130415 Presentation Nino Rota

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130415 Presentation Nino Rota
présente
RICHARD GALLIANO
NINO ROTA
Album paru le 17 octobre 2011
(Deutsche Grammophon)
Mis à jour le 13/04/2013
INSTANT PLURIEL – 10, rue Bleue – 75009 Paris
Contacts : Martine Croce, directrice générale – [email protected] - 05 61 90 20 00
Victor Pénicaud, chargé de diffusion – [email protected] - 01 48 00 81 03
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PRÉSENTATION DU PROJET
Il est des associations musicales qui font sens avant même que la
première note ne se fasse entendre. Richard Galliano et Nino Rota
(1911-1979) : ces deux noms semblent faits pour être réunis. Pas
uniquement parce que leurs patronymes entretiennent une certaine
proximité phonétique, qui tient à leurs ascendances italiennes
communes. C’est surtout par ce qu’ils incarnent respectivement dans
l’histoire de la musique qu’on perçoit entre eux des formes de
correspondances. Bien que de générations, d’expériences et de
nationalités différentes, en effet, ces deux hommes ont, dans notre
imaginaire, des choses en partage. Est-ce une même capacité à
emprunter aux formes populaires ce qu’elles ont d’universel ? Ou bien
un sens aigu de la mélodie qui en fait des compositeurs inoubliables ?
Il existe entre eux quelque chose qui nous les rend familiers l’un à
l’autre alors même qu’ils ne se sont rencontrés qu’à distance, par le
biais de la musique, cet art qui réunit des hommes en se jouant du temps.
L’un a composé pour le grand écran des musiques qui ont donné quelques-uns des thèmes les plus
fameux de toute l’histoire du cinéma, en puisant dans le folklore des différentes régions de l’Italie, mêlant
à l’orchestre symphonique les sonorités des fanfares de rue et les danses des campagnes. L’autre a écrit
des airs de chansons, notamment pour Claude Nougaro, qui restent ancrés dans les mémoires, sur un
instrument, l’accordéon, qui, plus qu’aucun autre, symbolise la musique populaire. Tous deux sont allés
chercher auprès des traditions de leur pays des éléments qu’ils ont sublimés en les confrontant à d’autres
musiques, d’autres histoires, d’autres éclairages. Richard Galliano a « inventé » son new musette inspiré
par l’exemple de son ami Astor Piazzolla, revivifiant une musique typiquement française à la lumière d’un
exemple argentin et d’une liberté d’improvisation découverte dans le jazz ; Nino Rota, qui a su capturer
l’âme de l’Italie dans son oeuvre, n’a vraiment exercé ses talents de compositeur pour le cinéma
qu’après être allé se perfectionner aux Etats-Unis. Comme s’il fallait en passer par la confrontation à la
culture de l’autre pour mieux se cerner soi.
Richard Galliano n’est pas le premier des jazzmen à se pencher sur la musique de Rota. Mais chez lui,
cette ambition de revisiter quelques-uns des airs les plus fameux du compositeur milanais renvoie à une
ambition déjà ancienne (certains arrangements attendaient depuis quelques années dans ses cartons
une occasion de voir le jour) qui elle-même est reliée à des souvenirs personnels. Le Niçois n’a pas oublié
« le choc émotionnel » qu’il ressentit, enfant, en assistant au cinéma à la projection de La Strada de
Fellini. L’adulte qu’il est devenu – qui fait la route la moitié de l’année avec son accordéon en
bandoulière – n’a pas oublié la mélodie originale : « elle m’a accompagné toute la vie ».
Né en 1950, Galliano est d’une génération qui a connu les grandes heures du cinéma réaliste italien, puis
la fantaisie baroque des œuvres de Fellini ou encore l’avènement de la saga du Parrain de Francis Ford
Coppola… Trois jalons dans l’histoire du cinéma, marqués de l’empreinte d’un même compositeur, Nino
Rota, qui sut inventer pour chacun des musiques qui font plus qu’illustrer les films pour lesquels elles ont
été imaginées… Elles leur donnent un supplément d’âme musical.
Ces thèmes, pour certains extrêmement familiers tant ils sont inscrits dans notre mémoire collective autant
que les images, Richard Galliano les reprend avec l’ambition de leur rendre justice sans en trahir l’esprit
original. La plupart, l’accordéoniste les a d’ailleurs relevés d’oreille, en visionnant les films. Pour lui, les
mélodies sont ainsi restées d’autant plus indissociables des images (dans le même ordre d’idée, au
trompettiste Dave Douglas qui lui demandait comment se préparer à l’enregistrement, Galliano a
simplement conseillé de revoir les longs métrages de Fellini). Pas question, donc, de travestir ces thèmes,
ni de les utiliser comme prétextes. « C’est un projet « fragile » à côté duquel on peut vite passer. Pour moi,
jouer ces thèmes doit s’accompagner d’une forme de respect. On ne pardonne pas tout au nom de
l’improvisation. Il me semblait important de trouver une simplicité de son, quelque chose de très réel, pas
sophistiqué, qui rende justice aux originaux », explique le musicien. L’album est ainsi d’une rare concision,
épuré dans les interprétations, clair dans l’énoncé des mélodies, modéré dans les improvisations, comme
si l’évocation et le chant imposaient une forme de retenue et s’inscrivait dans la logique des airs les plus
célèbres de Nino Rota formés souvent de peu de notes. Outre Le Parrain et La Strada, on retrouvera dans
ce disque des musiques écrites pour la plupart écrite par le compositeur pour des films de Fellini (I
Vitelloni, Huit et demi, Le Notti di Cabiria, La Dolce Vita, Giulietta degli spiriti, Amarcord). Les titres
s’enchaînent selon un montage séquentiel quasi cinématographique.
Vincent Bessières
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RICHARD GALLIANO
Né le 12 décembre 1950 à Cannes (France).
Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment
connu de soliste majeur et que, par les connotations
qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné
du swing, Richard Galliano est parvenu, avec une
détermination sans pareille, à imposer l'idée que son
instrument était digne de figurer aux côtés des
saxophones et trompettes qui sont au coeur de la
musique de jazz. Inspiré par son admiration pour son
ami Astor Piazzolla, inventeur du « Tango Nuevo »,
l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son « new
musette », à revitaliser une tradition bien française qui
semblait ne jamais devoir connaître de renouveau.
Fils de Lucien Galliano, professeur d'accordéon
d'origine italienne, Richard a débuté l'instrument à
l'âge de quatre ans. Parallèlement à son
apprentissage, il suit une formation au conservatoire
de Nice, étudiant l'harmonie, le contrepoint et le
trombone. A l'âge de 14 ans, il découvre le jazz au
travers de Clifford Brown dont il relève les chorus et
s'étonne que l'accordéon soit si peu présent dans
cette musique. Il s'intéresse alors aux accordéonistes
brésiliens (Sivuca, Dominguinhos), découvre les
spécialistes américains qui se sont frottés au jazz
(Tommy Gumina, Ernie Felice, Art Van Damme) et les
maîtres italiens (Felice Fugazza, Volpi, Fancelli),
rejetant en bloc le jeu traditionnel qui domine dans
l'Hexagone. En 1973, Galliano « monte » à Paris où il
séduit Claude Nougaro. Pendant trois ans, il assure la
fonction d'arrangeur, de chef d'orchestre et même de
compositeur dans un groupe où il côtoie
d'authentiques jazzmen. Il participe, en outre, à de
nombreuses séances d'enregistrement de variété (Barbara, Serge Reggiani, Charles Aznavour, Juliette
Gréco, etc...) et à des musiques de film. Dès le début des années 1980, il multiplie les occasions de
fréquenter des jazzmen de toutes obédiences et de pratiquer l'improvisation à leurs côtés : Chet Baker
(sur un répertoire brésilien), Steve Potts, Jimmy Gourley, Toots Thielemans, le violoncelliste Jean-Charles
Capon (avec qui il signe son premier disque), Ron Carter (avec qui il enregistre en duo en 1990), etc.
En 1988, Richard Galliano créé le célèbre « Festival des Nuits de Nacre » à Tulle qu'il dirigera durant 5
années (de 1988 à1992) en tant que Directeur Artistique (voir le DVD de Pierre Barouh Accordéons).
En 1991, sur les conseils d'Astor Piazzolla qu'il a rencontré en 1983 à la faveur d'une musique de scène
pour la Comédie-Française, Richard Galliano fait retour sur ses racines, revenant au répertoire traditionnel
de valses musettes, de java, de complaintes et de tangos, qu'il avait longtemps ignoré. Renouant avec
l'esprit de Gus Viseur et Tony Murena, il permet à l'accordéon de se défaire de son image « vieillotte » par
un travail sur le trois temps, une autre conception rythmique, un changement des harmonies, qui
l'acclimate au jazz. Réalisé avec Aldo Romano, Pierre Michelot et Philip Catherine, son disque-manifeste
« New Musette » (Label bleu) lui vaut de recevoir le prix Django-Reinhardt de l'Académie du Jazz en 1993,
récompense qui salue le « musicien français de l'année ».
S'ensuit une série d'albums dans lesquels Richard Galliano révèle, sur un modèle Victoria qu'il ne quitte
plus, une aisance à adapter l'accordéon aux libertés du jazz, virtuose dans le phrasé, totalement
décomplexé, d'une grande richesse dans la sonorité, habile à décloisonner les musiques à l'aide d'un
instrument qui ignore les frontières. En 1996, il traverse l'Atlantique pour enregistrer son « New York Tango »,
avec George Mraz, Al Foster et Biréli Lagrène, disque pour lequel il obtient une Victoire de la musique. La
réputation de Richard Galliano prend alors une envergure internationale et les collaborations se
multiplient. Il s'engage dans des duos, dont certains à l'instrumentation insolite, avec des personnalités
aussi diverses qu'Enrico Rava, Charlie Haden, Michel Portal (« Blow Up », en 1997, est un vrai succès
commercial avec plus de 100 000 exemplaires vendus), son confrère Antonello Salis (en Italie) ou encore
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l'organiste Eddy Louiss (2001). Il est fidèle pendant des années au trio qu'il forme avec Daniel Humair et
Jean-François Jenny-Clarke (de 1993 jusqu'à la disparition du contrebassiste en 1998), puis renoue avec
ce format en 2004 avec une rythmique « new-yorkaise » composée de Clarence Penn et Larry Grenadier.
Des rencontres plus ponctuelles ont également lieu avec Jan Garbarek, Martial Solal, Hermeto Pascoal,
Anouar Brahem, Paolo Fresu et Jan Lundgren, Gary Burton... En 1999, avec un orchestre de chambre, il
fait entendre ses propres compositions aux côtés d'oeuvres écrites par Astor Piazzolla. Ce travail trouve un
prolongement en 2003 dans « Piazzolla Forever », hommage dans lequel Galliano rejoue les pièces de son
mentor.
D'une rare polyvalence, Richard Galliano possède ainsi les moyens de s'exprimer avec musicalité dans
n'importe quel contexte, du solo (tel le « Paris Concert » au Châtelet, paru en 2009) jusqu'au big band
(avec le Brussels Jazz Orchestra en 2008). Désormais reconnu comme un soliste exceptionnel, il continue
d'explorer un large éventail de musiques, sans se défaire de ce lyrisme qui irrigue son jeu lorsqu'il
enregistre les ballades de « Love Day » avec Gonzalo Rubalcaba, Charlie Haden et Mino Cinelu, ni se
départir de cette « French Touch » qui lui permet d'établir avec le trompettiste Wynton Marsalis le trait
d'union qui relie Billie Holiday et Edith Piaf.
Soucieux de transmettre sa riche expérience, il est l'auteur, avec son père Lucien, d'une méthode
d'accordéon saluée en 2009 par le prix Sacem du Meilleur ouvrage pédagogique.
Pour honorer l’anniversaire des 20 ans de la disparition d’Astor Piazzolla (1992-2012), l’ami et mentor de
Richard Galliano, Dreyfus Jazz réédite un coffret contenant un Cd et un Dvd du mythique programme
Piazzolla Forever Septet (sorti en janvier 2012). Plusieurs concerts en France et à l’étranger sont déjà
prévus tout au long de l’année 2012.
En 2010, Richard Galliano signe un contrat d'exclusivité discographique avec Deutsche Grammophon. Il
enregistre dans la foulée un album consacré entièrement à la Musique de Jean-Sébastien Bach (qui
devient avec 40 000 exemplaires vendus la Meilleure Vente Classique de l'Année).
En 2011 est sorti un album dédié aux musiques de film du fameux compositeur italien Nino Rota. Avec,
notamment, John Surman au saxophone soprano et Dave Douglas à la trompette, Richard Galliano
donne ici une lecture résolument jazz des célèbres mélodies de La Strada, The Godfather (qu'il joue au
Trombone solo sur la première plage du disque), La Dolce Vita, Amarcord, Otto e Mezzo (Huit et demi)...
En avril 2013 est paru son dernier album « Vivaldi », consacré au compositeur des Quatre Saisons dans
lequel l’accordéoniste retrouve le quintette à cordes qui l’a accompagné dans l’aventure Bach.
Désormais, Richard Galliano est le seul accordéoniste concertiste à avoir le privilège d'enregistrer pour le
prestigieux Label Allemand Deutsche Grammophon (au même titre que Pierre Boulez, Daniel Barenboim,
Herbert Von Karajan, etc.)
Son rêve d'adolescent est enfin réalisé à l'âge de... 60 ans.
2004. Chevalier dans l'ordre National du Mérite
2009. Officier dans l'ordre des Arts et des Lettres
2011. Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres
Vincent Bessières
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ÉQUIPE ARTISTIQUE
Accordéon, Accordina, Richard Galliano
Clarinette, Mauro Negri
Trompette, Nicolas Folmer
Contrebasse, Sylvain Le Provost
Batterie, Percussions, Mattia Barbieri
Pour l’épauler dans cet hommage, Richard Galliano a fait appel à des musiciens à la large culture, des
jazzmen ouverts à d’autres traditions, qui, tout en maîtrisant les fondamentaux de leur musique, savent
aller au-delà, chercher d’autres sources d’inspiration. [...] C’est avec un tout nouveau line-up francoitalien que Richard Galliano sera en tournée en France et en Europe en 2012 et 2013.
Avec de tels musiciens, qui ont le sens de la nuance et de l’écoute, l’accordéoniste salue ainsi la
mémoire d’un grand compositeur dont l’année 2011 marque le centenaire. Il fait entendre tout ce qui
caractérisait son art : le mélange des airs de fête et de fanfares avec un lyrisme un peu grave, la fantaisie
de mélodies enlevées desquelles un voile de mélancolie n’est jamais totalement absent.
Cette musique a des accents de simplicité joyeuse qui la rendent immédiatement accessibles, ce qui
n’enlève rien à sa noblesse. C’est l’une des grands talents de Nino Rota. Et c’est l’un des chevaux de
bataille de Richard Galliano : « Le populaire ne m’a jamais fait peur. J’ai toujours aimé les musiques
traditionnelles ou populaires « savantes ». Qu’on parle de tango, de musette, de blues ou d’Europe de
l’Est, ces musiques sont les plus difficiles à jouer et on ne les apprendra jamais au conservatoire. Pourtant,
elles donnent envie aux gens de danser, et c’est pour moi la plus belle chose qu’on puisse offrir en
musique. » Le disque se clôt sur une composition de Richard Galliano dédié à Rota et simplement
intitulée "Nino" : « J’ai voulu terminer le disque avec un genre de charleston et une note assez gaie parce
qu’il est vrai que cette musique est assez grave… Par son rythme et ses couleurs, "Nino" oscille entre New
Orleans et l’Italie. C’est ma façon de dire que la musique de Rota est universelle. » Un bel hommage.
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PRESSE
L’Express // Paola Genone // 16 novembre 2011
L'accordéoniste nous donne des frissons en réinterprétant l'univers du compositeur fétiche de Federico
Fellini. Richard Galliano arrose d'un parfum de tango et de jazz les mélodies qui ont accompagné La
Dolce Vita, Amarcord ou I Vitelloni. Un sublime hommage aux BO de Nino Rota…
Ouest-France // 2 novembre 2011
Richard Galliano royal sur la « strada » de Nino Rota
Pouvait-on rêver meilleure rencontre, lundi à Nantes : Richard Galliano-Nino Rota avec le jazz au milieu ?
Des rencontres, il y en a eu d'autres, Barbara, Reggiani, Nougaro, Petrucciani... Celles où la musique, la
chanson, la mélodie ne sont pas seulement des refrains à fredonner, mais des tranches de poésie, des
bouts de coeur offerts, des sonorités, des mots qui font trembler l'âme ou enflamment le corps. C'est ce
paysage frémissant, porté par un artiste, Rota, composant avec sa chair le fond sonore d'un autre artiste,
Fellini, que Galliano s'est approprié pour y inscrire sa propre histoire musicale en virtuose des sentiments. Il
les distille sur des volutes tantôt sensuelles, passionnées, tantôt fringantes mais toujours dans la maîtrise,
jamais dans la débauche, la roublardise. Il faut dire que le maestro s'est entouré d'acolytes de haut vol :
John Surman (saxo, clarinette), Dave Douglas (trompette), Boris Kozlov (basse), Clarence Penn (batterie),
qui font avec lui un bout de "strada" dans une allégresse que le public de la Cité des Congrès n'est pas
près d'oublier.
So Jazz // Bruno Pfeiffer // novembre 2011
Les films de Fellini ont immortalisé le compositeur italien Nino Rota, qui a puisé les sonorités dans les
folklores des régions de l’Italie. La musique populaire, l’accordéoniste Richard Galliani, il connaît.
D’origine italienne par son père, le Cannois rend à Rota un hommage original et convaincant avec des
jazzmen explorateurs qui tous ont gardé le contact avec leurs folklores respectifs : le trompettiste
américain Dave Douglas, très attaché au klezmer, l’Anglais John Surman, impérial à la clarinette, et le
contrebassiste d’origine russe Boris Kozlov.
Jazz News // Christian Larrede // novembre 2011
Lorsqu’un quintette de virtuoses rencontre quelques incunables, que nous raconte-t-il ? Quelques histoires
de promenade mélancolique, d’amours voilées (en ouverture un thème du Parrain), de romance sociale
(« Gelsomina »). Ce recueil reste profondément triste, nimbé de cette absolue mélancolie, où les
partitions renvoient aux images qui renvoient elles-mêmes à cette lecture d’un monde désenchanté et
de séductions vaines. L’accordéon, et tous les autres, crée une musique de chambre des rêves.
Un disque léger et incisif, comme un arrache-cœur (« Amarcord »).
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GÉNÉRIQUE
Accordéon, Accordina, Richard Galliano
Clarinette, Mauro Negri
Trompette, Nicolas Folmer
Contrebasse, Sylvain Le Provost
Batterie, Percussions, Mattia Barbieri
Liste des œuvres (ordre et programme susceptibles de modifications)
The Godfather – Waltz
La Strada – Tema
I Vitelloni – Temi
I Tre Suonatori
Huit et Demi – La Passerella d’Addio
Solitudine di Gelsomina
Il Circo Giraffa
Il Matto Sul Filo
The Godfather – Love Theme
Gelsomina
I Notti di Cabiria – Tema
Zampano e la Vedova
La Strada – La Partenza del Convento
La Strada – Addio del Matto
La Dolce Vita – Temi
Giulietta Degli Spiriti (rosa avrata)
Amarcord – Le Manine di Primavera
Amarcord – Tema
Nino*
* Toutes les compositions sont de Nino Rota, à l’exception de « Nino », composée par Richard Galliano
Prochains Concerts du programme « Nino Rota »
Wolfisheim
28 juin 2013
Saint-Maur-des-Fossés
26 septembre 2013
Concerts passés :
Boulazac
3 avril 2013
Élancourt
30 mars 2013
Vaulx-en-Velin
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7
23 mars 2013
Aix-en-Provence
21 mars 2013
Albi
12 mars 2013
Échirolles
1er février 2013
Sarajevo
2 novembre 2012
Lodz (PL)
16 août 2012
Cap Marina di Pietrasanta (IT)
14 août 2012
Sarajevo (BK)
4 novembre 2012
St-Moritz (SZ)
2 août 2012
Milan (IT)
11 juillet 2012
Fiesole (IT)
10 juillet 2012
Caldas de Rainha (PT)
7 juillet 2012
London Royal Fest Hall
18 novembre 2011
Paris - Salle Pleyel
16 novembre 2011
Calais
15 novembre 2011
Athènes
14 novembre 2011
Tbilissi
11 novembre 2011
Strasbourg
9 novembre 2011
Rome
6 novembre 2011
Nevers
5 novembre 2011
Berlin Jazz Fest
4 novembre 2011
Lausanne
2 novembre 2011
Nantes
31 octobre 2011
Cork
30 octobre 2011
Torino
29 octobre 2011
Zurich
27 octobre 2011
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