garanti - Studyrama grandes écoles

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ACCOMPAGNEMENT
GARANTI
La marque de fabrique de l’ESC Pau, c’est sa capacité à proposer une
mission pédagogique cohérente avant les concours et après. La business
school a d’ailleurs mis en place lors de l’édition 2013 des oraux une
nouvelle formule de l’entretien plus en phase avec son ADN : celui de
mettre le projet de l’étudiant au centre de toutes les préoccupations.
Comment ? En proposant aux candidats de choisir le C.V. d’un diplômé
de l’École parmi les soixante-dix mis à disposition. Une manière de se
projeter dans cinq ans, dix ans ou plus et d’entrevoir tout ce qu’il est
possible de faire pendant ses études pour y arriver. À l’ESC Pau, vous
serez accompagné à chaque étape de la réalisation de votre projet,
soyez-en assurés !
T
ous les étudiants n’ont pas de
projet défini lorsqu’ils entrent à
l’ESC Pau. Raison pour laquelle
ils seront conseillés via le dispositif d’accompagnement dont le département académique DPP (Développement
Personnel et Professionnel) a la charge.
Une cinquantaine de professeurs et de
professionnels font partie de ce pôle entièrement dédié à la mise en place du projet de l’étudiant et qui fait notamment le
lien entre les tuteurs et les étudiants ; ces
derniers bénéficiant d’un suivi personnalisé de leur entrée à leur diplomation. « Si
nous sommes à leur écoute, et répondons
volontiers à leurs interrogations, le tutorat
nous permet aussi d’avoir un retour sur
leurs expériences », insiste Stephen Platt,
directeur du programme Grande École.
C’est donc une relation bénéfique tant
pour l’étudiant que le professeur et l’École. Plusieurs réunions sont organisées,
collectivement et individuellement, dans
l’année ; un tuteur ayant la charge de six
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Espace Prépas n°153
ou sept étudiants. Ceci est révélateur du
taux d’encadrement pratiqué par l’ESC
Pau au sein même des cours. En moyenne, un professeur anime des cours en effectifs réduits à environ 40 apprenants.
Le but ? Créer une relation plus fluide
entre étudiants et professeurs qui sont
pour 90 % des enseignants-chercheurs
permanents de l’École. Les 10 % restant
étant des professionnels en poste. Grâce à
cette organisation, une véritable relation
s’instaure entre les étudiants et leurs professeurs. La baseline de l’ESC Pau, « Act
business, think human », résume à elle
seule les valeurs d’une école qui place
l’humain au centre de son projet pédagogique.
1RE
ANNÉE : 6 MOIS POUR
DÉCOUVRIR LE MONDE
« Le programme Grande École est assez
chargé dès la 1re année. Pourquoi ? Car
si les étudiants ont réussi à intégrer l’É-
cole au terme de deux années de prépa,
nous considérons qu’il faut continuer à
les tirer vers le haut », répond Stephen
Platt. Une fois répartis par groupe, ils auront cours le matin au premier semestre,
l’après-midi au second, ou inversement.
De cette façon, chaque étudiant aura une
demi-journée de libre afin d’accéder aux
ressources de l’École mises à sa disposition (DPP, tuteurs) et du temps pour travailler ses cours et ses projets. En dehors
des cours, ils auront l’opportunité de participer à des conférences dispensées par
des figures du monde de l’entreprise, des
politiques, des journalistes… Leur sont
également proposées des semaines thématiques (semaine de la finance, semaine
de la philosophie, semaine de l’immobilier). L’engagement associatif tient enfin
une part importante dans l’emploi du
temps.
Après ces dix mois passés à étudier les
fondamentaux des sciences de gestion, un
stage de six mois clôt la 1 re année.
Réalisé à l’étranger, ce stage est très important puisqu’il sera pour beaucoup la
première expérience professionnelle significative. Destination, secteur et métier
seront des choix réfléchis, notamment en
concertation avec le tuteur. Le DPP organise également des ateliers et des rencontres avec des professionnels qui permettent aux étudiants de détecter les
opportunités qui s’offrent à eux. Le système est bien rôdé, puisque cela fera dix
ans, en 2014, que l’ESC Pau envoie ses
étudiants de 1re année en stage à l’étranger ! 75 % des étudiants partent avec une
convention de stage déjà signée, les 25 %
restant ont fait quand à eux le choix de
s’engager dans l’humanitaire ou de prospecter le marché directement sur place.
En effet, sur les six mois que chacun doit
espace
ACT BU SI NE SS T H I NK H U M A N
passer à l’international, quatre mois seront obligatoirement dévolus au stage.
L’occasion de voir du pays en même
temps que de découvrir l’entreprise. Là
encore, l’École sera bien présente et des
points réguliers se feront tout au long du
séjour à l’étranger.
2E
ANNÉE : LE CHOIX
DE L’APPRENTISSAGE
C’est en 2e année qu’il est possible d’opter pour le parcours en apprentissage. Nos
étudiants bénéficient alors d’une longue
expertise de l’ESC Pau, reconnue par ses
pairs et par les entreprises, puisque c’est
en 1994 que la business school a ouvert
son Centre de Formation en Apprentissage (CFA), quelques mois seulement après
celui de l’ESSEC. Et avec près de vingt
ans d’expérience, l’École a su se créer un
important réseau d’entreprises partenaires : elles sont plus de 665 aujourd’hui. « Les entreprises éclairent nos étudiants bien avant leur contrat en
apprentissage signé, via l’organisation
de soirées métiers pour lesquelles elles
envoient leurs collaborateurs témoigner
sur leur quotidien (directeur marketing,
responsable des achats, etc.), assure
Arnaud Gimenez, directeur des relations
entreprises. Un dispositif complémentaire
au travail du DPP qui, dès la 1re année,
décrit les compétences clés par métier et
identifie celles en adéquation
avec les aspirations de l’étudiant. »
Sur les 330 étudiants de 2e année,
45 % font le choix de l’apprentissage. Ils passent alors près de
80 % de leur temps en entreprise,
et ce dans la France entière. Le
rythme instauré par l’ESC Pau de
6 semaines en entreprise puis 2
semaines en cours facilite le fait
de pouvoir travailler partout dans
l’Hexagone car l’École a noué
des liens très forts avec des entreprises régionales et nationales
(IBM, Manpower, Alstom, etc.).
Pendant toute la durée de son apprentissage, l’étudiant est suivi à
la fois par un tuteur de l’École et
par un maître d’apprentissage.
« Nous assurons par ailleurs
trois visites physiques au sein de
l’entreprise, et en présence du
maître d’apprentissage, auxquelles s’ajoutent deux entretiens
téléphoniques au minimum »,
ajoute Arnaud Gimenez. Cette
formule extrêmement professionnalisante est dans l’intérêt de
tous, à la fois pour l’étudiant
bien entendu, mais aussi pour
l’École qui développe une véritable méthode pédagogique et
pour l’entreprise, qui forme et re-
crute par ce biais ses futurs collaborateurs. Plus de la moitié d’entre elles font
une proposition d’embauche avant même
la fin du contrat de l’apprenti. Celui-ci est
libre d’accepter, comme de refuser, suivant ses projets. Cela n’aura pas d’incidence sur son employabilité puisqu’il aura démontré son aptitude à tenir un poste
pendant deux ans tout en décrochant son
diplôme Grande École. À ce titre, il aura
perçu une rémunération mensuelle calculée sur la base de 70 % du SMIC au minimum et n’aura payé aucun frais de scolarité, ceux-ci étant acquittés par
l’entreprise. « Attention cependant à ne
pas faire des avantages financiers la motivation première pour suivre un tel parcours, prévient Arnaud Gimenez. Cela
serait dommageable tant pour l’étudiant
que pour l’entreprise et l’École. »
3E
ANNÉE : DES PARTENARIATS FORTS
EN INDE ET AUX ÉTATS-UNIS
L’apprentissage et les stages permettent à
l’étudiant de devenir mobile tant géographiquement qu’au sein d’une structure.
Les possibilités de partir à l’étranger dans
le cadre d’accords doubles diplômants y
participent également. Cela réclame de la
part de l’École de choisir ses partenaires
avec soin et dans des régions du monde
attractives. La spécialisation « Intern ational Entrepreneurship » développée
avec l’université de Wichita, aux ÉtatsUnis, est l’une de celles les plus demandées. Cela fait quatre ans que les étudiants de l’ESC Pau peuvent partir dans
cette université suivre un semestre de
spécialisation et par la même occasion
profiter d’être déjà aux États-Unis pour
effecteur un stage de fin d’études de 6
mois. Et l’École souhaite prochainement
renforcer la collaboration qui l’unit à
l’université américaine en ouvrant par
exemple un MBA commun…
Il en va de même pour les partenariats qui
l’unissent à l’université de New Delhi et
à la National School of Business (NSB)
de Bangalore, en Inde avec lesquelles
l’ESC Pau propose deux parcours :
1) le parcours « International Finance »
permet aux étudiants de suivre 4 mois de
cours au sein de l’université de New
Delhi puis de réaliser 8 mois de stage
dans une institution financière partenaire.
Ils peuvent également préparer le CFA
(Chartered Financial Analyst), la certification professionnelle la plus demandée
et la plus exigeante pour exercer le métier
d’analyste financier ;
2. le MBA France/Inde qui implique de
suivre une partie des cours à Pau, assurés
par des professeurs de la business school
et d’IBM, partenaire du double diplôme,
puis la deuxième partie en Inde, au sein
de la NSB.
« Nous envisageons d’étendre le partenariat avec l’université de New
Delhi à la London School of
Economics, ce qui aurait du
sens au vu du parcours. Quant
au MBA, nous désirons profiter
de la position géographique de
Bangalore pour développer une
expertise en matière de business consulting, qui permettrait
de former des diplômés capables de gérer un projet et la
relation client afférente, dévoile
Pierre Dreux, directeur de
l’ESC Pau. Les projets ne manquent pas et sont toujours au
bénéfice de l’étudiant ! » =
Inscription commune
au concours
L’ESC PAU, l’EM Normandie, les ESC
de La Rochelle et de Troyes ainsi que
l’ISC Paris proposent une inscription
commune au concours BCE 2014 au
tarif unique de 95 € et une exemption
totale des frais d’inscription pour les
élèves boursiers.
Inscriptions sur :
www.concours-bce.com
4Fin des inscriptions : 10 janvier 2014
à minuit.
Décembre 2013 – Janvier 2014
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