Frères de sang

Frères de sang
Mai 2003
Auteur : Mikaël Ollivier, né le 22 mars 1978 à Versailles.
Genre du livre : roman policier
Introduction : L’histoire se déroule en France, près de Paris,
dans la maison du « Domaine de Sans –Souci », à notre époque.
Mikaël Ollivier
Personnages principaux :
 Martin Lemeunier, garçon de 15ans et héros de l’histoire.
 Brice Lemeunier, frère de Martin, jeune homme de 20ans accusé de
cinq meurtres.
 Loïc Lascan, suspect de Martin.
 Monsieur Despart, commissaire de police chargé de l’enquête.
Les cinq victimes :
 Marie Delcroix, premier chagrin d’amour de Brice.
 Marc Stanwick, celui pour qui Juliette avait quitté Brice.
 Christian Lamoureux, professeur de mathématiques de Brice. Il l’avait
fait redoubler.
 Boris Vaniolski, producteur de films fantastiques qui a brisé le rêve de
Brice.
 Juliette Bignicourt, seconde petite amie de Brice. Elle l’avait quitté
pour Marc.
Résumé :
La vie de Martin Lemeunier a basculé le jour où la police a débarqué en
plein repas de midi pour arrêter son frère, Brice, accusé de cinq meurtres.
Leurs parents, harcelés par des coups de téléphone et par la pression
constante que leur impose le commissaire Despart, perdent peu à peu
confiance en leur fils. Pourtant, Martin continue à croire que son frère est
hors de cause, même lorsque les preuves et les mobiles s’accumulent. Il
décide alors de mener sa propre enquête et tient finalement une piste qu’il
va suivre jusqu’au bout, sans même en parler à la police de peur qu’elle ne
détruise son dernier espoir en un clin d’œil. Il cherche alors des documents
qui puissent prouver ses convictions. Avec le soutien de sa grand-mère, qui
est encore la seule personne à croire en l’innocence de Brice, il va
reconstituer le puzzle et devra même remonter dans le passé de son père
pour trouver le vrai criminel.
Conclusion :
J’ai apprécié ce livre, car le héros, Martin, ne perd pas
courage même dans les situations les plus critiques, grâce
au lien fort qui unit les deux frères.
Le fait que le suspens ne commence qu’après la moitié du
roman m’a un peu déplu.
Lisianne