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DOSSIER DE PRESSE ocToBRE > DécEMBRE 2013 SéE o P o PR E L L E IAc TUR c L R U A c M N SAISo PAR JAZZ IN 4 1 0 2 / 3 1 20 Troisième saison, la saison de tous les défis : L’Astrada cingle vers le grand large ! Et elle n’accomplit pas son beau voyage en solitaire puisque, au long des deux années précédentes, elle a réussi à fidéliser ses nombreux passagers – entendez son public. Un public qui apprécie cette salle de cinq cents places non seulement pour ses qualités esthétiques et acoustiques mais aussi pour la chaleureuse proximité qu’elle offre avec les artistes. Ces derniers s’en réjouissent pareillement : en racontant ici ou là toutes les émotions qu’ils ont ressenties sous la voûte de notre « Étoile de la destinée », ils accroissent sa réputation déjà excellente. Le jazz est ici chez lui, on le sait. Comment dès lors s’étonner de rencontrer les fidèles du festival venus retrouver l’atmosphère si séduisante de notre petite cité et comme un parfum de vacances ? Week-end de printemps, d’automne ou d’hiver, peu importe : lorsqu’on arrive à Marciac pour applaudir un spectacle de L’Astrada, on est toujours en été. À ceci près que la programmation déborde largement l’univers du jazz. Aussi connaisseur que curieux, notre public mérite le meilleur et, en toute humilité, nous nous employons à le lui offrir. Qu’on en juge : au côté de jazzmen comme Jon Faddis, Richard Bona, Dave Holland et Kenny Barron, nous retrouverons en cette saison des figures aussi prestigieuses que Juliette, Maxime Le Forestier, Daniel Pennac, Jean-Claude Grumberg, Mathieu Madénian, Nicholas Angelich ou Marie-Claude Pietragalla. « Étoile de la destinée », disions-nous ? Il s’agit en fait d’une voie lactée ! Pour autant, les talents en devenir ne sont pas négligés : il est du devoir de L’Astrada d’assumer un rôle de pionnier et, grâce notamment aux résidences d’artistes, de proposer des spectacles qu’on ne voit pas, ou pas assez, ailleurs. Nous découvrirons par exemple les Camins mesclats, chemins mêlés qu’arpentent cinq artistes d’horizons divers (musiques traditionnelles, jazz, cinéma) réunis autour de la thématique du patrimoine, ou encore les élèves actuels ou anciens de notre collège venus fêter instruments en main les vingt ans des Ateliers d’Initiation à la Musique de Jazz du collège de Marciac. Et l’on vous réserve bien d’autres surprises du côté du cirque, de la danse, du théâtre… Dans un même esprit résolument militant, nous souhaitons accueillir des publics trop souvent empêchés d’accéder aux richesses de la culture. La culture : mis à toutes les sauces, ce mot perd parfois de son sens mais nous pouvons lui redonner son éclat en mariant sous son égide l’ouverture à l’autre et l’exigence dans la qualité. Dans le fond, que pourrait-on trouver de mieux pour lutter contre les difficultés du temps présent ? Nos concitoyens au sein du territoire l’ont bien compris. Ils se sont appropriés avec gourmandise ce lieu conçu pour eux, conscients qu’il constitue un élément important de notre patrimoine. À sa belle manière, L’Astrada démontre qu’une région rurale ne manque ni de dynamisme, ni d’ambition… Et maintenant, chers amis, place aux spectacles ! Jean-Louis Guilhaumon Président de Jazz in Marciac L’Astrada Chantal Atlani Direction [email protected] Sam 12 oct 2013/21h PINK TURTLE Nouveau spectacle Artistes en résidence à L’Astrada - Marciac Patrick Bacqueville trombone, chant Michel Bonnet trompette, choeurs Laurent Vanhee contrebasse Jean-Marc Montaut piano, triangle, percussions Pierre-Louis Cas saxophone, clarinette, flûte, chœurs Christophe Davot guitare, chant Stéphane Roger batterie, chant Chéris par L’ Astrada, ces sept garçons dans le vent du jazz sont capables de tout. Comme si leurs trois albums, leurs concerts internationaux et des soutiens aussi flatteurs que ceux de Didier Lockwood, de Jean-Jacques Milteau ou d’André Minvielle ne leur suffisaient pas, ils se sont créés une biographie délirante : « C’était il y a trois ans, un retour de tournée au coeur de l’été, une panne sur une départementale au milieu de nulle part. Une vieille dame, professeur de piano à la retraite, accueillit gentiment le groupe dans sa grande demeure et offrit le gîte et le couvert. Les musiciens étaient à la recherche d’un nouveau son, un peu lassés de la musique qu’ils pratiquaient à l’époque, la vieille dame les écoutait discrètement après le dîner se morfondre et refaire leur monde musical. « Attendez-moi cinq minutes » dit-elle soudain. Dans un silence impressionnant, la maîtresse de maison s’éclipsa. son retour, elle posa sur le sol, devant les yeux interloqués de l’équipe, une vieille valise en prononçant cette seule phrase énigmatique : « J’ai ce qu’il vous faut ». Cette malle renfermait un monceau de partitions originales et des documents sur un groupe méconnu des années 60 : Pink Turtle. Avec entre autres des dizaines de chansons popularisées depuis par les plus grands groupes de rock et de pop. Pink Turtle fait revivre depuis le nom et le répertoire de ces artistes oubliés. » Un conte qui annonce la couleur : on n’est pas là pour s’ennuyer mais pour napper des tubes pop ou rock d’une sauce ja y délicieusement relevée. Money, Money, Money du groupe Abba, Satisfaction des Rolling Stones, Roxane de Police et tant d’autres succès planétaires sont réinterprétés à la mode Ne Orleans, boogie, bossa, salsa, mambo, cool ja … Ces gens-là ne respectent rien. Cela dit, le talent excuse bien des choses et la Tortue Rose n’en est pas dépourvue, comme ce tout nouveau spectacle le confirmera sans le moindre doute… avec Pink Turtle, on voit toujours le swing en rose ! www.pinkturtle.fr Tarif : de 10 à 26 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse Dim 13 oct 2013/15h FOUQUET, D’ARTAGNAN ou une amitié contrariée Texte Donat Guibert Mise en scène Jean-Paul Bazziconi Avec Donat Guibert et Alain Veniger Surintendant des finances, Nicolas Fouquet donna en 1661 une éblouissante fête dans son château de Vaux-le-Vicomte mais il ne faut pas faire d’ombre au Roi-Soleil : trois semaines plus tard, jaloux de son grand argentier, Louis XIV ordonna qu’on le jette en prison pour lèse-majesté et détournement de fonds publics avant de faire agrandir le château de Versailles par les artistes géniaux – Louis Le Vau, André Le Nôtre, Charles Le Brun – qui avaient construit celui du ministre. Si tout le monde ou presque connaît cet épisode historique, on ignore la plupart du temps que, après une tentative infructueuse de Bénigne Dauvergne de Saint Mars, le capitaine de police chargé d’arrêter, d’emprisonner et de garder Fouquet était un certain D’ Artagnan qu’il nous semble superflu de présenter en pays gascon ! Du reste, trop sédentaire, la tâche ne correspondait guère aux goûts de cet homme d’action. Brillamment mis en scène par Jean-Paul Bazziconi, fondé sur des faits réels, le texte de Donat Guibert débute au moment où d’ Artagnan vient annoncer à Fouquet déjà détenu depuis plusieurs années son transfert à la prison de Pignerol. D’un côté, un ministre en disgrâce, de l’autre, le premier flic de France : étalé sur dix ans au long des trois actes, le dialogue tourne quelquefois au duel mais sous les mots d’esprit apparaissent, en dépit de caractères bien différents, une estime réciproque et même une véritable amitié. Confidences sur l’amour et sur l’art, menaces de complots, tentatives d’évasion… une fabuleuse Histoire, avec un grand H, se déroule sous nos yeux, interprétée avec un réalisme saisissant par Alain Veniger dans le rôle de Fouquet et, dans celui de D’ Artagnan, par l’auteur lui-même. Ce dernier a fait ses armes en écrivant des one man shows avant de créer des pièces radiophoniques, en particulier pour France Inter. Dans cette pièce palpitante, il a joué de la plume comme on imagine que son personnage jouait de l’épée : avec élégance, précision et efficacité. En partenariat avec l’association D’ Artagnan chez D’ Artagnan, les Offices de Tourisme de Lupiac et Marciac et la librairie Les Petits Papiers www.caspevi.com / site d’Artagnan Tarif : de 8 à 20 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com Conférence D’Artagnan et Fouquet 5 septembre 1661 : Louis XIV fait arrêter son surintendant des finances, Nicolas Fouquet, à l’issue du Conseil qui vient de se tenir au château de Nantes, où le roi est venu, accompagné de ses ministres, ouvrir les Etats de Bretagne. Celui qui est chargé de l’arrestation de l’homme le plus puissant de France est… D’Artagnan ! Preuve de la confiance exceptionnelle que le jeune souverain avait dans le sous-lieutenant de la première compagnie de ses mousquetaires. Cette arrestation marque le début d’une affaire judiciaire retentissante. Pour D’Artagnan, cet événement puis la garde pendant près de quatre années d’un prisonnier d’Etat hors du commun vont le propulser, bien contre son gré, au-devant de l’actualité. Lors de la préparation, puis du déroulement du procès Fouquet, il sera constamment présent aux côtés du surintendant déchu. Témoin d’une affaire à laquelle il avoue ne pas comprendre grand-chose, il est responsable avec ses hommes, non seulement de la sécurité du prisonnier et de plusieurs de ses proches, mais aussi des moindres détails de leur vie quotidienne. Les informations abondent à son sujet, tant du côté officiel (ministres de Louis XIV, Le Tellier, Colbert, qu’il doit tenir régulièrement informés des faits et gestes du prisonnier ; Olivier Lefèvre d’Ormesson, rapporteur du procès) que des amis de Fouquet (Madame de Sévigné, notamment) dont les éloges se multiplient à l’égard d’un geôlier qui tout en servant parfaitement son maître, sait se montrer humain, voire bienveillant, n’hésitant pas à enfreindre quelques règles qu’il juge trop rigoureuses. D’Artagnan, Fouquet, une rencontre inattendue, au cours de l’un des grands procès qui ont marqué l’histoire du royaume de France. Odile Bordaz CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse SAM 19 oct 2013/21h Richard Bona Tatum Greenblatt trompette Adam Stoler guitare Etienne Stadwijk claviers Richard Bona basse Ludwig Afonso batterie Quatre jours après son concert à La Cigale à Paris, Richard Bona est attendu à L’ Astrada le 19 octobre. Il y présentera « Bonafield », son septième album paru en avril dernier chez Universal Music. « C’est un album de résistance », a déclaré dans une interview à RFI Musique (on peut l’écouter sur Youtube), le musicien, chanteur et compositeur camerounais qui aura 46 ans le 28 octobre. « Pas en termes de création, mais au niveau du live : neuf musiques populaires sur dix sont en playback sur scène. Le public ne s’en rend même plus compte. On est dans une société où l’on consomme sans savoir d’où ça vient. Moi, je dis que ce n’est pas normal… Je me suis dit que j’allais commencer un album acoustique, revenir à la méthode de mon premier disque ». Entre jazz et pop africaine, cet album lyrique illustre les atmosphères chaleureuses, fraternelles et tendres qui sont l’une des signatures de Richard Bona. Ses chansons sont autant de berceuses africaines à utiliser sans modération pour se consoler d’un monde chagrin. La voix de son grand-père, qui fut le premier à entrevoir les talents de l’enfant, reste présente entre les vertiges techniques à la Jaco Pastorius, le bassiste US qui a converti au jazz l’ado du Cameroun. “Sa musique va bien plus loin que sa façon de jouer” a commenté le trompettiste américain Randy Brecker. “Les instruments qu’il touche se mettent à chanter”, dit à son sujet le chanteur français Jacques Higelin que Bona a accompagné. “Il est habité par la musique”, résume Manu Dibango. « En musique, tout ce que mon oreille entend, je peux l’exécuter », confesse Richard Bona qui était déjà musicien quand il s’est mis à la basse. « Étant gamin, j’avais une facilité à pouvoir jouer de n’importe quel instrument qu’on me mettait sous la main. Je ne choisissais pas d’instrument, parce que je n’avais pas d’argent pour choisir un instrument. Tu joues avec ce que tu as ! Le balafon, on peut le fabriquer facilement, comme les percussions. Quand je suis allé en ville, à 12 ans, j’ai vu un vieux saxophone dans un club. J’ai commencé à souffler dedans. Personne ne m’a appris. J’avais un don ». Alors que le guitariste-bassiste fait carrière en France depuis dix ans aux côtés de Didier Lockwood, Marc Ducret, Manu Dibango ou Salif Keita, il est rattrapé, en 1995, par les lois Pasqua : sa carte de séjour non renouvelée, Richard Bona retourne au Cameroun où Harry Bellafonte vient le chercher. Il travaille depuis à New York : Michael et Randy Brecker, Pat Metheny, Mike Stern, Paul Simon, Chick Corea , George Benson, Bobby McFerrin et Quincy Jones font appel à lui. Sur les cinq continents, il est considéré comme l’un des meilleurs bassistes de sa génération. C’est aux Etats-Unis, alors qu’un soir il accorde sa guitare, en chantant comme il a toujours fait, que les musiciens qu’il accompagne découvrent sa caressante voix et l’invitent à chanter. En 1999, sa carrière solo est lancée. Premier album, premier succès, avec « Scène From My Life ». Richard Bona a remporté le Prix du meilleur artiste international de l’année 2003 aux Victoires du Jazz. Il est Grand Prix Jazz de la Sacem en 2012. Sa venue à L’ Astrada est un événement. www.bonamusic.com Tarif : de 11 à 28 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse DIM 20 oct 2013/15h NICHOLAS ANGELICH piano Jean-Sébastien BACH (1685-1750) : Variations Goldberg BWV 98 À quoi reconnaît-on un artiste si ce n’est à sa capacité de surprendre ? Le pianiste franco-américain Nicholas Angelich possède cette qualité. Deuxième Prix du Concours International Robert Casadesus, Premier Prix du Concours International Gina Bachauer, Prix des jeunes talents du « Klavierfestival Ruhr » sous le parrainage de Leon Fleischer, Victoire du « Soliste Instrumental de l’ Année » aux Victoires de la Musique Classique 2013… Doté d’un palmarès éloquent, cet élève d’ Aldo Ciccolini, d’Yvonne Loriod et de Michel Beroff qui s’est produit avec les orchestres les plus prestigieux a assis sa renommée sur sa maîtrise du répertoire romantique, marquant en particulier les coeurs et les esprits avec ses disques Brahms (Virgin Classics) et Liszt (Mirare). Mais aujourd’hui, il s’attaque à l’un des monuments de la musique occidentale : les Variations Goldberg. « Une aventure incroyable, une odyssée, témoigne le concertiste. Il y a, dans ces variations, une espèce de perfection qui n’est pas une chose aseptisée, mais qui a une dimension et illumine celui qui les écoute, et celui qui les joue. » Au vrai, Jean-Sébastien Bach arpentait depuis toujours son jardin musical secret. Cet amour éclate au grand jour avec son interprétation très colorée de ces pièces qui, commandées par le comte von Keyserling, exambassadeur de Russie, furent composées pour le clavecin en 1741 et doivent leur nom à Johann Gottlieb Goldberg, compositeur et élève claveciniste du Cantor de Leipzig. Le premier biographe de Bach, Johann Nicolaus Forkel, raconte que « le comte était de santé déficiente et souffrait d’insomnies. Goldberg, qui habitait chez lui, devait alors lui jouer quelque chose s’il ne pouvait dormir. Le comte exprima un jour à Bach son désir de lui voir écrire quelques morceaux pour Goldberg pour le distraire de son insomnie. Le comte ne les nomma plus ensuite que ses variations. Il ne pouvait se lasser de les entendre ». Une version que réfutent les musicologues contemporains mais les émotions que l’on retirera de l’interprétation des Variations Goldberg par Nicholas Angelich n’auront, elles, rien de fictif… CD : Les Variations Goldberg, Virgin Classics www.emiclassics.com En partenariat avec Arpèges en Gascogne qui fête sa 15ème saison Tarif : de 10 à 25 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse ven 25 oct 2013/14h SAM 26 oct 2013/17h LA MEUTE Avec les voltigeurs : Arnau Serra-Villa, Bahoz Temaux, Julien Auger, Mathieu Lagaillarde, Sidney Pin, Thibault Brignier. Première partie : Présentation du travail des élèves de Circ’ Adour Dans le cadre de CIRCA Festival de cirque actuel, en coréalisation avec L’Astrada, Marciac En partenariat avec CIRC’ ADOUR Plaisir double à L’Astrada où l’on découvrira en première partie la présentation du travail (pardon, du plaisir) des élèves de l’école Circ’ Adour qui se veut ouverte aux enfants de 4 à 99 ans et défend bec et ongles l’accès aux arts du cirque en milieu rural. Suivront les gars de la voltige, autrement dit La Meute, un collectif qui s’est formé à l’issue d’une formation commune de deux ans à l’École Nationale des Arts du Cirque de Rosny-sous-Bois et qui a peaufiné sa technique et son talent à la DOCH, Université de danse et de cirque de Stockholm. Balançoire française, bascule hongroise, bascule coréenne, petite bascule, portés collectifs (banquine, colonnes), roue Cyr, main à main, acrobatie au sol, équilibres et acrobatie avec des objets : la Meute s’illustre dans de nombreuses disciplines dont nous n’aurons pas la prétention de décrire les rouages mais qu’elle aborde toutes avec le même état d’esprit, celui du partage. Partage d’un projet et de la passion entre les membres de la troupe, et bien sûr partage de cette expérience avec le public lors d’un spectacle qui mérite plus que tout autre le qualificatif de « vivant ». « Nous voulons travailler à être ensemble et à le montrer, déclarent-ils d’une seule voix. Dans La Meute, l’individu n’est pas roi. Il préfère la confiance aveugle à l’assurance tout risque. » De fait, la pratique de la voltige à six nécessite une confiance absolue en ses partenaires. Il faut savoir s’abandonner à l’autre en se délestant de ses peurs, de son égo, des désaccords du quotidien pour offrir le meilleur de soi-même et du groupe. Tout cela se fait bien sûr dans la joie. « Je veux être sur scène et partager le risque, l’humour, la créativité avec le public » assure un voltigeur tandis qu’un confrère renchérit : « Le rire est pour moi un besoin quotidien et mon humour est principalement inspiré du burlesque et de l’absurde ». S’amuser mais aussi se dépasser, rencontrer l’autre, mener une expérience quasiment mystique : on vise tout cela au sein de La Meute, animé d’une « furieuse envie de vivre ». www.cielameute.com Tarif : de 7 à 17 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse DIM 10 nov 2013/15h Le violoncelle de guerre, Maurice Maréchal et le Poilu Concert lecture Emmanuelle Bertrand violoncelle Christophe Malavoy lecteur Spectacle qui a reçu le label CENTENAIRE 14-18 délivré par la Mission du Centenaire de la Première Guerre Mondiale. « Le Poilu » ? S’il concerne bien la première guerre mondiale, il ne s’agit pas comme on pourrait le croire d’un soldat mais du violoncelle que le grand soliste Maurice Maréchal s’est fait construire en juin 1915 par deux camarades de tranchées à partir de caisses de munitions allemandes et de morceaux de portes en chêne. Orné des signatures de Joffre, de Foch, de Mangin et de Pétain, cet instrument de fortune que le musicien jugeait aussi précieux qu’un Stradivarius lui permit de se produire en concert devant le quartier général et, brinquebalé dans le fourgon de ravitaillement, connut par deux fois le siège de Verdun. Dans une nouvelle forme de concert alliant musique et texte, la voix de Christophe Malavoy et le violoncelle d’Emmanuelle Bertrand nous racontent cette histoire extraordinaire qui montre que l’art permet parfois de surmonter les pires épreuves. Lisant des extraits des carnets de guerre et de la correspondance de Maurice Maréchal, le comédien, lui-même violoncelliste amateur, restitue parfaitement la cruauté de « La Der des Ders » à laquelle fait écho la musicienne qui joue deux instruments du luthier Jean-Louis Prochasson, le « Gevrey Chambertin », un violoncelle réalisé en 1995, et un fac-similé du « Poilu » réalisé en 2011. « Maurice Maréchal est en quelque sorte mon « grand-père du violoncelle », le Maître de l’un de mes Maîtres, Jean Deplace » a confié Emmanuelle Bertrand qui nous propose ici des musiques de Benjamin Britten, Jean-Sébastien Bach, Hans Werner Henze, Pascal Amoyel et des extraits du répertoire (Léon Boëlmann, Félix Mendelssohn, Richard Strauss...) À la fin de la guerre, Maurice Maréchal reprendra sa carrière de soliste. On le reconnaît alors comme « le violoncelliste français le plus complet, alliant intelligence musicale et maîtrise de l’instrument ». Quant au fameux « Poilu », s’il est désormais injouable, il existe toujours, précieusement conservé au Musée de la Cité de la Musique où il constitue un témoin d’une époque terrible et un symbole d’espoir. En partenariat avec Arpèges en Gascogne qui fête sa 15ème saison La Médiathèque intercommunale Bastides et Vallons du Gers, la Médiathèque Départementale du Gers, la librairie Les Petits Papiers et le Centre Régional des Lettres Midi-Pyrénées www.emmanuelle-bertrand.com www.christophemalavoy.com Tarif : de 8 à 20 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse SAM 16 nov 2013/21h PULCINELLA inviteTROYKA PULCINELLA Ferdinand Doumerc saxophones, flûtes, métallophone Florian Demonsant accordéon Jean-Marc Serpin contrebasse Frédéric Cavallin batterie, percussions TROYKA Chris Montague guitare Kit Downes orgue hammond, claviers Josh Blackmore percussions Dans le cadre du dispositif Match&Fuse Avec le soutien de la Région Midi Pyrénées et de l’Institut Français. Production : Les Productions du Vendredi Artistes en résidence à L’Astrada, Marciac Mais oui, l’entente franco-britannique est possible, on en aura la preuve ce soir à Marciac où Pulcinella et Troyka se partageront la vedette sur la scène de L’ Astrada. Laissons messieurs les Anglais se présenter les premiers : Troyka est un groupe de trois jeunes musiciens de Londres qui font déjà sacrément parler d’eux. Guitariste à la sonorité très spécifique, Chris Montague est le principal compositeur de la formation même si l’organiste Kit Downes contribue également à l’écriture des morceaux. Pour compléter ce beau tableau, ajoutons le percussionniste Josh Blackmore afin d’obtenir un mélange étonnamment frais de rock, de dance music et de jazz. Leur imagination débridée ne les entraîne jamais vers les mêmes contrées mais donne toujours envie de les suivre, ce que n’ont pas manqué de faire bien des critiques musicaux. Résultat : le magazine Jazzwise a classé le premier album de Troyka dans les dix meilleurs de l’année 2009 avant que les jeunes Londoniens ne soient trois ans plus tard nominés dans deux catégories aux Jazz FM Awards. Lauréats du label Découverte de la Fédération des Scènes de Jazz et lauréats Jazz Migration de l’ Afijma ( Association des Festivals en Jazz et Musiques actuelles), nos quatre Français qui portent malgré leurs origines toulousaines un nom tiré de la Commedia dell’arte ne sont pas non plus en manque de reconnaissance. Il faut dire qu’ils font tout pour la mériter avec une musique d’une générosité incroyable, comme le prouvent leurs trois albums dont le dernier paraîtra en Mars 2014. Pulcinella pratique un jazz omnivore fondé sur une instrumentation atypique et dont l’appétit se révèle insatiable : rock, tango, musette, musique de l’est… Tout fait musique et spectacle. Forts de multiples collaborations et de multiples expériences dans le ciné-concert, le théâtre, la danse ou encore le cirque, les quatre Polichinelle ont imposé une musique qui n’appartient qu’à eux mais dont tout le monde désire se régaler… On récapitule : un set pour chaque groupe puis un dernier en commun. S’agit-il d’un match ? Pas vraiment mais on connaît d’avance le vainqueur : le public de L’ Astrada. www.pulcinellamusic.com www.troyka.co.uk Tarif : de 7 à 17 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse DIM 24 nov 2013/15h LUN 25 nov 2013/14h EDGAR ALLAN POE EXTRAORDINAIRES Adaptation Agathe Mélinand Mise en scène et scénographie Laurent Pelly Avec les comédiens de la promotion 2012-2013 de L’Atelier Volant - Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées : Clément Durand, Gérôme Ferchaud, Jeanne Piponnier, Antoine Raffalli, Mathieu Tune, Sabine Zovighian Bienvenue dans les mondes d’Edgar Allan Poe ! Les mondes au pluriel, cela s’impose… Peuplés de fantômes et de vampires, parsemés de châteaux effrayants, les paysages de cauchemar qu’affectionnait l’auteur des Histoires extraordinaires et des Nouvelles Histoires extraordinaires nous sont familiers mais nous aurions tort de réduire son univers à un décor macabre. Poe, que son traducteur Charles Baudelaire considérait comme un « génie fraternel », c’est aussi un rire qui se moque de tout et même de la mode du roman gothique anglais dont il s’est pourtant inspiré. Le rire ne constitue-t-il pas le meilleur moyen de calmer les névroses et de supporter l’absurdité du réel ? De la même manière qu’on lui attribue l’invention du roman policier, on pourrait attribuer l’invention de l’humour noir à ce poète que la vie se plut à malmener : orphelin dès l’âge de trois ans, alcoolique, hypocondriaque, veuf inconsolable, il mourut dans la misère en dépit d’une certaine célébrité. C’est donc dans ces mondes ténébreux où l’humour luit comme des éclairs que, après Cami, la vie drôle ! et J’ai examiné une ampoule électrique et j’en ai été satisfait de Daniil Harms, Laurent Pelly et Agathe Mélinand ont décidé de nous entraîner à travers leur spectacle. Du cousu-main pour les six membres de l’ Atelier volant, jeunes comédiens qui se sont inscrits avec ferveur dans le dispositif d’insertion professionnelle du Théâtre National de Toulouse. Clément Durand, Gérôme Ferchaud, Jeanne Piponnier, Antoine Raffalli, Mathieu Tune, Sabine Zovighian peuvent ainsi travailler jour après jour au sein même d’une structure de création et de diffusion dans une grande proximité avec ceux qui font et accompagnent la vie théâtrale. « Il est plus qu’important (…) d’avoir dans ses murs de jeunes artistes dont l’enthousiasme et le désir communiquent et nourrissent dans un système d’aller-retour la vie de notre maison » déclarent Agathe Mélinand et Laurent Pelly. Et il est tout aussi important de découvrir au plus tôt leur talent… En partenariat avec la Médiathèque intercommunale Bastides et Vallons du Gers, la Médiathèque Départementale du Gers et la librairie Les Petits Papiers www.tnt-cite.com Tarif : de 8 à 20 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com Du récit à la scène : comment le texte devient théâtre ? Samedi 23 novembre de 10h à 17h Salle des Granges de la mairie de Marciac « Ce que nous attendons d’un récit, c’est l’expérience vécue par procuration » John Updike Pour cet atelier, nous commencerons par un échauffement collectif le matin afin de se rencontrer tous sur scène. Puis nous lirons des extraits de nouvelles d’Edgar Allan Poe (tirés du spectacle Extraordinaires) pour explorer la dimension théâtrale de la narration. Dans cette même idée, nous aimerions que chaque participant puisse ramener un extrait de texte de leur choix qui ne soit pas du théâtre (roman, essai politique, extrait de journal, écriture personnelle…) afin de travailler autour d’une forme collective. Le tout dans un rapport ludique, avec l’envie de partager nos découvertes au cours de cette journée. Atelier animé par Antoine Raffalli et Matthieu Tune, comédiens de L’Atelier Volant Stage théâtre destiné aux comédiens, encadrants d’atelier et de troupe, intervenants en milieu scolaire, enseignants. 12 personnes maximum Stage organisé par l’Adda 32 avec la collaboration du Théâtre National de Toulouse et de L’Astrada Tarif intégrant stage + spectacle : 36 € Renseignements : Adda 32 – Emilie CANNIAUX – 05 62 67 47 46 – [email protected] CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse SAM 30 nov 2013/19h30 DES ATELIERS À LA SCÈNE Les 20 ans des Ateliers d’initiation à la musique de jazz Invité : L’Orchestre Jim & Cie en Région direction : Jean-Charles Richard En partenariat avec le collège de Marciac et l’association Voy’Jazz Quand on aime le jazz, on a toujours vingt ans ! L’âge exactement des AIMJ ( Ateliers d’Initiation à la Musique de Jazz) du collège de Marciac qui a lancé en 1993 cette initiative unique à l’échelon national. Pour fêter cet anniversaire, comment s’en étonner, on n’a rien trouvé de mieux que la musique… Combos d’élèves actuels et de récents anciens, concert de L’Orchestre Jim et Cie en Région avec, réunis autour du saxophoniste Jean-Charles Richard, de jeunes musiciens professionnels ou en dernière année de Conservatoire : le grand vent du swing va souffler les bougies ! L’Orchestre JIM & Cie est en résidence à L’ Astrada-Marciac Tarif : 10 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse DIM 1ER DÉC 2013/15h Quatuor Debussy Amériques ! Christophe Colette violon Marc Vieillefon violon Vincent Deprecq alto Fabrice Bihan violoncelle George Gershwin Lullaby Samuel Barber Adagio Terry Riley Mad in moonlight Marc Mellits Quatuor n°2 Anton Dvorak Quatuor américain En partenariat avec Arpèges en Gascogne qui fête sa 15ème saison Ces gens-là ne s’arrêtent donc jamais ? Quand une formation existe depuis plus de vingt ans, qu’elle a décroché des récompenses d’envergure comme le Premier Grand Prix du concours international de quatuor à cordes d’Évian en 1993 et une Victoire de la musique en 1996, qu’elle a produit plus de vingt disques très souvent distingués par d’éminents critiques, qu’elle a parcouru la planète afin de répandre la bonne musique sur les scènes du Japon, de la Chine, des Etats-Unis ou de la Russie, qu’elle a établi de superbes passerelles avec les domaines artistiques les plus variés comme la danse (Maguy Marin, Anne Teresa De Keersmaeker, Wayne Mac Gregor, Abou Lagraa, Mourad Merzouki...), le théâtre (Philippe Delaigue, Richard Brunel, Jean Lacornerie...) ou encore les musiques actuelles et le jazz (Olivier Mellano, Enrico Rava, Franck Tortiller...), qu’elle a en outre, dans un légitime souci de transmission, animé des ateliers pédagogiques à l’usage des enfants et instauré des concerts-rencontres pour tous les publics, qu’elle s’est lancée dans d’audacieuses explorations artistiques en collaborant par exemple à l’album La Chair des anges d’Olivier Mellano, à deux albums de comptines pour enfants avec Philippe Roussel, ou en enregistrant la transcription pour quatuor à cordes des concertos pour piano de Mozart ainsi que son Requiem (Decca - Universal Music France), on pourrait imaginer qu’elle commence à ronronner, voire à s’assoupir… Pas du tout ! Concerts, enregistrements, ateliers pédagogiques… au sommet de sa technique et de son inspiration, le Quatuor Debussy poursuit sa route enchantée avec la même fougue et le même esprit d’inventivité. Une route qui nous emmène ce soir à la découverte des Amériques en compagnie de Gershwin, de Barber, de Riley, de Mellits et de Dvorak. « La musique de chambre américaine est souvent mise de côté alors que ce répertoire comprend de très belles pages, notamment dans la musique du XX° siècle et la musique actuelle, déclarait dans une interview le premier violon Christophe Colette. Nous avons eu envie de mettre à l’honneur ce répertoire. » Tout le plaisir sera pour nous : thank you very much, dear Quatuor Debussy ! www.quatuordebussy.com Tarif : de 8 à 20 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (0.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse DIM 8 DÉC 2013/15h Journal d’un corps De et avec Daniel Pennac Mise en espace Clara Bauer Décors, costumes et lumières Oria Puppo Spectacle suivi d’une rencontre avec Daniel Pennac, animée par Brice Torrecillas. Journal d’un corps, Éditions Gallimard, collection Blanche Incarner sur scène le Journal d’un corps, roman publié en 2012 aux éditions Gallimard et dont le dessinateur Manu Larcenet nous a récemment offert une version illustrée : la démarche se révèle d’une cohérence parfaite, d’autant que, grand amateur de livres audio (il se délecte en particulier du Marcel Proust d’ André Dussolier et du Céline de Denis Podalydès), Daniel Pennac défend mordicus le plaisir de la lecture à haute voix. Convaincu qu’elle constitue une passerelle vers la lecture personnelle, l’enseignant qu’il fut durant plus de trente ans l’a longtemps pratiquée auprès de ses élèves. Plus tard, l’auteur traduit dans le monde entier a enregistré certaines de ses oeuvres, en particulier Chagrin d’école qui a obtenu le Prix Renaudot en 2007, et il s’est produit au théâtre pour y interpréter en 2004 son texte Merci ainsi que le Bartleby d’ erman Melville en 2009. « Les profs sont des comédiens ! » : Daniel Pennac ne se contente pas de l’affirmer. Le propos de Journal d’un corps ? Il est tout entier contenu dans son titre puisqu’il s’agit d’exposer les splendeurs et misères d’une enveloppe charnelle. De douze à quatre-vingt sept ans, un homme parle au jour le jour de son corps qui lui est, écrit-il, « intimement étranger » et qui nous renvoie évidemment à nous-mêmes. Quoi de plus personnel et de plus universel que ce véhicule dans lequel nous nous déplaçons tout au long de notre existence ? S’il livre peu de choses sur les épisodes historiques comme sur ses états d’âme, le diariste parvient à nous passionner en jouant sur la gamme infinie des sensations physiques. Sécrétions, humeurs, plaisirs et maux divers : comédien d’une très grande aisance et d’une étonnante justesse, Daniel Pennac ne recule devant aucun tabou et, sous le regard complice de Clara Bauer chargée de la mise en espace, affronte tout bonnement le mystère de la vie. À noter que le spectacle sera suivi d’une rencontre animée par un journaliste. Daniel Pennac évoquera ainsi son expérience de comédien et bien sûr son travail d’auteur : un bonheur n’arrive jamais seul… www.bouffesdunord.com En partenariat avec le Centre Régional des Lettres Midi-Pyrénées, la Médiathèque intercommunale Bastides et Vallons du Gers, la Médiathèque Départementale du Gers et la librairie Les Petits Papiers Tarif : de 8 à 20 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (0.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse SAM 14 DÉC 2013/21h DIM 15 DÉC 2013/15h Mr & Mme Rêve La danse au coeur de l’irréalité virtuelle Un spectacle librement inspiré de l’oeuvre d’Eugène Ionesco Conception chorégraphie et mise en scène Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault 3DExperience Dassault Systèmes Création musicale Laurent Garnier À L’ Astrada, Marie-Claude Pietragalla est chez elle. Marciac l’avait en effet accueillie l’an dernier pour son spectacle La Tentation d’Eve mais comment se lasser de cette immense danseuse et chorégraphe ? Celle que bien des admirateurs appellent « La Pietra » nous revient aujourd’hui avec son compagnon Julien Derouault et leur « boîte magique » conçue avec le concours d’une équipe d’ingénieurs créatifs de Dassault Systèmes. Grâce à la 3D et au numérique est né un spectacle d’un genre absolument inédit où les danseurs peuvent se mouvoir dans des décors de plus de deux cents mètres carrés d’images projetées sur le sol, les murs et le plafond de la scène. Mais que valent les plus grandes inventions technologiques sans un brin de poésie ? Mr et Mme Rêve, un titre en forme de clin d’oeil à la chanson d’ lain Bashung, tire avant tout sa grâce du talent et de l’imagination des artistes qui ont voulu rendre hommage au père du théâtre de l’absurde, Eugène Ionesco. « Tout ce que nous rêvons est réalisable » a écrit l’auteur de La Cantatrice chauve, et le duo de danseurs se fait fort de le prouver en multipliant les références à son oeuvre. Danser dans un flot de lettres blanches ? Voler sur un concerto pour piano de Mozart ? Admirer une chorégraphie à laquelle participent deux mille rhinocéros ? Tous les délires sont permis… Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault avaient déjà mis en scène le dramaturge franco-roumain dans Les Chaises ?, une pièce pour deux danseurs et un pianiste destinée au jeune public. Cette fois, explique la danseuse-chorégraphe, « on a voulu, avec Julien, partir de l’univers de Ionesco pour créer notre propre histoire. Nos deux personnages, Mr et Mme Rêve, sont orphelins de l’auteur qui ne vient pas et, en même temps, ont leur propre histoire. » Une histoire fabuleuse, et un spectacle qui fera date dans la carrière des deux artistes : « Mr et Mme Rêve est un moment clé dans notre gestuelle, a déclaré Marie-Claude Pietragalla. C’est une sorte de synthèse de toutes les pièces que nous avons faites et en même temps un tournant car la gestuelle est en résonnance avec l’image ». www.pietragallacompagnie.com Tarif : de 14 à 35 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (0.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse SAM 21 DÉC 2013/21h TINA BROWN & THE GOSPEL MESSENGERS Tina Brown direction, soprano, alto, ténor Rhonda Preston soprano Deborah Jackson soprano, alto Nancy Millsap alto, ténor Fredric Bose ténor Frank Menzies piano, baryton Soprano, alto, ténor, Tina Brown qui dirige The Gospel Messengers, chante depuis l’âge de trois ans. Ses parents, tous deux nés dans le Sud profond, se sont rencontrés à Chicago au début des années 50. Tina a grandi dans une maison baignée de nombreuses musiques : jazz, blues, soul, et surtout gospel. Son père était un chanteur de gospel populaire qui avait son propre groupe : The True Believers ; groupe qu’il avait formé alors qu’il vivait encore dans le Mississippi. Un père qui eut une grand influence sur Tina qu’il encouragea à chanter comme soliste dès l’âge de cinq ans. À huit ans, Tina rejoint le chœur des adultes de l’église de la famille dans le quartier sud de Chicago. À treize ans, sa voix est si mûre et si puissante qu’elle devient l’assistante de la directrice du chœur. Elle commence alors à se produire en soliste. On compare sa voix majestueuse à celles de Mahalia Jackson et d’Aretha Franklin. En 1993, Tina Brown rejoint le Chicago Community Choir et fait avec lui ses premières tournées en Europe. Dans la foulée, elle fonde son propre groupe : Tina Brown & Voices. En 1999, Tina rencontre la légendaire chanteuse des Barrett Sisters, Delois Barrett-Campbell ; celle-ci, lorsque sa santé déclinera, appellera Tina à la remplacer. En marge du gospel auquel elle reste fidèle, Tina a entrepris, au début des années 2000, une carrière d’actrice et de comédienne. À Marciac, le 21 décembre, elle dirigera Rhonda Preston (soprano), Deborah Jackson (soprano et alto), Nancy Millsap (alto et ténor), Fred Dubose (ténor), Franck Menzies (piano, bariton). Alors que le gospel dit «contemporain» a pris de plus en plus d’importance, ces dernières décennies aux Etats-Unis, il est des groupes, comme le Gospel Messengers, qui continuent à s’exprimer dans le style traditionnel et plus particulièrement le style «quartet». Celui-là même, qui à ses origines, réunissait quatre voix ; masculines surtout, mais aussi féminines à l’instar des Golden Harps de Jeanette Harris. Les «quartets» peuvent compter jusqu’à huit chanteurs, accompagnés d’une guitare et d’une basse. Parfois même, de tout un orchestre, avec guitares, orgue, basse, piano et batterie. On les appelle des «quartets», car ils pratiquent l’harmonisation à quatre voix, qu’ils soient composés de quatre chanteurs ou plus. Comme chaque année, depuis bientôt 25 ans, le traditionnel concert de gospel est le cadeau de Noël de Jazz in Marciac à son public. Il épouse généralement le rendez-vous, en matinée, de l’assemblée générale d’une association plus que trentenaire débordant toujours autant de projets. Cette année, le chœur de Tina Brown illuminera aussi le solstice d’hiver 2013 qui ouvre déjà la voie à la 37e édition de Jazz in Marciac. www.willyleiseriba.ch Tarif : de 10 à 26 € Renseignements - Réservations : 0 892 690 277 (00.34 €/mn) www.jazzinmarciac.com Dimanche 22 décembre Messe Gopels à 11h Marché de Noël organisé par les commerçants marciacais Renseignements : Office de Tourisme de Marciac : 05 62 08 26 60 www.marciactourisme.com CONTACT PRESSE Marie LASSERRE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse Samedi 25 janvier 2014 cEcILE McLoRIN SALvANT Dimanche 26 janvier 2014 MENELAS REBETIKo RAPSoDIE Théâtre musical de et avec Simon Abkarian avec Grigoris Vasilas (chant, bouzouki) et Kostas Tsekouras (guitare) Samedi 1er février 2014 JULIETTE E oPoSé R P E L REL cIAc cULTU N o S I IN MAR A Z S Z A J PAR Nouveau spectacle Dimanche 2 février 2014 chEZ LES UFS GRUMBERG EN ScÈNES avec Jean-Claude Grumberg, Olga Grumberg, Serge Kribus Mardi 18 mars 2014 LE PETIT vIoLoN vendredi 7 février 2014 cAMINS MEScLATS, chemins Mêlés CRÉATION avec Jean-Christophe Cholet, Pierre Dayraud, Guillaume Lopez, Stéphane Milleret et Pip Chodorov Samedi 15 février 2014 RAPhAEL GUALAZZI Dimanche 16 février 2014 coUPé DEcALé CRÉATION James Carlès - Robin Orlyn Samedi 22 février 2014 LARRY coRYELL - MARK WhITFIELD QUARTET Dimanche 23 février Lundi 24 février 2014 UN TRAIN PoUR JohANNESBURG ! adapté de Lost in the Stars de Kurt Weill et Maxwell Anderson avec la troupe d’Opéra Eclaté vendredi 28 février 2014 vALéRIE coSTA Samedi 15 mars 2014 JoShUA REDMAN QUARTET CONtACt PrEssE Texte de Jean-Claude Grumberg. Mise en scène Alexandre Haslé avec Alexandre Haslé, Thierry Delhomme et Jeanne Cortes Samedi 22 mars Dimanche 23 mars 2014 MAXIME LE FoRESTIER Le cadeau Nouveau spectacle Mercredi 26 mars 2014 LA MAIN hARMoNIQUE Direction Frédéric Bétous CRÉATION Carlo Gesualdo, Sacrae Cantiones Caroline Marçot, Création Samedi 29 mars 2014 JoN FADDIS & ThE BARcELoNA JAZZ oRchESTRA The 1956 Dizzy Gillespie Big Band Book Samedi 5 avril 2014 EXPRESo TANGo avec Pilar Alvarez, Claudio Hoffmann et le Junto Al Quinteto de Daniel Binelli / R E I V N A J 4 MAI 201 Dimanche 6 avril 2014 au Théâtre National de Toulouse LE SoNGE D’UNE NUIT D’éTé de William Shakespeare. Mise en scène Laurent Pelly Samedi 12 avril 2014 MAThIEU MADENIAN One Man Show vendredi 18 avril 2014 chET NUNETA Polyphonies d’ailleurs avec Anne Roy, Lilia Ruocco, Beatriz Salmeron-Martin, Fouad Achkir, Michael Fernandez Samedi 26 avril 2014 RENEE RoSNES TRIo with special guest STEvE NELSoN Samedi 10 mai 2014 DAvE hoLLAND /KENNY BARRoN Samedi 17 mai 2014 cARMEN LINARES Remembranzas Marie LAssErrE-CHA 05 62 09 32 95 [email protected] http://www.jazzinmarciac.com/connexion-presse