'y voyait qu'un processeur de plus
plus au SA 110 à 30$, consommant 500mW,
dont elle n'avait pas assuré la conception, le
qu'au Pentium II à plusieurs centaines de dollars
StrongA RM s'est depuis peu im posé à Intel
et consommant plusieurs watts. C'est d'ailleurs
comme le moyen de s'immiscer dans le domai­
dans l'intérêt d'Intel si la compagnie américaine
ne des processeurs embarqués, que le fondeur
veut faire concurrence à Hitachi et Mips sur le
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ne pouvait jusqu'à présent atteindre, faute de
marché des processeurs embarqués.
p ro d u its. La d ivision n o u v e lle m e n t créée,
L 'A R M 10 en f l o t t a n t ?
StrongARM d'Intel, a d'ailleurs formulé plusieurs
La société ARM, de son côté, n'est pas en reste
annonces récentes. La première, au mois de
et continue le développement de sa prochaine
juillet, présentait le futur StrongARM 1500, ini­
génération de cœurs de processeurs, l'ARM 10.
tialem e n t d évelo p p é par D igital et destiné
Comme à son habitude, la société anglaise est
essentiellem ent au m arché de la télévision
très peu bavarde sur le sujet et se contente d'at­
numérique, des modems ou des jeux vidéo. La
tendre l'annonce officielle prévue en octobre.
n o u v e lle
de
Les seules inform ations actuellem ent dispo­
StrongARM 110 et une extension assimilable à
nibles font état d'une possible intégration du
un DSP. Toujours dans le respect de la philoso­
nouveau cœur au sein d'ASIC, ce qui laisse sup­
p u ce
co m b in e ra
un
cœ u r
phie de faible consom m ation, le StrongARM
poser une taille et une consom m ation très
1500 fonctionnera en 2 V avec une fréquence
faibles. D'autre part, au programme de la confé­
de 300 MHz, et consommera moins de 2,5 W.
rence du 15 octobre, figure une présentation
Les trois millions de transistors utilisés seront
du support du calcul en virgule flottante repo­
capables d'effectuer en parallèle un décodage
sant sur la nouvelle architecture de pipeline
MPEG2 en temps réel et du soft-modem.
ARM, malgré une absence jusque-là quasi-totale
Le S tr o n g A R M 2, d eu x fo is plus p u iss a n t
d'une unité de calcul flottant au sein des pro­
Intel travaille également sur la prochaine géné­
cesseurs ARM. Les hautes instances d'ARM ont
ration de processeurs StrongARM, sobrement
affirmé par le passé qu'il n'y avait pas d'intérêt
baptisée StrongARM 2, et prévue dans le cou­
immédiat au support natif de calcul flottant en
rant de l'année prochaine, avec une production
64 bits, car cela s'éloignait de la politique de
de masse en l'an 2000. Les marges bénéficiaires
faible consommation et de petite taille propre à
d'Intel sur le StrongARM sont actuellement très
ARM . Tout laisse donc à penser que YARM10
restreintes, car les contraintes de fabrication
pourrait avoir un support des flottants simple
sont telles que seule l'usine de Hudson achetée
précision, soit 32 bits, comme c'est le cas du
à Digital est capable de les satisfaire. Intel aime­
StrongARM 1500, grâce à son DSP attaché.
rait pouvoir, à la place, utiliser ses propres
R a p p elo n s que
usines déjà bien rodées et surtout am orties
StrongARM constituent le cœur des machines
les processeurs ARM
et
financièrem ent. Ainsi, l'une des optiques de
Psion Sériés 5, Network Computer, SetTop Box
développement de la seconde génération pré­
ou encore RiscPC.
voit de pouvoir, à terme, produire les proces­
seurs dans n’importe quelle usine du groupe.
Alpha à PARIS!!!
Démonstration permanente!
Kit Alpha
Boitier Middle Tour ATX
Carte mère Samsung Alpha 164LX
64M o DIMM
Processeur Alpha 21164 533M Hz
Netscape p o rte ses
serveurs sous Linux
Lorsque Linux n'en était encore qu'à ses débuts, on pouvait déjà
trouver sur le site FTP de Netscape Communications, dans la zone
"unsupported", une version du célèbre navigateur tournant sur la
plupart des Unices libres. Par la suite, la version Linux s'est retrouvé
au côté de son hom ologue pour W indows. Plus récem m ent,
Netscape à décidé de placer la version 5 de Communicator sous
une licence proche de la GPL et en a mis les sources à disposition
(http://www.mozilla.org). Tout ce qui peut aider le développeur à
construire des applications utilisant LDAP (Lightweight Directory
Access Protocol est (RFC 2251), c'est-à-dire la documentation et les
divers SDK, également accessible avec ses sources sur ce même
serveur et sous NPL ( Netscape Public License). Fort des dernières
statistiques (la version de Communicator 4.5 la plus téléchargée est
11.990F TTC!!!
Alpha I64BX SCSI
Boitier Middle Tour ATX
Moniteur 17” Monyka
Clavier 105 Touches PS/2
Lecteur 3” 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164BX2 2Mo cache
128 Mo DIMM
Carte vidéo Matrox Millenium II 8Mo
Contrôleur S C S I Adaptec AHA-2940UW
CD-Rom Pioneer 36X Atapi
Soundblaster Vibra 16
Enceintes 80W
Red Hat Linux pour Alpha installé
celle fonctionnant sous Linux) et de l'essor grandissant de Linux
dans le monde des serveurs et d'Internet, Netscape persiste et
signe en proposant pour le premier trimestre 1999 ses serveurs
Netscape Direcory Server et Netscape Messaging Server pour Linux.
Gageons que le nombre de fournisseurs d'accès à Internet utilisant
P rix T T C
2 D isques V iking II 4,5 G o
2 D isques V iking II 9 ,l G o
2 D isques A tla s III 9 ,l G o
A lp h a 533
28 500
33 600
35 900
A lp h a 600
34 850
39 800
47 150
A lp ha 633
39 500
44 200
5 1 500
Linux ne va cesser de s'accroître avec l'arrivée de ces serveurs qui
ne figurent d'ailleurs que l'avant-garde, puisqu'il est dans les plans
Alpha I64LX2
de la société californienne de porter tous leurs serveurs ou presque
sous Linux. Et ce n'est pas tout : désormais, les applicatifs Netscape
sont en priorité développés pour Windows, Linux et Solaris, puis
Boitier Middle Tour ATX
Moniteur 15” Monyka
Clavier 105 Touches PS/2
Lecteur 3” 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164LX
64M o DIMM
Carte vidéo S3 Virge 4Mo
CD-Rom Pioneer 36X Atapi
Soundblaster Vibra 16
Enceintes 80W
Red Hat Linux pour Alpha installé
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
portés sur d'autres systèmes, ce qui garantit aux linuxiens de ne
jamais être laissés pour compte. Enfin, une version baptisée Trooper
l$P de Netscape Messenging Server sortira par la suite et aura deux
objectifs principaux : imposer IMAP en France
___
(ce n'est pas trop tôt) et supporter la charge
"
de plusieurs milliers d'utilisateurs tout en res­
tant rapide et fiab le. Ce
n'est pas là une mince affai­
re et il y a fort à parier que
d'ici quelques temps, on ne
trouvera plus de fournisseur
d'accès à Internet sérieux
utilisant WindowsNT.
v .iv m
La m achine idéale pour un serveur.
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29 000
29 300
30 000
30 750
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33 900
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• Le n o u v e a u S y n d ic a te
TECHNOLOGIE
ORDINATEUR
est su r R iscPC
En 199 9,
la RAM
passera
à 1 Go !
Une v é rita b le "Imac
M ania"
Le nouvel ordinateur personnel d'Apple, l'Imac, est en passe de
devenir la nouvelle référence de la firme à la pomme. Avec son
design résolument futuriste, et indéniablement plaisant, l'Imac
s'impose en effet contre toute attente comme l'ordinateur person­
Rcomp vient de sortir une version
de Syndicate qui fonctionne sur
toute machine disposant de l'Arm 3
avec S Mo de Ram et 13 Mo sur le
disque dur. Cette version propose
des graphismes haute résolution
(640par 480 en trente-deux mille
couleurs) et des musiques
réorchestrées... Cependant, il
faudra une carte Midi pour en
profiter. Acom Syndicate+ est livré
avec l'extension The American
Revoit au prix de 290 F environ et
propose des textes en français. Le
prochain jeu sur les rails est Quake.
Puis viendra une version d'Abuse
en haute résolution et, plus tard\
d'autres projets, dont un
simulateur de vol.
Rcomp ; http:Hwww.rcomp.co.uk
H ita ch i a a n n o n c é être en
nel de référence sur le marché. D'un point de vue pratique tout
mesure, dès le début de l'an­
d'abord, puisque l'intégration complète de tous les composants de
née prochaine, de fournir une
base dans la machine offre une solution clé en main comme on
technologie autorisant jusqu'à
n'en avait plus trouvé depuis les glorieuses années 80. C'est certai­
1 Go de mémoire sur les ordi­
nement cette caractéristique qui a fait le succès de la machine.
n a te u rs p e rso n n e ls. C e tte
D'un point de vue commercial, les premiers résultats se montrent
prouesse sera obtenue par l'as­
en effet retentissants : dès les premiers jours de distribution aux
semblage de 36 puces de 256
Etats-Unis, les revendeurs officiels d'Apple avaient pour la plupart
m égabits de DRAM , dont la
épuisé intégralement leur stock. Ce succès soudain s'avère béné­
technologie a été très récem­
fique pour Apple, qui refuse toutefois de se prononcer d'emblée
m ent développée. Les puces
pour un avenir uniquement fondé sur l'Imac. Cependant, il est très
seules devraient quant à elles
e n c o u ra g e a n t de v o ir que,
être disponibles sur le marché
d'après les statistiques, 13 % des
dès le mois prochain, à un prix
acheteurs d'Imac viennent de la
initial prohib itif de $2.125,
plate-form e W in te l, et 1 5 %
mais qui devrait rapidem ent
d 'au tre s consom m ateurs ont
baisser au fur et à mesure que
acheté là leur premier ordina­
la p ro d u ctio n au g m en tera,
teur. Autant d'éléments qui lais­
passant de quelques dizaines
Une collection iM ac très colorée.
de milliers d'unités par mois
l'Imac peut répondre aux attentes en matière d'informatique per­
au début, à plus de 500 000 à
sonnelle. Par ailleurs, de nombreux efforts sont faits par tous les
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
sent à penser que le concept de
la fin 1999. Le fameux gigaoc­
acteurs concernés pour rendre l'offre Imac encore plus attractive ;
te t
on ne compte plus les offres promotionnelles proposées, consistant
de
RAM ,
p e rm e tta n t
de
le plus souvent en 32 Mo de RAM offerts. Netopia propose par
m émoire du même ordre de
exemple un service original : baptisé M y Netopia, il offre gratuite­
g ra n d e u r que la taille d'un
ment aux utilisateurs d'Imac, et seulement à eux, un site web de
d isq u e dur, et qui d e v ra it
cinq pages et une adresse E-mail avec des outils autorisant une
d 'a v o ir
une
q u a n tité
décupler les possibilités de cer­
personnalisatio n et une m ain ten an ce extrêm em ent simple.
taines ap p licatio n s lourdes,
Toutefois, comme tout n'est jamais parfait, quelques problèmes
sera bien évidemment réservé
ont été recensés avec ce petit dernier d'Apple. Le plus gênant vient
les p rem iers te m p s à une
de l'absence de ports d'extension autres que le port Usb, ce qui
"élite", financière du moins,
oblige à avoir recours à de nombreux adaptateurs pour profiter de
car les prix a n n o n c é s par
périphériques non Usb, tels les scanners ou les imprimantes. C'est
Hitachi atteignent les $6000.
d'ailleurs avec celles-ci que certains utilisateurs ont eu le plus de
Toutefois, ceci ne devrait pas
soucis, la connexion Usb engendrant l'impression de caractères
manquer de tirer vers le haut
étranges ou de zones blanches. Le modem interne à 56 kb semble
la mémoire standard des ordi­
également source de problèmes, certains utilisateurs étant préma­
n a te u rs
turément déconnectés ou incapables
p e rs o n n e ls,
qui
devrait passer rapidem ent à
d 'u tilise r le m odem à plus de
64 Mo, puis, éventuellement,
33,6 kb. Le modem se trou­
à 128 Mo.
van t à la récente norm e
v90, encore peu présen­
te, gageons que ces
problèmes disparaî­
tront à mesure que
les fournisseurs d'ac­
cès l'adopteront, et
qu e
le
su ccès
de
l'Im ac n'en souffrira
que très peu.
Les barettes de 256 Mo, bientôt un standard.
Le véritable iM ac.
• Le s ite FT P N°1
p o u r R iscPC
Solaris d evie n t
g ra tu it !
Ve
HENSA™ icros
Le succès de Linux fait des envieux. De plus en
plus, le logiciel libre est la coqueluche des utilisa­
teurs avertis, et certains constructeurs commen­
cent à en ressentir les effets. En tête de liste, le
Q
géant Sun, initiateur de Java, a décidé de rendre
gratuit son système Unix Solaris à tout dévelop­
peur et utilisateur sans buts commerciaux. Ainsi,
Q
Q
CD
Q
o
~5 5
O
g
’g
g
g
O
Si Q
O
CD
□
*
Le fameux Openlook de Solaris.
pour le seul prix du support et des frais d'envoi,
toute personne n'ayant pas l'intention de faire
sens où elle donne accès à toutes les ressources
de profits peut disposer de l'une des références
développeurs, que ce soit par le biais d'une
en matière d'Unix, que ce soit sur plate-forme
lettre d'information ou par un site web dédié.
Sparc ou Intel. L'objectif de Sun est d'encoura­
Toutefois, dans l'éventualité de la commerciali­
ger le développement d'applications freewares
sation d'un logiciel développ é grâce à cette
pour son système, permettant ainsi d'accroître
licence gratuite, il faudra se munir de la véritable
l'attrait de Solaris, tout en s'efforçant de le faire
licence, payante quant à elle. Les copies de
connaître du plus grand nombre. Sun s'appuie
Solaris peuvent être dem andées sur les sites
principalement sur l'intégration de Java dans son
http://www.sun.com/developers pour les déve­
système pour pousser les développeurs à s'orien­
loppeurs, et http://www.sun.com /edu/solaris
ter vers Solaris. Pour ceux-ci d'ailleurs, la licence
pour les étudiants, éducateurs ou autres cher­
gratuite est identique à une licence classique au
cheurs.
L fH ensa, le site Ftp numéro 1 pour
les machines sous Risc Os, a enfin
été remis à jour. A cause de
nombreux travaux, celui-ci se
trouvait quasiment fermé. La
nouvelle interface permet de trouver
plus facilement le logiciel recherché.
En parlant de softs, Risc Os
devient de plus en plus proche des
Unices pour ce qui est de ses
applicatifs ; dentier en date, Vim,
une version rapidement adaptée du
(tristement P) célèbre éditeur de
textes, constamment améliorée
depuis.
H ensa : http:llmicros.hensa.ac.uk
Vint :
http:llwww.ecs.soton.ac.uk/~tal197
PROCES
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
La fa b ric a tio n d 'A m ig a
l'industrie du cinéma en général, et celle des effets spéciaux en par­
ticulier. On aurait certes pu espérer qu'Amiga Inc., le détenteur
4 0 0 0 in te rd ite
officiel des brevets de YAmiga 4000, fasse un geste. Hélas, celui-ci
s'est contenté d'un commentaire accablant : "La situation est regret­
L'inventaire des constructeurs de machines Amiga est assez com­
table mais nous ne pouvons avoir aucun contrôle dessus. Si cela peut
plexe : il y a Amiga Inc. qui se borne à ne rien construire ("pour
rassurer le public, sachez que nous sortirons, de notre côté, une nou­
l'instant"), Access Innovation qui produit des prototypes de cartes
velle machine Amiga d'ici à deux ans". Mark Stross, directeur de la
mères qui ne sont pas encore sur le marché, Dce qui "devrait"
société américaine Playable Télévision, se sent, lui, autrement plus
fabriquer de nouveaux clones, Micronik qui re-carrosse juste les
impliqué : "Nous étions sur le point de sortir un Set-top Box à base
anciens modèles et... QuikPak qui est le seul constructeur officiel !
d'Amiga d'ici à quelques semaines. Tous les contrats de distribution
En effet, mandaté par Escom il y a de cela trois ans, l'américain
étaient signés, toutes les publicités déjà passées. Si nous n'avons pas
QuikPak était chargé de fabriquer des cartes mères d'Amiga 4000T
de cartes mères, il va falloir que nous nous tournions rapidement - et
pour la marque. La situation finan cière d'Escom chancelant,
définitivement - vers une technologie Intel. Je ne
Quikpak a petit à petit m odifié son offre pour proposer des
comprend pas pourquoi Amiga Inc. n'intervient
machines complètes. D'abord sur le seul territoire américain, puis
pas". Et Jim Davis, gérant de DVS Direct (l'un
dans le monde entier, au moment où Escom a fermé ses portes.
des plus gros distributeurs de la marque
C'est justement cette expansion un petit peu trop opportuniste
Amiga aux USA), de rajouter : "si la situation
que lui reproche actuellement le liquidateur judiciaire d'Escom
n'évolue pas très rapidement, je vois mal com­
(l'avocat Bernhard Hembach). L'affaire a été portée devant les tri­
m ent nous allons
bunaux américains et un jugem ent tem poraire a été rendu :
pouvoir promouvoir
QuickPak ne peut plus produire d'Amiga 4000. Par-delà la satisfac­
TAmiga auprès du
tion égoïste de quelques hommes de loi allemands, la situation
grand public".
internationale est critique : les distributeurs spécialisés n'ont plus
rien à v e n d re , d 'a u ta n t qu e
l'Amiga 4000 était une machine
qui s'écoulait bien plus facile­
m e n t qu e le
1200. Pire, le
constructeur New Tek ne peut
même plus fournir de stations
Video Toaster Flyer (stations gra­
phiques et vidéos à base d'Amiga
L'Am iga 4000T.
4000) à son plus gros client :
L„
industrie
Les grandes entreprises
adoptent Linux
pour une base de données qui
offre les caractéristiques et les
bénéfices d'InterBase. Linux est
connu parce q u "il est un OS
fiable et solide ; InterBase parta­
ge ces qualités. C'est ce qui fait
d'InterBase la parfaite base de
Alors que le tout nouveau, tout beau, Windows98 se voit exposé sur
tous les rayons des supermarchés pour satisfaire les attentes du
particulier, le phénomène Linux se répercute sur les grandes entreprises.
données pour Linux" proclament
les dirigeants d'InterBase. La
so ciété a par ailleurs déjà
a n n o n cé
la
d isp o n ib ilité
d 'InterBase 5 pour Linux.
D'autres compagnies
L
inux a déjà prouvé grâce
MHz qui permet la liaison avec
la société françai­
à de nombreux exploits
la machine distante. Ce projet,
se, "Linux a été
son efficacité et sa per­
encore petit mais honorable
choisi pour son
fo rm a n ce . U ne seule pièce
g râ ce à l'a p p o r t du
M IT ,
excellent rap­
O r a c le
m a n q u a it c e p e n d a n t à ce
amène Linux vers de nouveaux
port coût/per­
Informix tien­
magnifique tableau : sa recon­
horizons.
formance. Le
nent com pte
naissance du côté des grandes
France T é lé c o m est
coût du p arc
de l'existence
entreprises. C'est maintenant
conquis
chose acq u ise pu isq u e, de
En
F ra n ce,
ne tard en t déjà
pas à suivre cet
exemple.
de Linux et le
s e r v e u r est
c 'e s t
Fran ce
et
de 7 m illion de
prouvent en por­
France T éléco m au M IT en
Télécom qui gratifie le phéno­
francs, chiffre qui
passant par O racle, les plus
mène Linux en lui confiant son
est à com p arer avec
g ran d e s so ciétés se m b len t
nouveau service concurrent de
celui d'un service équivalent
re jo ig n en t do n c C om p uter
avoir pris conscience de l'im ­
Yahoo France et d é n o m m é
comme A ltavista (estim ation
Associates, So ftw a re AG et
tant leurs logiciels
phares sous Linux. Elles
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
p o rta n ce et des n om b reux
Voilà. Voilà délivre un moteur
100 millions de francs)". Via ce
InterBase dans le but de porter
avantages de cet Unix libre.
de re c h e rc h e fra n c o p h o n e
projet et cette alliance, Linux
leur SGBD. Oracle 8 est donc
Orca-1, par exem ple, est la
indexant 5 millions de docu­
et France Télécom prouvent
p révu po ur Linux en mars
preuve même de la technicité
ments, les Pages Blanches et
tout le sérieux sur lequel les
1999 et le SGBD Ingres II de
liée à la performance de Linux.
jaunes, des inform ations de
grandes firmes peuvent s'ap­
C o m p u te r Associates pour
Résultat primé à la première
l'AFP et un annuaire illustré
pu yer. Et en co n séq u en ce ,
septembre. Nombreuses sont
p lace
des rues commerçantes (plus
font disparaître pour de bon
les entreprises qui se dirigent
U n d e rw a te r
de 350 000 photos de Paris).
les craintes souvent associées à
m aintenant vers cette solu­
Vehicle Compétition, l'Orco-7
Pour assurer ce service, France
cet Unix libre.
tion. Cela s'explique soit par
du M IT est un sous-m arin
Télécom se sert de 14 serveurs
P o rta g e des plus gros
l'intérêt que tout le monde lui
contrôlé par ordinateur dont
Intel bi-Pentium II à 300 MHz
o u tils
porte en vue de perdre de la
le système d'exploitation n'est
(256 Mo de Ram et 1 3 Go de
En ce qui concerne les por­
c o n c u rre n c e , soit par les
a u tre qu e Linux. L 'Orca-1
disque dur par serveur). Le
tages de logiciels, InterBase
remèdes qu'elle apporte face
mesure en viro n 1,5 m ètre,
système d'exploitation utilisé
Software Corporation (filiale
aux problèmes rencontrés par
possède une vitesse de 3 à 4
est Linux en version Redhat 5.7
d'Inprise Corporation) montre
ses concurrents. Environ 6 mil­
km/h, une poussée de 15 kg
et le serveur HTTP n'est autre
la voie en délivrant sur le mar­
lions d 'o rd in a te u rs dans le
et une émission radio à 900
qu’Apache. Selon les dires de
ch é une versio n fre e w a re
monde tournent sous Linux, et
de
l'In te r n a tio n a l
A u to n o m o u s
d 'In te rB a se 4.2 pour Linux.
le nombre d'utilisateurs croît
"L'incroyable demande durant
de 20 %
notre récente offre (freew are)
Linux a déjà prouvé auprès de
concernant InterBase 4.2 illustre
son public ses performances, il
le désir de la communauté Linux
lui reste e n co re de n o m ­
par an. M êm e si
breuses
firm es
à
convaincre et plus parti­
culièrem ent le monde
p ro fessio n n el
dans
lequel il pourrait à sa
juste valeur concurren­
cer ses aînés Unix et
Windows. Linux serait-il
sur le point de perdre sa
vertu de système "alter­
Linux dans un sous-marin du MiT.
Le Président de France Télécom.
natif” ?
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La société Total Impact vient de présenter une carte PCI, la Total
Power G3, pouvant contenir jusqu'à quatre processeurs PowerPC
750 (G3) à 366 MHz en parallèle avec un cache de 1 Mo pour cha­
cun d'eux. Les premiers tests semblent prouver que cette carte
donne effectivement l'illusion d'un seul processeur fonctionnant à
1,2
GHz. Pourobtenirdes performances optimales, la Total Power
G3
utilise sa propre RAM(512 Mo de SDRam) plutôt que celle de la
carte mère. Se substituant au processeur principal, cette carte
(10.000 F environ) s'insère dans tout type d'ordinateur dont le systè­
me fonctionne sur PowerPC et dont les connecteurs d'extension sont
à la norme PCI (32 ou 64 bits). Pour l'heure, seuls les PowerMac
seront à même d'en profiter, mais la chose devrait être compatible
avec le futur PreXBox de Phase 5. Avantage suprême, Total Impact
présente également un boîtier externe, le PowerBox, pouvant conte­
nir dix cartes Total Power G3 en
parallèle, soit une vitesse de 12
GHz répartie entre 40 proces­
seurs ! Ça ne vous suffit toujours
pas ? Eh bien oui, il est égale­
m ent possible de m ettre plu­
Produits A té o
sieurs boîtiers PowerBox en paral­
Branchez 4 pé rip h é riq u e s IDC
lèle sur la même machine !
Le boîtier Powerbox.
http://www.totalimpact.com/
I Atéo IDE mux complêl A1200 /A4000
249/199
[Carte soûle, sans nappes A1200 / A4000 . . 95/70
Interface p o u r Clavier PC
»
V id é o
Picasso IV (4Mo, Zll/llll scandoubleur 100Hz) . 279C
- Module audio 1ôbits pour Picasso IV
Module de sortie PAL (Pablo IV ).....
BVisionPPC 4Mo (pour Blizzard PPC) . ...... 16$
CyborVisionPPC 8Mo (pour Cyberstorm)
219C
Digitaliscur 24bits temps réel - FG24............. 11!
Moniteur SMILE 14" (pitch 0.28) .................. 129C
Moniteur SMILE 15 ' (pitch 0.28, 30 - 70KHz)... 16S
Moniteur SMILE 17" (pitch 0.28, 1280 x 1024) 2S
Moniteur SMILE 17’ (avec Haut-Parleurs)
3(
Genlocks (interne/exteme). Cartes R V B ........ N.C *
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
TECHNOLOGIE
L 'o rd in a te u r
de Frankenstein
Des étudiants en formation dans les laboratoires d'ingénieurs de
Hewlett-Packard (à Palo Alto) viennent de mettre au point un ordi­
nateur pour le moins original : entièrement constitué d'un énorme
tas de vielles puces défectueuses, il dispose d'un dispositif dit de
redondance pour faire calculer tous ses composants en parallèle et
obtenir des résultats justes malgré leurs multiples défauts. Résultat :
la machine expérimentale, nommée Teramac, tourne 100 fois plus
rapidement que la plus grosse des stations HP.... à quelques restric­
tions près. En tout premier lieu, le Teramac aura nécessité une
semaine entière pour identifier tous les défauts existants de ses cir­
cuits ; d'autre part, il faut obligatoirement que 7 % de ses compo­
sants soient parfaits pour réaliser un tel auto-test. Le but de cette
expérience est purement économique : à l'avenir, produire des com­
posants toujours plus minuscules demandera de passer par des
usines qui vaudront plus de 10 milliards de dol­
lars chacune. Tout simplement parce que plus
t
0
un composant est minuscule, plus il y a de
déchets dans la chaîne de fabrication. Or,
nos ordinateurs d'aujourd'hui ne sup­
portent que des composants par­
faits ; les autres partent à la pou­
belle. Le Teramac, lui, prouve
que l'on peut se contenter de
puces qui partent habituelleK
ment à la poubelle.
K
,„
Pour A1200 monté en boîtier tower...................349
*our A2/3/4000 (modèle externe)..................... 399
îlavicr PC 105 touches (E T C )
...........
92
f Mise à jour ROM interface clavier PC (Ver 2.1) . 100
Boîtiers Atéo TOWER * A ccessoires
interface clavier PC + clavier + doc montage). 1090
.Boîtier Grand Tower A4QQQ (alimentation 230W +
[nappes + doc montage)
..........
.. 1290
Carte grap hi_que_Pixef64 + AtéoB us (_4s(otsj J 9 9 0
Cartes SCSI. IDE pour AtéoBus................. Bientôt
Cartes multi-parallèle/sène pour AtôoBus
N.C.
Carte Ethernet pour AtéoBus......................
N.C.
Carte Audio 16bits pour AtéoBus................. Bientôt
Scandoubleur....................................
Bientôt
Kit d'adaptation AtéoBus -> Tours Micromk . .. N.C.
,Kit branchement module SCSI dans Towers
290
Adaptateur universel pour les L E D .................... 49
Adaptateur de périphériques 3.5" vers 5'1/4........49
Lecteurs de disquettes
| DD tnt. A500. A6/1200, A2400Q . .. 250. 230. 210
.....................
450
t DD externe tout Amiga
lHD interne pour CalWeasol (SONY) .............. 175
P é rip h é riq u e s
Périphériques IDE ATAPI
juc Dur 3.2 Go Ultra-DMA....................... 1290
-ROM 32x interne + prise casque................ 590
[Tiroir cxtractiblc pour disque dur ID E ................ 150
L
Périphériques SCSI
jfosque Dur Fasl SCSI3 2.4 Go. Seagate
2390
|CD-ROM 8x12x interne (Sony), silencieux1
1190
Cartouche pour lecteur ZIP ................
100
[Surf Squircl (SCSI + Série sur port PCMCIA) ... 690
/ Graveur 2x6x (E+L) RICOH CD-RW 6200S.... 3390
^ Soft pour graveur “Makc CD V3.1*.................. 395
Scanner A4, 600x600, 24 bits / Soft
1490 200
| Boîtiers ext avec ventillatcur (1/2 baies).......... N.C.
Les C ab le s
..»vy
*9
:V
,,
Vos vieux composants
.
peuvent re-servir.
R allonge 3 .5"M ale vers 2x3.5*----
-... ........89
Cable 2.5 ' vers 3.5" (approx. 30 cm )
...........69
Cable 2.5" vers 2.5" et 3 5" (approx. 30 c m )
89
)oublcurs d'alimentations
..........................25
Jappe IDE 2 / 3 connecteurs
30 / 50
Nappe SCSI 2 /4/8 connecteurs ...... 50 H 3 0 /180
Cable SCSI avec centronic 50 p is ..................... 120
Cable centronic 50pts vers SUB-D 25pts
150
Terminaison passive SCSI centronic SOpts
99
Adaptateur clavier DIN 5 vers Mini-DIN 6
........40
iaptatcur SUB-D 9pts M vers SUB-D 25pts F ... 39
Pour Am iga 600
Apollo 630 / 68030 à 33 Mhz + Coprocesseur . 79Î
A polio 630 / 68030 à 50 Mhz........................ 11!
P our Am iga 1200
Apollo 1240 / 40 à 25MHz ou 40MHz ... 1390 ; 199C
Apollo 1260 / 60 à 50MHz ou 66M Hz ... 2990 / 34$
Module SCSI II pour Blizzard ou Apollo............ 5£
Blizzard 603e à 160MHz ♦68040 à 25MHz ... 259C
Blizzard 603c à 240MHz ♦ 68040 à 25MHz .... 379C
Blizzard 603e à 160MHz * 68060 à 50MHz .... 4990
Blizzard 603e à 240MHz + 68060 à 50MHz
589(
Blizzard 603e+ à 240MHz ♦68060 à 50MHz ... 65?
Pour Am iga 2000
Apollo 2030 / 68030 50 MHz t» Copro + SCSI .179
Apollo 2040 / 68040 à 40 MHz + S C S I
25$
Apollo 2060 / 68060 à 50 MHz * SCSI
...... 3$
P our A m ig a 3 0 0 0 et 400 0
Apollo 4040/68040 à 40 Mhz - SCSI II ... . 24$
Apollo 4060 /68060 à 50 Mhz + SCSI I I
38$
Cyberstorm MKIII / 68060 50Mhz + FW SCSI . 48$
Cyberstom 604e/180MHz + 68040 25MHz .... 519®
Cyberslom 604e/180MHz + 68060 50MHz .... 689C
Cyberstom 604e/233MHz + 68040 25MHz......64901
Cyberstom 604e/233MHz ♦ 68060 50MHz . . 8290|
M a is Aussi...
Carte Ethernet Ariadne (Envoy & Termite) ...... 15$
Carie Buddha (de l'IDE pour A2/3/4000).......... 3$
CalWeasel MK2 (contrôleur de d7 H D )............. 52C
CatWcascl Zll III (Buddha-CatWcascl)............ 7£
Digitaliser Audio 8 bits (fantastique!)............... 19C
Souris 600 DPI 3 b ou tons W IZZARD ________
951
Mémoires EDO 60ns. 4. 8, 16, 32 et 64 M o
N.C
Mémoires Fast Page Mode 60ns, 16 & 32Mo .... N C \
Modem Sportser Flash 33.6K + Kit Internet..... 139C
Jeux NE MAC IV sur CD-Rom...........................190 '
Ammct, A. Format, AGA Expérience, e tc ......... N.C.
Système 3.1 complêt pour A5/2000 ..........
53$
Systèmo 3.1 complôl pour A12/3000 ............. 65C
Système 3.1 complêl pour A4000 ................... 62Ç
Montage A1200 on boîtier tower
............ 12(;
Logiciels et icux d.'oççasions
,
--NJ
SERVEURS
• SLD c h a n g e d 'a d re s s e
SL Diffusion, revendeur Amiga
initialement sur Strasbourg, nous
signale qu 'il change d'adresse et se
trouve désormais à Schiltigheim
(67). Néanmoins, ses numéros de
téléphone et de fax restent les
mêmes. Rappelons que SL
Diffusion propose toutes les
nouveautés du moment en
provenance de Phase 5 (cartes
PowerUp et cartes graphiques),
Micronik (Amiga en bottiers tour)
et Ematrix. Par ailleurs, SL
Diffusion dispose de la dernière
version de Scanquix 4 pour les
scanners Artec 6000C Plus.
A u ro ra, une aube nouvelle
p o u r W a rp Server
IBM a annoncé officiellement
software choice d 'IB M ) puis
d'AIX. Ce système nettement
la sortie d'Aurora (alias Warp
téléchargement de correctifs et
plus performant permettra une
Server 5.0) pour le premier tri­
de n o u v e au x m o d u les sur
récupération bien plus rapide
mestre 1999. Pour résumer les
Internet. Finalement, c'est bien
puisque fondée sur une archi­
épisodes précédents, le bruit a
un nouveau produit qui sortira
tecture transactionnelle (un
lo n g te m p s couru que cette
des laboratoires de Big Blue. La
journal garde trace de toutes
nouvelle m outure ne verrait
principale nouveauté consiste
les écritures sur les disques) en
jamais le jour, puis il a long­
en un renouvellement du sys­
cas de crash du serveur. L'OS
temps été question de mises à
tème de fichiers. Le HPFS est
héritera de l'interface de Warp
jour de W arp Server 4.0 par
ab an d o n n é au profit du JFS
4 avec certaines améliorations
abonnem ent à un service (le
(jounaled File System), hérité
non encore détaillées, et per­
• E u rê k a 9 8
Du 13 au 1 7 septembre 1998 aura
lieu au CNIT de Paris La Défense
la Rencontre Eurêka 98 organisée
par Decus et Compaq. La
manifestation rassemble les
utilisateurs européens de Stations
DEC. Même si la plate-forme reste
ouverte à de multiples OS, on
notera parmi les 35 conférences et
ateliers organisés, trois
interventions dédiées à Linux : "Le
système Linux "présentépar John
"maddog" Hall, président de Linux
International, "L'administration
de systèmes Linux"par Bryan
Andregg de Red Hat Software et
enfin "L'utilisation de Linux" par
Christophe Le CanneUier.
Renseignements :
hrtp f/www.eureka 98. corn/
mettra de fédérer com plète­
ment un environnement hété­
rogène : administration de ser­
jg
H om epage-Icon V iew
veur NT, récupération d'applis
fcf ù n d ù ù ù
bee*
J
i
M k n / l ’n te rr
kh» r
Win32 pour les servir à d'autres
J* cb
clients, récupération d'unités
_ j c h ris - Icon View
m
-k
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^
^
N FS p o u r les p a rta g e r en
^
w » « i ! mw bec* g* bett-mumgthtml bKie-ribbcngit bl_berglt bultt-hclegit builetgg chrugif
copyright html cmdHt html cmeig gg
^
jz
^
g* oxavm tgit tw v a iM n l torwenggg txiagcgit green-nbbongg
m
^
11
NetBIOS, etc.
Un p ro gram m e de Beta est
ouvert ; on peut s'y inscrire à
t
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
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a
«ilwebgg
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ma
pMutnpgU
-à
pUelnghlgg PT1.QIF Serrer raon-newhtml
a
thH-mey-upgrt
l'adresse suivante :
http://www.software.ibm.com
/os/warp/aurora/index.html.
En revanche, aucune annonce
n'a été faite pour le successeur
du client 05/2 Warp 4.0 et si
les bruits se confirment, il ne
W arp Server 5, le retour..
devrait jamais voir le jour.
MICRO-ORDINATEUR
Dsp 5 6 3 0 1 , la p o tio n m ag iq u e
des prochains A ta ri
L'évolution des micros Atari va
tout l'intégration de ce dernier
bientôt connaître un sérieux
composant sur la future carte
et atteignait 16 MIPS avec des
bond en avant grâce aux der­
mère du Phénix qui fait la fier­
taux de transfert vers la RAM
du Falcon tournait à 32 MHz
niers résultats technologiques
té de Centek. En effet, depuis
de 48 Mo/s. Pour l'heure, si de
du co n stru cte u r C entek. Le
l'apparition du Falcon, les ordi­
tels résultats se montrent déjà
développement de sa nouvelle
n ateu rs A tari so nt à m êm e
satisfaisants, Centek expéri­
plate-forme Phénix (destinée à
d'utiliser la puissance d'un DSP
mente tout de même une ver­
re p re n d re le fla m b e a u des
po ur é p a u le r le p ro cesseu r
sion à 100 MHz.
m a c h in e s
de
dans ses calculs. Et quelle puis­
gam m e) avance à grand pas
A tari
haut
sance ! Le prototype de Centek
avec, to u t d e rn ièrem e n t, la
fait tourner le DSP à 80 MHz,
validation de la partie sonore.
ce qui d o n n e des p e rfo r­
En l'occurrence, il s'agira d'un
mances de l'ordre de 80 MIPS
c o m p o s a n t C o d é e 20 bits
(m illio n s d 'in s tru c tio n s par
(44.1 et 48 KHz) épaulé par un
seconde) et des taux de trans­
DSP 56301 de Motorola. Plus
fert avec la RAM de 240 Mo/s.
que l'aspect sonore, c'est sur­
A titre de comparaison, le DSP
itüiüC
■•*'
#•■
:: :
: ....
;...........
m tr
~
fl»
A**"
;•
W
;’
•
...... / . N ’/ l i r
DSP56301 ..
P H E N IX 040
Le prototype de Centek.
• Pios c h a n g e d e n o m e t
PUCE GRAPHIQUE
d 'a c tiv ité
Deja le
Perm edia 3
Fausse A lpha, v é rita b le
A m ig a
Alors que l'allemand Phase 5
Le co n stru cteu r can ad ien Random ize vien t de présenter le
vient de mettre sur le marché
Genesis Alpha. Sous ce nom évocateur, se cache en réalité un
de nouvelles cartes graphiques
nouveau compatible Amiga. Habillé dans un boîtier grande tour,
3D à base de p ro cesseu r
le Genesis Alpha est consistué d'une carte mère A1200, d'une
Perm edia 2 pour A m iga et
carte processeur 68060/50 MHz plus PPC 603e/240 MHz (68060
Power Macintosh, le construc­
tout seul dans la version de base), d'un contrôleur SCSI et d'un
teur 3D Labs présente déjà la
clavier Windows 95. Cocorico, c'est le standard du français Atéo
n o u velle g é n é ra tio n de sa
C o n cep t qui a été adopté pour les connecteurs d'extension
puce graphique, le Permedia 3.
(norme AtéoBus, un hybride du format ISA) et la carte graphique
Celui-ci intégrera un co-pro-
24 bits (une Pixel 64).
cesseur 2D, un m odule 3D
3 x 5.25" Drive Bays
5 x 3.5" Drive Bays
complexe et des fonctions de
gestion vidéo en temps réel.
En termes de performances, la
puce permettra l'affichage de
250 Watt PSU
Zip Drive
(o p tio n al)
250 millions de texels (poly­
gones avec texture déformée
PC/Amiga Compatible^
keyboard Interface S
High Density
Floppy Drive
» Hard Drive
Active LEDs
24 Bit
Graphics Board
Voici un moment que l'on
n 'entendait plus parler de Pios, ce
constructeur allemand dont le
personnel est composé', entre autres,
d'anciens de Commodore (Dave
Haynie, Peter Kittel...) et qui
devait révolutionner la planète
avec un successeur de / Amiga,
répondant sur le papier au doux
nom de Pios One. Eh bien, Pios a
maintenant changé de nom (il
s'appelle désonnais Met®box) et
d'activité : il fabrique depuis peu
des décodeurs Internet à partir de
cartes mères de PC. Dave Haynie
s'explique sur le sujet : "On a besoin
de survivre. Jusqu 'à présent, on
faisait dans le clone Macintosh,
mais depuis qu 'Apple en a interdit
la fabrication, ilfallait bien qu'on
se retourne. Le Pios One ? On l'a
un peu mis de côtépour l'instant
parce que le prototype n 'est toujours
pas terminé et que nous n 'avons
pas du tout de système
d'exploitation pour lui. Au début,
on pensait lefaire tourner sous
MacOS, mais bon, ce n 'est du coup
plus possible. On n 'exclut pas de
retravailler dessus bientôt, dès
qu’on sera rentré dans nos fonds".
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
^ Hardware
Reset
Un sosie très cosi.
EXTENSION
La technologie de 3D Labs.
suivant la p e rsp e ctive) par
Une nouvelle A riad n e
seconde, pourra exploiter 16
Mo de m ém o ire v id é o et
atteindra des résolutions 24
bits (16 millions de couleurs)
-j| Ariadne II
Prototype
de 1280x1204 à 137 Hz et
1920x1080 à 90 Hz. En ce qui
concerne la vidéo, le Permedia
3 offre des fonctions "d'aide à
la décom pression Mpeg-2",
ainsi que des possibilités de
changer l'échelle d'une image
ou de lui appliquer des filtres
Le prototype de la nouvelle Ariadne.
en temps réel. Construit en
technologie 0,25 micron, le
Le constructeur allemand Village Tronic vient d’annoncer une nou­
Perm edia 3 sera d isp onib le
velle version de sa fameuse carte Ethernet pour Amiga. L'Ariadne II
d'ici à la fin de l'année au prix
est compatible Zorro-ll/lll, autorise des taux de transfert de 10
unitaire de 300 francs environ.
Mbit, offre des connecteurs TP et BNC, dispose d'une Rom flashable et permet même à un Amiga sans disque dur de booter à
partir d'un serveur sur le réseau. En revanche, elle ne propose plus
de connecteur parallèle supplémentaire. La véritable nouveauté
vient en fait du prix : environ 700 francs.
• Les n o u v e a u x P o w e rP C
d e M o to r o la
Motorola vient de présenter sa
nouvelle version des processeurs
PowerPC 750 (G3). Les
innovations sont de deux ordres ; la
vitesse tout d'abord\ puisque le
PPC 750 monte désormais à 366
MHz, ce qui lui permet d'obtenir
des performances un poil
supérieures à celles d'un PentiumII à 400 MHz en termes de calcul
flottants et près de deux fois
meilleures en ce qui concerne les
calculs sur les entiers. L'autre
nouveauté vient de la
consommation électrique : 1,9 volts
et 3,5 watts. Résultats
impressionnants que l'on
comparera à ceux des processeurs
Intel dédiés aux ordinateurs
portables (donc censés avoir la
consommation la plus économique) :
3,3 volts et 7,3 watts...
H arm ony, vers un bureau standard
sous Linux ?
.
En in fo rm atiq u e co m m e en
confection, on a souvent affai­
re à des modes. Ce n'est un
secret pour personne, il ne se
passe pas un mois sans qu'un
n o u veau w in d o w m anager,
une distribution inconnue, ou
un toolkit inédit ne fasse son
a p p aritio n (a ve c bien sûr à
I hfBmpui0*vtc*>
chaque fois de nouvelles fonc­
tio n n a lité s e sse n tielles qui
manquaient aux précédents).
Chang* lo Datais* 1
Chang» M D*»aio* 2
Chang* 10 D*aaJop J
Cnang* lo Dtwto* 4
Chang* lo D*«»lo* 9
Cn*ng* lo D*»»lo* t
enang* lo D*»llo* »
Ch*ng* to D*iUop •
Activai* wmoow
Op*n n*wwanoow
Ci»** Win»»*
«ami*
Window th*»* u*
window tnaa* Down
Window icondy
Window Dtlconify
Wirjow
wmoowUnMwuwi*
(non*)
F*n*l* üiMtmg wav
Ma* And »*»W (baMng wav
MO* Q'Mtng wav
Op*'*INwlv
chang*,d»tato* w*v
•itorwav
Mlw*v
icondvwav
iMomakonwiv
invo»*_logoûtwav
logoulwa.
MKMW
namni* wav
lunag* wtv
■anwav
■•■loi*wiv
»*v*wav
_»J
H arm ony constitue donc un
nouveau toolkit pour Linux/Unix;
c'est-à-dire une librairie d'ob­
jets g ra p h iq u e s. M ais il ne
$
s'agit pas là d'un toolkit de
i
11
A *
ES
Pour remédier aux heurts de bureau.
plus dont la principale nou­
• Le p ro c h a in P a lm P ilo t
veauté consisterait à pouvoir
e n n o v e m b re
afficher des fleurs roses dans
encore, KDE et Gnome repré­
avantage indéniable (inutile de
les ascenseurs. En effet, ce pro­
sentent deux projets de desk­
préciser que Harmony se trouve,
Encore connue sous le nom de code
Razor, la prochaine version du
PalmPilot sera dévoilée en
novembre. Encore plus petit et
moins épais, il disposera de 4. Mo
de RAM, de 3 Mo de ROM
flashable et d'un écran couleur, le
tout pour moins de 3000francs.
Par ailleurs, il sera capable de se
connecter à Internet par
l'intermédiaire d'un simple
téléphone cellulaire.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
£/!•
EAU
d
□a
Fÿjdtt
M»” *8*
ï'« w
jet pourrait bien à terme régler
top concurrents/com plém en­
lui, sous GPL), mais le nouveau-
de nombreux problèmes diplo­
taires (rayez la mention inutile)
né apporte déjà son lot d'amé­
matiques et par-là même dimi­
pour X. Parmi les sujets de pré­
liorations. Effectivem ent, on
nuer fortement le trafic sur les
dilection abordés par les belli­
trouvera au menu les thèmes à
groupes de news ou les listes
gérants, un thème particulier
la Enlightenm ent qui permet­
de discussion Linux. Quel rap­
revient souvent : KDE à besoin
tront à votre bureau d'avoir un
port ? C'est très simple : depuis
pour fonctionner du toolkit Qf
look cohérent même en utili­
que KDE et Gnom e gagnent
développé par la société Troll
sant conjointement des applica­
en popularité, les discussions
Tech. Le problème est simple :
tions G n o m e et Kde (des
stériles (ou non ) vo n t bon
bien que fourni avec ses sources
thèmes Ctk et Windows existent
train. Rappelons tout d'abord
et téléchargeable gratuitement,
d'ores et déjà) ainsi qu'un sup­
pour les quelques habitants de
Qt n'est pas libre (il demeure
port pour les applications multi-
Sibérie qui ne le savent pas
par exemple impossible de dif­
threadées. Contrairement à Qt,
fuser des versions pat-
Harmony ne sera PAS porté sous
tj»lp
a
f Stnati
loanaCMoian
fi* RTQ
Mon Api 27 16 8)04 11»
B»ind Joh*nn»j Wu*t)B*n
B»ind Johtnnta Wu*B6*n
lowi» Cnitoitn
(««ling agina
no Subioet
Mon Api 11 17 05 03 1988
Mon. n Api m e i r 0901
» B*mdJofttnn*»Wu«0B*n
B»md Johann*» WueBBen
B*md Johann** Wu»nB»n
-oaoo
<X\
EN*
fciM
iplioni
o □â
jyow
âBath
H*ip
■■'toartrta
|6*ind Jon*nn«i wu*BB»n «vAj*BB»n9m*ih cotntli «du;
Lin* 71 Column 6
&
S B
Windows9x/NT et les program­
Troll Tech, d'où l'inté­
meurs devant fournir des appli­
rêt d’avoir accès aux
cations pour Windows se tour­
sources...). Harmony
n ero n t vers
se
donc
Ajoutons à cela la prochaine
comme un clone de
unification des protocoles de
iis SU
présente
Qt, l'origin al.
ad jo in t
Drag'n Drop (Kde, Gnome/Gtk,
m ê m e c e r t a in e s
xDND, etc...) et on peut alors
extensions. On aura
avancer sans trop se risquer
d o n c sous peu un
que le bureau standard sous
KDE free et la plupart
Linux n'est plus un doux rêve.
Qt
KDE »t • nstvofk tian*p*r*nt contraporary 4**t top *nvirora»*nt foc UKIX
«orkatation* KPC •««kl ta f i l l th* n*ed for *n ***y to ut* d**ktop for Unix
voik*t*tion*. n u l i r to th* d**ktop •nviionaont» round und*r Ut* H*cO» or
VtndowBS/MT »• b*U*v* th*». th* UNIX op*r»Ung *y»t**i l* th* b**t op*c*ting
«y»».*» avaiU b l» tod*y In faot UNIX h** b**n th* undi*put«d choie* of th*
information tochnology prof***ion»l for »any y*»r* Nh*n i t com* to * t* b ility.
scalabiUcy «nd op*nn**i th*r* i* no eoapttition to UNIX Hov*v«r th» lack of
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Thi* f»ct i* p * rticu l»rly unfortuntt* sine* • numb*r of impl*a«nt»tion* of UNIX
( Linux. ft**BID N*»J)*D *te) *r* fr»*ly *v*il*b* on th* incarnat A U of which
•r* of *rx*ptional <|u*Liey *nd tta b iU ty
Harm ony en sobre majeur.
chées sans l'accord de
et
lui
des applications Qt
De plus, Harmony est déjà bien
(et il y en a !) seront
avancé et ne devrait pas tarder
utilisables sans que
à devenir vraiment exploitable.
l'on ait besoin de pas­
On consultera pour preuve le
ser par le toolkit de
site officiel http ://h arm ony.
Troll Tech. La compa­
ruhr.de qui ne manquera pas
tib ilité du côté des
de satisfaire tous les curieux.
sources est déjà un
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L'informatique
théorique
Si les ordinateurs se sont aujourd'hui banalisés, les théories
qui se cachent derrière restent un univers aussi fascinant
que mystérieux pour le commun des mortels. Aujourd'hui,
Dream vous propose un tour d'horizon rapide de la face
cachée de l'informatique.
epuis ses débuts, l'informatique en tant que
D
science poursuit un but ambitieux : après
avoir inventé des machines à calculer (les
c a lc u la tric e s ), on v e u t déso rm ais d isp o ser de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
machines à résoudre des problèmes : les ordinateurs.
lettres, mots et phrases. Ainsi, les informaticiens se
Or, si chacun sait intuitivement ce qu'est un problè­
sont tout de suite intéressés à la linguistique (la
me, il devient beaucoup plus difficile d'en donner
science des langues et langages) pour aborder ce
une définition précise. En effet, comment pourrait-
point.
on formaliser l'ensemble des questions qui peuvent
M o ts , la n g a g e s e t p ro b lè m e s
se poser ? En fait, cette réflexion indique elle-même
D'un point de vue théorique, un langage se compo­
le chemin à suivre. Poser une question (c'est-à-dire
se de mots, eux-mêmes constitués de symboles, élé­
én o n cer un p ro b lèm e ) revien t à co m b in er des
ments d'un alphabet. Un langage désigne donc un
ensemble de mots construits sur un alphabet donné
(et fini). Prenons par exemple le langage binaire :
l'alphabet binaire se trouve formé par les symboles 0
et 1. Les mots sont des suites de symboles de l'al­
phabet (par exemple 1101). Le langage binaire est
donc l'ensemble (infini mais dénombrable) des mots
composés d'une succession de 0 et de 1. En informa­
tique, comme chacun sait, un langage symbolise en
fait un codage, ce qui signifie une façon de figurer
les entités sur lesquelles nous voulons travailler. Le
langage binaire tel que nous l'avons défini ici permet
par exemple de représenter les nombres entiers posi­
tifs. Pour modéliser un problème, nous devons donc
tout d'abord nous donner un langage pour illustrer
les données dudit problème. Prenons par exemple le
problème "ce nombre est-il égal à 100 ?" : si nous
utilisons le langage binaire pour représenter les
nombres, chaque mot du langage binaire constitue
un énoncé du problème (par exemple "100010 est-il
égal à 100 ?"). Cela nous amène à un type de pro­
blème particulier : les problèmes de décision, aux­
quels on ne peut répondre que par oui ou par non.
Notre problème "égal à 100" est donc un problème
de décision. Vu que nous disposons d'un langage
pour représenter les données, le problème définit
deux ensembles de mots du langage : ceux pour les-
quels la réponse est "oui" et ceux pour lesquels la
au supermarché du coin !), associées à une entrée et
réponse est "non". Il demeure évident que ces deux
une sortie. Le "corps" de la machine se constitue de
ensembles restent disjoints (il n'existe pas de mot tel
règles de fonctionnem ent et d'un programme. La
que la réponse soit à la fois "oui" et "non") et com ­
figure 1 donne une représentation graphique de
plémentaires : leur union se trouve dans l'ensemble
base pour une procédure effective. Les entrées et
de toutes les données du problème (un mot qui
sorties peuvent être des mots (données "infinies") ou
n'appartient à aucun des deux ensembles est un mot
des états (données finies). Une procédure effective
pour lequel on ne peut répondre ni par "oui" ni par
est par exemple capable de "transformer" un mot
"non", ce qui veut dire que le problème n'a pas de
d'entrée en un mot de sortie. Pour nous rattacher à
sens pour ce mot et qu'il ne s'agit donc pas d'une
la notion de problème, imaginez une procédure
donnée du problème). On peut donc facilement se
effective qui prenne en entrée un entier (mot sur l'al­
rendre compte qu'une fois que l'on sait représenter
phabet 0-9) et qui indique "vrai" ou "faux" (état) en
les données par un langage, un problème de déci-
guise de sortie si l'entier est inférieur à 100. On dit
sion ne symbolise rien d'autre qu'un langage : l'en­
alors que la procédure effective permet de résoudre
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semble de mots pour lesquels la réponse est "oui".
le problème (en fait, on dit "décider" le problème
D'autre part, tout problèm e énonçable peut se
quand il s'agit d'un problème de décision).
ramener à un problème de décision. Par exemple, le
Les a u to m a te s fin is
problème "Quels sont les nombres premiers ?" (qui
La procédure effective la plus simple à présenter est
n'est pas un problème de décision) équivaut au pro­
le célèbre automate fini. Une telle machine se com­
blème de décision "Ce nombre est-il premier ?" car,
pose d'états, de transitions entre les états, ainsi que
comme on l'a vu, celui-ci définit un langage : l'en­
d'un "programme" indiquant les relations entre les
semble des nombres pour lesquels la réponse est
états et les transitions. Une bande permet de coder
"oui, ce nombre est premier". Il faut donc retenir
l'entrée de la machine (un mot). Un unique état est
qu'un problème correspond à un langage (sous-
marqué comme "initial" et correspond à la configu­
ensemble de mots) et que tout le formalisme (essen­
ration initiale de l'automate. Une tête de lecture
tiellement syntaxique et donc adapté à nos ordina­
pointe initialement sur la première lettre du mot en
teurs plus sots) associé à la notion de langage s'avè­
re utilisable pour traiter les problèmes.
I n d i c e s p o u r la t h è s e d e C h u r c h
P rocédures e ffe c tiv e s , a lg o r ith m e s
D'un côté, les scientifiques ont besoin de modèles
Le modèle des m achines de Türing n'est pas le seul modèle disposant d'un
mathématiques formels ; de l'autre, les industriels
pouvoir d'expression d'une telle puissance, bien que l'on ne connaisse pas de
recherchent des résultats immédiatement utilisables.
modèle "supérieur". Les fonctions récursives représentent des constructions
Cela nous conduit tout naturellement vers la ques­
m athém atiques très sim ples, beaucoup plus éloignées de notre vision de
tion fo n d a m e n ta le
: c o m m e n t réso u d re un
l'inform atiq ue. Ces fonctions de base (constante 0, p rojectio n, successeur,
problème ? Au niveau théorique, plusieurs modèles
récurrence prim itive, m inim isation non bornée) perm ettent de construire des
de calcul (équivalents comme nous allons le voir) se
fonctions usuelles comme les entiers, les opérations arithmétiques, les prédicats
sont disponibles. Leur rôle se résume à définir préci­
de com paraison, etc. Avec ces autres fonctions de base, on a les moyens de
sément la notion d'algorithme, connue de manière
com poser d 'a u tre s fo n ctio n s plus com plexes (q u i resten t des fonctions
intuitive. Les procédures effectives sont les modèles
récursives), et ainsi de suite... Il existe une preuve dém ontrant l'équivalence entre
les plus proches de notre perception intuitive de l'in­
ce modèle de calcul et les machines de Türing. Cette preuve construit en quelque
formatique (puisqu'il s'agit de "machines"). Elles ont
sorte une m achine de Türing à l'aide de fonctions récursives. Un autre modèle, le
de plus un rôle historique très important, car elles
lam bda calcul (à la base des langages comme Lisp, Scheme, CAM L) peut se
demeurent à l'origine de la conception des machines
ram ener facilement aux fonctions récursives et donc finalem ent aux machines de
actuelles. Une procédure effective désigne un modè­
Türing. Ces équivalences démontrées form ellem ent sont des indices très forts
le théorique simple et disposant d'un grand pouvoir
pour confirmer la thèse de Church, même si cela n'en fait pas pour autant un
d'expression. Il s'agit de "machines" (théoriques, ne
théorème.
croyez pas que vous pourrez vous en procurer une
C lien t
Serveur
Réseau de P é tri rep résen tan t le fonctionnem ent en c lien t/serveu r
entrée. La lettre courante du mot est lue et la transi­
dans l'état 1 (le deuxième symbole prend la forme
tion de l'état courant associée à cette lettre s'effec­
d'un 1). Ensuite, l'automate passe dans l'état 0, car
tue. L'automate se retrouve alors dans l'état destina­
le 0 du nombre se voit ensuite lu. On se retrouve à
tion (qui peut être identique à l'état de départ), puis
la fin du m ot dans l'état 0 qui est terminal ; le
la tête de lecture est déplacée vers la droite pour
nombre s'avère donc bien pair (110 en binaire vaut
pointer sur la prochaine lettre. Il n'existe pas réelle­
6 en décimal). Du point de vue de la théorie des lan­
ment de sortie, mais certains états peuvent être mar­
gages, les problèmes décidables avec des automates
qués comme "finaux". Si la machine s'arrête dans un
finis correspondent à la classe des langages réguliers
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état final, alors le mot est reconnu ; autrement, si
ou rationnels : ce sont ceux que l'on peut définir par
elle s'arrête dans un état non-final, le mot est rejeté.
les célèbres expressions régulières. Par exemple, l'ex­
Il existe aussi un autre cas : la machine peut ne pas
pression régulière a(a+b)*c (un a, suivi d'une succes­
s'arrêter. Cela indique également que le mot subit le
sion de a ou de b, suivie d'un c) peut être représen­
rejet de l'automate fini. La figure 1 montre la struc­
tée par l'automate fini de la figure 3. Les transitions
ture de base d'un automate fini. A titre d'exemple,
non indiquées vont vers un état dit "poubelle" qui
considérons le problème : "Est-ce que le nombre
rejette le mot quoiqu'il arrive (pour simplifier la
en tie r (c o d é en b in a ire ) en en trée est pair ?".
représentation graphique). Vous voyez maintenant
L'automate fini donné en figure 2 résout ce problè­
que la fonction "rechercher" de tout éditeur de
me. Prenons par exemple, le mot (entier) 110 en
texte, aussi bien que le "grep" d'Unix, ne constituent
entrée. Initialement dans l'état 0, l'automate passe
rien d'autre que des automates finis, qui résolvent
d'abord dans l'état 1 (qui n'est pas final), puis reste
un problème de décision. Cependant, il existe de
n o m b re u x p ro b lèm e s qui ne p e u v e n t pas se
résoudre avec des automates fini. Considérez par
exemple le problème : "soit un entier N positif, le
j
E S U
I
mot en entrée est-il une succession de N a suivi de
S U N M O T
N b ?". Un sous-problème correspondant serait
"(((2+3))*4() est-elle une expression bien parenthésée ?". Il n'existe pas d'automate fini, qui donne les
Tète de lecture
moyens de résoudre ces problèmes. Vous pouvez
toujours essayer de démontrer le contraire (il suffit
pour cela de trouver un exemple), mais pour éviter
de perdre du temps, considérez l'argument suivant :
Etats
AUTO M ATE
Mot reconnu ? (oui/non)
FINI
►
un automate ne peut accéder qu'au symbole "poin­
té" par la tête de lecture et ne dispose pas de
"mémoire" permettant d'associer des données à un
état courant.
Transitions
Les a u to m a te s à p ile : la m é m o ir e en plus
Pour adresser (c'est le cas de le dire !) le problème
de l'absence de mémoire dans les automates finis,
un modèle plus complexe mais plus puissant a été
créé : les automates à pile. En plus des états, des
transitions et de la bande d'entrée, une pile se trou­
Figure 1 : Structure d'un autom ate fini.
ve ajoutée à la machine. Elle permet de stocker des
symboles de l'alphabet. La différence avec les auto­
mates finis n'est pas flagrante à prem ière vue.
Néanmoins, ce modèle permet de résoudre une clas­
se plus large de problèm es : les langages algé­
briques, que l'on peut définir par des grammaires
dites non-contextuelles. Typiquement, il s'agit de
tous les langages de program m ation modernes,
dont les compilateurs et interpréteurs mettent en jeu
des automates à pile un peu modifiés (pour prendre
en compte certains aspects contextuels). Ceux qui
utilisent des calculatrices HP voient tout de suite de
quoi il retourne. La représentation graphique d'un
automate qui reconnaît les mots bien parenthésés
est donnée en figure 4. Notez que cette représenta­
tion graphique se montre moins lisible que celle des
automates finis ; le "programme" de la procédure
effective devient difficilement exprimable de maniè­
re graphique. Le principe de fonctionnem ent de
l'automate est simple : chaque parenthèse ouvrante
se trouve empilée et dès qu'une parenthèse ferman­
te est rencontrée, une parenthèse est dépilée. Si à la
fin du mot (repéré par le symbole S), il ne reste plus
Figure 2 : Représentation graphique de l'autom ate entier pair.
rien sur la pile (uniquement le marqueur de fond de
pile : Z), alors le mot est reconnu (bien parenthésé).
Dans tous les autres cas, le mot se heurte à un rejet.
d'une machine de Türing fait donc passer la machine
Les automates à pile ne reconnaissent pas des lan­
d'un état à un autre, déplace une tête de lecture ou
gages nécessitant par exemple deux "sauvegardes" à
d'écriture et lit ou écrit une information sur une
l’aide de la pile. Il en va ainsi, par exemple, du langa­
bande. Il n'existe pas de représentation graphique
ge "N a puis N b puis N c", variante du langage pré­
simple, ce qui explique que les machines de Türing
cédent. On peut reconnaître le début du mot, mais
servent avant tout de formalisme et non de tech­
au moment d'analyser les c, la pile reste vide (pour
niques de représentation d'algorithmes (contraire­
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les petits malins, on n'a pas le privilège de dépiler
ment aux automates finis, encore très étudiés aujour­
deux éléments d'un coup ; nous n'avons accès qu'à
d'hui).
l'élément en sommet de pile).
E x e m p le d e m a c h in e d e T ü r in g
Les m a ch in e s d e T ü r in g :
On peut cependant indiquer le "programme" d'une
l'o r d in a te u r u n iv e rs e l
machine de Türing grâce à un tableau.
Nous avons défini les procédures effectives comme
Chaque colonne se voit associée à un symbole envi­
des modèles simples et disposant d'un pouvoir d'ex­
sageable en entrée. Les lignes correspondent aux
pression très important. Les machines de Türing (il
états possibles de la machine. La case (i,j) indique
s'agit toujours de modèles théoriques, ce ne sont pas
alors les opérations à effectuer si la m achine se
des Pc !) ne sont pas beaucoup plus complexes que
"retrouve" dans l'état i pour le symbole en entrée j.
les automates à pile mais offrent un pouvoir d'expres­
Ces opérations sont des triplés : q, X, d où q annon­
sion encore nettement plus important : elles sont en
ce le prochain état de la machine, X représente le
effet capables de reconnaître tous les langages (ce
symbole à écrire à la position courante ([] pour ne
qui veut dire tous les problèmes) décidables ! Il ne
rien écrire) et d donne le déplacement de la tête de
s'agit pas de tous les problèmes de décision, mais de
lecture/écriture ( -> : aller à droite, <- : aller à
tous les problèmes acceptant intrinsèquement une
gauche, _ : ne pas bouger ). Certains états n'effec­
réponse positive ou négative. Par exemple, une
tuent aucune opération mais sont marqués OK (mot
machine de Türing reconnaît "N a puis N b puis N c"
reconnu) ou KO (m ot rejeté). On peut donner un
ou encore l'ensemble des programmes C++ corrects.
programme pour une machine reconnaissant le lan­
Par rapport aux automates à pile, les machines de
gage "N a puis N b puis N c" mais les tables de tran­
Türing ajoutent une mémoire à accès direct : il est
sition seraient déjà volumineuses. Initialement, la
possible de déplacer la tête de lecture sur les bandes
tête de lecture séjourne sur le premier symbole du
de données. Les machines multi-bandes sur lesquels
mot en entrée. La bande mémoire s'avérant infinie, il
on travaille généralement se composent d’une bande
faut un emblème "vide", qui permet de retrouver le
d'entrée (sur laquelle on ne peut que lire), des
début ou la fin du mot ; on le représente par un
bandes auxiliaires (lecture/écriture) et d'une bande
petit carré [].
de sortie (écriture uniquement). Sachez cependant
Un la n g a g e p o u r les m a c h in e s d e T ü r in g
qu'on peut toujours se ramener au cas d'une machi­
Vous pouvez constater que les machines de Türing
ne pourvue d'une unique bande servant à la fois
se rapprochent notablem ent de nos ordinateurs
d’entrée, de mémoire auxiliaire et de sortie, au prix
(mise à part la mémoire infinie, ce serait tellement
d’une complexité plus importante. Une transition
pratique !). Une machine de Türing qui résout un
FINTANTQUE
DROITE
FINTANTQUE
TANTQUE LECTURE=Y FAIRE
DROITE
FINTANTQUE
SI LECTURE=[] ALORS "OK" SINON "KO"
Nous disposons ainsi d'un moyen pour expliciter
les opérations à effectuer ainsi que d'une machine
permettant de les "faire fonctionner". L'étape sui­
vante consiste à réaliser une vraie machine s'inspi­
rant de ce modèle : le processeur et son langage
machine. Il vous faudra pour cela exhumer notre
dossier "processeurs" de Dream N° 47.
U n m o d è le p u is s a n t
Nous avons indiqué que les machines de Türing
r e p ré s e n ta ie n t un m o d èle d 'u n e très g ran d e
expressivité. Nous n'avons cependant pas fourni
p rob lèm e non trivial est très difficile à décrire
beaucoup d'arguments sur ce point. Imaginez une
contrairement à un programme en langage d'ordi­
m achine de Türing prenant en entrée le codage
nateur. Il d em eu re h e u re u se m en t possible de
d'un automate fini (on peut coder ce que l'on veut
co n s tru ire un la n g a g e de p ro g ra m m a tio n de
sur la bande d'entrée, à condition de s'attribuer un
machine de Türing, voisin de ce que l’on nomme
langage adéquat). Une autre bande d'entrée (mais
le langage d'assemblage, de façon très simple. Par
on pourrait utiliser la m êm e) contient le mot à
exemple, la succession de deux instructions corres­
r e c o n n a îtr e . Il d e v ie n t alo rs très sim p le de
p o n d s im p le m e n t à la c o m p o s itio n de deux
construire un programme apte à faire fonctionner
machines de Türing. Celle-ci donne une machine
l'automate ainsi codé. Cette machine est donc un
de Türing unique qu'il est inutile de détailler. Il
autom ate fini universel ! Notez qu'il existe aussi
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s'agit sim plem ent de "raccorder" les transitions
une machine de Türing universelle, permettant de
"OK" de la première machine avec l'état initial de
coder toutes les machines de Türing et de les utili­
la deuxièm e m achine. La bande de sortie de la
ser.
première machine devient par la même occasion la
D é c id a b ilité e t c a lc u la b ilité :
bande d'entrée de la seconde. De la même façon,
la th è s e d e C h u rch
on p e u t fa c ile m e n t m o d é lise r les n o tio n s de
N ous avons utilisé les expressions : "problèm e
boucles, de choix ou encore de variable à domaine
décidable" et "problème calculable" sans faire de
fini, grâce à des m achines de Türing. Ainsi, on
distinction. En fait, il n'en existe pas réellement
peut aboutir à un pseudo-langage permettant de
mais le critère de décidabilité correspond à une
décrire notre machine d'exemple :
caractéristique intrinsèque du problème, alors que
TANTQUE LECTURE = a FAIRE
la calculabilité correspond à une caractéristique
ECRITURE(X) ;
d'une machine de Türing permettant de décider le
DROITE ;
problème. Une machine de Türing peut effective­
TANTQUE LECTURE = a OU Y FAIRE
m en t co d e r une in fo rm atio n en sortie (sur sa
DROITE;
FINTANTQUE
b an d e de so rtie). C ette inform atio n peut, par
exemple, provenir d'un calcul mathématique. Mais
ECRITURE(Y);
nous avons vu que les problèmes en général pou­
TANQUE LECTURE = a ou Y FAIRE
vaient être ramenés à des problèmes de décision ;
GAUCHE
il s'agit donc de notions très proches. Cependant,
dans les cadre des machines de Türing, on parle
D es u n i t é s d ' i n f o r m a t i o n
d'un problème calculable plutôt que décidable. Il y
a en revanche une différence importante entre une
On sait qu'un problème de décision sépare un langage en deux sous-ensembles
machine qui reconnaît un langage et une machine
distincts. P a r conséquent, à chaque mot du langage se trouve associée une
qui décide ou calcule ce langage. Un langage est
inform ation élém entaire et indivisible : celle qui indique si la réponse pour ce
reconnu lorsque la machine s'arrête dans un état
mot est "oui” ou "non”. Cette inform ation m inimale portée p ar chaque mot du
OK ou ne s'arrête jamais. La machine ne décide le
langage se représente facilement p ar un chiffre binaire : un 0 indique "non”, un
langage que si elle s'arrête forcément et que l'état
7 indique "oui". Voilà pourquoi on l'appelle "Binary D igit" (chiffre binaire), en
d'arrêt est un état OK. La classe des problèmes
ab rég é "b it". D ire q u 'u n e in fo rm a tio n q u elco n q u e ( d o cu m en t, im ag e,
décidables ne se trouve pas définie précisément,
program m e...) représente p ar exemple 2 mégas (16777216 bits) signifie donc
mais il existe un postulat (et non une preuve) qui
qu'on détermine pleinement son contenu en résolvant 16777216 problèmes de
explique que tout problème décidable désigne un
décision.
problème calculable par une machine de Türing.
Autrement dit, les machines de Türing constituent
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TURNING POINTS -A 5 0 0 55
U.F.O. (A 600)
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U.F.O. (A 1200)
125
VIRTUAL KARTING -A1200 (F) . . . . 75
W HITE DEATH (W ARGAM E)
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WING C O M M A N D E R
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W O R M S (VF)
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W O RM S Director's Cut -AGA- . . . . 145
XTREM E RACING -A 1 2 0 0 75
Xtreme Racing AGA: 2 DATA DISKS 55
ZEEW OLF 1 (NF)
45
ZEEW OLF 2 Wild Ju s t ic e
65
ZEEW OLF 1 + ZEEW OLF 2
95
ZOOL (F) - A500/600
35
COMPILATION (1) A 1200:
GUARDIAN + SKIDM ARKS + GLOOM 145
COMPILATION (2) A 1200:
FEARS + ROADKILL + LEGENDS (F) . 145
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BUBBLE & SQUEAK -A 1200
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CHAOS ENGINE AGA -A 1200
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ELITE 2 (Version Française)
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m a n a g e r ( 2 m o r a m ) . . . . 85
HUM ANS 3 (F) A1200 . . . 95
EXILE - A 1200
75
EXILE - A 600
75
F-15 II (M icroprose)
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F-1 9 S T EA LT H FIGHTER -A500/2000 .1 2 5
FIELDS OF GLORY (W B 2 + )
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I m p o s s i b l e M i s s i o n 2025 ( v f ) a600 . . 95
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JA M E S POND 2 ( F ) -A 1200
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MICROPROSE GRAND PRIX F1 . . . 115
M INSKIES the Abduction -A 1200 . . 85
NICK FALDO G O L F
35
NIGHTHAWK F-117 A 2.0 -v 3.01 . 95
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PINBALL FANTASIES AGA -Al 200 . 65
Euro leag ue
E v o l u t io n
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PINBALL ILLUSIONS (F) A 1200
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PLAYER MANAGER 2 (A N C O ) ........... 95
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RAILROAD T Y C O O N
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ROAD R A S H
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SHAQ FU -A 1 2 0 0 60
SILENT SERVICE 2
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SKELETON KREW (F) - A 1200
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SPECIAL FORCES (Microprose)........... 95
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STREET RACER [A 1200 non-Escom] 125
SUPER SKIDM ARKS - A1200
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SUP ST. FIGHTER 2 TURBO(F)-A1200 . 95
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BUBBA'N'STYX ( F ) ...........................45
CASTLES 2 ........................................ 45
Alfred CHICKEN ( F ) ...........................35
CHUCK ROCK 1 ( F ) ...........................50
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CIVILIZATION AGA [CDROM] --- 125
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ELITE 2 ................................................95
EVOLUTION HUM ANS 3 ( F ) ..............95
E X I L E .................................................. 50
G U A R D IA N ......................................... 75
HUM ANS 1 + HUMANS 2 ..............45
LEGENDS ( F ) .......................................95
LIBERATION CAPTIVE 2 .................. 70
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MARVIN M A R V E L L O U S .................... 45 F
MEAN ARENAS (F) ........................... 45 F
NAUGHTY O N E S ................................60 F
PREM IERE (F) .................................... 45 F
SOCCER K I D .......................................50 F
S PERIS LEGACY (Doc F) CD32/CDROM 95 F
STAR CRUSADER [C D R O M ]..............95 F
STREET RACER [CDROM] ............. 125 F
SU PER LEAGUE MANAGER ............. 75 F
S u p e r S t r e e t F i g h t e r 2 T u r b o (F) . . . 95 F
THEME PARK [C D R O M ]..................125 F
ULTIMATE GLOOM [CDROM] . . . . 125 F
ULTIMATE SKIDM ARKS [CD ROM] 125 F
W O R M S (VF) CD32 et CDROM . . . 1 2 5 F
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SEPTEM BRE 1998 - Stock et prix valables pour la durée de publication du magazine - Toute commande est considérée comme ferme.
e-m ail d u ch e t@ g lo b a ln e t.co .u k
gram m es p articu liers se vo ie n t appelés "a lg o ­
rithmes". Intuitivement, nous savons que certains
problèm es sont plus "difficiles" que d'autres et
qu'un problème donné peut se résoudre par diffé­
^
^
re n ts a lg o rith m e s , c e r ta in s "m e ille u rs " que
d'autres. Afin de permettre de telles comparaisons
e n tré e s
P r o c é d u r e e ffe c tiv e
^
^
s o r tie s
qualitatives, définissons la notion de complexité : il
s'agit du temps nécéssaire à l'exécution d'un algo­
( m a c h in e )
rithm e. Plus un problèm e se m ontre difficile et
^
J
plus sa résolution est longue ; inversement, un
"bon" algorithme résout un même problème plus
ra p id e m e n t qu 'un "m au vais" alg o rith m e. Bien
entendu, la com plexité n'est pas une durée en
heures et minutes ; elle correspond au nombre de
changements d'etat que doit effectuer une machi­
Une m achine ou procédure effective.
ne de Türing pour exécuter l'algorithm e. Telle
un m odèle suffisam m ent puissant pour calculer
quelle, cette définition se révèle assez probléma­
tout ce qui s'avère calculable ; voià pourquoi on
tique : le nom bre de changem ents d'état reste
les considère com m e un m odèle universel. Les
directement lié à ce qui est écrit initialement sur la
ordinateurs réels en sont bien plus limités, à cause
bande, mettant ainsi en évidence l'importance du
(entre autres) de leur mémoire finie. L'encadré sur
langage choisi pour représenter les données. Or,
les fonctions récursives donne un indice intéres­
nous voulons que la complexité soit une grandeur
sant quant à la validité de ce postulat (que person­
objective et indépendante de la manière de repré­
ne ne cherche plus à infirm er !). Pour prouver
senter les données. Cela nécessite une définition
qu'un problème n'est pas décidable (et ils abon­
t h é o r iq u e assez te c h n iq u e , m ais nous nous
dent !), on effectue en général ce que l'on appelle
contenterons de dire que nous définissons la com­
une réduction à un autre problème non décidable
plexité en utilisant une représentation "raison­
; nous parlerons de cela plus en détail à la fin du
nable" : par exemple, pour figurer des nombres, le
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dossier. Cette m éthode ne peut fonctionner que
code binaire ou décimal est raisonnable, mais sym­
s'il existe une référence, un problèm e non déci­
boliser le nombre 3 par @@@ et le nombre 1 324
dable "minimal". Celui-ci ne manque pas à l'appel.
par 1 324 caractères @ ne l'est pas. Cette vision
Il s'agit en quelque sorte du problème le plus fon­
intuitive nous suffit, car en réalité, la valeur exacte
damental de l'informatique : celui de l'arrêt. A pre­
de la complexité ne s'avère pas très intéressante.
mière vue, il se montre anodin : soit une machine
On recherche plutôt un ordre de grandeur et, sur­
permettant de résoudre un problème donné (par
tout, la m anière dont la com plexité augm ente
exem ple com piler un program m e C ), com m ent
avec la taille des données en entrée. Pour prendre
décider si la machine s'arrête ou non sans la faire
un exemple simple, la résolution de 3 équations à
En réalité, ce problè­
3 inconnues par la méthode de Gauss bien connue
me s'avère indécidable ; s'il en était autrem ent,
de tous les lycéens se montre instantanée. Mais il
cela ch an gerait la face du m onde. Nous allons
suffit de poser 20 équations à 20 inconnues, et la
m aintenant expliquer ce résultat spectaculaire et
durée nécessaire à la découverte de leur résultat,
ses implications, et pour cela, nous allons devoir
en utilisant la même méthode sur l’ordinateur le
nous plonger plus en profondeur dans la théorie
plus puissant du monde, devient alors supérieure à
fonctionner effectivement ?
des problèmes et des algorithmes.
l'âge de l'univers...
A lg o r ith m e s e t c o m p le x ité
Classes d e c o m p le x ité
En résumé, nous avons vu que pour résoudre un
Soient un problème et un algorithme : nous vou­
problème, nous devons nous doter d'un langage
lons connaître l'allure de la courbe, qui montre la
permettant de représenter les données, puis nous
com plexité en fonction de la taille des données.
plaçons celles-ci sur la bande d ’une machine de
Pour certains problèmes, la complexité ne dépend
Türing m unie du program m e adéquat. On sait
pas de la taille des données (par exemple "Le pre­
égalem ent que ce program m e correspond à un
mier caractère sur la bande est-il un A?") : la com­
automate fini, où l'on associe à chaque transition
plexité se révèle donc constante. La complexité
un sym bole à écrire sur la bande et un sens de
logarithmique est très appréciable : cette courbe
déplacem ent de la tête. N otre problèm e définit
dém arre avec une croissance très forte mais qui
alors un langage : l'ensemble des données pour
ralentit au fur et à mesure. En gros, cela signifie
lesquelles la m achine s'arrête dans l'état "O K".
qu'il est beaucoup plus difficile de résoudre un cas
Com m e on vient de le voir, le fait si la machine
facile qu'un cas extrêmement facile ; en revanche,
s'arrête et, le cas échéant, l'état dans lequel elle
il s'avère à peine plus ardu de résoudre un cas
s'arrête sont a priori imprévisibles, mais il demeure
extrêmement difficile qu'un cas difficile. A l'oppo­
é vid e n t que, pour certain s program m es, nous
sé, la complexité exponentielle constitue le cau­
avons la certitu d e que la m achine va s'arrêter
chemar vivant des programmeurs : la courbe, pai­
quelles que soient les données en entrée : ces pro­
sible au début, atteint vite une croissance démesu-
rée et qui s'accélére jusqu'à l'infini. Dans ce cas, la
durée d'exécution de l'algorithme devient prohibi­
tive, mêm e pour des cas assez sim ples. On se
ramène ainsi à différentes classes de complexité,
les plus classiques étant (par ordre croissant) :
constante, logarithm ique, linéaire, polynom iale,
exponentielle et au-delà (fa cto ri e 11e, e tc .). De
façon générale, on considère que sauf cas particu­
liers, les algorithmes de complexité exponentielle
ou supérieure sont inutilisables pour les raisons
sus-citées ; on peut le vérifier sur l'exemple de la
méthode de Gauss, mentionnée plus haut ! Cela
nous conduit à considérer l'ensem ble des pro­
blèmes que l'on est capable de résoudre à l'aide
d'un algorithme polynomial (ou inférieur) : on l'ap­
("c e t itinéraire est-il
pelle la classe P (Polynom ial). En pratique, cette
solution du problème
classe représente les problèmes que l'on peut trai­
? "), en général plus
ter de façon générale avec un ordinateur.
sim ple. Cela signifie
M a c h in e s n o n d é te r m in is te s e t la classe NP
q u 'o n in s c rit sur la
Lorsqu'on ne se trouve pas capable de résoudre un
bande de la machine
problèm e par un alg o rith m e p o lyn o m ial, to u t
de Türing les données du problème (par exemple
espoir n'est pas encore perdu. Prenons le problè­
la carte des villes), mais également la solution tes­
me du voyageur de commerce : pour ceux qui ne
tée (on peut également posséder une bande pour­
le connaissent pas, il s'agit d'un voyageur de com ­
vue des données et une autre munie de la solu­
merce désirant visiter N clients qui habitent N
tio n ). P o u r des raisons h isto riq u es, de telles
villes différentes. Le problème consiste à détermi­
machines sont appelées des machines de Türing
ner un itinéraire tel que le voyageur visite chaque
non déterministes. De même qu'on a construit la
ville exactement une fois et revienne à son point
classe P, on peut à présent définir la classe NP
de départ, après avoir em prunté le trajet le plus
(N on déterministe Polynomial) : il s'agit de la clas­
court possible. A priori, ce problème n'appartient
se des problèmes dont on peut certifier les solu­
pas à P, mais si on nous donne, en plus de la carte
tions par un algorithm e polynom ial. Il dem eure
des villes, un itinéraire, alors nous pouvons aisé­
évident que P se trouve inclus dans NP : si un pro­
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ment vérifier que celui-ci offre bien une solution.
blème est soluble en temps polynomial, on peut a
Donc, à défaut de pouvoir résoudre un problème,
fortiori certifier ses solutions dans un temps poly­
on peut chercher à certifier des solutions : on se
nomial. Par conséquent, tout problème qui appar­
ramène ainsi à un bon vieux problème de décision
tient à P appartient égalem ent à NP. On est dès
lo rs
en
d r o it
de
se
dem ander si, après tout,
N P n'est pas la m êm e
chose que P. A vrai dire,
personne n'en sait rien ;
il n'existe que des hypo­
thèses, des intuitions et
des spéculations sur ce
sujet. Il s'agit du Grand
M y s tè re de l'in fo r m a ­
tique, un problèm e sur
lequel tout ceux qui ont
te n té d 'a p p o r te r une
réponse se sont cassé les
d e n ts , au m êm e titre
qu e
le
th é o rè m e
de
Fermât en arithmétique
ou q u e les te n ta tiv e s
d'unifier la théorie de la
g ra v ita tio n à c e lle du
c h a m p é le c tr o m a g n é ­
tiq u e
en
p h y s iq u e .
M a lh e u re u s e m e n t, un
très g ran d no m b re de
problèm es très im p o r­
tants du monde réel (en
mathém atiques, physique, informatique, électro­
théorique. Grâce à elle, nous allons maintenant
nique, économ ie, sciences sociales...) appartien­
définir la classe des problèmes dits NP-complets
nent à NP, mais personne ne connaît d'algorithme
(N P C ) : par définition, un problème x appartient à
polynom ial pour les résoudre. On doit donc se
NPC si : 1.) x appartient à NP et 2.) Tout problè­
contenter de solutions approximatives ou de cas
me appartenant à NP peut se réduire polynômiale-
simplifiés.
ment à x. Cette classe NPC intrigue beaucoup les
R é d u c tio n p o ly n o m ia le , N P c o m p lé tu d e
informaticiens. En effet, prouver qu’un problème x
Il est possible de prouver qu'un problème appar­
appartient à N PC partant d'une feuille blanche se
tient à P ou à NP d'une multitude de façons diffé­
montre redoutablement difficile, mais il existe éga­
rentes, mais nous allons privilégier une méthode
lement une façon très simple de procéder: si on
particulière, qui nous semble réellement importan­
sait déjà que x appartient à NP, alors il suffit de
te. L'idée consiste à reformuler un nouveau problè­
trouver un problème y de NPC qui puisse se rédui­
me à partir d'un autre problème connu. On a un
re p o lyn ô m ialem en t au problèm e exam iné. En
problème de décision A et un problème de déci­
effet, par définition, tout problème de NP se réduit
sion B dont on sait qu'il appartient à P. A priori, les
polynômialement à y ; comme celui-ci se réduit à
données de A n'ont rien à voir avec les données de
son tour à x, tout problème de NP se réduit donc
B, mais supposons que l'on trouve un algorithme
p o ly n ô m ia le m e n t à x. C 'e st là q u 'a p p a ra ît le
qui transforme une donnée de A en donnée de B,
besoin d'un problèm e NP-com plet de référence.
de telle sorte que résoudre B avec cette nouvelle
H abituellem ent, le prpblèm e de satisfiabiIité de
donnée soit équivalent à résoudre A. Pour prendre
clauses (ou le problème CIRCUIT-SAT, qui revient
un exemple trivial, nous savons résoudre le problè­
au même sous une autre forme) remplit ce rôle. Vu
me "X est-il supérieur à Y?". Le problème "Suis-je
sa complexité, nous n'en donnerons pas les détails.
en déficit ?" peut alors se transformer en "0 est-il
De la même manière, tout problème indécidable
supérieur à la valeur du solde de mon compte en
peut se réduire, d'une façon ou d'une autre, au
banque?". Nous voulons donc un algorithme qui
problèm e de l'arrêt, le problème indécidable de
lit sur la bande les données de A et imprime des
référence. Mais attention : le raisonnement que
données de B telles que la résolution soit équiva­
nous venons de faire peut s'appliquer dans l'autre
lente. Si cet algorithm e est polynomial, on peut
sens. Si on trouve un algorithme polynomial pour
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dire que A appartient à P car, en fait, on vient de
résoudre un seul problème NPC (par exemple une
trouver un algorithme polynomial pour le résoudre
réduction polynomiale à un problème appartenant
: il convient alors d'appliquer l'algorithme polyno­
à P), tous les problèmes NP (et donc NPC) pour­
mial de transformation des données puis d'appli­
raient se voir résolus en temps polynomial car ils
q u e r l'a lg o rith m e p o ly n o m ia l p e rm e tta n t de
sont, par définition, réductibles à ce problème. On
résoudre B avec ces nouvelles d onnées. C ette
aurait donc enfin la relation P=NP et, accessoire­
dém arche s'appelle la réduction polynom iale. Il
ment, la médaille Fields. Des problèmes actuelle­
s'agit d'une opération essentielle en informatique
ment considérés comme insolubles deviendraient
tout à coup des problèmes P : en d'autres termes,
il suffit de résoudre CIRCUIT-SAT pour déclencher
une nouvelle révolution industrielle !
B ie n v e n u e à B a b y lo n e
Cette initiation s'achève, mais cela ne signifie pas
que l'on a "tout fait" ! La résolution de problèmes
reste un sujet de recherches et, rappelez-vous, l'in­
formatique n'est pas une science exacte. Les théo­
ries et m o d èles créés n 'o n t rien d 'u n e réalité
immuable ; il ne s'agit que d'outils permettant de
travailler sur un sujet précis. Avec l'explosion de
l'intelligence artificielle qui démarre, on demande­
ra aux machines, non plus de résoudre un problè­
me, mais de mener de véritables raisonnements,
de produire (et non plus de stocker) des informa­
tions et d'opérer en parallèle (et non plus de façon
séquentielle, une instruction après l'autre). Pour
cela, d'autres théories et modèles existent ou se
verront développés, comme les réseaux neuronaux
(raisonnement pseudo-humain), les moteurs d'inférences (synthèse d'informations) et les réseaux
de Pétri (analyse du fonctionnement d'un sytème).
Leur but n'est pas de "rem placer" des théories
"dépassées" mais de fournir à nouveau matière à
réflexion dans ces nouveaux domaines.
Fig 4 : Un autom ate à pile pour vérifer le bon parenthésage d'une expression.
Fred Pesch et Jakub Zimmermann
Scott Adams
Créateur d'Adventuresoft
S
p é c ia l
ET D E S
DE
h is t o ir e
3EDH
d e
V ID É O
LH P R É H I S T O I R E R ü D E R N I E R P e
l a
m ic r o
W arren Davis
Concepteur de Q*Bert
Eric Chahi
Auteur de Heart of Darkness
IIIM
10 portraits de pionniers
20 machines de légende
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Et bien d’autres...
50 jeux qui ont fait le jeu vidéo !
Les scandales, les success-stories, les sales coups,
les bides commerciaux...
S ur le C D -R o m !
Tous les ém ulateurs
Tous les clones des plus grands
classiques du jeu vidéo
Un quizz inédit et exclusif sur
l'histoire du jeu vidéo
(plus de 800 questions !)
En kiosque
R u PRIH DE
39
EH ON e s
!
team
Hors Sér ie
;
CyberVisionPPC,
un P erm ed ia 2 dans l'A m iga
Fort de son succès avec les cartes
accélératrices PowerPC pour Amiga,
Phase 5 revient à son autre amour : la
carte graphique.
i l'on peut se permettre d'être
S
franchement optimiste quant à
l'a ve n ir de l'A m iga, c'est en
g ra n d e p artie g râce à l'allem an d
Phase 5. Ce dernier se fait fort de
sortir tous les trois mois (en moyen­
ne) une nouvelle extension majeure
pour la machine. Après toute la série
des cartes processeurs à base de
Pow erPC et de 680x0 en parallèle
(u n e
p re m iè re
sur
A m ig a ),
le
constructeur se concentre désormais
sur les cartes graphiques. Prem ier
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Quake va enfin devenir pleinem ent exploitable !
modèle de la gam m e Automne 98,
la CyberVisionPPC est une carte pour
g ra p h iq u e (ou 4 M o , su ivan t les
Am igo 4000 et 3000 qui s'insère
modèles), le composant Permedia 2,
recom m ande de mettre une feuille
directem ent sur la carte processeur
des broches pour le signal VGA et
de p lastiq u e isolante entre elles.
du même constructeur. Son intérêt
le connecteur destiné à l'insertion
Feuille qui, comme c'est de coutume
est d'offrir des résolutions plus éle­
de la c a rte d an s le slo t d 'u n e
chez Phase 5, n'est m alheureuse­
vées et un affichage plus rapide que
C yberstorm PPC ou M K III. En effet,
ment pas fournie. Enfin, une nappe
le chipset AGA de base. En l'occur­
c o n tr a ir e m e n t
laisse
perm et de relier les broches de la
rence, la prouesse est réalisée ici par
entendre son nom, la CybervisionPPC
carte à un connecteur VGA externe
l'emploi d'un composant graphique
peut tout à fait se brancher sur une
(fourni, lui !) sur lequel on viendra
de type Permedia 2 (célèbre dans le
carte M K ill dépourvue de PPC. En
brancher un écran. On note aussi la
m ond e PC pour ses perform ances
revanche, elle ne fonctionne ni sur
présence d'un second connecteur
3D) et d'une liaison directe avec la
une M/C//, ni sur une M/C/. Selon les
e x te rn e
carte processeur.
d o c u m e n ta tio n s de Ph ase 5, la
lunettes virtuelles. L'inventaire s'arrê­
D e s c rip tio n
CybervisionPPC devrait posséder un
te là et... il manque quelque chose !
La CybervsionPPC est une extension
connecteur alternatif pour la carte
N u lle
biseautée de très petite taille sur
processeur, perm ettant d'insérer la
Scandoubler, ce m odule bien pra­
laquelle on trouve 8 Mo de mémoire
carte à l'horizontale (plus pratique
tique qui permet de mixer le signal
pour les Amiga 3000 et 4000T) plu­
vidéo original de l'Amiga et celui de
à ce q u e
cartes p o u rraien t faire co n tact et
d é d ié
tra c e ,
à une
en
p aire
e ffet,
de
d'un
tô t qu'à la verticale. Hélas, notre
la nouvelle carte. Sans lui, impossible
exemplaire de test en était dépour­
d'accéder aux modes Pal et Ntsc, ni
vu. Cette carence semble être com ­
aux écrans de Gourou, ni même à la
mune à toutes les premières séries
configuration de la carte processeur,
de CybervisionPPC. Attention donc à
pourtant égalem ent fabriquée par
bien vous renseigner avant son achat
Phase 5 ! A moins de disposer de
si vous souhaitez l'insérer dans l'un
deux écrans, ce qui est assez peu
des modèles d'Amiga sus-cités. Dans
pratique. A titre expérimental, nous
le
avo n s essayé de d é to u rn e r les
cas
d 'u n
4000
d e sk to p ,
la
CybervisionPPC se place donc côte à
signaux de la carte CybervsionPPC
côte avec la carte fille contenant les
vers le Scandoubler d'une Cybervision
connecteurs Zorro 3. Phase 5 attire
64/3D (le précédent modèle de carte
d'ailleurs l'attention de l'utilisateur
graphique de Phase 5), mais sans
sur le fait que les soudures des deux
succès, hélas.
In s ta lla tio n
m onte désormais à 23 images par
Puisqu'il est impossible d'afficher, à tour
second e sur un plein écra n
de rôle, le signal vidéo original et celui
512x384 pixels.
de la CybervisionPPC sur un même
C y b e rv is io n P P C e t C y b e rg ra p h X
écran, il convient de respecter une pro­
En ce qui concerne les résultats obte­
de
■ \M
cédure d'installation très rigoureuse. La
nus dans FastQuake, on serait presque
première étape consiste à insérer la
tenté de dire "à peine". En effet, la
carte dans l'ordinateur mais sans la
puce Permedia 2 est un coprocesseur
relier à l'écran. Ce dernier doit rester
graphique capable, entre autres, d'affi­
connecté à la sortie vidéo originale. Il
cher un m illion de polygones à la
Hélas, les pilotes ne gèrent pas
faut ensuite installer les pilotes
seconde, de gérer la perspective en
encore l'accélération 3D.
CybergraphX. Chose amusante, la dis­
hardware, de changer l'échelle d'une
et d'appliquer
Phase 5, la puce ne dispose absolu­
quette fournie contient des pilotes
image en temps réel
inédits optimisés pour processeur PPC
des filtres de couleur aux textures sui­
ment pas de module de décompres­
(en fait, il n'y a pas de différence de
vant la profondeur. Hélas, aucune de
sion pour la vidéo Mpeg. L'absence de
vitesse). On préférera cependant récu­
ces fonctions d'accélération 3D n'est
connecteur d'extension sur la carte
pérer les pilotes officiels (à l'adresse
encore gérée ni par CybergraphX, ni
tend même à prouver qu'il n'y aura pas
http://www.vgr.com/cybergfx/files.
par des logiciels tiers. Mais il y a fort à
de m odule additionnel en ce sens,
html), certes toujours écrits en code
parier que les choses changeront dans
contrairement à ce qui avait été fait sur
680x0, mais bien plus récents. Une fois
le bon sens avec le temps. Pour l'heure,
la Cybervision 64/3D.
les pilotes installés, il convient de redé­
il est tout de même dom m age que
A t t e n d r e e n c o re u n p eu ?
marrer l'ordinateur, d'aller dans les pré­
Phase 5 ne propose même pas une
Le Perm ed ia 2 est un co m p o san t
férences et de sélectionner un mode de
démo de ces capacités 3D sur la dis­
plein de promesses mais la panoplie
la CybervisionPPC par défaut pour le
quette fournie.
qui l'a cco m p a g n e aujourd 'hui sur
Workbench. Ceci fait, l'écran devrait
Quant à la 2D, le Permedia 2 permet
Amiga ne permet pas encore de tirer
devenir noir. Il faut alors éteindre l'ordi­
d 'a tte in d re
pleinem ent parti de ses capacités.
nateur et l'écran, brancher ce dernier
1600x1200 pixels en 256 couleurs et
P o u r une u tilis a tio n o p tim a le , il
sur le connecteur externe de la carte
de 800x600 pixels en 16 millions de
conviendra d'attendre la sortie d'un
CybervisionPPC et rallumer l'ensemble.
couleurs. Bizarrement, la résolution
Scandoubler dédié et la reconnaissan­
Et hop, le tour est joué : c'est désormais
maximale se porte à 1024x768 pixels
ce des fonctions 3D par CybergraphX.
Cependant, le faible prix de la carte
des
résolutions
de
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la carte CybervisionPPC qui gère l'affi­
en 256 couleurs et à 800x600 dans
chage et non plus le chipset original !
tous les autres m odes dès q u 'une
CybervisionPPC (m oins de 2000 F)
Ultérieurement, le logiciel CCXMode
seconde carte graphique gérée par
encouragera de nombreux utilisateurs
(fourni) permettra d'affiner les différents
CybergraphX est insérée dans l'ordina­
à franchir le pas dès maintenant.
réglages du signal vidéo pour obtenir
teur. Pour rester dans les particularités
Yann Serra
un taux de rafraîchissement optimal
du Permedia 2, signalons que le com­
Remerciements à Mygale.
avec le type d'écran que l'on possède.
posant possède un module de com ­
Un W o rk b e n c h
pression/décompression automatique
plus ra p id e en 2 4 b its
des bitmaps. Une particularité que
C yb ervision PPC
A l'usage, l'affichage du Workbench se
CybergraphX utilise à merveille puisque
m ontre en m oyenne aussi rapide
le pilote peut s'en servir de façon origi­
▲ Petite taille
qu 'avec
une
Picasso IV ou
une
En hausse
nale afin d'augmenter le rafraîchisse­
A Record de vitesse en 24 bits
Cybervision64 (c'est-à-dire bien plus
m ent
A Très prom etteur
rapide qu'une Cybervision 64/3D). A la
Néanmoins, cette option ralentit toutes
différence que cette CybervisionPPC ne
les autres opérations graphiques.
▼ Fonctions 3D pas encore gérées
s'essouffle pas, elle, lorsque l'on passe
Mais le Permedia 2 a aussi quelques
▼ Pas encore de Scandoubler
en 24 bits : le d é p la ce m e n t des
limites. En tout premier lieu, il devient
▼ Installation rigoureuse
fenêtres et les diverses animations res­
totalement impossible de "descendre"
tent aussi rapides qu'en 256 couleurs.
les écrans les uns devant les autres. De
En ce qui concerne les fonctions stan­
plus, et contrairem ent aux dires de
des
écrans
en
24
bits.
En baisse
dards des pilotes CybergraphX (com ­
munes à toutes les cartes graphiques),
force est de reconnaître que cette carte
écrase littéralement toutes ses concur­
rentes en termes de scrolling, de rem­
plissage de zones et... de swap
d'écran. Dans la pratique, cela se tra­
duit par une accélération visible des
logiciels où le déplacement massif de
pixels est primordial. Dans FastQuake
(une version indépendante de Quake
pour P o w erPC ), par exem p le, on
La Cybervision PPC.
Note
★
★
★
★
KDE
.0
Les b u g s ...
D'aucuns attribueraient plutôt le nom
de Bêta 5 à cette version 1.0, choix
éminemment politique. En effet, cer­
tains problèmes déjà présents dans
les précédentes Bêta persistent. Par
exemple, le gestionnaire de session
est loin d'être parfait. L'obtention
d'un bureau identique entre deux ses­
sions de KDE reste parfois aléatoire.
Tout le monde en parle, le K Desktop Environnement
qui déchaîne les passions arrive en version "finale".
Dans le même ordre d'idées, certains
paramètres de configuration ne sont
pas sauvegardés et certaines fonction­
nalités ne marchent tout simplement
»
t*
&
o
o a
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]a
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f
JL
©
&
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Emacs sous KDE.
Un environnem ent esthétique et fonctionnel.
D
reom vo u s a déjà so u ve n t
Internet. D'autre part, le control cen-
pas. Qt 1.4 semble poser également
parlé de ce desktop complet
ter, déjà présent dans la Bêta 3, offre
quelques problèmes, notamment au
pour X-Window. Nous n'allons
un accès
donc pas entrer dans les arcanes du
rap id e
aux d iffé re n ts
niveau de la gestion clavier (cepen­
modules de configurations de KDE. La
dant KDE fonctionne correctem ent
avec des versions antérieures de Qt).
bureau mais nous ne pouvions passer
p rin c ip a le
sous silence la sortie de cette version
concerne la stabilité de l'ensemble.
Il s'agit donc de problèmes gênants
tan t attendue (y com pris pour les
Cette caractéristique, très chère aux
qui ne retirent cependant pas à KDE
détracteurs qui hésitaient à critiquer
applications Unix, n'était pas le point
son principal avantage : sa simplicité !
une version Bêta !).
fort de KDE jusqu'à présent. Après
KDE : u n c h o u e tte jo u jo u !
Q u o i d 'n e u f ?
quelques semaines d'exp érim enta­
Après plusieurs jours d'utilisation
n o u v e a u té a n n o n c é e
La mouture 1.0 de KDE n'offre pas de
tion, il semblerait bien que cette clau­
intensive, on apprend à apprécier
fonctionnalités majeures par rapport
se du "co n trat" soit rem plie. Ceci
ce t
à la précédente Bêta 4. Cependant,
n'empêche pas de constater parfois la
concepts comme les templates ou le
certains outils sont désormais présen­
présence de nombreux dysfonction­
support des Mime types permettent
tés en versions stables. Il s'agit par
nements, rappelant quelque peu le
aux utilisateurs avancés de ne pas
exemple de kppp pour la connexion
monde Windows.
trop pester contre le niveau assez
Kfm, un browser presque complet.
Bientôt com patibles Ctk et Qt.
e n v iro n n e m e n t.
Ktétris : un must !
C erta in s
Elle
Options
E^HÎÎ) Applications
| Background
Desktop Manager
D e s k to p -------------------------------------j
Panel
t t-Q J Desktop
Two
Three
Four
Colors
- Ç J Desktop
Language
-©
Screensaver
-if Fonts etc
Wallpaper
C o lo rs ------------
^ Information
'*• Tlled
v" fin e Color
E
(nput Devices
E
Network
v ie n tre d
v- Scaled
Iw o Color
Sound
E s -® Windows
waterOl |pg
Setup
Help
Apply
|
Cancel
[
Background settlngs
Configuration lim itée mais agréable.
Kfm et un bon vieux term inal...
faible en matière de configuration.
(c o m m e k p a n e l), kdehelp et kfm
in té re s sa n ts m ais p o in t de salu t
Mais la plupart des outils annexes
(qu'on aime ou non l'esprit "W eb",
pour les développeurs qui ne veu ­
sont parfois inférieurs à ce que l'on
kfm m é rite le re sp e c t). A vec ces
lent pas utiliser Q t ! En effet, les
peut trouver en logiciel libre. Gv est
outils, on obtient une sorte de ges­
protocoles ne sont pas docum entés
nettement plus puissant que kghost-
tio n n a ire de fe n ê tre "a u g m e n té "
autre part que dans les sources... Et
view, nedit explose kedit, etc. Les
mais pas un desktop comparable à
la réplique de Gnom e ne vaut pas
seuls outils réellement intéressants et
ce que l'on peut trouver sur d'autres
te lle m e n t m ieux de ce p o in t de
novateurs, à notre avis, sont kwm
systèm es ( O p en Step , ça vous dit
vu e-là
(gestionnaire de fenêtre simple et
quelque chose ?).
Gnom e ne so n t pas c o m p a tib le s
e ffica ce) et les m od ules associés
Un p eu d e p o litiq u e
avec KDE (pourtant très largem ent
KDE peut donc se résumer à trois
inspirés !), et pour leur part asso­
outils puissants et imposants, asso­
ciés à Gtk. Bref, le stand ard tan t
ciés à une m yriade d'outils satel­
espéré n'est pas prêt de voir le jour,
lites , s o u v e n t n e tte m e n t m oins
et ce n'est pas plus mal (n'oubliez
intéressants. Cette caractéristique
pas le mot libre dans logiciel libre).
p u is q u e
les
p r o to c o le s
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ne serait pas un défaut si les déve­
Fred Pech
loppeurs de KDE ne s'évertu aien t
pas à clam er haut et fort que KDE
K D E 1. 0
devrait devenir un standard (to u t
du moins sous Linux). Certes, les
p r o to c o le s
Ça ne vous rappelle rien ?
de
c o m m u n ic a t io n
(D rag and drop, Kpart, etc.) sont
^
Terminal
M
Edition
Q
û^chage
Signets
Microsoft Corporatl
Sache
d'utilisation
A Plus de stabilité
Options
O
A Une passerelle efficace depuis
Ihttpi/Avww.mlcrosort corn/
>
window m anager !
A Toujours aussi simple
©I M icrosoft Corporation Home Page; Welcome to M icrosoft
Elchler
En hausse
▲ Kwm+Kdehelp+Kfm = un super
Windows/OS/2 ou M acOS
Racine
>
Q
Ma maison
^
^
Desktop
En baisse
▼ De nombreux bugs parfois très
gênants
▼ La faiblesse de nombreux outils
satellites
▼ L'absence de documentation des
Attend & session on SQL 7.0 database administration and walk away
with the skis to perform nstakations and configuration changes
protocoles : sans Qt, point de salut !
Microsen pelwers Beta 2 of Windows NT S Ol o ?S0,p8Q lesiers
Beta 2 of Microsoft's new breakttrou^ Windows NT 5.0 opérâtng
system marks the retease of the frst version specifica»y ntended for IT
professionals to begin testng m the» organizations
______________J
ü
httpyAvww microsolt com/lThome/
ÎÂcrosoft recently amounced new listings and onène partnerstvps for
HomeAdvisor - from Coktwel Banker, Douglas Eiman, and Prudential
Long Isiand Realty to Yahoo!, Infoseek, end Pathfinder
T h M - E M lL m Ifie Fiqht Agaipst S oftware Pirata
Educaimg your customers on the dangers of software piracy and
convkicing them they need to becorne compilant can lead to business
opportunités
Y La mésentente avec les
Ooentoad tw «ida>rd t^'Mlv ]
oafcti fcr MkrojoflOrtoo* »s
orOefeok ExprwMx.
Expion #» tm-ravins
Valun t ofWndow) «S *r»i
»n>« ripi nd IrxU.
développeurs de Gnome
Note
pour les outils de base
★
★
Argh, Kfm perm et d 'aller sur le site de Microsoft.
★
★
★
★
pour l'ensemble du desktop
★
★
★
*
S ?
Blender 3D
Décidément, la 3 D sous Linux est depuis quelque temps très à la
mode ! (Q ui a d it Titanic ?). Après M oonlight Creator le mois dernier,
voici un autre logiciel g ra tu it qui p o u rra it bien devenir une nouvelle
référence : Blender.
Au départ, ça semble classique.
de fenêtres que vous le désirez, les
d im en sio n n ez et les p o sitionnez
com m e bon vous semble. A partir
lement dans sa version 1.36, mis à
de là, à vous de décider ce que vous
d is p o s itio n d e p u is peu p o u r les
voulez y mettre : menu de création
plates-form es Lin u x , F re e B S D et
d 'o b jets, visualisation des hiérar­
SGI. Le moins que l'on puisse dire,
chies, prévisualisation, scénario, etc.
c'est que cette décision a suscité un
U n e te lle souplesse s 'o b tie n t au
engouem ent des plus remarqués sur
détrim ent de la facilité de prise en
Internet. Se pencher sur le phéno­
main, mais se révèle réellement pro­
mène est dès lors pleinement justi­
ductive à l'usage.
fié.
Des p o s s ib ilité s
U n e in te r fa c e d é r o u t a n t e
im p re s s io n n a n te s
Au la n c e m e n t, on se tro u v e aux
Blender n'a (presque) rien à envier
com m andes d'une interface qui ne
aux grands classiques de la création
devrait pas déstabiliser les utilisa­
3D, ta n t en ce qui co n cern e les
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teurs de Lig h tw ave, m êm e si elle
fonctionnalités et les possibilités de
sem b le ré e lle m e n t c o m p le x e de
m o d é lis a tio n q u e le re n d u . La
prime abord. En effet, n'espérez pas
m odélisation de vos objets s'effec­
créer un dinosaure géant dévastant
tuera à l'aide de meshes, de nurbs,
la ville de N ew York en 2 clicks de
de courbes ou encore de metaballs,
eoCeo est une société néer­
souris ! Contrairement à un 3DSMax
que vous pourrez déformer à volon­
la n d a is e
e n tré e
ou autre TrueSpace, il y a même fort
té. On dispose par la suite de puis­
depuis 9 ans dans le monde
à parier que vous vous creuserez un
santes fonctions pour donner vie à
de la vidéo sur Amiga. Elle plébisci­
peu la tête avant de dessiner votre
ses créations. La fenêtre "sequence
te aujourd 'hui l'utilisation de sta­
premier objet ! Votre espace de tra­
editing" vous permet de contrôler la
tions Sillicon Graphics et com m en­
vail est divisé en plusieurs fenêtres,
structure de votre anim ation, par
ce à p e rc e r f o r te m e n t d a n s le
qui font aussi bien office de fenêtres
frames et keyframes. Il est ensuite
En plein travail...
N
d o m a in e
des
qui
est
tro is
de visualisation que de menus d'op­
p o ss ib le d 'a s s ig n e r à un o b je t
dimensions. Blender représente leur
im a g e s
en
tions. Là réside toute l'originalité de
(forme, lumière, ou même texture)
outil de production interne, actuel­
l'interface : vous définissez autant
un chemin modélisé sous forme de
spline pendant un certain laps de
te m p s . M a is les fo n c tio n n a lité s
d'anim ation de Blender ne se limi­
te n t pas à c e c i, et vo u s aurez
nfoNexus
Statut : gratuit
Source :
http://www. neogeo. nl/blender.html
En hausse
A Le nombre de possibilités
A La qualité du rendu
En baisse
▼ L'interface complexe
▼ L ’absence de Ray Tracing
Note
★
Bon, c'est simple, mais c'est un début.
★
★
★
uaa Distribution TélFax: 03.20.02.06.63
: 03.20.82.17.99
ICCSoftware
Du lundi au vendredi de 9 h à 18 h
email : [email protected]
P
F a i r e d e la 3 D s o u s L i n u x
On p arle de M o o n lig h t C reato r et de Blen d er 3D, m ais il
serait crim in el de p asser sous silence l'ex isten ce d 'au tres
logiciels de qualité sous Linux. Certes, ils sont loin de se hisser
au niveau d'un 3DSM ax ou d'un Softim age, m ais ils m éritent
to u t de même vo tre a tte n tio n . De p lu s, la p lu p a rt sont
g ra tu its . P a rm i ceu x - là , on re tie n d r a s u r t o u t S C E D
JP*
AMtCA” CO£S POWERPC1"
accélératrices
Parte?
Powerpç Amiga 1 200 t :
Sans contrôleur Fast-SCSI-ll (ajout impossible)
Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz
2.490 F
Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz
2.990 F
Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz
3.590 F
Blizzard 603e 160 Mhz + 68060 50 Mhz
4.790 F
Blizzard 603e 200 Mhz + 68060 50 Mhz
5.290 F
Blizzard 603e 240 Mhz + 68060 50 Mhz
5.890 F
Avec contrôleur Fast-SCSI-ll d'origine
Blizzard 603e+ (160/200/240 +040 / 060)
(http.cs.berkeley.edu/~schenney/sced/) et AC3D :
(http://w w w.com p.lancs.ac.uk/com puting/users/andy/ac3dli
nux.htm l), qui offrent des possibilités de m odélisation assez
intéressantes et perm ettent d'exp orter au form at POV. En
m atière de rendering, BM RT :
( h ttp :/ / w w w .s e a s .g w u .e d u / s tu d e n t/ g ritz ),
w er
c l one
+500 F
Partes gççéteratriçe? PowerPC Amiga 3000/4Q0Q :
Cyberstorm PPC604e 180 Mhz +Ultra Wide SCSI 4.390 F
Cyberstorm PPC604e 200 Mhz +Ultra Wide SCSI 5.290 F
Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + Ultra Wide SCSI 5.790 F
Option 68040 25 Mhz monté sur la carte
+ 525 F
Option 68060 50 Mhz monté sur la carte
+ 2.500 F
du
Renderman de Pixar, vous assurera des im ages d'une qualité
exceptionnelle. Aero ( h ttp ://w w w .ee.u w a.ed u .au /~ b rau n l)
perm ettra de créer des systèmes dynam iques et AL de réaliser
des anim ations d'une com plexité incroyable. Cependant, il
fau d ra s'arm e r de p a tie n ce p o u r réu ssir à m a îtris e r ces
logiciels, car l'interface n'est que trop rarem ent un modèle de
convivialité !
notam m ent la possibilité de créer une scène de m orphing
entre deux formes. De plus, Blender offre une gestion com plè­
te de la cinématique inverse ! Rappelons que ce procédé sert à
définir des hiérarchies entre des objets ; ensuite, tout déplace­
ment d'un seul objet modifiera l'ensemble des objets de la hié­
rarchie. Une fois cette technique assimilée, il devient extrême­
PS : Les 68040 et 68060 sont équipés de MMU et FPU.
Cartes Graphiques
AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T
1.990 F
BVision64 4 Mo (Blizzard P P C )
1.790 F
Cybervision P P C 8 Mo (Cyberstorm PPC ) 1.990 F
Périphériques/Accessoires Divers
Boîtier? Tpgrs :
Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier PC +
clavier PC + Alim 200 W+ Emplacements pour
l'extension AtéoBus & Pixel 64
1.090 F
Divers :
Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F
Joystick Konix pour tous les Amiga
99 F
JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga
189 F
Souris 2 boutons haute résolution
129 F
Blizzard SCSI-Kit pour B1230-4/1240/1260 540 F
Squirrel SC SI (Contrôleur SC SI PCMCIA)
550 F
SuftSquirrel SC SI (Idem+rapide + port série) 790 F
Nappes IDE & SC SI (nombreux modèles)
Tél.
Câbles & adaptateurs SCSI (nombreux modèles) Tél.
Adaptateur S C SI Interne B1230/40/60
290 F
Adaptateur M1438/1538 pour PC
159 F
Adaptateur VGA pour A1200/4000
149 F
Coude PCM CIA pour Tour
259 F
Scandoubler externe pour tous les Amiga
790 F
ROM 3.1 (seules) A1200 /4000 (précisez)
349 F
ROM 3.1 (seule) A3000
349 F
ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F
Logiciels Amiga
AsimCDFS v3.9a -Version FrançaiseDirectory Opus 5 Magellan - Vo IBrower 1.2-VoMaster ISO 2.1 -VoMiami 3.x enregistré - VoOrganiser 2.0 -Version FrançaiseOrganiser 2.0 -Version Française Mise à jour-
390 F
490 F
250 F
590 F
339 F
349 F
249 F
N o u s c o n s u lte r p o u r le s c o n d itio n s d e m ise à jour.
Oxyron Patcher - VoPersonal Paint 6.4 -Version FrançaiseTurbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français)
Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français)
Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour
139 F
39 F
490 F
490 F
320 F
N o u s c o n s u lte r p o u r les c o n d itio n s de m ise à jour.
Turbo Print 6.02 -VoWordworth 7.01 CD - Version Française
Wordworth 7.01 Disk - Version Française
450 F
490 F
490 F
L a v e rsio n F ran ça ise s o fficie lle d e W ord w o rth e st livrée avec
u n m anuel im prim é en F ra n ça is et avec u n e carte
d 'e n re g istre m e n t à l'a d re sse d e F ree D istribution S oftw are.
Wordworth 7.01 CD ou Disk (mise à jour)
290 F
L a m is e à jo u r de W ord w o rth 7 e st disp o n ib le e x c lu s iv e m e n t
c h e z F re e D istribution S o ftw a re . V euillez n ous co n su lte r pour
le s c o n d itio n s de m ise à jour.
ZipTools - Vo -
290 F
CD-ROM Amiga
Amiga Format 28
Amiga Format 29
Amiga Format 30
Aminet 24 (Avril 98)
Aminet 25 (Juin 98)
Aminet 26 (Août 98)
Aminet Set 1 ou 2 ou 3
Aminet Set 4 ou 5 ou 6
Amiga Tools 8
Best of Mecomp Vol.2
Euro CD Volume 3
Elastic Dreams
French Storm (Libre essai en Français)
Light Rom 6 (4 Cds)
Scala MM400
JEUX
Foundation CD
Genetic Species
Quake CD
Myst CD
Time of Reckoning
59 F
59 F
59 F
89 F
89 F
89 F
150 F
199 F
139 F
109 F
89 F
519 F
39 F
349 F
519 F
310
310
349
339
199
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ment facile d'animer des scènes complexes, comme un corps
humain qui se déplace. Quant au rendu, il se montre d'une
qualité exceptionnelle pour un tel logiciel, et gère bien enten­
du halos et autres transparences. On notera cependant l'ab­
sence regrettable de raytracing, le petit plus qui aurait fait de
Blender LA référence en matière de rendering sous Linux.
P o u r c o n c lu re
En résumé, nous nous trouvons en présence d'un logiciel d'ex­
ception, qui permettra de réaliser un travail d'une très bonne
qualité. Le seul réel point noir constitue la difficulté de prise
en main du logiciel ; il est à ce sujet vivem ent recom m andé de
télécharger le manuel et les tutoriels présents sur le site. Vous
y découvrirez la signification de certaines icônes pour le moins
obscures; ainsi que les nom b reux raccourcis claviers. Par
ailleurs,, un canal Ire, #blender3d, vous apportera sûrem ent
l'aide dont vous aurez besoin. N'attendez plus !
Sportster 56Ko Message Modem
1.350 F
Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD
+149 F
Lecteur? de disquette? :
DD 720 / 880 Ko interne A500
250 F
DD 720 / 880 Ko interne A600/1200
230 F
DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F
DD 720/880 Ko externe pour tous
480 F
HD Interne 1.4 n .76 Mo pour A2000/4000 650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200 (classique) 650 F
HD Externe 1.4 /1.76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F
SIMM EDO 16 Mo (A ttention : P énurie im m in e n te !)Tél.
SIMM EDO 32 Mo (A ttention : P énurie im m in e n te !) Tél.
CD-AUDIO (Réalisés sur Amiga)
Amiga Theme CD - Back for the Future
Neuland - das schwarze system
F
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79 F
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Plus de 200 CD-ROMs Amiga sont disponibles !!
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Amiga Forever 2.0 CD
Emulateur Amiga pour PC/Pentium
Amiga Forever 1.0 -> 2.0 CD update
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Périphériques
Lecteur CD 24 X Pioneer/Sony Atapi Interne 490 F
Disque Dur 3.5" - 3.2 Go IDE Interne
1.090 F
Lecteur CD Pioneer 32 X SCSI-II Interne
Lecteur CD Pioneer 32 X SCSI-II Externe
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Disque Dur 4,3 Go Ultra SC SI Interne
Boîtier Externe alimenté en option
2.090 F
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Nous consulter pour les autres périphériques.
* C o n trô le u r SC SI requis.
Christophe Noël
F
Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande
par chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone ou télécopie ou Internet. Frais de port CDROMs & Logiciels : 35 F - Petits accessoires : 50 F - Périphériques : 80 F - Configs &
Tours : 100 Frs. Livraison au choix par la poste ou par messagerie express.
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Un exemple réalisé p ar NeoCeo.
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Désignation
Qté
Prix
Frais de port forfaitaire : 35 F, 50, 80 F ou 100 F (Voir ci-dessus)
1
Montant total de la commande
Ci-joint mon règlement par ( ) Chèque, ( ) Mandat,
( ) Carte Bancaire n° : !________ !_________ !________ !________ ! Exp !___ !___ !
Date et signature
Oflre valable dans la limite des stocks, prix donnés à titre indicatits. les CD-ROMS et certains logiciels sont en langue anglaise.
m
DDD 3.0
DDD Tip of ttie Day #9
If you want to customize the DDD fonts, see
Edit—»Pneferences—+onts
Nouvelle interface, nouvelles
fonctionnalités, DDD devient la référence
des débogueurs graphiques sous X !
Une aide en ligne omniprésente, avec les "tips o f the d ay" en prime.
du fantastique débogueur G N U sont
Fie
Edit
Vtew
FTogram
Commands
( ) : | H s t-> n e x t-> n e x ti
J J ,
S tatus
Source
(Kl ©‘ uuch
Qo' Prmt
?
Fmo»
U st
( L i s t *) 0x804aee8
s e lf
ne x t
f
&.
D>sot*y
- 0x804aee8
- 0x804aef8
v a lu e - 86
s e l f - 0x804aef8
n e x t - 0x804af08
4 : *1 i s t-> n e x t-> n e x t[
lis t- > n e x t- > n e x t
11s t-> n e x t-> n e x t-> n e x t
d S lê t ! i ! S " > n iX tî
11
//---
v o ld r
i
Interrupt
ICL is t * ) 0x804afÔë1
rf-icomM/inoMnn
vdd
i œ m m ÊBEan BM ÊÊÊK ÊÊÊm
{
)
r
- new L 1 s t(a _ g lo b a l + s t a r t+ + ) ;
- U s t;
+ 3 delete 11st->next->next;I
}
I // Tes*-
Help
3: *1 1 s t-> n e x t
2: *1 1 s t
1:
Data
Step
Stept
Ne*!
Nexti
ÜÜ
There are three ways to show the value of a variable
• Vou can view its value, slmply by pointing al it;
• You can prtnt its value m the debugger console, uemg FYlnt (),
• You can dlsplay it graphlcally, uslng Display ()
Java. Déjà pratiquement incontour­
désormais accessibles depuis l'interfa­
nable, DDD devient avec cette nou­
ce de DDD. Ainsi, les très pratiques
velle version un outil indispensable
Watchpoints (breakpoints déclenchés
pour tout développeur Unix. Il ne
lorsqu'une variable est lue ou écrite)
reste plus qu'à attendre les versions
sont disponibles. Les développeurs
free software d'autres outils de débo­
d'applications systèmes seront ravis
guage (contrôle statique des sources,
d'apprendre que l'on peut maintenant
vérificateur d'allocations dynamique
paramétrer la réception ou l'émission
"a la Purify", etc.) pour faire de Linux
des signaux ou encore observer les
LA plate-forme de développement,
piles de plusieurs threads en cours
tout simplement !
d'exécution. Autre bonne nouvelle,
Kü
Down
Fwd
M*k*
Fred Pesch
les faiblesses de DDD 2.x en matière
de support du C++ sont maintenant
InfoNexus
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
{
da
de
da
}
//
prev Tip
Next Tip
:
(gdb) graph d ls p la y * ( l1 s t- > n e x t- > n e x t- > n e x t) dépendent on 4
(gdb) I
j
Ii8t->nexi->next - ( L i s t * ) 0x804af08
DDD à l'œ uvre avec un program m e en C++.
de l'histoire ancienne. Le Data Display
ne rechignera plus à explorer classes
En hausse
et objets. De nouveaux langages font
A Interface remodelée
également leur apparition : Ada ou
A Watchpoints
Fortran sont désormais plus ou moins
A Le D ata Display, toujours aussi
supportés.
fantastique
E nfin un fr o n te n d p o u r jd b
A Support Java
La principale nouveauté de DDD 3.0
a p rem ière ch o se qu e l'on
réside cependant dans le support du
remarque lorsque l'on démarre
débogueur source fourni avec le Java
le nouveau DDD, c'est sa nou­
Development Kit : jdb. Pour ceux qui
velle interface plus conviviale que
ne saisissent pas tout à fait l'ampleur
jam ais. Les possesseurs de petits
de l'événem ent, utilisons des mots
L
écrans (15" ou 14") ont toujours pesté
plus simples : "Le
contre la disposition des fenêtres de
déboguage gra­
DD D. A vec la n o u velle version, le
phique d'applica­
mode "fenêtres empilées" est nette­
tio ns Java sous
ment mieux agencé et s'accommode
Linux est enfin
très bien des p etites surfaces (e t
p o s s ib le
! "
d'avoir un débogueur dans un coin
p ro p o se
d 'écran, très p ratiq u e). Une barre
autant de fo n c­
tio n n a lité s que
é g a le m e n t
a p p a ritio n .
gdb, mais les ses­
Certaines icônes sont agrém entées
sions habituelle­
d'une petite flèche indiquant qu'un
ment fastidieuses
sous-menu est disponible. Pour acti­
de d é b o g u a g e
son
ver ce sous-menu, il suffit de cliquer
1:
avec jdb devien­
sur l'icône et de glisser vers le bas :
nent maintenant
simple et efficace.
très agréables. Le
S u p p o rt to t a l d e g d b 4 .1 7
D a ta
D i s p la y
Même si la console gdb (dbx/wbx/jdb)
fo n c tio n n e par
est toujours présente en bas de la
exem ple parfai­
fenêtre, la plupart des fonctionnalités
tement en mode
ï>
.eoeup
Source
★
★
★
★
Data
iXl & G® f j i .
r m» t>H> ueicn P1V.1 frreu»
d is p la y
_d1spl ay
_opened
pas
d'icône très jolie et fonctionnelle a
fa it
Status
.
C ertes, jd b ne
Note
★
(): dlsplay._d1splay_name.dati
_d1splay_name -
même sur les grandes, cela permet
En baisse
A Rien !
“
npos
- ...
nilR ep - . . .
dat
- 0x8052a50
)x8052e88
tru e
fit m aln(void)
gXDIsplay d ls p la y ;
57
Q 58
59
♦
cout << '\nOpening the d is p la y \n ';
to u t <<
\n \n * ;
dlsp la y.o p e n O ;
1fi( !d i spl ay. isOpenedO) {
cout << "Cannot open the d is p la y \n \n " ;
e x lt( l) ;
Interrupt
Step
Step
Next
Nextt
UnM Fweh
Cont
Kâ
Up
Dow
Baek
Fwd
cout << 'D is p la y opened, address - * << d is p la y .g e tX D Is p la y ü << endl << endl;
cout << 'D ls p la y 1n fo rm atio n s\n ';
cout <<
1 ■■■ ■— \n\n‘ ;
G9
ShowOi s p la y ln fo rm a tio n s(d i splay) ;
Dump o f assembler code from 0x604ad75 to 0x804ae75:
le a l
0 x fffffff4 (% e b p ),*e a x
4
Î)x804ad75 <mai rt+93>
pushl *eax
0x804ad78 <main+96>
0x804ad79 <ma1rt+97>:
c a ll
0x804b0a4 <gXD1splay::1sOpened(vo1d) const>
addl
$0x4,%esp
0x804ad7e <mairt+102>
(gdb)
(gdb)
(gdb)
(gdb)
(gdb)
graph undlsplay 2
next
next
next
I
s Disassembling location 0x804ad75 to 0x804ae75 done
La nouvelle interface de DDD, excellente !
Transcat 1.01
met à tout m om ent de se tenir au
courant du pourcentage de chaînes
déjà traduites. Paramètre important
pour les développeurs, il est possible
d'exporter les paramètres du cata­
Vous vous plaignez parce que vos logiciels sont en anglais ? Traduisez-les donc
vous-même ! Transcat est un logiciel qui permet d'automatiser l'opération.
logue en co n stan tes aux form ats
Assembleur, C, E et BlitzBasic. Un
logiciel bien pratique si ce n'est qu'il
C'est ce que l'on appelle des cata­
lui m an q u e des co m m a n d e s é lé ­
logues. Il est donc possible pour le
mentaires telles que Copier/Coller.
quidam de traduire un logiciel en
Ce qui aurait été bien pratique puis­
français pour peu qu'il ait les outils
qu'on ne manipule que du texte.
adéquats. C'est justement là le prin­
Lionel Thillot - e-mail : [email protected]
c ip a l in té r ê t de l'o u til Transcat,
d é v e lo p p é par le fran ça is Z ig u s.
Fonctionnant à partir d'une interface
T r a n s c a t 1.01
Mui, Transcat permet de modifier le
contenu d'un catalogue, ainsi que
Statut : shareware
les divers param ètres inhérents à
Source : Aminet
celui-ci (numéro de version, nom de
L
En hausse
la langue utilisée, etc.).
A Export des param ètres en divers
P ra tiq u e
langages
'avantage du système Am iga
L'interface de Transcat se décom po­
En baisse
résid e d an s le fa it q u e les
se en plusieurs parties : d'un côté,
JV Pas de Copier/Coller
textes des logiciels (m en u s,
les expressions du catalogue original
avertissements, etc.) sont la plupart
et de l'autre, les chaînes de carac­
du temps séparés de l'exécutable.
tères traduites. Un indicateur per­
Note
★
★
★
★
★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Amiga - Macintosh - Linux - PC
Incroyable !!!
Pour l’achat d’une carte
PPC, nous vous offrons :
• 16Mo (Blizzard)
• 32Mo (CyberStorm )
• Port gratuit
Les Bvision (A1200) et
Cybervision PPC (A4000-A3000)
sont effectivement disponibles.
Moniteurs & Vidéo
C artes PPC Ultra-Wide A 4 0 0 0
AverTVGenie ProTV (Vidéo PAL sur écran VGA) ......... 8 5 0 F
Atéo Bus + Pixel64..................................... 1 9 9 0 F
BVision PPC 4 M o ....................................... 1 4 5 0 F
CyberVision PPC 8 M o ................................. 1 7 9 0 F
Moniteur 15" 0.2 3 ........................................ 1 5 0 0 F
Moniteur 17" 0.2 3 ........................................2 5 5 0 F
Mitsubishi 17' 0.25 Plus 71......................... 3 9 9 0 F
Mitsubishi 17' 0.25 Plus 7 2 ........................ 4 4 9 0 F
Cyberstorm 130Mhz support 040 ou oeo...
4 490 F
Cyberstorm 130Mhz a vec 0 4 0
4 390 F
Cyberstorm 233Mhz avec 040 à 25 m
Mémoires de m asse
C artes PPC Ultra-SCSI A1200
Lecteur CDROM IDE 3 2 x ................ .............. 4 0 0 F
Lecteur CDROM SC SI 24x............. ............... 750 F
Disque dur IDE 2.1 G o ..................... .............. 9 5 0 F
Disque dur IDE 3.2 G o .................... ............ 1 2 9 0 F
Disque dur IDE 4.3 G o .................... ............ 1 3 9 0 F
DD SC SI UW 4.5 Go .......................
2 390 F
Lecteur ZIP ATAPI interne.............. ...............7 9 0 F
Mémoires & Divers
SIMM 8 Mo ED O .............................................. <30
SIMM 16 Mo E D O ............................................ 120
SIMM 52 Mo ED O .......................................... 2 3 0
SIMM 32 Mo EDO SIM PLE FACE II!................ 3 5 0
Boîtier Atéo 1200 + Clavier......................... 1 0 9 0
Modem U S R S p o rts te r 5 6 0 0 0 ...............1 150
Wordworth 7.0 fra n ç a is ..............................4 9 0
CD Am inet 2 6 ................................................3 0
F
F
F
F
F
F
F
F
à 2 5 m h z .....
Cyberstorm 200Mhz s u p p o r t 040 ou oeo
5 290 F
Cyberstorm 200Mhz ave c 040 à 25 m h z
5 590 F
..
Cyberstorm 233Mhzsupport040ou060..............5 750 F
hz
Blizzard 603e+ 160Mhz&040à 25 m
.............. 6 2 0 0 F
h z ...........................
Blizzard 603e+ 200Mhz&040à 25 MHz
2 990 F
...........3 5 5 0 F
Blizzard 603e+ 240Mhz & 040 à 25 M H z .............. 4 150 F
Blizzard
603e+ 160Mhz &
s u p p o rt
040 ou 0 60....... 2 3 0 0 F
Blizzard 603e+ 200Mhz & su p p o rt 040
ou
060 ....... 3 4 5 0 F
Blizzard 603e+ 240Mhz& s u p p o r t 040 ou o e o
3 990 F
C artes PPC A1200
Blizzard 603e 160Mhz & 040 à 25 M H z .............
2 450 F
Blizzard 603e 200Mhz &040 à 25 m h z
...........
2 990 F
M H z .............
3 590 F
Blizzard 603e 240Mhz & 040 à 2 5
Blizzard 603e 160Mhz &s u p p o r t 040 ou oeo
2 290 F
Blizzard 605e 200Mhz &s u p p o r t 040 ou oeo
2 300 F
Blizzard 603e 240Mhz &s u p p o r t 040 ou oeo
3 450 F
430
..160
290
50
...120
Nappe S C S I UW 6 3 p ts - 4 connecteurs internes M + slot externe F (idéal Cyberstorm)
Nappe S C S I UW 6 3 p ts - 1 connecteur DSub6ô M + 1 connecteur HE10-50 - 15cm .......
Nappe S C S I UW 6 3 p ts - 3 connecteurs DSub63 M - 0,30m ........................................
La sortie des Blizzard pour A2000
est repoussée à l’année prochaine...
A d a p ta te u r IDE - 1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2................................
Les cartes à base de 6 8 0 6 0
ne sont plus au tarif Phase-5.
Route départem entale 523 • 3Ô570 TENCIN
Câble SC S I- 2 - Mini D50 M vers DB25 M ..........................................................................
Tél. : 0 4 76 4 5 6 0 6 0 - Fax 0 4 76 4 5 6 0 5 5 • www.pragm a-info.com
F
F
F
F
F
Frais de p o rt :
Moniteurs et boitier : 150 F
Connectique, RAM & logiciels : 25 F
Autre : 50 F
A?
Cobe P ro d u ctive 1.0
comme d'habitude, lui attribuez un
nom par le menu de l'icône en forme
de trombone et c'est tout ! Ce nom se
rajoute à la liste de ceux déjà créés et sa
sélection vous ramène au bloc en ques­
Testé sur BeOS 3.2 pour Intel, ce logiciel créé par des anciens de Claris
ouvre les portes de la bureautique simple et efficace sur BeOS.
tion, déjà ressélectionné pour vous.
Simple et rapide. Quant à la présenta­
tion, certains regretteront l'absence de
gestion du son, mais on ne peut pas
tout mettre dans une première ver­
sion... Cependant, les opérations se
font en temps réel, ce qui pallie large­
•
t
„
ment ce genre de manques. La sélec­
„
Slide Two
tion de taille d'une police par exemple
se fait devant vos yeux en même temps
que le déplacement du curseur, tout
Use ail of the saine tools that
you’re alreadv familiar with to
create your slides.
com m e la fonction zoom qui peut
varier de 1 à 6400 % ! Au chapitre des
lacunes, on peut regretter l'absence de
( vraphics
Spreadsheet
base de données (qui devrait faire son
apparition dans la prochaine version) et
le manque de support des fichiers aux
formats "étrangers". Pour ce qui est du
La sélection des polices
L 'application de présentation est
est simple et rapide.
tout à fait suffisante dans la plupart des cas.
D
traitement de texte, seul le RTF est sup­
porté, ce qui est déjà mieux que rien...
Bon p o u r le service
isposer d'un bon traitement de
grandem ent la vie, on note que les
texte et de quelques autres
polices sont affichées directement avec
D isp onib le sur le site w ww .bedep o t.co m au prix d'environ 150 S
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
applications bureautiques "de
leur forme réelle dans l'onglet de sélec­
base" est indispensable à tout système
tion, ce qui permet de repérer immé­
tion illimitée, ce logiciel permet de
diatement celle dont on a besoin. Du
d'exploitation qui se respecte. BeOS
voir en BeOS un système d'exploita­
n'échappe pas à cette règle et malgré
reste, cet onglet peut être séparé de la
tion de plus en plus complet. Quoi
des logiciels co m m e BeBasics de
fenêtre principale en gardant le bouton
q u 'en disent les personnalités de
BeatWare, ce créneau restait encore lar­
de la souris enfoncé et en le tirant à
Be In c ., il ne m anque plus que
g em e n t sous-équipé. A vec Gobe
l'extérieur du document. On a alors une
quelques jeux et un support hardware
Productive 1.0, un grand pas en avant
palette flottante accessible immédiate­
digne de ce nom pour faire de cet OS
est fait.
ment. Ce principe est applicable à tous
bien plus qu'un système alternatif
Le d o c u m e n t est roi
les menus importants.
nécessitant de garder Windows sur son
Gobe Productive se situe dans la même
Des promesses tenues
disque dur. Bien sûr, pour la France et
catégorie que ClarisWorks ou Microsoft
En ce qui concerne son utilisation, Gobe
les pays non anglophones en général,
Works. C'est un intégré qui regroupe
Productive se montre impressionnant de
l'absence constante de support des
des fonctions de traitement de texte,
rapidité et de simplicité. Le tutorial écrit
langues nationales dans les applications
de tab leu r, de p résen tatio n , de
en HTML est très clair (mais en anglais,
reste un problème. Mais cela aussi
retouche d'images et de création de
comme tout le reste de l'application) et
devrait évoluer rapidement compte
graphiques. Mais au lieu de disposer
permet de se familiariser rapidement
tenu du nombre de programmeurs
d'une application pour chaque type de
avec des astuces comme les styles sau-
francophones travaillant sur BeOS...
document, c'est le document qui "déci­
vegardables pour les blocs de texte ou
Infos supplémentaires :
de" des outils dont vous allez disposer.
encore les sélections mémorisables. Ces
http://www.gobe.com
Exemple : vous ouvrez un nouveau
dernières sont très pratiques : vous
document dans un environnement de
sélectionn ez vo tre bloc de texte
type traitement de texte mais vous avez
blèmes, il vous suffit d'insérer ce dernier
change de configuration lorsque vous
cliquez sur votre tableau pour faire
apparaître des icônes qui lui sont spéci­
fichier et l'interface reste une des plus
simples et des plus intuitives existantes
En hausse
Ernie ?
dans votre document. La barre d'outils
fiques. Le tout réside dans un seul
Arnaud Chaudron
G o b e P r o d u c t i v e 1.0
besoin de faire un tableau. Pas de pro­
( 40
(900 F) pour une licence d'utilisa­
Ql ■ y m
* * £ +
<0
▲ Intégré
A Temps réel
3267 Mail
Sloan, IA
En baisse
▼ En anglais
.
J |
pour ce genre de programme. Dans la
Tous les menus importants peuvent
série des petites idées qui simplifient
prendre la forme de palettes flottantes.
▼ Support de fichiers
Note
★
★
★
★
DREAM - N°54 - SEPTEMBRE 1998
AmiComSys
pagers dont le plus connu de tous est
Ce logiciel, dont le développement
a commencé avant l'apparition de
bons clones de ICQ, permet aux
utilisateurs d'Amiga connectés au
Net de se rencontrer plus
facilement.
I
connectés. Ici toutes les personnes
sans conteste le programme ICQ (pro­
loguées au serveur de ACS sont mon­
noncez "I seek y o u ") de la société
trées, avec des mises en surbrillance
Mirabilis. Voyant que ses program ­
pour celles que vous avez choisies
meurs ne com ptaient pas aider ou
auparavant. Un tel mode serait impen­
même autoriser une version de ICQ sur
sable avec ICQ et ses millions d'utilisa­
Amiga, quelques développeurs se sont
teurs, mais malheureusement, on ne
mis au travail pour faire un programme
dépasse que rarement les 20 personnes
remplissant à peu près les mêmes fonc­
connectées simultanément sur ACS.
tions m ais u n iq u e m en t destiné à
Faites donc connaître ce shareware à
I n'y a pas si longtemps, l'Amiga
l'Amiga. AmiComSys (ACS) vit donc le
vos amis ! Parmi les petits plus intéres­
était encore privé de la dernière
jour. Sa création fut assez rapide car il
sants, la présence de fiches de person­
trouvaille intéressante du Net : les
utilise pour toutes ses communications
nalité que l'on peut remplir permet de
avec Internet un autre
connaître plus rapidement les autres.
program m e nom m é
On y trouve l'adresse de leur éventuelle
Amarquee qui se char­
page web, le type de matériel qu'ils
h ttp / /M lco a ty» 1 ibb «t
H «tlo oui there'
GreeIing» fo lio » Worldwide Aolgeno
F rMob losgine User______________________________________
4 M » François Aaigo Rul#«« i » (STR.co Uln .52
«onno lo ik «bout ouste?
P ix o u o » l «00 ony suggestions <ln Fronch Plsase )
OS Monta i h ttp //»urf to/osaama Another French her
240eh2 ru les I >
Heilo fros Québec. Canada
sieag*i-franco coe • h itp //sleag t-france coo «bien
h ttp ./ / e u r f. to/oseenia Another French her
ge du "sale travail",
possèdent ou encore leurs centres d'in­
c'est-à-dire le contrôle
térêt. Et parfois aussi leur numéro d'uti­
des paquets émis et
lisateur ICQ...
reçus par TCP/IP. ACS
perm et de dialoguer
par petits messages,
|MuillS>na|| Q i Message
I
AmiComSys
d'envoyer des fichiers
entre utilisateurs, de
Senfl Massage
Arnaud Chaudron
lin back... -)
discuter à plusieurs ou
Senti Message to Bigtower
en tête-à-tête en direct
En hausse
▲ Utilisateurs Am iga uniquement
En baisse
▼ Pas assez d'utilisateurs
et surtout de voir dans
1
Les petits messages sont utiles pour "réveiller" quelqu'un
la fenêtre princip ale
: ils apparaissent devant toutes les autres fenêtres.
les autres utilisateurs
Note
★
★
★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
E co u ter
des M P 3
sur A m ig a
,
Plus qu'une mode le form at de
fichier Mpeg loyer III (MP3) a
changé la façon d écouter de la
musique de nombreux fans
d'informatique. Mais pour bien en
profiter il faut les bons logiciels...
,
EaglePlayer, SongPlayer et
AmigaAMP deviennent subi­
tem ent bien plus intéres­
sants. Si Am igaAMP amuse
un moment avec sa possibi­
lité de changer com plète­
ment le look de son interfa­
ce et sa ressemblance avec
les versions Mac et Windows
de ce logiciel, sa qualité
sonore et ses lacunes dans la
gestion du multitâche en
font un gadget. Q uan t à
ur Amiga, le problème le plus évi­
EaglePlayer, on se trouve
dent est le manque de puissance
face à un logiciel bien plus
d'une m achine de base pour
S
Avec le look Empy, Eagleplayer est transformé. On
peut même le réduire à une simple télécommande...
efficace, pouvant lire également une
et tester ces logiciels est indispensable
décoder ces fichiers et les lire en temps
quantité d'autres formats.
aux possesseurs de cartes PowerUp.
réel avec une qualité sonore agréable.
Malheureusement, la version bêta la
Pour ce qui est du choix, c'est égale­
Sur un A l200 de base, autant dire que
plus avancée actuellem ent (la 2.02)
ment une affaire de goût et d'oreille...
le résultat est catastrophique. Avec un
requiert une clé spéciale pour être utili­
processeur 68060, les choses s'amélio­
sable et donc seuls les utilisateurs enre­
rent nettement, mais c'est avec un
gistrés de ce shareware peuvent en pro­
PowerPC que votre machine se trans­
fiter. Reste alors SongPlayer, à l'interface
formera en véritable juke-box infati­
simple et efficace mais peut être moins
gable. Pour cela, il faudra installer la
attrayante. Heureusement, ce dernier
mpega.library et son module PowerPC
bénéficie de la meilleure gestion du
(mpegappcjibrary.elf). Dès lors, tous
multitâche disponible actuellement et
les logiciels utilisant cette librairie pour
d'une facilité d'utilisation/configuration
jouer les MP3 vont se mettre à exploiter
exemplaire. Un tour sur Am inet ou
le PowerPC de votre carte PowerUp.
dans les CD de Dream pour récupérer
Arnaud Chaudron
En hausse
▲ Qualité sonore irréprochable
En baisse
▼ Nécessite un PowerPC
Note
★
★
★
★
Delirium
à 1 W a tt et que
G'xl
Source: 1
celle de la machi­
ne co m p lè te (y
compris le disque
dur), se situe aux
Deeunauon' !
Curreix Filr j~
Archive Sue: | 1360
Skulk rucher iYogtw
RAM :RamüùcO.S.!Windcn»RD
RAM "RamDiKOS 'WindiwPK
: | 4 /| 4
SpritM
Original Sue: f 2578
Rmm f 52*
D elirium est un nouvel économiseur d'écran proposé p a r
alentours de 12 Watts. Delirium fait
s'intégrer facilement aux spécificités
Kulture, un groupe de Demomakers.
donc un usage immodéré du proces­
de votre machine (AutoVCache...). Il
seur, et ce pour le plus grand plaisir
gère de surcroît la configuration de
des yeux. Un StrongArm et le module
chacun des m odules. Il est même
appelons que l'écran est bien la
AutoVCache sont plus que conseillés
déjà prévu de le rendre compatible
seule chose à économiser sur un
pour profiter de ce logiciel. Delirium se
avec le Phoebe, bien que la gestion de
Risc Pc puisque la consomma­
ve u t su p érieu r aux éco nom iseurs
l'économiseur d'écran soit différente
tion de son processeur reste inférieure
d'écran classiques, et c'est plutôt réus­
de celle choisit par Acorn.
R
si ! Les premiers effets sont en grande
David Feugey
partie tirés de la démo de Kulture. Le
Delirium
classique Star est transfiguré et réelle­
ment magnifique.
Indisp en sable
Statut : Shareware, SOF
L 'in te rfa c e
Source : www. various-
de c e t é co n o m is e u r
d'écran permet de lancer facilement
artists.demon.co.uk/delirium.
des modules écrits dans toutes sortes
C‘T/Z—
t |X j
1
J I JJi
*
t—f»—.
l~4
i
J 1
j (✓ k M
j
l jQ
B— • I> ~
□ □&
IC M k
'ilV '..
f
?
C mmri
H
*2 3
*
J
an
En hausse
de langages... de l'assem bleur au
A Effets de démo !
Basic. Evidem m ent, ceci risque de
A Puissance de certains modules
En baisse
faire la joie des program m eurs en
herbe. Les modules actuels sont plus
▼ Modules de qualité inégale
ou moins impressionnants et peuvent
▼ Quelques bugs !
quelquefois être gourmands en espa­
Note
★
ce disque. Delirium reste cependant
»AM
★
★
★
★
un produit intéressant et capable de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Sim ple et pratique.
SkulICrusher
SkulICrusher est un u tilita ire de SkullSoftware qui
p erm et d 'a u to m a tis er e t de fa c ilite r la création
d'archives de toutes sortes.
l est possible de choisir l'algorithme
I
C'est beau non ?
Inutile, donc...
complexes : archives multiparties pour
me est écrit en WimpBasic et nécessite
de bzip2, pourrait bien le rendre rapi­
stockage sur disquettes (par exemple),
donc la présence de IWBModules, qui
dement indispensable sur plateforme
encryption, stockage du squelette d'un
ne pèse que 70Ko.
Risc Os.
disque (on sauvegarde l'arborescence
Pas d e m u ltitâ c h e ...
mais pas les données), stockage des
Le seul souci réside dans le fait que la
fichiers de taille nulle... SkulICrusher est
création d'une archive se fait en mode
raisonnable­
m onotâche : pas question de faire
Statut : Gratuit
m ent rapide
autre chose pendant une opération
Source :
www. eganc. démon.co. uk/skullsoft.
de compression, Izh ou squash, ainsi
que d'effectuer des opérations plus
et
... indispensable !
David Feugey
SkulICrusher
propose
d'archivage. De même, on ne peut
un systèm e
visualiser le contenu d'une archive
complet pour
autrement qu'en extrayant son squelet­
A Simplifie la création d'archives
visu aliser la
te, ce qui est un peu fastidieux.
A Interface bien pensée
progression
L'intérêt de SkulICrusher est qu'il peut
En baisse
de la création
intégrer d'autres modules de compres­
▼ Difficile de lister le contenu d'une
d'une archive
sion, l'opération d'archivage pur étant
archive
ou les statis-
gérée par le logiciel. Ainsi les auteurs se
▼ Monotâche
tiq u e s
de
penchent sur des modules plus puis­
compression.
sants que Izh, tels gzip ou bzip2 !
Ce program-
SkulICrusher, en simplifiant l'utilisation
En hausse
Note
★
★
★
★
★
DREAM MARK ET
Dream vous propose de participer à cette nouvelle
rubrique Dream Market. Particuliers, clubs,
associations, boutiques, PME...
Cette rubrique est pour vous.
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Trapped Dk
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Fifa Soccer Dk
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990f
399f
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199f
299f
249f
249f
12 9 f
249f
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100f
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Carte/HD/Mem : 60f
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Lecteur 1.76M o interne(4) / E xterne 4 4 9 f
Souris W izard
C able P arnet + Program m es
C able 2.5/3.5/3.5
Tour M icronik A 1200
A lim M icronik Tour A1200
B oitier C lavier A 1200
Scsi slot pour to u r
Tour+alim +boitier clavier
Tablette W acom Artpad 2
Pad C om pétition Pro X1 / X 3
12 9 f
W ordW orth 7
M iam i V 3 (va)
l-B row se (va)
TurboPrint 6 (va)
E lastic D ream s CD (va)
D eluxe P aint V C D
Scala M M 400 C D (va)
Siam ese System (va)
A m iga Tools 8 CD
A m inet 16 à 22 C D
A m inet 23 à 26 C D
A m inet set 6 C D
A m iga Forever 2.0
Sam ba W orld Cup CD ou Dk
Quake CD
Time Reckoning Quake CD (Add On)
Foudation CD
G enetics species CD
220f
390f
119 0 f
449f
/ 540f
120f
120f
10Of
990f
399f
349f
149f
1590f
12 5 0 f
/ 349f
449f
299f
299f
399f
499f
199f
499f
299f
120f
65f
85f
199f
369f
269f
369f
199f
269f
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A kira CD32
W orkbench D esigner 2 CD
A m iga Tools 6 CD
G eek G adgets A D E 1 ou 2 CD
Q uaterback Tools Bundle
D istant Suns 5.01 CD
D istant Suns 4.2
Flight A m azo n Q ueen
Blitz Tennis
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Testam ent
M a ster Axe
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C ygnus 8
Uropa 2 CD
S hadow o f 3Rd m oon CD
M yst CD
Brain D am age Pinball
S im on S orcerer CD
M egablast
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R ailroad Tycoon
C olonisation
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P-OS Pre release CD
S w ord
P Paint 7.1 CD
UFO
M ega Typhoon
T h em e Park
C haos engine 2 A G A
M ods A ntho logy CD
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Light Rom G old CD
Light Rom 5 CD
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PRIX NETS TTC M ODIFIABLES SANS PREAVIS - CHEQUE A L’ORDRE DE MYGALE
80f
12 0 f
80f
10 0 f
18 0 f
169f
10 0 f
169f
10 0 f
149f
129f
129f
149f
10 0 f
199f
199f
299f
149f
149f
10 0 f
149f
149f
180f
149f
12 0 f
160f
249f
149f
149f
149f
149f
18 0 f
18 0 f
18 0 f
180f
199f
290f
299f
199f
199f
149f
269f
269f
- 3
Corel W ordPerfect 8 bêta
Inst«ll«tlon Dlrvctory
Mor<fyfect 8 11 designed «nd coaplltd to
rut undcr the Follouiny L yiln configuration
<or firction»! «situaient):
Opérâting syste»: Llruc 2.0.18
Patdrfn):
None
X server :
XUfS
On ne chôme pas chez Corel : à peine 6 mois après le portage de la
version 7 de WordPerfect sous Linux, voici en bêta la version 8 du
fameux traitement de texte !
ify the directory in uhlch to Im tell the
B lr e e t o r y H s œ :
/ u s r / lo c e l/ w p ^
gnent, si besoin en était encore, de la
richesse des applications Linux.
P our quels u tilis a te u rs ?
V W Ztm
•* [ « V - .
v « -1
Le particulier retrouvera ici tout ce qu'il
«j » «•
M > «.
M
! . T**C n 4 ~ < r
peut atten d re d 'u n traitem en t de
in
" «M al
textes W Y S IW Y G . A prem ière vue,
1 v
^ ■
—
V * ’0
M M *
< ■* ’ * •
j
- ***
|_ S L .|
[ * ]
•’ « M i m
, (■ »
m
_Ban...-.j
La procédure d'installation.
Comment ça, c'est sous Linux ?
Html et de les publier sur le Web. Si
W ordPerfect est un logiciel des plus
le co d e so u rce ré su ltan t de ces
complets, et rien ne joue véritable­
fichiers est tout à fait honorable et
ment en faveur de ses homologues. Il
clair pour un logiciel de ce type, il
est en effet possible de réaliser des
vaut mieux éviter de vouloir retou­
mises en pages c o m p re n a n t des
cher le code Html à la main directe­
tableaux ou des colonnes, d'insérer
m ent dans le logiciel. En effet, la
des graphiques et autres feuilles de
fenêtre de visualisation n'est pas un
calculs, de dessiner des formes... c'est-
modèle de clarté et d'efficacité, et ne
à-dire de produire des documents très
ravira pas les bidouilleurs qui aiment
ors de sa sortie, malgré son prix
L
co m p lets et c o rre cte m e n t mis en
mettre la main à la pâte.
élevé, WordPerfect 7 (cf. Dream
page. On ne note cependant pas d'in­
D o n c ...
n°50 p .34) présentait de nom­
novations majeures depuis la version
En résumé, nous avons là un logiciel
breux atouts propres à séduire bon
précédente, mais une foule de petites
com plet de très bonne qualité, qui
nombre d'utilisateurs que rebutent les
options supplémentaires qui parsè­
se montre d'une facilité d'installation
installations, configurations et utilisa­
ment les menus. L'outil de correction
et d 'u tilis a tio n d é c o n c e rta n te s ,
tions fastidieuses. Alors, qu'en est-il de
automatique soulignera les imperfec­
caractéristiques suffisamment rares
cette nouvelle version ? L'installation se
tions orthographiques et corrigera
dans l'univers Linux pour être signa­
déroule toujours aussi sim plem ent,
immédiatement les fautes de frappe
lées. Il est cependant dommage que
grâce à un assistant que ne renieraient
les plus fréq uentes. La fenêtre de
les fonctions d'import ne soient pas
pas les habitués de Windows, et évite
configuration répond toujours présen­
plus évoluées, ce qui limite son utili­
ainsi la configuration de m ultiples
te et permet de personnaliser son envi­
sation. L'éditeur Html, malgré son
paths et autres variables d'environne­
ronnement de travail à tout moment
m anque de souplesse, se m ontre
ment. Toujours aussi importante, elle
de manière très simple et conviviale.
tout à fait satisfaisant pour une utili­
o ccu p era environ 4 0 M o sur votre
A ïe
sation rapide et efficace. Enfin, l'ini­
disque dur. Une fois l'application lan­
Là où le bât blesse, c'est au niveau de
tiative d 'u n tel portage est à elle
cée, nous nous retrouvons dans un
la compatibilité avec les autres logiciels,
seule suffisante pour m ériter que
environnement de traitement de texte
critère de choix décisif pour une utilisa­
l'on s'y intéresse : un grand bravo à
des plus classiques. Les fonctionnalités
tion p ro fessio n n elle. En effet, si
ces messieurs de Corel !
ja g j
La fenêtre de configuration vous évitera de fastidieux menus.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
présentes n 'o n t par ailleurs rien à
Word 97 reconnaît sans broncher le
envier à un Word (au hasard) et témoi-
format natif de WordPerfect, l'inverse
n'est pas évident. Même si la boîte de
dialogue affiche fièrement des possibili­
Christophe Noël
Corel W o r d P e r fe c t 8 bêta 1
En hausse
tés d 'im p o rt allan t des form ats
Word 2.x à Word 97 et autres Rtf, les
Statut : commercial
résultats des tests ne se sont pas révélés
Source : www.sdcorp.com
concluants. En effet, les meilleurs résul­
A L 'installation et la facilité de
tats ont étés obtenus en enregistrant
prise en main
un fichier sous W indows au form at
A Très complet
Word 2 ! Toutes les autres possibilités
En baisse
ont donné lieu à une mise en page plu­
tôt ésotérique, sur un document pour­
▼ Les fonctions d'im port
tant relativement simple (tableaux et
▼ L éditeur Html pour une
colonnes).
utilisation avancée
Note
L 'é d ite u r H tm l
Comme dans la version précédente, il
Classique.
est possible de créer des documents
★
★
★
★
Dr
11 num e
iin
L E S Y S T l'M i'
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1
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i l l i r l l Ml
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TCP/IP !
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Nom : .....................................Prénom : .......................................... Adresse : .....................................................................................................................
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Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : .....................
Ci-joint un règlement d e
francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press.
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En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander :
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R
AM
Informatiques et libertés : en application de l ’article L27 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l ’informatique et aux libertés, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social.
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S y s tè m e
Les dessous de W in d o w s 9 8
Malgré de nombreux déboires avec la justice, Microsoft est
parvenu, au terme d'une longue lutte, à envahir les rayonnages
de son ciel bleu estampillé Windows 98. Deux mois plus tard,
l'accueil est mitigé.
selon Microsoft, à garantir le gain de perfor­
mances inhérent au nouveau système.
Le nouveau système étant censé mettre l'in­
formatique à portée de tout le monde, de
nombreux utilisateurs se sont précipités sur
ce qui aurait dû symboliser le nouvel eldora­
do du silicium... et ont rapidement déchan­
té devant les messages aussi abscons que
uelle que soit sa machine de prédi-
traditionnels, tels que "Erreur de protection
■ lection, ou son système fétiche, et
générale dans le module CM8330S8.DRV".
même si l'on déteste plus que tout le
Déconvenue d'autant plus désagréable que
géant ae Redmond, il est impensable de ne
souvent la seule réponse à ces problèmes se
pas avoir entendu parler du nouveau-né
limite à un simple "changez d'ordinateur, le
Windows 98. Difficile également de ne pas
vôtre est trop vieux pour Windows 98". Les
s'intéresser à ce système que l'on tente de
intégrateurs doivent se frotter les mains.
nous imposer comme futur de l'informatique.
Des c o n s tru c te u rs p eu convaincus
W in d o w s 4 .1
Les grands constructeurs, en revanche,
Malgré les tentatives de M icrosoft pour
subissent le contrecoup des problèmes posés
envelopper d'un voile de révolution leur
par le nouveau système. Entre standards
nouveau système, personne n'est dupe
Les nuages sont bien plus jolis
d'assistance .téléphonique débordés, et nou­
quant à la nature exacte de Windows 98. A
que ceux de Windows 95.
velles machines qui ne parviennent pas à
obtenir la certification de com patibilité
quelques détails près, la nouvelle mouture se
quasiment les mêmes possibilités à son pré­
compose de Windows 95 OSR2, des diffé­
décesseur. D'ailleurs, la version officielle du
W indows 98, les enjeux financiers sont
rents "service packs" distribués gratuitement,
système, outre la dénomination marketing
importants. Chaque constructeur a déployé
et d'Internet Explorer 4, également gratuit.
de " W indow s 98", est 4.10, alors que
ses propres techniques pour résoudre les
L'apport réel de W indow s 98 reste une
Windows 95 désigne en fait la version 4.0 de
problèmes des néophytes. IBM et Compaq
bonne intégration de ces différents élé­
W indows. On com prend donc aisém ent
reposent sur une page Web sur laquelle les
ments, directement incorporés dans le systè­
qu'entre 4.0 et 4.1, les évolutions restent
problèmes sont recensés et où les derniers
me, et non plus simples surcouches ; mais
mineures, et qu'il est impossible de parler de
pilotes peuvent se voir téléchargés. Dell pro­
les am éliorations s'arrêtent presque là.
révolution.
pose une assistance personnalisée, en fonc­
Certains mentionnent le support de l'Usb, du
Le s y s tè m e p o u r to u s
tion du numéro de série, permettant de
DVD ou de l'AGP, mais de petits supplé­
La véritable révolution de Windows 98, selon
fournir les pilotes nécessaires ou d'identifier
ments téléchargeables gratuitement offraient
Microsoft, provient de la facilité d'installation
les machines qui ne pourront pas fonction­
du nouveau système. Et
ner avec Windows 98. Gateway et Hewlett
c'est justement contre ce
Packard s'orientent quant à eux vers le sup­
point précis que les cri­
port téléphonique, le premier proposant en
tiq ues s'élève n t le plus
plus le com pagnon 98, com prenant un
ardemment. De nombreux
manuel d'installation et un CD-Rom conte­
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utilisateurs et constructeurs
nant les drivers adaptés à leurs machines.
ont rencontré certains pro­
Toutefois, certaines d'entre elles ne bénéfi­
blèmes lors du passage de
cieront d'aucun support de la part des
Windows 95 à Windows 98,
constructeurs, qu'ils considèrent comme
la procédure d'installation
inaptes à fonctionner avec le nouveau systè­
refusant de fo n ctio n n er
me. Tous les portables Dell vendus plus de
correctement, ou le nou­
dix-huit mois auparavant en font partie et ne
veau système demeurant
profiteront d'aucun pilote adapté. De même,
incapable de s'adapter à
Gateway est dans l'obligation de désactiver
p é r ip h é r iq u e s
la fonction d'économie d'énergie de son por­
"anciens". Malgré la ver­
table Solo 2500 avant toute livraison, car les
sion de mise à jour dispo­
fonctionnalités offertes par Windows 98 se
nible dès le début, il s'avè­
montrent
re en fait que Windows 98
rédhibitoires dans ce cas précis.
est avant tout destiné à
Des lo g ic ie ls n o n c e rtifié s
é q u ip e r des m ach in es
Egalement concernés de façon directe par la
n e u v e s,
"n o rm e s
nouvelle version de Windows, les éditeurs de
Windows 98", les seules,
logiciels lui ont pourtant réservé un accueil
des
aux
problématiques en général, et
Propriétés Système
Propriétés Système
j Générai | Gestionnaire de périphériques
Profils matériels
Perform
j G énéral il G estionnaire de périphériques
Perform
Systèm e :
Système :
s
M icrosoft W in d o w s 95
4.00.950 B
a
Profils matériels
IE 4.0 4.71.1712.6
Utilisateur, enregistra
M icrosoft W in d o w s
4.10.1998
Utilisateur enregistré :
La différence n'est pas flagrante entre les deux versions.
très mitigé. Le passage au nouveau système
s'empressent guère de sortir une nouvelle
notamment DirectX 6 pour Windows 98, un
d'exploitation exige une réécriture partielle
version certifiée Windows 98, d'autant que la
mois après la sortie de la versio n 95,
des logiciels pour, dans le meilleur des cas,
demande dans ce domaine se révèle très
Microsoft Chat 2.5, de nouvelles polices des­
optimiser les performances, ou éventuelle­
faible. Il ne faut pas oublier non plus que
tinées à Internet et des améliorations de
ment pour juste les faire fonctionner. Les
certains ont été contraints par les retards
MediaPlayer. Deux mois à peine après la sor­
ch an gem en ts
successifs de Windows 98 de sortir leur toute
tie du système, beaucoup d'utilisateurs sont
exaspérés de déjà devoir effectuer une mise
essentiels du
nouveau
Windows interviennent sur la gestion du
dernière version avant de posséder les spéci­
matériel, apportant notamment le support
fications du nouveau système. Il est donc
à jour de leur OS, et certains s'estiment avoir
du DVD, de l'Usb et de l'AGP, et améliorant
impensable pour eux de développer une
été floués en ayant acheté ce Windows 98
les performances de certains autres périphé­
nouvelle version uniquement pour obtenir
qu'ils qualifient de "service pack le plus oné­
riques, principalem ent les disques durs,
une certification Microsoft. Actuellement en
reux de l'Histoire". Ainsi, cette fonctionnalité
grâce aux possibilités offertes autour de la
cours pour certains, la certification sera à
"Windows update", intégrée au système et
FAT 32. Ainsi, seules les applications exploi­
terme obtenue, mais elle ne fait absolument
au menu démarrer, permettant la mise à
tant directement le matériel nécessitent une
pas partie des priorités actuelles.
jour automatique du système à condition de
réécriture rapide pour tenir compte du nou­
D é jà o b s o lè te
se voir connecté à Internet, est rapidement
veau cahier des charges. Voilà pourquoi les
En plus d'un matériel difficilement compa­
passée du statut d'excellente idée à celui
premiers logiciels certifiés Windows 98 à voir
tible, d'un parc logiciel non optimisé et des
d'escroquerie.
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le jour seront certainement les utilitaires sys­
chaînes de télévision en fond d'écran, l'heu­
Le v ila in p e t it c a n a rd d e
tèmes, tels que les optimiseurs de disque, sur
reux possesseur du tout dernier Windows va
l'in fo r m a tiq u e
lesquels les sociétés spécialisées planchent
se devoir de faire prochainement l'acquisi­
F in a le m e n t, W indow s 98, m a lg ré des
fortement. A l'opposé, les éditeurs de logi­
tion du tout premier "service pack" pour le
ventes dépassant celles de Windows 95 sur
ciels plus éloignés des contraintes matérielles
système. Alors que le premier bug décelé par
la même période, a conforté les sceptiques
perçoivent l'arrivée de Windows 98 comme
un utilisateur est longuement expliqué sur
dans leurs positions, et déçu beaucoup
un non-événement. Les applications bureau­
Internet, Microsoft continue de présenter sa
d 'o p tim is te s . C a u c h e m a r des g ran d s
tiques restent les premières concernées, mais
nouvelle mise à jour comme une "améliora­
constructeurs qui se voient dans l'obliga­
comme les versions actuelles fonctionnent
tion multimédia" et dément tout correctif de
tion de multiplier sous toutes ses formes le
sous le nouveau système, les éditeurs ne
bug. Cette "amélioration" devrait inclure
support destiné au client, oublié des édi­
teurs de logiciels qui ne voient pas de rai­
•" Infoimations système Microsoft
Fichier
£dition
Affichage
QutSs
sons de s'y précipiter, boudé par les utilisa­
2
teurs qui n'y voient guère d'attrait, il se
Informations système
5
Ressources matérielles
Conflits/Partage
DMA
Matériel imposé
E/S
IRQs
Mémoire
S
Composants
B
Multimédia
Codées audio
Codées vidéo
CD-ROM
Affichage
Infrarouge
Entrée
Divers
Modem
B
Réseau
WinSock
Ports
Stockage
Impression
Périphériques à problème
USB
Historique
Système
Environnement looici
trouve surtout dénigré par les profession­
Device
Contrôleur d'accès direct en mémoire
Contrôleur d'interruptions programmable
Horloge système
Clavier standard 101/102 touches ou Microsoft Nalural Keyboard
Haut-parleur système
Clavier standard 101 /102 touches ou Microsoft Natural Keyboard
Horloge système CM OS/temps réel
Contrôleur d'accès direct en mémoire
Contrôleur d’accès direct en mémoire
Contrôleur d'interruptions programmable
Contrôleur d'accès direct en mémoire
Coprocesseur arithmétique
Contrôleur 82371AB/EB P O Bus Master IDE Intel
Contrôleur IDE secondaire (fifo double)
Contrôleur 82371AB/E8 PCI Bus Master IDE Intel
Contrôleur IDE primaire (fifo double)
Ressources de la carte mère
Port de communication (COM2)
Contrôleur 82371ABÆB PCI Bus Master IDE Intel
Contrôleur IDE secondaire (fifo double)
Port imprimante EC P (LPT1)
RAGE PRO TURBO P O (Engüsh) (DirectX)
RAGE PRO TURBO PCI (Entfsh) (DirectX)
Contrôleur de lecteur de disquette standard
Contrôleur 82371AB/EB PCI Bus Master IDE Intel
Contrôleur IDE primaire (fifo double)
Port de communication (C0M1)
Contrôleur d'interruptions programmable
Alias of Contrôleur 82371A B/EB PCI Bus Master IDE Intel
Alias of Contrôleur IDE secondaire (fifo double)
nels qui s'imaginent un avenir passant cer­
tain em en t par la p rochaine version de
W indow s N T, m ais en au cu n cas par
Windows 98. Comme ceux-ci le jugent trop
proche de Windows 95, ils n'ont que peu
de raisons de l'adopter, sachant que la
v e n u e p ro c h a in e de W indow s N T 5.0
devrait les obliger à changer une nouvelle
fois de système, en espérant, cette fois,
trouver des solutions à la hauteur de leurs
attentes.
Quoi qu'il en soit, le rouleau compresseur
représenté par le marché de l'informatique
actuel est lancé, et il s'avérera difficile de le
stopper. Une fois encore, malgré moult
protestations, il y a fort à parier que le nou­
id
Pour obtenir de l'aide, appuyez sur FI
Informations système actuelles
Windows 98 apporte quand même quelques outils intéressants.
veau bébé de Redmond séjournera dans
tous les foyers et toutes les entreprises.
F.D.
.......................
i
Les arcanes du
fo rm at Mp3
;
Depuis maintenant plus d'une année nous avons assisté à une
véritable profusion de sites Internet consacrés au mp3, tant et si
bien qu'il est absolument impensable que vous n'ayez jamais croisé
un fichier de ce type. Un point sur la situation s'imposait donc.
consiste à adapter les paramètres de com­
pression à la qualité de restitution requise.
Quant au décodage, il nécessite beaucoup
moins de ressources et peut se réaliser en
tem ps réel, pour peu que l'on dispose
d'une m achine assez puissante. Durant
cette phase, les données sont simplement
e Mpeg représente un ensemble d'al-
ou peu entendus par notre oreille. Le coda­
décompressées et restituées en un signal
g o r it h m e s
ge Mpeg supprime ces sons que nous ne
audio. A noter que cette opération mono­
L
de
c o m p r e s s io n
audio/vidéo ; celui auquel nous nous
percevons pas, réduisant d'autant la taille
polise de manière non négligeable le pro­
intéressons n'est en fait qu'une partie du
d'un éch an tillo n sonore. C 'est d o nc là
cesseur qui se voit énormément sollicité.
M p eg , et s'in titu le plus ex actem en t le
qu'intervient le modèle psycho-acoustique,
Q u e lle c o m p re ss io n ?
M pegl ou Mpeg-2 layer 3. Si la compres­
en d é te rm in an t avec précision ce que
Si le format mp3 est tant plébiscité, c'est
sion nécessite l'application d'algorithmes
l'hom m e est censé entendre ou pas. Ce
notamment grâce au formidable taux de
processus est très complexe et en consé­
compression qu'il offre, tout en conservant
quence très long. En effet, cette technique
une qualité encore inégalée. Encoder un
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touffi:/ho««/looffl/.p3wx:30» ,/.p3«>cde.o
..............HPf6 Layer-3 Enco<ter V3.00 (W.o (build flpr
(C) 1998 by Frmjnhofer IlS-fl
3 1998» »..............
Thl» prograa la proteclcd bu copyright 1m and International treetlea.
Any reproduction or distribution of thls prograa. or anu portion
of lt . aay resuit ln savara c iv il and crlaln al panaltlaa. and u lll be
prosecutcd to the aaxlaua extent possible under 1m.
For further Info, pleasa v la lt http//uuu. I l s . fhg.de/audlo/
for a liâ t of coaaand line options, c a ll ./ap3encdeao -h
touffl:/hoae/touffl/ep3enc30# Q
aboutit à une compression avec pertes et
CD entier en mp3 occupera environ 50Mo
le son initial n'est pas fidèlement restitué ;
sur le disque dur, si l'on opte pour une
il est tout simplement reproduit le mieux
qualité de restitution optimale. Le tableau
possible, selon les paramètres qui lui sont
suivant recense une série de tests que nous
donnés (taux d 'éch a n tillo n n a g e , e tc.).
avo n s e ffectu é s sur un (g ro s ) fich ier
Lorsque la qualité diminue de manière trop
a u d io .w a v de 95 418 540 o cte ts, en
importante, l'auditeur s'aperçoit alors du
44,100kHz et stéréo. Les chiffres indiqués
manque de certains sons. Toute la subtilité
correspondent au fichier mp3 créé.
Bande Passante
M ode
D é b it requis
Taille
Q ualité
11.025
Mono
8 kpbs
481 936
très médiocre
22.050
Stéréo
64 kbps
3 855 696
écoutable
44.100
Stéréo
96 kbps
5 802 394
acceptable
44.100
Stéréo
128 kbps
7 730 346
excellente
M P3Enc.
très complexes, sa logique générale reste
aisément compréhensible. Il s'agit d'analy­
ser les composantes spectométriques d'un
signal au d io, et de leur a p p liq u e r un
modèle psycho-acoustique pour ne conser­
ver que les sons audibles. D'une manière
plus te c h n iq u e , l'o re ille h u m a in e est
c a p a b le de d isc e rn e r des sons e n tre
0,20kHz et 20kHz, sachant que la sensibili­
té maximale se situe entre 2 et 4kHz, et
que la voix humaine est entre 0,5 et 2kHtz.
Le Mpeg utilise une particularité de notre
oreille appelée le "masking" ; certains sons,
bien présents dans un signal, ne sont pas
M p3Studio : une solution complète sous Linux.
-
K.CÜ1
Vaes the rentier of the option you want to change,
or press '0 ' to b«9ln.
:
touffi:/hone/touffl/(p3/8hz« ./8hz-«p3 1an19rant.ion9 .wav 1iMi9rant.son9.ap3
8ht-ap3 1998 8te software http://MMM.8hz.coa
Microsoft R1FF, IBVE audio. PCM. stereo 44100Hz lE b it. Length: 0: 0:30
MP€G-1 layer I I I . starao Psychoacoustic Modal: 8UT
Bitrate=128 kfcps Da-aaphasls: none CRC: off
Encoding ‘ laa19rant.son9.Maw* to " 1aa19rant.son9 .ap3 '
tFraaa
80 of
11481 <6.97Z)Q
outputting to 1en19rant.icn9 .Mav
3
.tse which *p encoder"
l> I3enc
?) 8hz-«p3
3) «pàenc
i
touffi:/hone/touffi/ep3/8hs/c<fcaranoiae ./c#aranoia-lII-alpha8.i386-hnux-elf
—output-%*ev l-lt:303 ienigrant.jo n g .M a v
edperanolo 111 alpha prerelease 8 «fcigust 17. 1998>
<C> 1838 Konty <xiphnont8nit.edj>
* 3 H * e ___________ i------------------- -------l> lia » to sleep between rip a; 0 »i«ute<s>.
2> the 8hz-«p3 for *p3 encoding.
3) Paraneteri to pass to tha encoder; -b 128
t> Rip entire CD: Yes
V e » the nmfcer of the option you want to change,
y- preas *0* to besin.
outputting to t m 9rant.son9.M0w
FWXRESS = t—
Mp3Make, pour les fainéants...
♦♦♦*
8hz-mp3 en pleine action.
Cd paranoia peut extraire vos pistes audio.
C ré e r ses p ro p re s fic h ie rs m p 3
d'être totalement gratuit.
Un encodeur nécessite un Codée : il s'agit
Un encodeur travaille à partir d'un fichier
des routines de codage mp3, qui ne sont
audio au format .wav ; pour encoder vos
disponibles que sous licence du Fraunhofer
cds, il faudra donc préalablement en extrai­
Institute. Ce d ern ier est un cen tre de
re les pistes audio. Attention, cette opéra­
recherche spécialisé dans l'électronique et
tion nécessite un espace disque important
est l'"inventeur" du M p eg Layer 3. Les
si Ton veut stocker un CD entier ! Certains
sociétés ayant acquis ladite licence se
logiciels permettent néanmoins de s'affran­
comptent sur les doigts d'une seule main
chir de cette phase (voir encadré).
(dont Microsoft), ce qui explique le peu
M p 3 e t lé g a lité
d'encodeurs disponibles actu ellem en t.
Internet et les droits de propriété intellec­
Sous Linux, il n'existe qu'un seul logiciel
tuelle n'ont jamais fait bon m énage, et
exploitant ces routines il s'agit bien sûr du
l'a vè n em e n t du m p3 risque de ne pas
fameux L3enc du Fraunhofer Institute.
arranger la situation. En effet, l'existence
Cependant, 8hz-mp3 permet lui aussi l'en­
de milliers de chansons au format Mp3 en
codage, mais en utilisant ses propres librai­
libre téléchargem ent pose le douloureux
ries, et possède ainsi l'énorme avantage
problème des droits d'auteurs. Les majors
Ouvert du
web: www.aps.fr
Lundi au Vendredi.
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email: [email protected]
9H30-12H 14H-18H
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www.mp3bench.com tous les benchmarks
www.mptnan.com tout sur le walkman mp3
www.worIdnet.fr/~nicknetlmp3l Tous les logiciels sur toutes les plates-formes
Les lo gi ci e ls
Sous Linux, les logiciels ayant trait au format mp3 sont de plus en
plus nom breux. Po u r les rip p ers, on tro u ve ra n o tam m en t
cdda2w av, cd p aran o ia, cda ou encore kcdw riter. La p lu p art
fonctionnent en mode texte, exception faite de kcdw riter. Les
players sont quant à eux beaucoup plus nombreux. X IIA m p ,
pendant de WinAmp avec lequel il est même possible d'échanger
les skins, est de loin le plus usité. M ais il existe également GtkAmp,
TK3p!ay, G m p3, ... fo n c tio n n a n t le p lus so u ven t d an s un
environnem ent X. Il est d 'a illeu rs conseillé p o u r en p ro fiter
pleinement ainsi que pour réduire la consommation de temps CPU
d'installer le logiciel OSS (www.opensound.com), qui remplace les
drivers standards du noyau Linux (une version libre est inclue dans
les noyaux 2.1.x). Mp3Make est; selon son auteur, un logiciel pour
fainéants, c'est-à-dire qu'il réunit rippers et encoders au sein d'une
même in terface, et perm et a in si de s 'a ffra n c h ir des étapes
in term éd iaires. M P 3 S tu d io est du même a c a b it, in te rfa c e
g rap h iq u e en plus, et offre égalem en t une foule d 'o p tio n s
supplémentaires. Sur Am iga, seuls SongPlayer et EaglePlayer se
démarquent du (petit) lot de players. Quant à AmigaAmp, il ne
brille malheureusem ent pas p ar ses perform ances, à moins de
disposer d'une machine haut de gamme ... Enfin, signalons sur Risc
PC l'existence de Dmpa (http://stekt.oulu.fi/-osi/) et de Risctracker.
CHEZ A.P.S, UNIQUEMENT LES PRODUITS HAUT DE GAMME
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- Im age FX 3
- A rt E ffect (version anglaise)
3100F
1340 F
950 F
- A rt E ffect Pow erPC Plug-in 240 F
- A rt E ffect SuperV iew Plug-in 240 F
- Storm C (version anglaise)
1790 F
- Storm C (version non-commerciale) 980 F
- Storm C Pow erPC Module
990 F
- S torm W izard (version anglaise) 520 F
- X-DVE (version anglaise)
990 F
- W ildFire PPC (version anglaise) 1490 F
P é riph ériq ues SCSI:
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x 1 1 a m p p la y lis t e d it o r
! Don#
une petite révolution ; et com m e pour
toutes les révolutions, il y a les partisans et
j Abort
les détracteurs, à vous de vous faire une
idée ! Quand on pense que tout cela n'est
qu'un d é b u t...
Christophe Noël et Fred Botton
Les e n c o d e u r s sous L i n u x
A tout seigneur tout honneur; MP3enc du
Fraunhofer Institute permet de créer des
fichiers mp3 d'excellente qualité, mais se
X I lAm p : un a ir de déjà-vu.
ne sont d'ailleurs pas restées indifférentes
tro u ve
ê tre
d 'u n e
le n te u r p a rfo is
M PM an
exaspérante. Il est disponible sur le site
au phénomène et on ne compte plus les
Depuis peu, certains constructeurs se sont
h ttp://www. iis. fhg.de/.
actions engagées visant à obtenir la ferme­
penchés sur la réalisation d'un walkman
8hz-mp3, qui rappelons-le est totalement
ture des sites litig ieu x. C ep en d a n t, le
mp3. Un tel produit ne nécessite en effet
freeware, possède l'avantage de pouvoir
nom bre de sites proposant des fichiers
qu'un processeur capable du décodage et
com presser ju sq u 'à 320 kbits 48kHtz
.mp3 est tel que vouloir les fermer un par
un moyen de stockage : exit les m éca­
Stéréo ! De plus, il est beaucoup plus
un représente une gageure.
nismes coûteux et fragiles de nos chers
rapide que M P3Enc, même si la qualité
Certains éditeurs ont réagi de manière plus
discman ! Actuellement, il en existe trois
des fichiers produits est très légèrement
constructive et tentent de tirer parti des
modèles. Le MP-flO, le plus ancien, ne per­
inférieure. M ais jugez vous-même : le test
avantages du format Mpeg. En effet, leurs
met que de stocker 16Mo sur des cartes
suivant a été réalisé sur un fichier .W av
clients ont la possibilité de télécharger de
flash. Cette limitation a été contournée
de 30 secondes, encodé en 44,1 kHtz,
courts extraits de chansons d'artistes de
grâce au MP-F30, qui supporte les cartes
128kb et stéréo.
leur ch o ix , puis de la c o m m a n d e r en
flash jusqu'à 64Mo. Plus intéressant, le HD-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
entier, voire de rapatrier tout l'album. Le
10 proposera de stocker les fichiers sur
Encodeur
Tem ps
format proposé est très proche du mp3, et
un disque dur dont la capacité s'étendra
8Hz-mp3
4mn33
Très bonne
en possède toutes les caractéristiques (peu
de 360M o à 2Go ! Tous les renseigne­
M P3Enc
lO m nlO
Excellente
encombrant, qualité irréprochable).
m en ts sur le M p M a n se tro u v e n t sur
Q u a lité
tK 3play
TRACK
MIN
SEC
0 :2 0
Resize
W orkBench
Total Remaining
Filename
l~
1
i
■
K f i& iæ j
Linux
d
m
h « : pc
896 44100
j-stereo
BU FFER 128 kbit/s
1 0 0 .%
III
Normal
Go
Sung by
beck
JumpTo I
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fume
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M a t é r ie l
Plus loin avec
les cartes PowerUp
En réponse aux nombreux courriers que nous avons reçus cet
été, à propos de l'article "Installer une carte PowerUp dans un
Amiga", nous avons décidé d'approfondir la mise en oeuvre
matérielle de ces cartes.
logiciel de mise à jour, ce qui se révèle
nettement plus sécurisant que de passer
par une disquette, laquelle est un support
un peu trop habitué aux défaillances de
le ctu re im p ro m p tu e s (un Read-W rite
error lors de l’update et la catastrophe
survient).
T e rm in a te u r
N arrow -SC SI
A tte n tio n s a u x b a r r e tte s S im m s
T e rm in a te u r
N arrow -SC SI
Une fois la carte mise en place, de nom­
breux utilisateurs se plaignent d'un plan­
tage bizarre : le système se gèle de temps
en temps et de façon totalement aléatoi­
re. Le p o in teu r de la souris ne bouge
plus, l'horloge s'est arrêtée, les lecteurs
de disque ne réagissent plus...
Et procé­
der à un Reset (Ctrl-Am iga-Am iga) ne
provoque pas forcém ent (pas souvent,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
même) de "Software Failure". Ce plantage
A d a p ta te u r
Wide -> N arrow
s a n s te rm in a te u r
est en fait provoqué par une désynchroni­
sation des barrettes Simms, ce qui entraî­
ne le processeur dans une boucle infinie.
Il faut savoir que les cartes Pow erUp de
C a rte Pow erU p
Phase 5 acceptent absolument tous types de
barrettes Simms 72 broches : des EDO, des
Fig. 1.
non-EDO, des 32 bits, des 36 bits, des
vitesses variables, n'importe quelle capa­
élas pour la majorité des utilisa­
n'est pas nécessaire de couper l’accès aux
teu rs, les plus p u issa n te s des
d isq u e s
le
nent correctem ent que si, et seulement
cité, etc. Mais ces barrettes ne fonction­
H
cartes accélératrices pour Am iga
constructeur Phase 5). Ne pas couper le
si, elles sont toutes identiques sur la carte
(Blizzard PPC et Cyberstorm PPC) ne sont
fo n ctio n n e m en t d ’un disque dur offre
PowerUp ! Il reste d'ailleurs conseillé aux
pas simples à mettre en œuvre. Il y a tout
l'avantage de pouvoir stocker dessus le
utilisateurs d 'ach eter toutes leurs bar-
du rs
(c e
que
c o n s e ille
d'abord la mise à jour du pilote : l'utilisa­
A d aptateu rs
Wide -> Narrow
s a n s term inateur
teur doit lui-même re-flasher le contenu
de la Rom de sa carte. Une action pour le
moins périlleuse, car si une coupure de
co u ra n t su rvien t ou si certain s autres
pilotes (IdeFix, par exemple) dem eurent
encore en m ém oire lors de l'opération,
tout le contenu de la Rom est corrompu,
la carte devient inutilisable et l'Amiga ne
veut même plus démarrer. Rappelons-le,
Term inateur
Wide-SCSI
com plet
Term inateur
Wide-SCSI
com plet
\
le moyen le plus sûr pour mettre à jour
cette Rom reste d'éteindre la machine, de
la rallumer en appuyant sim ultaném ent
sur les deux b o u to n s de la souris, de
s é le c tio n n e r l'o p tio n "b o o t w ith no
Startup-sequence" dans le menu EarlyStartup du Kickstart et de lancer, à partir
de la nouvelle fenêtre Shell, le logiciel
d'update à la main.
De cette manière, il
Carte PowerUp
Fig. 2.
T e rm in a te u r
N arro w -S C S I
A d a p ta te u r
W id e -> N a rro w
T e r m in a te u r
N a rro w -S C S I
s a n s te r m in a te u r
\
/
C a rte P o w e rU p
T e rm in a te u r
W ide-S C S I
c o m p le t
C a r te P o w e rU p
A d a p ta te u r
W id e -> N a rro w
a v e c t e r m in a te u r
T e r m in a te u r
W id e -S C S I
W id e -S C S I O n ly
c o m p le t
T e r m in a te u r
W id e -S C S I
O nly
Fig. 3.
Fig. 4.
rettes en même temps et chez le même
l’utilisateur doit acheter, en plus de sa
distributeur pour être sûr de ne posséder
carte PowerUp, une nappe Wide-SCSI (68
P o w e rU p e n tra în e une m u ltip lic a tio n
que des Simms totalem ent jumelles. Si
broches, facile à trouver) pour relier la
com plexe des possibilités de câblages.
cette règle ne se voit pas respectée, la
carte PPC au reste du monde, une nappe
Voyons ensemble en quoi consistent les
stabilité du système devient totalem ent
SCSI norm ale (50 broches, encore plus
différentes configurations possibles.
aléatoire : il peut fonctionner parfaite­
facile à tro u ver) s’il veut b rancher des
L’e n s e m b le d e d é fin itio n s
ment com m e planter toutes les trente
périphériques Fast-SCSI en interne, un
Premièrement, une chaîne SCSI doit tou­
secondes.
adaptateur ou deux W ide vers Fast (de 68
jours posséder un terminateur à chacune
La c a u c h e m a r SCSI
vers 50 b ro ch es) po ur relier les deux
de ses deux extrémités (une chaîne SCSI
Nous le disions déjà le mois dernier : le
nappes et avoir deux, trois ou quatre ter­
se présente comme un tuyau ; il est inter­
contrôleur SCSI de la carte PowerUp est
minateurs actifs (les terminateurs restent
dit de lui rajouter des embranchements. Il
U ltra - W id e , livré sans a u cu n c â b le ,
obligatoires pour term iner chaque bout
n ’y a d o n c
d é p o u rv u de te r m in a te u r p ro p re et
d ’une chaîne SCSI). Pourquoi "un adapta­
Puisqu'une carte PowerUp n'a pas de ter­
même privé d'une alimentation pour les
teur ou deux" et "entre deux et quatre
m in ateu r sur elle, elle ne peut pas se
term inateurs externes. C o n crètem en t,
terminateurs" ? On l’aura compris : la pré-
trouver à une extrémité de la chaîne et
carité totale du contrôleur SCSI des cartes
que
deux
e x tré m ité s ).
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
doit donc se trouver branchée en plein
milieu.
Deuxièmement, une carte PowerUp n'en­
voie pas l'alimentation nécessaire aux ter­
minateurs qui prennent place en bout de
c h a în e . Il fa u t d o n c im p é r a tiv e m e n t
employer des terminateurs dits "actifs". Il
s'agit de term inateurs à acheter à part,
com m uném ent appelés "bouchon SCSI",
qui s’auto-alim entent en récupérant un
autre signal SCSI sur le bus. Ces termina­
teurs s'insèrent dans le premier et le der­
n ie r c o n n e c t e u r S C S I de la c h a în e .
Attention, les switches que l'on trouve
com m uném ent à l'arrière des unités SCSI
(com m e sur le lecteur Zip, par exemple)
sont des terminateurs "non" actifs. Ils ne
servent donc ab solu m en t à rien sur la
chaîne SCSI d'une carte PowerUp.
Troisièm em ent, pour notre plus grand
malheur, il existe trois types de termina­
teurs actifs : ceux qui terminent unique­
m en t les ch aîn es N arro w -SC SI (en 50
bro ch es, v o ir Dream N ° 51 po ur plus
d'explications sur les différentes normes
du SCSI), ceux qui terminent uniquement
les signaux Wide-SCSI (c'est-à-dire qu'ils
ne term in en t pas les signaux NarrowS C S I) et ceux qui term in ent n'im porte
quelle chaîne SCSI (68 broches, NarrowSCSI et Wide-SCSI).
M a t é r ie l
Na rro w
? W ide
ment réalisable, voir la figure 3. On veut
?
toujours po uvoir b rancher indifférem ­
Le SCSI réunit en fait plusieurs normes, chacune représentant une étape dans l'évolution
m ent des unités W ide-SCSI et Narrow-
du standard. Il y a d 'abord les normes correspondant à la vitesse de transferts des
SCSI. Cette fois-ci, on sépare la chaîne en
données : Normal, Fast, Ultra et Ultra-2 (à chaque fois, la vitesse est multipliée p ar deux).
d eu x : le W id e - S C S I d 'u n c ô té et le
Ensuite, il y a les normes correspondant à la largeur du bus : N arrow (8 bits, 50 broches)
Narrow-SCSI de l'autre. La jointure entre
et Wide (16 bits, 68 broches). P a r abus de langage, on dit "SCSi-1" quand il s'agit de
les deux nappes se fait donc via un adap­
Normal-Narrow-SCSI, "SCSI-2'1lorsqu'il est question de Fast-Narrow-SCSI et "SCSI-3" au
tateur qui, cette fois-ci, doit disposer d'un
lieu d'Ultra-Wide-SCSI. Les cartes PowerUp obéissent à la norme Ultra-Wide-SCSI. Voici un
terminateur actif Wide-SCSI Only (ce qui
bref tableau récapitulatif pour comprendre la chose.
signifie qu'il ne termine pas le NarrowSCSI). Celui-ci est illustré en violet sur la
figure 3. Par ailleurs, il faudra qu'un ter­
Vitesses d u SCSI
N o rm a l
Fast
U ltra
U ltr a -2
Narrow
S Mo/s
10 Mo/s
20 Mo/s
40 Mo/s
m inateur actif Narrow-SCSI (illustré en
Wide
N'existe pas
20 Mo/s
40 Mo/s
80 Mo/s
ja u n e ) se tro u ve à l'a u tre b o ut de la
nappe Narrow-SCSI. A noter qu'il demeu­
re tout à fait possible de reproduire, du
Quatrièmement, il y a deux types d'adap­
Suivant la bonne vieille règle du "qui peut
côté opposé de la chaîne, la même confi­
tateurs 68 vers 50 broches : ceux qui dis­
le plus, peut le moins", on utilise unique­
guration Narrow-SCSI. Cela afin de seg­
posent d'un terminateur pour les signaux
ment une nappe (ou un câble) Wide-SCSI
m e n te r la c h a în e en tro is p a rtie s :
Wide-SCSI uniquem ent et ceux qui n'en
(68 broches, donc). Puisque nous avons
Narrow-SCSI, Wide-SCSI, Narrow-SCSI.
possèdent pas.
des périphériques Narrow-SCSI et Wide-
Cas N °4. Variante du cas N°3, voir la figu­
Tout cet arsenal de câblages SCSI dem eu­
SCSI sur la chaîne, il faudra donc que les
re 4. Ce cas ne présente d'intérêt que si
re difficile à trouver en France. Nous vous
deux extrémités de celle-ci se composent
t'on a du mal à trouver un adaptateur 68
co n seillo n s d o n c de vous le p ro cu rer
de te rm in ate u rs W id e - S C S I com p lets,
(m âle) vers 50 (m âle) broches disposant
auprès de la société Komelec (à Paris et à
c'est-à-dire qui terminent le Narrow-SCSI
d'un term inateur Wide-SCSI-Only. Dans
Lyo n ), laq uelle est sp écialisée dans la
et le Wide-SCSI. Ceux-ci se trouvent repré­
ce cas, il est possible de transform er
chose.
sentés en jaune et violet sur la figure 2. Au
celui-ci par l'utilisation conjointe d'un
Les c o n fig u r a tio n s q u i m a r c h e n t
milieu de la chaîne, de part et d'autre de
term inateur Wide-SCSI-Only (représenté
Partant de tous les principes que nous
la carte P o w e rU p , on p eut m ettre en
en violet sur la figure 4) et d'un adapta­
venons de citer, voici les différentes confi­
p la c e a u ta n t d 'u n ité s
teur 68 vers 50 broches sans terminateur,
guration s qui m arch e n t sur une carte
connecteurs disponibles (représentés en
PowerUp. A noter que nos exemples s'ap­
rouge). Mais attention, ces connecteurs
pliquent à une carte Cyberstorm PPC.
sont des 68 broches. Pour brancher une
Cas N ° 1. E x p é rim e n ta l m ais é c o n o ­
unité Narrow-SCSI, il faut impérativement
—
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
S C S I q u e de
mique, voir la figure 1. On veut brancher
passer par un adaptateur 68 (m âle) vers
uniquem ent des périphériques N arro w
50 broches (mâle). Comme on se situe au
SCSI (Norm al, Fast, etc.). L'expérience a
milieu de la chaîne, ces adaptateurs ne
montré qu'aucun terminateur Wide-SCSI
doivent avoir aucun terminateur intégré.
ne semblait nécessaire, les signaux Wide-
La multiplication irrémédiable des adap­
SCSI n'étant utilisés par aucun des péri­
ta te u rs et la rareté des te rm in a te u rs
phériques Narrow-SCSI. On installe donc
Wide-SCSI complets font de cette confi­
la carte Pow erU p en plein milieu d'une
guration une solution relativement oné­
nappe 50 broches, via un adaptateur 68
reuse.
(m âle) vers 50 (m âle). A noter que cet
Cas N ° 3. Un peu confus mais plus éco­
adaptateur ne dispose d'aucun term ina­
nomique et plus facile­
l'un à la suite de l'autre.
Docteur Dream [email protected]
teur. On branche ensuite chaque péri­
phérique Narrow-SCSI sur chacun
des connecteurs de la nappe (illus­
..«fpmnw«SS
term inateur Narrow-SCSI (illustré
I
en jaune) à chacune des extrémités
de la ch a în e .^ B ien e n te n d u , on
II
peut tout à fait placer l'un des deux
**1 N
,
i t » .1
(
|
1
©* 1
i'
côtés de la chaîne en externe. Dans
(g) XC68060RC50
ce cas, on branche le câble externe
........ .
à une extrém ité de la nappe et le
term inateur à l'autre extrém ité du
câble.
Cas N ° 2. Idéal mais cher, v o ir la
figure 2. On veut brancher n'importe
q u el ty p e de p é r ip h é r iq u e S C S I,
N a rro w et W id e in d iffé re m m e n t.
fi
x''~
'/ j ......
trés en bleu) et l'on attribue un
SY M B IO S
LOG IC
S 3 C //0
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___
1
■
Les types
MIME de KDE
ca p a b le s de l'o u v rir ( Gim p et Im age
Viewer).
C ré e r d e n o u v e a u x ty p e s
De même qu'on peut définir ses propres
applications, on a les moyens d'enrichir la
liste des types connus. M aintenant que
nous avo ns Gim p, défin issons le typ e
"image/png" que Gimp sait traiter. Dans le
g e s tio n n a ire
de fich ie rs ,
E d it io n / T y p e s
M IM E
allez sous
et
o u v re z
Fich ie r/ N o u ve a u / M IM E Type. On vous
Nous allons voir aujourd'hui comment associer des applications
à des fichiers, grâce aux types MIME.
dem andera de choisir un nom pour ce
type (p ar exem ple pngim age). Ensuite,
dans la boîte qui apparaît, gagnez l'onglet
"Liaison". Dans le cham p" filtres", entrez
BZ3E9H
■ k fm
général
| Permissions
| Exécution
A pplication
|
gé n é ra l
Echantillon binaire (netscape.Netscape,)
*.p n g ; la d e s c rip tio n p eu t être par
| Permissions
Filtres (exemples
exem ple "Im age P N G ". Dans le cham p
[ U ateon | |
"Type MIM E", entrez le type que nous vou­
'.htm l,'.H TM L.)
lons créer, à savoir im age/png. Cliquez
|gimp;
l'png.
Commentaire
Commentaire
|GNU Image M anipulation Program
|lm age PNG
enfin sur l'icône située à côté de ce champ
pour choisir l'icône des images PNG puis,
dans "Application par défaut", choisissez
Type Mime
Nom (dans votre langue)
Gimp. Désormais, KDE connaît les images
Im age/png
Gimp
PN G et sait qu'il doit faire appel à Gimp
application/aw
appileation/bzipZ
application/octet- strea
application/pdf
application/postscript
application/x- ar
image/gif
image/jpeg
image/png
image/tifT
im age/x-xbm
im age/x-xpm
pour les ouvrir.
U n e h a u te in t é g r a t io n
Définir ses propres applications et types
M IM E est très utile. Com m e nous l'avons
RC
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
QK
|
vu, non seulement cette technique permet
Annuler
d'ouvrir facilement n'importe quel fichier,
Il existe de nombreux types Mime.
Associer Gimp aux images PNG.
en cliq u an t sim plem ent sur son icône,
ans KDE, le lien entre les logiciels
D
différentes rubriques ne nécessitent pas de
elle fa it jouer un m écanism e qu e l'on
et les fichiers s'effectue grâce aux
com m entaire particulier ; entrez simple­
retrouve partout dans KDE. Si vous rece­
types MIM E. Par exemple, les types
ment "gimp" dans Exécution (c'est le nom
vez, par exemple, un mail avec une image
image/gif ou image/jpeg indiquent que le
de l'exécutable), puis rendez-vous sous
PNG attachée, il suffit de cliquer dessus et
document doit être ouvert à l'aide de l'ap­
l'onglet "Application". La petite fenêtre de
km ail l'ouvrira dans Gim p com m e nous
plication kview, tandis que le type text/x-
droite affiche tous les types M IM E connus
venons de le définir. Le fonctionnement se
mais, et là réside tout l'intérêt de la chose,
csrc nécessite l'o u vertu re sous Em acs.
de KDE, celle de gauche ceux qui sont
montre identique sur une page W eb ou un
Grâce à ce mécanisme, KDE sait quelle
"com pris" par l'application. Pour Gimp,
site FTP ouvert dans le gestionnaire de
application appeler lorsque l'utilisateur
sélectionnez tous les types qui correspon­
fichiers... La prochaine fois, nous termine­
clique sur un fichier, exactement comme
dent à des images (image/gif, image/jpeg
rons notre initiation à KDE en apprenant à
sous Windows ou MacOS.
etc.) en cliquant sur le bouton
utililiser les "devices".
D é fin ir u n e n o u v e lle a p p lic a tio n
placer dans la fenêtre de gauche. Une fois
Le viewer kview ne peut lire que certains
to u s
formats d'images. De même, on peut sou­
m ètres
haiter que les images s'ouvrent par défaut
les
p a ra ­
d é fin is
c o rre c te m e n t,
dans autre chose que sous kview. A titre
refermez la boîte
d'exercice, nous allons imposer à toutes les
et l'a p p lic a tio n
images de s'ouvrir par défaut sous Cimp.
se trouve créée.
Pour définir un nouveau type d'application,
D éso rm ais,
il faut sélectionner Edition/Application dans
clic g au ch e sur
le gestionnaire de fichiers. Celui-ci affiche
une icône repré-
alors une arborescence qui correspond à
s e n ta n t
votre menu "démarrer" personnel. Après
im a g e
vous être placé(e) dans le sous-répertoire
a u to m a tiq u e ­
où vous voulez créer l'application (par
m en t Gim p ; le
exem ple
G ra p h ics),
cliq u ez
sur
(c lic
Jakub Zimmermann
rile:Aiome/jzimm/.k(le/share/af)plnk/
F ic h ie r
Édition
Q
O
A ffichage
Sig n ets
□ X
£ache
Options
Aide
Ifei
|/home/jzimm/.kde/share/applnk
un
Applications/
Gam es/
Graphics/
In tern et
une
la n c e
menu contextuel
Fic h ie r/ N o u ve a u / P ro g ra m . KD E vous
0-m
pour les
d ro it sur
demandera le nom de l'application que
l'icône), quant à
vous voulez créer, puis la boîte de dialogue
lui, affiche toutes
de paramétrage fera son apparition. Les
les app lications
&
Multimedia/
Settinqs/
Utilities/
Help
xterm/
W
KControl
Kflnd
Trash
Home
Le chemin de l'icône.
La jungle
des correctifs
pour OS/2
sion #dk où # réprésente le numéro de la
disquette du fix. On trouve ces Fixpacks à
l'url suivante :
ftp://ps.boulder.ibm.eom/ps/products/os2/f
ixes/v4warp/french. Les sous-répertoires
correspondent aux différents Fixpacks. Pour
créer le jeu de disquettes correspondant, il
faut utiliser l'utilitaire loaddskf.exe qui se
trouve sur le CD-ROM d'install de Warp
dans le répertoire diskimgs. Cet utilitaire est
celui qui permet d'élaborer les disquettes de
boot pour l'installation du système. Il fonc­
tionne aussi bien sous OS/2 que sous DOS.
Loaddskf n'est malheureusement pas installé
avec le système : pour l'exploiter conforta­
blement, il faudra le copier dans le répertoi­
Nous proposons régulièrement sur le CD-Rom de Dream des
"Fixpacks" pour OS/2. Toutefois, ces correctifs nécessitent un
certain savoir-faire pour être appliqués.
re os2. Une fois ceci fait, il faudra générer
les disquettes du Fixpack par la commande :
load dskf <nom de fic h ie r > a: /y/q
en la répétant autant de fois que le Fixpack
Produits modifiables
comporte de disquettes. Pour exploiter le
d
Fixpack ainsi créé, il faudra également récu­
pérer les disquettes CSF (Corrective Service
Facilites) pour l'application des Fixpacks. Ces
disquettes ne sont à télécharger qu'une
Sélection de l’unité source
seule fois, elle serviront à appliquer tous les
B
A: Unité externe
D: Unité CD-ROM
fixes ultérieurs. Ces disquettes se trouvent
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
zippées dans le fichier :
ftp://ps.boulder.ibm.eom/ps/products/os2/f
OK
Annulation
ixes/wkickr/french/wkickrfr.zip. Les deux
Aide
disquettes contenues dans ce fichier zip doi­
vent également être élaborées avec loadd­
skf. Une fois toutes les disquettes créées, il
d
zr
Modifications
Redirection
Annulation
Modifier liste...
existe deux m éthodes d'application du
Fixpack. La plus rapide mais la moins sûre se
fait à partir du WorkpIaceShell. Il faut insérer
Aide
la première disquette CSF et lancer l'utilitaire
"service.exe". Il suffit de se laisser guider par
L 'utilitaire d'application des correctifs : service.exe.
le système jusqu'à l'insertion de la première
disquette de Fix. Le logiciel analyse alors
e plus, il existe d'autres packs de
Internet et de les installer dans la foulée sans
correction d'erreurs d'une installa­
avoir à créer de disquettes par le biais de
l'installation d'05/2 et propose de mettre à
tion plus "manuelle". Cet article pro­
l'utilitaire Remote Software Update. Les para­
jour l'in stallatio n actu elle d'05/2. Les
D
pose une visite guidée dans la jungle des
graphes suivants détaillent l'accès et l'utilisa­
anciennes versions des fichiers mis à jour
correctifs pour OS/2.
tion de ces deux présentations de Fixpack.
seront stockées dans un répertoire "archives"
Les Fixpacks
Les d is trib u tio n s d e d is q u e tte s
que l'on peut renommer si on le souhaite.
Les Fixpacks sont des correctifs propres à
Ces Fixpacks se présentent sous la forme de
Le logiciel met ensuite le système à jour. Un
OS/2. Il font suite à des remontées de bugs
fichiers images de disquettes avec l'exten-
reboot sera nécessaire après cette mise à
par les utilisateurs et n'apportent en général
existe des exceptions. Un nouveau Fixpack
est publié en moyenne tous les deux mois
et remplace son prédécesseur : chaque nou­
FixPak Installation X R FM 007
IBM NCSD FixPak Download and Setup
aucune nouvelle fonctionnalité, même s'il
DovwUoad Op*o™
Copyright (C ) IBM Corporation. 1996
Opwni
• Download. Unzip and Install
V Keep Z IP files
Download and Unzip only
j V e ib o s e mode
Status
Select the Products you w ant to service, then press the
"Install" or “ UnlnstaH" button.
Download only
Statut
veau fix contient les correctifs du fix précé­
Servlceable Products
C : \ O S 2 \ IN S T A L I_ \ S Y S L F .V E L . O S 2 X R f 4000 rjb 3 9 A G I0 0 Sy$ te m < j
dent. Les Fixpacks ont toujours été dispo­
nibles sous forme d'un ensemble de fichiers-
-
d isq uettes (le Fixpack 7 c o n tie n t par
:j Advanced
exemple 16 disquettes) à créer avec l'utilitai­
|
-
re loaddskf. C'est sous cette forme qu'ils sont
stockés sur les CD de Dream. Toutefois, il
B egin
C ancel
►
Install
|
Help
UnlnstaH
l.xit
Help
Status messages shown here.__________________________________
existe un autre "packaging" des Fixpacks
L 'utilitaire ftpinstl qui télécharge
L application quasi-automatique
p e rm e tta n t de les té lé c h a rg e r depuis
autom atiquem ent le Fixpack.
du Fix.
^
i
^
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J t ' Bookmaiks
4
4=
Seareti
Guide
i
rf
Print
Security
cm
P wv.wh..
\CID\L0C1NSTUVSVSLEVE1. LCU
IBM LAN CID U ttllty
Wartlon 5 10
10 d* cw pouni S839AS700
Ntvaau <M «oBlftcatlon» «n cour»
URF8400
klva.u d* aodlfIcatlon* antérlaur
UAF8210
Jj
Location ^rtp://ps.bouidef.ibm.com/pbin-u$a-ps/qetobi.pl?/pdocs-ut.a/softupd.htmlWwarp34
I
le \DWSL\SmEVEL.DMI
IBM OS/2 OMIF Servie* Layar
paraion 1 10
10 0* co»po**m S76S82200
NivtAu S* moaiftcatlon* *n cour*
CA00C00
Mlvitu d* aodlftcatlon* *nirrituCA0C00Q
k E a D M c . K M ' J U s i n g l h e n e w K e m o v a b ie M e d ia S u p p o rt
R E A D M E .T IP T ip s fo r r e c o v e n n g fro m F ix P a k p ro b le m s (3 .o )
R E A D M E 2 P roblem s fix e d m each F ix P a k (A P A R l u t )
t'VIBMCOMSSYSCEVEt TRP
C o u n try
W a rp 3 .x
A v a ila b ility
W a rp 4.0 i A v a ila b ility
FixPak 29 A h o A v a ila b le FixPak 5
Arabie
Support d* protocol*» *t d* cart*» d* râsaau local IBM CS'I
waraton S 10
10 d* coaooaant S83BAS700
Hlvaau d* ■ éd ification an cour*
W9F8400
Mlvaau d* aodi»lcatlena antérieur
UAF8210
S o ftw a re U p d a te E n a b le d F ix P a k s by C o u n try
Public
Appuyai »ur Entra* l< J ) pour »ffic«*r la paya suivant*
FixPak 32 !Public
Brazilian-Portuguese
FixPak 32 'Public
FixPak 1
Public
La commande syslevel et son lot
FisPàk 35 iA b o A Y a ik b k F w P ik 5 IPublic
Bulganan
FixFak 5 ;Public
FixPak 32 !Public
Canadian-Fïench
d'inform ations.
FixPak S jPublic
FixPak 35 A h o A va ila b le FixPak. 6 A hoA va ila b le
Catalan
FixPak 5
Public
FixPak S
Public
F:: i - k l
‘Public
pour la partie réseau d’05/2. Nous détaille­
rons les différents éléments constitutifs de
Cential-Euiopean Enghsh FixPak 22 'Public
Czechoslovakian
FixPak 32
|
FixPak 32 :Public
.
Dutch-Netherlands
Public
ultérieur. Il faut seulement garder à l'esprit
A hoA vailable :FixPak 6
ALsoAvaüable
FixPak 32
Public
Public
qu'il existe un m odule se chargeant des
iA liQ A ya ila iik
FixPak S
FixPak 35 iA bA A Y ailabk !F ix f.& 6
FixPak i l
Public
FixPak 5
Public
cartes et des protocoles (MPTS), un module
r i z M , âjj
A iio A v d t b k
E isE akg
AkiaAYâilàbk
se chargeant des fonctions de réseau poste
FixPak ?6
A hoA vailable FixPak f
Publie
à poste (orienté N etB IO S) et un module
FixPak 37 A h o A va ila b le FixFak 6
English-US
l’architecture réseau d'OS/2 dans un article
FixPak 35
AhoAvailable
* *» J»-» ^
Document: Done
La page des RSU.
pour le TCP/IP.
On trouvera les correctifs pour ces modules
sur le serveur ftp : ps.boulder.ibm.com. Par
jour. C'est pendant ce reboot que peuvent
exemple, les correctifs mpts se trouvent
survenir des problèmes liés à la mise à jour,
dans : ftp://ps.boulder.ibm.com/ps/pro-
C u r r c n l d ir e c to r y is 'p&<prod ucts* m pts/fi x e s/fren ch
même s'ils sont rares. L'autre méthode plus
•44 1**7 Mr*:tcry
sûre mais plus lente nécessite de booter sur
Cmc 14 MiHtW l»f7 Mrwotocy
•wd
U M>NiM lfM DArwctocy
Tw*
4 M.Mit» 1WI CUrwetcry
la première disquette CSF et de se laisser
guider (aucune option n'est disponible en
ducts/mpts/fixes/french/. Chaque fix com­
porte un num éro co rrespond ant à son
niveau de correction, par exemple le correc­
tif MPTS WRF8415. Pour déterminer quel
installation par boot). La procédure peut
La page des correctifs M PTS.
être plus lente puisque le système ne charge
Fixpack est alors un fichier de script (exten­
de taper la com m ande syslevel dans une
est le niveau actuel de ses modules, il suffit
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pas les pilotes disques habituels. Au reboot
sion rsu) qui indique à rsuinst.exe quel pack
fenêtre OS/2 pour avoir la liste des niveaux
sous OS/2, les correctifs ont été apportés et
d'installation télécharger pour le Fixpack en
de service des modules installés. Les correc­
un répertoire "archive" a été créé.
question. Le pack est téléchargé et son
tifs MPTS sont généralement des installa­
In s ta lla tio n p a r RSU
contenu est exécuté (en général il s'agit
tions complètes d'une nouvelle version du
L'autre moyen, plus "moderne" d'appliquer
d'un programme nommé ftpinstl.exe) pour
module. Enfin, le TCP/IP a lui aussi ses cor­
les Fixpacks OS/2 est d'avoir recours au sys­
récupérer les fichiers du Fixpack, les décom­
rectifs, n o ta m m e n t la pile T C P dans :
tème Remote System Update. Les Fixpacks
presser et appliquer le correctif comme l'au­
ftp://ps.boulder.ibm.com/ps/products/tcpip
sous la forme RSU sont disponibles sur la
raient fait les disquettes CSF. Il est possible
/rsu/stack. Pour conclure, si on hésite sur
page:
de conserver le pack sur son disque pour
l'application d'un fix donné, le mieux est de
h ttp ://p s.b o u ld er.ib m .co m /p b in - u sa-
l'exécuter ultérieurement.
se reporter à la base : http://service5.boul-
ps/getobj.pl?/pdocs-usa/softupd.html. Pour
Les c o rre c tifs réseau e t a u tre s
der.ibm.com/pspfixpk.nsf
que cela fonctionne, il faut que le naviga­
OS/2 est un système à plusieurs couches
qui liste (parfois laborieusement) absolu­
teur utilisé soit correctem ent configuré
fonctionnelles bien distinctes (noyau, inter­
ment tous les correctifs existant pour les
pour travailler avec l'utilitaire rsuinst.exe. La
face graphique, réseau, etc.). Certaines de
produits IBM et fournit pour chacun une
page décrit précisém ent les réglages à
ces couches sont facultatives et ne sont inté­
fiche descriptive expliquant les cas dans
effectu er po ur a b o u tir. Si l'o n utilise
grées à OS/2 que depuis peu, comme la
lesquels l'application du correctif est néces­
Netscape 2.02, il ne doit pas y avoir de pro­
couche réseau poste à poste. C ’est la raison
saire.
blème de configuration. L'entrée dans le
pour laquelle il existe des correctifs à part
Informatique
03 88 62 20 94
S. L. Di f f u s i o n
iJy U V ü JIü U l l f i i j i i 1
22 Route tfu Jàal de Gaulle
673
chiLtigheim
ASOO Viper 520-33 AT/CD+8M0
1 0 9 9 ,Carte mémoire pour 1200 (0 à 8 Mo)
3 2 9 ,Carte mémoire 1Mo + Horloge A600
3 6 9 ,Souris AMIGA Acid
159,Wordworth 7 (cd) Français
4 5 9 ,Turbocals 5,01 (cd) Français
6 3 9 ,Aminet 26
50,Demandez notre cataloque complet
Disque Dur IDE 3,5" 2,1 GO
1 0 8 9 ,CD ROM IDE 24X interne
4 3 9 ,CD ROM IDE 32X Pionner interne
5 9 9 ,ldeFix-97
2 4 9 ,Quadrupleur IDE 1200+Buffer
199,Mémoire SIMM 8 MO Standard 70 ns
159,Mémoire SIMM 16 MO EDO
169,Mémoire SIMM 32 MO EDO
2 9 9 ,-
et aussi sur internet
http://195~132.8 1 52/sld
SL-Diffusion règle vos problèm es de connectiques avec
mVISAM
W
m
I1 IN D > ®
ui x 4
A M IG A
Forant A4 -
32à36 Bits/1 Pus#
OS 3,0 M
Fonction sor Aniga, Mac, ot PC (Uÿdah«t «n«qiyt«nM
BLZ 1 6 0 e 4 0 /2 5
Frais de Port:
T our-M o niteur-Scanner 120 F,
CD 20 F, Lo g iciel 40 F, S o u ris 25 F, a u tre 70 F .
Votre Com m ande par co u rrie r a ve c v o tre rè g le m e n t
par ch èq u e,m an d at cash ou ca rte b an c a ire
V
Antoine Sabot-Durand
9
2 499,
É LZ 2 0 0 e + 4 0 /2 5 3 619,
BLZ
LZ 2 0 0 e + 6 0 /5 0 + 6 149,
* ÇyberVîsîon PPC 1 889,
r BVISION Blizzard 1 499,
Am iga 1300
Am iga 14 0 0 Zll
A m iga 15 0 0 Zlll
Autom atiser
la compilation
sous Linux
dent de l'implémentation de Make. Dans le
cas de GNU Make, il s'agit des règles impli­
cites. Il faut savoir en prem ier lieu que
comme tout langage qui se respecte, Make
administre des variables. Ainsi, on peut écri­
re au début du Makefile :
CC
= gcc
puis, à la place de gcc -c fool .c, $(CC) -c
fool .c. De cette façon, il suffit de modifier
une seule ligne du fichier pour changer de
compilateur C. Dans GNU Make, un grand
nombre de variables est réservé (consultez
la documentation pour avoir la liste exhaus­
Make est un outil que tous ceux qui désirent programmer
sérieusement sous Linux (et même les autres) se doivent
de maîtriser.
tive), les plus importantes restant CC (le
compilateur C à utiliser), CXX (compilateur
C++), FC (com pilateur Fortran), etc. De
même, CFLAGS indique les options à passer
au com pilateur C, C X X FLA G S celles du
compilateur C++, etc. Notre Makefile précé­
S
i vous avez déjà utilisé un IDE (que ce
deux fichiers fool .c et foo2.c. On a alors le
dent peut se réécrire en :
soit sous Unix, Windows ou M acOS),
Makefile suivant :
CC = g c c
vous connaissez sûrement sa fonction
fo o : f o o l . o fo o 2 . o
C FLAG S
Make : elle a pour effet de recompiler les
fichiers qui ont été modifiés, et seulement
ceux-là. Ainsi, on est sûr d'avoir un exécu­
table à jour, sans perdre du tem ps en
recom pilant l'intégralité du program m e
g cc -o fo o f o o l . o fo o 2 . o
= -g
O B JS = f o o l . o
f o o l.o : f o o l.c
fo o
g cc -c -g f o o l . c
f o o 2 .o
: $ (O B JS )
$ (C C )
-o fo o $ ( O B JS )
fo o 2 . o : fo o 2 . c
Comme vous pouvez le constater, on n'in­
g c c -c -g fo o 2 .c
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
lorsque cela n'en vaut pas la peine. Voilà
dique plus les règles pour produire fool .o à
exactement le rôle que remplit le program­
NB : les lignes indentées commencent obli­
partir de fool .c et foo2.o à partir de foo2.c.
me Make, à cette différence près qu'il ne se
gatoirement par une tabulation (et non par
Ces règles sont implicites : lorsqu'on ne les
limite pas à la compilation de fichiers C. Il
des espaces !).
indique pas clairement, GNU Make ajoute
s'agit en réalité d'un langage de program­
Ce fichier se lit comme suit : pour produire
lui-même la règle suivante :
fo o l.o
mation puissant, nécessitant certes un cer­
foo, il faut avoir produit fool .o et foo2.o.
tain apprentissage mais qui se révèle ensuite
On peut alors produire foo en exécutant la
totalement universel. Il existe différentes
commande shell gcc -o foo fool .o foo2.o.
versions de Make, plus ou moins com pa­
Pour produire fool .o, il faut fo o l.c , etc.
Et c'est la même chose pour foo2.o. De
tibles. GNU/Linux possède en standard le
Lançons la compilation en tapant make foo :
cette façon, on s'affranchit de la saisie
: fo o l.c
$ (C C )
$ (C F L A G S )
-c f o o l . c
Make de GNU ; certaines versions proposent
on voit que make compile fool .c et foo2.c,
longue et fastidieuse des règles à la main et
également d'autres variantes (pmake, etc.).
puis engendre foo. Tapons make foo une
on se contente d'indiquer le compilateur à
Nous utiliserons bien entendu la version
seconde fois : rien ne se passe, car foo est à
utiliser, ses options et la liste des fichiers .o à
GNU de Make.
jour. Modifions foo2.c sans toucher à fool .c :
p ro d u ire
Le M a k e file
seul le fichier modifié sera recompilé. Nous
Néanmoins, cette méthode simple ne se
Tout répertoire où Make doit opérer a l'obli­
venons ainsi de voir le principe de fonction­
révèle pas toujours satisfaisante : supposons
g atio n de c o n te n ir un fic h ie r nom m é
nement de Make.
par exem p le que f o o l.c fasse appel à
Makefile. C'est en quelque sorte le program­
Règles im p lic ite s
machin.h. Il est alors nécessaire que toute
me de M ake qui lui indique ce qu'il est
Dans un gros projet, il est impensable d'écri­
modification de celui-ci entraîne la recompi­
contraint de faire. Supposons que nous
re le Makefile intégralement "à la main" ! A
lation de fool .c, ce que notre Makefile sim­
avons un program m e foo, com posé de
la place, on utilise des facilités qui dépen­
plifié ne permet pas. On peut ajouter une
Options
jzimmQalesia: 'Vexemple-makeX
gcc -9
-c fo o l*c -o fo o l.o
gcc -9
-c foo 2 .c -o foo 2 .o
gcc -0 prog fo o l.o foo 2 .o
jzimmQalesia: Vexemple-makeZ
jzimmQalesia: Vexemple-makeZ
gcc -9
-c foo2 .c -o foo 2 .o
gcc -0 prog fo o l.o foo 2 .o
jzimmQalesia: 'Vexemple-makeZ
Aide
make
l'éd itio n
des
liens.
ligne :
□X
Fichier
a va n t
fo o l.o
: f o o l . c m a c h in .h
|
Ceci afin d'indiquer que fo o l.o dépend
désormais non seulement de fo o l.c mais,
rm foo 2 .o
make
indirectement, également de machin.h (la
com m ande $ (C C ) (ÎC F L A C S ) -c fo o l.c
étant toujours im plicite) ; malgré tout,
en co re une fois, p ro céd er "à la m ain"
|
demeure inconcevable dans un vaste projet.
Heureusement, ceci peut également être
automatisé grâce à une fonction proposée
Ecrire son M akefile, c'est fou non ?
par tout compilateur Unix qui se respecte.
-y -w
^
•
rite Edlt Mute (^jps Options Buffers Tools MakefHe
■x
ï ï ï “ l !ï : l : ® : 2 5 S 5 i t E !
1nie Edit Mule Apps Options Buffers Tools Info
■h
The GNU 'm ake' utlllty automatically détermines which places of a
large program need to be recomplled, and Issues the commands to
recompile them.
vmlinixc $(C Û N FlG U RA T IO N ) init/maln.o inlt/verslon.o linuxsubdirs
$(LD ) $( J ! JKFLAG 3 ) $(H EA D ) IrWmaln.o inlt/verslon.o \
$( A R C H IV ES) \
$ (F IL E S Y S T E M S )\
$ (D R IV E R S)\
$ (L IB S ) -o vmliniK
$(NM ) vmliniK | grep -v ’ cor p ed\) \.o$$
a ’ | sort > System.map
This Is Edition 0 51 of the ‘ GNU Make Manual’, last updated 26 Aug
1997 fo r ‘ make’ Version 3.76 Beta
This manual descrlbes ‘ make’ and contams the following chapters
* Menu:
symlinks:
O verView
‘ In tro d u c tio n
’ M aketHes
' Rotes
OverView o f‘ make’
An Introduction to ‘ make’
Makeflles tell ‘ make’ what to do
Rules describe when a file must be remade
Commands say how to remake a file
You can use variables to avoid répétition
’ C ond/tionats
Use or ignore parts of the makeflle based
on the values of variables
F onctions
Many powerfijl ways to manipulate text
■ m ake In vo ca tio n Runnlng
How to Invoke ‘ make’ on the command line
■ Im p H d t R uies
Use Im plidt rules to treat many files allke,
based on their file names
■A rch ive s
How ‘ make’ can update llbrary archives
■ fe a tu re s
Features GNU ‘ make’ has over other ‘ make’s
' Afis s in g
What GNU ‘ make’ lacks ffom other ‘ make’s
■ M akefH e C onventions
Conventions for makeflles In GNU programs
' Q utck R eference
A qulck reference for expertenced users
‘ Com ptex M akefHe
A real example of a straightforward,
but nontrlvlal, makeflle
■ C oncept In d e x
index of Concepts
■ Dam e In d e x
Index of Functlons, Vanables, & Directives
rm -f include/asm
( cd Indude ; In -sf asm -$(ARCH) asm)
oldconfig: symlinks
$ (C O N FIG _SH ELL) scripts/Conflgure -d arch$(ARCH)/conflg,in
xconfig; symlinks
$(M AKE) -C scripts kconfig.tk
wish -f scripts/kconfig.tk
menuconlig; Include/liniKA/ersion.h symlinks
$(MAK E ) -C scripts/lxdialog ail
$(C 0 N F IG _SH E L L ) scripts/Menuconfig arch/$(ARCH)/config.in
config: symlinks
$ (C O N FIG _SH ELL) scripts/Configure ardV$(~RCHyconfig.in
linLCcsubdirs: dummy
i P H I R ^ V rln t f f l A k . R
-.Emacs Mafcefl»<2 >
(' V.
fri
Make
boot: vmlIniK
@$(MAK E) -C arch/$(ARCH)/boot
S P t _ p . fn r i in
«■
Htfpj
NexJ O verV iew , Up: (d ir)
@rm -f indude/Iinicc/compile.h
IS 0 8
mi emacs: 'Info*
a*
Help”]
-C
•
-W!i' rtn n P
- - The Detaiied Node Listino - (Info Nan.j"..)
IS 0 6 --% % -ln fo . (make mfog?)Top
Font - '- H e lv e tic a - M e d iu m - R - '- * - * - l2 0 - ‘
) ----- 36% -----------------
Emacs possède un mode spécifique.
Tpp-
La docum entation est au form at info.
Les d ép en d a n c es a u to m a tiq u e s
sa valeur crée le nom de la règle ; ici, il
$ (D E S T D IR )/ d o c / m o n p r o g
Nous pouvons demander au compilateur
s'agit de foo.
c le a n
de calculer les dépendances avec l’option -
C o m m e n t é c rire un M a k e file
M. Par exem ple, la com m ande gcc -M
La m eilleu r faço n d ’a p p re n d re à bien
fool .c produira une ligne de la forme :
construire des Makefiles est encore d’en lire
fo o l.o
le maximum. Il existe différentes écoles,
:
rm - f
dépend
* .o
:
$ (C C )
$ (M K D EP)
* . c > dépend
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
:
fo o l.c
m a c h in . h
in c lu d e
dépend
/ u s r / in c lu d e / s td io . h e tc .
sans p arler des systèm es qu i, co m m e
Debian GNU/Linux, imposent des spécifi­
Tout Makefile devrait proposer la règle "ail"
Nous pouvons donc reécrire notre MakefHe
cations très précises, mais on peut malgré
qui construit intégralement le programme
afin que les dépendances soient calculées
tout donner un mini-prototype, simplifié
et sa documentation. Le simple fait de taper
automatiquement :
au maximum, et pouvant néanmoins servir
"make ail" (ou seulement "make", la premiè­
CC = g c c
de base aux débutants :
re règle du Makefile étant prise par défaut)
CFLAG S = -g
CC = g c c
permet alors de tout compiler. De même,
MKDEP = -M
CDEBUG = -g
"make install" installe tout et rend le pro­
O B JS = f o o l . o
fo o
fo o 2 .o
: $ (O B JS )
$ (C C )
dépend
$ (O B JS )
IN C D IR
-O $ (@ )
:
$ (C C )
* . c > dépend
in c lu d e dépend
= -I
/ u s r / X H R 6 / in c lu d e
= - L / u s r / X llR 6 / lib
L /u s r/lib /tru c
L IB S
= -1X11
-
- lm - l p t h r e a d
Par rapport à la version précédente, nous
C F L A G S = $ (CD EB U G )
avons in tro d u it une n o u v e lle règle :
O B JS
= fic h ie r l.o
f ic h ie r 3 .o
signifie qu’on peut faire "make dépend" à
a il
tout moment sans avoir besoin de quoi
m o n p ro g
que ce soit de spécial. Elle appelle le com­
$ (C C )
pilateur avec l’option "calcul de dépen­
$ (L IB S )
dances" pour tous les fichiers source du
d o c .p s
répertoire (*.c) et stocke le résultat dans le
fichier dépend. La ligne include dépend
indique à Make de charger ce fichier et l’include au Makefile. Nous avons donc toutes
les dépendances, sans les avoir tapées à la
main. Il suffit de taper "make dépend" pour
les mettre à jour, par exemple lorsqu'on
introduit un nouveau .h. Remarquez égale­
ment l'utilisation de la variable réservée @ :
$ ( IN C D IR )
f ic h ie r 2 .o
$ (L IB D IR )
$ ( O B JS )
d o c .d v i
-o $ (@ )
-d $ ( D E S T D I R ) / b i n
i n s t a l l m o n p ro g
$ (D E S T D IR )/ b in
-d
$ (D E S T D IR )/ d o c / m o n p r o g
in s t a ll
d o c .p s
s'avèrent bien plus larges. Il est utilisable
partir de quelque chose d'autre : un logi­
: a il
in s t a ll
utilisation de Make reste la compilation de
ciel à partir de fichiers source, un docu­
d o c .te x
in s t a ll
Makefile qui se respecte devrait contenir.
A p p lic a tio n s d e M a k e
partout où l'on produit quelque chose à
-o $ (@ )
d v ip s
in s ta ll
quelque sorte le "strict minimum" que tout
programmes, ses possibilités en revanche
$ (O B JS )
: d o c . te x
la t e x
créés au cours de la compilation. C'est en
Si, comme on vient de le voir, la première
: m o n p ro g d o c . p s
:
installer autom atiquem ent. Enfin, "make
clean" nettoie le répertoire des fichiers .o
D E S T D IR = / u s r / l o c a l
dépend. Elle ne dépend de rien, ce qui
de "ail", l'utilisateur peut se contenter de
taper "make install" pour tout compiler et
- I/ u s r / in c lu d e / m a c h in
L IB D IR
$ (M KDEP)
gramme utilisable. Comme "install" dépend
MKDEP = -M
ment à partir de fichiers .tex, une image à
partir de scripts pov, eux-même se trou­
vant créés par un modeleur... Cependant,
puisque le Makefile dépend déjà du systè­
me, on fait appel à des outils tels que autoconf/automake pour à son tour le générer
automatiquement.
Jakub Zimmermann
Y
T r-
En
pratique
"
•
!
S y s t è m e
Présentation
du Bbc Basic
grammes Wimp en Basic nécessite un cer­
tain savoir-faire, ainsi peut-il être intéres­
sant de se pencher vers le Wimp Basic 2,
dont la nouvelle version permet de créer
des programmes rapides et qui simplifie
fortement la création de programmes sous
Wimp.
Les b ib lio th è q u e s
Le Basic intègre des fonctions d’appel à des
sous-routines. Il est ainsi facile de créer des
Le Bbc Basic est aux machines Acorn ce que le C est aux Unix,
c'est-à-dire un élément incontournable du système, très
largement employé.
bibliothèques de fonction, par ce moyen
ou en passant par les Sw i. Les b ib lio ­
th è q u e s
les plus co u ra n te s sont la
GameSuite, qui est un moteur de jeu com­
plet. Il existe aussi le module M enuiltils,
dont le but est de créer simplement une
pparu à l'époque du Bbc et dispo­
interrupt) et de récupérer les résultats.
icône pour la barre des tâches et son
sant dès lors de fon ction n alités
L'avantage immédiat de ce système réside
menu. Il suffit donc de rajouter quelques
inédites (assembleur intégré, haute
dans le fait que le Basic prend une tout
lignes de code à un program m e Basic
vitesse de traitement), le Basic est toujours
autre ampleur et peut ainsi utiliser toutes
sim p le (q u i fo n c tio n n e en dehors du
fo u rn i a ve c le sy stè m e des m a ch in e s
les possibilités du système. Il est possible
A
W im p) pour lui adjoindre une interface
impeccable sous Wimp. En ce qui concerne
Sinm tU flpM nm M uni
®
^
Srnrw fil» [ATAI'S- B ih« S Api» tOumjpRI (lunp PSI
SU» I
OuipM lik
I6W JJI
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Booc A Ap(*'Clwnp»FSI Cbwiix-KSIX I
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This is a lisi of ail currcntly installai maiumls Click on
the ont* you rcquirc.
3
Stronjtlldp
SWI
£
Asscnibly
VDl'
TV Assim blyi
ÿ îiA S ir
AHmiIuit Cmiklnxl
Plus jo li que le Visual Basic.
^
le Wimp, Docteur Wimp est un ensemble
volumineux de bibliothèques qui vous sim­
plifiera grandement la vie.
L 'a s s e m b le u r in té g r é
L'assembleur permet de créer facilement
des bouts de code en assembleur Arm 3.
MimudWftM
SlnrCmds
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Le B asic tro u v e ainsi deux n ouveaux
Acorn ; essayez la commande *Basic à par­
StrongHcIp is a freeware product t'rom GuUonn.VikCnounft.no
usages : il peut servir pour la création
tir du Cli et vous verrez (utilisez QUIT pour
Stronghelp, la référence de l'aid e en ligne.
d'un squelette d'application dont les par­
le quitter). Il existe actuellement deux ver­
de se servir du Basic pour lancer un modu­
ties critiques sont écrites en assembleur,
sions : le Bbc Basic V qui est fourni en Rom,
le, comme pour IChangeFsi, le programme
ou bien il permet une migration en dou­
et le VI qui se révèle plus lent, mais capable
de conversion d'images dont l'interface est
ceur du Basic vers l'Assembleur, plus rapi­
de gérer les nombres flottants avec une
en Basic, ou encore d'utiliser l'un des puis­
de. Le Bbc Basic est souvent le premier
grande précision. Le Bbc Basic propose la
sants appels systèm es pour g érer des
assembleur des utilisateurs de machines
possibilité de program m er avec ou sans
Sprites. Il devient également possible de
Acorn. Il est même possible de l'étendre
l'u tilis a tio n de n um éros de lig n es, et
créer des programmes Basic qui fonction­
pour lui permettre d'utiliser le jeu d'ins­
intègre toujours un assembleur, com pa­
nent en multitâche sous Wimp. De nom­
tru ctio n de l'Arm 6. Pour ceux qui ne
tible avec le jeu d'instruction de l'Arm 3. Il
breux programmes existants sont écrits de
veulent écrire qu'en Basic, mais gagner
perm et égalem en t d'effectuer certaines
cette façon. Cependant, la création de pro-
en vitesse, il vaut mieux se pencher vers
opérations peu courantes, que nous allons
décrire.
Le calcu l m a tr ic ie l
Le Bbc Basic permet de faire facilement du
calcul matriciel, ce qui se révèle incroyable­
ment pratique pour calculer des objets en
3D et les animer. On pourra se pencher
avec b o n h eu r sur le so urce d 'A d rian o
Cimenti qui propose des objets en 3D qui
effectuent zooms et rotations en temps
réel. Cette possibilité n'en est qu'une parmi
d'autres, car le Bbc Basic est très complet.
L'accès au S ystèm e
Il est possible d'accéder à n'importe
q u elle fo n c tio n du Cli via la
commande '*', qui donne l'ac­
cès aux commandes 'étoiles'
du Cli. Les appels système
se font via la com m ande
'Sys' qui permet d'utiliser
une Sw i (S o ftw a r e
HO
areanunbarx^O
SYS"OS_Gat£nv" 10 HS
ta*k*:lNSTR(RS. -wtnp") IFtaskx THEN
OIN rz(1).pz(3).*z(3).n$(3fl)
R*=OPENIN"<0i*ng«FSI$Dir> Messages"
Bx=-1 REPERT Bz.=1 nS(Bx)=6ETS»Rz UNTILEOFIRz CLOSEIflz
■tartfi1«x-RIGHT$(R$.6)<>"-uinp "
DIM taakidxl Staskidxs-IRSKSYS "U in p .In itia l is e " .200. !taskidx.n$(20) TO v n i o m
IF verslonx>=350 THEN
SYS"0S_Manorg".8*(2«8) 10 .r i .r2:vransi*ax=r1*r2
IF vranslzax>0 vranx-TRUE ELSEvranz=FRLSE
E l SE
uranz-FRLSE
EN0IF
Uinp
= (1 «1 8 ) • (3 « 6 )
CraataU = Uinp*1 OpenU
Uinp*S ClnseU
♦
8
UpdateU ^
mUlnp»9
n p » 9 GatRx
•13
GatI
- Uinp*H GetP
•20
- UinpMO GetU
= Uinp«1S Draq
: Ulnp«6 R*rii auU
Uinp
Uinp*11Se»I
Ulnp*11 S a tI
Uinp
- Uinp*16 CrManu : Uinp
DcManu = Uinp*21
SYS "OSJjUINunbarFronString". ."Uinp_Pol lld la " 10 Pollx
SYS "0S_SUINunb*rFronString". . "X0S_SpritaOp" 10 spopnx
SYS “0S_SUIMunbarFronString".."0S_Sprita0p" 10 spopx
SYS "0S_SUIMunbarFronString".,"OS_R»adhonotonicTina" 10 Tina*
SYS ’ 0S_SUINunbarFronSlr ing“ .. “Colour Traits _RatumColourNunbar” T0
SYS "OS SUIHunbarFronStrlng*., "Uinp_SatCaratPosition" 10 Caratposx
SYS "0S_5UINunbarFronStr ing". . "Ulnp_GatCaratPos i t ion" 10 Gatcaratx
SYS "X0S_SUINunbarFronString“ . ."DragRSprlt*_Start" 10 d slartx;fx I
FfxflNO 1 dstartz=0
SYS “ XOS.SUINunbarFronString".."JPEB_PlotScalad" 10 jpegpaintx;Tx:
IFf/RND 1 jpegpelntx=0
SYS -0S_Byte".161.»1C 10 . . fx IF(f/flND2)=0 d slartzO
naxtlocat ionx=HINEH
SYS "Uinp_S1otStaa-.-1.-1 10 originalalotz
PR0Clocala_initlalisa
IF uarsionx>=308 THEN
DIN qx 255.ifactorrz 15.factorsx 15.plxtransx 2S5.paltanpx 1023.bu
f f erx 2SG id atax 1023_________________________________________________________
Tous les appels sytèmes sont accessibles.
FORZz =0T02STEP2
Px-cod#/
[0PT Zx
.•MkBX
STHFD r13!.<r14>
LDR r4 .ic t
MOV r2.lstapxx2
! blualoop
MOV r1.Htapxs2
grcenloop
MOV r0.Ntepxx2
.redloop
MOV r3.rO.LSR Rnkx
MOV r H .r l. L S R «nkx
MOV rS.r2.LSR «nkx
ORR r3 .r3 .rH .LSL «k/
0RR r3.r3.r5.LSL «kx.2
BL devtous
RD0 r0.r0.l«l«px*2
CMP rfl.t2S6
BCC redloop
R00 r l . r l. N U p x
CMP r1 .1256
BCC gr**nInop
R00 r2.r2.N tepz
CMP r2.!2S6
BCC blualoop
LDMFD H 3 I <pc>A
.et DCD palattax
[.n i n DCD coda/*8192-256.2*4
ict KO ielx
I Kaad DCD scratchz
fsa lln DCD scratchz«scratchsax
i davious
STMFD r13!. (rfl.rl .r2.r3.r4.r8.r14)
BIC rfl.r0.l(naskx<<1)«1
BIC rl.rl.ln a s k /
BIC r2.r2.N ask/
MOV rS.10
LDR r6 .ct
MOV rS.ISrfOOOO
MOV rM.MffOOOO
I DR r 12 nm_________________________
Un peu d'assem bleur pour accélérer.
MON POLY
0
On peut être célèbre et être écrit en Basic
r7
(lter«ta
7 Pmhthdc«Jwan 77 Set
E"»(Vk*i •!«*»«T
[✓"TOIK
7 Rne f»*ii vWc do»n
17
Mtdoccntrol
(7 T«Wp>«t*ltKlk 77 UliM
Seltibrxomvrfoan
|7 Vitra»♦v,*jhk 7 Sel
finelunmg
[7 Tn
7 P»»eai k»if>
f7 o»
(7 Sei«amptccflwi 77 Sellianek«nnclocm
7 VoteraeOkV Retnfno*
(7 lumpk>tcepiemx 77 E*w
mhiint vU
dcup
(7 Setval»
7 fw wilumcvUlcik>»n
7 p*»*
7
7 e7 Sctvpeeil'temp» 7 No*aeU,
[✓ PtwhUkkup
Un player complet, tout en basic.
le com pilateur Basic Abc, qui reste une
fois celles d'un Arm 710, mais il dispose aussi
valeur sûre et produit un code vraiment
d'un cache plus gros (16Ko) ; par consé­
rapide. Il peut être intéressant d'utiliser le
quent, l'interpréteur Basic tient dans le cache
tran scrip teu r Basic vers C, d isp o n ib le
et les programmes Basic voient leur vitesse
depuis peu.
multipliée par un facteur de 10 à 25 fois (par
Les é d ite u r s
rapport au 710) ! Pensez aussi à utiliser
L'éditeur de texte fourni en standard per­
StrongBs, un sympathique programme qui
met de créer des fichiers en Basic, mais il
transforme le source Basic en application et
se révèle un peu simpliste. Le Bbc Basic
qui optimise et compresse le code (sans le
dispose d'un éd ite u r in tég ré que l'on
compiler). Ceci s'avère efficace et donne de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
appelle via la com m ande ’EDIT'. En fait,
bons résultats.
sur les m achines m od ernes, il faudra
S im p le e t puiss an t
veiller à charger le m odule Armbe (Arm
Basic Editor) pour pouvoir utiliser cette
Le Basic des Acorn est un utilitaire puissant ;
O p tim is e r son co d e
il a la chance d'être un vrai standard, pré­
fonction. Zap est un excellent éditeur,
Pour commencer, essayez de programmer
sent à l'ép o q u e sur de nom b reuses
qui colorise le code et le rend très lisible.
proprement, sans utilisation de numéros de
machines 8 bits. Il a su évoluer et utilise plei­
Il pourrait être le m eilleur si le m ode
ligne et sans la satanique commande 'Goto',
n e m en t la m ach in e (esp ace m ém oire,
Basic ne disposait pas de quelques bugs
excellente source de problèmes. Le Bbc Basic
assembleur Arm...).
assez ennuyeux. StrongEd démontre ici sa
permet de programmer de façon structurée
Si le Bbc Basic ne vous intéresse pas, essayez
maîtrise et sa sécurité en produisant une
en définissant fonctions et commandes ; uti­
d'utiliser le module qui permet d'y accéder
source très propre et en perm ettant de
lisez ces fonctionnalités. N'hésitez pas à tes­
de façon transparente à partir de la ligne de
changer facilem ent de m ode. On peut
ter votre code pour l'optimiser... Certaines
co m m an d e . Le Cli, déjà très puissant,
ainsi charger un code en Basic et le sau­
fonctions sont lentes. Ainsi l'utilisation de la
devient ainsi un outil fantastique.
vegarder en texte pur, opération que Zap
boucle For...N ext est plus rapide qu'un
ne réalise que difficilement.
Repeat...Until. De même, appeler une Swi
par son numéro plutôt que par son nom
C o m m e n t d é b u te r
Pour commencer il vous faudra le Basic,
permet de gagner du temps (des utilitaires
un éditeur de texte gérant le Basic, et un
perm etten t de faire cette co n versio n ).
peu de documentation si vous n'êtes pas
L'optimisation du système permet souvent
habitué à ce langage. Pour faire appel
de gagner en vitesse avec le Basic. Il est pos­
aux fonctions du système et aux Swis,
sible de recopier le module Basic de la Rom
l'idéal est de disposer de l'excellent Prm
vers la Ram, plus rapide, par la commande
(Program m er Reference M anual).
Pour
'*RmFaster Basic'. Sachant qu'une majorité
les moins fortunés, il est possible de se
de programmes utilisent le Basic, il est préfé­
pencher vers les manuels de StrongHelp,
rable de glisser cette com m ande dans le
comme le manuel Basic, Swi, StarCmds
Bo o t du systèm e. Au toV C ache (p o u r
(de Jérôme Mathevet), Vdu, Assembly ou
S tro n g A rm ) p erm et aussi de faire des
le manuel Arm de Vincent Lefèvre. Une
miracles. Exemple : un logiciel pour tracer
fois équipé, vous pouvez vous pencher
des lignes multicolores à l'écran en dessine
sur le co d e so u rce des p ro g ra m m e s
7654 par secondes sans AutoVCache et
d'autres développeurs. N'oubliez pas de
10161 secondes avec ! (en mode 800 par
to u jo u rs
600, 256 couleurs). Le StrongArm à 200Mhz
Majuscules.
ta p e r
les c o m m a n d e s
David Feugey
en
fournit des performances de l'ordre de 4 à 6
REM
REM
REH
REH
REM
REM
KH
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••
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Déno pour nattra
valaurla a*
rapidité lit I RRCHIMEDES
•«
programa as!
antiaranantaa
é crit an 8RSIC
aa
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Volontairanant pas c la ir
aa
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par R * îano CDCHTI
aa
la 10x12x88
aa
Cm
Zx=a**1>HOOS
IFZx=l RESIDRE1090
REM CUBE
IF2x*2 REST0RE840
REM OVNI
IFZy:3 REST0RE1238
REM BRIQUE
IFZx=é REST0RE330 REM FUSEE
IFZx=S RESTORE830
REM CUBE CREUX
IFZx=6 REST0RE102O
REM 0ELTR
IFZx=7 REST0RE1188
REM PŸRRMIDES
IFZx^O RESTORE760
REM RVI0N
MOOC20 :OFF :WU24.0 ; 0 .1276; 9S6 ; 28. Q. 1.33.0
COLOUR123 COLOUR1S a s
REPERT Rg=3aRND<1) Gr=3afi»<1) 81 i3.RND(1) UNTICRg*6r*BI<3
Ix=8 C0L0UR0.2S5-FNc (Rb ) . 2S5-FMc(6r).2S5-FNc(BI)
F0RIx=1T015 C0L0URI*.FNc(Rg).FNc(6r).fNcCBl) NEXT
RERD nx.k.Px.fc-iPPx^-flx-l DIMP*(2.PP,>
FORlr=OTOPx-1 FORJx=8T02 RER0P/:(J/.I«)iNEXT.
nx=160 K*:n**2:Q*=Qx.anx-l
ODOxCQx) :FORI*=OTOQx REflOO*(I*> « X I
F0RI*=8T0Q*STEPnx :»«=P**M>Nn*
ixtflBSOxüx) j/.=0x(I*.1 ) lo-=0*(Ix.2>
PflXM (^(O .lx).Px< 1 .iO .P*C 2.|x).P*(0.j*).Px(1 .jx).Px(2 .jx)
x).Px(1 .kx).Px(2.kx).PxCB.wO .Px(1 .wx).PxC2.»«)) MEXT
F0RIx=8T0Px-1 :F0RJx^JTQ2 Px(Jx.Ix)=f>x(Jx.Ix)ak-4e NEXT.
REST0RE FORIx=1T048iREfl06x V0UB* «XT
0IMpx(2.PPx).Hx(PPx).uxCPPx).*x(PPx>.wx(2)
DIMXx(2.2).Vx(2.2).Zx(2,2) -Xx(O.0) mx Vx(1.1 )=nx Zz(2.2)=«x
DIICx(2).FxC2).Bx(2) Ex(0) =1.Fx(1) =1 6 *(2 M REFOEx
Fx=t h 'RNO(mO) y=RND(*0) *=RW(40) h=1 Hx=3S Ex=ExakxaS88
«x:DKV100 WU26:ORISDI640.512 COLOUR128
FORUUx=-1380TD13OOSTEP12Ux4«x-6a|E-l2-1 2ES
Aussi brouillon que puissant.
g ? "
En fin ir avec les Shell scripts !
3e partie
# s i l a c o n n e x io n n ' é t a i t pas
e n c o re é t a b l i e
Troisième et dernier volet de notre série dédiée à la
programmation de shell scripts, l'article de ce mois-ci se veut
avant tout pratique.
# il
,
fa u t a u s s i "tu e r" chat
k i l l a l l c h a t ; k i l l a l l pppd ;
s le e p 3
fi
Sous X, associez la com m ande xterm -e
File
Options
Help
[peschQlocalhost scriptsüî */PING
Ping
Pong
Ping
Pong
Ping
Pong
Ping
Pong
C O N N EC T à une icône ou un autre élé­
m ent de m enu et vous ob tiendrez un
moyen très efficace de vous connecter.
U n e session f t p a u to n o m e e t
a u to m a tis é e
Le script GETFTP vous permet de récupérer
un fichier via ftp en mode non interactif,
très simplement. La syntaxe de cette com­
mande est la suivante :
GETFTP m ach in e f i c h i e r
ry]
[ a s c ii | b i n a -
( a s c i i p a r d é f a u t)
Ainsi, pour récupérer le fichier LISEZMOI
sur ftp.jussieu.fr en mode ascii, on utilisera :
GETFTP ftp.jussieu.fr /pub/linux/LISEZMOI
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ascii
Le script utilisé est le suivant :
# ! / b in / s h
#
MACHINE=$1 # s i t e
Un sim ulateur de tennis de table en sh !
ftp
FILE= $ 2 # f i c h i e r a r e c u p e r e r
ous allons commencer par un shell
Internet via le protocole PPP. Ce script sup­
N
Nous a llo n s d é co u vrir cette fois-ci la
$ echo $ to to
pose que vous ayez configuré convenable­
su b stitu tio n de p aram ètres q u i perm et
n o u v e lle v a le u r
Encore des substitutions
script assez sim ple, p e rm e ttan t
d 'a u to m a tis e r les co n n ex io n s à
m ent les options par défaut du dém on
parfois de rendre l'écriture de shell scripts
$ { v a r i a b l e : ?m essage}
/usr/sbin/pppd (fich iers de /etc/pp p).
plus concise (mais moins lisible) :
m essage s u r l a s o r t i e d 'e r r e u r
: a f f i c h e r un
Grâce au fichier de lock /var/run/pppO.pid,
$ { v a r i a b l e : - s u b s t}
nous pouvons créer un script qui lance la
n ' e s t p a s d é f i n i e ou e s t l a c h a in e
p a s en mode i n t é r a c t i f ,
connexion et affiche le statut de celle-ci. Si
v id e ,
s h e lls c r ip t.
: s i v a r ia b le
s u b s t i t u e r p a r s u b s t.
s t a n d a r d . S i l'e x é c u t i o n ne s e f a i t
q u it t e r le
la co n n ex io n est déjà active, le script
Exemple :
$ { v a r i a b l e : + s u b st}
C O N N EC T coupe la communication, tout
$ u n set to to
e s t v i d e ou non d é f i n i e ,
simplement. Voici le contenu de ce script :
$ ech o $ { t o t o : - " s u b s t i t u t i o n
s u b s t i t u e r . S in o n , s u b s t i t u e r p a r
# ! / b in / s h
a lt e r n a t iv e " }
s u b s t.
s u b s titu tio n a lt e r n a t iv e
$ u n se t to to
L O C K _F IL E = / v a r/ ru n / p p p O .p id
$ t o t o = " s u b s t i t u t i o n n o rm a le "
$ echo $ { t o t o :+ "a u t r e v a l e u r " }
s le e p 1 # a t t e n d r e une second e
$ echo $ { t o t o : - " s u b s t i t u t i o n
( v id e )
if
a lt e r n a t iv e " }
$ t o t o = " v a le u r "
PROCESS=$(ps ax | g re p
[ -z " $PROCESS" ]
'p p p \ d ')
th e n
: s i v a r ia b le
ne r i e n
echo -n "C o n n e c tin g "
s u b s t i t u t i o n n o rm a le
$ echo $ { t o t o :+ "a u t r e v a l e u r " }
/ u s r/ s b in / p p p d
$ { v a r ia b l e : = s u b s t }
a u t r e v a le u r
w h il e
[ ! -e $ LO C K _FILE ] do
echo -n " . "
; s le e p 1
: s i l a v a r ia b le
n ' e s t p a s d é f i n i e ou e s t l a c h a in e
Il existe d 'au tres types de su b stitu tion ,
v id e ,
notamment dans le cas de bash, la version
a f f e c t e r su b st à v a r ia b le e t
s u b s titu e r p a r c e t t e v a le u r .
étend ue de sh p a r le G N U p ro ject. La
$ u n set to to
docum entation (m an bash) est très bien
s le e p 5
$ echo $ { t o t o : - " n o u v e l l e v a l e u r " }
faite, une impression ainsi qu'une lecture
e ls e
n o u v e l le v a l e u r
approfondie s'imposent !
done
echo "OK" ; echo "C o n n e cte d "
echo " D is c o n n e c t in g "
;
T
MODE=$3 # mode de t r a n s f e r t
if
D é t o u r n e m e n t des s i g n a u x
[ -z MODE ] th e n
La commande interne trap permet d'exécuter une commande lorsque le shell script reçoit
M O D E= "ascii" # mode a s c i i p a r
d é fa u t
un signal. La syntaxe de cette commande est la suivante :
fi
tra p
B FIL E= ' basename $ F IL E ' # basename
L 'option -I permet de lister les signaux disponibles. Par exemple, sous Linux, on obtient :
r e n v o ie l e nom san s l e chem in
$ t r a p -1
[-1]
[commande] [s ig n a u x ]
f t p -n $MACHINE « E n d F T P # u t i l i s a ­
0)
E X IT 1) SIGHUP 2) S IG IN T 3) SIG Q U IT
t i o n d ’un h e r e s c r i p t
4)
S I G I L L 5) SIG TRA P 6) S IG IO T 7) SIG BU S
S IG F P E 9) S IG K IL L 10) S IG U S R l 11) SIG SE G V
$MODE
8)
u s e r anonymous $USER@ ' h ostnam ev #
12)
SIGUSR2 13) S I G P I P E
con nexion anonyme
16)
S IG JU N K (16) 17) SIGCHLD 18) SIGCONT
19) SIG ST O P
g e t $ F IL E . / $ B F IL E
20)
S IG T S T P 21) S IG T T IN
22) SIGTTOU 23)
SIGURG
EndFTP
24)
SIGXCPU 25) S IG X F S Z
26) SIGVTALRM 27) SIG PRO F
14) SIGALRM 15)
SIGTERM
28) SIGWINCH 29) S IG IO 30) SIGPW R 31) S IG JU N K (3 1 )
Jokers "inversés"
Dans un shell script, la commande trap permet d'exécuter une commande ou une succession
Le script INV qui suit permet de donner
de commandes (voire un autre shell script) lorsqu un signal est reçu. Par exemple, si on veut
une signification inverse au modèle passé
afficher un message en sortie de shell script, on peut placer la commande suivante au début :
en argument. Par exemple, *.ps qui signifie
t r a p echo " f i n du s c r i p t "
"tous les fichiers portant l'extension *.ps"
Les signaux souvent utilisés dans les shell scripts sont : 0 (EXIT), 1, 2, 3, 9, 15.
0
devient, avec INV '*.ps' (n'oubliez pas la
Voici une petite "bidouille" sympathique permettant de faire communiquer deux shell scripts
protection !) : "tous les fichiers ne portant
via le signal SIG U SRl (signal utilisateur) et la commande kill.
pas l'extension .ps" :
Le premier script PING (en quelque sorte, le serveur) est le suivant :
# ! / b in / s h
# ! / b in / s h
temp=/tmp/INV$$ # f i c h i e r te m p o ra i­
PONG $$ &
re ,
PONG_PID=$! # r e c u p e r e r l e P ID de PONG
fo rm a t IN V p id ( p id du s h e l l )
# la n c e r l e
" c lie n t "
s t a t = l # code de r e t o u r 1 s i l e
# g e s t io n n a ir e d 'i n t e r r u p t i o n
s c r i p t sto p p e a v a n t l a f i n
t r a p "e ch o
# e f f a c e r l e f i c h i e r te m p o ra ir e s i
echo " P in g " # l a n c e r l a b a l l e
' P i n g '; s l e e p l ; k i l l
PONG, en l u i p a s s a n t l e P ID de PING
-10 $PONG_PID" 10
!
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
on r e ç o i t c e r t a i n s s ig n a u x
tra p
s le e p 1
’ rm - f $ ten p ; e x i t $ s t a t '
2 15 # e f f a c e r l e
k ill
0 1
-10 $PONG_PID # e n v o y e r S IG U S R l a PONG
# b o u c le i n f i n i e
f i c h i e r te m p o ra i­
re
w h il e t r u e do
# c r é e r l e co n ten u du f i c h i e r tem­
p o r a ir e
t r u e # i n s t r u c t i o n q u i ne f a i t p a s g ra n d ch o se
( s é l e c t i o n in v e r s é e )
echo "$ * "
| tr
'
’ ' \0 1 2 '
done
Le client PONG est le suivant :
| so rt >
$temp
# ! / b in / s h
# Comparer l e co n ten u du r é p e r t o i r e
PING_PID= $1 # P ID de PIN G en p re m ie r argum ent
a v e c l e co n ten u du f i c h i e r tempo­
tra p
r a ir e
# b o u c le i n f i n i e
l s -1 | comm -23 - $ tenp
w h il e t r u e do
sta t= 0 # s o r t i e san s e r r e u r
"e ch o
' P o n g '; s l e e p l ; k i l l
-10 $ P IN G _ P ID " 10
tru e
done
Ce script utilise la com m ande trap (cf.
Vous venez de créer votre prem ier shell script client-serveur, tout à fait inutile d'ailleurs !
encadré) qui devrait être utilisée pour
tous les scripts non triviaux. Il faudrait
égalem en t vérifier les arg u m en ts des
d ir = $ {l- .}
lignes de commande mais nous vous lais­
ra n t p a r d é fa u t
sons cette "extension" en guise d'exercice
echo
(conseil : affichez un message rappelant
and i t s
la ligne de com m ande du script en cas
T re e
#
r e p e r to ir e
cou­
sed
-e
s@ \^ $ d ir@ @
's G t 'V ] * / ©
fo r
d ir e c to r y
$ d ir
#
ce
-e
/\^$/d
-e
" @g'
c a ra c tè re
est
un
TAB
file s :
//
d'erreur).
*)
Un d e r n ie r p o u r la r o u te : STREE
d 'o p t io n
fin d ty p e = " - ty p e
d"
#
si
pas
Ce script permet d'afficher l'arborescence
d ir= $ {1 - .}
des répertoires (ou de tous les fichiers
echo T re e
Ce script clôt en beauté notre initiation au
shell en proposant un mélange de la plu­
-a
part des notions que nous avons abordées
fo r
d ir e c to r y
ces derniers mois (find, filtres, sed, etc.). La
$ d ir :
avec l'option -a) à partir du répertoire
/ /
plupart des scripts présentés sont des ver­
passé en argument (le répertoire courant
esac
sions un to u t p e tit peu m odifiées des
est utilisé si rien n'est précisé) :
echo
scripts fournis sur le CD de l'indispensable
"
Unix Power Tools, chez O'Reilly & associâtes
$ d ir "
#!
/ b in / s h
case
-a)
"$ 1 "
s h ift
fin d
in
/
$ d ir
W 001
|
$ fin d t y p e
so rt
-f
- p r in t
|
tr
|
W 001
tr
/
dont nous n'arrêtons pas de vanter les
mérites !
Fred Pesch
In itia tio n au x ressources X
Fichiers de c o n fig u ra tio n
3e partie
Root Window, établie par l'analyse du fichier :
ÎHOME/.Xdefaults ou $HOME/.Xresources
Les précédents épisodes de cette initiation ont montré la
puissance des ressources de X. Il ne reste donc plus qu'à
"enregistrer" nos configurationsétape quelque peu fastidieuse.
4) Fichier spécifié par la variable d'environne­
ment :
X E N V IR O N M E N T ou SHOME/.Xdefaultshostname (hostname est le nom de la machi­
ne).
5) Arguments de la ligne de commande
Les fic h ie rs p a r d é fa u t
Voyons sous un autre angle les fichiers
S
3
im p ortants, utilisés par défaut pour la
ffli • □ x
configuration :
1) /usr/lib/Xl 1/app-defaults/Classe
Classe est le nom de classe de l'application
hanual Browser
(récupérable par xprop, deuxième chaîne
de la propriété W M _ C L A S S ). Ce fichier
contient des spécifications de ressources
( Help )( Quit )
appliquées à toute la classe de l'application
( hanual Page )
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(les ressources ne commencent donc pas
par un nom de classe ou d'instance).
Exemple :
Si le fichier /usr/lib/X11/app-defaults/Xman
contient :
Hl « *
*B ackg ro u n d : b lu e
alors les w id g ets de Xm an auron t par
hanual Browser
défaut une couleur de fond bleue.
La variable d'environnem ent XUSERFILE-
( Help )(
[Quit )
SEARCHPATH permet de donner une liste
de chemins (séparés par des ':') ou de chercher d'autres fichiers de configuration par
( hanual Page
classe. Cette variable est très rarement utili­
sée. XAPPLRESDIR, en revanche, se montre
très pratique, car elle donne un unique
répertoire alternatif, ce qui donne par
Un système d'aide en ligne on ne peut plus coloré
exemple la possibilité de tester des applica­
tions sans les installer ( XAPPLRESDIR=./ ).
es modifications des valeurs de res­
version libre reste X11R6.3). Pour associer
2) .Xdefaults ou .Xresources du répertoire
sources, par exem ple en utilisant
une valeur à une ressource particulière ou à
personnel (SH O M E ou ~)
editres, ne sont pas persistantes. Par
une classe de ressources, plusieurs fichiers
Suivant la configuration de X, le program­
exemple, si on modifie la couleur du fond
sont lus successivement. Chaque fichier
me xrdb utilisera l'un ou l'autre de ces
d'une instance de Xm an avec editres, le
"écrase" les valeurs déjà définies précédem­
fichiers pour créer la configuration des res­
prochain Xm an lancé ne sera pas affecté
ment, ce qui permet d'offrir une souplesse
sources personnalisées. Les ressources se
par le changem ent. X prévoit heureuse­
incom parable pour la configuration des
voient alors précédées d'un nom d'instance
L
m ent un système (com plexe) de réper­
applications. Voici les différents fichiers
ou de classe.
toires par défaut ou définissables via des
analysés par le gestionnaire de ressources
Si par exemple, nous indiquons :
variables d'environnement qui contiennent
deX :
X m a n * b a c k g r o u n d : w h ite
des fichiers de spécifications de ressources
1) Fichier de ressource par défaut dans le
la valeur par défaut précédente (couleur
persistantes.
répertoire /usr/lib/X11/app-defaults
bleue) sera écrasée et vos Xman se trouve­
X 1 1 R 4 : s im p lic ité , e ffic a c ité
2) Fichier de ressource des répertoires de
ront sur fond blanc.
La plupart des applications X utilisent le
ÎXUSERFILESARCHPATH/ et/ou répertoire
3) La ligne de commande
modèle de spécification de ressources de la
de ÎXAPPLRESDIR/
Les options passées par la ligne de com­
version X11R4 de X (pour info, la dernière
3) Propriété RESO U RC E_M AN AG ER de la
mande dem eurent prioritaires. L'option-
LANG (langage par défaut utilisé). Les dif­
Les c l a s s e s de r e s s o u r c e s
férentes variables sont :
Les widgets ont leur nom de classe et d'instance m ais, ce qui est moins connu, cette
distinction se retrouve égalem ent du côté des ressources. Par exemple, un développeur
% L : valeur de la variable d'environnement
peut associer les ressources foreground et bordercolor à la même classe Foreground (classe
LANG (exemple : fr)
des couleurs d'avant-plan). Ainsi, un fichier de configuration pourra préciser :
% l : valeur de la ressource XnILanguage
* Fo reg ro u n d : b lu e
% T : nom du ré p e rto ire par d é fa u t :
Cela au ra pour conséquence de donner une couleur bleue p a r défaut à toutes les
%N
ressources de la classe Foreground. De ce fait, l'utilisateur pourra p ar exemple configurer
(exemple: Xman)
des applications affichées sur un écran m onochrom e sans avo ir à spécifier toutes les
% S : suffixe des fichiers de ressources
ressources de la classe Foreground. La différence avec le procédé du suffixe de X IIR 5
(exemple : .dat)
(exemple : app-defaults)
: nom de classe de l'a p p lic a tio n
(-co lo r, -m ono) est que le p ro g ram m eu r d o it fo u rn ir de la d o cu m en ta tio n au
Par défaut, seul le troisièm e répertoire
regroupement de diverses ressources dans une classe.
(/usr/lib/Xl 1/app-defaults/Classe. suffixe)
contient des fichiers de ressources ; le suf­
ascendante. Vos configurations X11R4 se
fixe reste vide. C'est exactement le compor­
spécifier une ressource quelconque. Par
montreront donc compatibles avec les ver­
tement de X I 1R4. Mais vous pouvez aussi
exemple, si on veut démarrer un Xman en
sions récentes de X-Window. Cependant,
placer par exem ple une co n figu ratio n
rouge, on pourrait utiliser la ligne de com ­
ce m écanism e ne s'avère pas suffisant
spécifique de Xman pour vos utilisateurs
xrm, généralement disponible permet de
mande suivante :
p o u r ce rta in s cas, assez s p é c ifiq u e s .
fr a n ç a is
Xman -xrm ' *b ackg round : r e d 1 &
Premièrement, certains systèmes utilisent
d efau lts/X m an . En ce qui concerne les
plusieurs dispositifs d'affichage (écrans),
fichiers "utilisateur" (XAPPLRESDIR est non
N'oubliez pas de "protéger" votre ligne de
tous reliés au même serveur X. Ces écrans
vide), une dernière substitution se voit pro­
commande !
ne disposent pas forcément de caractéris­
posée en guise de suffixe : % C . Un serveur
D'autres options plus spécifiques ont égale­
tiques identiques (par exemple, la couleur).
couleur essaiera de substituer % C par -color
D'autres systèmes sont manipulés conjoin­
et -mono pour un serveur monochrome.
ment été standardisées :
dans
/usr/l i b/X 1 1 /fr/app-
tement par des utilisateurs de pays diffé­
M alheureusem ent, les valeurs cherchées
rents, qui peuvent avoir besoin de configu­
semblent dépendre des implémentations.
-foreground : couleur d'avant-plan
rations différentes pour leurs applications.
Encore une fois, ce mécanisme complexe
-font : police de caractères
Ainsi, plutôt que d'utiliser /usr/lib/XH /app-
demeure compatible avec X IIR 4 . La sou­
-geometry : taille et/ou position de la
defaults, X 1 1R5 emploie les répertoires par
plesse offerte par cette com binaison de
fenêtre principale
défauts:
variables d'environnements, de répertoires
-iconic : démarrer sous forme d'icône
/ u s r / lib / X ll/ % L / % T / % N % S
par défaut et de substitutions opérées par le
-title : titre de la fenêtre principale
/ u s r / lib / X ll/ % l/ % T / % N % S
serveur X est immense. Cela permet de réa­
-name : nom d'instance alternatif
/ u s r / lib / X ll/ % T / % N % S
liser des con figu ration s à de m ultiples
Nous pouvons donc raccourcir la précé­
Les variables % x se trouvent remplacées
(serveur de taille importante, simple station
dente ligne de commande :
par des valeurs issues de paramètres systè­
ou terminal X).
xman -background r e d &
me, comme la variable d'environnem ent
-background : couleur de fond par défaut
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
niveaux et pour des systèmes très différents
L'option -name est intéressante si vous
voulez configurer différemment plusieurs
instances d'un même programme.
Par exemple, plaçons les deux spécifica­
Fred Pesch
;[pesch@localhost xres]$ cat /usr/lib/Xll/app-defaults/Xman I head -24
*input:
TRUE
! Just for fun*
*topBox#ShapeSty 1e :
tions de ressources suivantes dans notre
.Xdefaults :
Xman*background : b lu e
mon_xman*background : g re e n
Pour que les changements se voient pris en
compte, il faut relancer le programme xrdb :
x rd b - / . X d e f a u lt s
Si on lance Xman, la couleur de fond sera
bleue mais nous pouvons aussi lancer sim­
plement un Xman vert :
xman -name mon_xman &
X 1 1 R 5 : ça se c o m p liq u e !
Le principal avantage de X I 1R5 et ses suc­
cesseurs, c'est le respect de la compatibilité
i*topBox*Titleî
♦topBox * IconName:
♦manua 1Browser *T i1 1e :
♦manua 1Browser ♦ IconName :
Xman
Xman
Manua 1 Page
Manua 1 Page
#Simp1eMenu*Font:
-#-new cent*-roedi um-r-norma1—*-140-#-*-*-*-i so8859-*
*S i mp1eMenu*1abe1Font: -*-new cent*-bo1d-r-norma1—*-140-*-*-*-*-i so8859-*
*S i mp1eMenu♦Backi ngStore:
A1ways
*Simp1eMenu, SaveUnder:
Off
*hor i zPane *or i entât i on:
*horizPane*showGrip:
*horizPane*maxt
* topLabe1.BorderW i dth :
♦search*1abe1.BorderW i dth:
hori zonta1
Faise
15
0
0
* s e a r c h * d i a 1o g * v a 1u e :
*opti onMenu.Labe 1:
[peschtëlocalhost xresl$ G
Xman Options
Le début du fichier de configuration de Xm an, pour vous donner des idées...
/
w__
O b je t
Z]
Objets
et classes
ciées à l'objet. Pour un cercle, les opé­
rations p o u rra ie n t être : d é p la ce r le
centre, changer le rayon, etc. Ces deux
informations ne suffisent pas à définir un
objet. En effet, deux objets disposant du
même état interne et des mêmes opéra­
tions ne sont pas forcém ent identiques
po u r a u ta n t. Il fau t d o n c é g a le m en t
attribuer une identité à un objet. Nous
reviendrons sur cette caractérisation des
o b je ts lo rs q u e n o u s é tu d ie ro n s les
m odèles objets des langages orientés
objets les plus courants (C++, Smalltalk,
java). D'un point de vue informatique,
Pour débuter notre conception objet, nous allons découvrir ce
que sont réellement les objets et les classes. Ceci nous permettra
de définir le rôle de la phase de conception.
on dit qu'un objet réalise l'encapsulation
des données et du code associé à ces
données. L'évolution des techniques de
program m ation vers ce modèle découle
du constat que les structures de données
occupent
une
p la c e
e x trê m e m e n t
n program m e développé en utili­
s im p le s . C e tt e d é f in it io n m o n tre la
im portante dans la conception des logi­
sant une approche orientée objet
généralité de la notion d'objet et donc
ciels.
peut
la principale difficulté de la conception :
Les classes
U
ê tre
d é fin i
com m e
un
ensem ble d'ob jets qui co m m u n iq u en t
le choix de ces objets.
Dans la p lu p art des cas, la définition
entre eux. Cette distribution des rôles
C a r a c t é r is a t io n d 'u n o b je t
d'un objet ne correspond pas à notre
perm et au program m eur de subdiviser
Au niveau théorique, un objet com porte
vision du monde. Nous essayons, autant
un problème global et complexe en un
trois propriétés fondamentales :
qu e possible, d'associer les différents
e n s e m b le
1. Un état interne.
objets que nous considérons en classes
de
s o u s - p ro b lè m e s
plus
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
2. Des opérations.
d'objets. Par exemple, on ne parle pas
3. Une identité.
des chats en indiquant le nom de tous
Un objet peut contenir des informations
les chats existants sur la planète à un
qui sont le résultat
m om ent donné mais nous utilisons sim­
d 'o p é ra tio n s. Ces
p lem ent le m ot chat qui les regroupe
inform ations p eu ­
tous sous une étiq u ette unique. De la
vent
m êm e façon, un program m e tente de
é g a le m e n t
in d iq u er la façon
d o n t les o p é r a ­
tions se d éro u le­
ront dans le futur.
L'ensemble des informations
associées à l'objet com po­
se l'état interne de cet
o b je t.
P re n o n s
'exemple d'un objet
Cercle qui représen­
te un cercle dans le
p la n
c a r té s ie n .
L 'é ta t in tern e de
pour UML.
l'objet cercle
peut
par
Nocn 6t l'objet
exemple être
co m p o sé du
ce n tre
du
une Base
c e rc le et de
so n
Cet
id c k u t)
état
in t e r n e
peut
Sectioo d» utcboa.
ra y o n .
ne
ê tre
Se-æoo dri oper-Mroos
ch a n g é que
id. CtBK)
p a r le b ia is
des
tio n s
o p é ra ­
asso­
Figure 2 : Objet UML : une instance de
classe.
O b jet s et classes pou r
UML
La classe est l'élém ent fondam ental des
différents diagram m es UM L. En règle
générale, une classe UML est représentée
p ar un rectangle aux coins arrondis et
divisé en trois compartiments :
- le nom de la classe
- les attributs associés (description de
l'état interne)
- les opérations disponibles.
Le co m p artim en t des a ttrib u ts n 'est
souvent indiqué que pour agrémenter les
tant de résoudre un problème donné, ce
- re q u ê te s , ré c u p é r a tio n d 'u n sous-
diagram m es lors de iim p lém e n ta tio n
qui n'est pas simple à cause de la géné­
ensemble de la base vérifiant les critères
(ceci perm ettra la d o cu m en tation de
ralité des objets. La première étape de la
de la requête.
l'im p lé m e n ta tio n ). Les o b jets so n t
co n cep tio n consiste d o nc à isoler des
La première opération est en fait implici­
représentés pratiquem ent de la même
classes d'objets à partir de l'analyse du
te dans la notion de classe vue comme
génératrice d'objet.
façon mais le nom de l'objet est souligné.
p ro b lèm e effectuée p récéd em m en t. Il
Au n iveau de la co n cep tio n et donc
n'existe pas de m éthode exacte perm et­
Opérations pour "Fiche" :
d'UML, un objet est une entité nettement
ta n t de m e n e r à b ien c e t o b je c t if.
- création interactive d'une fiche (diffé­
m oins intéressante qu'une classe. Les
C e p e n d a n t, u n e 'p r e m iè r e a p p ro c h e
rente de la création de l'objet fiche)
figures 1 et 2 montrent une classe UML et
intéressante consiste simplement à utili­
- m odification des champs de la fiche
une instance particulière (objet) de cette
ser les noms communs de l’analyse pour
L'état interne des objets n'est donc pour
classe.
o b ten ir un ensem ble de classes p la u ­
l'instant pas pris en com pte, mais la des­
sibles. Voici une première sélection pos­
cription des opérations permet très sou­
regrouper les objets similaires dans des
sible :
vent
classes. Les classes disposent de deux
base de d o n n ées, fich e , req u ête, c ri­
(ensem ble d'attributs) "logique".
de
tro u v e r
un
é ta t
in te r n e
propriétés principales :
tères, clé unique, champ, attribut, type.
M aintenant que vous com prenez le prin­
1. Les états internes possibles des objets
Après avoir isolé les premiers candidats,
cipe, reprenez l'article du mois dernier
de la classe.
nous devons définir les opérations asso­
et tentez de continuer cette phase préli­
2. Les opérations disponibles.
ciées à ces classes. La m éthode de base
m inaire de co n ce p tio n . N otez c e p e n ­
Une classe chat po urrait par exem ple
c o n s is te c e t te fois-ci à e x tra ir e des
dant que ce m odèle de départ ne sera
être définie de la façon suivante :
"verbes" intéressants de l'analyse. Voici
peut-être pas définitif, n'oubliez pas que
- nom, poids et date de naissance du
quelques définitions possibles :
le d é velo p p em en t d'un logiciel est un
chat comme état interne.
Opérations pour "Base de données" :
processus incrém ental. Nous verrons le
- nourrir et fêter l'anniversaire du chat
- création d'une base,
mois prochain les différentes possibilités
comme opérations.
- consultation, ajout, suppression, m odi­
de c o lla b o ra tio n en tre ob jets, ce qui
Certes, notre chat semble un peu "pas­
fication d'une fiche,
n o u s p e r m e ttr a
sif" et dépendant mais cela montre bien
- tri de la base,
é b a u c h e de s tru c tu re s ta tiq u e p o u r
la différence qu'il y a entre cette notion
- c h a rg e m e n t du co n ten u d 'u n e base
minidb.
de classe (d escrip tion) et celle d'objet
depuis un fichier, sauvegarde,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
de c o n s tr u ir e
une
Fred Pesch
(felix et looping sont deux objets de la
classes chat, disposant d'un état interne
Les CRC c ar d s
et d'une identité qui leur sont propres).
Les objets issus d'une classe sont sou­
Pour affiner les choix prélim inaires des classes et des opérations, une m éthode assez
vent nommés instances de la classe. Ceci
efficace existe. Les CRC cards perm ettent de commencer à réfléchir sur les collaborations
confère à la classe le rôle de générateur
entre les classes ainsi que sur l'état interne des objets. Chaque classe est représentée sur
d 'o b je t. U n e classe, to u t co m m e un
une feuille de papier (utilisez si possible une fiche cartonnée) recto-verso. Placez le nom de
objet, dispose d'une identité. Certains
la classe en haut du recto puis séparez le reste de la page en deux sections :
langages (inspirés des m odèles th é o ­
- Opérations : les opérations disponibles sur la classe
riques) définissent d'ailleurs les classes
- Collaborations : autres classes/objets mises en jeu pour l'opération donnée.
comme des instances uniques de classes
Au verso de la feuille, indiquez les attributs que vous pensez nécessaires pour réaliser les
d'ordre supérieur (les méta-classes).
opérations décrites ainsi que les collaborations associées. La figure 3 montre le recto de la
La c o n c e p tio n o b je t
fiche associée à la classe "Base de données" et la figure 4 offre une ébauche d'attributs
Vous vous demandez peut-être pourquoi
possibles (verso de la fiche).
nous avons te n té de d é fin ir "p ro p re ­
Cette méthode a tout d'abord été conçue pour faciliter le travail de découverte des classes
ment" les notions d'objets et de classes
en équipe. Il est p ar exemple assez simple d'utiliser un éditeur de texte pour créer les CRC
dans le cadre de cette initiation. La rai­
cards et de facilem ent les échanger p ar mai!. Ce n'est bien évidemment pas une méthode
son est très simple : la phase la plus dif­
"définitive" et "irrem plaçable" mais de nombreux développeurs l'utilisent aujourd'hui avec
ficile de la conception objet concerne la
succès.
découverte des classes d'objets perm et­
Perl
Opérations
sur les fichiers
Nous poursuivons tranquillement notre initiation à Perl en
abordant ce mois-ci les techniques qui nous permettrons de
manipuler des fichiers et leur contenu.
om m en ço n s par l'o u vertu re d'un
demandé (fichier inexistant, accès interdit
fichier. Dans la plupart des cas, vous
en lecture ou en écriture, etc.). On accom­
Peut-être vous souvenez-vous que nous
devrez bien entendu ouvrir un fichier
pagne souvent la commande « open » d'un
avions déjà rencontré dans les exemples des
avant que de pouvoir y lire ou y écrire des
test conditionnel pour savoir si l'opération a
mois précédents une variable de type fichier
données. Cela permet d'indiquer au systè­
pu être réalisée :
me d'exploitation que vous allez utiliser ce
if
C
vantes renverront une chaîne vide.
un peu particulière : STDIN. STDIN représen­
(open (F IC H IE R , « f i c h i e r . t x t » ) )
{
te l'entrée standard, généralement le clavier.
fichier, et il peut ainsi prendre des disposi­
# on c o n tin u e n o t r e programme
Elle a les mêmes propriétés que toutes les
tions particulières, comme par exemple en
}
variables de type fichier, à cela près que l'on
interdire l'accès aux autres programmes. La
ou b ie n
fonction « open » se charge de cela :
open (F IC H IE R ,
open (F IC H IE R 1 ,
« im p o s s ib le d ' o u v r i r l e
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
n'a pas besoin de l'ouvrir au préalable.
:
« f ic h ie r .t x t » )
|| d i e
fic h ie r » ;
E c ritu re d an s u n fic h ie r
Une fois un fichier ouvert en mode « écritu­
re » ou « ajout », il suffit d'utiliser la fonc­
« r e p e r to ir e / fic h ie r l. t x t » ) ;
Ce deuxième exemple utilise une fonction,
tion « print » associée à la variable de type
Ici, le fichier dont le nom et le chemin d'ac­
« die », qui permet à tout moment de quit­
fichier correspondante :
cès sont précisés dans le second paramètre
ter le script Perl en cours en affichant un
p r i n t F IC H IE R « t o t a l
est ouvert en lecture seulement. Pour ouvrir
message d'erreur. L'opérateur conditionnel
un fichier en écriture, il faut placer un « > »
« Il » (O U ) signifie que la deuxième instruc­
Il existe un équivalent de STDIN pour la sor­
devant son nom, et un « »
tion sera exécutée si la première renvoie la
tie standard : STDOUT. STDOUT représente
en mode « ajout ». Exemples :
valeur « faux ».
aussi une variable de type tableau un peu
open (F IC H IE R 2 ,
L e c tu re d a n s u n fic h ie r
p a rticu lière. Par d éfau t, la com m and e
« > r e p e r t o ir e / fic h ie r 2 .t x t » ) ;
Une fois un fichier ouvert en mode « lecture»,
«print» envoie les données vers ce fichier-ci,
open ( F IC H IE R 3 ,
vous pourrez en lire le contenu soit ligne par
si aucun autre n'est précisé,
« » r e p e r t o ir e / f ic h ie r 3 .tx t» ) ;
ligne, soit en entier. Souvent, la lecture ligne
p r i n t «programme t e r m in é .\ n » ;
» pour l'ouvrir
: $t o t a l \ n » ;
par ligne correspond mieux aux besoins. De
e t donc é q u iv a l e n t à :
En Perl, il est possible d'accéder à un fichier,
plus, elle consomme moins de ressources
p r i n t STDOUT «programme te r m in é .\ n » ;
à un moment donné, soit en lecture, soit en
mémoire si le fichier est de taille importante.
écriture, mais jam ais les deux en même
La lecture d'une ligne s'effectue en affectant
temps. Attention ! Si vous ouvrez un fichier
le contenu de notre variable fichier à une
respondent pas toujours respectivement au
déjà existant en m ode « écriture », son
variable de type chaîne de caractères :
clavier et à l'écran. En effet, sous Unix , elles
ancien contenu sera alors perdu ; ce ne sera
$l i g n e = < FIC HIER> ;
p eu ven t être reroutées grâce aux argu­
pas le cas si vous l'ouvrez en mode « ajout».
L a l e c t u r e en b lo c s e f a i t de l a
ments de la ligne de commande. Exemple :
Si vous n'êtes pas sous Unix, il vous faudra
même m a n iè re , m a is a v e c une v a r i a b l e
$ p ro g < e n t r e e .t x t > s o r t i e . t x t
alors adapter la convention d'écriture des
de ty p e t a b le a u
chemins d'accès à celle qui convient à votre
© ta b le a u = < FIC H IER> ;
Le programme « prog » va utiliser le conte­
Chaque case du tableau contient alors une
données sur son entrée standard, et toutes
vent en majuscules par convention d'écritu­
ligne du fichier, chacune se terminant par le
ses sorties iront dans le fichier « sortie.txt ».
re, est une variable de type fichier. C'est
caractère de retour à la ligne « \n ». Toutes
Ceci est tout à fait valable en Perl égale­
grâce à elle que l'on désignera notre fichier
les lignes qu'il restait à lire dans le fichier
ment. Ici, les fichiers « entree.txt » et « sor­
plus loin dans le programme.
ainsi nom m é seront stockées dans cette
tie.txt » correspondront respectivement à
Pour diverses raisons, il se peut que Perl ne
variable. Une fois que l'on a atteint la fin
STDIN et STDOUT. L'interpréteur Perl ouvri­
réussisse pas à ouvrir votre fichier comme
d'un fichier, les tentatives de lecture sui­
ra et fermera ces fichiers lui-même.
:
nu du fichier « entree.txt » quand il lira des
système.
Le premier paramètre, que l'on écrit sou­
Mais les entrées et sorties standards ne cor­
F e rm e tu re d 'u n fic h ie r
aux fichiers, et ils permettent ainsi de tester
De même qu'il faut ouvrir un fichier avant
si un fichier donné existe, si sa taille est
de le manipuler, il faut ensuite le refermer
nulle, s'il s'agit d'un répertoire, etc.
quand vous avez fini de vous en servir, et
Vous trouverez en encadré une liste des
Dream prof
ainsi le rendre à nouveau disponible pour
plus utilisés de ces opérateurs. Ils s'utilisent
d'autres programmes. La procédure est très
tous de la manière suivante :
simple :
c lo s e
if
(F IC H IE R )
(- e « f i c h i e r . t x t » )
{
...
• STDERR?
Il existe encore un troisièmefichier particulier, qui
se nomme STDERR : c'est la sortie d'erreur
standard. Il est utilisé pour afficher des messages
importants, qui ne seront pas , eux, reroutés
comme le seraient ceux envoyés vers STDOUT.
}
ou b ie n e n c o re :
;
$ fic h ie r = « f ic h ie r .t x t » ;
L'interpréteur Perl, quand il termine l'exé­
if
(- e $ f i c h i e r )
{
...
}
cution d'un script, va vérifier que tous les
fichiers qui ont été ouverts sont refermés. Il
Les deux exemples ci-dessus testent l'exis­
peut les fermer le cas échéant, mais il est
tence du fichier « fichier.txt ». La condition
préférable de le faire systém atiquem ent
est vérifiée si et seulement si ce fichier exis­
vous-même. Sachez aussi que si vous effec­
te. Un opérateur sur fichier peut être appli­
tuez un appel à la fonction « open » avec
qué à une chaîne de caractères, à une
une variable fichier déjà utilisée, alors le
variable de type chaîne de caractères ou
fichier qui était au préalable ouvert sera
bien à une variable de type fichier.
refermé automatiquement.
U tilis a tio n des c a n a u x
L e ctu re d 'u n e séqu ence d e fic h ie rs
Perl permet également, sous un système
Voici encore un nouvel opérateur : « <> ».
Unix, de travailler avec des canaux (pipes),
Cet opérateur, très particulier, ne sert que
de la même manière qu'on le ferait dans un
dans un but précis : il permet de lire à la
Shell. Un canal permet de transmettre la
suite tous les fichiers dont le nom aura été
sortie d'un programme vers l'entrée d'un
précisé sur la ligne de commande.
autre programme. On peut en utiliser par
Exemple :
exemple pour envoyer un mail :
$ p ro g f i c h i e r 1 f i c h i e r 2
f ic h ie r 3
E n s u it e , dans v o t r e s c r i p t ,
l'in s ­
open (M A IL, « | m a il
v o d k a @ s a tu m e .o rg » )
| | d ie «o u v e r­
t r u c t io n
t u r e du c a n a l iir p o s s ib le » ;
$ lig n e = <>;
p r i n t M AIL
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
«Bonj our !»;
vous permettra de lire le contenu du pre­
c lo s e
(M A IL );
mier fichier, puis du second, etc., jusqu'à
épuisement des arguments de la ligne de
Ici, l'appel à «open»
commande. Tous ces fichiers seront auto­
ouvre un canal vers le
m atiquem ent ouverts puis refermés par
program m e «m ail».
Perl. Les fichiers que Perl ne peut pas ouvrir
Ensuite, on construit
seront ignorés. Si vous avez épuisé tous les
notre m essage. Et
fichiers disponibles et que vous appelez à
c'est seulement suite
nouveau l'instruction d'affectation ci-des­
à l'appel «close» que
sus, alors vous obtiendrez une chaîne vide.
l'in te rp ré te u r
Perl
Et enfin si vous n'avez donné aucun fichier
en vo ie le co n ten u
en argument sur la ligne de com m ande,
complet du message
votre script Perl essayera de lire l'entrée
à la co m m a n d e «
standard (STDIN).
mail », qui s'exécute
O p é ra te u rs sur les fic h ie rs
alors.
Largem ent inspirés des Shell Unix, un
Vincent Oneto -
grand nombre d'opérateurs s'appliquent
<vodka@saturne. org>
ALPHA ALPHA
NT & LINUX
Carte mère, processeur,
MediumTour ATX, 64 Mo sDram-ECC
Kit n°l
LX2-533 M hz/13.990 TTC
Kit n°2
UX2-533 Mhz/ 15.990 TTC
Kit n°3
UX4-600 Mhz/ 25.990 TTC
NT & LINUX
LX2 533
kit1
+
6.4 Go Udma, FD 3"1/2,
Millénium II 4 Mo,
15" 0.25, CD-ROM 32x,
Clavier PS2, Souris PS2
17.990FTTC
ALPHA DORSAI
••
Opérateurs
s u r les f i c h i e r s
-e
le fichier existe
-f
c'est un fichier ordinaire
-d
c'est un répertoire
-1
c'est un lien symbolique
-P
-r
c'est un canal (pipe)
la lecture en est autorisée
-w
l'écriture en est autorisée
-X
l'exécution en est autorisée
-s
retourne la taille du fichier
-z
le fichier est vide
DREAM - N°54
-
SEPTEMBRE 1998
NT & LINUX
UX4-600
Kit3
+
INTERROGEZ NOUS,
EQUIPEZVOUS,
UP GRADEZ VOUS
4.5 Go SCSI UW,
FD 3"1/z, Millénium II 8 Mo,
17" IDEK 0.25,
CD-ROM 32x SCSI Pionner,
Clavier PS2, Souris PS2
Pourpassercommande
Tél.Messagerie
014665 7020
Fax01 4665 1320
37.990FTTC
E-MAIL [email protected]
Types de données
et portée
Nous nous intéresserons ce mois-ci aux différents
types de variables disponibles ainsi qu'à la notion de
variable locale ou globale. Il est alors nécessaire de
parler de la portée d'une variable.
o
lo n g d o u b le
p i;
u n s ig n e d s h o r t i n t
cheveux fr e d
= 25;
s ig n e d lo n g i n t
yann_qi
3000;
V a r ia b le s g lo b a le s e t v a ria b le s
locales
utre le int standard qui désigne un
types de données (entiers) en C.
On distingue les variables globales (ou
entier, on trouve trois types simples
Et quelques exemples de déclarations et
externes) des variables locales (ou internes) en
en C : char, float et double, char
d'initialisations de variables :
ce sens que ces dernières n'existent que dans
octet en mémoire. En C, le caractère et son
T ype de données
B o rn e in fé rie u re
B o rn e s u p é rie u re
T a ille (o c te ts )
co d e A S C II sont co n fo n d u s et si Ton
|
unsigned char
0
255
1
indique à printf d'afficher un char en déci­
signed char
-127
128
1
mal, on obtient le code ASCII du caractère
unsigned short int
0
255
1
co n sid éré. U ne varia b le de ty p e flo at
unsigned long int
0
65535
2
1
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
contient un nombre en virgule flottante (un
signed short int
-127
128
1
nombre à virgule) en simple précision et la
signed long int
-32767
32768
2
place occupée en mémoire dépend directe­
ment de la machine utilisée (consultez les
fichiers d'en-tête oour obtenir les valeurs
exactes sur votre machine). Enfin double
désigne simplement un nombre en virgule
flottante mais en double précision.
T o u t n'est pas si sim p le
En effet, on peut accoler aux mots-clefs int,
1 D xterm
void dire_bonjour (void) /* Définition de la fonction */
i
char, float et double des qualificatifs per­
if (matin == 1)
printf ("Bonjour\n"):
matin - 0:
mettant de modifier la plage de valeurs qui
leur est attribuée. Ainsi les entiers et les
caractères peuvent se voir appliquer signed
ou unsigned. Dans le cas des caractères par
exemple, signed char contient des entiers
entre -127 et 128 alors que unsigned char
contient des entiers entre 0 et 255. Encore
une fois, le fait que les char soient signed
ou unsigned par d éfau t d é p en d de la
machine utilisée. Par ailleurs, dans le cas où
X
d r e a m c a t premier.c
short int cava = 1:
static short int matin = 1:
}
d r e a m c a t second.h
void dire_bonjour (void): /* Prototype */
extern short int cava:
/* cava est défini ailleurs */
d r e a m c a t second.c
#include "second.h"
Ton désire économiser de la mémoire ou
int main (void)
stocker des nom bres p a rtic u liè re m e n t
-C
dire_bonjour ():
cava = 0:
return 0:
grands, on a recours à d'autres qualificatifs :
short et long, short ne s'applique qu'aux
entiers alors que long concerne également
les variables de type double. La plupart du
temps, les entiers de type long sont codés
sur 32 bits alors que ceux de type short ne
le sont que sur 16. La taille d'un integer par
défaut est encore une fois dépendante de
l'architecture utilisée mais un int doit être
1
d r e a m g c c premier.c second.c ~o sillyprog
dream: . /sillyprog
Bonjour
dream
[_
compris entre un short int et un long int.
Voici un tableau récapitulatif des principaux
D 'accord, ce program m e est idiot, mais c'est juste un exemple.
E1
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
static
_ ...
«terni
int boxit(vold):
int seas(vold):
int greet(void):
int froauho(void):
int tree(void):
int balls(void);
int star(void):
int strngl(void):
int strng2(void):
int strng3(void) :
int strng4(void):
int strng5(void):
int reindeer(void):
int blinkitCvoid):
RETSIGTYPE done(int sig) GCC.NORETURN :
!x |
d'inclure ce dernier via un #include dans le
fichier .c. Que contient ce fichier d'en-tête ?
La plupart du temps, on n'y trouve que les
prototypes de fonctions, les déclarations de
variables externes et les typedefs (nous y
reviendrons). Com m e un exem ple vaut
mieux qu'un long discours, voici le listing de
trois fichiers contenant le source d'un pro­
gramme en C.
Fichier premier.c :
int aain(
int argc GCCJJNUSED.
char *«argv GCCJJNUSED)
sh o rt in t
{
c a v a = 1;
s t a t i c s h o r t i n t m a tin = 1;
int loopy:
inltscrO :
v o i d d ir e _ b o n jo u r
1
(v o id )
/*
D é f i n i t i o n de l a f o n c t io n */
{
if
Qui a dit que les programmeurs en C étaient tristes.
(m a tin == 1)
p r in tf
( " B o n jo u r \ n " ) ;
m a tin = 0 ;
le bloc dans lequel elles sont définies. Il y a en
(n'oubliez pas le point-virgule dans ce cas-là).
fait deux niveaux : un programme en C se
Cela permet au compilateur de vérifier que
re tu m
0;
}
compose de plusieurs entités externes (fonc­
ladite fonction est appelée correctement,
tions, variables) dont certaines (les fonctions)
c'est-à-dire qu'elle prend en argument(s) et
Fichier second.h :
peuvent utiliser des variables sans que le reste
qu'elle renvoie en résultat les bons types de
v o i d d ir e _ b o n jo u r
du programme n'en sache rien. Il s'agit alors
données. Le cas des variables est plus délicat.
P r o t o t y p e */
(v o id ) ;
/*
de variables locales. On notera que lorsque
En effet, les variables peuvent être locales ou
e x t e r n s h o r t i n t c a v a ; /* c a v a e s t
l'on réalise des programmes multi-threadés, il
globales. Pour les variables globales, elles sont
d é f i n i dans p r e m ie r . c */
est très dangereux d'utiliser des variables glo­
comme les fonctions visibles de tout le pro­
bales. D'une manière générale, trop de don­
gramme, sauf si on leur appose le qualificatif
Fichier second.c
nées partagées entre plusieurs fonctions
static qui interdit qu'elles soient visibles depuis
# in c lu d e "s e c o n d .h "
mènent souvent à un programme incompré­
les autres fichiers. Les mêmes causes produi­
hensible et qui fonctionne mal. Cependant,
sant les mêmes effets, le même mécanisme
i n t m ain (v o id )
dans certains cas précis, il peut être plus
que pour les prototypes de fonctions est dis­
{
simple de préférer des variables globales à de
ponible pour les variables. Pour utiliser dans
d ir e _ b o n jo u r ( ) ;
longues listes d'arguments. Tout nom d'entité
un fichier une variable globale définie dans un
c a v a = 0;
externe désigne toujours la même chose dans
autre fichier, il suffit de la déclarer avant de
tout le programme, même dans le cas de
l'utiliser. On utilise le qualificatif extern pour
fonctions compilées séparément. En revanche
spécifier qu'il s'agit uniquement d'une déclara­
le qualificatif 'static' appliqué à une fonction
tion de variable étant définie ailleurs.
Ce programme ne sert strictement à rien mais
ou à une variable globale permet de faire en
Les fich iers d 'e n -tê te
se compile sans warning avec un compilateur
C ANSI. Pour ce faire, la commande suivante
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
re tu m
0;
}
sorte que celle-ci ne soit visible que jusqu'à la
En général, nombre de programmeurs ont
fin du fichier dans lequel elle se trouve.
pris l'habitude, dans le cadre de projets com­
produira un exécutable prête à l'emploi.
Plusieurs fichiers sources
prenant plusieurs fichiers,
g c c p r e m ie r .c s e c o n d .c -o s i l l y p r o g
Comme nous l'avons déjà signalé, il peut être
chaque fichier .c un fichier d'en-tête .h et
d'associer à
Guillaume Girard
très intéressant de fractionner un code source
en plusieurs petits fichiers. Cependant, il
D es v a r i a b l e s l o c a l e s s t a t i c ou e x t e r n
?
convient alors de respecter certaines règles,
sous peine de se voir submergé sous les war-
P a r définition, une variable locale est interne à une fonction et n'est donc pas visible
nings, voire les erreurs. Sans présenter la liste
depuis les autres fonctions. Dans certains cas précis, il peut être nécessaire de modifier une
exhaustive des règles à observer, on peut tout
variable globale définie dans un autre fichier uniquement depuis une fonction donnée, on
de même énoncer quelques principes de
déclare alors dans la d ite fonction la variab le comme é ta n t extern. P a r ailleu rs, le
base. Tout d'abord, voyons ce que prévoit la
qualificatif static peut aussi être appliqué à des fonctions ou à des variables locales. Dans
norme à ce sujet. Comme nous l'avons vu
le cas des fonctions, cela perm et tout sim plem ent d'en cacher l'existence aux autres
précédemment, une fonction est par défini­
fichiers, ce qui perm et de sim uler des "sous-fonctions" (une fonction peut faire appel à
tion globale et donc visible de tout le pro­
d'autres fonctions, lesquelles ne sont d'aucun intérêt pour le reste du programme). Une
gramme. Cependant, lors de la compilation, il
variable locale classique n'existe pas entre deux appels de la fonction dans laquelle elle est
est tout à fait possible que le compilateur
définie, c'est-à-dire que lorsque la fonction est appelée, de l'espace mémoire est alloué à la
détecte un appel à une fonction non encore
variable locale, et cet espace sera libéré à la fin de la fonction, static perm ettra de ne pas
définie. C’est pour cela qu'on utilise les proto­
libérer cette mémoire. Cela se révèle pratiqu e dans le cas de données propres à une
types : la fonction est déclarée une nouvelle
fonction mais peut devenir dangereux.
fois dans chaque fichier où elle est appelée
Java
Bien utiliser le
G arbage Collector
II est temps de se pencher plus en détail sur la gestion de la
mémoire en Java, un point passé sous silence jusqu'ici.
de consiste à subordonner l'existence du
bloc à la présence d'une référence sur ledit
bloc. Dans notre exemple, si la ligne b=a
n'existe pas, le second malloc écrase la
ous arrêtons là la programmation
référence du premier bloc ; celui-ci peut
des fractales. Le programme dont
rencé par a. Mais supprimons maintenant
(et doit) alors cesser d'exister et se trouver
désalloué. Le rôle du GC consiste donc
N
rence, et le second de 500 éléments, réfé­
nous disposons à présent est fonc­
la ligne b=a. Lors du second malloc, a réfé­
tionnel et libre ; à chacun d'aller plus loin
rence le nouveau buffer et on n'a alors plus
précisément à surveiller les références et à
en implémentant de nouvelles fonctions.
de pointeur sur le premier. La référence a
désallouer les blocs (en Java, les objets) dès
Nous allons répondre à une question que
disparu et il se montre a priori impossible
qu'elles sont perdues, afin d'éviter juste­
d'aucuns se sont certainement déjà posé :
de la retrouver : en clair, cela signifie que le
ment l'apparition d'objets fantômes pol­
dans tous nos programmes, nous avons
prem ier bloc n'est plus, et ne sera plus
luant la mémoire et l'application. Avant
jusqu'à présent alloué des objets et de la
jamais, utilisé par le programme. Dans un
d'expliquer comment tout cela s'effectue
lib é re r.
langage comme C ou C++, le fait d'oublier
(ce qui a de l'importance, pour une bonne
Pourquoi ? La réponse est simple : java dis­
de désallouer explicitement le bloc avant
utilisation), voyons ce que ce fonctionne­
pose en standard d'un Garbage Collector
d'en perdre la référence conduit à la créa­
ment implique comme discipline pour le
m é m o ire
sans
jam ais
rien
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
(G C ), en fran çais "ra m a sse - m iettes".
tion de blocs "fantômes", ce qui ne man­
programmeur. Avant tout, il reste a priori
Cependant, la croyance populaire voudrait
quera pas de faire planter le programme
impossible de prévoir à quel moment l’ob-
que la présence d'un G C signifie que la
(sous Unix ou sous d'autres sytèmes, c'est
mémoire "se gère toute seule" (en clair,
la machine entière qui plante) pour cause
que le programmeur n'a pas à s'en préoc­
de manque de mémoire.
cuper), alors que rien ne saurait être moins
Le p rin c ip e d u GC
vrai. Cet article se consacrera donc à ce
Désallouer explicitement les blocs
fameux GC et nous com m encerons par
avant de détruire les réfé­
expliquer son fo n ctio n n e m en t, en vue
rences s'avère beaucoup
d'une bonne utilisation. Il en va de même
plus compliqué qu’il n'y
pour l'ABS : une excellente chose, mais qui
paraît ; cep end ant, à
ne sert à rien si l'on ne sait pas conduire.
défaut de le résoudre,
U ne q u e s tio n d e ré fé re n c e s
on peut contourner le
Dans tous les langages impératifs (C, C++,
problème. La m étho­
Java...), les entités en mémoire sont tou­
jours désignées par une référence, généra­
lement assimilée à un pointeur. Pour bien
comprendre la problématique, prenons le
code C suivant :
in t *a,
*b ;
a = ( i n t *)
m a llo c (1 0 0 0 * s iz e o f(in t )) ;
b=a;
a = ( i n t *)
m a llo c (5 0 0 * s iz e o f (in t )) ;
Le m om ent intéressant pour nous est le
second malloc. On réserve un second buffer dont on affecte l'adresse à la variable a,
écrasant ainsi le pointeur sur le premier
buffer. Or, comme celui-ci a été précédem­
ment sauvegardé dans b, nous avons fina­
lement deux blocs d'entiers : le premier de
1000 éléments, dont b constitue une réfé­
A.D.F.I. A P PLIC A TIO N
04.73.34.34.34.
Magasin et VPC : 47 avenue de la
Libération - F63000 Clermont Ferrand.
jet sera détruit. Il doit se trouver conçu de
sibles et le G C d e v ra it les d é tru ire .
telle manière que sa destruction inopinée
Cependant, chacun de ces trois objets se
ne mette pas en péril le fonctionnement
tro uverait encore référencé à cause du
du programme. Pour cela, la classe Object
cycle : la destruction n'aurait donc pas
prédéfinit la méthode finalizeO, qui ne fait
lieu ! Cette situation arrive plus fréquem­
rien par défaut mais qui se voit appelée par
ment qu'on ne le croit, pour des raisons
le GC avant que l'objet ne soit détruit.
évidentes ; elle est susceptible de se pro­
Dans les cas où un objet détient des res­
duire particulièrement dans tous les pro­
sources qu'il convient de libérer propre­
grammes qui manipulent des graphes. Un
ment (par exem ple refermer un fichier
autre type de GC utilise la technique appe­
ouvert), il faudra s'en acquitter dans cette
lée "mark and sweep", qui consiste à par­
méthode. Exemple :
courir périodiquement toute l'arborescence
des références et à repérer ainsi l'inaccessi­
c la s s M o n F ic h ie r {
p u b lic M o n F ic h ie r ( S t r i n g nom)
{
/* o u v e r tu r e du f i c h i e r */ }
p u b lic v o id fe r m e r ()
{ /* ferm e­
bilité de certains objets ; ceux-ci sont alors
détruits. Un tel GC peut venir à bout des
cycles et autres cas épineux, mais il n'est
absolument pas garanti que la destruction
tu r e du f i c h i e r */ }
de l'objet ait lieu dès que la référence dis­
p u b lic v o id f i n a l i z e O
{ fe r­
paraît ! Dans certaines implémentations,
mer () ; }
par exemple, le "mark and sweep" ne se
}
déclenche que si le système m anque de
Il faut g ard e r à l'esp rit qu e le G C ne
certitude que l'objet sera effectivem ent
concerne que l'existence des objets en
détruit un jour ! Dans la machine virtuelle
mémoire ! Par exemple, dans le célèbre
Java de référence de Sun, un thread créé
mémoire. On n'a dans ce cas pas même la
exercice de simulation écologique "Proies
automatiquement à l'initialisation du pro­
vs. prédateurs", on souhaite comptabiliser
g ra m m e effectu e p é rio d iq u e m e n t un
le nombre d'individus d'une espèce (donc
"mark and sweep" ; une option permet de
le nombre d'instances d'objets d'une certai­
le désactiver, auquel cas il ne se déclenche
ne classe). La d e stru c tio n d 'u n o b je t
qu'à la demande ou en cas de mémoire
implique alors qu'il faut décrém enter le
insuffisante. Outre le fait que ces deux
= 50F.
Port total sans matériel
Port total avec un matériel ou plus
= 80 F.
A ssurance = +30 F par tranche de 2500Fet dans la limite de 10 000r.
Traitem ent prioritaire = +20F.
É tranger en Europe = +15 F.
Recommandé = +70 F.
Toutes les commandes sont fermes et définitives.
A V E R T IS S E M E N T
Les Éditions A.D.F.I. et Haage & partner ont signé un
contrat de distribution exclusive sur les principaux pays
francophones et depuis 1996 nous distribuons une version
française exclusive de leurs principaux logiciels. Il
apparaît que certains de ces produits ont été mis sur le
marché en dehors des Éditions A.D.F.I. ou de ses
revendeurs. Ces logiciels sont notamment en contravention
avec les législations belges et françaises relatives à la
francisation sur les importations. Si vous en ave/ été
victime veuille/ nous contacter ainsi que votre service de
la consommation et de la répression et des fraudes.
E X C L U S IV IT E A.D.F.I.
StormC VF + Cours Esthelle + manuel. Prix exceptionnel révisable..1340 F
Manuel Storm C en français.......................................................................... 290F
Cours C ANSI/C ++ Esthelle........................................................................ 240F
Art Effect 2.6 Version Française (nouvelle version Haage & partner). .980 F
PageStream Mac ou Amiga Version Française (nouvelle version) 1690 F
PageStream mise à jo u r.................................................................................490 F
TypeSmith..........................................................................................................490 F
Devpac 3.50 VF + cours+macros+aides hypertextes+dictionnaires 790 F
Draw Studio 2 (nouvelle version)................................................................ 980 F
Réparateur A.B.E.............................................................................................. 470 F
Spouleur d'impression......................................................................................120 F
Pilotes d'impression Stylus et Canon.......................................................... 190 F
Encyclopédie : tout sur le noyau du système. Exec................................ 320 F
Encyclopédie : tout sur le matériel...............................................................320 F
Bien débuter sur Amiga (A600. 1200. 3000. 4000 : préciser)................190 F
Éducatif Décollages......................................................................................... 290 F
Chaque thème de Décollages......................................................................... 140 F
Éducatif Décollages et ses 4 thèm es............................................................690 F
N O U V EA U T E D E L'E T E
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compteur, ce que le GC ne fera évidem ­
modes amènent chacun leur lot de difficul­
ment pas ! Il faut, là encore, passer par la
tés évoquées plus haut et qu'a priori, l'utili­
méthode finalize :
sateur peut souhaiter utiliser un mode plu­
c la s s P r é d a te u r {
tô t que
un
gros
p ro b lè m e
pas tout à fait normalisée à l'heure actuelle.
n o m b re In d ivid u s ;
P r é d a te u r ()
l'a u tre ,
demeure : cette conception ne se trouve
p riv a te s t a t ic in t
{ n o m b reIn d ivid u s+ + ;
Une im plém entation de Java utilisant la
première méthode (compter les références)
}
pourrait en principe voir le jour et des pro­
p u b lic v o id f i n a l i z e O
{
n o m b re ln d iv id u s — ; }
}
grammes mal écrits poseraient alors des
problèmes (par exemple avec un cycle de
références). Une fois de plus, le mot-clef
est méfiance...
F o n c tio n n e m e n t d u GC
C o n clu sio n
On sait donc quelles précautions sont à
Cet article a pour but d'expliquer en quoi
prendre lorsqu'on utilise un GC. Toutefois,
consiste le Garbage Collector de Java et de
il est également important d'en connaître
montrer que s'il désigne une aide inesti­
le fonctionnement. Certains GC se mon-
mable pour le programmeur, il ne s'appa­
rent très simples : ils comptent le nombre
ren te pas p o u r a u ta n t à une fo rm u le
de références qui pointent sur un objet.
magique. La présence d'un GC n'est donc
Dès que ce nombre atteint zéro, l'objet est
surtout pas une excuse (encore moins un
détruit. Dans ce cas, la perte de référence
p ré te x te )
correspond bien à la destruction de l'objet,
laxiste ; autrement, la catastrophe s'avère
mais le GC peut se voir mis en défaut : la
inévitable. Et si le GC facilite la program­
p o u r une
p ro g ra m m a tio n
figure 1 montre un cycle de références.
mation, il peut en revanche com pliquer
L'objet A, qui est le début d'une chaîne de
sérieusem ent le débuggage... Après cet
références, ou l'"objet principal", a une
épisode assez technique et, avouons-le,
référence sur l'objet B qui possède une
aussi important que peu passionnant, nous
référence sur l'objet C, etc. Supposons que
allons nous initier dès le mois prochain aux
la référence "A vers B" soit perdue : les
joies des Java-Beans.
objets B, C, D deviendraient alors inacces­
Jakub Zimmermann
S i cous tiouuez moin:i
aiCeu’is, noua noua afignona
fe i£apeef d£ fa [tgidation).
cHe i
(dans
3D Images.............................. ...155 F
Amiga Forever........................369 F
A nimatic................................ 49 F
Anime Babes spécial édition 240 F
Brotkasten G old.................. ...195 F
Clip A rt.................................. .. .1 2 0 F
DEM ROM ........................... ...195 F
Essen & Trinken volume 1...270 F
Feste & Feiem volume 2 ......270 F
Fontamania........................... ... 115 F
Fractal Pro Image Library ....155 F
Light Rom G old.................. ..270 F
Light Rom 4 ........................ ..140 F
Light Rom 6 (4 CD)
..390 F
Mods Anthology (4 CD).... ..240 F
Speccy Classix'98.............. ..190 F
Texture volume 1................. ..155 F
Texture Portfolio................. ..390 F
True 3 D ................................ ..190 F
Virtual Computer Pets....... 9 9
WEB it................................... ..155 F
World of Clipart Plus......... ..230 F
Jeux Arcade flassic Plus... ..155 F
Jeux Time of Reckoning.... ..235 F
Nombreux jeux à partir d e. .. .99 F
f
L E S G R A N D S C L A S S IQ U E S
Amiga A 1200 H D ............... 3290 F
Amiga Format 31 (et moins) ..49 F
Amiga tools 8 (et m oins)......139 F
Aminet 27 (et moins)......... 89 F
Aminet set 6 (et moins)...... ...199 F
APC TCP 6 (et moins)....... 89 F
Asim C D FS.......................... ...480 F
Blizzard 1260....................... 3490 F
Rii/zard extension SCSI 640 F
Rlizzard PPC ......12 références
Cyberstorm MK3 uw scsi.. 4480 F
Disque dur IBM 2Vz ou 3‘/ z 1729 F
Écran 15 " pour Amiga..... 2440 F
Elastic Dream....................... ...499 F
Euro Cd 3 (et moins).......... ...129 F
Fusion Mac Emulator......... ...699 F
Geek Gadget......................... ...159 F
GPFax........................................495 F
Ibrownse.....
...380 F
In to the net........................... ...155 F
Kara collection.....
...265 F
Lecteur CDx32 ID E........... ...790 F
...890 F
Lecteur CDx32 SCSI
Lecteur ZIP SCSI................ ...990 F
Magic W B ....
...109 F
Meeting pearls...................... 69 F
Miami..................................... ...279 F
Modem 56 K + adaptateur. 1429 F
Netnews offline................... 39 F
Onduleur super p ro ............ ...990F
Organiser V F ....................... ...240 F
OS 3.1 A 1200/3000/4000.....690 F
OS 3.1 A500/600/2000 ...590 F
Pam et..................................... ...165 F
Personal Paint...................... ...199 F
Personal suite...................... 89 F
Picasso IV............................. 2640 F
Print studio........................... ...259 F
Scala MM400...................... ...499 F
Scanner Epson GT 5500.... 1990 F
Souris et joystick depuis.......129 F
Scanquix............................... ...640 F
Sem et..................................... ...249 F
Siamese system ................... ...299 F
Siegfried anti virus pro.........285 F
STFax Pro............................. ...640 F
Stylus color 4 0 0 .................. 1290 F
Texture......................................150 F
Tour Atéo.............................. ...980 F
Tour M icronik..................... . 1179 F
Turbo Cale V F..................... ...490 F
TurboPrint............................ ...449 F
WordWorth V F .................... ...490 F
Workbench Designer 2..........159 F
AMIGANEWS EST MORT. VIVE AMIGANEWS...
1890 fois merci à tous ceux qui ont soutenu le maga/inc. Envoyez-nous la
photocopie de couverture du numéro 114 ci une enveloppe timbrée à votre
adresse. Vous reevrez un cadeau surprise de remerciement qui saura sans
doute \ous consoler... en attendant sa renaissance.
VENTE - CONSEIL
RÉPARATION
Cette liste de prix est extraite des 850 références disponibles.
J eux
s'agit d'addons à télécharger sur le Net qui
Q uake, ou
co m m e n t l'A m ig a
c a p tu re un jeu PC
se greffent sur le moteur de Quake et pro­
posent de nouveaux niveaux ou même des
jeux complètement différents ! Quake peut
être considéré comme une console virtuel­
le et ces addons ne sont que des "car­
touches virtuelles" à insérer dans le moteur
de Quake. Parmi les plus répandues et les
plus réussies, il faut citer AirQuake (une
simulation de vol avec plusieurs appareils
aux choix), Quake Rally (tout simplement
un rally 3D), Team Fortress ou encore Aliens
Depuis le temps qu'il était attendu et que les versions pirates se
multipliaient:, voici enfin l'AmigaQuake. Clickboom a décroché
la conversion de l'année, mais pour 68k seulement. Un comble
lorsque l'on sait que désormais la tendance sur Amiga, c'est le
PowerPC...
Quake, et la liste est longue... Ces addons
sont une vraie manne pour le possesseur
de Quake sur Amiga car ils permettent de
jouer à des styles de jeux jusqu'alors incon­
nus sur la machine : Quake Rally est tout
simplement le premier jeu de rallye en 3D
sur Am iga ! M alheureusem ent, comme
expliqué plus haut, les performances ne
haute résolution, le pauvre 68060 est tota­
sont au rendez-vous qu'à condition de pos­
veille est arrivée. On ne présente
lement dépassé.
sé d e r
plus Quake, LE jeu de référence qui
En réseau c o m m e u n g ra n d
( Cyberstorm 060 M KIII, carte gfx et de la
En contrepartie de tout cela et par rapport
mémoire) et encore...
'est au début de l'été que la mer­
C
a pris la suite de Doom dans les esprits. Les
une
m a ch in e
super
m usclée
Et le P o w e rP C ?
Après avoir contacté Clickboom à ce sujet,
il n'est pas question d'une version PPC
d'AmigaQuake mais seulement et éventuel­
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lement d'une version Open GL si les cartes
CVision et Bvision (à base de Permedia2) se
vendent bien sur Amiga. La firme cana­
dienne estime que le marché du PowerPC
A m iga est tro p faib le po ur susciter le
m oindre investissem ent le concernant.
Quake fonctionne très bien sur Am iga y compris en réseau.
C'est d'autant plus bizarre que les cartes
benchmarks de vitesse sous Quake sont
aux précédentes versions pirates 68k de
3D précitées ne se connectent que sur un
eux aussi devenus les références pour les
Quake, la version de Clickboom permet de
bus présent sur les cartes PPC Amiga ! Ainsi
fabricants de cartes graphiques, c'est dire
jouer en réseau local ou Internet et ceci
y aura-t-il au moins autant de cartes PPC
le su ccès de ce titre d 'ID S o ftw a re .
avec n'importe quelle autre machine : Pc,
Amiga que de cartes 3D ! En revanche, cer­
L 'ad ap ter sur Am iga é tait une terrible
Mac, etc. Une grande première sur Amiga.
tains n'o nt pas attendu une version de
gageu re et p o u rta n t les C an adien s de
M ieux encore, les Total Conversions et
Clickboom pour porter Quake sur PowerPC
Clickboom l'ont fait. On le sait, le jeu est
Partial C onversions sont supportées. Il
Amiga : les pirates ! Si l'on se souvient que
extrêmement gourmand en puissance de
calcul et l'Amiga dans ce domaine n'est pas
avantagé : le 68060 à 50 MHz constitue le
fer de lance des Amiga 68k. De plus, pour
ceux qui n'ont pas la chance de posséder
une carte graphique, il faudra se contenter
de l'AGA dont la lenteur et le manque de
modes chunky ne sont que trop connus.
Ainsi, sur un Amiga 1200/060 ACA, le jeu
plafonne à 7 ou 8 frames/sec (fps) en plein
écran, ce qui est loin d'être une performan­
ce ! Il faut pour retrouver une bonne jouabilité diminuer la taille de l'écran de trois
qu arts, ce qui n 'est pas rien. Su r un
4000/060 avec carte graphique, la situa­
tion s'améliore un peu. Le jeu se montre
plus rapide, l'accès à la m ém oire aussi,
mais on reste loin de l'extrême fluidité des
autres plates-formes. Tout ceci bien enten­
du en basse résolution 320x200, puisqu'en
A ir Quake.
CD JEUX MATERIEL
C
Adaptateur écran VGA.
.85 F q
Scandoubler interne A1200....659 F O
Scandoubler A1200T/A4000...599 F qj
C0
Scandoubler externe............ 879F ^
Lecteur de disks HD inteme...559 F CO
Lecteur de disks HD exteme..629 F cC
Lecteur Zip ATAPI interne
890 F S r
Disque dur IDE 3.5, 2.1 GO..1190 F
Disque dur SCSI 3.5,2 GO...1750 F >
Lecteur cd-rom ATAPI x 32 490 F 5
Blizzard PPC 603e 160 Mhz,
5
68040/25 Mhz..................... 2590 F •
Cyberstorm PPC 604180 Mhz,
68040/25Mhz et UW SC SI 5190 F ”
Carte ethemet Amiganet.
NC ! c\J
Carte son 16 bits Préludé 1890 F
16 mo simms 32 bits 60ns.... 190 F ^
32 mo simms 32 bits 60ns.... 315 F ^
Rom 3.1 A1200/A3000/A4000.350 F ^
Souris et tapis Frog design....145 F o
Adaptateur souris PC
199 F x
Joypad Honeybee
i
175 F
Alimentation externe 200 W....450 F ,
Digitaliseur audio + soft....... 350 F 00
Cable pamet 3 m +soft......... 99 F 00
Scanner Epson GT 5500.... 2095 F g
CDRW Ricoh x2 x2 x6........2990 F ^
Quake Rally.
un
Titan HB sont quant à eux beaucoup moins réti­
cents à l'égard du PowerPC : pas moins de quatre
jeux PPC/Permedia 2 sont annoncés, dont un clone
de Tomb Raider baptisé Claws Of The DevU, à sortir
avant Noël. Vulcan a aussi dans ses cartons une
i c i e I s
Amiga forever 2 cd .......... 420 F
Art studio pro cd ............... 260
Asim cdfs 3.9a VF.
355
Burn It 2.0 DAO
690
Deluxe paint 5 cd
219
Elastic dreams cd
520
Fusion Mac em ulator....... 690 F
Ibrowse 1.2........... !
339 F
M asterlso 2
590
Miami 3.................. 1.
339F
Network PC + cable II...... 229 F
Oxyron patcher
139
Scala MM400 cd
565
Turbocalc 5.1 cd VF......... 599 F
Turboprint 6.2
439
Ultim ate blitz basic cd..... 219 F
W ordworth 7cd VF........... 490 F
G)
LO
g
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
simulation spatiale à base de PPC. L'éditeur cana­
dien changera-t-il d'attitude ? C'est à espérer, d'au­
tant que l'on m urm ure sur les réseaux que les
sources de Quake II auraient elles aussi été subtili­
sées. Un portage sur Amiga PPC serait en cours. Il
faut toutefois garder à l'esprit que la seule manière
Quake normal.
légale et efficace de se procurer les niveaux de
Q uake sur Am iga reste d 'a ch ete r la version de
les sources en C du jeu ont été "volées" à ID voilà
Clickboom. Si pour Quake, le piratage a porté des
plus d'un an, on imagine avec quelle aisance cer­
fruits inattendus, il n'en demeure pas moins qu'il
tains ont pu les recompiler sur PPC. Le résultat est
peut aussi faire très mal au marché ludique si fragile
immédiat : sur un Amiga 1200 avec processeur 603
de l'Amiga.
Ben Yoris - [email protected]
à 166 MHz, on passe à plus de 10 fps, sur un 603 à
200 MHz, à plus de 1 3 fps, le tout avec l'AGA ! C'est
tout à fait jouable en plein écran sans aucun com­
promis de taille de fenêtre ! Sur un 4000 avec pro­
cesseur 604 à 200 MHz et carte graphique, la barre
des 20 fps saute allègrement et il devient possible
O ù se p r o c u r e r l es T o t a l
C o n v e r s i o n s de Q u a k e ?
Final O dyssey cd ........... 285 F
Flying hight cd ............... 199 F
Foundation cd
À .....279 F
Genetic species cd ........ 279 F
Master axe...................... 159 F
Mobile W arfare............... 125 F
M yst cd
L.................... 375 F
On escapee cd
-..279 F
Quake cd..?T.....................379 F
Ultim ate Sskidm arks cd...159 F
Virtual karting 2
.....179 F
O
2
g
CD
>,
9
^
Q)
Ü2
CC
CO
•
<
0Û
_g
de jouer en haute résolution sans problème. Voilà
de quoi rassurer ceux qui désespéraient de rentabili­
Les Total et P a rtial Conversions (TC ou PC) sont
ser leur achat...
légion sur Internet. Encore faut-il les trouver ! Si
C lic k b o o m c h a n g e r a -t-il d 'avis ?
vous in te rro g e z n 'im p o rte q u el m o te u r de
Les premières versions pirates PPC com portaient
recherche avec "Quake", vous devriez trouver votre
quelques limites : pas de son, gestion des modes
com pte. A sig n a le r to u t de même le très bon
vidéo de l'Amiga compliquée, pas de support du jeu
w w w .g o ig o i.c o m / q u a k e O .h t m l. U n s ite
en réseau. Mais avec les dernières versions, petit à
entièrement consacré à Am igaQuake et sur lequel
petit, chacune de ces tares par rapport à la version
vous trouverez des patches, des démos, des news
de Clickboom ont été comblées. Il est désormais
et p a r système de liens, les fameuses TC. Enfin,
possible de jouer les Total Conversions sur Quake
n 'h é s ite z
PPC : à vous les courses et vols en 3D enfin fluides
www.clickboom.com, ne serait-ce p ar exemple que
sur Amiga ! Toutefois, il est regrettable d'avoir à
pour obtenir le patch 060 d'Am igaQuake. Quant
passer par les réseaux pirates pour trouver une ver­
aux versions PPC pirates, débrouillez-vous...
p as
à
a lle r
fa ire
un
to u r su r
ADE2
105 F
Am inet 23, 24, 25 ou 26..... 85 F
Aminet set 5 ou set 6.....209 Ff
Amimes babes S E ..........179 F
Amiga format cd
49 F
Gateway 3 (2cd)
75 F
Golden dem os................... 95 F
Light Rom 6
f............. 325 F
Magic publisher..............179 F
Mods anthology..............206 F
Texture cd vol1...............149 F
W orkbench designer 2 120 F
<
O
»
*2
^
^
^
v*
5
5
frais de p o rt VPC ;
ç/)
logiciels 35 F, m atériel 80 F\
tour, écran 100F
sion rapide de Quake. D'autres éditeurs com m e
^■icroniK
Com puter Service
Revendeur Officiel
__________________________________
M i c r o s t o r y
S in c la ir
il àa i l 22 o ai i l ki m &
a. !L î« 5* L. L M - a. s« j
fcj
ÜMLauiàS«2-I«il.aLlB BP
*.
Sinclair fut l'un des premiers à apporter sur le marché des
ordinateurs une machine pour le particulier. Histoire d'un
pionnier de la micro-informatique.
- .
Pji
P« S . ^
5. ^
m
_
Le ZX Spectrum, première version.
apporter sa contribution. Alors que tout le
monde estime que les ordinateurs person­
nels verront leur prix dim inuer jusqu’à
£100 en plus de cinq ans, Sinclair décide
ichmond, Angleterre : le 30 juillet
c o n c e v o ir et c o n s tru ire des circu its.
1940 n aît C live M aries Sin clair,
Pourtant, son ambition ne s'arrête pas ici.
ce. En janvier 1980, le ZX80 fait ainsi son
et fils d'ingénieur, Clive est
Le 25 juillet 1961, Clive Maries Sinclair crée
apparition. Mesurant 9"x 7" et au prix de
£99.95 (ou £79 en kit), le ZX80 devient
de prendre le contre-pied de cette tendan­
destiné dès son plus jeune âge à suivre la
sa propre entreprise : Sinclair Radionics Ltd
voie scientifique. Doué pour les mathéma­
et lance son prem ier produit dès 1962,
l'ordinateur le plus petit et le moins cher
tiques, il prend goût très vite à l'électro­
c o n firm a n t son g ran d in térêt po ur la
au monde. La machine est composée du
nique et se fascine ainsi pour ce qui fera de
miniaturisation : un ampli miniature. Fort
microprocesseur Z80A à 1Mhz, d'1 Ko de
lui un pionnier de l'informatique : la minia­
de son aptitude à grimper rapidement les
RAM et de 4 Ko de ROM , le tout pour
échelons, il se retrouve rédac­
moins de 1 000 francs. Même s'il n'était
turisation. Déçu par l'idée que le lan­
te u r- a d jo in t
gage binaire utilisé pour sa premiè­
re machine à calculer ne soit
* -
du
jo u rn a l
pas comparable au PET de Commodore ou
Instrum ent Practice, afin
d 'a c q u é rir d a v a n ta g e
pas de sa propre imagina­
d 'a rg e n t. Les an n ées se
tion, il quitte l'école à 18
ans et décide de s'adon­
su ccèdent et durant 7 ans,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ner à sa passion en tra­
Sinclair ne se consacre qu'aux
vaillant dans un magazine
composants relatifs à sa premiè­
spécialisé : Practical Wireless.
re invention.
Le ZX Spectrum, seconde version.
Son ascension, au sein même de ce maga­
Un g é n ie au m o d è le ré d u it !
encore au TRS-80 de Tandy, il possédait
zine, dém ontre sa persévérance. En très
Une partie de son succès est due à son
cependant l'avantage de coûter 4 à 5 fois
peu de temps, il passe d'assistant rédac­
habilité à réduire la taille de ses produits
moins cher. Avec de telles caractéristiques
tionnel à rédacteur en chef. Mais ce poste
quels qu'ils soient. En 1979, alors que
matériel, le ZX80 ne peut avoir que pour
ne semble pas lui suffire : profitant du
Com m odore et Apple se sont déjà établi
seul objectif le particulier. C'est ce que
Silver Jubilee Radio Show en Août 1958,
sur le m arché de l'ordinateur personnel
ch e rc h a it avan t to u t Sinclair. Et là où
Clive Sinclair est engagé dans la société
malgré des prix encore élevés (£700 pour
Sinclair étonne, c'est par sa capacité à
d 'é d itio n de B e rn a rd B a b an i, afin de
le PET de Commodore), Sinclair décide d'y
convaincre de l'utilité de son produit. Il
réussit à faire oublier l'image du gros ordi­
n ateu r in d u striel a vec ses gros tubes
e n co m b ra n ts et ses én o rm es bandes
magnétiques :
voNm f&QtAtfn
le ZX80 connaît ainsi un
succès immédiat. Le même effet connu lors
SCv idcgtboty)
de la sortie de l'Altaïr se reproduit avec le
ZX80. Les gens possèdent une machine qui
n'a à sa sortie encore aucune fonctionnali­
CPL. «ifum**
té. Les Etats-Unis et
l'Angleterre sont les
premiers pays touchés par ce succès. Neuf
mois après sa sortie, le ZX80 était vendu à
HAM *n !' • t T'
plus de 20 000 exemplaires.
S in c la ir re m e t ça !
Mars 1981, Sinclair sort le Z X 8 I qui est
composé d'un nouveau processeur (Z80 à
2 Mhz), une mémoire vive d'1 Ko exten­
sible à 64 Ko, un a ffich a g e texte par
32*22. Plus évolué (on passe quand même
d'1 Mhz à 2 Mhz !) que son petit frère le
ZX80, le ZX81 n'est pas pour autant un
concurrent véritable du point de vue des
La carte mère du ZX80.
performances. Moins d'un an après sa sor­
Le m ythique Z X 8 I.
tie, 300 000 exemplaires du ZX81 sont
vendus à travers le monde. La nouvelle
machine se trouve elle aussi pourvue de
nombreuses extensions (extension RAM,
son e m p rein te, plus précisé­
manette de jeu, imprimante) qui accompa­
ment dans le domaine du jeu,
gnaient déjà le ZX80 et d'un patch qui
là où ses prédécesseurs n'ont
convertit le ZX80 en ZX81. Sinclair profite
pas véritablement convaincu.
de cet essor pour proposer une offre allé­
Si on le compare aux autres
chante au gouvernement. Environ 2 300
m achines, le Spectrum est
écoles suivent cette proposition et bénéfi­
certes encore très lent, et
cient d'un ZX81 (à 16Ko) et de la possibili­
son interpréteur Basic limité,
té d'acheter une imprimante ZX à moitié
mais l'idée d'intégrer l'ordi­
prix, le tout pour le prix avantageux de
nateur à part entière chez
£90. Les machines de Sinclair se vendent
soi émerge. Le Spectrum
de plus en plus, jusqu'au Japon, qui se
est lancé dans plus de 30
trouve parmi les nouveaux acquéreurs.
pays dans le monde. Seul
Grâce à son opération moitié prix dédiée
in c o n v é n ie n t, il s 'a g it
aux écoles, Sinclair impose tout d'abord
u n iq u e m e n t de ven te
ses m achines peu p erform antes, mais
par c o rre s p o n d a n c e .
accessibles à tous et favorise ainsi une pré­
Ceci n'empêche pas la
paration au monde de la micro-informa­
vente de
tique. Mais Sinclair s'imposera réellement
m achines par semaine
sur le marché en sortant en avril 1982 le
en A n g le te rre . De n o m ­
ZX 82 plus c o m m u n é m e n t a p p e llé le
breuses a p p lic a tio n s so rte n t po u r le
Spectrum. Nouveautés au program m e :
Spectrum. Cette profusion de jeux et d'ap­
12 à 15 000
C5) ont beaucoup coûté à
plications font leur effet et par la même
l'im a g e de sa so ciété , g u id é e par les
occasion, le Spectrum devient un sérieux
convictions d'un seul homme. Les résultats
concurrent de l'Oric.
se font sentir immédiatement. La commer­
G ra n d e u r e t d écad en ce
cialisation est un désastre et entraîne l'arrêt
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Le Spectrum selon Am strad.
Sinclair atteindra son apogée avec le ZX
im m édiat
Spectrum. Reconnu et anobli grâce à ses
grande assurance et ses inventions délurées
de ses productions. Sa trop
nombreuses inventions, Clive Sinclair sera
finissent par causer sa chute. Chute d'au­
couleur et plus de mémoire. Plus léger,
désormais appelé Sir Clive Sinclair. Mais la
tant plus amère qu'il est dans l'obligation
plus petit, le Spectrum n’offre pas exacte­
p e rs é v é ra n c e qui a va it été son a to u t
de revendre sa technologie à l'un de ses
ment les mêmes caractéristiques que ses
m a jeu r d e v ie n t son p rin c ip a l d é fa u t.
concurrents, qui n'est autre qu'Alan Sugar,
prédécesseurs. Clavier en gomme (molle)
Cherchant toujours à devancer ses concur­
dirigeant d'Amstrad. Quoi qu'il en soit, Sir
plus ou moins apprécié par les utilisateurs,
rents, ses inventions sont mal accueillies
Clive Maries Sinclair aura montré la voie à
le Spectrum (et son Z80A à 3,5 Mhz) arrive
par le public. Celles-ci sont mises en vente
l'informatique accessible. Il aura été l'un
en force avec son affichage graphique
trop rapidement dans un but commercial,
des premiers à apporter, sur un marché de
256*192 en 8 couleurs et du son (1 voie et
au détriment du bon fonctionnement de la
l'informatique en concurrence croissante,
6 octaves) restitué par un petit haut-par­
machine, ou émanent d'un caprice indé­
des m ach in es re p ro d u isa n t to u tes les
leur qui pousse quelques bips par-çi par-là.
niable de la part de Lord Sinclair, le produit
caractéristiqu es essentielles à prix très
La machine est toujours dotée de ses nom­
ne correspondant pas du tout aux besoins
réduit. Technique com m erciale qui sera
breuses extensions. C'est à cet instant que
du public. De nom breuses erreurs ta c­
reprise plus tard par les plus grands.
le Spectrum marque son passage et laisse
tiques et commerciales (Quantum Leap,
Dominique Gain
■ Proft/loM (t)
L'action Sonclair de 1981 à 1995.
Lecteurs
CE QUE L'ON VEU T AVEC OS/2
pour
é v ite r
d 'a v o ir
des
d iz a in e s de session s O S/2
C oncernant l'article OS/2 du
Window ou plein écran (pour
n u m é ro 53, j'ai re levé une
ceux qui en sont restés au
petite inexactitude :
superbe écran noir du DOS et
sur le bureau, en toile de fond
demeurent accros de la ligne
et en mode verrouillage, on
de com m ande) :
p e u t m e ttre C E Q U E L 'O N
UNE ADRESSE IP
POUR A M IG A EN SERIE
D ans v o tre a rtic le in t itu lé
VEUT !!! Eh oui, depuis Warp
/ * P e t i t programme p o u r
4, le bureau accepte des jPEG
l e s a c c r o s de 1 ' é c r a n
et autres G IFS et n'est plus
n o i r */
cantonné aux gros B M P , ce
If
qui agrém ente sérieusem ent
RxFuncQuery( ' SysLoadFuncs
un
la vie de tous les jours avec
•) Then Do
réseau lo ca l du num éro 53,
tout ce qu'on peut glaner sur
C a ll RxFuncAdd
In té g re r l'A m ig a
d an s
vous indiquez com m ent faire
le W e b . C ep en d an t, les gifs
' SysLoadFun cs' ,
avec une carte réseau pour
a n im é s ne s 'a n im e n t pas.
T IL ' , ' SysLoadFuncs '
1REXXU-
C a l l Sy sLo a d Fu n cs
relier deux o rd in ate u rs par
V o ic i
adresse IP. Mais est-il possible
petites astuces : le glisser -
d ’attribuer une adresse IP à
laisser to m b er est génial et
r c = s y s s e t o b je c t d a t a ( "<WP_
deux o rd in ate u rs reliés par
pas
OS2WIN>", "CCVIEW=NO" )
en
p rim e
assez
q u e lq u e s
u tilis é .
Pour
End
N etscape par exem ple : une
r c = s y s s e t o b je c t d a t a ( "<WP_
page vous plaît ? Faites un
DOSFS>" , " CCVIEW=NO")
"d ra g " n 'im p o rte où sur le
r c = s y s s e t o b je c t d a t a ( " <WP_
Tout à fa it. Le p rin c ip e de
bureau ou dans un classeur
DOSWIN> " , "CCVTEW=NO" )
cartes réseau plus adresses IP
(clic bouton droit sur la page
r c = s y s s e t o b je c t d a t a ( "<WP_
que nous évoquions dans notre
en c o u rs de c o n s u lta tio n ,
W IN F S> ", " CCVTEW=NO")
No 53 obéit au schéma du pro­
dans une zone où il n'y a rien,
tocole TCP/IP, utilisé sur Amiga
on garde le do igt dessus et
W IN2W IN>", "CCVIEW=NO" )
par l'interm édiaire de logiciels
on lâche où Ton veut), ensui­
r c = s y s s e to b j e c t d a t a ( " <WP_
comme M iam i ou AmiTCP. Ce
te, pour le relancer, re "drag"
O S2 FS> ", " CCVIEW=NO")
p ro to c o le
de
de l'objet sur l'icône Netscape
e x it
d iverses couches ; ch acu n e
et c'est reparti. C'est-y pas
d 'en tre elles sym bolise seule­
p r a tiq u e
ment un m aillon de la chaîne
Center", c'est pas génial ça ?
EPM. Faire attention à ce que
de communication. La première
On classe ses outils dans des
la prem ière ligne contienne
en première position /* pour
câble Null-Modem ?
Striker
r c = s y s s e t o b je c t d a t a ( "<WP_
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1" rédacteur graphiste :
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se
com pose
?
Et
le
"W a r p
Faire du co p ier-co ller dans
de celle-ci est le hardw are en
tiroirs successifs et en deux
général. Celui-ci peut être une
clics on a ce qu'on veut sous
que le rexx soit lancé. Le sau­
carte réseau, un modem via un
la m ain. Pour am élio rer un
v e g a r d e r sous le nom qui
port série ou, effectivement, un
peu le sy stè m e et le W a rp
vous plaît. Ex. : unefen.cmd.
port série tout court. En l'occur­
Center, il suffit de modifier le
On le lancera en tapant juste
rence, pour p o u vo ir faire du
C O N F IG .SY S , après en avoir
son nom (bien entendu, dans
FTP en tre deux o rd in a te u rs
fait une sauvegarde pour évi­
une fenêtre OS/2).
reliés par un port série (via un
te r q u 'u n p r o g r a m m e qui
c â b le n u ll-m o d em ), il fa u t
coince ne se remette à coin­
configurer M iam i comme nous
cer au prochain démarrage.
M erci pour toutes ces astuces
l'exposions dans notre article
SET
qui ne m anqueront certain e­
mais en changeant le nom du
AUTOSTART=TASKLIST, FOL-
ment pas de ravir les adeptes du
d e vice de la c a rte réseau
DERS SET
système d'IBM.
(a ria d n e .d e vic e , dans notre
RESTARTO BJECTS=STARTUP-
exem ple) p a r celui d'un port
FOLDERSONLY, REBOOTONLY
série préparé pour un protocole
TCP/IP. En l'occurrence, il s'agit
jean-Marie
UN 68060
A LA PLACE DU 68040
Ceci évite que le classeur où
de slip.device que Ton trouvera
papa range les photos qu'il a
sur Aminet. Si Ton souhaite uti­
glanées sur le Net ne s'ouvre
je possède un Amiga 4000/040
liser un câble Parnet, le device
qu and m am an v e u t utiliser
et aimerais savoir s'il m'est pos­
en
son t r a it e m e n t de te x te s .
sible de remplacer simplement
P o u r a vo ir une h o rlo g e un
mon processeur 68040 par un
q u estio n
plip. device.
se
nom m e
peu plus jolie, on fera :
68060 sans passer par une
SET s c u s e p r e tty c lo c k = o n
coûteuse carte accélératrice ?
Anonyme
En prime, un petit cmd rexx
Oui et non. Oui, le 68060 est
posse.
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tn t à
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numéru de Dream et dans la limite des
stucks dispnnibles !
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adressant à notre siège social. Les informations requises sont nécessaires à l'établissement de votre commande. Elles pourront également être cédées à des organismes extérieurs, sauf indication contraire de votre part.
Le cte urs
broche à broche com p atib le
D E BU TAN T SUR A M IG A
avec le 68040 et oui, il est pos­
E M U LA TIO N W IN D O W S
CHERCHE CARTE
SOUS LIN U X
ACCELERATRICE A M IG A
sible de le mettre à la place du
Intéressé par la micro alternati­
68040 sans avoir à acheter une
ve, je me suis récemment pro­
J'ai besoin de petits coups de
A l'heure actuelle, laquelle de
no u velle ca rte a ccélératrice.
curé un Am iga 1200. Hélas,
pouce avec W ine... j'ai bien
ces deux options conseilleriez-
Cependant, vous serez tout de
l'objet (qui d o rm ait sur une
compris le fonctionnement du
vous pour accélérer un Amiga
même obligé de passer p ar un
étagère poussiéreuse) ne dis­
logiciel et j'ai déjà réussi à faire
1200 (avec 68030 à 50 MHz) :
adaptateur. Et ce pour deux rai­
pose pas de tout son attirail.
tourner de nombreuses appli­
68040 + Pow erPC 6 0 3 e ou
sons. La première tient au fait
Où trouver les documentations
cations du m onde Windows.
68060 tout seul ? Y a-t-il une
que le 68060 fonctionne en 3,3
originales ? Où trouver les dis­
Mais, en voyant dans Dream
différence notable entre les
versions à 180, 200 et 240
volts et le 68040 en 5 volts. La
q u ette s
du
que l'on pouvait faire tourner
seconde est que le vitesse nor­
Workbench ? Lesquels de vos
StarCraft, je me suis empressé
MHz du PowerPC 603e (ver­
male du 68060 est de 50 MHz
anciens numéros pourraient le
d'essayer... Et c'est là-dessus
sions proposées par Phase 5
et qu'il serait dom m age de se
mieux me renseigner sur l'utili­
que je bloque : il me demande
sur ses cartes) ?
co n te n ter des 25 M H z que
sation d'un Amiga ?
de passer en 640x480 et en
d 'in s ta lla tio n
délivre la carte processeur de
Virgile
Anonyme
256 couleurs... (actuellement,
je suis en 1024x768 et 16 bpp)
La configuration 68040+PPC
en q u estio n est d isp o n ib le
Les documentations originales et
j'ai bien sûr essayé en passant
accélérera un peu votre système
auprès du reven d eu r R ad io
les disquettes d'installation peu­
mon serveur X en 640x480 et
et vous perm ettra d'avoir des
Spares (à Beauvais, 60) et cor­
vent se com m ander sur le site
là, il m arche sans problèm e.
a p p lic a tio n s litté ra le m e n t
respond à la référence 226-
d 'A m ig a
Mais je préférerais ne pas avoir
im p ressio n n an tes (retouche
4060. En revanche, il coûte tout
( w w w .a m ig a .d e ). En ce qui
à b a scu le r to u t
d'im ages, lecture de fichiers
de même près de 2500 F à lui
concerne les numéros de Dream
com m e ça (à chaque fois, je
M P3, jeu en réseau à Quake
seul. Par ailleurs, il s'agit juste
dédiés à l'A m iga, nous vous
suis o b lig é de c h a n g e r le
contre des Pcistes...). La confi­
votre Amiga 4000. L'adaptateur
In t e r n a t i o n a l
le tem p s
d'un adaptateur socle à socle,
conseillons la lecture de tous les
XF86Config...). N 'y a-t-il pas
guration 68060 tout seul accélé­
sans su pport p o u r b arrettes
exemplaires qui précédaient le
une option de W ine qui per­
rera très franchement votre sys­
Simms supplémentaires.
No 38. Eh oui, a u p a ra v a n t,
mette de lancer le soft directe­
tème mais ne vous perm ettra
Dream était un m agazine qui
m ent
pas, elle, d'avoir des applications
parlait exclusivement d'Amiga !
voulue ? Ou peut-être avez-
vraim e n t im p ressionnantes.
vous d'autres solutions...
Autre d étail qui penche en la
Vincent
faveur
dans
la
réso lu tio n
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DISQUE DUR DE PLUS DE 4 M O
je possède un disque dur IDE
CHERCHE FOURNITURES ATARI
de 4,3 Go. Serais-je à même
de
la
solution
68040+ PPC : les processeurs
d'en tirer pleinement partie sur
Est-il encore possible de trou­
Tout d'abord, il suffit de lancer
68060 deviennent très rares à
mon Am iga avec Workbench
ver en France des câbles pour
"startx - -bpp 8" pour avoir un
tro u ve r et le u r p rix est en
3.0 ? Me faut-il des patches ?
A ta ri, c o m m e par ex em p le
X en 8 bits ; ensuite, il existe en
conséquence. Si l'on ne parle
celui qui relie l'unité centrale
standard avec la plupart des dis­
que de différences visibles à
tributions un serveur nommé
l'œ il nu, alors on peut effective­
Alexis
d'u n
Afin d'utiliser des disques durs de
plus de 4 Go (lim ite supérieure
1040 ST à son écran
monochrome ?
Alain
Xnest qui est en fait un serveur
m ent
X se comportant comme client
nuances de rapidité entre les
co n sid é re r
que
les
d'un autre serveur X. Cela per­
trois versions du PPC 603e sont
il faut impérativement récupérer
La plupart des fournitures Atari
met de faire exactement ce que
négligeables.
les patches suivants que propose
p eu ven t se tro u ve r chez le
vous voulez puisque le serveur
Amiga International sur son site
constructeur Centek (Nogent-
client est dans une résolution
( http://www.am iga.de/files/) :
sur-Oise, 60). Au pire, son per­
indépendante du serveur ser­
FFS43.T9.lha et SC SIJD E43.23.
sonnel devrait être en mesure de
veur. La mise en oeuvre reste dif­
Ih a (S e tP a tc h 4 3 .6 b .lh a est
vous fo u rn ir le schém a des
ficile et le serveur est expérimen­
optionnel). Le but est de se créer
câbles s'il ne les a pas en stock.
tal, mais vous finirez bien par
des disques durs sous AmigaOS),
une disquette de boot (recopiez
celle de l'installation de votre
Workbench) et de décompresser
dans son répertoire DEVS/ les
fichiers suscités. Redém arrez
vo tre o rd in a te u r et lan cez
HDToolBox pour préparer désor­
mais correctem ent votre nou­
veau disque dur. Attention, de
cette manière, il est conseillé de
n 'avoir que des partitions qui ne
dépassent pas 2 Go chacune.
vous en tirer avec les docs.
Désormais, il estpossible d'écrire à Dream
par E-mail !
N'hésitez donc pas à envoyer toutes vos
missives à l'adresse [email protected].
Nos experts seferont un plaisir de répondre
à toutes vos questions !
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V d s n b r x je u x o r ig in a u x
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♦ PORTA
Retrouvez sur
chacun de ces
CD-Rom un
répertoire
Amiga
d'environ
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(J& te am
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LES A N C I E N S NUMÉROS
A V E C CD A M I G A . A T A R I .
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