CIEQ : Nouvelles parutions

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CIEQ : Nouvelles parutions
GUIDE DES AUTEURS ET COLLABORATEURS
DE L’ATLAS HISTORIQUE DU QUÉBEC
1. Sommaire
(Veuillez cliquer sur les hyperliens pour obtenir les renseignements que vous désirez).
1. Sommaire
2. Présentation
3. Informations préalables
• Longueur des textes
• Documents protégés par des droits d’auteurs
• Mise en page du document
4. Corps du texte
• Titres et sous-titres
• Citations
• Caractères spéciaux et /ou accentués
• Majuscules / minuscules
• Nombres
• Ponctuation
5. Les notes de bas de page
• Indications générales
• Modèle à la disposition des auteurs
6. La bibliographie
• Auteur d’un livre
• Directeur d’un livre ou d’un numéro spécial d’une revue
• Article ou chapitre paru dans un ouvrage collectif
• Article de revue
• Mémoire de maîtrise et thèse de doctorat
• Rapport
• Recueil de conférences
• Matériel audio-visuel
• Sites Internet
7. L’iconographie : graphiques, cartes, photographies
• Identification des figures et autres illustrations
• Tableaux, graphiques et cartes
• Photographies et illustrations
8. Références
9. Correction d’épreuves
2. Présentation
L'Atlas historique du Québec est une collection d'ouvrages thématiques consacrés à
l'expérience historique de la société québécoise. Elle fait appel à des équipes de chercheurs
reconnus, préoccupés de donner une dimension spatiale à leur analyse historique. Ces
ouvrages intègrent les avantages de l'écrit et de l'image et proposent des vues à la fois
synthétiques et analytiques des processus socioculturels observés dans leurs contextes
spatiaux.
Le travail de rédaction dans les atlas historiques se réalise donc dans un contexte d’écriture qui
privilégie un style accessible au grand public et la mise en valeur de l’illustration graphique sous
ses formes les plus diverses : cartes, photographies, images, graphiques, etc. Cette particularité
des atlas, il va sans dire, engendre des coûts de production substantiels. Non seulement faut-il
défrayer les coûts de mise en forme finale, d’impression, de promotion et de distribution des
volumes, mais il faut également compter le temps de travail nécessaire pour l’élaboration de la
cartographie, l’infographie, l’assemblage des textes et la révision linguistique. Cette partie du
travail d’édition est la responsabilité du CIEQ qui y consacre d’ailleurs une partie importante de
ses ressources. Ces ressources restent toutefois limitées et le CIEQ doit respecter les ententes
négociées avec l’éditeur : Les Presses de l’Université Laval.
Contribuer à un projet d’Atlas, par ses actes de recherche, est une expérience très stimulante;
elle laisse au chercheur une très grande marge de manœuvre. En revanche, les collaborateurs
et collaboratrices aux atlas ont aussi leur part de responsabilité. En effet, un manuscrit bien
préparé se traduit par un travail d’édition plus court, moins coûteux et un volume comportant
moins d’erreurs typographiques. Ce document a pour objectif de fournir aux auteurs des repères
dans le travail de préparation de leurs textes. Les directeurs de la collection des volumes de
l’atlas, et l’équipe technique restent à votre disposition pour tout problème particulier.
3. Informations préalables
a. Longueur des textes
L’auteur conviendra préalablement avec le responsable du volume de l’Atlas de la
longueur et de l’ampleur de son texte.
L’auteur prendra note qu’une page d’Atlas pleine (sans illustrations, ni lignes, ni
cartes) équivaut à 827 mots, soit environ 2 pages et demie à double interligne
(police Times, 12 points).
La qualité d’ensemble d’une contribution repose sur l’équilibre entre le texte et
l’image. Dans un atlas, il faut prévoir idéalement la présence d’une illustration
(photographie, carte, graphique, etc.) par 1 000 mots.
On a souvent tendance à sous-estimer la somme de travail requise pour
l’illustration des textes. Nous vous suggérons très fortement de ne pas attendre à
la toute fin de la rédaction avant d’entreprendre ce travail.
Le travail d’illustration des textes est la responsabilité de l’auteur. Le Centre offre
toutefois un support pour la mise en graphique des données, leur cartographie, la
numérisation des images, etc. Dans tous ces cas, l’auteur doit s’entendre
préalablement avec le responsable du volume.
b. Documents protégés par des droits d’auteur
L’auteur doit fournir les lettres autorisant la publication de tous les documents
protégés par des droits d’auteur (photographies, illustrations, etc).
Dans les situations où l’identification des droits serait problématique (exemple :
l’auteur est décédé et l’on ne parvient pas à retracer la succession), il existe des
démarches à compléter auprès d’organismes particuliers. Dans tous les cas, il
faut s’assurer que les droits d’auteurs sont effectivement libérés.
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c. Mise en page du document
L’auteur fera parvenir au CIEQ une copie papier de son texte sans tableau ni
figure ainsi qu’une copie informatisée en identifiant le logiciel et la version utilisés.
Il fournira aussi une copie papier des tableaux et figures, ainsi que leurs
équivalents informatiques.
Toutes les notes et références bibliographiques seront placées dans l’ordre et à la
suite du texte.
Laisser une marge de 3 cm autour du texte.
Saisir tous les textes à double interligne, y compris les notes, les citations en
retrait et la bibliographie.
Utiliser une police de caractère de 12 points à espacement normal, c’est-à-dire
non condensée.
Ne pas justifier le texte à droite.
Ne faire aucune coupure de mot (césure).
Ne pas faire d’alinéa au début des paragraphes.
4. Le corps du texte
a. Titres et sous-titres
Choisir des titres de chapitres courts (30-35 caractères) et évocateurs de l’idée
générale développée.
Les titres et sous-titres doivent être saisis en majuscules et en minuscules et non
pas en majuscules seulement.
Les titres ne comportent pas de point final.
Pour marquer les différents niveaux de titres, utiliser le système décimal 1, 1.2,
1.2.3, 1.2.3.1, Ces marqueurs seront enlevés à la composition.
b. Citations
Les citations doivent être fidèles au texte original, jusqu’à la ponctuation.
Les citations courtes (2-3 lignes) doivent être placées dans le texte courant entre
des guillemets français (« »). Si la citation contient déjà un texte entre guillemets,
ces derniers devront être remplacés par des guillemets anglais (“ ”). On ne doit
pas mettre ce texte en italique.
Les citations longues seront placées dans un paragraphe distinct avec un retrait
de la marge de gauche. On ne doit pas mettre le texte en italique, ni entre
guillemets.
Si un élément a été retiré d’une citation, utiliser le symbole […] pour marquer la
suppression.
Quand une citation forme une phrase complète et qu’elle termine le texte, le point
sort des guillemets fermants et sert à la ponctuation finale du texte : 1 ».
c. Caractères spéciaux et / ou accentués
Mettre les accents, les trémas et les cédilles sur les majuscules sauf dans les
citations s’ils y sont absents.
Inscrire les siècles en chiffres romains et mettre le « e » en exposant. (XIXe).
Abréger monseigneur à Mgr et mettre le « gr » en exposant. (Mgr).
Faire les ligatures œ, æ, Œ, Æ.
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Tous les soulignés sont imprimés en italiques ; il est recommandé de ne mettre
en italique que les mots en langues étrangères et les titres de livres ou de
périodiques.
d. Majuscules / minuscules
Points cardinaux et leurs dérivés
⇒ Majuscules : Les points cardinaux s’écrivent avec une lettre majuscule
initiale lorsqu’ils servent à désigner spécifiquement un lieu géographique,
ethnique, un nom de rue. Exemple : Le Nord canadien, L’Amérique du
Nord, le pôle Sud.
⇒ Les points cardinaux prennent une majuscule lorsqu’ils ne sont pas
suivis d’un complément déterminatif introduit par la préposition « de ».
Exemple : Le Nord canadien mais le nord des États-Unis.
⇒ Minuscules : les points cardinaux s’écrivent avec une minuscule quand
ils sont employés comme noms ou comme adjectifs pour indiquer la
direction. Exemple : le vent du nord, la rive nord du Saint-Laurent.
Ministre et ministère
⇒ Les dénominations des ministères prennent la majuscule à chacun des
noms spécifiques de la désignation. Par exemple : ministère de la
Culture et des Communications.
⇒ Le mot ministère et les adjectifs qui déterminent les noms s’écrivent avec
des minuscules. Exemple : le ministère des Affaires internationales, le
ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles.
⇒ Par contre, les désignations des organismes, des institutions, des
services de l’État s’écrivent avec une majuscule initiale. Exemple : Le
Conseil de la langue française.
⇒ La fonction de ministre s’écrit avec une minuscule initiale dans le corps
d’un texte. Exemple : La cérémonie a eu lieu en présence de Marie
Tremblay, ministre de l’Éducation.
⇒ Par contre, ce titre s’écrit avec une majuscule lorsqu’on s’adresse au
titulaire du poste, par exemple dans une lettre. Exemple : Madame la
Ministre.
Communautés religieuses, Saint/saint
⇒ Les communautés religieuses (les ursulines, les jésuites, etc.) :
s’inscrivent avec une minuscule. Mais l’Ursuline, pour parler de Marie de
l’Incarnation sans la nommer, prend la majuscule.
⇒ Lorsqu’il s’agit d’un saint ou d’une sainte, écrire le « s » en minuscule.
Toutefois, lorsqu’il s’agit d’un lieu géographique, mettre le « s » en
majuscule.
⇒ Écriture sainte et les Saintes Écritures.
⇒ Vatican II (mais le concile Vatican II).
Grands événements historiques
⇒ La Grande Guerre, la Seconde Guerre mondiale (et non la Deuxième), la
Révolution française, la Conquête.
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Autres cas
⇒ Le Canada français, les Canadiens français (mais la société canadiennefrançaise).
⇒ Les Franco-Américains (mais traditions franco-ontariennes).
⇒ La Faculté de théologie, la Faculté quand on fait référence à cette
institution.
⇒ L’Université du Québec, l’Université Laval, le Conseil de l’Université, le
Département de géographie, le Séminaire de Québec, le Petit Séminaire,
l’Assemblée des professeurs.
⇒ Dans le cas de personnage public, supprimer les « Monsieur untel »,
indiquer plutôt prénom et nom, ou titre ecclésiastique et nom. Exemple :
René Lévesque et non Monsieur René Lévesque, l’abbé Jacques
Tremblay.
⇒ Dans le texte des auteurs (pas dans les citations de textes anciens),
écrire Nouvelle-France sans oublier le trait d’union.
e. Nombres
Écrire les nombres en lettres jusqu’à neuf, en chiffres au-delà (sauf dans les
documents techniques où il y a profusion de chiffres). En début de phrase, le
nombre s’écrit toujours en lettres.
À partir de 1 000, laisser une espace insécable entre les centaines et les milliers
sauf pour les années. Les décimales sont séparées du nombre entier par une
virgule (12 323,77).
Écrire les années 1930 et non les années 30 (nous avons changé de siècle).
Dollars : le symbole de l’unité monétaire ($) se place après la partie numérique
sur la même ligne. Il est séparé par un espacement simple : 45 000 $.
Prendre garde à ne pas confondre le chiffre 0 et la lettre O, le chiffre 1 et la lettre
i.
f.
Ponctuation
Ne mettre qu’un seul espace entre les mots et après toute ponctuation.
Pour isoler un membre de la phrase, utiliser le tiret long (— ) avant et après,
jamais le trait d’union.
Utiliser les guillemets « français » plutôt que les guillemets ”anglais”.
5. Les notes de bas de page
a. Indications générales
Étant donné leur coût considérable, il faut éviter de multiplier les notes.
Dans le texte, indiquer les appels de note par un exposant placé avant toute
ponctuation.
Le numéro de la note est suivi d’un point et d’un espace. La numérotation utilisée
correspond exactement aux appels de note dans le corps du texte.
Reporter sous forme de notes les explications complémentaires les plus
essentielles qui alourdiraient les textes. Reporter en notes les références à un
auteur, de la façon suivante : S. Bouchard, 1990. Si on fait référence à deux
textes publiés la même année par un même auteur, utiliser les lettres a, b, etc.,
pour les différencier : Ex. : S. Bouchard, 1990a.
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b. Modèle à la disposition des auteurs
Pour les utilisateurs de ENDNOTE, on rappelle que le CIEQ met à la disposition
des auteurs un style propre au Centre.
Le document peut-être téléchargé à partir du site du CIEQ à l’adresse suivante :
http://www.cieq.ulaval.ca/publications/guide.html.
6. La bibliographie
Le CIEQ met à la disposition des auteurs un fichiers de style de sortie (Output Style)
pour les usagers de EndNote. Pour les autres auteurs, nous fournissons des fiches de
saisie à imprimer.
Voici les façons de citer les titres en bibliographie :
a. Auteur d’un livre
Nom et prénom des auteurs; nom et prénom des collaborateurs; année de
parution; titre et sous-titre de l’ouvrage; numéro du volume; ville; éditeur;
collection; nombre de volumes; nombre de pages
Courville, Serge (1996), Population et territoire, Sainte-Foy, Presses de
l'Université Laval, (coll. Atlas historique du Québec), 182 p.
Courville, Serge et Serge Labrecque en collaboration avec Jacques Fortin (1988),
Seigneuries et fiefs du Québec : nomenclature et cartographie, Sainte-Foy
(Québec), Célat et Commission de toponymie, (coll. Outils de recherche du
CÉLAT ; no 3), 202 p.
b. Directeur d’un livre ou d’un numéro spécial d’une revue
Nom et prénom des directeurs; nom et prénom des directeurs collaborateurs;
année de parution; titre et sous-titre de l’ouvrage; numéro du volume; numéro de
la revue; ville; éditeur; collection; nombre de pages
Brodeur, Raymond (dir.) (2000), Marie de l'Incarnation : entre mère et fils : le
dialogue des vocations, [Sainte-Foy, Québec], Presses de l'Université Laval, (coll.
Religions, cultures et sociétés), 159 p.
Caulier, Brigitte (dir.) (2001), Nouvelles tendances et perspectives en histoire
socioreligieuse. Mélanges offerts à Nive Voisine, v. 67, (coll. Études d'histoire
religieuse), 345 p.
c. Article ou chapitre paru dans un ouvrage collectif
Nom et prénom des auteurs; nom et prénom des collaborateurs; année de
parution; titre de l’article ou du chapitre; nom et prénom des directeurs de
l’ouvrage; nom et prénom des directeurs collaborateurs; titre et sous-titre de
l’ouvrage; numéro du volume; ville; éditeur; collection; pages extrêmes
Fyson, Donald (2001), « La paroisse et l'administration étatique sous le Régime
britannique (1764-1840) », dans Serge Courville et Normand Séguin (dir.), La
paroisse, Sainte-Foy, Québec, Presses de l'Université Laval, (coll. Atlas
historique du Québec), p. 25-39.
Hamel, Thérèse en collaboration avec Renée Cloutier et Pierrette Bouchard
(1996), « La recherche féministe en éducation », dans Huguette Dagenais (dir.),
Science, conscience et action : vingt-cinq ans de recherche féministe au Québec,
Montréal, Éditions du Remue-ménage, (coll. Itinéraires féministes), p. 149-183.
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Robert, Jean-Claude (1993), « À la recherche d'une culture urbaine
québécoise », dans Gérard Bouchard (dir.) en collaboration avec Serge Courville,
La construction d'une culture: le Québec et l'Amérique française, Sainte-Foy,
Presses de l'Université Laval, (coll. Culture française d'Amérique), p. 199-212.
d. Article de revue
Nom et prénom des auteurs; nom et prénom des collaborateurs; année de
parution; titre et sous-titre de l’article; nom et prénom des directeurs du volume;
titre du volume; titre de la revue; numéro du volume; numéro de revue; date de
parution; pages extrêmes de l’article
Bonville, Jean de (1995), « La presse dans le discours des évêques québécois de
1764 à 1914 », Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 49, no 2 (automne),
p. 195-221.
e. Mémoire de maîtrise et thèse de doctorat
Nom et prénom de l’auteur; année de parution; titre et sous-titre de l’ouvrage;
mémoire de maîtrise ou thèse de doctorat; département ou faculté; université;
ville; nombre de pages
Marcoux, Richard (1993), L'école ou le travail : l'activité des enfants et les
caractéristiques des ménages en milieu urbain au Mali, thèse de doctorat
(Démographie), Université de Montréal, Montréal, 268 p.
f.
Rapport
Nom et prénom des auteurs; nom et prénom des collaborateurs; année de
parution; titre et sous-titre du rapport; ville; organisme; pages
Hamel, Thérèse (1990), « L'avenir de la formation des maîtres du primaire :
Perspectives, convergences et divergences », Rapport présenté au Conseil
Supérieur de l'éducation, 85 p.
g. Recueil de conférences
Nom et prénom des auteurs; date de parution; titre et sous-titre de la conférence;
nom et prénom des directeurs de l’ouvrage; nom et prénom des directeurs
collaborateurs; nom du colloque, conférence, congrès, …; lieu du colloque, …;
année du colloque, …; numéro du volume; lieu d’édition; éditeur; nombre de
volumes; collection; nombre de pages
Laugrand, Frédéric et Gilles Routhier (2001), « Réception et enracinement de
Vatican II en milieu inuit », dans Gilles Routhier (dir.), Vatican II au Canada :
enracinement et réception : actes du colloque organisé par la Faculté de
théologie et de sciences religieuses et le CIEQ dans le cadre du projet de
recherche Vatican II et le Québec des années 1960, Université Laval, Québec,
23, 24 et 25 août 1999, Saint-Laurent, Québec, Fides, (Héritage et projet ; 64), p.
327-356.
h. Matériel audio-visuel
Nom et prénom des auteurs; nom et prénom des collaborateurs; année de
parution; titre et sous-titre de l’ouvrage; collection; éditeur; ville; type du médium
Courville, Serge (2000), Québec (Province of), dans Enkarta, Reference Suite
2001, Microsoft (CD-ROM).
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i.
Sites Internet
Auteur (organisme ou auteur personnel dans le cas d’une page personnelle) ; titre
de la page ; type de support ; adresse URL ; jour, mois, année de la consultation
par l’usager
Centre interuniversitaire d’études québécoises, La programmation scientifique du
Centre, [En ligne], http://www.cieq.uqtr.ca/cieq/Presentation/Axes.html (page
consultée le 3 mars 2005).
7. L’iconographie
Un soutien professionnel peut être apporté aux auteurs par le CIEQ pour les volets
iconographique et cartographique. Pour en bénéficier, les auteurs doivent s’adresser aux
responsables des Atlas.
a. Identification des figures et autres illustrations
Tous les tableaux et figures doivent être sauvegardés dans des fichiers
informatiques séparés. Il ne faut donc pas les inclure dans le texte. De plus, vous
nous remettrez une copie papier de ces documents.
Les appels de tableau et de figure ne doivent contenir que le type (Tableau et
Figure) et son numéro séquentiel. L’appel doit être placé entre parenthèse dans
la phrase ou à la fin de celle-ci et fait référence au tableau ou à la figure. (Figure
3.1).
Dans le texte, à l’emplacement du tableau ou de la figure, l’auteur inscrit les
informations suivantes, dans un paragraphe distinct :
- le numéro de la figure ou du tableau en chiffres arabes
numéroté séquentiellement, le titre et le sous-titre, la source
précise du document comprenant le dépôt d’archives, et le
nom du fichier informatique. Par exemple :
Figure 3.1
Première concession le long de la Chaudière
Les années 1703 à 1710
Source : D’après Honorius Provost, (1970), Sainte-Marie de la Nouvelle-Beauce :
histoire civile, Québec, Éditions de la Nouvelle-Beauce, p. 7
Provost.tiff
b. Tableaux, graphiques et cartes
Pour les tableaux, vous devez utiliser le tabulateur pour aligner les colonnes, ne
jamais utiliser la barre d’espacement. De plus, il ne doit y avoir qu’une seule
tabulation entre les colonnes. Le plus simple est l’utilisation d’un tableur (de type
Excel, par exemple).
Pour les graphiques, vous devez inclure avec le dossier un tableau (copie papier
et informatisée) contenant les données qui ont servi à faire le graphique.
Si l’auteur désire reproduire une carte provenant d’un ouvrage ou d’une revue et
qu’il ne détient pas les droits d’auteur, il doit retravailler cette carte en la modifiant
sensiblement et en indiquant comme source « d’après… ».
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c. Photographies et illustrations
Pour l’iconographie, on vous invite à privilégier les documents qui proviennent
des Archives nationales du Québec (www.anq.gouv.qc.ca), des Archives
nationales du Canada (www.archives.ca) et de la cartothèque de l’Université
Laval (www.bibl.ulaval.ca/adele/carto.html).
Lors d’une commande de documents iconographiques, toujours prévoir un délai
entre la commande et la réception du document.
Dans le cas des photographies, s’assurer d’avoir les droits d’auteur et nous
fournir les originaux (papier, négatif, positif). Les microfilms et microfiches ne sont
pas acceptés.
Dans le cas de photos ou illustrations déjà numérisées, s’assurer d’avoir la bonne
résolution (300 dpi/ppp APRÈS agrandissement et les remettre en format EPS ou
TIFF).
S’il y a un montage de plusieurs photos, s’assurer que les indications sont claires.
Dans le cas de coupures de journaux, identifier exactement l’article voulu.
8. Références
Pour uniformiser les textes, les auteurs sont invités à consulter le Multi
dictionnaire de la langue française de Marie Éva De Villiers, Le Ramat d’Aurel
Ramat, Un point, c’est tout de J.P. Colignon et le Répertoire toponymique du
Québec publié par la Commission de toponymie du Québec.
9. Correction d’épreuves
Les corrections d’épreuves sur papier seront faites en utilisant les signes
conventionnels tirés du Ramat.
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