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La galerie de photos Le 70 ième Le chemin vers la tragédie mondiale anniversaire du commencement de la Seconde guerre mondiale «JE LIBÈRE LES HOMMES DES LIMITES ENCOMBRANTES DE LA RAISON, DES AUTOEMPOISENNEMENTS VILS ET HUMILIANTS PAR LES CHYMÈRES APPELÉES CONSCIENCE ET MORALE ET DES EXIGENCES DE LA LIBERTÉ ET DE L’INDÉPENDANCE INDIVIDUELLE DONT PEUVENT PROFITER SEULEMENT PEU D’ENTRE EUX» ADOLF HITLER Annexion de l’Autriche. Le 13 mars 1938, la Wehrmacht entre sur le territoire autrichien. Le 29 septembre 1938, Hitler, Mussolini, Chamberlain et Daladier signent l’accord sur le démembrement de la Tchécoslovaquie. Les représentants tchécoslovaques n’ont même pas été invités. Le pacte de Munich a délié les mains à Hitler en Europe. Les participants au Pacte de Munich Le Premier ministre de la Grande-Bretagne Neville Chamberlain a apporté de Munich, d’après ses affirmations, « la paix pour notre génération… » «L’Allemagne et l’Angleterre sont deux piliers de la paix européenne et deux points d’appui contre le communisme et c’est pourquoi il faut surmonter nos difficultés actuelles par voie pacifique … Probablement, il sera possible de trouver la solution acceptable pour tout le monde, à l’exception de la Russie» Premier ministre de la Grande-Bretagne Neville Chamberlain La carte montrant le partage de la Tchécoslovaquie. Non seulement l’Allemagne, mais aussi la Pologne et la Hongrie ont profité des résultats du démembrement de cet Etat. Le Ministre des affaires étrangères de la Pologne Beck et Hitler après une opération « réussie » sur le partage commun de la Tchécoslovaquie. Les négociations soviéto-franco-britanniques d’août 1939 sur la coopération militaire : une possibilité manquée de prévenir la guerre mondiale Pendant les négociations entre l’URSS, la Grande-Bretagne et la France en août 1939 concernant la conclusion de l’accord d’aide mutuelle, la question principale portait sur la possibilité de laisser passer les troupes soviétiques à travers le territoire polonais afin d’infliger une riposte à l’agression hitlérienne éventuelle. Le Ministre des affaires étrangères de la Pologne Beck a opposé un refus à la demande appropriée des gouvernements de la France et de la Grande-Bretagne, en déclarant ce qui suit : « Je n’admets pas qu’il puisse y avoir des discussions concernant une utilisation quelconque de notre territoire par des troupes étrangères. Nous n’avons pas d’accord militaire avec l’URSS. Nous ne le voulons pas". Le 23 août 1939 : signature du Traité de non-agression entre l’URSS et l’Allemagne. «En faveur des Soviéts, il faut dire que pour l’Union Soviétique, il était vitalement nécessaire d’éloiger le plus possible vers l’ouest les positions de départ des armées allemandes, pour que les Russes puissent avoir du temps et réunir les forces provenant de toutes les fins de leur empire colossal. (…) Si leur politique était froidement calculatrice, elle était aussi en ce moment extrêmement réaliste» Winston Churchill Agression contre la Pologne – début de la Seconde guerre mondiale Le «Plan Weiss» a été adopté par Hitler en mars 1939, bien avant le début des négociations soviéto-allemandes sur le Traité de non-agression. Le premier septembre 1939. L’invasion par l’Allemagne hitlérienne de la Pologne est commencée. Les chars de la Wehrmacht roulent sur le sol polonais Varsovie en flammes Les envahisseurs marchent dans les rues de Varsovie En Pologne, plus de 5 millions de personnes ont été tuées par les nazis «La Nature est cruelle, c’est pourquoi nous aussi pouvons être cruels. Si je peux envoyer la fleur de la nation allemande dans la fournaise de la guerre sans aucun regret de verser le sang allemand précieux, bien sûr que j’ai le droit d’éliminer des millions appartenant à la race inférieure, qui se multiplient comme des vers!» Adolf Hitler